Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

(61913 résultats)
Il y a 4 ans et 114 jours

Les villes invisibles

Lisez en intégralité l’édito d’Emmanuelle Borne, rédactrice en chef d’AA. Cet article Les villes invisibles est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 114 jours

ORLAN, le corps en exposition

Est-il encore besoin de la présenter ? Depuis les années 1960, ORLAN s’est imposé en reine de ...En savoir plus Cet article ORLAN, le corps en exposition est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 114 jours

La ligne 16 du métro du Grand Paris sera terminée dès 2028

Longue de 29 km, la ligne 16 du Grand Paris Express doit irriguer toute la Seine-Saint-Denis, de Saint-Denis à Noisy-Champs, en désenclavant notamment les quartiers défavorisés de Clichy-Montfermeil.Le marché, qui concerne le tronçon terminal entre Clichy-Montfermeil et Noisy-Champs a été attribué à un groupement d'entreprises constitué de Razel-Bec, Sefi-Intrafor et Fayat Metal pour à 325 millions d'euros, a précisé la SGP dans un communiqué.Les travaux doivent commencer en septembre 2021 et durer sept ans, selon la SGP."La signature de ce troisième marché de génie civil de la ligne 16 permettra de boucler la ligne avec un objectif de mise en service amélioré à 2028 au lieu de 2030 initialement" a relevé Thierry Dallard, président du directoire de la SGP, cité dans le communiqué.Le groupe Eiffage a parallèlement indiqué lundi avoir remporté des contrats de la SGP pour les travaux d'aménagement des gares La Courneuve Six-Routes et Le Blanc-Mesnil sur cette même ligne, ainsi que de plusieurs ouvrages de service, pour un montant de près de 97 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 114 jours

Parrot choisi par la Direction Générale de l’Armement (DGA) pour la fourniture de micro-drones ANAFI USA

Parrot, le premier Groupe européen de micro-drones, a été choisi par la DGA pour fournir son micro-drone ANAFI USA en vue d’équiper les 3 armées françaises (Air, Mer et Terre), dans le cadre de son appel d'offre lancé en février dernier.Ce succès est le fruit de deux années de travail pour développer, sécuriser et produire un micro-drone spécifiquement conçu pour répondre aux besoins des forces armées. Le drone ANAFI USA, spécialement adapté pour les Forces armées du monde entier, offre aux soldats un micro-drone quadricoptère de 500 g disposant de capacités d’observation de jour et de nuit. Avec 32 minutes de vol, il détient la meilleure performance de sa catégorie. Le contrat-cadre d’une durée de 5 ans s’entend pour plusieurs centaines de systèmes de drones, des équipements complémentaires, le développement d'adaptations et la formation de pilotes référents. Les premiers systèmes seront livrés dans les prochains mois. ANAFI USA permet d’étendre les capacités de reconnaissance des forces françaises. Grâce à son puissant zoom 32x, articulé autour de deux caméras 4K 21 mégapixels, la détection de cibles de taille humaine est possible jusqu’à 2 km de distance avec une précision de 13 cm de détail. Les images du zoom sont fusionnées avec celles obtenues par la caméra thermique FLIR Boson. Cette dernière permet de repérer les points chauds de jour comme de nuit. Déployable en 55 secondes, il est également très discret : avec une signature sonore de 79 dB à une distance de 1 m, il est inaudible dès 130 m.Grâce aux partenariats de développement logiciels mis en œuvre par Parrot avec des acteurs à la pointe dans leurs domaines, les utilisateurs peuvent également bénéficier de l'écosystème grandissant de logiciels compatibles. Ceux-ci permettent par exemple de gérer des flottes de drones en temps réel (Skyward, A Verizon company, DroneSense), de générer des photos/vidéos visibles et thermiques (Survae) et des cartographies tactiques (Pix4Dreact). Des prestations de R&D sont également prévues pour adapter ANAFI USA aux besoins des armées françaises. ANAFI USA est une révolution pour les organisations de Défense, issu de l’expertise développée par Parrot dans le grand public. Celles-ci cherchent désormais à mettre rapidement à disposition de leurs Hommes des technologies récentes, à la performance éprouvée, à un coût maitrisé.La technologie de la plateforme ANAFI, basée sur la banque de composants de la téléphonie mobile, atteint un niveau de fiabilité renforcée par les centaines de milliers d’heures de vol des drones grand public. Les choix technologiques de ANAFI USA offrent un coût d’acquisition et des performances sans commune mesure avec ceux de produits traditionnellement développés pour les forces armées.ANAFI USA a aussi répondu aux exigences de la DGA en termes de sécurité. Sécurisation de la liaison, sécurisation des données, sécurisation du firmware : il répond aux normes de cybersécurité les plus exigeantes. Une signature numérique protège de tentatives de modification malveillante du logiciel du drone.Le drone permet d’enregistrer les données de la mission uniquement sur le segment sol, et non dans le vecteur aérien, puis de les extraire pour analyse, par connexion physique. Le drone dispose d’une connexion WPA2 sécurisée et de protocoles ouverts qui garantissent la confiance dans l’interopérabilité des données enregistrées pour des missions sensibles.ANAFI USA est entièrement développé en France et produit aux États-Unis. Aucun composant essentiel n’est produit en Chine. Le drone et son application de pilotage fonctionnent sans nécessiter d'accès à Internet.Les traitements de données sont soumis aux normes les plus strictes du RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données). Toutes les données du drone sont entièrement sous la maîtrise de l’utilisateur. Lorsqu'elles sont partagées, les données sont stockées sur des serveurs sécurisés en Europe.L’application de pilotage FreeFlight 6 auditée par l’entreprise privée Bishop Fox mondialement réputée pour ses services de sécurité offensive, confirme également la sécurité offerte aux utilisateurs et la protection de leurs données.ANAFI USA a aussi été sélectionné par des organisations partenaires du gouvernement fédéral américain dans le cadre du projet Blue sUAS. Il s’agit du seul drone d’une entreprise non américaine à être commercialisé sur la plateforme d’achat de l’armée, des agences gouvernementales et des forces de sécurité américaine : le « GSA Schedule ». Il est déjà commandé et utilisé par de nombreux policiers, agences fédérales et pompiers aux États-Unis et dans d’autres pays du monde.Le prototype de Parrot a également été finaliste dans la première tranche du programme SRR du ministère de la défense américain. Celui-ci continuera d’être évalué de manière indépendante par le gouvernement dans le cadre des mesures de réussites de l’« Other Transaction Agreement » (OTA). Le gouvernement américain fournira une notification séparée pour permettre à d'autres agences du DoD ou du gouvernement fédéral de passer d'éventuelles futures commandes.Parrot, pionnier et leader de l’industrie du drone en Europe, avec une R&D à Paris de 200 ingénieurs, se réjouit d’avoir été sélectionné par la DGA. Le Groupe qui s’appuie sur un total de plus 350 ingénieurs avec ses filiales en Europe et aux États-Unis, considère le marché de la Défense et de la Sécurité comme l’un des plus prometteurs.Le savoir-faire du Groupe Parrot s’articule principalement autour des micro-drones professionnels à marque Parrot, d’ailes volantes dédiées aux professionnels pour réaliser des missions plus longues (senseFly) et de solutions logiciels d’analyses et de mesures d’images (Pix4D) adaptées à un grand nombre de drones de toutes marques.Au-delà de la Défense et de la Sécurité, les autres domaines d’applications du Groupe Parrot sont la gestion et l’inspection des infrastructures d’énergie et de communication (lignes haute tension, tours de réseaux cellulaires, fermes solaires, centrales nucléaires et éoliennes, mines et carrières), la gestion et le suivi de chantiers (immobilier, routes, rails, ouvrage d’art), l’agriculture de précision (santé des cultures, hydrométrie, contrôles des parasites).Henri Seydoux, Président Directeur général, fondateur et principal actionnaire de Parrot conclut : « Nous sommes très fiers d’avoir gagné cet appel d’offre de la DGA et de continuer à travailler sur de nouvelles opportunités avec les États-Unis. C’est le fruit du travail minutieux accompli par nos équipes en France depuis plus de 2 ans, et celui de 10 ans d’expertises. En faisant le pari de développer la plateforme ANAFI, conçue pour le grand public, robustifiée pour les besoins des professionnels, et sécurisée pour les exigences des forces armées, nous avons franchi une étape importante pour le Groupe. Dans le monde actuel, Parrot est convaincu qu'il est clé pour les forces de sécurité, et les armées, de s’appuyer sur les puissants équipements issus de la high-tech grand public, et hautement sécurisés. ».
Il y a 4 ans et 114 jours

Une enquête inédite s'intéresse à la place de la santé dans les projets de construction

CRITÈRES SANITAIRES. Lancée début février, une enquête inédite baptisée "Diagnostic bâtiment santé" demande aux industriels, maîtres d'ouvrage, architectes et autres bureaux d'études d'indiquer quelle place occupe la santé dans leurs projets de construction. L'objectif est de mieux cerner ces enjeux et de les mettre en perspective par rapport aux autres évolutions réglementaires, comme le facteur carbone.
Il y a 4 ans et 114 jours

Catherine Chevillot succède à Marie-Christine Labourdette à la tête de la Cité de l’archi

Catherine Chevillot, conservatrice générale du patrimoine, directrice du musée Rodin depuis 2012, devient présidente de la Cité de l’architecture et du patrimoine à compter du 8 mars 2021. Elle succède à Marie-Christine Labourdette, nommée à la présidence du château de Fontainebleau. Catherine Chevillot est […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 114 jours

L'italien Eni acquiert trois projets photovoltaïques en Espagne

Eni et X-Elio ont en outre entamé des discussions en vue d'une collaboration plus large pour le développement de projets d'énergie renouvelable en Espagne, où Eni vise à augmenter sa capacité installée à 1 gigawatt dans les cinq prochaines années.Une fois finalisée la transaction, dont le montant n'a pas été divulgué, Eni sera responsable de la construction des trois centrales photovoltaïques et de la commercialisation de l'électricité."Cette initiative renforce considérablement la présence d'Eni sur le marché espagnol (...) et constitue un élément clé de l'engagement d'Eni sur la réduction des émissions de CO2", a commenté son patron, Claudio Descalzi, cité dans un communiqué.Le groupe italien avait annoncé déjà fin janvier l'acquisition de 100% du distributeur de gaz et électricité espagnol, Aldro Energia.Eni s'est fixé un objectif de réduction de 80% des émissions nettes de gaz à effet de serre de ses produits énergétiques d'ici 2050, au-delà du seuil de 70% indiqué par l'Agence internationale d'énergie (AIE). Il prévoit également d'atteindre la neutralité en terme d'émissions de carbone dans le secteur "upstream" (la production et l'exploration) d'ici à 2030.Eni a annoncé en outre être sur le point de finaliser des accords à l'amiable dans des litiges concernant l'opérateur de gaz espagnol Union Fenosa Gas, dont le groupe italien avait acquis une part de 50% en 2003.Eni débutera dans la foulée la commercialisation de gaz naturel en Espagne auprès des secteurs industriel et thermoélectrique et des grossistes.
Il y a 4 ans et 114 jours

Hager enrichit son offre KNX avec une passerelle de communication pour compteurs d’énergie

La marque franco-allemande confirme ainsi sa présence dans l’univers KNX, et sa volonté de proposer aux intégrateurs, aux bureaux d’études et aux installateurs des solutions de comptage toujours plus simples à installer et à connecter.Compatible avec la majorité des compteurs d’énergie Hager[1] et tous les modes de communication (impulsionnel, Modbus, M-bus), la passerelle de comptage KNX TXF121 se connecte automatiquement grâce à une cellule infrarouge, dès lors qu’elle est positionnée à gauche d’un compteur d’énergie Hager. Elle se distingue aussi par son encombrement réduit : un seul module. Elle s’intègre facilement sur le rail DIN d’un tableau électrique.Avec la passerelle TXF121, il est désormais possible de rendre les compteurs d’énergie communicants et de transmettre sur le bus KNX les données mesurées sur les réseaux monophasés jusqu’à 80A et sur les réseaux triphasés jusqu’à 125A en lecture directe. Il est également possible de renvoyer les données des compteurs triphasés utilisant des transformateurs de courant.Dans le cadre d’installations tertiaires (commerces, centres commerciaux hôtels etc.) ou résidentielles (villa, multi-résidentiel), la passerelle TFX121 permet notamment de connaître l’état du réseau électrique, la qualité d’énergie, les consommations par zone ou par usage.C’est une nécessité, voire une obligation dans le cadre normatif de la RT2012 ainsi que les mesures environnementales de l’IEC 60 364-8-1 et de l’ISO 50 001, qui exigent que les constructions soient équipées d’instruments de mesure de la consommation par zone ou par usage.Auto-alimentée par le bus KNX, le TXF121 permet de renvoyer l’ensemble des données de mesure sur n’importe quel superviseur KNX. Il est alors possible de cibler les consommations, d’établir un diagnostic pour mettre en place des actions correctives et d’anticiper les dérives afin d’éviter une surconsommation.Disponible en programmation sous ETS pour les grands projets, la passerelle de comptage KNX Hager est également paramétrable en mode Easy, afin de permettre des installations simples et rapides dans un environnement produit Hager. Grâce à la nouvelle passerelle de comptage KNX TXF121, il est désormais possible de renvoyer sur un superviseur Hager domovea paramétré en Easy des données de comptage électrique.Grâce à la nouvelle passerelle de communication TXF121, les professionnels de la filière ont accès à une solution simple à installer, à encombrement réduit, avec une référence unique adaptée à la majorité des compteurs de la gamme Hager.[1] Sauf ECM140D et ECR140D.
Il y a 4 ans et 114 jours

Webinaire sur le phare de Cordouan

Candidat pour une inscription sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, le phare de Cordouan sera mis à l’honneur le 15 mars dans un webinaire au cours duquel des spécialistes décrypteront les différentes facettes de ce lieu emblématique. Prouesse architecturale et technique édifiée en pleine mer à l’embouchure de l’estuaire de la Gironde, le phare de Cordouan, majestueusement élancé vers le ciel, résiste depuis plus de 400 ans à l’assaut des eaux tumultueuses de l’Atlantique et de la Gironde. Premier phare français classé Monument historique en 1862, ce lieu exceptionnel du patrimoine national illumine depuis 1611 les côtes girondines et charentaises. Au cours des conférences et tables rondes qui se tiendront tout au long de ce webinaire, des spécialistes apporteront des éclairages riches et complémentaires permettant de valoriser les différentes facettes de ce lieu emblématique. Toutes les interventions du webinaire seront traduites en anglais en simultané et accessibles via Zoom. https://www.phare-de-cordouan.fr/blog/un-webinaire-en-l-honneur-de-cordouan–.html?preview=7c4e493533fe6d752e9be9369c2ee540  
Il y a 4 ans et 114 jours

Reconversion du site de Clairvaux : ambitions partagées des acteurs

Le départ progressif de l’administration pénitentiaire et la fermeture annoncée de la maison centrale en 2023 ont conduit l’Etat à s’engager dans un projet de reconversion global de l’abbaye de Clairvaux pour assurer la conservation de ce monument historique mais aussi pour redynamiser son bassin de vie et construire avec les collectivités locales un devenir pour ce site implanté dans un territoire en grande difficulté sur le plan socio-économique. A l’issue du comité de pilotage réunissant, le 12 février 2021, l’État, les parlementaires, les collectivités territoriales et l’association Renaissance de l’Abbaye de Clairvaux, l’État et les collectivités font le point de l’avancement des études et des travaux du groupe projet visant à préparer la reconversion du site de Clairvaux. Un appel à idées a permis de dégager des pistes de développement de Clairvaux pour en faire non seulement un lieu de visite culturelle et touristique mais aussi un véritable écosystème économique innovant. Avant de passer à la consultation pour choisir le(s) porteur(s) de projets, il est nécessaire de mener un certain nombre d’études : Étude patrimoniale, véritable état des lieux (état de conservation) des bâtiments au titre des monuments historiques et définition des travaux envisageables : finalisée en décembre 2020. Étude d’impact touristique, état des lieux de l’attractivité touristique du site, identification des potentiels à valoriser : finalisée en janvier 2021. Étude environnementale, paysagère et hydraulique : finalisation 1er semestre 2021. Étude juridique pour élaborer une matrice des possibilités d’occupation du site : finalisation 1er semestre 2021. Étude sur le vannage du cours d’eau alimentant le site visant à définir la nature des travaux à réaliser et le dimensionnement des ouvrages. Études en 2021 et travaux dans la foulée en 2021/2022.   Source : DRAC Grand-Est Photo : Prosopee –  Wikimedia  
Il y a 4 ans et 114 jours

Restauration des peintures murales d’Émile Bernard dans l’église de Saint-Malo-de-Phily

Les peintures murales de l’église de Saint-Malo-de-Phily en Ille-et-Vilaine ont été réalisées en 1933 par Émile Bernard et Alex Basileos. Elles évoquent trois épisodes de la Translation des reliques de Saint-Malo de Saintes à Guipry. Elles se sont dégradées depuis leur réalisation : elles présentent des craquelures de l’enduit et une usure de la couche picturale. La peinture de droite représentant le miracle de saint Malo a également subi un ruissellement depuis les verrières. Une étude préalable menée en 2019 par l’entreprise de Géraldine Fray a permis de mieux connaître les techniques du peintre, notamment à l’aide d’analyse en laboratoire, d’identifier les différents types d’altération et d’établir un protocole de restauration à l’aide de tests. La campagne de restauration des peintures murales a débuté en janvier 2021. Les interventions  portent également sur l’atténuation des coulures, grâce au nettoyage et aux retouches. Deux techniques sont utilisées : le trattegio, cette réintégration de lacune s’opère de manière visible mais discrète. Elle est constituée de petits traits juxtaposés qui, vus à une certaine distance, fusionnent grâce au principe de mélange additif des couleurs et le pointillisme, intervention selon le même principe que pour la technique du tratteggio mais les petits traits sont remplacés par des petits points. L’enjeu de ces retouches est de distinguer l’intervention de restauration de l’œuvre originale. La création d’une ventilation par aménagement d’une lame d’air en partie basse des vitraux, qui permettra l’écoulement des eaux de pluie et de condensation vers l’extérieur, est également programmée afin de contribuer à une meilleure préservation et conservation des peintures restaurées. L’ensemble de l’opération pour un montant total de 46 696€ subventionné à 40 % par la DRAC Bretagne, soit une subvention de 18 678€, devrait s’achever en mars-avril 2021. L’entreprise Géraldine Fray mandataire chargée de cette phase mobilise Stanislas Khasimov, Tristan Mahéo et Marie Smaniotto sur la restauration des peintures. L’entreprise Helmbold de Corps-Nuds intervient sur les vitraux.   Source : DRAC Bretagne Photo : © inventaire général  
Il y a 4 ans et 114 jours

L'Ecole normale supérieure de Renzo Piano, l'oasis du plateau de Saclay

Catherine Chevillot, conservatrice générale du patrimoine, directrice du musée Rodin depuis 2012, devient présidente de la Cité de l’architecture et du patrimoine à compter du 8 mars 2021. Elle succède à Marie-Christine Labourdette, nommée à la présidence du château de Fontainebleau. Catherine Chevillot est […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 114 jours

Solliès-Pont : la zone d’aménagement concerté des Laugiers labellisée ÉcoQuartier

La zone d’aménagement concerté des Laugiers, à Solliès-Pont, dans le Var, vient de recevoir le label ÉcoQuartier.
Il y a 4 ans et 115 jours

Zone d’aménagement concerté du Bas-Clichy : démolition du centre commercial du Chêne Pointu

Le centre commercial du Chêne Pointu, dans la Zone d’Aménagement Concerté (ZAC) du Bas-Clichy, fera l’objet d’une démolition d’ici quelques années.
Il y a 4 ans et 115 jours

Aux Franciscaines, quelle modernité ? La réponse d’Alain Moatti

Dans la restructuration d’un patrimoine ‘historique’, auquel tient l’édile maître d’ouvrage, quels éléments sont nécessaires à l’architecte pour affirmer la contemporanéité de l’ouvrage ? Parmi eux, le « numérique » indistinct fait-il à lui seul acte de modernité ? Le 10 février 2021, Alain Moatti (Moatti&Rivière) faisait visiter à la presse sa réhabilitation et restructuration de l’ancien couvent et […] L’article Aux Franciscaines, quelle modernité ? La réponse d’Alain Moatti est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 115 jours

A Saint-Paul de La Réunion, Cimendef esclave d’Ubu ?

Comment un bâtiment peut-il se retrouver au cœur de batailles politiques locales et en sortir sans dommage ? Leçon de résilience, avec le désormais conservatoire à rayonnement régional de Saint-Paul à La Réunion, imaginé sous forme de médiathèque par l’agence parisienne Périphériques il y a plus de dix ans. Faire appel au concept de résilience en […] L’article A Saint-Paul de La Réunion, Cimendef esclave d’Ubu ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 115 jours

Les aides au logement poursuivent leur repli, d'après une étude

FINANCES PUBLIQUES. Une étude du ministère de la Transition écologique révèle que les aides au logement ont représenté, en 2019, toutes aides confondues, 38,5 milliards d'euros. Un montant en baisse continue depuis 2017, suite à plusieurs décisions gouvernementales : baisse des APL, recentrage du PTZ et du Pinel, notamment.
Il y a 4 ans et 115 jours

Inquiets pour leur avenir, les BE et ingénieurs conseils appellent à un renforcement des mesures de soutien

Alors que le retour à un niveau d'activité comparable à celui de 2019 ne devrait pas intervenir avant la mi-2022, la Fédération CINOV émet plusieurs propositions pour soutenir ces petites et moyennes entreprises.Les principaux enseignements de l'étude :Seules 43% des entreprises de moins de 10 salariés ont eu recours à l'activité partielle, contre 78% des entreprises de plus de 250 salariésPour les TPE PME de la branche, le retour à une activité comparable à celle de 2019 ne devrait avoir lieu avant – au mieux – la mi-202255% des petites entreprises du numérique, de l'ingénierie, du conseil et de l'événement identifient la gestion de leur trésorerie comme une difficulté majeure36% des TPE PME de la branche ont eu recours au PGE30% des entreprises de la branche ont mis ou vont mettre en place des formations pour répondre à la crise sanitaireLes recommandations de la Fédération CINOV :Pérenniser l'information sur les dispositifs de soutien existants et le soutien à la transformation des TPE PME de la brancheMettre en place des diagnostics stratégiques et des prestations d'accompagnement RH, en les élargissant à d'autres thématiques (transition numérique et transition écologique notamment)Miser sur les TPE PME de la branche BETIC pour un meilleur accompagnement des entreprises des autres secteurs qui ont besoin des expertises de la branche pour traverser la crise et favoriser la relance de l'économie.L'étude OPIIEC révèle notamment que, si les TPE PME de la branche sont celles qui souffrent le plus de la crise sanitaire, et qu'elles devraient retrouver une activité normale plus tardivement que les grandes entreprises, elles sont aussi celles qui font le moins appel aux dispositifs de soutien mis en place par l'Etat. Ainsi, seules 43% des entreprises de moins de 10 salariés ont eu recours à l'activité partielle, contre 78% des entreprises de plus de 250 salariés. Aussi, alors que les grandes entreprises devraient retrouver un niveau d'activité comparable à celui de 2019 d'ici la fin de l'année 2021, cela ne sera vraisemblablement pas le cas pour les TPE PME de la branche pour lesquelles un retour au statu quo ante ne devrait avoir lieu avant – au mieux – la mi-2022.Plus inquiétant encore : les petites entreprises du numérique, de l'ingénierie, du conseil et de l'événement identifient la gestion de leur trésorerie comme une difficulté majeure. C'est le cas pour 55% d'entre elles, contre seulement 29% des entreprises de plus de 250 salariés.Un recours mesuré aux dispositifs de soutien et à la formationBien que fragilisées par la crise et inquiètes pour leur avenir, les TPE PME de la branche ont su faire preuve de résilience et solliciter un dispositif de soutien en particulier : le prêt garanti par l'Etat (PGE). Elles sont ainsi 36% à y avoir eu recours, contre seulement 16% des entreprises de plus de 250 salariés. Ce recours au PGE, s'il n'est pas massif, concerne toutefois plus du tiers des TPE PME de la branche, et n'est pas sans risque pour ces entreprises. Celles-ci manquent en effet parfois de visibilité dans leur activité, et certaines doutent de leur capacité à rembourser leur dette.Outre l'utilisation du Prêt garanti par l'Etat, les TPE PME du numérique, de l'ingénierie, du conseil et de l'événement ont également développé des stratégies résilientes et innovantes pour faire face à la crise à laquelle elles sont confrontées. Elles ont notamment renforcé la formation de leurs effectifs, afin de développer l'expertise technique de leurs salariés pour les accompagner dans leur transformation tant digitale qu'organisationnelle. Ce sont ainsi près de 30% des entreprises de la branche qui ont mis ou vont mettre en place des formations pour répondre à la crise sanitaire.La Fédération CINOV appelle ainsi à renforcer le soutien à la transformation des TPE PME de la branche. Selon Frédéric LAFAGE, Président de CINOV, « si les petites et moyennes entreprises ne sont pas soutenues dans cette transformation, seules les entreprises possédant la trésorerie nécessaire prendront ce virage plus qu'essentiel », au risque de mettre en difficulté l'ensemble des autres secteurs pour lesquels ces TPE PME fournissent des services de prestation intellectuelle.De l'urgence de renforcer les dispositifs de soutien aux entreprises et de mieux informer à leur sujetFace à ces constats alarmants et au recours encore parcellaire aux dispositifs de soutien existants, CINOV appelle d'abord à renforcer l'information sur ces derniers. « La fédération a déjà mis en place une plateforme d'information juridique liée à la crise sanitaire consultable par toutes les entreprises », précise Frédéric LAFAGE, qui rappelle que de nombreux webinars thématiques liés à la crise sanitaire sont dispensés régulièrement par la Fédération.CINOV propose également de mettre en place des diagnostics stratégiques et des prestations d'accompagnement RH, en les élargissant à d'autres thématiques (transition numérique et transition écologique notamment). « De tels dispositifs auraient pour effet d'accélérer considérablement la relance de l'économie », considère Frédéric LAFAGE, pour qui les TPE PME du numérique, de l'ingénierie, du conseil et de l'événement disposent de nombreux atouts pour accompagner ces transformations : « Le secteur du conseil est riche de compétences, notamment dans la gestion commerciale et financière d'une crise. »Enfin, la Fédération CINOV tient à rappeler son rôle sociétal dans cette période difficile en s'engageant à accompagner ses adhérents dans leur activité, mais également à être penseurs et acteurs des transitions en cours et à venir. « C'est là le cœur de notre ambition », précise Frédéric LAFAGE, qui considère que la promotion des savoir-faire des entreprises de la branche est indispensable à la relance de l'activité économique globale. « En effet, un recours plus large aux services de la branche permettrait d'une part une relance de l'activité des entreprises proposant de tels services et, d'autre part, un meilleur accompagnement des entreprises des autres secteurs qui ont besoin des expertises de la branche pour traverser la crise », parmi lesquelles celles des coachs professionnels ou du conseil en management.
Il y a 4 ans et 115 jours

Les pleurs de l’apprenti(e) architecte, une détresse nationale ?

Les journaux nationaux – Le Monde, Libération, Les Échos – ont ces derniers mois fait état du supposé mal-être des étudiants en architecture et des jeunes diplômés employés des agences. Sortez les mouchoirs ! Dans ces articles, deux thèmes sont cités de façon récurrente : « les dérives de la culture charrette », un objet de détestation, les étudiants […] L’article Les pleurs de l’apprenti(e) architecte, une détresse nationale ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 115 jours

De la culture de la charrette à la culture du projet

Ces derniers temps, plusieurs articles ont été écrits pour dénoncer la « culture de la charrette », supposément élevée en mode de vie au sein des écoles d’Architecture. Bouillon de culture ? Issue de la culture beaux-arts, cette tradition a en effet la vie dure. Le fantasme part d’un postulat totalement erroné qui prétendrait que les architectes en […] L’article De la culture de la charrette à la culture du projet est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 115 jours

Chronique du Geek – Les applications de février 2021

Ce mois-ci, le Geek présente cinq applications mobiles dédiées aux créations graphiques, au contrôle des notes de frais, au suivi du temps passé sur les projets et à la gestion des visites de chantier. La dernière propose de rafraîchir la mémoire sur l’architecture du XXe siècle des grandes métropoles.  La création dans la poche Procreate […] L’article Chronique du Geek – Les applications de février 2021 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 115 jours

Le Grand Paris affine ses infrastructures

Patrick ollier et Thierry Ollier lors de la signature du partenariat.[©DR] Le 16 février 2021, Patrick Ollier, président de la Métropole du Grand Paris (MGP). Et Thierry Dallard, président du directoire de la Société du Grand Paris (SGP). Ont signé une convention de partenariat pour l’aménagement du territoire métropolitain. Sur la base des données dont dispose la SGP, ce partenariat va permettre à la MGP d’être associée à l’aménagement des futurs quartiers de gare. Qui est l’un des trois thèmes du prochain concours “Inventons la Métropole du Grand Paris”. La MGP examinera aussi les modalités de sa participation opérationnelle. Et financière aux pôles d’échange de ces gares, en lien avec les collectivités pilotes des pôles. Enfin, les deux entités ont convenu d’initier les réflexions préalables au lancement de nouveaux projets urbains exemplaires, tant sur le plan environnemental que sociétal, dans les quartiers de gare.
Il y a 4 ans et 115 jours

A Deauville, Alain Moatti donne du lustre aux Franciscaines

L’agence Moatti & Rivière a livré début 2021 à Deauville (Calvados) la restructuration de l’ancien couvent et orphelinat Les Franciscaines en un lieu de culture qui rassemble sur un site unique un musée, une médiathèque et une salle de spectacles, créant une nouvelle typologie d’établissement culturel. Communiqué du maître d’ouvrage. À la volonté d’ouvrir la […] L’article A Deauville, Alain Moatti donne du lustre aux Franciscaines est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 115 jours

Sanisub, la réponse de SFA aux inondations des caves et garages

Une mission accomplie avec Sanisub, la nouvelle gamme complète SFA de pompes vide-caves, dédiée au relevage des eaux et plus précisément à l'évacuation de l'eau des caves, buanderies, garages et autres espaces soumis à une inondation accidentelle et temporaire.Des problématiques qui sont malheureusement de plus en plus fréquentes avec les conséquences du réchauffement climatique et ses phénomènes météorologiques extrêmes.Sanisub constitue de facto une large palette de réponses où chacun trouvera dans l'offre Sanisub SFA, une pompe adaptée à son besoin individuel.Sanisub, une gamme « vide-caves » pour répondre à toutes les situationsGrâce à ses diverses solutions de pompage (issues d'un catalogue riche de plus de cent pompes), la gamme Sanisub constitue l'illustration parfaite de l'expertise de SFA dans les cas d'inondations accidentelles, alliant performances et simplicité d'usage.Equipées d'une pompe tout acier ou avec un corps en polypropylène, active sur des granulométries de 1 à 30 mm, à déclenchement automatique avec un flotteur ou un contrôle électronique de niveau, s'adaptant aux eaux agressives ou à une température d'eaux jusqu'à 90° C…, les offres de la gamme Sanisub peuvent relever tous les défis et dans toutes les configurations.Sanipuddle : une évacuation quasi-totale jusqu'à 1 mmPompe dite « serpillière » car elle ne laisse qu'une flaque d'eau d'un millimètre facile à absorber par une serpillière, la solution Sanipuddle se veut un véritable aspirateur d'eaux claires (granulométrie de 1 mm). Opérationnelle dès la sortie de son carton d'emballage, Sanipuddle, pompe submersible, affiche un débit de 5,5 m3/heure.Portable (seulement 3,8 kg), équipée d'un câble d'alimentation de 10 m avec prise électrique pour un long rayon d'action, Sanipuddle est aussi munie d'un clapet anti-retour et d'un raccord de tuyau de sortie en DN 25. La pompe Sanipuddle est, par ailleurs, d'une grande simplicité d'utilisation, parfaitement adaptée aux drainages d'urgence. Grâce à sa hauteur de relevage de 7 m, elle permet de vider la plupart des caves, lavoirs, piscines et garages.Prix public indicatif de 218 euros.Sanisub Steel kit d'urgence : le prêt à l'emploi des situations d'urgenceSFA a conçu avec Sanisub Steel kit d'urgence, un kit complet dans un casier portable et prêt à l'emploi pour lequel tous les détails ont été pris en compte. Ainsi, la pompe, en acier inoxydable, est placée dans un panier avec perforations (8 x 8) qui la protège des corps étrangers flottants. Ce panier assure un rangement simplifié et une parfaite stabilité de la pompe durant son utilisation grâce à des crochets moulés dans le panier. Elle peut cependant facilement être extraite de ce bac et utilisée en dehors. Par ailleurs, le raccord rapide associé au flexible d'évacuation (long de 15 mètres) s'adapte à toutes les configurations, et le déclenchement automatique se fait par un flotteur réglable. De plus, une canule de maintien empêche l'entortillement et prévient ainsi de tout pincement du flexible. Enfin, le câble d'alimentation muni d'une prise électrique mesure 10 m de long.Légère et robuste, la pompe Sanisub Steel 50A qui équipe le kit permet d'évacuer les eaux usées (granulométrie 10 mm) à un débit de 9 m3 par heure avec une hauteur de relevage allant jusqu'à 7 m. Pesant 13 kg et affichant un indice de protection IP 68, la Sanisub Steel kit d'urgence dispose d'un refroidissement moteur optimal et accepte les eaux avec des températures jusqu'à 75° C sur une courte période. Elle se destine à des applications domestiques, industrielles ou agricoles (pompage de caves, garages, regards d'eaux pluviales).Prix public indicatif de 389 euros.Sanisub ZPK : la solution polyvalente et ultra-résistanteSubmersible et portative, la pompe Sanisub ZPK est à la fois légère et ultra-résistante aux chocs et à la corrosion grâce à sa structure en polypropylène haute qualité. Disponible en 2 modèles (30A et 40A) selon sa puissance (300 W et 850 W), la Sanisub ZPK assure un relevage jusqu'à 7,5 m ou 10 m de haut, avec un déclenchement automatique grâce au flotteur (de série).Fiabilité et sécurité à l'honneur aussi puisque Sanisub ZPK est munie d'une double étanchéité par garniture mécanique et joint. Résistante à des eaux claires et grises de granulométrie de 10 à 30 mm pour ZPK 30A ou ZPK 40A et des températures jusqu'à 90° C sur une courte période, cette solution SFA s'avère idéale pour la plupart des drainages d'urgence d'eaux claires ayant inondées caves, garages et regards d'eaux pluviales, mais aussi pour le pompage des eaux grises domestiques (sans matières fécales) comme les douches, machines à laver, lavabos...Prix public indicatifs de 247 à 272 euros.Sanisub S ZPK : pour les situations extrêmesSFA a décliné la pompe Sanisub ZPK dans une version adaptée au pompage des eaux chargées en sels (teneur maximum en sels 15 %) ou agressives issus de systèmes d'adoucissement d'eau par exemple ou contenant des condensats. Ainsi est née la Sanisub S ZPK, pompe portative, dotée d'une garniture mécanique en carbure de silicium de haute qualité, d'un boîtier et d'un carter moteur en acier inoxydable. Précisons aussi que la Sanisub S ZPK et ses deux versions 30A et 40A (respectivement 4,5 et 6,5 kg) peuvent évacuer des eaux de saumures d'adoucisseurs et d'eaux agressives ou salines (teneur en sel de maximum 15 %) et qu'elles disposent, de série, d'un déclenchement automatique par flotteur.Prix public indicatifs de 303 à 373 euros.Sanisub 400 ou le « plug-and-play » pour les grandes profondeursDotée d'un clapet anti-retour et d'une enveloppe de refroidissement, la pompe Sanisub 400, en polyéthylène, revendique une capacité d'immersion allant jusqu'à 7,5 m pour évacuer des eaux avec granulométrie jusqu'à 10 mm. Compacte, portable et légère (4,1 kg), elle se destine au drainage de caves, puisards, puits et pièces de vie. Aussitôt branchée (câble de raccordement de 10 m avec prise), elle se met en route toute seule et s'arrête seule grâce à son bras de déclenchement intégré.Prix public indicatif de 183 euros.Sanisub S ZPK : pour les situations extrêmesSFA a décliné la pompe Sanisub ZPK dans une version adaptée au pompage des eaux chargées en sels (teneur maximum en sels 15 %) ou agressives issus de systèmes d'adoucissement d'eau par exemple ou contenant des condensats. Ainsi est née la Sanisub S ZPK, pompe portative, dotée d'une garniture mécanique en carbure de silicium de haute qualité, d'un boîtier et d'un carter moteur en acier inoxydable. Précisons aussi que la Sanisub S ZPK et ses deux versions 30A et 40A (respectivement 4,5 et 6,5 kg) peuvent évacuer des eaux de saumures d'adoucisseurs et d'eaux agressives ou salines (teneur en sel de maximum 15 %) et qu'elles disposent, de série, d'un déclenchement automatique par flotteur.Prix public indicatifs de 303 à 373 euros.
Il y a 4 ans et 115 jours

Conférence en ligne : les femmes dans l’architecture

Qui ont été les premières femmes architectes au XXème siècle ? Qu’ont-elles construit et quelle voie ont-elles... Cet article Conférence en ligne : les femmes dans l’architecture est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 115 jours

SPIE modernise l'infrastructure électrique de la tour Westend Gate à Francfort sans interruption de services

SPIE a assuré la modernisation de l'infrastructure électrique du Westend Gate, en remplaçant les dispositifs d'origine datant des années 1970. Le prestataire de services multi-techniques a rénové non seulement l'alimentation électrique sur les 47 étages du bâtiment, mais également divers systèmes de sécurité et d'alarme (alarmes incendie, alarmes vocales, systèmes de sécurité, contrôle d'accès, éclairage et éclairage de secours), ainsi que les réseaux de données et les systèmes multimédia. Outre les travaux réalisés dans les parties communes, la société a également effectué d'importants travaux d'amélioration pour les locataires.Une planification précise pour éviter les nuisances sonoresCe contrat était un tour de force logistique. Le Westend Gate abritant des bureaux ainsi que des espaces hôteliers et de restauration, SPIE a dû effectuer tous les travaux sans interrompre l'usage quotidien du bâtiment. En conséquence, les opérations pouvant occasionner des nuisances sonores ont été effectuées uniquement pendant des périodes de temps déterminées en avance avec le propriétaire et les locataires du bâtiment. Au départ, les interventions des équipes SPIE étaient limitées à une durée maximale de deux heures par jour. Mais elles ont été ensuite réduites à trois heures le samedi et uniquement sur préavis. « Ce changement a necessité des compétences exceptionnelles en matière de planification de la part de notre équipe de projet », explique Turhan Can, directeur de la succursale de Rüsselsheim, au sein de la division opérationnelle Building Technology & Automation de SPIE. « Ainsi, pour moderniser les systèmes électriques de la cage d'escalier par exemple, nous avons utilisé la méthode du forage humide. Il s'agit de machines spécifiques qui n'émettent aucun bruit d'impact. » Une modernisation sans interruption de serviceParmi les autres défis à relever, il faut citer le remplacement des tableaux de distribution principaux à basse tension, pour l'alimentation électrique quotidinne et de secours, et des appareillages de commutation à moyenne tension, sans perturber le fonctionnement quotidien du bâtiment. « Les modernisations et modifications techniques de bâtiments existants sont de plus en plus fréquentes aujourd'hui », explique Turhan Can. « Nous devons donc veiller à ce que l'alimentation électrique d'un bâtiment reste toujours opérationnelle, et que son fonctionnement journalier ne soit pas perturbé ». Afin de remplacer le système principal d'alimentation moyenne tension de 10 kV tout en assurant la continuité de l'alimentation électrique de la tour pendant les travaux, le fournisseur de services multi-techniques a dû installer deux systèmes de commutation moyenne tension dans un conteneur loué, installé dans la cour de service du bâtiment. SPIE est parvenue à mener à bien l'ensemble des travaux de l'appareillage moyenne tension en sept mois seulement.Des solutions sur mesure et une mise en œuvre efficaceGrâce à un partenariat axé sur les solutions et la coopération avec le client, ainsi qu'à son expérience confirmée, au savoir-faire et à l'approche particulièrement efficace de son équipe, le prestataire de services multi-techniques SPIE s'est imposé dès le début du contrat, en 2013, comme le partenaire privilégié pour tous les travaux électriques du Westend Gate. De ce fait, l'entreprise a décroché de nombreuses commandes supplémentaires sur la base de ce contrat initial. En 2015 et 2016, par exemple, elle a réalisé les infrastructures électriques de l'Aparthotel Adagio. SPIE participe aussi régulièrement à la mise en œuvre de diverses améliorations locatives. « Lorsque des locaux de bureaux sont reloués, nous nous chargeons des installations électriques intérieures et de la préparation des équipements pour le nouvel occupant, toujours dans le respect des délais et des exigences de celui-ci », explique Turhan Can. Aux heures de pointe, une équipe de 30 personnes travaille dans l'immeuble.
Il y a 4 ans et 115 jours

2021, année élective à l'Ordre des architectes

Sur les 17 conseils régionaux de l'Ordre des architectes, dont la moitié des membres sera renouvelée en 2021, sept conseils sont concernés par l'organisation d'un second tour de vote. Ces derniers sont ouverts par voie électronique jusqu'au 8 mars. C'est à eux que reviendra d'élire la prochaine présidente ou le […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 115 jours

Cem’In’Eu : Mettre Rhône Ciments entre train et fleuve

Le port de Sète permet de faire transiter le clinker de la mer au fleuve. [©Cem’In’Eu] Connecté aux réseaux ferré et fluvial, le nouveau site industriel de la start-up cimentière Cem’In’Eu de Portes-lès-Valence (26) lance l’approvisionnement par le Rhône. La première barge de clinker en provenance de Sète (34) a accosté, le 8 février dernier, au port fluvial de commerce de la Drôme, à Valence. A l’heure actuelle en phase de démarrage industriel, le nouveau site baptisé Rhône Ciments est la 2e usine française de Cem’In’Eu (après celle d’Aliénor Ciments, à Tonneins, dans le Lot-et-Garonne). Le groupe déploie un nouveau modèle industriel 4.0, qui intègre une chaîne logistique optimisée au maximum. Ceci, afin de réduire l’impact carbone de l’industrie cimentière. Rhône Ciments sera approvisionnée en matières premières à la fois par voie ferrée et par le Rhône en provenance du port de Sète. Rhône Ciments, un site choisi avec stratégie A terme, l’usine recevra environ 4 000 t de clinker par semaine par ces deux moyens de transport. Le transport fluvial est affrété par l’entreprise sétoise Cem’In’Log [lien vers https://www.acpresse.fr/cemineu-conteneur-train-clinker-voyage-propre/]  et opéré par Agora Fluvial (groupe Sogestran). Placée au cœur des territoires, Rhône Ciments est idéalement située pour desservir les marchés d’Auvergne – Rhône-Alpes Sud et de Provence – Alpes – Côte d’Azur et Occitanie.  « Si nous avons sélectionné le site de Portes-lès-Valence pour implanter Rhône Ciments, c’est pour sa connexion aux réseaux fluvial et ferré, déclare Magali Laurenço [Lein vers https://www.acpresse.fr/nominations-feminines-chez-cemineu/], directrice de Rhône Ciments. Un atout unique pour atteindre nos objectifs ambitieux en matière d’impact carbone. La collaboration avec la Compagnie nationale du Rhône et la CCI Drôme nous permet aujourd’hui d’accueillir la première barge de clinker dans de bonnes conditions et d’envisager de manière sereine notre développement, dans le respect de l’environnement. »  
Il y a 4 ans et 115 jours

Webinaires autour du BIM et du démonstrateur Olympi de Chartres

Très impliqué dans le projet du Démonstrateur Olympi de Chartres, opération de 36 logements collectifs, le premier DCE numérique cible porté par le Plan BIM 2022, Abvent invite, à partir du 2 mars 2021, tous les acteurs du BIM (maîtres d’œuvre et maîtres d’ouvrage, architectes, bureaux d’études, entreprises) à découvrir les coulisses de ce projet exemplaire, en 4 webinaires et 2 tables rondes. Le premier webinaire contextualisera les objectifs du projet, posera les problématiques métiers soulevées et présentera les réponses technologiques et techniques, pratiques et méthodologiques agiles apportées par Abvent. La série de 3 webinaires métiers qui suivront, pratiques et concrets, dans une approche AFEST/AFSO (Ateliers de Formation en Situation Opérationnelle) permettra de parler des bonnes pratiques et des étapes-clés de la mise en place et du déploiement du processus BIM, d’expliquer la consolidation de la maquette BIM et le partage des informations, et proposera un tour d’horizon des usages BIM pour répondre à la pluralité des métiers concernés. En avril, 2 tables rondes réuniront les institutionnels et les professionnels parties prenantes qui échangeront sur leur vision du BIM appliquée au démonstrateur, leurs ambitions, leur détermination et traiteront des sujets émergents tandis que les entreprises témoigneront de leur vécu de cette première expérience. https://live.abvent.com  
Il y a 4 ans et 115 jours

A Montréal, complexe des sciences du Campus MIL, un projet de société(s)

Les agences Menkès Shooner Dagenais LeTourneux, Lemay et NFOE Architectes signent le nouveau Complexe des sciences du Campus MIL de l’Université de Montréal (Canada) livré en 2019. Ce nouveau complexe scientifique majeur, totalisant près de 60 000 m², accueille les quelque 200 professeurs et chercheurs et les 2 000 étudiants des départements de chimie, de physique, de […] L’article A Montréal, complexe des sciences du Campus MIL, un projet de société(s) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 115 jours

Dallages et margelles CARRÉ D'ARC

Tout décor extérieur reflète le caractère d'un lieu, mis en valeur par les goûts esthétiques du concepteur, paysagiste ou particulier. Dans sa ligne Béton Design, la marque CARRÉ D'ARC du Groupe Fabemi propose des collections variées de dallages et margelles pour aménager des espaces tels que terrasses et plages de piscine. Le choix du printemps 2021 porte sur trois collections prestigieuses - Espace, Nashira et Calypso - dont chacune dévoile un style à part. Leurs points communs : charme et discrétion, avec le plus grand naturel. Un pur bonheur.
Il y a 4 ans et 115 jours

Duffy London : Serenity

Le studio de design britannique Duffy London vient de sortir Serenity, une table aérienne jouant des volumes et des perspectives. Pour sa nouvelle création, Duffy London mise sur des lignes tranchées, une forme atypique et de belles matières. Ultra contemporaine, la console Serenity semble défier la gravité, en s’amusant avec notre perception. Inspirée des roches du Japon, la console invite à la contemplation. Cet assemblage de formes géométriques inégales semblent en équilibre les unes sur les autres, mais forment finalement un tout harmonieux et poétique. Un meuble original qui habille un intérieur avec style. Pour en savoir plus, visitez le site de Duffy London. Visuels : © Duffy London La rédaction
Il y a 4 ans et 115 jours

aqma : Appartement Ourcq

À Paris, à deux pas du canal de l’Ourcq (19ème arrondissement), l’agence d’architecture aqma a entièrement repensé l’intérieur d’un appartement de 70 mètres carrées. Visite. À la demande des nouveaux propriétaires, un couple avec les deux enfants, les architectes de l’agence aqma, Amandine Quillent et Matthias Aguilar, ont conçu un appartement familial accueillant, dont l’agencement singulier retient l’attention. Réparti sur deux niveaux, l’appartement fonctionne désormais comme un espace convivial qui est adapté à la vie de famille, mais aussi à la tranquillité de chacun. Au rez-de-chaussée, chaque pièce est astucieusement agencée et décorée de meubles dessinés sur mesure de sorte que les espaces partagés soient chaleureux et faciles à vivre. Couvert par une verrière, le balcon s’ouvre sur la salle à manger, conférant à la pièce son identité propre. La mezzanine, quant à elle, est plus intime. Réservé aux enfants, cet étage comprend une salle de bain et une grande chambre. Dotée d’une grande verrière, celle-ci est baignée de lumière naturelle tout au long de la journée. La cuisine se devait d’être plus intime, à l’abri des regards, pour passer du temps en famille.Derrière une arche semi-ouverte, la chambre parentale a volontairement été déplacée près du salon et de l’entrée pour s’ouvrir sur les pièces de vie. Une manière de casser la séparation usuelle des pièces de jour et de nuit.C’est un appartement minimal et fonctionnel dans lequel parents et enfants peuvent vivre en harmonie. Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence aqma. Visuels : © Nobuyoshi TakagiLa rédaction
Il y a 4 ans et 116 jours

Yvelines : le chantier d’extension du Technoparc de Poissy est sur les rails

Les travaux d’aménagement de la zone d’activités du Technoparc, à Poissy, ont démarré.
Il y a 4 ans et 116 jours

Etat des lieux des artisans du bâtiment et de leur véhicule en Auvergne Rhône-Alpes

ETUDE. Quelles sont les habitudes des artisans du Bâtiment en matière de mobilité ? Quels sont leurs besoins ? Réponses et téléchargement de l'intégralité de l'enquête réalisée par la Chambre de Métiers et de l'Artisanat Auvergne-Rhône-Alpes et le Centre d'Etudes et d'Expertise sur les Risques, l'Environnement, la Mobilité et l'Aménagement (Cerema).
Il y a 4 ans et 116 jours

Face aux crises environnementales, l'ONU plaide pour une "nouvelle économie"

Ce rapport, produit par le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE), synthétise les connaissances les plus récentes sur l'état du climat, avec les rapport du GIEC, de la biodiversité avec l'IPBES et sur l'émergence de nouvelles zoonoses comme le Covid-19.Il faut "faire face à trois menaces planétaires simultanément" et parvenir à "la restauration des écosystèmes et l'amélioration de la santé des populations, ainsi que par la stabilité du climat", indique le PNUE dans un communiqué.Sont menacées "la sécurité alimentaire, la sécurité en eau et la santé humaine", complète Bob Watson, ancien dirigeant de l'IPBES et du GIEC dans un entretien à l'AFP.Le monde n'est pas sur la bonne voie pour atteindre l'objectif de l'Accord de Paris de limiter le réchauffement climatique bien en-dessous de 2°C, si possible à 1,5°C, et se dirige vers un réchauffement d'au moins 3°C, avec son cortège de catastrophes naturelles, rappelle le PNUE.Aucun des 20 objectifs de protection de la biodiversité pour la période 2010-2020 n'a été pleinement atteint et les objectifs de développement durable (ODD), destinés notamment à lutter contre la pauvreté, les inégalités et à promouvoir la paix sont menacés par la crise du Covid-19, la faim et la pauvreté dans le monde repartant à la hausse.Comment en sommes-nous arrivés là? "Au cours des 50 dernières années, la richesse mondiale a presque quintuplé, en grande partie due au triplement des extractions de ressources naturelles et d'énergie qui ont alimenté la croissance de la production et de la consommation. La population mondiale a été multipliée par deux, à 7,8 milliards", dont 1,3 milliard restent pauvres et 700 millions souffrent de la faim, résume le rapport.Repenser l'économie"La croissance économique a apporté des bénéfices inégaux en termes de prospérité", rappelle le PNUE. Mais "la dégradation de l'environnement entrave les progrès réalisés pour mettre fin à la pauvreté et à la faim, réduire les inégalités et promouvoir une croissance économique durable", avertit-il."Notre guerre contre la nature a brisé la planète", s'alarme le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, cité dans le communiqué. "En transformant notre façon de voir la nature, nous pouvons reconnaître sa véritable valeur" et la traduire "dans les politiques, les plans et les systèmes économiques (pour) canaliser les investissements vers des activités qui restaurent la nature et en sont récompensés".L'activité économique ne peut pas être guidée par la seule mesure du produit intérieur brut (PIB), souligne le rapport. "Le PIB est un concept très limité. Il ne prend pas en compte la valeur de la nature, ni le coût environnemental de la pollution", souligne Bob Watson.Le rapport suggère aussi "d'éliminer les subventions nocives" pour les réinvestir dans des solutions propres.Ces subventions aux énergies fossiles, à des pratiques agricoles non durables ou à des transports polluants "dépassent les 5.000 milliards de dollars annuels", souligne le co-auteur du rapport, Ivar Baste."En démontrant à quel point la santé des personnes et la nature sont liées, la crise de la COVID-19 a mis en évidence la nécessité d'un changement radical dans notre façon de voir et de valoriser la nature", relève Inger Andersen, directrice exécutive du PNUE, citée dans le communiqué."Les plans de relance verte pour les économies frappées par la pandémie sont une occasion à ne pas manquer pour accélérer la transformation", poursuit-elle."Nous ne demandons pas aux gens de renoncer à des tonnes de choses, nous disons que nous pouvons être plus viables et avoir une vie agréable d'une manière légèrement différente", assure Bob Watson.
Il y a 4 ans et 116 jours

Bilan des sanctions prises par la DGCCRF en 2020 en matière de délais de paiement interprofessionnels

La DGCCRF contrôle chaque année le respect des délais de paiement légaux. En 2020, elle a contrôlé à ce titre plus de 900 établissements, dont 35 entreprises publiques et 278 entreprises ayant bénéficié d’un prêt garanti par l’Etat.Si toutes les entreprises sont tenues de respecter les délais légaux de paiement, il est tout particulièrement important de vérifier que tel est bien le cas de celles bénéficiaires d’un prêt garanti par l’Etat (PGE).Ce dispositif de soutien vise notamment à aider les entreprises à régler leurs fournisseurs dans le respect des délais légaux afin d’éviter une transmission des incidents de paiement à l’ensemble de l’économie.Lors de ces contrôles, il a été constaté que près de 30% des entreprises payaient une fraction non négligeable de leurs factures au-delà des délais légaux(2). À l’issue des contrôles, lorsque des manquements ont été mis en évidence, les suites ont consisté pour 40% en des avertissements, pour 20% en des injonctions – suites dites pédagogiques et correctives – et pour 40% en des procédures d’amende administrative. 182 procédures d’amende administrative, représentant au total plus de 29,9 millions d’euros ont ainsi été lancées en 2020, dont 91 décisions de sanction notifiées aux entreprises contrôlées (pour un montant total d’amendes de près de 9,4 millions d’euros), et 91 procédures de sanction en cours (pour un montant, non encore définitif, de plus de 20,5 millions d’euros).Depuis l’entrée en vigueur des sanctions administratives en 2014, 1.375 amendes administratives ont ainsi été notifiées par la DGCCRF, pour près de 91,3 millions d’euros au total.En 2020, plusieurs amendes d’un montant supérieur à l’ancien plafond de 375.000 euros (relevé à 2 millions d’euros par la loi «Transparence» du 9 décembre 2016) ont été prononcées à la suite de manquements à la législation relative aux délais de paiement :2.000.000 € à l’encontre de la société CORA, spécialisée dans la grande distribution1.230.000 € à l’encontre de la société XPO Distribution France, spécialisée dans le transport routier990.000 € à l’encontre de la société La Banque Postale, spécialisée dans la banque et les services financiers750.000 € à l’encontre de la société AGEFOS PME Ile-de-France, spécialisée dans la gestion des fonds de la formation professionnelle des entreprises530.000 € à l’encontre de la société Lubrizol France, spécialisée dans la fabrication de produits chimiques390.000 € à l’encontre de la société TEREOS France, spécialisée dans le transport et la transformation de la betterave en produits finis383.000 € à l’encontre de la société Nocibé France distribution, spécialisée dans le commerce de détail de parfumerie et de produits de beautéEn 2021, la DGCCRF continuera de mener une action résolue de lutte contre les retards de paiement, en ciblant particulièrement ses contrôles sur les grandes entreprises et ETI ayant bénéficié d’un prêt garanti par l’Etat.La DGCCRF saura également faire preuve de pragmatisme dans ses contrôles et les suites qu’elle leur donnera, en tenant compte dans chaque dossier, à la fois de la gravité des manquements relevés et de la situation financière de l’entreprise qui en est l’auteur.En application de la règlementation, ces sanctions pour retards de paiement font l’objet d’une publication sur le site internet de la DGCCRF : https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/sanctions-delaispaiement.Pour renforcer la dimension préventive et dissuasive de son action, la DGCCRF communique plus spécifiquement sur les sanctions prononcées les plus importantes. Cette communication illustre la détermination du Gouvernement à lutter contre les retards de paiement de toutes les entreprises, y compris les entreprises publiques.(1) Voir rapports annuels de l’Observatoire des délais de paiement.(2) Une fiche pratique relative à la règlementation des délais de paiement peut être consultée à l’adresse suivante: https://www.economie.gouv.fr/files/files/directions_services/dgccrf/documentation/fiches_pratiques/fiches/delais-de-paiement.pdf
Il y a 4 ans et 116 jours

50 m2 supplémentaires grâce à une extension contemporaine

CONTEMPORAIN. Cette maison ancienne manquait de confort. Elle était également devenue un peu petite pour la famille qui l'habitait. Ses propriétaires ont donc décidé de l'agrandir et de la moderniser avec une extension au style très contemporain.
Il y a 4 ans et 116 jours

Le dernier marché de génie civil de la ligne 16 du Grand Paris Express a été attribué

RÉSEAUX. La Société du Grand Paris annonce ce 22 février 2021 avoir attribué le troisième et dernier marché de génie civil de la ligne 16 du Grand Paris Express, qui concerne la réalisation du tronçon reliant la gare de Clichy-Montfermeil à l'arrière-gare de Noisy-Champs. Le groupement lauréat décroche ainsi un contrat à 325 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 116 jours

30.000 stages mis en ligne au 1er mars sur la plateforme 1jeune1solution

Le Premier ministre, qui se rendra vendredi matin à Bordeaux sur la thématique de l'insertion des jeunes diplômés, "a souhaité que la plateforme 1jeune1solution, qui est de plus en plus identifiée (...), devienne la plateforme qui recensera l'ensemble des informations pour la jeunesse", ont indiqué les conseillers de Jean Castex.Dans ce cadre, le site 1jeune1solution.gouv.fr intègrera à partir du 1er mars "une bourse de stages", avec 30.000 offres réparties sur tout le territoire pour son lancement.Alors que la crise du Covid-19 et ses conséquences économiques et sociales ont multiplié les obstacles pour la jeunesse, M. Castex, accompagné de la ministre du Travail Elisabeth Borne et de celle de l'Enseignement supérieur Frédérique Vidal, devrait revenir vendredi sur les adaptations pour les étudiants ayant "des stages intégrés au cursus": stages à distance, décalage des dates ou encore expérience dans une branche voisine (hôtellerie à la place de la restauration par exemple).La plateforme 1jeune1solution devrait aussi ouvrir "début avril" un "simulateur" qui permettra à chaque jeune "de savoir à quel dispositif il peut avoir accès", au milieu d'un maquis d'aides financières ou non, a précisé Matignon. Par exemple, les jeunes diplômés en recherche d'emploi peuvent toucher une partie de la bourse qu'ils percevaient l'année précédente, pendant 4 mois.Vendredi, M. Castex se rendra d'abord dans les locaux de l'Association pour l'emploi des cadres (APEC) qui pilote les ateliers "objectif 1er emploi". Ceux-ci, financés dans le cadre du plan 1jeune1solution, ont accompagné 28.000 jeunes diplômés vers l'emploi et visent la barre des 50.000 à l'été.Le plan 1jeune1solution, lancé en juillet 2020 dans le cadre du plan de relance, entend apporter une réponse à "chaque jeune selon sa situation particulière et son besoin d'accompagnement particulier", rappelle Matignon.Il comprend également un volet d'aides à l'embauche pour les entreprises, qui expirent au 31 mars. A ce titre, "des réflexions sont en cours", fait savoir Matignon, en soulignant que "la conférence du dialogue social", réunissant gouvernement et partenaires sociaux "que le Premier ministre présidera mi-mars sera l'occasion de voir s'il y a une prolongation de ces aides".
Il y a 4 ans et 116 jours

Concevoir autrement les enceintes de centrales nucléaires

Toujours en construction, l’EPR de Flamanville fait partie des centrales nucléaires dites “de nouvelle génération”. Ici, réalisation de la double enceinte du réacteur, encore avant la pose du dôme de couverture. [©ACPresse] La sécurité des enceintes de centrales nucléaires est un objectif sociétal des plus importants, qui fait l’objet de nombreuses polémiques. De manière très schématique, il existe deux grandes approches dans la conception de ces enceintes :• L’enceinte constituée d’une paroi unique de grande épaisseur en béton armé. Et revêtue sur sa face interne d’une fine paroi métallique (appelée “liner” en anglais) • L’enceinte dite “à double paroi”. L’une, interne, est coulée en béton fortement armé et précontraint dans les deux directions (verticale et horizontale). L’autre, externe, est constituée d’un béton armé classique. Une lame d’air d’une épaisseur de l’ordre de 2 m séparent l’une de l’autre les deux parois . L’espace annulaire séparant les enceintes externe (à gauche) et interne (à droite) présente une épaisseur de l’ordre de 2 m. [©ACPresse] I – Qu’est-ce qu’une enceinte simple paroi munie d’un liner métallique ? Cette conception est la plus ancienne. Elle repose sur une vision très simple du rôle de l’enceinte. La paroi en béton armé est dimensionnée pour reprendre toutes les sollicitations extérieures accidentelles ou non. De son côté, le “liner” métallique assure l’étanchéité de l’enceinte vis-à-vis de gaz radioactifs. Qui susceptibles de s’échapper du cœur du réacteur, en cas d’accident. A priori pertinente et performante, cette conception a malgré tout été remise en cause. Il y a plusieurs dizaines d’années, notamment par l’ingénierie française. La principale critique reposait sur l’utilisation du liner métallique. Les reproches formulés étaient de deux ordres. Tout d’abord, la mise en place du liner était considérée comme longue et coûteuse. Car il fallait exécuter, avec le plus grand soin les soudures des plaques métalliques le constituant.  Dans les centrales nucléaires de nouvelle génération, la paroi intérieure de l’enceinte interne est doublée d’un liner métallique pour assurer une parfaite étanchéité. [©LNG Dunkerque] Ensuite, le risque de corrosion était potentiellement important, en particulier au niveau des soudures (zones propices à ce type de dégradations). Il générait des inspections fréquentes, longues et coûteuses de l’enceinte. Aussi, l’ingénierie française a décidé de développer un autre concept : celui de l’enceinte dite “ double paroi en béton”. II – Qu’est-ce qu’une enceinte à double paroi en béton ?  De conception plus récente, l’enceinte à double paroi repose sur plusieurs idées fortes. En premier lieu, la paroi dite “interne” doit être fortement armée et précontrainte (dans les deux directions). Ce choix a pour objectif d’assurer la résistance de l’enceinte vis-à-vis des pressions internes. Résultant de la rupture accidentelle du circuit primaire de réfrigération du cœur du réacteur (taux d’armatures important). Et l’étanchéité de l’enceinte vis-à-vis des fuites accidentelles de particules radioactives. Dans cette conception, la précontrainte bi-directionnelle est censée refermer toutes les fissures éventuelles générées lors du processus de durcissement du béton.  De son côté, la seconde paroi, dite “externe”, a pour rôle unique d’assurer la résistance de l’enceinte vis-à-vis des sollicitations extérieures (séisme, tempête, explosion, chute d’avion…). Enfin, la lame d’air présente entre les deux parois, aussi appelée espace annulaire. Elle est mise en dépression par un système de ventilation et filtration. Elle est conçue pour confiner, en cas d’accident, les particules radioactives de l’air, puis de permettre leur extraction.   Le diamètre et la densité d’armatures passives nécessaires à la construction des parois des enceintes nucléaires restent très importants… [©ACPresse] Toutefois, un problème subsiste. Un certain nombre d’enceintes conçues de cette façon ont présenté une fissuration traversante (sur toute l’épaisseur de la paroi interne). Cette dernière a été mise en évidence lors des épreuves décennales qui consistent à mettre sous pression gazeuse l’enceinte interne. Cette fissuration devrait être colmatée. Opération coûteuse qui posait, en plus, la question de la fiabilité de ces enceintes nucléaires… En conséquence, l’ingénierie française a pris une décision, pour les centrales à venir, dites “nouvelle génération”. Les enceintes de confinement adopteront “la ceinture et les bretelles” ! C’est-à-dire la double enceinte en béton avec, côté paroi interne, la présence d’un liner métallique. Il va sans dire qu’une telle solution a des conséquences économiques importantes. Avec une augmentation substantielle du coût de ces enceintes. Tout d’abord lié à leur construction (temps de construction accru). Ensuite à leur stratégie de contrôle (il faut suivre avec beaucoup d’attention l’évolution des soudures du liner métallique). Toutefois, cumuler “ceinture et des bretelles” ne s’avère pas si sécure qu’on pourrait le penser. En effet, la fissuration traversante de la paroi interne n’est pas annulée. Et une corrosion des soudures peut toujours survenir. Sans compter que l’acier se comporte assez mal, quand il est soumis à de fortes températures…  III – Y a-t-il de nouvelles solutions ?  Aujourd’hui, il n’est pas déraisonnable de penser que cette solution coûteuse pourrait être concurrencée par d’autres conceptions plus innovantes. Ces dernières passent, principalement, par l’analyse critique de la conception française initiale. C’est-à-dire celle d’une paroi fortement armée et précontrainte bi-directionnelle. En effet, ce choix technique a conduit à l’existence de fissures traversantes. Il est peut-être fondé sur une approche abusive quant à l’utilisation de la précontrainte. D’un point de vue historique, le béton précontraint a été inventée au début du siècle dernier par l’ingénieur Eugène Freyssinet. De manière très schématique, il s’agit d’éliminer les contraintes de traction au sein de la structure. En introduisant une compression (due à la précontrainte) dans la zone tendue d’une structure fléchie (poutre, dalle, voussoir…). Ce sont ces contraintes de traction que le béton n’apprécie guère, car à l’origine des fissures créées. Cette technique permet de construire des structures en béton ayant de grandes portées (la portée est la distance entre deux appuis). En général, la précontrainte remplace toutes les armatures de flexion. Dans le cas d’une précontrainte totale ou une grande partie de ces armatures ou dans le cas d’une précontrainte partielle. Ce qui est peut-être abusif, dans le cas des enceintes de confinement “à la française”, est d’appliquer une précontrainte bidirectionnelle sur un béton déjà fortement armé dans deux directions ! “Le mieux est l’ennemi du bien” dit le dicton. Serait-ce le cas pour les enceintes ? Même en utilisant un béton auto-plaçant, assurer le coulage des parois des enceintes nucléaires est un exercice délicat. Et peut conduire à des faiblesses structurelles. Que l’application de la précontrainte peut transformer en fissures. [©ACPresse] Une structure fortement armée dans deux directions est une structure composite à fort degré d’hétérogénéité mécanique. Le module de Young des aciers est cinq fois supérieur à celui du béton. Lors du durcissement du béton (accompagné de mécanismes physico-chimiques), cette hétérogénéité mécanique induit l’apparition de microfissures dans le voisinage des aciers de renfort. On applique la précontrainte bi-directionnelle sur cette structure hétérogène micro-fissurée. Celle-ci ne va pas refermer les micro-fissures, mais, au contraire, les propager : création de fissures plus longues et plus ouvertes. Ceci, d’autant plus que les câbles de précontrainte ne peuvent pas, être parfaitement alignés, induisent des moments locaux.  Enfin, il est utile de signaler qu’il est toujours difficile de bétonner correctement une structure. Dans laquelle les armatures passives (aciers de béton armé) et actives (précontrainte) s’entremêlent. Même en utilisant un béton auto-plaçant. Cette difficulté peut conduire à des faiblesses que l’application de la précontrainte peut transformer en fissures. Par ailleurs, la mise en pression de l’enceinte. Une pression d’un peu plus de 3 bar peut être appliquée à l’enceinte. Soit un peu plus que dans le pneumatique d’une voiture. Une possible fissuration pourrait générer les macro-fissures traversantes (par propagation des fissures préexistantes.  IV – Et si on abandonnait la précontrainte au profit des fibres métalliques ? Les conceptions innovantes, ou pouvant l’être, reposent sur l’abandon de la précontrainte dans la paroi interne de l’enceinte. Elles s’appuient sur l’acceptation de l’existence potentielle de fissures, qui seront contrôlées de telle manière qu’elles ne seront jamais traversantes. La seule façon d’atteindre cet objectif est d’utiliser des bétons de fibres et, plus particulièrement, des bétons de fibres métalliques. Ceci en combinaison avec les armatures traditionnelles. Les fibres métalliques sont mises en œuvre dans la structure de la même façon que les autres constituants du béton. Elles font partie de la composition du matériau. [©ACPresse] Les bétons de fibres métalliques ont une cinquantaine d’années d’existence. Ils sont aujourd’hui parfaitement connus et maîtrisés du point de vue technico-scientifique. De manière très schématique, les fibres jouent le même rôle que les armatures traditionnelles de béton armé vis-à-vis de la fissuration avec. Cependant, deux différences principales qui les distinguent :  • Les fibres sont mises en œuvre dans la structure de la même façon que les autres constituants du béton. Elles font partie de la composition du matériau ;• Les fibres métalliques sont efficaces vis-à-vis de fissures plus fines que celles contrôlées par les armatures. Ainsi, les fibres métalliques sont plus pertinentes que les armatures. Vis-à-vis des fissures liées au comportement en service de la structure. Les voussoirs des tunnels des lignes du Grand Paris utilisent maintenant des bétons sans armatures, mais additionnés de fibres métalliques. Ces bétons spécifiques ont une cinquantaine d’années d’existence. [©ACPresse] Associer armatures et fibres conduit donc à concevoir une structure à renforcement multi-échelles. En l’occurrence celle des fibres et celle des armatures. Un procédé très efficace vis-à-vis de la maîtrise de la fissuration : depuis les fissures les plus fines jusqu’aux fissures beaucoup plus ouvertes. La littérature internationale montre que le comportement mécanique du béton armé fibré est supérieur à celui du béton armé seul. D’autre part, l’utilisation des fibres (à un pourcentage élevé, nécessaire dans le cas des enceintes de centrales nucléaires) conduit à un réseau de fissures fines très souvent non connectées. Ce constat favorise l’apparition du phénomène de cicatrisation. Dans le temps, des fissures qui n’advient que pour des fissures très fines.  V – L’innovation passera aussi par l’emploi du Bfup La conception et le dimensionnement de la paroi interne de l’enceinte en béton armé fibré en remplacement de celle en béton armé précontraint pourraient constituer une première étape dans l’innovation. Une étape d’innovation n° 2 (qui se cumule à la première étape) serait l’utilisation de “coffrages”. Collaborants en bétons fibrés à ultra hautes performances (Bfup). Ces composites cimentaires sont à la mode et de plus en plus utilisés à l’international depuis plus de 20 ans. Ce sont des bétons de fibres qui ont des propriétés mécaniques. Et une durabilité très accrues par rapport aux bétons de fibres classiques. Un phénomène lié à la très grande compacité de la matrice cimentaire et à l’utilisation d’un pourcentage très important de fibres. Elément fin, durable et hautement résistant, les panneaux en Bfup peuvent constituer un coffrage perdu collaborant, en mesure de remplacer le liner métallique. [©DR] L’idée du coffrage collaborant en Bfup a une triple conséquence positive :– Un gain important de temps de construction, car le coffrage de l’enceinte reste en place ;– Un apport mécanique significatif, du fait d’un coffrage collaboratif aux propriétés mécaniques accrues ;– Un gain important en durabilité de la paroi, car le coffrage constituera une “peau” très étanche vis-à-vis du transfert de substances radioactives. D’une certaine manière, il remplacera en même temps le liner métallique interne.  Bien évidemment, il reste à évaluer la pertinence de ces deux étapes d’innovation possible. Ces dernières constituent un champ de mises en œuvre des connaissances acquises dans le domaine de la recherche et des développements technologiques. Ne pas évaluer leur intérêt pour les enceintes de centrales nucléaires serait dommage du point de vue socio-économique et de la sécurité.   Pierre RossiDirecteur de rechercheDépartement Mast-EMCGU (Matériaux et structures – Expérimentation et modélisation pour le génie civil urbain) et l’Université Gustave Eiffel – Ifsttar
Il y a 4 ans et 116 jours

Adionis de Coferming, un coffre bois purificateur d'air intérieur

Quand le coffre bois devient intelligentADIONIS souffle un air de bien-être et de purification pour l'habitat, grâce à un procédé révolutionnaire basé sur l'électrofiltration. Imaginé il y a 3 ans dans les secrets de sa R&D, Coferming débute la commercialisation d'ADIONIS qui sera livrable dès l'automne 2021. Matériau durable, objet déco esthétique doté d'une technologie intelligente, ADIONIS est le fruit du travail collaboratif entre les ressources externes et internes de l'entreprise qui ont oeuvré sur le projet. Le système permet de purifier en continu, l'air entrant dans l'habitat et tous les bâtiments.Une entrée d'air naturel dans l'habitatLe coffre au-dessus des fenêtres est naturellement pensé pour contenir la fermeture (volet roulant et déroulant). Il est aussi une entrée d'air réglementaire qui participe à la ventilation des habitats.Ces systèmes de ventilation simple flux, les plus courants à ce jour, jouent un rôle fondamental dans la qualité de l'air intérieur. De manière ingénieuse, Coferming a intégré un dispositif de purification de l'air entrant dans le coffre, en l'associant à la VMC qui renouvelle l'air en permanence. Fiable et durable, ADIONIS est particulièrement efficace pour filtrer les particules fines et ultrafines et il agit contre les bactéries et les virus. Il a été conçu pour une simplicité d'usage optimale et ne nécessite aucun achat de filtre de rechange. Sans motorisation, il est totalement silencieux et sa consommation électrique est négligeable. Le concept ADIONIS exploite une technologie appelée électrofiltration, proposée par un partenaire de Coferming, TEQOYA, expert en Qualité de l'Air Intérieur.Le matériau bois, décarbonéLe matériau bois labellisé PEFC s'inscrit dans une approche de développement durable. De plus, l'équipe Coferming a pris l'option d'un positionnement centré sur le bien-être et la performance acoustique.« Nous avons accompagné ce développement avec le design thinking pour être au plus près des attentes des utilisateurs Adionis. Sans bruit et muni d'une LED photosensible la nuit, le produit est très peu énergivore » explique Joseph Audureau, PDG de Coferming et initiateur du projet, il y a 3 ans.Une innovation de rupture« En intégrant un système de filtration dans un coffre de volet roulant, nous révolutionnons le marché en appliquant une fonction intelligente à cet objet. À l'esthétique, nous ajoutons une fonctionnalité utile et offrons du bien-être ressenti et induit. Un objet déco qui assainit l'air et qui détruit les particules nuisibles à la santé, c'est rare et ça deviendra, à l'avenir, incontournable » conclut le dirigeant.ADIONIS, comment ça marche ?L'électrofiltrationC'est une technologie qui combine deux actions : la première est la ionisation d'atomes d'oxygènes qui se lient aux particules en suspension dans l'air et la seconde est la retenue sur des plaques collectrices de ces particules polarisées. En moins de 10 minutes par an, le collecteur est nettoyé.
Il y a 4 ans et 116 jours

A Toulon, les Beaux-arts, un totem signé Corinne Vezzoni

Situé au point le plus haut du quartier Chalucet à Toulon (Var), le bâtiment « Beaux-arts », conçu par Corinne Vezzoni et associés, est dédié à l’Ecole supérieure d’art et de design de Toulon Provence Méditerranée (5 000 m²), au City Lab de TVT et aux entrepreneurs de la French Tech Toulon (1 400 m²). […] L’article A Toulon, les Beaux-arts, un totem signé Corinne Vezzoni est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 116 jours

Gecina enregistre une baisse limitée de l'activité en 2020, mais s'attend à un recul en 2021

En 2020, Gecina a dégagé un bénéfice net récurrent - indicateur de référence du secteur - de 421 millions d'euros, en repli de 4% sur un an, selon un communiqué jeudi. Son chiffre d'affaires s'affiche en baisse de 2,3% (à périmètre courant), à 658 millions d'euros.La foncière met en avant son "modèle résilient face à l'épreuve du choc sanitaire", indiquant que "près de 99% des loyers de 2020 ont d'ores et déjà été encaissés" et que "le rythme de collecte au premier trimestre 2021 est normalisé".Pour la seule activité bureaux, les revenus locatifs s'inscrivent en baisse de 2,7%, "une variation qui traduit l'effet des cessions d'actifs non stratégiques réalisées en 2019 et en 2020 (-31 millions d'euros)", indique le communiqué.En pleine pandémie de coronavirus, la foncière évoque également "le retour au bureau" des salariés en télétravail: "à la fin du mois de janvier, la moyenne hebdomadaire de retour au bureau était de -31% par rapport à une situation normalisée, proche du niveau atteint en septembre et octobre 2020 alors que des mesures sanitaires pourtant contraignantes sont aujourd'hui appliquées, avec notamment un couvre-feu imposé à 18h"."La tendance est moins soutenue à l'étranger, notamment dans la région de Londres, où le retour au bureau est de l'ordre de -55% sur la dernière semaine de janvier", note Gecina.Au titre des perspectives, le groupe envisage 2021 comme "une année de transition"."Sous l'effet des cessions réalisées en 2020 ainsi que des libérations d'actifs à fort potentiel de création de valeur destinés à être restructurés" ou encore "de l'allongement des délais de commercialisation", le groupe indique que "son résultat récurrent net part du groupe par action est attendu en baisse en 2021, et devrait être de l'ordre de 5,3 euros par action", contre 5,72 euros en 2020.