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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

(61913 résultats)
Il y a 4 ans et 116 jours

Tours Duo : structure béton pour Duo 2, l'acier en prime pour Duo 1 !

La structure des Tours Duo associe béton coulé sur site, poutres et prédalles en béton armé préfabriqués, poutres acier et plafonds acier collaborants.
Il y a 4 ans et 116 jours

La chapelle de Ronchamp (Le Corbusier) va être restaurée

La chapelle sur la colline de Ronchamp (Haute-Saône), chef d'oeuvre de l'architecte Le Corbusier, va faire l'objet de sa première restauration d'envergure jusqu'en 2024.
Il y a 4 ans et 116 jours

Logements, collectivités, RT2012... Vos textes officiels du lundi 22 février 2021

La rédaction du "Moniteur" vous propose une sélection quotidienne des textes officiels intéressant le secteur. Le concept : du lundi au vendredi, un article d'alerte par jour, avec les textes BTP-centrés, résumés en quelques lignes. Au menu : droit de la construction, urbanisme, commande publique et privée, réglementation technique, logement, social…
Il y a 4 ans et 116 jours

Le projet de gare du Triangle de Gonesse, un "totem" en plein champ

Inhabitable, bordé par une autoroute, survolé - hors crise sanitaire - par les avions du Bourget et de Roissy, mais stratégiquement placé à 20 km au nord de Paris et à l'Est du Val-d'Oise, le Triangle de Gonesse et ses 280 hectares de terres agricoles nourrissent depuis longtemps l'appétit des pouvoirs publics.Mais les grands projets, onéreux, ont perdu l'adhésion d'une partie de la population qui les juge contraires aux défis environnementaux.Dans la foulée de l'abandon du projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique), Emmanuel Macron a décidé en novembre 2019 de renoncer au méga-complexe commercial et de loisirs Europacity, dont le gigantisme hérissait autant défenseurs de l'environnement que petits commerçants.Faute de ce grand projet vecteur d'emplois, les élus locaux s'attachent désormais mordicus à la réalisation d'une gare du métro de la future ligne 17, censée relier en 2030 Saint-Denis à l'aéroport de Roissy, et d'une zone d'activités aux contours encore flous."Remettre en question la gare du Triangle de Gonesse est impensable", fulmine Pascal Doll, président (DVD) de la communauté d'agglomération Roissy-Pays de France, estimant que la ligne est un besoin "vital" pour dynamiser l'activité économique, essentiellement tournée vers l'aéroportuaire."La seule gare du Grand Paris Express dans le Val-d'Oise" désaturerait le réseau routier et le RER B en convoyant "environ 15.000 voyageurs" par jour, calcule Marie-Christine Cavecchi, présidente (LR) du conseil départemental, soutenue par la présidente (Libres!) de la région Ile-de-France Valérie Pécresse.En décembre, le préfet du Val-d'Oise Amaury de Saint-Quentin a remis à Matignon un rapport contenant une liste éclectique de projets envisageables autour de la gare, sur 110 hectares: une "cité scolaire à vocation internationale", un "centre de conservation" de la Bibliothèque nationale de France, un relais du marché de Rungis...Les arbitrages seront rendus par Jean Castex qui doit dévoiler, "a priori fin mars" selon Matignon, un "plan" pour ce département francilien qui compte quelque 123.000 personnes pauvres."Risque irréversible"Mais les opposants refusent tout aménagement et veulent conserver ces "terres fertiles" grâce à un projet alternatif agricole basé sur les circuits courts."Depuis quarante ans, ils ont toujours eu envie, essayé, de bétonner" le site, maugrée Bernard Loup, infatigable président du Collectif pour le Triangle de Gonesse (CPTG).Ce projet est "complètement inutile par rapport aux besoins des habitants du territoire qui réclament que les centaines de millions fléchés sur la desserte du Triangle soient réorientés vers l'amélioration de leurs transports du quotidien", conspue le CPTG.Le coût de la ligne 17 est évalué à près de 3 milliards d'euros.Le collectif - appuyé par certains élus- soutient une "zone à défendre" (ZAD) qui occupe depuis le 7 février une partie du site, d'où doit partir un tunnelier."C'est un risque majeur, irréversible, que de voir ces terres artificialisées alors que l'Accord de Paris (sur le climat de la COP21, ndlr) a été signé à quelques kilomètres de là au Bourget (...) et alors même que tout le monde, la main sur le coeur, multiplie les discours verts", tacle Julien Bayou, le secrétaire national d'EELV.La Fédération nationale des usagers de transports (Fnaut), qui conteste depuis longtemps l'intérêt de cette ligne, demande le gel du chantier.La Société du Grand Paris (SGP), chargée de construire le supermétro, a pourtant entamé des travaux préparatoires sur site. "La ligne 17 garde son utilité" car elle est "un vrai itinéraire des transports du quotidien", affirme son président Thierry Dallard.La gare, "c'est devenu le totem de la gauche: si vous êtes pour l'urbanisation du Triangle, vous êtes pour siphonner la planète", déplore l'élu régional socialiste Ali Soumaré, convaincu que des projets agricoles et d'autres, "structurants et raisonnables", peuvent "cohabiter".Sous de tels auspices, la mise en service de la gare a déjà été repoussée à 2028.
Il y a 4 ans et 116 jours

Connaître l'histoire des bâtisseuses, une conférence en ligne

Qui ont été les premières femmes architectes au XXe siècle? Qu’ont-elles construit et quelles voies ont-elles ouvertes aux architectes contemporaines? Alors que la féminisation de la profession se poursuit selon la dernière enquête Archigraphie, passant en près de vingt ans de 16,6 à 30,7% (notamment chez les moins de 35 ans), une […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 116 jours

Superbe intégration pour cette maison semi-enterrée grecque en front de mer

NCAVED est une résidence semi-enterrée conçue en 2020 par Mold Architects et située à Agios Sostis, sur l’île de Mykonos en Grèce. [De l’architecte] NCaved est située sur une petite crique rocheuse apparemment isolée juste au-dessus du niveau de la mer. La nécessité de créer un abri protégé, pour un panorama exceptionnel, mais ouvertement exposé à de forts […]
Il y a 4 ans et 116 jours

Entretien croisé : élections ordinales, architectes mobilisez-vous !

La fin du premier tour des élections ordinales régionales s’est déroulée le 2 février pour élire les représentants du Conseil Régional de l’Ordre des architectes d’Île-de-France (CROAIF). En région parisienne, seulement 16 % de votants se sont mobilisés lors de ce premier tour. Deux listes se présentent : Mouvement des Architectes et Défense profession architecte. Nous avons effectué un entretien croisé avec trois personnes impliquées dans ces élections ordinales de la région...
Il y a 4 ans et 117 jours

Ré architecture : Valentin Studio

Ré architecture a rénové un ancien local de 170 mètres carrés pour accueillir les nouveaux bureaux de Valentin Studio. Dans ce projet de réhabilitation, les architectes ont fait le choix de révéler le potentiel du bâti existant en jouant sur les volumes et les matériaux. Aperçu. Pour le studio de création 3D Valentin Studio, l’agence lyonnaise Ré architecture a transformé un ancien local commercial en un espace de travail contemporain. Spécialisées dans les travaux de rénovation et de restructuration, les architectes associées Claire Meunier et Pauline Suhr ont porté une attention particulière à l’histoire du bâtiment, ainsi qu’à ses volumes et ses matériaux, de façon à transformer le local en un espace de travail fonctionnel et chaleureux. Les nouveaux bureaux de Valentin Studio peuvent surprendre par le dévoilement des matériaux du bâtiment existant. Doté d’un plafond en béton et bois, le local a été transformé en un environnement de travail aggréable mêlant éléments d'architectures anciens et mobilier contemporain. Par la mise en valeur de la matière, les architectes ont conçu deux espaces – un open space et une salle de créativité – reliés par un module multiusage en liège. Fonctionnels, ouverts et lumineux, ces bureaux conjuguent l’élégante sobriété des matériaux bruts à la contemporanéité de l’agencement et du mobilier. Ré architecture livre des bureaux contemporains, propice à la créativité.Pour en savoir plus, visitez le site de Ré architecture. Visuels : © Studio Module / Aurélien AumondLa rédaction
Il y a 4 ans et 117 jours

A Grenoble, le restaurant universitaire Diderot par Chapuis Royer

Au coeur de Campus de Grenoble à Saint-Martin-d’Hères (Isère), ce projet de 4 400 m2 (11,4 M€ HT) livré en août 2020 par l’agence grenobloise Chapuis Royer (Christine Royer, Dominique Chapuis) propose un concept mixte pour dynamiser la restauration universitaire : des lieux gourmands et accueillants jusque dans ses aménagements et son identité graphique. Communiqué. […] L’article A Grenoble, le restaurant universitaire Diderot par Chapuis Royer est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 118 jours

Travaux d’école – Architecture et design : quand l’expérimentation et la participation transforment l’école

Les lieux transforment-ils la pédagogie, ou la pédagogie transforme-t-elle les lieux ? L’école publique française est un système complexe qui dépend de nombreux acteurs. Lieu institutionnel par excellence, elle reste pourtant le berceau de l’apprentissage, qui comprend l’audace, l’échec parfois, la prise de risque souvent. Jusqu’au 17 mars 2021 à l’Espace Chabrier, Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire) Alors, […] L’article Travaux d’école – Architecture et design : quand l’expérimentation et la participation transforment l’école est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 118 jours

Ecoles Saint-Exupéry et Weissenburger, à Noyon, signées Vallet de Martinis

L’agence parisienne Vallet de Martinis (Antoine Vallet et Guillaume de Martinis) a livré en 2020 à Noyon (Oise), en même temps et quasiment au même endroit, les deux groupes scolaires Weissenburger (15 classes, 2 171 m² SU, 4,3 M€ HT) et Saint-Exupéry (18 classes, 4,7 M€ HT, 2 413 m² SU). La mission aménagement de […] L’article Ecoles Saint-Exupéry et Weissenburger, à Noyon, signées Vallet de Martinis est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 118 jours

Le nouveau catalogue Collections d'extérieurs de Bradstone et Carré d'Arc est disponible

Fabemi a déjà sorti son catalogue Collections d’extérieurs 2021, qui offre des idées originales à celles et ceux rêvant d’aménager leur jardin pour les beaux jours.L’hiver est l’occasion idéale de réfléchir à un nouvel aménagement extérieur, en s’inspirant des riches collections BRADSTONE et CARRÉ D’ARC fabriquées par Fabemi. Élégamment présentés au fil des pages, les dallages, pavages et accessoires des deux marques feront le bonheur des paysagistes comme des particuliers. Les précisions techniques sur le calepinage et le montage des éléments complètent par leur aspect pratique les photos et les mises en scène esthétiques. Avec Collections d’extérieurs 2021, les idées prennent forme pour que les projets prennent vie.Un vert clair séduisant anime les onglets et les à-plats du catalogue Collections d’extérieurs. Cela apporte une note printanière bienvenue au sortir d’un confinement hivernal inédit. En ouverture, la ligne Béton Design BRADSTONE expose ses six célèbres collections, dont l’incontournable dallage Manoir, toujours très prisé en plage de piscine ou en terrasse. Les cinq autres membres de la famille – Bastide, Hadrien, Schistone, Armorique et New York –révèlent leur personnalité au travers de photos de décors extérieurs et de zooms sur chaque élément employé. Autant de sources d’inspiration avec, à la fin du chapitre Béton Design, des conseils pratiques sur les possibilités de calepinage, illustrés de schémas et accompagnés d’un nuancier des teintes disponibles.Puis vient le tour de CARRÉ D’ARC dont les généreuses collections se répartissent en quatre grandes catégories de matériaux : lignes Béton Design, Pierre Naturelle, Céramique et Béton Décoratif. Chaque partie est développée selon la même maquette avec, à la fin, conseils de pose, schémas et nuanciers. L’impressionnante variété des produits proposés offre au lecteur, professionnel ou particulier, toutes les informations susceptibles de l’aider à définir un projet d’aménagement extérieur. Pas seulement, car le décor intérieur est, lui aussi, très bien servi par les collections Eygalières, Avallon et Vaugelas CARRÉ D’ARC, des parements de mur qui conjuguent des qualités techniques et esthétiques remarquables, en extérieur comme dans un salon ou une chambre. Quant aux astucieux chaperons de mur, chapeaux et blocs de pilier, ils sont détaillés en fin de chapitre. Ainsi, l’ensemble des pages consacrées à CARRÉ D’ARC invitent à la découverte de solutions classiques, modernes, atemporelles, dont fait partie l’indémodable et généreuse gamme de pavés et autres pavages drainants, dans la ligne Béton Décoratif.Produits complémentairesLes produits de traitement et d‘entretien occupent une place à part, affirmant leur rôle indispensable pour assurer la pérennité d’un ouvrage. Ils intègrent le chapitre « Produits complémentaires », aux côtés des plots réglables polymères, des bordures de délimitation, des mortiers, joints et colles. Des précisions sur les produits côtoient les mises en scène photographiques.Cahier techniqueEn fin de catalogue, le cahier technique très fourni apporte tous les éléments nécessaires à la réussite de la pose. Photos, schémas, tableaux sur chaque gamme de produits, gestes de pose et explications détaillées garnissent ce chapitre structuré selon une logique rigoureuse.
Il y a 4 ans et 119 jours

Felix Distribution, un nouvel acteur dans la distribution bois outdoor

CREATION. Fiberdeck, filiale de bois composite de Forestia et Felix Clercx, importateur de bois tropicaux néerlandais, ont décidé de créer Felix Distribution, un spécialiste des produits d'aménagement extérieur en bois et bois composite.
Il y a 4 ans et 119 jours

Locations touristiques de type Airbnb : les règles de la Ville de Paris validées par la justice française

Avec cette décision, un appartement ne pourra plus être loué légalement plus de 120 jours par an sur une plateforme comme Airbnb, sans être déclaré comme un "local commercial", un changement d'usage très contraignant et, de facto, dissuasif.Le feuilleton est très suivi par les métropoles européennes, confrontées comme Paris à une pénurie de logements, et qui veulent mieux réguler les plateformes comme Airbnb, Booking.com, Tripadvisor ou Abritel/Homeaway.Dans différents arrêts rendus jeudi dans des affaires opposant des bailleurs à la municipalité, la Cour de cassation a jugé que ce dispositif d'autorisation préalable visant les résidences secondaires était clair, adapté à la nécessité de lutter contre la pénurie de logements et n'était ni "arbitraire", ni "disproportionné".Les juges ont estimé qu'un bailleur désirant louer un logement pour "une durée inférieure à un an", à "la nuitée, la semaine ou au mois, à une clientèle de passage", devait procéder à un "changement d'usage": il devient un local commercial, sous réserve d'une autorisation municipale.Seules trois exceptions sont tolérées: les locations de résidences principales de moins de 120 jours par an, le bail mobilité (pour les personnes en contrats de travail courts), et les locations de 9 mois aux étudiants.La Cour a ainsi validé le mécanisme très contraignant dit de "compensation": une autorisation n'est délivrée au propriétaire souhaitant dédier une résidence secondaire à la location touristique de courte durée, que s'il achète un local commercial de surface équivalente -voire double dans certaines zones-, pour le transformer en habitation, afin de compenser la "perte de logement"."C'est une victoire très importante pour la Ville de Paris qui se bat depuis de nombreuses années pour réguler ces locations touristiques, mais aussi pour les autres villes françaises: de nombreux maires de tous bords politiques qui souhaitent réguler ce secteur vont pouvoir s'appuyer sur cette décision pour mettre en place des mécanismes de compensation similaires", s'est réjoui l'adjoint au logement (PCF) d'Anne Hidalgo, Ian Brossat.21 millions d'euros"C'est aussi une victoire pour le droit au logement" qui a souffert du développement de ces locations. De fait, avec la crise sanitaire qui a fait chuter la fréquentation touristique, "de nombreux logements" ont rebasculé vers des locations classiques, selon lui.Cette décision favorable va permettre à la capitale française de reprendre les poursuites judiciaires -suspendues depuis 2019 dans l'attente de cette clarification de la Cour de cassation- contre 420 bailleurs auxquels elle réclame en moyenne 50.000 euros, soit jusqu'à 21 millions d'euros d'amendes potentielles au total.De 2016 à 2019, la ville, qui attaque "en priorité les loueurs ayant de nombreuses propriétés" et emploie 35 agents dédiés aux contrôles, a empoché 5 millions d'euros d'amendes, a précisé M. Brossat.Pour Airbnb, qui rappelle n'être "pas partie prenante de cette affaire", cette décision ne concerne qu'"une minorité d'hôtes louant leur résidence secondaire en meublé touristique", alors que la plupart louent leur résidence principale. "95% des logements entiers loués l'an dernier l'ont été moins de 120 jours", dit-elle."En disant cela, Airbnb donne l'impression que 95% des logements loués sur sa plateforme sont en conformité avec la loi, mais c'est loin d'être le cas: plus de 60% des annonces n'ont pas de numéro d'enregistrement et beaucoup de logements loués moins de 120 jours mais qui ne sont pas des résidences principales, n'ont pas demandé de changement d'usage, et sont donc en infraction", ont précisé les services de la ville.Cinq mois plus tôt la Cour de justice de l'Union européenne basée à Luxembourg avait déjà estimé que la législation française encadrant la location de résidences secondaires sur Airbnb était conforme à la réglementation européenne, tout en renvoyant aux juridictions françaises le soin d'examiner les mécanismes de compensation créés par les villes.
Il y a 4 ans et 119 jours

Bouygues et Ricciotti signeront la cité scolaire internationale de Marseille

PROJET. Le groupe Bouygues a remporté, aux côtés des architectes Richard Carta et Rudy Ricciotti, le projet de cité scolaire internationale de Marseille. Le futur établissement sera le premier du genre en France à regrouper écoliers, collégiens et lycéens, pour une ouverture prévue en 2024.
Il y a 4 ans et 119 jours

Les canopées de l’Atelier Déambulons ou la légèreté de la lamelle de bambou

Depuis 2018, Atelier Déambulons réalise des canopées d’une très grande légèreté. Jardin, espace de détente ou objet manifeste… Les lamelles de bambou manufacturées à partir une ressource locale et mises en œuvre par l’atelier lyonnais se prêtent à toutes les audaces architecturales. Canopée du jardin des Tuileries Il s’agit ici d’une scénographie extérieure réalisée en […] L’article Les canopées de l’Atelier Déambulons ou la légèreté de la lamelle de bambou est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 119 jours

Les dernières annonces du gouvernement sur la RE2020 divisent les professionnels du bâtiment

Pour les principales organisations professionnelles du secteur, des évolutions bienvenues mais qui demandent à être confirmées dans les textesL'USH, la FPI, le Pôle Habitat FFB, la FFB, la Fédération SCOP BTP, la CAPEB, l'UNSFA et l'UNTEC se félicitent des ajustements présentés par le gouvernement ce jeudi 18 février sur les projets de texte de la future RE2020.Les signataires saluent les avancées, fruit des nombreux échanges de la filière avec l'administration et les cabinets d'Emmanuelle Wargon et de Barbara Pompili. Les ajustements sont de plusieurs ordres.Les premiers concernent les modalités de mise en œuvre, dont le décalage de l'entrée en vigueur au 1er janvier 2022, la modification des échéances suivantes à 2025, 2028 et 2031, et la consolidation d'une clause de revoyure récurrente, tous de nature à faciliter une mise en œuvre progressive et adaptée.Les signataires saluent également la volonté affichée de ne pas exclure la filière du gaz vert et certaines solutions industrielles, qui devront, par l'innovation, trouver leur place.Enfin, des volets absents des projets de texte initiaux ont fait l'objet d'un arbitrage positif, comme la mise en place d'un observatoire national qui permettra un véritable retour d'expérience.Néanmoins, les organisations signataires regrettent l'absence de l'évaluation des impacts pour l'occupant, et des bénéfices complémentaires qui auraient pu être intégrés à la réglementation.Dans cette logique, les organisations signataires souhaitent que dès à présent une analyse soit menée pour évaluer les surcoûts de construction imposés par la nouvelle réglementation et que la méthode d'ACV soit assise sur une méthode normalisée, l'ACV dynamique dite simplifiée pour être intégrée dans la réglementation, devra s'appuyer sur une procédure de normalisation à l'échelle européenne.L'évolution de l'ACV, comme l'ensemble des seuils retenus ce jour, sera soumise à une clause de revoyure. Au surplus, ils souhaitent que des garanties soient apportées sur la mise en adéquation des seuils de prise en compte de l'impact carbone tant des infrastructures et que des parkings en sous-sol.Les organisations se félicitent de l'annonce par la ministre d'une prochaine présentation des textes règlementaires ainsi modifiés au CSCEE. Plusieurs ajustements complémentaires restent toutefois en suspens et demandent des réponses pragmatiques, pour adapter les marches à franchir et de cheminer vers une RE2020 véritablement ambitieuse, abordable et durable. Elles feraient de la RE2020 un facteur de préservation du pouvoir d'achat des ménages et des emplois dans le bâtiment, et un vecteur d'innovation du secteur de la construction et de ses filières.Les organisations signataires : USH / FPI / Pôle Habitat FFB / FFB / SCOP BTP / CAPEB / UNSFA / UNTECLes filières industrielles des matériaux de construction "sous le choc"Après avoir alerté les pouvoirs publics et souligné les incohérences relatives à l’introduction dans la Réglementation Environnementale des Bâtiments (RE2020) d’un nouveau mode de calcul du poids carbone, dit « Analyse du Cycle de Vie (ACV) dynamique simplifiée », les industriels s’interrogent sur l’obstination du gouvernement à faire passer en force cette comptabilisation contestée du carbone.Alors que le 26 janvier dernier, les différents acteurs de la filière construction réunis au sein du Conseil Supérieur de la Construction et de l’Efficacité Énergétique (CSCEE) s’étaient tous exprimés pour un retour à une méthodologie d’ACV normée, la Ministre a choisi de maintenir son projet et pris une décision qui constitue une véritable dérive de la Loi.Avec le passage d’une approche normée à une approche dynamique simplifiée, l’avantage artificiellement donné pour favoriser les produits biosourcés est tel que le seul levier valable pour réduire l’empreinte carbone des bâtiments de demain sera donc une utilisation massive de ces produits, avec une logique de surconsommation de bois, au détriment d’une réflexion de fond relative à la conception des bâtiments, aux modes constructifs ou au mix matériau. Les résultats rendront inutiles tout effort de décarbonation des autres filières puisque le bois, avec son empreinte carbone devenue brusquement négative, permet à lui seul d’atteindre les seuils fixés par la réglementation.Cette décision qui constitue donc un véritable frein aux engagements pris et aux nombreux projets d’investissements déjà en cours pour décarboner les secteurs industriels, représente également un risque de délocalisation, fragilise de nombreuses entreprises et en particulier des PME, et s’inscrit en totale contradiction avec le plan de relance du gouvernement.L’incompréhension de ces industriels est d’autant plus grande que cette décision politique contredit les règles faisant consensus en Europe, créant des distorsions de concurrence entre produits, en s’affranchissant des méthodes communément établies de comptabilité des émissions…Selon eux, favoriser les constructions « bas carbone » ce n’est pas recourir massivement au bois et aux matériaux biosourcés ! La décarbonation c’est l’affaire de toutes les filières qui se sont engagées dans cette voie, c’est la mixité des solutions, c’est compter sur l’intelligence collective pour favoriser des solutions durables, locales, en s’appuyant sur les compétences des centaines de milliers de compagnons qui travaillent dans les territoires.Les organisations signataires : A3M / SCMF / Aluminium France / SNFA / FFTB / UNICEM / UPB / FILMM
Il y a 4 ans et 119 jours

Notre-Dame de Paris : des études pour reconstruire charpente et flèche en bois dévoilées

PATRIMOINE. L'association Restaurons Notre-Dame vient de dévoiler ses premières études pour la restitution de la charpente et de la flèche de la cathédrale parisienne en recourant au matériau sylvestre. Ces propositions s'inscrivent dans un programme d'études scientifiques et universitaires en trois phases, et font office d'aide à la décision.
Il y a 4 ans et 119 jours

Suez et Bouyges Construction testent leurs premiers modèles d'assistant numérique pour les opérateurs de bâtiment et de l'industrie (Anobi®)

Supportant les projections, ce terminal est compatible avec le port des gants de sécurité, et l’écran a été spécialement conçu pour être lisible dans toutes les conditions extérieures possibles même les plus extrêmes. Ces caractéristiques techniques associées à une batterie à haute autonomie font de ce nouvel équipement une réponse efficace aux besoins et contraintes du terrain, aux exigences de sécurité et à la recherche de performance des acteurs de l’industrie.En 2017, après avoir travaillé deux ans au sein de Ideas Laboratory®, aux côtés d’Air Liquide et du CEA sur l’émergence du concept et sur plusieurs prototypes d’équipements connectés pour les opérateurs du terrain, SUEZ et la R&D de Bouygues Construction se sont concentrés sur le développement du manchon connecté, ANOBI®, les deux groupes ayant identifié de nombreux freins à l’utilisation de smartphones classiques par les opérateurs, tels que la nécessité de retirer ses gants pour la consultation ou la saisie d’informations dans leurs applications, des difficultés à lire l’écran selon la luminosité extérieure ou une fragilité en cas d’exposition à des projections. SUEZ et Bouygues Construction en partenariat avec le E-Lab, laboratoire d’innovation du groupe Bouygues et la société TXCUBE ont décidé de travailler à la conception et l’industrialisation d’un matériel connecté innovant répondant aux besoins de nombreux acteurs du secteur industriel.ANOBI® est ergonomique, il se fixe facilement à l’avant-bras de l’opérateur. Libre de ses mouvements, celui-ci peut réaliser les tâches du quotidien sans être gêné et consulter à tout moment ses applications chargées sur le terminal. La technologie E-Ink® (noir et blanc) retenue pour l’écran garantit une lisibilité optimale aussi bien en pleine obscurité qu’en cas de forte luminosité. Son principal atout est sa manipulation compatible avec le port des gants grâce à ses six boutons poussoirs, dont un dédié aux appels d’urgence pour les opérateurs isolés. L’opérateur a également la possibilité d’utiliser la fonctionnalité « appareil photo » pour notifier d’une situation en temps réel. Le scan de QR code, NFC ou RFID est également disponible. Enfin, les séries de tests et d’améliorations apportées pendant plusieurs mois ont permis d’aboutir à un modèle résistant aux projections de liquide, de matières, mais aussi à des températures extrêmes (de – 10° C à + 50° C) sans pour autant altérer l’autonomie de la batterie. SUEZ et Bouygues Construction ont déjà adopté ce terminal pour plusieurs de leurs activités. SUEZ l’expérimente actuellement dans les villes de Bordeaux, Dijon, et en Ile-de-France, avec une application métiers, pour recueillir en temps réel des données, par exemple le nombre de corbeilles collectées par jour, leur localisation, leur taux de remplissage, la qualité du tri ou encore les besoins de remplacements du mobilier urbain... Ces données renforcent la traçabilité des activités et améliorent leur performance, au bénéfice des équipes terrain et de leurs clients. Sur les chantiers de Bouygues Construction de Saclay pôle BPC et de Bobigny, ANOBI® facilite la gestion des approvisionnements en matières avec la lecture par QR code des bons de livraison et leur suivi (volume reçu, utilisé…), il rend aussi possible la consultation par les opérateurs des tâches à réaliser, l’affectation d’un état (démarrée, en pause, réalisée), ou encore du temps passé sur chacune. Connecté au Wifi des chantiers, ANOBI® permet également de localiser rapidement du matériel ou des équipements (les bennes à déchets ou extincteurs).Grâce à un système ouvert d’intégration d’applications, le champ d’utilisation d’ANOBI® est large et peut être utilisé par de multiples acteurs industriels, dans la logistique, l’énergie, le bâtiment, le transport. Au total, ce sont déjà six applications métiers que SUEZ et la R&D de Bouygues Construction ont développées et qui sont utilisées par les opérateurs avec ANOBI®. Basé sur une architecture Android, le développement d’applications supplémentaires est réalisable par les directions informatiques des entreprises utilisatrices ou par des sociétés spécialisées.
Il y a 4 ans et 119 jours

L’ambitieuse évolution digitale de Tryba

En 2020, la marque Alsacienne s’est lancée un défi ambitieux, digitaliser sa force de vente et ses Espaces-Conseil présents sur l’ensemble du territoire national.Pour répondre davantage aux attentes de ses commerciaux et concessionnaires, Tryba adécidé que 2020 serait l’année de la digitalisation. En cette fin d’année, le bilan est positifavec la mise en place d’une tablette-PC nouvelle génération, d’une application mobile et d’un pack digital. En cette période si particulière dûe à la Covid-19, cette évolution tombe à pic car elle permet à Tryba de s’adapter et surtout de garder un contact privilégié avec sesclients et futurs clients malgré le confinement.Une force de vente qui se digitaliseDepuis la rentrée de septembre, la force de vente Tryba a vu ses outils évoluer ! Exit lesdocuments papier, place à la tablette-PC nouvelle génération qui équipe désormais de plusen plus de commerciaux du réseau. Sur cette dernière, les équipes de Tryba retrouvent tousles outils métiers dont ils ont besoin sur un bureau unique : une technologie avancée,pensée pour être simple et efficace !En effet, cette tablette-PC et la nouvelle solution intégrée CRM* Métier qui va avec, annoncent véritablement la dynamique digitale du réseau, car en plus d’être des outils très performants, ils permettent aux concessionnaires et aux commerciaux d’avoir accès auxmêmes documents en un clic, et de pouvoir les modifier et les faire évoluer en fonction de l’avancée du dossier. Pour exemple, dorénavant, les clients signent électroniquement les éléments de leur dossier. Une nouveauté qui séduit véritablement les acheteurs notamment par sa facilité et sa rapidité.Enfin, Tryba a développé une nouvelle application mobile qui permet à sa force de vente deprendre en photo l’évolution des réalisations, en particulier les fins de chantier, et de lespublier en 3 clics sur son site et sur les réseaux sociaux. Un outil fédérateur qui donne desidées et des exemples d’utilisations et d’adaptabilité des produits Tryba. Un vrai plus pourdonner envie, tout en montrant la qualité et le design de la marque aux futurs clients.Le pack digital : Une visibilité assuréeGrâce au Pack Digital, lancé en début d’année, Tryba assure une réelle visibilité à sesEspaces-Conseil. En effet, via une présence web locale boostée, ce sont plus de 300concessions, réparties sur toute la France, qui deviennent incontournables !Au sein de ce pack, les équipes de Tryba ont réuni les méthodes indispensables pourgagner en visibilité au sein de sa zone de chalandise : la gestion du référencement web de la concession, des campagnes e-marketing et un accompagnement sur les réseaux sociaux.Grâce à ses trois leviers, les Espaces-Conseil ont affiché des résultats sans précédent :+30% de contacts web sur le 1er semestre 2020.* Customer Relationship Management (gestion de la relation client)
Il y a 4 ans et 119 jours

Concours d’idées pour une meilleure prise en compte des risques naturels dans les projets urbains

Suite à l’appel à manifestation d’intérêt qui s’est déroulé en février 2020, un appel à candidatures au concours d’idées pour une meilleure prise en compte des risques naturels dans les projets urbains est lancé par le ministère de la Transition écologique. Jusqu’au 25 mars 2021. Neuf collectivités ont été retenues en raison de l’exemplarité et […] L’article Concours d’idées pour une meilleure prise en compte des risques naturels dans les projets urbains est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 119 jours

Aménagement extérieur : naissance de Felix Distribution

Felix Clercx (BV & Gmbh) et Fiberdeck (SAS) ont donné naissance à un spécialiste des produits d’aménagement extérieur en bois et bois composite avec un portefeuille de marques conséquent.
Il y a 4 ans et 119 jours

A Villeurbanne, le groupe scolaire Rosa Parks signé Brenac&Gonzalez

L’agence Brenac&Gonzalez a livré en 2019 à Villeurbanne (Rhône) le groupe scolaire Rosa Parks (3 900 m² – 9,4 M € HT), lequel s’insère dans la ZAC Gratte-ciel, vaste opération de renouvellement urbain, qui offre une nouvelle identité au centre de Villeurbanne. Il prend place à l’entrée du futur quartier et établit le lien avec […] L’article A Villeurbanne, le groupe scolaire Rosa Parks signé Brenac&Gonzalez est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 119 jours

Toulouse : LafargeHolcim investit 3 M€ pour moderniser la centrale de Larrieu

LafargeHolcim a proposé une enveloppe de 3 M€ pour rénover son site de production à Toulouse.
Il y a 4 ans et 119 jours

Essai au feu concluant pour le béton de chanvre

Le Centre d’essai au feu du Cérib a soumis une façade en béton de chanvre à un incendie à travers le test Lepir 2. [©Cerib] Durant l’automne 2020, le Centre d’essais au feu du Cérib a conduit, le 16 octobre 2020, pour l’association “Construire en Chanvre” un test Lepir 2. Autrement dit, un essai de résistance au feu grandeur nature. Ceci, sur une paroi en béton de chanvre. Objectif : compléter les références déjà acquises pour ce matériau de construction en matière de comportement au feu. Les résultats sont désormais disponibles… Rappelons que le béton de chanvre est le mélange d’un liant minéral (chaux), d’un granulat végétal labellisé, obtenu après défibrage de la tige de chanvre, et d’eau. Une mise au point qui remonte à 1986, date à laquelle une première maison a été rénovée, en utilisant un béton de chanvre. « Ce test s’inscrit dans la continuité du programme d’essais au feu réalisés pour l’évolution des règles professionnelles. Avec le soutien financier du programme Pacte », précise Philippe Munoz, référent “Construire en Chanvre” pour ce programme. Le corps d’épreuve est une façade en béton de chanvre de 30 cm d’épaisseur, de 5,75 m de large et 6,55 m de haut (deux étages), avec une ossature bois noyée en son sein. Et une finition extérieure avec un enduit chaux-sable. Cet ensemble a été soumis à un feu très violent pendant 1 h. Une température de 1 100 °C après 36 mn d’incendie « Le but était de voir comment se comportait la façade, en termes de propagation des flammes. De vérifier que le feu ne se diffuse pas par la jonction entre la façade et le plancher entre les deux étages. Et de s’assurer que la température ne dépasse pas 180 °C. Sur la face supérieure de ce plancher », détaille, Christophe Tessier, directeur du Centre d’essais au feu du Cérib. L’analyse de l’ensemble des relevés de température issu des 125 thermocouples équipant la façade en béton de chanvre et ossature bois a permis de confirmer les appréciations qualitatives formulées lors de l’essai. L’élément soumis à essai est déclaré… « conforme à la réglementation applicable vis-à-vis de la non-propagation du feu par les façades pour une durée de 60 mn » (extrait de l’appréciation de laboratoire n° 026090). A l’instar de ce que laissait présager « la hauteur impressionnante des panaches de flammes », la sollicitation a bien été extrêmement sévère : la température dans la chambre de feu a dépassé 1 100 °C après 36 mn pour revenir à 900 °C en fin d’essai. Et les deux panaches de flammes atteignant 950 à 1 050 °C ont sollicité la maquette par l’extérieur. Le béton de chanvre, bon pour le service En réponse, l’enduit extérieur de 2 cm est resté adhérent au béton de chanvre.  Ce dernier a aussi joué son rôle d’écran de protection thermique de l’ossature bois noyée. En effet, à l’exception des linteaux et des doubles montants au niveau des ouvertures, aucun bois d’ossature n’a dépassé 100 °C pendant l’essai. Le dernier résultat attendu était le comportement de la jonction façade/plancher intermédiaire pour laquelle l’élévation de température admissible en face non exposée de plancher (face supérieure) mesurée à 50 mm en retrait de la façade est bornée à 180 °C. Résultat obtenu : 44 °C ! Soit le quart de la valeur limite. A cet instant, il y avait plus de 800 °C d’écart de température entre la face supérieure du plancher et la chambre de feu (26 cm plus bas)… La parution de l’Appréciation de laboratoire n° 026090 sera disponible sur la partie publique du site Internet de “Construire en Chanvre” (au même titre que le PV de classement EI 240). Une chose est certaine : le béton de chanvre est bon pour le service, pour une utilisation en façade.
Il y a 4 ans et 119 jours

Kévin Badia du réseau Vertikal®, lauréat de la décennie aux Trophées de l'IREF

C'est Kévin Badia, dirigeant d'Espace Façades l'entreprise fondatrice du réseau, qui a cette année représenté l'enseigne pour la 33ème édition du concours des "Meilleurs Franchisés & Partenaires de France".Il s'est vu décerné le plus grand prix décerné par l'IREF et également inédit : le Grand Prix "Lauréat de la décennie". Un titre d'honneur remporté par le jeune dirigeant sur le plateau de BFM Business en présence d'Emmanuel Lechypre, Editorialiste économique et Michel Kahn, Président de l'IREF. Sa progression constante ainsi que son exemplarité au sein du réseau VERTIKAL® en tant qu'entreprise vitrine du concept, ont ainsi été récompensées.Ce Grand Prix a également été l'occasion de saluer l'initiative solidaire du jeune dirigeant au printemps dernier, permettant au Réseau de reverser près de 32.000 € au profit des soignants de la Covid-19, partout en France.Le trophée inédit de Lauréat de la décennie reçu par Kévin Badia aux côtés des 56 autres lauréats primés lors de la cérémonie (parmi lesquels de grands noms de la franchise comme Alain Afflelou, Ixina, le réseau Temporis ou encore Carrefour Market), consacre la réussite du Groupement VERTIKAL® et plus spécifiquement celle de Kévin Badia. Il salue notamment ses performances au sein de son entreprise, Espace Façades, dans chacune des thématiques mises à l'honneur lors de la cérémonie :Développement commercial et économique : Espace Façades fait preuve d'une progression constante et détient notamment le record du plus grand nombre d'affaires traitées sur une année depuis l'origine de la marque VERTIKAL®.Transformation digitale : Depuis plusieurs années Kévin Badia capitalise sur les outils digitaux mis à sa disposition pour développer son entreprise. Autre record pour Espace Façades : celui du nombre d'action digitales menées et de retombées commerciales générées en conséquence.Management : Espace Façades, en tant qu'entreprise fondatrice du Réseau se positionne comme vitrine de la marque VERTIKAL®. Grâce à une mise en application exemplaire des clés du concept, le jeune dirigeant contribue notamment à la formation de ses pairs intégrant le Réseau.Qualité des prestations : Son exemplarité s'élève aussi sur la qualité des prestations de son entreprise. En effet, la première plateforme de notation clients de l'habitat, EldoTravo.fr, lui attribue une note de 4,9/5 sur 197 avis clients vérifiés, assortis de plus de 391 photos.Action Citoyenne et Solidaire : Au printemps dernier, Kévin Badia a pris la décision une décision pour le moins originale et surtout solidaire : reverser 5% de son chiffre d'affaires réalisé sur la période du 17 mars au 17 juin 2020. Dix de ses pairs au sein du Réseau VERTIKAL®, ont décidé de le suivre. Pour démontrer son soutien et appuyer les initiatives des entreprises de son groupement, l'enseigne VERTIKAL® a ajouté 20% au montant versé par chacune d'entre elles. Une initiative qui a permis de récolter au total 31 920 € en faveur du personnel soignant de la COVID-19 : « Nous faisons parties des entreprises qui ont la chance de à maintenir une activité alors que nous traversons une crise sans précédent », indique le jeune dirigeant.
Il y a 4 ans et 119 jours

Un projet de cité scolaire internationale de Marseille remporté par Bouygues et Ricciotti

Première cité scolaire internationale de France à regrouper à la fois des écoliers (420), des collégiens (720) et des lycéens (1050), cet ensemble ouvrira ses portes en 2024, a précisé Renaud Muselier, le président LR de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, maître d'ouvrage de cette opération.Le groupe de BTP concurrent Eiffage a déposé mardi un recours en référé devant la justice administrative, a aussi indiqué Renaud Muselier. "Mais c'est un recours de mauvais perdant", a-t-il insisté, "je n'ai pas d'inquiétude".Lancé en 2018, pour un montant total de 100 millions d'euros, partagé par la région (49%), le département (37%) et la ville de Marseille (14%), ce projet verra le jour au coeur d'Euroméditerranée, quartier ultra-moderne autrefois occupé par les docks.Les futurs bâtiments devraient être au maximum respectueux de l'environnement, avec des matériaux principalement locaux, bio-sourcés notamment des bétons bas carbone ou des bétons fibrés. Quant à la résille extérieure de la cité, la signature Ricciotti, elle sera en fibres de lin originaires de France."A l'abri du mistral et de la castagne solaire, autour d'un jardin, cet ensemble scolaire sera un espace protégé, sur le modèle clos du cistercien", a insisté l'architecte, en espérant qu'il attirera "une population nouvelle à Marseille".Mais pas question pour Pierre-Marie Ganozzi, l'adjoint en charge des écoles à la ville de Marseille, de laisser les petits Marseillais hors de ce nouvel établissement: "Il faudra une vraie mixité, pas seulement des enfants de cadres supérieurs ou de CSP+++"."Cette cité est conçue pour tous les élèves sur le territoire marseillais, j'y tiens vraiment", a ajouté le recteur de l'académie d'Aix-Marseille, Bernard Beignier, en précisant que "la règle sera bien celle de la gratuité, comme dans l'ensemble de l'enseignement public".Les enseignements seront au départ dispensés en cinq langues, l'anglais, l'espagnol, l'allemand, le mandarin et l'arabe.Le style Rudy Ricciotti est bien connu des Marseillais puisqu'il a conçu le MuCEM (Musée des Civilisations d'Europe et de Méditerranée) en 2012, bâtiment situé à l'entrée du Vieux-Port et entouré d'une résille de béton devenu un emblème de la ville.
Il y a 4 ans et 119 jours

RE2020, c’est pour le 1er janvier 2022

Emmanuelle Wargon, ministre déléguée auprès de la ministre de la transition écologique, chargée du Logement, a réuni par visioconférence les principaux représentants du monde de la construction afin d’annoncer les dernières décisions concernant la nouvelle réglementation environnementale des bâtiments neufs. L’entrée en vigueur de la RE2020 sera finalement fixée au 1er janvier 2022, après une publication des textes d’ici la fin du premier semestre. Conservant un calendrier rapide de mise en œuvre, cette date laisse les quelques mois nécessaires à l’ensemble de la filière et notamment aux concepteurs et promoteurs pour mettre leurs projets à venir en conformité avec les nouvelles exigences. La mise en œuvre de la RE2020 sera par ailleurs l’occasion de simplifier les formalités administratives au moment du dépôt du permis de construire. De la même manière et afin d’assurer que la trajectoire fixée par la RE2020 permet aux innovations et développements industriels nécessaires de se déployer à temps, les autres jalons prévus par la RE2020 sont décalés d’un an (les dates de 2024, 2027 et 2030 devenant 2025, 2028 et 2031). Les ministres ont pu, lors des annonces du 24 novembre dernier, souligner la place croissante que seront amenés à prendre le bois et les matériaux biosourcés dans le futur de la construction. Emmanuelle Wargon a cependant tenu à souligner devant les acteurs réunis ce jour que la réglementation repose sur une exigence de résultat et non de moyens, permettra de faire place à la diversité des modes constructifs et favorisera la mixité des matériaux. Au-delà de l’usage de matériaux qui stockent le carbone (bois et biosourcés), cette nouvelle réglementation encouragera le recours aux matériaux géosourcés (comme la pierre de taille ou la terre crue) et aux matériaux plus usuels (brique et béton notamment) qui se seront décarbonnés, ainsi que l’introduction de davantage de mixité des matériaux. Emmanuelle Wargon a annoncé également l’ouverture d’un Appel à manifestations d’intérêt (AMI) dédié à la mixité des matériaux, financé par le Programme d’investissements d’avenir (PIA 4).   Tableau : les émissions liées à l’utilisation d’énergie lors de la phase «chantier» seront prises en compte avec des seuils qui globaliseront l’Ic_composants et les émissions de la phase chantier.  
Il y a 4 ans et 119 jours

Développement du lamellé-collé de hêtre en structures

Le hêtre, deuxième essence feuillue la plus répandue en France, est aujourd’hui très utilisé dans les menuiseries et le mobilier, à la fois dans le secteur tertiaire et résidentiel. Ses qualités sont en effet nombreuses : résistance, dureté, esthétisme, facilité et rapidité de mise en œuvre, etc. Pour autant, il n’est aujourd’hui pas exploité pour les composants de structure des constructions bois. Développer cet usage spécifique, c’est en effet le pari que s’est fixé Manubois, acteur du hêtre, basé en Normandie. Pour y parvenir, il a profité des compétences de l’Institut technologique FCBA et du soutien financier des régions Normandie et Île-de-France, via le projet Probois. Manubois a souhaité développer un produit et des process totalement adaptés. Avant d’en arriver au produit, c’est d’abord toute une série de process qu’il a fallu adapter : développement d’une nouvelle machine permettant de découper le bois à plus grande échelle, utilisation d’une colle plus performante et spécifiquement dédiée aux produits de structure… Une fois ces process adaptés et validés par FCBA, un produit en lamellé-collé de hêtre, utilisable en structures a pu être développé.
Il y a 4 ans et 119 jours

Le pari local du Cerema

Ingénierie territoriale -
Il y a 4 ans et 119 jours

La ville du quart d'heure, ou comment réconcilier les citadins avec la densité

Aménagement - L'organisation urbaine polycentrique théorisée par Carlos Moreno séduit les municipalités, même si son application se heurte à certaines limites.
Il y a 4 ans et 119 jours

Patrimoine et architecture : jeu de bonneteau au sein du ministère

Direction générale des Patrimoines et de l’Architecture, présidence de la cité de l’Architecture et du Patrimoine et présidence du château de Fontainebleau : les nominations viennent d’être rendues publiques par le ministère de la Culture. Jean-François Hébert est nommé directeur général des Patrimoines et de l’Architecture. Il remplace Philippe Barbat, en poste depuis 2018. Jean-François Hébert a présidé la Cité des sciences et de l’industrie de 2002 à 2007 avant...
Il y a 4 ans et 119 jours

Tours Duo : une livraison prévue à la fin de l'année 2021

Conçues par Ateliers Jean Nouvel pour l’investisseur Ivanhoé Cambridge et construites par Bateg, une filiale de Vinci Construction France, les deux tours Duo transforment déjà la skyline de l’Est Parisien
Il y a 4 ans et 119 jours

Roselyne Bachelot nomme un nouveau patron pour diriger le patrimoine

Comme nouveau directeur général des Patrimoines et de l'Architecture, "il s'attachera à mettre en œuvre la nouvelle organisation de cette direction, à accompagner les acteurs publics et privés du secteur confrontés à la crise sanitaire et à donner sa pleine efficacité au plan de relance en faveur du patrimoine qui atteint le niveau historique de 614 millions d'euros", a précisé le communiqué de la rue de Valois.Avec l'incendie de Notre-Dame de Paris en avril 2019 et les pertes d'emploi générées dans les territoires par la crise du Covid, le sujet du patrimoine, plébiscité par une majorité de Français, est devenu plus qu'avant un enjeu économique, politique et social. Jean-François Hébert dirigeait depuis 2009 l'établissement public de Fontainebleau, dont l'histoire récente a été marquée par une forte hausse de la fréquentation, des travaux de restauration, l'ouverture du théâtre de Napoléon III et la création du festival de l'histoire de l'art.Il remplace Philippe Barbat, "aux fonctions duquel il a été mis fin, à sa demande", précise le communiqué. M. Barbat a eu à gérer les chantiers législatifs de la souscription nationale pour Notre-Dame de Paris et de la restitution de biens culturels au Bénin et au Sénégal.
Il y a 4 ans et 120 jours

Le gouvernement annonce un report de 6 mois de la RE2020 et détaille les conditions d'entrée en vigueur

Emmanuelle Wargon, ministre déléguée auprès de la ministre de la transition écologique, chargée du Logement, a réuni par visioconférence ce jeudi 18 février les principaux représentants du monde de la construction afin d'annoncer les dernières décisions concernant la nouvelle réglementation environnementale des bâtiments neufs, la RE2020.Après l'annonce des principales orientations par Barbara Pompili et Emmanuelle Wargon le 24 novembre dernier, ces dernières décisions viennent clore une phase de consultation riche et intense, au cours de laquelle le Conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique (CSCEE) a rendu un avis et ses recommandations. Les ministres remercient l'ensemble des acteurs pour leurs contributions, qui ont permis de procéder à plusieurs ajustements du projet de réglementation afin d'en assurer sa mise en œuvre et son succès, tout en conservant son ambition initiale.En particulier, l'entrée en vigueur de la RE2020 sera finalement fixée au 1er janvier 2022, après une publication des textes d'ici la fin du premier semestre. Conservant un calendrier rapide de mise en œuvre, cette date laisse les quelques mois nécessaires à l'ensemble de la filière et notamment aux concepteurs et promoteurs pour mettre leurs projets à venir en conformité avec les nouvelles exigences. La mise en œuvre de la RE2020 sera par ailleurs l'occasion de simplifier les formalités administratives au moment du dépôt du permis de construire.De la même manière et afin d'assurer que la trajectoire fixée par la RE2020 permet aux innovations et développements industriels nécessaires de se déployer à temps, les autres jalons prévus par la RE2020 sont décalés d'un an (les dates de 2024, 2027 et 2030 devenant 2025, 2028 et 2031).Globalement, les exigences fixées par la RE2020, reflet des orientations du Gouvernement pour la transition écologique dans le secteur du bâtiment, demeurent inchangées, qu'il s'agisse de sobriété énergétique, de sortie des énergies fossiles, d'amélioration du confort d'été ou de décarbonation de la construction tout le long du cycle de vie. La concertation a permis de procéder à plusieurs ajustements.En matière d'énergiePour ménager la transition prévue à l'entrée en vigueur, des permis de construire pour des maisons individuelles chauffées au gaz pourront encore être obtenus jusqu'à fin 2023 lorsqu'un permis d'aménager prévoyant une desserte en gaz a déjà été délivré. Un régime spécifique sera également prévu pour encourager le développement des réseaux de chaleur, qui constitue un enjeu stratégique de la politique nationale de décarbonation du chauffage des bâtiments.En parallèle, la réflexion sur des mécanismes spécifiques de développement du biométhane pour les projets de construction se poursuivra.En matière de constructionLes ministres ont pu, lors des annonces du 24 novembre dernier, souligner la place croissante que seront amenés à prendre le bois et les matériaux biosourcés dans le futur de la construction. Emmanuelle Wargon a cependant tenu à souligner devant les acteurs réunis ce jour que la réglementation repose sur une exigence de résultat et non de moyens, permettra de faire place à la diversité des modes constructifs et favorisera la mixité des matériaux. Au-delà de l'usage de matériaux qui stockent le carbone (bois et biosourcés), cette nouvelle réglementation encouragera le recours aux matériaux géosourcés (comme la pierre de taille ou la terre crue) et aux matériaux plus usuels (brique et béton notamment) qui se seront décarbonnés, ainsi que l'introduction de davantage de mixité des matériaux.A cet égard, des ajustements concernant les seuils de l'impact carbone de la construction ont été présentés, qui, tout en conservant une pleine cohérence avec la stratégie nationale bas-carbone, permettent d'assurer qu'à l'horizon 2031 (dernier jalon fixé par la RE2020), des modes constructifs variés auront leur place et que, sous réserve de leurs engagements de décarbonation, tous les matériaux continueront d'être utilisés, selon leurs atouts respectifs.Des travaux de normalisation au niveau français et européen seront par ailleurs engagés sur la méthode d' « analyse en cycle de vie dynamique » retenue pour la réglementation pour décompter les émissions carbone tout au long de la durée de vie du bâtiment et prendre en compte le stockage temporaire du carbone.Afin d'accompagner la trajectoire ambitieuse que fixe la RE2020 et d'encourager l'innovation constructive, Emmanuelle Wargon annonce également l'ouverture d'un Appel à manifestations d'intérêt (AMI) dédié à la mixité des matériaux, financé par le Programme d'investissements d'avenir (PIA 4).Enfin, la réunion avec les parties prenantes a également été l'occasion d'échanger sur les enjeux d'industrialisation des processus et modes constructifs et des questions de compétitivité de la filière, à partir de la présentation par Robin Rivaton et Bernard Michel de leur rapport le sujet.Les professionnels du bâtiment vigilantsPour la FFB, les derniers arbitrages du gouvernement sur la règlementation environnementale 2020 (RE2020) vont dans le bon sens.De fait, affichant des ambitions qui restent très élevées, cette règlementation viendra renforcer la qualité environnementale des logements neufs et incitera les filières à innover. Elle constitue toutefois un pari sur l’avenir : certaines exigences à horizon 2028 / 2031 restent inatteignables avec les technologies actuelles et nécessitent de fortes évolutions de tous les métiers du bâtiment et dans l’industrie.Devant cette incertitude, la FFB se félicite de la mise en place d’une clause de revoyure « au fil de l’eau ». Elle permettra, en fonction des retours terrain recensés dans un observatoire ad hoc, d’adapter les exigences, à la hausse comme à la baisse.En revanche, la FFB regrette la stigmatisation du gaz et souhaite que les travaux pour la prise en compte du gaz vert se poursuivent.Pour Olivier Salleron, président de la FFB,« Dans sa nouvelle version, la RE2020 reste très ambitieuse et la FFB se félicite que la clause de revoyure permette, dans les prochaines années, d’adapter les exigences 2028 et 2031 à l’aune du retour d’expérience. Nous allons nous engager pour relever le challenge. Il faudra toutefois s’assurer de mesures d’accompagnement suffisantes pour permettre à nos clients de supporter les surcoûts associés à cette nouvelle marche et à nos entreprises de se structurer, se former et s’équiper en conséquence. »Historique de la réglementation thermique (RT)La première réglementation thermique a vu le jour en 1974, à la suite du choc pétrolier, avec pour objectif de fixer des limites de consommation énergétique pour les bâtiments résidentiels neufs. Au rythme d'environ une par décennie, les réglementations thermiques se sont succédé jusqu'à la réglementation thermique 2012 (RT2012), en application depuis le 1er janvier 2013 et aujourd'hui toujours en vigueur. Ces réglementations sont devenues plus exigeantes avec le temps et ont couvert des champs de plus en plus vastes. Chauffage, surface vitrée, ventilation ou encore isolation, elles ont néanmoins toujours gardé pour objectif quasi exclusif de réduire les consommations énergétiques. En signant l'Accord de Paris en 2015, la France a pris un engagement important dans la lutte contre le changement climatique. Les émissions de gaz à effet de serre doivent diminuer et l'effort se répartir parmi les différents secteurs. Cette ambition a été réaffirmée dans la loi énergie-climat qui prévoit d'atteindre la neutralité carbone en 2050. C'est un défi pour l'ensemble des secteurs et notamment celui du bâtiment, qui, représente plus de 25 % des émissions nationales en 2019, (en 2e position après les transports). Aussi, l'État, avec l'aide des acteurs du secteur, a lancé un projet inédit pour prendre en compte dans la réglementation non seulement les consommations d'énergie, mais aussi les émissions de carbone, y compris celles liées à la phase de construction du bâtiment : la réglementation environnementale 2020 (RE2020). Cette nouvelle réglementation, qui viendra remplacer la RT2012, émerge de la volonté de l'État et du dialogue avec les acteurs qui ont décidé d'agir collectivement pour réduire les émissions du bâtiment. La RT2012 s'était grandement inspirée d'une expérimentation qui l'a précédée, à travers le label bâtiment basse consommation (BBC). De la même manière, l'État a lancé en 2017 l'expérimentation E+/C-, pour caractériser les bâtiments à la fois sobres en énergie et en carbone, servant ainsi de point de départ pour élaborer la RE2020.Pour la première fois, les acteurs de la construction ont pu travailler sur un indicateur carbone en cycle de vie, ce qui a permis de calibrer la réglementation environnementale. La RE2020 est désormais prête pour entrer en vigueur au 1er janvier 2022.
Il y a 4 ans et 120 jours

RE2020 : les constructeurs, satisfaits du report, inquiets sur le gaz

ASSISES DU LOGEMENT. La table-ronde inaugurale des Assises du logement et de la mixité urbaine a été l'occasion pour les promoteurs-constructeurs, les architectes et l'USH de réagir aux premières annonces concernant la RE2020. La lutte contre l'artificialisation et la qualité des logements ont également occupé une large part du débat.
Il y a 4 ans et 120 jours

Béton[s] le Magazine n° 92 saura vous rendre service !

Couverture de Béton[s] le Magazine n° 92 – Janvier/Février 2021. [©ACPresse] Retrouvez le n° 92 dans la boutique acpresse.fr. Ces dernières années, l’innovation touchant le béton a surtout été technique. Ainsi, entre Bap, BHP, Bis ou Bfup, le matériau est devenu pluriel. A présent, c’est le vocable “bas carbone” qui supervise ses évolutions. En revanche, côté services, les choses sont longtemps restées figées. Pour accéder au produit, chacun continue de téléphoner, d’envoyer une télécopie, parfois un mail. Puis, commence l’attente de la toupie. Mais où est-elle ? Elle est partie… Il y a longtemps ? … Il doit y avoir des embouteillages ! Et qu’en est-il de celui – particulier, artisan ou entrepreneur spécialisé – qui n’a besoin que de quelques dizaines de litres, à récupérer sous centrale ? Pas vraiment prévu dans l’organisation, car complexe à gérer. Le dossier “En Couverture” du Béton[s] le Magazine n° 92 a décidé de s’intéresser au sujet. Ainsi, pour répondre à la première attente, on voit que les industriels du BPE ont commencé à intégrer les innovations qu’offrent les nouvelles technologies. S’il est possible de commander un hamburger ou un jeans avec son smartphone, il n’y a aucune raison de ne pas pouvoir le faire pour son béton. Puis, de suivre la progression de la toupie via une application dédiée. Pour ce qui est des petits volumes, l’idée a aussi fait son chemin. On commence à parler “distribution automatique du béton”. Des mini-centrales autonomes font peu à peu leur apparition dans le paysage. Une borne permet de sélectionner son béton et de payer par carte bancaire. Avant de réceptionner sa commande. Tout est bon dans Béton[s] Retrouvez le n° 92 dans la boutique acpresse.fr. Côté “Acteurs”, Eqiom comme LafargeHolcim parlent “bas carbone”. Tandis qu’Anhydritec dévoile ses ambitions pour 2021. Mais l’occasion est surtout donné de découvrir Audemard, qui “rend possible l’impossible”. En effet, le groupe niçois vient de reprendre Teralta à l’Irlandais CRH ! La rubrique “Techniques & Architecture” nous emmène sur les bords du Rhône voir la rénovation des piles du viaduc autoroutier de Roquemaure. Puis, en Alsace, à la découverte d’un “lieu caché” : la maison de la jeunesse et des sports de Kintzheim. Un petit complexe imaginé par l’agence strasbourgeoise RHB Architectes. Dans le “Laboratoire de la Matière”, Paul Acker poursuit l’exploration de la fissuration des bétons, à travers l’exemple d’une dalle réalisée sur l’un des chantiers du Grand Paris. La partie “A la loupe” fait deux zooms produits : les logiciels pour les bétons et les rupteurs de ponts thermiques. Enfin, en cette période de crise sanitaire qui se poursuit, certains peuvent être amenés à s’interroger sur les responsabilités en cas de retard de chantier. Cette fois, c’est notre partenaire, le cabinet 1792 Avocats, qui apporte les bonnes réponses. Bonne lecture de ce nouveau numéro de Béton[s] le Magazine ! 
Il y a 4 ans et 120 jours

Covid-19 : les bureaux fantômes sont-ils nos futurs logements ?

Le mouvement est en marche depuis quelques années déjà mais "l'essor significatif du télétravail incite à changer d'échelle", a indiqué récemment la ministre du Logement Emmanuelle Wargon, qui veut accélérer la dynamique de la transformation des immeubles de bureaux en logements pour répondre à la pénurie et limiter l'étalement urbain.Dans un scénario post-Covid où 41% des entreprises passeraient à deux jours de télétravail par semaine, le gain de surface envisagé serait de 27% soit 3,3 millions de m2 de bureaux dans les 10 prochaines années en Ile-de-France, estime l'Institut d'épargne immobilière (IEIF) dans une étude publiée en janvier.Le marché des bureaux, prisé par les investisseurs car moins contraignant à gérer - notamment en terme de turn-over des locataires ou d'impayés -, était déjà excédentaire avant la crise mais les confinements successifs ont encore fait gonfler le stock.A fin décembre, le taux de bureaux vacants en région parisienne était de 6,6%, selon l'IEIF.Où va s'arrêter le balancier ?"La transformation de bureaux en logements, c'est une espèce de serpent de mer", explique à l'AFP Christian de Karangal, directeur général de l'IEIF.Pourtant pour la première fois, il voit un "alignement des planètes en ce moment" qui pourrait conduire à un développement plus significatif.S'il est compliqué de dire aujourd'hui "où le balancier va s'arrêter" quant à l'impact sur l'immobilier de bureaux du télétravail et de la crise du coronavirus, M. de Karangal voit plusieurs facteurs qui poussent à la mutation: l'obsolescence de certains immeubles pour une occupation en bureaux, l'intérêt des investisseurs institutionnels et l'encouragement des pouvoirs publics.Mais la transformation n'est pas si évidente: "Tous les immeubles ne sont pas transformables" et "seulement environ 20% des actifs étudiés montrent un réel potentiel de transformation", commente Sébastien Lorrain, directeur résidentiel du groupe de services et d'investissement immobilier commercial CBRE France.L'un des écueils est l'apport de lumière, la largeur des immeubles de bureaux étant beaucoup plus importante que celle des immeubles de logements, indique à l'AFP Carlos Alvarez, chef de projet au cabinet d'architecture Moatti-Rivière, lauréat avec Immobilière 3F en 2019 du premier prix de la transformation de bureaux en logements."La plupart du temps, ça passe par des démolitions", selon M. Alvarez.Des coûts importantsEn outre, les immeubles des années 70 - les plus nombreux à la vente - doivent parfois subir des travaux de désamiantage qui se chiffrent en millions d'euros.Pour Norbert Fanchon, président du directoire du bailleur social Groupe Gambetta, l'idée de transformer des bureaux en logements est "un fantasme vieux comme les promoteurs".D'après lui, pour créer des logements, la balle est dans le camp des maires qui doivent délivrer des permis de construire et de l'État qui doit permettre de "lever les contraintes techniques et administratives" d'une conversion dont les coûts "sont particulièrement importants".En tout état de cause, prévient l'IEIF, l'"impact déflationniste sur le parc de bureaux franciliens prendra du temps". Les entreprises devront d'abord définir une nouvelle organisation du travail puis ses déclinaisons immobilières et tenir compte des dates de sortie possible des baux en cours, qui peuvent s'étaler jusqu'à 9 ans, voire plus."Il y a un temps d'inertie des marchés" mais "les flux vont s'accélérer", confirme Alexandre Chirier, président de la Foncière immobilière d'Action logement, l'organisation paritaire du logement social et intermédiaire.Créée en 2020, la Foncière prévoit d'investir 1,5 milliard d'euros en 3 ou 4 ans pour acquérir des immeubles à transformer et produire 20.000 logements.Mais selon M. Chirier, il faudra veiller à "construire un équilibre où l'accessibilité, les espaces verts, les espaces de respiration et la qualité de l'usage du logement fassent que les gens s'y sentent bien".
Il y a 4 ans et 120 jours

Galeries d’aujourd’hui : Démesures ?

« Si on m’avait parlé de démesure quand j’ai commencé à être critique d’art, j’aurais pensé aux ...En savoir plus Cet article Galeries d’aujourd’hui : Démesures ? est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 120 jours

Maison de la jeunesse et des sports de Kintzheim : Lieu caché

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. La Maison de la jeunesse et des sports est comme intégrée dans le terrain, qui l’enveloppe jusque sur la toiture-terrasse. [©RHB Architectes] Démolir pour reconstruire : tel était l’intention de départ. RHB Architectes a choisi une seconde voie. Celle de la préservation. « Nous parlons là de réemploi, explique Nicolas Brigand, architecte associé du cabinet RHB Architectes. Si un bâtiment peut resservir, alors il faut en profiter. Nous travaillons souvent pour des petites communes. Ne pas démolir permet des économies… » Ainsi, à Kintzheim, dans le Bas-Rhin, l’ancien club-house attenant au terrain de football de la ville aura une deuxième vie. Plus tard. Une fois la nouvelle Maison de la jeunesse et des sports en service. La parcelle dédiée au nouvel Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 120 jours

LafargeHolcim : « Galaxim Planet regroupe notre offre de ciments bas carbone »

Cet article à retrouver dans le n° 92 dans le Béton[s] le Magazine. Florent Dubois, responsable Construction durable de LafargeHolcim France, et Michèle Duval, directrice marketing. [©LafargeHolcim] LafargeHolcim a mis en place Lafarge 360. Pouvez-vous nous rappeler ce qu’est cette démarche et ce qu’elle englobe ? Est-elle aussi amenée à évoluer ? Florent Dubois : Par essence, Lafarge 360 est une démarche de progrès écologique. Elle s’inscrit dans une dynamique mise en place avec nos clients, qui permet de nous améliorer ensemble. Il y a plus d’un an que cette démarche a été lancée. Peu à peu, elle s’élargit à toutes nos gammes de produits et à toutes les typologies de construction. Tout en dépassant la simple prise en compte du carbone. Un point fort et tangible de la démarche réside dans le 360score. Il s’agit d’un indicateur de transparence et de pédagogie, qui permet à chacun de connaître l’empreinte carbone de nos produits. Et de les situer vis-à-vis de la prochaine RE 2020 par exemple ! Ce score est établi avec des données publiques, présentes dans les Fdes, mais pas toujours très faciles à décrypter. Pour nous, il est aussi un outil de pilotage pour permettre l’évolution de nos produits en cohérence avec nos objectifs de réduction du facteur d’émission de CO2 de nos ciments. A l’image du développement de l’offre de bétons EcoPact. De son côté, 360design Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 120 jours

Ecotech Ceram : De l’énergie en conteneur

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Ecotech Ceram stocke et transforme la chaleur en énergie renouvelable à travers un conteneur. [©Ecotech Ceram] La revalorisation de la chaleur émise par la production industrielle est un enjeu économique et écologique. La start-up française Ecotech Ceram a mis au point une solution permettant de stocker la chaleur ou le froid produit par l’industrie lourde. « Nous avons mis au point une solution de stockage de chaleur éco-efficace, qui permet de capter et de valoriser de la chaleur issue de l’industrie lourde ou de sources renouvelables, explique Antoine Meffre, son président, lors d’une présentation au CementLab. Le but étant ensuite de la réinjecter dans des procédés industriels et ainsi de réduire la consommation d’énergie. Nous avons conçu une solution robuste, modulaire et transportable. Il s’agit d’un conteneur isolé de l’intérieur, avec des céramiques réfractaires issues de l’économie circulaire. » En temps réel L’air chaud des cheminées est aspiré et envoyé dans le module nommé Eco-Stock. En plug & play, la chaleur peut ensuite être réutilisée sur place ou dirigée vers un autre site. Le concept permet de stocker jusqu’à 2 MWh à 600 °C. Ecotech Ceram propose à ses clients de qualifier leur gisement de chaleur, puis de dessiner et de monter l’installation technique, tout en apportant des solutions de financement. Lors de l’utilisation, une plate-forme web permet de suivre en temps réel les performances du dispositif. La distribution électrique pouvant s’adapter en fonction des besoins en puissance ou dans le temps de la destination finale. Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. [/abonnes]
Il y a 4 ans et 120 jours

Peri : structuration et perspectives

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. En février 2020, Peri a ouvert un point de vente à Bordeaux (33). [©Peri] SEINE-ET-MARNE. Pour le coffreur Peri, installé à Meaux, l’année 2020 a été celle de la concrétisation de grands chantiers. Les tours Duo, dans le XIIIe arrondissement de Paris notamment. Des chantiers majeurs qui ont permis à l’entreprise de traverser sans trop d’encombres cette année de crise sanitaire. « Les perspectives pour 2021 restent dans la continuité du deuxième semestre 2020, avec une légère croissance de l’activité, explique Jean-Michel Gueguen, directeur général de Peri France. L’année 2021 sera sans doute l’année du Grand Paris, avec la mise en route de nouveaux ouvrages. » Peri participe en particulier au génie civil intérieur de la gare Villejuif – Louis Aragon et au tunnel Eole de La Défense. « En termes de produits, Peri France va continuer à proposer sur le marché ses produits phares comme le coffrage de dalles Gridflex et le coffrage manuportable universel Duo. Et va accélérer le lancement du nouveau coffrage de dalles Skymax. Nous avons pu le voir sur quelques chantiers cette année et les clients en sont très satisfaits. » Ce fut par exemple le cas sur le chantier des Groues, à Nanterre et de l’école de Design, à Nantes. Peri a aussi ouvert deux nouveaux points de vente à Lyon, chez Ecotra Logistics, et à Nantes, chez Leroy Logistique. Les deux sites proposent du contreplaqué et des poutrelles bois, le coffrage Duo. Et des accessoires de chantiers sont aussi disponibles à Nantes. Après l’ouverture en février 2020 d’un autre point de vente à Bordeaux, cela porte les infrastructures de la marque à deux parcs matériels vente et location, trois dépôts de vente et trois agences. Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 120 jours

Le premier giratoire en béton isérois

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Aspect fini du giratoire sur la D 1015. [©MCA] ISERE. Situé sur la route principale d’accès à une cimenterie (celle de Vicat), le rond-point entre Montalieu-Vercieu et Porcieu-Amblagnieu, sur la D 1015, était arrivé en fin de vie. Ainsi, pour remplacer ce giratoire en enrobé, le département de l’Isère a fait un choix intéressant, un traitement de béton. Une première pour l’Isère. Géré par Sylvain Boyon, Mineral Concept Amenagement (MCA) en a effectué la mise en œuvre. « Pour répondre à la forte sollicitation due au trafic de la cimenterie, nous avons fait le choix d’un béton BC5G goujonné avec une finition balayée. Il s’agissait de couler 350 m3 d’un béton formulé sur la base d’un ciment CEM I 52-5 PEM ES et produit par la centrale Vicat de Pérouges. Les joints de retrait/flexion, dilatation ont été traités par la mise en place de paniers-porte-goujon et goujon. » Une première en Isère Mais c’est l’entreprise Favier TP qui avait, au préaable, effectuée la préparation du support, le rabotage, le reprofilage en grave bitume et la pose des bordures. « L’ensemble de l’opération a été réalisé en un mois, entre octobre et novembre 2020. Nous sommes une entreprise qui œuvre quotidiennement dans l’application de béton de sol, mais plutôt en béton décoratif ou aménagement urbain. Pour nous, ce chantier était l’occasion de montrer l’intérêt de construire des routes en béton. Là où un giratoire classique tient entre 10 et 20 ans, ce type de rond-points a une durabilité de 30 à 40 ans ! C’était une première pour l’Isère. Nous espérons qu’ils renouvelleront l’expérience et que d’autres départements comprendront leur intérêt », conclut Sylvain Boyon. Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine.