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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

(61931 résultats)
Il y a 2 ans et 297 jours

Un bâtiment public exemplaire à Mitry-Mory (77)

La loi de transition énergétique impose l’exemplarité énergétique et environnementale pour les nouvelles constructions sous maîtrise d’ouvrage de l’Etat. Exemple au bout de la ligne B du RER francilien.
Il y a 2 ans et 298 jours

Une nouvelle centrale mobile pour l’Aerolithys

L’Unité mobile génie civil est la dernière-née des centrales de production in situ du béton mousse Aerolithys. [©Béton Mousse Technologie] Matériau de remplissage léger, fluide et isolant, Aerolithys est aujourd’hui diffusé en exclusivité sur le marché français par la société Béton Mousse Technologie (BMT). Ce produit est en priorité utilisé en bâtiment pour la réalisation de ravoirage permettant la remise à niveau des sols. Les chapistes et autres carreleurs en sont les principaux applicateurs. L’autre emploi de l’Aerolithys est le remblaiement technique en génie civil. A savoir, en comblement de cavités ou de conduites, en remplissage de l’extrados des murs de soutènement, en couche d’assise en élargissement de chaussée, en rehaussement de quai… C’est pour ces dernières applications que BMT vient de développer une centrale mobile de malaxage d’une capacité de production in situ de près de 100 m3/h… « Ce véhicule a été conçu à 100 % en interne, explique Jacky Fronteau, président de BMT. Nous en avons aussi assuré le montage, à partir de sous-ensembles identifiés sur le marché. De fait, notre centrale mobile est un modèle unique. » Cinq fois plus léger qu’un ravoirage classique BMT l’a baptisé UMGC pour Unité mobile génie civil. Cette dernière complète une première centrale mobile sur porteur d’une capacité de 25 m3/h, davantage utilisée en bâtiment. En 2023, un autre véhicule d’une taille intermédiaire viendra sans doute compléter le dispositif. En attendant, l’UMGC constitue le fleuron de la flotte BMT. Outre son débit, il offre aussi la possibilité de pomper le béton mousse sur une longueur proche de 500 m, grâce à la présence de tuyaux flexibles intégrés. Ainsi, BMT sait livrer son béton mousse Aerolithys prêt à l’emploi, assurant en même temps une assistance technique au coulage. Pour mémoire, de par sa fluidité, ce béton garantit le remplissage de toutes les formes, ainsi qu’un enrobage parfait des gaines et canalisations, sans risque de les endommager. Il est cinq fois plus léger qu’un ravoirage classique, réduisant d’autant les charges sur la structure portante. 100 % recyclable et sans COV Coulage d’un béton mousse Aerolithys sur un chantier de bâtiment. [©Béton Mousse Technologie] En génie civil, Aerolithys permet d’améliorer le rendement des chantiers, en éliminant la multiplication des couches de terrassement nécessaires dans les procédés classiques. Le matériau offre une compacité homogène sur toute l’épaisseur du remblai et prévient, de fait, les risques de tassement différé. Le béton mousse Aerolithys est proposé dans une gamme de densité allant de 300 à 500 kg/m3, pour une résistance en compression de 1,2 à 2,5 MPa. Il constitue un bon isolant thermique, affichant une coefficient thermique ʎ de 0,08 à 0,11 W/(m.K). Son côté acoustique est tout aussi intéressant, avec un affaiblissement au bruit d’impact ΔLw de 12 dB à partir d’une épaisseur de 90 mm. Enfin, le béton mousse Aerolithys est 100 % recyclable, ne contient pas de COV et ne produit pas de déchets. Le procédé de fabrication permet aussi de réduire le nombre de camions sur la route. Car, avec une seule citerne à ciment, il est possible de produire sur place quelque 100 m3 de béton mousse. Soit un volume nécessitant environ 13 voyages de toupies entre la centrale et le chantier de mise en œuvre, s’agissant d’un béton classique.
Il y a 2 ans et 298 jours

Dans les Vosges, un collège métallique fissuré va fermer

La découverte de fissures fragilisant la structure métallique du collège Val-d’Ajol entraîne sa fermeture pure et simple, à quelques jours de la rentrée.
Il y a 2 ans et 298 jours

Au Danemark, Flugt, musée des réfugiés, signé BIG

A Oksbøl (Danemark), BIG et le nouveau musée ‘Flugt’ (1 600 m²) donnent une voix et un visage aux réfugiés du monde entier. L’ouvrage capture les défis universels, les émotions, l’esprit et les histoires partagées par les humains déplacés. Communiqué. ‘Flugt’ est le deuxième musée de BIG (Bjarke Ingel) pour Vardemuseerne : une institution locale dédiée […] L’article Au Danemark, Flugt, musée des réfugiés, signé BIG est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 298 jours

Lancement prochain de l'appel d'offres pour le second parc éolien offshore Centre-Manche

"Une procédure de mise en concurrence sera lancée en 2022 en vue de l'attribution du deuxième parc éolien en mer situé en zone 'Centre-Manche' d'une puissance pouvant aller jusqu'à environ 1,5 gigawatts", indique le JO qui publie cette décision en date du 9 août et signée par la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher.Dénommée "Centre-Manche 2", la zone concernée pour l'implantation de ce parc est d'une superficie de 270 km2, située en zone économique exclusive à quelques dizaines de km de la pointe nord-est du Cotentin.Le cahier des charges pour ce projet "prévoira notamment l'obligation pour le lauréat d'étudier les conditions de cohabitation avec la pêche au sein du parc éolien, pendant la phase d'exploitation, dans les limites permises par les exigences de la sécurité de la navigation maritime et de sécurité des biens et personnes", selon le JO.Les pêcheurs côtiers en Manche ont manifesté à plusieurs reprises ces dernières années leur opposition à ces centrales éoliennes en mer dont ils craignent en particulier les effets sur les poissons et crustacés et donc sur l'avenir économique de leurs entreprises."Le dialogue avec tous les acteurs intéressés par le projet, dont ceux de la pêche professionnelle, sera poursuivi dans les différentes instances existantes, en particulier au sein du Conseil maritime de façade Manche-Est-Mer du Nord, notamment au sujet des études environnementales et de la cohabitation des usages", selon la décision rapportée par le JO."Une instance de concertation et de suivi (...) sera installée lors de l'attribution du projet, associant notamment les élus, les associations, les professionnels et le grand public", spécifie le texte.Nettement plus proche des côtes, le premier projet éolien offshore Centre-Manche, situé à une dizaine de km au large de Courseulles-sur-Mer (Calvados), et dont la construction a débuté en février 2021, doit comprendre 64 éoliennes pour une puissance de 450 mégawatts. D'une superficie de 50 km2, il est censé entrer en service en 2024.En février dernier, Emmanuel Macron avait annoncé l'objectif de doter la France d'une cinquantaine de parcs éoliens en mer pour "viser 40 gigawatts en service en 2050".
Il y a 2 ans et 298 jours

Vendée : un « carrefour à la hollandaise » à Montaigu-Vendée

À Montaigu-Vendée, le giratoire de la Bretonnière bénéficie d’un nouvel aménagement « à la hollandaise ».
Il y a 2 ans et 298 jours

Les bénéfices de Geberit affectés par l'inflation et la hausse du franc suisse

Son bénéfice s'établit à 402 millions de francs suisses (soit environ 415 millions d'euros) contre 460 millions au premier semestre l'an dernier.Sur le premier semestre les ventes du groupe, qui fabrique des douches, toilettes et équipements de salles de bains, ont été plutôt bonnes, à 1,9 milliard de francs suisses, soit une progression de 5,5%.Mais l'inflation a fait grimper ses coûts: "les ajustements des prix de ventes ne peuvent se faire qu'avec un délai, ce qui signifie qu'il n'a pas été possible de compenser entièrement la hausse du prix des matières premières et de l'énergie sur la période", indique Geberit dans son communiqué.Pour le troisième trimestre, Geberit s'attend à une poursuite de la hausse de ses coûts avec l'inflation, ce qui devrait mener à de nouvelles hausses des prix.Par ailleurs, le groupe qui vend une grande partie de ses produits en Europe, en particulier en Allemagne, a été affecté par la hausse du franc suisse par rapport à l'euro, un impact négatif estimé à 106 millions de francs suisses.Geberit qui avait profité de l'engouement des consommateurs pour l'aménagement de la maison et la rénovation pendant la pandémie, voit cette tendance fléchir, notamment en France.La marge opérationnelle de Geberit a été grignotée, passant de près de 30% au premier semestre 2021 à 25% au premier semestre 2022.Pour le reste de l'année Geberit s'attend à une "croissance à un chiffre" des ventes et à une marge d'Ebitda (rentabilité opérationnelle sans prendre en compte les charges calculées) à 28%.Geberit avait suspendu en mars ses activités en Ukraine et en Russie après le déclenchement de la guerre: il employait quelque 590 personnes en Ukraine et 70 personnes en Russie.
Il y a 2 ans et 299 jours

Selfbéton, distributeur exclusif de Beton2Go en France

François Behr, Pdg de Selfbéton, devant un distributeur automatique de BPE de Beton2Go. [©Selfbéton] L’industriel allemand Massfeller vient de confier la distribution exclusive sur la France de ses centrales de BPE en libre-service Beton2Go au Mosellan Selfbéton. Cette décision fait suite au remarquable développement des chiffres de vente de Selfbéton depuis le début de la coopération entamée en 2020… En effet, à ce jour, quelque 54 unités de ce type sont en service sur le territoire national ! C’est en 2018 que le premier distributeur automatique de béton prêt à l’emploi (ou centrale en libre-service) Beton2Go a été installé en France. Massfeller avait lui-même pris en charge ce projet. Avant d’ouvrir une coopération avec, entre autres, Selfbéton. Son Pdg François Behr avait développé le concept Selfbéton à partir d’une des premières installations tests françaises au sein de son ancienne entreprise Silix (aujourd’hui cédée au groupe de négoce en matériaux Busca). L’avènement du béton en libre-service « Nous pensons que le marché français pourrait avoir les mêmes opportunités de développement que le marché allemand, explique Lukas Massfeller, Pdg de Beton2Go. Selfbéton est pour nous un partenaire fiable et engagé. Le professionnalisme de l’entreprise dans les opérations de commercialisation et la gestion des services nous ont convaincus. C’est pourquoi nous avons décidé de confier la distribution de nos installations en France à Selfbéton et sous le nom de Selfbéton. » En d’autres termes, la marque Beton2Go n’apparaîtra plus sur le territoire français…   Aujourd’hui, le principe du distributeur automatique de béton prêt à l’emploi tend à se développer en France. Il constitue une alternative à la centrale à béton classique qui peine à servir les “petits” clients – artisans et particuliers – désireux d’acheter une petite quantité de béton. A travers ses unités, Selfbéton répond à ce besoin spécifique, en offrant un service adapté avec une disponibilité immédiate du matériau. Le distributeur automatique Beton2Go lance la production par le biais d’une carte magnétique ou d’un QR-code. Et délivre en quelques minutes la recette de béton souhaitée.
Il y a 2 ans et 299 jours

Superbe réhabilitation d’un moulin à eau en habitation en république tchèque

Cette rénovation d’un moulin à eau converti en logement est le beau projet réalisé par Stempel & Tesar architekti en République tchèque. Redonner vie à un vieux bâtiment [De l’architecte] Dès notre première rencontre avec les propriétaires, ils ont clairement défini à quelles conditions leur future maison devait répondre : « Elle doit être moderne tant en […]
Il y a 2 ans et 299 jours

Pyrénées-Atlantiques : aménagement d’une nouvelle piste cyclable à Mouguerre

À Mouguerre (Pyrénées-Atlantiques), une liaison cyclable entre le bourg et le secteur Ametzondo est en cours d’aménagement.
Il y a 2 ans et 299 jours

Loire-Atlantique : un nouveau collège à Chaumes-en-Retz en 2024

Le futur collège public de Chaumes-en-Retz (Loire-Atlantique) sera conçu et construit par AIA Architectes. Il verra le jour d’ici à 2024.
Il y a 2 ans et 299 jours

Les tuiles Monuments historiques de Terreal

La riche palette de couleurs des tuiles Monuments Historiques permet à l’artisan de s’approcher au plus près des toitures originelles pour mener, dans les règles de l’art, un parfait travail de réfection.
Il y a 2 ans et 299 jours

Le bois mis à l'honneur lors de la rénovation de deux halls de l'aéroport Paris CDG

Les plafonds et l'habillage des murs des halls L et K du terminal 2E de l'aéroport parisien Charles-de-Gaulle ont été réalisés en bois haut de gamme par le fabricant Hunter Douglas Architectural.
Il y a 2 ans et 300 jours

Le Conservatoire Botanique National de Brest inaugure ses nouveaux bâtiments

Son objet est la connaissance et la préservation du patrimoine végétal sur les régions Bretagne, Pays de la Loire et Normandie ainsi que dans le cadre de partenariats internationaux. Il compte une quarantaine de salariés. Situé dans le Vallon du Stang Alar à Brest, le Conservatoire dispose de biens et moyens mis statutairement à sa disposition par la métropole (locaux, terrains, jardiniers...) pour exercer ses compétences. 400.000 visiteurs par an Les nouveaux bâtiments administratifs, scientifiques et techniques ont été réalisés pour offrir une nouvelle plateforme technique à la hauteur des enjeux (banque de semence, banque de données, centre de documentation, herbier, espaces de réunion...). Ils sont plus rationnels et respectueux des règles environnementales que les anciennes infrastructures devenues vétustes. Ces locaux sont aussi conçus pour être communicants, plus visibles et visitables. Ils s’insèrent dans un jardin botanique dédié, offrant un tour du monde végétal de 30 hectares. Ce site exceptionnel est labellisé Jardin remarquable, Jardin botanique de France et Conservatoire des collections végétales spécialisées. Il est visité chaque année par près de 400.000 personnes. Des bâtiments économes, fonctionnels et respectueux de l'environnementLe groupement de l’atelier Philippe Madec, d’Ingerop Conseil et Ingénierie et d’Horizons paysage a été choisi pour la réalisation des nouveaux bâtiments. Dans ce renouveau architectural, les différents pôles fonctionnels sont répartis dans trois volumes compacts, liés par la serre dont les espaces libres auront vocation à devenir le lieu de rencontres, d’échanges et de détente. Les bâtiments sont de faible hauteur, constitués d’un étage sur rez-de-chaussée. Leur toiture de même pente que la serre contribue à l’unité du lieu. La diversité des lieux mis en place dans les espaces libres de la serre, végétalisés et très lumineux, dans les interstices entre les bâtiments, offre des usages variés d’accueil et de circulation. Les bureaux et laboratoires du Conservatoire ont reçu une attention toute particulière, afin de favoriser l’efficacité et le confort de travail, via des espaces vitrés bénéficiant d’une lumière naturelle. Le choix de la serre traduit une volonté d’intégrer l’aménagement du bâtiment au parc, d’évoquer à travers sa structure les activités du Conservatoire et de structurer l’espace afin d’améliorer sa lisibilité.Cette réalisation répond également à l’engagement de Brest métropole en faveur de l’environnement et de la biodiversité. Le choix des matériaux, l’efficacité énergétique ainsi que la création d’un environnement intérieur sain et confortable sont des critères importants de sélection de ce projet. La conception bioclimatique, une utilisation raisonnée du soleil et des façades à haute performance thermique permettent une insertion en douceur des bâtiments dans le jardin du Conservatoire. Véritable vitrine de la biodiversité de la région, le Conservatoire est donc doté d’un bâtiment dont les matériaux garantissent un impact réduit sur l’environnement. Ces choix (les bois utilisés en charpente et en bardage, la paille comme matériau d’isolation principal, la mise en place de toitures végétalisées et d’un système de récupération des eaux de toiture pour le lavage des véhicules) permettent l’économie de ressources naturelles et le soutien aux filières locales. Le montant de l’opération est de 7 M€ TTC, soit : Brest métropole : 2.9 M€ Etat : 981.000 € Région Bretagne au titre du contrat Pays de Brest : 1.6 M€ Région Bretagne au titre du contrat métropolitain : 900.000 € Conseil Départemental du Finistère : 530.000 € Le Conservatoire Botanique National de Brest – des missions de service public et en expertise reconnue aux échelles régionale, nationale et internationale Le Conservatoire botanique national de Brest assure une mission de service public reconnue par le Code de l’environnement. Cette mission s’exerce en premier lieu sur les régions Bretagne, Normandie et Pays de la Loire où il travaille en étroite collaboration avec les collectivités territoriales, les services de l’État, les gestionnaires d’espaces naturels, les réseaux d’éducation ou encore les organisations internationales, pour mener à bien ses quatre missions, inscrites au code de l'Environnement : Connaître le patrimoine végétal sauvage : étudier les plantes sauvages et les milieux naturels, mesurer leur état de conservation et leur évolution Diffuser des données et informations sur les plantes et les milieux naturels Conserver les éléments les plus rares et les plus menacés en nature, en culture ou en banque de graines Conseiller les acteurs des territoires : fournir des expertises scientifiques et techniquesSensibiliser, informer et former les habitants, les scolaires, les botanistes et les professionnels à la préservation de la biodiversité. En second lieu, le Conservatoire Botanique National contribue aux expertises nationales développées par les 12 Conservatoires botaniques nationaux en lien étroit avec l’Office Français de la Biodiversité et le ministère de l’Ecologie. En troisième lieu, il mène des expertises au niveau international, en priorité dans les hauts lieux de biodiversité (Maurice, Madagascar, Chili, Sicile…) pour accompagner le développement de compétences et de structures au plus près des enjeux de conservation. Le syndicat mixte du CBNB est composé de quatre membres : Brest métropole, le Conseil Régional de Bretagne, le Conseil Départemental du Finistère et l’Université de Bretagne Occidentale. Depuis sa création, en 1975, le Conservatoire botanique a vu ses missions et compétences se renforcer. Il abrite aussi la troisième collection mondiale d’espèces végétales en voie de disparition et rayonne au niveau national et international. Il compte une quarantaines de salariés spécialisés. Si le rôle du Conservatoire botanique est aujourd’hui déjà incontournable sur l’ensemble des questions liées au patrimoine végétal, la période qui s’ouvre devrait asseoir son rôle structurant et accélérer le développement de son activité à l’aune de différents facteurs :L’aggravation des problématiques de préservation de la biodiversitéLa prise en charge du pilotage d’un réseau d’expertise à ancrage régional et inter-régionalL’exigence d’accompagnement des politiques publiques de la biodiversitéLa contractualisation des missions et la nécessité de nombreux partenariatsL’internationalisation des enjeux et le développement des échanges de coopérationL’importance croissante de la communication environnementale et de la pédagogie de l’actionL’inscription du projet dans une logique de polarisation des compétences biodiversité de la Métropole de Brest en prolongement d’Océanopolis, parc de découverte des océans, Centre de Culture Scientifique, Technique et Industrielle de la merLa contribution de plus en plus forte aux réseaux régionaux de diffusion de la connaissance dans le domaine de la biodiversité
Il y a 2 ans et 300 jours

Interface lance Recreation, une nouvelle collection de revêtement de sol à base de fibres 100% recyclées

Fabriquée à partir de fils 100% recyclés, Recreation, qui offre un choix de design contemporain, contribue, comme tous les produits Interface, à atteindre la neutralité carbone grâce au programme Carbon Neutral Floors de l’industriel. Une collection qui emprunte son design à la nature Recreation tire son inspiration des motifs et des textures que l'on trouve dans la nature. La palette de couleurs proposée utilise les gris et les tons neutres inspirés des formations rocheuses, pour les marier aux tons terreux classiques, que l’on retrouve le long des lits des rivières. La collection offre aux concepteurs une large gamme de couleurs, complétée d’une texture organique et d’une installation aléatoire, permettant ainsi d’apporter de la chaleur aux grands espaces pour se sentir au bureau comme chez soi. Des teintes contemporaines et tendances Les dalles de moquette de la gamme Recreation aux tons subtils mesurent 50 cm x 50 cm et se déclinent en 16 couleurs, dont 10 neutres et 6 vibrantes. Les teintes contemporaines Graphic, Talent, Develop, et Draw reflètent parfaitement l'influence de la tendance « comme à la maison » sur le design des espaces de travail. Conçue pour compléter les couleurs neutres les plus plébiscitées d'Interface, Recreation rehausse n’importe quel espace lorsqu'elle est associée aux gammes existantes de LVT et de sols en caoutchouc nora.
Il y a 2 ans et 300 jours

Des lames de terrasse CôtéParc Ducerf pour l'aménagement d'un patio de maison de ville chaleureux

L’enjeu était de révéler tout le potentiel de cet espace en conservant les murs en pierre traditionnelle, habiller la piscine, agencer au mieux les espaces, végétaliser l’endroit, et mettre en valeur les matériaux.Les lames de terrasse DUCERF en frêne THT de la gamme CôtéParc ont été utilisées pour aménager la terrasse et habiller la piscine semi enterrée et les bacs végétalisés. Le choix du bois permet de valoriser cette cour intérieure et lui donner un côté très nature. L’aménagement des lames de terrasse a été pensé dès sa conception et exécuté avec soin.Ici l’essence de frêne tend vers une couleur chocolatée naturelle et homogène, proche de celles des bois exotiques, et ce grâce au Traitement par Haute Température. Cette terrasse s’accorde parfaitement avec les murs en pierre, et apporte de la chaleur à cet environnement atypique et minéral.Une essence locale pour une terrasse contemporaine et durableLe propriétaire s’est tourné vers la gamme de lame de terrasse CôtéParc pour ses avantages techniques, esthétiques et écologiques. Les lames de la terrasse de ce patio ont été réalisées à partir du frêne, une essence locale de bois feuillu, traitée par haute température. Les produits de cette gamme ont été élaborés à partir d’essences locales certifiées PEFCTM, afin de garantir un produit Bois de France (Origine des bois et transformation).Les bois feuillus sont réputés pour leur dureté et leur durabilité naturelles. Grâce au traitement thermique, le frêne s’adaptera parfaitement aux contraintes d’une pose en extérieur avec une meilleure durabilité et une plus grande stabilité dimensionnelle. Il résistera également aux insectes et agents fongiques.La gamme CôtéParc : des produits prêts à l’emploi fabriqués à partir d’essences localesLa gamme CôtéParc Ducerf valorise les essences locales de bois feuillus et de résineux. Elle mise sur le développement de produits prêts à l’emploi en bois naturels ou en bois THT. Ses produits se destinent aux terrasses, aux platelages, aux bardages et aux pièces d’aménagement paysager. Les produits CôtéParc ont de nombreux avantages techniques, esthétiques, environnementaux, et sont durables dans le temps. Caractéristiques techniques :Lames de terrasse en Frêne THT de la gamme CôtéparcProfil face lisse pour fixation invisible, coupe droite en bout, lames continues Dimensions :Largeur : 140 mmEpaisseur : 21 mm Finition : Look IPE Saturabois, une finition écologique teintée afin de garder la couleur naturelle du bois Type de pose : Fixation invisible B-Fix
Il y a 2 ans et 300 jours

Rhône : dernière phase d’aménagement pour le hameau des Sept-Chemins à Brignais

Les travaux d’aménagement du hameau des Sept-Chemins entrent dans leur dernière phase.
Il y a 2 ans et 300 jours

Rhône : dernière phase d’aménagement pour le hameau des Sept-Chemins à Brignais

Les travaux d’aménagement du hameau des Sept-Chemins entrent dans leur dernière phase.
Il y a 2 ans et 300 jours

Bas-Rhin : poursuite du projet « Oasis » pour la place du Temple-Neuf à Strasbourg

À Strasbourg (Bas-Rhin), le cabinet d’architecture Les Nouveaux Voisins installe une structure urbaine végétalisée sur la place du Temple-Neuf.
Il y a 2 ans et 300 jours

3 Expositions qui mêlent Art et Architecture

Si la nature des liens entre art et architecture est complexe à définir, les deux ne ...More about Cet article 3 Expositions qui mêlent Art et Architecture est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 2 ans et 301 jours

Les Français fortement préoccupés par leur avenir énergétique et climatique

Les résultats de l’enquête font apparaitre le portrait d’un pays tiraillé entre sentiment d’insécurité énergétique et climatique d’une part, et volonté de bénéficier d’une énergie bon marché d’autre part.Fortes inquiétudes par rapport à la crise énergétiqueL'énergie est devenue un sujet de préoccupation évident pour beaucoup de Français du fait de l'augmentation des factures, des problèmes géopolitiques et de la pression du changement climatique, ce qui fait de l’énergie une nouvelle priorité pour de nombreuses personnes à travers le pays.Dans le contexte de la crise énergétique actuelle, 76% des citoyens s'inquiètent de l'augmentation des factures d'énergie, 55% craignent que leurs économies ne couvrent pas le chauffage de leur maison l'hiver prochain, et 67% craignent que les objectifs en matière de changement climatique ne soient désormais oubliés.La question du prix de l’énergie est leur préoccupation majeure. Seuls 36% des interrogés se disent prêts à payer des factures plus élevées pour diversifier les sources d’approvisionnement en énergie dans le contexte de la crise actuelle, et parmi ceux-ci, 2 français sur 3 ne sont prêts à payer qu’un léger surcoût. Ils sont même 29% des interrogés à déclarer ne pas avoir les moyens de payer des factures d’énergie plus élevées.Les énergies renouvelables perçues comme une solution65% des Français soutiennent l'expansion des énergies renouvelables pour accroître la sécurité énergétique en Europe. Ils sont aussi 75% à penser que la France aurait dû commencer à investir dans les énergies renouvelables depuis longtemps. Enfin, 17% des personnes déclarent que leur perception des énergies renouvelables comme moyen de réduire les dépendances énergétiques a été renforcée depuis la crise. Mais la question des inquiétudes de prix revient encore : 54% des Français pensent que leurs factures énergétiques vont augmenter s'ils passent aux énergies propres.L’enquête montre enfin la méconnaissance qu’ont les citoyens de l’action gouvernementale en matière de changement climatique : 94% des Français interrogés affirment ainsi n’avoir aucune idée des objectifs spécifiques et des activités clés que le gouvernement français entreprend pour avancer vers la neutralité carbone.Pour Arnaud Bellanger, Directeur de Statkraft France : « Les résultats de cette enquête démontrent un fort soutien public au développement de nouvelles énergies propres. Les Français veulent que leur pays agisse rapidement pour sécuriser un approvisionnement énergétique pérenne et abordable. Nous avons vu qu’environ la moitié des personnes interrogées pensent que leurs factures d'énergie augmenteraient si leur électricité était d’origine renouvelable. C’est inexact. En augmentant la capacité d'énergie renouvelable et en diminuant la dépendance aux combustibles fossiles, les consommateurs seront davantage protégés de la volatilité du marché et de la hausse des coûts de l’énergie. »
Il y a 2 ans et 303 jours

Wienerberger réduit son impact carbone grâce à la technologie innovante de l'Eco-Stock®

Cette collaboration mise en place sur le site de production de tuiles en terre cuite de Pontigny (89) permettra de réduire les émissions CO2 de l’usine de plus de 450 tonnes par an, grâce à l’installation d’une innovation technologique : l’Eco-Stock®.En septembre dernier, Wienerberger présentait sa stratégie environnementale visant en priorité à réduire les émissions de CO2 de 15% d’ici 2023, 40% en 2030, jusqu’à atteindre la neutralité carbone en 2050. Pour atteindre ses objectifs, de nombreuses actions ont déjà été mises place comme la construction d’ échangeurs thermique sur plusieurs sites de fabrication de briques de structure permettant d’économiser 6 000 MWh/an sur la consommation de gaz d’un site, mais également l’utilisation à 100% d’électricité verte provenant entre autre d’un parc éolien, ou encore la signature d’un partenariat avec l’ADEME au travers d’un dispositif FRET21, pour la réduction des émissions de CO2 dans le transport des matériaux.Poursuivant ses engagements environnementaux, Wienerberger France s’associe aujourd’hui avec l’entreprise Eco-Tech Ceram pour l’installation d’un Eco-Stock® sur son site historique de Pontigny (89), spécialisé dans la fabrication des tuiles de la marque Aléonard.Véritable innovation dédiée à la transition énergétique dans le secteur industriel, l’Eco-Stock® permet de récupérer et de stocker la chaleur fatale (ou chaleur perdue) rejetée par les six fours intermittents de l’usine. Cette chaleur accumulée dans l’Eco-Stock® sera ensuite réorientée à bon escient et au bon moment vers les séchoirs eux aussi intermittents. Ainsi, ces mêmes séchoirs n’auront plus besoin de gaz pour fonctionner. Résultats : le site réduira considérablement son impact carbone en supprimant l’émission de l’équivalent en Co² de 6 000 000 de kms de voiture.Qu’est-ce que l’Eco-Stock ?Innovation technologique de l’entreprise Eco-Tech Ceram, l’Eco-Stock® est un système de stockage thermique pouvant aller jusqu’à 1 000 °C et permettant de gérer l’intermittence et la variabilité des gisements et des consommations énergétiques. L’Eco-Stock® est capable de capter, stocker et restituer une énergie décarbonée moins coûteuse que celle issue de la combustion de matières fossiles (gaz naturel, pétrole…) en contrôlant la durée, la puissance, la température et le débit des flux d’énergie. Le système permet de valoriser au mieux les énergies renouvelables et de récupération conformément aux exigences de performance de l’industrie.« Nous sommes très fiers de lancer ce projet d’Eco-Stock® sur notre site de Pontigny en bénéficiant ainsi des dernières innovations technologiques de l’entreprise Eco-Tech Ceram. Cette installation, visant à la réduction des émissions de CO2, est une nouvelle étape dans notre stratégie de décarbonation avec comme objectif final la neutralité carbone en 2050 » commente Frédéric Didier, Directeur Général de Wienerberger France.« Alors que les crises climatiques et énergétiques s’intensifient, nous nous félicitons de notre partenariat avec Wienerberger et sommes très heureux de pouvoir accompagner ce géant de l’industrie céramique dans sa transition bas carbone. Avec l’Eco-Stock, nous avons été en mesure de leur proposer une solution technique clé en main et entièrement financée, avec le soutien de l’ADEME. En contractant avec ETC invest, Wienerberger va donc acheter de la chaleur décarbonée et compétitive pour remplacer le gaz naturel fossile, le tout sans avoir à investir », déclare Antoine Meffre, Président et Fondateur d’Eco-Tech Ceram.
Il y a 2 ans et 303 jours

A Narbonne, Cosy Diem imagine un concept d'habitat innovant pour favoriser le "bien vieillir"

Avec ce projet de 100 logements, au concept d’habitat innovant dédié à la nouvelle génération de seniors, privilégiant leur indépendance et leur autonomie, Kaufman & Broad confirme sa volonté de construire des résidences dédiées au « bien vieillir ». L’enjeu est de taille, d’ici 2060, un tiers des Français aura plus de 60 ans et les plus de 85 ans seront plus de 5 millions.Les résidences services seniors Cosy Diem sont une solution d’hébergement et de services, adaptée aux personnes âgées à la recherche d’une nouvelle dynamique de vie. Ces résidences de nouvelle génération ne proposent pas seulement un habitat de qualité, mais également des prestations et services, adaptés et personnalisables, qui permettent de prévenir la dépendance.Une résidence au service du bien vieillir « Aujourd’hui nous sommes fiers d’inaugurer cette première résidence Cosy Diem née de l’alliance avec le Réseau Serenis. Car chez Kaufman & Broad, nous avons une conviction, partagée avec la majorité des Français : la plupart des gens souhaitent vieillir chez eux, en tout cas le plus longtemps possible. C’est pourquoi, alors que nombre de résidences gérées s’adressent à des seniors dits actifs, le concept Cosy Diem s’intéresse également à des personnes fragiles ou en perte d’autonomie qui ont besoin de solutions pour retarder l’apparition de la dépendance, voire l’éviter. C’est une vraie stratégie qui s’inscrit dans les recommandations de l’OMS pour favoriser le vieillir en bonne santé. », souligne Jacques Rubio, Directeur Général Régions Kaufman & Broad. Cosy Diem propose aux seniors des logements indépendants et adaptés, articulés autour d’espaces communs conçus comme de véritables lieux de convivialité, d’activité, de divertissement et de détente. Les résidents sont invités à pratiquer des activités physiques adaptées et à participer à des ateliers diététiques animés par des professionnels afin de maintenir leurs capacités physiques et intellectuelles. Le programme des ateliers personnalisés est fondé sur les stratégies issues des travaux de l’OMS, qui englobent, en amont de la perte d’autonomie, le repérage précoce de la fragilité chez les personnes âgées, afin d’identifier les déterminantes de la fragilité et d’agir dessus pour retarder la dépendance dite « évitable » et prévenir la survenue d’événements défavorables.Pour ce faire, elle s’appuie sur l’expérience du Réseau Serenis, groupe familial toulousain spécialisé dans la prise en charge des seniors, qui a développé une approche particulière du soin de la personne âgée.« Le Réseau Serenis a mis à disposition de Cosy Diem son savoir-faire d’exploitant d’établissements de santé et d’EHPAD pour concevoir des résidences qui répondent aux besoins des seniors autonomes » déclare Paul Gémar, Président de Cosy Diem. Une résidence pour favoriser le vivre ensembleLa résidence Cosy Diem Narbonne offre aux seniors autonomes un lieu de vie confortable et convivial pour bien-vieillir. Conçue par l’architecte, Christian Dugelay (Architecture Patrimoine et Création), elle est idéalement située au centre-ville de Narbonne, le long du quai Vallière, pour permettre aux résidents de profiter de la proximité des berges du canal, des commerces, des halles, des services, et de se divertir, tout en favorisant le lien social.« La ville de Narbonne accueille la première résidence Cosy Diem, en lieu et place d’une ancienne Clinique désaffectée, participant ainsi à la reconstruction de la Ville sur la Ville. Nous avons fait le choix de cette ville, au carrefour de l’Occitanie, pour répondre aux attentes de la population senior locale mais aussi parce que c’est une ville où il fait bon vivre. Nous leur proposons des appartements adaptés à toutes contraintes de mobilité et faciles à vivre pour bien vieillir», explique Julien Eybalin, Directeur d’Agence Kaufman & Broad Languedoc-Roussillon.La résidence Cosy Diem se compose de 100 appartements, du studio au 3 pièces, de 28 à 67 m². La majorité des appartements disposent d’une terrasse ou d’un balcon. Tous sont meublés et climatisés, avec possibilité de personnalisation. Les appartements sont ergonomiques, équipés de cheminements lumineux en cas de perte d’autonomie.Près de 600 m² sont réservés aux services (salle de sport, bibliothèque, salle multimedia, salon de coiffure…) et à la restauration faite sur place. Le choix a été fait d’ouvrir le restaurant au public, car maintenir le lien social chez les seniors est primordial.« Ce lien social est l’une des clés du bien vieillir et nous l’appliquons dans nos résidences au travers du restaurant ouvert sur l’extérieur, de l’emplacement en cœur de ville… », poursuit Julien Eybalin.Au-delà des services proposés, Cosy Diem c’est aussi une équipe de 12 collaborateurs bienveillants et formés à l’accompagnement des seniors, qui veille 24h/24 7j/7 sur les résidents.
Il y a 2 ans et 304 jours

VR90 et VR70 : les BSO Schenker Stores pour les baies XXL

Ils s’ajustent de manière optimale à des situations de constructions les plus variées, sur les plans esthétique et technique. Tout en préservant la luminosité et la ventilation naturelle, ces BSO offrent une protection solaire optimale au moyen de leurs lames en forme de Z. Ils permettent un contrôle précis et en continu de la lumière naturelle. Les lames en Z sont stables avec une largeur de 70 ou 90 mm ; elles sont munies d’un joint procurant un bon niveau d’obscurcissement. Les lames orientables en aluminium, en position fermée, permettent une excellente gestion des apports solaires et ainsi de réduire les dépenses énergétiques. Les BSO Schenker Stores sont simples à manœuvrer et silencieux. Leur orientation est réglable librement, en fonction des envies, et donne la possibilité de concevoir l’orientation optimale de la lumière naturelle en fonction des besoins. Pour un confort total, les BSO VR 90 & VR 70 sont pilotables avec les solutions smart home intelligentes. Une vaste gamme de capteurs éoliens ou solaires garantit une utilisation sûre et adaptée au produit. Diverses variantes d'installation L’utilisateur peut faire le choix d’un guidage par coulisses ou d’un guidage combiné par câble et coulisses. Cette combinaison de guidage par câble et de coulisses assure une résistance et une stabilité au vent bien plus élevées (vitesse du vent de 92 km/h), même pour les baies XXL. Une coulisse tapée en aluminium extrudé offre une intégration parfaite à la façade. Un montage latéral est possible sur l’embrasure ou de face. En option, la coulisse peut également être intégrée sur les façades en construction métallique au profil de la façade ; ou encore encastrée en étant insérée dans l’embrasure. Ces BSO peuvent également être intégrés au linteau - dans ce cas, le store est monté dans la façade de manière invisible – ou être montés en tableau. Dans cette configuration, le store est installé en saillie par rapport à la façade. Un lambrequin supplémentaire est monté sur la façade. Il protège le store et le couvre dans son état relevé. Le lambrequin est disponible en diverses formes et couleurs. Disponibles en 29 coloris standards (ou tout RAL en option) les BSO à lames reliées VR 90 & VR 70 s’intègrent à presque toutes les particularités architecturales et quel que soit le type de pose. Ils favorisent la création d’une ambiance lumineuse personnalisée dans la pièce pour une qualité de vie et de travail idéale.
Il y a 2 ans et 304 jours

Quand la nature aide à lutter contre les îlots de chaleur

Aménagement - Les aides récentes de l'Etat consacrent le triptyque eau-sol-végétal et encouragent collectivités, promoteurs et bailleurs à s'en emparer.
Il y a 2 ans et 304 jours

Vendée : une nouvelle médiathèque-ludothèque à La Garnache d’ici à 2024

Une enveloppe prévisionnelle de 1,2 million d’euros est allouée au projet de la future médiathèque-ludothèque de La Garnache.
Il y a 2 ans et 305 jours

GSE réalise un parking aérien pour le marché de Rungis

Situé avenue de Bourgogne à Chevilly-Larue (94), ce parking aérien s’étendra sur 11.500 m² de surface de plancher et permettra ainsi à la SEMMARIS de bénéficier du système de construction GSE GOLDBECK en France.Un chantier rapide en site très fréquentéRéalisé pour le compte de SEMMARIS, le gestionnaire immobilier du marché de Rungis, ce parking aérien proposera 445 places multi-usages (VUL, VL et zone VIP) sur 5 niveaux, localisé sur un terrain de seulement 2.300 m² en plein cœur du marché international, en lieu et place d’un parking traditionnel en surface. « Non seulement le chantier devra permettre la continuité de l’activité du parking, mais le site est l’un des plus fourmillants de l’Hexagone. Il s’agit d’un véritable défi pour les équipes GSE » explique Yoann Castel, en charge de ce projet.Le parking aérien sera le premier à bénéficier de la démarche GSE GOLDBECK. « Entièrement préfabriqués, tous les éléments sont construits en usine et assemblés sur place comme des Lego. Cette méthode de construction permet un très bon suivi qualité, une optimisation des matériaux et donc une réduction de la consommation de matières premières et un timing de construction très court » explique Maxime Ochin, directeur activité Parking de GSE. A la rapidité de cette méthode de préfabriqué, la démarche GOLDBECK ajoute de nombreux avantages environnementaux : une façade en bois recyclé signée ABA Workshop, une ombrière de panneaux photovoltaïques en toiture. A la demande du client, GSE étudie une solution locale de compensation du poids carbone de l’ouvrage.Le chantier, en flux tendu, démarrera en septembre 2022 pour une livraison en avril 2023. Un deuxième parking à Pessac (33) est également prévu pour représenter la deuxième implantation de GSE-GOLDBECK en France.Objectif, révolutionner le parking avec de nombreux services associésGrâce à son mode de production industrialisé, totalement préfabriqué et prêt à la construction, cela permet à GSE de présenter une offre particulièrement compétitive, affichant des prix entre 15 et 20 % moins élevés que le coût d’une place de stationnement en parking « traditionnel » sur le marché français. Ce procédé de fabrication industrialisé et intégré permet en outre des délais de déploiements uniques.Véritables outils au service de la mobilité, GSE propose des solutions confortables, intelligentes et durables. Ces parkings intègrent les nouvelles technologies mises en œuvre dans ce domaine, garantissant une qualité et une sécurité optimale : guidage à la place, gestion numérique du parking, contrôle d’accès par reconnaissance de la plaque, éclairage intelligent, jalonnement dynamique et offrent d’innombrables possibilités sur le design architectural. De plus, ils permettent une réduction de 20 % du bilan carbone par rapport aux solutions du marché.
Il y a 2 ans et 305 jours

L'immobilier algérien fait salon en France pour la 1ère fois

Au programme : un large panorama de l’offre immobilière algérienne, exclusivement dans le neuf, enrichi par des journées thématiques pour informer les visiteurs et les aider à construire leur projet en Algérie.Co-organisé par "OK AGENCE", une agence d'évènementiel française basée à Nîmes et "Lepestate.com", agence immobilière basée à Alger, leurs équipes ont su rester fortement mobilisées pendant la crise sanitaire, et continuent à travailler d'arrache pied pour la réussite de cet évènement, qui a été reporté 2 fois à cause de la crise du COVID-19.Pour Karina Tifoura, co-Organisatrice du SINA PARIS et Directrice de OK AGENCE : "Le SINA PARIS participe pleinement à la dynamique économique entre la France et l'Algérie, et se positionne comme un rendez-vous incontournable, d'une part, pour les membres de la diaspora algérienne de France ayants le projet d’achat ou de construction d’une maison individuelle en Algérie, et d'autre part, pour tous les opérateurs économiques français souhaitant pénétrer le marché du BTP en Algérie."Promoteurs immobiliers, organismes de financement, spécialistes en droit immobilier, architectes urbanistes, le SINA PARIS réunit pour la première fois à l'étranger, les futurs acquéreurs de la diaspora et plus de 25 professionnels de l’immobilier venus de l'est, du centre et de l'ouest de l'Algérie.Pour Sofiane Ouhab, Directeur de Lpestate.com et co-Organisateur du SINA PARIS : "En cette période de ralentissement de l'économie mondiale, il est plus que jamais nécessaire, de développer plus de perspectives commerciales entre les deux rives de la Méditerranée."
Il y a 2 ans et 305 jours

Loire-Atlantique : un nouveau lycée est en construction à Pont-Château

Le nouveau lycée de Pont-château devrait ouvrir ses portes pour la rentrée de septembre 2023.
Il y a 2 ans et 305 jours

Des murs végétaux et jardins d’exception de Shangai à la Bretagne

MINGZHU NERVAL : de Shangai à Arzon Cette entreprise d’Ingénierie environnementale fondée en 2010 par Mingzhu Bai et Antoine Nerval, est spécialiste de la conception, l’installation et l’entretien de jardins et de murs végétaux partout dans le monde. En 2022, ils choisissent la Bretagne pour créer une pépinière à Arzon. Créée à Shangai en 2010, […]
Il y a 2 ans et 306 jours

REP PMCB : Valobat, la FNB et l’UICB expriment leurs engagements communs pour la filière bois

Déjà engagée dans l’acte de construire avec tous ses métiers, la filière bois-construction figure parmi les premières contributrices dans l’enjeu de réduction des gaz à effet de serre.Valobat, candidat à l’agrément d’éco-organisme, aspire à être l'acteur de référence pour les produits bois et porte de grandes ambitions pour ce matériau aux multiples atouts. Début 2022, l’Union des Industriels et Constructeurs Bois (UICB) et la Fédération Nationale du Bois (FNB) entraient au capital de Valobat. Un message fort exprimant leur volonté partagée d’accompagner les acteurs du bois dans ces prochains changements, avec cinq objectifs prioritaires : Réussir l’engagement des entreprises dans la REP, Construire des critères d’éco-conception adaptés à la filière bois, Encourager le réemploi et la réutilisation des produits bois, Promouvoir le recyclage et la valorisation du bois,Obtenir la visibilité de l’écocontribution sur les devis et les factures. La filière française bois : des objectifs ambitieux Le bois est un matériau qui apporte de nombreux avantages au secteur de la construction et de la rénovation. Performante, la filière française fournit des produits biosourcés et d’origine renouvelable adaptés aux marchés. Ils contribuent à l’amélioration du bilan carbone du secteur. Les coproduits, ainsi que les produits bois en fin de vie, sont recyclés (panneaux) ou peuvent constituer une source d’énergie dans des équipements individuels ou collectifs (réseaux de chaleur). La filière s’est fixée des objectifs ambitieux : en doublant la part de marché du bois dans l’habitat collectif neuf (passer de 3% à 6%), en passant de 10% à 15% dans la maison individuelle, en portant à 15% la part de solutions bois utilisées dans la rénovation de bâtiments collectifs,en augmentant de 20% la part de marché du bois dans les solutions de réhabilitation et de rénovation des logements individuels. Cinq priorités partagées et des engagements forts Réussir l'engagement des entreprises dans la REP A compter du 1er janvier 2023, les entreprises du secteur bois concernées par la REP PMCB vont devoir adhérer à un éco-organisme tel que Valobat et s’acquitter du paiement d’une écocontribution associée à la commercialisation de leurs produits. C’est un engagement fort dans la construction de la filière et pour le respect de leurs obligations environnementales. Les engagements FNB, UICB et VALOBAT Mettre à disposition des entreprises une information fiable et construire un barème d’écocontribution adapté au secteur bois au travers du comité de secteur dédié. Afin de bénéficier d’une information privilégiée, elles peuvent préadhérer au projet d'éco-organisme Valobat - Valobat. Construire des critères d'éco-conception adaptés à la filière bois L’éco-conception des PMCB permet de maîtriser les coûts de gestion des déchets de démolition déconstruction et rénovation du bâtiment, d’améliorer les performances de collecte, et de valorisation (réemploi/réutilisation ou recyclage). Le bois dispose de nombreux atouts : origine biosourcée et renouvelable ainsi qu’un bilan carbone positif. L’engagement FNB, UICB ET VALOBAT Construire un barème reflétant les atouts et les ambitions du matériau bois en proposant des éco-modulations dès le barème applicable en 2024. Il sera proposé aux entreprises afin de les orienter dans des projets d’éco-conception de leurs produits dès 2024. Encourager le réemploi des produits bois Le réemploi est l’action prioritaire à mener dans la hiérarchie des modes de traitement des déchets. Dans un contexte de raréfaction des ressources, d’enjeux de dépôts sauvages et plus largement de gestion des déchets, il séduit de plus en plus d’acteurs qui s’engagent dans des initiatives exemplaires. La filière REP se voit fixer des objectifs très ambitieux. L’engagement FNB, UICB et VALOBAT Accompagner des expérimentations et la construction d’un cadre et de modalités de réemploi du bois. Cette action s’inscrit dans le plan d’actions et l’étude prévus au cahier des charges de l’agrément des éco-organismes. Promouvoir le recyclage et la valorisation du bois Le projet de cahier des charges des éco-organismes fixe des objectifs de recyclage pour le bois à 42% en 2024 et 45% en 2027. Le bois contribue également aux objectifs de la politique de souveraineté énergétique française. Valobat offrira aux détenteurs de déchets, notamment bois issus des chantiers et triés séparément, des solutions de reprise sans frais sur de nombreuses installations (déchèteries publiques ou professionnelles, distributeurs, points spécialisés). L’information des lieux et des consignes de tri facilitera le geste de tri. Un gage de performance afin d’alimenter en matière première l’industrie et les chaufferies bois.Les engagements FNB, UICB et VALOBAT Faire savoir aux entreprises concernées par la REP et à leurs clients que la filière bois est engagée dans des boucles d’économie circulaire concrètes et opérationnelles. Participer à des programmes de R&D et d’innovation sur les exutoires, techniques de tri et de recyclage du bois. Obtenir la visibilité de l'écocontribution sur les devis et les factures La visibilité de l’écocontribution implique l’affichage de son montant supporté par chaque produit ou matériau sur la facture ou le devis, et l’impossibilité de négocier commercialement son montant entre les fabricants et les différents intermédiaires. Si elle est prévue pour les produits électriques et électroniques ménagers et les meubles, les textes ne la prévoient pour les PMCB. Cette mesure constitue pourtant un outil essentiel et indispensable de lutte contre l’inflation, d’information du consommateur, de facilitation des déclarations à l’éco-organisme et une disposition particulièrement adaptée au secteur du bâtiment. L'engagement FNB, UICB et VALOBAT Coordonner leurs actions afin d’obtenir des pouvoirs publics ou du Parlement cette mesure indispensable.
Il y a 2 ans et 306 jours

Le campus connect et son parc paysagé se développent sur un site de plus de 2 hectares.

GA Smart Building a lancé les travaux en mai 2020 d’un nouvel ensemble immobilier avec des bâtiments de bureaux et un bâtiment de services pour Alcatel-Lucent Enterprise, à Illkirch-Graffenstaden (67).  Maîtrise d’ouvrage – Groupe GA Smart Buiding  Maîtrise d’oeuvre – Studio Montazami  Localisation – Parc D’innovation d’Illkirch, Illkirch-Graffenstaden, France  Programme – Bureaux / Restaurant inter-entreprise  Nature – Construction neuve  Livraison – Novembre […]
Il y a 2 ans et 306 jours

92% des entreprises envisagent des changements dans leur stratégie immobilière

CBRE, acteur mondial du conseil en immobilier d’entreprise livre en exclusivité les résultats de la 12ème édition du sondage européen sur l’opinion des entreprises utilisatrices de bureaux, qui rassemble le point de vue d’environ 120 décideurs immobiliers d’entreprises de premier plan, implantées dans la région EMEA.*« Depuis deux ans, les entreprises ont dû à la fois repenser leur organisation selon les nouveaux modes de travail et imaginer les bureaux de cette nouvelle ère, tout en composant avec les restrictions sanitaires. Celles-ci sont désormais en capacité à prendre des décisions immobilières, mix entre précaution et expansion. » déclare Caroline Ceccaldi, Executive Director Advisory Occupiers.Retrouvez dès à présent les 10 principaux points d’attention des entreprises en 2022, en matière d’utilisation des bureaux, de stratégie immobilière, de politique Workplace ou encore d’aménagement des bureaux.Quels usages font les entreprises de leurs bureaux, dans un environnement post Covid ?1 - Le retour au bureau reste une priorité forte : 68 % des entreprises interrogées ont souhaité encourager un retour sur site de leurs collaborateurs au cours du premier semestre 2022.2 - Les collaborateurs ont le choix pour le moment : 70% des entreprises interrogées souhaitent offrir de la flexibilité et sont en faveur d’un retour au bureau à temps partiel et/ou à la discrétion des collaborateurs.3 - La communication et les outils digitaux sont deux piliers de la reprise en présentiel, respectivement plébiscités à 63% et 48%. Quels sont les déterminants de la stratégie immobilière et ont-ils changé ?4 - Les stratégies immobilières vont être accélérées : 92% des utilisateurs envisagent des changements dans leur stratégie immobilière et 41% des sondés se projettent sur une évolution de m2 à la hausse (contre 33% en 2021).5 - Les projets de croissance vont nécessiter de faire rapidement des choix en termes de localisation : 18 % des répondants envisagent de changer de site pour bénéficier d’espaces de meilleure qualité et 41% envisagent une contraction de leur empreinte immobilière avec consolidation sur un nombre réduit de sites.6 - Les espaces de coworking sont amenés à occuper une part croissante dans le portefeuille total des utilisateurs (entre 11 et 25%), sans pour autant parler d’externalisation massive.Politique Workplace : les nouvelles règles du jeu7 - Le travail hybride n’est pas un effet de mode : 72 % des entreprises s'engagent vers l'adoption de ce mode de travail contre 55% en 2021.8 – Il faudra désormais trouver l’équilibre entre les règles de l’entreprise (56% visent un modèle de travail hybride encadré) et les préférences personnelles. Une entreprise sur deux est favorable à un mix équitable entre présence au bureau et télétravail et 38% optent pour une présence de 3 jours sur site. Repenser l’aménagement des bureaux9 - Un changement de braquet pour la stratégie Workplace : 63 % des entreprises entendent améliorer et augmenter la part dédiée aux espaces de collaboration et de réunion (contre 36% en 2021). Le bureau doit désormais être un lieu attractif : 50% des sondés souhaitent redéfinir les nouveaux standards en termes de design.10 – L’agilité règne en maître : on se dirige vers la fin du poste attribué pour 79 % des utilisateurs qui envisagent d’en diminuer la part.*Le même sondage a été mené également en Amérique du Nord et en Asie-Pacifique, permettant ainsi de croiser le point de vue de plus de 450 entreprises utilisatrices à travers le monde.
Il y a 2 ans et 306 jours

Nouvelle porte coulissante DIVA RS coupe-feu de Portalp

Pour répondre à ces exigences, Portalp complète aujourd’hui sa gamme de portes automatiques coulissantes DIVA RS par une version coupe-feu.Une résistance au feu de trente minutesDIVA RS coupe-feu est disponible en version simple ou double, avec ou sans vantaux fixes, ou encore intégrée à une cloison coupe-feu. Cette nouvelle porte automatique coulissante Portalp se compose :d’un châssis aluminium doté de profilés d’une épaisseur de 78 mm à trois chambres munies d’entretoises thermiques. Au design contemporain, il est personnalisable dans tous coloris RAL pour s’intégrer harmonieusement à tous les projets,associé à un vitrage Contraflam®30 d’une épaisseur de 16 mm monté dans le châssis à l’aide de parcloses intérieures et extérieures. Les vantaux sont équipés sur leur périphérie de joints intumescents qui gonflent sous l’effet de la chaleur pour calfeutrer les orifices,en complément, la cloison sur laquelle est mise en place la porte reçoit un cadre d’habillage pour lutter efficacement contre la propagation des flammes.Pour garantir une fermeture fiable et contrôlée en cas d’incendie, Portalp a doté la porte DIVA RS coupe-feu d’un système à Énergie gravitationnelle contrôlée (EGC) installé à gauche ou à droite pour une porte double, ou côté fermeture pour une porte simple.Un contrepoids de neuf kilos permet, en cas d’incendie, de refermer mécaniquement le vantail ou les vantaux sans aucune alimentation électrique. La descente du contrepoids s’effectue à vitesse contrôlée avec une surveillance permanente du câble de liaison.Certifiée NF « Portes résistant au feu en métal » selon le référentiel NF277 et classée coupe-feu EI2- 30, la porte DIVA RS coupe-feu constitue ainsi un barrage efficace contre les flammes et les fumées pendant trente minutes.L’alliance d’une motorisation puissante et de la technologie RS pour encore plus de sécuritéA l’intérieur de son caisson renforcé de 193 x 200 mm, l’opérateur DIVA RS bénéficie d’une combinaison de technologies innovantes qui procure une grande adaptabilité et augmente le niveau de sécurité fourni :une alimentation à découpage (100-230 V) pour une faible consommation,une motorisation brushless associée à un chemin de roulement garantissant dans le temps un déplacement précis et fluide des vantaux lourds pour assurer une fermeture fiable et immédiate en cas d’incendie (0,1 à 1,6 m/s selon le nombre de vantaux),une technologie bus CAN facilitant le câblage et assurant la communication permanente avec l’ensemble des périphériques,une batterie de secours qui prend le relais en cas de coupure de courant,une carte D.A.S. (Dispositif Actionné de Sécurité) permettant le raccordement du système de détection incendie et d’une commande manuelle de déclenchement.A l’instar de l’ensemble des gammes de portes automatiques Portalp, la porte DIVA RS coupe-feu bénéficie d’une garantie deux ans, étendue à cinq ans en cas de souscription d’un contrat de maintenance auprès de Portalp.
Il y a 2 ans et 306 jours

Première exposition de PBI au salon Glasstec 2022

Fort d’une expérience de 25 ans, PBI présente pour la première fois son savoir-faire en fabrication de barres profilées et de croisillons assemblés sur  le salon Glasstec et y dévoile Future, un concept innovant de croisillon warm-edge pour vitrage isolant. Forges-les-bains, le 25 juillet 2022 – PBI annonce sa participation au plus grand salon mondial de l’industrie du verre qui se […]
Il y a 2 ans et 306 jours

Aéroport Paris-Charles De Gaulle : plafonds et habillages bois haut de gamme pour la rénovation de plusieurs Halls

L’aéroport Charles De Gaulle, l’un des plus grands aéroports mondiaux en termes de trafic, a vu plusieurs de ses halls métamorphosés. Le fabricant Hunter Douglas Architectural a pu participer à deux de ces projets, en livrant des plafonds architecturaux ainsi que des revêtements muraux en bois. Chaque solution, par son design et son aspect technique, […]
Il y a 2 ans et 306 jours

Le Blackpearl à Courbevoie : quand La Défense s’habille en PREFA !

Au coeur du quartier d’affaires parisien se dresse un nouveau symbole, le Blackpearl, immeuble iconique habillé par PREFA, au caractère sombre et audacieux, à l’architecture contemporaine et aux formes monumentales. Un dôme en aluminium cuivré sur un toit-terrasse paysager et une façade rapportée en métal déployé, dont la forme rappelle des orgues gigantesques, caractérisent cet […]
Il y a 2 ans et 307 jours

Novéa Énergies équipe la ville de Villeneuve-Loubet (06) de 19 ensembles solaires éco-conçus

11 d’entre eux habillent ainsi un nouvel ensemble immobilier dans le quartier des Maurettes, et les 8 autres ont été installés pour éclairer et sécuriser le pôle culturel Auguste Escoffier.Particulièrement avancée, la politique RSE de Novéa Énergies défend un usage raisonné de la lumière, basé sur une démarche scientifique, grâce au développement de solutions fiables, durables et respectueuses de l’environnement. Tous les luminaires de l’entreprise angevine sont par ailleurs conformes à l’arrêté du 27 décembre 2018 relatif à la prévention, la réduction et la limitation des nuisances lumineuses. Des ensembles solaires au design unique, conçus au plus près du besoin d’éclairageVille de plus de 16 000 habitants, idéalement située en bordure de la célèbre Baie des anges, entre Nice et Antibes, Villeneuve-Loubet abrite une biodiversité riche qui lui vaut le surnom de « cœur nature de la Côte d’Azur ». Particulièrement dynamique, le quartier des Maurettes a fait l’objet d’un grand projet de requalification de la zone économique Pôle Marine 7 pour créer un véritable cœur de ville à fort enjeux en termes de développement durable. Ce projet « Cœur des Maurettes » s’inscrit dans un ensemble végétalisé préservé, doté de nouveaux équipements publics favorisant une qualité résidentielle soignée du quartier. De nouveaux programmes immobiliers ont vu le jour, avec de forts enjeux en termes de développement durable. La commune de Villeneuve-Loubet a recouru aux solutions de Novéa Énergies pour une application de plus en plus sollicitée, à savoir l’éclairage d’une partie d’un de ses nouveaux ensembles immobiliers : un parking et un chemin piétonnier.« Depuis 2016, la municipalité a engagé d’importants travaux d’investissement sur l’ensemble du parc d’éclairage public obsolète à 80 % afin de mieux éclairer les espaces publics assurant à la fois la sécurité des Villeneuvois et des économies d’énergie », affirme Lionnel LUCA, le Maire.11 mâts Combi Top 3 double crosse au design original et harmonieux avec l’éclairage public du quartier ont ainsi été installés. Novéa Énergies étant une filiale du groupe Ragni, l’entreprise angevine dispose de la palette de luminaires la plus large du marché et est le seul fabricant en capacité de proposer une continuité architecturale avec les ensembles traditionnels raccordés au réseau. Des consoles Tominia et luminaires Atinia de chez Ragni ont ainsi été apposés, sublimant la finition de ces ensembles solaires bleu capri (RAL 5019) qui se fondent parfaitement dans l’existant.Pour ce qui est de la sécurisation de la médiathèque de Villeneuve-Loubet, la ville a cette fois privilégié des luminaires Chic et des consoles Atilis sur les 8 mâts CT3, le tout en rouge vin (RAL 3005) pour valoriser la superbe allée devant le pôle culturel et l'architecture du village en toile de fond.Un choix évident pour le Maire de la ville : « Dans tous nos projets, la municipalité cherche systématiquement à faire appel aux techniques innovantes. L’usage de candélabres solaires est aussi une solution pratique et économique pour éclairer les secteurs vides de réseaux ». Sécuriser les usagers et préserver la biodiversité Intégrant la préservation de la biodiversité dans sa politique globale de développement durable, l’entreprise angevine propose des scénarii d’éclairage public autonome sur-mesure, qui éclairent juste, au plus près du besoin. En effet, pour Novéa Énergies, l’utilisation future de ses équipements solaires doit impérativement être définie au préalable, pour concevoir un scénario d’éclairage personnalisé, adapté aux écosystèmes dans lesquels ils s’intègrent.Ainsi, dans le quartier des Maurettes les ensembles solaires fonctionnent par détection de présence, en veille à 10 % toute la nuit avec 5 heures cumulées de détection prévues, soit 400 passages de 45 secondes.L’accès au pôle culturel est quant à lui éclairé à 100 % pendant les 5 heures suivant le crépuscule, puis les ensembles solaires entrent en veille à 10 % avec 1h30 de détection cumulée prévue. Les installations répondent donc à la fois au besoin de sécurité des usagers, tout en limitant les nuisances lumineuses et donc l’impact sur la biodiversité.
Il y a 2 ans et 307 jours

À 200 ans, la nouvelle jeunesse du canal de l'Ourcq

Voulu par Napoléon pour améliorer l'approvisionnement en eau potable de la capitale, puis devenu un axe majeur de la transformation industrielle et du transport de bois et charbon pour le marché parisien, le canal de 108 kilomètres inauguré en 1822 atteint cette année son bicentenaire.Sinistré par la désindustrialisation de l'Île-de-France, cet espace autrefois inhospitalier s'intègre à la ville depuis une vingtaine d'années pour devenir, pour la première fois de son histoire, un authentique lieu de vie pour les habitants. Une mue particulièrement visible du côté du XIXe arrondissement de Paris et de la commune voisine de Pantin, en Seine-Saint-Denis.Assis à l'ombre des Magasins Généraux de Pantin, des entrepôts de stockage de denrées coloniales reconvertis en siège d'une agence de publicité, Dolores et Miguel Julia savourent avec oisiveté le passage de péniches chargées de sable ou de gravats. Casquette sur la tête, ils suivent du regard les familles avec poussette qui prennent l'air, observent les cyclistes et joggeurs faisant de l'exercice.Bien que Pantinois depuis les années 1960, ce couple de retraités n'a découvert les plaisirs du canal de l'Ourcq qu'à la faveur de l'apparition du quartier flambant neuf qui a récemment remplacé de vieilles structures industrielles. Ils arpentent désormais deux fois par jour, en habitués, la nouvelle promenade aménagée au port de Pantin."C'est notre promenade des Anglais!", s'amuse Dolores, ex-rayonniste en pharmacie de 82 ans. "Avant on ne pouvait pas venir ici. C'était de la terre, il n'y avait pas de pavés".Avec sa fraîcheur et ses arbres dans cette zone urbanisée à l'extrême, ses péniches culturelles, ses nouveaux immeubles à l'architecture soignée dont les bobos parisiens s'arrachent les appartements, le canal de l'Ourcq est devenu la vitrine de Pantin, ville qui reste par ailleurs profondément populaire.Ancien no man's landL'emblématique minoterie des Grands Moulins, aux faux airs médiévaux, s'est transformée en bureaux, abritant des services de la banque BNP Paribas. Une fabrique de meubles du début du XXe siècle a été réaménagée en logements, un théâtre a pris ses quartiers dans un hangar en briques de la rive nord."Quand j'ai été élu en 2001, la ville tournait le dos au canal. C'était plutôt vécu comme une fracture. Nous avons retourné la ville vers le canal", témoigne auprès de l'AFP Bertrand Kern, le maire (PS) de Pantin. "Vous seriez venu un samedi il y a vingt ans sur les quais du canal, il n'y avait pas grand monde. Aujourd'hui ça se bouscule tellement que je suis obligé de faire des aménagements entre vélos et piétons."Les allures parfois hétéroclites des abords du canal montrent toutefois que sa transition reste encore à conclure. Ici une blanchisserie industrielle répand sur les quais une puissante odeur de linge propre, là opère une centrale à béton. Sous la passerelle du tramway T3, un camp de migrants est apparu ces derniers jours.Plus en aval, une fois le canal passé sous les voies du boulevard périphérique, le même processus de transformation urbaine s'observe dans le XIXe arrondissement de Paris.Les pique-niqueurs des pelouses de la Villette savent-ils qu'ils se tiennent à l'emplacement de l'ancienne "cité du sang" ? Jusqu'à sa reconversion en parc dans les années 1980, le lieu a accueilli pendant un siècle les immenses marchés aux bestiaux et abattoirs qui fournissaient Paris en viande fraîche.Au pont levant de la rue de Crimée, des petits bateaux de tourisme attendent de pouvoir passer. Des jeunes fument des joints en écoutant du rap, des couples dansent du tango sur une piste installée pour l'opération "Paris Plages".La renaissance du canal de l'Ourcq, le maire socialiste du XIXe, François Dagnaud, la date pour son arrondissement au mitan des années 1990 et au "pari" de la chaîne de cinémas MK2 d'ouvrir une salle dans un ancien hangar conçu par Gustave Eiffel, au milieu de ce qui était alors un "no man's land"."On était en pleine période où le crack était déjà présent, relate-t-il à l'AFP. Dans un quartier en perdition, marginalisé, pas du tout fréquenté par les habitants, ça a été l'amorce d'une mutation urbaine, culturelle et sociale."
Il y a 2 ans et 310 jours

A Paris, l'immeuble de la discorde dans un bel hôtel particulier

"Je ne vais pas me laisser faire." Parmi d'autres riverains du quartier chic de la Plaine-Monceau (XVIIe arrondissement), le radiologue Rodolphe Gombergh, 71 ans, est le premier opposant à la construction d'un bâtiment de cinq étages dans la cour de son immeuble.Dans un quartier qui en regorge, cet ancien hôtel particulier construit en 1889 se compose de deux bâtiments de style néogothique, en brique, reliés par un portique de deux arches avec des grilles en fer forgé.Dans la cour, deux charmants ouvrages d'époque: un ascenseur à pompe et un garage à fiacre... contre lequel doit bientôt se dresser un immeuble de bureaux de cinq étages dont le blanc lumineux et la forme en escalier font tâche au milieu de l'ensemble.Un bâtiment "comme à La Défense", "sans aucune allure," juge M. Gombergh en montrant le trou béant laissé par le creusement de la cour pavée pour y loger un sous-sol.La nouvelle construction a été commandée par l'Organisation européenne pour la recherche nucléaire (Cern), un centre de recherche privé situé à Genève.Si le bâtiment contesté n'est pas encore sorti de terre, les travaux entamés en septembre 2021 ont déjà laissé quelques cicatrices: lanterne et grille portées disparues, morceaux d'arche arrachés puis colmatés, affaissement de la cour et, côté rue, d'une fenêtre au-dessus d'une nouvelle ouverture.D'où l'arrêt momentané des travaux, estime le médecin, qui a lancé plusieurs recours juridiques contre le projet.Protégé, mais pas classéComment celui-ci a-t-il pu être validé par la Ville de Paris, dans un bâtiment qui, s'il n'est pas classé monument historique, est tout de même protégé au titre du plan local d'urbanisme (PLU) ?"Bonne question, je me la suis posée moi-même", répond Emmanuel Grégoire, l'adjoint (PS) à l'urbanisme, pour qui le permis de construire est "passé sous les radars" parce que "totalement légal, ce qui fait qu'il n'a été traité ni par la mairie du XVIIe ni par mon cabinet"."Nous avions un avis réservé et nous avions demandé au propriétaire de consulter les riverains", affirme le maire (LR) de l'arrondissement, Geoffroy Boulard, qui dit avoir reçu un permis initial "extrêmement succinct".En août 2019, la Commission du Vieux Paris, dont l'avis est consultatif, n'a rien vu à redire au projet, qui comportait alors un étage de moins.Un an plus tard, le permis modificatif est délivré dans la foulée des élections municipales, à un moment où la commission met "un certain temps à être remise en place", justifie son président, Jean-François Legaret.En résumé, "il y a eu des trous dans la raquette à tous points de vue", regrette Karen Taïeb, adjointe (PS) au patrimoine et élue du XVIIe arrondissement.La mairie de cet arrondissement a réagi dès février 2021, en demandant un nouvel examen à la Commission du Vieux Paris. Ce que cette dernière a fait mi-juin 2022, réclamant la modification du projet.Espoir "faible"Mais "le permis est purgé de tout recours", souligne M. Grégoire, pour qui l'espoir est "modéré, voire faible" de voir le Cern accepter.Contacté par l'AFP, ce dernier ne s'est pas prononcé sur une éventuelle modification du projet, soulignant que son permis avait été "dûment obtenu" et affirmant avoir "toujours répondu favorablement à toute demande de réunion et d'échanges".Ses responsables "ne se rendent pas très disponibles", même si une première réunion de "conciliation" est prévue en septembre, rétorque toutefois M. Grégoire."Que de temps perdu", regrette M. Boulard, pour qui ce dossier souligne "les carences de la Ville en matière de contrôle d'urbanisme et de patrimoine"."Cette reconstruction d'un immeuble de bureaux dans un quartier excédentaire en bureaux n'a aucune légitimité", insiste l'élu de droite, qui veut tout autant éviter "un massacre sur le plan esthétique".Mme Taïeb espère toujours que le "porteur de projet puisse avoir une conscience patrimoniale". Sur le seul aspect chromatique, "un parement en brique serait déjà une évolution très positive", demande M. Legaret.
Il y a 2 ans et 310 jours

Arkitelia, des conceptions 3D ultra-réalistes pour donner vie à tous les projets des pros du bâtiment

Dans ce contexte, les travaux d'aménagement des logements ont le vent en poupe. Ainsi, le secteur du bâtiment a recruté massivement en 2021 (+4,8%) et prévoit de créer 25.000 nouveaux postes en 2022, selon la Fédération Française du Bâtiment.Une embellie qui ne doit pas faire oublier l'essentiel : dans un contexte de pouvoir d'achat en baisse, les clients sont plus exigeants quant à la qualité des prestations réalisées. Ils s'attendent à un savoir-faire qui se manifeste bien avant que les travaux ne commencent.De ce fait, les artisans doivent notamment relever un double challenge :Permettre à leurs clients de se projeter dans leur futur aménagement, en intérieur comme en extérieur. Ils doivent s'adapter à ce qui se fait en termes de 3D et de prévisualisation ;Créer de la valeur en optimisant l'espace et en accordant les matériaux.Comme les artisans n'ont ni le temps, ni l'équipement, Arkitelia propose un nouveau service de bureau d'études digitalisé. Les artisans reçoivent des conceptions 3D ultra-réalistes en 3 étapes, directement à partir des photos de l'existant et de croquis cotés. Un must pour inspirer les clients, développer les ventes et faciliter les commandes.Une appli très simple et fluide pour obtenir des visuels bluffants en quelques clicsRéaliser un projet sur Arkitelia est un jeu d'enfant, puisqu'il suffit de :Sélectionner la pièce ou les extérieurs à réaliser, ainsi que les rendus souhaitésTout peut être fait directement via son smartphone ou depuis son bureau.Transmettre les documents utilesDirectement via l'app, il est possible de prendre des photos de la pièce et d'ajouter des plans et croquis cotés. À ce stade, il est aussi conseillé d'enregistrer tous les détails importants afin d'obtenir une conception la plus précise possible.Définir le style du clientLe client de l'artisan reçoit un quizz déco interactif pour exprimer ses envies (« bois épuré », « campagne chic »...) et définir son budget.Impressionner le client avec de superbes visuels 3DEn fonction de l’offre retenue, Arkitelia permet de sélectionner la pièce et de visualiser les vues du dessus en 3D, les photos virtuelles et les vues 360° quelques jours plus tard.Les (grands) petits plusUne solide expertiseTous les visuels sont créés par des architectes d'intérieurs et paysagistes, diplômés et expérimentés, qui connaissent les contraintes techniques du bâtiment. Un service inédit conçu sur mesure pour les artisansComprenant les enjeux liés à la réalité « du terrain », Arkitelia est un service adapté au quotidien des artisans (paysagistes, maçons, menuisiers, carreleurs, plombiers...), des distributeurs et des fabricants :Ils bénéficient d'un suivi personnaliséLes visuels hyper réalistes sont conçus en utilisant les produits des catalogues de l'artisanLes rendus sont envoyés en 72hLes tarifs sont très attractifs, puisqu'aucun déplacement n'est nécessaireLes projets peuvent être réalisés en vues 3D, vues 360°, voire plans et planches matériaux.3 offres pour répondre à tous les besoinsToutes les formules sont disponibles sans ou avec abonnement (15€ HT/mois – prix de lancement).De plus, des options peuvent être rajoutées à la demande : plans d'exécution, autre projet d'aménagement, 2 vues supplémentaires par pièce, un changement de texture, ou encore une vue à 360° supplémentaire par pièce.EssentielElle inclut 2 vues 3D de la pièce.Prix : à partir de 350€ HT ou bien 250€ HT avec l'abonnement.L'abonnement à 15€ HT par mois permet de bénéficier de réductions pouvant aller jusqu'à 30%. L'abonnement permet également d'avoir son logo en marque blanche sur tous les supports disponibles. Les architectes de Arkitelia utilisent les produits des catalogues de l'artisan, une présentation des visuels en format PDF leur est offerte.StandardElle inclut : la formule Essentiel, ainsi qu'un plan du dessus et une vue 360°.Prix : à partir de 300 € HT.PremiumElle inclut : la formule Standard, ainsi que des planches matériaux.Prix : à partir de 350 € HT.À propos de Noëlle Corlay, la fondatriceNoëlle Corlay est Architecte d'intérieurs depuis 10 ans.Elle a eu l'idée du concept Arkitelia durant le confinement. À cette époque, elle est contactée par Fabrice, un plombier qui cherchait à débloquer une situation : son client ne voyait pas du tout comment aménager sa future extension.À partir des photos et des croquis à la main réalisés par Fabrice, Noëlle et son équipe ont pu proposer deux implantations différentes. Cela a été un vrai soulagement pour Fabrice et son client !Aujourd'hui, Arkitelia ambitionne de se déployer à l'échelle nationale.
Il y a 2 ans et 311 jours

Revitaliser les centres-villes : un défi toujours en chantier

Les sénateurs à la tête de la mission Revitalisation des centres-villes et des centres-bourgs en ont fait un premier bilan le 7 juillet et doivent rendre un rapport complet fin septembre.D'après une consultation menée par Opinion Way pour cette mission, une majorité des 856 élus répondants juge positivement les mesures de la loi Evolution du logement, de l'aménagement et du numérique (Elan), votée en 2018.Les sénateurs constatent aussi un retour positif des maires engagés dans Action cœur de ville (ACV), lancé en 2017, doté de 5 milliards d'euros de financements et auquel ont souscrit 234 communes de taille moyenne.51% des répondants concernés par ce programme jugent que la situation de leur centre-ville s'est améliorée, contre seulement 25% pour l'ensemble des élus.C'est le cas à Tarare, une ancienne cité textile du Rhône, autrefois célèbre pour sa mousseline, ses rideaux puis son voile Tergal, à une quarantaine de kilomètres de Lyon.Le projet Cœur de ville y a été signé en septembre 2018 et vient d'être prolongé jusqu'en 2026.A première vue, Tarare ressemble à de nombreuses villes moyennes victimes de l'effondrement de leur industrie unique. Mais les bâtiments et usines, longtemps désaffectés, y laissent peu à peu place aux grues et édifices neufs.Mise en œuvreInstallation d'un établissement du brasseur lyonnais Ninkasi en 2023, ouverture du tiers-lieu La Bobine, avec espace de coworking et campus connecté : la ville connaît un nouvel élan.Le taux de chômage a reculé de 7,3 à 4,8% de 2016 à 2022, se réjouit le maire DVD Bruno Peylachon, élu en 2014. "On tire un bilan extrêmement positif du projet +Cœur de ville+ (...) la plupart des objectifs ayant été atteints", poursuit l'élu.En recul, la population est aujourd'hui stabilisée autour de 10.500 habitants, note M. Peylachon."Forcément, dans les années à venir la population va croître", anticipe-t-il, "sur le logement, d'ici 2026 nous aurons entre 400 et 500 nouveaux logements neufs et 322 rénovés".Selon une étude de l'Agence nationale de la cohésion des territoires, publiée en juin, les ventes immobilières ont augmenté de 17% dans 200 villes moyennes en France, bénéficiant du programme Action cœur de ville.Les sénateurs pointent toutefois des limites aux dispositifs de revitalisation, dont "des difficultés de mise en oeuvre" et "des objectifs locaux pas toujours bien précis".Ainsi à Villers-sur-Mer (Calvados), où le programme Petites villes de demain a été signé en mai, la mairie peine à détailler les "problèmes structurels" qu'elle entend régler.Pour le maire Thierry Granturco, le principal défi de cette cité balnéaire - 2.700 habitants l'hiver, dix fois plus l'été - est l'évolution du quartier Villers 2000."Des gens à petits moyens ont acheté leurs 30m2 à la mer il y a quarante ans pour venir de Paris passer le weekend sur la côte. Aujourd'hui ils sont retraités et vivent ici à l'année", dit-il.Eloigné du centre-ville, Villers 2000 doit bénéficier d'un programme de désenclavement, avec construction d'un centre sportif traversant et d'une voie verte végétalisée, pour permettre à ses habitants du quartier d'accéder plus facilement au centre-ville et à ses commerces.Mais sans garantie que les résidents de Villers 2000, souvent âgés, s'y rendront effectivement. Le flou règne aussi sur l'occupation réelle du quartier en hiver."Déficit de notoriété"Les sénateurs relèvent en outre une autre inquiétude: les financements sont jugés "difficiles" voire "illisibles". Des élus s'interrogent aussi sur leur pérennisation, surtout pour les petites villes.Rollon Mouchel-Blaisot, le préfet directeur du programme national ACV, a tenu à rassurer les maires réunis au Congrès des villes de France le 11 juillet.Il veut aller "plus fort, plus vite et plus loin" pour la phase 2 d'ACV, étendue jusqu'en 2026. Il préconise ainsi de remettre en question la différence entre zones tendues (fort déséquilibre entre l'offre et la demande de logements) ou détendues: "il n'y a pas assez de logements adaptés".Il veut également élargir la revitalisation "aux quartiers de gare et aux entrées de ville" et poursuivre les programmes de défiscalisation des travaux de rénovation dans l'immobilier locatif."La politique publique de revitalisation souffre d'un déficit de notoriété manifeste qui nuit à son efficacité", constate la mission sénatoriale. Les élus ont de nombreux outils à leur disposition, insiste-t-elle, mais ils ne se sentent pas assez accompagnés par l'Etat.
Il y a 2 ans et 311 jours

Vendée : le Musée d’art moderne et contemporain des Sables-d’Olonne sera rénové et agrandi d’ici à 2028

L’État participe à hauteur de 3,5 millions d’euros au projet d’extension et de réhabilitation du Musée d’art moderne et contemporain des Sables-d’Olonne.