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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

(61916 résultats)
Il y a 2 ans et 332 jours

Une base nautique cachée sous la dune

D’une surface totale de 700 m2, le bâtiment a été durablement conçu et construit pour se voir le moins possible et se fondre parfaitement dans le paysage. L’architecte Stéphane Coulaud a ainsi imaginé un bâtiment aussi bas que possible pour ne pas cacher la vue sur la ligne d'horizon, et pouvant également surmonter la montée des eaux. Il a également souhaité que la dune littorale colonisée par la végétation indigène intègre tout l’arrière du bâtiment pour une parfaite intégration environnementale.Pour réussir cette prouesse esthétique, il fallait garantir une parfaite étanchéité du bâtiment et notamment des deux toitures : l’une enterrée et non accessible ; l’autre accessible et apparente aux UV.L’entreprise ODL ETANCHEITE a sélectionné deux références de membrane synthétique FPO, proposées par Sika :L’étanchéité de la partie de la toiture immergée sous le sable a été réalisée par la membrane FPO Sarnafil TG 66-15 F. Conçue pour les toitures sous lestage, cette membrane se caractérise par sa haute résistance au développement de micro-organismes et de racines, assurant sa grande durabilité. À noter que la paroi enterrée a été étanchéifiée avec une membrane d’étanchéité FPO.En partie non protégée, la membrane Sarnafil TS 77-15 E a été choisie pour sa couleur proche de celle de l'eau et du béton. Fixée mécaniquement, cette membrane multicouche contient des stabilisants contre le rayonnement ultraviolet.Réputée pour former les futurs champions de voile, la base nautique de Carnon est aujourd’hui un ouvrage labellisé Bâtiment Durable Méditerranée. Une autre forme de distinction prestigieuse.
Il y a 2 ans et 333 jours

L'Hôtel de Ville de Paris perquisitionné dans le dossier de la Tour Triangle

La perquisition, révélée par le Parisien, était terminée mercredi en début d'après-midi, a précisé l'entourage de la maire Anne Hidalgo.Le parquet national financier (PNF) a confirmé "qu'une perquisition (avait) eu lieu (mercredi) matin dans les locaux de l'Hôtel de Ville de Paris".Menée par deux magistrats instructeurs, selon l'entourage de la maire, la perquisition fait suite à l'information judiciaire ouverte en mars par le PNF pour des soupçons de favoritisme dans le contrat d'exploitation du Parc des expositions dans le sud de Paris, où la construction de la tour a débuté en février.Les juges étaient accompagnés des gendarmes de la section de recherches de Paris, selon une source proche."C'est la suite logique et cohérente de l'information judiciaire", a commenté l'entourage d'Anne Hidalgo qui se dit "à disposition de la justice" et pour qui la perquisition s'est déroulée "de manière très calme, sans panique". Des techniciens ont fouillé des ordinateurs pour y saisir des documents à la direction de l'urbanisme, celle des affaires judiciaires, des affaires financières, aux services généraux et au cabinet de la maire, a précisé l'entourage de Mme Hidalgo. Les enquêteurs sont entrés dans le bureau d'Anne Hidalgo, où ils "sont restés un quart d'heure", a-t-on précisé. La maire, en déplacement à Avignon pour le festival, était absente mais rentrera mercredi soir pour la passation de pouvoirs à la préfecture de police entre Didier Lallement et Laurent Nuñez. Personne à la mairie n'est "mis en cause, encore moins mis en examen", souligne le cabinet de la maire, dans ce dossier qui remonte au début des années 2010, quand Bertrand Delanoë était maire, Anne Hidalgo première adjointe à l'urbanisme et la Première ministre Elisabeth Borne directrice à l'urbanisme. Accusations contestées Le PNF avait ouvert une enquête préliminaire pour "favoritisme" et "recel de favoritisme" en juin 2021, puis une information judiciaire en mars. La Ville de Paris avait résilié le contrat de concession attribué à la société Viparis, puis lui avait à nouveau confié l'exploitation du complexe événementiel via un bail emphytéotique (d'une durée de 50 ans) à l'issue d'un appel d'offres jugé contestable. Les délais de dépôt d'offres ont été notamment considérés comme trop courts, compte tenu de la complexité du projet. De plus, la Ville avait accepté que Viparis ne s'acquitte pas du droit d'entrée de 263 millions d'euros demandé aux candidats. En échange, cette filiale d'Unibail-Rodamco-Westfield devait renoncer à l'indemnité de résiliation anticipée du contrat initial. "Nous sommes très satisfaits que l'instruction permette une avancée dans ce dossier", a réagi Elise Van Beneden, présidente de l'association Anticor qui avait déposé une plainte avec constitution de partie civile en février 2021. La maire LR du VIIe arrondissement de Paris, Rachida Dati, avait également signalé à la justice en juillet 2020 le projet de construction de la tour, qui doit s'étirer sur 42 étages et 180 m de haut, dans le périmètre du Parc des expositions. Mme Dati et Anticor s'appuyaient sur un rapport de la chambre régionale des comptes d'Ile-de-France de juillet 2020, qui estimait notamment que le projet de la Tour Triangle avait été "inséré de façon critiquable dans l'enceinte du Parc des expositions". La Ville de Paris, Unibail-Rodamco Westfield et Viparis rejettent les accusations, assurant avoir respecté les règles de l'appel d'offres.
Il y a 2 ans et 333 jours

Viessmann va construire un nouveau site dédié au PAC en Europe

INVESTISSEMENT. Viessmann continue d'accélérer sur le marché des pompes à chaleur et annonce la construction d'un nouveau site dédié au secteur en Pologne. L'industriel a débloqué une enveloppe de 200 millions d'euros.
Il y a 2 ans et 333 jours

Trophées de la construction 2022 : les finalistes "Construction de logements individuels"

EN IMAGES. Quatre finalistes sont en compétition dans la catégorie "Construction de logements individuels" des Trophées de la construction 2022. Le concours, organisé par Batiactu groupe et SMABTP, a pour but de mettre en lumière des professionnels du secteur du BTP, de l'architecture et du cadre de vie.
Il y a 2 ans et 333 jours

Affaire de la Tour Triangle : la mairie de Paris perquisitionnée

INSTRUCTION. Le projet de Tour Triangle, dont les travaux ont débuté au sein du Parc des expositions de la porte de Versailles (15e arrondissement), est l'objet d'une enquête pour favoritisme. Dans ce cadre, une perquisition a eu lieu à l'Hôtel de Ville de Paris.
Il y a 2 ans et 333 jours

"Le matériau bois peut beaucoup, mais il ne peut pas tout", Paul Laigle, architecte

INTERVIEW VIDÉO. Co-auteur de "Le bois dont on fait les villes" paru aux éditions Park Books, l'architecte Paul Laigle a dressé pour Batiactu un état des lieux de la filière bois tricolore lors des Assises nationales du logement et de la mixité urbaine, le 2 juin dernier à Paris. L'occasion aussi de détailler les atouts et les limites de ce matériau biosourcé, ainsi que les enjeux auxquels il doit faire face pour s'insérer dans l'architecture urbaine de demain.
Il y a 2 ans et 333 jours

Ivy Office, lieu de travail flexible, choisit Floorify pour son revêtement de sol

Floorify est le sol de rénovation idéal, il est fin et solide et peut être posé sur à peu près n’importe quelle surface, sans préparation. Les dalles et planches de vinyle Floorify s’encliquettent facilement. Procédez à une pose flottante : pas besoin de les coller. Vous pouvez facilement découper votre sol à la taille souhaitée avec un cutter. Coupez, encliquetez et le tour est joué !Le choix idéal donc pour l’extraordinaire lieu de travail flexible Ivy Office à Hilversum. Les deux jeunes propriétaires, Marcelle et Jella, étaient à la recherche d’un beau sol naturel à l’aspect calme pour leur concept de co-working, où les personnes peuvent travailler et faire des réunions en toute tranquillité. Elles ont opté pour le sol Floorify au look béton Pebble Beach – F030 ; en combinaison avec l’intérieur minimaliste, le sol rayonne.« Le design a été fondamental, il s’intègre parfaitement dans notre concept. De plus, le sol de l’Ivy Office est foulé par énormément de monde. Il doit donc aussi être robuste et résistant. Par ailleurs, notre sol Floorify au look béton résiste aux taches et à l’eau et est également facile à laver. »Les personnes qui se rendent dans un espace de co-working veulent travailler ou faire des réunions dans un environnement calme sans perturbations. La combinaison intelligente du revêtement de sol Floorify aux propriétés d’isolation acoustique avec la sous-couche Comfort crée une surface de marche tendre ainsi qu’une couche d’isolation acoustique. Le résultat ? Chez Ivy Office, vous pouvez travailler dans le calme sans être dérangé. Insonorisant et donc parfaitement adapté pour une utilisation commerciale.« Nous sommes très satisfaits de notre sol Floorify, qui a vraiment cet aspect béton que nous recherchions. Le choix parfait pour notre concept et idéal comme sol de projet. »Vous avez trouvé l’inspiration pour donner un nouveau look à votre intérieur existant ou à votre projet ?Découvrez les sols Floorify en grand format chez un revendeur près de chez vous ou commandez rapidement et facilement des échantillons gratuits via le site.
Il y a 2 ans et 333 jours

Reconversion professionnelle : pourquoi devenir décorateur d’intérieur ?

Tout le monde peut souhaiter faire une reconversion professionnelle. Généralement, une baisse de motivation et un manque d’intérêt pour votre travail vous poussent à changer d’orientation professionnelle. Le travail de décorateur d’intérieur figure parmi les emplois qui sont accessibles aux personnes souhaitant changer de métier. Voici quelques raisons qui peuvent vous inciter à exercer ce métier dans le futur. Un travail à la pointe de la tendance Le travail de décorateur d’intérieur figure parmi les emplois à succès de ces dernières années. Ceux qui souhaitent faire une formation pour devenir décorateur d’intérieur ont compris que ce métier est actuellement en plein essor. Il est effectivement facile de se constituer une clientèle en tant que décorateur d’intérieur. Les particuliers sollicitent des experts en décorations pour transformer leurs pièces à vivre. Les entreprises par contre préfèrent engager des décorateurs d’intérieur pour transformer leurs espaces et les rendre plus accueillants et chaleureux. Tous souhaitent créer un lieu agréable à vivre en fonction de leurs besoins spécifiques. Ainsi, le travail de décorateur d’intérieur nécessite aussi une grande créativité pour adapter les dernières tendances à chaque style d’intérieur. Bien évidemment, de la passion est aussi indispensable afin de réussir vos projets de décorations. Grâce à cela, vous avez ainsi la possibilité d’aménager, mais aussi de transformer tous types d’espaces. Une profession accessible pour tous Aucun diplôme spécifique n’est requis pour réaliser le travail de décorateur d’intérieur. Toutefois, le fait de suivre une formation en décoration vous aide dans votre reconversion professionnelle. Ainsi, en plus de votre créativité, vous disposez en plus de tous les bagages nécessaires pour la réalisation de ce travail. Il est à noter cependant que le fait d’avoir de solides connaissances concernant certains logiciels de créations est avantageux pour la réalisation de ce travail. En plus, ce type d’emploi est accessible pour les personnes qui souhaitent se lancer à leur propre compte. Ainsi, vous n’avez pas besoin d’avoir un statut spécifique pour devenir décorateur intérieur. Certains passionnés proposent même leur service. Toutefois, le fait d’avoir des compétences spécifiques offre d’importants avantages pour exceller dans ce métier. Un travail souple Devenir décorateur d’intérieur permet de recevoir une rémunération intéressante. Comme mentionné auparavant, les professionnels en décoration sont très sollicités. Ainsi, vous n’aurez pas du mal à avoir des clients. Par conséquent, votre revenu est défini en fonction du nombre de projets qui sont à votre charge. Vous pouvez alors travailler à votre propre compte ou faire partie d’une agence. Le travail de décorateur d’intérieur est aussi un métier qui se réalise à des horaires flexibles. Vous élaborez votre planning en fonction de votre clientèle. À part cela, le métier de designer d’intérieur se réalise dans le domicile du client. Il est donc nécessaire d’avoir une grande mobilité pour mieux réaliser votre travail. Le métier de décorateur d’intérieur est intéressant pour une reconversion professionnelle. N’hésitez pas à vous lancer dans ce domaine pour réaliser un travail qui vous passionne et qui vous intéresse. En plus, travailler dans la décoration fait partie des professions les plus recherchées actuellement.
Il y a 2 ans et 333 jours

La climatisation réversible au service de votre confort

Avec des températures chaque année plus élevées, nous avons besoin de profiter d’un environnement frais, en particulier durant l’été. Sachez qu’il existe une solution qui peut vous rafraîchir, tout comme vous réchauffer, lorsque vous en avez besoin. La climatisation réversible séduit les Français grâce à sa technologie, qui permet de faire des économies d’énergie. Nous allons voir dans cet article son mode de fonctionnement et les différents modèles que vous pouvez choisir en fonction de votre situation. Comment fonctionne une climatisation réversible ? Connaissez-vous le système d’une pompe à chaleur air-air ? Le principe de la climatisation réversible est plutôt comparable à ce dernier. En effet, elle prend la fonction de chauffage lorsqu’il fait froid et se transforme en climatiseur lorsqu’il fait chaud. Ainsi, elle vous assure un confort thermique quelle que soit la température qu’il fait à l’extérieur. Pour cela, la climatisation réversible est composée d’un module placé à l’extérieur, et d’un autre à l’intérieur de l’habitation. Ces deux unités sont reliées par un liquide frigorigène qui a toute son importance : Lorsque la température extérieure est élevée comme en été, le module extérieur se charge de rejeter l’air chaud qui se trouve à l’intérieur de la pièce, par le biais du liquide frigorigène. L’unité intérieure aura pour fonction de rafraîchir la pièce en y diffusant de l’air frais. En hiver, l’appareil inverse son mode de fonctionnement pour chauffer votre intérieur. Le module extérieur va cette fois-ci transformer l’air froid pour permettre au module intérieur de diffuser de l’air chaud dans la pièce où il se trouve. C’est un investissement rentable mais n’hésitez surtout pas à demander plusieurs devis pour connaître le prix d’une clim réversible. Les différents modèles de climatisation réversible La technologie dont bénéficient les systèmes de climatisation réversible disponibles sur le marché ne cesse de se développer pour vous proposer des solutions toujours plus performantes. Parmi ces nombreux modèles, on peut distinguer deux grandes catégories : Les climatiseurs split : monosplit, bi split, tri split, climatiseur mural ou gainable… Les climatiseurs monobloc : fixes ou mobiles La climatisation réversible monosplit Il s’agit du modèle qui rencontre le plus de succès sur le marché français. Le modèle monosplit est particulièrement prisé par les propriétaires en quête de solutions pour réduire leur facture énergétique. Grâce à ses deux unités, il permet de tempérer une pièce de votre maison qui est généralement le salon. Si vous souhaitez climatiser ou chauffer plusieurs pièces de votre habitation, il vous faudra un modèle multisplit. La climatisation réversible multisplit Grâce à ce modèle de climatisation réversible, il vous est possible d’agir sur la température de plusieurs pièces de votre maison de manière simultanée. Il vous suffit pour cela de disposer plusieurs unités intérieures au sein des pièces de votre habitation que vous souhaitez chauffer ou refroidir. En effet, la clim réversible multisplit est constituée d’une unité extérieure et vous permet de placer jusqu’à 5 unités intérieures. Par ailleurs, chacune des unités présentes dans vos différentes pièces peut être réglée indépendamment. Vous pourrez donc programmer les programmer différemment en fonction de vos besoins. La climatisation réversible gainable Une climatisation réversible gainable est véritablement intégrée à votre lieu de vie, de manière plus discrète que le traditionnel modèle monosplit. En effet, elle a le même fonctionnement mais est installée dans un faux-plafond ou bien dans des combles. Ainsi, seules quelques grilles de soufflage seront visibles. C’est un type d’installation surtout réservé aux hôtels et des constructions neuves haut de gamme. Dans une habitation existante c’est difficilement envisageable à moins d’avoir des combles perdus accessibles. Si le résultat est clairement esthétique, le budget est conséquent car les travaux sont assez lourds. La climatisation réversible monobloc Ce système de climatisation réversible est composé d’une seule unité permettant de rafraîchir ou chauffer un espace. Vous pouvez retrouver ce modèle sous la forme d’une clim monobloc fixe ou d’une clim mobile. La modèle de climatisation monobloc fixe comprend seulement une unité intérieure et peut s’accrocher sous une fenêtre ou bien s’encastrer dans un mur. Cette solution qui a le format d’un radiateur peut facilement se fondre dans le décor sans déranger le passage, ni impacter l’aspect global d’une pièce. Pour les adeptes de la décoration d’intérieur, vous n’aurez donc aucun souci à vous faire ! La climatisation réversible mobile La clim réversible mobile existe en version monobloc ou split. La clim monobloc mobile ne nécessite aucuns travaux puisqu’il s’agit d’un bloc, généralement placé sur des roulettes pour faciliter son déplacement. Vous n’aurez plus qu’à la brancher pour pouvoir en profiter. En ce qui concerne le modèle split, vous devrez malgré tout créer une sortie pour la gaine d’évacuation de l’air. Et ce n’est pas une mince affaire que de créer cette sortie étanche de façon pérenne et efficace. La climatisation réversible Inverter Initialement commercialisé au Japon, le modèle de climatisation réversible Inverter connaît un succès grandissant auprès des Français, jusqu’à devenir un choix presque systématique. Cette clim réversible qui fonctionne de manière continue doit sa popularité à son mode d’usage optimisé et simplifié. Si elle reste plus chère que les systèmes de climatisation classiques, il faut tout de même savoir que la technologie Inverter fait des heureux sur le plan énergétique. Pour installer votre climatisation réversible, vous pourriez bénéficier d’aides financières car il s’agit d’un projet de rénovation énergétique. Ces nombreuses versions de climatisation réversible permettent de répondre à des besoins bien précis. Quelle que soit votre situation et la superficie de votre habitation, vous pourrez donc trouver l’équipement qui vous convient, pour vous sentir bien en toutes saisons.
Il y a 2 ans et 333 jours

Le non-geste de Pierre-Louis Faloci à Céret

L'architecte Pierre-Louis Faloci achève le réaménagement du musée de Céret (Pyrénées-Orientales). Il y déploie une intervention ténue, discrète, qui choisit de valoriser l'existant pour l'augmenter. À Céret, petite commune des Pyrénées-Orientales surnommée la « […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 333 jours

Algar (ex Permettez-moi de Construire) lance deux nouvelles offres BtoB destinées aux professionnels du BTP

Algar est un service complet de facilitation des procédures légales permettant aux propriétaires d'obtenir des autorisations d'urbanisme, 100% en ligne.La start-up prend en charge l'intégralité du processus : analyse des règlements d'urbanisme, constitution du dossier, impression et envoi à la mairie. Le propriétaire a accès à un tableau de bord dédié, afin de suivre l'avancement de son dossier. Une fois l'accord de la mairie obtenu, le propriétaire reçoit son panneau réglementaire pour que les travaux puissent commencer.Deux nouvelles offres voient le jour pour répondre aux attentes des acteurs du BTP :Algar PRO (BtoBtoC) s'adresse aux professionnels du bâtiment (artisans, courtiers en travaux, maîtres d'œuvre, marchands de biens, architectes d'intérieur...) qui souhaitent obtenir plus facilement les autorisations d'urbanismes nécessaires pour les chantiers de leurs clients. La simplification de ces procédures permet aux professionnels de gagner du temps et ainsi de se concentrer sur leur cœur de métier tout en planifiant au mieux leurs interventions.Algar CMI (BtoB) s'adresse aux constructeurs de maisons individuelles (de 10 à 8000 maisons par an) qui souhaitent externaliser tout ou une partie de la gestion des procédures de permis de construire. La collaboration avec Algar CMI permet à ces professionnels de gagner en flexibilité et en productivité tout en bénéficiant d'une expertise pointue du sujet.Cette étape importante pour l'entreprise s'accompagne également d'une évolution de la marque : Permettez-moi de construire est en effet devenue « Algar », un nom moins descriptif et plus inspirationnel.« Algar c'est un peu le capitaine de navire qui vous emmène à bon port, le génie qui exauce les vœux et permet à chacun d'accéder à ses projets d'habitat en conformité et avec sérénité. Je suis très fier de cette nouvelle marque, très fidèle à ce qu'est aujourd'hui Algar et à ses ambitions » Aurélien De Nunzio, co-fondateur de AlgarEn seulement quelques années, la start-up a su convaincre des milliers de clients, professionnels et particuliers, autour d'un concept qui pallie des démarches souvent lourdes et compliquées grâce à un service 100% digital et transparent.
Il y a 2 ans et 333 jours

Le réseau Maisons de Lumière by Technal inaugure un nouveau magasin de menuiseries aluminium à Frejus

L’occasion pour le Président de l’établissement Philippe RAISON, et son Directeur Général David BEAULANDE, de réunir près d’une cinquantaine de clients architectes et professionnels du bâtiment lors d’une soirée conviviale. Ce showroom-point de vente MAISONS DE LUMIERE BY TECHNAL est implanté à proximité du centre historique de Fréjus, dans la ZA Lou Gabian, facilitant l’accès des visiteurs. Il constitue le 3ème** établissement du Réseau en PACA, confirmant le maillage progressif dans cette région. L’équipe intervient dans un rayon de 100 km autour de Fréjus, dans le Var et également dans les Alpes-Maritimes. Pour David BEAULANDE, Fondateur du Maison de Lumière de Fréjus : « Nous rencontrons un excellent démarrage depuis l’ouverture en début d’année. Notre expertise dans le secteur de la menuiserie extérieure depuis plus de 15 ans est une réelle force. Elle nous a permis d’acquérir au fil des années un beau carnet d’adresses côté architectes qui réalisent de grandes villas. L’objectif aujourd’hui est de développer également notre clientèle de particuliers, aussi bien dans le neuf que sur le marché de la rénovation haut de gamme. » D’une surface totale de 200 m2, le magasin est inspiré d’un atelier d’architecte. Il est pensé tel un espace cocooning, design et chaleureux, en symbiose avec l’ADN de la marque « Vivre en TECHNAL, Vivre en harmonie ». Il présente un large choix de fenêtres, baies coulissantes, portes, vérandas, pergolas, portails, garde-corps, volets... Chaque visiteur, particulier ou architecte, peut les manipuler et se projeter à travers des mises en situation dans différents univers. Au-delà des menuiseries exposées, le showroom met en lumière la multitude de matières, de couleurs et de poignées proposées par TECHNAL, pour démultiplier l’imaginaire des clients. Besoin de rénover ses ouvertures pour renforcer le confort intérieur et réduire ses factures énergétiques ? Envie de créer une extension mais en réalisant peu de travaux ? Quel type de portail pour s’accorder harmonieusement au style de ma maison ? Puis-je bénéficier d’aides de l’état ? Est-ce possible de construire avec une empreinte carbone réduite ? L’équipe de professionnels est à l’écoute des visiteurs. Elle prodigue des conseils avisés et les accompagne à chaque étape de leur projet. Entreprise et date de création : NALTECH SAS – JANVIER 2021Dirigeants : PHILIPPE RAISON, PRESIDENTDAVID BEAULANDE, DIRECTEUR GENERAL Responsable du point de vente : DAVID BEAULANDEEffectifs :57 en fin d’année 2022 Surface du point de vente : 200 m2Adresse du point de vente : 298 avenue Lou Gabian – 83600 Fréjus Téléphone du point de vente : 04 84 81 60 87Horaires d’ouverture :Du lundi au vendredi : 9h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h00Samedi : sur rendez-vous * Liste des établissements MAISONS DE LUMIERE BY TECHNAL : Toulouse (31), Bourg-lès-Valence (26), Paris (15ème), Noisy-le-Grand (93), Saint-Maur-des-Fossés (94), Brive-la-Gaillarde (19), Lille (59), Saint-Maximin-la-Sainte-Baume (83), Montrouge (92), Dijon (21), Chantilly (60), Vannes (56), Vaires-sur-Marne (77), Sainte-Geneviève-des-Bois (91), Rennes-Est (35), Nantes-Sud (44), Roanne (42), Orsay (91), Montpellier (34), Appoigny-Auxerre (89), La Teste-de-Buch (33), Montgeron (91) Bordeaux (33) et Canohès (66). ** Deux autres magasins à Cannes (06) et Sainte-Maxime (83).
Il y a 2 ans et 333 jours

Une maison terre minimaliste pour un impact zéro carbone en Inde

Cette maison en terre a été réalisée par Art and Architecture Associates à Vadodara en Inde pour une vie minimaliste proche du zéro net carbone. Un effort personnel pour inspirer les gens à se réadapter aux pratiques de vie durables influencées par le passé. [De l’architecte] Essence – La maison de la Terre démontre les opportunités de l’environnement […]
Il y a 2 ans et 333 jours

Dans les archives d'AMC : 1989, l'État et les titans

Plongée dans les archives d'AMC, à la redécouverte d'un long article signé Élizabeth Allain Dupré, paru en 1989 à l'occasion de la livraison du nouveau ministère des Finances, à Paris (XIIe arr.). La cité administrative, titanesque "ville tertiaire" est l'œuvre des architectes Borja Huidobro […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 334 jours

Et pendant ce temps-là, en France et ailleurs…

Pour ceux qui la connaissent, notre rubrique Et pendant ce temps-là offre une coupe inédite et sans fard sur l’architecture en France et ailleurs dans le monde. En effet, la rédaction reçoit de toutes sortes de sources toutes sortes de communiqués de presse (CP), parmi lesquels chaque semaine nous faisons un tri pour vous en […] L’article Et pendant ce temps-là, en France et ailleurs… est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 334 jours

Vinci Immobilier s'installe dans son nouveau siège à La Défense

BUREAUX. Après BNP Paribas Real Estate, qui a récemment emménagé dans Metal 57, à Boulogne, c'est au tour de Vinci Immobilier d'installer ses équipes dans des bureaux ouverts, modulables et attractifs. Le nouvel immeuble a été dessiné par le cabinet danois 3XN.
Il y a 2 ans et 334 jours

Étape 21 : De La Défense Arena aux Champs-Elysées, quelle ville-musée ?

Une fois passé le tumulte de ces trois semaines de course, les sentiments distingueront ce qui relève des souvenirs ou de la mémoire. Il reste cependant encore une étape protocolaire de 112 km. Direction les Champs-Elysées donc. Allez un café-crème et un croissant et c’est parti. Dernier jour pour les coureurs malmenés par le profil […] L’article Étape 21 : De La Défense Arena aux Champs-Elysées, quelle ville-musée ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 334 jours

Étape 20 : de Lacapelle-Marival jusqu’aux grottes de Rock-Amadour

Un contre-la-montre la veille de l’arrivée à Paris est un pari risqué : si l’écart entre les premiers est trop grand, la caravane s’amuse. Mais s’il y a encore des places à jouer, dont la première, l’étape peut s’afficher pleine de rebondissement ; 40 km c’est long et c’est court et le parcours se termine sur deux […] L’article Étape 20 : de Lacapelle-Marival jusqu’aux grottes de Rock-Amadour est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 334 jours

Étape 19 : de Castelnau-Magnoac à Cahors, pour prendre le melon ?

Comme le note Christian Prud’homme, le patron du Tour, après la traversée du Gers et du Tarn-et-Garonne, la visite dans le Lot est aussi un clin d’œil à la séquence d’ouverture du Tour : le château de Cayx, situé à proximité, appartient à la famille royale du Danemark. Cette étape de 189 km est normalement […] L’article Étape 19 : de Castelnau-Magnoac à Cahors, pour prendre le melon ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 334 jours

Étape 18 : de Lourdes à Hautacam, via Pau, une journée miraculeuse ?

Cette étape de 143 km dans les Hautes-Pyrénées, avec l’enchaînement des ascensions aux cols d’Aubisque, de Spandelles, inédit sur le Tour, et enfin la montée d’Hautacam, sera dure pour tous les coureurs. Sera-t-elle pour autant déterminante pour le classement général ? Pas sûr, surtout si les positions sont figées depuis la veille. Mais, là encore, […] L’article Étape 18 : de Lourdes à Hautacam, via Pau, une journée miraculeuse ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 334 jours

Étape 17 : de Saint-Gaudens à Peyragudes via le téléphérique

Une étape dont la courte distance – 130 km – ne dit rien de la difficulté qui attend les coureurs rescapés. Il faudra en effet franchir, dans l’ordre, le col d’Aspin puis la Hourquette d’Ancizan, avant de grimper le col d’Azet pour, dans le final, encaisser encore de gros pourcentages vers l’altiport de Peyragudes. L’équipe […] L’article Étape 17 : de Saint-Gaudens à Peyragudes via le téléphérique est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 334 jours

Durieu et Thermacote : se protéger de la chaleur et du froid autrement

Éviter d’utiliser trop de climatisation ou trop de chauffage, ne pas gaspiller l’énergie, été comme hiver, ce n’est plus un vœu pieux, cela fait partie du quotidien. Il convient donc de se tourner vers des solutions qui vont permettre d’accompagner constructeurs, communes, particuliers… dans leur démarche d’économies d’énergie et donc d’isolation des habitats, du sol au toit en passant par les façades. Il est indispensable d’identifier les zones sensibles de chaque structure à isoler et d’offrir une solution optimum.Afin de déterminer quelle est la partie de l’habitat qui subit le plus les attaques de la chaleur ou du froid, il faut procéder au ratio toiture/façade qui permettra d’évaluer quelle partie est à privilégier en matière d’isolation.En général en présence :D’habitations individuelles, de sites industriels ou logistiques, de bâtiments commerciaux (magasins, centres commerciaux, bâtiments publics, écoles…) ou le dernier étage d’un immeuble : c’est la partie toit qui subit les « attaques » de température.D’immeubles d’habitation : ces sont les façades qui prennent toutes les variations de température. Dépendant de l’analyse de chaque cas, il faudra protéger le toit ou les façades. D’une bonne isolation découlera la bonne maîtrise des coûts énergétiques.Depuis une trentaine d’années aux États-Unis et un peu moins de 10 ans en Europe, les agréments cool roof et cool wall sont devenus de vrais labels garantissant une solide qualité d’isolation des murs et des toitures. Durieu avec THERMACOTE® offre une solution ultra technique aux propriétés étonnantes, agrémentée cool roof et cool wall.ThermaCote® en détails :Un concentré d’atouts :Haute concentration en extraits secs garantissant une efficacité optimale et une protection sur le long terme de tous les supports protégés.Une composition majoritaire en céramique (80 % de la peinture) qui apporte au revêtement protégé toutes les capacités isolantes couplées à la résistance aux fortes chaleurs de la céramique.ThermaCote® en action :3 spectres d’action combinés : Isolation thermique / Anti-humidité / Étanchéité à l’air : L’isolation thermique :Grâce à sa formulation spécifique THERMACOTE® agit comme une couverture de survie sur les supports. Il les enveloppe d’une couche protectrice qui en période froide, limite le passage de la chaleur vers l’extérieur en « renvoyant » la chaleur à l’intérieur du bâtiment et en période chaude permet la réflexion d’une partie la chaleur en dehors du support permettant ainsi de réduire sensiblement la température ressentie sur le support. Un support protégé avec du THERMACOTE® peut perdre plus de 20°C (de 60°C à 38°C).Anti-humidité :L’humidité est le premier ennemi de l’isolation car elle génère de l’infiltration dans les parois et entraîne la formation de condensation et de rouille. Une protection au THERMACOTE® permet de laisser respirer le support, en extrayant l’humidité tout en l’empêchant de rentrer.Étanchéité à l’air :L’infiltration ou la fuite d’air dans les supports est un gage de détérioration de l’isolation et l’application de THERMACOTE® évite ce phénomène. L’isolation est pérenne.Des atouts pour aller encore plus loinThermaCote® c’est aussi agir pour demain grâce à son action aujourd’hui :En Europe et dans le monde :À Los Angeles, THERMACOTE® fait partie avec l’État de Californie et d’autres industriels, d’un groupe d’expérimentation et de recherche visant à protéger toutes les surfaces bitumes ou béton au sol (routes, parking, …) afin de limiter l’effet d’ilots de chaleur urbains qui empêchent les températures urbaines de diminuer.En France et au-delà de la métropole (Réunion, Martinique & Guadeloupe), THERMACOTE® est en test pour l’étude du revêtement de plusieurs bâtiments publics : toitures, chaussées afin de limiter les effets d’ilots de chaleur.ThermaCote® : protéger les habitations et maîtriser les coûts d’énergie aujourd’hui, pour vivre mieux demain.
Il y a 2 ans et 334 jours

Engager le réemploi, la liste des 29 familles propices

Photo : AdobeStockCette note est un appel à la mobilisation de tous les acteurs, à s'inscrire dans une démarche commune, afin d'accélérer la massification des pratiques de réemploi dans le secteur du bâtiment. La première étape proposée dans la démarche collective consiste à cibler dans un premier temps les familles de produits les plus propices au réemploi. Le CSTB a pris le parti de mettre à profit l'expérience des acteurs du terrain, en organisant plus de quarante échanges, afin de mieux comprendre les pratiques du territoire national. La typologie des acteurs rencontrés était diverse : des plateformes de reconditionnement proposant à la vente des PEM issus du réemploi (18 acteurs), des assistants à maîtrise d'ouvrage spécialisés en réemploi, des concepteurs et prescripteurs, des entreprises travaux, des contrôleurs techniques, des maîtres d'ouvrage engagés, et des assureurs. Ces échanges ont permis de dresser une liste de 29 familles de produits, sur lesquelles la filière devrait concentrer en priorité ses actions. Nota : les possibilités de réutilisation (avec changement d'usage) ne sont pas regardées dans cette étude. Organiser et ranger en familles, les PEM (produits-équipements-matériaux) évoqués par les acteurs lors des entretiens, n'a pas été aisé. La nomenclature à utiliser reste un sujet ouvert, qui pourra notamment être précisé lors des prochains échanges des Groupes Utilisateurs accompagnant le développement de la plateforme nationale règlementaire PEMD (pour vous y inscrire : plateforme.PEMD@cstb.fr). La nomenclature retenue dans cette approche est celle de l'Assurance Construction. Les familles les plus mentionnées lors des échanges avec les acteurs apparaissent en priorité dans cette liste. A noter que la description des familles de produits est directement issue des remontées des acteurs, et pourra donc être reprécisée ultérieurement. De plus, les niveaux de maturité ne sont pas les mêmes selon les familles. Un document plus complet, explicitant le mode de sélection de ces familles, pourra être élaboré prochainement. Lire la suite : Engager le réemploi, la liste des 29 familles propices
Il y a 2 ans et 334 jours

Retour à la normale pour l'immobilier d'entreprise au 2ème trimestre 2022

Marché des bureaux en Ile-de-France : un 2ème trimestre animé par le besoin de centralitéMalgré un environnement économique et géopolitique plus dégradé, le marché des bureaux en Ile-de-France poursuit son retour à la normale avec 1 008 400 m² placés depuis le début de l’année (+ 24 % sur un an et - 2 % comparé à la moyenne décennale). L’activité au 2ème trimestre demeure solide avec 496 800 m² placés (+ 9 % sur un an et - 3 % par rapport à la moyenne décennale). Les petites surfaces, qui ont été le premier créneau de surfaces à redémarrer après la crise, continuent d’afficher un très bon dynamisme.« Après deux années chahutées, les indicateurs d’activité sont au vert sur ce 1er semestre 2022. Le bureau reste aujourd’hui un outil d’attractivité et de rétention des talents dans un marché de l’emploi en tension. Pour y répondre, de nombreuses entreprises, ayant pris à bail au cours de ce 1er semestre, ont misé sur la centralité et la modernisation des espaces de travail » déclare Alexandre Fontaine, Executive Director Bureaux Ile-de-France. Il ajoute cependant : « Le corollaire de cette tendance : certains secteurs loin des transports en commun et / ou en manque d’attractivité sont délaissés par les utilisateurs ». L’offre immédiate se maintient toujours au-dessus de la barre des 4 millions de m². « La dichotomie du marché des bureaux transparaît également dans les évolutions de la vacance. L’offre immédiate se réduit dans les quartiers les plus centraux et à La Défense. En revanche, elle continue de progresser dans certaines zones de 1ère Couronne. » ajoute Alexandre Fontaine.Nous restons cependant confiants pour ce 2nd semestre 2022. L’activité devrait continuer de se maintenir, avec une confirmation de la reprise des transactions > 5 000 m².Investissement : performance au rendez-vous malgré le contexte incertain. Malgré un contexte économique et géopolitique chahuté, le 1er semestre affiche une bonne performance avec 11,5 Mds€ investis en immobilier d’entreprise en France, soit + 30 % par rapport à un S1 2021 qui avait été particulièrement limité. Les signatures se sont faites sur des taux de rendement toujours relativement bas, avec toutefois une hausse perceptible dès la fin de ce 2ème trimestre.En effet, les nouvelles négociations en cours témoignent d'un changement de donne : les remontées des taux obligataires et du coût de l’argent commencent à faire sentir leurs impacts sur l’immobilier et il n'est pas rare de voir se modifier les conditions de financement et d’acquisition, entre la due diligence et la signature.« Face à ces perturbations, les acheteurs, qui évoluent dans un climat de fortes incertitudes financières, sont en train d'opérer des corrections de prix et de stratégies d’acquisition, dont il est encore difficile d'appréhender toutes les dimensions ». Nicolas Verdillon, Managing Director Investment Properties.Pour le semestre à venir, nous pensons que le marché devrait ralentir pour permettre aux investisseurs de mieux appréhender les zones d’atterrissage du repricing. Cependant, l'appétit pour l'immobilier demeure présent, les liquidités sont là : « Aussi, on peut espérer une réaction rapide et pragmatique du marché qui devra essayer d'ici la fin de l'année de trouver son équilibre entre le nouvel environnement financier (les taux), sociétal (nouveaux modes de travail et changements politiques) et environnemental (ESG). Dans ce marché étroit, l’ajustement des ambitions des vendeurs à ces enjeux sera également un élément clé de retour à la fluidité du marché » Nicolas Verdillon, Managing Director Investment Properties.
Il y a 2 ans et 334 jours

« Le Square » : nouveau lieu de référence pour les solutions « menuiserie métal » signé Reynaers Aluminium et Forster

Un showroom unique en plein centre de ParisSitué en plein centre de Paris, au 46 rue Chanzy dans le 11ème, ce lieu de découvertes et d’échanges est une vitrine ouverte sur les gammes de Reynaers Aluminium, de Forster et de celles de marques partenaires qui ont fait le choix de s’associer à la démarche.Plus de 300m2 ouverts aux Architectes et aux Professionnels Situé à proximité des plus grands cabinets d’architecture, « LE SQUARE » est un lieu d’exposition, de conception et d’échange de plus de 300m2 dédié aux architectes, bureaux d’études, et autres professionnels de la construction. Dès son arrivée, le visiteur est plongé dans un espace lumineux, structuré, chaleureux et rassurant qui invite à la découverte. L’espace organisé autour de circuits de visite clairs où la mise en scène des produits garantit une excellente compréhension de l’offre. Spacieux et convivial ce showroom permet d’orienter les visiteurs vers deux zones dédiées, l’une pour les menuiseries en aluminium et l’autre vers les menuiseries acier. Maîtres d’ouvrage, architectes, bureaux d’études, économistes et professionnels découvriront tout un univers de solutions constructives et d’aide à la décision pour le bâtiment tertiaire, le commerce, l’habitat individuel et collectif, en neuf comme en rénovation. « LE SQUARE » met en valeur le savoir-faire des deux sociétés à travers de menuiseries exposées en configuration réelle valorisant les tendances actuelles en termes de clair de vitrage, de finesse des structures, de fonctionnalité et de sécurité. Au croisement des tendances architecturales et des solutions techniques Conscient que l’exigence est multiple, le SQUARE a été conçu dans l’objectif de proposer un large panel de solutions qui répondent en tous points aux exigences architecturales actuelles et à venir. Les visiteurs pourront profiter des conseils et des solutions présentées pour obtenir les réponses adéquates en termes de clair de vitrage, de grande dimension, de performances thermique et acoustique, de réglementation énergétique 2020, de protection des biens et des personnes, de retardement au feu et de protection contre les incendies.Lieu d’échanges et de travail Pensé pour faciliter la découverte des produits et en réponse aux besoins des architectes, « LE SQUARE » comprend différentes zones telles que des espaces de présentation, un atelier de conception et des salles de réunion permettant d’échanger et de travailler sur les projets architecturaux les plus variés. Le bâtiment combine expression du savoir-faire et exposition des produits, en toute subtilité et élégance. Ces différents espaces permettent d’offrir une totale polyvalence de configuration pour l’organisation de différents événements.Lieu dédié à un univers de solutions techniques et de services multi dimensionnel Afin d’apporter une réponse complète aux différents intervenants dans l’acte de construire, Reynaers Aluminium et Forster ont pensé et ouvert les portes de cet espace à des industriels complémentaires. Sur simple demande de rendez-vous, les prescripteurs et les professionnels pourront venir à la rencontre des spécialistes de Reynaers Aluminium, de Forster et des partenaires associés, tous spécialistes de leur domaine d’activité. Que ce soit pour le vitrage, les finitions, la protection solaire et la sécurité, les architectes, les bureaux d’études, les économistes de la construction et les maitres d’ouvrage peuvent bénéficier d’un espace de démonstration et d’échanges permettant d’étudier les projets les plus audacieux.Liste des partenaires avec leurs spécialités :AGC – vitrages résistants au feu Assa Abloy – solutions d’ouvertures de portesAxalta – technologie de peintures hautes performancesBandalux – solutions de contrôle solairedormakaba – solutions pour sécuriser l’accès aux bâtimentseffeff Assa Abloy – solutions de verrouillage et de gestion de portesRiou Glass – vitrages design et de sécuritéSonolaque – solutions de traitement de surface des métauxVitrumGlass – vitrages chauffants et intelligentsVetrotech – vitrages de sécuritéLieu de vie et de partage Outre sa fonction primaire, « le Square » ambitionne également de créer une certaine dynamique au travers de manifestations et d’événements sur des thématiques telles que l’art, le sport, la gastronomie, l’environnement ou encore la musique.L’idée sous-jacente à cette approche est d’associer le monde de la construction à différents univers culturels afin de positionner Reynaers Aluminium et Forster en tant qu’acteurs engagés et éclectiques.
Il y a 2 ans et 334 jours

Holcim, partenaire de Norman Foster et d’Habitat for Humanity

La Norman Foster Foundation et Holcim s’allie pour des abris d’urgences plus pérennes. [©Holcim] Le groupe cimentier Holcim s’est associé avec la Norman Foster Foundation. Ce partenariat vise à repenser les habitats d’urgence. L’idée est d’être capable de déployer 1000 abris et un centre médical en une seule journée. Le tout de façon plus pérenne, puisque conçu en béton. « Actuellement, 80 M de personnes ont été obligés de quitter leurs foyers dans le monde, explique Jan Jenisch, Pdg d’Holcim. Les habitats d’urgence peuvent être plus qu’un simple toit au-dessus d’une tête. Ils doivent redonner aux personnes la sécurité d’un foyer et la dignité qui va avec. Nous sommes très heureux de collaborer avec la Norman Foster Foundation. Pour mettre nos solutions et notre expertise au service pour atteindre ce but. » Des propos confirmés par Lord Norman Foster, président de la fondation éponyme. « Nous sommes excités de travailler avec Holcim à explorer la voie vers des abris d’urgence pérenne et réutilisables ». Un accès durable au logement Le partenariat a vu une première concrétisation début juin dernier, dans la capitale espagnole Madrid. Avec un campus de travail justement conscré à cette question. Le compte-rendu de ces échanges n’a pas encore été publié, mais les discussions ont tourné autour des questions de réutilisation, de recyclage, de béton bas carbone. Mais aussi de préfabrication foraine et de ciments “verts”. Dans le même temps, le cimentier a lancé un accord avec Habitat for Humanity. Une ONG qui lutte pour l’accès des populations à un habitat durable et abordable. Pour cela, les partenaires proposent l’accès à la plate-forme digitale iBuild. Une start-up qui a récemment rejoint les 800 entreprises du même type, membres de la galaxie Holcim. Un circuit court Cet outil permet aux familles d’avoir accès en un même endroit et ce, de manière intuitive, à des institutions de micro-finance. Des entreprises de construction, des fournisseurs de matériels et des distributeurs. Le tout en circuit court. Une première expérience a été lancée dans les régions de Bajio et Veracruz au Mexique. « L’un des piliers de l’impact social positif d’Holcim est d’accélérer l’accès à des logements abordables, a précisé Jan Jenisch. Avec l’urbanisation rapide actuelle, nous avons un rôle central à jouer pour construire plus, avec moins. Ceci, afin d’améliorer le minimum standard de vie. Avec plus de trois milliards de personnes en recherche de logements durables à l’horizon 2030, je suis très heureux du partenariat lié avec Habitat for Humanity. Dans le but de déployer des solutions digitales et innovantes en réponse à ce besoin sociétal. »
Il y a 2 ans et 334 jours

Vinci Airports déploie ses ailes au Cap-Vert

Le Premier Ministre du Cap-Vert, Ulisses Correia e Silva, a signé le 18 juillet avec Nicolas Notebaert, directeur général de Vinci Concessions et président de Vinci Airports, le contrat de concession des sept aéroports de l’archipel.
Il y a 2 ans et 334 jours

Bluetek équipe les Caves Richemer

Une cave mondialement connueHistoriquement basées à Marseillan (34) entre la Méditerranée, le Canal du Midi et la Lagune de Thau, les Caves Richemer sont une coopérative agricole depuis les années 1930. La coopérative réunit 200 vignerons dont les cépages représentent une surface totale de 1 000 hectares. Réputée sur le territoire et au-delà de nos frontières, la cave coopérative est connue pour la qualité de ses vins blancs (65 % de sa production) rosés et rouges régulièrement primés.L’œil avisé d’un architecte spécialiséFort de cette réussite commune qui ne cesse de croître depuis plus de 90 ans, la coopérative a décidé d’optimiser son flux de production par la construction d’un nouveau bâtiment au sein de la même commune. La coopérative s’est appuyée sur les compétences de David Sabourdy, fondateur du cabinet SBY Architecture situé à Jacou (34), spécialisé dans les projets d’immobiliers d’entreprise, de santé et d’éducation, mais également dans l’activité vinicole depuis plus de 15 ans. Le regard avisé de l’architecte, l’a conduit à imaginer une construction respectant l’ordre de la production des vins Richemer par la forme circulaire de l’édifice.Un bardage partiel en parements compositeTout en rondeur, la forme extérieure du bâtiment a été pensée à l’image de vins de la cave coopérative. Le bâtiment a bénéficié d’une ITE sur ses 4 000 m2 de façades. Ces dernières ont été revêtues de bardage dont la moitié de la surface totale (soit 2 000 m2) avec les Parements Composite Aluminium de BLUETEK fixés sur ossature métallique.Les parements de bardage BLUETEK se composent de deux plaques en aluminium unis (ou avec effets de matières) solidarisées par une âme en résine thermoplastique (disponibles en différentes dimensions avec une épaisseur unique de 4 mm). Le chantier a nécessité des parements d’une largeur unique de 1 500 mm et de trois longueurs de 4 000, 4 100 et 4 300 mm. Parti pris de l’architecte, le choix du gris (référence coloris BLUETEK : DECOR9006) qui enveloppe plus de 90% du bâtiment et du rouge (référence coloris BLUETEK : DECOR3004).Des lanterneaux avec une isolation renforcée en toitureLe toit terrasse de la nouvelle construction est également équipé de 29 lanterneaux de désenfumage Bluesteel Therm Pneu et Bluesteel Therm DV Pneu de BLUETEK. Répartis sur les 7 000 m2 du toit, les lanterneaux apportent la luminosité naturelle intérieure nécessaire à l’exploitation du site tout en complétant efficacement son isolation, indispensable au maintien de la température de la cave tout au long de l’année. Les lanterneaux offrent un URC moyen de 1,5 W/m2K selon les modèles. Actionnés par un système de vérins, ils disposent également d’une commande manuelle déportée et de capteurs qui déclenchent automatiquement leur ouverture dès que la température intérieure atteint 93°C en cas d’incendie.Une cave à bonne température+ L’isolation de la nouvelle cave Richemer combinée aux groupes froids qui équipent chacune des cuves permet de maintenir la température idéale dans l’édifice, toute l’année, sans faire appel à un système de climatisation rapportée.Une sécurité incendie complétée par des écrans de cantonnementQuant à l’équipement intérieur relatif à la sécurité incendie, la nouvelle cave a été dotée de deux écrans de cantonnement Smoke Fix de Bluetek, L30 et L40, (dimensions en ml : 30 X 2 et 20 X 2) en toile souple et résistante (densité : 0,4450 KG/m2), à base de fibre de verre, affichant une réaction au feu classée A2 s1 d0. C’est au total 80 m2 de surface qui ont été installés pour contenir les fumées.
Il y a 2 ans et 334 jours

Le béton, grand oublié de la transition écologique

Ingénieur Arts et Métiers Paris Tech, Florent Dubois est aujourd’hui responsable Construction Durable chez Lafarge France. [©Lafarge France] Deux ans après le forfait “Ma Prime Rénov”, les législateurs se penchent sur les standards des nouveaux bâtiments. Entrée en vigueur début 2022, la RE 2020 est pensée pour donner la primauté à la sobriété énergétique et à la décarbonation de la construction. En particulier, via l’utilisation de matériaux biosourcés… Pour beaucoup, ce contexte invite à faire plus vert que vert et donc à renier le béton qui reste associé à des représentations peu flatteuses. Bien qu’en théorie le béton ait toute sa place dans les nouveaux mix de matériaux, certains décideurs auront tendance à lui préférer le bois, même s’il ne s’agit pas toujours du matériau le plus adapté. Or, la question de la qualité de vie est trop importante – et trop complexe ! – pour se contenter d’une solution simple, voire simpliste. Sur le volet écologique et économique, le béton a de beaux arguments à faire valoir. D’autant qu’il a entamé sa mue bas carbone. Alors pourquoi le reléguer d’office au “monde d’hier”, sans lui donner une chance d’aller au bout de sa propre transition ? Le fantasme d’un urbanisme sans béton Enterrer le béton, c’est renoncer à une ressource utile et pleine de potentiel, qui a déjà beaucoup évolué depuis trente ans. [©Lafarge France] La question du mieux-vivre n’a jamais été aussi prégnante que depuis que nous avons été contraints de rester confinés à domicile. Pour beaucoup, la crise du Covid a mis en exergue des besoins jusque-là sous-estimés : plus d’espace, meilleur aménagement et ouverture sur l’extérieur. Conséquence directe : le “monde d’après” fait la part belle aux régions et aux villes dites “cathédrale” (situées à 2 h de Paris et dotées d’un patrimoine culturel riche). Ces aspirations individuelles sont loin d’être incompatibles avec une quête de mieux-être collectif. En un sens, les citoyens d’aujourd’hui renouent avec l’idéal aristotélicien de la tempérance et avec le dogme stoïcien qui consiste à vivre en accord avec la nature. L’heure semble être aux mobilités douces et à la sobriété, dont s’imprègne la nouvelle génération d’architectes et de promoteurs. De fait, les “éco-quartiers” et les bâtiments “éco-conçus” n’ont jamais autant été en vogue ! Alors que le rééquilibrage territorial qui se dessine met au jour de nouveaux besoins, en termes de logement, on attend de l’urbanisme contemporain qu’il s’intègre harmonieusement à la nature. Et dans cette vision idéalisée, le béton tel qu’on se le représente habituellement n’a pas sa place. Qui voudrait encore d’un matériau réputé polluant et non recyclable ? Le citoyen et la planète, grands perdants d’un débat qui n’en est pas un Il faut néanmoins rappeler que, comme toutes les images d’Epinal, celle-ci ne correspond à aucun art de vivre réel. D’une part, parce que peu de gens sont prêts à assumer un modèle de développement qui ne repose pas sur la métropolisation et l’augmentation des infrastructures de mobilité. D’autre part, parce que l’objectif impérieux de décarbonation impose des solutions complexes : jusqu’à preuve du contraire, le matériau miracle n’existe pas ! Pourtant, l’Etat a fait le choix d’investir des milliards d’euros dans la filière du bois et pousse à son utilisation massive… au détriment d’autres matériaux. Lire aussi : Shift Project, réduire son empreinte carbone Or, en fonction des territoires et de leur spécificité, ce parti-pris n’est pas toujours pertinent. Il peut même s’avérer contre-productif dans la mesure où le bois de construction répond mal à l’injonction du “vite et massif”, voire provoque, en cas de sylviculture intensive, des conséquences nocives sur l’environnement. Bien sûr, on ne peut qu’applaudir la volonté d’accélérer la transition vers une économie décarbonée. Mais il est dommage que le débat public se retrouve caricaturé et surtout perde de vue le principal intéressé : le citoyen lui-même. Celui-ci est tributaire de politiques qui le dépassent, mais qui le concernent au premier chef. Et pour cause : le logement représente en moyenne 20 % de ses revenus. Il est donc une bombe sociale latente. Nous avons trop tendance à oublier que les Français sont fortement contraints en termes de pouvoir d’achat. Et qu’avec la pénurie de logements, aggravée par la baisse de constructions neuves, la situation n’est pas près de s’arranger. Le béton est beaucoup moins cher que la plupart des matériaux existants. Et contrairement à ce qu’on pourrait penser, pas nécessairement plus polluant. L’évacuer du débat public au détriment de l’habitant et, in fine, de la planète, n’a tout simplement pas de sens. Oser le béton pour construire demain ! Le béton est beaucoup moins cher que la plupart des matériaux de construction existants. [©Lafarge France] L’enjeu dépasse la question du matériau A ou B, puisque c’est toute l’industrie qu’il faut transformer. Gardons-nous simplement d’être trop expéditifs dans les choix qui vont être faits. Enterrer le béton, c’est renoncer à une ressource utile et pleine de potentiel, qui a déjà beaucoup évolué depuis trente ans. Pour l’avenir, nous pouvons encore miser sur deux axes de technologies de rupture. Celles qui permettent de formuler des bétons bas carbone, recyclés ou encore biosourcés, et celles qui permettent de capter et de réutiliser les émissions résiduelles de CO2. Sans compter toutes les émissions que nous pouvons éviter, en utilisant tout simplement des bétons plus performants, en moindre quantité. Alors pourquoi nous en priver ? En s’appuyant sur ces leviers, la filière du béton pourra devenir neutre en carbone et largement moins consommatrice de ressources minérales non renouvelables. Mais ce chantier collectif est aussi une affaire de volonté politique. Nous ne manquons pas de données, ni sur les besoins de construction ni sur les ressources disponibles dans les différents territoires. Il est grand temps de quitter les postures idéologiques et de mettre toutes ces expertises au service d’une meilleure qualité de vie. Pour la nouvelle génération d’architectes, de techniciens et d’ingénieurs, le défi est passionnant. Il s’agit, ni plus ni moins, de construire un vivre-ensemble enfin durable. Florent DuboisIngénieur Arts et Métiers Paris Tech et responsable Construction Durable chez Lafarge France.
Il y a 2 ans et 334 jours

Un été archi cultivé : les livres choisis par l'Académie

Le programme lecture de l'été sera dense pour les architectes, confirmés et apprentis. L'Académie d'architecture a dévoilé les nommés 2022 au prix du livre d'architecture et au prix du livre d'architecture pour la jeunesse. Au total, 11 ouvrages concourent au palmarès. De l'enquête documentaire, du […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 334 jours

Rendez-vous de la Matière + Fair(e)

Les Rendez-vous de la Matière + fair( e) est un évènement consacré aux matériaux innovants pour l'architecture, le design, la décoration et l'aménagement intérieur. Les exposants sont réunis sur plus de 700 m2, autour de l'architecture d'aujourd'hui. L’espace accueillera des architectes, designers, artisans d’art et industriels qui se rencontreront autour de conférences, discussions et workshops sur des thématiques d’actualités.
Il y a 2 ans et 334 jours

Classement des Promoteurs 2022 : ID&AL groupe, lauréat « Rénovation / Résidentiel »

ID&AL groupe intègre par ailleurs le TOP 10 des meilleures progressions de volume d'affaires global réservé.Grâce à son projet de réhabilitation d'une résidence hôtelière située en première ligne face à l'océan à Lacanau, ID&AL groupe se distingue parmi 19 autres acteurs de la promotion immobilière récompensés par Innovapresse pour des opérations jugées les plus remarquables de l'année écoulée et/ou des initiatives exemplaires.Promu dans la catégorie « Rénovation / Résidentiel » du Classement des Promoteurs d'Innovapresse, le programme L'OYAT d'ID&AL groupe propose la préservation et l'embellissement d'un bâti bénéficiant d'un emplacement extraordinaire. Située en front de mer de Lacanau et repensée dans son intégralité par ID&AL groupe, la résidence hôtelière à l'abandon – de 33 chambres et un restaurant –s'inscrit dans un programme de 22 appartements, allant du studio au 4 pièces, avec terrasse et parking.Son principe de construction vise la création d'une nouvelle volumétrie par la conservation des espaces existants et la suppression des artifices extérieurs. Résultat : des surfaces habitables allant de 26 à 116 m² répondant à tous les besoins (résidence secondaire, semi principal ou investissement locatif saisonnier), des appartements bénéficiant en grande majorité d'aperçus forêt, ville ou vues océan, et un bâtiment R+2, moderne et élégant.Un challenger à la performance remarquableLe Classement des Promoteurs propose chaque année une analyse comparée de l'activité et de la structure des principaux groupes de promotion. Dominé par Nexity, Altarea, Vinci Immobilier et Bouygues Immobilier, le Top 20 des plus importants volumes d'affaires globaux réservés - catégorie "star" du Classement - évolue peu cette année. Toutefois, l'organisation note une réduction des écarts entre les différents acteurs du marché.À l'occasion de ce millésime 2022 de son palmarès, Innovapresse a tenu également à souligner les meilleures progressions en volume d'affaires global réservé. Passant de 91 millions d'euros en 2020 à 143,5 millions d'euros en 2021 (+57,7%), ID&AL groupe se distingue une fois encore en se classant 7e du Top 10 des acteurs ayant enregistré une progression de plus de 50%.En savoir plus sur le Classement des Promoteurs.
Il y a 2 ans et 334 jours

Patrimoine : le vieux Buenos Aires démoli à vue d’œil

Le riche patrimoine architectural de la capitale argentine est exposé aux pressions d’un marché de facto non régulé. La colère gronde parmi les résidents des quartiers ainsi amputés.
Il y a 2 ans et 334 jours

Ouvêo Fenêtres Aluminium : Baies au design minimaliste et Luminosité XXL

L’alliance d’un design épuré et de la luminosité grand format est au rendez-vous avec les baies coulissantes en aluminium signées Ouvêo. Acteur national de la rénovation et construction de l’habitat individuel, Ouvêo est fabricant français de menuiseries sur-mesure multi-matériaux et personnalisables ! Depuis plusieurs décennies, Ouvêo propose de larges gammes de fenêtres, portes-fenêtres coulissants et […]
Il y a 2 ans et 334 jours

Knauf Ceiling Solutions lève le voile sur Adagio, sa nouvelle gamme minérale de plafonds

Certifiée Cradle to Cradle Silver et Gold pour la qualité de l’air, la gamme se décline sous quatre solutions, à poser seules ou à combiner selon les effets escomptés, afin d’offrir un large éventail de performances acoustiques selon les besoins de l’espace :ADAGIO ACOUSTIC+ADAGIO ALPHA+ADAGIO dB+ADAGIO HD+ (disponibles en 19, 30 et 35 mm).Dans une salle de classe, une cafétéria, une bibliothèque, un open-space ou encore une salle de réunion, les besoins convergent vers un même objectif : le confort des occupants pour leur rendre le quotidien agréable. Dotés des plafonds ADAGIO, ils permettent de vivre une nouvelle expérience.Avec une finition plus lumineuse et plus blanche, ADAGIO maximise la réflexion de la lumière et inonde les espaces de lumière naturelle et de chaleur. Un gage de bien-être et une source d’économie d'énergie. La flexibilité créative au service de l’émotion reste l’une des priorités de KNAUF CEILING SOLUTIONS pour permettre aux architectes, designers d’intérieur et agenceurs de signer des espaces uniques et emblématiques. Hautement résistant, ADAGIO est conçu pour des intérieurs durables.Des solutions blanches et lumineuses : sérénité et économiesSynonyme d’espaces épurés, la gamme ADAGIO permet de créer de beaux espaces grâce à sa surface blanche lisse. Sa finition blanche et brillante réfléchit 90 % de la lumière, illuminant ainsi les espaces d’une lumière naturelle et chaleureuse, porteuse de bonne humeur. Le faible taux de brillance renforce la sensation d’uniformité et procure une atmosphère élégante. L’optimisation de la réflexion de la lumière participe également à la réduction de l’usage de lumière artificielle, offrant jusqu’à 16 % d’économies d’énergie.De hautes performances acoustiques pour une atmosphère paisibleA l’instar de la lumière, le son participe pleinement à la réalisation d’un environnement sain et agréable. La gamme ADAGIO se distingue par une absorption acoustique de classe A (0,90 αw) avec des niveaux d‘atténuation latérale à 42 dB afin d’améliorer la confidentialité entre les espaces adjacents. ADAGIO offre une acoustique optimale pour chaque zone d’application, garantissant la confidentialité d’un échange dans un bureau privé ou améliorant l’intelligibilité et la concentration dans les open-spaces ou les salles de classe.Des choix esthétiques pour nourrir l’imaginationVisuellement saisissante, ADAGIO s’adapte, se configure, se combine, pour aider à imaginer de nouvelles possibilités et donner vie à la vision des architectes. Large choix de formes et de dimensions…, la gamme se caractérise également par une riche palette de détails de bords apparents, semi-cachés ou entièrement cachés, afin de créer des plafonds toujours plus contemporains.Des surfaces qui résistent à l’épreuve du tempsQualité, fiabilité et durabilité, tels sont les maîtres-mots des plafonds ADAGIO qui font face aux exigences du quotidien. Leur surface, plus résistante aux rayures, se nettoie aisément et offre une utilisation prolongée. Les bords renforcés, entièrement peints, facilitent le montage et réduisent le risque d’endommagement. Les poseurs de dalles n’appréhenderont plus la casse de matériel !
Il y a 2 ans et 334 jours

Pop Air, temple ludique de la légèreté à La Villette - exposition

Plongée dans les archives d'AMC, à la redécouverte d'un long article signé Élizabeth Allain Dupré, paru en 1989 à l'occasion de la livraison du nouveau ministère des Finances, à Paris (XIIe arr.). La cité administrative, titanesque "ville tertiaire" est l'œuvre des architectes Borja Huidobro […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 335 jours

Pour refroidir ses monuments, Paris mise sur la Seine

Avec des vagues de chaleur toujours plus fréquentes, Paris souhaite agrandir son réseau méconnu de "froid urbain" pour maintenir à bonne température ses monuments grâce à l'eau de la Seine.La ville Paris, qui ambitionne de devenir "le plus gros réseau mondial de froid" d'ici 2040, a signé un contrat d'une durée de 20 ans avec le groupe énergétique Engie, qui détient 85% des parts de la société Fraîcheur de Paris, et la RATP, qui possède les parts restantes."Tous les arrondissements seront desservis en 2042", annonce Dan Lert, adjoint à la maire de Paris en charge de l'eau.Développer le réseau de froid permet d'éviter le recours à "l'usage intense" de la climatisation individuelle, gourmande en électricité et émettrice de gaz à effets de serre.Christophe Ladaurade, directeur commercial chez Engie, propose avec la mairie de s'en tenir à "un écart de 5 à 8 degrés entre l'extérieur et l'intérieur", comme le permet de réseau de froid.A l'avenir, ce réseau de froid circulera dans tous les hôpitaux parisiens, certaines écoles et dans des stations de métro.Sur la rive droite du pont des Invalides, un discret escalier en colimaçon mène au "Canada" --comme la place éponyme où il se situe-- une station de refroidissement de l'eau à quarante mètres de profondeur, où se situe un dédale de pompes et tuyaux verts, bleus et gris.Sur l'un des quatre niveaux de cette station, entrée en service en 2008, l'eau de la Seine est filtrée, puis descend dans d'autres tubes où une paroi la sépare du circuit fermé de refroidissement.Cycle vertueuxA l'étage du dessous, une pompe met sous pression un groupe frigorigène afin de refroidir l'eau et l'injecte dans le circuit souterrain. Le système fonctionne en quasi autonomie, piloté par deux techniciens à distance, depuis une centrale située près de la gare de Lyon.Contrairement au chauffage urbain de Paris, le refroidissement par eau s'adresse en majorité à des sites d'activités tertiaires, et non à des logements ou à des particuliers."Nos clients sont des immeubles de bureaux, des centres commerciaux, des musées, des institutions ou encore des hôtels", résume Benoit Reydellet, directeur du projet Fraîcheur de Paris.Le musée du Louvre, l'Assemblée nationale ou encore les studios de Radio France sont ainsi maintenus au frais, en partie, grâce à l'eau de la Seine. Le système fonctionne toute l'année, puisque les grands magasins ou les musées ont besoin de garder des pièces au frais et de veiller au taux d'humidité ambiante.L'hiver, la centrale du Canada peut recourir au système du "free cooling", qui lui permet de produire du froid sans consommer d'électricité en mettant "directement l'eau de la Seine en contact de l'eau du réseau", explique M. Reydellet.Le concessionnaire s'est engagé à développer de 2% à 11% cette production vertueuse, ce qui représente un gain énergétique d'un an sur les vingt prochaines années, la durée du nouveau contrat de concession, souligne-t-il.Le mégawattheure de froid est facturé 137 euros aux clients. Du propre aveu de M. Reydellet, "c'est assez cher, mais bien plus vertueux que le froid produit par les installations autonomes" comme les climatiseurs.Et la tuyauterie de froid permet aux clients de retirer de leurs toits les grilles et autres aérations des climatiseurs, afin de disposer de toute la toiture.Quant à l'eau utilisée, chauffée par la centrale qui en a extrait le froid, elle finit par retrouver le fleuve à travers quatre discrètes voies d'évacuation. Les quelques degrés d'écart avec la température ambiante n'ont pas "d'impact sur la faune et la flore" de la Seine, rassure Benoit Reydellet.
Il y a 2 ans et 335 jours

Le recul d’activité dans les matériaux se modère en mai

La flambée des coûts de l’énergie, rajoutée aux tensions sur l’offre déjà attisées par le rebond d’activité post COVID, a eu pour conséquence de faire bondir les coûts de production dans le bâtiment et les travaux publics. Même si les carnets demeurent bien remplis, plus dans le gros œuvre que dans les TP d’ailleurs, les chantiers peinent à se réaliser, faute de facteurs de production disponibles côté entrepreneurs et/ou faute de financements suffisants côté clients, qu’ils soient publics ou privés. Cette complexité à boucler l’équation coûts-prix-devis pèse sur la demande de matériaux qui pourrait au final afficher un repli en 2022, prolongeant ainsi la tendance observée au cours des trois derniers mois sur le marché du granulat et du BPE. Mai, meilleur qu'avril, mais moins bon qu'en 2021 Selon les résultats encore provisoires pour le mois de mai, la production de matériaux se serait redressée par rapport à avril, un mois marqué par un repli sensible de l’activité. Ainsi, la production de granulats aurait augmenté de +1,6% mais demeure en retrait de -4% par rapport à celle de mai 2021 (données CVS-CJO). Sur les trois derniers mois connus, l’activité des granulats observe un repli de -4,9% comparé aux trois mois précédents et de -4,6% au regard de la même période d’il y a un an. En cumul sur les cinq mois de l’année, la tendance s’inscrit sur une pente négative de -1,5%, soit un rythme un peu moins élevé que celui de la tendance calculée sur les douze derniers mois (-1,8%). Du côté du BPE, les livraisons de mai ont également grimpé par rapport à avril (+3,1%) mais s’affichent en deçà de celles de mai 2021 (-2%). Au cours du trimestre mars-avril-mai, les volumes de BPE livrés ont cédé -3,8% par rapport aux trois mois précédents et -5,4% par rapport au même trimestre de l’année 2021. En cumul sur les douze derniers mois, l’activité du béton se replie désormais de -3,2% sur un an, tandis que sur les cinq premiers mois de l’année, le recul atteint -1,8%. L'indicateur matériaux de l'UNICEM connaît lui aussi un fléchissement en mai plus modéré qu’en avril, avec, respectivement, un recul de -2,7% contre -8,7% sur un an (données CJO). Après un premier trimestre en hausse de +1,4% en glissement annuel, l’activité du panier de matériaux de l'UNICEM se contracte désormais de -1,6% sur un an pour les cinq premiers mois de l’année, seul le segment des tuiles et briques demeurant haussier sur la période, sans doute porté par la dynamique constructive de la maison individuelle. Chiffres clés Perspectives 2020/2021 (production) Granulats : - 4% BPE : - 3% Bâtiment et TP : Tensions sur l'offre et les coûts Interrogés en juin par l’INSEE, les professionnels du bâtiment se sont montrés un peu moins optimistes sur leur activité future mais leur opinion sur l’activité passée s’est à nouveau améliorée, maintenant ainsi l’indicateur du climat des affaires à haut niveau. Les carnets de commandes se situent toujours à un point historiquement élevé dans le gros œuvre (9,8 mois) et le ressenti des professionnels quant à ces carnets demeure très favorable et largement au-dessus de la moyenne de long terme, ce qui écarte l’hypothèse de carnets artificiellement gonflés par des retards et difficultés de réalisation des chantiers. Pour autant, ces dernières restent prégnantes et près de la moitié des entreprises de gros œuvre (48,6%) sont encore dans l’incapacité d’accroître leur production (une part en léger repli par rapport au mois de mai à 57,4%) tandis que 72% d’entre elles sont confrontées à des obstacles qui limitent leur activité (personnel, approvisionnement...). On notera toutefois que la part des entreprises du bâtiment faisant face à des difficultés d’offre se stabilise en juin, voire se modère, à l’inverse de celles faisant face à des difficultés de demande dont la part, après avoir atteint un point bas, tend à se redresser. Il faut peut-être y voir les premiers signes des effets du renchérissement du coût des chantiers et des difficultés à conclure le démarrage de travaux. L’inflexion récente des mises en chantier de logements pourrait confirmer cette assertion. En effet, sur les trois derniers mois allant de mars à mai, les logements commencés ont stagné par rapport aux trois mois précédents, déjà en recul (CVS-CJO), laissant la tendance à -5% sur un an. C’est le segment du collectif qui marque le plus le pas (-16% sur le trimestre) tandis que, du côté de l’individuel, la dynamique reste enclenchée (+12%). Au total, à fin mai et en cumul sur un an, un peu plus de 388.000 logements ont été commencés, soit +0,5% en glissement annuel. En revanche, la vigueur des permis ne se dément pas même si depuis avril le flux se modère nettement : en effet, l’anticipation de la RE2020 a généré une abondance de dépôts fin 2021 qui, compte tenu des délais d’instruction (d’environ trois mois pour l’individuel) a boosté les autorisations au premier trimestre. A fin mai, 502.800 logements étaient autorisés sur un an (dont 46% en collectifs), soit +16,4% par rapport à l’année précédente. Mais sur les trois derniers mois (mars à mai), le rythme fléchit sensiblement sur l’individuel par effet de contrecoup (-11,9% par rapport au trimestre précédent) à la différence du collectif encore soutenu (+16,6%). Ce stock de permis, qui préfigure les futurs chantiers, devrait alimenter la demande de matériaux au moins sur 2022-début 2023 sauf si les pesanteurs actuelles continuent de limiter l’ouverture des travaux et d’en freiner les délais de réalisation. Côté non résidentiel, le rebond des permis et mises en chantier reste quant à lui bien engagé et constitue un facteur de soutien plutôt encourageant. Avec 27 millions de m2 de locaux commencés à fin mai sur un an (+8,3%), le rythme de progression s’est accéléré sur les trois derniers mois (+20,2%), permettant de renouer avec les niveaux d’avant la pandémie. Quant aux surfaces autorisées, elles s’inscrivent sur une tendance de +10% sur les trois derniers mois, les ouvrages commerciaux (+66,7%), industriels (+32,1%) ou encore les bureaux (+22,4%) affichant les plus fortes accélérations. Le tableau apparaît un peu plus sombre côté travaux publics où l’activité a également connu un freinage depuis mars. En dépit d’un mois de mai mieux orienté, les travaux réalisés en cumul depuis janvier se stabilisent sur un an en valeur mais ressortent en repli de -8,6% en volume. De même, les prises de commandes, bien qu’en hausse de +4,6% en valeur sur la même période, basculent en baisse de -4,8% en volume, une fois corrigées de l’inflation des coûts (par l’indice TP01). Alors que les conditions étaient réunies pour un réveil des carnets (cycle électoral, Plan de relance...), l’atonie de la commande publique éloigne encore la perspective de redémarrage des travaux. Perspectives matériaux 2022 Dans le bâtiment comme dans les TP, les contraintes d’offre, l’inflation des coûts, des prix et des devis pèsent donc sur le volume des chantiers en cours ou à réaliser ce d’autant que le stock de commandes peine à s’étoffer, comme pour les travaux publics. Ce faisant, l’ajustement de la demande de matériaux devrait être plus marqué côté granulats que BPE : initialement attendue autour de +1% en 2022, l’activité des granulats pourrait se replier de - 4% tandis que les volumes de BPE, qui devaient se stabiliser à leur haut niveau de 2021, enregistreraient un recul de -3%.
Il y a 2 ans et 335 jours

Hugo Franck, jeune nouveau président du Syndicat de l’architecture

L’architecte Hugo Franck prend les rênes du Syndicat de l’architecture. [©Virginie Akrich] Réuni en assemblée générale en juin dernier à Strasbourg, le Syndicat de l’architecture a procédé au renouvellement de son conseil d’administration. Ainsi, Hugo Franck, 39 ans, en devient le nouveau président. La vice-présidence est confiée à Bénédicte Meyniel, le secrétariat général, à Béatrice Dollé et la trésorerie, à Danièle Damon. Ses missions Hugo Franck s’engage à prendre en compte les évolutions du métier et les problématiques rencontrées chaque jour en agence. Mais aussi à intensifier les échanges en région, avec ses membres et les organisations salariales : « L’engagement n’est pas l’apanage de Paris, l’important est de mettre en avant les régions, les architectes sur leur territoire… » Enfin, à développer les services et les actions du syndicat. « Je souhaite montrer un nouveau visage du syndicat, plus jeune. Et j’engage vivement les jeunes architectes à s’engager syndicalement, non seulement dans l’Ordre, mais aussi au niveau syndical… les syndicats sont essentiels à notre profession ! Les accords font évoluer la convention collective, notamment le télé-travail, la parité... On fait ainsi avancer le dialogue social. »Par ailleurs, Hugo Franck défendra l’idée que les architectes doivent garder leurs compétences sur chantier et que la réhabilitation du bâti est l’avenir de la construction. Le parcours d’Hugo Franck « Nous militons, dans un esprit prospectif et de dialogue, en défendant les valeurs culturelles, sociales et l’intérêt général de notre métier. Ceci, pour que soient redonnées pleinement aux architectes, dans toute la diversité de leurs pratiques, les missions qu’ils ou elles doivent tenir, a déclaré Hugo Franck. […] Au regard des crises que nous traversons, nos moyens de production doivent s’ajuster et nos compétences, en tant qu’architectes, doivent être déployées. L’architecture fait partie des réponses aux défis écologiques et culturels que nous devons relever collectivement, au service de notre société et de notre démocratie. » Après avoir obtenu un diplôme d’architecte DPLG à l’Ecole nationale supérieure d’architecture de Clermont-Ferrand en 2006, Hugo Franck a créé son agence en 2007. En 2022, il lance “3 degrés Est”, un nouveau cabinet, avec deux associés. L’agence se situe à Royat, près de Clermont-Ferrand.
Il y a 2 ans et 335 jours

La nouvelle laine Isover est de retour et s'étend aux solutions d'isolation des cloisons

LA nouvelle laine : 10 brevets et des qualités inéditesCette laine est fabriquée en France à partir de verre recyclé (a minima 40 %), de matières premières minérales et d’un liant 100 % biosourcé. Eco-conçue, elle est recyclable à 100 % et à l’infini, et contribue ainsi à la qualité de l’air intérieur aussi bien pour les poseurs que pour les occupants. Elle est étiquetée A+, le meilleur classement sanitaire pour un produit de construction destiné à un usage intérieur.Sa fibre, plus longue, plus souple, plus fine et plus résistante du point de vue mécanique, est également plus agréable au toucher et confortable lors de la pose. Elle est également reconnaissable à sa couleur crème.Son bilan écologique est incomparable et permet d’améliorer deux grands indicateurs environnementaux : la pollution de l’air, l’acidification des sols et de l’eau.LA nouvelle laine en PAR PHONIC possède des performances phoniques garanties.Les isolants de la gamme PAR PHONIC : 3 solutions pour les cloisons en distribution (au sein du logement) ou séparation (entre deux logements) de locaux.Loin d’être une fatalité, le bruit nécessite d’être apprivoisé. Une conception du bâtiment et de son acoustique bien pensée permet de maîtriser la qualité sonore, le confort et le bien-être de ceux qui y vivent ou y travaillent.Pour les cloisons simple ossature, le gain d’affaiblissement pouvant être obtenu grâce à la présence des laines de verre de la gamme PAR PHONIC est de 6 à 8 dB. Les cloisons “72/48” et “72/36” conviennent pour toutes applications en particulier les logements en neuf et rénovation.PAR PHONIC PROPAR PHONIC PRO permet une productivité et un confort de pose améliorés sur les chantiers intensifs de cloisons grâce à sa semi-rigidité. Il est conditionné en rouleau.Pour les cloisons à double ossature, grâce au découplage entre les parements et grâce à la double épaisseur décalée de laine de verre PAR PHONIC PRO, le gain d’affaiblissement obtenu peut aller jusqu’à 15 dB.PAR PHONIC : un véritable amortisseur acoustiqueLe PAR PHONIC joue un rôle d’amortisseur en absorbant et en réduisant l’amplitude des ondes dans les cloisons en distribution ou en séparation de locaux.Il permet de lutter contre les nuisances sonores de façon préventive.Une seule solution pour réduire les transmissions directe et indirecte du bruit à travers les parois : l’isolation acoustique. Son efficacité est assurée si les propriétés acoustiques des produits et systèmes reposent sur le principe de “masse-ressort-masse”. Il consiste à utiliser des parois doubles, comme des plaques de plâtre, séparées par un espace rempli avec un isolant souple tel que la laine de verre qui absorbe et dissipe l’énergie.Le PAR PHONIC est adapté pour la construction ou la rénovation des logements individuels et collectifs, mais aussi des bureaux, hôpitaux, écoles, Établissements Recevant du Public (ERP), locaux industriels et commerciaux.La gamme PAR PHONIC se décline dans un choix d’épaisseurs et de largeurs adaptées à tous les types de cloisons:PAR PHONIC : la référence pour tous les projets d’isolation acoustique des cloisons AvantagesLes cloisons dotées de LA nouvelle laine de verre ISOVER en PAR PHONIC peuvent répondre à toutes les exigences en termes d’incombustibilité et d’humidité.Elles sont adaptées aux zones sismiques et permettent également de viser des hauteurs importantes d’aménagement.Les isolants PAR PHONIC peuvent être associés à tous types de plaques et répondre ainsi à de nombreuses applications : celles-ci peuvent être pré-peintes ; hydrofuges, elles conviennent aux pièces humides ; extra-dures, elles sont idéales pour les pièces très sollicitées.RéglementationLA nouvelle laine en PAR PHONIC permet d’atteindre la conformité à toutes les exigences réglementaires quel que soit le type de bâtiment et d’offrir le confort aux usagers, au-delà des réglementations en vigueur.Elle dispose de toutes les certifications et déclarations - ACERMI, marquage CE, déclaration de performances (DoP) et rapports d’essais acoustiques. Les solutions cloisons en PAR PHONIC disposent d’objets BIM disponibles sur le site isover.fr dans l’espace personnalisé My Isover.Des performances économiques appréciables pour les professionnelsLes performances des solutions cloisons ISOVER avec LA nouvelle laine de verre en PAR PHONIC s’apprécient à différents niveaux :Par rapport à des cloisons traditionnelles en maçonnerie, les cloisons sur ossature métallique offrent, sans égal, le meilleur rapport gain d’affaiblissement sonore du marché/prix,La mise en oeuvre est rapide permettant une meilleure productivité sur les chantiers,Les produits PAR PHONIC sont disponibles sans délai, ne pénalisant pas la réalisation des travaux,La forte compression des produits dans leur emballage facilite le stockage, le transport et la logistique. Le principe de mise en œuvre des cloisons acoustiques légères Mise en place de l’ossatureAprès repérage d’alignement, fixation des rails hauts et bas.Coupe des montants verticaux à la hauteur solplafond minorée de 5 mm.Engagement des montants dans les rails (entraxe de 60 ou 40 cm ou 90 cm) en les clipsant par rotation d’un quart de tour. Fixation du parement de la 1ère faceDécoupe des plaques de plâtre à la hauteur solplafond minorée de 1 cm.Positionnement en butée du plafond.Vissage des plaques sur les montants verticaux tous les 30 cm, à 1 cm des bords. Pose de l’isolant gamme PAR PHONICDécoupe de l’isolant à la hauteur sol-plafond majorée de 1 cm.Calage de l’isolant entre les montants.Fixation du parement seconde faceVissage des plaques sur les montants verticaux et en quinconce par rapport à la première face de la cloison. Jointage et finition des plaques de plâtre, fixation tous les 30 cm, à 1 cm des bords.
Il y a 2 ans et 335 jours

Würth France annonce la pose de la première pierre du chantier Evolog, l’agrandissement de ses plates-formes logistiques

Retour sur la cérémonieLors de cette manifestation, la société OTE a mis en place le premier pylône du bâtiment shuttle : un obélisque de 23 mètres de haut et de 21 tonnes. Il a été dressé à la verticale, réglé et scellé immédiatement. Symboliquement, une vis creuse contenant un parchemin a été placée dans une cavité du poteau en béton. Ce parchemin, signé conjointement par Claude Kopff, Président du Directoire et Claude Muller, Directeur de la Logistique de Würth France a pour objectif de remercier l’ensemble des parties prenantes au projet Evolog.Evolog : un investissement de plus de 70 M€ pour moderniser et agrandir la plate-forme logistique d’ErsteinWürth France poursuit son développement pour soutenir sa stratégie multicanale et sa croissance, tout en améliorant sa productivité et sa compétitivité. C’est pourquoi, EVOLOG, vaste projet de modernisation et d’agrandissement de ses plates-formes logistiques, a vu le jour. Il s’agit pour Würth France de l’investissement le plus important depuis sa création en 1967.Pour le premier volet de ce projet d’envergure, ce sont plus de 70 millions d’euros qui sont investis dans la plate-forme logistique d’Erstein (67). Créée en 1990, la plate-forme a déjà fait l’objet de quelques changement notamment deux extensions en 1995 et 1999.Amélioration des délais de livraison, augmentation de la productivité, amélioration de l’ergonomie des postes de travail, réactivité et meilleure maîtrise du traitement des commandes sont les principaux objectifs de ce projet. Ceci, non seulement pour améliorer la satisfaction des clients et rester compétitif sur le marché, mais également pour assurer la pérennité des emplois et la montée en compétences des collaborateurs grâce à la formation aux nouvelles technologies.Après plusieurs années de travail, c’est le système « Goods to Person » qui a été privilégié afin d’augmenter la réactivité, la productivité, ainsi que la sécurité des collaborateurs. Leurs conditions de travail seront améliorées et l’ergonomie de leurs postes repensée. Ce système permet également un meilleur traitement des commandes et des délais de livraison optimisés.Composée de 3 nouveaux bâtiments, cette extension constituera une surface additionnelle de stockage entre 12.000 m² et 15.000 m².Le shuttle, entrepôt entièrement automatisé d’une surface d’environ 1800 m² et de 24 mètres de haut, aura une capacité de stockage de 120.000 bacs qui alimenteront les différentes stations de picking grâce à une multitude de navettes automatisées ainsi qu’un système convoyage performant. Le système contribuera à la consolidation des commandes grâce au stockage tampon des colis, permettant ainsi d’expédier tous les colis d’une même commande de façon consolidée. La particularité de ce nouveau bâtiment est son système de protection incendie par atmosphère appauvrie en oxygène. En effet dans cet environnement hautement sécurisé, et qui n’est pas dangereux pour l’homme, la combustion des produits qui y seront stockés est impossible.Le bâtiment fonctionnel, d’une surface d’environ 5000 m² sur 5 niveaux, sera le point de lancement automatique des colis avec ses formeuses à cartons et contiendra une vingtaine de stations de picking haute performance.Le bâtiment d’expédition, quant à lui, fera le lien avec la plate-forme logistique actuelle. Il s’agit du nouvel emplacement du service Expédition avec d’abord en emballage automatique des colis avec réduction de hauteur par des chapeauteuses, une palettisation automatique et 12 nouveaux quais de chargement. Les quantités d’emballage et de produit de calage seront réduits et par conséquent l’impact environnemental.En plus de ces nouveaux bâtiments, c’est une grande partie de la plate-forme logistique actuelle qui sera modernisée. Le système de convoyage sera totalement rénové et de nombreux équipements viendront améliorer les conditions de travail des collaborateurs et permettront de réduire le nombre de colis expédiés par une consolidation plus poussée. Grâce à une nouvelle dimension des colis, les références convoyables seront augmentées et le nombre de colis et donc l’impact environnemental seront diminués. De plus, les livraisons de nos magasins se feront dans des bacs pliables réutilisables ce qui réduira drastiquement les déchets émis par ces derniers. Enfin, l’installation de panneaux solaires permettra de fournir une partie de l’énergie nécessaire.Les travaux de cet investissement hors norme constitueront une véritable prouesse technique puisque tout au long du chantier la plate-forme restera en activité, sous la responsabilité de Claude Muller, directeur logistique, et de Sébastien Bach, en charge du projet.Pour Claude Kopff, président du directoire : « Après 3 ans de travail conjoint avec la direction du groupe, nous avons eu fin 2020 l’accord pour lancer ce vaste projet de modernisation de notre plate-forme logistique. C’est un symbole de l’attachement de la famille Würth à notre site alsacien mais aussi une preuve de la volonté de pérennité de notre entreprise. Un investissement entièrement autofinancé grâce à une trésorerie saine et des fonds propres corrects, en somme le résultat d’une gestion de bon père de famille. Les travaux qui ont débuté en 2022 permettront une mise en service courant 2024. Tout au long de cette période, les collaborateurs de la plate-forme seront formés aux métiers de demain pour qu’ils soient parties prenantes de ce beau projet d’entreprise. » Les étapes-clés de la logistique chez Würth France : 1990 : inauguration d’une nouvelle plateforme logistique de 10.000 m² en ZI Ouest à Erstein (67) 1995 : première extension logistique de 5.000 m² 1999 : deuxième extension logistique de 13.000 m² (nouvelle gare de triage) 2002 : troisième extension logistique (nouveau palettier entièrement automatisé) 2008 : mise en service de la seconde plateforme logistique à Montélimar (26) (17.000 m²) 2021 : étude du projet EVOLOG pour la plateforme logistique d’Erstein (actuellement 34.000 m²) 2022 : début des travaux EVOLOG
Il y a 2 ans et 335 jours

Où va votre agence ? Enquête auprès des architectes

Nouvelle action lancée par l'Observatoire de l'économie de l'architecture, l'enquête "Où va votre agence ?" adressée à tous les architectes, a pour objectif de mieux connaître le modèle économique de leurs entreprises, à court et moyen terme. Les représentants du ministère de la […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 335 jours

Mise en exploitation des premiers 30 km de l’A79+, première autoroute à péage en flux libre en France

Cette autoroute sera achevée à l’automne 2022 et remplacera la RN79. Elle traversera d’Est en Ouest le département de l’Allier permettant ainsi de relier les autoroutes A6 et A71 sur un tronçon payant de 88 km. L’A79, décrété par l’État d’intérêt public, proposera aux usagers le système de péage en flux libre autorisé par la Loi d’orientation des mobilités (LOM) de décembre 2019. Déjà présent en Autriche, Espagne, Portugal et aux États-Unis, la technologie du flux libre s’affranchit des barrières de péage physique contribuant ainsi à moderniser le réseau d’autoroutes français. La suppression des barrières physiques apporte plusieurs avantages, tant au bénéfice des utilisateurs que de la collectivité : une circulation plus fluide avec une diminution des risques de bouchon et un gain de temps de trajet réduction de la consommation de carburant et des émissions de CO2. Lors de chaque arrêt à une barrière de péage, un poids lourd dépense un litre de gasoil ordinaire, soit 3,1 kg de CO2 émis (source : ASFA) suppression du stress à l’abord des péages, donc plus de sécurité et de confortréduction de l’artificialisation des sols. La surface nécessaire à une barrière de péage est estimée à 16 ha. Le Groupe Eiffage, qui finance en propre le projet avec un investissement de 538 millions d’euros, a réuni tous ses savoir-faire pour concevoir, construire et exploiter la première autoroute en flux libre : ALIAE est maître d’ouvrage et concessionnaire de l’A79 pour une durée de 48 ans ; Eiffage Génie Civil est le mandataire du GIE CLEA qui a la charge de la conception et de la construction de l’A79 ;APRR à qui ALIAE a confié l’exploitation et la maintenance de l’A79 sur la durée de la concession. Les chiffres clés 88 km la longueur de l’A79 23,5 mois délais de réalisation 548 ME le montant de l’investissement en propre de Eiffage48 ans durée de la concessionL’A79 en un coup d’œilUn nouveau tronçon autoroutier qui traverse la France d’Est en Ouest et relie l’A6 et l’A71. L’A79 est la section autoroutière entre Sazeret (Allier) et Digoin (Saône-et-Loire) de la Route Centre Europe Atlantique RCEA), un axe transversal stratégique pour relier sur des trajets longue distance la façade atlantique française à l’Allemagne, la Suisse et l’Italie via le centre de la France. Chaque jour, 10.000 à 15.000 véhicules composés à près de 40% de poids lourds empruntent cet itinéraire. Ce trafic de poids lourds très élevé, conjugué à une configuration routière devenue obsolète, en ont fait l’un des axes routiers français parmi les plus accidentogènes : entre 2008 et 2017, 124 personnes ont perdu la vie entre Montmarault et Mâcon. C’est pourquoi l’État a décidé en 2017 de la construction de l’A79 confiée à ALIAE. Une infrastructure du développement local et territorial L’A79 est aussi conçue pour favoriser le développement territorial. Bien que le trafic de transit soit particulièrement important, l’infrastructure doit être un vecteur d’échanges et de lien au niveau local. Ce lien sera favorisé par une mesure particulièrement forte : les automobilistes pourront circuler gratuitement sur la section Cressanges - Toulon (17 km) et sur la section de Dompierre (6 km). Par ailleurs, pour encourager l’utilisation de l’infrastructure payante par les utilisateurs locaux ou pour la desserte locale, ALIAE proposera une politique tarifaire très attractive avec une formule télépéage offrant jusqu’à 60 % de réduction sur les trajets. Cette réduction pourra s’appliquer dès le premier euro réalisé sur les trajets selon un barème dépendant du nombre de passages effectués dans le mois. Les aires de repos et de services joueront également un rôle de proximité important. En plus des aires de Pierrefitte et des haltes de Deux Chaises au niveau de la barrière de péage, deux aires de repos (Dompierre Ouest et Cressanges) et une aire de services (Toulon-sur-Allier) seront accessibles à la fois par l’autoroute et par la voirie locale.4 aires de repos Aires de repos (4 aires sur les 88 km)Parking VL/PLCovoiturageSanitaires et douches pour les chauffeurs poids lourdsBâtiment d’accueil : mange-debout, distributeur de boissons et snack, écran d’information, wi-fi gratuitBornes de paiement flux-libreEspace détente et pique-nique1 aire de service L’aire de services du Bourbonnais (Toulon-sur-Allier)RestaurantParking pour véhicules légers (VL) et poids lourds (PL)Station carburants VL/PLStation de recharge rapide véhicules électriquesPrises spéciales pour camions frigorifiquesSani-stations bus et camping-carArrêt transport en commun pour le prolongement de la ligne de bus H AléoBornes de paiement flux-libreEspace détente et pique-niqueEspace événementielSanitaires et douches gratuits pour les chauffeurs poids lourdsWi-fi gratuit 88 Km intégralement en flux libre, une première en France Dès l’automne 2022, ALIAE mettra en service la première autoroute française en flux libre, sans barrière de péage physique. Voulu par la loi d’Orientation des Mobilité de décembre 2019, le péage en flux libre a déjà été adopté dans plusieurs pays européens (Autriche, Espagne, Portugal) ainsi qu’au Brésil, Chili, aux Etats-Unis et en Inde. Et plusieurs projets sont annoncés en France sur l’A4, A13-A14, A69 et A412. Fini les gares de péages et les files d’attentes. Les portiques et la technologie mis en œuvre ont été conçus et fournis par l’un des leaders mondiaux. Ils sont déjà utilisés dans de nombreux pays : Etats-Unis, Espagne, Autriche, Brésil, Chili, Colombie, Inde. Le dispositif est constitué de caméras infrarouge, d’antennes télépéage et de capteurs auxquels s’ajoute une couche d’intelligence algorithmique qui permet de faire communiquer les équipements entre eux et vers le système de back office permettant la facturation et le recouvrement du péage en flux libre. Protection des données : un dispositif conforme au RGPD Les systèmes logiciels pour le paiement sur site internet et les bornes à pied sont développés en France et Eiffage est en l’éditeur. Les données sont hébergées en France. Le système d’identification du flux libre est conforme RGPD et ne lit les plaques d’immatriculation qu’à des fins de perception et de facturation du péage. Le droit d’accès aux données et de rectification est assurée à tous les clients. Le processus de contrôle de la protection des données personnelles est rigoureux et assuré avec un DPO (Data Protection Office) et un réfèrent RGPD, aussi bien chez Eiffage que chez APRR. Le Flux libre, mode d’emploi Sur les 88 km de l’A79, 6 portiques équipés de caméras infrarouges permettront d’identifier, quelles que soient les conditions météo, le badge télépéage ou la plaque d’immatriculation et le type de véhicule, déclenchant automatiquement la facturation. 4 options de paiement sont disponibles pour effectuer facilement le paiement des trajets Badge télépéage véhicule léger ou poids lourd : Le badge est détecté à chaque passage sous les portiques et la facturation se fait en fin de mois. Il est valable sur toutes les autoroutes de France. Inscription plaque (IBAN ou CB) : Le client enregistre simplement son numéro de plaque d’immatriculation et ses coordonnées bancaires sur le site www.aliae.com La plaque est détectée à chaque trajet et le prélèvement se fait chaque semaine. Paiement en ligne sur ww.aliae.com Après son passage, le client dispose de 72 heures pour payer, en rentrant son numéro de plaque minéralogique Paiement sur borne de paiement ou « borne à pied » 16 bornes de paiement sont mises à disposition sur les aires de repos ou de services de l’autoroute de l’A79+.Les clients peuvent y payer leur trajet lors de leur pause sur le parcours. Première autoroute en France à proposer une modulation tarifaire selon des critères environnementaux Véhicules légers : tarifs dégressifs selon les émissions de CO2 Véhicules légers (classes 1, 2 et 5) Poids lourds : tarifs dégressifs selon la classe de véhicule ET leurs émissions de CO2 Poids lourds (classes 3 et 4)
Il y a 2 ans et 335 jours

Un conte fantastique : l'hôtel du domaine de Chaumont-sur-Loire par Patrick Bouchain et Construire

Le programme lecture de l'été sera dense pour les architectes, confirmés et apprentis. L'Académie d'architecture a dévoilé les nommés 2022 au prix du livre d'architecture et au prix du livre d'architecture pour la jeunesse. Au total, 11 ouvrages concourent au palmarès. De l'enquête documentaire, du […] Lire l'article