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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

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Il y a 4 ans et 107 jours

Une microexposition en vitrine au pavillon de l’Arsenal, à Paris

«Studiolo», c’est le nom donné par le pavillon de l’Arsenal, le centre d'urbanisme et d'architecture de la ville de Paris, à son nouveau programme de microexpositions visibles depuis le boulevard Morland (IVe arr.), en attendant que ses portes rouvrent au public. Jusqu’au 14 mars 2021 on y découvre le projet «Ceci n’est […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 107 jours

Campagne ordinale 2021 : la liste Défense profession Architecte (DpA) prend la parole

Le second tour des élections ordinales va prendre fin le 8 mars 2021. Pour faire suite à l’entretien mené avec la liste Mouvement des Architectes publié dans le but de mobiliser l’électorat, nous donnons la parole à la liste Défense profession Architecte qui se présente également au Conseil régional de l’Ordre des architectes d’Île-de-France. La discussion a été menée avec Vanessa Fernandez, Marie-Jeanne Jouveau et Jean-François Parent candidats aux élections ordinales en...
Il y a 4 ans et 107 jours

Les différentes sortes de travaux de toiture

La toiture est une partie de la maison qu’il ne faut surtout pas négligée. Elle contribue au confort à l’intérieur de la maison, et assure même un rôle de protection. Lorsqu’elle est en mauvais état, plus de 30 % de la chaleur à l’intérieur du domicile s’échappe par ses parois. Il en va de même quand des matériaux inadaptés sont utilisés au cours de sa mise en place. En outre, des opérations de différentes natures peuvent être entreprises sur celles-ci. Justement, nous allons aborder les diverses formes que peuvent revêtir les travaux de toiture. Découvrez ! Le démoussage du toit De tous les éléments d’une habitation, le toit est le plus exposé aux agressions externes et à la pollution. Quand le revêtement vieillit ou lorsqu’il manque d’entretien, il prend une couleur verdâtre, grise ou noire. En effet, cela est dû à l’accumulation de résidus et au développement de champignons parasitaires (mousses, lichens, algues) à sa surface. Pour que la toiture retrouve son éclat, il faudra la nettoyer. Le démoussage est un terme utilisé pour désigner son nettoyage en général. Cela implique l’enlèvement des souillures qui la recouvrent. Pour ce faire, les professionnels se servent le plus souvent d’un nettoyeur à haute pression. L’utilisation d’un tel appareil n’est cependant possible que sur les toitures en bon état. La pose de nouveaux revêtements de toit Les tuiles et les ardoises s’usent avec le temps. Des fissures apparaissent et elles permettent les infiltrations d’eau. Pour redonner un coup de jeune à votre toit, la pose d’une nouvelle couverture s’impose. Toutefois, il faut remarquer que certaines démarches administratives sont requises selon les cas. Ainsi, si les travaux impliquent le remplacement de la couleur ou du modèle des tuiles, une déclaration préalable des travaux devra être déposée auprès de la mairie. Pensez donc à vous renseigner sur la démarche à accomplir avant d’entamer la moindre chose. A titre d’information, la rénovation de la toiture peut être complète ou partielle. En outre, il est conseillé de choisir un matériau qui sera adapté à votre type de charpente. En conséquence, il faut s’assurer que cette dernière est capable de supporter la charge des nouveaux revêtements. Quant à leur mise en place, l’idéal est de faire appel à une entreprise de couverture comme https://www.entreprise-couverture-22.fr/ . La mise en place des isolants Une toiture mal isolée ou non isolée occasionne des pertes énergétiques considérables. Il est donc préconisé d’investir dans l’installation des isolants. Cela permet d’éviter la surconsommation d’énergie. De tels travaux ont également une grande influence sur le confort à l’intérieur de la maison. Pour la pose des isolants, les couvreurs professionnels ont recours à deux techniques. Ils procèdent soit à une isolation thermique par l’intérieur (ITE), soit à une isolation thermique par l’extérieur (ITE). Cette deuxième méthode est la plus prisée du fait de son efficacité. Les travaux de gouttières Nous avons tendance à l’oublier, mais les gouttières font partie intégrante de la toiture. Elles constituent même des pièces maitresses, car elles participent à la protection de l’habitat. En effet, les eaux de pluie qui tombent sur la toiture finissent dans les gouttières. Elles les reçoivent et les acheminent le plus loin possible de la façade et des fondations. En l’absence des gouttières, la demeure subirait donc de sérieux problèmes d’infiltration d’eau et d’humidité. Toutefois, il ne suffit pas de les installer. Au même titre que la toiture, les gouttières nécessitent un entretien régulier.
Il y a 4 ans et 107 jours

Yoonseux Architectes : Groupe scolaire Élisabeth Badinter

L’agence d’architecture Yoonseux Architectes, fondée par le duo franco-coréen Kyunglan Yoon et Philippe Seux, vient de livrer le Groupe Scolaire Élisabeth Badinter, une intervention qui attire l’attention et contribue au renouveau de friches industrielles d’Asnières-sur-Seine (92). Implanté dans la ZAC Asnières - Bords de Seine sur d'anciens sites industriels, dans le secteur des Grésillons, le Groupe scolaire Élisabeth Badinter est bâtiment formant un socle surélevé signé B. Ropa (2013). À la demande de la Ville d’Asnières-sur-Seine, les architectes ont surélevé l’édifice, afin de mettre en évidence l’environnement bâti, le gabarit des lignes de toitures et l’architecture de l’établissement.La surélévation se développe en strates horizontales, qui s’accumulent verticalement et se décalent à chaque niveau vers l’Est. Les dix classes, l’atelier, la bibliothèque centre documentaire et les locaux annexes s’étagent désormais en terrasses successives du premier au troisième niveau. Le projet se déploie en trois strates horizontales : une bande de classes maternelles (R+1), une bande de classes élémentaires (R+2), ainsi qu’un un atelier lumineux et ouvert se prolongeant sur une terrasse extérieure (R+3). Subtilement conçue, la surélévation laisse un recul important à l’Ouest, et crée ainsi un front horizontal de constructions en balcon les unes sur les autres. Destiné à accompagner le renouveau du quartier des Grésillons, la surélévation du Groupe scolaire Élisabeth Badinter se démarque par la simplicité de ses volumes, le vocabulaire sophistiqué de ses façades et l’usage singulier de ses matériaux, ainsi que par ses espaces modulables. Le volume de l'atelier et l'échelle des volumes soulevés, par exemple, confèrent au projet sa forte identité. Volume flottant au-dessus du socle initial, la nouvelle architecture de l’établissement multiplie les expérimentations. Les matériaux, choisis selon la typologie des espaces, définissent à la fois le système fonctionnel et la contemporanéité de l’architecture, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur de l’équipement. La palissade de béton percée et l’enveloppe en cuivre prennent des couleurs changeantes, tandis que les classes, très lumineuses, s’habillent de bois clair. Avec ce beau projet de surélévation, l’agence Yoonseux Architectes propose un équipement scolaire contemporain, chaleureux et ouvert, adapté aux nouvelles pratiques pédagogiques. Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence Yoonseux Architectes. Visuels : © Yoonseux ArchitectesLa rédaction
Il y a 4 ans et 107 jours

Le logement social et la VEFA : deux outils indispensables dans la lutte contre la crise du logement

Cette étude intitulée « Construire Plus de logements sociaux grâce à la VEFA : une solution pragmatique à la Crise du Logement » permet de préciser la forme que prend la crise majeure du logement que subit la France depuis des décennies :La crise du logement, multiforme, est liée à la profonde mutation de la demande depuis 50 ans : développement de la décohabitation (baisse du nombre de personnes par foyers) qui a absorbé 60% de la construction, concentration des emplois et donc des besoins de logements sur certaines zones, recherche de davantage de confort qui attire la population vers certaines régions et des logements plus spacieux.L'offre de logement ne se développe pas assez vite pour s'adapter à la demande notamment dans les zones tendues.Les prix du logement (+ 114% de 2000 à 2019) s'élèvent plus vite que le revenu des ménages (+ 51 % de 2000 à 219).L'étude montre que pour faire face à ces crises : Le développement de l'habitat social est indispensable car il permet aux ménages modestes de faire face à la hausse des coûts avec des prix jusqu'à 3,7 fois inférieurs dans les zones tendues, mais le niveau de construction des HLM est insuffisant et pas assez concentré dans les zones avec la plus forte demande ;Le recours à la VEFA, parfois contesté par certains acteurs du logement, est un outil précieux pour construire des HLM en zone tendue et favoriser la mixité sociale. En 2019, 54% des logements sociaux ont été construits en VEFA, contre 3% seulement en 2007 .A terrain et coûts de construction identiques, la VEFA est plus compétitive que la maîtrise d'ouvrage directe, avec des prix de revient jusqu'à 6,1% inférieurs Le plafonnement des prix de la VEFA pratiqué par certaines collectivités est contre-productif et limite la part des logements sociaux dans les programmes.« Cette étude montre avec une rigueur impressionnante l'étendue et la gravité de la crise du logement que traverse la société française depuis des décennies. Elle montre aussi à quel point le logement social est indispensable pour répondre à l'étendue des besoins de la population de notre pays. Plus que jamais, la mobilisation pour le logement pour tous passe par l'utilisation de tous les outils disponibles et notamment la VEFA qui est un instrument souple et efficace pour développer des programmes de logements adaptés aux spécificités de chaque agglomération » déclare Hervé Legros, président du groupe ALILA.« Le succès de la VEFA sociale s'explique aisément : il s'agit du levier idéal pour construire plus, plus dense, aux meilleurs endroits, à coûts maîtrisés et avec plus de mixité »Nicolas Bouzou, directeur du cabinet AsterèsPrincipaux chiffresSynthèse de l'étude Les mutations de la société entrainent une crise multiforme du logementL’étude revient sur les mutations qui traversent la société depuis 50 ans et qui provoquent une évolution structurelle de la demande :Certains territoires attractifs, comme les métropoles dynamiques en termes d’emploi et leurs périphéries connaissent un accroissement de la demande et des besoins de logements neufs. A l’opposé, certains territoires se caractérisent par une baisse globale de la demande, entraînant une hausse du taux de logements vacants parmi le parc ancien.La hausse de la demande de logements est structurellement supérieure à celle de la population, notamment à cause du phénomène de décohabitation, c’est-à-dire la baisse du nombre moyen de personnes vivant sous le même toit (à cause du vieillissement, de la montée du célibat, des séparations), qui a absorbé 60% de la construction de logements depuis 1968.Les ménages recherchent un plus grand confort, cherchant à s’installer dans les régions de l’arc atlantique et méditerranéen, et ayant des exigences plus hautes en matière de qualité de logement, avec un développement de l’habitat individuel et la hausse des surfaces habitables. Or, plus que d’autres pays, la France se caractérise par la faible réaction de l’offre à la demande : lorsque celle-ci croît de 1,0%, le nombre de logements nouveaux n’augmente que de 0,36% (contre 2% aux États-Unis, et + de 1% en Suède), en raison notamment de la pénurie de foncier disponible dans les zones les plus tendues, et de la concurrence avec l’immobilier tertiaire ou les résidences secondaires. En conséquence, le prix de l’immobilier croit plus rapidement que le revenu des ménages.L’habitat social, qui constitue une réponse pertinente a cette crise, éprouve des difficultés a ajuster son offre en zone tendueLe mouvement de l’habitat social constitue une réponse pertinente à la crise du logement et à la hausse des prix qu’elle entraîne. Il permet aux ménages modestes de se loger pour des prix jusqu’à 3,7 fois inférieurs au prix de marché dans les zones tendues, mais aussi d’accéder à la propriété grâce aux 13 000 cessions par an.Mais les nouveaux logements sociaux sont trop peu construits là où se situent les besoins :53% des mises en service de logements sociaux neufs se trouvent dans les zones tendues, alors que 73% de la demande s’y concentre. En conséquence, les délais d’attente s’allongent et les ménages les plus modestes sont exclus des zones les plus recherchées.Face à cette difficulté, la VEFA est un levier efficace pour construire plus vite et favoriser la mixité socialeLa VEFA (Vente par des promoteurs privés de logements en l’état futur d’achèvement) est désormais le principal mode de production d’habitat social, puisqu’en2019, ce mode de maîtrise d’ouvrage représente 54% des constructions, contre 3% seulement en 2007.La VEFA HLMcentrée sur le logement social, permet de construire plus rapidement, grâce à des procédures plus légères. Les économies réalisées permettent d’acquérir des terrains plus recherchés et plus chers.En parallèle, les promoteurs privés peuvent développer du logement social au sein de grands projets d’aménagement comportant à la fois commerces et équipements, logements libres et logements sociaux.C’est le principe de la VEFA diffuse, qui apparaît comme le meilleur outil pour permettre aux collectivités locales d’atteindre l’objectif de mixité sociale fixé par la loi, Solidarité et renouvellement urbain (SRU) qui impose un taux minimal de 25% de logements sociaux. Hors charge foncière, le cout de revient de la VEFA est moins élevé que celui de la maitrise d’ouvrage directeEn moyenne nationale, les prix de la VEFA sont supérieurs à ceux de la MOD (Maîtrise d’Ouvrage Directe) mais cela s’explique uniquement par le coût du foncier. Les promoteurs privés construisent dans des régions et des endroits plus recherchés, avec un foncier plus cher pour maximiser le bénéfice de la vente. A l’inverse, les bailleurs sociaux privilégient des terrains moins onéreux, le plus souvent cédés par des collectivités locales ou des établissements publicsA terrain et coût de construction identiques, la VEFA est plus compétitive que la maîtrise d’ouvrage directe, avec des prix de revient inférieurs de 3,6% à 6,1% selon les zones. Cette différence de prix s’explique par deux facteurs principaux : Les conditions de financement, plus favorables pour les promoteurs privés puisque leurs projets sont rapidement amortis car destinés à la vente à un tiers dès la construction ;les procédures réglementaires que suit la MOD qui affectent les coûts et la rapidité d’exécution (un concours d’architecte prend ainsi 6 à 8 mois).La différence de coût entre VEFA et MOD permet au promoteur d’appliquer sa marge commerciale en conséquence, sans pour autant devenir plus cher que les bailleurs sociaux. Le plafonnement des prix de la VEFA HLM risque de conduire a la baisse de l’offre socialeL’étude montre également que la pratique par les collectivités de prix plafonds de la VEFA HLM, dans l’espoir de diminuer les prix du marché, risque d’aboutir à une diminution du volume de l’offre sociale.En effet, les promoteurs qui subissent ce plafonnement ne sont pas responsables de l’évolution de la hausse des prix du marché : les coûts du terrain, du bâti, et des prix de vente du libre s’imposent à eux. Les prix fonciers connaissent une hausse constante, même en cas de ralentissement de la conjoncture.Leur niveau de marge ne peut que faiblement être révisé à la baisse puisque les banques refusent d’accorder leur financement à des projets qui ne seraient pas assez rentables. La seule conséquence rationnelle d’un plafonnement des prix de la VEFA HLM serait une diminution de la proportion des logements sociaux que les promoteurs pourraient construire dans le cadre d’un projet mixte.Le modèle théorique construit par Asterès chiffre l’hypothèse de diminution de la proportion de logements sociaux pour un projet donné.En appliquant ce modèle à un échantillon de huit collectivités territoriales situées en zone tendue et qui ont effectivement imposé des prix plafonds inférieurs de 55% en moyenne à ceux du libre, Asterès chiffre à 27 points la baisse de proportion envisageable du nombre de logements sociaux (de 50 à 23%), pour des programmes comportant initialement autant de libre que de social.
Il y a 4 ans et 107 jours

Planet SN – Pour rendre les portes coulissantes tout simplement étanches

Les joints à abaissement au niveau des portes intérieures augmentent sensiblement le confort de l'habitat privé. En effet, si l'interstice entre le vantail de porte et le sol est comblé par un joint à abaissement, la protection phonique, l'atmosphère intérieure et la convivialité s'améliorent comme par magie.
Il y a 4 ans et 107 jours

A Paris, Manifestement, un nouvel esthétisme innovant et durable

Question « esthétique », la mairie de Paris se pose là. De fait, jamais l’usage des palettes et autres éléments de récup’ – pardon de réemploi – n’a depuis la Biennale de Venise en 2018  trouvé plus éclatante démonstration que dans la capitale. Explications. Dans un entretien accordé au magazine Grand Paris Développement (N° 35, novembre 2020), […] L’article A Paris, Manifestement, un nouvel esthétisme innovant et durable est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 107 jours

La maison individuelle, l’indépassable modèle hasardeux

Quand la bamboche était possible, dans le monde d’avant, il était fréquent que le logement, la qualité de vie des quartiers, les prix de l’immobilier s’invitent dans les conversations. Aujourd’hui c’est encore et toujours le cas. Les gens comparent les confinements en fonction de leur condition de vie, donc de leur logement. Bref, confiné ou […] L’article La maison individuelle, l’indépassable modèle hasardeux est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 107 jours

Epiphragme et glossaire à la mode

C’est un des effets de l’évolution urbaine de n’être possible, réglementation thermique après réglementation thermique, que grâce à l’apport d’inflexions administratives. De la génétique comportementale des fonctionnaires ? Les stratégies du vivant pour lutter contre les évolutions, notamment les changements climatiques, sont nombreuses et variées selon les espèces. Plus ou moins rapides, selon la sophistication de […] L’article Epiphragme et glossaire à la mode est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 107 jours

Les destins contrariés de Michel Guy et Françoise Giroud à la Culture

Avec Valery Giscard d’Estaing, la culture descend d’un cran. Malraux était ministre d’État, à ce titre numéro 2 du Gouvernement. Sous Giscard, Michel Guy, horticulteur de formation, et Françoise Giroud ne seront que secrétaires d’État. Place aux duettistes de la rue de Valois, qui tiendront 26 mois pour le premier, sept mois seulement pour la […] L’article Les destins contrariés de Michel Guy et Françoise Giroud à la Culture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 107 jours

International Writer’s Day à la fondation Jan Michalski

À chacun son « jour international ». Hier, mercredi 3 mars, était célébré le « International Writers' Day ...En savoir plus Cet article International Writer’s Day à la fondation Jan Michalski est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 107 jours

Entre l’espace et le temps | Impressions optiques

L’architecture, sous toutes ses formes, est essentiellement un artefact, c’est-à-dire une construction artificielle. Elle participe à la fois aux sphères temporelle et spatiale et, en conséquence, procède de séquences embarquées qui fusionnent le temps et l’espace. Chroniques photos d’Erieta Attali. Le but de l’investigation photographique est d’explorer les relations entre le temps et l’espace. Le […] L’article Entre l’espace et le temps | Impressions optiques est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 107 jours

Bilan et perspectives FEEBAT : un engagement affirmé au service de la formation à la rénovation énergétique

1 – Objectif formations initialesLes importants travaux conduits en 2020 vont déboucher en 2021 sur la conception de parcours de formation de grande envergure, destinés aux enseignants des lycées, formateurs des CFA et enseignants-chercheurs des ENSAP*.Les enjeux de la formation initiale à la rénovation énergétique, toutes voies confondues (scolaire, apprentissage, etc.), sont cruciaux. Bien former les enseignants et formateurs et leur donner tous les moyens de transmettre, à leur tour, aux futurs professionnels du bâtiment et de l'architecture sont des objectifs majeurs pour FEEBAT. Le défi est de taille car il s'agit de créer des formations ex nihilo. Depuis 2018, FEEBAT travaille à l'élaboration de ces nouveaux programmes de formation. Deux années de travaux collégiaux, menés avec des experts métiers, pédagogiques, techniques, les ministères et partenaires concernés, etc. ont permis de lancer deux consultations. En ligne de mire : la construction en 2021 des premiers dispositifs de formation pour les enseignants des lycées, formateurs des CFA et enseignants-chercheurs des ENSAP ; la conception des ressources pédagogiques qu'ils pourront utiliser auprès de leurs élèves, apprentis ou étudiants. À titre d'exemple :Plus de 140 formations concernées par FEEBAT ont été identifiées pour les lycées et CFA. Un groupe de travail a réfléchi à la prise en compte de la rénovation énergétique dans les examens des niveaux CAP, Bac professionnel et BTS ;Quant à l'enseignement de l'architecture, la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot-Narquin, déclarait il y a quelques semaines qu'il devait s'adapter, notamment aux implications de la transition énergétique**. Le programme FEEBAT répond parfaitement à ces attentes. Les formations, qui intègrent l'écosystème des ENSAP, seront déterminantes pour que les futurs architectes conçoivent ou réhabilitent des édifices intégrant les exigences de la transition énergétique.2 – De nouveaux modules innovants pour les professionnels en activité2020 aura été une année de fortes innovations pour la formation à la rénovation énergétique, avec AUDIT Reno pour les entreprises et les artisans, et DynaMOEpour les architectes et maîtres d'œuvre. Conçus dans un souci de qualité pédagogique et de modalités adaptées au contexte actuel, ces modules sont disponibles sous plusieurs formats, mixant présentiel et distanciel ou 100% distanciel.« Toutes les modalités (classes virtuelles, jeux de rôle, quizz, travail individuel et débriefing collectif, échanges entre apprenants et formateur, etc.) sont mobilisées pour favoriser une pédagogie active, adaptée au distanciel » selon Catherine Gillet, pilote de FEEBAT. Organismes de formation et formateurs ont par ailleurs bénéficié d'un accompagnement renforcé : mise à disposition de ressources pédagogiques, sessions d'appropriation, jurys de formateurs, etc. et continuent d'être animés par le programme FEEBAT. Pour 2021, FEEBAT travaille sur d'autres modules de ce type parmi lesquels des formations pour les entreprises et artisans en Outre-Mer et un module pour les architectes portant sur l'audit énergétique en copropriété, là où l'audit n'est pas obligatoire.3 – L'atout FEEBAT : la prise en charge des formationsMalgré le contexte sanitaire, ce sont plus de 3 000 stagiaires (chiffre non définitif) qui auront vu leur formation prise en charge en 2020 par FEEBAT dans le cadre du dispositif des CEE. Depuis 2020, en partenariat avec Qualit’EnR, FEEBAT accompagne aussi financièrement la formation des professionnels aux Énergies Renouvelables thermiques (EnR). Alors qu’aujourd’hui, seul un stagiaire sur cinq bénéficie du co-financement possible de sa formation par le programme FEEBAT, cette nouvelle incitation pour les EnR vient renforcer celles déjà en vigueur pour les modules FEEBAT hors EnR. La prise en charge, complémentaire aux conditions en vigueur au sein des OPCO et FAF, s’élève ainsi à : 30% pour les professionnels cotisant à Constructys et au FAFCEA ;50% pour les professionnels libéraux cotisant au FIF PL.En savoir plus : https://www.feebat.org/aides/financer-ma-formation/* École Nationale Supérieure d’Architecture et de Paysage** Le 15 janvier 2021, la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot-Narquin, a indiqué que « l’enseignement de l’architecture dans sa formation initiale doit également s’adapter aux évolutions de la société et aux besoins de la profession ». Les architectes doivent « être encore mieux préparés à l’exercice concret de leur métier en particulier pour ce qui relève des implications de la transition énergétique. L’intégration de ces nouveaux enseignements devra bien sûr être pensé dans une vision globale de l’évolution de la pédagogie en école d’architecture ».
Il y a 4 ans et 107 jours

Gamme O’ d’Alkern pour voiries drainantes

Alkern présente la gamme O’ pour voiries drainantes avec les dalles d’infiltration. [©Alkern] Les solutions en béton d’Alkern pour perméabiliser les espaces publics. Qu’ils soient dédiés au trafic de véhicules, au stationnement ou à un usage piétonnier, sont regroupées au sein de sa gamme O’, dont les dalles d’infiltration (Hydrodalle et Betogreen). Grâce aux alvéoles qui les composent, les dalles d’infiltration en béton offrent des zones perméables, drainantes, végétalisables. Et donc aptes à lutter contre les îlots de chaleur.  Hydrodalle et Betogreen, 2 dalles d’infiltration Utilisée en module complet (50 cm x 25 cm x 13 cm) ou en demi-dalle (25 cm x 25 cm x 13 cm), la dalle Hydrodalle stabilise tous les espaces urbains. Tout en affichant un coefficient de perméabilité performant (K > 65 000 l/s/ha en remplissage par gravillons). Manuportable et facile à mettre en œuvre, cette dalle s’adapte à tous les projets paysagers. Puisque ses alvéoles peuvent être engazonnées ou emplis de gravillons. En plus de sa fonction stabilisante, Hydrodalle assure une perméabilité importante (35,8 % de vide) et permet de créer une délimitation aisée des espaces en mixant les matières.  Quant à la dalle Betogreen, elle est idéale pour stabiliser et végétaliser des zones carrossables. Tout en leur conservant un haut coefficient de perméabilité de K > 1 530 l/s/ha, lorsque la dalle est végétalisée. Ou de K > 41 800 l/s/ha, lorsque les alvéoles sont remplies de gravillons. Grises et déclinées en deux versions Betogreen O et Betogreen C, les dalles Betogreen sont faciles à entretenir.
Il y a 4 ans et 107 jours

Immobilière 3F : 87 logements dans la Zone d’Aménagement Concerté de l’écoquartier du Louvres, livrés en janvier 2021

Un lot de 87 nouveaux logements est disponible depuis janvier 2021 dans la Zone d’Aménagement Concerté de l’écoquartier du Louvres.
Il y a 4 ans et 107 jours

Les architectes acteurs impuissants et contemplateurs enchaînés ?

De quoi l’intelligence artificielle dans le bâtiment est-elle le nom ? Tom Benoît, philosophe* à Marseille, s’est penché, dans le cadre d’une commande, sur l’intelligence artificielle dans l’architecture. Tribune. Rivalités des intelligences et incapacités des aptitudes – architectes, artistes, habitants, spectateurs ; acteurs devenus impuissants et contemplateurs enchaînés. L’intelligence artificielle n’est vraisemblablement pas subordonnée au pouvoir […] L’article Les architectes acteurs impuissants et contemplateurs enchaînés ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 108 jours

Cupa Pizarras, l’unique entreprise de couverture à atteindre la neutralité carbone vise une nouvelle réduction de ses émissions en 2021

Sa démarche de lutte contre le réchauffement climatique a été reconnue par l’organisation internationale Carbon Trust, un partenaire des acteurs économiques et des gouvernements, qui s’appuie sur une équipe de plus de 200 experts. Le groupe espagnol, implanté à Rennes depuis 30 ans, compense ses émissions à travers des projets de reforestation et vise une nouvelle réduction globale de 5% en 2021. En parallèle, il s’emploie à développer de nouveaux usages de l’ardoise en capitalisant sur la capacité du schiste à capter la chaleur pour la transformer en énergie propre.L’ardoise, le matériau de couverture le plus écologique du marchéFendue à la main dans les carrières espagnoles, l’ardoise naturelle Cupa Pizarras est un matériau totalement inerte : elle ne subit aucune modification chimique durant sa transformation. Elle se distingue également par sa longévité de 100 ans qui en fait le matériau de couverture le plus durable.Par ailleurs, selon des données publiées depuis 2014 et actualisées tous les ans par l’INIES, la base nationale de référence sur les caractéristiques environnementales et sanitaires pour le bâtiment, l’ardoise s’impose comme la solution la plus écologique en comparaison des fibres-ciment, du zinc et de la terre cuite, sur des critères liés aux consommations d’eau, d’énergie et de pollution atmosphérique.Pour maximiser le potentiel de son ardoise, Cupa Pizarras a mis en place une politique qui vise à limiter l’impact de la production sur l’environnement : recyclage de l’eau grâce à des circuits fermés, réhabilitation des carrières en préservant la terre végétale et en introduisant des graines de plantes locales pour réduire l’incidence visuelle, transport maritime pour acheminer 60% des commandes vers les distributeurs...Erwan Galard, Responsable marketing chez Cupa Pizarras explique : “Nous sommes fiers de pouvoir cultiver la dimension traditionnelle de l’ardoise : un matériau naturel, écologique et durable. Toute notre politique environnementale a été pensée comme un écrin pour mettre en valeur notre produit. Ce dernier vient de la terre et si nous voulons préserver notre savoir-faire, nous devons trouver un équilibre entre production et protection des ressources. Si nous avons d’ores et déjà atteint la neutralité carbone, nous souhaitons poursuivre l’effort. C’est pourquoi nous nous sommes engagés sur une nouvelle réduction de 5% de nos émissions en 2021. ”De nouveaux usages de l’ardoise qui permettent d’accompagner l’architecture versl’efficacité énergétiqueChaque année, Cupa Pizarras extrait 190 000 tonnes de schiste de ses 16 carrières implantées en Espagne. Le leader mondial exporte sa production vers 60 pays dont la France, le premier marché international. Au-delà de son utilisation traditionnelle en toiture, l’ardoise Cupa Pizarras est aujourd’hui tournée vers l’efficacité énergétique.A travers ses systèmes de façade ventilée Cupaclad, l’ardoisier s’adapte aux exigences de l’isolation thermique par l’extérieur (ITE). La fixation des ardoises (de manière visible ou non) sur des profilés horizontaux permet de créer une lame d’air entre le mur porteur et le revêtement. L’ « effet cheminée » qui se crée dans cet espace intermédiaire garantit le confort thermique des bâtiments : réfrigération en été et contrôle de la dispersion thermique en hiver.Par ailleurs, depuis 2014, ses ingénieurs développent un panneau solaire thermique en ardoise qui dispose de l’Avis Technique du CSTB (Centre scientifique et technique du bâtiment) et permet d’assurer la production d’eau chaude sanitaire. En France, ce sont plus d’une centaine de toitures qui sont aujourd’hui équipées de ce système également disponible dans une version dédiée à la terrasse.
Il y a 4 ans et 108 jours

En banlieue de Paris, un "joyau" de l'habitat social au coeur d'une polémique

Emblème des cités-jardins, imaginées pour loger les ouvriers de Paris, la Butte Rouge à Châtenay-Malabry fait l'objet d'un vaste plan contesté par des urbanistes, qui souhaitent préserver ce "joyau de l'habitat social".Les petits immeubles couleurs pastel édifiés dans un style inspiré du Bauhaus dans les années 1930 et entourés de jardins renvoient l'image de cité idéale de ses créateurs, les architectes Joseph Bassompierre, Paul Sirvin, Paul de Rutté et André Arfvidson.Une rénovation controversée et insuffisante avait été menée en 1985, et la cité s'est abîmée.La municipalité LR de Chatenay-Malabry dirigée par Carl Ségaud s'est félicitée de "l'avis favorable sans réserve" vendredi du commissaire enquêteur à son plan, à l'issue d'une enquête publique qui a collecté quelque 1.600 avis, du 10 décembre au 11 janvier."Gentrification"Le bras de fer est aussi socio-économique, entre majorité de droite et opposition de gauche qui redoute la "gentrification" du quartier."C'est un ensemble d'habitat social parmi les plus exceptionnels de France, modèle au niveau international. Il n'est pas imaginable de la voir disparaître sous les pelleteuses de la spéculation immobilière", écrivent, dans une lettre ouverte à la ministre de la Culture Roselyne Bachelot, de grands architectes dont Jean Nouvel et Christian de Portzamparc.Le quartier est actuellement composé à 100% de logements sociaux, avec des loyers très modestes.Mme Bachelot, qui exige son classement comme "site patrimonial et remarquable", assure vouloir préserver "un ensemble urbanistique de tout premier plan". Elle a reçu le 18 février le maire Carl Segaud, accompagné de Georges Siffredi, son prédécesseur, qui avait lancé ce projet de "Cité-jardin du 21e siècle" et qui est aujourd'hui président du Conseil des Hauts-de-Seine.Carl Ségaud s'est engagé devant elle à lancer ce classement au prochain conseil municipal. C'est après ce classement --cela peut prendre des mois-- que pourra être engagé un "plan de valorisation de l'architecture et du patrimoine" (PVAP) permettant d'assurer la protection du site, assure-t-on rue de Valois."On va construire ensemble un document protecteur", ajoute-t-on, soulignant la vigilance des autorités publiques.Des jardinets"Les habitants de la Cité Jardin qui se sont exprimés dans leur très grande majorité sont favorables au projet", a affirmé le commissaire-enquêteur. Car la Butte Rouge "est passée du projet utopiste originel à un état de +cité+ de banlieue" dégradée, a-t-il jugé, rejoignant la mairie, qui pointe des problèmes d'insalubrité.La rénovation est "attendue avec impatience par les 9.900 habitants", assure le maire, qui dit "respecter son engagement pris lors de la campagne électorale".Sur les 1.606 avis déposés pendant l'enquête publique, près de 74%, pour la plupart défavorables, "émanaient d'associations et personnes extérieures", selon la mairie."A quoi sert cette enquête publique?", s'est insurgée l'Association Châtenay Patrimoine Environnement, selon laquelle seule une minorité d'habitants ont rendu leur avis. Selon elle, le projet ne laissera en état que 15% de la Butte historique, chassant les personnes à faible revenu."Le pourcentage de 15% ne repose sur rien", réagit le maire auprès de l'AFP. "43% des immeubles seront conservés pour leur caractéristiques remarquables, 18% seront démolis et reconstruits, et pour 39%, le mode de rénovation sera déterminé en fonction de divers critères comme le bilan carbone"."C'est se payer de mots, on fait disparaître tous les petits jardinets, et les bâtiments sont traités comme de la matière première", rétorque Julien Lacaze de Sites et Monuments.
Il y a 4 ans et 108 jours

CANAL ARCHITECTURE - Portrait

Les frères Daniel et Patrick Rubin fondent l'atelier Canal en 1982 et l'installent dans un immeuble industriel qu'ils ont réhabilité rue du faubourg Saint-Antoine à Paris. Ils investissent ensuite une maison du XVIIe siècle rue Elzévir, qui devient un lieu de rencontres entre architectes, graphistes, designers, étudiants autour de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 108 jours

Digital Timesheets : le pointage digital pour le BTP par Traxxeo

Efficacité au bureau, facilité sur les chantiersLorsque vous choisissez une solution digitale, il est important de penser utilisateurs. Dans le BTP, il est essentiel que l'application soit à la fois performante, et bien adoptée sur le terrain. L'application mobile Digital Timesheets répond à la fois au besoin des travailleurs dans les bureaux et sur les chantiers.Voici une liste d'éléments clés pour une application de pointage sur chantier :Disponible sur tous les appareils & systèmes d'exploitation (iOS, Android, Windows)Fonctionnement hors-ligne Facile d'utilisation sur le terrainSuivi en temps réel depuis le bureauVues multiples : chef de chantier, compagnon, conducteur de travaux, RH, etc.Précision des données : aide à l'encodage, ergonomie, saisie unique, processus de validation, alertes, etc.Règles et paramétrages personnalisables : codes chantiers, statuts travailleurs, etc.Intégration et communication bidirectionnelle : ERP, logiciel paie, SIRH, etc.Ce qu'ils en disentUne des forces de la solution Digital Timesheets de Traxxeo, c'est sa grande adoption par les travailleurs. « La tablette ? Vous ne me l'enlèverez pas ! » assure Eric Le Naon, conducteur de chantier chez Eiffage Perrard. Dans les bureaux, Enza Da Silva, la responsable RH, témoigne de l'efficacité du nouveau processus de pointage : « Le logiciel nous permet de voir - en temps réel - toutes les anomalies ». Pourquoi une telle adoption ? La solution Digital Timesheets a été développée pour répondre aux nombreuses problématiques vécues sur le terrain et au siège social :Fini les tâches administratives chronophages sur le terrain,Fini les erreurs et les multiples ré-encodages pour les ressources humaines,Accès à une vue d'ensemble de la répartition des coûts par poste et par personne, pour la finance.Sa facilité de mise en œuvre en fait une solution digitale vite adoptée et un investissement rapidement rentabilisé.Vous souhaitez passer au pointage digital ? Contactez Traxxeo au +33 7 87 18 72 59
Il y a 4 ans et 108 jours

Appel à innovation « matériaux biosourcés »

Après un premier brief sur la filière béton ainsi qu’un book innovation, le hub des prescripteurs bas carbone veut décrypter la filière des matériaux biosourcés sous l’angle de la neutralité…Cet article Appel à innovation « matériaux biosourcés » est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 108 jours

L’Ademe préside le Club EnR

Le Club EnR, est un réseau qui rassemble 25 agences nationales de maîtrise de l’énergie, chargées de programmes nationaux de recherche, de développement, de démonstration ou de diffusion dans les…Cet article L’Ademe préside le Club EnR est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 108 jours

La délicatesse de l'hospitalité, 30 habitation de transition à Stains par OBOH

«Studiolo», c’est le nom donné par le pavillon de l’Arsenal, le centre d'urbanisme et d'architecture de la ville de Paris, à son nouveau programme de microexpositions visibles depuis le boulevard Morland (IVe arr.), en attendant que ses portes rouvrent au public. Jusqu’au 14 mars 2021 on y découvre le projet «Ceci n’est […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 108 jours

A Lyon, laboratoires et bureaux pour l’ANSES & ANSM, signés Pargade

Ce projet de 9 700 m² (SDO) et 75 places de parking au sous-sol (estimatif travaux : 24.8M€ HT) concerne le regroupement des agences de l’ANSES Lyon, de l’ANSM Lyon et de l’ANSM St-Denis au sein d’un équipement neuf. L’ouvrage proposé par Jean-Philippe Pargade Architectes (mandataire) et Moon Safari (associé) entend exprimer par son architecture […] L’article A Lyon, laboratoires et bureaux pour l’ANSES & ANSM, signés Pargade est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 108 jours

A Marseille, la lutte contre l'habitat indigne au ralenti

"On a l'impression d'avoir perdu deux ans", regrette Emmanuel Patris, du Collectif du 5 Novembre, né après la catastrophe survenue dans le quartier de Noailles, en plein coeur populaire de Marseille.L'ampleur de l'habitat insalubre dans la deuxième ville de France avait été révélée en 2015 par le rapport Nicol. Qualifié de "fumisterie" par l'ex-maire LR de Marseille Jean-Claude Gaudin, il recensait 40.000 taudis dans la deuxième ville de France, soit 100.000 personnes concernées sur 860.000 habitants.Et Florent Houdmon, de la Fondation Abbé Pierre à Marseille, de sortir sa calculette. Il y a eu 5.000 évacués et relogés, à la suite de dizaines d'arrêtés de péril pris dans les mois ayant suivi le choc de la rue d'Aubagne: "Donc il y a encore 95.000 personnes dans des logements insalubres...".De fait, rue d'Aubagne, tout semble figé. Du côté des numéros impairs, au-delà du grand vide laissé par les 63 et 65, les immeubles allant jusqu'au 83 sont toujours inaccessibles. L'Etablissement public foncier a commencé à les racheter mais seuls les trois quarts des logements ont été acquis pour l'instant, explique Jean-Philippe D'Issernio, délégué régional de l'Anah (Agence nationale de l'habitat) et de l'Anru (Agence nationale pour la rénovation urbaine)."Ca pourrait prendre des années", craint Mael Camberlein, ex-propriétaire dans la rue d'Aubagne, dont l'appartement a disparu dans le drame.La situation semble la même dans tout Noailles et au-delà même si, en coulisses, les dossiers avancent."L'horreur absolue"Sur les 600 millions d'euros annoncés contre l'habitat indigne par la présidente LR de la métropole Aix-Marseille-Provence, Martine Vassal, le 28 novembre 2018, plus d'un tiers viennent de l'Etat, via notamment l'Anah qui promet 240 millions d'euros sur 10 ans pour des travaux de réhabilitation d'urgence.Deux ans plus tard, les chantiers sont presque finalisés pour 24 copropriétés, soit environ 300 logements, pour 5,9 millions d'euros, explique M. D'Issernio. "Bien sûr, on aimerait aller plus vite mais on ne peut pas faire n'importe quoi avec l'argent public, un certain formalisme est incontournable".Les bâtiments insalubres, "ce n'est pas que Noailles", insiste Patrick Amico, adjoint au logement de la nouvelle municipalité de gauche, élue après 25 ans de règne de Jean-Claude Gaudin: "Le IIIe arrondissement [autour de la gare Saint-Charles ou de la Belle de Mai], c'est l'horreur absolue. Potentiellement, 50% des immeubles anciens du IIIe pourraient être en péril d'ici cinq ans".Après la rue d'Aubagne, Etat et collectivités ont signé en juillet 2019 un grand plan d'action pour ventiler les 600 millions d'euros promis au départ: le PPA (Projet partenarial d'aménagement) Marseille Horizon définit une stratégie à 15 ans pour 1.000 ha du centre-ville, soit 200.000 habitants.Mais la première phase de ce projet, de 217 millions d'euros, reste très ciblée: quatre îlots dégradés, 7 ha seulement, autour de Noailles et de la Belle de Mai, concernant 314 immeubles.Quant à la SPLAI-N (Société publique locale d'aménagement d'intérêt national), l'outil de pilotage de ce PPA, elle a dû attendre juin 2020 pour réunir son premier conseil d'administration. Covid oblige, notamment. Son directeur général, Franck Caro, corédacteur du rapport Nicol, vient seulement d'être nommé."Le temps de l'urbanisme est un temps long", relativise Muriel Joer Le Corre, "coordinatrice" des services de l'Etat et membre du comité de pilotage du PPA. "Mais aujourd'hui les planètes sont alignées".Permis de louer"Avec la SPLAI-N, on va essayer d'accélérer le temps, mais tout ne se résoudra pas en un claquement de doigts", insiste David Ytier, vice-président à la métropole chargé du logement et de l'habitat indigne et président de cette structure où Aix-Marseille-Provence est chef de file (59%), devant l'Etat (35%) et la ville de Marseille (6%).L'outil est donc en place, avec un projet global, et l'argent est sur la table. Au-delà des 600 millions d'euros de départ, "avec l'effet de levier et les investissements privés, c'est même 1 à 1,5 milliard d'euros qui va permettre de renouveler la ville", espère M. Amico.Mais pour quelle rénovation ? Quels types de logements ?Du côté de la municipalité, on veut éviter deux écueils: transformer le coeur populaire de la ville en "boboland", une fois les bâtiments réhabilités, ou répliquer Euroméditerranée, quartier ultra-moderne sorti de terre à la place des anciens docks: "On veut faire de la haute couture, mais ça va prendre plus de temps", concède Patrick Amico.Pas question de tout raser et reconstruire: "Avec ces +3 fenêtres marseillais+ [un type d'immeuble caractéristique de Marseille], nous sommes quand même face à un des ensembles pré-révolutionnaires les plus importants de France", insiste M. D'Issernio. "Marseille sans Noailles, ce ne serait plus tout à fait Marseille".A la métropole, David Ytier vante un autre outil mis en place en octobre 2019, à Noailles: le permis de louer. Car "l'habitat indigne, c'est très souvent de l'habitat privé et ce permis, c'est une clef d'entrée pour aller voir derrière les façades", explique-t-il. Sur 252 dossiers déposés, près d'un quart ont fait l'objet d'un refus, obligeant les propriétaires à engager des travaux.La ville, elle, utilise la procédure de travaux d'office qui lui permet de se substituer aux propriétaires défaillants. Quarante-huit millions d'euros de travaux ont ainsi été lancés, sur une soixantaine d'immeubles. "Ensuite nous transmettons les faits à la justice", insiste M. Amico. "Cela peut aller jusqu'à la spoliation et des poursuites pour mise en danger de la vie d'autrui"."Nous notons avec satisfaction l'augmentation des signalements de la mairie de Marseille", avait témoigné la procureure de la République, Dominique Laurens, mi-janvier, en révélant avoir ouvert 76 enquêtes contre des propriétaires indélicats.
Il y a 4 ans et 108 jours

Chroniques d'une crise immobilière annoncée : les aménageurs alertent sur les dérives de l'impératif ZAN

Si l'UNAM partage les objectifs de sobriété foncière et de préservation de la biodiversité[1] induits par la trajectoire ZAN, elle questionne ses modalités de mise en œuvre qui risquent, faute de pragmatisme, de fragiliser les territoires et de préfigurer une crise immobilière sans précédent. Dans ce contexte, l'UNAM lance une série de chroniques sur la menace que l'objectif ZAN fait peser sur notre économie, déjà fragilisée par la pandémie et le recul de la construction. Une menace matérialisée par la conjonction de différents facteurs qui feront chacun l'objet d'une chronique dédiée : la limitation drastique des capacités de production de logements, la flambée des prix de l'immobilier, le blocage du marché locatif et l'impossibilité de répondre à la demande de logements sociaux.À l'occasion de cette première chronique consacrée aux risques inhérents à la limitation drastique des capacités de production de logements, l'UNAM publie un rapport[2] mettant en perspective l'inadéquation de l'impératif ZAN avec les besoins en matière de logement à l'horizon 2030 et appelle à une territorialisation des objectifs pour répondre de manière efficiente à ces besoins.L'objectif ZAN : une contrainte foncière irréaliste face aux besoins en matière de logementGuidée par une ambition de sobriété foncière, la trajectoire ZAN vise à diviser par deux le rythme d'artificialisation des terres en France d'ici 2030, contre un objectif fixé à 2050 par l'Europe. Pour ce faire, le projet de loi prévoit d'encadrer strictement les projets de construction de logements neufs.Cette contrainte semble s'inscrire à rebours des besoins en matière de logement. Comme le souligne le rapport, la demande potentielle de logement devrait s'élever à +4,1 millions de logements à l'horizon 2030. Un chiffre qui prend en compte une diversité de facteurs :La croissance démographique de la population française avec une perspective consolidée à 70,5 millions[3] d'habitants en 2030 (dont 66,3 millions en métropole), contre 66,9 millions aujourd'hui : +1,3 millions de logements nécessaires.La baisse constante du taux d'occupation des logements en lien avec le « desserrement » des ménages (croissance des ménages monoparentaux et de personnes âgées seules) : +1,7 millions de logements nécessaires.La croissance de la vacance immobilière : +830 000 logements nécessaires pour remplacer les logements exclus du marché (logements vétustes, absence de relocation).Les besoins en matière de renouvellement du parc immobilier en raison des sorties de bâtiments hors du secteur du logement (démolitions, désaffectations) : +290 000 logements nécessaires.Il ressort que ces besoins se concentrent majoritairement dans les couronnes périurbaines élargies des villes moyennes ainsi que dans le Grand Ouest. Pour autant, les zones dites « détendues », c'est-à-dire caractérisées par une baisse de leur population ainsi qu'un accroissement de la vacance de leurs logements sont également concernées par ces besoins de construction du fait de la sortie de logements vétustes du parc habité et des besoins croissants liés à la décohabitation des ménages.En réponse à ces besoins en matière de logement, le projet de loi prévoit de stimuler la rénovation de logements et la récupération de la vacance immobilière. Cependant, même la réaffectation théorique de tout le parc de logements actuellement vacants ne comblerait qu'à peine 20% des besoins urgents en logement sur les dix prochaines années. Les coûts de rénovation, notamment en zone détendue où les prix de l'immobilier sont très faibles, s'avèrent quant à eux encore prohibitifs pour les budgets moyens des ménages : les travaux de rénovation « complète à lourde » (intervention sur réseaux et structure du bâti) correspondent en moyenne, dans ces secteurs, et hors subventions à la rénovation, à un doublement du coût d'acquisition du logement (prix moyen au m² constaté de 1 100 €/m² en octobre 2020, pour des frais de rénovation « complète à lourde » compris dans des fourchettes respectives de 700 à 1 100 €/m² et de 1 125 à 2 000 €/m²), ce qui rend ces logements non-compétitifs sur le marché local.Ainsi, dans un contexte où la crise sanitaire a déjà largement ralenti les objectifs en matière de construction avec 376.700 logements construits en 2020[4] pour un objectif de 500.000 fixé par le gouvernement, la trajectoire ZAN telle que prévue dans le projet de loi ne fera que contraindre davantage les projets de construction et donner lieu à une véritable crise du logement.Pour une approche territorialisée de l'objectif ZANPlutôt que de provoquer un blocage généralisé du foncier à bâtir, l'UNAM préconise dans son rapport une réponse spatiale différenciée mettant en lumière les priorités d'aménagement selon les territoires. Une adaptation de l'effort ZAN en fonction du contexte territorial qui suit un double objectif :1/ Proposer une modulation de la contrainte foncière en fonction des lieux : afin d'accompagner les souhaits de mobilité des populations urbaines vers un habitat avec de la nature et permettre un rééquilibrage territorial face au tout métropolitain. Pour ce faire, l'UNAM établit au sein de ce rapport une liste de réponses territorialisées face à l'objectif ZAN en distinguant[5] :Les zones où l'impératif ZAN semble prioritaire : à l'instar des unités urbaines de plus de 20 000 habitants et des territoires ruraux dense et/ou touristiques.Les zones où l'impératif ZAN n'est pas tenable en valeur absolue, sous peine de provoquer une crise majeure du logement et d'empêcher un rééquilibrage territorial de la population hors des métropoles : à l'instar des territoires « périurbains connectés » et « périurbains intermédiaires ».Les zones où l'impératif ZAN semble tenable à condition d'une balance globale calculée à l'échelle intercommunale : à l'instar des territoires « ruraux polarisés » et « ruraux isolés ».2/ Prioriser certains pôles de services secondaires existants (petites villes et bourgs ruraux), actuellement fragilisés par l'attractivité métropolitaine, tout en favorisant des relocalisations d'emplois et de services au bénéfice des territoires hors-métropoles : pour contrer l'étalement urbain incontrôlé, ainsi que les impacts environnementaux des mobilités alternantes ville/campagne.Dans son rapport, l'UNAM identifie 8 161 communes regroupant 17,6 millions d'habitants pouvant constituer des centres de polarités secondaires et locales hors espaces métropolitains et hors unités urbaines de plus de 20 000 habitants. Ce sont toutes ces centralités qui apparaissent prioritaires dans une volonté de rééquilibrage territorial organisé de l'espace métropolitain.À rebours de l'approche réglementaire et sectorielle contenue dans la doctrine ZAN, l'UNAM motive une réflexion d'aménagement plus fine, capable d'adapter la visée écologique aux enjeux de justice spatiale et sociale. Si le verrou ZAN s'avère plus pertinent en milieu dense et déjà structuré plutôt que dans les territoires ruraux, la quête de nouvelles centralités secondaires devient désormais une priorité forte de l'aménagement du territoire à venir.[1] Projet de loi portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets.[2] UNAM, 2021, L’utilisation du foncier pour le logement à l’horizon 2030. Besoins et préconisations, Rapport scientifique (26p.).[3] Taux de croissance démographique annuel : donnée INSEE/Eurostat 2020.[4] Source SDES / Sit@del2 (France entière, hors Mayotte) : 410 900 mises en chantier en 2018, 404 900 en 2019, 376 700 en 2020.[5] Liste exhaustive des réponses spatialisées en lien avec l’objectif ZAN pages 17 à 19 du Rapport
Il y a 4 ans et 108 jours

Faisant fi de l'épidémie, le gouvernement veut accélérer la relance économique

"Mon objectif est d'accélérer le déploiement de ce plan de relance, et quelle que soit la situation sanitaire", a affirmé lundi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire lors d'un point presse, estimant que la situation sanitaire ne devait pas être "un obstacle" à la relance."C'est maintenant que (...) se joue" la reprise, a-t-il insisté.Le défi est de taille, avec tout un pan de l'activité, notamment dans le tourisme, qui subit encore massivement la persistance de l'épidémie et pour qui le soutien d'urgence se poursuit.En parallèle, de nombreux secteurs se sont bien ressaisis, et se projettent déjà vers l'avenir, notamment dans l'industrie, bien moins pénalisée par le couvre-feu.La croissance de l'activité manufacturière a ainsi atteint en février son plus haut niveau depuis trois ans, selon l'enquête mensuelle du cabinet IHS Markit.Le gouvernement compte donc sur la dynamique du plan de relance de 100 milliards d'euros d'ici 2022 pour soutenir la croissance française, qu'il attend toujours à 6% cette année.Ce plan "donne des résultats très tangibles", s'est félicité Bruno Le Maire, citant un chômage des jeunes "contenu", le déploiement des véhicules électriques ou encore l'ouverture de nouvelles liaisons ferroviaires.Sur les 40 milliards d'euros que le gouvernement a l'ambition de dépenser d'ici la fin de l'année, 16 milliards ont été déployés, auquel il faut ajouter la baisse annuelle de 10 milliards d'euros d'impôts de production.Trois voletsLe plan comprend trois volets essentiels: le soutien à l'investissement industriel, à la transition écologique, et des aides à la formation et à l'emploi des jeunes.Plus de 30.000 entreprises, dont 70% de PME, en ont bénéficié à ce stade, et un million de ménages et de jeunes, a précisé le ministre.Pour accélérer sur le volet industriel, un milliard d'euros de crédits seront redéployés, a confirmé M. Le Maire, dans la logique - fixée à l'annonce du plan -de favoriser les projets qui seront les plus rapides à aboutir.La relocalisation des secteurs industriels critiques sera dotée de 250 millions d'euros supplémentaires, soit une enveloppe globale de 850 millions, tandis que le dispositif Territoires d'industrie bénéficiera de 150 millions d'euros en plus des 400 millions prévus.Enfin, la numérisation des petites et moyennes entreprises industrielles voit son enveloppe passer de 280 millions à 880 millions d'euros.Autre avancée: la France a enfin obtenu le feu vert de Bruxelles pour déployer les prêts participatifs, dédiés au renforcement des fonds propres des entreprises mis à mal pendant la crise. Il sera détaillé jeudi.En revanche, pas question de rajouter à ce stade des crédits supplémentaires, comme le réclament par exemple certains économistes ou le Medef. "Notre objectif, c'est de dépenser rapidement et efficacement les crédits" existants, a jugé Bruno le Maire. Pas de taxe sur l'épargneLe président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux avait notamment plaidé début janvier pour la mise en place d'un "deuxième volet" au plan, dédié à la reprise des secteurs les plus en difficulté (hôtellerie, évènementiel, etc.).Il prône aussi des mesures ciblées, comme un chèque vert, pour inciter les ménages à consommer l'épargne qu'ils ont accumulée l'an dernier à la fois par crainte de l'avenir mais aussi du fait d'une consommation empêchée par les restrictions sanitaires.L'épargne des ménages constitue d'ailleurs l'autre "défi" du gouvernement pour réussir la relance, a reconnu Bruno Le Maire.L'an dernier, les ménages ont engrangé une épargne supplémentaire de 100 à 120 milliards d'euros, selon la Banque de France, et elle pourrait atteindre les 200 milliards d'ici la fin 2021.Bercy travaille à "des incitations" mais rejette toute "taxation" de cette épargne, a indiqué le ministre, alors que certains élus de gauche et des économistes proposent d'instaurer une taxe exceptionnelle sur les ménages les plus aisés ou sur les entreprises qui ont tiré partie de la crise, comme les géants de la distribution.
Il y a 4 ans et 108 jours

Réseau de transport d’électricité : réalisation du projet Biodiversité sous les lignes par la valorisation des emprises à Mondragon

Des travaux d’aménagement inscrits dans le projet Biodiversité sous les lignes par la valorisation des emprises (BELIVE) sont effectués par Réseau de transport d’électricité (RTE) à Mondragon.
Il y a 4 ans et 108 jours

Le jugement de l'ex-sénateur Joseph Castelli pour trafic d'influence reporté

Lors des deux jours d'audience en janvier, le procureur de Bastia Arnaud Viornery avait souligné qu'"un parfum entêtant de corruption systémique" flottait sur ce dossier, en requérant quatre ans de prison dont un avec sursis et 200.000 euros d'amende contre l'ex-sénateur de Haute-Corse, 72 ans, et la confiscation de la villa au coeur de l'affaire.Poursuivi devant le tribunal correctionnel de Bastia pour trafic d'influence passif, recel de biens provenant d'un délit, blanchiment aggravé et faux en écriture, M. Castelli, qui nie les faits qui lui sont reprochés, a bénéficié de "subventions aimables d'entrepreneurs" pour près de "200.000 euros" pour compléter le financement de sa villa, "via des fausses factures", avait tancé le magistrat.Pour le procureur, la mécanique des malversations est claire: une société gérée par un entrepreneur décédé et jamais entendu dans l'enquête était chargé de la construction de la villa de M. Castelli. Des factures lui ont été réglées par trois autres sociétés pour des travaux fictifs de sous-traitance sur d'autres chantiers, et ces sommes finançaient des travaux sur la villa de l'ex-sénateur. En échange, ces entreprises obtenaient ensuite des marchés publics octroyés par M. Castelli.Le magistrat n'a cependant retenu pour les poursuites qu'un marché public, pour 1,7 million d'euros, alors que plusieurs autres, pour un montant total de 10 millions d'euros, avaient été mis en cause.Il a appelé le tribunal à condamner M. Castelli pour le "pacte de corruption" existant dans l'attribution du marché public et pour les accusations de faux en écriture mais a requis la relaxe pour le blanchiment de fraude fiscale."Je n'ai jamais perdu une élection. Je me demande ce que je fais dans cette galère. Si j'étais si pourri que ça, vous pensez que ces gens-là ne s'en seraient pas rendus compte?", avait assuré à la barre M. Castelli, jugé avec trois entrepreneurs dont un avait reconnu des faits de corruption.Les avocats des quatre accusés ont tous plaidé la relaxe pour leurs clients, l'un relevant qu'"on ne condamne pas des gens pour le parfum d'un fait" mais sur des preuves quand un second soutenait que "juridiquement dans ce dossier, il n'y a rien" à part "de la magie grossière judiciaire".
Il y a 4 ans et 109 jours

Le métier d’architecte : 3 qualités indispensables

Sollicité pour intervenir aussi bien dans la construction d’une maison individuelle que sur une infrastructure publique, l’architecte joue de multiples rôles. Ce professionnel a généralement pour mission de dessiner, de concevoir et de superviser les projets d’habitat. Pour remplir toutes ces tâches, il doit suivre une formation complète et développer certaines compétences indispensables. Retrouvez ici les qualités essentielles d’un architecte. Les qualités de base de l’architecte Pour devenir architecte, il est avant tout nécessaire de suivre de nombreuses années d’études. Après celles-ci, différents stages devront être effectués qui permettront d’acquérir des expériences professionnelles. Mais ces connaissances ne suffisent pas. ll faudra aussi développer des qualités essentielles. En effet, il faut être un bon dessinateur, un excellent concepteur de plan, un artisan rigoureux. Si vous devez donc vous engager dans ce métier, vous devez approfondir ces compétences techniques et pratiques. En bref, voici les qualités de base à renforcer : La gestion du budget selon chaque projet ; Le respect et l’optimisation du budget attribué au chantier ; Le sens du travail en équipe et l’habileté à la négociation ; Une parfaite connaissance du droit et des règles d’urbanisme. Les spécialités du métier d’architecte L’architecte est généralement perçu comme le professionnel en charge de penser et de dessiner les plans d’une maison ou de tout autre type de bâtiment. On lui attribue également la responsabilité de superviser le chantier. Bien que cela soit tout à fait vrai, il est pour autant bien souvent ignoré les différentes spécialités et facettes que peuvent prendre le métier d’architecte. On peut notamment citer l’architecte paysagiste, l’architecte urbaniste ou encore l’architecte d’intérieur. Chacune de ces spécialités nécessitera des compétences supplémentaires. En effet, un architecte urbaniste doit avoir une bonne connaissance des villes. Par exemple, un architecte sur Nantes devra avoir une excellente culture de la composition urbaine de la ville et de la métropole nantaise. Les compétences secondaires de l’architecte En plus des compétences citées plus haut, le métier d’architecte requiert d’autres qualités essentielles. Dans un premier temps, puisque le professionnel doit travailler en équipe, il demeure indispensable qu’il puisse s’adapter aux collaborateurs. De même, il doit savoir écouter les besoins des clients et les recommandations de ses partenaires. Dans un second temps, pour mener à bien les projets qu’il conduit, l’architecte doit développer une grande résistance au stress et à toute forme de pression. En cas d’imprévus sur un chantier par exemple, il doit pouvoir garder son calme et prendre les décisions rapidement. Comme autre qualité, un architecte doit prendre des initiatives et présenter des propositions aux clients. Les qualités personnelles d’un architecte Pour exceller dans le métier d’architecte, posséder des compétences professionnelles et des connaissances de base ne suffit pas. L’artisan doit également cultiver des qualités personnelles et des valeurs morales. Pour finir, voici donc quelques atouts à retrouver chez un architecte : Un réel sens de la créativité et une aisance dans la gestion des projets ; Une facilité à élaborer les plans de bâtiment ; Une totale autonomie et une adaptation aux collaborateurs ; Une aisance relationnelle pour travailler en harmonie avec les équipes ; Une bonne rigueur au travail et un perfectionnisme poussé ; Une rigueur dans le respect des délais et de la réactivité face aux imprévus et aux changements de dernière minute.
Il y a 4 ans et 109 jours

Le Groupe Knauf engage ses clients dans l’Économie Circulaire du PSE avec Knauf Circular®

Knauf Circular® : la réponse aux enjeux réglementaires, économiques et environnementaux du recyclage L’avenir du plastique, la gestion des déchets et l’économie circulaire constituent les sujets phares des nouvelles réglementations qui se développent en France et en Europe. Les bases de ces nouvelles réglementations avaient été initiées par la Feuille de Route Économie Circulaire (FREC). Dans ce contexte, l’AFIPEB (Association Française de l’Isolation en Polystyrène dans le Bâtiment) prenait déjà un engagement volontaire visant annuellement une valorisation de 2500 tonnes de PSE d’ici 2025. Membre d’Elipso (association des entreprises de l’emballage plastique fortement impliquée dans une dynamique d’économie circulaire), Knauf Industries s’est aussi engagée à réincorporer 4000 tonnes par an de polystyrène expansé recyclé dans ses calages industriels et emballages de manutention, et ce d’ici 2023. Promulguée le 10 février 2020, la Loi Anti-Gaspillage pour une Économie Circulaire, dite AGEC, entre en application au travers de la publication des différents décrets.Pour la filière emballage, l’AGEC, et en particulier son futur décret 3R, imposera le recyclage, la réutilisation ou le réemploi des emballages et la réduction de l’emploi de plastiques vierges. Son objectif est de tendre vers 100 % de plastiques recyclés en 2025. Pour la filière bâtiment, elle imposera à partir du 1er juillet 2021, à toute entreprise, d’intégrer dans ses devis les informations relatives à la gestion des déchets de travaux de construction : les modalités, leurs coûts, les installations dans lesquelles ils seront déposés en fonction de leur typologie. Dès le 1er janvier 2022, une Responsabilité Élargie du Producteur ainsi qu’une éco-contribution (création d’un éco-organisme chargé de la gestion des déchets pour accélérer leur valorisation) seront mises en place. L’éco-contribution sera financée par un système d’écotaxes, modulées en fonction de la performance environnementale du produit. Et, enfin, la loi de Transition Énergétique pour la Croissance Verte (LTECV) ambitionne que la part du recyclage des déchets non dangereux devra atteindre les 65 % d’ici 2025. Knauf Circular®, en développant un service de collecte et de recyclage des déchets de PSE pour qu’ils soient réintroduits dans de nouveaux produits, répond totalement à ces exigences.Knauf Circular® : un service innovant pour la lutte contre le gaspillage, l’enfouissement ou la mise en décharge De par cette véritable opportunité économique et environnementale, le Groupe Knauf témoigne concrètement de son engagement en faveur de l’environnement et de sa volonté d’accompagner ses clients dans cette démarche. Knauf Circular® se destine à tous les utilisateurs de PSE : négoces en matériaux, entreprises du bâtiment, grandes surfaces de bricolage et alimentaires, professionnels de la mer, industriels et aussi déchetteries, permettant de collecter les PSE post consommation des ménages.Knauf Circular® opère la collecte sur sites des déchets propres de PSE : chutes de chantier d’isolation (hors déconstruction), caisses marée, emballages industriels et commerciaux, calages de protection…, commercialisés par Knauf ou non, pour les introduire dans une filière de collecte et de recyclage responsable, fiable, et garante de leur revalorisation en de nouveaux produits en polystyrène pour le bâtiment, l’emballage ou la vie courante. Pour s’assurer d’une valorisation optimale, vertueuse et suivie des déchets de PSE, il suffit pour l’entreprise qui souhaite bénéficier de Knauf Circular® de signer la convention prévue à cet effet. Cette prestation de service payante Knauf Circular® se traduit par la mise à disposition de sacs de 1 m³ de contenance (ou le cas échéant, d’un moyen de reprise plus conséquent) et de leur reprise sous 10 jours sur sites (chantiers, entreprises, points de regroupement...) pour un minima de sacs de PSE établi en fonction de la quantité de déchets de PSE générée par l’activité et le profil de l’entreprise (industriels, négoces, mareyeurs, déchetteries…). Knauf Circular® se veut d’une grande praticité d’utilisation au quotidien, avec des sacs faciles à porter, fermés et transparents qui seront enlevés sur site sur simple appel au numéro vert dédié. Lors de cette collecte, un bordereau de suivi des déchets sera délivré, pour preuve de traçabilité, justifiant du recyclage des déchets.Knauf Circular® : un service unique ouvert à tous les secteurs d’activité au niveau national qui apporte la garantie du recyclage du PSE Pour la phase pilote du quart Sud-Est de la France, Knauf Circular® s’est déjà traduit par la signature d’une cinquantaine de conventions en quelques mois et la mise à disposition de 10000 sacs dans les 4 usines pilotes du projet. Knauf Circular® s’impose à date comme la seule proposition de service de collecte et de recyclage du PSE en France avec un tel maillage du territoire et une telle proximité avec ses clients. Des investissements industriels d’un montant supérieur à 2 millions d’euros ont ainsi été engagés pour doter chacun des 18 sites en équipements de traitement du PSE collecté, offrant une capacité de recyclage annuelle de plusieurs milliers de tonnes de PSE. Knauf Circular® se traduit également par la création d’un poste au siège de l’entreprise en Alsace, pour assurer l’administration commune aux différentes entités Knauf de cette activité. Knauf Circular® apporte la preuve que le PSE est recyclable et recyclé. Il pérennise l’usage du PSE dans ses différentes applications en lui apportant une solution concrète de recyclage, totalement en adéquation avec les nouvelles réglementations. Cette action forte s’inscrit sur le long terme dans le cadre de la démarche de responsabilité sociétale du Groupe Knauf.« Nous développons les filières de collecte et de recyclage du PSE pour réduire l’utilisation de la matière vierge. Nos usines sont équipées de dispositifs de collecte et de recyclage des déchets d’emballages alimentaires et industriels et de chutes de chantiers du bâtiment. Grâce à la proximité géographique avec les clients, de plus en plus de déchets post-consommation et de chutes de production trouvent une seconde vie et entrent dans la composition de nouveaux produits Knauf, cales, panneaux d’isolation… Ceux qui s’avèrent impropres à une réintroduction dans nos productions seront retraités par des recycleurs partenaires en France ou en Europe pour devenir des biens de consommation courante ou des produits d’isolation pour le bâtiment. » Kurt Münder, PDG Knauf Industries« Le Groupe Knauf relève et relèvera plusieurs défis pour que la filière PSE entre concrètement dans l’économie circulaire. Aujourd’hui, avec Knauf Circular®, les utilisateurs sont assurés de la totale revalorisation de leurs déchets de PSE. D’autres programmes de recherche et développement viendront enrichir cette première initiative dans les années à venir. Des recherches sont en cours en matière d’écoconception pour favoriser le recyclage des matériaux en fin de vie. Knauf travaille également à augmenter la part de PSE recyclé dans ses produits neufs, qui doivent répondre aux exigences techniques et réglementaires de leur domaine d’application – bâtiment et emballage. De belles perspectives s’offrent à nous pour inscrire notre Groupe dans l’économie circulaire ! » Christine Muscat, DG Knauf FranceKnauf Circular® : un service simple et complet qui accompagne le client et valorise son action Toute l’actualité Knauf Circular® est à suivre sur le site dédié, www.knaufcircular.fr qui informe sur les modalités de reprises en fonction de la typologie de convention signée (négoces et entreprises de pose, professionnels de la mer, industriels et grandes surfaces, déchetteries) et sur les différents types de PSE collectés. Knauf y propose notamment une vidéo de présentation avec des témoignages clients issus des différentes activités (bâtiment, emballages, industrie). Le Groupe Knauf accompagne également les professionnels signataires de conventions Knauf Circular® pour qu’ils puissent porter haut les couleurs de leur engagement au travers de supports de communication dédiés ; des outils utiles et pragmatiques, qui reprennent les arguments justifiant de cette démarche concrète en faveur de l’économie circulaire du PSE.
Il y a 4 ans et 109 jours

Journées de l’Architecture en Santé 2021 : appel à conférences

L’UAFS lance un appel à conférences dans le cadre de l’organisation de ses Journées... Cet article Journées de l’Architecture en Santé 2021 : appel à conférences est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 109 jours

A Meyzieu, le lycée colonel Arnaud Beltrame, proposé par Chabanne

L’agence Chabanne est lauréate en février 2021 du futur lycée colonel Arnaud Beltrame de Meyzieu (Rhône). L’ouvrage, d’une surface de 16 207 m² pour un budget 29 M€ H.T conçu pour la région Auvergne Rhône-Alpes, maître d’ouvrage, se distingue par une passerelle sculpturale. Communiqué. Ce nouvel établissement d’une capacité d’accueil de 1 800 élèves comprendra […] L’article A Meyzieu, le lycée colonel Arnaud Beltrame, proposé par Chabanne est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 109 jours

Eiffage et Vinci décrochent un record mondial

Le Guinness World Records a attribué à Eiffage Génie Civil et Chantiers Modernes Construction, filiale de Vinci Construction France, le record du plus long coffrage glissant réalisé en une fois. [©Eiffage] Eiffage Génie Civil et Chantiers Modernes Construction (filiale de Vinci Construction France) ont décroché le record mondial du plus long coffrage glissant réalisé en une fois. Ceci, auprès du Guinness World Records. Ce record a été obtenu dans le cadre du chantier de transformation du centre de traitement des déchets ménagers du Syctom. A Ivry-sur-Seine, près de Paris.  En seulement 19 jours Choisie pour sa rapidité par rapport à une solution de bétonnage classique. La technique du coffrage glissant a permis aux équipes de construire la nouvelle fosse de réception. Et de stockage des ordures ménagères résiduelles de la future Unité de valorisation énergétique (UVE). Et ceci, en seulement 19 j : du 18 février au 13 mars 2020. « Confiants dans le savoir-faire de nos équipes. Nous avions fait, il y a plusieurs années, le pari audacieux de recourir au coffrage glissant. Afin de réaliser cet ouvrage majeur du projet. Nos collaborateurs ont su relever ce défi grâce à leur professionnalisme et leur capacité à aller toujours plus loin. Ce record nous incite à continuer à repousser les limites de la technique »,explique Benoît Lapostolle, directeur d’exploitation chez Eiffage Génie Civil. Un total de 212,78 m réalisés en coffrage glissant Réalisé pour le compte du Syctom, l’agence métropolitaine des déchets ménagers. Le chantier consiste en la transformation du centre actuel, qui arrive en fin de vie, en un équipement de pointe. Apportant de meilleures performances sur le plan environnemental. Quelque 160 personnes ont été mobilisées pour la construction de cet ouvrage. Qui mesure 62 m de long, de 22 m de large et de 31,50 m de haut. Soit un total de 212,78 ml réalisés en coffrage glissant. En termes de fournitures, 3 500 m3de béton, 650 t d’acier ont été nécessaires pour la construction. Et 278 vérins hydrauliques pour le coffrage. « Cette réussite est le fruit de l’audace et de l’esprit d’innovation et d’adaptation. Dont nos équipes ont su faire preuve face aux défis rencontrés pendant les phases de préparation et réalisation. Nous sommes fiers d’avoir obtenu ce record qui rend hommage au travail des équipes études et travaux », conclut Karim Rahbani, directeur délégué travaux publics Ile-de-France de Vinci Construction France.
Il y a 4 ans et 109 jours

Le maire de Marseille vendra le Vélodrome à l'OM et à personne d'autre

En marge de la crise à l'Olympique de Marseille, le maire socialiste de Marseille, Benoît Payan, a précisé qu'il ne vendrait le stade Vélodrome qu'au club de la ville et à personne d'autre.
Il y a 4 ans et 109 jours

Rétrospective : Renée Gailhoustet en ses terrasses

Les frères Daniel et Patrick Rubin fondent l'atelier Canal en 1982 et l'installent dans un immeuble industriel qu'ils ont réhabilité rue du faubourg Saint-Antoine à Paris. Ils investissent ensuite une maison du XVIIe siècle rue Elzévir, qui devient un lieu de rencontres entre architectes, graphistes, designers, étudiants autour de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 109 jours

Rockwool rénove le Lycée de l'image et du son d'Angoulême avec Rockfaçade et Ecorock

Le bâtiment fait encore partie des quatre secteurs les plus émetteurs de gaz à effet de serre en France et est responsable de 18% des émissions territoriales et de 40% de la consommation finale d’énergie. C’est pourquoi, dans le cadre du plan de relance, le gouvernement va consacrer 2,7 milliards d’euros à la rénovation énergétique du patrimoine de l’Etat. Il est ainsi prévu, d’ici à 2023, de rénover plus de 4.200 bâtiments publics qui devront répondre à deux critères essentiels : leur performance énergétique et la capacité de mise en œuvre rapide du projet.Parmi ces chantiers, les produits de la gamme Ecorock Duo et Rockfaçade de ROCKWOOL, leader mondial des solutions en laine de roche, ont été utilisés pour les travaux de rénovation énergétique du Lycée de l'Image et du Son d'Angoulême LISA, débutés en janvier 2020.Comme l’explique Franck Porcel, directeur de GEO Environnement : « La particularité du chantier LISA consistait à réaliser un ITE sur 10.000 m² de murs faïencés, nous devions préalablement faire sauter 3000 ml de listel, traiter des façades arrondies sur des satellites, composer avec des façades truffées de colonnes Gréco-Romaines et sur un lycée en site occupé. »Plus de 10.000 m² d’isolation sous enduit de la gamme Ecorock Duo et 3.500 m² d’isolation en bardage ventilée de la gamme Rockfaçade ont ainsi été utilisés pour l’enveloppe du bâtiment.« Compte tenu de la famille dans le classement feux pour des établissements recevant du public, dans le cadre d’un ITE seule la laine de roche peut répondre aux exigences sécurité incendie » explique Franck Porcel.Le traitement des façades, de l'obélisque et de l'arche est accompagné d'une amélioration énergétique grâce au remplacement de toutes les huisseries et à la pose de châssis double vitrage pour une économie thermique attendue de l'ordre de 40%.ROCKWOOL a également mis à disposition son programme de recyclage des déchets de chantier Rockcycle, afin d’accompagner la région Nouvelle Aquitaine dans sa démarche Développement Durable.« Nous valorisons nos mémoires techniques en mettant en avant le Rockcycle dans la majorité des appels d’offres publics sur lesquels nous répondons. Ce sont des points supplémentaires qui font parfois la différence sur les notes techniques en raison de la simplicité de la mise en œuvre du service Rockcycle et son côté écologique (...) Au final, le procédé mis en place est plutôt simple. C’est pour nous un retour très positif au regard de nos donneurs d’ordres, vis-à-vis de notre philosophie d’entreprise et cela ne nous complique pas plus la tache une fois le mode de fonctionnement intégré par nos équipes. » détaille Franck Porcel ITE : Ecorock, RockfaçadeMaître d’ouvrage : Région Nouvelle AquitaineMaitrise d’œuvre : ALTEREAEntreprise générale : Eiffage Construction Poitou CharenteArchitecte : SIGN ArchitectureBureau d’étude : ILAOEntreprises : Géo Environnement et SILVEA (revêtements extérieurs), GREGOIRE et MERCIER VAUNAC (menuiseries extérieures), REVET ISOL 24 (étanchéité)
Il y a 4 ans et 109 jours

Prix Mies van der Rohe 2022: 29 réalisations françaises en lice

Les frères Daniel et Patrick Rubin fondent l'atelier Canal en 1982 et l'installent dans un immeuble industriel qu'ils ont réhabilité rue du faubourg Saint-Antoine à Paris. Ils investissent ensuite une maison du XVIIe siècle rue Elzévir, qui devient un lieu de rencontres entre architectes, graphistes, designers, étudiants autour de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 109 jours

Produit - Kostum

Circulation claire, espaces de vie définis et intimité sont les trois clefs d'un aménagement de jardin réussi. Kostum, créateur et fabricant de menuiseries, ajuste l'extérieur de la maison au style de vie des propriétaires.
Portails, clôtures, garde-corps... et plus encore ! En ce début d'année, la marque haut de gamme et 100% française, présente ses nouveautés. Avec Kostum, le détail a son importance... surtout dans le jardin.
Il y a 4 ans et 109 jours

Nouvelle génération de caméras Daitem : au service de la protection des locaux professionnels

Daitem lance une nouvelle génération de caméras de vidéosurveillance connectées à l'alarme ou en fonctionnement autonome. Nouvelle technologie avec une très haute qualité d'images en 4K, plus de fonctionnalités, plus d'accessoires… cette nouvelle gamme vidéo aux capacités étendues a été conçue pour répondre précisément aux besoins des professionnels pour la protection de leurs locaux.
Il y a 4 ans et 109 jours

ISO-CHEMIE ouvre un webshop

Il y a 4 ans et 110 jours

Près l’Université de Chicago, 89 logements familiaux signés Parc architectes

Parc Architectes (Brice Chapon et Émeric Lambert) présente ZAC Paris Rive Gauche à Paris (XIIIe) un immeuble de 89 logements en structure bois, îlot réalisé en partenariat avec Studio Gang, architecte de l’antenne parisienne de l’Université de Chicago.* Le chantier débutera en 2021. Communiqué. Tissés ensemble Longtemps associé à un quartier industriel, cette partie du […] L’article Près l’Université de Chicago, 89 logements familiaux signés Parc architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 110 jours

Barrage Hoover : Une superstructure dans le désert

Le barrage Hoover en février 1934. On remarque les différentes sections qui s’élèvent indépendamment les unes des autres. [©DR] D’interminables négociations entre Etats commencèrent dans les années 1920 pour aboutir finalement au début des travaux du barrage Hoover en mars 1931. Avec 6 mois d’avance, grâce au président Herbert Clark Hoover. Qui donnera plus tard son nom au barrage. La construction du barrage employa plus de 5 251 hommes (112 morts). Dans la situation géographique difficile du désert de Mojave, à 50 km au Sud-Est de Las Vegas, à la frontière du Nevada et de l’Arizona. Boulder city, la nouvelle ville ouvrière du chantier, y fut construite.  3,4 Mm3 de béton Défi technologique, le barrage Hoover repoussa les limites de l’ingénierie. Il régula les crues dévastatrices du Colorado. Et maîtrisa la puissance du fleuve, en produisant de l’électricité pour des milliers de foyers. Il créa un “bouchon” entre les parois de 244 m du Black Canyon, retenant les eaux du fleuve. D’une hauteur de 221 m sur 220 m d’épaisseur à sa base, il nécessita 3,4 Mm3 de béton. Le béton n’avait jamais été utilisé dans de telles quantités. Qu’aux dires de certains, elles auraient permis de réaliser une autoroute à deux voies reliant San Francisco à New York ! Frank Crowe, ingénieur en chef du projet (à droite) releva le défi en pleine crise économique et soutint un rythme de forçats. [©Bureau of Reclamation] Frank Crowe, ingénieur en chef du projet, releva le défi en pleine crise économique. Il soutint un rythme de forçats. Car les délais ne devaient pas excéder 7 ans, avec 3 000 $ de pénalités par jour de retard. En avril 1931, afin d’établir une zone sèche pour le barrage, les travaux commencèrent par la création de 4 tunnels de 17 m de diamètre et 1 219 m de longueur. Pour une déviation provisoire du Colorado. Les tunnels devaient supporter un débit de 850 m3/s. Un mois plus tard, le chantier tournait 24 h/24, 7 j/7. A ces conditions infernales, s’ajouta un été 1931 caniculaire. Proche de 50 °C, avec 60 °C dans les tunnels, il y eut 15 décès. Dans le même temps, les cordistes (high scalers) travaillaient avec de la dynamite et des marteaux-piqueurs au nettoyage des blocs de rochers instables sur les parois du canyon. En tout, 1,15 Mm³ de gravats furent retirés. Deux batardeaux de furent montés sur 29 m de haut et 230 m. De base pour un volume de 500 000 m3 bloquant le cours du Colorado, l’obligeant à s’écouler dans les dérivations provisoires. Cette première phase fut terminée en 18 mois, soit 10 mois d’avance sur le planning. Un ouvrage colossal La construction du barrage proprement dite commença en novembre 1932. Ce dernier de type poids/voûte s’appuie sur 2 principes architecturaux. Le poids du béton enfonce la structure dans le sol. Et son dessin en arc dévie la pression de l’eau vers les parois du canyon. Deux centrales à béton furent construites pour acheminer le béton. Frank Crowe opta pour une structure en colonnes trapézoïdales. Imbriquées et rainurées verticalement pour la précision des assemblages, de 1,50 m de hauteur. Avec des largeurs et profondeurs adaptées et traversées par des canalisations réfrigérées pour une cure plus rapide. Le barrage Hoover est la structure artificielle la plus colossale de son époque. Sa mise en eau créa le lac Mead. [©Bureau of Reclamation] On injecta ensuite du mortier dans les interstices. Un réseau de câbles aériens transportait les bennes à béton. Descendant auprès des équipes qui coulaient jusqu’à 8 000 m3/j de béton. En 1934, tout était coulé, le barrage allait-il tenir face aux tumultes du Colorado ? Il fallut encore 12 ans de travaux plus ou moins “secrets” pour réellement terminer l’ouvrage. A la structure du barrage s’ajouta sa décoration. L’architecte Gordon Kaufmann redessina les extérieurs dans un style Art déco. L’artiste de Denver Allen Tupper True fut chargé de concevoir le design. Et la décoration des murs et des sols, assisté du National Laboratory of Anthropology. Il incorpora des motifs amérindiens de la région. Puis, le sculpteur Oskar J.W. Hansen réalisa plusieurs œuvres. Tous ces éléments concoururent à faire du barrage Hoover un important site touristique des Etats-Unis. Pour preuve, le lieu accueille près de 1 M de touristes par an. Extraordinaire promontoire  Située au pied du barrage, côté aval, la centrale électrique assure une production moyenne annuelle de 4 200 GWh. [@ACPresse]Cette vue en amont du barrage montre le faible niveau du réservoir d’eau, qui a perdu plusieurs dizaines de mètres au fil des ans… [@ACPresse] Vue sur le barrage depuis l’Arizona, montrant les tours d’entrée d’eau destinées à alimenter les turbines de production d’électricité. [@ACPresse] Par rapport au lit du Colorado, le barrage Hoover présente une hauteur de 221,40 m, pour une épaisseur à sa base de 200 m. [@ACPresse]De type voûte, le barrage Hoover se développe sur une longueur de 379 m en son sommet. A ce niveau, il n’a plus qu’une épaisseur de 14 m. [@ACPresse]La construction du barrage Hoover a nécessité quatre ans de travaux, entre 1931 et 1935. [@ACPresse]Le fleuve Colorado marque la frontière entre le Nevada et l’Arizona. Mais aussi la limite entre deux fuseaux horaires. En été, c’est la même heure des deux côtés. Mais en hiver, il y a une heure de différence. [@ACPresse]Le Côté Est du barrage Hoover est en Arizona, comme le rapporte l’horloge qui indique aussi le fuseau horaire. [@ACPresse]Le viaduc Mike O’Callaghan – Pat Tillman Memorial Bridge se développe sur une longueur de 579 m et surplombe le fleuve Colorado de près de 275 m. [@ACPresse] Avec la mise en service du viaduc Mike O’Callaghan – Pat Tillman Memorial Bridge, sur l’Interstate 11, reliant Las Vegas (Nevada) à Phoenix (Arizona), la petite route franchissant le barrage Hoover a perdu son statut d’axe stratégique… Et, en toute logique, s’est transformée en un simple chemin touristique. De quoi continuer à s’approcher au plus près du barrage.  L’autre possibilité d’admirer l’ouvrage d’art est de profiter du cheminement piétonnier aménagé sur le viaduc surplombant le fleuve Colorado de plus de 275 m ! La vue est ainsi imprenable et vertigineuse depuis cet extraordinaire promontoire.  Durant l’escapade, il est bon de prévoir une bonne gourde d’eau. Car, sur l’ouvrage, en été, les températures avoisinent tranquillement les 40 °C… Mais le jeu en vaut la chandelle.  Muriel Carbonnet
Il y a 4 ans et 111 jours

Nouveau mess de l’armée de l’air à Orange pour Atelier 5 Architectes

Dans le cadre d’un marché global de performance, Spie batignolles sud-est (mandataire), avec l’agence toulonnaise Atelier 5 Architectes, s’est vu attribuer fin novembre 2020 par le Ministère des Armées la conception, construction, exploitation et la maintenance technique d’un nouveau mess sur la base aérienne 115 Orange-Caritat (Vaucluse). Livraison prévue au 1er trimestre 2022. Communiqué de […] L’article Nouveau mess de l’armée de l’air à Orange pour Atelier 5 Architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.