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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Bati journal

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Il y a 5 ans et 199 jours

France Bois 2024, financeur du Forum Bois Construction 2020

Le projet France Bois 2024 a été mis en place pour favoriser l’utilisation des solutions de construction et d’aménagement en bois, notamment français, dans les réalisations des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. Il vise à apporter les informations collectives nécessaires aux maîtres d’ouvrage et à faciliter la participation d’un maximum d’entreprises de la filière, décidées à relever le défi. C’est l’un des quatre projets structurants et fédérateurs du Contrat Stratégique de la Filière Bois, signé le 16 novembre 2018. France Bois 2024 au Forum Bois Construction 2020 France Bois 2024 sera mis à l’honneur lors de la 10e édition du Forum International Bois Construction au Grand Palais du 14 au 16 avril 2020 avec un espace de 24m2 dans le salon d’exposition et un atelier entièrement consacré aux futures infrastructures en bois du Village Olympique de Paris 2024. Le bois confirmé pour le Village Olympique de Paris 2024 Icade d’une part avec REI Habitat et Mathis, Nexity et Eiffage d’autre part, avec Simonin, ont remporté le 22 novembre la consultation lancée par la Solidéo pour l’attribution des lots D et E du village des athlètes à Saint-Ouen (50 000 m2 chacun). Ces attributions ont été faites à l’unanimité du jury qui, outre le préfet de région Michel Cadot, rassemblait des élus, des hauts fonctionnaires et Tony Estanguet, président de Paris-2024 ainsi que Nicolas Ferrand, directeur général exécutif de la SOLIDEO. Ce lundi 9 décembre, la SEM, l’établissement public territorial Plaine Commune, la ville de Saint-Denis et la SOLIDEO ont désigné le groupement de promoteurs Pichet-Legendre comme opérateur immobilier du village olympique situé sur la ZAC de l’Ile-Saint-Denis. Ce lot représente une surface totale de 47 000 m2 et se composera de 15 bâtiments dont la moitié sera 100 % bois. ©Maquette du village Olympique de Saint Ouen, Stéphane De Sakutin
Il y a 5 ans et 199 jours

Bilan du Programme PACTE

En direct de PACTE l’Événement, présentation de quelques outils mis à disposition des pros au bénéfice de la qualité de la construction et de la transition énergétique. Intervenants : Sabine Basili, Présidente du Programme PACTE | Vice-Présidente en charge des affaires économiques – CAPEB Emmanuel Acchiardi, Sous-directeur Qualité Construction – DHUP
Il y a 5 ans et 199 jours

Projet : ACCORT-Paille pour une isolation performante en bottes de paille

En direct de PACTE l’Événement, présentation de quelques outils mis à disposition des pros au bénéfice de la qualité de la construction et de la transition énergétique. Intervenant :Aymeric Prigent, Directeur Technique – ACCORT-Paille
Il y a 5 ans et 199 jours

Projet : Travaux d’entretien et de maintenance sur matériaux amiante : règles de l’art

En direct de PACTE l’Événement, présentation de quelques outils mis à disposition des pros au bénéfice de la qualité de la construction et de la transition énergétique. Intervenants : Isabelle Monnerais, Responsable de Domaine Risque Chimique – OPPBTP Mickaël Veillet, Responsable d’opération Amiante – OPPBTP
Il y a 5 ans et 199 jours

Projet : Tout savoir pour construire en chanvre

En direct de PACTE l’Événement, présentation de quelques outils mis à disposition des pros au bénéfice de la qualité de la construction et de la transition énergétique. Intervenant:Philippe Munoz, Chargé de mission – Construire en Chanvre
Il y a 5 ans et 199 jours

Projet : CAPECOBAT Accéder aux marchés de la rénovation des bailleurs sociaux

En direct de PACTE l’Événement, présentation de quelques outils mis à disposition des pros au bénéfice de la qualité de la construction et de la transition énergétique. Intervenant :Thierry Gesset-Parment, Président – CAPEB Grand Paris
Il y a 5 ans et 199 jours

Interview de Dominique Oliveira, Responsable prescription Ile-de-France chez Saint-Gobain – Weber

Intervenant : Dominique Oliveira, Responsable prescription Ile-de-France chez Saint-Gobain – Weber
Il y a 5 ans et 199 jours

Interview de Guillaume Rozé, Directeur Commercial & Marketing chez Saint-Astier

Découvrez l’interview de Guillaume Rozé, Directeur Commercial & Marketing chez Saint-Astier au Salon international du patrimoine culturel 2019. L’occasion de revenir sur le cœur de métier de Saint-Astier.
Il y a 5 ans et 199 jours

ISOBIODOM, isolants biosourcés dans les DOM

En direct de PACTE l’Événement, présentation de quelques outils mis à disposition des pros au bénéfice de la qualité de la construction et de la transition énergétique. Rencontre avec Alcay Mourouvaye, Directeur de CIRBAT qui nous parle d’un outil mis à la disposition des professionnels du bâtiment : ISOBIODOM. Intervenant :Alcay Mourouvaye, Directeur – CIRBAT
Il y a 5 ans et 199 jours

BIOMOOC : découvrir le bâtiment biosourcé

En direct de PACTE l’Événement, présentation de quelques outils mis à disposition des pros au bénéfice de la qualité de la construction et de la transition énergétique. Nous allons parlé avec notre invité, Florian Rollin, associé / Expert Immobilier & Territoire chez KARIBATI du programme BIOMOOC. Intervenant : Florian Rollin, Associé / Expert Immobilier & Territoire – KARIBATI
Il y a 5 ans et 200 jours

La filière électrique fait des propositions pour faciliter la transition énergétique

7 fédérations et associations (FFIE, FIEEC, GIMELEC, IGNES, Promotelec, SERCE, UFE) représentant l’ensemble de la filière électrique font état, à travers une étude, des leviers à actionner pour accélérer la rénovation et la transformation des bâtiments, qu’ils soient à usage d’habitation ou tertiaires. Elles publient six recommandations pragmatiques et 21 mesures concrètes pour accompagner la transformation du bâtiment : Mettre en cohérence les politiques du bâtiment et les enjeux climatiques 1. Garantir que l’ensemble des politiques réglementaires et incitatives intègre un critère de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES). 2. Afficher au même plan les critères carbone et énergétique au sein du diagnostic de performance énergétique (DPE) et améliorer sa lisibilité. 3. Améliorer la visibilité du critère environnemental dans le document annexé au bail tertiaire. Améliorer l’information et la pédagogie autour des actions de performance énergétique, tant des logements que des bâtiments tertiaires 4. Créer des plates-formes territoriales autour de la rénovation qui permettent une mise en relation efficace entre la demande et l’offre de rénovation dans le résidentiel et tertiaire et la création d’un catalogue de l’ensemble des aides disponibles à la rénovation à l’échelle locale et nationale. 5. Communiquer efficacement auprès des utilisateurs les dispositifs accessibles pour le financement de la rénovation sur l’ensemble des travaux. 6. Créer une labélisation « verte » des prêts en faveur d’économie d’énergie et de sobriété carbone via des travaux de qualité. Renforcer l’efficacité et la qualité des travaux au bénéfice des occupants 7. Lutter contre les travaux de mauvaise qualité, et notamment la fraude. 8. Promouvoir une démarche qualité pour la phase de réception des travaux et de commissionnement dans le tertiaire. 9. Accompagner la montée en compétence de tous les acteurs, notamment en accentuant le soutien aux politiques de formation, ce qui permettra un meilleur accès à la qualification des entreprises. 10. Favoriser une adoption rapide des fiches d’opérations standardisées dans le cadre du dispositif des certificats d’économies d’énergie (CEE). 11. Renforcer les incitations au remplacement des installations électriques vétustes pour améliorer la sécurité des bâtiments et la prise en charge des nouveaux usages. Établir et analyser les données afin de cibler et déclencher les travaux et services pour le bâtiment 12. Établir une cartographie de la performance des bâtiments publics (énergétique, climatique, numérique, etc.) et la rendre accessible. 13. S’appuyer sur le DPE dans les autres dispositifs et outils (passeport rénovation, carnet numérique, etc.) visant à inciter des travaux de rénovation. 14. Mettre en place un observatoire de suivi des aides des politiques publiques, nationales et locales. Prendre en compte le confort de l’utilisateur et la qualité de l’air intérieur dès la conception du bâtiment 15. Introduire la notion de confort d’hiver et d’été dans la réglementation au même titre que la diminution des consommations énergétiques et des émissions de GES. 16. Mettre en place des moyens techniques de mesure de l’inconfort dans le tertiaire et le résidentiel. 17. Garantir la préservation de l’air intérieur et viser son amélioration tout au long de la vie du bâtiment. Accompagner les évolutions de la société en facilitant l’adoption des nouvelles solutions 18. Promouvoir l’innovation et le déploiement de l’intelligence artificielle (IA) dans le bâtiment au service des utilisateurs, notamment pour la facilitation de l’exploitation du bâtiment, la maintenance prédictive, la flexibilité, la gestion de l’énergie, l’adaptabilité, le building information modeling (BIM), etc. 19. Faciliter l’intégration de solutions de la mobilité électrique en simplifiant le parcours d’installation des bornes de recharge dans tous les bâtiments neufs et existants. 20. Faciliter l’installation de solutions d’autoconsommation et de pilotage/stockage de l’énergie en levant les freins administratifs et réglementaires. 21. Faciliter l’adoption des technologies permettant le maintien à domicile via une meilleure information et un renforcement des mesures d’incitation financière.
Il y a 5 ans et 200 jours

Certification HQE Bâtiment Durable : référence commune de toutes les parties prenantes d’un bâtiment

A l’occasion du SIMI, grand rendez-vous annuel de l’immobilier d’entreprise, CERTIVEA délivre un décryptage inédit sur les bénéfices auprès de toutes les parties prenantes d’un bâtiment durable certifié. Un cercle vertueux au centre duquel la certification joue un rôle de tiers de confiance qui atteste auprès de chacun des performances réelles du bâtiment. Alors qu’elles ne partagent pas les mêmes expertises ni la même appréhension du bâtiment, toutes les parties prenantes ont besoin d’une référence commune grâce à laquelle il est possible d’assurer la qualité de l’information sur les caractéristiques et les performances réelles des bâtiments. La certification HQE Bâtiment Durable joue ce rôle central. Pour les collaborateurs, on identifie en particulier une amélioration du confort et des niveaux de services qui se traduisent par des gains de productivité, une réduction du taux d’absentéisme dans les bureaux. Les équipes partagent un plus fort sentiment d’adhésion à leur entreprise, qui démontre à travers le choix d’un bâtiment durable son engagement véritable dans une politique RSE. Pour les acteurs financiers, l’existence d’une survaleur de marché est aujourd’hui solidement établie comme en attestent les chiffres présentés plus haut. En termes de patrimoine, l’enjeu est de réduire les risques d’obsolescence et de protéger la valeur à moyen et long terme. Pour la société et les pouvoirs publics, les gains sont considérables en matière de réduction des coûts publics associés à la santé, à la lutte contre le changement climatique et les pollutions ou encore à la perte de la biodiversité.
Il y a 5 ans et 201 jours

Déchets du bâtiment : les propositions de la profession évincées par l’Etat

Les professionnels saluent la décision du gouvernement et de l’Assemblée nationale de repousser la définition du périmètre de la REP Bâtiment (responsabilité élargie du producteur) à la remise de l’étude de préfiguration confiée à l’ADEME. En revanche, ils ne s’expliquent pas la décision de fermer la porte à tout système alternatif pour le secteur du Bâtiment. En effet, il avait été convenu, en l’absence d’évaluation de l’impact économique et de réponse aux questions juridiques posées, que les professionnels pourraient proposer un tel schéma dont ils étudieraient la faisabilité en lien avec l’étude ADEME. Le gouvernement, après avoir remercié les acteurs pour les « réponses concrètes et d’envergure » apportées sur ce sujet, avait toujours rassuré la filière sur ce point. Il s’était d’ailleurs engagé début septembre à ce que le futur système basé sur le principe pollueur/payeur soit porté par un éco-organisme ou par un système équivalent. Si la reprise gratuite devait concerner tous les déchets du bâtiment, la filière a estimé que cela conduirait à une augmentation du prix des matériaux de construction comprise entre 8 et 10 %. Les acteurs de la filière réaffirment leurs engagements et proposent de consacrer une enveloppe financière à ce système alternatif permettant de soutenir des actions communes comme la mise en place d’un système de traçabilité, le renforcement du maillage en points de reprise, la participation à la lutte contre les décharges sauvages et des actions dédiées à certaines filières de recyclage comme la reprise gratuite de déchets triés. Conformément aux engagements du gouvernement, la filière a entamé les travaux nécessaires à la définition de ses contours et souhaite les poursuivre en lien avec l’étude de l’ADEME. Or, la possibilité de proposer un système équivalent qui serait ensuite approuvé ou non par l’Etat a été retirée du projet de loi. La filière demande donc sa réintégration.
Il y a 5 ans et 204 jours

3 km d’étanchéité liquide pour des balcons

Le Syndicat des copropriétaires résidence Vauban a mandaté l’agence Frög Architecture afin d’entreprendre le ravalement des façades de deux de ses immeubles, situés à Strasbourg dans le quartier de l’Esplanade. Construits dans les années 1960, ces logements de près de 60 ans avaient déjà bénéficié de travaux de rénovation de l’enveloppe « en couche sur couche ». Après une étude de l’existant, le constat des architectes était clair : des travaux en profondeur devaient être réalisés pour renforcer la structure existante et protéger ainsi les occupants tout comme les passants. Le point de faiblesse se situait au niveau des balcons. Recouverts d’une chape sans étanchéité, ils avaient engendré à long terme des porosités. Pour cette réhabilitation, totalisant près de trois kilomètres linéaires de balcons (3 000 m2), la copropriété a fait appel à l’agence SOPREMA Entreprises de Strasbourg pour les travaux d’étanchéité. Après avoir mené la dépose de la chape carrelage sur les deux immeubles, entre janvier et mars 2019, six applicateurs résine (en moyenne) effectueront la réfection des sols extérieurs jusqu’à la fin d’année 2020 : – création d’une pente pour l’écoulement de l’eau de pluie vers l’extérieur grâce à un ragréage tiré à la règle, – étanchéité liquide anti-dérapante ALSAN 870.05 de SOPREMA appliquée en plusieurs couches sur le sol et les relevés, – mise en œuvre d’un profil aluminium sur le nez de dalle qui offre une finition soignée et minimaliste aux façades. La résine va au-delà de la barrière étanche. Elle offre un véritable revêtement à l’esthétique monolithique et durable. Contrairement au blanc ou au noir par exemple, la teinte « gris clair » choisie par le maître d’œuvre permet d’estomper les traces de salissures causées par la pluie et le vent. Photo : SOPREMA Entreprises Photographe : Vincent Muller
Il y a 5 ans et 205 jours

L’innovation acoustique Silentwall de Reticel a reçu le Décibel d’Argent

Le Centre National du Bruit a remis le 2 décembre le Décibel d’Argent à Recticel pour son innovation acoustique Silentwall. Remis par la Ministre de la transition écologique et solidaire Élisabeth Borne ; ce Décibel d’Argent est attribué à Recticel dans la catégorie Matériaux Acoustiques et Systèmes Constructifs. Une catégorie qui valorise les matériaux isolants, absorbants et anti-vibratiles. Il vient récompenser la capacité à innover de Recticel qui propose avec Silentwall une nouvelle solution acoustique aux performances remarquables. Silentwall de Recticel est un panneau au confort phonique facile et rapide à poser. Silentwall est fabriqué en France à partir de mousses polyuréthane recyclées provenant de l’économie circulaire (chutes de production) limitant ainsi le gaspillage des ressources et l’impact environnemental.
Il y a 5 ans et 205 jours

Restauration de Notre-Dame de Paris : la Région Île-de-France concrétise son engagement et apporte une contribution de 10 M€

Le 15 avril dernier, un incendie se déclenchait au sein de la cathédrale Notre-Dame de Paris détruisant la charpente datant du Moyen-Âge ainsi que la fonte de la toiture et l’effondrement de la flèche. Valérie Pécresse, Présidente de la Région Île-de-France, avait exprimé, dès le 16 avril, son souhait que la Région apporte un soutien de 10 M€ à la restauration de Notre-Dame. Le rapport relatif à la contribution de la Région Île-de-France aux travaux d’urgence pour la restauration de la Cathédrale Notre-Dame à hauteur de 10 M€ a été soumis au vote du Conseil régional, réuni en séance plénière, qui l’a adopté le 22 novembre 2019. L’objectif de cette phase est d’aboutir à l’installation du parapluie – toit provisoire de la cathédrale – pour permettre la réalisation de la suite de l’opération dans les meilleures conditions. Le Fonds Cathédrale de Paris mis en place par la Fondation Notre Dame a recueilli entre le lendemain de l’incendie et le 4 décembre 49 M€ de dons. Le total des dons déjà reçus et des promesses de dons qui seront concrétisées est de l’ordre de 370 M€, dont 100 M€ de François et François-Henri Pinault et 200 M€ de Bernard Arnault et sa famille et du groupe LVMH. Le montant total nécessaire à la restauration de la cathédrale demeure inconnu puisque c’est à la fin de l’année 2020 que le diagnostic final pourra être établi.
Il y a 5 ans et 206 jours

Gazole non routier : la Capeb souhaite un étalement sur 10 ans

Les entreprises artisanales du bâtiment et des travaux publics sont opposées à la suppression de l’exonération de la TCIPE dont elles bénéficient pour l’achat de leur gazole non routier. L’application différée n’est pas de nature à les rassurer et l’étalement de la mesure de suppression sur 18 mois n’est pas suffisant pour que qu’elles s’organisent et absorbent, dans le temps, l’impact financier sur leur activité. Ces petites entreprises sont toujours dans l’attente d’un plan d’accompagnement leur permettant de mieux gérer la transition de leurs flottes d’utilitaires vers des véhicules utilisant des énergies renouvelables. La Capeb considère que le délai devrait être suffisamment long (10 ans) pour permettre le développement de ces moyens alternatifs qui aujourd’hui n’existent pas.
Il y a 5 ans et 206 jours

Interview de Faz M’CHINDA, Délégué prescription chez CUPA – PIZARRAS

A l’occasion de l’édition 2019 du Salon International du Patrimoine Culturel 2019, nous avons eu l’occasion de rencontrer Faz M’CHINDA, Délégué prescription chez CUPA – PIZARRAS. CUPA PIZARRAS, fabricant d’ardoises naturelles, matériau fortement ancré dans l’histoire architecturale française et dans le patrimoine ; il était naturel pour cette entreprise de participer, comme chaque année, au Salon du Patrimoine.
Il y a 5 ans et 207 jours

Pierre-Antoine Gatier élu à l’Académie des beaux-arts (section d’architecture)

Durant la séance plénière du mercredi 20 novembre 2019, l’Académie des beaux-arts a élu PierreAntoine Gatier au fauteuil précédemment occupé par Paul Andreu (1938-2018) dans la section d’architecture. Une élection qui devra être soumise dans les prochains jours à l’approbation de Monsieur le Président de la République, protecteur de l’Académie.  Pierre-Antoine Gatier © Jean-François Robert Né en 1959, Pierre-Antoine Gatier est architecte. Il est diplômé de muséologie à l’École du Louvre en 1983 et de l’École de Chaillot en 1987. Major du concours d’architecte en chef des monuments historiques en 1990, il crée son agence l’année suivante. Il débute sa carrière dans le département de la Marne et de la Haute-Marne. Il produit l’étude préalable sur les Halles de Reims (1929), vaste structure de ciment armé qui ouvre son intérêt pour la conservation de l’architecture du 20ème siècle et des patrimoines les plus récents. Il poursuit cette recherche dans le département des Alpes-Maritimes en 1999 où il est en charge de la restauration d’œuvres emblématiques de villégiature, de la Villa Kerylos à la Villa E-1027. Il manifeste son attachement aux réalisations modernes en béton armé du 20ème siècle, caractérisées par l’expérimentation et une constante évolution des modes de mises en œuvre, renouvelant les pratiques de restauration. Son agence compte 20 collaborateurs, architectes, architectes du patrimoine, architecte-ingénieur, historiens de l’art, paysagiste qui participent à l’élaboration des projets de restauration et de mise en valeur de grands monuments comme le Domaine de Chantilly, propriété de l’Institut de France, la Villa Médicis, siège de l’Académie de France à Rome, la Bourse de Commerce et l’Opéra Comique à Paris. Soucieux de transmettre son engagement sur les nouveaux patrimoines, il intervient également dans les universités et colloques en France et à l’étranger. Il effectue des missions à l’étranger comme à la Nouvelle-Orléans après l’Ouragan Katrina en 2005, pour le Ministère de la Culture et de la Communication
Il y a 5 ans et 207 jours

Devenez exposant de Mans’Art les 25 & 26 avril 2020 autour de la thématique « Couleurs »

La 9e édition de cet événement culturel organisé au Mans met en valeur le patrimoine, les artisans d’art et leur savoir-faire dans le cadre exceptionnel de la Cité Plantagenêt et de la cathédrale Saint-Julien, qui servent d’écrin aux nombreuses animations. Vous êtes acteur du patrimoine ? Association, professionnel de la restauration du patrimoine, libraire en ouvrages anciens ou établissement de formation, n’hésitez pas à vous inscrire pour la prochaine édition Mans’Art avant le 12 janvier 2020 ! Une programmation culturelle riche avec conférences, expositions, spectacles, concerts, stages d’initiation, visites-guidées, ateliers… www.lesjourneesmansart.com   Accès libre et gratuit à la manifestation sauf pour les stages Contacts exposants : Jessie Couallier et Maryse Bobineau Tél : 02 43 47 40 30 exposant@lesjourneesmansart.com
Il y a 5 ans et 208 jours

La « Muraille de Chine » va être détruite

Construite sur les hauteurs du quartier Saint-Jacques à Clermont-Ferrand, l’emblématique « Muraille de Chine » se repère à plusieurs kilomètres. La vétusté des logements, mal isolés et ne répondant plus aux normes, a eu raison de cette cité HLM inscrite au Nouveau Plan National de Rénovation Urbaine (NPNRU). Dans ce cadre, Logidôme, bailleur social public, a opté pour la déconstruction. Une démolition de 2 bâtiments comprenant 522 logements sociaux répartis sur 11 étages pour une surface de 30 000 m2 pour l’un et sur 17 étages pour une surface de 18 000 m2 pour l’autre. Les habitants sont relogés au fil des mois alors que le projet de déconstruction débutera au printemps 2020, et se réalisera en site partiellement occupé et abords habités. Ingérop, acteur majeur de l’ingénierie et du conseil en mobilité durable, a été retenu comme mandataire du groupement de la maîtrise d’œuvre pour la dernière phase d’étude et de déconstruction. Ingérop, fortement impliqué dans le programme de démolition au travers de son management, assure également une mission de coordination des différents partenaires et de conseil auprès de Logidôme. Plusieurs contraintes étaient à prendre en compte : le terrain en pente, proche d’un viaduc sur lequel circulent tramway et véhicules, la proximité du CHU de Clermont-Ferrand ainsi que d’une crèche de quartier et le maintien en service de la chaufferie de secteur. La démolition, 100 % mécanique, sera, par conséquent, effectuée par écrêtage et par pelle à grand bras. Un mode opératoire proposé afin de minimiser les risques compte tenu de l’environnement. Les matières dangereuses auront été éliminées au préalable (amiante, plomb, radon…) et le chantier sera brumisé pour limiter les poussières.
Il y a 5 ans et 213 jours

Interview de Cyril Lemoing, Chef de marché façade chez Parexlanko

A l’occasion du Salon International du Patrimoine Culturel 2019, nous avons eu l’occasion de rencontrer Cyril Lemoing, Chef de marché façade chez Parexlanko. Présent à ce salon, il nous présente leur première solution biosourcée pour la rénovation du bâti ancien :
Il y a 5 ans et 214 jours

Sauvé des eaux ! Récit de chantier au fort de la Conchée

Œuvre majeure de Vauban, le fort de la Conchée protège Saint-Malo depuis le 17e siècle. Fortement touché par les bombardements de la Seconde Guerre mondiale, l’association La compagnie du fort de la Conchée œuvre depuis 1988 à la restauration de la forteresse militaire. La trentième année de travaux a permis la restitution de l’entrée sud. Au milieu des eaux Difficile d’accès, isolé, le fort est soumis aux fortes mers et aux vents violents. « C’est un milieu marin, très corrosif, les matériaux sont soumis à rude épreuve, y compris les téléphones portables », explique Olivier Weets, Architecte en chef des Monuments historiques. Les faîtages et mortiers de scellement sont particulièrement sollicités. En cas de forte mer, les vagues atteignent la couverture du bâtiment, c’est pourquoi il faut bien veiller à la protection du chantier, protéger les arases par exemple pour éviter toute pénétration d’eau. Cette situation nécessite une logistique de chantier assez lourde. Les matériaux ainsi que l’eau sont acheminés par héliportage. « Tout est arrivé en une journée, raconte Benoît Rochard, cogérant de l’entreprise de couverture éponyme, les éléments de charpente ainsi que les ardoises spécialement conditionnées par petites palettes, l’hélicoptère ne pouvant porter que 600 kg à la fois. » Plus de vingt trajets ont donc été entrepris ce jour-là. Un chantier Monuments historiques Classé au titre des Monuments histo­riques depuis 1984, le fort est en partie restitué à partir de plans anciens du 18e siècle. Le logis a fait l’objet l’été dernier de travaux de maçonnerie, de sculpture, de charpente et de couverture. « Nous avons posé 80 m2 pour composer la nouvelle couverture du logis », déclare Benoît Rochard. « La qualité de l’ardoise doit être excellente, cette exigence est liée aux Monuments historiques, ajoute Olivier Weets, l’ardoise très épaisse, de 9 mm environ, est clouée sur volige avec des clous carrés et crantés. » Sur les versants de la toiture, des lucarnes ont été créées. La partie en abside, arrondie, est la plus technique à réaliser : couverture régulière, brouillée et taillée de biais, la précision est de rigueur pour allier esthétisme et efficacité de l’étanchéité. « C’est un chantier atypique et emblé­matique pour nous, Malouins, confie Benoît Rochard, c’est une grande fierté d’être intervenu sur le fort. » En cas de forte mer, les vagues atteignent la couverture du bâtiment. L’ardoise très épaisse, de 9 mm environ, est clouée sur volige avec des clous carrés et crantés.  ©Patrice Benoist  Des lucarnes ont été créées sur les versants de la toiture. ©Patrice Benoist  Des conditions de travail singulières Les deux couvreurs sont intervenus en juillet et en septembre : déposés par navette le lundi matin, ils travaillaient et vivaient au fort jusqu’au jeudi soir. Bernadette Benoist, membre de La compagnie du fort de la Conchée, commente : « Les ouvriers dorment dans les logis, sous tente, pour se protéger de l’humidité et de la poussière. Exerçant depuis trente ans maintenant, les entreprises sont désormais aguerries quant aux conditions de vie sur le fort. C’est un plaisir de travailler avec des professionnels passionnés par leurs métiers et qui savent s’adapter à ces contraintes si particulières. » Partie en abside, arrondie : couverture régulière, brouillée et taillée de biais. ©Patrice Benoist  Entreprise de couverture : A. Rochard & Fils rochard-couverture.com Ardoises : Cupa Pizarras cupapizarras.com/fr
Il y a 5 ans et 215 jours

Un rapport souligne les améliorations à apporter au dispositif « Pinel »

Une mission IGF-CGEDD a été chargée d’évaluer le dispositif d’aide fiscale dit « Pinel » au regard de son impact sur l’offre de logement, de ses effets sur les prix, de sa rentabilité pour les différents acteurs et de son impact sur la ville. Dans son rapport, elle relève les effets négatifs du dispositif. La concurrence sur l’acquisition des fonciers pousse les promoteurs à concevoir les logements pour attirer les investisseurs, conduisant à une certaine standardisation des logements et parfois une faible qualité d’usage. L’attrait de la réduction fiscale semble masquer dans la moitié des cas, un rendement net global négatif au bout de 9 ans hors effet de la hausse du prix de l’immobilier. Ce rendement s’explique notamment par une décote de 30 % des prix de l’ancien par rapport au neuf. Pour l’État, outre les difficultés de pilotage, le dispositif n’atteint que faiblement son objectif de réduction des loyers. Seuls 9,3 % du montant accordé par l’État au titre de la réduction d’impôt se traduisent par des baisses de loyer. Pour les collectivités, l’automaticité de la réduction fiscale ignore les priorités des politiques locales de l’habitat, notamment en termes de localisation fine, de nombre et de types de logements. Les collectivités rencontrées ont également signalé l’impact en matière de dégradation de copropriétés voire de quartiers. Pourtant, le dispositif a l’avantage majeur de jouer un rôle d’accélérateur, voire de déclencheur, des projets de logements collectifs en France, puisque la moitié des VEFA sont réalisées en le mobilisant. De l’avis des acteurs rencontrés, la réduction d’impôt Pinel constitue la motivation principale de 80 % des investisseurs. Ce dispositif a donc favorisé un développement important de l’offre locative privée. La mission ne préconise pas de supprimer toute aide aux particuliers investisseurs. En raison de l’importance des dispositifs d’aide à l’investissement locatif depuis plus de 30 ans dans les programmes immobiliers, une suppression du dispositif entraînerait des perturbations dans la capacité de construction d’une ampleur et d’une durée difficile à anticiper. Elle recommande un dispositif qui incite à la construction de logements répondant davantage aux besoins des habitants, coordonné avec les politiques locales d’habitat et d’aménagement. Il est également nécessaire de renforcer la connaissance et le pilotage du dispositif par l’État. Pour répondre à ces objectifs, il conviendrait de maîtriser le volume d’investissement locatif aidé, de pouvoir cibler les programmes éligibles de manière plus fine tout en conservant l’attrait de la réduction d’impôt pour le particulier investisseur.
Il y a 5 ans et 215 jours

Paris Expo Porte de Versailles inaugure son nouveau pavillon 6

Le projet de modernisation de Paris Expo Porte de Versailles a été lancé en 2015 par Viparis, il s’achèvera en 2024. Le nouveau Pavillon 6 et les hôtels Mama Shelter et Novotel viennent d’être inaugurés. Le Pavillon 6 est le centre d’un nouveau quartier à l’extrémité Est du parc, autrefois façade de services. Ce hall d’exposition, les hôtels, les espaces événementiels, les restaurants, les bars, la ferme urbaine, les carrés de culture partagés, les jardins et les allées forment ensemble un nouveau pôle urbain parisien. Ce quartier s’organise autour de deux places étagées : une place urbaine, ouverte sur l’avenue de la Porte de la Plaine et signalée par une sculpture monumentale d’Arne Quinze ; et une autre en contrebas, signalée par l’auvent imaginé par Jean Nouvel, avec ses « journaux lumineux » qui ouvrent la voie à de nombreuses possibilités d’animation. À l’approche des manifestations, la façade se déplira peu à peu, laissant apparaître des rais de lumière colorés. Pour la conception du pavillon, le cabinet d’architecte Valode & Pistre a imaginé un grand volume aux formes arrondies. La façade, blanche et cannelée verticalement, dont la perception varie selon les éclairages de la journée, est volontairement sobre, en contrepoint de l’architecture très expressive du Pavillon 4. L’intérieur se caractérise par ses grandes portées, la possibilité infinie d’accrochages à une maille d’élingage très dense et le contrôle total de la température en chaud et froid, quel que soit le taux d’occupation et la météo. Le Pavillon 6 propose 15 000 m2 d’espaces (divisibles en deux sous-espaces) avec 9 m de hauteur sous plafond, dont 5 400 m2 sans poteau, auxquels il faut ajouter 250 m2 de salles de réunion. Sur le toit, la plus grande ferme urbaine en toiture d’Europe, va être inaugurée au printemps 2020, ainsi qu’un restaurant, un bar, et une salle événementielle. Visuel : © Viparis
Il y a 5 ans et 215 jours

Une nouvelle chaire d’enseignement et de recherche associe VINCI Construction et l’ESITC Caen

VINCI Construction et l’école d’ingénieur ESITC Caen signent une nouvelle chaire d’enseignement et de recherche : « Méthodes, Production et Excellence Opérationnelle de la Construction ». La convention signée par Hervé Meller, Directeur des Ressources Humaines de VINCI Construction, et Philippe Gruat, Président de l’ESITC Caen, marque une nouvelle étape dans le partenariat de longue date qui lie l’école et le premier groupe français, acteur mondial de la construction. La chaire a pour objectif de faire bénéficier les futurs ingénieurs en génie civil de l’expertise mondialement reconnue de VINCI Construction. La transmission des savoirs en matière d’« excellence opérationnelle » des équipes de VINCI Construction vers les élèves ingénieurs de l’ESITC Caen, devient une partie intégrante de la formation. En combinant expertise opérationnelle, innovation technologique et maîtrise des nouveaux matériaux, les futurs ingénieurs devraient contribuer à une construction de bâtiments et d’ouvrages plus sûrs, apportant plus de confort aux usagers, et plus respectueuse de l’environnement.
Il y a 5 ans et 217 jours

Système d’aujourd’hui pour aspect d’époque

À Courbevoie (92), les façades en briques et métal d’un bâtiment typique de l’architecture industrielle du début du 20e siècle ont fait peau neuve dans le cadre du projet de quartier Village Delage. C’est une façade ventilée avec bardage en briquettes de terre cuite (StoVentec SCM de Sto) qui, à la fois, assure l’isolation thermique du bâtiment et restitue son aspect. Sur leplan technique, il n’a pas été possible, en raison d’une certaine fragilité des murs d’origine en briques, de solidariser l’ossature du bardage et le support par des pattes-équerres. Décision a donc été prise de concevoir une structure secondaire, elle-même fixée aux montants verticaux en fer du bâtiment. Pour ce faire, des poutres epsilon en acier de 9 m ont été boulonnées sur des consoles en T préalablement soudées sur les montants verticaux de la façade et toute sa hauteur. Des tubes carrés de 50 x 50 mm ont été vissés horizontalement sur ces profilés, tous les mètres et sur toute la surface. Cette structure primaire couvre l’isolant en laine de verre de 140 mm d’épaisseur fixé sur le mur et accueille les rails horizontaux aluminium du système de façade ventilée. Ces rails supportent des plaques à revêtir en billes de verre expansé recyclé fixées directement à la sous-construction en aluminium. Un primaire (StoPrim) est appliqué sur les plaques de bardage (6 x 6 m), puis couvert d’un enduit de marouflage (StoLevell Uni) et d’un treillis d’armature en fibre de verre. Les briquettes de terre cuite sont ensuite collées une à une à l’aide du mortier de collage (StoColl KM FR) puis jointoyées. Fixées sur les poutres epsilon par leur propre ossature, des bandes d’aluminium laquées grises, ornées de cabochons en aluminium imitant les rivets de type Eiffel, reconstituent l’aspect de la structure métallique d’origine. Le recoupement feu est assuré par expansion et compartimentage de la lame d’air par une bande collée et fixée mécaniquement sur un bandeau de laine de roche haute densité. Architectes : Natacha Buffa et Vincent Cabre Entreprise : Béchet, Hugues Béchet
Il y a 5 ans et 217 jours

Appel à candidatures, jusqu’au 20 décembre 2019 – La Canopée, concours national d’innovation

3 prix, 5 villes, 5 minutes pour convaincre. La Canopée, est la première édition d’un concours national d’innovation pour la filière forêt-bois, Que vous soyez entrepreneur, étudiant, enseignant, chercheur…Ce concours est fait pour vous ! Déposez un dossier de candidature avant le 20 décembre pour présenter votre projet d’innovation en lien avec la forêt et le bois. Cette première phase de sélection retiendra les projets pour trois catégories : le Grand Prix Idéation, le Grand Prix Startup, et le Grand Prix Entreprise. Les candidats choisis présenteront leur innovation sous forme de pitch à Nantes, Nancy, Lyon, ou Bordeaux, lors des demi-finales régionales au printemps prochain, pour espérer accéder à la finale parisienne au Grand Palais au pour le Forum International Bois Construction et remporter l’un des grands prix. A la clé : de la visibilité, un accompagnement et une enveloppe de dotations de 25 000 euros. La Canopée est organisée par Forinvest Business Angels et l’Ecole Supérieure du Bois, avec le soutien financier de France Bois Forêt, du Codifab, de Fransylva, du Crédit Agricole, d’Archimbaud, Piveteau, SIAT, Monnet-Seve, et le pôle national de compétitivité Xylofutur. Il s’agit du premier Concours national d’innovation récompensant les solutions innovantes dans la filière forêt-bois. En savoir plus : www.concourslacanopee.fr
Il y a 5 ans et 217 jours

Valoriser les métiers et les formations du patrimoine en Île-de-France avec des concours vidéos

Lancement des concours  « Je filme le métier qui me plaît » et « Je filme ma formation » L’objectif de ces deux concours est d’aider les jeunes à appréhender les métiers et les formations autour de la restauration du patrimoine. Accompagnés par des équipes pédagogiques, les jeunes doivent produire une vidéo de 3 minutes qui montre leur découverte d’un métier ou d’une formation. Plus de 1000 films réalisés par les jeunes 2500 établissements sont attendus cette année. Chaque année, une cérémonie de remise des prix nationale est organisée au Grand Rex Paris afin de récompenser leur implacation. La prochaine aura lieu le 26 mai. La Région Île-de-France s’est associée aux deux concours en créant une catégorie spécifique « restauration du patrimoine ». Cette catégorie a pour objectif de faire connaître les métiers et les formations de la construction et de la restauration du patrimoine. « Je filme le métier qui me plaît »  En Île-de-France, les artistes de nos villes et de nos campagnes sont les tailleurs de pierre, couvreurs, charpentiers, maçons, vitraillistes. Allez à leur rencontre ! Découvrez leur métier ! Donnez nous envie, faites nous rêver, faites nous voyager dans le passé et le futur. Des passionnés sont à votre écoute et sauront vous faire partager leur passion ! Émerveillez nous… Faites-nous, faites-vous plaisir. « Je filme ma formation » De nombreuses formations en Île-de-France préparent à ces métiers – des Compagnons du Devoir et du Tour de France aux lycées professionnels des métiers du bâtiment, de l’artisanat et du patrimoine ou encore des centres d’apprentissage spécialisés en ferronnerie, menuiserie … Allez à leur rencontre ! Découvrez leur formation ! ou encore mieux faites nous découvrir votre formation dans ce secteur !  Plus d’information sur le site internet
Il y a 5 ans et 219 jours

Maison en containers auto-construite

Un auto-constructeur a utilisé des containers pour construire sa maison en Bretagne. Mettant à profit ses compétences en chaudronnerie/soudure pour créer une maison sur-mesure, après un 1 an et demi de découpes et de soudures, la maison correspond totalement aux attentes de Killian. Elle est composée de 4 containers sur la partie basse : 3 collés les uns contre les autres où se situent le salon, la cuisine, 2 chambres, 1 salle de bain et 1 entrée. Et 1 autre container, décalé dans la profondeur, pour le garage. L’étage est composé de 2 containers. Chaque container mesure 12m de long sur 2,4m de large offrant un vaste espace de vie de 140m² en forme de cube, rendant l’ensemble original et contemporain. Au-delà de son aspect fonctionnel, la maison dispose d’une façade performante et esthétique par l’utilisation des panneaux Uniso. Avec une exposition plein sud, le traitement thermique des façades, en plus du rendu visuel, était une priorité pour le propriétaire. Il a sélectionné l’effet joint debout pour une maison moderne et atypique. Killian a posé lui-même les panneaux en une semaine et demi pour les façades et en deux semaines pour l’habillage des fenêtres. Le système de fixation simple a facilité la mise en œuvre. Le calepinage, rigoureusement effectué par le commercial qui a accompagné le projet, a permis d’optimiser la pose et la quantité de panneaux nécessaire, pour un chantier rapide et économique.
Il y a 5 ans et 219 jours

Chai en briques

La brique à isolation intégrée Climamur 42 a été sélectionnée dans le cadre de la construction du chai Saint-Eloi, dans la commune des Forges, dans les Vosges. Destiné à accueillir jusqu’à 8 000 fûts d’alcools à hauts degrés, soit l’équivalent de 1 600 000 litres, le bâtiment se devait de répondre à des critères spécifiques, en matière de température et de sécurité, afin de garantir le bon déroulé du processus de vieillissement des brandy, whiskies, eaux de vie, et autres rhums. Le chai Saint-Eloi est le tout premier établissement spécialisé dans la fabrication de spiritueux à bénéficier de murs en briques, rendant le choix de ce matériau absolument inédit. Le choix de la brique Climamur se justifie par sa capacité à isoler le bâtiment, tout en le laissant respirer. Capable d’emmagasiner la chaleur et la fraîcheur, puis de la restituer de manière diffuse, le matériau amortit les variations de température extérieure, pour faire office de régulateur thermique naturel, véritable impératif pour le bon déroulé de la fabrication de l’alcool : « grâce à la brique Climamur©, la température au sein du chai est toujours modérée, entre 14°C et 16°C, et ce, peu importe la météo », indique Dominique Honoré, propriétaire du chai Saint-Eloi. Architecte : Marsal Rousselot et Associés Entreprise de pose : Peduzzi Bâtiment SAS
Il y a 5 ans et 219 jours

Brise-soleil en bois composite

Fiberdeck a conçu un élément d’architecture contemporain et décoratif qui réduit l’inconfort lié au rayonnement direct du soleil : le brise-soleil en bois composite coextrudé WEO. Il se compose de 2 éléments distincts : un profilé en bois composite coextrudé alvéolaire de section rectangulaire et un renfort en aluminium de 2 mm d’épaisseur. Ce renfort permet de reprendre les efforts de flexion entre 2 supports et de limiter la flèche de déformation du profilé à moins de 1,5 mm. Solide, imputrescible et 100 % résistant aux termites, sans reprise d’humidité, ce brise-soleil bénéficie d’une très bonne stabilité dimensionnelle avec 1,15 mm/ml pour une amplitude thermique de 30°C. Chaque profil est recouvert d’un film protecteur en polyéthylène, insensible aux UV, qui garantit l’éclat du matériau pendant plus de 20 ans. Il ne nécessite pas d’entretien particulier. Faciles à mettre en œuvre, les profils alvéolaires peuvent être fixés de plusieurs manières et selon différentes orientations.
Il y a 5 ans et 219 jours

Cahiers d’experts façades et menuiseries

Dispano a édité ses nouveaux cahiers d’experts consacrés aux façades et à la menuiserie avec, cette année encore, de nombreuses nouveautés pour répondre aux tendances actuelles. En façade, le bois naturel est toujours plébiscité et le bardage devient tridimensionnel. Dispano a veillé à apporter tous les conseils indispensables à travers des schémas et des informations « + produit » qui mettent en avant les avantages de chacune des solutions. Du côté de la menuiserie, l’esthétisme prime avec des portes coulissantes et des huisseries invisibles. dans ses deux cahiers, dispano a sélectionné des produits de qualité et adaptés à toutes les problématiques.
Il y a 5 ans et 220 jours

Le cloître des Chartreux de l’Université Toulouse Capitole réhabilité

En plein coeur du centre-ville, sur le campus de l’Université Toulouse Capitole, le cloître des Chartreux a retrouvé sa stature. Érigé lors des guerres de religion au XVIIe siècle, le cloître toulousain est redevenu un lieu de vie universitaire, où des milliers d’étudiants révisent leurs examens à l’ombre des arches. Propriétaire de ce cloître inscrit au titres des monuments historiques, l’Université Toulouse Capitole a conduit sa réhabilitation dans le cadre de son vaste projet d’amélioration de la qualité de vie sur son campus, avec un soutien financier de la French Heritage Society. Les travaux se sont déroulés travée par travée en décapant le sol pour permettre les travaux de maçonneries en élévation, de charpente et couverture en toiture et de déplacement d’échafaudage demi travée par demi travée. Ainsi, le chantier a démarré par la travée Nord, suivi par la travée Est pour finir par la travée Sud. Ces travaux ont été fait simultanément sur la face jardin du cloître et sur la face galerie qui séparait les arcatures des cellules des moines (Chartreuses). Les façades ont été traitées avec un enduit couleur sable et un badigeon couleur brique pour rappeler les anciennes arcatures en voute d’arête. Les études historiques et architecturales sur des édifices en briques des XVIe-XVIIe et XVIIIe siècles ont montré -par des analyses stratigraphiques que la brique n’est pas destinée à rester apparente mais recouverte d’un lait de chaux, d’un badigeon ou d’un enduit qui protège la surface tout en l’unifiant. Les chemins de traverse aménagés. Les sols sont traités au droit des maçonneries par un revêtement en pierres naturelles de provenance locale (Lacaune dans le Tarn). Le calepinage en sol présente un débord de part et d’autre des arcades afin d’écarter les eaux de ruissellement et de surface des pieds des maçonneries, évitant ainsi tout affouillement et dégradation des parties maçonnées enterrées. Les arcades du Cloître sont soulignées par des encastrés au sol sous chacune 46 arcatures en position désaxée émettant une lumière blanc chaud en contre-plongée. L’implantation de spots au sol à la naissance des arcatures met en valeur l’intérieur des tableaux, la naissance et l’arrondi de l’arcature, arc surbaissé ou anse de panier. Les allées de circulation piétonnes périphériques sont sécurisées par une lumière régulée issue de sources leds implantées sur des mâts de faibles hauteurs (4m) et à l’esthétique sobre et contemporaine. Architectes : Philippe Witt et Hervé Rodriguez Photo : Université Toulouse Capitole
Il y a 5 ans et 220 jours

Un segment complet de la charpente de Notre-Dame de Paris exposé

Les Compagnons du Devoir, en collaboration avec l’Ecole de Chaillot de la Cité de l’Architecture et du Patrimoine, en partenariat avec France Bois Forêt, Cadwork et Klaas, vont exposer au Forum International Bois Construction Grand Palais 2020 un segment complet de la charpente de Notre-Dame à l’échelle 3/4, comprenant deux fermes et huit chevrons. D’ores et déjà, une première version de cet ouvrage spectaculaire est en exergue sur le stand de France Bois Forêt au Salon des Maires sur un stand de 105 m2, entièrement composé de douglas récolté et transformé en France. Il accueille les visiteurs pour une immersion au cœur du bois. Les visiteurs y découvrent deux fermes de la charpente de Notre-Dame de Paris à échelle 0,75, le tout en chêne français. Ces reproductions mesurent 10,50 m de long sur 7,50 m de haut. Une maquette en noyer de la flèche de Notre-Dame de Paris à échelle 1/10ème sera également exposée.
Il y a 5 ans et 221 jours

Rénovation énergétique : Julien Denormandie et Emmanuelle Wargon font le point sur la politique engagée par le gouvernement

Ces dernières semaines, dans le cadre d’un Tour de France de la rénovation énergétique, Julien Denormandie et Emmanuelle Wargon sont allés à la rencontre des collectivités locales, des conseillers FAIRE et des professionnels, pour faire le point sur le déploiement de la politique de rénovation énergétique des bâtiments. Un meilleur accompagnement des ménages à la rénovation énergétique de leur logement En 1er lieu, chaque Français doit pouvoir bénéficier, où qu’il soit, d’informations et de conseils sur la rénovation de son logement. C’est le sens du programme d’Accompagnement à la Rénovation Énergétique (SARE) doté de 200 millions d’euros, via les certificats d’économies d’énergie (CEE), lancé par le Gouvernement en septembre et porté par l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME). Le déploiement de ce programme sur tout le territoire repose sur une implication forte des collectivités territoriales volontaires, à l’échelle de chacune des régions. De premières conventions seront signées avec des collectivités locales d’ici la fin de l’année. Des dispositifs d’aides modernisés et renforcés Parallèlement, les aides à la rénovation énergétique sont repensées pour améliorer leur articulation et simplifier l’accès aux aides. Le CITE sera transformé en une prime, « Ma Prime Rénov’ », dès le 1er janvier 2020 pour les ménages modestes, qui sera fusionnée avec l’aide ANAH Agilité et versée dès l’envoi des factures des travaux, au lieu du décalage d’un an aujourd’hui avec le CITE. Le programme Habiter Mieux Sérénité de l’Anah sera parallèlement renforcé et revalorisé dès l’année 2020 pour financer des rénovations d’ensemble en accompagnant plusieurs milliers de ménages modestes chaque année. Cette année, l’Anah a déjà aidé à la rénovation de 84 000 logements. Par ailleurs, le succès des opérations « Coup de pouce » a permis de financer le remplacement de près de 200 000 chauffages (dont plus de 72 000 chaudières au fioul) et de 265 000 isolations de combles depuis le 1er janvier 2019. Plus d’une vingtaine de programmes de Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) viennent actuellement soutenir la formation, l’information, l’innovation et la massification dans le secteur de la rénovation. Le Gouvernement soutient plus largement les rénovations d’ensemble des centres-villes dans les 222 villes Action Cœur de Ville et dans les opérations de revitalisation des territoires avec un objectif de 500 opérations en 2020. Sur ces territoires, le dispositif d’investissement locatif dans l’ancien, dit « Denormandie ancien », permet de remettre sur le marché des logements rénovés dans leur ensemble. Ces dispositifs seront complétés dans le courant de l’année 2020 par des dispositifs adaptés à la rénovation des copropriétés et aux propriétaires bailleurs. Les ministres ont rappelé les annonces relatives à la lutte contre les pratiques frauduleuses et au renforcement de la confiance des ménages, condition essentielle de l’accélération des rénovations. Rénovation des bâtiments tertiaires : obligation progressive pour tous les bâtiments et attention renforcée pour les bâtiments publics Avec plus de 950 millions de m², la rénovation à grande échelle du tertiaire public et privé est essentielle à l’atteinte d’un parc basse consommation en 2050. Conformément à la loi ELAN, les bâtiments de plus de 1000 m² devront diminuer leur consommation de 40 % d’ici 2030, 50 % en 2040 et 60 % en 2050. Le décret d’application, dit décret “tertiaire”, a été publié cet été après une large concertation. Sur ce segment du parc, la priorité est aussi donnée à l’exemplarité du parc public de l’État et des collectivités locales avec une volonté réaffirmée d’accompagner les collectivités territoriales dans la rénovation des bâtiments scolaires. Un pilotage et une conduite de l’action resserrée Enfin, pour assurer un pilotage plus efficace de la politique publique, une équipe projet dédiée a été mise en place au sein des deux ministères et un observatoire de la rénovation énergétique des bâtiments se met en place pour mieux suivre le rythme et la qualité des rénovations.
Il y a 5 ans et 221 jours

5,7 millions de tonnes de CO2 évitées en 2018 grâce aux réseaux de chaleur et de froid

Les résultats de l’étude 2019 du Syndicat national du chauffage urbain et de la climatisation urbaine (SNCU) et l’association AMORCE, confirment le rôle des réseaux de chaleur comme vecteur de la décarbonation. Ils contribuent activement aux objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre, en mobilisant des sources d’énergies renouvelables et de récupération locales. En dix ans, les énergies renouvelables et de récupération (EnR&R) sont passées de 27% à 57,1% des énergies utilisées par les réseaux de chaleur. Pour la cinquième année consécutive, les EnR&R comptent pour plus de la moitié dans le bouquet énergétique : en premier lieu la chaleur de récupération provenant des UVE (unités de valorisation énergétique des déchets) à hauteur de 25%, puis la biomasse 22% (malgré un ralentissement du développement) et la géothermie 5%. Le verdissement des livraisons a permis de réduire fortement l’empreinte carbone : aujourd’hui, le contenu moyen en CO2 s’élève à 0,116 kg /kWh, soit 36% de moins que l’électricité, 50% de moins que le gaz naturel et 61% de moins que le fioul. Il a donc été réduit de 45% en 12 ans. Cette réduction significative est principalement liée à l’introduction progressive de la biomasse dans le mix énergétique. En 2018, les 781 réseaux de chaleur français enquêtés assuraient donc le confort thermique de plus en plus d’abonnés puisque 40 116 bâtiments sont raccordés (38 212 en 2017), soit 2,42 millions d’équivalents logements. En 2018, les réseaux de chaleur restent compétitifs par rapport aux autres modes de chauffage avec un coût global annuel pour un logement moyen, c’est-à-dire fourniture d’énergie, maintenance et amortissements compris, inférieur à celui du gaz collectif et de l’électricité. Pourtant, malgré une trajectoire positive du taux de verdissement des réseaux, l’augmentation de 0,4 TWh de la chaleur verte livrée en 2018 n’est pas suffisante pour atteindre les objectifs fixés. Pour le SNCU, il est urgent d’accélérer le rythme actuel de développement des réseaux et de poursuivre leur verdissement afin d’atteindre l’objectif de 2023, soit une multiplication par 5 du rythme de développement de 2018 (+2 TWh/an pour atteindre les objectifs de la PPE pour 2023 et de la LTECV pour 2030).
Il y a 5 ans et 221 jours

Voici Autodesk Construction Cloud

A l’occasion du sommet Connect & Construct, Autodesk dévoile Autodesk Construction Cloud, qui associe technologies avancées, réseau unique d’acteurs du secteur du bâtiment et informations prédictives pour mettre en relation l’ensemble des intervenants et des données de l’intégralité du cycle de vie de la construction, de sa conception à son exploitation. Autodesk Construction Cloud inclut plus de 50 améliorations de produits, ainsi que des intégrations plus complètes pour permettre aux données de circuler entre les différentes phases d’un projet. Le système inclut également de nouvelles fonctionnalités performantes basées sur l’intelligence artificielle qui aident les entreprises à identifier et à neutraliser les risques de conception avant que des problèmes ne surviennent, pour une réduction des retards, des modifications a posteriori et des coûts. Ces nouveautés incluent notamment l’élargissement du support dans la solution Assemble pour la toute dernière version des outils de conception Autodesk, AutoCAD, Revit et Navisworks ; la possibilité pour les sous-traitants de chiffrer immédiatement des vues 2D dans BuildingConnected BidBoard Pro ; une collaboration accrue, les équipes de terrain étant aujourd’hui à même d’enregistrer des vidéos directement dans l’application PlanGrid. Grâce à une gestion améliorée des photos, ces dernières ont désormais les moyens de fournir davantage de commentaires depuis le chantier ou l’amélioration de tous les modules BIM 360, avec des intégrations avancées de fonctionnalités, à l’instar de l’intégration entre les fonctions de révision des plans de Construction IQ et de BIM 360, intitulée Design Risk Management, qui aide à réduire le nombre de RFI et de modification de commandes liées à des problématiques de conception.
Il y a 5 ans et 221 jours

L’Afpa va développer des tiers-lieux de l’insertion professionnelle

L’Afpa engage une phase de transformation qui repositionne son offre de services, l’usage de ses infrastructures et son implantation. L’agence s’ouvre radicalement sur son environnement à la recherche de coopérations nouvelles pour mieux accompagner les personnes les plus éloignées de l’emploi et soutenir les projets de développement des entreprises et des territoires. « Le Village de l’Afpa » est un programme stratégique qui vise à contribuer à une meilleure efficacité de l’écosystème de l’insertion sociale et professionnelle au profit de la cohésion sociale et territoriale et du développement durable. Il repose sur deux principes fondateurs : transformer les centres en tiers-lieux de l’insertion professionnelle et de l’émancipation citoyenne pour une offre plus intégrée, par l’accueil en résidence de partenaires et d’innovateurs et décloisonner pour innover ensemble : travailler en réseau en valorisant les offres publiques et privées existantes sur le territoire et faciliter le recours aux dispositifs de droit commun. Ce programme s’appuie sur l’accueil de structures opérant sur la sécurisation des parcours de vie ; l’émancipation citoyenne et les compétences douces ; l’incubation et l’accompagnement d’entreprises (notamment ESS et IAE) ; le développement des tiers-lieux et l’aménagement du territoire. Durant trois ans, la Banque des Territoires s’engage à mobiliser des capacités d’ingénierie et de financement pour accompagner progressivement la transformation des centres de formation en tiers-lieux. Une ingénierie pour étudier la faisabilité des projets de tiers-lieux (études de planification, préfiguration et assistance à la maîtrise d’ouvrage), et le montage juridique et financier de projets d’investissements identifiés, en co-financement avec les collectivités et/ les partenaires locaux. Un investissement en fonds propres ou quasi fonds propres dans des structures d’exploitation de ces tiers-lieux, viables économiquement pour permettre un effet levier sur les investisseurs privés. Une mise en relation entre les centres de l’Afpa et les acteurs de l’économie sociale et solidaire intéressés pour devenir de futurs exploitants, clients ou partenaires de tiers-lieux, ainsi que les directions régionales de la Banque des Territoires afin de favoriser l’émergence de ces projets.
Il y a 5 ans et 221 jours

Une appli pour valoriser les surplus de matériaux neufs non utilisés

Chaque année en France, plus d’1,5 milliards d’euros de matériaux neufs, non utilisés sur les chantiers sont jetés par les acteurs du secteur du Bâtiment/BTP, soit 400 000 entrepreneurs. À l’occasion de ses 1 an, StockPro, outil de gestion pour optimiser le gaspillage des matériaux, a lancé sa marketplace BtoB. Le principe est simple : une fois l’appli StockPro téléchargée, l’artisan en possession de produits neufs non utilisés durant son chantier peut les répertorier grâce au code barre (ou via ses caractéristiques s’il n’est pas dans la base de données). Ces produits sont alors à disposition de tous les utilisateurs. Aujourd’hui, avec plus de 120 000 références produits, StockPro propose une nouvelle fonction qui permet de valoriser et rentabiliser les produits neufs stockés. En effet, lorsqu’une référence est entrée dans l’application et mise en vente, elle est géolocalisée et visible par tous les clients StockPro qui pourront l’acheter via l’application.
Il y a 5 ans et 224 jours

Retour sur le Salon International du Patrimoine Culturel 2019

Jérôme Buvat, Responsable du Salon International du Patrimoine Culturel, revient pour nous sur cette 25ème édition qui s’est tenue du 24 au 27 octobre 2019 au Carrousel du Louvre, à Paris.
Il y a 5 ans et 226 jours

Interview de Thomas Lubera, Technicien chez Bostitch – BATIMAT 2019

Dans le cadre du salon Batimat 2019 et sur le plateau Bati-journal TV, nous avons rencontré Thomas Lubera, Technicien chez Bostitch qui nous présente leur gamme de clouage. Intervenant : Thomas Lubera, Technicien – Bostitch
Il y a 5 ans et 231 jours

BATIMAT 2019 – Retour d’expérience : enveloppe pour bâtiment passif et bas carbone

Enveloppe performante en partenariat avec 5façades Esthétique et technique, l’enveloppe du bâtiment cristallise toutes les problématiques de la construction : architecture et design, confort d’usage (thermique, acoustique, apport et protection solaire…) et réglementation (feu, ventilation…). Nous verrons que les industriels, fortement représentés à Batimat, rivalisent pour offrir des produits et systèmes aptes à répondre à toutes ces attentes. Sujet : Retour d’expérience : enveloppe pour bâtiment passif et bas carbone Intervenante :  Julia Turpin, Architecte – Grand Huit
Il y a 5 ans et 231 jours

Interview de Jean-Philippe Bazot, Président de France Douglas – BATIMAT 2019

Actuellement sur Batimat 2019, sur le plateau Bati-Journal TV, nous allons parler bois, ressources et offres techniques avec du Douglas avec notre invité Jean-Philippe Bazot, Président de France Douglas. Intervenant : Jean-Philippe Bazot, Président de France Douglas