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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

(61913 résultats)
Il y a 4 ans et 111 jours

Qérys améliore sa logistique et supply chain

INVESTISSEMENTS. Spécialiste de la vente de produits de construction, bricolage ou décoration, Qerys, souhaite robotiser et optimiser sa chaîne logistique. A cet effet, 13 millions d'euros ont été investis en 2020, et la même somme sera débloquée en 2021.
Il y a 4 ans et 111 jours

Paris 2024: nouveau recours contre le village des médias en Seine-Saint-Denis

CONTESTATION. Des opposants à l'aménagement d'une partie du parc départemental Georges-Valbon en Seine-Saint-Denis, qui doit accueillir le village des médias pour les Jeux olympiques de Paris-2024, puis un écoquartier, ont déposé un nouveau recours en justice.
Il y a 4 ans et 111 jours

Podcast #5 – Francis Bouygues, l’épopée du “Roi du béton”

ACPresse – Francis Bouygues – Raconté par Muriel Carbonnet ACPresse · Podcast #5 – Francis Bouygues Francis Bouygues naît en 1922 à Paris. Son père est ingénieur de l’armement, puis, ingénieur conseil. Le jeune Francis suit ses traces et sort diplômé de l’Ecole centrale de Paris (1946). Après un passage rapide dans une entreprise de travaux d’entretien, puis chez Dumont et Besson, l’une des entreprises les plus prestigieuses de Paris, il fonde à 29 ans l’Entreprise Francis Bouygues avec des capitaux familiaux. Et, en 1953, la société décroche son premier gros contrat : la construction des bureaux d’IBM Europe à la Défense.  L’entrepreneur investit le marché immobilier privé et impose une méthode originale : acquérir un terrain, emprunter des fonds et faire financer les travaux par les acquéreurs, avant même la construction des fondations.  En 1959, pour soutenir le développement de son entreprise, Francis Bouygues s’associe à René Augereau qui lui apporte un important soutien financier. Des filiales régionales apparaissent. Pour valoriser et fidéliser la main d’œuvre, Francis crée l’ordre des Compagnons du Minorange. On est en 1963. L’innovation qui paie Le Parc des Princes a été livré au début des années 70. [©Bouygues Construction] Francis a toujours misé sur l’innovation. Un bureau d’études, un bureau des méthodes et une filiale spécialisée dans la préfabrication, entre autres, permettent à l’entreprise de se démarquer de la concurrence. En 1967, l’arrivé de Pierre Richard en tant que directeur scientifique permet à l’entreprise de combler son retard dans le domaine du béton précontraint.  Bouygues introduit de nouvelles méthodes de management, se dote d’une organisation hiérarchique, recourt aux nouvelles techniques de planification et adopte, dès 1972, l’informatique. Le développement de l’entreprise nécessite d’importants investissements. La décision d’une introduction en bourse est prise en juin 1970. Bouygues devient SA et augmente ses activités de génie civil avec, en particulier, la construction du Parc des Princes.  L’année 1972 marque le début de l’activité internationale. C’est aussi l’année de la création du logo Bouygues. En 1974, c’est Bouygues Off-Shore qui voit le jour. Malgré cette croissance fulgurante, Francis Bouygues garde une forte emprise sur le groupe. Atteint d’un cancer en 1976, il doit se retirer de l’entreprise pour quatorze mois. En 1978, Bouygues assure la construction du terminal II de l’aéroport Roissy Charles de Gaulle.  Construction du Pont de l’Ile de Ré. [©Bouygues Construction] TF1 et la Leçon de piano Dans les années 80, le développement du groupe est assuré par la croissance externe et la diversification. Francis se renforce dans l’immobilier et se positionne sur le marché de l’ingénierie conseil, via le rachat de l’Américain HDR. Il fait l’acquisition de plusieurs sociétés : Saur, ETDE, Screg, Colas et Sacer, Dragages, Smac Acieroïd. Bouygues devient n° 1 mondial de la construction.  A partir de 1985, le groupe se diversifie à travers une nouvelle filiale : Bouygues Loisirs. Le point d’orgue est évidemment la reprise de TF1 en 1987. En parallèle, Bouygues marque les esprits avec la construction du Pont de l’Ile de Ré, de la Grande Arche de la Défense ou du Tunnel sous la Manche.  Travaux de construction de la Grande Arche de la Défense. [©Bouygues Construction] En 1989, Francis se retire du groupe et passe la main à son fils Martin, tout en restant l’administrateur. Le groupe réalise alors 57 MdF (8,7 M€) de chiffre d’affaires et emploie presque 70 000 personnes. L’année suivante, l’homme s’engage dans la production de longs métrages, à travers Ciby 2000. Il produit Une époque formidable, Talons aiguilles, ou encore La leçon de piano qui a remporté la Palme d’Or du Festival de Cannes en 1993 et trois Oscars l’année suivante.  Francis Bouygues disparaît au cours de l’été 1993. [Source : Service communication de Bouygues Construction et “Francis Bouygues. L’ascension d’un entrepreneur”, de D. Barjot, Revue d’histoire, 1992.]
Il y a 4 ans et 112 jours

L’univers de l’Artiste Photographe Bruno Palisson

Art Trope Gallery met en lumière l’univers artistique du photographe Bruno Palisson en présentant ses œuvres issues de trois séries différentes : – Le Geste du Saunier ; De la Terre à la Lune ; Visions Périphériques. Jusqu’au 6 mars 2021. La structuration naturelle de « l’origine de la vie », matières, formes et couleurs premières, sont […] L’article L’univers de l’Artiste Photographe Bruno Palisson est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 112 jours

DrainColor®, la référence du Béton Drainant® coloré en sacs

DrainColor ® invente une façon écologique d’embellir les sols extérieurs. Le Béton Drainant® est un revêtement qui respecte les échanges hydrauliques du sol et qui offre de vraies possibilités de décoration autour des bâtiments. Un matériau durable et universel qui peut être posé facilement et sans matériel lourd, aussi bien par un professionnel que par un particulier. Parce qu’aujourd’hui, les vraies innovations se doivent d’être au service de l’environnement, notre civilisation n’a plus le choix. Si elle veut continuer à se développer, elle doit le faire en se mettant au service des hommes et de leur environnement. Toute innovation qui ne répond pas à la fois à un vrai service pour le client et au respect de l’environnement sera vouée à l’échec. Cour d’école – Béton Drainant® Nous tenons à maîtriser tous les savoir-faire : Nous améliorons notre concept de Béton Drainant® pour l’adapter à tous les contextes de pose. Nous fabriquons en France les produits et les accessoires. Nous apportons conseil et formation pour une réussite totale des chantiers.Pour respecter les valeurs auxquelles nous croyons : l’innovation nous permet de proposer des produits toujours plus adaptés aux besoins, toujours plus faciles à mettre en œuvre et toujours plus respectueux de l’environnement :l’accompagnement, pour garantir la réussite des utilisateurs, en mettant à disposition informations, outils, conseils et formation nécessaire.le respect de l’environnement, parce que demain encore plus qu’aujourd’hui l’innovation se doit d’allier le service rendu à l’utilisateur avec la réduction de l’impact de son utilisation sur notre environnement Nous faisons de la R&D notre force. Il ne suffit pas d’imaginer et de mettre au point le concept de Béton Drainant®. Pour devenir une marque universelle DrainColor fait sans cesse évoluer ses produits, les adapte à toutes les contraintes d’environnement et d’utilisation, développe leur esthétique et améliore les techniques et outils de pose. Pour accompagner les utilisateurs de A à Z : Depuis la possibilité de personnaliser sa teinte, en passant par les kits outils, les conseils, les vidéos tutoriel et la formation, DrainColor ne se contente pas de vendre des produits, mais accompagne les utilisateurs pour faciliter et réussir leur chantier. Résidence à l’île de La Réunion – Bétons colorés-Béton Drainant®
Il y a 4 ans et 112 jours

Le projet "Air acteur" du Cerema est retenu dans le cadre du Programme d'investissements d'avenir

Le projet est destiné à fédérer l'ensemble des acteurs de la filière professionnelle ventilation et qualité de l'air intérieur et s'adresse à un vivier de 200.000 artisans. Il vise à structurer durablement un dispositif national de qualification des professionnels et prévoit en l'état actuel un budget estimé à 3,8 millions d'euros. Le projet pourra être lancé dès septembre pour une durée de 3 ans. La qualité de l'air à l'intérieur des bâtiments a un effet démontré sur la santé et le bien-être. On lui attribue un coût annuel minimum de 19 milliards d'euros par an en France pour la collectivité. Pourtant, la ventilation, qui est un des moyens de renouveler l'air intérieur, est le parent pauvre du bâtiment : sans véritable spécialistes de la pose et de l'entretien, 50% des installations neuves sont non-conformes aux règles de l'art et c'est un lot inexistant dans les maisons individuelles.C'est pour répondre à ces enjeux et aux évolutions réglementaires prévues par la réglementation environnementale 2020 (RE2020), que le Cerema coordonne « Air'acteurs ». Retenu dans le cadre de l'appel à projet national « Ingénierie de Formations Professionnelles et d'offres Accompagnement Innovantes », Air'acteurs prévoit notamment la création de parcours de formations innovantes, basées sur le numérique (programmes, supports), des formations pilotes et des formations de formateurs, développement de nouveaux outils (campus multimodal, réalité virtuelle…). Il vise à structurer durablement un dispositif national de qualification des professionnels. Dans le contexte actuel de relance de l'économie, la spécialisation et montée en compétence sur une spécialité d'avenir est une opportunité de professionnalisation et de reconnaissance de la filière.Ce projet partenarial rassemble un panel représentatif de toute la filière de la construction avec l'Association Ouvrière des Compagnons du Devoir, le Centre de formation Tipee, la fédération interprofessionnelle des métiers de l'environnement atmosphérique (FIMEA), le Comité Scientifique et Technique des Industries Climatiques (COSTIC), le syndicat national de la maintenance et des services en efficacité énergétique (SYNASAV) et le Syndicat des industries thermiques, aérauliques et frigorifiques (UNICLIMA).
Il y a 4 ans et 112 jours

Gros cubes pour le MuMo x Centre Pompidou, par Hérault Arnod

L’agence Hérault Arnod Architectures (Isabel Hérault, Yves Arnod) et l’artiste Krijn de Koning ont été retenus en janvier 2021 pour la conception-réalisation du nouveau camion-musée MuMo x Centre Pompidou. Ce nouveau musée itinérant réalisé avec Art Explora présentera une sélection d’œuvres issues des collections du Centre Pompidou. Communiqué. Le camion-musée, ou MuMo, outil multifonctionnel adapté […] L’article Gros cubes pour le MuMo x Centre Pompidou, par Hérault Arnod est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 112 jours

Altarea a souffert en 2020 du report de livraisons majeures

Le chiffre d'affaires d'Altarea s'est établi à près de 3,1 mds EUR (-1,7%) "porté par la croissance du Logement (+5,3%) qui a compensé la baisse des loyers nets en Commerce et celle de l'activité en Immobilier d'entreprise", indique le groupe dans un communiqué.Le résultat net récurrent part du Groupe (FFO, un indicateur clé de la performance du groupe) s'élève à 230,3 millions d'euros en baisse de -21,4%, précise le groupe qui ajoute qu'il est "conforme des prévisions communiquées en juillet"."La baisse provient essentiellement de notre division bureaux" avec de "très grosses affaires qui ont pris du retard" avec l'arrêt des chantiers pendant le premier confinement dont "Bridge", le futur siège d'Orange à Issy-les-Moulineaux, ainsi que le projet "Eria" à la Défense, qui sera occupé par le futur pôle de Cybersécurité, mais "ces résultats sont différés sur 2021", a expliqué à l'AFP Eric Dumas, directeur général en charge des Finances du groupe."Le principal motif de satisfaction, c'est la performance du logement", a-t-il poursuivi.Cette activité, la principale du groupe, a atteint un chiffre d'affaires de 2,4 mds EUR, en hausse de 5% par rapport à 2019.Comme c'est le cas pour la plupart des promoteurs, Altarea a cette année vendu beaucoup de logements à des acheteurs institutionnels, avec des marges plus faibles mais d'importantes économies sur les frais de transaction.Selon le groupe, le résultat net récurrent (FFO) "devrait reprendre sa trajectoire de croissance en 2021, sous réserve d'une non aggravation significative de la situation sanitaire"."Le deuxième semestre devrait notamment bénéficier des décalages de résultats en immobilier d'entreprise", indique-t-il."Cette confiance se matérialise par la proposition d'un dividende en hausse de +5,6%", précise le groupe.Sur son activité de Commerce, le taux de recouvrement des loyers de l'année 2020 s'élève à 77%, précise le groupe qui a comme ses concurrents négocié un abandon de deux mois de loyer avec en contrepartie un allongement des baux de 2,6 ans en moyenne.
Il y a 4 ans et 112 jours

Avec "Soigner", l'université populaire du pavillon de l'Arsenal tombe à point nommé

L’université populaire animée par l’architecte, professeur et philosophe Richard Scoffier poursuit son troisième cycle des «actes fondamentaux», avec la master classe «Soigner», samedi 27 février 2021 à 11h, en direct sur la page Facebook et le site internet du pavillon de l’Arsenal. Les actes fondamentaux consistent en […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 112 jours

Le Mondial du Bâtiment se réinvente pour son édition de 2022

L’édition 2022 du Mondial du Bâtiment marquera le grand retour de l’évènement à Paris, au Parc des expositions de la porte de Versailles. [©ACPresse] Faire table rase du passé pour revenir aux fondamentaux, tout en s’inscrivant dans les tendances actuelles et à venir. C’est exactement ce qu’est en train de faire Reed Expositions France, l’organisateur du Mondial du Bâtiment. Et d’annoncer la tenue de l’évènement, non plus cette année, mais du 3 au 6 octobre 2022. Avec une grande nouvelle : « Le Mondial du Bâtiment revient au Parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris », annonce Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. Et de poursuivre : « Ce retour est plébiscité, puisque 93,6 % des exposants et 97,9 % des visiteurs ont exprimé leur intention de participer à la prochaine édition ».  Le rendez-vous qui réunit les salons Batimat, Idéobain et Interclima s’inscrira donc dans un Parc des expositions rénové. La première nouveauté pour les exposants est le format même des stands : limité à 99 m2 par société. Toutefois, il y aura possibilité d’intégrer un étage…  Des stands de 9 à 99 m2 Dans le détail, les surfaces proposées débuteront à 9 m2, pour échelonner par multiple de 9 : 18 m2, 36 m2, 54 m2 et 99 m2. Autre évolution, les exposants pourront choisir leur emplacement dès l’inscription. Premier arrivé, premier servi… Cette approche globale permet de rendre sa présence sur le salon plus économique. Car un stand plus petit ou limité en taille génère un moindre coût. D’autant plus que la durée de l’évènement ne sera plus que de 4 j. « Nous répondons à la demande des exposants de simplifier la préparation des salons. Tout en améliorant les flux logistiques autour de la porte de Versailles », reprend Guillaume Loizeaud. Octobre 2022 : la date est encore bien lointaine. Aussi, pour animer la communauté des professionnels exposants dès maintenant, le Mondial du Bâtiment a choisi de mettre en place des salons “augmentés”. Ceci, à travers un blog qui complétera les sites Internet dédiés aux salons physiques. Les professionnels pourront y entrer en contact avec les marques, donner leur avis ou leurs appréciations. Il y aura aussi à leur disposition des fiches produits, un annuaire des fournisseurs. Mais aussi des show-rooms virtuels, des vidéos de démonstrations ou des contenus sur les métiers. « Ce blog sera mis en service dès le mois de mai 2021. » Des matinales sur Batiradio « Nous venons de faire le choix de nous engager sur des ambitions prioritaires pour faire du rendez-vous de 2022 une édition exemplaire », affirme Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. [©Reed Expositions France] Toujours en amont des salons physiques, et en parallèle du blog, sont initiés “Les rendez-vous du Mondial du Bâtiment. Et ce, sous la forme d’une matinale diffusée sur Batiradio. Mais aussi disponible en podcasts et en vidéos. « Ces rendez-vous décrypteront les grandes tendances de la construction pour favoriser les échanges entre les professionnels face aux enjeux du secteur », explique Guillaume Loizeaud. Les matinales sont programmées chaque premier vendredi du mois. Et doivent débuter le 2 avril 2021, entre 9 h 00 et 12 h 30. Toutes s’organiseront de la même matière. A savoir, le Rendez-vous France Relance, le Grand dossier du Mondial du Bâtiment, la Rénovation énergétique dans les territoires. Mais aussi, le Décryptage RE 2020, les Métiers, la Construction 4.0, les Tendances et le Design.  Pour l’année 2021, les thématiques du Grand dossier sont déjà en place. Le 2 avril, les débatteurs tenteront de répondre à la question : “En quoi la RE 2020 va-t-elle permettre de construire durable ?” Et au fil des mois, d’autres sujets seront égrenés [lire encadré]. Pour 2022, en revanche, le programme n’est pas encore déterminé. Mais une fois connu, il permettra de tenir jusqu’aux salons physiques. Ceux-ci occuperont six pavillons du Parc de la porte de Versailles, soit quelque 140 000 m2 d’expositions.  Batimat se déploiera sur 4 halls Batimat sera le mastodonte de l’évènement. Le pavillon 1 sera celui du gros œuvre, de la structure et de l’enveloppe. Les thèmes fédérateurs mis en avant par les exposants devraient être ceux du climat et de l’environnement. Construction Tech, le rendez-vous de l’innovation, des start-up et des “smart technologies”, et Interior&Garden, autrement dit les aménagements intérieurs et extérieurs, seront les deux autres points d’entrée de ce hall. Le matériel de chantier et l’outillage retrouveront le pavillon 4. Quant aux pavillons 5 et 6, ils concentreront les menuiseries et les fermetures. De son côté, Interclima, dédié aux équipements techniques pour le bâtiment, c’est au sein du pavillon 3 qu’il prendra ses quartiers. Avec l’entrée en application de la RE 2020, les sujets à balayer seront nombreux. Outre les enseignements de la nouvelle réglementation, les énergies renouvelables, la rénovation des bâtiments tertiaires. Ou encore la qualité de l’air intérieur seront des thèmes omniprésents dans les allées. Tout comme l’amélioration des logements et les solutions éco-responsables de confort d’été.  Réduire l’empreinte carbone du salon Le Mondial du Bâtiment occupera 6 halls du Parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris. [©Reed Expositions France] La préservation de l’environnement et la réduction de l’empreinte carbone constitueront donc un véritable leitmotiv pour les exposants comme pour les visiteurs. Et qu’en sera-t-il de l’organisateur lui-même ? Les cordonniers sont-ils les plus mal chaussés ? Ou bien, charité bien ordonnée commence par soi-même ? Reed Expositions France semble préférer le second dicton populaire. « Notre retour à la porte de Versailles et les nouvelles attentes du public sont l’occasion de lancer une démarche d’amélioration sur les sujets fondamentaux du RSE. Aussi, nous venons de faire le choix de nous engager sur quatre ambitions prioritaires pour faire du rendez-vous de 2022 une édition exemplaire », affirme Guillaume Loizeaud. Ainsi, l’organisateur s’engage, dès maintenant, à réduire son empreinte carbone. Du moins à la mesurer, tout en mettant des actions concrètes pour entamer cette démarche. Au programme : optimisation des process logistiques, accès au site privilégiant les mobilités écologique. Mais aussi éco-conception des aménagements, des zones communes et des stands. Un salon éco-responsable Reed Expositions France améliorera aussi la gestion des déchet. Avec, pour ambition, de les réduire d’au moins 10 % dès l’édition 2022. Par ailleurs, il souhaite accroître la circularité des matériaux utilisés, tout en améliorant le dispositif de tri. Ceci sera accompagné d’achats responsables qui privilégieront les produits, et des services éco-conçus et respectueux de l’environnement. Ou qui seront réalisés auprès du secteur du travail protégé et adapté (STPA). Enfin, la restauration sur place n’est pas oubliée. Là, Reed Expositions France veut mettre en place une offre limitant le gaspillage, gérant mieux les surplus et valorisant les bio-déchets. A la vue de toutes ces explications, l’édition 2022 du Mondial du Bâtiment semble née sous une bonne étoile. Et, à bien y réfléchir, l’organisateur pourrait même réussir à transformer tout le désarroi amené par la crise de la Covid-19 en quelque chose de positif !  Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 112 jours

Saint-Gobain Distribution Bâtiment France déploie un escape game digital au sein des écoles de commerce

Afin de se faire mieux connaître des plus jeunes, Saint-Gobain Distribution Bâtiment France a choisi de faire appel à un outil tout à la fois ludique, pédagogique, dynamique et moderne : l’escape game. Et pour être sûre de pouvoir toucher les étudiants quel que soit le contexte sanitaire, l’entreprise a opté pour un escape game digital.Un moyen original de se faire connaître et de créer du lienL’un des éléments clés du recrutement est de faire connaître son entreprise, ses engagements, son potentiel. Cela est d’autant plus vrai auprès des jeunes publics qui connaissent mal toutes les possibilités offertes par une entreprise telle que Saint-Gobain Distribution Bâtiment France.Afin de pourvoir les 700 postes en alternance et en stage disponibles chaque année, l’entreprise a choisi une manière innovante d’aller au-devant des étudiants en leur proposant de participer à un escape game. Crise sanitaire oblige, Saint-Gobain Distribution Bâtiment France organise ce jeu en virtuel. Vingt-quatre étudiants de la Burgundy Business School de Dijon ont eu la primeur de cet escape game le 1er décembre 2020. À la clé, un moment de partage qui les a enthousiasmés et qui a constitué pour les quatre équipes de six étudiants un véritable challenge ludique et pédagogique.Créer de l’animation dans les écolesLes écoles sont aussi en recherche d’activités pour animer des rencontres entre les étudiants et les entreprises.Le principe de l’escape game mis en place par Saint-Gobain Distribution Bâtiment France est donc une façon très originale de créer du lien et un réel dynamisme. Le scenario choisi embarque les étudiants dans unemission à la fois amusante et fédératrice, issu d’une série télévisée célèbre et dans lequel ils doivent déjouer les plans d’un braquage de banque.En travaillant ensemble et en cherchant des solutions, les étudiants développent un véritable esprit d’équipe et une vraie cohésion de groupe et cela même en jouant à distance les uns des autres.En observant leurs attitudes et leurs réactions, les équipes de Saint-Gobain Distribution Bâtiment France peuvent déterminer les compétences comportementales de chacun et les mettre en parallèle des besoins des métiers proposés par l’entreprise.Saint-Gobain Distribution Bâtiment France prévoit de mettre en place cet escape game dans trois écoles dès le début d’année 2021 puis de le déployer dans 11 écoles partenaires.
Il y a 4 ans et 112 jours

Brise-soleil verticaux pour une école élémentaire

Implanté sur la ville de Fâches-Thumesnil (59), le programme de réhabilitation de l’école élémentaire Kléber, rénovée entre 2018 et 2020, a consisté à renforcer l’isolation thermique du bâtiment, à réaménager ses abords et sa cour de récréation. S’agissant de la façade de l’école, l’atelier d’architecture Charles RENARD (59), en charge du projet, a pris le parti de l’agrémenter de brise-soleil à lames orientables de la gamme Recti’Ligne de TELLIER BRISE-SOLEIL. Le rôle premier des lames est de rendre un bâtiment plus confortable. Une étude de la course solaire a été déterminante pour utiliser les bienfaits du soleil tout en préservant le bâtiment des fortes chaleurs et ses occupants de l’éblouissement. Les brise-soleil à lames debout installés sur la façade de l’école Kleber permettent de bloquer les rayons du soleil lorsqu’ils sont bas dans l’horizon, ils assurent ainsi le confort d’été souhaité. Cette solution de rafraîchissement passif offre de nombreux avantages (écologiques, esthétiques et économiques) tout en répondant aux besoins des usagers en matière de protection. Grâce à la simplicité de rotation des lames pilotées à l’aide de vérins motorisées, les occupants de l’école peuvent moduler l’ombrage et régler les apports de lumière naturelle. Selon la période de l’année ou le moment de la journée, ils bénéficient ainsi continuellement d’un éclairage optimal. Ils peuvent également assurer une occultation totale en position fermée.  Composées de lames de section 350 x 50 cm, de barres de manœuvre et de montants tubulaires, les brise-soleil Recti’Ligne ont été entièrement usinés dans les ateliers de TELLIER BRISE-SOLEIL à Chemillé-en-Anjou (49). Toutes les pièces nécessaires à leur fonctionnement ont été assemblées en usine, y compris les kits de rotation placés aux extrémités des lames.  Le système de montage “en prêt-à-poser” a permis aux installateurs de gagner du temps et de faciliter la pose sur le chantier de l’école Kléber, en seulement 2 semaines.  Maîtrise d’ouvrage : Ville de FACHES-THUMESNIL (59) Maîtrise d’œuvre & Crédits photos : Atelier Charles RENARD – Architecte ROUBAIX (59) Entreprise de pose : Ecolopo (59) 
Il y a 4 ans et 112 jours

Des nouveautés en bambou

MOSO international, spécialiste des solutions en bambou pour l’intérieur comme l’extérieur, apporte des innovations majeures à sa gamme de lames de terrasse Bamboo X-treme® qui permettent de gagner du temps lors de la pose. L’entreprise ajoute à sa gamme une lame de 30 mm d’épaisseur (137 x 30 mm), spécialement adaptée pour habiller des projets architecturaux exigeants, tels que des passerelles piétonnes ou des ponts. Soucieux d’améliorer la qualité de ses produits, MOSO propose désormais une gamme de lames de terrasse finies en usine avec le saturateur Sikkens Cetol WF 771. Ce procédé offre un avantage en termes de gain de temps. D’une part, l’artisan est dispensé d’une étape de finition lors de la pose et d’autre part, la terrasse est immédiatement utilisable. En plus des lames avec une face lisse et striée standard, MOSO propose désormais une lame de terrasse avec une face striée V et une face brossée en 155 mm de large. La lame brossée et striée V est réversible :  côté strié laissant apparaître les fines stries pour un design élégant ou côté brossé pour une installation sécurisée. La lame de terrasse version brossée obtient d’excellents résultats en termes de résistance à la glissance ce pour des installations autour de piscines ou dans des zones à trafic intense. Par ailleurs, la nouvelle lame « bombée » se révèle très pratique, avec un léger bombage de 1,5 mm, l’eau s’écoule directement sur le côté, de sorte que les lames sèchent rapidement et se salissent moins. La nouvelle forme facilite également l’installation puisque cette dernière ne requière aucune pente. Les lames de terrasse bombées sont disponibles en 155 mm de large. Photo : Candlewood Lake – Photographer/Design: Rob Turner Studios  
Il y a 4 ans et 112 jours

Traitement des bois unique en Europe

La scierie RHD Productions vient d’inaugurer une installation inédite de traitement des bois dans son site de Fournets-Luisans, dans le Doubs. Elle met en œuvre SARPALO 860 BS,la solution de préservation des bois biosourcée, classe 2, insecticide et fongicide, formulée par la société ADKALIS. Les piles de bois à traiter sont acheminées sur convoyeurs automatiques vers le bac de traitement. La consommation énergétique,  les émissions CO2 sont diminués et l’ergonomie du poste de travail, améliorée. Les piles de bois subissent une immersion de 5 minutes, suivie par un égouttage selon un angle de 68° durant près de 20 minutes sur rétention, avant d’être récupérées en bout de ligne par les opérateurs de RHD Productions.  Marquées en jaune, elles sont traitées avec SARPALO 860 BS, une solution concentrée biosourcée conçue pour préserver les bois d’attaques de termites, des insectes à larves xylophages, de champignons, répondant ainsi aux exigences de la classe d’emploi 2 des bois de structure. La dilution de SARPALO 860 BS s’opère dans la nouvelle ligne de traitement de RHD Productions, par pompe doseuse de précision supérieure aux pompes classiques. La dilution souhaitée est obtenue par ajout d’eau de pluie récupérée, une action de plus en faveur d’un développement plus durable. 
Il y a 4 ans et 112 jours

De l'œuvre dessinée au document - Livre

Signés des architectes dessinateurs les plus brillants de Jacques Androuet du Cerceau à Etienne-Louis Boullée, de Gilles-Marie Oppenord à Jean-Jacques Lequeu, de Charles Percier à Henri Labrouste, d'Eugène Viollet-le-Duc à Charles Garnier , les 150 dessins présentés dans cet ouvrage retracent une histoire de l'architecture […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 112 jours

Entretien : Rogers Stirk Harbour + Partners à Paris

À l’honneur sur la couverture du nouveau numéro de L’Architecture d’Aujourd’hui consacré à la « face cachée ...En savoir plus Cet article Entretien : Rogers Stirk Harbour + Partners à Paris est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 112 jours

CDVI enrichit son offre de contrôle d’accès haute sécurité ATRIUM KRYPTO avec Mobile-Pass KRYPTO, une solution de badges dématérialisés

Sur un marché du contrôle d’accès encore majoritairement dominé par les badges traditionnels, la technologie mobile gagne du terrain. Ainsi dans les prochaines années, 20% des entreprises devraient utiliser des smartphones contre 5% en 2016*. Fin 2020, CVDI lançait son système de contrôle d’accès hautement sécurisé ATRIUM KRYPTO pour répondre aux nouvelles exigences de lutte contre la cybercriminalité. Aujourd’hui, l’entreprise va encore plus loin et présente MobilePass KRYPTO, une solution de badges virtuels offrant le même niveau de sécurité que les méthodes type DESfire® EV2. Une solution de contrôle d’accès par smartphone hautement sécurisée Soucieux d’accompagner ses clients dans une transition en douceur vers la technologie mobile, CDVI a intégré, dès la conception de son système ATRIUM KRYPTO, un module BLE (Bluetooth Low Energy) dans ses lecteurs de badges K2 et K3 (avec digicode intégré) hautement sécurisés. Pour activer cette solution d’identification sur smartphone, il suffit au gestionnaire d’un établissement : d’acquérir une licence de 25 badges Mobile-PASS KRYPTO, d’attribuer des droits d’accès virtuels à un utilisateur au fur et à mesure des besoins via le logiciel de gestion, de lui envoyer à distance sur une plateforme ultra sécurisée. A réception, ce dernier récupère l’autorisation d’accès sur son smartphone qui devient un badge dématérialisé. En fonction de ses droits, il peut alors l’utiliser grâce à l’application mobile ATRIUM BT, téléchargeable gratuitement sur l’Apple Store ou Google Play et compatible avec les montres connectées. Dès lors, différents modes d’identification sont possibles pour déverrouiller une porte : par appui sur le bouton « ouvrir la porte » de l’application, par balayage du smartphone devant le lecteur, en mode automatique « mains libres » ou par reconnaissance vocale « ouvrir la porte ». La solution s’adapte aux contraintes de l’accès ! Intégrant le chiffrement AES de « bout en bout » issu de la technologie DESfire® EV2, les badges virtuels développés par CDVI apporte un degré de sécurisation élevé qui est renforcé par les codes/ schémas de déverrouillage dont dispose la majorité des smartphones. Outre l’avantage de pallier aux négligences du facteur humain qui reste la principale faille de sécurité dans un bâtiment (oubli ou prêt d’un badge, entrée en même temps qu’un collègue…), cette solution dématérialisée présente en plus un intérêt essentiel pour respecter les protocoles sanitaires en vigueur actuellement. En effet, la fonction comptage/décomptage du système ATRIUM KRYPTO associée au Mobile-PASS KRYPTO, qui détecte l’ouverture de porte même si des employés rentrent à plusieurs en même temps dans une pièce, permet une gestion contrôlée des flux sans risque de dépasser le nombre de personnes autorisées dans un même endroit. Souplesse de gestion et simplicité d’utilisation Plus flexible qu’un système de contrôle d’accès par badges traditionnels, Mobile-PASS KRYPTO de CDVI offre une gestion dynamique des droits. En toute simplicité, le gestionnaire d’un bâtiment peut, à distance et en temps réel : activer/désactiver des badges avec des droits d’accès spécifiques à chaque utilisateur, programmer des badges temporaires, avec autorisation d’entrée à des horaires définies, suivre instantanément des événements d’accès pour modifier ou révoquer les droits si nécessaire. Idéale pour les administrations publiques et les collectivités (centre sportif, salle des fêtes…), cette solution dématérialisée s’avère particulièrement adaptée aux espaces de coworking qui, tout en facilitant l’accès des visiteurs, doivent garantir la sécurité des lieux. Transformant n’importe quelle marque de smartphone en trousseau de clé virtuel et intelligent, Mobile-PASS KRYPTO représente également un véritable gain de temps pour les utilisateurs qui n’ont plus besoin d’être présents pour retirer leur badge. *source cabinet d’analyse américain Gartner
Il y a 4 ans et 112 jours

Nouveau conservatoire à rayonnement intercommunal à Palaiseau : une livraison attendue pour la rentrée 2021

Le chantier de construction du nouveau conservatoire à rayonnement intercommunal (CRI) de Palaiseau prendra fin avant la rentrée 2021.
Il y a 4 ans et 112 jours

Première réunion du Conseil National de l’Hydrogène

La stratégie pour le développement d’un hydrogène décarboné place la France parmi les pays les plus en pointe sur cette technologieCette stratégie, qui a été annoncée par le gouvernement le 8 septembre 2020, prévoit 7 milliards d'euros de soutien public d'ici 2030, dont 2 milliards d'euros d'ici 2022, dans le cadre de France Relance et des Investissements d’Avenir.La supervision des travaux menés pour la mise en œuvre de cette stratégie est assurée par un coordonnateur, Hoang Bui, dont la nomination a été confirmée.Les co-présidents du CNH, Benoit Potier, président directeur général d’Air Liquide, et Patrick Koller, directeur général de Faurecia, ont présenté une analyse comparative des stratégies internationales sur l’hydrogène, se fondant notamment sur les travaux du Conseil mondial de l’hydrogène (Hydrogen Council).Il en ressort que la France est positionnée dans le peloton de tête des pays les plus avancés pour leur stratégie, aux côtés de l’Allemagne en Europe ou de la Chine, la Corée et le Japon en Asie. Les critères d’évaluation suivants ont été analysés : développement de la production de l’hydrogène renouvelable et bas carbone, définition d’objectifs clairs, dispositif de pilotage et de suivi de la stratégie, moyens financiers, adaptation des réglementations.Le lancement de la stratégie en septembre a engendré une forte dynamique industrielleLe Conseil national de l’hydrogène constate une forte dynamique industrielle qui est amenée à se poursuivre dans les prochains mois.Dans le cadre de France Relance, 27 projets de R&D et d’intégration de technologies hydrogène ont d’ores et déjà été soutenus, pour 212 M€ d’investissement total et 37 M€ de soutien public(2).A ces projets viennent s’ajouter 60 M€ de soutien à la filière aéronautique dans le cadre du CORAC (Comité d’orientation de la recherche pour l’aéronautique civile). Par ailleurs, début 2021, un soutien financier a été annoncé pour aider 4 régions (Occitanie, Bourgogne-Franche-Comté, Auvergne-Rhône-Alpes, Grand-Est) à acquérir 14 trains hydrogène représentant un investissement total de 300 M€.Dans le cadre de la première session de l’appel à projets « écosystèmes territoriaux » de l’ADEME, 7 projets, représentant un investissement de 136M€ et une demande d’aide de 45M€, ont été présélectionnés pour soutenir la production par électrolyse et la mobilité hydrogène. La deuxième session de cet appel à projets compte déjà plus de 47 nouvelles demandes ouvertes, pour une présélection en juin.De premiers éléments ont été présentés concernant les projets d’envergure qui pourraient bénéficier d’un accompagnement dans le cadre du PIIEC(3) en cours de construction au niveau européen, sous l’impulsion de la France et de l’Allemagne. Ces projets français représentent un montant total d’aide avoisinant les 8 Mds € et concernent la production d’électrolyseurs, la décarbonation de l’industrie lourde, la production des équipements pour la mobilité. Les projets retenus donneront lieu aux premiers versements d’aides dès la fin de l’année.Dans ce cadre France Hydrogène a dénombré 4 projets d’usines en France de fabrication d’électrolyseurs et a identifié des installations d’électrolyse projetées d’une puissance totale de 3,2 GW, soit d’ores et déjà près de 50% de l’objectif fixé par la stratégie nationale de disposer d’une capacité d’électrolyse sur notre territoire de 6,5 GW en 2030.Des projets innovants utilisant les technologies de l’hydrogène sont également en développement dans les systèmes électriques des zones non interconnectées en outre-mer, tel que le projet CEOG(4) de centrale photovoltaïque à puissance garantie avec stockage hydrogène. Les modalités de son soutien sont en cours d’étude.Les écosystèmes français affichent une bonne maîtrise des technologies clés et le CNH travaille à renforcer les compétences et la chaine de valeur françaiseLe Conseil national Hydrogène a établi une cartographie des technologies clés, en s’appuyant sur l’expertise de l’ensemble des comités stratégiques de filières concernés. Cette analyse montre que la France maîtrise ou disposera rapidement de toutes les technologies critiques nécessaires à sa souveraineté et permettant un passage rapide à l'échelle industrielle. Des thématiques prioritaires ont été identifiées pour faire l’objet de travaux complémentaires. Il s’agit par exemple des membranes, des compresseurs d’air pour piles à combustible et électrolyseurs, ou encore des procédés de décarbonation pour l’industrie sidérurgique et les cimenteries.Le Conseil national de l’Hydrogène a ainsi initié des travaux pour identifier des contributeurs, former des consortia et développer des technologies, équipements, applications et logiciels correspondant pour renforcer la chaine de valeur française.Afin de soutenir ces nouveaux projets de R&D, le Secrétariat général pour l'investissement a amélioré le dispositif d’aide « briques technologiques et démonstrateurs hydrogène » opéré par l’ADEME, en portant notamment la part de subvention dans les aides accordées à 60%, voire 75% sous certaines conditions.Les industriels du Conseil national de l’hydrogène s’engagent pour développer les formations au sein de la filièreLa dynamique de la filière hydrogène est porteuse de perspectives importantes d’emplois.France Hydrogène est ainsi en cours de finalisation d’un référentiel des compétences-métiers qui sera présenté fin mars et accessible par internet. Sur les 75 métiers identifiés, une quinzaine apparait déjà en tension. Pour y remédier, des initiatives dans le domaine de la formation professionnelle ont été évoquées lors de cette réunion, telles que « la Symbio Hydrogen Academy » portée par l’entreprise Symbio et ses actionnaires Faurecia et Michelin. Elle vise à former 300 personnes par an aux métiers de l’hydrogène dans la région lyonnaise.De la même manière, le groupe Air Liquide apporte son soutien aux initiatives telles que la « H2 Académie », qui est destinée notamment à former des étudiants en BTS à partir de septembre 2021 à Port-Jérôme, près du Havre.Le Conseil national de l’hydrogène se réunira régulièrement pour s’assurer de la bonne mise en œuvre de la stratégie hydrogèneLa prochaine réunion du Conseil national de l'hydrogène se tiendra d’ici l’été. Elle permettra de faire le point sur des thématiques d’intérêt commun telles que :les enjeux de réglementation et de normalisation spécifiques au domaine de l’hydrogène, via des groupes de travail associant les industriels pour construire un cadre réglementaire permettant le développement de la filière en toute sécuritéles projets et partenariats autour des technologies clefs qui font encore défaut à la filière françaisela mise en place de mécanismes de soutien à la production d’hydrogène renouvelable et décarbonéla question des infrastructures de transport et de distribution(1) Le rôle et la constitution du Conseil national de l’hydrogène avaient été précisés lors d’un communiqué de presse le 11 janvier 2021.(2) Les subventions proviennent des fonds de modernisation automobile et aéronautique, du soutien aux projets industriels dans les territoires, du Programme Investissements d’Avenir dans le cadre du Comité d’orientation de la recherche pour l’automobile et les mobilités (CORAM).(3) Projet Important d’Intérêt Européen Commun. Le dispositif, à l’instar de celui sur les batteries, autorise les Etats membres à financer les projets au-delà des limites habituellement fixées par la réglementation européenne lorsqu’il s’agit de soutenir des projets de grande ampleur qui apportent une contribution très importante à la croissance économique, à l’emploi et à la compétitivité de l’industrie et de l’économie de l’Union(4) Centrale Electrique de l’Ouest Guyanais
Il y a 4 ans et 112 jours

Lancement d'une concertation publique dédiée au bâti scolaire

Tous sont invités à exprimer leurs "attentes, envies et idées" en répondant à une "enquête d'une dizaine de minutes" ou en "partageant des propositions sur une boîte à idées".La plateforme de consultation sera accessible jusqu'au 8 avril à l'adresse :https://batirlecole.education.gouv.fr.Parmi les enjeux de cette concertation, les sujets de la "transition écologique, de la santé, la sécurité, l'évolution des pratiques pédagogiques, le bien-être, l'inclusion et l'ouverture sur le territoire"...Des kits pédagogiques sont mis à disposition des enseignants pour organiser des ateliers avec les élèves, précise le ministère.Une synthèse des contributions précisant les attentes des différents publics sera publiée par le ministère, qui promet des "référentiels de conception et d'aménagement" pour les établissements scolaires à partir de septembre prochain.
Il y a 4 ans et 112 jours

Au Mexique, un nouveau pôle culturel, économique et d’activité pour revitaliser le centre-ville

A Toluca de Lerdo (Mexique), le bureau d’architecture FRPO signe une infrastructure à usage mixte qui vise à... Cet article Au Mexique, un nouveau pôle culturel, économique et d’activité pour revitaliser le centre-ville est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 112 jours

Bricolage et jardinage : 27% de risque cardiovasculaire en moins !

A l’heure où les salles de sports sont fermées, les voyages proscrits et le télétravail généralisé pour cause de crise sanitaire, de nombreux Français se sont lancés dans des travaux d’aménagement de leur habitat (peinture, rénovation de sols, …) comme en témoigne la progression des ventes dans le secteur fin 2020 (+4,78 % en valeur*). En s’appuyant sur des études et sur l’ouvrage « Bricole moi un mouton » écrit par l’anthropologue Abdu Gnaba, Inoha, l’association des Industriels du Nouvel Habitat, dévoile les bienfaits du bricolage et du jardinage sur la santé, tant d’un point de vue physique que psychique. Bricolage et jardinage, 27% de risque cardiovasculaire en moins Généralisé, le télétravail a entraîné une forte sédentarité des salariés qui n’ont plus à courir après un bus, un métro ou tout simplement marcher vers leur lieu de travail. Les deux confinements ont également obligé les retraités à rester chez eux. Or, rester assis pendant de nombreuses heures favorise l’obésité et de nombreux problèmes de santé (troubles de la circulation sanguine, sciatique, mal de dos…). Pour pallier à cette situation, nombre d’entre-eux ont opté pour les travaux manuels, activités physiques par excellence permettant de continuer à bouger et à se dépenser. En effet, selon l’Institut Karolinska de Stockholm, bricoler, jardiner, … tous ces loisirs permettraient de réduire de 27% les risques d’accidents cardiovasculaires et de 30% le risque de décès chez les personnes âgées de 60 ans. Rester actif contribue ainsi à une bonne santé et améliore l’espérance de vie. Bricolage et jardinage, c’est moi qui l’ai fait ! Si les bénéfices du bricolage et du jardinage sur le corps ne sont plus à prouver, il n’en demeure pas moins que ces activités ont également un effet positif sur le plan psychique. Refaire le carrelage de sa cuisine, décaper et peindre une armoire ancienne pour lui donner une nouvelle vie, repiquer des tomates sur son balcon, … sont autant de projets propices à l’évasion et au lâcher prise, bénéfiques pour le moral et l’estime de soi. Quoi de mieux que de dire « c’est moi qui l’ai fait ! ». Ces pratiques engendrent le plaisir de renouer avec soi, avec les autres et le monde environnant. Elles permettent aussi de créer du lien social, notamment chez les personnes âgées. Dans son livre Bricole moi un mouton, voyage d’un anthropologue au pays des bricoleurs, Abdu Gnaba fait référence au « Méditatif qui bricole pour se relaxer et surtout pour se ressourcer. Le bricolage permet à son esprit de se focaliser sur ce qu’il fait et de vivre pleinement l’instant. Cela s’apparente à une quête spirituelle. Il comprend le jardinier qui parle à ses plantes ! ». « A l’heure où les activités physiques restent limitées, il semble donc important d’opter pour une dose régulière de bricolage et de jardinage pour améliorer la santé publique ! » conclut Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha. * Source FMB  
Il y a 4 ans et 112 jours

Comme un songe d’antan, la tuile Anteis Doyet allie à merveille tradition et caractère ! – PUBLI-INFORMATION

La tuile plate 18×28 ANTEIS DOYET est idéale pour les rénovations patrimoniales. Fabriquée en France sur le site de Doyet, cette tuile offre une grande résistance au temps et aux intempéries du fait de la qualité des argiles utilisés pour sa confection. Volontairement irrégulière, elle respecte parfaitement l’aspect des tuiles anciennes par imitation du pureau brouillé des toitures d’antan, mais se pose aisément grâce à son tenon de renfort sur toute la longueur. Elle s’inscrit avec fierté dans la sélection « patrimoine » d’EDILIANS et a été conçue pour répondre aux projets de couverture du patrimoine architectural français. Grâce à ses coloris spécifiques « Vézère » et « Abbaye », la tuile plate ANTEIS s’accorde merveilleusement bien aux styles régionaux du Sud-ouest jusqu’au Centre de la France. Toutes les informations sur edilians.com.  
Il y a 4 ans et 113 jours

Avant/après : des bureaux transformés en un loft élégant

DIAPORAMA. Pour offrir une seconde vie à ce plateau de bureaux inutilisés, son propriétaire a décidé de transformer les lieux en loft. Une métamorphose spectaculaire, qui a permis de réinvestir ces 180 m2 avec élégance et caractère.
Il y a 4 ans et 113 jours

La métropole et la ville de Lyon ont désigné les lauréats pour la mission Gerland

LAURÉATS. Nouvelle étape pour le développement du quartier Gerland de Lyon (7e arrondissement) avec la désignation par la métropole et la ville du groupement qui mènera son projet urbain et durable. Un projet d'aménagement de plus de 700 hectares.
Il y a 4 ans et 113 jours

A La Défense, le Carré Michelet restructuré par Cro&Co

La restructuration lourde du carré Michelet à La Défense réalisée par l’agence Cro&Co Architecture est lauréate des Trophées Eiffel 2020 avec le « Prix spécial Restructuration ». Surélévation et charpente métallique exceptionnelles ? La restructuration lourde du Carré Michelet comprend l’extension et la surélévation d’un immeuble de 14 niveaux en code du travail dans le quartier […] L’article A La Défense, le Carré Michelet restructuré par Cro&Co est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 113 jours

Comment structurer vos données pour enrichir vos objets BIM au fil des phases projet ?

La mise en place des sets de propriétés au sein du groupe SYSTRA L’adoption d’un langage commun est la clé de la réussite des entreprises d’ingénieries travaillant en BIM aujourd’hui. Les entreprises d’envergure internationale sont souvent confrontées à la difficulté d’atteindre une cohérence de leur process BIM dans chacune de leur filiale à travers le monde.  Au-delà de ce besoin d’uniformité au sein de leur structure, ces sociétés doivent également faire face à des spécificités contractuelles ou métiers : chaque pays dispose de ses propres codes, de ses propres normes, et chaque discipline impliquée dans un projet de construction possède ses propres besoins et outils… de nombreux challenges auxquels les experts BIM se frottent au quotidien ! Structurer ses données BIM autour d’un référentiel commun a permis au groupe SYSTRA de faire face à ces défis. Valentin MALEMANCHE, Marketing Manager chez BIM&CO, et Lucas GIBAUD BIM Production Specialist & Developper chez SYSTRA, nous expliquent de quelle manière SYSTRA s’est appuyé sur les solutions techniques développées par BIM&CO pour répondre aux exigences BIM d’un projet. Téléchargez le cas d’usage
Il y a 4 ans et 113 jours

La justice entérine la poursuite du chantier contesté de déviation de la RN88 en Haute-Loire

"Aucun des moyens invoqués" par ces quatre associations "n'est de nature à faire naître un doute sérieux quant à la légalité de la décision attaquée", estime le tribunal, saisi en référé, dans son ordonnance dont une copie a été transmise à l'AFP.En conséquence, la demande de suspension des travaux déposée par France Nature Environnement (Haute-Loire et Auvergne-Rhône-Alpes), AUTA (usagers) et SOS Loire Vivante est rejetée."C'est une décision sans aucune motivation, qui se contente de résumer les positions des uns et des autres, comme si tout était déjà décidé", a regretté Jean-Jacques Orfeuvre, responsable de FNE 43."J'espère sincèrement que les opposants vont enfin comprendre tout l'intérêt (de cette déviation) à la fois pour limiter l'accidentologie pour le bien des habitants mais aussi pour l'économie et le tourisme", a réagi de son côté Michel Chapuis, maire du Puy-en-Velay.Les travaux, permettant la création d'une 2x2 voies entre Saint-Hostien et Le Pertuis, ont commencé début janvier après l'accord donné par la préfecture le 28 octobre dernier, malgré plusieurs manifestations d'opposants.Les 10,7 km de route menacent "140 hectares d'espaces naturels, forestiers et agricoles, 16 habitats d'intérêt communautaire, plus de 100 espèces protégées", alors que "l'actuelle RN88 ne présente pas une dangerosité plus élevée que la moyenne des routes du même type", selon ces associations.Au-delà de leur demande de suspension en référé, elles ont déposé un recours sur le fond pour réclamer l'annulation de l'autorisation environnementale.Des élues du groupe d'opposition RCES (Rassemblement citoyen, écologiste et solidaire) au conseil régional ont également déposé des recours devant les tribunaux administratifs de Lyon et Clermont-Ferrand, dénonçant un "conflit d'intérêts du président de région Laurent Wauquiez" dans son fief de Haute-Loire, où il a été député et maire du Puy-en-Velay.Le budget primitif 2021 de la Région comprend un investissement de 23,3 millions d'euros dévolu à ces travaux.Le coût total de cette déviation est estimé à 226,5 millions d'euros, dont 198 millions d'euros financés par la Région, auxquels s'ajoute le coût du doublement de la déviation d'Yssingeaux, dans le même département, pour un montant de 37,8 millions d'euros de fonds exclusivement régionaux, selon le groupe RCES.
Il y a 4 ans et 113 jours

Retour à Memphis

Signés des architectes dessinateurs les plus brillants de Jacques Androuet du Cerceau à Etienne-Louis Boullée, de Gilles-Marie Oppenord à Jean-Jacques Lequeu, de Charles Percier à Henri Labrouste, d'Eugène Viollet-le-Duc à Charles Garnier , les 150 dessins présentés dans cet ouvrage retracent une histoire de l'architecture […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 113 jours

[Livre] Préfabrication de l’habitat par Géraldine Bouchet-Blancou

Géraldine Bouchet-Blancou est architecte et docteure en architecture et urbanisme. Sa thèse portant sur la « la préfabrication tridimensionnelle de la surélévation » l’a menée à cet ouvrage. Construire vite, bien et à moindre coût, cette quête est permise par l’industrialisation de la construction. Cet ouvrage dresse le panorama des prototypes majeurs de l’habitat préfabriqué. Il dévoile […]
Il y a 4 ans et 113 jours

La chapelle Rothko fête ses 50 ans

Située à Houston aux États-Unis, la célèbre chapelle qui abrite 14 peintures de l’américain Mark Rothko souffle ses cinquante bougies. L’édifice lie art, architecture et spiritualité dans son volume monolithique en brique, ouvert à toutes les confessions. L’anniversaire donne lieu à plusieurs évènements sur place et en ligne à partir de ce 26 février. La chapelle inaugurée en 1971 est une commande du couple philanthrope et collectionneur d’art moderne John et Dominique de...
Il y a 4 ans et 113 jours

En pleine pandémie, les micro-maisons cassent la baraque en Turquie

Gizem Baburhan se souvient avec émotion de son premier séjour dans une micro-maison plantée au milieu d'un vignoble de l'ouest de la Turquie."Cette vie minimaliste nous a offert une tranquillité incomparable", dit-elle. "J'espère que nous pourrons devenir propriétaires d'une micro-maison et voyager avec dans le monde entier".Apparu il y a quelques décennies aux États-Unis, le mouvement des "tiny houses" a pris de l'ampleur après la crise financière de 2008, mais n'est apparu que récemment en Turquie.Dans un pays où les habitants privilégient les logements spacieux et modernes, ces maisonnettes, qui ressemblent à des préfabriqués montés sur des remorques, n'avaient a priori pas de quoi séduire.Pourtant, les constructeurs de micro-maisons ont vu leurs carnets de commandes se remplir depuis l'an dernier et ont bien du mal à faire face à la demande."En 2020, nos commandes ont été multipliées par 20 par rapport à l'année précédente", affirme à l'AFP Galip Olmez, patron de YAKO Groups qui s'est lancé sur le marché en 2017.Pelin Dustegor, architecte travaillant pour l'entreprise Casa Lokomotif, explique que la plupart de ses clients viennent du secteur du tourisme et veulent proposer une offre "de type camping"."En 2019, nous avons reçu un peu moins de 250 commandes. En 2020, nous en avons reçu 4.500 par mois", indique Mme Dustegor. "Il y a un engouement extraordinaire".Peur de l'hôtelLa Turquie est mondialement connue pour ses plages de sable fin et ses gigantesques hôtels aux formules tout inclus qui peuvent héberger plusieurs milliers de touristes.Mais la crise sanitaire a contraint les compagnies touristiques à revoir leurs plans et nombre d'entre elles font désormais le pari que les touristes préféreront éviter les lieux bondés dans les années à venir.Les micro-maisons s'imposent donc comme un recours permettant de proposer un hébergement individuel et rassurant.Mme Dustegor souligne aussi que la popularité des micro-maisons auprès du secteur touristique s'explique par leur coût relativement faible et la possibilité d'amortir l'investissement rapidement.Ces maisonnettes, montées sur roues, ont également l'avantage de pouvoir être "garées" sur des terrains sans nécessiter de permis de construire, car elles sont considérées en Turquie comme des véhicules.Les micro-maisons sont également de plus en plus populaires auprès des 30-40 ans qui souhaitent investir et faire de la location saisonnière, explique-t-elle.Caglar Coskun en fait partie. Il a acquis une micro-maison qu'il loue à des touristes après l'avoir installée dans un vignoble sur la côte égéenne de la Turquie."Les gens ne voudront plus rester dans des hôtels de 500 personnes, mais en petit groupe dans la nature. Personne ne voudra plus faire la queue devant un buffet ouvert", prédit-il.Jardin pour salonC'est justement dans la maisonnette de M. Coskun que Mme Baburhan a vécu avec son mari sa première expérience en micro-maison."C'était une petite maison, mais entièrement équipée et située au cœur d'un très beau vignoble. Nous nous sommes rapidement habitués et avons fini par avoir l'impression d'y avoir toujours vécu", confie-t-elle.M. Olmez indique que sa firme YAKO Groups construit des surfaces allant de 15 m2 à 40 m2, soit la taille d'un studio ou d'une chambre d'hôtel. Leur prix varie entre 15.000 et environ 30.000 euros.Mme Dustegor, l'architecte, a pris l'habitude de passer deux jours par semaine dans sa micro-maison qu'elle a installée au milieu d'un jardin à l'extérieur d'Istanbul, au bord de la mer de Marmara."Mon salon, c'est le jardin", s'amuse-t-elle en regardant un coq qui gambade dans l'herbe. "Je regarde les insectes, je vois les fleurs éclore et les saisons passer. C'est un voyage intérieur, une façon de se purifier", dit-elle.M. Olmez estime que les périodes de confinement liées à la crise sanitaire ont poussé un grand nombre de personnes à s'interroger sur l'intérêt de vivre dans des immeubles en ville."Les gens ne devraient pas avoir peur du minimalisme" des micro-maisons, dit-il. "Cela ne rétrécit pas la vie, mais cela la libère".
Il y a 4 ans et 113 jours

Dans la construction le client peut exiger des prestations non prévues

L'absence de ces éléments indispensables fait que la construction n'est pas achevée, alors que le constructeur, lorsqu'il signe un contrat de construction de maison avec fourniture de plan, est tenu à une garantie de livraison, ce qui signifie que tout doit être terminé et habitable.Au moment de prendre livraison de son pavillon, un couple réclamait la réalisation de travaux supplémentaires mais le constructeur répondait que ces travaux n'étaient envisagés ni dans le contrat, ni dans la notice descriptive qui précise les caractéristiques techniques de l'immeuble et les équipements indispensables.La justice a fait une distinction. Les travaux supplémentaires qui n'étaient pas indispensables à l'usage de la maison ont été refusés puisqu'ils n'étaient pas mentionnés dans les documents contractuels. Peu importe, ajoutait la cour d'appel, que le constructeur ait "illicitement omis" ces équipements. Il s'agissait de la clôture et du portail.Mais les travaux indispensables, comme la rampe d'accès au garage, bien que non prévus, ont été jugés exigibles par la Cour de cassation puisqu'ils étaient nécessaires à l'achèvement de la construction et donc à sa livraison garantie.La notice descriptive peut cependant prévoir, selon le code de la construction et de l'habitation, que des travaux indispensables demeurent à la charge du maître d'ouvrage, c'est à dire du client, mais il faut que cela soit expressément indiqué, écrit et signé par celui-ci.(Cass. Civ 3, 27.6.2019, H 17-25.949).
Il y a 4 ans et 113 jours

Den Blaa Planet, un aquarium signé 3XN à Copenhague

Le nouvel aquarium national du Danemark – situé à Kastrup dans la banlieue de Copenhague – réalisé par l’agence danoise 3XN, est lauréat des Trophées Eiffel 2020 dans la Catégorie « International ». Aspect sculptural pour l’un des plus grands aquariums d’Europe ? Surplombant l’Øresund et inspiré par les courants de la mer, les volées d’oiseaux, […] L’article Den Blaa Planet, un aquarium signé 3XN à Copenhague est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 113 jours

Un nouveau directeur général des Patrimoines et de l'Architecture

Jean-François Hébert a été nommé nouveau directeur général des Patrimoines et de l'Architecture, à compter du 8 mars prochain. Il remplace ainsi Philippe Barbat à la tête de cette direction dépendante du ministère de la Culture.
Il y a 4 ans et 113 jours

La face cachée des villes

La crise sanitaire aura‑t‑elle eu le mérite de projeter sur le devant de la scène les ...En savoir plus Cet article La face cachée des villes est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 113 jours

Invisible Cities

Will the health crisis have the merit of putting centre stage the invisible people of our ...En savoir plus Cet article Invisible Cities est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 113 jours

SylSmart Connected Building : l’éclairage intelligent nouvelle génération

En 2020, les confinements et la généralisation du télétravail ont permis une réduction des consommations d’énergie du parc immobilier tertiaire. Mais ils ont aussi révélé un important gaspillage des bâtiments mal régulés. Et ce, alors même que la dernière directive européenne leur impose une réduction de 32,5% d’ici 2030 des dépenses énergétiques. Cette transition écologique est d’ailleurs inscrite dans le plan France Relance. 65% d’économies étant réalisables avec des luminaires basse consommation associés à une gestion intelligente, l’éclairage constitue un véritable enjeu pour réduire la facture énergétique des bâtiments tertiaires et commerciaux. Pour les aider à relever ce défi de l’éco-performance, Sylvania présente une nouvelle génération de sa solution de gestion d’éclairage intelligent SylSmart Connected Building. Aux évolutions innovantes, ce système unique permet de délivrer la bonne quantité de lumière, au bon endroit, au bon moment. UNE INTELLIGENCE INTÉGRÉE POUR UN MAXIMUM DE CONFORT ET D’EFFICACITÉ Contrairement aux systèmes de gestion d’éclairage traditionnels, SylSmart Connected Building repose sur le principe de la technologie embarquée. Chaque luminaire LED intègre ainsi un capteur multifonctions avec module de communication sans fil, détecteur PIR, capteur de lumière naturelle, et désormais la mémoire et le microprocesseur qui rendent intelligents et réactifs tous les produits compatibles de la gamme tertiaire. Cette intelligence intégrée à chaque luminaire offre un degré de détection des mouvements plus précis et un contrôle extrêmement pointu pour adapter réellement le niveau d’éclairage aux besoins et ainsi améliorer le confort au maximum. Réunissant toutes les caractéristiques attendues d’une solution complète de gestion d’éclairage (détection de présence, prise en compte de l’apport de lumière naturelle…), SylSmart Connected Building apporte aux gestionnaires comme aux occupants une grande souplesse pour délivrer la bonne quantité de lumière, au bon endroit et au bon moment. Que ce soit au niveau d’un étage ou d’un bâtiment complet, tout est personnalisable en quelques clics grâce aux profils pré-configurés dans le système : environnement dynamique et réactif pour un open space, éclairage précis et convivial en salle de réunion… UNE GESTION DÉCENTRALISÉE ET SÉCURISÉE AU SERVICE D’UNE PLUS GRANDE FIABILITÉ Reposant sur une architecture décentralisée dans laquelle chaque luminaire est autonome, sans dépendre d’un contrôleur central, la nouvelle version SylSmart Connected Building garantit un fonctionnement extrêmement fiable. En cas de dysfonctionnement de l’un des points lumineux, il n’y a aucun risque de défaillance généralisée puisque la communication continue à passer entre les autres éléments du système. UNE INSTALLATION RAPIDE ET UNE MISE EN SERVICE ENCORE PLUS SIMPLE Sans fil, les luminaires SylSmart Connected Building s’installaient d’ores et déjà facilement sans aucun câblage supplémentaire. Aujourd’hui, Sylvania va encore plus loin en proposant un système plus simple à déployer grâce à : une configuration hors site via une plateforme web dédiée. Celle-ci permet de planifier et concevoir son projet en amont (définir ses besoins, créer des zones et scènes d’éclairage, effectuer tout le paramétrage des luminaires), une optimisation sur site via une application mobile spécialement conçue pour faciliter la mise en service des appareils. Il suffit de télécharger toutes les données au niveau de chaque luminaire et d’ajuster certains réglages si besoin (étalonnage de la lumière naturelle, variation des niveaux d’éclairage…). Intuitifs, à la prise en main simple et rapide, ces nouveaux outils garantissent un véritable gain de temps d’installation et un minimum de perturbations des occupants du bâtiment. Outre la configuration et la mise en œuvre aisées, la maintenance est également simplifiée. Grâce aux réglages sauvegardés dans le Cloud, contrôler le bon fonctionnement de l’éclairage dans le temps ou le reconfigurer en cas de réagencement de l’espace ne nécessite aucune intervention d’un technicien. Alliant une meilleure maîtrise des coûts (installation, mise en service, exploitation) et une maintenance réduite, SylSmart Connected Building constitue un véritable investissement sur le long terme. UN SYSTÈME ÉVOLUTIF TOURNÉ VERS L’AVENIR Fonctionnant auparavant en protocole fermé, les luminaires de la nouvelle version SylSmart Connected Building sont désormais connectés au sein d’un réseau maillé Bluetooth® Qualified mesh non propriétaire. Compatible avec de nombreuses plateformes, ce protocole de communication garantit la pérennité mais aussi l’évolutivité du système de gestion d’éclairage intelligent de Sylvania. En plus de sécuriser l’accès à la plateforme web et à l’application mobile grâce à un cryptage des données, il permet de définir pour chaque projet des autorisations selon les profils. Propriétaires, gestionnaires, installateurs et utilisateurs peuvent ainsi accéder à certaines fonctionnalités et interagir avec l’éclairage en fonction de leurs besoins. Performance élevée et gain de temps à l’installation, la nouvelle version SylSmart Connected Building est une solution de gestion d’éclairage résolument sans contrainte, idéale pour la modernisation de tous les bâtiments tertiaires. Avec un retour sur investissement moyen en moins de 5 ans, plus rapide que les systèmes DALI, elle permet de réaliser jusqu’à 68% d’économies d’énergie par rapport à des luminaires standards sans gestion. Associé à SmartServices, l’écosystème complet de services personnalisés proposé par Sylvania, SylSmart Connected Building se présente comme LE choix intelligent pour réussir à trouver le parfait équilibre entre efficacité énergétique et confort optimum des occupants.
Il y a 4 ans et 113 jours

5ème période des CEE : Les artisans du bâtiment déplorent le manque de lisibilité et de cohérence de la politique énergétique publique

Selon la CAPEB, certaines dispositions touchant aux évolutions de plusieurs opérations « Coup de Pouce » risquent de créer en cours d’année des ruptures brutales dans la compréhension des dispositifs d’aides à la rénovation énergétique des bâtiments d’une part, également en termes d’activité d’autre part. Enfin, la CAPEB déplore que la simplification du dispositif annoncée par la Ministre Emmanuelle Wargon ne soit toujours pas à l’ordre du jour.La suppression soudaine de certaines opérations « Coup de Pouce »Si la CAPEB se félicite de l’allongement à 4 années de la durée de la 5e période du dispositif des CEE, cette évolution ne doit pas s’accompagner de changements des règles du jeu en cours de période, au risque de réduire la lisibilité du dispositif des CEE et de le rendre insuffisamment compréhensible par les différents acteurs sur le terrain. Ainsi, la CAPEB regrette que de nouvelles dispositions touchant aux évolutions de certaines opérations « Coups de Pouce » soient envisagées en cours d’année 2021, dès le 1er juillet. Ce bouleversement créerait des ruptures brutales dans la compréhension des dispositifs d’aides à la rénovation énergétique des bâtiments, tant auprès des usagers que des professionnels réalisant ces travaux, ainsi qu’une déstabilisation de certaines filières.Les opérations « Coup de Pouce » présentent l’avantage, outre de bonifier les travaux concernés, d’améliorer la lisibilité de l’aide apportée en forfaitisant le montant de la prime de manière uniforme pour l’ensemble du territoire et des obligés. Si certaines d’entre elles ont pu occasionner les dérives de certains acteurs au détriment de la qualité de réalisation et du respect des règles commerciales avec pour conséquence l’apparition de comportements frauduleux, la CAPEB demande qu’elles soient prolongées et que la lutte contre la fraude soit intensifiée.Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB, témoigne : « Disposer d’aides stables et cohérentes est essentiel pour assurer la réussite du Plan de Relance mis en place par le Gouvernement. Nous demandons à ce titre que certaines opérations « Coups de Pouce » soient adaptées, en concertation avec les acteurs concernés, dans le cadre de la 5e période du dispositif, en les ajustant pour éviter la fraude ou les éventuels effets d’aubaine ».Des promesses de simplification non tenuesSuite à l’interpellation de la CAPEB devant les nombreuses remontées des entreprises artisanales soulignant les disfonctionnements et aberrations du dispositif des certificats d’économies d’énergie, propres à les décourager d’y recourir, la Ministre du Logement avait décidé de simplifier le dispositif, aujourd’hui devenu extrêmement complexe, avec des règles tatillonnes et inadaptées. Le groupe de travail alors créé au sein de la Direction Interministérielle de la Transformation Publique (DITP) avait pour objectif de dresser un état des lieux et de dégager des pistes de simplifications.Ainsi, une cinquantaine de propositions ont été réunies dans un rapport que la DITP a remis à la Ministre du Logement, qui, après en avoir pris connaissance, s’était engagée à appliquer la totalité de ces propositions selon un ordre de priorité à définir ensemble. La CAPEB en appelle désormais à la Direction Générale de l’Écologie et du Climat (DGEC) pour concrétiser rapidement les propositions de simplification validées par la Ministre du Logement, main dans la main avec les acteurs du secteur.Pour la CAPEB, il est essentiel que l’intégralité de ces propositions soit mise en œuvre. Il serait incompréhensible que la Direction générale de l’énergie et du climat (DGEC) en décide autrement.« Nous avons salué la qualité des travaux réalisés fin 2020 et le respect de l’agenda initial et attendons que cette dynamique se poursuive pour cette seconde phase (...) il y a urgence à simplifier et notamment les points les plus sensibles et irritants pour les entreprises. » alerte Jean-Christophe Repon.
Il y a 4 ans et 113 jours

A Lyon, une tour en bois de 53 mètres de haut va voir le jour

EN IMAGES. Le quartier de La Confluence à Lyon poursuit sa construction avec un nouveau projet baptisé Albizzia constitué de 4 bâtiments en bois massif CLT dont une tour de 53 mètres de haut. Découvrez cette opération menée par les architectes Hardel Le Bihan et Insolites ainsi que Woodeum et Utei.
Il y a 4 ans et 113 jours

Tempête Alex : à Breil-sur-Roya, assemblage et pose d’un pont de secours en un temps record

Depuis ce mercredi 24 février, Breil-sur-Roya dispose d’un pont provisoire installé en lieu et place d’un ouvrage emporté par la tempête Alex. Financé par le département des Alpes-Maritimes et la commune, il a été monté et posé en une semaine par le Centre national des ponts des secours.
Il y a 4 ans et 113 jours

L'Ecole d'art de Toulon, proue brutaliste d'un quartier en renouveau

EN IMAGES. Dessiné par Corinne Vezzoni, aux commandes de l'opération de renouvellement du quartier Chalucet, au coeur de Toulon, le nouveau bâtiment de l'Ecole supérieure d'art et de design de Toulon Provence Métropole, est la "proue" de ce quartier dont les travaux viennent de s'achever. Retour sur une opération emblématique de l'ambition urbaine de la ville portuaire varoise.
Il y a 4 ans et 113 jours

The Hidden Dimension

Will the health crisis have the merit of putting centre stage the invisible people of our ...En savoir plus Cet article The Hidden Dimension est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 113 jours

Deux riches maisons romaines à décors remarquables à Nîmes

A Nîmes, une fouille préventive, réalisée par l’Inrap, a été prescrite par le service régional de l’archéologie (Drac Occitanie), dans le cadre du programme immobilier prévoyant une cinquantaine d’appartements mené par le groupe Cogedim (« Écrin des arts »). L’objectif de cette opération d’archéologie préventive qui s’est achevée le 12 février 2021, est de sauvegarder, par l’étude scientifique, les vestiges romains qui avaient été identifiés lors d’un diagnostic réalisé précédemment par l’Inrap. Le plan complet des domus dépasse les limites de la fouille et des parcelles du programme d’aménagement. Néanmoins, l’un de ces deux bâtiments se signale par la présence d’une pièce de réception reconnue dans sa presque totalité. Fait rare dans le contexte archéologique nîmois, les enduits peints ornant les parois de cette salle ont été découverts effondrés au sol. Les traces visibles au revers de ces enduits montrent qu’ils étaient initialement posés sur un édifice en terre et incisé en chevrons pour assurer leur bonne adhérence. Sur leur face peinte, ces enduits présentent un décor classique à grands panneaux rouges et inter-panneaux noirs accueillant des candélabres raffinés. Ce type de composition correspond à une mode très présente en Gaule romaine au Ier siècle de notre ère. Le béton de sol associé aux enduits peints présente un décor géométrique en nid d’abeille fait de tesselles noires. Dans le grand axe de la pièce, ce pavement comprend un tapis en opus sectile (« appareil découpé ») :  des plaquettes de plusieurs variétés de marbres provenant de différentes provinces de l’Empire sont découpées et assemblées de façon à constituer un dessin, ici un damier. Le choix du marbre pour enrichir le décor incite à attribuer cette domus à un notable de la cité antique de Nîmes. D’autres vestiges reflètent également le niveau de luxe, comme des pièces avec système de chauffage par le sol avec hypocauste et tuyaux de chaleur. Dans une des cours, se trouvait un bassin à abside semi-circulaire et revêtement de marbre blanc du type Carrare. La seconde cour était agrémentée de plantations, certaines étant représentées par des pots horticoles trouvés en place. Source : Inrap Photo : Tapis en opus sectile d’une pièce de réception d’une domus datée des Ier/IIe siècles de notre ère. B Houix, Inrap