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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

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Il y a 4 ans et 159 jours

Scalian développe Simul'Aides pour l'Ademe, un simulateur d'aides pour les travaux de rénovation

Mandatée par l'ADEME, SCALIAN, entreprise française spécialiste de la transformation, dans les milieux de haute complexité, réalise l'application Simul'Aides. Déployée sur le site gouvernemental FAIRE, Simul'Aides permet à tous les particuliers de réaliser une estimation des aides financières dont ils peuvent bénéficier lors de travaux de rénovation. Le Ministère de la Transition Écologique contribue activement à la définition des évolutions de Simul'Aides en l'utilisant comme un des principaux outils en relais du dispositif d'accompagnement des ménages.Simul'Aides, l'outil d'estimation d'aides lors de travaux de rénovationEn 2015, l'ADEME (l'Agence de la transition écologique) lance un appel d'offres pour la création d'une application permettant d'estimer les aides auxquelles les particuliers peuvent prétendre lors de travaux de rénovation. L'ADEME souhaite pouvoir disposer d'un outil facilement paramétrable et évolutif qui permette de prendre en compte la législation actuelle et future, notamment les règles d'éligibilité et de cumul d'aides.« Simul'Aides est un projet complexe : l'application doit prendre en compte de nombreux paramètres, en assurant à la fois une maintenance et des mises à jour très régulières. En effet, les estimations d'aides pour les ayants droit évoluent très rapidement. Le moteur que nous avons conçu devait donc répondre à ce besoin d'évolutions permanentes mais aussi à la multiplicité des aides : catégories de travaux et origines des aides (nationales, régionales, départementales, …). », précise Gatien Mellion, chef de projet chez SCALIAN.Spécialisée dans les projets numériques d'envergure, SCALIAN remporte l'appel d'offres et commence alors à travailler sur le projet, baptisé Simul'Aides.Un projet régional déployé au niveau nationalInitialement créée pour la seule région Haute-Normandie, Simul'Aides a tant convaincu qu'elle a par la suite été déployée dans d'autres régions jusqu'à couvrir tout le territoire, y compris l'Outre-mer.C'est en 2020, sous l'impulsion d'Emmanuelle Wargon, Ministre déléguée auprès de la Ministre de la Transition écologique, chargée du Logement, qu'il a été décidé de déployer Simul'Aides sur le site gouvernemental Faire.fr afin de permettre à l'ensemble des citoyens de connaitre les aides auxquelles ils ont droit en cas de travaux de rénovation.« C'est tout un travail de refonte du site et d'ergonomie qui a été mené à l'automne par les équipes de SCALIAN. Créée en 2015 pour être utilisée à un niveau régional, l'application doit désormais supporter un afflux de connexions 20 fois plus important cette année et répondre à des attentes de design plus moderne. Ce projet nous donc a mis face à un véritable défi technique et ce, avec un calendrier très serré ! Un vrai challenge remporté grâce à l'organisation des équipes de SCALIAN en collaboration avec celles de l'ADEME et à leur fort investissement vis-à-vis de cette application dont la visibilité a été démultipliée. », complète Eric Foquet, Directeur de projet chez SCALIAN.Depuis le début de l'année 2020, 1 million de simulations ont été effectuées sur l'application. Plus de la moitié d'entre-elles a été effectuée à partir d'octobre 2020, avec la mise en place de la nouvelle aide MaPrimeRénov, ayant entrainé une très forte affluence sur le site.
Il y a 4 ans et 159 jours

Jean-Michel Wilmotte, nouveau directeur de la Maison-Atelier Lurçat

PATRIMOINE. L'architecte Jean-Michel Wilmotte a été élu nouveau directeur de la Maison-Atelier Lurçat par l'Académie des Beaux-Arts qui en a la charge, pour une durée de 5 ans. Maison de l'artiste Jean Lurçat, signée de son frère André, ce chef d'oeuvre architectural marque l'histoire de la discipline.
Il y a 4 ans et 159 jours

SPIE France met l'innovation à l'honneur

Qu'il s'agisse de générer de nouvelles idées, d'améliorer les processus, d'enrichir les offres, de simplifier les modes opératoires ou de contribuer à une meilleure qualité de vie au travail, partout au sein de SPIE France, des idées se connectent et des talents se reconnaissent. L'innovation fait partie du quotidien des équipes. Cet état d'esprit fédère tous les collaborateurs, ceux des chantiers comme ceux des bureaux. Pour valoriser leurs initiatives et renforcer cette culture entrepreneuriale, SPIE France a lancé la première édition du concours Challenge Innovation & Bonnes pratiques en 2020. Sur les 60 expérimentations présentées par des collaborateurs, 28 ont été retenues pour concourir au Challenge SPIE France.9 ont été primées à l'issue d'un processus de sélection qui intégrait le vote des collaborateurs sur la plateforme d'innovation Sioux, ainsi que celui d'un jury multi-filiales composé des différentes directions et de la filière « Innovation » de SPIE France.Prix Bonne Pratique - Projet BAES (Blocs Autonomes d'Éclairage de Sécurité). Alain Herbin et Bruno Agostini de SPIE Nucléaire ont été récompensés pour une idée astucieuse et économique de maintenance des blocs autonomes d'éclairage de sécurité en environnement nucléaire amianté, procédé mis en œuvre auprès de l'un des clients de la filiale et déjà dupliqué sur d'autres applications.Prix « copier c'est gagner » - Projet RPA. Sébastien Bouillon et Julie Azzola, de la division Industrie de SPIE Industrie & Tertiaire, sont venus en aide aux opérationnels de la maintenance dont le quotidien est parfois miné par la paperasserie et les rapports, et ont permis de supprimer les multiples saisies manuelles entre les GMAO[1] des contrats et les systèmes d'information des clients.Prix de la transformation digitale - Projet Hub Digital. Daniel Beaubouchez, Jean Pierre Viandaz et Vincent Dubearnes se sont distingués pour le projet qui permet de digitaliser formulaires et process et de fluidifier les échanges. Cette innovation bénéficie à l'ensemble des collaborateurs de SPIE CityNetworks et permet de mieux exploiter les données, au service de la sécurité des collaborateurs, des clients et de l'organisation globale. Prix de l'innovation pour la sécurité des personnes - Projet Sock Ball. Jean-Yves Saint-Dizier, Géraldine Durieux, et Gilles Frémiot, de SPIE CityNetworks, ont développé un système inédit pour la sécurité des travaux en hauteur. Prix de la confiance numérique – Projet ValuOty. Carole Bonnafous, Karine Engrand, Pascal Castagné et Laurent Maille, de SPIE ICS ont été primés pour ValuOty, une offre de services autour du data management et de la data science qui permet d'exploiter et de sécuriser les données pour en partager la valeur avec les métiers. ValuOty apporte aux clients des services industrialisés qui répondent aux enjeux de qualité de vie au travail, d'efficacité énergétique et de réduction des coûts de maintenance dans la ville, l'industrie et le bâtiment intelligent.Prix du collaborateur augmenté - Projet BIM et réalité mixte. Anna Truong de la division Tertiaire de SPIE Industrie & Tertiaire, a remporté le prix pour le projet qui vise à exporter les maquettes BIM des bureaux d'études, afin qu'elles servent mieux les équipes de chantier grâce à la réalité mixte. La démarche a été testée en 2020 sur plusieurs réalisations dans l'industrie pharmaceutique. Prix de l'optimisation des procédés du terrain - Projet Aqua. Guillaume Femenia de la division Tertiaire de SPIE Industrie & Tertiaire, est le lauréat pour sa solution dans le traitement des réseaux hydrauliques. Intégralement conçue en interne, cette solution économique et sécurisée a été évaluée, testée et approuvée lors des travaux réalisés sur des plateaux de bureaux de grande envergure.Prix du service prédictif - Projet maintenance prédictive industrielle. Jérôme Morisson et Alain Lagreze se sont distingués pour leur plateforme dédiée à l'Industrie 4.0. Cette plateforme combine procédés industriels, expertises et data, et a déjà fait ses preuves dans la maintenance prédictive de compresseurs à gaz.Prix de l'expérience client réinventée - Projet Green@work. Imane Benchenaa, Eric Lefèvre et Daniel Berger ont été primés pour leur prototype qui crée une passerelle entre les émotions et les données techniques, afin de piloter la qualité de vie au travail. Une innovation doublement récompensée puisqu'elle a également été distinguée lors de l'Innovation Day 2019, et qui vient enrichir la solution digitale SMART FM360°[2].[1]Gestion de maintenance assistée par ordinateur[2]Voir le communiqué de presse
Il y a 4 ans et 159 jours

SILEX II, Arte Charpentier et MA Architectes, l’âge du verre à Lyon Part-Dieu?

Ma Architectes et Arte Charpentier ont imaginé Silex 2, un ensemble immobilier de 30 700 m² composé de deux bâtiments au cœur du quartier le plus connecté de Lyon. Selon eux, « la tour ciselée de 130 mètres de hauteur vient sublimer le style architectural de la Part-Dieu par ses contrastes de matière et de […] L’article SILEX II, Arte Charpentier et MA Architectes, l’âge du verre à Lyon Part-Dieu? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 159 jours

BioZone, la solution la plus puissante pour purifier l'air du SARS-CoV-2

Ooria, distributeur exclusif pour la France des dispositifs BioZone de purification de l'air, se réjouit de la confirmation de l'efficacité de ces solutions contre le SARS-CoV-2. Ooria commercialise à titre exclusif depuis 15 ans, les dispositifs BioZone pour la France, ainsi que pour la Suisse, le Benelux et le Maghreb.Ces dispositifs permettent de purifier l'air sans utilisation de produits chimiques. Ils utilisent une technologie rassemblant 5 mécanismes différents et indépendants de purification réunis en une seule technologie développée par la NASA et brevetée. Contrairement à de nombreuses autres technologies présentes sur le marché, la technologie BioZone ne se résume pas à l'utilisation isolée des lampes UV, des ions ou de l'ozone. C'est la combinaison mesurée de cinq mécanismes qui en fait la meilleure technologie qui soit pour la décontamination de l'air et des surfaces en continu et en présence humaine (voir encadré).Les tests ont été réalisés par BCS Laboratories, un laboratoire de Floride (États-Unis) certifié ISO/IEC 17025, accrédité par l'US Centers for Disease Control, l'US Environmental Protection Agency, l'US Department of Agriculture et le Florida Department of Health. Les tests ont été conçus pour modéliser le temps d'exposition par rapport à l'inactivation du virus SRAS-CoV-2 dans le flux d'air en mouvement dans les systèmes de chauffage, ventilation, climatisation (CVC). Les résultats de ces tests publiés le 10 décembre 2020 montrent que les dispositifs BioZone permettent d'inactiver les virus, dont le SARS-CoV-2, en moins d'une seconde.« L'annonce de l'efficacité de la technologie BioZone contre le Sars-CoV-2 est une excellente nouvelle dans le contexte de la crise de la Covid-19. Ooria et ses équipes sont fiers d'apporter une solution majeure pour lutter contre l'épidémie en France, en Suisse, au Benelux et au Maghreb et distribuant de manière exclusive les dispositifs issus de la technologie BioZone. »Philippe Simon, Président d'OoriaZoom sur la technologie BioZoneÀ l'intérieur de l'appareil, l'oxydation photocatalytique décompose les Composés Organiques Volatils (COV) tels que le méthane ou le benzène et les lampes UV-C brevetées de BioZone exercent leur pouvoir germicide en éliminant les bactéries, moisissures, micro-organismes et virus.À l'extérieur de l'appareil, BioZone utilise un processus photochimique pour produire du PhotoPlasma (plasma froid d'oxygène) qui contient des molécules réactives, des ions, des électrons et des radicaux qui détruisent et décomposent activement les structures biologiques et chimiques des contaminants atmosphériques, y compris les virus.Ce PhotoPlasma contient :un oxygène très réactif et énergisé qui désinfecte l'air ;un taux maîtrisé d'ozone (conforme aux normes d'exposition européennes et mondiales) qui élimine les bactéries, moisissures, micro-organismes et les virus ;des ions négatifs qui augmentent l'efficacité du processus en supprimant les impuretés et les poussières en suspension dans l'air.Ce PhotoPlasma a été testé et vérifié pour être extrêmement puissant contre les virus aéroportés et déposés sur les surfaces.La gamme BioZone propose deux types de solutions. Elle s'adapte à des problématiques ciblées de purification d'air dans certains espaces comme des bureaux, des vestiaires, des sanitaires, au travers de la gamme EASY avec des appareils autonomes, prêts à l'emploi à fixer ou à poser. Elle se décline également pour des problématiques plus techniques aux applications industrielles et commerciales, grâce à la gamme TECHNIC implantée directement au cœur des systèmes CVC ou réseaux de centrales de traitement de l'air (CTA), permettant ainsi d'assurer une destruction des virus à 100% à l'intérieur des bâtiments.
Il y a 4 ans et 159 jours

Le groupe Oknoplast décroche le prix du plus grand exportateur Polonais vers la France

L'objectif du concours est de distinguer les leaders de l'exportation polonaise vers la France et ainsi d'attirer l'attention des secteurs économiques français sur la qualité et la compétitivité de l'offre polonaise. Les entreprises ont été récompensées dans trois catégories : investisseur polonais en France, investisseur français en Pologne et premier exportateur vers la France. Le prix du plus grand Exportateur vers la France a été décerné à la société OKNOPLAST, qui n’avait obtenu lors des éditions précédentes du concours que les félicitations du jury. OKNOPLAST est l’un des principaux constructeurs de fenêtres et de portes en PVC en Europe avec des points de vente dans 13 pays. L’offre du groupe comprend des fenêtres, des portes-fenêtres, des baies-coulissantes et des portes extérieures en PVC et en aluminium, des volets roulants et une large gamme d’accessoires. Elle est l’une des rares entreprises qui propose ses propres solutions innovantes. Le prix a été remis à Monsieur Romain Somet, Directeur commercial du groupe OKNOPLAST sur le marché français.« L’obtention de ce prix dans la catégorie du plus grand exportateur vers la France nous rend très fiers. Nous sommes reconnaissants de voir l’appréciation qui est faite de notre travail et de la confiance des clients français envers nos produits. Nous nous sommes fait une place sur le marché français au fil de longues années de travail et d’investissements en conservant la qualité au cœur de nos préoccupations. Nous avons également su construire un réseau de distribution et une identité de marque qui gagne chaque jour un peu plus en notoriété. Au vu de l'augmentation des ventes chaque année, cette stratégie est payante. » - déclare Mikołaj Placek, président du groupe OKNOPLAST.La France est l'un des principaux marchés où OKNOPLAST opère. Depuis 10 ans, l'entreprise investit constamment dans le développement de ce marché, tant en termes de produits et d'innovations technologiques que sur le volet du marketing. Au fil des années, OKNOPLAST a été, entre autres, le sponsor de l'Olympique Lyonnais et a réussi à se faire une place à la télévision avec des campagnes de publicité sur les principales chaînes de télévision françaises.
Il y a 4 ans et 159 jours

Architendance : le palmarès 2020

Le Palmarès de la 5ème édition du Grand prix Architendance a été dévoilé le 12 décembre 2020. Selon le jury, « les réalisations primées ou finalistes reflètent par leur diversité, la créativité de l’architecture actuelle ». Dont acte. Les lauréats. Prix maison individuelle / Grand Prix du juryMaison diamant, Rennes (35)MNM ArchitectesMaître d’ouvrage : particulier Le projet […] L’article Architendance : le palmarès 2020 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 159 jours

Les mousquetaires de l’ingénierie bois (I) : Didier Sauvage face au défi des JO

Didier Sauvage, directeur de projet chez setec tpi, grand acteur français de l’ingénierie, évoque les enjeux et les pistes d’amélioration du matériau bois en construction face au défis de la neutralité carbone.
Il y a 4 ans et 159 jours

A Redon, la Maison Boomerang, un coup de Supersabre

L’agence nantaise Supersabre a livré en avril 2019 à Redon (Ille-et-Vilaine) une maison Boomerang de 97m². Maison évolutive construite avec un budget de 1550€ HT/m² compris VRD et toutes finitions, elle a obtenu le ‘Prix Habiter individuellement’ lors de l’édition 2020 du Prix Architecture espaces Bretagne. Communiqué. Le projet À proximité du centre de Redon, […] L’article A Redon, la Maison Boomerang, un coup de Supersabre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 159 jours

A Erquy, Bodenez et Le Gal La Salle voient la terre en double

L’extension en pisé de la Maison terre livrée en mars 2020 à Erquy (Côtes-d’Armor) par l’agence rennaise Bodenez et Le Gal La Salle Architectes fait corps, deux fois. Ce projet de 162 m², pour un budget de 410 000 € TTC, mérite largement le bien nommé ‘Prix transformer pour habiter’ obtenu lors de l’édition 2020 […] L’article A Erquy, Bodenez et Le Gal La Salle voient la terre en double est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 160 jours

Réhabilitation de logements sociaux : La résidence Bel Air s'anime d'enduits personnalisés

A Sannois (Val d'Oise), la résidence Bel Air a belle allure depuis la rénovation de ses façades. Propriété de CDC Habitat, filiale de la Caisse des Dépôts, elle abrite 143 logements répartis dans cinq immeubles construits en 1975. Le premier bailleur de France avait déjà modernisé les logements. « Il restait à améliorer les performances énergétiques des cinq bâtiments par l'isolation des façades », explique Thierry Brocheriou, responsable de groupe opérationnel à la Direction de la Maîtrise d'Ouvrage. L'objectif est d'atteindre un niveau de performance BBC Effinergie Rénovation, certification NF Habitat.Une consultation est lancée fin 2017 afin de conclure un marché de conception-réalisation pour ces travaux d'isolation thermique par l'extérieur.Respect de l'architecture d'origineParmi les trois groupements sélectionnés pour proposer une offre, c'est l'équipe constituée de l'Agence Olivier Cabanes Architecte (AOCA), de l'entreprise Demathieu Bard et du bureau d'études Sogeti qui est retenue. Un point fort de sa proposition est le respect de l'architecture d'origine. Les cinq bâtiments R+4, R+7 et R+9 sont animés par des arêtes en béton préfabriqué qui rythment les façades et affirment leur verticalité. Placés aux angles des bâtiments et entre les rangées de fenêtres, ces éléments verticaux présentent deux faces concaves qui les relient de part et d'autre au mur de façade.Comment apporter une isolation thermique par l'extérieur sur de tels reliefs sans dénaturer l'aspect des façades ? Olivier Cabanes trouve la solution avec la toute nouvelle offre proposée par Sto : des panneaux de polystyrène expansé cintrés à la demande. En fonction du rayon de courbure demandé, les plaques courbes sont produites à partir d'un bloc de polystyrène en enlevant la matière superflue. Ces surfaces courbes seront revêtues du même enduit que la façade tandis que la partie plate en saillie sera habillée d'aluminium. « Sa teinte changeante en fonction de l'ensoleillement, du blanc au doré, rappelle les jeux de lumière sur les émaux qui recouvraient à l'origine les allèges et les pignons aveugles des immeubles », souligne l'architecte.Effet déperlantRompu aux opérations de réhabilitation de logements sociaux, Olivier Cabanes se dit souvent insatisfait des enduits appliqués dans le cadre de l'isolation thermique par l'extérieur des bâtiments : « Ils s'encrassent en quelques années ». Il choisit donc pour cette opération un produit qui promet d'être plus durable : l'enduit StoLotusan K. Ce revêtement de façade à fonction autonettoyante reproduit la microstructure de la feuille de lotus qui présente une surface microstructurée, réduisant considérablement la surface de contact de l'eau. Les gouttes de pluie perlent sur la surface, entraînant les salissures avec elles.Sur le chantier de Sannois, l'enduit StoLotusan K est appliqué en finition sur un système d'isolation thermique par l'extérieur StoTherm Classic. Après quelques reprises de maçonnerie, les panneaux isolants de polystyrène expansé sont collés sur le support en béton puis fixés au moyen de chevilles. Un enduit de marouflage (StoArmat Classic plus) est appliqué sur l'isolant et un treillis d'armature en fibre de verre est noyé dans son épaisseur. Enfin, l'enduit de finition grésé StoLotusan K vient recouvrir le tout.Place à la créativitéUne autre proposition de l'équipe AOCA-Demathieu Bard-Sogeti a séduit le maître d'ouvrage : animer quatre murs aveugles grâce à des éléments d'enduit préfabriqués. Encore une innovation Sto ! Le concept Sto-Ecoshapes consiste à coller ces éléments en façade sur un système d'ITE Sto ou sur une maçonnerie verticale. L'architecte détermine le format, la couleur et la texture des éléments d'enduit. Il réalise ainsi son motif unique et crée son plan de calepinage en toute liberté. Il peut combiner les parements de façade avec de l'enduit traditionnel et jouer avec des joints plus ou moins contrastés. Bref, le concept se prête à des compositions de façades très originales, pour un coût maîtrisé.Olivier Cabanes propose de réaliser quatre motifs différents qui apportent une identité à chaque immeuble et associe le maître d'ouvrage ainsi que la Mairie de Sannois au choix des motifs et des teintes. Deux des motifs soulignent la verticalité des immeubles en assemblant de longues plaquettes rectangulaires de trois teintes différentes. Un calepinage plus cinétique reproduit des cubes en associant des losanges de trois teintes et trois textures différentes. Enfin, un quatrième mur est habillé de chevrons en trois teintes.Mise en œuvre soigneuse« Cette proposition nous a séduits, explose Thierry Brocheriou, car elle permet une création originale de l'architecte, tout en étant assez économique. Mais elle nécessite d'être mise en œuvre par une entreprise très soigneuse. »Consulté par l'entreprise Demathieu Bard qui recherchait un sous-traitant pour réaliser l'ensemble des travaux de façade, Sto a proposé l'entreprise PMR (Plaquette Maçonnerie Ravalement) qui a fait la preuve, depuis près d'une quinzaine d'années, de sa compétence dans la pose de plaquettes. Le fondateur et gérant de cette société de 38 personnes, Murat Delikaya, et le conducteur de travaux, Firat Doner, apprécient l'assistance d'un technicien d'application envoyé par Sto pour les premiers jours du chantier de pose du système Sto-Ecoshapes.« La pose des éléments a été réalisée par trois compagnons, décrit le conducteur de travaux. La colle et le mortier de jointoiement sont un seul et même produit teinté dans la masse. Celui-ci est étalé à la taloche crantée sur le support (le mortier de marouflage de l'armature de l'ITE) puis les éléments préfabriqués sont posés dans le mortier frais et pressés à l'aide d'un rouleau. Les joints sont ensuite lissés à l'aide d'un pinceau légèrement humide avant un deuxième passage au pinceau sec. »« Nous sommes fiers d'avoir réalisé la première application de produits Ecoshapes sur un chantier de taille importante en France, complète Murat Delikaya. Et nos compagnons ont trouvé cette technique agréable à travailler. »Fiche techniqueType de bâtiment : rénovation de logements sociauxLocalisation : rue des Maraîchers, 95118 SannoisSurface de façade traitée : 6.000 m²Maître d'ouvrage : CDC-HabitatGroupement conception-réalisation : Agence Olivier Cabanes Architecte AOCA, entreprise Demathieu Bard, BET SogetiEntreprise applicatrice : PMRDate du chantier : août 2019 – février 2020Solution utilisée : système d'isolation StoTherm Vario, enduit StoLotusan K, peinture StoColor Lotusan® et éléments d'enduit préfabriqués Sto-Ecoshapes l'échauffement. Ravalement de classe D2
Il y a 4 ans et 160 jours

[Vidéo] Helios : résidence de 36 logements BEPOS en ossature bois à Beaucouzé (FR-49)

Hélios est une résidence à énergie positive avec une trentaine de logements locatifs à Beaucouzé en périphérie d’Angers (FR-49) construite en 2019 pour Angers Loire Habitat par Johanne Guichard-Floc’h, architecte chez JOHANNE SAN. Vidéo présentée dans la série « Laisse entrer la Nature » proposée par France Bois Forêt (diffusée actuellement sur France 3) Les 3 bâtiments […]
Il y a 4 ans et 160 jours

La médiathèque de Saint-Brandan signée Bihan & Pageot est une promesse

L’agence de Saint-Brieuc Bihan & Pageot Architectes (José Bihan & Xavier Pageot) a livré en janvier 2020 la nouvelle Médiathèque de Saint-Brandan (Côtes-d’Armor). L’ouvrage de 400 m² (1,1 M€ TTC) inscrit l’histoire du bourg au XXIe siècle. Ce pourquoi il a obtenu le Prix ‘Se divertir’ lors de l’édition 2020 du Prix Architecture espaces Bretagne. […] L’article La médiathèque de Saint-Brandan signée Bihan & Pageot est une promesse est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 160 jours

A Lamballe, le collège signé Colas Durand Architectes ne laisse pas de bois

A Lamballe (Côtes d’Armor), le collège Simone Veil de 8 900m² livré en 2018 par l’agence lamballaise Colas Durand Architectes (en collaboration certes avec Dietrich Untertrifaller Architectes) vaut le déplacement. De fait, l’ouvrage construit pour 14,6M€ a obtenu le Prix Apprendre lors de l’édition 2020 du Prix Architecture espaces Bretagne. Communiqué. Le projet Le collège s’installe […] L’article A Lamballe, le collège signé Colas Durand Architectes ne laisse pas de bois est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 161 jours

Un bar mythique de la bossa nova à Rio victime du Covid

Mais cet établissement mythique fondé en 1953 a dû fermer ses portes en raison du Covid-19, les clients ayant délaissé ce quartier d'affaires où le télétravail a vidé la plupart des bureaux."Le centre de Rio ressemble à une ville fantôme. Normalement, on sert 80 à 100 couverts par jour. Le jour où on a fermé (le 16 novembre), il n'y a eu qu'un seul client", déplore la propriétaire, Rita Nava, veuve d'Antonio Vazquez, l'un des associés espagnols qui géraient ce bar depuis quasiment sa fondation.Très fréquenté par les intellectuels, les artistes et les hommes politiques dans les années 50 du siècle passé, il conserve le carrelage, les tables de marbre et les chaises rouges en cuir de l'époque, qui lui donnent un air de troquet parisien figé dans le temps.Le poète Vinicius de Moraes était un client assidu depuis la période où il était diplomate: à peine arrivé à l'aéroport Santos Dumont tout proche, il s'y rendait directement et s'installait à une table qui lui était réservée, dans un coin.C'est là qu'il a été présenté en 1956 à un jeune pianiste, "Tom" Jobim, pour mettre en musique son oeuvre "Orfeu da Conceiçao", raconte Mme Nava, qui a décoré les lieux avec de nombreuses photos de l'époque.Cette collaboration a donné lieu à des tubes mondiaux de la bossa nova, tels "la fille d'Ipanema".Urbanisme obsolèteCapitale du Brésil jusqu'en 1960, année de l'inauguration de Brasilia, Rio abrite dans son centre-ville quantité d'édifices d'une grande valeur historique et architecturale, pour la plupart délabrés aujourd'hui.Mais cela fait plusieurs décennies que le centre n'est fréquenté que pendant la journée, par les employés des bureaux, notamment des entreprises publiques comme Petrobras, avant de se vider presque totalement le soir ou le week-end. Alors il devient dangereux.Avec la pandémie de coronavirus, le centre est déserté et on a l'impression que tous les jours sont fériés.Les panneaux "à louer" fleurissent devant les commerces fermés dans toutes les rues, que seuls de nombreux sans-abris, des drogués et des vendeurs ambulants continuent de fréquenter."C'était déjà un problème avant, un problème que la pandémie n'a fait qu'aggraver", explique à l'AFP Claudio Hermolin, président de l'Association de dirigeants du Marché immobilier (Ademi).Un rapport de cette association montre que le centre de Rio comptait déjà 8.000 biens immobiliers vides, abandonnés ou très peu utilisés. Avec le coronavirus, ce chiffre a presque doublé (14.000).Pour M. Hermolin, le carcan administratif qui complique les démarches pour transformer des bureaux en logements est le principal obstacle à tout projet de repeuplement du centre."Les villes qui ont su se moderniser possèdent plusieurs centres, tous composés d'immeubles résidentiels, de bureaux, de commerces, de pôles de divertissement, de santé et d'éducation", estime ce spécialiste, qui juge le modèle d'urbanisme de Rio totalement obsolète.La mairie avait bien tenté de revitaliser le centre avec de grands travaux autour de la zone portuaire liés aux jeux Olympiques de Rio-2016, mais seules quelques grandes entreprises, comme l'Oreal, s'y étaient installées."L'économie s'est arrêtée"Le maire de l'époque, Eduardo Paes (2008-2016), élu pour un troisième mandat fin novembre, a promis d'attirer des investisseurs privés pour sauver "l'âme de la ville".Marchand de journaux sur l'emblématique place Cinelandia depuis 20 ans, Derisvaldo Pereira a dû fermer son kiosque pendant trois mois. Quand il a rouvert, son chiffre d'affaires a baissé de 60%."Ici, l'économie s'est arrêtée. On reçoit des aides du gouvernement, mais c'est trop peu", soupire-t-il.Selon l'Association brésilienne des Bars et Restaurants, 30% des établissements du pays ont fermé depuis l'arrivée du virus, qui y a fait près de 180.000 morts.Quand le bar Casa Villarino a annoncé qu'il baisserait le rideau "pour une durée indéterminée", des clients et sympathisants du monde entier ont envoyé des messages de soutien sur les réseaux sociaux.À bientôt 80 ans, Rita Nava espère pouvoir rouvrir un jour, et voir le centre de Rio "revenir à la normale" quand la population sera vaccinée en masse contre le Covid-19.
Il y a 4 ans et 161 jours

Agence Ter – Sols vivants, socles de la nature en ville

L’Agence Ter expérimente depuis plus de 30 ans l’urbanisme des milieux vivants et les services climatiques rendus par les projets de paysage. A la Galerie d’architecture. Jusqu’au 27 février 2021. Ecosystèmes de nature en ville, espaces publics bioclimatiques, parcs et quartiers conçus comme des machines hydrauliques, villes forêts, terroirs métropolitains. Elus Grand Prix de l’Urbanisme […] L’article Agence Ter – Sols vivants, socles de la nature en ville est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 161 jours

A Rennes, un restaurant scolaire bien accueillant signé Anthracite

Le restaurant scolaire du lycée Bréquigny livré à Rennes (Ille-et-Vilaine) par l’agence rennaise Anthracite Architecture a obtenu le Prix Accueillir lors de l’édition 2020 du Prix Architecture espaces Bretagne. Architecture champêtre ? Communiqué. Le projet Les contraintes liées au site furent fortes et en particulier la présence de l’EBC (espace boisé classé) qui a généré un […] L’article A Rennes, un restaurant scolaire bien accueillant signé Anthracite est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 161 jours

Dans le Morbihan, un bâtiment maritime bien iodé par Quartz Architecture

Ce bâtiment maritime livré à Plouharnel (Morbihan) par l’agence vannetaise Quartz Architecture est situé sur le site ostréicole de l’anse du Pô. Projet de 450 m² dédié à la production, la vente, la dégustation de fruits de mer et à l’organisation de réceptions, il a obtenu le Prix Travailler lors de l’édition 2020 du Prix […] L’article Dans le Morbihan, un bâtiment maritime bien iodé par Quartz Architecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 162 jours

16ème édition du Concours Photo AQC 2021

Rendez-vous annuel des amateurs de photographies, ce concours AQC est ouvert à toutes les personnes qui s’intéressent à la photo et souhaitent, à travers leur regard, illustrer les désordres et les pathologies dans le bâtiment. Jusqu’au 31 mars 2021. Une plateforme numérique permet aux participants, à partir d’un ordinateur, d’un smartphone ou d’une tablette, de […] L’article 16ème édition du Concours Photo AQC 2021 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 162 jours

L’usine de ventilation de l’A86, un organe respirant élaboré par Aden

Depuis 2015, l’usine de ventilation de l’autoroute A86 à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) arbore une résille ondulante en métal déployé aluminium. L’intégration urbaine de l’usine était un enjeu pour l’agence Aden Architectes. Une usine à l’esthétique spectaculaire. L’usine, avec pour maître d’ouvrage la Direction des Routes Ile-de-France DRIEA IF, a pour rôle la ventilation du tunnel qui […] L’article L’usine de ventilation de l’A86, un organe respirant élaboré par Aden est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 162 jours

Le 10e Prix national de la construction bois ouvre ses candidatures

FILIÈRE BOIS. Le dépôt des candidatures pour la 10e édition du Prix national de la construction bois est ouvert jusqu'au 15 mars 2021. Après bientôt 10 ans d'existence, le concours a déjà récompensé 164 lauréats pour plus de 6.000 réalisations en compétition.
Il y a 4 ans et 162 jours

La Cité de l'architecture et Saint-Gobain main dans la main pour 4 ans

MÉCÉNAT. La Cité de l'architecture & du patrimoine et le groupe de matériaux de construction, Saint-Gobain, ont signé une convention de mécénat institutionnel.
Il y a 4 ans et 162 jours

Le complexe sportif et culturel de Vélizy, quatre ouvrages en un

ARRONDI. Le nouveau complexe sportif et culturel Jean-Lucien Vazeille, à Vélizy-Villacoublay, vient d'être livré fin décembre. Il a été imaginé par l'architecte Jean-Pierre Lott.
Il y a 4 ans et 162 jours

Après un effondrement en 2020, le marché des bureaux s'attend à une année 2021 très difficile

"Pour 2021, on ne va pas s'attendre à un retour à la normale", a résumé à l'AFP Virginie Houzé, du cabinet immobilier JLL, qui participe au bilan de référence sur le secteur, publié vendredi.Pour l'heure, le marché des bureaux s'est effondré en 2020, selon ce bilan dit Immostat, qui se concentre sur la région parisienne, soit le très gros du secteur français.La quantité de bureaux loués y a chuté de près de moitié (-45%) à 1,32 million de mètres carrés. Résultat, le nombre de bureaux vacants a, lui, bondi de plus d'un tiers.Comme de nombreux secteurs économiques, l'immobilier a subi les effets de la crise, l'activité ayant notamment été bloquée au printemps par un strict confinement décrété contre la propagation du virus.Reste que la déprime des bureaux contraste avec la résistance du marché des logements, du moins anciens. Pour ces derniers, les visites avaient fortement rebondi à l'été, même s'il reste à évaluer pleinement les conséquences du reconfinement plus relâché de la fin 2020.Par rapport aux logements, les bureaux font généralement l'objet d'opérations plus lourdes et leur attrait reflète plus directement la situation économique."C'est un contexte qui est incertain et pousse les entreprises à attendre de voir ce qui se passer", admet Mme Houzé, soulignant que la crise sanitaire est partie pour durer encore.Le Premier ministre, Jean Castex, évoque une sortie de crise d'ici à l'été, sur fond de critiques sur la lenteur de la vaccination en France et de la diffusion d'un variant beaucoup plus contagieux du virus, venu du Royaume-Uni.Pour les bureaux, "on peut espérer que l'activité se libère un peu en deuxième moitié d'année si les nouvelles sont positives", avance Mme Houzé.Seulement, le virus risque d'avoir des conséquences bien au-delà de cette prudence, finalement classique en période de crise économique avant que l'activité reprenne.Les confinements et, plus généralement, la situation sanitaire ont forcé les entreprises à faire travailler les employés à distance.Moins d'investissement"En France, on est un pays où, traditionnellement, on n'est pas grands supporters du télétravail, et le confinement du printemps a libéré les choses", observe Mme Houzé. "Ca aura probablement un impact à long terme."Une opération emblématique symbolise cette tendance. Pour son futur siège, commandé au promoteur Nexity, le géant de l'énergie Engie prévoyait un gigantesque ensemble de six bâtiments.Mais il a changé d'avis au dernier moment et les bâtiments ne seront que quatre. C'est, selon le groupe, la conséquence directe de la montée du télétravail: "ce redimensionnement est lié aux évolutions des modes de travail", a expliqué Engie en décembre à l'AFP.Il n'y a, certes, guère d'observateurs pour prédire une généralisation massive du travail à distance, qui se traduirait par un effondrement du marché des bureaux.Mais nombre d'entreprises pourraient généraliser un ou deux jours de télétravail par semaine et, donc, avoir besoin d'un peu moins d'espace.Face à ces incertitudes, le marché des bureaux n'a pas seulement subi une chute des locations l'an dernier. Il a aussi attiré beaucoup moins les investisseurs qui achètent ces espaces pour les louer ensuite."L'incertitude liée aux nouveaux modes de travail, ainsi que le manque de perspectives économiques ont conduit à un certain attentisme des investisseurs", remarque dans un communiqué Nicolas Verdillon, expert chez CBRE, autre contributeur au bilan.L'an dernier, 26,3 milliards d'euros ont été investis en immobilier d'entreprise - sur toute la France et non seulement la région parisienne -, soit un déclin de 36%."A noter (...) cette année, le recul des investisseurs étrangers et particulièrement les investisseurs asiatiques", souligne dans un communiqué la filiale immobilière de BNP Paribas, membre d'Immostat.
Il y a 4 ans et 162 jours

Baromètre du Crédit immobilier : « Quoiqu'il arrive, l'année 2021 sera portée par les projets de vie des Français ! »

Le deuxième semestre 2020, bien que marqué par la crise sanitaire, a quant à lui permis de finaliser les ventes (mises en suspens au mois de mars) et d'accélérer les process de digitalisation des flux. Malgré le maintien d'un certain dynamisme du marché du crédit immobilier sur l'ensemble de l'année, La Centrale de Financement constate une diminution de 20% du stock d'affaires nouvelles réalisées par l'ensemble de la filière (agents immobiliers ou acteurs du crédit immobilier), par rapport à 2019...Cette situation pourrait néanmoins être contrebalancée par un début d'année 2021 particulièrement favorable à l'emprunt des ménages : les conditions d'octroi de crédit s'assouplissent et les taux d'emprunt diminuent, notamment sur les prêts de longue durée (sur 20 et 25 ans) ! Grâce aux dernières mesures prises par le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF), les Français peuvent désormais contracter un emprunt jusqu'à 27 ans maximum (25 ans auparavant, pour l'emprunt dans le neuf uniquement) et porter, que ce soit pour l'ancien et le neuf, leur taux d'endettement à 35%, contre 33% précédemment. Ils pourront également bénéficier d'une légère augmentation du taux d'usure[2] depuis le 1er janvier 2021, notamment sur les prêts contractés sur 10 à 20 ans.« Les nouvelles dispositions prises par le HCSF correspondent parfaitement aux demandes formulées, tout au long de l'année 2020, par la profession, dont La Centrale de Financement. Cumulées avec une légère augmentation du taux d'usure au mois de janvier, ces mesures nous permettent d'envisager un premier trimestre 2021 plus serein... Et grâce à la diminution globale des taux de crédit sur un an, les Français pourront emprunter jusqu'à 10% de plus que l'année précédente ! Cette conjoncture particulièrement favorable à l'emprunt ne doit toutefois pas masquer les difficultés rencontrées par un certain nombre de salariés qui ne seront probablement plus finançables au cours de l'année 2021, car travaillant dans des secteurs sinistrés par la crise : hôtellerie, spectacle, événementiel, industrie aéronautique etc. Nous ne pouvons pas non plus sous-estimer que, dans cette période angoissante, certains ménages céderont à la morosité ambiante et risqueront de différer voire d'annuler leurs projets d'acquisition immobilière... mais La Centrale de Financement reste confiante car, avec ou sans la crise, la majorité des Français continueront leurs projets de vie dont le pilier demeure l'acquisition immobilière... C'est notre travail, aujourd'hui, de rassurer et soutenir ces ménages français, dans leurs projets. »Sylvain Lefèvre, président de La Centrale de FinancementUne population structurellement génératrice de projets et porteuse d'espoir pour le secteurEn parallèle, et malgré la crise, 70 à 80% de l'économie française tourne toujours, notamment dans les secteurs les moins impactés par la situation sanitaire. Et, pour de nombreux Français, avec ou sans la crise, la vie continue presque comme avant (vie à deux, naissances, évolutions professionnelles, etc.) et les pousse indéniablement vers de nouveaux projets d'acquisition immobilière....« Au-delà de cette population structurellement génératrice de projets et porteuse d'espoir, il y a également une autre partie de la population qui vieillit et qui met, à un moment donné, son bien en vente pour rechercher un appartement en ville ou une place dans une maison de retraite. Il s'agit, là-aussi, d'une situation conjoncturelle, et sur laquelle la crise n'a pas véritablement de prise... Ces évolutions portent, quoiqu'il arrive, notre économie. La Centrale de Financement table donc sur toute cette clientèle-là ainsi que sur l'assouplissement des conditions d'octroi de crédit pour maintenir le dynamisme de l'activité tout au long de l'année... et ce d'autant plus que la demande reste toujours soutenue ! »Sylvain Lefèvre, président de La Centrale de FinancementL'emprunteur 2021 : quel profil ?Bien que les conditions d'accès au crédit se soient assouplies, l'accès à l'emprunt en 2021 requiert un certain nombre de critères, sur lesquels il sera difficile de faire l'impasse :Avoir un CDI, dont la période d'essai est terminéeAvoir un peu d'apport, environ 10%, ce que de nombreux ménages anticipent désormais dans leurs démarches, en ayant notamment recours au soutien financier de leurs ascendants (donations).« Nous parvenons, malgré tout, encore à assouplir le montant de l'apport demandé, notamment sur des projets portés par des ménages, qu'ils soient primo-accédants ou non, ayant un revenu supérieur à 50 000€ annuel, un endettement au-dessous de 33% et un prêt n'excédant pas 20 ans. »Sylvain Lefèvre, président de La Centrale de FinancementJanvier 2021 : des taux en baisse !Afin de soutenir la demande d'emprunt immobilier en ce début d'année 2021, les banques diminuent les taux de crédit sur l'ensemble des durées de prêt, notamment sur ceux de longue durée (20 et 25 ans). Ainsi, avec les taux annoncés en janvier 2021, un emprunteur contractant un prêt d'un montant de 180.000€ sur 25 ans à 1,33%, verra sa mensualité s'élever à 705.6 euros pour un coût total de crédit de 31.680 euros.Évolution des tauxLes taux immobiliers moyens de janvier 2021 par durée d'empruntLes conditions de taux généralement constatées sont en baisse de 0.04%, en moyenne, pour toutes les durées de prêt confondues. Dans le détail : pour les prêts sur 10 ans, les taux de crédit ont diminué de 0,03%, par rapport au mois précédent, de 0.01% sur 12 ans et de 0.04% sur 15 ans. Les diminutions de taux de crédit les plus significatives s'observent principalement pour les prêts contractés sur 7, 20 et 25 ans avec une baisse des taux de crédit généralement constatés de 0.06%, par rapport à décembre 2020.Les meilleurs taux immobiliers de janvier 2021 par durée d'empruntLes meilleurs taux obtenus sur le mois de janvier 2021 sont plus avantageux que ceux obtenus au mois de décembre 2020, pour les prêts contractés sur 7 à 12 ans, avec une baisse de 0.08% des taux obtenus, pour les prêts d'une durée de 7 ans, une diminution de 0.04% pour ceux sur 10 ans et de 0.01% sur 15 ans. Pour les prêts contractés sur 15 à 25 ans, les meilleurs taux obtenus en janvier 2021 restent, quant à eux, stables et identiques à ceux du mois précédent.Profil des emprunteurs ayant réalisé leur projet en décembre 2020[1] Source : Notaires de France[2] Fixé à la fin de chaque trimestre par la Banque de France, le taux d'usure protège l'emprunteur contre des taux supérieurs à ce taux plafond, dont le dépassement pourrait placer l'emprunteur dans une situation financière difficile. Depuis le début de l'année 2020, celui-ci a baissé à deux reprises et s'est rapproché des taux moyens pratiqués par les banques, générant ainsi un effet ciseau (avec l'augmentation des taux pendant la crise, l'écart entre le TAEG et le taux d'usure s'est réduit : il s'agit de l'effet ciseau). Dans ces conditions, les emprunteurs ont atteint plus rapidement le taux d'usure, entraînant ainsi le refus de leur prêt immobilier.
Il y a 4 ans et 162 jours

La pandémie accentue la désertification des centres-villes

Pourtant classée au patrimoine mondial de l'Unesco, notamment pour son architecture gothique de briques rouges, cette ville hanséatique d'Allemagne du nord-ouest de 220.000 âmes n'échappe pas au phénomène de désertification qui touche depuis des années de nombreux centres-villes en Europe. Et la pandémie de Covid-19 lui a donné un coup d'accélérateur.A Lübeck, mondialement connue pour son massepain et visitée par 18 millions de touristes en 2019, 20% de la surface dédiée aux commerces reste vide, faute de nouveaux repreneurs, une tendance en hausse.Au milieu de la principale allée commerçante, Olivia Kempke pointe du doigt une ancienne boutique de vêtements en faillite: "certains n'allaient déjà pas bien avant la crise sanitaire et la baisse de fréquentation actuelle les achève".A la tête de Lübeck Management, association promouvant le développement urbain local, elle fustige l'hypertrophie des grands centres commerciaux périphériques, "véritables aimants à consommateurs" et des baux commerciaux toujours plus élevés "prenant à la gorge les commerçants".Achats en ligneEn cause également, la croissance des achats en ligne: ils devraient augmenter d'un tiers en novembre-décembre par rapport à 2019, au détriment de nombreux commerçants ayant pignon sur rue, selon l'Association allemande du commerce (HDE).Elle craint la fermeture de 50.000 commerces dans le pays en raison du Covid-19.La fermeture partielle des magasins en novembre et décembre, liée au coronavirus, coûtera aux détaillants des centres-villes allemands jusqu'à 16,9 milliards d'euros, selon l'institut de conjoncture IW.Le nombre de passants a diminué de moitié dans les villes allemandes en décembre, ajoute-t-il.Des chiffres qui devraient empirer après la fermeture de tous les commerces non-essentiels décrétée mi-décembre pour un mois minimum.Le ministre de l'Économie, Peter Altmaier, avait estimé en novembre que faire ses courses chez les petits commerçants s'apparentait à "une tâche nationale, voire un acte patriotique", un message rapidement devenu caduque avec le durcissement des restrictions.En plus d'aides d'urgence, le gouvernement allemand planche sur l'instauration d'une taxe visant le commerce en ligne dont le montant serait reversé aux commerçants des centres urbains.Il a également débloqué 25 millions d'euros supplémentaires pour 2021 censés éviter l'hémorragie des centres-villes. Le HDE réclame lui un "fonds d'urgence urbain" d'environ 1,5 milliard d'euros annuel.Sinon "nous ne reconnaîtrons pas nos communes après la pandémie, nous devons prendre des contre-mesures", alerte le président du HDE Gerd Landsberg.L'aide gouvernementale d'urgence s'ajoute à un programme du ministère de la Construction créé en 2002 et doté annuellement de quelque 790 millions d'euros pour aider les villes dans leur réaménagement urbain. Depuis, 1.081 métropoles allemandes ont pu en bénéficier.Lieux de vieHanau, dans la Hesse, fut l'une des première. Après 7 ans de travaux, la ville a totalement été redessinée, son centre végétalisé et rendu plus accueillant pour les personnes à mobilité réduite.Sont également apparus un grand centre commercial avec magasins indépendants, restaurants, un cinéma et une nouvelle place.Un exemple de réussite, selon Frank Schwartze, professeur à l'Université technique de Lübeck et spécialiste en développement urbain pour qui ces fonds doivent permettre "aux centres-villes de s'adapter à de nouveaux usages" pour en faire "des lieux de vie" et plus seulement de consommation."L'ancien commerce de détail ne reviendra pas", lâche-t-il, promouvant à la place "les lieux de promenades et de sociabilisation" qui facilitent les "nouvelles formes de mobilité". Entendez par-là, moins d'espaces pour les voitures, plus pour les piétons.C'est justement la voie empruntée par Lübeck avec différentes expérimentations depuis un an: un jardin partagé en plein centre, un élargissement des trottoirs agrémentés de mobilier urbain, des expositions culturelles gratuites et des rues à circulation réduite."On remarque un retour des passants et une réduction de 60% du trafic automobile. Les citoyens ont gagné en qualité de vie", se félicite le maire social-démocrate Jan Lindenau.
Il y a 4 ans et 162 jours

Nouvelle gamme de pompes à chaleur Heiwa Pro Essentiel ZEN dédiée au petit tertiaire

Ces performances énergétiques sont dans la continuité des valeurs durables et responsables que défend la marque pour ses pompes à chaleur. Pour accompagner au mieux les professionnels dans leur quotidien, la gamme HEIWA PRO se compose de 3 solutions de chauffage et climatisation à hautes performances avec une fiabilité maximale et qui s’adaptent à toutes les configurations d’espaces.Une gamme entièrement modulable et facile à poser pour l’installateurPour une plus grande flexibilité, les 3 produits de la gamme sont entièrement modulables et compatibles avec une seule gamme de groupes extérieurs. HEIWA a engagé une véritable démarche de recherche et développement sur leur design pour les rendre extrêmement compacts et faciles à transporter pour les installateurs.Pour une plus grande facilité d’installation, la configuration des produits est adaptée aux grandes surfaces, avec une longueur de liaison entre l’unité extérieure et l’unité intérieure qui peut aller jusqu’à 75 m, une longueur idéale pour les petits commerces par exemple.Des pompes à chaleur adaptées aux spécificités du petit tertiaireAfin de répondre aux spécificités du petit tertiaire qui nécessitent des produits endurants et fiables, les solutions de la gamme HEIWA Pro Essentiel ZEN sont toutes équipées du compresseur le plus avancé de la gamme HEIWA. Elles proposent un excellent indice SEER jusqu’à 6,8 en mode froid et peuvent être utilisées sur une large plage de fonctionnement : entre -20° et +48° en mode froid et de -20° à +24° en mode chaud. Très modulable selon la configuration des bureaux ou des locaux commerciaux, la nouvelle gamme HEIWA PRO permet de connecter jusqu’à 4 unités intérieures de la même puissance à l’unité extérieure. Pour simplifier la gestion des locaux commerciaux ou des espaces de travail au quotidien, il est possible de relier l’ensemble des unités intérieures à une gestion technique du bâtiment centralisée type GTB (gestion technique des bâtiments) grâce à la passerelle Modbus en option.Grâce à un contrôleur central à écran tactile associé à la passerelle Modbus il est possible de contrôler entièrement jusqu’à 36 unités intérieures de la gamme Heiwa PRO. Les produits ont été pensés pour faciliter leur maintenance. Les gainables et les cassettes sont équipés d’une pompe de relevage pour faciliter l’évacuation des condensats et permettre plus de souplesse lors de l’installation. Sa hauteur de refoulement jusqu’à 1m assure une grande flexibilité de positionnement dans l’installation. Les codes erreurs s’affichent aussi directement sur l’écran de l’unité intérieure (ou sur la télécommande filaire) ce qui facilite les interventions des installateurs.Du confort pour les usagers des bureaux et des locaux commerciauxLa gamme HEIWA Pro offre de multiples options pour le confort des usagés, parfaitement adaptées aux espaces collectifs. Les produits HEIWA peuvent être 100% connectés pour faciliter leur usage. Autonomes, ils disposent d’un mode automatique qui génère la bascule entre le mode chaud et le mode froid selon la température de consigne (entre 16° et 30°). Les usagers ou les vendeurs, par exemple, n’ont donc plus à se soucier de régler la température intérieure pour le confort de leurs clients ou de leurs collaborateurs. Par ailleurs, grâce à la fonction « SetBack » l’administrateur peut définir une plage de température minimum et maximum ainsi que le mode souhaité (froid ou chaud). Si les usagers le souhaitent, ils peuvent aussi utiliser la fonction verrouillage sur un mode et une température unique. Pour gagner du temps, toute la programmation initialement installée est conservée dans le cas d’une coupure de courant grâce à la fonction redémarrage automatique. Pour plus de facilité dans le contrôle de l’installation, l’ensemble de la gamme peut être connecté au réseau wifi.Les solutions HEIWA sont très adaptées au rythme et à l’usage des locaux commerciaux ou des bureaux. Elles sont équipées d’un mode absence longue durée, idéal pour faire des économies d’énergies lors des périodes de congés ou de fermetures annuelles. Alors que nombreux espaces commerciaux sont dépourvus de fenêtre, et qu’elles peuvent parfois être inaccessibles dans les bureaux, il est peut être compliqué d’aérer. La fonctionnalité « Air Neuf » renouvelle l’air d’une pièce en cas de mauvaises odeurs ou d’un besoin de ventilation. Pour un maximum de confort à destination des clients ou des collaborateurs, la fonction « silence » permet aux systèmes HEIWA de se faire discrets.Le gainable Heiwa PRO Essentiel ZenLe système gainable permet de chauffer efficacement l’intérieur de son entreprise en toute discrétion et en préservant le design des espaces. De 5kW à 12,1kW, la nouvelle gamme gainable Heiwa PRO Essentiel Zen offre un large choix de puissances. Afin de pouvoir s’adapter parfaitement aux différents usages des locaux, la marque Heiwa a développé son propre Zoning sur la solution gainable. L’usager peut alors contrôler la température de manière indépendante dans chaque zone, et jusqu’à 6 zones, grâce à un thermostat radio ou filaire. Chaque composant du zoning HEIWA (plénum de soufflage, plénum de reprise, passerelle de communication et centrale de contrôle zoning) a été étudié pour s’adapter sur mesure aux différentes unités intérieures. L’ensemble du Zoning est entièrement pré- monté et la configuration est extrêmement simple.Le gainable HEIWA Essentiel Zen PRO peut se décliner en deux autres modèles. Le gainable Essentiel Zen 5 Kw SLIM est idéal pour les faux plafonds, les combles ou les encadrements réduits. Son design optimisé permet de réduire le niveau sonore et d’améliorer le rendement du système. Le gainable Essentiel Zen Haute Pression est quant à lui destiné aux espaces plus grands qui nécessitent plus de pression. Un kit d’accessoires d’isolation est inclus lors de l’achat d’un système gainable de la gamme Heiwa PRO quel que soit le modèle.La cassette Heiwa PRO Essentiel ZenLa gamme cassette Heiwa PRO Essentiel Zen permet de répondre aux principaux besoins des espaces commerciaux avec un design élégant et un confort maximal. Sa pose est un véritable gain de temps pour l’installateur grâce à son carton d’emballage conçu pour servir de gabarit. Les capots d’angles escamotables situés aux 4 coins de la façade, permettent d’ajuster facilement la hauteur de l’unité par les trappes d’accès, et ce, même après avoir installé la grille. Pour optimiser le confort des utilisateurs, l’orientation de chaque volet peut être pilotée indépendamment à l’aide de la télécommande filaire.Le plafonnier Heiwa PRO Essentiel ZenLa technologie et l’efficacité au service des gros volumes et des grands espaces du petit tertiaire. Les angles des volets du plafonnier Heiwa PRO Essentiel Zen permettent un balayage spécifique en mode froid comme en mode chaud et améliorent le confort de l’habitat.
Il y a 4 ans et 162 jours

Aidez les architectes français à mieux s’exporter

L’AFEX lance son enquête intitulée “Les architectes français à l’export” afin de faire un état des lieux de l’exportation de l’archi... Cet article Aidez les architectes français à mieux s’exporter est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 162 jours

Bureaux Additi, à Rennes, par Kraft Architectes : seconde peau, seconde chance

Les bureaux Additi (7 263 m²), livrés à Rennes (Ille-et-Vilaine) en janvier 2020 pour Ouest-France, maître d’ouvrage, par l’agence rennaise Kraft Architectes témoignent de l’évolution de la presse écrite. Ce projet, réalisé dans ce qui était un garage industriel pour un budget travaux de 18 M€ TTC, a obtenu le Prix Spécial du jury lors […] L’article Bureaux Additi, à Rennes, par Kraft Architectes : seconde peau, seconde chance est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 162 jours

Jardin du souvenir dans le Finistère par Onzième Etage : une promenade laïque

Le Jardin du souvenir, livré en avril 2018 à Plourin-lès-Morlaix (Finistère) par l’agence rennaise Onzième Etage Architectes, est un subtil lieu laïc de mémoire, de recueillement et de promenade. Ce projet de 500 m² (35 000 € TTC) a obtenu le Prix Vivre la ville et paysage lors de l’édition 2020 du Prix Architecture espaces […] L’article Jardin du souvenir dans le Finistère par Onzième Etage : une promenade laïque est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 163 jours

Nexity vend l’immeuble en bois ALTIS

Au cœur de l’Espace Européen de l’Entreprise, principal parc d’affaires de l’agglomération strasbourgeoise, Nexity a vendu l’immeuble de bureaux ALTIS, premier des trois bâtiments de l’opération Wooden Park Schiltigheim 2 réalisés en bois massif, à la SCPI ATLANTIQUE MUR RÉGIONS gérée par la société Grand Ouest Gestion d’Actifs. L’immeuble Altis a été livré en février 2020. Il est loué aux sociétés ARTELIA et PILZ France. Nexity, leader du marché sur le bois en tertiaire en France, avec notamment plus de dix ans de construction, conduit une stratégie ambitieuse de développement de ce procédé innovant sur l’ensemble du territoire. Le bâtiment Altis, conçu avec l’Agence AB Architecture – Alexis Bellec architecte DPLG, développe 2 553 m² de bureaux en R+3 dans un objectif d’excellence environnementale. Il a obtenu les certifications BREEAM niveau Very Good et RT 2012 -20%.   Photo : Tristan Deschamps  
Il y a 4 ans et 163 jours

Décès de Carolina Bueno, architecte cofondatrice de l’agence Triptyque

Dans un communiqué daté du 5 janvier, l’agence Triptyque architecture annonce le décès de sa cofondatrice, Carolina Bueno, à l’âge de 46 ans, des suites d’une longue maladie. Créée en 2000, l’agence Triptyque est née de la rencontre de ses quatre associés, Carolina Bueno, Grégory Bousquet, Olivier […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 163 jours

Carpentras prévoit la réalisation d’une salle de spectacle relancer l’animation d’un de ces quartiers

Mars Architectes va assurer la création d’une salle de spectacle de 250 places au cœur du centre ancien de la ville de Carpentras.
Il y a 4 ans et 163 jours

Fondasol se renforce dans le domaine des études d'ouvrages de génie civil

ACQUISITION. Bureau d'études en ingénierie géotechnique, Fondasol, annonce l'acquisition la société d'ingénierie conseil Prodétis.
Il y a 4 ans et 163 jours

A Clichy-Batignolles, le projet Stream Building prend ses quartiers

EN IMAGES. Au pied du tribunal de Paris, un nouveau bâtiment lauréat de l'appel à projets "Réinventer Paris" est en cours de construction. Un chantier innovant et technique, car en milieu dense et au-dessus de deux lignes de métro.
Il y a 4 ans et 163 jours

Reconstruction du musée des transports de Chelles

Les véhicules du musée des transports de Chelles seront d’ici quelques années exposés dans un nouveau bâtiment.
Il y a 4 ans et 163 jours

LafargeHolcim rachète Firestone Building Products

ACQUISITION. Le groupe LafargeHolcim a annoncé ce 7 janvier 2021 le rachat de Firestone Building Products, filiale du japonais Bridgestone. L'opération, d'un montant de 3,4 milliards de dollars (soit environ 2,7 milliards d'euros), doit permettre au géant des matériaux de construction de se renforcer sur le marché mondial des produits pour toitures.
Il y a 4 ans et 163 jours

Concours Rondino Design : mobilier urbain et bien-être

Trois étudiants en Prospective design à l’Esadse sont les lauréats de la 5e édition du concours Rondino... Cet article Concours Rondino Design : mobilier urbain et bien-être est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 163 jours

Promatect® XS, une innovation unique en France pour la protection des structures métalliques

PROMATECT® XS Plaque pour la protection au feu des structures métalliques verticales La résistance au feu de la structure d’un bâtiment est primordiale pour assurer la protection passive contre l’incendie : elle permet aux occupants de quitter les lieux de l’incendie, mais aussi de limiter les risques lors de l’intervention des secours. Promat, leader de la protection passive contre l’incendie pour les bâtiments, présente PROMATECT® XS. Cette innovation unique en France assure la protection des structures métalliques. PROMATECT® XS permet de gagner en compétitivité et en performances sur le marché de la protection au feu. PROMATECT® XS est une plaque incombustible classée A1 composée de sulfate de calcium et d’additifs retardants au feu et revêtue d’un voile de verre. Disponible en deux épaisseurs (15 et 20 mm), en bords droits et en dimensions 1200 x 2500 mm, cette plaque est destinée à tous les bâtiments nécessitant une protection au feu. www.cattoire.com
Il y a 4 ans et 163 jours

Grand témoin : Stéphanie Dupuy-Lyon, Directrice générale Aménagement, Logement, Nature

INTERVIEW. Stéphanie Dupuy-Lyon est depuis le 1er décembre 2019, Directrice générale de l'Aménagement, du Logement et de la Nature (DGALN), aux ministères de la Transition écologique, de la Cohésion des territoires et de la Mer. Découvrez ses réflexions, sa vision, son actualité, son message aux professionnels et son portrait en 5 traits.
Il y a 4 ans et 163 jours

Un ancien site de bureaux reconverti en espace résidentiel harmonieux et arboré

Surprenant de modernité, l’ensemble immobilier parvient à convertir avec élégance un ancien site de bureaux en un espace résidentiel harmonieux et arboré. L’INATTENDU sort de terre là où, autrefois, se dressait le site administratif de la Société Alsacienne de Supermarché qui a intégré le groupe Auchan depuis une vingtaine d’années.Aujourd’hui, sa filiale immobilière Ceetrus s’associe avec Bouygues Immobilier dans ce projet de transformation d’envergure. Résolument novateur, le projet s’inscrit dans une perspective de cohabitation et d’ouverture sur le quartier. Le résultat place véritablement le citoyen au centre d’un lieu de vie mixte, alliant dynamisme urbain et cadre verdoyant.« Rebâtir » la ville de demainÉrigé en lieu et place d’une friche inoccupée, le programme résidentiel L’INATTENDU participe à la mutation du paysage urbain strasbourgeois. Ce site autrefois gris et austère fait aujourd'hui place à une zone d’habitation agréablement végétalisée.Répondant à une demande croissante en logements à proximité du centre-ville de Strasbourg, cette nouvelle réalisation contribue à relancer l’attractivité du quartier de Koenigshoffen. Nichée entre le quartier Saint-Joseph et le Schnockeloch, pourvu de nombreux points d’attractions, l’ouvrage séduit également par ses tarifs accessibles à partir de 3.300€ le m2.Koenigshoffen, un contraste méconnuDynamisme urbain d’un quartier strasbourgeoisSituée aux portes Ouest de Strasbourg, la co-réalisation de BOUYGUES IMMOBILIER et CEETRUS promet une vie urbaine simplifiée et pleine de praticité.Le complexe résidentiel, idéalement desservi, encourage les mobilités douces :Par l’arrêt Comtes situé sur la récente extension du tramway (ligne F), permettant une liaison vers le centre de l’Eurométropole en moins de 10 minutes.Par des lignes de bus.Par une voie cyclable directement accessible.La proximité avec la route des Romains, véritable artère commerçante, ouvre à toute commodité. Accessibles à pied depuis la résidence, les enseignes du secteur répondent à bon nombre des besoins du quotidien : santé, services, alimentation.De même, pour les déplacements vers les écoles, collèges et équipements sportifs, le véhicule devient superflu !Un cadre de vie empreint de natureImplantée en 2ème rideau de la route des Romains, la copropriété est à l'abri de l’animation de l’axe routier. Afin de préserver davantage la tranquillité des résidents, aucune circulation des véhicules au sein du complexe immobilier n’est possible. Un grand parc est au cœur de l’opération. L’INATTENDU, bulle de quiétude, jouit ainsi d’un cadre bucolique bordant un agréable cours d’eau : le Muhlbach.Si l’héritage de l’histoire romaine de Koenigshoffen y est connu, le charme de Saint-Joseph et les maisons à colombages du Schnockeloch confèrent une authentique singularité à ce secteur en plein renouveau.L’atout méconnu du lieu reste son ouverture sur des espaces naturels. La proximité avec le parc du Niederholz, situé à 10 minutes du programme, invite aux pique-niques en famille... D’autres nombreuses possibilités de flâneries s’offrent aux futurs acquéreurs : se promener au bord du canal de la Bruche, sillonner les itinéraires cyclables, fréquenter les paisibles bassins de pêche ou arpenter au grand air les espaces boisés.L’INATTENDU urbainComposé de 3 bâtiments de standing, ce nouvel ensemble, signé BOUYGUES IMMOBILIER et CEETRUS, affiche un caractère contemporain souligné par un travail d’architecture harmonieux. De manière à encourager les déplacements doux, chaque immeuble est pourvu d’un local vélo pratique et sécurisé. Les stationnements seront dissimulés en sous-sol ou aux pourtours des bâtiments.Du 2 au 5 pièces, chaque logement est personnalisable. La large gamme de prestations intérieures (sols, carrelages, mobilier de cuisine et de salle de bain...) permettant à chaque acquéreur de créer le cocon qui lui ressemble.Balcons, terrasses ou jardins privatifs prolongent agréablement les espaces de vie. Pour davantage de confort, des celliers agrémentent certains lots. De grands appartements sont disponibles aux derniers niveaux, ils ont été conçus comme de véritables maisons de villes.L’omniprésence inattendue du végétalLe complexe urbain L’INATTENDU se dessine au cœur de 9.700 m2 d’espaces verts, soit plus de la moitié de la surface de terrain sur lequel se réalise cette opération.Tandis que les abords directs de la résidence ont été soigneusement dessinés, la nature alentour a été magnifiquement préservée.Car c’est bien le vert qui prédomine dans cette ambiance luxuriante. Il est omniprésent partout où le regard se pose :Dans les agréables jardins privatifs de la façade sud, accessibles depuis les logements en rez-de-chausséeDans les 1700 m2 d'îlots privatifs permettant aux propriétaires de s’adonner, par exemple, aux joies du jardinage pour accompagner les néophytes, des animations et de l’initiation aux bonnes pratiques sont envisagéesDans le parc public de 3.000m2 réalisé par la municipalité de StrasbourgDans la zone boisée déjà existante menant aux berges naturelles du Muhlbach à l’extrémité de la résidence qui reste un espace réservé aux résidentsDans la ligne d’arbres le long du cours d’eau, qui, dans le respect des engagements de BOUYGUES IMMOBILIER et CEETRUS au profit de la biodiversité, est préservée autant que possible et étoffée.Avec L’INATTENDU, les co-promoteurs insufflent une dynamique nouvelle qui place le futur acquéreur au centre. Le projet, qui ne s’ouvre pas seulement sur la nature, propose aussi un cadre de vie propice aux partages entre voisins. Les espaces communs, parc public et jardins, concourent à la cohabitation entre habitants de la résidence et du quartier. Une réalisation résolument humaine !Caractéristiques techniques :3 Bâtiments collectifs R+4 à R+5Du 2 au 5 pièces avec espace extérieur selon les lots170 appartements en accession libre89 logements répartis entre du logement locatif aidé d’intégration, du locatif à usage social et du locatif Intermédiaire Livraison : 2nd semestre 2023Architecte : OSLO Architecture
Il y a 4 ans et 163 jours

Les espaces communs : appel à projets

Deuxième appel à projets de la Fondation Paris Habitat. Le thème de cette année : Les espaces communs : espaces et temps partagés. Jusqu’au 31 janvier. La Fondation Paris Habitat lance son deuxième appel à projets pour soutenir des projets de recherche-action ou des expérimentations sur le thème « les espaces communs : espaces et temps partagés » […] L’article Les espaces communs : appel à projets est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 163 jours

Dickson investit dans une seconde usine dans le Nord avec une centaine d'emplois à la clé

La future usine sera implantée à Hordain (Nord), dans un bâtiment existant qui doit être étendu sur 28.000 m³, avec une fin des travaux prévue en 2022. "À terme, une centaine d'emplois seront créés sur le site", a indiqué le groupe de 600 salariés, spécialiste des toiles de store, dans un communiqué.Ce nouveau projet, après l'acquisition d'un site logistique à Lesquin en 2012 et la construction du Pôle Innovation en 2017 à Wasquehal - siège et principal site de production de Dickson- vise à augmenter la capacité de production de 50% et "répondre à la demande croissante des clients pour la production de toiles exclusives", ajoute le texte.Citée par le groupe, la ministre de l'Industrie Agnès Pannier-Runacher, a salué ce nouvel investissement, qui "dans le contexte difficile de la crise sanitaire, marque avant tout la reconnaissance de l'attractivité d'un territoire et des savoir-faire industriels qui y sont présents" et "illustre le dynamisme de la filière textile française"."Les services de l'État se sont mobilisés en amont, dans le montage du dossier, pour défendre la candidature du site de Hordain face à un autre site localisé en Europe", a pour sa part souligné le préfet de région, Michel Lalande.La Région Hauts-de-France, a, elle, souligné, que l'aide financière qu'elle a apportée avec la Communauté d'agglomération de la Porte du Hainaut a "joué un rôle décisif dans l'implantation" de ce site. Le montant et la forme de cette aide sera précisée lors d'une prochaine session plénière.
Il y a 4 ans et 163 jours

Faloci sur les pas de Candilis avec l'ENSA de Toulouse

Dans un communiqué daté du 5 janvier, l’agence Triptyque architecture annonce le décès de sa cofondatrice, Carolina Bueno, à l’âge de 46 ans, des suites d’une longue maladie. Créée en 2000, l’agence Triptyque est née de la rencontre de ses quatre associés, Carolina Bueno, Grégory Bousquet, Olivier […] Lire l'article