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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

(61912 résultats)
Il y a 4 ans et 57 jours

Quels matériaux de façade pour un bâtiment moderne ?

© Crédit photo : www.acodi.fr – Lycée Jean XXIII Née au début du XXe siècle, l’architecture moderne se veut avant tout fonctionnelle. Le travail des volumes prend le pas sur l’ornementation et laisse place à des lignes géométriques simples. La toiture-terrasse, le plan libre, la baie vitrée et la façade rideau sont quelques-unes de ses marques de fabrique. L’architecture contemporaine met elle aussi l’accent sur les volumes et la luminosité. Intégrant les nouveaux enjeux de son temps, elle aspire à une meilleure efficacité énergétique et accueille volontiers des espaces végétalisés. Voici les matériaux de façades à considérer pour accompagner au mieux ces architectures très urbaines. Le métal dans tous ses états Les structures métalliques se prêtent aisément à l’installation de brise-soleil en façade et participent à l’amélioration de l’isolation thermique du bâtiment. La légèreté et l’esthétique sobre de ces matériaux s’allient naturellement aux caractéristiques de l’architecture moderne et contemporaine. Ces parements sont le plus souvent proposés sous forme de panneaux composite alu, de panneaux en zinc, en inox ou en cuivre. Halte aux idées reçues : les bardages métalliques sont résistants à la corrosion et durables sans entretien. Recyclables, ces matériaux offrent un bon bilan environnemental tout au long de leur cycle de vie. La fibre-ciment et le béton Avec leurs nuances minérales, les panneaux en fibre-ciment respectent l’authenticité des bâtiments modernes. Très appréciées sur les façades ventilées, les propriétés de ce matériau accompagnent à merveille la régulation de l’air et de l’humidité au sein de la structure. Souvent relégué aux structures porteuses, le béton s’invite sur le devant de la scène, brut, sans peinture et sans crépis. Plusieurs techniques, comme le bouchardage, le ponçage et le polissage, permettent le travail de ce matériau pour un rendu unique. La pierre naturelle et la brique En finition brute ou lisse, la pierre naturelle séduit par son style intemporel. Elle souligne avec élégance les parois vitrées des bâtiments modernes tout en apportant une masse thermique supplémentaire à l’édifice. À poser selon les techniques traditionnelles ou par accrochage, selon le principe de la façade ventilée. À appliquer une à une, ou en panneaux préfabriqués, les briques de parement se prêtent volontiers à l’habillage de façades modernes et traditionnelles. Leur faible impact environnemental tout au long du cycle de vie séduit presque autant que leur patine si caractéristique. Le bois Le revêtement de façade en bois autorise des jeux de lignes intéressants à décliner sur les volumes modernes. Les panneaux aux dimensions les plus larges seront sollicités pour un rendu lisse et uniforme, tandis que les panneaux ajourés pourront habiller de vastes surfaces vitrées. Avec autant de teintes que d’essences disponibles, les bardages en bois se fondent aisément dans leur environnement et renforcent également les performances thermiques globales du bâtiment. Ce matériau demande en revanche un entretien régulier. Si l’impact environnemental joue un rôle essentiel dans le choix du matériau de façade, celui-ci devra être évalué en tenant compte des caractéristiques de la structure en place, des conditions de pose du parement et de sa capacité à accompagner la dynamique hygrothermique du bâtiment.
Il y a 4 ans et 57 jours

"Les MGP sont la meilleure formule pour rénover les écoles de Marseille", Ph.Mazet

CONTROVERSE. Le choix de la ville de Marseille de rénover des groupements d'écoles avec des marchés globaux de performance (MGP) suscite le débat. Le délégué général d'EGF, Philippe Mazet, partage son point de vue avec Batiactu, après que les architectes de la région ont accusé ces marchés d'être "contraires à l'intérêt public".
Il y a 4 ans et 57 jours

« Peut-on se passer de bois ? » : la filière dénonce un amalgame permanent dans l'opinion public

L’amalgame permanent, entre les images chocs de la déforestation en zones tropicales et la réalité de la progression du patrimoine forestier sur tout le continent européen, l’idée que les forêts du Morvan sont l’expression généralisée des forêts françaises, l’impression donnée que les entreprises du bois et les forestiers sont tous « vendus au grand capital » et œuvrent systématiquement à grands coups de monstres mécanisés et d’épandages récurrents de glyphosate et d’autres intrants dévastateurs finissent par lasser. Peut-on se passer de bois ? C’est la seule question que doit se poser l’opinion publicSi la réponse est oui, alors acceptons l’idée de l’utilisation tout azimut des ressources fossiles et de la bétonisation de la planète. Actuellement, chaque habitant de notre terre consomme un m3 de béton par an, pourquoi pas deux ou trois, c’est si bon pour le réchauffement climatique… Nos forêts pourront alors être mises sous cloche, revenir à l’état primaire, redevenir impénétrables et largement moins agréables pour la promenade ou la sortie VTT du dimanche, ou simplement disparaître, emportées à leurs tours par le réchauffement climatique, dont les effets sont bien plus rapides que la seule adaptation des forêts à leurs environnements. Si la réponse est non, alors changeons notre regard sur les spécialistes : gestionnaires forestiers, bûcherons, scieurs, industriels de la deuxième transformation, scientifiques qui prônent un équilibre à travers les multifonctionnalités de la forêt, ou qui mettent en évidence l’intérêt environnemental de l’utilisation du bois, et donc de la récolte des arbres. Cessons de les considérer comme des suspects. Si la forêt est multifonctionnelle, elle est aussi l’une des meilleures illustrations de ce qu’est le développement durable. Les trois piliers du développement durable : social, écologique et économique s’y trouvent rassemblés mieux qu’ailleurs. On trouve aussi, dans ce lien entre la forêt et le bois, de magnifiques exemples de l’économie circulaire et de l’émergence du concept de circuits courts. Les femmes et les hommes qui mettent leur énergie, leurs talents, leurs convictions et leur passion au service des territoires forestiers et des entreprises responsables de la filière, sont souvent aussi silencieux que les arbres qui grandissent. Il serait temps de les écouter !Exemple de la reconstruction de Notre-DameL’opinion public s’est là encore « enflammée » : 3.500 m3 de chênes sacrifiés, inacceptable de récolter les 1.000 à 1.500 chênes nécessaires à la reconstruction !Or, il y a environ 1,3 milliards de chênes rouvres et pédonculés en France.Cette opération représente donc 0.0001% du capital de chênes disponibles…L’accroissement biologique annuel des chênes de France est de l’ordre de 14 millions de m3.Les 3.500 m3 de chêne seront reconstitués dans nos forêts en moins de 2h30….C’est de l’arithmétique de base niveau CM2 : [(365 jours x 24h) / 14.000.000 m3] x 3.500 m3 = 2,18h.2h30 de production, sans aucun bruit, en prélevant le CO2 atmosphérique et avec le soleil comme seule énergie… La forêt et l’utilisation du bois ont un rôle indispensable dans la réalisation des engagements environnementaux de la France. L’effort de communication et de pédagogie sur la nécessité d’une gestion dynamique de la forêt porte aussi sur les générations de futurs acteurs que nous formons à l’ENSTIB. Pour eux, nous nous devions d’intervenir dans ce débat.Professeur Laurent BLERON, Directeur de l’ENSTIBProfesseur Pascal TRIBOULOT, Directeur honoraire de l’ENSTIB, vice-président de FIBOIS Grand-Est
Il y a 4 ans et 57 jours

Les stores Anti-Chaleur Reflex'Sol au Restaurant Graziella

Conformément aux réglementations thermiques qui imposent une consommation d'énergie inférieure à une consommation de référence et en été, une température inférieure à une température de référence, les stores Anti-Chaleur REFLEX'SOL proposent une protection solaire largement suffisante pour limiter l'utilisation d'une climatisation.Les solutions de protection solaire de la marque REFLEX'SOL sont proposées par la société Adeima qui vous présente des stores et solutions de réflexions 100% Made in France depuis 1987.Testés en centre de recherche et brevetés, bien plus que de simples stores, les produits REFLEX'SOL offrent bien-être et confort intérieur.Les produits REFLEX'SOL sont disponibles dans toutes la France, auprès des meilleurs fabricants de véranda et storistes.Store velum SOLARIA, élégant à la manipulation simple : isoler un puit de lumière en aluminium de la chaleurSOLARIA est un store velum qui permet d'isoler efficacement une véranda en aluminium. Ce store protège les puits de lumière de la chaleur du soleil grâce à son tissu réflecteur haute résistance, tout en gardant une bonne lumière à l'intérieur. La toile coulisse sur des rails en aluminium blancs ou thermolaqués selon les coloris ral en fonction de la décoration du lieu pour plus de personnalisation.La toile se déploie en formant des vagues et est entièrement tendue une fois celle-ci déployée. Ce mécanisme permet de mettre en valeur les tissus de couleur élégants, tout en garantissant une parfaite protection contre les rayons solaires. La toile peut être tamisante ou occultante.Le store velum est idéal pour isoler une véranda en aluminium équipée de surfaces vitrées, inclinées ou horizontales.En plus d'isoler les vérandas dites classiques et de les protéger de la chaleur, ces mécanismes habillent les toitures plates des vérandas d'aujourd'hui. SOLARIA est une protection solaire qui permet de réguler la température selon sa convenance, à ajuster la lumière sur mesure, à occulter la pièce ou encore à ajuster le degré d'intimité. Le store vélum SOLARIA se manœuvre facilement à l'aide de son système à cordon en kevlar, pouvant être actionné à l'aide d'une manivelle ou d'un moteur électrique.Caractéristiques techniques :Largeur maxi = 676, été/hiver : 6000 mm - 323, 454, 555 : 5000 mm - Black out : 4000 mmDéployé maxi = 12000 mm en 2 parties ou 6000 mm en 1 partieHauteur stockage = 300 à 350 mmProfondeur stockage = manuel : 350 mm + 5% du déployé motorisé : 460 mm + 5% du déployéPour en savoir plus sur la gamme REFLEX'SOL consultez leur site internet.
Il y a 4 ans et 57 jours

Une forteresse historique des Hautes-Alpes vendue 661.000 euros

L'acheteur est une société civile immobilière (SCI) basée à Aix-en-Provence, a détaillé François Marty, qui n'en connaît pas le bénéficiaire final. Sa demande de report de l'audience a été rejetée.En raison de difficultés financières, sa banque l'avait conduit à vendre ce complexe de remparts, bâtisses, cours et donjon, totalisant 6.500 mètres carrés dont 3.500 aménageables, qui domine la rivière du Guil, dans la vallée du Queyras."Déçu" par un prix de vente "pas en adéquation avec la valeur du site" - il en attendait 2 à 3 millions d'euros -, il estime cette vente "faussée" par les conditions des enchères, réalisées en plein confinement."A ce prix-là, il y aura certainement une surenchère", ajoute-t-il, assurant que "toute personne peut dire +je relance+" d'ici à dix jours, ce qui provoquerait une nouvelle audience d'enchères, selon lui."Il faut que les futurs acquéreurs ne soient pas entravés dans leur déplacement" pour la visite du château puis de la vente, poursuit M. Marty, un investisseur immobilier basé à Aix-en-Provence.Trois avocats ont "poussé les enchères" pour leurs clients lors de l'audience au tribunal de Gap, a précisé cet ancien propriétaire. Il assure que ce prix de vente rembourse "tout juste" ses créances auprès de sa banque.Selon le maire et une association d'amis du fort, un bail commercial attaché à la vente empêcherait le nouvel acheteur d'avoir la jouissance immédiate du bien.C'est ce qui avait freiné la mairie dans son intention de préempter le bâtiment pour en faire un outil de développement touristique.La présence de Fort Queyras sur cette butte est attestée dès 1265. A la fin du XVIIe siècle, Vauban le renforce et le modernise pour mieux défendre la frontière italienne proche.Le château est occupé par l'armée jusqu'à sa démilitarisation après la Seconde guerre mondiale, puis a été racheté par des propriétaires privés successifs jusqu'à M. Marty.
Il y a 4 ans et 57 jours

Lieux de culte

2026 devait sonner, selon des estimations réalisées avant la pandémie, l’issue d’un chantier qui aura duré ...En savoir plus Cet article Lieux de culte est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 57 jours

Europan 16 : c'est parti !

Quimper, Pont Aven, Niort, Limoges... On connaît les villes françaises qui se prêtent au jeu de la seizième édition du concours d'idées biennal Europan. Les jeunes architectes, paysagistes et urbanistes européens ont jusqu'au 17 septembre 2021 pour envoyer leurs projets. Très attendu par les jeunes concepteurs désireux de se […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 58 jours

Nouvelle manifestation contre un projet de serre tropicale géante sur la Côte d'Opale

Les manifestants étaient environ 200 selon la préfecture, plus de 380 selon les organisateurs.Ils fustigent dans ce projet de serre au dôme de 20.000 m2, prévue pour abriter papillons, colibris, poissons, reptiles et arbres exotiques, une absurdité visant à susciter l'émerveillement avec une biodiversité exotique au lieu de protéger celle de la Côte d'Opale.Tropicalia est "un projet anachronique par les temps qui courent", a souligné auprès de l'AFP Hélène Roche, porte-parole du collectif Non à Tropicalia, estimant qu'il pose problème tant pour la condition animale que pour l'artificialisation des terres et la consultation démocratique des riverains.L'association Gdeam62 (Groupement de Défense de l'Environnement de Montreuil et du Pas-de-Calais) a déposé un recours contre le permis de construire en mars 2020 mais Tropicalia n'a pas encore répondu et aucune date d'audience n'est fixée à ce stade, a indiqué Mme Roche.Ses promoteurs, qui la présentent comme la plus grande serre tropicale au monde, ont obtenu fin 2019 un permis de construire sur un ancien terrain agricole transformé en "zone d'aménagement concerté", entre les communes de Verton et Rang-du-Fliers.Estimé à 73 millions d'euros, le projet est en partie subventionné par la région, à hauteur de 2 millions d'euros.La liste menée par Karima Delli en a fait "un emblème des grands projets inutiles, du capitalisme vert et d'une vision à court terme pour l'attractivité et l'emploi précaire"."On ne peut pas faire autre chose avec 73 millions d'euros et 9 hectares de terres ? Ce projet ne passera pas si je suis présidente", a assuré il y a quelques jours la candidate à l'AFP.Les opposants au projet avaient déjà manifesté en décembre et en février.
Il y a 4 ans et 58 jours

Face au changement climatique, le Cerema adopte une nouvelle stratégie

Pour cela, le plan stratégique affirme :le rôle du Cerema, service public pour améliorer la vie et le cadre de vie des Français : pourpenser l'aménagement de demain, aller vers des bâtiments performants, encourager les nouveaux modes de mobilités, assurer la sécurité des déplacements, redonner sa place à la nature, surveiller et protéger le littoral etc. ;la place du Cerema auprès des collectivités : le projet stratégique renforce le dialogue avec plus de 400 acteurs publics et privés locaux pour constituer les orientations de travail au plus près des réalités vécues et des besoins des territoires ;le positionnement du Cerema comme le socle d’appui technique des ministères de laTransition écologique et de la Cohésion des territoires, afin de penser, traduire concrètement et accompagner sur le terrain leurs politiques publiques prioritaires.Concrètement, pour atteindre ses ambitions, le Cerema se dote d’une feuille de route climat pour chacun de ses 6 domaines d’expertises (expertise et ingénierie territoriales, bâtiment, mobilités, infrastructures de transport, environnement et risques, mer et littoral, et crée 2 nouvelles implantations dans les Outremer. Il définit également les conditions de son exemplarité en matière sociale, sociétale et environnementale.Pour Pascal Berteaud, directeur général du Cerema : « La transformation du Cerema est amorcée pour adapter dès aujourd’hui nos territoires au climat de demain. Ce projet stratégique en est le socle et ses lignes directrices tracent une voie claire pour l’établissement bien au-delà de son échéance de 2023 : tant que le Climat changera, le Cerema agira. »Pour Marie-Claude Jarrot, présidente du Conseil d’administration du Cerema : « L’unité du Cerema, associée à son implantation sur tout le territoire, est la garantie d’un service public de qualité et de proximité: lorsque l’une de nos équipes est mobilisée sur un projet, c’est toute la force et toute l’expertise du Cerema qui est mobilisée. »Tout savoir sur la stratégie du Cerema : Synthèse et stratégie version complète en ligne
Il y a 4 ans et 58 jours

Kaléidoscope : journal inachevé d’une autre vie de Paul Andreu ?

Kaléidoscope est un roman paru aux éditions de l’Alma le 1er avril, plus de deux ans après le décès de son auteur. L’occasion de se pencher sur une autre des vies de Paul Andreu, ce touche-à-tout qui propose certes une vision de l’architecture mais interroge plus largement le rapport à la création, aux sciences, à […] L’article Kaléidoscope : journal inachevé d’une autre vie de Paul Andreu ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 58 jours

L’architecture, un art politique qui doit être souverain

Les architectes – de nos jours – sont pris en otage par une autocratie bureaucratique qui, en France – au sein de plusieurs microcosmes – est en train de dégrader l’équilibre de vie des populations. Chronique du philosophe. L’architecture étant un art politique, il est un devoir citoyen de soutenir sa souveraineté, provenant essentiellement du pouvoir […] L’article L’architecture, un art politique qui doit être souverain est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 58 jours

Pour les architectes, la frugalité malheureuse ?

Depuis quelques mois il n’est pas une semaine sans que ne soit évoqué ce nouveau terme à la mode : la frugalité constructive. Le Pritzker de cette année lui-même a été décerné à l’aune du travail sur cette thématique par les récipiendaires. A l’heure du Grand Paris, il faudrait faire de la ‘métropolisation’ à outrance mais […] L’article Pour les architectes, la frugalité malheureuse ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 58 jours

Podcast #04 – Philippe Madec, de la frugalité heureuse, dit-il

Si la frugalité devient une esthétique, est-ce une bonne nouvelle ? La frugalité n’est-elle pas dans sa définition même une forme de pauvreté ? Les définitions divergent. L’opinion de l’architecte Philippe Madec est heureuse. Il en débat dans Parole d’archi, le podcast de Chroniques. En savoir plus :• L’œuvre frugale, une explication de texte par […] L’article Podcast #04 – Philippe Madec, de la frugalité heureuse, dit-il est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 58 jours

La forêt, ressource renouvelable de l’art de bâtir

Suite à des chroniques parues dans nos colonnes sur la construction bois, l’architecte Stéphane Cochet a souhaité soumettre, « un peu sous forme de droit de réponse », un texte sur l’architecture et la forêt dans le contexte actuel des enjeux climatiques. Dont acte. Tribune. L’histoire de la forêt métropolitaine dans le contexte des révolutions industrielles des […] L’article La forêt, ressource renouvelable de l’art de bâtir est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 58 jours

Architecture numérique et métaphorique : la raison et la démesure ?

« La construction c’est fait pour tenir, l’architecture pour émouvoir ».* Après un siècle sur le chemin de la technique, comment regarder l’architecture autrement ? Il n’est plus temps de crier au loup, il faut ouvrir une autre voie, créer une rupture pour lui redonner sa place au cœur de la société. Le rêve serait un […] L’article Architecture numérique et métaphorique : la raison et la démesure ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 58 jours

Le gouvernement propose un plan d'action pour réduire la pollution du chauffage au bois domestique

Si les buches de bois ou les granulés de bois sont une source d’énergie renouvelable et neutre en carbone qu’il faut encourager, leur combustion dans de mauvaises conditions peut également constituer une part significative de la pollution aux particules fines. Ainsi, en 2018, le chauffage au bois domestique était responsable de 43% des émissions nationales en PM 2,5, ainsi que plus de la moitié des très fines émissions en PM 1,0. Or, plus les particules sont fines, plus elles pénètrent profondément dans l’organisme.Le Centre International de la Recherche sur le Cancer a déclaré en 2013 les particules fines comme étant cancérogènes pour l’homme. Ainsi, les particules fines sont responsables d’environ 40.000 décès par an en France selon Santé Publique France, dont 17.000 pourraient être évités en respectant les valeurs limites recommandées par l’Organisation Mondiale de la Santé.Les principaux facteurs qui influencent la qualité de la combustion du chauffage au bois, et donc les émissions de particules fines, sont :la performance de l’appareil : il faut utiliser un appareil récent, correctement dimensionné et bien entretenu ; l’utilisation d’un combustible de bonne qualité avec un faible taux d’humidité ;les pratiques d’utilisation : il est préférable d’utiliser une méthode d’allumage par le haut, d’éviter une allure de fonctionnement ralentie et de s’assurer que l’apport d’air est suffisant.Le 13 avril 2021, les députés ont voté dans la loi Climat et Résilience l’objectif d’une baisse de 50 % des émissions de particules fines entre 2020 et 2030 dans les territoires les plus pollués, à savoir ceux couverts par un plan de protection de l’atmosphère. Le plan d’action « chauffage au bois domestique performant » permettra de répondre à cet objectif en accélérant le renouvellement des vieux poêles et des vielles cheminées au profit d’équipements performants, en développant l’utilisation de combustibles de qualité et en rappelant les bonnes pratiques d’utilisation des appareils.Ainsi, le plan d’action est décliné autour des 6 axes suivants : sensibiliser le grand public à l’impact sur la qualité de l’air d’un chauffage au bois avec des appareils peu performants ou un combustible de mauvaise qualité. A ce titre, la vétusté d’un appareil de chauffage au bois sera indiquée dans le nouveau diagnostic de performance énergétique et les ramonages, rendus obligatoires une fois par an, seront l’occasion de rappeler les subventions disponibles pour remplacer un appareil peu performant et fortement émetteur de particules fines ;renforcer et simplifier les dispositifs d’accompagnement pour accélérer le renouvellement des appareils de chauffage au bois. 600.000 appareils seront remplacés d’ici 2025 grâce aux aides à la rénovation énergétique des logements (MaPrimeRenov’) et aux fonds air bois mis à disposition par les collectivités territoriales et l’ADEME ;améliorer la performance des nouveaux équipements de chauffage au bois en faisant évoluer le label flamme verte au-delà du seuil « 7 étoiles » pour définir des niveaux de performance plus protecteurs pour la qualité de l’air ;promouvoir l’utilisation d’un combustible de qualité en développant un label pour attester de la qualité du combustible (faible taux d’humidité) et de son origine (issu de forêts gérées durablement). Le marché formel de la bûche représente aujourd’hui uniquement 20 % des bûches utilisées en France. L’objectif est de structurer le marché formel de la bûche pour qu’il représente 40 % des utilisations annuelles, dont 50 % est un combustible labellisé, d’ici 2030 ;encadrer l’utilisation du chauffage au bois dans les zones les plus polluées, en prenant des mesures adaptées aux territoires pour réduire les émissions de particules fines ;améliorer les connaissances sur l’impact sanitaire des particules issues de la combustion du bois.« Un Français sur quatre utilise le chauffage au bois, qui est un mode de chauffage neutre en carbone. Pour la moitié d’entre eux, c’est le principal moyen de chauffage. Je me réjouis de ce constat, tout en restant vigilante sur la performance du chauffage au bois domestique qui est le premier émetteur de particules fines en France. Car une combustion de mauvaise qualité peut émettre jusqu’à 10 fois plus de particules fines, particulièrement dangereuses pour la santé. Le plan d’action que nous proposons vise à œuvrer pour la cause climatique en promouvant un chauffage au bois plus performant tout en améliorant la qualité de l’air, sans les opposer. » Barbara Pompili« En tant que Président du Conseil National de l’air (CNA), je salue l’engagement du Gouvernement pour réduire les émissions de particules fines issues du chauffage au bois non performant. C’est un sujet de santé publique qui préoccupe les membres du CNA et sur lequel nous travaillons en lien étroit avec le Bureau de la Qualité de l’Air du Ministère de la Transition Ecologique. Ce plan d’action, qui s’inscrit dans le prolongement de ce qui a déjà été lancé depuis 2 ans pour aller vers des mobilités plus propres, contribuera à la reconquête de la qualité de l’air de nos territoires les plus pollués. » Jean-Luc Fugit
Il y a 4 ans et 58 jours

C’est pas mal… ! Disparition de l’esthétique ou effacement du beau ?

Il est « pas mal » ton projet. Ni bien ni mal en somme. La figure de style est devenue l’expression la plus en vogue. Plaisir ou (dé) plaisir ? Fuite devant l’argument, histoire de ne pas (dé) plaire ? Alors, finalement, il est comment mon projet ? Pas mal ? Robert Schuman (1886-1963), ancien Premier ministre français, disait que « celui […] L’article C’est pas mal… ! Disparition de l’esthétique ou effacement du beau ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 58 jours

1981–1993, années Mitterrand : à la Culture, chassé-croisé Lang – Léotard

La suite de notre série « Il n’y a rien de mieux pour flinguer une carrière politique qu’un poste de ministre de la Culture »*. Pour Lang et Léotard, 11ème et 12ème ministres de la Culture, au premier les grands travaux, au second, les travaux forcés. Jack Lang Jack Lang est le 11ème ministre de […] L’article 1981–1993, années Mitterrand : à la Culture, chassé-croisé Lang – Léotard est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 58 jours

Huit nouveaux sites annoncés pour la création de 15.000 places de prison

Le "Plan 15.000 places", voulu par Emmanuel Macron en 2018, se décline en deux phases: 7.000 places mises en chantier d'ici 2022, "c'est-à-dire livrées ou avancées à un stade de construction", selon une source gouvernementale, et 8.000 supplémentaires qui doivent être lancées d'ici 2022, pour une livraison finale à l'horizon 2027.Le plan prévoit en tout 18.000 créations de place, mais également la suppression de 3.000.Le centre pénitentiaire de Lutterbach, dans la périphérie de Mulhouse, doit ainsi remplacer les établissements pénitentiaires de Mulhouse et Colmar, jugés trop vétustes. L'inauguration est prévue à la fin de l'année.Pour cette deuxième phase, cinq opérations sont déjà engagées: à Muret (Haute-Garonne, 615 places, livraison 2026), Rivesaltes (Pyrénées-Orientales, 515 places, livraison 2026), Entraigues-sur-la-Sorgue (Vaucluse, 400 place, livraison 2025), Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis, 715 places, 2026), Saint-Laurent-du-Maroni (Guyane, 505 places, 2026).Huit opération nouvelles doivent être annoncées mardi, pour des livraisons à l'horizon 2027: à Nîmes (Gard, 700 places), Le Muy (Var, 650 places), Pau (Pyrénées-Atlantiques, 250 places), Noiseau (Val-de-Marne, 800 places), Trélazé (Maine-et-Loire, 850 places), Crisenoy (Seine-et-Marne, 1.000 places), Vannes (Morbihan, 550 places) et une dans le Val-d'Oise sur un site encore en cours d'identification (750 places).Trois prisons expérimentales centrées sur le travail et la formation de 180 places chacune doivent encore être construites à Arras, Toul (Meurthe-et-Moselle) et Donchery (Ardennes), pour une livraison en 2025-2026."Les nouveaux établissements favoriseront le développement du travail en détention, en offrant un plus grand nombre de postes de travail dans les ateliers ainsi que des équipements permettant la diversification des activités professionnelles et de formation", a souligné une source ministérielle, alors que l'entourage du Premier ministre a mis en avant "le projet de Lutterbach, conduit de manière exemplaire, avec une architecture qui renouvelle l'immobilier carcéral, très inséré dans les paysages et les territoires".Le programme global de 15.000 places supplémentaires est doté d'un budget d'environ 4,4 milliards d'euros, "le plan le plus important depuis quinze ans", selon le ministère de la Justice./cbnLa France compte aujourd'hui 61.100 places de prison.
Il y a 4 ans et 58 jours

Huit nouveaux sites annoncés pour la création de 15.000 nouvelles places de prison

Le "Plan 15.000 places", voulu par Emmanuel Macron en 2018, se décline en deux phases: 7.000 places mises en chantier d'ici 2022, "c'est-à-dire livrées ou avancées à un stade de construction", selon une source gouvernementale, et 8.000 supplémentaires qui doivent être lancées d'ici 2022, pour une livraison finale à l'horizon 2027.Le plan prévoit en tout 18.000 créations de place, mais également la suppression de 3.000.Le centre pénitentiaire de Lutterbach, dans la périphérie de Mulhouse, doit ainsi remplacer les établissements pénitentiaires de Mulhouse et Colmar, jugés trop vétustes. L'inauguration est prévue à la fin de l'année.Pour cette deuxième phase, cinq opérations sont déjà engagées: à Muret (Haute-Garonne, 615 places, livraison 2026), Rivesaltes (Pyrénées-Orientales, 515 places, livraison 2026), Entraigues-sur-la-Sorgue (Vaucluse, 400 place, livraison 2025), Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis, 715 places, 2026), Saint-Laurent-du-Maroni (Guyane, 505 places, 2026).Huit opération nouvelles doivent être annoncées mardi, pour des livraisons à l'horizon 2027: à Nîmes (Gard, 700 places), Le Muy (Var, 650 places), Pau (Pyrénées-Atlantiques, 250 places), Noiseau (Val-de-Marne, 800 places), Trélazé (Maine-et-Loire, 850 places), Crisenoy (Seine-et-Marne, 1.000 places), Vannes (Morbihan, 550 places) et une dans le Val-d'Oise sur un site encore en cours d'identification (750 places).Trois prisons expérimentales centrées sur le travail et la formation de 180 places chacune doivent encore être construites à Arras, Toul (Meurthe-et-Moselle) et Donchery (Ardennes), pour une livraison en 2025-2026."Les nouveaux établissements favoriseront le développement du travail en détention, en offrant un plus grand nombre de postes de travail dans les ateliers ainsi que des équipements permettant la diversification des activités professionnelles et de formation", a souligné une source ministérielle, alors que l'entourage du Premier ministre a mis en avant "le projet de Lutterbach, conduit de manière exemplaire, avec une architecture qui renouvelle l'immobilier carcéral, très inséré dans les paysages et les territoires".Le programme global de 15.000 places supplémentaires est doté d'un budget d'environ 4,4 milliards d'euros, "le plan le plus important depuis quinze ans", selon le ministère de la Justice./cbnLa France compte aujourd'hui 61.100 places de prison.
Il y a 4 ans et 58 jours

Port résidentiel privé et pontons flottants

La construction d’un port résidentiel privé est un projet laborieux. Elle nécessite une main-d’œuvre hautement qualifiée qui pourra réaliser des infrastructures solides et durables. La mise en place de cette installation portuaire nécessite également l’utilisation de matériaux respectueux de l’environnement afin de préserver l’écosystème naturel du site. Mais, quel est l’intérêt d’un tel ouvrage ? Quels sont les composants incontournables d’un port résidentiel ? Port résidentiel privé : quelle utilité ? Le port résidentiel privé est une infrastructure destinée à accueillir des bateaux et yachts privés à tout moment de l’année. Située en bord de mer ou d’un cours d’eau (lac, rivière…), cette installation portuaire abrite également des bases de loisirs et des petites marinas. Ses ouvrages d’accostage peuvent être fixes ou flottants. Le choix dépendra de vos envies et de votre budget. Toutefois, en misant sur le système de ponton flottant Poralu qui utilise l’aluminium de qualité marine, vous profiterez d’un équipement haut de gamme, très résistant et démontable à souhait. Nous reviendrons sur ce point dans la suite de l’article. Le port résidentiel privé offre un cadre somptueux qui permet aux plaisanciers et particuliers de passer du bon temps dans un environnement sain et naturel. Enfin, cette installation portuaire est aussi un lieu de détente pour les loueurs d’embarcations privées. Si vous aimez les sports nautiques et que vous souhaitez faire une virée sur le lac Annecy, faites un tour sur des sites tels que location-bateau-annecy.fr afin de choisir une bonne embarcation. Si vous êtes un professionnel, vous pouvez opter pour cette structure pour amarrer votre bateau et disposer d’un emplacement sécuritaire. Port résidentiel : les composants incontournables Pour accueillir des bateaux, un port résidentiel doit être aménagé avec des jetées, des quais et des pontons pour amarrer les bateaux. Comme indiqué plus haut, les pontons flottants constituent une solution intéressante parce qu’on peut les monter et démonter à tout moment. Par exemple, en hiver, vous pouvez démonter et ranger tranquillement votre équipement. Ces infrastructures se déclinent en plusieurs modèles et variétés grâce à leur structure démontable. Vous avez donc la possibilité de choisir une installation en bois, en plastique, en composite ou en aluminium. Ce dernier matériau offre des avantages considérables : il est léger et malléable ; il est résistant et durable ; il est noble et écologique; il est économique ; il est esthétique et élégant. Un produit léger et malléable L’aluminium possède un rapport résistance/poids très élevé. A résistance égale, un ponton flottant en aluminium pèse 50 % du poids d’une structure en acier. Un avantage considérable qui facilite les coûts de manutention et de transport. De plus, c’est un produit malléable, facile à fondre et à mouler. On peut donc le déformer et le modeler à souhait, sans le rompre. Un matériau résistant et durable Bien que léger, ce matériau est très résistant. Les structures en aluminium sont capables de soulever plusieurs fois leur propre poids. Dans l’industrie aéronautique, on utilise ce produit comme structure des avions gros porteurs. En architecture moderne, on se sert de l’aluminium pour réaliser des structures vitrées géantes. Ce matériau a également une durabilité impressionnante. Il génère naturellement une couche d’oxyde qui le protège de la corrosion. Grâce à une durée de vie longue de plus de 50 ans, les installations restent en parfait état et ne nécessitent pas de maintenance. Une solution écologique L’aluminium est un matériau 100 % recyclable à l’infini. Sa réutilisation ne demande que très peu d’énergie, sans aucune perte de qualité. Respectueux de l’environnement, il peut donc accompagner tous les projets écoresponsables. Un matériau économique Le coût de transport et d’installation de ce matériau est diminué grâce à sa légèreté. Les installations en aluminium ne nécessitent pas de maintenance. Vous n’avez donc aucune dépense à faire à ce niveau. Enfin, le produit peut être utilisé indéfiniment puisqu’il peut être recyclé à l’infini. Une matière élégante et esthétique Matière élégante, l’aluminium permet d’obtenir une finition premium qui offre à votre ponton une esthétique haut de gamme. De fait, vos installations pourront rehausser le charme de votre baie et s’intégrer aisément dans les environnements les plus luxueux. Cette finition soignée permet de bénéficier d’un choix plus large de coloris et d’accessoires périphériques. Quel matériau choisir pour le platelage du ponton flottant ? Un large choix de matériaux et de coloris est disponible pour le platelage recouvrant le ponton flottant : les dalles en polypropylène ; le bois ; le bois composite. Les dalles en polypropylène (platelage Ecostyle) sont extrêmement résistantes aux événements extérieurs et à l’utilisation prolongée et intensive d’un ponton flottant. Ils offrent une protection renforcée contre les UV et possèdent un rainurage antidérapant. Respectueux de l’environnement, ce type de platelage est recyclable à 100 %. Le platelage en bois est rigoureusement sélectionné en fonction de la qualité du bois. Il bénéficie d’un rainurage antidérapant et il est imputrescible et 100 % recyclable. En optant pour ce matériau, vous avez la possibilité d’adopter un style permettant d’obtenir un sol élégant et satiné. Avec son rainurage antidérapant, le platelage Ecoteck en bois composite offre un rendu naturel pour un niveau de résistance élevé. Comme les deux précédents produits, celui-ci est également recyclable à 100 %. La mise en place d’un port résidentiel privé nécessite une expertise professionnelle. En effet, ce type d’ouvrage doit non seulement être respectueux de l’environnement, mais il doit également offrir un magnifique cadre à bon nombre de plaisanciers. Pour éviter les mauvaises surprises, les infrastructures flottantes doivent être réalisées avec des matériaux résistants et imputrescibles comme l’aluminium de qualité marine.
Il y a 4 ans et 58 jours

Chronique du Geek – Les applications mobiles d’avril 2021

Parmi les multiples facettes du métier d’architecte, c’est au bâtisseur que le Geek propose ce mois-ci cinq applications mobiles techniques ayant trait aux calculs d’isolation thermique, de conception en bois, d’estimation de coût de matériaux et le dimensionnement des escaliers.  L’isolation thermique Thermal Transmittance Calc Éditeur : Alexey Kozlov Captures d’écrans Description Calcul de la […] L’article Chronique du Geek – Les applications mobiles d’avril 2021 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 58 jours

A tout lieu sa formule, écriture de circonstance et ar(t)chitecture

La formule aide à lire et agit sur le lieu, elle le compose temporairement. Son écriture participe à la conception de l’œuvre. Elle aura une incidence sur l’apparence du bâtiment mais aussi sur son écho, son utilisation (faire résonner l’instrument) et la manière dont il est perçu, approprié. (Fin)* Formulation La structure de la formule […] L’article A tout lieu sa formule, écriture de circonstance et ar(t)chitecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 58 jours

La rénovation du centre de Marseille épinglée par la chambre régionale des comptes

Dans un rapport rendu public cette semaine, la chambre des comptes de Provence-Alpes-Côte d'Azur ne ménage pas ses critiques envers la gestion par la Société locale d'équipement et d'aménagement de l'aire métropolitaine (Soleam), entre 2010 et 2018, de la ville meurtrie par l'effondrement d'immeubles insalubres qui avait fait huit morts en novembre 2018.La société, dont l'actionnaire majoritaire est la métropole Aix-Marseille-Provence dirigée par Martine Vassal (LR), a réalisé des opérations globalement "très éloignées des ambitions affichées et des attentes, sans qu'elle puisse en être tenue pour l'unique responsable", note-t-elle."La mainmise totale des collectivités actionnaires sur la Soleam leur permet d'imposer des bouleversements incessants affectant les projets que cet opérateur a engagés et de s'accommoder de leur mise en sommeil pendant de longues périodes", cingle le rapport.Il relève ainsi que les opérations d'aménagement, et notamment l'opération dite +Grand centre-ville+, confiées à la société avec un budget de 230 millions d'euros, qui devaient initialement s'achever en 2020 ont été prolongées jusqu'en 2025."Si quelques aménagements et équipements publics ont pu être réalisés, les objectifs en matière de logements étaient loin d'être atteints: sur les 1.500 logements nouveaux prévus initialement, 31 seulement avaient été réalisés fin 2018"."L'opération de soutien aux requalifications des immeubles par les propriétaires privés n'a pas non plus donné de résultats probants", note la chambre.Par ailleurs, "d'autres opérations, non prévues initialement, telles que la requalification de la place Jean Jaurès, se sont déroulées dans des conditions chaotiques", pointe-t-elle encore à propos de cet ancien parking transformé en aire de jeux mais violemment contesté par certains habitants."De ce fait, les coûts de gestion de cette opération (...) se révèlent particulièrement élevés au regard des chantiers réellement mis en oeuvre, des dépenses et recettes imputées à la concession".Pour la chambre régionale des comptes, la Soleam "a répondu au coup par coup aux demandes de ses collectivités actionnaires, sans réelle vision stratégique de moyen terme". La "multitude" d'acteurs la "cantonne" à un rôle "d'exécutant, davantage que de concessionnaire", déplore-t-elle.
Il y a 4 ans et 58 jours

La Ligne nouvelle Provence-Côte d’Azur sur la voie... du financement

L’Etat et les collectivités de Provence-Alpes-Côte d’Azur se sont mis d’accord sur un protocole de financement des deux premières phases du projet de Ligne nouvelle Provence-Côte d’Azur (LNPCA). Une enveloppe de près de 3,5 milliards d’euros qu’ils espèrent voir l’Europe prendre en charge à hauteur de 20 %.
Il y a 4 ans et 58 jours

Collectivités locales, Aéroport Nantes-Atlantique... Vos textes officiels du mardi 20 avril 2021

La rédaction du "Moniteur" vous propose une sélection quotidienne des textes officiels intéressant le secteur. Le concept : du lundi au vendredi, un article d'alerte par jour, avec les textes BTP-centrés, résumés en quelques lignes. Au menu : droit de la construction, urbanisme, commande publique et privée, réglementation technique, logement, social…
Il y a 4 ans et 58 jours

Une magnifique nouvelle construction moderne dans le Hampshire réalisée en bois Kebony

La vision audacieuse d'une artiste résulte en une maison de famille au profil durableCette collaboration entre la propriétaire, la célèbre artiste et illustratrice Jennie Maizels, et le cabinet primé Snug Architects allie un audacieux design intérieur à une élégante façade en bois Kebony, le principal producteur mondial de bois modifié durable.Doté d'une allure moderne, le bois Kebony a été sélectionné pour habiller le bâtiment afin qu'il se fonde habilement dans la campagne verdoyante qui l'entoure, créant ainsi une splendide maison de famille digne de son cadre exceptionnel.Le cabinet Snug Architects a imaginé deux structures coiffées d'un toit à deux versants et reliées par un passage vitré à un étage, qui font clairement référence aux formes d'habitat vernaculaire observées dans un contexte rural plus large. Le bois Kebony habille la partie supérieure de la façade et les toits : la belle patine grise qu'il acquiert avec le temps fera écho aux nuances argentées des bouleaux environnant, contribuant à l'allure nette et élégante de l'extérieur de la propriété.Paul Bulkeley du cabinet Snug Architects explique : « Il s'agit d'un projet en osmose avec son cadre, qui doit être en harmonie avec lui. La robustesse et la durabilité du bois Kebony en font le choix idéal pour le revêtement extérieur, et son allure noueuse ne pourrait mieux évoquer les arbres vénérables qui entourent la maison. »Pour l'illustratrice et artiste Jennie Maizels, il était essentiel que l'intérieur de la maison reflète son goût pour un design audacieux et son sens de la créativité. L'intérieur lumineux et coloré insuffle vie et énergie dans ce bâtiment neuf. Pour concrétiser la vision qu'elle avait de son nouveau chez-elle, Jennie a collaboré avec des entreprises pionnières, qui ont osé la différence en déclinant leurs produits dans des coloris vifs, qu'il s'agisse des fabuleux lavabos de Villeroy & Boch ou des meubles de salle de bain rose corail signés Duravite.Pour l'extérieur, le revêtement en bois a été choisi non seulement pour renforcer l'esthétique unique de la maison grâce à son aspect texturé et tactile, mais aussi pour son profil durable et sa robustesse, similaire à celle d'un bois dur.Développée en Norvège, la technologie révolutionnaire de Kebony consiste en un procédé respectueux de l'environnement qui modifie des bois tendres issus d'une filière durable en les chauffant avec de l'alcool furfurylique, un produit dérivé de l'agriculture. La polymérisation de leur paroi cellulaire permet à ces bois tendres d'acquérir de manière permanente les mêmes caractéristiques que les bois durs tropicaux, notamment leurs grandes durabilité, solidité et stabilité dimensionnelle. Les qualifications environnementales du bois Kebony et sa belle patine naturelle en font le matériau idéal pour le revêtement extérieur de cette maison de famille.Jennie Maizels ajoute : « Collaborer avec Snug Architects pour créer notre nouveau chez-nous m'a passionnée, et mes filles et moi sommes absolument ravies du résultat final ! Ce qui rend notre nouvelle maison particulièrement spéciale à nos yeux, c'est l'utilisation de produits et matériaux fantastiques, comme Kebony, qui donne un beau fini intemporel à la façade, et vient vraiment compléter l'esthétique naturelle de la maison. »
Il y a 4 ans et 58 jours

Découvrez ce scan 3D de Notre-Dame de Paris, d'une précision millimétrique

NUMÉRIQUE. Pour faire gagner du temps aux reconstructeurs de la cathédrale, une convention de mécénat a été passée entre la société Autodesk et l'établissement public chargé des travaux. Un scan de l'édifice, d'une précision "millimétrique", a notamment été mis à disposition.
Il y a 4 ans et 58 jours

« Pour de nouvelles ruralités » : appel à candidatures pour résidences d’architecture et de paysage dans le Grand Est

Regroupant les six Parcs Naturels Régionaux du Grand Est, le programme d’action régional intitulé « Pour de Nouvelles Ruralités » a ouvert un appel à candidatures pour six résidences d’architecture et de paysage. Inscriptions jusqu’au 14 mai 2021. @font-face {font-family:"?? ??"; mso-font-charset:78; […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 58 jours

La pénurie de matériels inquiète le Seimat

Le Seimat est inquiet quant à la hausse des prix des matériels. [©ACPresse] Menée en avril dernier auprès de ses adhérents, une enquête exclusive du Seimat1 souligne l’allongement des délais de livraison de 10, voire 20 semaines supplémentaires. Ceci, pour de nombreuses catégories de matériels.  Ces délais accrus peuvent entraîner des pertes de marché. Et sont liés à la pénurie de matières premières et composants due à une flambée des coûts et au rendement diminué dans les usines. Les fautifs s’appellent “pandémie du Covid” et dysfonctionnement du fret maritime. Outre une pénurie généralisée, ils génèrent des hausses spectaculaires de coûts de transport. Cette situation ne laisse aucune alternative viable au plan économique. Aussi bien aux constructeurs qu’aux importateurs de matériels de construction. En conséquence, ces derniers affirment devoir appliquer des hausses tarifaires dans les mois à venir. Pour 53 % d’entre eux, elle entrera en application au cours du 2etrimestre 2021. Pour 30 %, au cours du second semestre 2021. Et pour les 17 % restants, les hausses seront visibles à partir du début d’année 2022. Les professionnels concernés se disent prêts à appliquer ces évolutions tarifaires en deux fois pour en lisser l’impact. Et pour maintenir de bonnes relations économiques avec les industriels du secteur… Deux plans d’action pour sauver le matériel En conséquence, le Seimat, avec le soutien de Ficime2, souhaite mettre en place deux plans d’action. Tout d’abord, informer les partenaires économiques de cette situation exceptionnelle. Ceci, pour inviter l’ensemble des acteurs à pouvoir maintenir, en bonne intelligence, les relations existantes. Et de faire preuve de solidarité, afin de sauvegarder un secteur économique commun. D’autant plus que celui-ci a déjà impacté par le contexte lié au Covid. Ensuite, le Syndicat veut solliciter le ministre de l’Economie et des Finances pour que les pénalités de retard soient suspendues pendant la durée de cette situation. Une démarche de solidarité à appliquer dans les marchés publics. Seimat comme Ficime restent mobilisés sur ce sujet, dans l’intérêt commun de leurs adhérents et partenaires économiques. 1Syndicat des entreprises internationales des matériels de travaux publics, mines et carrières, bâtiment et levage.2Fédération des entreprises internationales de la mécanique et de l’électronique.
Il y a 4 ans et 59 jours

Olafur Eliasson, perspectives glaciaires

Née de la rencontre entre l’artiste danois Olafur Eliasson et Ui Phoenix von Kerbl, fondateur de la TalkingWater ...En savoir plus Cet article Olafur Eliasson, perspectives glaciaires est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 59 jours

Les actions du Cerema dictées par le changement climatique

Le Conseil d’administration du Cerema a approuvé, jeudi 15 avril 2021, le projet stratégique de l’établissement pour la période 2021-2023. Le Cerema va se mobiliser pour adapter les territoires au changement climatique, au bénéfice de leurs habitants.  Ce plan stratégique affirme penser l’aménagement de demain, aller vers des bâtiments performants, encourager les nouveaux modes de mobilités, assurer la sécurité des déplacements, redonner sa place à la nature, surveiller et protéger le littoral etc. Auprès des collectivités, le projet stratégique renforce le dialogue avec plus de 400 acteurs publics et privés locaux pour constituer les orientations de travail au plus près des réalités vécues et des besoins des territoires. Le Cerema se positionne aussi comme le socle d’appui technique des ministères de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, afin de penser, traduire concrètement et accompagner sur le terrain leurs politiques publiques prioritaires. Il se dote d’une feuille de route climat pour chacun de ses 6 domaines d’expertises (expertise et ingénierie territoriales, bâtiment, mobilités, infrastructures de transport, environnement et risques, mer et littoral, et crée 2 nouvelles implantations dans les Outre-mer. Il définit également les conditions de son exemplarité en matière sociale, sociétale et environnementale.
Il y a 4 ans et 59 jours

Avis technique pour l’entrevous « DELITIVOUTAIN + CI »

« DELTIVOUTAIN + CI » d’Edilteco France est un entrevous avec un rupteur intégré permettant d’amoindrir limiter les ponts thermiques. Brevetée, cette solution bénéficie aujourd’hui d’un Avis Technique du CSTB…Cet article Avis technique pour l’entrevous « DELITIVOUTAIN + CI » est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 59 jours

Le classicisme serein de David Chipperfield au musée des beaux-arts de Zurich

Quimper, Pont Aven, Niort, Limoges... On connaît les villes françaises qui se prêtent au jeu de la seizième édition du concours d'idées biennal Europan. Les jeunes architectes, paysagistes et urbanistes européens ont jusqu'au 17 septembre 2021 pour envoyer leurs projets. Très attendu par les jeunes concepteurs désireux de se […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 59 jours

Centre culturel Alpex, à Scionzier, par Atelier Archiplein

L’agence internationale Atelier Archiplein a livré en 2021 à Scionzier (Haute-Savoie) la réhabilitation et l’agrandissement d’une ancienne usine de décolletage en centre culturel : Alpex. L’ouvrage de 900 m², réalisé pour la commune de Scionzier maître d’ouvrage, est orné d’une colonnade en pierre massive. Circuit court ? Communiqué. Le projet consiste en la réhabilitation et l’agrandissement d’une […] L’article Centre culturel Alpex, à Scionzier, par Atelier Archiplein est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 59 jours

Shenzhen : la tournée des idoles

La Shenzhen Metro Corporation vient de désigner le groupement d’agences mené par Nicolas Grimshaw pour la construction du nouveau hub de l’aéroport de Shenzhen. L’agence londonienne menait une équipe internationale composée de grands groupes européens et chinois. Ils remportent la dernière étape du concours face aux Londoniens de Zaha Hadid Architects et les Hambourgeois de gmp Architekten. Malgré son appartenance à l’initiative des FAB cities qui invite à repenser le rapport...
Il y a 4 ans et 59 jours

3 nouvelles start-up intègrent l’accélérateur« Santé – Prévention dans le BTP »

Trois des quatre start-up ayant présenté leurs solutions lors de cette nouvelle session en visioconférence ont été retenues pour rejoindre les 43 autres start-up déjà intégrées au sein de l’écosystème d’Impulse Partners. Elles bénéficieront du soutien des quatre partenaires fondateurs, CCCA-BTP, l’OPPBTP, PRO BTP et la Fondation EXCELLENCE SMA.4 entreprises ont présenté leurs projets le lundi 15 mars en visioconférence, devant un jury composé de professionnels du BTP et de la prévention et en présence des partenaires fondateurs, le CCCA-BTP, l’OPPBTP, PRO BTP et la Fondation EXCELLENCE SMA. Leurs projets ont été évalués sur la base de cinq critères :Le caractère innovant de leur technologie ou service ;L’accessibilité du marché visé ;L’équipe (les compétences et expertises mobilisées, la capacité à porter le projet) ;La fiabilité du business model ;L’adéquation de la start-up avec les thématiques santé et prévention de l’accélérateur.Cette onzième édition a permis à trois start-up ayant présenté leurs innovations de convaincre les membres du jury. Celles-ci ont donc été retenues pour intégrer l’accélérateur « Santé – Prévention dans le BTP » :Miloé est une plateforme de santé numérique intégrant un passeport de santé ainsi qu'une fiche médicale d'urgence matérialisée par la technologie sans-contact dans divers objets physiques. En cas de situation d’urgence, elle permet de communiquer facilement les informations vitales au personnel soignant pour que son détenteur puisse recevoir les soins les plus adaptés. Miloé travaille actuellement avec des médecins du travail afin de déployer sa solution auprès des professionnels.« Dans le cadre du partenariat que nous avons mis en place il y a 2 ans avec Miloé, les 350 adhérents au Pôle Sport & Santé du Stade Marseillais Université Club (SMUC) disposent d’une carte Miloé. Cela nous permet de renforcer la sécurité de nos adhérents dans leur activité sportive, mais également dans leur vie quotidienne » témoigne Isabelle Petit, Chargée de développement Sport & Santé au SMUC.Q-Bot a développé une solution afin de faciliter les travaux d'isolation des sols et des murs. Elle permet de projeter une mousse isolante dans des zones inaccessibles par l’homme grâce à un petit robot muni d’une caméra et de lasers, pilotable à distance. Q-Bot a déjà isolé une vingtaine de maisons en France auprès de particuliers et de bailleurs sociaux, ainsi qu’un groupe scolaire à Voiron, près de Grenoble.« Nous avons fait appel à Q-Bot en 2020 dans le cadre d’un chantier d’isolation de vides sanitaires pour 6 pavillons situés à Merlevenez (56). La solution de Q-Bot a pu passer sans difficulté dans ces espaces de 30 à 50 cm de hauteur sous le plancher des maisons afin de réaliser la projection de mousse polyuréthane. Nous espérons pouvoir renouveler l’expérience pour l’isolation de 36 pavillons supplémentaires situées sur l’Ile de Groix » témoigne Erwan Bargain, Responsable du Pôle travaux au sein du bailleur social Bretagne Sud Habitat.Built Solutions propose une solution SaaS qui permet de faire remonter toutes les informations réglementaires concernant les conditions d’exploitation des bâtiments(Dossier d’Intervention Ultérieure sur l’Ouvrage - DIUO, Dossier Technique Amiante - DTA,vDossier des Ouvrages Exécutés – DOE, Dossier d'identité SSI, Registre de sécurité...) auxexploitants, en croisant les données avec la maquette numérique des bâtiments. Cette traçabilité de l’information permet de faciliter la maintenance et d’éviter les accidents liés à la dégradation des bâtiments.« A l’heure de la digitalisation massive du secteur du bâtiment, tous les documents réglementaires associés au bâtiment doivent être stockés de manière sécurisée car ils sont essentiels tout au long de son cycle de vie : de sa construction à sa démolition, en passant par toutes les phases d’exploitation ou de maintenance. » confirme Christophe Bouvard, Directeur général de l’activité de développement d’iPorta, plateforme de gestion de patrimoine immobilier et distributeur de Built Solutions.Ces start-up bénéficieront de l’expertise et des retours d’expériences des quatre partenaires fondateurs pour faire monter en puissance la performance des entreprises en matière de santé et prévention. Les partenaires s’engagent également à faciliter les échanges et la visibilité des start-up auprès de leurs entreprises adhérentes, notamment au travers de leurs sites web, leurs réseaux sociaux et leurs médias respectifs, ainsi qu’à l’occasion des événements auxquels ils sont susceptibles de participer.
Il y a 4 ans et 59 jours

Décryptage d'expert : Le BIM, un levier pour améliorer le bilan carbone des bâtiments

Plus qu'une technologie, il s'agit d'une méthode de travail reposant sur le partage d'informations fiables tout au long de la durée de vie d'un bâtiment ou d'infrastructures, autour d'une maquette numérique en 3D.Parmi ses nombreux atouts, le BIM devrait aussi permettre d'améliorer le bilan carbone des bâtiments et de favoriser la rénovation énergétique. Le point sur ces enjeux avec Matthieu FERRUA, directeur de la BIM Factory chez ENGIE Solutions.Pouvez-vous rappeler en quoi consiste concrètement le BIM ?Le BIM est une technologie de maquette 3D qui intègre des données sur tout le cycle de vie du bâtiment, de la conception jusqu'à la déconstruction, en passant par la construction, l'exploitation et la maintenance.Conceptualisé depuis les années 70/80, le BIM a pris son essor dans les années 2000 dans le domaine de la construction industrielle et via certains architectes novateurs comme Frank Gehry, pour faciliter la création de formes architecturales complexes. Ce type de modélisation existait déjà dans l'industrie aéronautique et automobile, mais n'a été utilisé que tardivement dans le secteur du bâtiment, où il s'impose progressivement depuis le milieu des années 2010.Le principal avantage du BIM est qu'il permet de coordonner les données de différents corps de métiers intervenant sur un même bâtiment, qu'il s'agisse de l'architecture, de la plomberie, du génie climatique, de l'électricité...C'est tout l'enjeu du « BIM Management » de s'assurer que ces données, géométriques et d'informations, soient cohérentes, bien ordonnées et partagées le plus en amont possible. Cette mise en commun permet d'anticiper, de mieux visualiser et de s'approprier les ouvrages.Pour le secteur du bâtiment, le BIM est la porte d'entrée dans l'ère de la digitalisation. Il s'agit de rattraper un certain retard car, en comparaison à d'autres secteurs industriels, le monde du bâtiment s'est peu transformé depuis les années 1950. Le BIM est en effet un immense atout pour améliorer la rapidité, la qualité et la modularité des constructions. C'est aussi une composante clé des jumeaux numériques de demain. Nous commençons seulement à en mesurer les bénéfices.En quoi le BIM peut-il améliorer le bilan carbone d'un bâtiment ?Le BIM est un formidable outil pour calculer le bilan carbone d'un projet.Concrètement, la technologie BIM permet de modéliser des « objets BIM », comme une prise, une vanne ou un pan de mur, en y intégrant de l'information, notamment la quantité de carbone associée.Chez ENGIE Solutions, nous avons commencé à utiliser cette technique, au travers de l'offre ValoBIM©, pour optimiser le potentiel de réemploi des composants de bâtiments existants et enrichir les écosystèmes d'économie circulaire.En amont de la phase de déconstruction, un diagnostic des ressources est effectué et intégré dans un modèle BIM, ce qui nous permet de réaliser un rapport exhaustif incluant une mesure du bilan carbone de chaque objet/ressource, afin les valoriser au mieux : réemploi, recyclage, ou récupération d'énergie par incinération. Cette qualification des composants, localisés et quantifiés, nous permet d'élaborer des scénarios de réemploi et d'optimiser le bilan carbone total du projet. Par exemple, sur le projet ENGIE Campus, des économies de 41 tonnes de CO2, soit 304 allers-retours entre Paris et New York, ont été identifiées sur une partie de la phase déconstruction, et plus de 7 372 tonnes d'économies potentielles sur le projet futur, soit 28 424 allers-retours Paris-Londres en avion.Nous utilisons également cette technologie en phase de conception des ouvrages, pour déterminer les gains carbone liés au choix des composants (béton bas carbone plutôt que béton classique, par exemple), de manière à la fois rapide et précise. Pour le dire autrement, le BIM nous aide à identifier les gisements d'économies carbone possibles et donc à faire les choix les plus pertinents d'un point de vue économique et environnemental.Tout ceci est encore très récent. Nous travaillons actuellement avec le SERCE[1] sur l'intégration de cette donnée carbone à l'ensemble de la chaîne BIM. Doit-on calculer le carbone du composant tel qu'il est vendu par le fournisseur ? après transport ? Quid de sa mise en œuvre, de son cycle de vie et de son potentiel de recyclage ? Autant de questions qui méritent des réponses harmonisées entre les différents acteurs du bâtiment.Qu'en est-il de la rénovation énergétique ?C'est un autre atout du modèle BIM pour la transition énergétique du bâtiment. Il permet de réaliser de manière très précise le bilan thermique d'un bâtiment existant ou projeté, à partir de calculs thermiques dynamiques alimentés par le modèle. En les intégrant à la maquette 3D, nous pouvons identifier facilement les travaux les plus pertinents pour améliorer les performances d'un bâtiment. Il s'agit par exemple d'identifier une zone de défaillance thermique ou bien une pièce où l'isolant est mal réparti.Cette méthode d'optimisation énergétique est encore en phase de recherche et développement. Nous l'avons pour le moment testée sur des bâtiments tertiaires d'ENGIE Solutions et les résultats sont prometteurs. Le développement de cette technologie à grande échelle devra prendre en compte les contraintes et spécificités propres à chaque bâtiment et la nouvelle réglementation thermique. Le BIM ouvre de belles perspectives pour l'avenir de la rénovation énergétique !
Il y a 4 ans et 59 jours

La nouvelle ponceuse à bras Mirka Leros-S

La nouvelle Mirka Leros-S est une ponceuse murale compacte avec une tête de ponçage très flexible. [©Mirka] La nouvelle Mirka Leros-S (“S” pour short en anglais, court en français) est une ponceuse murale compacte avec une tête de ponçage très flexible. Ce qui en fait l’outil idéal pour poncer les murs dans les espaces confinés. Grâce à sa légèreté (seulement 3,2 kg), à son équilibre et à sa maniabilité, elle permet de poncer de manière simple et rapide de grandes surfaces. Le grand plateau de ponçage avec son orbite de 5 mm se prête bien à l’égalisation du mastic, dans les situations où une ponceuse murale plus longue est plus difficile à manipuler. Toutefois, cette Leros-S peut toujours être équipée d’une rallonge dans les cas où une plus grande portée est nécessaire. Technologie des moteurs sans charbons En travaux de construction et de décoration, la ponceuse Mirka Leros-S excelle dans le ponçage des murs des salles de bain, des couloirs étroits, des placards de plain-pied… Ceci, grâce à ses deux points de prise prévus à cet effet pour un contrôle total. Cette machine est équipée de deux points d’aspiration pour le dépoussiérage. Ce qui rend le ponçage pour ainsi dire sans poussière. Un avantage important pour les travaux dans des espaces confinés. Et comme sa grande sœur, Mirka Leros-S utilise la technologie des moteurs sans charbons pour une vitesse constante sous charge, sans perte d’efficacité sous forte pression. Le bon équilibrage et ses deux poignées lui confèrent maîtrise et manœuvrabilité lors du ponçage. 
Il y a 4 ans et 59 jours

L’entrevous « Deltivoutain + CI » d’EDILTECO® France reçoit un avis technique du CSTB et la reconnaissance des professionnels du btp avec le label Sageret

« DELTIVOUTAIN + CI » – pour Correcteur Intégré – est un entrevous avec un rupteur intégré permettant de limiter les ponts thermiques. Brevetée, cette solution bénéficie aujourd’hui d’un Avis Technique du CSTB délivré par le Groupe Spécialisé n° 20 « Produits et procédés spéciaux d’isolation » et le Groupe Spécialisé n° 3.1« Planchers et accessoires de plancher » qui ont examiné respectivement ce procédé. Cet Avis Technique, document de référence pour les professionnels de la construction, certifie la bonne conception de l’entrevous, sa conformité aux exigences de chaque chantier, et garantit la durabilité ainsi que l’efficacité du correcteur de pont thermique. De leur côté les professionnels du BTP ont plébiscité cette innovation par le biais de la 9ème édition du concours Sageret, qui vise à élire les meilleurs produits du BTP. Les professionnels ont décerné à EDILTECO® France le label « Élu innovation par les professionnels du BTP », dans la catégorie « Structure, Façade, Maçonnerie », pour le DELTIVOUTAIN + CI. Ce concours qui distingue et récompense les produits et les matériels les plus innovants dans les secteurs du bâtiment et des travaux publics, est, pour EDILTECO®, un véritable gage de reconnaissance de la qualité et des performances de ses produits par ses pairs. C’est également une distinction qui salue la force novatrice de l’entreprise en matière technique et technologique. UN SYSTEME INGENIEUX Habituellement, les rupteurs sont des éléments indépendants, des pièces supplémentaires aux entrevous que les professionnels ajoutent à leur stock. Pour simplifier cela, DELTIVOUTAIN + CI a été conçu avec un rupteur intégré en sous face et sécable, de manière à faciliter la gestion des stocks et la préparation des chantiers. Efficace mais surtout très fonctionnel, le DELTIVOUTAIN + CI intègre dès sa fabrication un correcteur de pont thermique sécable (UP < 0,27) en sous face. Ce rupteur se casse facilement à la main. Parfaitement découpé à la forme de chaque entrevous, le rupteur vient ensuite se fixer sur la partie supérieure du hourdis. Conçu en polystyrène (PSE), une fois mis en œuvre, le rupteur va réduire le pont thermique de la liaison entre le plancher et le mur dans le cas d’une isolation par l’intérieur. Le rupteur sécable sur chaque entrevous corrige le pont thermique créé notamment par la continuité des éléments en béton de la dalle vers le chaînage du mur. Il sépare la partie courante du plancher avec celle du chaînage périphérique et l’interruption locale de la dalle de répartition sur tout ou partie de son épaisseur. Si l’utilisation du rupteur n’est pas nécessaire, la partie sécable reste en place et ne gêne pas la mise en œuvre de l’entrevous. Ce concept innovant de produit « 2 en 1 » permet aux artisans de ne pas avoir à gérer de stock de rupteurs sur leur chantier et génère beaucoup moins de déchets. &nbsp; UNE MISE EN OEUVRE RAPIDE ET PRATIQUE La mise en œuvre de DELTIVOUTAIN + CI est similaire à celle des entrevous en polystyrène classiques, mais plus économique car elle ne nécessite pas de poutrelles périphériques et ne requiert pas de faux entraxe. En effet, l’entrevous de départ est un entrevous complet, non découpé, qui se pose en rive de plancher. Le rupteur sécable va venir se positionner au-dessus de l’entrevous de manière à épouser le chanfrein et assurer une parfaite correction du pont thermique dans le sens longitudinal, en rive du plancher. Il n’est donc pas nécessaire de poser une poutrelle en périphérie du plancher comme lors de l’utilisation de rupteurs longitudinaux « traditionnels ». Dans le sens transversal, de façon identique, le rupteur sécable sera recoupé pour être adapté à la largeur de l’entrevous, afin de juste le recouvrir. Il sera positionné sur la face supérieure afin d’assurer une correction du pont thermique en about de plancher. Afin de garantir le maintien des performances mécaniques, les entrevous ont une épaisseur de corps suffisante. En finalité, une seule découpe sera nécessaire pour la pose de l’entrevous d’arrivée, qui comme celui de départ, sera posé en rive de plancher, sans ajout de poutrelle. L’utilisation d’ancres plastiques sera nécessaire pour assurer le blocage des correcteurs de ponts thermiques lors du coulage du béton de la dalle. La livraison des poutrelles est systématiquement accompagnée d’un plan de préconisation de pose qui fournit les informations nécessaires à la mise en place des rupteurs. &nbsp; CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES – Largeur du rupteur en partie haute : 50 mm – Up 0.27 à 0,15 – Epaisseur des planchers compatibles : 17 – 20 – 25 mm (hauteurs coffrantes intégrant 5 mm de béton) – Entraxe des poutrelles des planchers compatibles : 600 – 630/640 -700 mm – Longueur des pièces CI : 1250 mm à recouper sur chantier – PSE Certifié ACERMI Destiné aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, le DELTIVOUTAIN + CI va permettre d’assurer tout à la fois le coffrage de la dalle de compression et l’isolation du plancher. Léger, il est facile à mettre en œuvre et permet de réduire efficacement les ponts thermiques pour les travaux neufs mais aussi pour les travaux de rénovation. Ses qualités sont nombreuses, mais son attrait majeur réside dans son aspect tout à la fois pratique et économique qui prémunit les professionnels du bâtiment d’une double gestion de stock de hourdis et de rupteurs et leur offre l’économie d’éléments structurels devenus inutiles.
Il y a 4 ans et 59 jours

Strohm Teka, entreprise spécialisée dans les solutions globales pour la salle de bain, fait confiance à BIM&CO

Strohm Teka, marque axée sur des solutions intégrales pour les salles de bains,  fait confiance à BIM&CO pour la modélisation, diffusion et publication de ses objets sur la plateforme publique BIM&CO. L’entreprise souhaitait que ses différentes parties prenantes aient la possibilité de collaborer de manière plus efficace. Accompagner les parties prenantes dès le début du processus Aussi agréables à vivre que propices à la détente, les salles de bain de la marque transforment les routines d’hygiène quotidiennes en moments privilégiés, et ses collections de salles de bain s’adaptent aux différents styles de vie de ses clients. Ayant ainsi pour valeur la bienveillance de ses clients, Strohm Teka cherche également à faciliter le travail d’équipe de ses collaborateurs internes et parties prenantes. Sachant que l’interaction de toutes les parties impliquées dans les différentes phases du projet minimise le risque de conflits entre les différentes phases d’exécution, c’est pour cela que l’entreprise a fait appel à BIM&CO. Juan José Rodríguez, architecte de Strohm Teka et responsable du canal Construction, commente : “En tant que fabricant, nous voulions donc faire partie, et nous le faisons, de cette solution à l’origine du processus, en accompagnant toutes les personnes impliquées et en leur apportant un soutien lorsqu’elles en ont besoin.” Un partenariat au déroulement rythmé BIM&CO a marqué le rythme de ce partenariat avec des réunions hebdomadaires,  permettant à Strohm Teka de comprendre ce que signifie un objet BIM et l’enjeu de structurer leur équipe en interne pour avancer plus vite et construire leur patrimoine de données. Les deux entreprises ont défini au préalable la liste des produits prioritaires à modéliser en fonction de la demande des clients et de la stratégie commerciale de Strohm Teka. En ce sens, cette première phase de projet se constitue de 76 objets qui correspondent à 153 références différentes. Prochainement, Strohm Teka a l’intention d’agrandir cette bibliothèque et ainsi de continuer son pari digital. C’est par le biais du groupe privé sur la plateforme publique que BIM&CO a pu échanger de manière collaborative avec Strohm Teka, qui a pu suivre l’évolution et la définition de sa bibliothèque. Grâce au viewer en ligne, Strohm Teka avait accès à la géométrie de l’objet sans passer par un logiciel natif, et pouvait également consulter en ligne l’ensemble des paramètres et valeurs associées à chaque objet. Tri d’objets et mise en relation des parties prenantes : les défis rencontrés Le principal obstacle rencontré en ajoutant ses objets sur bimandco.com a été pour Strohm Teka de comprendre quelles sont les informations essentielles et nécessaires, utiles pour toute phase de projets ou pendant l’exécution des travaux. Le fait de devoir rassembler toutes ces informations et de « dire » ce que sont leurs produits s’est alors donc être un défi. D’autre part, il n’était pas évident au premier abord de comprendre comment mettre en relation les différents départements et leurs besoins dans le cadre de cette méthodologie. Au-delà d’identifier et de définir les paramètres nécessaires pour la bibliothèque de Strohm Teka, une des problématiques et difficultés du projet a été de compiler l’ensemble de l’information 3d et 2d pour lancer les objets en modélisation. C’est là ou Strohm Teka a pris l’initiative de lancer en parallèle son projet PIM (Product Information Management), pour faire l’inventaire de l’ensemble de la data et nourrir les objets BIM. D’ailleurs aujourd’hui, il est difficile de dire quel projet a été moteur de l’autre : en effet, les objets BIM ont permis aussi de dicter les informations utiles à recenser dans le PIM. Une expérience positive pour les deux entreprises Au cours de ce projet, Strohm Teka a appris que le processus de numérisation est essentiel pour appartenir à un groupe de travail spécialisé et hautement professionnel. Pour l’entreprise, cette méthodologie est désormais devenue une nécessité, et leur équipe a appris à l’adopter rapidement et efficacement. Pour Strohm Teka et BIM&CO, la simplification des projets grâce à la plateforme fait de ce partenariat un succès : “Comme tout projet, il y a des phases plus complexes dans lesquelles le soutien de spécialistes comme chez BIM&CO est nécessaire, qui permettent d’avancer et de tout terminer à temps. L’expérience a été positive et nous allons continuer à aller de l’avant.”, dit Juan José Rodríguez. Quant au choix de BIM&CO, Juan José ajoute : “Plus qu’une solution, nous avons opté pour une équipe qui nous a dit que ce projet était aussi important pour elle que pour nous, qui s’est impliquée et a veillé à ce que nos besoins soient couverts…”. Un dernier conseil pour les autres fabricants Lorsque Juan José souhaite conseiller les autres fabricants qui ont pris la décision de faire le saut numérique, il est préférable de ne pas attendre : “Tout saut ou changement dans un processus de production implique un effort et un dévouement total, mais il est surtout important d’établir un planning raisonnable et réaliste et une communication constante, une feuille de route qui nécessitera cette numérisation, mais le conseil est que le plus tôt sera le mieux.” Si vous êtes fabricants et voulez vivre la même expérience que Strohm Teka, cliquez ici pour en savoir plus sur la digitalisation de votre catalogue produits avec des outils et services intégrés.
Il y a 4 ans et 59 jours

Le numéro 396 d’Architectures CREE est paru

Il est bienvenu que l’architecture soit l’un des domaines choisis pour que soient ainsi reconnus... Cet article Le numéro 396 d’Architectures CREE est paru est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 59 jours

Avis d'expert - Sébastien Licois, responsable du service technique Myral : « Du conseil pour les architectes, une assurance-qualité pour les poseurs »

Quel est le rôle du service technique Myral ?Sébastien Licois : Nous avons un véritable rôle d’accompagnement des entreprises de pose. Tout au long de l’année, il s’agit d’intervenir avant, pendant et après les chantiers Myral pour assurer une mise en œuvre dans les règles de l’art et ainsi garantir une qualité optimale en termes de performances thermiques et esthétiques. C’est pour cette raison que dès l’amont du projet, nous évaluons avec notre bureau d’études la faisabilité technique et le rendu de l’esquisse.La notion de conseil est-elle importante en amont du projet ?Sébastien Licois : Oui, elle est majeure. A ce stade, le rôle de Myral est d’apporter le maximum d’informations pour assurer la bonne réalisation du projet dans le respect de l’avis technique. Cette exigence nous pousse à proposer parfois au maître d’ouvrage ou à l’architecte des compromis sur certaines configurations que l’on jugera trop complexes. C’est à ce moment-là que nous définissons le détail des réalisations à effectuer. Pour cela, je peux intervenir sur une assistance métrée, principalement lorsqu’il s’agit de petits chantiers. Afin de guider le client, je me déplace avec lui et le chargé d’affaires pour déterminer les profils adaptés et ainsi faciliter la commande. Je peux même effectuer un calepinage en début de chantier. Mais nous proposons aussi du prototypage. Par exemple, si un architecte a des interrogations sur notre solution, le principe de mise en œuvre ou l’aspect global, nous lui proposons des prototypes en situation réelle, sur le bâtiment à rénover ou à construire. Cela permet, avec le visuel, de pouvoir valider la meilleure configuration.Autre rôle pour le service technique Myral, le démarrage des chantiers…Sébastien Licois : Tout à fait, c’est une action que nous menons auprès de toutes les entreprises qui s’apprêtent à poser nos parements, et ce, dans toutes les régions et toutes les communes de France. Cette assistance dure une demi-journée, voire une journée. Grâce à mon expérience, je délivre les consignes nécessaires à la bonne mise en œuvre du produit. J’indique les éléments sur lesquels il faut porter une attention particulière. Cela permet de répondre aux questionnements pour obtenir une mise en œuvre la plus fluide possible et des performances techniques et esthétiques optimales.Intervenez-vous à l’issue des chantiers ?Sébastien Licois : Oui, nous assurons le service après-vente. S’il y a la moindre difficulté ou demande du maître d’ouvrage ou de l’architecte, je reviens sur le chantier pour aider l’entreprise à régler le problème. Par exemple, si un panneau a été abimé au milieu d’une façade, au lieu de démonter des dizaines de mètres carrés, j’apporte une solution de remplacement et je leur montre comment procéder à l’opération en optimisant le temps et le coût. Si le problème venait à se reproduire sur un autre chantier, ils sauraient réagir et réaliser seuls l’opération.Quel est le but pour Myral d’apporter un tel accompagnement ?Sébastien Licois : Il s’agit d’apporter un service global avec une vraie valeur ajoutée. D’ailleurs, très peu de concurrents le propose. Récemment, sur un chantier dans le Nord, une entreprise m’a dit que c’était la première fois qu’elle bénéficiait d’une telle assistance. Le responsable était enchanté. Il considère cela comme un véritable plus au plan économique. Car Myral étant référencé Datadock, ces formations peuvent être prises en charge et puis nous délivrons une attestation aux sociétés dont les poseurs sont formés. Cela veut dire que si un architecte choisi notre solution, l’entreprise aura d’autant plus de chances de décrocher le marché. Et les poseurs eux-mêmes deviennent prescripteurs car après une première mise en œuvre ils se disent convaincus du système ! Cela participe à la notoriété de notre groupe Myral et illustre bien notre philosophie !Pour plus d'information sur Myral, visitez leur site internet : https://www.myral-pro.com/
Il y a 4 ans et 59 jours

Fiandre Architectural Surfaces, anti-gaspillage

Durabilité et innovation sont les maîtres-mots de la nouvelle collection Pietre Maximum de Fiandre Architectural Surfaces ...En savoir plus Cet article Fiandre Architectural Surfaces, anti-gaspillage est apparu en premier sur L&#039;Architecture d&#039;Aujourd&#039;hui.