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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

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Il y a 4 ans et 100 jours

Pour la tour Grenfell de Londres, un revêtement fantaisiste ?

En mai 2016, la tour Grenfell à Londres avait été entièrement rénovée pour un coût d’environ 11,5 M€. Elle avait alors été dotée d’une nouvelle isolation par l’extérieur. Un an plus tard, un incendie spectaculaire lui offrait un terrible quart d’heure de célébrité en mondiovision. La ‘cladding crisis’ n’en finit plus depuis d’agiter le Royaume-Uni. […] L’article Pour la tour Grenfell de Londres, un revêtement fantaisiste ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 100 jours

Singapour bâtit des fermes solaires sur l'eau faute d'espace

Le centre financier à la taille modeste est aujourd'hui l'un des plus gros émetteurs de CO² par habitant d'Asie.Les autorités s'efforcent de diminuer l'empreinte carbone de la cité, mais c'est un défi difficile dans un pays qui n'a pas de rivières pouvant produire de l'électricité hydraulique et où le vent n'est pas assez puissant pour faire tourner des éoliennes.Le pays tropical s'est donc tourné vers l'énergie solaire. Mais avec une superficie limitée, équivalente à celle de la moitié de Los Angeles, il a dû installer des panneaux solaires offshore et sur des réservoirs d'eau."Après avoir utilisé tous les toits et les terrains disponibles, ce sont les étendues d'eau qui représentent un important potentiel", explique Jen Tan, vice-présidente senior et responsable de l'énergie solaire pour la région d'Asie du Sud-Est chez Sembcorp Industries, compagnie en charge du projet.La cité-État menacée par la montée des eaux due au changement climatique, est bien consciente de l'urgence à réduire les émissions de CO², mais les observateurs trouvent ses efforts pour l'instant timides.Le gouvernement singapourien a dévoilé un "Plan vert" le mois dernier qui prévoit de planter des arbres, de diminuer les quantités de déchets envoyés vers les décharges et de multiplier les bornes de rechargement pour les voitures électriques.Il envisage aussi de multiplier par quatre la production d'énergie solaire, jusqu'à 2% de la consommation du pays en 2025, et 3% en 2030, ce qui correspond aux besoins de 350.000 foyers par an."Nouvelle frontière"Une nouvelle ferme photovoltaïque va de la côte au détroit de Johor qui sépare l'île de Singapour de la péninsule de Malaisie.Les 13.000 panneaux arrimés au fond marin représentent une capacité de cinq mégawatts (MW) d'électricité, soit assez pour alimenter 1.400 appartements."La mer est la nouvelle frontière pour les installations solaires", souligne Shawn Tan, vice-président pour l'ingénierie de Sunseap Group, groupe singapourien qui a terminé ce projet en janvier."Nous espérons que cela va encourager plus de projets flottants en mer à Singapour et dans les pays voisins".Un projet de plus grande ampleur est en cours sur le réservoir d'eau de Tengeh. Avec 122.000 panneaux solaire, importés de Chine, le projet d'une capacité maximum de 60 mégawatts (MW) sera l'une des plus grandes fermes solaires d'Asie du Sud-Est.Il devrait produire assez d'électricité pour couvrir les besoins des installations de retraitement d'eau de Singapour. Et permettre d'éviter des émissions de CO² équivalentes à celles de quelque 7.000 voitures sur les routes.Objectifs "insuffisants"Mais même en mer, Singapour, un important centre maritime et commercial, pourrait faire face à un manque d'espace, souligne Subhod Mhaisalkar, directeur exécutif de l'Institut de recherche sur l'énergie de l'Université technologique de Nanyang. "Est-ce que qu'on doit utiliser l'océan pour la navigation ou pour déployer des capacités d'énergie solaire?", s'interroge-t-il.Et malgré sa volonté de devenir plus verte, la cité-État aura du mal à s'affranchir de sa dépendance au gaz naturel, qui fournit 95% de son électricité, et à réduire ses émissions sans nuire aux secteurs du raffinage et de la pétrochimie.Les projets de fermes solaires ne suffiront pas s'ils ne sont pas accompagnés d'un engagement plus important pour la réduction des émissions, souligne Red Constantino, directeur exécutif de l'Institut pour le climat et les villes durables, basé aux Philippines.Singapour s'est engagé à réduire par deux d'ici 2050 son niveau d'émissions de 2030 et de parvenir à l'objectif de zéro émission "aussi tôt que possible" par la suite.Ces objectifs sont en retrait par rapport à ceux d'autres économies développées, et le Climate Action Tracker, un organisme indépendant d'évaluation les a qualifié de "très insuffisants".Singapour n'apporte pas une contribution équitable aux efforts mondiaux, a estimé Red Constantino auprès de l'AFP. Et les fermes solaires ne seront "que de la poudre aux yeux" si le gouvernement n'avance pas plus vite.
Il y a 4 ans et 100 jours

Matrimoine en danger

Hier, lundi 8 mars, nous parvenait cette tribune signée de l'historien Sébastien Radouan, appelant à la ...En savoir plus Cet article Matrimoine en danger est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 100 jours

Les Français de plus en plus adeptes du Do It Yourself pour leurs travaux de rénovation

Les Français veulent se débrouiller seulsEn matière de travaux, le sondage révèle que les Français sont adeptes du Do It Yourself. En effet, 35,8% des Français indiquent effectuer leurs travaux seuls. 34,6% précisent faire appel à un artisan pour certaines tâches et effectuer le reste seul. Enfin, 20,1% confient faire uniquement appel à un artisan pour leurs travaux. 1 Français sur 2 réalisant ses travaux seul indique le faire « à chaque fois ». 39,2% le font quant à eux « parfois »."La crise du COVID-19 a fait émerger une réelle envie des Français de vouloir améliorer leur habitat, ce par leurs propres moyens. Lorsque l'on reste à travailler chez soi, on prend conscience de l'importance d'avoir une pièce en plus, on a envie d'améliorer son jardin ou encore de repeindre les murs. "Aurélien De Nunzio, co-fondateur de Permettez-moi de construireFaire des économiesD'après les résultats du sondage de Permettez-moi de construire, les Français choisissent d'effectuer leurs travaux seuls car :C'est moins cher (60%)Ils sont passionnés par la rénovation (27,6%)Ils estiment que c'est « mieux fait » (12,4%)Quels types de travaux ?Concernant la nature des travaux que les sondés réalisent eux-mêmes, la rénovation des sols et des murs arrive en première position avec 38,8%. 23,1% optent pour l'aménagement du jardin. 21,8% se lancent dans des créations d'ouvertures / maçonnerie / construction (extension de maison par exemple). 13,6% s'attaquent à l'électricité et 2,7% à la plomberie / chauffage."Les résultats de notre sondage mettent en lumière le fait que 21,3% des Français s'attaquent eux-mêmes aux travaux du gros œuvre. Cela traduit une vraie prise de confiance en leurs capacités à se débrouiller seuls, sur une tâche aussi ardue."Aurélien De NunzioComment se forment-ils ?Pour se former à la réalisation de ces travaux, 49,3% des sondés indiquent avoir appris grâce à leurs parents / amis / famille. 43,1% se sont formés grâce à des tutos sur Internet. 7,6% ont quant à eux pris des cours de bricolage.Amélioration du confort et gain d'espaceLes raisons poussant les Français à entamer des travaux sont diverses. 43% le font pour améliorer le confort de leur logement. 27,8% effectuent des rénovations pour obtenir un gain d'espace. 11,9% anticipent la valorisation immobilière de leur bien pour la revente. 10,6% veulent rendre leur logement plus beau. Enfin, 6,6% souhaitent améliorer la performance énergétique de leur bien."Seulement 6,6% des Français effectuent des travaux pour améliorer la performance énergétique de leur bien. Ce chiffre ne devrait pas tarder à grimper avec la généralisation de MaPrimeRénov' mise en place au 1er janvier 2021."Aurélien De NunzioUn budget plutôt élevéCôté budget travaux, pour 33,3% des Français il est compris entre 5.000 et 20.000€. 22,4% des Français ont plus de 50.000€ de budget. 19,9% ont entre 20.000 et 50.000€ de budget. 16,7% entre 2.000 et 5.000€. Et 9% ont moins de 2.000€ de budget.Les amis à la rescoussePour un petit coup de main au moment d'attaquer la rénovation, 60,6% des sondés demandent du renfort à un(e) ami(e). 47,9% font appel à leur conjoint(e). 7% font quant à eux appel à un(e) voisin(e).
Il y a 4 ans et 100 jours

thyssenkrupp Elevator devient TK Elevator et lance sa nouvelle marque TKE

« La nouvelle marque TKE permet à la société indépendante de poursuivre son expansion. C'est une excellente occasion de renforcer notre positionnement sur le marché et notre leadership technologique dans le domaine des services de mobilité de nouvelle génération. Avec MAX notre service de maintenance prédictive compatible sur tous types d'ascenseurs et d'escaliers mécaniques récents, nous avons fait un pas important vers la digitalisation de nos produits et services. Cela a permis d'établir une nouvelle norme de qualité dans les solutions de mobilité urbaine », déclare Peter Walker, PDG de TK Elevator. « D'autre part, la marque TKE nous permet de consolider des décennies de tradition, de savoir-faire et de succès en ingénierie ».Conçue pour fonctionner facilement sur tous les supports numériques et physiques, la nouvelle identité de la marque fait référence à l'énergie et l'optimisme qui émane d'un lever de soleil. La palette de couleurs chaudes et énergiques, la typographie et le logo transmettent une idée de vitesse, de mouvement et de positivité. Cela crée un environnement idéal pour développer l'esprit de responsabilité, d'autonomie et d'excellence technologique.La nouvelle marque TKE reflète l'engagement de la société à transformer la vie des personnes grâce à des solutions de mobilité intelligentes et sans faille. Présente dans le monde entier et employant plus de 50 000 personnes, TK Elevator s'appuie sur l'héritage réussi de thyssenkrupp Elevator, qui a réalisé un chiffre d'affaires d'environ 8 milliards d'euros au cours de l'exercice 2019/2020. Le secteur d'activité le plus important de TK Elevator restera celui des services, qui assure actuellement la maintenance d'environ 1,4 million d'ascenseurs et d'escaliers mécaniques avec l'aide de 24 000 techniciens de service dans le monde entier.Le portefeuille de produits de TKE couvre une large gamme de produits : des ascenseurs pour les immeubles résidentiels et commerciaux aux solutions de pointe et hautement personnalisées pour les immeubles de grande hauteur - comme le One World Trade Center à New York. Outre les ascenseurs, son portefeuille comprend également des escaliers mécaniques et des trottoirs roulants, des passerelles d'embarquement pour les passagers, des monte-escaliers et des plates-formes élévatrices ainsi que des solutions de service sur mesure pour tous les produits - couvrant ainsi un large spectre de la mobilité urbaine.« Au cours de l'année dernière, TK Elevator a réussi à diversifier et à élargir son offre de services tout en élargissant sa présence mondiale », déclare Peter Walker. « Notre nouvelle identité de marque reflète encore mieux notre solide héritage de réalisations. Elle souligne également de manière significative notre objectif en tant que marque de service centrée sur les personnes, leader du secteur des ascenseurs et agit comme un précurseur en matière de solutions numériques ».
Il y a 4 ans et 101 jours

Henri Gaudin (1933-2021)

Henri Gaudin est décédé le 5 mars 2021, à l'âge de 87 ans. La ministre de la Culture, Roselyne Bachelot-Narquin, a salué dans un communiqué "l'œuvre et l'influence" de l'architecte qui cultiva la discrétion, tout en marquant le paysage français de réalisations manifestes qui lui valurent deux […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 101 jours

Centre aquatique de Neufchâtel signé Po&Po, l’art et la lumière

L’agence Po&Po architectes a livré au printemps 2020 le nouveau Centre aquatique de Neufchâtel-en-Bray (Seine-Maritime). L’ouvrage de 2 509 m², construit pour 5,8 M€ HT pour la Communauté Bray-Eawy maître d’ouvrage, offre une spatialité lumineuse ouverte sur l’eau et le ciel. Communiqué. La ville de Neufchâtel-en-Bray pourtant maintes fois dévastée à travers son histoire est […] L’article Centre aquatique de Neufchâtel signé Po&Po, l’art et la lumière est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 101 jours

Lyon : une agglomération favorable aux investissements immobiliers

Portés par la croissance économique du pays, les ménages français s’intéressent de nouveau à l’accession à la propriété. Avec l’accroissement du nombre de transactions, le marché de l’immobilier reprend du dynamisme. Ce qui encourage également les particuliers à multiplier les investissements locatifs. Néanmoins, pour réaliser un placement rentable, les intéressés doivent choisir judicieusement la ville où ils projettent d’investir. La ville de Lyon offre par exemple un cadre particulièrement propice à ce type de projet. Pourquoi investir à Lyon ? La ville de Lyon réunit toutes les conditions pour permettre aux propriétaires de réaliser un investissement rentable. Effectivement, la demande locative y est assez élevée en raison des familles qui viennent s’y installer. Par ailleurs, cette métropole est une véritable cité estudiantine. Ses universités et ses grandes écoles accueillent chaque année des étudiants de tous les horizons. L’arrivée massive des jeunes bacheliers souhaitant poursuivre leurs études donne les moyens de louer des logements à un loyer intéressant. Il est à noter que la capitale des Gaules est aussi un centre d’affaires réunissant d’innombrables grandes entreprises. Son dynamisme économique attire des entrepreneurs et des travailleurs en quête d’un emploi stable. Il s’agit encore une fois d’un atout à ne surtout pas ignorer. Effectivement, des futurs dirigeants et des auto-entrepreneurs y sont donc à la recherche d’un local à louer. Par conséquent, se lancer dans l’immobilier d’entreprise pourrait être profitable à condition de bien choisir l’emplacement du bien. Enfin, la métropole de Lyon est également éligible à la Loi Pinel. En tirant profit de ce dispositif, les investisseurs profiteront d’une réduction d’impôt annuel. De quoi amortir les dépenses réalisées pour l’acquisition ou la construction d’un logement. Néanmoins, il faudra au préalable s’engager à mettre le bien en location pendant 6 à 12 ans et ne pas dépasser le seuil imposé par les autorités compétentes en termes de loyer. Comment optimiser son investissement à Lyon? En effet, un investissement immobilier à Lyon requiert de nombreuses études au préalable. L’acquéreur doit choisir les quartiers les plus convoités par ses locataires cibles. Pour ce faire, une parfaite connaissance du marché immobilier local est indispensable. D’où l’intérêt de se faire accompagner par une agence spécialisée. Les investisseurs peuvent notamment solliciter des structures. Ces dernières guident pas à pas les particuliers qui souhaitent saisir les meilleures opportunités immobilières. Les suggestions des spécialistes permettront de maximiser la rentabilité du placement. Les conseillers mis à disposition aborderont les aspects financiers de l’opération ainsi que d’autres détails auxquels on ne pense pas toujours. L’optimisation des espaces constitue par exemple un moyen pour valoriser le bien. D’ailleurs, de plus en plus d’acquéreurs préfèrent investir dans des bâtiments anciens pour ensuite réaliser des travaux de rénovation de qualité. En soignant l’aménagement des lieux, on parviendra sans peine à trouver les bons locataires. Quelques agences proposent également des services de gestion locative. Cette prestation sera particulièrement pratique pour les propriétaires qui résident loin de leurs propriétés mises en location. La structure s’occupera du recouvrement des loyers et des procédures obligatoires telles que le paiement des diverses taxes.
Il y a 4 ans et 101 jours

Podcast #02 – Le musée mobile d’Hérault-Arnod est un 35-Tonnes

L’agence Hérault-Arnod (Isabel Hérault – Yves Arnod) a été en janvier 2021 désignée lauréate pour la conception réalisation du MuMo x Centre Pompidou. Ou quand le musée va vers les gens en camion… C’est ce qu’explique Isabel Hérault à Parole d’archi, le podcast de Chroniques.Découvrir le communiqué et les images du projetDécouvrir le projet en […] L’article Podcast #02 – Le musée mobile d’Hérault-Arnod est un 35-Tonnes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 101 jours

Paris : lancement des travaux du Grand Palais

MONUMENTS. Finis les foires, défilés et expositions: le Grand Palais, haut lieu des arts et des sciences depuis 120 ans au coeur de Paris, entame sa rénovation de fond en comble.
Il y a 4 ans et 101 jours

Bientôt sans filet nucléaire, l'Allemagne doit accélérer sa mue énergétique

La maison de Wolfgang Mayer, maire jusqu'en 2014 de cette bourgade proprette, offre une vue imprenable sur l'imposant complexe avec ses deux tours de refroidissement de 160 mètres, plus hautes que les flèches de la cathédrale de Cologne.Le dernier bloc en activité produit encore 10 milliards de kWh par an, de quoi couvrir les besoins en électricité de l'agglomération de Munich.La centrale de Gundremmingen sera mise hors service le 31 décembre 2021, tout comme deux autres installations situées au nord de l'Allemagne. Fin 2022, les derniers réacteurs du pays seront débranchés et l'Allemagne aura alors mis en oeuvre la décision historique de sortir du nucléaire, prise par la chancelière Angela Merkel le 30 mai 2011, après la catastrophe de Fukushima.Le revirement était alors total de la part des conservateurs au pouvoir qui avaient quelques mois auparavant accepté de prolonger la durée de vie des plus anciennes centrales.Dans un pays où le puissant mouvement anti-nucléaire s'est d'abord nourri des craintes d'un conflit lié à la guerre froide, puis des accidents comme Tchernobyl, l'annonce avait reçu un large soutien de l'opinion.Elle avait en revanche entraîné un bras de fer avec les opérateurs des centrales qui exigeaient des compensations. Vendredi, Berlin a finalement dévoilé un accord d'indemnisation à hauteur de 2,4 milliards d'euros visant à solder définitivement cette question.Comme l'égliseA Gundremmingen, le changement d'ère a encore du mal à passer.La centrale "faisait partie du village comme l'église" et c'est désormais comme si "quelque chose mourait", se désole Gerlinde Hutter, patronne de l'auberge locale.Il faudra "au minimum 50 ans", assène M. Mayer, pour évacuer tous les résidus radioactifs du démantèlement. Le gouvernement allemand est toujours à la recherche d'un site de stockage national pour les déchets longue durée.Au-delà de la paisible localité, c'est l'ensemble de la première économie européenne, très gourmande en énergie, qui est mise au défi de réussir sa transition.Depuis 2011, le développement des énergies renouvelables a été spectaculaire en Allemagne: leur part dans la production d'électricité a pour la première fois atteint 50% en 2020, selon l'institut de recherche Fraunhofer, contre moins de 25% il y a dix ans.La baisse du poids du nucléaire (12,5% en 2020) "a été surcompensée par l'expansion des seules énergies renouvelables", explique à l'AFP Claudia Kemfert, experte en énergie à l'institut de recherche économique DIW.Les centrales atomiques n'ont donc pas été remplacées par le recours au charbon, même si la part de cette énergie fossile représente encore près d'un quart du mix électrique.Plus de gaz ? Or le vaste chantier d'abandon du nucléaire se double de l'objectif, annoncé en 2019, de fermer les centrales à charbon d'ici 2038 au plus tard.Ce double exit peut sembler une gageure alors que l'Allemagne demeure le principal producteur de lignite au monde.L'exploitation de ce charbon brun, extrêmement polluant, continue d'entraîner la destruction de villages, dans l'ouest du pays, pour agrandir d'immenses mines à ciel ouvert.En sortir implique le développement de toujours plus de renouvelables - éolien, solaire, biomasse et hydroélectrique -, dont la part doit être portée à 65% d'ici 2030.Mais le pays, qui a longtemps été aux avant-postes de l'énergie éolienne en Europe, n'a installé que 1,65 GW de parcs l'année dernière, le plus bas niveau depuis une décennie, relève le lobby européen WindEurope.Pour atteindre ou dépasser les objectifs du gouvernement, il faudrait ajouter annuellement 9,8 GW de photovoltaïque et 5,9 GW d'éolien terrestre, calcule Mme Kemfert.Or l'aménagement de nouvelles surfaces pour la production éolienne ou photovoltaïque est complexe, se heurtant souvent au refus des riverains et au risque d'atteintes aux paysages.Sauf à innover en combinant au mieux le stockage et la distribution, via des centrales électriques dites virtuelles, ces énergies intermittentes n'ont en outre pas la même stabilité que l'énergie thermique ou nucléaire.Pour sécuriser son approvisionnement, l'Allemagne pourrait donc être tentée de multiplier les centrales au gaz, au risque de renforcer sa dépendance à la Russie, comme l'illustre la controverse autour du chantier du gazoduc Nord Stream 2.Une centrale au gaz est d'ailleurs prévue à Leipheim, commune voisine de Gundremmingen.
Il y a 4 ans et 101 jours

Les premiers chênes destinés à reconstruire la flèche de Notre-Dame ont été sélectionnés

PATRIMOINE. C'est en compagnie de plusieurs ministres que les architectes en chef des monuments historiques Philippe Villeneuve et Rémi Fromont ont sélectionné le 5 mars dernier les premiers chênes qui serviront à reconstruire la flèche de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Les arbres en question proviennent de la forêt de Bercé, dans la Sarthe, mais c'est tout un écosystème qui se mobilise aux quatre coins du pays pour rebâtir l'édifice.
Il y a 4 ans et 101 jours

L'Unsfa organise son "Printemps" sur le thème "Bâtiment et Santé"

RENDEZ-VOUS. L'Union des Architectes (Unsfa) organise le 18 mars prochain en format distanciel, une journée de conférences et ateliers autour du thème "Bâtiment et Santé", baptisée le "Printemps de l'Unsfa."
Il y a 4 ans et 101 jours

Chabanne dessine le nouveau lycée de Meyzieu

EN IMAGES. Un lycée de 88 salles de classe, ouvert sur la ville, à haute performance énergétique et environnementale, au coeur d'une zone à la démographie très dynamique de la métropole de Lyon : c'est le projet remporté, parmi un groupement, par le groupe Chabanne, pour l'architecture mais aussi l'ingénierie. La livraison est attendue à la rentrée 2023.
Il y a 4 ans et 101 jours

Les travaux d'Hercule démarrent au Grand Palais pour rétablir la lumière et l'espace

L'ensemble classé monument historique, formé de trois bâtiments construits pour l'exposition universelle de 1900, rouvrira partiellement au printemps 2024 (pour la nef et les galeries attenantes) et complètement au printemps 2025.Décidé il y a dix ans en raison de profondes dégradations, le chantier a été révisé fin 2020 pour un concept "plus sobre et écologique", à la requête du ministère de la Culture.Abattage de murs et cloisons, sécurité incendie, accessibilité, restauration des toitures engagée depuis 2016 (20.000 m² sur 35.000 m²), climatisation, nouveaux parcours... tout cela doit être fait avec une enveloppe approuvée en 2016: 466 millions d'euros financés par des subventions, un emprunt et du mécénat.Le Grand Palais, c'est 72.000 m², un km de circonférence, 200.000 tonnes de pierre, plus de fer que pour la tour Eiffel, 280 tonnes de verre...Parmi les plus coûteux travaux d'Hercule du plan initial, l'excavation de milliers de mètres carrés sous la nef a été abandonnée. "Il y avait des risques très forts en creusant dans une zone inondable. Le projet précédent cassait beaucoup de choses. En maintenant l'existant, on pouvait garder la même surface", explique Emmanuel Marcovitch, directeur-général délégué de la Réunion des musées nationaux-Grand Palais, affectataire de l'ensemble des bâtiments.Un "Grand Palais éphémère" est édifié par l'architecte Jean-Michel Wilmotte au Champ de Mars, jusqu'à ce que la nef puisse accueillir en 2024 des épreuves des Jeux olympiques, foires et défilés sous la plus grande verrière d'Europe aux élégantes armatures vert réséda.Pour les expositions au Palais d'Antin qui abrite depuis 1937 le Palais de la Découverte, une autre structure éphémère, "les Etincelles", va ouvrir dans le XVe arrondissement.Retrouver une "architecture de lumière"Symbole d'un compartimentage aussi absurde que rudimentaire, une chaîne de vélo verrouillait encore récemment une porte oubliée, séparant les galeries nationales du Grand Palais des espaces du Palais de la découverte, établissement public dépendant d'Universcience. "On pourrait exposer cette vieille chaîne en souvenir", plaisante l'historien d'art belge Chris Dercon, à la tête de la RMN-Grand Palais depuis 2019.Les deux entités muséales subsisteront mais "une plus grande porosité sera établie entre arts et sciences, et leurs publics respectifs", espère François Quéré, directeur-général délégué adjoint d'Universcience.Un espace libre de 5.000 m² reliera Champs-Elysées et bords de Seine: une entrée unique permettra au visiteur de déambuler gratuitement, profitant d'évènements culturels sans acheter de billet."On va enlever tout ce qui n'est pas intéressant. Ce bâtiment avait été cloisonné avec, dans les années 1960, jusqu'à seize occupants" qui y avaient des bureaux, souligne Chris Dercon.Le projet permettra aussi de retrouver son "architecture de lumière", ajoute-t-il.Désignant au journaliste de l'AFP venu sur place les voûtes du palais d'Antin, Christelle Linck, responsable de la communication d'Universcience, montre les usures du temps: "elles sont sous filet, des éléments de maçonnerie tombent. Les parements sont tachés. L'eau s'infiltre par les verrières".Partout, des espaces d'expositions vont être regagnés. Une Galerie des enfants, ludique, sera aménagée sous la Rotonde d'Antin, à l'emplacement de l'ancien manège à chevaux.Autour de la nef, ce sont 3.700 m² de balcons restaurés qui seront rendus au public. Et une dalle thermique et des filtres sous la verrière vont éviter le froid et le chaud excessifs.Une capacité d'accueil augmentée de 60%, grâce à l'aménagement d'issues de secours, c'est ce que gagnera la nef de 13.500 m²: 9.000 personnes pourront s'y croiser contre 5.600 avant la pandémie. Une nécessité en prévision de l'affluence pour les JO de 2024.A l'extérieur aussi, le Grand Palais a engagé son lifting. Les jardins aux abords seront réaménagés. Alors que des statues avaient disparu, volées, et que d'autres tombaient en morceaux au risque de blesser des passants, l'ensemble, sous un filet depuis 2018, sera restauré. Il sera fait appel à des créateurs contemporains pour restaurer celles manquantes.Chris Dercon: rétablir la lumière et l'espace au Grand PalaisLe projet de rénovation du Grand Palais a pour but de pousser les murs intérieurs et de rétablir lumière et espace, souligne l'historien d'art belge Chris Dercon, à la tête de la Réunion des musées nationaux-Grand Palais depuis 2019.Q: Un bâtiment de 120 ans va être rénové. Sera-ce une transformation audacieuse ou une rénovation-mise aux normes classique ?R: On ne va rien réinventer. Tout était là mais il faut tout redécouvrir. Le Grand Palais, c'est un îlot, un quartier... Est-ce qu'il fallait jeter toutes les interventions du passé? Pas du tout! A nous de trouver les moments intéressants, décisifs, à garder.Cloisonné, compartimenté, ce grand palais était de plus en plus petit, c'était devenu une black box !On a suivi son voyage pendant tout le XXe siècle. Ca a été aussi un travail d'archéologie. Parfois des objets de 3 ou 4 centimètres nous ont amenés à dire: non, là il faut trouver d'autres solutions !Pendant le premier confinement, j'ai eu le temps de l'explorer, jour et nuit. On a redécouvert des choses magnifiques, des couches de couleurs disparues, d'anciens graffitis, par exemple un du désigner Jean-Charles de Castelbajac.Certains lieux étaient perdus, espaces mal aimés, parfois introuvables, souvent inutilisables.On va donc enlever ce qui n'est pas intéressant. Ce n'est pas une simple mise aux normes, on est en train de retravailler les idées du début qui étaient complètement perdues.Q: Quelle vision portez-vous pour ce lieu que vous définissez comme un îlot culturel ?R: Raynold Arnould, ce visionnaire, ancien directeur des Galeries nationales du Grand Palais nommé dans les années 1960 par André Malraux, disait qu'il fallait créer une maison de la culture pour le XXe siècle, il voulait aussi créer une bibliothèque pédagogique.Ce furent les idées fondatrices aussi pour le Centre Pompidou: un forum, une piazza...Dès les débuts du Grand Palais il a offert un mix: le salon artistique, des évènements, le salon de l'industrie. On a eu ici bien plus que des expos: par exemple Peer Gynt, de la Comédie Française, les Radio City Rockettes, Prince en concert...On appelle cela le Zeitgeist, l'esprit du temps. Dans les musées du monde entier, on demande de faire tout: des évènements, y compris commerciaux, des expos pas seulement d'arts plastiques, mais aussi de l'architecture, de la danse, de la performance...Une autre dimension est de retrouver la lumière verticale et horizontale. C'est une architecture de lumière: pendant la nuit aussi, la lumière de la ville entre dans le Grand Palais et c'est magnifique. C'est aussi un bâtiment de couleurs qu'il faut retrouver.Q: Comment faire communiquer les galeries d'expositions du Grand Palais et le Palais de la découverte, faire dialoguer l'art et la science ?R: Notre situation est presque unique, depuis l'ouverture du Palais de la découverte en 1937 dans l'aile ouest.C'est une opportunité fantastique car aujourd'hui les deux pôles de la démocratie sont les arts et la science. Et beaucoup d'artistes parlent de leur intérêt pour la science. Chez Arnault et chez Pinault, de plus en plus d'expositions tournent d'ailleurs autour de l'art et de la science. Propos recueillis par Jean-Louis de la Vaissiere
Il y a 4 ans et 101 jours

Nouveau logo Onfly : Modernité, adaptabilité & universalité

La communication d’Onfly fait peau neuve ! L’équipe BIM&CO est fière de dévoiler le nouveau logo de son outil phare, reflétant les valeurs qu’elle partage avec ses clients et partenaires. Tous les jours, c’est avec l’ensemble de ses 200 clients actifs sur Onfly que l’entreprise répond aux enjeux de la transformation digitale par le biais de ses outils. Intégralement pensée autour de sa marque, BIM&CO vous révèle ici les dessous de cette nouveauté. Paris, France – le 4 mars 2021 Déployée depuis plus d’un an et demi, la solution innovante de gestion de bibliothèque partagée  « Onfly » affirme son identité visuelle. Fruit d’un processus de réflexion s’écoulant sur plusieurs mois, Camille, UX/UI Designer chez BIM&CO témoigne : « Nous nous devions de raconter l’histoire de notre  produit, autour de laquelle nous construirons le reste, allant des besoins de nos utilisateurs jusqu’à la culture de notre entreprise ». Nouveau logo 2021 Une volonté de transmettre les valeurs de l’entreprise La composante du cercle bleu clair sur ce nouveau logo a été retenue pour sa symbolique vertueuse et universelle : celle d’un projet architectural, celle d’un projet BIM, et celle de la création d’un produit numérique. Il s’agissait de créer une forme simple, commune et parlant au monde entier, illustrant la facilité d’utilisation de l’outil Onfly. Lorsqu’il en vient à sa forme ronde et universelle, celle-ci invite plusieurs corps de métiers à utiliser l’outil, tels que les fabricants et bureaux d’études. De plus, ce cycle vertueux illustre le fait qu’Onfly permet de capitaliser sur les projets passés pour construire l’avenir. Les valeurs d’Onfly reflètent la vision de Baptiste Mullie, CEO de BIM&CO : «Nous sommes persuadés que c’est la réutilisabilité des données et des matériaux qui nous permettra de répondre aux enjeux environnementaux et économiques majeurs auxquels la construction est confrontée.» L’élément de la virgule bleue marine est quant à lui le prolongement de la « goutte » verte foncée du logo de BIM&CO, faisant de cette composante la première brique de la construction de cette nouvelle identité visuelle. Cette référence au logo de l’entreprise, créatrice de l’outil, permet de montrer la fierté de ses collaborateurs quant à leur héritage : « Pour savoir où tu vas, regarde d’où tu viens ». Cette goutte, s’étendant, symbolise l’équipe et les utilisateurs d’Onfly qui continuent d’écrire ensemble l’histoire de l’outil. L’élément représente ainsi un véritable connecteur entre plusieurs univers, là où se rencontrent les compétences et où la valeur se crée. Il s’agit d’un espace d’échange où tout le monde parle un langage commun et universel, reflétant par ailleurs la dimension internationale de BIM&CO. Selon Camille, cette goutte symbolise « la croisée des chemins, un espace commun de deux mondes qui se rencontrent : les fabricants et les bureaux d’études ». Un logo simplifié pour les clients et partenaires Ce logo, permettant de faciliter la transmission des principes moraux et sociétaux sur lesquels se base l’entreprise, a été simplifié. En effet, BIM&CO, priorisant toujours ses clients et partenaires, se devait également d’avoir un logo plus facile à lire pour eux quant à son produit. Grâce à ce nouveau design, le logo Onfly permet à la fois de transmettre une image corporate, tout en communiquant le dynamisme de l’entreprise BIM&CO et de son outil phare. À propos de Onfly Le produit Onfly, né en 2018, permet aux architectes, ingénieurs et constructeurs de partager et mettre à jour à la volée, les objets et données des différents projets, dans n’importe quel logiciel de conception. Grâce à cet outil, il est désormais possible de rationaliser les processus de construction avec des outils à la hauteur des ambitions de chacun. Admirez notre nouveau logo de plus près, en découvrant l’outil Onfly ici ! À propos de BIM&CO – bimandco.com/fr – @bimandco Filiale du groupe Trace, BIM&CO est née en 2015 et bénéficie de plus de 30 ans d’héritage technologique dans le calcul, le traitement et la redistribution de la donnée technique. L’entreprise a pour mission de connecter tout corps d’état aux pouvoirs de la data, pour bâtir ensemble le monde de demain. BIM&CO met en place des solutions de gestion des données pour les ingénieries et fabricants, au-delà des barrières de langues, standards et formats. Pour répondre aux enjeux de la digitalisation des métiers de l’industrie, l’éditeur de logiciel Saas préconise une approche ingénieuse et maîtrisée du BIM, basée sur l’usage optimisé de la donnée partagée.  Sa technologie d’harmonisation et de synchronisation s’enrichit quotidiennement pour permettre à tout corps d’état de disposer d’objets validés et de données connectées qualifiées, exploitables sur toute plateforme (dans tous standards ou formats). BIM&CO est un acteur global, présent à Paris, Bologne, Madrid et Montréal. BIM&CO s’appuie sur son réseau de partenaires pour construire une communauté de spécialistes. Contact Presse BIM&CO : press@bimandco.com
Il y a 4 ans et 101 jours

Simplifiez ses tâches d’implantation et de relevés – Leica Geosystems

PUBLI-INFORMATION Simplifiez ses tâches d’implantation et de relevés Relever et implanter n’a jamais été aussi simple avec les méthodes numériques. Les solutions d’implantation Leica Geosystems de la gamme Leica iCON et le scanner laser 3D Leica BLK360 ont été spécialement conçues pour le bâtiment. Des outils accessibles pour permettre un retour sur investissement rapidement. Pourquoi utiliser une solution numérique pour l’implantation et le relevé ? Pour baisser ses coûts : Ne plus externaliser auprès d’un prestataire de services, ne plus avoir besoin de plusieurs personnes pour effectuer une tâche spécifique sur un chantier ; Pour ne plus commettre d’erreurs : Gagner en précision, ne plus se tromper sur des côtes relevées à l’occasion d’un projet ; Pour devenir autonome : Disposer d’outils simples, ne plus rencontrer de difficultés de planning ; Pour augmenter sa productivité : Ne plus reporter sur un plan papier, ou effectuer des mesures avec des rubans, fils à plomb et traits à la craie, ne pas retourner sur le chantier en cas d’oubli, tenir les délais. Découvrir le témoignage de deux sociétés : FAVRE-FELIX, construction de chalets, charpentes et maison en bois, a fait l’acquisition d’une solution d’implantation robotisée Leica iCON ; Soraetec, bureau d’ingénierie construction charpentes, qui s’est équipé d’un scanner laser 3D Leica BLK360.   >> TÉLÉCHARGER L’ÉTUDE DE CAS Mickael ANDUJAR, Président de FAVRE-FELIX  « La raison principale de notre investissement était d’éviter les intermédiaires. Déjà sur le plan financier : parce qu’à chaque relevé cela avait un coût : entre 300€ et 1500€. Il faut aussi que tout le monde arrive à s’accorder en termes de planning et ça c’est ce qu’il y a de plus compliqué. Aujourd’hui, le but c’est d’être autonome dans ce travail. Nous avons acquis cet outil pour gagner en précision aussi. Le mètre et le crayon ne sont pas ce qu’il y a de plus précis ! » William Amberg | Ingénieur structure bois et métal chez Soraetec  « Le problème c’est lorsque la charpente est à 10 / 15 m de haut où nous devons faire intervenir une entreprise avec une nacelle. Il manque également systématiquement des informations. L’utilisation du BLK360 nous permet d’avoir toutes les informations dans un temps équivalent à celui d’un relevé avec nacelle avec des informations partielles. En 15 minutes on est capable d’avoir relevé l’intégralité d’un bâtiment. S’il y a des informations, des photos qu’on a oublié de prendre dans 99% des cas, on trouve ce dont on a besoin sur le nuage de points. »  Pour plus d’informations >> Contact Leica Geosystems Avec plus de 200 ans d’histoire, Leica Geosystems, part of Hexagon, est le fournisseur de capteurs, de logiciels et de services haut de gamme. Fournissant chaque jour de la valeur aux professionnels de la topographie, de la construction, des infrastructures, de l’exploitation minière, de la cartographie et d’autres industries dépendantes du contenu géospatial, Leica Geosystems est à la tête de l’industrie grâce à des solutions innovantes qui permettent d’assurer notre avenir autonome.
Il y a 4 ans et 101 jours

Le projet du bassin d'entraînement à Noisy-le-Sec pour les Jeux olympiques Paris 2024 est abandonné

"Suite aux conclusions d'un audit demandé en septembre dernier par la Solideo, le projet de piscine du Pont de Bondy, à Noisy-le-Sec, a été abandonné", a fait savoir la Solideo à l'issue d'un conseil d'administration, évoquant "des difficultés opérationnelles ne permettant pas de garantir la livraison de l'ouvrage dans les délais".Ce projet était subventionné à hauteur de 5 millions d'euros par la Solideo, organisme chargé de construire les ouvrages pérennes en lien avec Paris 2024.La piscine de Montreuil (Maurice Thorez) la remplacera comme site d'entraînement, avec à la clé un programme de rénovation (2,5 millions d'euros), a précisé la Solideo.A Aubervilliers, un autre projet de centre aquatique provoque actuellement des remous. Cette piscine qui doit aussi servir de bassin d'entraînement suscite la colère car il déloge et rabote une partie de jardins ouvriers.La Seine-Saint-Denis est très pauvre en infrastructures sportives. Elle "compte moins de 60 m2 de bassin de natation pour 10.000 habitants, contre plus de 160 m2 en moyenne en Ile-de-France", selon les acteurs des JO et le département.Outre le centre aquatique olympique (CAO) de Saint-Denis, plusieurs projets de piscines ont été actés, comme le futur centre aquatique de Marville, qui va remplacer l'actuelle piscine située dans le parc de la Courneuve, site d'entraînement pour le water-polo.Par ailleurs, trois bassins provisoires de natation de 50 mètres sont officiellement proposés aux collectivités de Seine-Saint-Denis.Deux de ces bassins (dont un d'échauffement) seront installés dans La Défense Arena à Nanterre pour les épreuves de natation, de para-natation, et la finale de water-polo des JO.Initialement ils devaient être accolés au CAO, mais ils ont migré dans l'ouest parisien pour des raisons d'économies. Le troisième bassin de 50 mètres est le bassin qui servira d'échauffement à proximité du CAO pour la natation synchronisée et le water-polo.Ces bassins peuvent être transformés et aménagés dans certaines limites, mais ces transformations seront à la charge de la collectivité qui le recevra, en plus du bâtiment en dur qui l'abritera lui aussi à la charge de la collectivité.Plusieurs collectivités ont déjà manifesté leur intérêt dont justement Noisy-le-Sec, Bagnolet et Bobigny via l'établissement public territorial Est Ensemble.
Il y a 4 ans et 101 jours

Rockpanel : sécurité anti-incendie sans sacrifier l’esthétique

PUBLI-INFORMATION Requalification architecturale, isolation thermique, sécurité anti-incendie optimale : une triple exigence qui relevait du défi pour la réhabilitation des tours Bièvre à Antony (92). Défi relevé avec les bardages Rockpanel, qui ont su modifier l’image de ces bâtiments, tout en répondant à la réglementation. Datée, ainsi pourrait-on qualifier l’écriture architecturale des tours de logements Bièvre I, II et III, situées à Antony, dans les Hauts-de-Seine. Soit deux monolithes ternes de 17 étages et un de 11, percés d’innombrables ouvertures. Si une requalification patrimoniale avec isolation thermique par l’extérieur s’imposait, Irena Morawiec, architecte associée du groupe Arcane Architectes, a tout de suite saisi que ses choix constructifs devraient intégrer l’aspect réglementation anti-incendie. « Après une étude approfondie, nous avons opté pour un système combinant isolation laine de roche associée à des panneaux de façade Rockpanel. » En effet, la composition des bardages en laine de roche compressée – donc incombustibles – ont contribué à la protection anti-incendie sans autre dispositif. En effet, lorsqu’ils sont associés à une laine de roche, les panneaux Rockpanel peuvent être mis en œuvre sans bavette de recoupement, souvent jugée inesthétique. Cette option est admise par l’IT 249*, dès lors qu’un laboratoire agréé l’a validée par le biais d’essais Lepir II. Ce qui est le cas ici. Design contemporain  Sur le plan esthétique, le résultat est remarquable. Les tours, habillées en un dégradé de bardages Rockpanel Woods et Rockpanel Colours – « […] ils ressemblent à s’y méprendre à du bois […] » –, arborent, comme le souhaitait l’architecte, un aspect « fontaine à chocolat ». Une identité nouvelle pour au moins cinquante ans, la durée de vie minimale des panneaux. Côté entretien, rien de plus facile : un nettoyage à l’eau suffit. En outre, du fait des propriétés autonettoyantes renforcées, une simple pluie permet d’évacuer la majeure partie de la saleté. La couche ProtectPlus optimise, quant à elle, la résistance aux ultraviolets, prolongeant ainsi la stabilité des couleurs.  Bref, une réhabilitation à la hauteur des enjeux, perçue comme un signal urbain positif. La première fois que l’architecte recourait aux bardages Rockpanel et, de son point de vue, certainement pas la dernière.  * Instruction technique 249 relative aux façades (août 1982 – modifiée en 2010). Maître d’ouvrage : Hauts-de-Bièvre Habitat Maître d’œuvre : Groupe Arcane Architectes     Commandez des échantillons sur Rockpanel.fr pour mieux apprécier l’effet des finitions.
Il y a 4 ans et 101 jours

Le Groupe Coulidoor relève le défi d'une fabrication plus responsable

Fort de ses 3 centres de fabrication disposant d’une logistique intégrée, le groupe assure une couverture nationale. Chaque jour, 500 panneaux, 40 à 50 îlots blocs tiroirs et 1.000 vantaux sont fabriqués. Tous ces composants sont ensuite acheminés auprès des clients du groupe : 900 agenceurs en aménagement intérieur pour la marque premium Ambiance Dressing et tous les négoces en matériaux pour la marque Coulidoor.Chaque année, pas moins de 350.000 portes de placards sortent des ateliers du groupe, lequel réalise un chiffre d’affaires annuel d’environ 40 millions d’euros. Conscient des impacts de son activité sur l’environnement, le groupe Coulidoor veille à agir, en recyclant les déchets, en privilégiant les circuits courts et en adoptant une politique d’achat responsable pour 90 % des produits. L’objectif est d’atteindre les 100 %. Ainsi, à son niveau, le groupe maintient l’activité locale et évite la fuite des savoir-faire sous d’autres latitudes.Afin d’aller encore plus loin dans cette démarche, Coulidoor a recruté le 11 janvier 2021 Nicolas Gicquère en tant que responsable performance durable. Cette création de poste s’est imposée naturellement après le diagnostic réalisé par ce dernier en tant que consultant pendant les 6 derniers mois. La pérennité de Coulidoor sera assurée en partie grâce à une solution : l’innovation environnementale.Une fabrication qui a du sens...Nicolas Gicquère, responsable performance durable "C’est un défi en trois phases : Diagnostiquer, Agir et Innover. Diagnostiquer l’empreinte environnementale à partir d’outils tels que les bilans d’émissions carbone et les analyses de cycles de vie, nous permet de hiérarchiser les leviers à activer pour inscrire le groupe sur une trajectoire toujours plus vertueuse. Agir en exploitant ces données dans notre fonctionnement et développer l’écono-mie circulaire pour réduire nos besoins en ressources. Innover pour accompagner à long terme, le mouvement vers une société toujours plus sobre qui modifiera en profondeur les attentes de nos clients et de toutes nos parties prenantes. »Les entreprises ont une force plus impactante…En termes d’échelle, et comparé avec ce que les particuliers et associations peuvent mettre en place, les entreprises possèdent, à l’évidence, un pouvoir d’action beaucoup plus impactant sur l’environnement. En intégrant structurellement la question environnementale dans sa vision à long terme, Coulidoor maximise les effets de leviers pour améliorer sa performance durable tout en veillant à saisir les opportunités d’améliorations dans son fonctionnement quotidien. Si une telle ambition peut sembler longue à atteindre, l’un des préalables pour y parvenir est d’établir un guide méthodologique de sensibilisation et d’actions quotidiennes. Et c’est très exactement ce que le groupe Coulidoor a fait. Ainsi, en agissant de manière collective pour relever le défi permanent de la préservation de l’environnement, Coulidoor contribue, à son niveau, au mieux vivre ensemble et au bien-être individuel.La Charte des Achats ResponsablesDans la continuité de la démarche de Responsabilité Sociétale d’Entreprise initiée par le groupe, Coulidoor a mis en place une Charte des Achats Responsables qui a pour ambition de partager son engagement avec ses fournisseurs, sous-traitants et partenaires majeurs de son développement. Elle décrit les engagements sociaux, sociétaux et environnementaux demandés à ses partenaires mais également les engagements que Coulidoor prend vis-à-vis de ces derniers. Ils s’engagent à signer la Charte et collaborer avec Coulidoorpour la mettre en oeuvre et à prendre toute mesure corrective appropriée si nécessaire.Le groupe Coulidoor déploie les moyens et les ressources pour atteindre ses objectifs RSE. Outre les motivations environnementales, les futures obligations réglementaires suite aux Accords de Paris en 2015 à la COP 21* sont un bon moteur pour innover. A terme, les entreprises et les produits afficheront fièrement leur bilan carbone. On connaissait la compta analytique, la compta des bilans carbone s’imposera.
Il y a 4 ans et 101 jours

En Isère, PNG refonde les usages de Saint-Barthélemy-de-Séchilienne

À Saint-Barthélemy-de-Séchilienne (Isère), Atelier PNG a rassemblé sur un même site des usages techniques, administratifs, éducatifs et culturels, l’aménagement proposant aux habitants une place de plus, des usages contrastés et une nouvelle centralité. Communiqué. Dans un contexte vernaculaire très préservé, le projet conçu par Atelier PNG (Pedro Petit, Nicolas Debicki, Grichka Martinetti) proposé d’aménager et […] L’article En Isère, PNG refonde les usages de Saint-Barthélemy-de-Séchilienne est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 101 jours

De la forêt à la charpente, la longue marche des chênes pour la reconstruction de Notre-Dame

Huit arbres d'exception repérés dans cette futaie - plus de vingt mètres de tronc utile et un mètre de diamètre - ont été sélectionnés vendredi par Philippe Villeneuve et Rémi Fromont, architectes en chef des monuments historiques.Destinés au tabouret de la flèche détruite dans l'incendie du 15 avril 2019, ainsi qu'aux charpentes du transept et travées adjacentes, ils assureront l'assise d'une structure de quelque 300 tonnes.Ici, tel chêne immense, marqué d'un chiffre 8 peint en rouge, sera épargné, car on y a découvert un noeud. Là, un autre géant porte la pancarte "arbre numéro un" et sera bientôt à terre."Un drone a fait des profils en 3D pour vérifier ceux qui convenaient", raconte à l'AFP Aymeric Albert, chef du département commercial de l'Office national des forêts (ONF). Ils doivent en effet être légèrement courbés, pour que les futures poutres suivent la courbure des voûtes, en reliant les piliers de la croisée du transept.Un millier de chênes de l'Hexagone ont été offerts. Ils sont issus pour moitié de forêts publiques, pour moitié de quelque 150 forêts privées. Et de nouvelles offres continuent d'affluer.Dans une phase ultérieure, il faudra refaire les charpentes médiévales de la nef et du choeur. Des milliers d'autres arbres, plus jeunes cette fois, seront sélectionnés. Des chênes ont déjà été aussi proposés par des donateurs étrangers."Récolte"La "récolte" de ces mille arbres, comme on nomme l'abattage en langue forestière, était déjà prévue pour 2021. Afin de permettre aux futaies de se régénérer naturellement.L'opération va s'achever ces prochains jours, plus vite que prévu, avant la montée de sève.Pendant six mois, les troncs seront laissés sur place "car l'arbre peut réagir, avec des vrilles, des courbures. Quand il a vrillé, alors on sait qu'il ne bougera plus", explique Aymeric Albert.Chaque arbre est identifié par un numéro permettant sa traçabilité.D'avril à juin, les troncs seront "débardés" (amenés au bord des chemins), puis au deuxième semestre, ils seront débités et transportés dans une vingtaine de scieries.Leur temps de séchage sera de 12 à 18 mois, jusqu'à ce qu'un taux d'humidité de moins de 30% soit atteint.Début 2023, ils seront transportés vers les ateliers des charpentiers, qui suivront les plans de l'architecte Eugène Viollet-Le-Duc qui avait restauré Notre-Dame au 19e siècle, pour une reconstruction à l'identique.Répondant aux inquiétudes d'associations dénonçant l'abattage d'arbres centenaires, la ministre française de la Culture Roselyne Bachelot, venue assister à ce moment symbolique, s'insurge: "Comment défendre la filière bois sans procéder à des coupes prévues en tout état de cause! Il n'y a aucune flibuste, aucun piratage, aucune amputation du patrimoine. Une forêt, ça se gère".Selon l'ONF, ces mille chênes représentent 0,1% de la récolte annuelle de bois de chêne destiné à la construction ou l'ameublement."Il pousse plus de chênes qu'on en récolte: 3 millions de mètres cubes, contre 2 millions, chaque année", estime Aymeric Albert.Leur sélection, s'est félicité l'architecte en chef Villeneuve, "est le début de la renaissance réelle de la cathédrale. On entre dans une phase où on va voir renaître des choses neuves". Même si la restauration ne débutera formellement qu'en septembre.Interrogé sur les risques d'un dépassement des délais de cinq ans du chantier, le général Jean-Louis Georgelin, président de l'Etablissement public chargé de Notre-Dame, les balaie: "nous sommes dans les temps pour rendre la cathédrale au culte en 2024. Même s'il restera "encore beaucoup de travail".Et de poursuivre : "En 2024, vous verrez dans le ciel de Paris briller la flèche qui ne sera plus la flèche de Viollet-Le-Duc mais de Philippe Villeneuve!".
Il y a 4 ans et 101 jours

Tramayes: le dossier exemplaire d’une réhabilitation avec ITE refusée par l'ABF

La réhabilitation de l’ancienne gendarmerie de Tramayes (71) a fait l’objet d’une longue lutte administrative entre un maire et un architecte des Bâtiments de France (ABF) opposé à la prescription d'une ITE*. Récit.
Il y a 4 ans et 101 jours

A Blois, Marc Mimram dessine une élégante passerelle sur la Loire

En 2024, une nouvelle passerelle réservée aux circulations douces traversera la Loire à Blois (Loir-et-Cher). L’ouvrage de 380 mètres de long a été imaginé par l’architecte et ingénieur Marc Mimram.
Il y a 4 ans et 102 jours

Un 8 mars à l'échelle européenne avec cette conférence de l'Arvha

Dans le cadre de la journée internationale des droits des femmes, l'Arvha, association à qui l'on doit chaque année le prix Femme Architecte, organise, lundi 8 mars 2021 à 15h, une conférence en ligne sur la place des femmes dans l'architecture en Europe. L'Arvha (Association pour la recherche sur la ville et l’habitat), organise chaque […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 102 jours

Les femmes dans l'architecture

  A l'occasion de la journée internationale des droits des femmes, le 8 mars 2021, AMC met en lumière l'apport des femmes architectes dans une profession qui peine encore à reconnaître celui-ci à sa juste mesure, malgré la place de plus en plus importante qu'elles y prennent. Si les femmes architectes représentent […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 102 jours

10 chiffres sur la place des femmes dans l'architecture

  A l'occasion de la journée internationale des droits des femmes, le 8 mars 2021, AMC met en lumière l'apport des femmes architectes dans une profession qui peine encore à reconnaître celui-ci à sa juste mesure, malgré la place de plus en plus importante qu'elles y prennent. Si les femmes architectes représentent […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 102 jours

Une histoire mondiale du musée avec Krzysztof Pomian : table ronde au Musée du Louvre

Pour la parution de l’ouvrage de Krzysztof Pomian Le musée, une histoire mondiale : L’ancrage européen 1789-1850, une table ronde est organisée par le Musée du Louvre. La rencontre sera retransmise en direct lundi 15 mars à 12h30. L’évènement est l’occasion de discuter du musée – objet devenu incontournable dans les villes – et de ce deuxième tome consacré à la naissance du modèle du musée universel. L’auteur, Krzysztof Pomian, philosophe, s’est exilé en France en...
Il y a 4 ans et 102 jours

Clinique médico-pédagogique à Vitry-le-François, par Vallet de Martinis

L’agence Vallet de Martinis (Antoine Vallet et Guillaume de Martinis) a livré en 2020 la restructuration et l’extension de la clinique médico-pédagogique de Vitry-le-François (Marne). L’ouvrage de 3 550 m² (9,43 M€ HT) a été réalisé sur le site de l’hôpital du Der pour la Fondation Santé des Étudiants de France, maître d’ouvrage. Communiqué. La […] L’article Clinique médico-pédagogique à Vitry-le-François, par Vallet de Martinis est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 103 jours

7ème concours d’idées SNBPE et CIMbéton : biomimétisme

Le biomimétisme, source d’inspiration pour les bétons et la ville du futur ? Jusqu’au 3 septembre 2021. Tous les ans, le SNBPE (Syndicat national du béton prêt à l’emploi) et CIMbéton organisent, à destination des écoles d’ingénieurs et des IUT Génie Civil, un concours d’idées. Pour cette 7ème édition, les étudiants sont invités à une réflexion […] L’article 7ème concours d’idées SNBPE et CIMbéton : biomimétisme est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 103 jours

Complexe sportif à Buc, par agence Engasser & associés

Pour la ville de Buc (Yvelines), agence Engasser & associés (aEa) a livré en 2020 un complexe sportif de 2 750 m² SP. Pour un coût de 3 M€ HT, l’ouvrage compte une salle multisport, une salle de danse – dojo, une salle de musculation. Communiqué. Le projet mêle à la fois : une orientation […] L’article Complexe sportif à Buc, par agence Engasser & associés est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 104 jours

En Allemagne, le sauvetage "façon Lego" d'une église centenaire

Hans Powalla, 74 ans, l'avoue sans détour : il n'est pas croyant. Mais cet habitant de Stiege, commune d'environ mille habitants, tient à préserver une "architecture unique" et le "sens qu'elle donne à la région", située dans les montagnes du Harz, au centre de l'Allemagne.L'un de ses joyaux est une église en bois ornée de figures de dragons sur ses auvents, construite dans le pur style nordique en 1905 et classé comme monument d'importance nationale. Il n'existe plus que trois églises de ce type dans le pays.Celle de la forêt de Stiege, dans le Land de Saxe-Anhalt, était un sanctuaire privé, accueillant les patients d'un sanatorium voisin où ils soignaient leurs maladies pulmonaires.Mais le sanatorium a fermé et le site ne recevait plus que la visite des vandales. Au point qu'un incendie qui s'était déclaré dans l'ancienne clinique en 2013 a failli réduire l'édifice en cendres."Depuis le village, nous avons vu les panaches de fumée noire et nous avons pensé que c'était la fin de l'église", se souvient Regina Nowolski, 69 ans.L'idée est ainsi née de sauver la fragile construction de bois "car sinon l'église s'effondrerait un jour", détaille Regina Bierwisch, porte-parole de l'association créée à cette époque.Et "la seule solution pour sauver l'église était de... l'enlever", glisse-t-elle avec malice."Vous êtes fous !"Le groupe de passionnés n'ignorait pas l'ampleur de la tâche: obtenir l'autorisation de déplacer la structure, lui trouver un nouveau point de chute et imaginer comment l'amener à cet endroit.A un moment donné, l'association a même envisagé de soulever l'ensemble du bâtiment à l'aide d'un hélicoptère de l'armée allemande. Sans se décourager, ses membres ont porté l'affaire devant le maire, écrit aux autorités fédérales chargées du patrimoine et lancé des appels pour trouver le financement nécessaire, pas moins d'un million d'euros."Au début, j'ai juste trouvé l'idée amusante. Mais j'ai vite remarqué qu'ils n'abandonneraient pas et qu'ils étaient là pour aller jusqu'au bout", déclare à l'AFP Ronald Fiebelkorn, maire d'Oberharz am Brocken, une commune voisine de Stiege dont elle dépend administrativement.Des "Vous êtes fous !", ces férus de patrimoine en ont entendu plus qu'à leur tour, jusqu'à ce qu'ils finissent par emporter l'adhésion des autorités régionales et nationales.Le projet entre désormais dans la dernière ligne droite.Un terrain a été obtenu dans la ville de Stiege, offert pour un euro symbolique. L'association a également racheté, pour un autre euro, l'église privée aux propriétaires actuels, une société immobilière berlinoise.En novembre, la première pierre a été posée sur le nouveau site et, une fois les fondations coulées en mars, l'église sera démontée du sol au clocher, planche par planche."Comme une maison en Lego", s'amuse Mme Bierwisch. D'ici septembre prochain, l'édifice sera remonté dans son nouvel environnement, moins bucolique.Elle ne retrouvera pas de vocation religieuse, l'association souhaitant en faire un lieu culturel et touristique.La plus grande église en bois d'Allemagne se trouve à environ 60 kilomètres de Stiege, également dans la région des montagnes du Harz, doté d'un parc national."Cela peut devenir une route touristique, avec les églises comme points forts", glisse Mme Bierwisch avant d'ajouter: "la conservation de ce que les gens ont pu construire il y a 100 ans doit être respectée dans cette belle région touristique".
Il y a 4 ans et 104 jours

Femmes dans le BTP : pourquoi ça coince ?

ENQUÊTE. Malgré une volonté des organisations et des entreprises du BTP, la féminisation du secteur peine à se concrétiser, progressant en 10 ans de seulement un peu plus de 1%. L'architecture faisant exception. Pourquoi ? Différents acteurs, actrices de la filière nous partagent leur analyse à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes ce lundi 8 mars.
Il y a 4 ans et 104 jours

Décès de Henri Gaudin, architecte du stade Charléty

Diplômé de l'école des Beaux-Arts, il fut deux fois lauréat de la prestigieuse Equerre d'argent (prix français d'architecture), médaille d'or de l'Académie d'architecture 1994, et avait refusé le Grand prix d'architecture en 1989.Son œuvre, de la Cité de la musique et de la danse de Strasbourg au stade Charléty qu'il avait conçu avec son fils Bruno, en passant par Normale Sup Lyon et le Musée national des arts asiatiques - Guimet offre un équilibre plaisant entre sens de la tradition, respect de la fonction et formes libres.Une synthèse symbolisée par le grand escalier du musée Guimet, tout en béton mais dont les formes rendent hommage à la période baroque.Il avait également signé d'autres bâtiments d'envergure à travers la France, comme les archives du Quai d'Orsay à La Courneuve ou le Théâtre de Lorient, reconnaissables pour ce mélange entre lignes droites et courbes douces.
Il y a 4 ans et 104 jours

Chalucet à Toulon, exemplaire

Vaste programme que celui du réaménagement du quartier Chalucet à Toulon : proposé par l’agence Corinne ...En savoir plus Cet article Chalucet à Toulon, exemplaire est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 104 jours

Les entreprises d'ingénierie ont perdu 11% de leur chiffre d'affaires en 2020 sous l'effet de la crise

Selon une étude de la profession réalisée avec les partenaires sociaux, le redémarrage sera lent et le retour à la normale n'aura pas lieu avant 2022. Les ingénieristes, qui ont eu massivement recours aux mesures de soutien pour préserver l'emploi, rappellent que leurs ressources sont clé pour la relance économique. A travers Syntec-Ingénierie, leur fédération professionnelle, elles demandent aux pouvoirs publics davantage de souplesse et d'accompagnement dans l'accès aux formations.Une activité en baisse de 11% pour les ingénieristesL'ingénierie regroupe 73.000 entreprises en France qui fournissent des prestations intellectuelles à haute valeur ajoutée à leurs clients publics et privés : conception de bâtiments et d'ouvrages, optimisation de chaînes industrielles, contribution à la R&D, innovation numérique, conseils sur l'adaptation au changement climatique… Présentes dans tous les secteurs d'activité, elles sont durement touchées par la crise sanitaire et enregistrent des pertes de 11% de chiffre d'affaires. Selon l'étude, cette chute s'explique en priorité par l'arrêt des projets pendant le confinement et la chute des prises de commandes. C'est particulièrement vrai pour les entreprises des filières industrielles, notamment automobile et aéronautique. Un an après le début de la crise, 41% d'entre elles déclarent encore une baisse de leurs prises de commandes, selon un baromètre Syntec-Ingénierie. Sans surprise, la région Occitanie figure parmi les plus touchées.En parallèle, 40% des ingénieristes souffrent depuis septembre 2020 de l'allongement des délais de paiement, qui s'échelonnent jusqu'à +60 jours pour 5% d'entre elles. Une situation dégradée qui occasionne des difficultés de trésorerie pour plus d'1/4 des sociétés interrogées.Parmi les autres difficultés rencontrées, les entreprises pointent le manque de visibilité et les problématiques d'organisation du travail.« Avec 17% de nos collaborateurs en travail sur le site de l'entreprise – soit moins d'un jour par semaine par collaborateur -, nos entreprises respectent scrupuleusement le protocole sanitaire en vigueur. Nous sommes pleinement mobilisées pour endiguer la pandémie. Nos efforts ne sont néanmoins pas sans conséquence sur l'activité de nos entreprises, dont l'essence est de travailler en équipe sur des projets collaboratifs et innovants. Les mesures de distanciation ralentissent l'avancée des projets que nous menons, sans compter que nous avons aussi à souffrir parfois de désorganisations chez nos clients ».Pierre Verzat, président de Syntec-IngénieriePréserver l'emploi : une priorité absolue en vue du redémarrage économiqueL'étude souligne que malgré les fortes baisses d'activité, les entreprises se mobilisent pour préserver leurs ressources et être prêtes à redémarrer. « La richesse de nos entreprises réside dans nos salariés. C'est pour nos idées, notre matière grise que nos clients font appel à nous. La préoccupation première des ingénieristes est donc de préserver l'emploi. » explique Pierre Verzat.Sans surprise, les profils juniors apparaissent comme les plus à risque. L'étude indique que les jeunes diplômés arrivent sur le marché de l'emploi dans un contexte bien plus concurrentiel. De l'autre côté de l'échiquier, les seniors sont fragilisés car perçus comme moins agiles et moins à l'aise avec les nouvelles technologies. Ingénieur ICT (c'est-à-dire du conseil en technologies, intervenant beaucoup dans les filières industrielles automobile et aéronautique) et chef de projet sont identifiés parmi les métiers les plus à risque.Pour préserver l'emploi, 45% des ingénieristes ont eu recours à l'activité partielle, 31% ont sollicité des prêts garantis par l'État, et 23% se tournent vers les aides au recrutement d'alternants. Côté formation, 1/4 d'entre elles ont mis ou vont mettre en place des parcours spécifiques pour leurs salariés. Avec pour objectifs : monter en expertise sur les métiers et accroitre la polyvalence en même temps que le socle de compétences.Si les dispositifs de soutien ont largement favorisé le maintien de l'emploi jusqu'à présent, l'étude met en garde contre l'effet retard des pertes d'emplois. Selon les données du Baromètre APEC [1], les offres d'emplois ont déjà chuté de 32% au cours de l'année 2020. À cela s'ajoutent les 15 000 postes qui étaient créés chaque année avant crise par les entreprises d'ingénierie.Les ingénieristes appellent à davantage de souplesse et d'accompagnement dans l'accès aux formationsA travers leur fédération professionnelle Syntec-Ingénierie, les entreprises d'ingénierie alertent néanmoins sur l'existence de rigidités dans l'accès aux formations, qui pourraient mettre en risque le maintien de l'emploi sur le long terme. Elles appellent les pouvoirs publics à davantage d'accompagnement, en particulier pour les formations lourdes, mais aussi à davantage de souplesse. Cela concerne notamment l'usage du FNE-formation : les entreprises ayant engagé une négociation en matière de PSE ne sont plus habilitées à y recourir, malgré le fait qu'il puisse s'agir d'entités de travail distinctes. Syntec-Ingénierie rappelle que chaque situation d'entreprise est particulière et qu'il convient de prendre en compte toutes les situations.« Au-delà de notre profession, il est urgent de comprendre que la préservation des compétences dans l'ingénierie est un enjeu économique global. L'ingénierie est en amont de tous les projets. Ce sont nos professionnels qui inventent les ouvrages, bâtiments, infrastructures et industries de demain. Ils accompagnent les grandes transitions climatique, énergétique ou encore industrielle en concevant de nouvelles solutions technologiques. Perdre nos compétences, c'est mettre en jeu le redémarrage de notre économie toute entière. Il est impératif de préserver les capacités de rebond des entreprises, partout où cela est possible. »Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie[1] Baromètre Apec des intentions de recrutement et de mobilité des cadres - 1er trimestre 2021
Il y a 4 ans et 104 jours

Smac se sépare de son pôle membranes Axter

CESSION. Smac, spécialiste des travaux de l'étanchéité, de façades et de l'entretien de l'enveloppe du bâtiment, a cédé son pôle de production et commercialisation de membranes Axter.
Il y a 4 ans et 104 jours

Décès de l'architecte Henri Gaudin

DISPARITION. L'architecte Henri Gaudin est décédé dans la nuit de jeudi à vendredi à l'âge de 87 ans, a annoncé son entourage à l'AFP. Parmi ses oeuvres, le stade Charléty (avec son fils Bruno), l'extension-restructuration du Musée Guimet à Paris, ou encore, l'école normale supérieure de Lyon et la Cité de la musique et de la danse de Strasbourg.
Il y a 4 ans et 104 jours

Les Géomètres-Experts plaident pour un projet de loi climat et résilience qui préserve un développement équilibré des territoires

En tant que garants du cadre de vie durable, les géomètres-experts sont mobilisés depuis plusieurs années pour accompagner l'État dans la politique de sobriété foncière et de réduction de l'artificialisation des sols qu'il a engagée.En janvier 2020, déjà, l'OGE avait été invité à intégrer le groupe de travail interministériel Zéro Artificialisation Nette et Friches après avoir publié un manifeste et formulé 10 propositions allant vers la protection des sols agricoles et naturels, dans une démarche tenant compte des spécificités de chaque territoire. C'est pourquoi aujourd'hui la profession salue pleinement les ambitions affichées par la Convention Citoyenne pour le Climat et portées par le Gouvernement à travers le projet de loi Climat et Résilience et son volet « Se loger ».Les géomètres-experts souhaitent cependant alerter le Gouvernement sur plusieurs mesures dont la rédaction est aujourd'hui susceptible de provoquer des effets contraires aux résultats escomptés.Une méthode d'analyse de l'artificialisation des sols inéquitable et lacunaireEn déterminant les objectifs de réduction de l'artificialisation des sols par rapport aux projets de construction conduits sur les dix dernières années, le Gouvernement pourrait voir s'accentuer la désertification dans certaines régions. Cette méthode conduirait les villes et villages qui ont fait le choix de contraindre l'artificialisation de leurs sols par le passé à ne plus avoir la possibilité de construire de nouveaux logements, de rouvrir des écoles, des commerces ou des services.A l'inverse, les territoires ayant sur-consommé leurs espaces naturels et agricoles se verraient « récompenser » avec l'octroi d'un droit supplémentaire à artificialiser, au détriment donc des territoires économes. Les grandes aires urbaines poursuivraient leur étalement, avec le risque croissant de destruction des corridors écologiques et des réservoirs de biodiversité qui les séparent encore aujourd'hui.Une définition de la notion d'artificialisation à préciserEnsuite, la notion d'artificialisation doit encore être clairement définie. Actuellement fondée sur une vision macro-spatiale, il est essentiel que cette définition, et les mesures associées pour observer les évolutions à venir, prennent en compte l'ensemble des terrains réellement artificialisés (non compris les jardins, parcs, etc…).La profession alerte également quant au glissement de la notion d' « artificialisation nette des sols » vers celle d' « artificialisation » : loin de sanctuariser des sols (naturels, forestiers, agricoles…), la sémantique d'artificialisation nette introduit un juste équilibre entre l'artificialisation de certains sols et la renaturation d'espaces artificialisés, dans l'intérêt des villes et de leurs habitants. Un système de compensation à l'échelle du territoire observé doit pouvoir être ainsi mis en place.Les propositions de l'OGE pour concilier rééquilibre des territoires et préservation de la natureActeurs majeurs de l'aménagement des territoires métropolitains et ultramarins, les géomètres-experts occupent un poste d'observation privilégié qui leur apporte une connaissance fine des enjeux locaux. C'est la raison pour laquelle l'OGE porte aujourd'hui quatre amendements dans le cadre du projet de loi Climat et Résilience :Le premier vise, animé d'une volonté de cohérence, à circonscrire la territorialisation de ces dispositions au périmètre de la loi SRU (communes dont la population est au moins égale à 3 500 habitants et qui sont comprises, au sens du recensement de la population, dans une agglomération de plus de 50 000 habitants comprenant au moins une commune de plus de 15 000 habitants).Le deuxième propose d'instaurer un moratoire de 10 ans pour les territoires vertueux, c'est-à-dire les communes dont le rythme d'artificialisation sur les dix dernières années est inférieur de 50% au rythme d'artificialisation moyen observé dans l'intercommunalité, et à défaut à l'échelle du SCOT, sur la période de référence. Au terme de ce moratoire, un bilan des résultats sera établi et les outils de poursuite de l'effort de sobriété foncière seront réinterrogés et ajustés afin de récompenser ces territoires.Le troisième défend une nécessaire contextualisation des objectifs de réduction de l'artificialisation par la voie d'une étude de densification, afin de tenir compte des besoins et des enjeux auxquels sont confrontés les territoires ruraux. Conjuguée aux différents dispositifs mis en place par le Gouvernement pour endiguer le phénomène de désertification qui frappe certaines régions (Actions Cœur de Ville, Petites Villes de Demain…), cette approche ciblée permettra d'accompagner ces territoires dans leurs projets de développement.Enfin, l'Ordre des géomètres-experts milite pour que les communes ne soient pas systématiquement obligées d'urbaniser leurs friches disponibles alors que celles-ci pourraient accueillir des espaces verts et naturels. Le Gouvernement doit faire de la dédensification des espaces urbains un enjeu majeur de ses politiques d'aménagement : il en va de leur résilience.
Il y a 4 ans et 104 jours

L'Ordre des Géomètres-Experts plaide pour que le projet de loi climat et résilience préserve un développement équilibré des territoires

En tant que garants du cadre de vie durable, les géomètres-experts sont mobilisés depuis plusieurs années pour accompagner l'État dans la politique de sobriété foncière et de réduction de l'artificialisation des sols qu'il a engagée.En janvier 2020, déjà, l'OGE avait été invité à intégrer le groupe de travail interministériel Zéro Artificialisation Nette et Friches après avoir publié un manifeste et formulé 10 propositions allant vers la protection des sols agricoles et naturels, dans une démarche tenant compte des spécificités de chaque territoire. C'est pourquoi aujourd'hui la profession salue pleinement les ambitions affichées par la Convention Citoyenne pour le Climat et portées par le Gouvernement à travers le projet de loi Climat et Résilience et son volet « Se loger ».Les géomètres-experts souhaitent cependant alerter le Gouvernement sur plusieurs mesures dont la rédaction est aujourd'hui susceptible de provoquer des effets contraires aux résultats escomptés.Une méthode d'analyse de l'artificialisation des sols inéquitable et lacunaireEn déterminant les objectifs de réduction de l'artificialisation des sols par rapport aux projets de construction conduits sur les dix dernières années, le Gouvernement pourrait voir s'accentuer la désertification dans certaines régions. Cette méthode conduirait les villes et villages qui ont fait le choix de contraindre l'artificialisation de leurs sols par le passé à ne plus avoir la possibilité de construire de nouveaux logements, de rouvrir des écoles, des commerces ou des services.A l'inverse, les territoires ayant sur-consommé leurs espaces naturels et agricoles se verraient « récompenser » avec l'octroi d'un droit supplémentaire à artificialiser, au détriment donc des territoires économes. Les grandes aires urbaines poursuivraient leur étalement, avec le risque croissant de destruction des corridors écologiques et des réservoirs de biodiversité qui les séparent encore aujourd'hui.Une définition de la notion d'artificialisation à préciserEnsuite, la notion d'artificialisation doit encore être clairement définie. Actuellement fondée sur une vision macro-spatiale, il est essentiel que cette définition, et les mesures associées pour observer les évolutions à venir, prennent en compte l'ensemble des terrains réellement artificialisés (non compris les jardins, parcs, etc…).La profession alerte également quant au glissement de la notion d' « artificialisation nette des sols » vers celle d' « artificialisation » : loin de sanctuariser des sols (naturels, forestiers, agricoles…), la sémantique d'artificialisation nette introduit un juste équilibre entre l'artificialisation de certains sols et la renaturation d'espaces artificialisés, dans l'intérêt des villes et de leurs habitants. Un système de compensation à l'échelle du territoire observé doit pouvoir être ainsi mis en place.Les propositions de l'OGE pour concilier rééquilibre des territoires et préservation de la natureActeurs majeurs de l'aménagement des territoires métropolitains et ultramarins, les géomètres-experts occupent un poste d'observation privilégié qui leur apporte une connaissance fine des enjeux locaux. C'est la raison pour laquelle l'OGE porte aujourd'hui quatre amendements dans le cadre du projet de loi Climat et Résilience :Le premier vise, animé d'une volonté de cohérence, à circonscrire la territorialisation de ces dispositions au périmètre de la loi SRU (communes dont la population est au moins égale à 3 500 habitants et qui sont comprises, au sens du recensement de la population, dans une agglomération de plus de 50 000 habitants comprenant au moins une commune de plus de 15 000 habitants).Le deuxième propose d'instaurer un moratoire de 10 ans pour les territoires vertueux, c'est-à-dire les communes dont le rythme d'artificialisation sur les dix dernières années est inférieur de 50% au rythme d'artificialisation moyen observé dans l'intercommunalité, et à défaut à l'échelle du SCOT, sur la période de référence. Au terme de ce moratoire, un bilan des résultats sera établi et les outils de poursuite de l'effort de sobriété foncière seront réinterrogés et ajustés afin de récompenser ces territoires.Le troisième défend une nécessaire contextualisation des objectifs de réduction de l'artificialisation par la voie d'une étude de densification, afin de tenir compte des besoins et des enjeux auxquels sont confrontés les territoires ruraux. Conjuguée aux différents dispositifs mis en place par le Gouvernement pour endiguer le phénomène de désertification qui frappe certaines régions (Actions Cœur de Ville, Petites Villes de Demain…), cette approche ciblée permettra d'accompagner ces territoires dans leurs projets de développement.Enfin, l'Ordre des géomètres-experts milite pour que les communes ne soient pas systématiquement obligées d'urbaniser leurs friches disponibles alors que celles-ci pourraient accueillir des espaces verts et naturels. Le Gouvernement doit faire de la dédensification des espaces urbains un enjeu majeur de ses politiques d'aménagement : il en va de leur résilience.
Il y a 4 ans et 104 jours

Atelier Starzak Strebicki : Appartement Jacko II

En Pologne, l’Atelier Starzak Strebicki a transformé un appartement des années 1950 en un logement contemporain coloré. Visite. Situé dans un immeuble datant des années 1950, l’appartement Jacko II de 55 mètres carrés résulte de la réunion de deux petits logements. Grâce à l’intervention des architectes de l’Atelier Starzak Strebicki, le nouvel espace est désormais lumineux et ouvert.L’appartement Jacko II se donne comme un espace ouvert, pop et chaleureux. Il se caractérise par un mobilier mural multifonctionnel qui définit son organisation spatiale tout en longueur. Des pièces fonctionnelles et colorées – une entrée, un salon, une cuisine, une chambre, une salle de bain – se succèdent en enfilade dans cet appartement repensé pour un couple sans enfants. La cuisine, avec ses rangements couleur pastel et son carrelage blanc, donne sur la pièce à vivre qui fait office de salon et de salle à manger. Dans la salle de bains, on retrouve cette alternance de rangements colorés et de carrelages blancs. Dans la chambre, les architectes ont conçu un système de placards très pratique et une porte coulissante permettant d’ouvrir la pièce ou de créer son intimité. En plus d’être astucieusement agencé, l’appartement, doté de six fenêtres, est baigné de lumière tout au long de la journée. L’Atelier Starzak Strebicki signe un cocon lumineux et fonctionnel. Pour en savoir plus, visitez le site de l’Atelier Starzak Strebicki. Visuels : © Danil DaneliukLa rédaction
Il y a 4 ans et 104 jours

A Lyon, Atrium Gerland, par SOHO ATLAS IN FINE

L’agence SOHO ATLAS IN FINE a réalisé à Lyon (Rhône), pour DCB INTERNATIONAL maître d’ouvrage, l’Atrium Gerland, le siège de la direction régionale Pôle Emploi. Un voile de Métal Déployé rythme les façades et assure protection solaire et intimité. La Direction Régionale de Pôle Emploi occupe ce bâtiment de 8 500 M² particulièrement bien adapté […] L’article A Lyon, Atrium Gerland, par SOHO ATLAS IN FINE est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 104 jours

A Paris, l’Ancienne-Comédie rénovée par Raf Listowski, ce n’est pas du théâtre

Raf Listowski Atelier d’architecture a livré en février 2021 la réhabilitation et transformation d’un bâtiment historique en quatre logements et deux bureaux au 14 rue de l’Ancienne-Comédie à Paris (VIe). Sur une surface totale de 1200m² (442 m² de bureaux ; 760 m² de logements), pour un montant des travaux de 3,45 M €, un nouveau […] L’article A Paris, l’Ancienne-Comédie rénovée par Raf Listowski, ce n’est pas du théâtre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 104 jours

Un nouvel éclairage signé Trilux pour le site de stockage Yves Rocher de la Villouët en Bretagne

L’objectif était de réduire la consommation d’énergie et de favoriser le bien-être des salariés. Grâce à sa large gamme de solutions et un accompagnement personnalisé, TRILUX a su apporter la réponse adaptée au cahier des charges du site. L’enseigne a opté pour 2 références TRILUX, dont Mirona Fit LED, combinées au système de gestion d’éclairage LiveLink. Pleins feux sur le projet.Une rénovation complète pour le site de stockageC’est à La Gacilly, berceau historique d’Yves Rocher, que TRILUX a entièrement rénovél’éclairage du site de stockage de la Villouët. D’une surface de 33 000 m2, le bâtimentbénéficiait d’un éclairage vieillissant et énergivore. L’objectif était de disposer d’une installation moderne économe en énergie, tout en favorisant le confort visuel et le bien-être des opérateurs.Offrant une faible consommation d’énergie pour un éclairage puissant et de haute qualité,l’armature industrielle Mirona Fit LED et la ligne lumineuse E-Line LED ont été sélectionnéespour équiper le bâtiment. Avec un efficacité énergétique élevée, une longue durée de vie, une garantie de 5 ans ainsi qu’une fabrication en Europe, les solutions TRILUX répondentparfaitement aux objectifs fixés par les équipes d’Yves Rocher.« La rénovation du site s’est faite en 3 temps. Nous avons souhaité commencer par l’une de nos tours de stockage. Un espace bénéficiant d’une lumière naturelle, mais manquant de lumière dans l’allée principale, où le personnel intervient régulièrement. Satisfaits des économies d’énergie réalisés et de la qualité de l’éclairage, nous avons décidé d’équiper un second espace l’année suivante, puis l’intégralité du site de stockage », développe Stéphane Coyac, Responsable Technique Distribution du Groupe Yves Rocher.551 armatures Mirona Fit LED ont ainsi été installées sur le site et 216 E-Line LED entre lesracks de stockage.TRILUX, un partenaire à l’écoute de chaque exigence« Nous faisons confiance à TRILUX depuis près de 8 ans, particulièrement grâce à la qualité des produits et services proposés. Pour ce projet, nous souhaitions des luminaires le plus adaptés à chacune de nos activités, avec une certaine garantie en termes de durée de vie », raconte Stéphane Coyac.Afin de répondre à la demande d’Yves Rocher, Mirona Fit LED était la solution d’éclairageidéale pour ce site de stockage. Ce luminaire facilite la mise en œuvre de projets importantset convient à de nombreuses applications d’éclairage industriel grâce à la grande diversité de ses versions et de nombreux atouts.De plus, avec une durée de vie supérieure à 50 000 heures (L85 à 50 °C), l’armature MironaFit LED répondait au critère de longévité fixé par Yves Rocher. Un produit à la fois extrêmement durable et fiable, nécessitant peu d’entretien.Passer à la technologie LED lors d’une rénovationLa rénovation avec des luminaires LED TRILUX offre de nombreux avantages par rapport aux installations d’éclairage conventionnelles. Ils assurent notamment un confort visuel et une qualité d’éclairage élevés pour les utilisateurs.« Nous sommes très satisfaits du résultat. Il était facile de combler notre premier besoin, qui était de bénéficier d’un niveau d’éclairement suffisant, mais nous aurions pu avoir un inconfort, de l’éblouissement ou une mauvaise couleur. Or, le niveau de confort est parfait », ajoute Stéphane Coyac.D’un point de vue durable et financier, la technologie LED permet de réaliser de nombreuseséconomies grâce à une efficacité énergétique élevée, une réduction de la consommationd’énergie et à l’allongement des intervalles de maintenance.« Depuis la rénovation, nous avons diminué notre consommation, liée à l’éclairage, de 53 %. Le nombre adéquat de luminaires a été installé (pas de sur-éclairage ni de sous éclairage), offrant un excellent ratio entre le niveau d’éclairement et la consommation », précise Stéphane Coyac.Parmi les points forts de Mirona Fit LED, on note une excellente efficacité énergétique pouvant atteindre 150 lm/W, couplée à une qualité d’éclairage élevée grâce à des flux lumineux de 13 000 lm, 26 000 lm et 52 000 lm, permettant de diminuer le nombre de points lumineux d’une installation.Cette efficacité énergétique réduit nettement les coûts d’exploitation par rapport à une solution d’éclairage conventionnelle, entraînant un amortissement rapide de l’investissement.« Nous souhaitons passer ce site de stockage en bas carbone pour avoir une neutralité carbone d’ici l’an prochain. Passer à l’éclairage LED, grâce à TRILUX, faisait sens », souligne Stéphane Coyac.Gestion d’éclairage LiveLink, bien-être des opérateurs et économies d’énergieEn adaptant l’éclairage en fonction des besoins, le système de gestion d’éclairage intelligentLiveLink de TRILUX contribue à réduire davantage les coûts d’exploitation de l’éclairage et àaméliorer le confort visuel.3 scénarios ont été programmés via le système LiveLink afin de s’adapter aux différents usages de l’espace : une intensité lumineuse de 200 lux lors de l’activité des opérateurs ; un flux réduit à 100 lux pendant les pauses et enfin un niveau d’éclairage minimum, le soir lors des opérations de nettoyage.« Aujourd’hui nous avons des luminaires avec une technologie qui offre des résultatsintéressants en termes d’économie d’énergie lorsque nous réduisons le niveau d’éclairement, ce qui n’était pas possible avec nos anciennes installations », développe Stéphane Coyac.Pour aller plus loin, la gestion de l’éclairage automatique se fait aussi en fonction de l’apportde lumière extérieure, grâce à l’intégration de capteurs de lumière du jour.La première tour de stockage est également équipée de capteurs qui déclenchent l’éclairageuniquement en présence des équipes et lorsque les chariots-élévateurs entrent dans les allées (éclairage "suiveur-accompagnant"). « C’est sur ce bâtiment que nous avons le plus gagné en termes d’économie d’énergie. La tour mesure 15 mètres de haut, ce qui implique un éclairage puissant. Notre ancien éclairage était en marche de façon continue pendant les heures d’activité, de 5h du matin à minuit », complète Stéphane Coyac.