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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

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Il y a 4 ans et 52 jours

MaPrimeRénov' connait une très forte dynamique au 1e trimestre 2021 avec plus de 185.000 dossiers déposés

A la fin du 1er trimestre 2021, plus de 185.000 dossiers déposés et plus de 317M€ de primes engagésGrâce à l’ouverte à tous les propriétaires occupants, MaPrimeRénov’ connait une très forte dynamique. Plus de 185.000 demandes ont déjà été déposées en trois mois, soit presque autant que sur l’année 2020 (191.690).Après un délai moyen d’instruction de 17 jours ouvrés, 116.899 dossiers ont été acceptés, pour un montant total de 317,4 millions d’euros de primes. MaPrimeRénov’ est ensuite versée à l’issue des travaux, 79.019 demandes de paiement ont ainsi été reçues et près de 58.000 ont été payées. 55% des travaux concernent le système de chauffageMaPrimeRénov’ permet de financer les travaux d’isolation (murs, planchers, combles, fenêtres), de chauffage, de ventilation ou d’audit énergétique. Parmi les travaux les plus sollicités le changement de système de chauffage (55%), suivi des travaux d’isolation (34%). Un forfait d’assistance à maitrise d’ouvrage (AMO) est également demandé (8%), celui-ci permet d’accompagner et conseiller les ménages pour la réalisation de ces rénovations plus ambitieuses. 59% des dossiers déposés concernent des ménages aux revenus modestes et très modestesInitialement réservée aux ménages les plus fragiles, MaPrimeRénov’ est désormais accessible à tous les propriétaires occupants, quels que soient leurs revenus. Pour autant, les ménages modestes et très modestes restent les principaux bénéficiaires, avec 59% des dossiers déposés depuis le début de l’année. MaPrimeRénov’ rencontre également un fort succès auprès des ménages aux revenus intermédiaires (36%). Par ailleurs, les régions Hauts de France, Auvergne Rhône Alpes et Ile-de-France sont les régions où le plus de dossiers ont été déposés.Téléchargez le bilan complet du 1e trimestre 2021 de MaPrimeRénov
Il y a 4 ans et 52 jours

Cap sur 2021, Bourneuf s’agrandit et se dote de nouvelles machines pour une année hors norme

Annoncé par Thierry Luce – Président du Groupe Lorillard- courant 2020, le plan d’investissement industriel du Groupe pour la partie bois s’élevait à 5,2 millions d’euros. L’activité bois, très porteuse, opère une évolution notable sur le marché des chantiers de rénovation où la demande client est de plus en plus forte, ainsi que dans le neuf, ce qui est encore plus récent et inhabituel. L’objectif était donc d’augmenter la capacité de production bois du Groupe de plus de 25 % d’ici 2022. Ainsi, 2,5 millions € viennent d’être investis chez Bourneuf, à Parigné L’Évêque, pour l’intégration entre autres d’un nouveau centre d’usinage au sein du nouvel agrandissement de près de 1000 m² de l’usine.   L’INVESTISSEMENT INDUSTRIEL COMME LEVIER DE COMPÉTITIVITÉ En service depuis janvier 2021, la nouvelle ligne de production accueille 4 machines neuves dont une tronçonneuse, une déligneuse, une corroyeuse et un centre d’usinage nouvelle génération. Mais l’intérêt majeur de cette nouvelle chaîne est son concept de commande modulaire qui va permettre à Bourneuf d’accroître sa productivité. La nouvelle extension du site des menuiseries Bourneuf à Parigné l’Evêque L’activité de Bourneuf, qui conçoit des menuiseries singulières, aux dimensions exceptionnelles, avec des profilés quasiment personnalisables, exige la nécessité de concevoir des pièces individuelles en toute flexibilité. Piloté en réseau, le nouveau centre d’usinage Conturex répond parfaitement à cette nécessité et prend en charge l’intégralité de l’usinage. Il reçoit les instructions et configurations du service Ordonnancement & Méthodes qui implémente et génère les fichiers de production selon les plans validés par le Bureau d’Etudes. Ce Conturex développé par la société Weinig, permet un usinage complet des composants d’une menuiserie en un seul passage. Mieux encore, la chaine est capable de fonctionner en autonomie totale dès lors que le magasin est « pluggé ». En effet, les équipements périphériques destinés à la fabrication de la menuiserie sont également inclus dans le processus d’automatisation. Cette automatisation va permettre de fournir plus de capacité de production à l’entreprise, qui comme le précise Pascal Joubert, Directeur Général : « doit répondre à un carnet de commande supérieur à 21 millions d’euros en 2021, alors que l’entreprise réalise d’ordinaire un chiffre d’affaires de 15 millions d’euros ». La production de mise en peinture doit conséquemment accroître son rendement. Une cabine de peinture et un pistolet double tête seront donc aménagés dans les prochaines semaines. Nouvelle installation Conturex, développée par la société Weinig, permettant un usinage complet des composants d’une menuiserie en un seul passage.   UNE SPÉCIFICITÉ PARTICULIÈRE Intégrée depuis 2016 au Groupe Lorillard, l’entreprise Les Menuiseries Bourneuf prospère sur son marché de niche : les menuiseries complexes. Comme l’explique Pascal Joubert « Notre spécificité c’est de réaliser des choses qui n’existent pas. C’est-à-dire que l’on conçoit des produits selon des besoins, souvent très compliqués, qui demandent beaucoup d’heures en bureau d’études avec une technicité et une conception peu communes ». Experte d’une menuiserie bois atypique et prestigieuse, l’entreprise en a fait ses lettres de noblesses. Sa capacité à répondre à des projets dont les besoins sont particuliers, tant dans la conception que dans l’esthétique, la place en partenaire de choix. Le bureau d’études a accueilli 2 nouveaux salariés et possède désormais 5 personnes pour répondre aux demandes de plus en plus nombreuses. Et en outre, en dehors des palaces et autres lieux haussmanniens prestigieux, Bourneuf répond nouvellement – et de plus en plus fréquemment – à des projets en construction neuve pour des écoles comme l’ENSAM à Angers, Mellinet à Nantes ou encore le lycée Corneille à Rouen. « Nos chantiers sont majoritairement en rénovation mais depuis quelques temps les demandes pour des bâtiments neufs sont de plus en plus fréquentes avec des projets intégrants des ensembles adossés à des épines en bois très hautes, des côtes dimensionnelles très importantes qui sortent des standards » précise Pascal Joubert.   UNE NOUVELLE CERTIFICATION Toujours en quête d’excellence, Bourneuf développe des menuiseries de très haute technicité. Dans cette continuité, l’entreprise a obtenu début 2021 la certification CR3 anti effraction pour ses fenêtres, en vertu des normes EN1627 à EN1630. Ces normes classifient les menuiseries selon un critère unique : le retard à l’effraction. Celui-ci est mesuré selon le temps de résistance et le type de matériel autorisé. La force physique avec l’aide d’outils tels qu’un pied de biche s’applique à une menuiserie CR3, capable de garantir un temps de résistance à l’effraction de 5 minutes. Cette nouvelle certification s’ajoute à l’homologation pare-balle FB6 NS ainsi qu’aux classifications coupe-feu 1h et pare-flamme ½ heure et vient renforcer la forte valeur ajoutée premium des huisseries Bourneuf. 2021 s’annonce être une année exceptionnelle pour Bourneuf. L’entreprise a ouvert une agence à Nantes et également à Bordeaux- en plus de Paris et Lyon – et va également embaucher 3 menuisiers dont un compagnon en formation depuis 1 mois, afin de faire face à cette croissance annoncée. Une ferveur pour le bois reviendrait-elle en force ? Pascal Joubert mise plutôt sur « l’activité actuelle du marché du bâtiment qui bénéficie du plan de relance, des aides de l’Etat pour le tertiaire, les écoles, etc. Il est indéniable que le bois est un matériau biosourcé qui a cette prévalence par rapport au PVC ; mais il ne faut pas oublier qu’une gestion PEFC est une exigence pour un mode de consommation maîtrisé du bois ». C’est dans le cadre de sa stratégie d’amélioration continue que le Groupe Lorillard poursuit ses investissements sur ses différents sites de production afin qu’ils bénéficient d’outils toujours plus performants et précis, et permettant davantage de personnalisation. Le prochain site à en bénéficier sera celui de la Menuiserie Meslin. Pascal Joubert qui pilote l’intégration de la Menuiserie Meslin au sein du Groupe, confirme qu’elle dispose également d’un fort carnet de commande et nécessite d’embaucher et d’investir dans un nouveau centre d’usinage (prévu sur Mai 2021). Une cabine de finition sera également installée en 2022. Avec l’acquisition de la Menuiserie Meslin, la représentativité de l’activité bois au sein du Groupe Lorillard se chiffre à 45 M€ (fourniture et pose et fourniture seule), soit un quart du chiffre d’affaires du Groupe. Partager la publication « Cap sur 2021, Bourneuf s’agrandit et se dote de nouvelles machines pour une année hors norme »
Il y a 4 ans et 52 jours

Le futur collège de Remoulins affiche de fortes ambitions environnementales

Agir face au changement climatiqueLe futur établissement remplacera l’ancien collège Voltaire construit dans les années 60, aujourd’hui dépassé en termes de normes et de capacité d’accueil. Partiellement situé en zone inondable, le nouveau bâtiment pensé par NM2A Architecture est bâti sur pilotis et met en scène les matériaux bois et béton.Projet issu d’une démarche environnementale ambitieuse, le futur collège de Remoulins vise à répondre à plusieurs exigences en ce sens : labels BEPOS et E3C1, Démarche Bâtiments Durables Occitanie (niveauOr), Bâtiment Nowatt. D’où la pertinence d’utiliser des bétons bas carbone pour sa construction.Un besoin ? Un bétonCEMEX, depuis son unité de production de Montfrin située à seulement 7 kms du chantier, a fourni à son client Eiffage Construction, entreprise générale, près de 5 000 m³ de bétons à faible teneur en carbone, dont près de 3 000 m³ de Vertua® classic et 2 000 m³ de Vertua® plus, affichant respectivement une diminution de l’empreinte carbone de 20 à 35 % et de 35 à 60 % ; un apport non négligeable dans l’atteinte des ambitions environnementales du maître d’ouvrage. De plus, CEMEX a livré des bétons architectoniques gris et blancs pour la réalisation des murs des couloirs du bâtiment conçus comme de grandes avenues. Pour ces bétons esthétiques, atteindre à la perfection la teinte exigée par l’architecte a nécessité plusieurs formulations et échantillons peaufinés par les équipes techniques. Enfin, c’est l’unité de production nîmoise qui produit les 200 m³ de chape anhydrite destinés aux 4.800 m² de planchers et dont les caractéristiques évitent la multiplication de joints de fractionnementPas de compromis sur la santé et la sécuritéAfin de préserver la sécurité des usagers du collège et de leurs accompagnants, CEMEX a adapté son planning de production et de livraison aux horaires scolaires, l’ancien établissement toujours en fonctionnement étant situé à proximité immédiate du chantier. Autre illustration de l’engagement de CEMEX dans la santé et la sécurité de ses parties prenantes : sa plateforme 100 % digitale spécialisée dans la gestion des commandes de matériaux et le suivi des livraisons en temps réel. CEMEX Go a effectivement contribué à améliorer les performances sécurité (distanciation physique), environnement (0 papier) et productivité (facilité et souplesse d’utilisation, gain de temps) d’Eiffage Construction ; un atout appréciable dans la gestion de ce chantier devant être livré d’ici au second semestre 2021 pour permettre, dès janvier 2022, de recevoir les collégiens de Remoulins et de ses environs, et ce dans le plus grand respect des hommes et de l’environnement.
Il y a 4 ans et 52 jours

Avis technique pour le Deltivoutain+CI d’Edilteco

Deltivoutain+CI d’Edilteco bénéficie désormais d’un Avis technique du CSTB. [©Edilteco] Deltivoutain+CI&nbsp;(pour correcteur intégré) est un entrevous à rupteur de pont thermique intégré. Très fonctionnel, ce rupteur est intégré en sous face dès la fabrication de l’entrevous. Il offre une correction thermique&nbsp;Up&nbsp;< 0,27&nbsp;W/m2.K. Il est&nbsp;sécable et se casse aussi à la main. Brevetée, cette solution bénéficie désormais d’un Avis technique du CSTB. Ce dernier est délivré par les groupes spécialisés 3.1 (Planchers et accessoires de plancher) et 20 (Produits et procédés spéciaux d’isolation). Cet Avis technique garantit la durabilité, ainsi que l’efficacité du correcteur de ponts thermiques. En parallèle, les professionnels du BTP ont plébiscité le&nbsp;Deltivoutain+CIpar le biais de la 9eédition du concours Sageret, qui vise à élire les meilleurs produits du secteur. Ils ont décerné à Edilteco France le label “Elu innovation par les professionnels du BTP”, dans la catégorie “Structure, Façade, Maçonnerie”. Ce concours est une distinction qui salue la force novatrice de l’entreprise en matière technique et technologique.
Il y a 4 ans et 52 jours

4ème édition d’Usimages, biennale de la photographie du patrimoine industriel

Usimages, organisée par l’Agglomération Creil Sud Oise (ACSO) avec le concours de Diaphane, pôle photographique en Hauts-de-France, propose 13 expositions en plein air dans les communes et invitent ainsi les habitants à une déambulation photographique à travers le territoire. Jusqu’au 20 juin 2021. Cette biennale est une formidable occasion de mettre en valeur des photographies [&#8230;] L’article 4ème édition d’Usimages, biennale de la photographie du patrimoine industriel est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 52 jours

Expo universelle Dubaï 2020 : le Pavillon France est terminé

Le pavillon imaginé par les cabinets d'architectes Atelier Perez Prado et Celnikier & Grabli Architectes et le bureau d’études OTE Ingénierie sur le thème spécifique "Lumière, Lumières", a été livré par le groupe belge Besix.
Il y a 4 ans et 53 jours

Les solutions d'isolation thermique par l'extérieur Sto au cœur de la démarche constructive

Face à l'urgence, la France a décidé d'être le fer de lance de la lutte contre le réchauffement climatique.Pour cela, le gouvernement défend une politique climatique ambitieuse avec :Un objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre de 55% en 2030 à l'échelle européenneUn objectif de neutralité carbone à l'horizon 2050 inscrit dans la loi énergie-climat de 2019Sto, le leader de l'isolation thermique par l'extérieur, soutient ces objectifs et souhaite que le secteur du bâtiment puisse jouer un rôle clé dans une stratégie nationale de décarbonation.Il est important de rappeler que celui-ci représente 44% de la consommation énergétique et 27% des émissions de gaz à effet de serre au niveau national.De plus, en 2018, les émissions du secteur ont dépassé de plus de 14% la trajectoire assignée par la Stratégie Nationale Bas Carbone.A ce titre, la Réglementation Environnementale 2020 (RE2020) est la dernière opportunité, pour le secteur de la construction, de contribuer aux objectifs 2030 et 2050.Autre constat : près de 90% de l'énergie utilisée provient de combustibles fossiles et 40% de cette énergie est utilisée pour chauffer les bâtiments.L'énergie n'est pas illimitée et elle l'est encore moins gratuite ! Une prise de conscience qui revient chaque hiver, lorsque les factures de chauffage s'envolent une fois de plus.Les occupants de bâtiments passifs ou à énergie positive n'ont plus ce genre de préoccupations, ce type de constructions exigent en effet une consommation de chauffage peu élevée. Parmi les principales raisons : une enveloppe extérieure parfaitement isolée qui joue un rôle central pour atteindre ces performances thermiques ambitieuses.Julien Velar, chef de produit ITE : « Grâce à son savoir-faire acquis depuis plus de 50 ans dans les systèmes d'isolation thermique par l'extérieur et depuis une dizaine d'années dans le passif, Sto est en mesure d'apporter une contribution importante afin d'accompagner le développement de ces modes constructifs d'avenir. La meilleur énergie, tant en termes économique qu'environnemental, est l'énergie que l'on ne consomme pas ! ».
Il y a 4 ans et 53 jours

Un chalet en A des années 70 rénové en Slovaquie

Ce chAlet a été rénové par l&#8217;atelier d&#8217;architectes Y100 et se trouve au coeur d&#8217;une forêt de Donovaly en Slovaquie. [D&#8217;après l&#8217;architecte] Le chAlet original construit dans les années 70 a fournir à ses propriétaires de belles années de vacances et loisirs. Changer le volume n&#8217;était pas nécessaire, le défi était d&#8217;intégrer tout le confort dans [&#8230;]
Il y a 4 ans et 53 jours

14 logements dans une cour enclavée, un exercice de navibotellisme par Mars architectes à Paris

L&#39;architecte, enseignant et pr&eacute;curseur de la recherche en architecture, Jean-Pierre P&eacute;neau nous a quitt&eacute;s &agrave; la mi-avril. Il &eacute;tait &acirc;g&eacute; de 84 ans et luttait vaillamment depuis quelques temps contre un cancer malheureusement envahissant. Jean-Pierre P&eacute;neau fut d&rsquo;abord l&rsquo;un de ces hommes-rep&egrave;res que compta chaque&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 4 ans et 53 jours

Philippe de Gobert – « Du merveilleux en architecture au conte photographique »

Exposition phare du printemps et de l’été 2021 au MuMa Musée d&#8217;art moderne André Malraux, Le Havre, « Philippe de Gobert. Du merveilleux en architecture » nous plonge dans l&#8217;univers singulier et poétique d&#8217;un artiste féru d&#8217;architecture moderniste, Philippe de Gobert. Le parcours mêle ses propres photographies et maquettes à des documents d&#8217;archives qui révèlent [&#8230;] L’article Philippe de Gobert – « Du merveilleux en architecture au conte photographique » est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 54 jours

Au ministère de la Défense, Adapta Color pour un effet furtif

Le ministère de la Défense est heureusement protégé, sur son flanc périphérique, par une clôture en aluminium expansé dont les effets cinétiques sont issus des poudres peinture d’Adapta Color, créateur de teintes architecturales. Chacun reconnaît désormais le ministère de la Défense, livré en 2015 à « Balard » par l’agence ANMA (Nicolas Michelin) dans le [&#8230;] L’article Au ministère de la Défense, Adapta Color pour un effet furtif est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 54 jours

La mer en 43 photos – L’art photographique s’affiche à Noirmoutier

La mer en 43 photos&#160;! La Ville de Noirmoutier-en-l&#8217;Île (Vendée) expose des photos en centre-ville et propose ainsi une nouvelle offre culturelle, durant cette période où les lieux d&#8217;exposition sont fermés. Jusqu’au 21 septembre 2021. La mer en 43 photos Le long du quai Jean Bart, 19 panneaux photos illustrant le monde de la pêche [&#8230;] L’article La mer en 43 photos &#8211; L’art photographique s’affiche à Noirmoutier est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 54 jours

Appel à candidatures – 2ème édition du Prix Caritas Photo Sociale

Cette nouvelle édition du Prix Caritas Photo Sociale confirme la volonté de valoriser le travail des photographes qui donnent de la visibilité à la pauvreté, à la précarité et à l’exclusion en France. En soutenant une diversité d’écritures photographiques et des approches originales de la photographie sociale, le prix souhaite également agir sur la prise [&#8230;] L’article Appel à candidatures &#8211; 2ème édition du Prix Caritas Photo Sociale est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 54 jours

La province Argentine de Mendoza, son terroir, son malbec et ses bodegas architecturales

Un cabinet d'architecture a particulièrement dessiné cette transformation paysagère et sociale: celui d'Eliana Bormida et Mario Yanzon qui accompagnent l'essor du vin argentin avec plus de 30 édifices construits en dialogue "profond" avec le paysage andin.A la fin des années 1990, Mendoza est devenue terre attractive pour des investisseurs désireux "de faire des vins capables de rivaliser sur les marchés internationaux" et qui ont fait appel au cabinet Bormida et Yanzon "pour planter leurs bodegas dans le décor", raconte Eliana Bormida lors d'un entretien avec l'AFP."Nous n'aurions jamais imaginé qu'une décennie plus tard, il y aurait eu un tel boom à créer des établissements vinicoles qui soient non seulement un lieu de production de grands vins, avec les outils d'une œnologie moderne et contemporaine, mais aussi un lieu d'accueil de visiteurs", explique-t-elle.Et depuis Mendoza, le cabinet Bormida et Yanzon a exporté son savoir-faire à travers les frontières et crée désormais des espaces viticoles en Bolivie, en Uruguay, au Mexique, au Portugal et en Russie.Ailleurs dans le monde, dans le vignoble bordelais, de nombreux crus prestigieux déjà pourvus en bâtiments avaient aussi souhaité à l'aube des années 2000 investir dans le bâti pour augmenter la valeur du domaine et surtout sa notoriété. L'adaptation technologique à une vinification encore plus précise avait déclenché une rivalité pour s'arracher de grandes signatures de l'architecture internationale et construire de nouveaux chais en harmonie ou disruption avec le classicisme bordelais."Architecture du paysage"En Argentine, les bodegas ont elles aussi évolué de "lieu de vinification à centre d'interprétation de la viticulture de Mendoza", estime Eliana Bormida. "En suivant le concept d'architecture paysagère, nous avons cherché non seulement à concevoir des bâtiments utiles, mais aussi à créer un dialogue profond avec le paysage des montagnes enneigées" qui les entourent."Architecture du paysage" est le nom du recueil dans lequel l'architecte décrit certaines de leurs réalisations les plus emblématiques comme les bodegas Salentein, O. Fournier ou Diamandes, certaines ayant été primées.Ce que leurs créations expriment "c'est une très grande appréhension du design, de l'architecture, de la culture, du climat et du paysage. Peu d'architectes dans le monde ont la profondeur et l'étendue de ces connaissances", estime auprès de l'AFP Paul Nakazawa, professeur d'architecture à l'université de Harvard.Dans la vallée de l'Uco et son immense plaine désertique de végétation xérophile, trône la gigantesque bodega Salentein, à la démesure de la nature qui l'entoure.Le long d'un axe de 1,5 km de long, dans un complexe de 2.000 hectares de vignoble irrigué par les eaux de fonte des sommets enneigés de la Cordillère, se mêlent les chais de vinification, la pharaonique cave de vieillissement, un centre d'accueil, un lieu de restauration, d'exposition, et même une chapelle.Les matériaux des façades sont un mélange de sable et de cailloux prélevés dans le sol de la région. Tout en couleurs terreuses.Dans l'étendue de la province de Mendoza, où est produit plus de 70% du vin argentin, les desseins des propriétaires sont divers et l'architecture est aussi influencée par le lieu où est érigé l'édifice.A la fin des années 1990, un jeune Espagnol s'est présenté au cabinet Bormida et Yanzon avec une vision claire: construire une bodega "qui exprimerait le XXIe siècle et le Nouveau Monde".Le résultat architectural se nomme Alfa Crux (anciennement O. Fournier), qui intègre différentes échelles d'espaces extérieurs et intérieurs dans la vaste plaine aride.L'œuvre, comme tous les projets conçus par le duo d'architectes, a été conçue à partir de l'émotion provoquée par le lieu.Pour Mario Yanzon, Mendoza est devenue "l'une des capitales du vin non seulement pour la qualité de ses vins mais aussi pour l'architecture de ces temples dédiés au vin".Et de s'empresser de préciser: "C'est aussi grâce au paysage andin, car nulle part ailleurs dans le monde on ne trouve cette chaîne de montagnes" en toile de fond.
Il y a 4 ans et 55 jours

Le mauvais rendement n'est pas un "vice caché"

Un vice caché est un défaut inhérent à cet objet, meuble ou immeuble, objectif, alors qu'un défaut susceptible d'être lié à l'usage fait par son acquéreur ne répond pas à cette définition, explique la Cour de cassation.Il s'agissait d'un achat immobilier réalisé par un acheteur qui entendait faire ainsi un placement locatif et avait rapidement découvert que l'affaire n'était pas aussi rentable que prévu. Le turn-over des locataires, notamment, affectait la rentabilité en alourdissant les dépenses.Mais pour les juges, le vendeur ne peut et ne doit que garantir le potentiel de ce qu'il vend, en l'espèce le potentiel technique de rendement, et non garantir ce qui était espéré par l'acquéreur. Il ne peut pas en garantir la rentabilité économique puisqu'il n'a plus la maîtrise sur l'utilisation, l'exploitation ou la gestion après la vente. Le seul fait de ne pas retirer le profit escompté n'est pas la preuve d'un défaut, a conclu la Cour.Une rentabilité avait cependant été annoncée, selon l'acquéreur, mais cet argument a été jugé insuffisant par la Cour.Selon la loi, le vice caché est un défaut qui doit être garanti par le vendeur parce qu'il existait avant la vente et diminue l'usage qui pouvait être attendu de l'objet.L'acquéreur doit de son côté prouver qu'il n'aurait pas acheté s'il avait su ou qu'il aurait offert un prix inférieur. Si le vice est reconnu, il peut obtenir l'annulation de la vente ou une indemnisation.(Cass. Civ 3, 21.3.2019, U 18-12.026).
Il y a 4 ans et 55 jours

Dix-sept projets retenus pour une surveillance intelligente des ponts

Les solutions retenues, qui font beaucoup appel aux capteurs autonomes sans câblage des ouvrages et à l'intelligence artificielle, ont été annoncées vendredi par le ministre délégué aux Transports Jean-Baptiste Djebbari, lors d'une visite au viaduc de Millau (Aveyron), selon ses services.Le ministère avait reçu 39 candidatures et un jury d'experts a sélectionné les projets "les plus porteurs, les plus intéressants aussi en termes de potentiel d'innovations", a-t-on précisé dans son entourage.Les lauréats vont installer des démonstrateurs sur des ponts, "et si ces démonstrateurs fonctionnent bien, ce que l'on souhaite, ils pourront être déployés à plus grande échelle", a-t-on ajouté de même source.L'Agence nationale de la cohésion des territoires et le Cerema avaient appelé à "penser autrement" la surveillance de l'état des ponts en utilisant "les dernières innovations en matière d'instrumentation, télécommunication, traitement de données et intelligence artificielle (...) en complément des méthodes classiques d'inspections visuelles".Ces expérimentations devraient coûter 8 millions d'euros, dont 4 millions apportés par le gouvernement.Dans la foulée de l'effondrement du viaduc de Gênes (Italie) en août 2018 et avant celui d'un pont à Mirepoix-sur-Tarn (Haute-Garonne) en novembre 2019, un rapport sénatorial avait pointé en juin 2019 l'état préoccupant d'"au moins 25.000 ponts" routiers en France, mettant l'accent sur l'assistance aux petites collectivités territoriales.Parmi ces ouvrages problématiques, les sénateurs avaient compté 7% des ponts de l'Etat, 8,5% des ponts des départements, et "probablement 18 à 20%" des ponts des communes et des intercommunalités, s'étonnant de l'"absence d'un recensement exhaustif des ponts gérés par les collectivités territoriales".Les sénateurs avaient réclamé un "plan Marshall" pour les ponts, avec un fonds d'aide aux collectivités locales doté de 1,3 milliard d'euros sur dix ans.Le gouvernement a débloqué en décembre une enveloppe de 40 millions d'euros pour que les petites communes puissent recenser et évaluer leurs ponts, avec l'assistance du Cerema.Les communes ont jusqu'au 30 avril pour déposer leur demande, a rappelé le ministère vendredi. La réalisation des recensements et visites sur le terrain devrait démarrer cet automne, a-t-il précisé.
Il y a 4 ans et 55 jours

Prix « Nouveau Bauhaus européen »

Lancée par la Commission européenne, la première série de prix « Nouveau Bauhaus européen » est destinée à mettre en lumière des bonnes pratiques et des exemples qui illustrent clairement les concepts de durabilité, d’esthétique et d’inclusion. Jusqu’au 31 mai 2021. Pour obtenir un prix « Nouveau Bauhaus européen », les projets doivent déjà être [&#8230;] L’article Prix « Nouveau Bauhaus européen » est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 55 jours

Améliorez la précision de votre process et faites des économies grâce aux nouvelles pompes à double vis petit débit

Découvrez comment améliorer la précision de votre process et faites des économies grâce aux nouvelles pompes à double vis petit débit. Optimisez votre process La reconnue pompe à double vis Alfa Laval est désormais disponible en trois nouvelles tailles spécialement conçues pour transférer des débits faibles sur des applications hygiéniques dans l’industrie laitière, alimentaire, boissons et cosmétiques. &nbsp; Besoin d’un transférer un petit débit ? Optez pour la pompe à double vis Alfa Laval Un fonctionnement plus économique Le meilleur compromis possible. En optimisant la cylindrée de la pompe, vous profitez d’un rendement et d’une précision optimale à débit faible, ce qui génère à des économies de fonctionnement importantes. &nbsp; Des process plus flexibles et des gains de production Comme toutes les pompes à double vis Alfa Laval, cette nouvelle gamme, de plus petite cylindrée mais tout autant efficace, permettra toujours une très grande polyvalences, assurera toujours le transfert de fluides process aussi bien que le nettoyage en place. Il n’est donc plus nécessaire de disposer de 2 pompes avec un 2 réseaux distincts. Les économies réalisées sont significatives notamment grâce à des garnitures mécanique en CARTOUCHE à chargement frontal, simplifiant les interventions de maintenance d’une part, et en limitant au minimum le temps d’arrêt de ligne de production. &nbsp; Une qualité de pompage sans aucun cisaillement produit Ces nouvelles pompes à double vis compactes adaptée aux faibles débits sont le choix idéal pour le transfert sensibles au cisaillement, abrasifs, que le produit soit très ou peu visqueux, ou même chargés en solides. Son très bas taux de pulsation permet de réduire de manière significative le risque d’endommagement du produit, ce qui contribue à améliorer la qualité de pompage. John Walker, responsable du portefeuille des pompes chez Alfa Laval, explique : « Optimisées pour le transfert de produits à faible débit, les trois nouveaux modèles de pompes à double vis élargissent la gamme actuelle de pompes afin d’offrir une précision et une économie de fonctionnement plus élevées. Cela améliore à la fois la qualité et le rendement du transfert. » &nbsp; En savoir plus sur la pompe à double vis Les pompes à double vis compactes, économiques pour les faibles débits sont-elles faites pour vous ? La réponse est ici : https://www.alfalaval.fr/produits/transfert-des-fluides/pompes/pompes-a-double-vis/pompe-double-vis/ &nbsp; A propos d’Alfa Laval Alfa Laval est l&rsquo;un des leaders mondiaux de la fourniture d&rsquo;équipements spécialisés et de solutions globales d&rsquo;ingénierie dans trois domaines essentiels : échange thermique, séparation et transfert des fluides. Nos équipements, systèmes et services permettent à nos clients d’optimiser les performances de leurs procédés. Ces solutions les aident à chauffer, réfrigérer, séparer et transférer les produits dans les industries agroalimentaires, chimiques et pétrochimiques, pharmaceutiques, ainsi que pour la production de boissons, d&rsquo;amidon, de sucre et d&rsquo;éthanol. Les produits Alfa Laval sont également utilisés dans les centrales thermiques, à bord des navires, dans l&rsquo;exploration pétrolière et gazière, le génie mécanique ou l&rsquo;industrie minière, ainsi que pour les stations d’épuration, la climatisation et la réfrigération.
Il y a 4 ans et 55 jours

Améliorez la précision de votre process et faites des économies grâce aux nouvelles pompes à double vis petit débit

Découvrez comment améliorer la précision de votre process et faites des économies grâce aux nouvelles pompes à double vis petit débit. Optimisez votre process La reconnue pompe à double vis Alfa Laval est désormais disponible en trois nouvelles tailles spécialement conçues pour transférer des débits faibles sur des applications hygiéniques dans l’industrie laitière, alimentaire, boissons et cosmétiques. &nbsp; Besoin d’un transférer un petit débit ? Optez pour la pompe à double vis Alfa Laval Un fonctionnement plus économique Le meilleur compromis possible. En optimisant la cylindrée de la pompe, vous profitez d’un rendement et d’une précision optimale à débit faible, ce qui génère à des économies de fonctionnement importantes. &nbsp; Des process plus flexibles et des gains de production Comme toutes les pompes à double vis Alfa Laval, cette nouvelle gamme, de plus petite cylindrée mais tout autant efficace, permettra toujours une très grande polyvalences, assurera toujours le transfert de fluides process aussi bien que le nettoyage en place. Il n’est donc plus nécessaire de disposer de 2 pompes avec un 2 réseaux distincts. Les économies réalisées sont significatives notamment grâce à des garnitures mécanique en CARTOUCHE à chargement frontal, simplifiant les interventions de maintenance d’une part, et en limitant au minimum le temps d’arrêt de ligne de production. &nbsp; Une qualité de pompage sans aucun cisaillement produit Ces nouvelles pompes à double vis compactes adaptée aux faibles débits sont le choix idéal pour le transfert sensibles au cisaillement, abrasifs, que le produit soit très ou peu visqueux, ou même chargés en solides. Son très bas taux de pulsation permet de réduire de manière significative le risque d’endommagement du produit, ce qui contribue à améliorer la qualité de pompage. John Walker, responsable du portefeuille des pompes chez Alfa Laval, explique : « Optimisées pour le transfert de produits à faible débit, les trois nouveaux modèles de pompes à double vis élargissent la gamme actuelle de pompes afin d’offrir une précision et une économie de fonctionnement plus élevées. Cela améliore à la fois la qualité et le rendement du transfert. » &nbsp; En savoir plus sur la pompe à double vis Les pompes à double vis compactes, économiques pour les faibles débits sont-elles faites pour vous ? La réponse est ici : https://www.alfalaval.fr/produits/transfert-des-fluides/pompes/pompes-a-double-vis/pompe-double-vis/ &nbsp; A propos d’Alfa Laval Alfa Laval est l&rsquo;un des leaders mondiaux de la fourniture d&rsquo;équipements spécialisés et de solutions globales d&rsquo;ingénierie dans trois domaines essentiels : échange thermique, séparation et transfert des fluides. Nos équipements, systèmes et services permettent à nos clients d’optimiser les performances de leurs procédés. Ces solutions les aident à chauffer, réfrigérer, séparer et transférer les produits dans les industries agroalimentaires, chimiques et pétrochimiques, pharmaceutiques, ainsi que pour la production de boissons, d&rsquo;amidon, de sucre et d&rsquo;éthanol. Les produits Alfa Laval sont également utilisés dans les centrales thermiques, à bord des navires, dans l&rsquo;exploration pétrolière et gazière, le génie mécanique ou l&rsquo;industrie minière, ainsi que pour les stations d’épuration, la climatisation et la réfrigération.
Il y a 4 ans et 55 jours

Al-Nouri, renaissance d’une mosquée

Surnommée « al-Hadba », la bossue, en raison de son minaret penché, la grande mosquée al-Nouri, ...En savoir plus Cet article Al-Nouri, renaissance d&rsquo;une mosquée est apparu en premier sur L&#039;Architecture d&#039;Aujourd&#039;hui.
Il y a 4 ans et 55 jours

36 étudiants en architecture signent le café de l’Académie du Climat

Sous la direction de l’agence d’architecture Encore Heureux et du Pavillon de l’Arsenal... Cet article 36 étudiants en architecture signent le café de l&rsquo;Académie du Climat est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 55 jours

50 millions d’euros de France Relance pour accélérer la mise en œuvre du Plan Séisme Antilles (PSA) en Guadeloupe et en Martinique

Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, Bruno Le Maire, ministre de l’économie, des finances et de la relance, Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, Sébastien Lecornu, ministre des Outre-mer, et Olivier Véran, ministre de la santé et des solidarités, annoncent les opérations qui sont retenues pour pouvoir d’un bénéficier de financement de France Relance et qui ont vocation à s’inscrire dans le troisième plan « Séisme Antilles » en cours de finalisation. Au total, pas moins de 31 bâtiments bénéficieront de France Relance dans le cadre d’un plan séisme Antilles.En Guadeloupe, le centre hospitalier de Basse-Terre sera mis aux normes parasismiques pour un financement de 13,7 millions d’euros, tandis que la Préfecture et la sous-préfecture pourront bénéficier de travaux de confortement d’envergure souhaités depuis de nombreuses années.En Martinique, les centres hospitaliers de Saint Esprit, du François et de Rivière-Salée seront étendus et reconstruits partiellement pour un financement de 16,3 millions d’euros. 24 bâtiments public utiles en matière de gestion de crise, comme les gendarmeries du Lamentin et de la Trinité, feront aussi l’objet de travaux afin d’en améliorer la résilience.Barbara Pompili : « L’approche se veut pragmatique. Le plan de relance permettra de financer des travaux pour lutter contre les cyclones en plus des séismes sans attendre l’inscription des normes paracycloniques dans la réglementation. Il s’agit d’une belle avancée pour les Antilles. »Bruno Le Maire : « France Relance est un plan d’investissement pour tous les Français et tous les territoires. Cette mesure de France Relance renforce la résilience parasismique aux Antilles, tout en contribuant au rebond du secteur du BTP. »Gérald Darmanin : « Le ministère de l’intérieur, au cœur de la gestion de crise, pourra grâce au plan de relance remettre à niveau des bâtiments indispensables en cas de crise, au bénéfice de la police, de la gendarmerie et des services préfectoraux. Il est en effet important que les services de secours à la population soient pleinement fonctionnels en pareilles situations. Hors période de crise, le service à la population en sera également renforcé. »Sébastien Lecornu : « Les opérations financées s'inscrivent dans un programme de travaux plus vaste, d'un montant total de 135 millions d’euros. C’est autant de moyens mis en œuvre pour soutenir le secteur du bâtiment et des travaux publics, et donc toute l’économie locale, sous l’impulsion de France Relance. »Olivier Véran : « La rénovation et la mise aux normes des centres hospitaliers des Antilles est au cœur du plan séisme Antilles. Ces travaux sont un gage de la qualité de la prise en charge des patients mais aussi de sécurité face au risque sismique.»
Il y a 4 ans et 55 jours

Le Paris mineur mais monumental de Jacques Fredet - Livre

En 2003, l&#39;architecte Jacques Fredet avait achev&eacute; ce que l&#39;on pourrait qualifier de &laquo; livre d&#39;une vie &raquo; si la sienne n&#39;&eacute;tait par ailleurs tellement riche d&#39;aventures intellectuelles et p&eacute;dagogiques : c&#39;&eacute;tait Les Maisons de Paris. Types courants de l&#39;architecture mineure parisienne de la fin de l&#39;&eacute;poque&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 4 ans et 56 jours

Saint-Gobain cède son activité canalisation en Chine

"Saint-Gobain annonce la signature d'un accord concernant PAM Chine, aux termes duquel le groupe cède 67% de son activité canalisation en Chine", indique un communiqué du groupe français.La transaction, dont le montant n'a pas été précisé, devrait être clôturée "au cours de l'été". Elle valorise l'entreprise à environ 100 millions d'euros.PAM Chine, qui comprend une usine de production à Ma'anshan, dans l'est du pays, et emploie près de 1.100 salariés, a généré l'an dernier un résultat d'exploitation de 9 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 170 millions d'euros.Saint-Gobain cessera de contrôler PAM Chine, à la suite de cette opération. Elle lui permettra toutefois "de maintenir son lien avec l'activité canalisation en Europe, dans le cadre d'un partenariat industriel de long terme", souligne le communiqué.La transaction s'inscrit dans la stratégie du groupe "d'optimisation" de portefeuille, visant à améliorer son "profil de croissance" et sa "rentabilité".
Il y a 4 ans et 56 jours

Bondoufle : livraison d’un programme résidentiel mixte du Groupe Gambetta

Le Groupe Gambetta vient de livrer la résidence « Pavillon Vert » à Bondoufle, en Essonne.
Il y a 4 ans et 56 jours

La filière bois au cœur de la stratégie bas carbone

Le Gouvernement vient d’annoncer des mesures pour accélérer la contribution de la filière bois-forêts dans la transition bas carbone. Par la signature d’un avenant ambition au contrat stratégique avec les acteurs de la filière et l’annonce de nouveaux dispositifs, les ministres en charge de l’Agriculture et de l’Alimentation, du Logement et de l’Industrie, renouvellent l’accompagnement apporté à ce secteur pour répondre au défi climatique. Cette actualisation du contrat, dans la perspective de France Relance, affirme trois objectifs majeurs. L’optimisation du puits de carbone du secteur forêt-bois au service des transitions écologiques et bas carbone. Une mobilisation renforcée de la filière et de l’Etat en faveur de la souveraineté industrielle de la France, en cohérence avec le potentiel forestier national et par un soutien aux implantations industrielles et à la relocalisation d’unités de transformation de bois. Une coopération intra et inter-filières pour renforcer les compétences, et optimiser le fort potentiel d’emploi du secteur forêt-bois notamment en milieu rural. Les ministres ont réaffirmé la détermination du Gouvernement dans la transition bas carbone et présenter plusieurs nouveautés, notamment en lien avec le plan France Relance, pour accélérer le développement de la filière bois-forêt : &#8211; Une nouvelle réglementation environnementale pour les bâtiments neufs (RE2020) qui encourage la mixité des matériaux. Emmanuelle Wargon a rappelé que la nouvelle réglementation environnementale des bâtiments neufs (RE2020) fixera un cadre pour atteindre les objectifs de décarbonation du secteur du bâtiment en valorisant notamment le stockage du carbone et donc la construction bois et biosourcée. La filière forêt-bois s’est dite prête à relever ce défi en présentant un plan « ambition bois 2030 » fondé sur dix engagements : former, développer l’offre de produits, planter et replanter, favoriser la mixité constructive, réduire les coûts, recycler en fin de vie, etc. &#8211; Un soutien renforcé à l’Accélérateur de croissance filière bois pour les PME et les ETI à hauteur d’un million d’euros. Attachée au développement des compétences pour les salariés comme pour les dirigeants, Agnès Pannier- Runacher a annoncé le soutien, à hauteur d’un 1 million d’euros, l’accélérateur de croissance filière bois pour les PME et ETI. Deux nouvelles promotions de 30 dirigeants intégreront cet accélérateur, opéré par Bpifrance avec l’appui du CSF Bois et cet outil aura vocation à être un levier pour renforcer la diversité des parcours et l’égalité des chances au sein de la filière. &#8211; Un appel à manifestation d’intérêt pour le développement de produits bois et de systèmes constructifs bois ouvert. Les trois ministres ont annoncé l’ouverture d’un appel à manifestation d’intérêt (AMI) pour le développement de produits bois et de systèmes constructifs bois innovants. Ouvert jusqu’au 13 juillet 2021, il vise à identifier l’ensemble des projets pouvant contribuer au changement d’échelle de l’offre industrielle d’éléments techniques tant de rénovation que de construction en bois. Ils devront également concourir à l&rsquo;objectif de souveraineté nationale, avec la valorisation de ressource forestière française transformée sur le territoire. Des propositions sont attendues aussi bien dans la phase de production industrielle du matériau bois transformé (panneaux, poutres, lamellé collé, CLT&#8230;) que dans la phase de préfabrication d’éléments constructifs en bois. L’AMI englobe les principales techniques constructives à base de bois qui sont appelées à se développer de manière significative d’ici à 2035 avec la croissance de la demande intérieure. &nbsp; Photo : Construction par Matis de la structure bois de Green Office Enjoy. ZAC Clichy Batignolles. Bouygues Immobilier. 75017 Paris. 23 juin 2017
Il y a 4 ans et 56 jours

Green Ultimate, alternative biosourcée aux résines adhésives fossiles


Evertree, spécialiste des solutions adhésives à partir du végétal, et FCBA annoncent la première solution adhésive Green Ultimate, une résine biosourcée, sans formaldéhyde ni isocyanate, qui possède les mêmes propriétés que les produits pétro-sourcés. Le projet prend vie en 2021 grâce à son premier partenaire : la société Panneaux de Corrèze, fabricant de panneaux de bois MDF. Green Ultimate peut se substituer en totalité aux résines UF utilisées traditionnellement dans les panneaux de bois composite. Elle permet d’obtenir des panneaux de bois plus respectueux de la santé et de l’environnement avec des émissions de formaldéhyde équivalentes au bois naturel, soit 10 fois inférieures à la norme européenne (E1). Le projet RESPIRE dont est issue la résine Green Ultimate est une opération réalisée avec le concours des Investissements d&rsquo;Avenir de l’Etat confiés à l’ADEME.
Il y a 4 ans et 56 jours

Atelier Fade Boulade : Bureaux E.S. QUALITE

À Saint-Mitre-les-Remparts (13), l’Atelier d’architecture marseillais Fade Boulade a construit un bâtiment accueillant des bureaux et des laboratoires pour la société E.S. QUALITE. Installé sur un site difficile et bordé par une pinède, cet ensemble épuré se caractérise par ses façades blanches, son apparente légèreté et son écriture architecturale contemporaine. Pour ce projet tertiaire ambitieux, les architectes de l’Atelier d’architecture Fade Boulade misent sur un agencement fonctionnel, un traitement architecturel cohérent, une belle luminosité et une sobriété des matériaux. Les bureaux administratifs se situent en façade, tandis que les espaces dédiés au process sont instalés en façade Sud. Cette organisation spatiale en forme de L ceinture ainsi la zone de laboratoires. À l’angle de ces deux espaces se trouve un espace d’accueil desservi par une rampe d’accès et un escalier extérieur. Au centre du bâtiment, les locaux sociaux et techniques sont facilement accessibles et exploitables. Les machines, quant à elles, se situent sur le toit terrasse et sont protégées des vues par la réalisation d’acrotères rehaussés et la mise en place d’un pare-vue. Avec la sobriété et la praticité comme fils conducteurs, les architectes ont créé des espaces de travail aussi beaux que fonctionnels. Le traitement architectural des bureaux se démarque par l’emploi de coloris et volumétries volontairement dissociées. À l’inverse de la zone de laboratoire, les bureaux et espaces de réunion sont dotés de loggias profondes, qui créent des jeux de lumière sur les façades et permettent de se protéger des apports solaires en période estivale. Ces façades «&nbsp;en creux&nbsp;» contrastent ainsi avec le volume rectangulaire épuré du laboratoire, considéré à la fois comme un véritable outil de travail et le cœur névralgique du projet. Au-delà d’offrir aux équipes d’E.S. QUALITE un environnement de travail adapté à leurs activités, le bâtiment, signé par Fade Boulade, révèle le talent et la démarche exigeante de cette jeune agence. Pour en savoir plus, visitez le site de l’Atelier d’architecture Fade Boulade. Visuels : © Atelier d’architecture Fade Boulade La rédaction
Il y a 4 ans et 56 jours

Immobilier : Quelles marges de négociation des prix à Paris, Marseille, Lyon Bordeaux et Nantes ?

Cette étude menée par l’équipe de R&D de Yanport s’appuie sur des méthodes de machine learning avancées pour combiner sur les données d’annonces immobilières et des demandes de valeur foncière (DVF). Les résultats font ressortir de fortes disparités selon les quartiers pour chacune des villes étudiées, avec des marges de négociation en moyenne beaucoup plus faibles dans les centres-villes qu’au sein des zones périphériques.Méthodologie : data immobilière et machine learningAfin de déterminer des marges de négociation au plus proche de la réalité du terrain, Yanport a utilisé son important stock d’annonces immobilières publiées en ligne, qui permettent d’avoir une vision représentative des prix d’offre en amont, et les données DVF, publiées par la direction générale des finances publiques et comportant l’ensemble des transactions immobilières réalisées, afin d’avoir accès aux prix de vente finaux en aval. Pour chacun de ces chiffres, il a toutefois été indispensable de tenir compte de l’incertitude qui leur est inhérente, liée par exemple à des erreurs de saisie ou à des biens particulièrement sur- ou sous-évalués.A partir des prix observés et des caractéristiques données (surface, nombre de pièces, localisation, date de déduplication pour une annonce ou de vente pour une données DVF…), l’étude a mis en œuvre des méthodes de machine learning afin d’identifier les biens similaires dans les deux bases (annonces et DVF) et d’en déduire une marge de négociation. Cette méthodologie innovante permet également de produire des analyses sur l’évolution des marges de négociation dans le temps, par zones géographiques (zone IRIS[1], quartier, ville, département) ou typologies de biens.Ainsi, Yanport a pu dresser une estimation par zone IRIS des marges de négociation dans cinq grandes villes françaises (Paris, Marseille, Lyon, Bordeaux et Nantes).A Bordeaux, des marges contenues dans l’ensembleDu côté de Bordeaux, les marges de négociation sont assez modérées dans l’ensemble pour la plupart des zones IRIS, se situant autour de 2-3%.Il y a néanmoins des disparités importantes entre quartiers. Si l’hypercentre affiche des marges moyennes en dessous de 2%, certaines zones, situées plutôt en périphérie, donnent plus de latitude aux acheteurs avec des marges au-delà de 6%. C’est le cas notamment des quartiers du LacBacalan et autour de la gare Saint-Jean.A Lyon, des opportunités de négociation dans le 5e, 8e et 9e arrondissementsDans le centre (1er, 3e, 4e, 6e), où le marché est toujours tendu, la marge de négociation est quasi nulle et les biens se vendent en général au prix.Les autres arrondissements présentent en revanche des situations plus contrastées. Ainsi, par exemple, dans certaines zones, des marges montent jusqu’à 7,9% dans le 5e (vers La Plaine-Charcot), 10,7% dans le 9e (vers Saint-Rambert) et même jusqu’à 12,4% dans le 8e (vers La Plaine).A Marseille, de fortes disparités entre le centre et les quartiers nordMarseille est la ville qui enregistre les plus fortes disparités en termes de marges de négociation.En effet, elles peuvent passer de moins de 3% dans les quartiers autour de Prado-Périer jusqu’à plus de 10% dans les 14e, 15e et 16e arrondissements, atteignant même plus de 15% dans certaines zones de ces arrondissements.A Nantes, un marché qui laisse peu de place à la négociationDans le centre-ville de Nantes, les marges de négociation sont relativement homogènes, allant de 1 à 4%.En revanche, en périphérie, les marges peuvent être beaucoup plus importantes, situées entre 5 et 10% (sauf pour le quartier de Mendès France avec une marge record à 13,3%).A Paris, des marges globalement très faiblesSans surprise, Paris est la ville où les marges de négociation sont les plus faibles. Elles sont même, en moyenne, en dessous des 1% dans de nombreux arrondissements, tels les 10e, 11e, 12e, 14e, 15e, 17e et 20e.Il existe toutefois quelques zones où les marges se situent entre 2 et 4%, dans le 1er et le 8e arrondissements, dans le nord-est du 18e vers Porte de la Chapelle, vers quelques secteurs dans le 6e notamment autour de Saint-Placide/Notre-Dame des Champs, ou encore à l’est du 13e dans les quartiers récents autour de la BNF.Voir l'intégralité de l’étude sur le blog de Yanport[1] Les Ilots Regroupés pour l’Information Statistique, communément appelés "zones IRIS", sont des zones géographiques définies par l’INSEE, et définies comme des ensembles d’îlots contigus. Ce sont les briques de base en matière de diffusion de données locales. Les IRIS proprement dits concernent toutes les communes urbaines d’au moins 10000 habitants et la plupart des communes de 5000 à 10000 habitants.
Il y a 4 ans et 56 jours

Rendez-vous de la matière

Salon professionnel consacré aux matériaux innovants pour l’architecture, le design, la décoration et l’aménagement d’intérieur
Il y a 4 ans et 56 jours

WiredScore lance SmartScore, le nouveau label international pour les immeubles intelligents

Le label SmartScore a été développé en réponse à la demande croissante d’un cadre clair et partagé sur ce qu’est réellement un immeuble intelligent, et sur la manière dont ce cadre peut être appliqué.Le label SmartScore est ainsi signe de crédibilité et de confiance pour un secteur qui a souffert et souffre encore d’un manque de sens et de transparence en matière de transformation numérique.Le label offre une vision partagée de l’avenir des immeubles intelligents pour répandre des pratiques communes pour les multiples acteurs impliqués dans ces démarches.SmartScore vient compléter les solutions de certifications existantes, et WiredScore travaille depuis un moment avec BREEAM, LEED, RESET et WELL pour créer des passerelles avec leurs certifications.En effet, depuis un an, WiredScore mène des travaux importants en collaboration avec le WiredScore Smart Council, constitué de plus de 90 utilisateurs, propriétaires et promoteurs du monde entier, afin de développer un cadre destiné aux immeubles intelligents. Ses membres ont contribué à définir un approche des immeubles intelligents centrée sur les plus-value pour les utilisateurs : efficacité opérationnelle, durabilité et respect de l’environnement, expérience utilisateur, et pérennité. 70 immeubles situés dans 7 pays et appartenant à 44 propriétaires à travers le monde se sont déjà engagés dans la démarche de labellisation SmartScore. Parmi ces pionniers de l’immobilier figurent Allianz Real Estate, Art-Invest Real Estate, AXA Investment Managers and Sefri-Cime, Battersea Power Station Development Company, Benson Elliot, Bentall Green Oak, Boston Global Investors, British Land, CA Immo, Carttera, CEG, Columbia Property Trust, Commerz Real, Covivio, Derwent London, Dream Office REIT, EDGE, Gecina, Great Portland Estates, Greystar Real Estate Partners, HFD Property Group, Immovalor Gestion, Ivanhoe Cambridge and Hines, KingSett Capital, Legal & General, M&G Real Estate & Nuveen Real Estate, McLaren, MOMENI Gruppe, Morgan Stanley Real Estate Investing (MSREI), JLL and Anchor Line Partners, Nuveen Real Estate, Ponte Gadea, Quadrant, Quadrum Global, RedTree Capital, Royal London Asset Management, Rudin Management Company, SIGNA Real Estate, Skanska, Standard Life Aberdeen, The John Buck Company, U+I.En France, les immeubles engagés dans la démarche de labellisation SmartScore sont notamment 2 Erables, 21 Paix, 25 Matignon, Boétie, DREAMVIEW, Eiffel, EMBLEM, L’OFFICINE et le Siège de Gecina. Le label SmartScore est lancé à un moment crucial pour le marché, alors que propriétaires et locataires d’immeubles doivent travailler ensemble pour inciter les employés à revenir travailler dans les bureaux. Les immeubles intelligents joueront un rôle essentiel dans la création d’espaces de travail plus attractifs, efficaces et durables, où les individus peuvent se retrouver et collaborer, bénéficier des meilleures conditions de travail et gagner en productivité.Ainsi, un nouveau rapport de WiredScore, Sustainable, future-proofed and connected – the office beyond 2021, (« Durabilité, évolutivité et connectivité : les bureaux au-delà de 2021 »), révèle que les employés privilégient des espaces de travail intelligents, sociables et durables, offrant des expériences inégalées dans leur environnement de travail à domicile. Entres autres résultats, plus d’un quart (26 %) attendent de leurs bureaux qu’ils disposent de technologies dernier cri ; environ un tiers (30 %) indiquent qu’ils souhaiteraient disposer de services numériques favorisant la culture d’entreprise en les aidant à savoir quels collègues sont au bureau et à quel endroit ; et près des deux tiers (63 %) déclarent qu’il est important de pouvoir travailler dans un bureau s’inscrivant dans une démarche de développement durable.« En tant que membre du WiredScore Smart Council, nous avons participé à la construction du label SmartScore appliqué aux bâtiments intelligents et engagé dans cette démarche deux immeubles particulièrement représentatifs de notre marque YouFirst, dont notre siège social. Ce label constitue pour nous une opportunité d’accélérer notre ambition d’offrir à nos clients des immeubles performants avec un haut niveau de service et une expérience humaine enrichie. » déclare Sabine Desnault, Directrice Exécutive R&D, Innovation et RSE, Gecina.« SmartScore met en évidence l'importance du smart building pour la valorisation des bâtiments par les usages. Cette approche est tout à fait en ligne avec les travaux que mène la SBA depuis des années. Les 2 organisations travaillent d'ores et déjà à établir des passerelles entre les cadres de référence technique de la SBA et le label SmartScore. » observe Emmanuel FRANÇOIS, Président de la Smart Building Alliance.« Le secteur de l’immobilier et les exigences des locataires ont substantiellement évolué au cours de l’année écoulée. Une approche “intelligente” est indispensable pour les propriétaires qui souhaitent offrir les expériences et la valeur ajoutée que l’on attend d’eux désormais. Notre ambition est de donner du sens à l’utilisation des technologies dans les immeubles, et créer les conditions d’une transformation numérique effective et durable. Avec SmartScore, pensé avec les décideurs immobiliers, la filière dispose enfin d’un cadre lui permettant de tirer tous les bénéfices des immeubles intelligents. » déclare Frédéric Motta, Directeur Général de WiredScore France.
Il y a 4 ans et 56 jours

JCDecaux repousse les limites de la scénographie urbaine pour Cartier

Plus d’un siècle après son ouverture en 1899 par Louis Cartier lui-même, l’édifice iconique du 13, Rue de la Paix écrit une nouvelle page de son histoire. Situé au cœur du quartier de la haute joaillerie, l’Hôtel particulier abritant la plus ancienne boutique de la Maison, entre dans un programme de rénovation de grande envergure. Désireuse de faire de la durée du chantier l’occasion de s’adresser autrement tant à ses clients qu’aux nombreux passants de la Rue de la Paix, Cartier a demandé à JCDecaux de concevoir une mise en scène qui marque les esprits et suscite l’émotion. Durant près d’un an ce ne sont pas moins de 100 personnes qui ont imaginé puis réalisé, sur site et en atelier, ce dispositif composé notamment d’une palissade entièrement habillée d’huisseries en bois peintes en noir, d’un espace de déambulation de plus de 25m de haut et de trois vitrines animées et mises en lumière.Aux côtés de l’équipe JCDecaux dédiée aux habillages événementiels, de très nombreux métiers et savoir-faire, architectes, artistes, scénographes, ingénieurs, alpinistes, maquettistes, sculpteurs, ferronniers d’art, peintres ou encore électriciens- ont apporté leur pierre à l’édifice.Profondément attachée à son histoire, Cartier a souhaité que l’ensemble des habillages reprenne fidèlement les détails de la façade de l’immeuble. Sur proposition de JCDecaux, la Maison a opté pour des décors exceptionnels dont un claustra monumental doré reprenant le monogramme Cartier dans l’esprit d’un moucharabieh, ou encore un passage couvert immersif entraînant les passants dans l’univers magique de la marque à la panthère.Cette réalisation est également une prouesse technique. En moins de 10 jours, JCDecaux et les sous- traitants ont conçu et installé :Une toile de plus de 500m2 habillant le passage couvert ;28 fenêtres décoratives sur-mesure comprenant chacune un encadrement couleur pierre, un balcon, un garde-corps « monogramme » en acier doré et un store rouge aux couleurs de la marque ;3 rangées de corniches fidèles à la façade ;Plus de 400m2 de panneaux façon marbre pour reproduire la boutique en trompe-l’œil ;3 vitrines décoratives animées et mises en lumière ;Plus de 50 éléments de décors faits main incluant des haut-de-colonnes, écussons, bas-de colonnes, logos et autres surfaces d’expression ;Une rangée de lanternes d’époque pour sublimer l’immersion historique ;4 caissons rétroéclairés afin d’orienter de nuit les clients de la marque ;La reproduction intégrale de la porte iconique du 13 Rue de la Paix avec ses nombreux détails ;Près de 150m d’huisseries en bois peintes en noir pour sublimer la palissade.A l’issue du chantier, les décors s’inscriront dans un processus de développement durable hautement exigeant, via un reconditionnement ou un recyclage à 100%.Isabelle Schlumberger, Directrice Générale Commerce, Marketing et Développement France, Belgique, Luxembourg et Israël de JCDecaux, a déclaré : « Nous sommes très fiers de ce partenariat avec Cartier et du formidable travail de nos équipes. En repoussant les limites de la scénographie urbaine sur le flagship mythique de la plus grande Maison de haute joaillerie mondiale, JCDecaux démontre son savoir-faire pluridisciplinaire et sa capacité unique d’embellir la ville en accompagnant les marques et magnifiant leur image à l’occasion de leurs projets de rénovation. »
Il y a 4 ans et 56 jours

Toupret s’offre le Polonais KMK Gips

Avec l’acquisition du fabricant polonais KMK Gips, le groupe Toupret montre sa croissance en Europe de l’Est. [©Toupret] Depuis sa création en 1938, le groupe français Toupret fabrique des enduits de préparation et de décoration des murs. Il dispose de trois sites de production en France, ainsi que des filiales à l’international. Présent en Pologne depuis quelques années, le groupe signe aujourd’hui le rachat de KMK Gips. Qui est un fabricant polonais d’enduits en poudre et en pâte.  Avec l’acquisition de cette entreprise sur le marché polonais, le Français poursuit son objectif de croissance à l’international. Et son développement en Europe de l’Est. L’achat de KMK Gips permet à Toupret d’intégrer une nouvelle unité de production en Pologne. Cette usine permettra au groupe d’étendre ses capacités de production. Et de répondre aux attentes des marchés professionnels, ainsi que du DIY (Do It Yourself1).  Une étape majeure du plan de développement Située à Kamiensk, au Sud de Varsovie, elle viendra compléter l’organisation existante de Toupret Polska. Cette filiale est dirigée par Adam Kreglewski, directeur des opérations commerciales. « Nous sommes ravis de cette annonce et nous sommes certains que cela permettra au groupe de déployer la marque Toupret en Pologne. Pays où elle est déjà bien implantée et connue comme la marque de référence des enduits de préparation des murs », précise Adam Kreglewski. Et Gary Haworth, directeur général du groupe Toupret, de poursuivre : « Lors de l&rsquo;ouverture de notre nouvelle usine et de notre plate-forme logistique de Tigery, en Ile-de-France, en 2020, nous avions annoncé un plan stratégique important avec des investissements à hauteur de 20 M€ sur 5 ans. L&rsquo;acquisition de KMK Gips constitue aujourd&rsquo;hui une des étapes majeures de ce plan de développement ». 1Fais le toi-même. Charline David&nbsp;
Il y a 4 ans et 56 jours

Forum Diapason Digital 2021 : échanges et retours d'expérience entre industriels de la Menuiserie utilisateurs de Diapason

« La situation sanitaire ne nous a pas permis de nous rassembler physiquement, mais il était important de nous réunir, même à distance. Le Forum Diapason nous permet d'échanger avec nos utilisateurs, d'être à leur écoute et contribue à renforcer notre partenariat. Je remercie nos trois intervenants pour leurs partages d'expérience. Le rendez-vous est pris pour l'année prochaine, en espérant pouvoir nous réunir en présentiel. » - Laurent HARISTOY – Directeur des opérations ISIALancement d'un programme pour construire le Diapason de demain avec ses utilisateursPour introduire cette matinée d'échanges, Benjamin TARRIER, Directeur Produit du Groupe ELCIA et Laurent HARISTOY, Directeur des opérations ISIA, ont débuté par la présentation de la roadmap Diapason à court et long terme. Avec une annonce en avant-première : le lancement d'un programme de co-construction. Son objectif : mettre en place des ateliers (interviews, vis-ma-vie, tests, groupes de discussion…) entre les clients Diapason et les équipes ISIA afin de co-construire le Diapason de demain en collaboration avec ses utilisateurs.Trois retours d'expérience d'utilisateurs DiapasonBruno COUTON – DSI BATISTYL : le Configurateur de vente ELCIA depuis DiapasonBruno COUTON, DSI de la société BATISTYL, cliente Diapason depuis 2011, s'est exprimé sur l'interface du Configurateur de vente ELCIA avec Diapason. Suite au départ de la ressource interne en charge de la mise à jour des catalogues fournisseurs pour les produits de négoces, le choix a été fait d'interfacer le Configurateur de vente ELCIA avec Diapason. L'objectif : minimiser cette activité de mises à jour des catalogues tout en fiabilisant le chiffrage de l'offre Négoce BATISTYL.Grâce à cette interface, les mises à jour des offres négoces dans Diapason sont désormais automatiques, supprimant la ressaisie manuelle et permettant ainsi d'économiser une ressource en interne. De plus, la force de vente BATISTYL accède à des offres fournisseurs fiables, à jour, complètes ou personnalisées, avec des libellés, des images et un chiffrage précis, en toute autonomie.Armande LORENTZ – Responsable Pôle Projet CETIH : la mise en place de l'EDI entre les outils de chiffrage et l'outil de production DiapasonArmande LORENTZ, Responsable Pôle Projet de CETIH, qui utilise Diapason depuis 2006, a ensuite pris la parole au sujet de la mise en place de l'EDI entre les outils de chiffrage et Diapason.L'enjeu : améliorer et optimiser les charges de gestion et de mise à jour des scénarios commerciaux ainsi que la chaîne numérique d'intégration de commandes (lourdeur de gestion des bibliothèques, nécessité de fiabiliser l'entrée de commandes et d'assurer l'harmonisation.)Avec la mise en place de l'EDI, la charge de traitement des commandes a connu une baisse significative grâce à la suppression de la ressaisie manuelle et du risque d'erreurs. La qualité des commandes reçues a augmenté, avec des données de configuration conformes à la commande. C'est un temps précieux qui a été gagné, à consacrer aux demandes clients.David BOZON – Project Manager GROSFILLEX : mise en œuvre du WMS (gestion d'entrepôt) DiapasonPour clôturer ce partage de retours d'expérience, David BOZON, Project Manager chez GROSFILLEX est intervenu sur la mise en œuvre du WMS (gestion d'entrepôt) Diapason.Utilisateur depuis 2011, les enjeux de cette mise en place étaient triples : intégrer la gestion d'entrepôt aux autres fonctions (en particulier la gestion commerciale), simplifier le paysage applicatif et réduire le nombre d'interface tout en accompagnant les changements de métiers (nouveaux flux de transport, changement organisationnel…).Les bénéfices de la mise en œuvre du WMS ont été immédiats : gain de temps dans l'exécution des expéditions, réduction des erreurs de préparation, et augmentation de la fiabilité du stock avec mise en place d'indicateurs de performance.
Il y a 4 ans et 57 jours

Sacré profane

Lisez en intégralité l’édito d’Emmanuelle Borne, rédactrice en chef d’AA. Cet article Sacré profane est apparu en premier sur L&#039;Architecture d&#039;Aujourd&#039;hui.
Il y a 4 ans et 57 jours

Ehret fait évoluer sa gamme de volets battants avec le nouveau modèle Beaune

Une conception en aluminium résistante et durable.Conçue en aluminium, la gamme BEAUNE est pourvue d’un prétraitement et d’un processus de thermolaquage identique à l’ensemble de la gamme (y compris thermolaquage classe 2).Ce thermolaquage de haute qualité assure une parfaite résistance aux intempéries, aux rayures ainsi qu’une stabilité des coloris. Les surfaces en aluminium parfaitement recouvertes sont une garantie pour la protection durable des principaux composants.Pour les conditions extrêmes telles que la proximité de la mer, la piscine ou encore l’industrie chimique, EHRET a développé OCEANLINE plus, le prétraitement spécial qui apporte une protection supplémentaire contre la corrosion filiforme. BEAUNE remplit également les normes QUALICOAT et QUALIDECO. L’adjonction d’un cadre périphérique pour plus de robustesse et de rigidité. Un cadre périphérique assure une jonction entre les montants haut, bas, gauche et droit, liés entre eux par des équerres intégrées directement dans le cadre, ce qui confère plus de résistante et de rigidité à l’ensemble. L’équerre en aluminium est glissée dans la partie basse du cadre et en assure une liaison mécanique.Les cadres sont fabriqués sur mesure et s’adaptent à chaque embrasure de fenêtre . Ils sont mis en œuvre aussi bien sur constructions anciennes que neuves. Harmonisation des gammes. Evolution de la gamme DIJON, le modèle BEAUNE est désormais plus épais (32 mm). EHRET a choisi d’uniformiser l’ensemble des épaisseurs des gammes de volets battants, et de permettre à cette gamme de bénéficier de l’ensemble des accessoires et options pour la pose en rénovation comme en neuf. Pour habiller élégamment le volet, il est possible d’ajouter des barres et des écharpes en version B, BB, Z ou ZZ. Disponible avec l’ensemble de la gamme des options EHRET, BEAUNE peut être équipé :d’une protection anti-effraction. Les verrous et serrures supplémentaires constituent un autre obstacle efficace pour parer à l’intrusion d’inconnus. Les produits retardateurs d’effraction peuvent dans certains cas être montés et combinés postérieurement, ce qui permet de compléter et d’améliorer une installation déjà existante sans aucun problème d’un pré-cadre de montage (Z75 ou Z135) pour réaliser une pose simple et précise. Ce système de cadre annihile les opérations d’ajustement, de perçage et de montage des volets sur site. La pose extrêmement aisée et les nombreuses possibilités permettent de poser le volet en un minimum de temps. Dans le cas d’une pose avec pré-cadre, 2 équerres en aluminium par angle sont prévuesForte d’un savoir-faire de plus de 50 ans et à l’appui d’une expérience technique éprouvée, EHRET s’engage à livrer des solutions et systèmes de très haute qualité. La marque garantit une qualité constante à ses produits afin qu’ils soient dotés des plus hautes performances. En cela, elle propose aujourd’hui la gamme BEAUNE qui se décline en un large choix de designs, de finitions et d’accessoires pour répondre aux besoins de tous les logements, quel que soit l’usage ou la région.Disponible en 1,2,3 ou 4 vantaux, BEAUNE est proposée avec un nuancier de 213 coloris RAL et 3 coloris AkzoNobel -2100, 2700 et 2900- (disponibles sans plus-valuepour le volet et ses accessoires) afin de se fondre harmonieusement dans l’architecture existante.En tout, ce sont plus de 4.000 coloris qui sont proposés à la vente. Des variantes design avec des formes spécifiques (cintre, triangle...) sont également possibles pour répondre à des demandes personnalisées.
Il y a 4 ans et 57 jours

Courbes et performances pour la façade vitrée de CURVE

Au cœur de la ZAC Montjoie à Saint-Denis (93), se dresse CURVE, un bâtiment remarquable par ses volumes tout en courbe et ses 24 000 m2 de bureaux, signé par les architectes du Cabinet Chartier Dalix. L’édifice possède l’une des plus grandes éco-structures en bois d’Europe. Il s’intègre parfaitement dans son environnement, sans vis-à-vis grâce à ses façades fuyantes et ses espaces paysagers répartis sur les étages. Pour ce projet, situé dans un quartier très passant et animé, les architectes ont dû respecter un cahier des charges très strict, défini par l’urbaniste de la ZAC, Brès+Mariolle. Chaque nouvelle construction sur la ZAC devait intégrer des espaces végétalisés afin de retrouver l’équilibre entre bâti et densité végétale. Le projet devait aussi travailler majoritairement le bois, ce que les architectes ont choisi de faire dans la structure du bâtiment. Enfin, le promoteur immobilier souhaitait que le bâtiment réponde à des objectifs environnementaux ambitieux, notamment via l’obtention d’un certificat environnemental HQE. Véritable interface entre le monde intérieur et extérieur, la façade du projet se devait de répondre à un maximum de besoins, tant au niveau du confort des usagers que de son rendu esthétique.Dans les projets de bureaux, les façades sont vitrées au maximum afin d’améliorer le confort des utilisateurs et de faire entrer la lumière à l’intérieur de l’édifice. Les architectes du projet Curve ont donc fait le choix de vitrages grande hauteur sur toute la surface du bâtiment. Grâce à un vitrage avec une protection solaire performante, les utilisateurs peuvent ainsi bénéficier d’une excellente luminosité sans subir la chaleur trop importante du rayonnement solaire. Par ailleurs, depuis l’intérieur, une grande surface vitrée s’accorde parfaitement à la structure bois de l’édifice, qui crée une atmosphère chaleureuse pour les occupants. Les architectes et la maîtrise d’œuvre ont souhaité faciliter la modularité de l’espace de travail pour les futurs preneurs. Ils ont donc opté pour une trame de façade d’1,50 m au lieu d’1,35 m ce qui permet de proposer plus de variété de typologies de bureaux.  Les courbes, qui donnent du volume à la façade, permettent de flouter la trame et de donner tout le caractère nécessaire à cette construction. Le vitrage Saint-Gobain COOL-LITE® XTREME 70/33 a été choisi. Grâce à sa très grande transparence et sa sélectivité maximale (rapport entre la transmission lumineuse et le facteur solaire), il était un atout tant esthétique qu’environnemental dans ce projet où le verre tient une place de choix. Ilpouvait se décliner en version thermo-transformable XTREME 70/33 II, version qui offre la possibilité de pouvoir être courbé et de s’adapter ainsi parfaitement au projet de la façade. Les vitrages ont été envoyés chez le façadier, montés en bloc et livrés sur le chantier, directement prêts à être assemblés et intégrés dans l’ossature du bâtiment.
Il y a 4 ans et 57 jours

[Livres] Colombage et Pan de Bois, 8 ouvrages incontournables

L&#8217;habitat en pan de bois ou en colombage compte parmi les richesses du patrimoine architectural de France, formant l&#8217;une des facettes de son identité culturelle. Partout, dans le pays,  des milliers de maisons et de fermes édifiées dans les villes et les villages témoignent du savoir-faire séculaire des charpentiers. Si la technique de base reste [&#8230;]
Il y a 4 ans et 57 jours

La ville pour horizon, 20 logements sociaux par Remingtonstyle à Paris

En 2003, l&#39;architecte Jacques Fredet avait achev&eacute; ce que l&#39;on pourrait qualifier de &laquo; livre d&#39;une vie &raquo; si la sienne n&#39;&eacute;tait par ailleurs tellement riche d&#39;aventures intellectuelles et p&eacute;dagogiques : c&#39;&eacute;tait Les Maisons de Paris. Types courants de l&#39;architecture mineure parisienne de la fin de l&#39;&eacute;poque&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 4 ans et 57 jours

Val-d’Oise : création d’un nouveau quartier à Montmagny

Le projet d’aménagement d’un nouveau quartier à Montmagny passe par une concertation publique.
Il y a 4 ans et 57 jours

Une maquette de Notre-Dame, hommage des compagnons du Tour de France

Présentée jeudi via zoom, la maquette, réalisée à l'échelle 1/20e, s'élève à 4,8 mètres de hauteur et est formée de quelque 1.800 pièces. Elles proviennent d'un cube de 5,3 m3 de chêne de Bourgogne.Pour la monter, il aura fallu 3.500 heures de travail pendant huit mois à trois jeunes compagnons, Valentin Pontarollo, Armand Dumesnil et Yann Férotin, basés à Anglet dans le Pays basque. Sur la structure en bois blond, on reconnaît, finement sculptées, les statues et le coq de la flèche.Le maquette sera exposée à l'Hôtel de Ville de Paris en septembre lors des Journées européennes du Patrimoine, a indiqué Pascal Jacob, président de l'association Restaurons Notre-Dame, partenaire du projet.L'exposition de la maquette à Paris doit être l'occasion de communiquer sur les processus de transformation du bois, les métiers de charpentier, la reproduction des techniques anciennes alliée à la création de techniques d'avenir, la difficulté "de trouver de nouvelles mains et de susciter des vocations", a souligné Christophe Augeard, président des Compagnons du Tour de France d'Anglet, qui a piloté le projet des trois compagnons.L'une des missions sociales du chantier de Notre-Dame, inscrite dans la loi de juillet 2020, est précisément de faire connaître et valoriser les métiers d'art, comme celui de charpentiers, comme des carrières prometteuses pour les jeunes, en pleine crise économique due au Covid-19.
Il y a 4 ans et 57 jours

Notre-Dame: souscription suffisante et réouverture prévue en 2024

La ministre de la Culture Roselyne Bachelot a jug&eacute; que la souscription publique nationale et internationale suffira &agrave; restaurer la cath&eacute;drale Notre-Dame de Paris qui, a-t-elle assur&eacute;, "sera r&eacute;ouverte en 2024".
Il y a 4 ans et 57 jours

Économiques et confortables, des "Tiny Houses" offrent une halte à des mères isolées

"Pour moi, ici, c'est le paradis car j'ai trouvé tout propre, adapté, avec un grand espace pour que les enfants puissent jouer", se réjouit Imène, 21 ans.Une autre habitante, Angela, 25 ans et mère de deux enfants, dont la terrasse fleurie se distingue de celle des maisonnettes voisines, confie avoir "beaucoup changé d'endroits" depuis son arrivée en France en 2016."Mon fils de 8 ans m'a dit :+Mais c'est une cabane !+ mais je lui ai dit que c'était mieux que la rue ou l'hôtel", ajoute la jeune Albanaise, qui pourra rester ici au moins six mois.17 "tiny house" (des "maisons minuscules" en anglais) ont été installées début mars pour ces mères de jeunes enfants sur le parking d'une friche industrielle, où les bambins jouent à faire des tours de vélo.Chacune dispose d'une pièce de vie, éclairée par une large baie vitrée, avec un coin cuisine et un canapé-lit, d'une petite chambre occupée par deux lits superposés et une salle de douche avec toilettes."Ici c'est stable", souligne Monia, une mère de 37 ans, qui avait précédemment "déménagé d'un hôtel à l'autre".Les micro-maisons se trouvant sur un ancien site industriel, "on va y mettre des arbres et des plantations pour le rendre plus agréable", promet Etienne Prime, un des responsables de l'association Le Mas, qui assure la gestion du village.Malgré cet espace extérieur pas très engageant, "les femmes se sentent vraiment bien (dans leurs +tiny houses+) car, même si c'est petit, on peut y recréer un cocon", poursuit-il. "L'objectif c'est d'être plus accueillant et plus hospitalier et trouver des solutions pérennes pour sortir de l'urgence", explique le président EELV de la métropole de Lyon, Bruno Bernard, en visite sur les lieux."Cela nous coûte moins cher qu'un hôtel et, en terme de qualité de vie, de pouvoir cuisiner chez soi, ça change la donne. Sans compter qu'on peut offrir ici un meilleur accompagnement", souligne-t-il.Pas de "conflits d'usage"Avec un coût unitaire de 29.000 euros et une durée de vie estimée à une quinzaine d'années, ces maisons minimalistes permettent de "retrouver toute l'intimité et la dignité d'un chez-soi, contrairement à un hôtel", renchérit le vice-président chargé de l'Habitat, Renaud Payre, en précisant qu'une nuitée revient à 17 euros par personne dans une "tiny house" contre 25 euros en hôtel.Les élus ont annoncé qu'un autre site d'une vingtaine de "tiny houses" verrait le jour prochainement à Lyon.Démontables et transportables, ces micro-maisons, inspirées d'un mouvement architectural américain, permettent de déployer rapidement une solution de logement. Idéal donc pour la métropole qui souhaite créer des villages provisoires sur des temps courts afin d'utiliser des terrains provisoirement vacants ou sous-utilisés."C'est une nouvelle politique publique qui évite les conflits d'usage", se félicite M. Prime, qui souhaite "ancrer dans le territoire" les femmes accueillies.En plus de l'accompagnement social, l'association Le Mas ambitionne d'"offrir une citoyenneté" à ces mères de famille au travers de partenariats autour d'activités sportives ou culturelles."Ces femmes sont toutes encore isolées et elles vont rester dans la métropole. J'ai donc envie qu'elles se sentent villeurbannaises et qu'elles soient considérées comme telles", a ajouté M. Prime.Sur un haut mur à l'entrée du site où était graffée une tête de mort, le street-artiste Don Mateo l'a recouverte la veille d'un visage stylisé d'une mère couvant son enfant."J'ai volontairement laissé l'expression du visage de cette femme à l'interprétation de chacun. Elle est triste et heureuse à la fois et chacun y met ce qu'il veut y voir", explique l'artiste lyonnais.
Il y a 4 ans et 57 jours

Immobilier d’entreprise : que faire des surfaces de bureaux inutilisées ?

Chaque entreprise a dû faire face, à un moment ou à un autre, à des déséquilibres entre la surface disponible et celle effectivement exploitée. Avec les restrictions liées à la crise sanitaire, ces écarts sont devenus trop importants pour être ignorés. Redonner vie à ces surfaces délaissées, peut s’avérer très rentable. Voici les solutions à considérer pour optimiser ces espaces. Des décalages inhérents à la vie d’une entreprise Rien de plus naturel pour une entreprise que l’inoccupation de certaines surfaces dans ses locaux. Le cycle de vie d’une société implique des changements de rythme pouvant mener à une baisse d’activité à court ou moyen terme. Le départ de collaborateurs, à la retraite ou en quête de nouvelles opportunités, est inévitable. Dans ces situations, les espaces sont laissés vacants, mais peuvent être tout simplement sous-exploités. C’est, par exemple, le cas d’une vaste salle de réunion mobilisée seulement quelques jours par mois. Un défaut d&rsquo;agencement peut également entraîner la désertification de certaines zones. Un manque à gagner exacerbé par la crise sanitaire Avec la généralisation du télétravail et les fermetures temporaires, le coût des surfaces commerciales peine à être rentabilisé. Si les établissements fermés ont vocation à rouvrir une fois la crise maîtrisée, pour ceux qui ont basculé vers le télétravail, il y aura aussi un avant et un après Covid-19. Sous l&rsquo;impulsion des entreprises comme des collaborateurs, le télétravail devrait reprendre en France à un niveau supérieur à celui enregistré avant la crise. En conséquence, une partie des espaces inoccupés en temps de crise, le resteront même après la levée des restrictions. Comment exploiter ce potentiel ? Ces mètres carrés inexploités compromettent la santé financière de l&rsquo;entreprise, et le déménagement vers des locaux plus adaptés semble être la solution la plus appropriée. En vérité, à ce stade, vous avez encore plusieurs cartes en main et, parmi elles, l’opportunité de dynamiser l&rsquo;entreprise tout en assurant une entrée d’argent supplémentaire et régulière. Accueillez dans vos locaux de plus petites entreprises à la recherche d’une belle adresse à moindre frais ou d’un environnement de travail collaboratif. C’est gagnant-gagnant pour la structure accueillante qui mobilise toutes ses ressources disponibles, et pour celle qui loue, offrant à ses propres collaborateurs un espace de travail prêt à l’emploi. Dans certains cas, l&rsquo;entreprise à la recherche de nouveaux espaces, souhaite offrir à plusieurs employés la possibilité de se rapprocher de leur domicile. Le déploiement de tiers-lieux satellites autour du siège est un bon compromis entre l’isolement du télétravail et les temps de trajets excessifs dans les grandes métropoles. Autant de nouvelles attentes qui n’attendent que des espaces disponibles pour s&rsquo;épanouir. Instaurer des espaces modulables Les réflexions et expériences autour du « flex office » ou « desk sharing » gagnent en popularité et transforment l’immobilier d’entreprise. En raisonnant en termes de postes disponibles et d’effectif, les nouvelles méthodes d&rsquo;organisation de l’espace brisent la répartition traditionnelle par mètre carré. L&rsquo;entreprise est ainsi mieux armée pour répondre rapidement et efficacement aux évolutions de son activité. Ce mode de fonctionnement permet notamment de troquer une vaste surface sous-utilisée pour un espace plus compact dans un quartier à forte plus-value pour l&rsquo;entreprise.