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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

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Il y a 4 ans et 166 jours

2021 en chantiers: un microquartier sur pilotis à Sully-Morland par David Chipperfield

Dans un communiqué daté du 5 janvier, l’agence Triptyque architecture annonce le décès de sa cofondatrice, Carolina Bueno, à l’âge de 46 ans, des suites d’une longue maladie. Créée en 2000, l’agence Triptyque est née de la rencontre de ses quatre associés, Carolina Bueno, Grégory Bousquet, Olivier […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 166 jours

Grand prix Architendance 2020 : réinventer l'utilisation de la tuile terre cuite

Tous les deux ans, le Grand Prix La Tuile Terre Cuite Architendance - ouvert à tous les architectes exerçant une activité indépendante ou en agence, domiciliés en France - récompense les projets qui utilisent la tuile terre cuite dans des réalisations de moins de 4 ans.Palmarès 2020Prix maison individuelle Grand Prix du juryMaison diamant, Rennes (35)MNM ArchitectesMaître d'ouvrage : particulierPrix logement collectifRésidence Terre-Sud, Bègles (33)Taillandiers Architectes AssociésMaître d'ouvrage : Vinci constructionPrix équipement/tertiairePôle social et culturel Gonzague Saint Bris, Cabourg (14)Lemoal Lemoal ArchitectesMaître d'ouvrage : Ville de CabourgPrix habitat intermédiaire7 maisons à patio, Esnandes (17)Architecte : FMAUMaître d'ouvrage : Office Public de l'Habitat de l'Agglomération de La RochellePrix des architectes sur FacebookGrange de vacances, Allan (26)@samueldelmas architectesMaître d'ouvrage : particulierPrix du public sur InstagramHalle de marché, Courbevoie (92)@Croixmariebourdon architectes associésMaître d'ouvrage : Ville de Courbevoie7 prix décernés par le jury, les architectes et le public67 agences étaient inscrites pour cette 5e édition du Grand prix d'architecture La Tuile Terre Cuite Architendance.12 finalistes ont été retenus par le jury présidé par Anne-Sophie Kehr, Présidente du Réseau des maisons de l'architecture.Le jury* a décerné 5 prix :Prix de la catégorie maison individuellePrix de la catégorie logement collectifPrix de la catégorie équipement/tertiairePrix de la catégorie habitat intermédiaire, catégorie créée par le jury cette année.Et un Grand Prix du Jury décerné à l'unanimité.Les 12 réalisations finalistes ont ensuite été proposées au vote des réseaux sociaux pour décerner 2 prix :Prix des architectes & étudiants en école d'architecture sur Facebook qui a réuni près de 3 000 votesPrix du Public sur Instagram qui a réuni un peu plus de 6 400 votesTrois critères sont pris en compte :Mise en valeur de la tuile terre cuite et originalité dans le traitement du toit/façade, innovation dans la mise en œuvre, esthétique contemporaine…Démarche et créativité architecturale : pertinence du projet, réponse aux enjeux de la construction durableQualité et performances du projet : technique, environnementale…« Les fabricants de tuile sont très attachés à ce concours car il est un lieu déchanges avec les architectes dont le regard et les attentes sont des sources surprenantes, décalées, et toujours intéressantes de réflexion de recherche et d'innovation »Jean-Baptiste Fayet, Président du Groupement des tuiliers de la FFTB
Il y a 4 ans et 167 jours

Vicat développe le premier béton prêt à l'emploi biosourcé à base de bois

L'alliance du ciment et du boisComposé de ciment bas carbone « Naturat », de granulats de bois et d'une charge minérale, il sera livré en toupie pour une mise en œuvre identique à celle d'un béton traditionnel. Compatible avec le savoir-faire que les maçons ont développé depuis des décennies, il présente une rhéologie de 90 minutes et une consistance adaptée au remplissage de coffrages. La diversité des formulations permet de répondre à de nombreuses applications.Un premier chantier sera réalisé aux Puces du Canal à Villeurbanne (69) pour un ouvrage lié à la mobilité douce.« L'inclusion du bois dans une charge minérale donne naissance à un nouveau matériau qu'il est possible de produire sur tout le territoire. Il complète notre offre de matériaux biosourcés initialement destinés à la préfabrication. Ce développement est une réponse aux besoins de la future RE2020 et accompagne les filières de la construction vers la neutralité carbone. »Guy Sidos, Président-directeur général du groupe Vicat
Il y a 4 ans et 167 jours

Les 7 éléments clés de l’aménagement d’une place

Ce qui ressort le plus dans l’aménagement d’une place, c’est que sa conception n’est qu’une petite fraction de ce qui entre dans sa composition. Pour qu’elle soit un succès, une place doit tenir compte d’une foule de facteurs qui vont au-delà de ses dimensions physiques.   Une image et une identité Historiquement, les places se trouvaient au centre des villes, et elles ont traditionnellement contribué à façonner leur identité. Parfois, une fontaine était utilisée pour donner à la place une image forte : pensez à la majestueuse fontaine de Trevi à Rome ! L’image de nombreuses places était étroitement liée aux grands édifices civiques situés à proximité, tels que les cathédrales, les hôtels de ville ou les bibliothèques. Aujourd’hui, créer une place qui devient le lieu le plus significatif d’une ville – qui donne une identité à des communautés entières – est un énorme défi.   Un lieu attractif Toute grande place est entourée de « lieux de rencontre ». Il peut s’agir de cafés en plein air, de fontaines ou de sculptures. Ces attractions n’ont pas besoin d’être grandes pour faire de la place un succès. En fait, certaines des meilleures places civiques disposent de nombreuses petites attractions telles qu’un chariot de vendeurs ou une aire de jeux qui, une fois réunies, attirent les gens tout au long de la journée.   Des commodités Une place doit être dotée d’équipements qui la rendent confortable pour les gens. Un banc ou une poubelle qui sont placés au bon endroit peuvent faire une grande différence dans la façon dont les gens choisissent d’utiliser un lieu. L’éclairage peut renforcer l’identité d’une place tout en mettant en valeur des activités, des entrées ou des chemins spécifiques. L’art public peut être un excellent moyen d’attirer les enfants de tous âges. Qu’il soit temporaire ou permanent, un bon aménagement contribuera à établir un cadre convivial pour l’interaction sociale.   Une conception flexible L’utilisation d’une place change au cours de la journée, de la semaine et de l’année. Pour répondre à ces fluctuations naturelles, il faut faire preuve de souplesse. Au lieu d’une scène permanente, par exemple, une scène rétractable ou temporaire pourrait être utilisée. De même, il est important de disposer sur place d’un espace de rangement pour les chaises, tables, parasols et jeux mobiles afin de pouvoir les utiliser à tout moment lors des événements.   Une stratégie saisonnière Une place prospère ne peut pas s’épanouir avec une seule stratégie de conception ou de gestion. Les patinoires, les cafés en plein air, les marchés, les expositions d’horticulture, l’art et la sculpture permettent d’adapter l’utilisation de l’espace d’une saison à l’autre.   Les accès Pour réussir, une place doit être facile d’accès. Les meilleures places sont toujours facilement accessibles à pied : Les rues avoisinantes sont étroites, les passages pour piétons sont bien marqués, les feux sont réglés pour les piétons et non pour les véhicules, la circulation est lente et les arrêts de transport en commun sont situés à proximité. Une place entourée de voies de circulation rapide sera coupée des piétons et privée de son élément le plus essentiel : les gens. Par ailleurs, les accès doivent être en bon état. Vous devez d’abord vous assurer que votre pavage est de qualité. Les rues pavées donnant accès à votre place doivent également être entretenues et nettoyées régulièrement pour que la circulation des passants soit agréable.   Une bonne gestion Les meilleurs endroits sont ceux où les gens reviennent sans cesse. La seule façon d’y parvenir est de mettre en place un plan de gestion qui comprenne et favorise les moyens de maintenir la place sûre et animée. Par exemple, un bon gestionnaire prend en compte les utilisateurs existants et potentiels et adapte les événements aux deux types de personnes. Il se familiarise tellement avec les habitudes d’utilisation du parc que les poubelles sont vidées au bon moment et que les stands de rafraîchissement sont ouverts au moment où les gens en ont le plus besoin. Le bon gestionnaire crée un sentiment de confort et de sécurité sur la place en l’entretenant de manière à ce que les gens se sentent assurés que quelqu’un est aux commandes.
Il y a 4 ans et 167 jours

Le nouveau mural HAORI combine design et performances et devient un élément de décoration unique

A l’écoute des tendances, Toshiba Solutions de Chauffage & Climatisation va plus loin en lançant son nouveau mural HAORI, qui se démarque plus que jamais grâce à un design et un concept unique. Doté d’une façade de finition personnalisable, l’unité intérieure devient un élément de décoration qui donne une nouvelle dimension à chaque intérieur. HAORI combine innovations et performances avec une faible consommation énergétique et une efficacité énergétique jusqu’à A+++ en chauffage et rafraîchissement. Équipé des dernières technologies Toshiba, tant en matière de filtration de l’air, que de silence de fonctionnement, le nouveau mural HAORI apporte un confort inégalé été comme hiver. Ce système de chauffage réversible permet de répondre à tous types de projets avec 3 tailles d’unités intérieures disponibles (10, 13 et 16), couvrant des puissances allant de 2,5 à 4,6 kW en mode froid et 3,2 à 5,5 kW en mode chaud, compatible monosplits et multisplits. Il est ainsi possible d’assurer des conditions de vie confortables dans des pièces pouvant atteindre 40 à 50m². Ses atouts : > Design unique et innovant Véritable objet de décoration, le mural HAORI dispose d’un habillage à texture textile de haute qualité. Proposé dans des couleurs chaudes et décoratives, il répond aux tendances du moment (gris clair, gris anthracite, bleu pétrole, marron chocolat…). Sa forme incurvée et moderne facilite son intégration dans toutes les ambiances de vie avec discrétion et élégance. Architectes, agenceurs, designers et architectes d’intérieur peuvent résolument laisser libre cours à leur créativité ! > Efficacité énergétique Jusqu’à A+++ (en chauffage et en rafraîchissement) en version monosplit, grâce à la combinaison des technologies de pointe Toshiba : compresseur DC Twin-Rotary et régulation Hybrid Inverter. > Qualité de l’air intérieur Filtration haute efficacité avec sa fonction Ioniseur Plasma permettant de capturer les particules contaminées dans l’air, ses filtres Toshiba “Ultra pure”, sa batterie hydrophobe et sa fonction autonettoyante, qui assurent un air sain, empêchant l’accumulation d’impuretés et permettent de réduire humidité et mauvaises odeurs. > Confort unique Nouveau concept de diffusion de l’air « HADA » à effet orienté vers le plafond afin d’éviter les flux d’air directs sur les utilisateurs. > Silence de fonctionnement Silence absolu de l’unité intérieure avec seulement 19 dB. L’unité extérieure affiche les niveaux sonores les plus bas du marché et dispose également d’un mode silence pour les abaisser encore plus. > Pilotage simplifié Nouvelle télécommande noire brossée haut de gamme qui bénéficie d’un nouveau design, grand écran, affichage rétro-éclairé, fonctionnalités avancées. Pilotage wifi intégré pour un pilotage depuis smartphone ou tablette. Compatibilité avec les assistants vocaux pour un pilotage à la voix. Crédit Photos : Toshiba Airconditioning, Shutterstock. CONTACTS PRESSE OXYGEN Lyon Christelle Thavel Dubourg Tél. : +33 (0)6 13 82 17 68 christelle.d@oxygen-rp.com Voir le communiqué complet : TOSHIBA_CP_Haori_04122020@
Il y a 4 ans et 167 jours

Résultats de la 17ème édition des Pyramides d'Or de la FPI

Entièrement rénovées en 2016, sous l'impulsion d'Alexandra François-Cuxac, Présidente de la FPI, les Pyramides sont centrées sur les sujets essentiels de la Fédération : innovation, qualité, performances techniques, esthétique, responsabilité dans la conduite des opérations, relation-client et émergence de nouveaux talents. Cette année le concours était présidé par Jean-Louis Borloo, ancien Ministre d'Etat. La cérémonie nationale de remise de prix de la 17ème édition du concours s'est tenue le 16 décembre 2020, en Web Live TV et a été ouverte par Emmanuelle Wargon, Ministre déléguée au Logement.« En se portant candidat au concours le plus exigeant du secteur, les promoteurs immobiliers adhérents de la FPI ont témoigné de leur engagement à mettre leurs méthodes et programmes en cohérence avec les transformations sociétales, numériques et environnementales, les mutations des usages et les attentes de leurs clients. Face à un contexte exceptionnel, nous avons tout fait pour maintenir ce concours, dans les régions et au niveau national, envers et contre tout...Nous avons pu nous appuyer sur nos partenaires fidèles, sponsors de chacun des prix, nos chambres régionales et nos adhérents. »Alexandra François-Cuxac, Présidente de la FPI FranceLa Pyramide d'Or - Grand prix national - parrainé par SOCFIMLe lauréat est : « Asnières SO HO » de COGEDIM et COFFIM à AsnièresArchitecte : Yann FranconiePrix de l'immobilier d'entreprise - parrainé par SMABTPLe lauréat est : « MA.AT » de DEMATHIEU-BARD à ArcachonArchitecte : Laurent Portejoie – atelier d'architecture King Kong FivePrix de l'innovation industrielle - parrainé par le Groupement des Industriels de la Prescription (GIP)Le lauréat est : « Brazza – Les volumes capables » de EDEN PROMOTION à BordeauxArchitecte : Michel Hardoin- Atelier 6 ArchitecturePrix de la mixité urbaine - parrainé par Chevreuse CourtageLe lauréat est : « L'Etoffe » de NACARAT et NODI à Villeneuve d'AscqArchitecte : De Alzua ArchitectesPrix de la conduite responsable des opérations - parrainé par ApaveLe lauréat est : « Novadiem » de BOUYGUES IMMOBILIER à ToulouseArchitecte : Cobe ArchitecturePrix du bâtiment bas-carbone – parrainé par EDFLe lauréat est : « Origine » du Groupe CISN à Saint-NazaireArchitecte : Asa GimbertPrix des premières réalisations - parrainé par les Banques PopulairesLe lauréat est : « L'Eveil » de NEOPROMOTION à Castelnau-le-LezArchitecte : IPC Laurent BesnierPrix du grand public - parrainé par GRDFElection du lauréat en direct lors de l'émission en Web Live TV. Les participants de la cérémonie de remise de prix ont voté, en direct, parmi les 3 programmes suivants, sélectionnés par le jury national des Pyramides d'Or : « Paris Kyoto Babylone » de BOUYGUES IMMOBILIER, à Aix-les-Bains, architecte Chambre et Vibert « Le Bird » de KIC au Touquet, maître d'œuvre Projex Ingénierie « Lucinia », LE CREDIT AGRICOLE IMMOBILIER à Couëron, maître d'œuvre : Huca Architectes.Le lauréat est : « Le Bird » de KIC au Touquet,Maître d'œuvre : Projex IngénieriePrix BIM & Data – parrainé par SOCOTECLe lauréat est : « Les Terrasses de Jade » de LP Promotion à ToulouseArchitecte : Taillandier architectes Associés
Il y a 4 ans et 167 jours

A Avignon, un Opéra sous confluence signé DE-SO

Opéra Confluence est un théâtre hors les murs éphémère et durable de 1.520 m² SP et 950 places assises. Pour la Communauté d’agglomération Grand Avignon (Vaucluse), pour un coût de 1,8 M€ HT (hors équipements scénographiques récupérés), l’agence DE-SO architectes urbanistes a réalisé cet ouvrage réutilisable en moins d’un an. Communiqué. Le défi lancé par […] L’article A Avignon, un Opéra sous confluence signé DE-SO est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 167 jours

Icade Santé poursuit ses investissements en France et en Italie

En Italie du Nord, l'acquisition concerne un portefeuille immobilier constitué de trois maisons de retraite médicalisées existantes et de quatre projets devant être livrés d'ici fin 2023, pour un montant de 130 millions d'euros.Cette opération est une nouvelle étape de la diversification internationale du groupe en immobilier de santé et porte à 720 millions d'euros les investissements d'Icade Santé hors de France.Cet été, le groupe avait par exemple annoncé l'acquisition pour 145 millions d'euros de neuf maisons de retraites, essentiellement situées en Allemagne, auprès du groupe Orpea qui continue à les exploiter.En France, Icade Santé a acquis trois Ehpad auprès de Korian, et prévoit de signer pour un quatrième avant la fin de l'année, pour un investissement total de près de 33,5 millions d'euros.Cette transaction porte à sept le nombre de ces établissements rachetés au numéro un européen des maisons de retraites depuis 2019.
Il y a 4 ans et 167 jours

Livre : “Profession ARCHITECTE”

La seconde édition du livre “Profession ARCHITECTE”, dirigé par Isabelle Chesneau, présente un volume actualisé avec les... Cet article Livre : “Profession ARCHITECTE” est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 167 jours

2021 : la transition entre CITE et MaPrimeRénov’ continue

La loi de finances pour 2021 a été publiée au Journal officiel du 30 décembre 2020. Parmi ses 271 articles, certains concernent l’amélioration énergétique des bâtiments, la transformation du CITE vers MaPrimeRénov’. Transformation du Crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE) (LF 2021 : art. 53 / CGI : art. 200 quater) Dans la continuité de la loi de finances pour 2020 qui a organisé une refonte du Crédit d’impôt pour la transition énergétique, des dispositions transitoires sont prévues jusqu’à l’extinction du CITE et son remplacement par MaPrimeRénov’. Les contribuables qui justifient de l’acceptation d’un devis et du versement d’un acompte en 2018 et dont les travaux sont payés en 2020 peuvent bénéficier du CITE dans les conditions applicables avant 2020. Ces dispositions transitoires s’appliquant déjà aux contribuables qui justifient de l’acceptation d’un devis et du versement d’un acompte en 2019 et dont les travaux sont payés en 2020. Le texte comporte également des mesures transitoires permettant le bénéfice du CITE dans sa version en vigueur en 2020, pour les dépenses payées en 2021 pour lesquelles le contribuable peut justifier de l’acceptation d’un devis et du paiement d’un acompte en 2019 ou en 2020. Dans ces deux cas, le contribuable ne peut pas cumuler, pour les mêmes dépenses, le CITE et MaPrimeRénov’. MaPrimeRénov’ : ajustement du dispositif (LF 2021 : art. 241 / Loi du 28.11.19 de finances pour 2020) Dans le cadre du plan de relance, le Gouvernement avait annoncé l’ouverture de MaPrimeRénov’ aux propriétaires-occupants aux revenus supérieurs, aux propriétaires-bailleurs et aux syndicats de copropriétaire. Les conditions de cet élargissement seront précisées par décret début janvier 2021. À noter que le régime MaPrimeRénov’ Copropriétés a quant à lui été défini par la délibération n° 2020-54 du Conseil d’administration de l’Anah du 2 décembre 2020 et publiée au bulletin officiel du 19 décembre 2020. Concernant les propriétaires aux revenus supérieurs, il est prévu qu’ils ne soient éligibles à la prime que pour certaines catégories de travaux et de dépenses financées, avec un barème différent des autres catégories de ménages. Aussi, l’article 15 de la loi de finances pour 2020 est modifié pour préciser que, jusqu’au 31 décembre 2022, par dérogation, la prime peut être distribuée sans conditions de ressources, selon la nature des travaux et les dépenses financées. Le plan de relance prévoit également que les ménages nouvellement éligibles à MaPrimeRénov’ à partir du 1er janvier 2021 puissent débuter leurs travaux dès le 1er octobre 2020. L’article 15 de la loi de finances pour 2020 est ainsi complété de manière à ce que l’attribution de la prime soit rétroactive au 1er octobre 2020. Cette rétroactivité est exprimée de la façon suivante : « entre le 1er janvier et le 31 décembre 2021, le bénéficiaire peut déposer une demande de prime après avoir commencé ses travaux ou prestations, sous réserve que ceux-ci soient justifiés par un devis réalisé entre le 1er octobre et le 31 décembre 2020, qu’ils aient été commencés au cours de cette même période, et que le bénéficiaire ne soit pas éligible à la prime (dans sa version antérieure) à la date de démarrage des travaux ou prestations ». Par ailleurs, pour éviter des cumuls entre MaPrimeRénov’ et le CITE pour les propriétaires occupants, entre le 1er octobre et le 31 décembre 2020, une disposition est prévue pour autoriser l’Anah à transmettre systématiquement à l’administration fiscale les informations dont elle dispose sur les bénéficiaires de MaPrimeRénov’. Dans la réalisation de cette communication, l’Anah ne peut pas se voir opposer l’obligation au secret professionnel. Enfin, un seuil en dessous duquel MaPrimeRénov’ ne sera pas versée car le montant serait trop faible au regard des coûts d’instruction, est instauré. Parallèlement, il est prévu la création d’un second seuil en deçà duquel l’Anah peut renoncer à recouvrer les sommes indûment perçues. Le montant de ces deux seuils sera précisé par arrêté conjoint des ministres chargés du Logement, de l’Énergie et du Budget.   Source : Anil  
Il y a 4 ans et 167 jours

L’entrepôt BT6 de Bègles remis au travail par Nadau & Faye

Le projet de réhabilitation de l’entrepôt BT6 à Bègles (Gironde) et sa surélévation en espace de bureaux, réalisé par les agences Nadau Architecture et Faye Architectes et Associés, est lauréat des trophées Eiffel 2020 dans la Catégorie « Travailler ». Une greffe bien graftée ? Au sud de Bordeaux, la ville de Bègles a développé un […] L’article L’entrepôt BT6 de Bègles remis au travail par Nadau & Faye est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 168 jours

Usages contemporains pour la halle multifonctionnelle signée RHB Architectes

La halle multifonctionnelle – Le forûm, conçue à Soultz-sous-Forêts (Bas-Rhin) par l’agence RHB Architectes, est lauréate des trophées Eiffel 2020 dans la Catégorie « Divertir ». La halle de marché réinventée ? Le projet de construction d’une halle multifonctionnelle s’inscrit dans la volonté de la commune de mener une démarche de redynamisation du centre-ville. Le site […] L’article Usages contemporains pour la halle multifonctionnelle signée RHB Architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 168 jours

Béton brut contextuel à l’IEP de Grenoble selon Chapuis Royer

L’agence grenobloise Chapuis Royer (Christine Royer, Dominique Chapuis) signe l’extension, la restructuration et la réhabilitation de l’Institut d’Études Politiques (IEP) de Grenoble à Saint-Martin-d’Hères (Isère). Livré en 2018 pour Grenoble Alpes Métropole, maître d’ouvrage, pour un coût de 6,7M€HT, le nouvel institut de 9 065 m² (1 890 m² création ; 7 175 m² restructuration) fait […] L’article Béton brut contextuel à l’IEP de Grenoble selon Chapuis Royer est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 168 jours

#HamburgCall – Logement culturel pour ville portuaire

ArchiContest.net, une plateforme de recherche en architecture, propose #HamburgCall, concours d’idées pour un projet de Logement Social à proximité de la zone portuaire de Hambourg. Jusqu’au 9 avril 2021. La participation est ouverte aux architectes, ingénieurs, étudiants et professionnels de tous les continents qui peuvent participer en tant que participant individuel ou en groupe. #HamburgCall […] L’article #HamburgCall – Logement culturel pour ville portuaire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 169 jours

A Meudon, l’École Ducasse consacrée au goût d’Arte Charpentier

Arte Charpentier Architectes a livré en novembre 2020 à Meudon-la-Forêt (Hauts-de-Seine) l’Ecole Ducasse, un nouvel équipement doté de 5 000 m² d’espaces consacrés au goût et destinés à l’enseignement, à la transmission et à la valorisation du savoir-faire gastronomique français. Communiqué. Situé près de la forêt de Meudon, le bâtiment s’inspire de la nature. La […] L’article A Meudon, l’École Ducasse consacrée au goût d’Arte Charpentier est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 169 jours

Trump ordonne que les futurs bâtiments fédéraux soient "beaux"

Le décret présidentiel qui vise à promouvoir "une magnifique architecture fédérale citoyenne" spécifie que le style "classique" et les autres styles architecturaux "traditionnels" devront être "privilégiés plutôt que déconseillés" dans la construction de nouveaux bâtiments fédéraux.C'est notamment le style des plus célèbres monuments de la capitale américaine comme la Maison Blanche, le Capitole où siège le Congrès ou encore le Lincoln Memorial.Le gouvernement américain a "en grande partie arrêté de bâtir de beaux bâtiments" assure le décret, critiquant "le mélange disparate" de constructions publiques observable à Washington notamment celles édifiées après 1950.Dans sa première version, le texte prévoyait d'interdire la construction de bâtiments dans un autre style architectural que le style gréco-romain, provoquant un tollé chez certaines associations d'architectes. Bien que plus flexible, l'initiative a été vivement critiquée par l'association d'architectes de l'American Institute, qui s'est dite "consternée"."Les habitants devraient avoir le droit et le devoir de décider eux-mêmes du style d'architecture qui correspond le mieux à leurs besoins", a indiqué le directeur de l'organisation, Robert Ivy, dans un communiqué.Donald Trump, qui était promoteur immobilier avant de devenir président des Etats-Unis, s'est paradoxalement fait connaître par sa construction de bâtiments modernes faits de verre, d'acier et de moult moulures dorées.
Il y a 4 ans et 169 jours

Monchy-Saint-Éloi : extension du centre-bourg en vue

De nouveaux quartiers sont envisagés au niveau du domaine du château de Monchy-Saint-Éloi selon les projets de la municipalité.
Il y a 4 ans et 170 jours

Rencontre avec : Friedmann & Versace

Virginie Friedmann et Delphine Versace se sont fait remarquer il y a deux ans en réinventant l’intérieur du Bistrot Rougemont. Avec de nombreuses réalisations à leur actif, elles ont réussi à s’imposer rapidement dans le paysage architectural français. Rencontre. Avant de se tourner vers l’architecture d’intérieur, Delphine Versace a fait ses armes comme scénographe dans le milieu de l’art contemporain et Virginie Friedmann s’est formée auprès de marques de luxe. Elles se rencontrent dans l’agence de Michael Malapert en 2017, puis décident de fonder le studio Friedmann & Versace en 2019. C’est ensemble qu’elles se consacre depuis à la création d’intérieurs élégants : le club Baby Doll, les restaurant La Riviera, Matilda et Ferona, entre autres. Muuuz : Chacun de vos intérieurs est inspiré par un ou plusieurs récits. Pourquoi ? Friedmann & Versace : Dès la création de l'agence, nous avons voulu raconter des histoires en multipliant des sources d’inspiration. La narration vient toujours nourrir nos concepts décoratifs et nos projets. Dans le club Baby Doll, plusieurs récits se croisent. L’univers de Serge Gainsbourg est distillé un peu partout. Celui-ci est mixé avec les histoires du Studio 54 et du Palace. L’idée était de recréer l’effervescence, la fête et la joie de vivre des nuits parisiennes des années 1970 et 1980 en injectant des références à cette époque. Vos projets sont divers : villas, appartements, restaurants, boutiques, hôtel. Qu’est-ce qui les lie ? Avez-vous l’impression de diffuser un style personnel ? Nous travaillons toujours sur mesure, avec des matériaux nobles et un nouveau concept, en collaborant avec des artisans. Nous voulons mixer les époques et créer une certaine intemporalité, sans imposer une patte Friedmann & Versace. Nous voulons sortir des cadres et combiner des éléments très différents. En ce moment, nous travaillons sur un projet où s’entremêlent des styles années 1950 et 1960 et des objets résolument contemporains. Nous aimons les intérieurs intemporels, qui ne s’inscrivent pas dans leur époque. Pour le restaurant La Riviera, nous avons porté notre attention sur l’ambiance solaire de l’établissement, sans chercher à l’inscrire dans une tendance. Quelles sont vos sources d'inspiration ? Pour créer, nous explorons l’architecture et la décoration, mais aussi d’autres disciplines. Nous sommes influencées par les univers très différents de personnalités du monde de l’art. Artistes, musiciens, écrivains… Nous aimons David Bowie, Virginia Woolf et Madeleine Castaing, par exemple. Yves Saint Laurent compte aussi beaucoup pour nous car il a accompagné l’émancipation des femmes avec audace. Vous aimez jouer sur différents registres et mêler les références. Quelle ambiance cherchez-vous à insuffler à un intérieur ?Nous essayons de créer des lieux habités, avec de la personnalité et une force narrative. Nous aimons faire cohabiter les styles et créer des distorsions temporelles, tout en essayant de rendre l’histoire cohérente et perceptible dans chaque détail.Quelle est la place des matériaux dans vos réalisations ?Le travail de composition, d’association des matières est très important dans notre démarche. Nous sommes sensibles aux matières nobles comme le bronze et l'onyx. Nous aimons associer ces beaux matériaux avec des matières naturelles comme le sisal, la paille… Cette alliance renforce la présence de chacune d’elle et apporte une vraie richesse.Quels projets rêveriez-vous de réaliser ? Nous aimerions faire revivre un hôtel désuet de style Belle Époque, qui est installé face à la mer Ligurienne, à Rapallo. Quelles sont vos chantiers en cours ? Nous travaillons sur trois restaurants, à Paris, Megève et Doha, ainsi que sur deux résidences privées. Pour en savoir plus, visitez le site du studio Friedmann & Versace.Visuels : © Hervé GoluzaLa rédaction
Il y a 4 ans et 170 jours

Rose fuchsia à Noisy-le-Sec, école Jean Renoir signée Valero Gadan

Le programme comptait la reconstruction d’un groupe scolaire de 22 classes, d’un centre de loisirs, d’un restaurant scolaire et de logements de fonction à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis). Groupe scolaire Jean Renoir signé de l’agence parisienne Valero Gadan Architectes & associés (VGA) et livré en 2019 pour un coût des travaux de 12,2M€. Communiqué. Une école républicaine […] L’article Rose fuchsia à Noisy-le-Sec, école Jean Renoir signée Valero Gadan est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 170 jours

Covid-19 : décès de l'architecte suisse Luigi Snozzi à 88 ans

Selon la télévision public RSI, M. Snozzi est mort la veille dans une maison de retraite de Minusio, dans la région italophone du Tessin.L'architecte a principalement travaillé dans sa région natale, avec des constructions caractéristiques basées sur le béton apparent."Toute intervention implique destruction. Il faut détruire consciencieusement, avec de la joie", déclarait-il souvent.Il faisait partie des figures éminentes de de l'école d'architecture au Tessin, aux côtés de ses confrères Mario Botta et Livio Vacchini, et défendait l'idée d'une architecture rationnelle.Ses principales créations de maisons, parmi lesquels les demeures Snider et Cavalli, à Verscio, sont les plus connues, ainsi que des projets de développement urbain, à l'image de celui réalisé dans le couvent de Monte Carasso.Luigi Snozzi a représenté l'Italie lors de la Biennale d'architecture de Venise en 1996 et remporté le prestigieux prix Meret Oppenheim en 2018, qui récompense les meilleurs artistes suisses.Il était également professeur à l'École Polytechnique Fédérale de Lausanne.
Il y a 4 ans et 170 jours

L'enjeu climatique en tête des préoccupations des architectes, selon une étude

"Le premier défi cité par les architectes est celui des enjeux liés au dérèglement climatique (78% d'entre eux) alors qu'il était cité par 50% des répondants en 2018", souligne cette étude réalisée par le CREDOC (Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie) pour l'Ordre des architectes.Autre évolution saillante: la féminisation du métier. En près de 20 ans, la part des femmes est passée de 16,6% à 30,7%, cette augmentation touchant surtout les moins de 35 ans.83% des femmes architectes placent le défi climatique en tête de leurs préoccupations, contre 76% des hommes, selon cette enquête réalisée en avril auprès de 2.233 architectes.Ils devaient prioriser six types de défis: nouveaux modes de management, nouvelles clientèles, diversification du métier, impact du numérique, place de l'architecte dans la maîtrise d'oeuvre, enjeux liés au dérèglement climatique."Les femmes ont plus vite compris leur rôle social dans une société en mutation écologique incontournable", a souligné à l'AFP Elizabeth Gossart, qui a piloté le groupe de travail.Les nouvelles générations d'architectes "ne veulent plus mettre de côté leur vie sociale. Notre métier est d'anticiper l'évolution du bâti, sa longévité, son exploitation, la vie de ses usagers, de leur confort de vie", a-t-elle ajouté.Le taux de renouvellement des bâtiments anciens par des bâtiments neufs étant trop lent, c'est la rénovation thermique que l'Ordre des architectes voudrait accélérer avec comme objectifs la réduction de la consommation d'énergie finale de 50% (par rapport à 2012) et la division par 4 des émissions de gaz à effet de serre en 2050.Selon "Archigraphie 2020", les architectes se regroupent de plus en plus en organismes et associations pour répondre à ces défis écologiques: gestion des déchets sur les chantiers, utilisation de matériaux biosourcés et locaux, meilleure gestion de la consommation du bâtiment.Le secteur du bâtiment et de la construction représente 35% de la consommation d'énergie finale mondiale et près de 40% des émissions de CO² liées à l'énergie.
Il y a 4 ans et 170 jours

Fondasol s'implante au Canada

Ingénierie -
Il y a 4 ans et 170 jours

Spie se renforce dans l'ingénierie pour les data centers

RACHAT. Le spécialiste des télécommunications et de l'énergie, Spie, a racheté l'entreprise allemande Planen & Bauen, spécialiste des services d'ingénierie, notamment dans les data centers.
Il y a 4 ans et 171 jours

Loi de finances 2021 : le détail des dispositions relatives au logement et à l’urbanisme

Publiée au "JO" du 30 décembre, la loi de finances pour 2021 acte plusieurs dispositifs majeurs pour les acteurs de l’habitat et de l’aménagement : élargissement de MaPrimeRénov' à tous les propriétaires et aux copropriétés, prolongation du PTZ et du Pinel, ponction d’1 milliard d’euros sur Action logement…
Il y a 4 ans et 171 jours

Top 10 des actualités les plus lues sur Batinfo en 2020

10 - Le Gouvernement valide les préconisations sanitaires proposées par les entreprises du BTP pour la reprise des chantiersLe Gouvernement et les organisations professionnelles des entreprises du BTP s’étaient engagés le 21 mars dernier à réunir les conditions d’une poursuite de l’activité du bâtiment et des travaux publics en sécurité pour les salariés. Cet engagement se concrétise par un guide de bonnes pratiques destinées aux entreprises du BTP diffusé depuis le 2 avril.Lire l'article9 - Le catalogue Collections d'extérieurs 2020 Bradstone et Carré d'Arc vient de paraîtrePaysagistes et particuliers accueillent toujours avec la même curiosité créatrice le catalogue annuel Collections d’extérieurs édité par Fabemi, richement fourni en dallages, pavages et accessoires des marques BRADSTONE et CARRÉ D’ARC. Sans oublier les produits de finition IDÉAL JARDIN qui déclinent leurs qualités et fonctions en fin d’ouvrage, suivis du Cahier technique dédié à la pose et à l’entretien.Lire l'article8 - Mise à jour des préconisations de sécurité sanitaire concernant le port de masques sur les chantiersLe Ministère du Travail vient d'informer l'OPPBTP de l'avis suivant de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) sur les conditions d'utilisation des masques alternatifs.Lire l'article7 - Coronavirus : Le bâtiment et le gouvernement proches d'un accord pour les chantiersLe ton se calmait vendredi entre le gouvernement et le secteur du bâtiment, après plusieurs jours de désaccord sur la nécessité ou non d'interrompre les chantiers face à la crise du coronavirus, les deux parties se disant proches d'un accord.Lire l'article6 - Coronavirus : Le BTP et le gouvernement trouvent un accord pour la poursuite des chantiersLe gouvernement et les professionnels du bâtiment et travaux publics ont annoncé samedi avoir trouvé un terrain d'entente afin de maintenir l'activité de la plupart des chantiers malgré l'épidémie de coronavirus.Lire l'article5 - Quelles sont les attentes des Français en matière de logement et d'aménagement intérieur ?L'Association QUALITEL publie la quatrième édition de son Baromètre annuel consacré à la Qualité du logement, en partenariat avec Ipsos. Cette étude de grande ampleur – 2600 personnes interrogées – mesure les attentes des Français en matière de logement et d'aménagement intérieur.Lire l'article4 - Les professionnels sidérés par les nouvelles règles d'urbanisme qui menacent la construction de logementPlusieurs ordonnances prises en application de la loi sur les mesures d'urgence liées à la crise du Coronavirus, adoptée le 22 mars dernier, viennent d'être publiées. La LCA-FFB alerte sur certaines d'entre elles qui menacent de porter un coup d'arrêt brutal à la filière bâtiment pour les six prochains mois.Lire l'article3 - Covid-19 : Les PME alertent sur les refus de chômage partiel malgré les promesses du gouvernementLa Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) a alerté mercredi sur l'augmentation des cas de refus de chômage partiel, malgré l'élargissement de ce dispositif par le gouvernement pour préserver l'emploi face à la crise actuelle induite par le coronavirus.Lire l'article2 - Le secteur du bâtiment s'insurge contre la décision du gouvernement de poursuivre les chantiersFace à la crise du coronavirus, le conflit s'aggrave depuis plusieurs jours entre le secteur du bâtiment et le gouvernement: les professionnels veulent arrêter leurs chantiers, mais les autorités insistent pour maintenir une activité économique jugée essentielle.Lire l'article1 - En quoi le nouveau Diagnostic de Performance Énergétique est-il inédit ?Auparavant un diagnostic destiné à informer sur la performance énergétique du bien, voire à encourager le potentiel acquéreur à réaliser des travaux de rénovation énergétique, le Diagnostic de Performance Énergétique (D.P.E.) deviendra le 1er juillet 2021 l'outil de référence dans la lutte contre les logements les plus énergivores et les plus polluants. Qu’est-ce qui va changer et quel sera l’impact sur le secteur de l’immobilier ?Lire l'article
Il y a 4 ans et 171 jours

MaPrimeRénov' atteint son rythme de croisière avant d'être ouverte à tous en janvier 2021

Cette accélération s'explique notamment par la création de MaPrimeRénov', une aide juste et simple, qui facilite le financement des travaux les plus vertueux. En 2021, MaPrimeRénov' change d'échelle, devient une aide universelle et permet à tous de se lancer dans un projet de rénovation énergétique.La rénovation énergétique au cœur de la relance : plus de 170.000 dossiers MaPrimeRénov' déposésUn an après son lancement, MaPrimeRénov' connaît un fort engouement chez les particuliers. Plus de 170.000 dossiers ont été déposés. La prise en compte des dossiers a connu des retards opérationnels liés aux impacts de la crise sanitaire et à des difficultés informatiques causant des désagréments aux futurs bénéficiaires. Les équipes de l'Anah se sont mobilisées et continueront à se mobiliser pour résoudre ces difficultés. Ainsi, l'instruction et le paiement des dossiers ont atteint leur rythme de croisière avec des délais de traitement stabilisés à 15 jours ouvrés dès que les dossiers sont complétés par les demandeurs ou leur mandataire. Ce délai est conforme à l'engagement de qualité de service.Avec France Relance, MaPrimeRénov' devient la principale aide de l'État à la rénovation énergétique en s'ouvrant à l'ensemble des propriétaires, occupants comme bailleurs, ainsi qu'à l'ensemble des copropriétaires. Par anticipation, les nouveaux publics éligibles ont pu débuter leur démarche de travaux dès le mois d'octobre 2020. Ils pourront matériellement déposer leur dossier à compter de janvier 2021.Ce sont ainsi 500.000 rénovations énergétiques qui sont visées en 2021 grâce à une enveloppe budgétaire de 2 Mds €.La rénovation globale pour tousDésormais, MaPrimeRénov' finance également les rénovations les plus ambitieuses avec la mise en place d'une aide à la rénovation globale pour les ménages aux revenus intermédiaires ou supérieurs. Les rénovations globales doivent permettre un gain énergétique d'au moins 55%. Les ménages modestes et très modestes continuent à bénéficier du programme Habiter Mieux dont les montants d'aides ont été relevés respectivement à 35 et 50% d'un plafond de travaux de 30.000€.Avec MaPrimeRénov' Copropriétés, l'ensemble des copropriétés réalisant des travaux de rénovation permettant un gain énergétique d'au moins 35% sont éligibles à une aide qui peut couvrir jusqu'à 25% du montant des travaux. Une prime complémentaire peut également être apportée aux ménages les plus modestes.Enfin, des bonus sont créés pour les rénovations qui permettent la sorties du statut de passoire thermique et pour celles qui permettent d'atteindre le niveau BBC.Janvier 2021 : ouverture des dépôts de dossier pour les nouveaux bénéficiairesLa plateforme MaPrimeRénov.gouv.fr sera mise à jour le 11 janvier 2021 pour permettre à tous les propriétaires occupants, au-delà des seuls ménages aux ressources modestes, ainsi qu'aux syndicats de copropriétaires de déposer en ligne leur demande d'aide. Les propriétaires bailleurs pourront déposer leur dossier à partir de juillet 2021.Les travaux engagés sur la base de devis signés entre le 1e octobre 2020 et l'ouverture du dépôt en ligne sont éligibles, même s'ils sont débutés voire terminés et payés, à condition de répondre aux critères d'accès à MaPrimeRénov'.
Il y a 4 ans et 171 jours

Nouvelles scies Biturbo Bosch : des outils sans-fil plus puissants que jamais pour travailler le bois

Conçues pour offrir une puissance maximale avec les batteries ProCORE18V, ces scies Biturbo sont plus performantes que toutes les scies sans-fil Bosch actuelles.Les 4 scies Biturbo sont aussi performantes avec une seule batterie que de nombreux modèles du marché à 2 batteries ou appartenant à une catégorie de voltage supérieure. Leurs performances exceptionnelles résultent d’une adéquation parfaite entre l’électronique, la batterie et leur moteur haute performance sans charbon de conception spéciale.Les professionnels du bois peuvent compter sur une puissance jusqu’ici réservée aux modèles filaires de 1.600 à 1.800 W avec les nouvelles scies Biturbo Bosch Professional. Les scies circulaires sans-fil GKS 18V-68 GC / GKS 18V-68 C Professional s’adressent aux charpentiers et couvreurs souhaitant tronçonner rapidement et de façon fiable des poutres ou panneaux agglomérés grossiers d’une épaisseur maximale de 70 mm.La GKT 18V-52 GC Professional est la première scie plongeante de la gamme 18 V. Elle permet de réaliser des coupes précises jusqu’à 40 mm d’épaisseur et d’effectuer des coupes nettes dans des panneaux avec un rail de guidage. Elle s’adresse particulièrement aux menuisiers et cuisinistes. La scie à onglets radiale GCM 18V-216 Professional estégalement une nouvelle venue dans la gamme 18 V. Permettant de découper des profilés d’ossatures en bois, des lames de parquet ou des plinthes, elle est idéale pour les travaux d’aménagement intérieur et offre avec 70 mm la plus grande capacité de coupe de sa catégorie. Les 4 scies Biturbo sont aussi performantes avec une seule batterie que de nombreux modèles du marché à 2 batteries ou appartenant à une catégorie de voltage supérieure. Leurs performances exceptionnelles résultent d’une adéquation parfaite entre l’électronique, la batterie et leur moteur haute performance sans charbon de conception spéciale. Capables d’exploiter le plein potentiel des batteries ProCORE18V de 8,0 et 12,0 Ah, ces scies conviennent parfaitement pour un usage intensif dans le cadre d’applications exigeantes.Scies circulaires sans-fil GKS 18-68 GC/GKS 18-68 C : performance et maniabilitéLes scies circulaires sans-fil GKS 18V-68 GC Professional et GKS 18V-68 C à technologie Biturbo sont idéales pour le bois et le bois composite. La GKS 18V-68 GC Professional est 15 % plus rapide et 225 g plus légère (avec une batterie de 8,0 Ah) qu’un modèle filaire comparable de 1 800 W. Ergonomique, sa poignée avant de type étrier assure une meilleure maniabilité même en position inclinée.Sa capacité de coupe est de 68 mm et la profondeur de coupe est intuitive et très facile à régler : une simple pression sur un bouton suffit.Adaptées à une utilisation avec rail de guidage, les 2 scies disposent d’une interface utilisateur permettant de prérégler la vitesse via un smartphone, de vérifier l’état de l’outil et le niveau de charge de la batterie. Elles sont également équipées d’un frein rapide, d’un mode ECO assurant 30 % d’autonomie en plus, d’une protection contre les surcharges, d’une protection anti-redémarrage, d’un variateur de vitesse et d’un blocage de broche.Scie plongeante sans-fil GKT 18V-52 C : un design extrêmement compactLa scie plongeante sans-fil GKT 18V-52 GC Professional Bosch se distingue par son design compact qui la rend très facile à manier et à transporter. Sa technologie Biturbo et sa batterie ProCORE18V permettent de disposer deperformances de coupe équivalentes à celles de scies plongeantes filaires de 1 620 W. La GKT 18V-52 GC Professional permet de travailler près des bords, jusqu’à 10 mm d’un mur, ce qui est sans équivalent dans sa catégorie.Elle est conçue pour les coupes de format et coupes plongeantes dans le bois, le bois composite, les planches et panneaux ainsi que l’aluminium et le verre acrylique.Pour un travail sans poussières, cet outil peut être utilisé avec des sacs à poussière ou avec le système Click & Clean Bosch ainsi qu’avec les systèmes de rails de guidage. Il dispose de la fonction Constant Speed, d’un mode ECO pour atteindre jusqu’à 20 % d’autonomie en plus, d’une interface utilisateur et d’un préréglage de vitesse par application mobile sur smartphone.Scie à onglets radiale sans-fil GCM 18V-216 : Ergonomie et légèretéAvec sa capacité de coupe de 70 mm, la scie à onglets radiale sans-fil GCM 18V-216 Professional Bosch offre une multitudes d’applications que n’importe quelle autre scie à onglets radiale avec une lame de 216 mm. Elle permet un changement de lame particulièrement rapide et sans clé avec une vis de serrage et offre une grande fiabilité, qu’il s’agisse de couper des plinthes, des éléments d’ossatures en bois, des bois carrés, d’effectuer des coupes biaises dans des panneaux ou de raccourcir des lames de parquet.La scie GCM 18V-216 est conçue pour un usage mobile. Sa poignée ergonomique permet de la transporter facilement d’une seule main après avoir bloqué la tête basculante et la fonction radiale. Elle dispose également d’un laser pour la ligne de coupe, d’un éclairage LED et d’un sac à poussière pour un travail propre. Le Professional 18V System Bosch assure la compatibilité avec les anciens et nouveaux outils électroportatifs et chargeurs de la même catégorie de voltage. Bosch propose également une large gamme d’accessoires optimisée pour une utilisation sur les scies sans-fil : les lames « Expert for » et « Standard for » avec technologie carbure qui prolongent l’autonomie de la batterie et contribuent à une meilleure efficacité.
Il y a 4 ans et 172 jours

Construction du poste de sécurité de l'hôpital de Montreuil (93) : un cube de bois habillé de verre rouge

Le prolongement vers l'est de la ligne 11 de métro parisien constitue un atout pour le Centre Hospitalier Intercommunal André Grégoire de Montreuil (93) qui se verra desservi par une nouvelle station, juste devant l'établissement. Mais, parmi les contreparties, avant le lancement des travaux du métro mi-2016, l'hôpital a dû notamment déplacer son poste de sécurité incendie et anti-malveillance situé dans l'emprise du chantier et en construire un nouveau.Lauréate du concours d'architecture lancé au cours du premier trimestre 2014, l'agence SCP Truelle Architectes est rompue aux projets de construction et de rénovation dans le secteur médico-social dont elle a fait sa spécialité : l'essentiel de son activité porte sur le logement social, les établissements hospitaliers, les maisons de retraite…Construire en filière sèche« Pour ce petit bâtiment d'environ 150 m2 nous avons choisi la forme simple d'un cube, décrit Elisa Bellec, architecte associée de l'agence Truelle. Ce qui a guidé nos réflexions, outre de répondre du mieux possible aux attentes de l'hôpital, a été de penser un bâtiment d'accès bien visible, repérable de loin, identifiant clairement l'entrée de l'hôpital. Ce cube est prolongé par un portique qui vient se raccorder à un bâtiment existant. » La nouvelle construction se rend encore plus visible en se teintant de rouge.Dès la phase du concours, l'option de construire en filière sèche est privilégiée afin de réduire la durée d'intervention sur le site ainsi que les nuisances de chantier. Le choix se porte sur une ossature bois à faible empreinte carbone en panneaux de bois lamellé croisé (CLT cross laminated timber). Cette structure préfabriquée de deux niveaux sera posée sur les fondations en béton par l'entreprise Paris Charpente en seulement trois jours, à l'aide d'une grue mobile.La façade sera revêtue d'un matériau brillant, robuste et de qualité. Dès la conception, Elisa Bellec s'adresse à Sto, dont elle apprécie le système de façade StoVentec Glass. Ce bardage ventilé à fixations invisibles est constitué de panneaux de verre émaillé de 6 mm d'épaisseur collés sur une plaque en mortier de granulats composé de verre recyclé. Les panneaux sont mis en œuvre par emboîtement de rails agrafes en aluminium sur un réseau de rails horizontaux en aluminium.Pour animer la forme simple du bâtiment, l'architecte choisit dans la gamme de couleurs proposée par Sto trois teintes de rouges (RAL 3016, 3020, 3013) et un orange (RAL 2000) pour le portique. Les panneaux de tailles et de couleurs différentes sont répartis de façon aléatoire sur la façade. Au total, ce sont 227 panneaux tous différents qui seront livrés par Sto.Une première sur ossature boisLe titulaire du lot Bardage est Socateb, une entreprise expérimentée qui connaît bien les produits Sto. Une chance pour cette première mise en œuvre de StoVentec Glass sur un support en bois. En effet, l'Avis Technique du système n'admettait alors que des supports en maçonnerie ou en béton banché.« Pour adapter la mise en œuvre du StoVentec Glass sur une structure bois CLT, nous avons échangé avec le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB), le bureau de contrôle et le service technique de Sto », explique Antoine Monnot, responsable du département bardage-vêture de Socateb.La technique mise au point sur ce chantier est désormais intégrée dans l'Avis Technique du système.A partir d'un échafaudage tubulaire autostable, qui ne présente aucune fixation sur la structure bois, est d'abord mis en place un pare-pluie qui enveloppe tout le bâtiment. Il évite la migration de l'humidité dans le bois. Des chevrons de 188 mm x 75 mm sont ensuite fixés verticalement avec un entraxe de 60 cm à l'aide de vis traversantes.« Ces dimensions imposantes sont nécessaires pour respecter une lame d'air de 2 cm », justifie Antoine Monnot.En effet, des panneaux de laine de verre de 16 cm d'épaisseur sont glissés entre ces montants et maintenus à l'aide de griffes Dentifix (Etanco), évitant ainsi de perforer le pare-pluie. La face avant des chevrons est protégée par une bande EPDM.Les rails en aluminium supports du parement peuvent alors être vissés sur la structure verticale en chevrons, selon l'entraxe défini par Sto en fonction des spécificités du chantier. Il reste enfin à agrafer les 227 panneaux de verre émaillé en respectant scrupuleusement le calepinage et en réservant des joints ouverts de 8 mm entre panneaux. Après le réglage de l'horizontalité du rail support, chaque panneau est ajusté par des vis de réglage et est bloqué à l'aide de goupilles.« Le plus compliqué a été le réglage des panneaux dans le plan, car les montants en bois fixés directement sur l'ossature en OSB ne laissent aucune marge, observe Antoine Monnot. Nous avons dû parfois raboter ou caler pour assurer un alignement parfait. »Les encadrements des fenêtres sont habillés de tôle d'aluminium laquée rouge ou orange, comme les couvertines des acrotères.Les 295 m2 de façade ont été réalisés en un mois par trois compagnons de l'entreprise Socateb.Après quatre ans, les occupants du poste de sécurité se disent très satisfaits du confort thermique de leur nouveau lieu de travail. Le couple construction bois – bardage StoVentec Glass se montre efficace.
Il y a 4 ans et 172 jours

Que peut-on faire avec une défonceuse ?

La défonceuse, voilà un outil encore peu connu par les amateurs, mais très utilisé par les professionnels. Malgré son nom, cet appareil est pourtant polyvalent et permet de réaliser de nombreux travaux. La défonceuse est un outil électroportatif que l’on utilise en menuiserie ou en ébénisterie. De quoi s’agit-il exactement ? Comment l’utiliser ? Le fonctionnement de la défonceuse Que vous soyez un amateur ou un professionnel du bricolage, vous avez déjà sûrement entendu parler de la défonceuse. Si ce n’est pas le cas, la défonceuse n’est autre qu’une fraiseuse portative. Elle est généralement composée d’un moteur, de deux poignées, d’une fraise et de deux colonnes. Vous trouverez ensuite les boutons de marche/arrêt, de réglage de vitesse ou encore de réglage de la profondeur. Son moteur peut réaliser près de 30 000 tours par minute. La fraise est maintenue par une grosse pince. Celle-ci s’active une fois que le moteur est allumé et travaille selon les profondeurs voulues. Sa position est réglable à l’aide d’une butée et d’un ressort. Un levier permettra de soulever la fraise à la fin du travail. Il s’agit d’un outil polyvalent à l’origine utilisé manuellement. Aujourd’hui, la plupart des défonceuses comme celles proposées par J2F Solutions sont dotées d’une commande électronique et servent à encastrer les ferrures et les serrures. À cela s’ajoutent des variateurs de vitesse et des manches plongeants. Selon le modèle choisi, elle permet de réaliser des travaux de haute précision, notamment de miniature et de modélisme. En plus des gros meubles, la défonceuse facilite aussi la création d’instruments à cordes ou de jeux en bois. Elle permet même de créer des bijoux ainsi que des décorations murales. Quels travaux peut-on réaliser avec une défonceuse ? La défonceuse permet de réaliser des bords sophistiqués ou de créer différents types de dessin et d’illustration sur le bois. Elle sert également à raboter le bois pour garantir une finition impeccable. Elle est très pratique dans les ateliers de menuiserie, d’ébénisterie et de lutherie. L’encastrement de ferrures et de serrures L’encastrement avec une défonceuse se fait rapidement, elle réalise un travail propre et précis vous permettant de placer les ferrures et les serrures avec précision. L’affûtage des bords d’une pièce en bois Façonner les arêtes et des angles sont des travaux inhérents au métier de menuisier. Ils permettent de donner davantage d’esthétique à la réalisation. Si auparavant on le faisait manuellement, désormais, l’utilisation d’une défonceuse facilite grandement la tâche. Les finitions sont beaucoup plus nettes et le travail des rainages et des feuillures est plus précis. La découpe des dadoes Pour soutenir solidement les étagères en bois, on utilise ce qu’on appelle les dadoes. Il s’agit d’une sorte de canal permettant à deux pièces en bois de s’emboîter l’une dans l’autre. Un dado est découpé dans le sens du grain du bois pour garantir leur solidité. Avec la défonceuse, vous avez la possibilité de réaliser une rainure parfaite, selon les gabarits qui conviennent. Le marquage incrusté En plus des travaux techniques, la défonceuse permet de réaliser des décorations, notamment le marquage par incrustation. Avec cette méthode vous pourrez incruster des éléments décoratifs, en bois ou autre matière, dans votre pièce de bois. L’utilisation de la défonceuse aide à réaliser des profondeurs précises pour les objets incrustés. La réalisation de joints queue d’aronde Les joints en queue d’aronde sont typiques des menuiseries modernes. Ils permettent aux dadoes de tenir quelle que soit la taille et le poids du meuble. Il s’agit d’une douille en bois qui sert de vis ou de clou. La défonceuse aide à la réalisation de queues d’aronde transversales ou coulissantes selon les besoins. Comment garantir le bon fonctionnement de la défonceuse ? La première étape consiste à fixer la fraise, en l’insérant dans le mandarin. Un interrupteur bloque le plateau pour éviter les accidents. Vous n’aurez donc pas à gérer l’appareil pendant que vous insérez la fraise. Vous devez ensuite régler la profondeur de la coupe avec la tige de butée. Le réglage doit se faire manuellement à l’aide d’une molette. Attention, l’outil doit être hors tension durant cette étape. Ce n’est qu’après que vous pouvez le mettre en marche. Quelles sont les conditions d’utilisation d’une défonceuse ? Pour plus de sécurité, le montage d’une défonceuse doit se faire hors tension. Une fois mise en marche, elle tourne à grande vitesse. Cela peut provoquer un accident. L’appareil doit être le plus ergonomique possible pour garantir la sécurité et le confort d’utilisation. Il est plus facile de travailler avec un appareil léger et facile à manier. Changez également la fraise régulièrement pour garantir la qualité de vos travaux et la durée de vie de votre défonceuse. La manipulation de la machine est plutôt destinée au professionnel, mais avec les bonnes précautions, un particulier pourra s’en sortir. Choix d’une défonceuse : sur quels critères se baser ? Pour garantir son efficacité et sa longévité, le choix d’une défonceuse ne doit pas se faire à la hâte. Les critères de base dépendent surtout de vos besoins et de l’ampleur des travaux à réaliser. Vous aurez donc à définir la puissance de l’appareil. Une défonceuse de 1 000 W permet de réaliser des travaux de finitions de qualité. Pour les grands travaux, vous devez monter à 1 200 W. Assurez-vous aussi de la praticité de la machine, notamment au niveau de sa vitesse et de sa profondeur de coupe. Une butée assez profonde est indispensable pour apporter de la précision dans l’usinage du bois. Avec un variateur de vitesse, vous pouvez réaliser un travail de finition parfait. Vous pouvez en effet travailler facilement en fonction de la nature du bois. Il est également important de vérifier le diamètre et la taille de la porte-fraise. Généralement, ceux-ci varient de 6,8 mm à 12 mm. L’idéal c’est d’avoir plusieurs formats de porte-fraise. La défonceuse parfaite est celle qui permet l’utilisation de plusieurs accessoires, notamment ceux de sécurité. Il est préférable qu’elle ait un adapteur pour aspirateur pour gagner du temps et pour travailler confortablement. Et le plus important, votre machine doit avoir une prise en main facile. Elle ne doit être ni trop lourde ni trop légère. Elle doit être facile à manipuler qu’elle soit portative ou fixée sur un plan de travail. Le plus important c’est de toujours vous baser sur vos besoins pour garantir le choix parfait.
Il y a 4 ans et 172 jours

4 entreprises s'associent dans le recyclage de menuiserie

REVALORISATION. Implantées dans le Grand Ouest, quatre entreprises ont décidé de s'allier pour monter une structure dédiée au recyclage des menuiseries en fin de vie.
Il y a 4 ans et 172 jours

Qu’est-ce que l’éclairage de sécurité ?

Pour l’aménagement d’un espace professionnel ou d’un établissement de grande envergure (ERP et ERT), ouvert à tout public, il y a des normes et des règlementations à respecter. Elles concernent notamment la mise en place des escaliers de secours, des systèmes de protection anti feu, mais également l’éclairage de sécurité. Mais qu’est-ce réellement que l’éclairage de sécurité ? Quelle est son importance ? Des balises pour montrer le chemin Sans faire de chichi, on peut dire que l’éclairage de sécurité consiste à mettre en place des balises lumineuses afin de montrer les chemins d’évacuation. Dans la vie de tous les jours, ce sont les signalisations au sol, les indications en hauteur pour indiquer les escaliers ou les portes de secours, etc. Ce peut être également les balises lumineuses qui indiquent les déviations ou les aménagements de l’immeuble en question. L’installation de ces systèmes fait partie des normes de construction et d’aménagement des bâtiments tout publics (ERP et ERT). Et bien évidemment, la mise en place n’est pas ouverte à l’amateurisme. Il y a en effet différents réglages à faire, variant selon le modèle d’éclairage de sécurité que vous avez choisi. Une question de sécurité et de confort des usagers Comme son nom l’indique, les éclairages de sécurité servent à assurer la sécurité des usagers en permettant l’évacuation. Mais ils permettent aussi de faciliter l’utilisation des bâtiments. Ils servent généralement pour l’évacuation des personnes en cas de danger. Mais bien évidemment, ils sont toujours allumés. Il est évident que les éclairages de sécurité ont connu quelques modifications au cours des dernières années. Notamment, désormais, les grandes marques qui proposent ce genre d’équipement utilisent uniquement du LED. C’est moins énergivore, donc plus modique à l’utilisation et plus écologique. Mais c’est tout aussi efficace. Les différents types d’éclairage de sécurité L’éclairage de sécurité peut se décliner en plusieurs types et fonctions, suivant l’aménagement et les dimensions des locaux. Mais le plus courant en termes de sécurité reste l’éclairage d’évacuation. Ce sont notamment les panneaux et signalisations LED qui indiquent les sorties de secours. Ils peuvent se trouver en hauteur, ou être directement fixés au sol (uniquement dans les parkings souterrains). En tous cas, il doit y en avoir à chaque changement de direction et tous les 15 m maximum. Selon les normes en vigueur, un équipement de 45 lumens est de rigueur afin d’en garantir la visibilité. Des éclairages de sécurité même pour les immeubles résidentiels La règlementation impose l’installation d’un éclairage de sécurité dans certains types de bâtiments résidentiels. Il n’en demeure pas moins que leur utilité est évidente. Aussi, les entreprises spécialisées dans ce domaine proposent depuis quelques années des blocs de signalisation pour les immeubles d’habitations. Ce peut être pour souligner la présence d’escalier, voire d’un système d’évacuation en cas de problème.
Il y a 4 ans et 172 jours

Les réseaux de chaleur et de froid sont 2 fois plus verts qu'il y a 10 ans, mais les défis restent nombreux

2009 – 2019 : une filière métamorphosée avec deux fois plus d'énergies renouvelables et de récupérationL'édition 2020 (données 2019) de l'enquête[1] révèle que la part de chaleur verte, à travers les énergies renouvelables et de récupération (EnR&R), a doublé dans le mix énergétique des réseaux de chaleur, passant de 31% en 2009 à 59,4% en 2019 grâce au verdissement des réseaux existants et à la création de nouveaux réseaux vertueux.Cet important verdissement des livraisons de chaleur et de froid a eu pour effet d'améliorer considérablement l'empreinte carbone des réseaux avec une diminution de 44% pendant cette période. Aujourd'hui, le contenu moyen en CO2 des réseaux s'élève seulement à 0,107 kg /kWh.Un réel soutien du Fonds Chaleur de l'ADEMECette évolution s'explique notamment grâce au soutien du Fonds Chaleur de l'ADEME, qui, en 11 ans, a investi près de 900 M€ pour soutenir la création, le verdissement et l'extension de plus de 1000 réseaux de chaleur et de froid. Cet outil, devenu incontournable pour accélérer le lancement de projets décarbonés, a ainsi rendu possible la production de plus de 31 TWh d'EnR&R.Pour Fabrice Boissier, « Près de 40% des aides du Fonds Chaleur sont attribuées aux réseaux, hors installations de production, et l'ADEME a accru ces dernières années son soutien à la filière. L'un des enjeux majeurs est de poursuivre la dynamique de verdissement des réseaux. Depuis cette année, les réseaux aidés par le Fonds chaleur doivent - sauf exception - atteindre un taux minimum de 65% d'EnR&R ».Les réseaux de chaleur vertueux maintiennent leur compétitivité, mais l'équilibre reste fragile dans le contexte du coût historiquement bas des énergies fossilesLe prix de vente moyen de la chaleur distribuée par réseau s'établit à 74,6 €HT/MWh en 2019 et reste donc stable par rapport à l'année 2018 (+1,2%). Grâce à la TVA à taux réduit, les réseaux vertueux sont compétitifs par rapport aux réseaux qui ne sont pas encore alimentés à plus de 50% par des énergies renouvelables et de récupération (EnR&R).En considérant le coût de chauffage global annuel d'un logement moyen (facture énergétique + coût de maintenance + amortissement des investissements), les réseaux de chaleur restent compétitifs par rapport aux solutions de chauffage électrique et au gaz en 2019. Chauffer un logement moyen alimenté par un réseau de chaleur avec un taux d'EnR&R supérieur à 50% coûte 1.238 € par an. En comparaison, le coût annuel global de chauffage pour logement similaire alimenté en gaz collectif est de 1.443 € et celui d'un logement alimenté par une pompe à chaleur individuelle s'établit à 2.028 €.2020-2030 : l'atteinte des objectifs reste soumise aux conditions économiques et réglementairesMalgré les très bons résultats affichés par la filière en 2019, le rythme actuel de développement des réseaux de chaleur est deux fois inférieur à celui qui serait nécessaire pour atteindre l'objectif fixé pour 2030, à savoir la multiplication par cinq des quantités de chaleur livrée depuis 2012. Cela revient à tripler les livraisons de chaleur renouvelable dans les dix prochaines années.Toute la filière s'est mobilisée en 2019 dans le cadre du groupe de travail ministériel et porte aujourd'hui un certain nombre de mesures visant à poursuivre le déploiement des réseaux vertueux dans les territoires. C'est notamment le sens de l'action co-pilotée par AMORCE, le Cerema et l'ADEME auprès des villes de plus de 10.000 habitants ne bénéficiant pas encore des avantages d'un réseau de chaleur, qui donne déjà des premiers résultats.Pour Nicolas GARNIER, Délégué général d'AMORCE « Nous proposons aussi la mise en œuvre d'un plan « Facteur 5 » dans les métropoles et les communautés urbaines où les réseaux de chaleur renouvelable peuvent encore se développer. AMORCE avait salué l'augmentation de l'enveloppe du Fonds Chaleur et de l'évolution des règles de soutien dans le cadre du groupe de travail ministériel qui se révèlent indispensables compte tenu de la conjoncture économique actuelle et de la baisse des prix du gaz. Il est en effet indispensable que l'ensemble des voyants restent au vert pour répondre aux objectifs fixés pour 2030. Mais il faut surtout que la chaleur renouvelable et les réseaux de chaleur soient bien intégrés dans les arbitrages qui seront pris dans le cadre de réformes en cours, au risque de se faire au détriment des territoires mobilisés pour développer une solution chauffage plus économique, plus locale et plus respectueuse de l'environnement ».Pour Aurélie LEHERICY, Présidente du SNCU « Étant donné la multiplication des technologies disponibles au cours des 10 dernières années (biomasse, géothermie, etc.), toute la filière, avec l'ensemble des collectivités, entend accélérer dans la transition vers une chaleur toujours plus renouvelable. Cet objectif passera probablement par le développement des réseaux de chaleur existants dans les grandes villes mais aussi, enjeu clé de la décennie, par la multiplication de nouveaux réseaux vertueux dans les villes de plus de 10 000 habitants. A ce jour, plus de la moitié d'entre elles ne sont toujours pas équipées ! Ces ambitions se réaliseront sous certaines conditions : le budget et les conditions d'attribution d'aides du Fonds Chaleur devront suivre les ambitions de la filière ; la chaleur renouvelable devra rester compétitive par rapport aux énergies fossiles ; le cadre législatif et réglementaire devra également rester stable et cohérent ; sans oublier le fait que la réalisation d'une trajectoire carbone se devra d'être socialement juste. Tous les acteurs de la filière sont déterminés pour avancer et accompagner les collectivités dans le déploiement de la technologie la plus ajustée aux besoins de leurs territoires. ».Réseaux de froid urbains : atteindre 3 TWh à horizon 2028La décennie 2020 sera celle du nécessaire développement des réseaux de froid. Selon les objectifs fixés par la PPE 2028, leur livraison de froid doit atteindre 3 TWh au terme des 8 prochaines années. En effet, alors que les épisodes de canicule vont devenir fréquents dans un contexte de vieillissement de la population, les collectivités urbaines vont devoir proposer des solutions efficaces et durables dans un espace limité et extrêmement contraint en milieu urbain afin de parer les phénomènes d'îlots de chaleur. Il ne s'agit plus d'un sujet de confort pour les occupants mais d'un enjeu sanitaire pour les populations.Selon la Présidente du SNCU « Afin d'atteindre les objectifs de la PPE, il est important de définir au niveau européen ce que l'on entend par froid renouvelable. Cette définition commune permettra d'enclencher le basculement collectif vers les réseaux de froid, une solution technique encore trop discrète. Parallèlement à l'appui européen et au nécessaire cadre réglementaire stable et non discriminant par rapport aux solutions autonomes, le soutien du Fonds Chaleur est primordial. Alors que les réseaux de froid sont présents dans son périmètre depuis 2018, seule la moitié des projets ont en effet reçu une aide de sa part. La filière est prête à accélérer, elle n'attend que les conditions favorables pour cela ! ».Les chiffres clés 2019 vs 2009Réseaux de chaleur 2009 – 2019798 réseaux enquêtés (418 en 2009) +90%5 964 km de longueur desservie (3 321 km en 2009) +80%25,6 TWh de chaleur livrée (23,4 TWh en 2009) +10%40 993 bâtiments raccordés (24 061 en 2009) +70%2,37 millions d'équivalents logements raccordés (2,04M en 2009) +22%59,4 % d'EnR&R dans le mix énergétique (31% en 2009) +91%0,107 kg /kWh de contenu en CO2 (0,190 en 2009) -44%Prix de vente moyen de la chaleur renouvelable et de récupération livrée par les réseaux : 74,6 €HT/MWh (60,2 €HT/MGh en 2009) +24%Réseaux de froid 2009 - 201924 réseaux (14 en 2009) +71%0,96 TWh de froid livré (0,93 TWh en 2009) +3%239 km de longueur desservie (131 km en 2009) +82%1 339 bâtiments raccordés (870 en 2009) +53%[1] L'enquête annuelle sur les réseaux de chaleur et de froid est une enquête statistique réalisée chaque année par le Syndicat national du chauffage urbain et de la climatisation urbaine (SNCU) avec le concours de l'association AMORCE, pour le compte du Service de la donnée et des études statistiques (SDES) du ministère de la Transition écologique. Cette année, l'enquête propose un parallèle entre les données 2009 et 2019, correspondant au dixième anniversaire du Fonds Chaleur géré par l'ADEME
Il y a 4 ans et 172 jours

Delta Dore crée le pole Smart IoT Solutions, une nouvelle étape dans l’interopérabilité au profit de la smart home

Fort d’un savoir-faire reconnu et de l’écosystème le plus large pour le pilotage des équipements de la maison, Delta Dore passe à la vitesse supérieure. Le groupe structure l’ensemble de ses activités IoT et Smart Home en créant l’entité Smart IoT Solutions. A destination de tous les professionnels de l’habitat, ce nouveau pôle est composé de trois piliers : « Your IoT », « Your services » et « Your interface ». L’objectif ? Accompagner les industriels à chaque étape de la transformation digitale de leurs offres de produits & services pour les logements, de la création, à l’exploitation, en passant par la conception. Delta Dore entend ainsi conforter son expertise et être moteur dans les prochaines grandes étapes de l’écosystème IoT.Avec 38 milliards d’objets connectés à internet dans le monde en 2020 (+ 285% par rapport à 2015 – source : IDC), l’univers IoT fait partie du quotidien, et particulièrement pour la maison qui ne cesse d’évoluer au fil des années. A titre d’exemple, les appareils d’équipement de la maison représentent à eux seuls 57 % des ventes d’objets connectésen 2020.Cette multitude d’équipements et d’écosystèmes soulève un point : comment garantir uneexpérience simple et intuitive autour de la smart home ?Une question qui impacte autant les industriels (concevoir des équipements pilotables à distance) que les utilisateurs finaux (interagir de manière fluide sur une interface unique donnant accès à un grand nombre de solutions).« L'avenir de la maison intelligente nécessitera l'interopérabilité et la collaboration de nombreux écosystèmes, et plus largement une unification de l'expérience utilisateur. Notre ambition est de concevoir des solutions améliorant le confort de chacun, sécurisant l’habitat et participant à la transition énergétique. Nous entendons renforcer nos collaborations avec nos clients et partenaires technologiques. Nous voulons accompagner nos clients industriels dans l’évolution de leurs offres, par exemple en les aidant sur des aspects tels que la connectivité. Cela implique également l’interopérabilité de nos offres avec celles d’autres acteurs du marché, y compris de nosconcurrents » explique Stéphane Lemerle, Directeur du pôle Smart IoT Solutions.Delta Dore, le partenaire de choix dans la transformation digitale de l’habitatAvec une expertise de 50 ans dans la fabrication de solutions et dans la conception de produits en marque blanche, Delta Dore a su s’imposer sur le segment de la smart home avec près de 250 000 box domotique Tydom vendues.2020 : un nouvel ancrage dans l’Internet des objets et la transformation digitale de l’habitatLes attentes des clients et partenaires, l’évolution des usages, combinées à la force de l’écosystème smart home Delta Dore le plus large du marché, a naturellement amené la marque à structurer son expertise avec la création du pôle Smart IoT Solutions.L’équipe est composée de divers profils : ingénieur, architecte IoT, UX designer, chef de projets dédiés, développeur travaillant en mode agile. Sa mission est d’accompagner dans la transformation digitale de leurs offres les gestionnaires immobiliers, les fournisseurs de services d'énergie, les fabricants d'équipements, les constructeurs de maisons, les sociétés de maintenance, les agrégateurs d'énergie, les fournisseurs de services…Smart IoT Solutions : une activité pensée pour chaque étape de la Smart Home« Smart IoT Solutions se met au service de nos clients, leur apportant une expertise et des solutions qui leur permettent d’accélérer tout en conservant l’entière propriété de leurs données et la primauté de leurs contacts clients. Smart IoT Solutions aide à créer de la valeur, pas à en prendre », développe Stéphane Lemerle.Le groupe applique une stratégie claire et sur-mesure au service des professionnels avec comme objectif principal : créer de la valeur auprès de leurs clients.Au travers de trois offres complémentaires, Delta Dore propose ainsi un accompagnement unique sur le marché, allant de la conception de devices, à la proposition de nouveaux services et jusqu’à la création des interfaces.Your IoT : des solutions pour entrer ou évoluer dans le monde de l’IoT, via la création ou laréutilisation de devices, et connecter et piloter facilement ses équipements (connecteurs,box domotiques et digitalisées, modules, logiciels...) via une plateforme IoTYour services : une offre de services accessible via la plateforme IoT de Delta Dore pourapporter une valeur ajoutée aux fonctions à destination des utilisateurs.Your Interface : réalisation d’interfaces et applications smartphones sur-mesure pour unemeilleure expérience client (possibilité de pilotage via des assistants vocaux, large gammede télécommandes et switches connectés...)> ELM LEBLANC : offrir de nouveau services grâce à l’intégration de protocole radioLe système Optibox permet aux bailleurs sociaux et entreprises de maintenance de piloter et superviser, à distance, un parc de chaudières. Il permet aussi de proposer aux utilisateurs finaux, de nouveaux services comme le suivi des consommations.« Notre projet était un challenge technique qui a été relevé grâce à l’expertise radio des équipes Delta Dore et à leur savoir-faire industriel. Nos clients sont satisfaits du service innovant que nous leur apportons. ». Marc Trela, Directeur marketing produits.> SWAO : des fenêtres connectées alliant confort et sécuritéL’objectif était de développer un capteur pour permettre aux clients de connaître l’état(ouvert/fermé/en aération) de leur fenêtre afin de sécuriser leur habitat et réaliser des économies d’énergies.Un capteur qui peut aussi être couplé au système d’alarme pour faire une protection périmétrique et à la gestion du chauffage pour le couper en cas d’ouverture des fenêtres.« Le capteur I-SECURE® s’inscrit dans une démarche « origine France », Delta Dore était donc le partenaire idéal avec ses experts et sa production basée en Bretagne. Notre projet continue d’évoluer grâce aux retours terrain et à l'interactivité avec les équipes qui nous accompagnent au long cours. » Nicolas Robin, Directeur technique fenêtres.> WELL’COM : volets, portes de garage et stores connectés avec l’écosystème TydomLes volets, portes de garage, stores extérieurs ou intérieurs équipés de moteurs Well’com peuvent être pilotés à distance, réagir en fonction d’un scenario prédéfini ou même être contrôlés à la voix. Grâce à une compatibilité totale avec la Smart Home Delta Dore, Well’com permet ainsi aux utilisateurs de sécuriser leur maison, gagner en confort et contribuer à une meilleure performance thermique de leur habitat en hiver comme en été.« Conscients des enjeux qui s’ouvrent pour une maison plus confortable, plus sûre et plus performante, nous avons développé des produits permettant de bénéficier de tous les avantages qu’offre la Smart Home en intégrant nos produits dans l’application Tydom et en nous appuyant sur l’expertise globale de Delta Dore. » Pascal Ischoffen, Responsable de projets Well’com.> ARISTON THERMO s’intègre au logement connecté by Delta DorePour répondre au marché en pleine expansion du logement connecté, le groupe a souhaitérendre les solutions Ariston et Chaffoteaux compatibles avec l’écosystème Delta Dore.« Grâce au développement d'une passerelle nos clients peuvent piloter nos chaudières et pompes à chaleur depuis une interface Delta Dore. Le mode de fonctionnement local permet la régulation modulante et multizone du générateur depuis un boitier d’ambiance Delta Dore ainsi que le relevé de consommations RT2012. En mode connecté, il est également possible de gérer son confort thermique à distance depuis l’Application Smartphone Tydom. » Benjamin d'Erceville, Chef de produit connectivité.La prochaine étape ?Début 2021, Delta Dore ouvre son portail développeurs, un nouveau pas vers l’ouverture avec la mise à disposition des API facilitant ainsi l’intégration des équipements et des services de la Smart Home.
Il y a 4 ans et 173 jours

Nouvelle collection "regards d'architectes" : Technal enrichit ses couleurs exclusives®

Cette proximité s’est illustrée au fil des années à travers une multitude d’initiatives, de la création du stand Batimat confiée à un architecte depuis 1987 au Palmarès Architecture aluminium, en passant par le lancement de la communauté « 4114 » ou le concours World Architecture TECHNAL Awards. Anticipant les tendances, TECHNAL collabore également avec les agences d’architecture et de design pour imaginer les couleurs de demain. Cette démarche a vu le jour dès 1991 avec un gris grainé développé par Jean-Michel Wilmotte.Un partenariat que la marque perpétue aujourd’hui en enrichissant ses couleurs « Exclusives® », aux différents effets de matière, d’une nouvelle collection « Regards d'Architectes ». Elle se compose de deux teintes inédites : Bronze Lumière by Alain Moatti et Brun d'In-Ei by Kengo Kuma. Ces deux architectes de renom, respectivement concepteurs des stands TECHNAL à Batimat en 2015 et 2017, ont disposé d’une totale liberté d’expression pour créer leur couleur. Habillant toutes les menuiseries TECHNAL, elles élargissent le choix des prescripteurs et particuliers à la recherche d’une teinte unique qui sublimera leur projet.Bronze lumière by Alain Moatti« Cette couleur intemporelle raconte l’histoire des choses, des objets anciens, la pérennité et l’attachement aux matières anciennes comme le bronze ou le cuivre. », explique Alain Moatti.Bronze lumière est intimement liée à la teinte contemporaine de la Tour Eiffel. Sa finition brillante, à l’élégance sophistiquée, capte les lumières des matins et des soirs. Elle imprime leurs reflets, leurs rythmes et leurs perspectives donnant une identité propre aux menuiseries. Une incandescence lumineuse, une texture d’énergie, une vibration silencieuse.Brun d'In-Ei Kengo« IN-EI signifie ombre en japonais. Cette couleur est un brun ombre qui joue sur le clair-obscur. », souligne KENGO KUMA.Elle répond aux projets de l’architecte, qui fait du bois son matériau de prédilection. L’objectif était d’obtenir une nuance qui confère une uniformité entre tous les éléments d’une façade. Une teinte neutre et sombre qui se fond avec l’aspect extérieur du vitrage. Mate et légèrement grainée, Brun d'In-Ei se marie aux tons chauds du bois. Associée à l’aluminium, elle offre une matière douce et poudrée, qui accroche l’œil au gré des orientations du soleil.
Il y a 4 ans et 173 jours

Rente solaire : le Conseil Constitutionnel donne raison au gouvernement

L’article 225 de la loi finance qui prévoit la réduction du tarif d’achat de l’électricité photovoltaïques pour les contrats conclus entre 2006 et 2010, a été validé par le Conseil Constitutionnel par décision du 28 décembre 2020. Il a retoqué tous les arguments des parlementaires qui contestaient la révision des contrats des gros producteurs d’énergie solaire avec l’Etat. La réduction des tarifs diminuera le montant de la compensation due par l’État au titre des charges de service public de l’énergie dès 2021, soit environ 400 millions d’euros selon le gouvernement. Pour les sages, l’article 225, qui affecte directement les dépenses budgétaires de l’année à venir, a sa place dans une loi de finances. Ils rappellent, en outre, qu’il est loisible au législateur d’apporter à la liberté contractuelle, qui découle de l’article 4 de la Déclaration de 1789, des limitations liées à des exigences constitutionnelles ou justifiées par l’intérêt général, à la condition qu’il n’en résulte pas d’atteintes disproportionnées au regard de l’objectif poursuivi. La baisse importante et rapide des coûts de production des installations photovoltaïques au sol ou sur grande toiture, qui avait été mal anticipée lors de la fixation des conditions tarifaires, a eu pour conséquence une augmentation considérable du profit généré par certaines installations de production d’électricité bénéficiant de ces contrats. En adoptant les dispositions contestées, le législateur a entendu remédier à la situation de déséquilibre contractuel entre les producteurs et les distributeurs d’électricité et ainsi mettre un terme aux effets d’aubaine dont bénéficiaient certains producteurs, au détriment du bon usage des deniers publics et des intérêts financiers de l’État, qui supporte les surcoûts incombant aux distributeurs. Ce faisant, le législateur a poursuivi un objectif d’intérêt général. Si la réduction tarifaire affecte un élément essentiel des contrats conclus en application des arrêtés précités, le législateur a veillé à ce qu’elle préserve en tout état de cause la rentabilité des installations. En effet, cette réduction devra aboutir à ce que le prix d’achat corresponde à une rémunération raisonnable des capitaux immobilisés, compte tenu des risques inhérents à leur exploitation. À cet égard, la réduction du tarif tient compte de l’arrêté tarifaire au titre duquel le contrat est conclu, des caractéristiques techniques de l’installation, de sa localisation, de sa date de mise en service et de ses conditions de fonctionnement. D’autre part, si les nouveaux tarifs résultant de l’application des dispositions contestées sont de nature à compromettre la viabilité économique du producteur, il est prévu que, sur demande motivée du producteur et sous certaines conditions, les ministres chargés de l’énergie et du budget fixent au cas par cas, sur proposition de la Commission de régulation de l’énergie, un niveau de tarif ou une date de prise d’effet de ce tarif différents ou allongent la durée du contrat d’achat. Dès lors, compte tenu du motif d’intérêt général poursuivi et des garanties légales qui précèdent, l’atteinte portée par les dispositions contestées au droit au maintien des conventions légalement conclues n’est pas disproportionnée. En ce qui concerne le grief tiré de la méconnaissance du principe d’égalité devant la loi, selon l’article 6 de la Déclaration de 1789, la loi « doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse ». Le principe d’égalité ne s’oppose ni à ce que le législateur règle de façon différente des situations différentes, ni à ce qu’il déroge à l’égalité pour des raisons d’intérêt général, pourvu que, dans l’un et l’autre cas, la différence de traitement qui en résulte soit en rapport direct avec l’objet de la loi qui l’établit. Les dispositions contestées instituent une différence de traitement entre les installations d’une puissance supérieure à 250 kilowatts, auxquelles s’applique la réduction tarifaire, et celles dont la puissance est inférieure ou égale à ce seuil, qui n’y sont pas soumises. Le législateur a entendu mettre un terme aux effets d’aubaine excessifs résultant de l’application des tarifs prévus par les arrêtés adoptés entre 2006 et 2010. Or, le législateur a pu considérer que les producteurs dont les installations ont une puissance supérieure à ce seuil ont bénéficié d’une rentabilité significativement supérieure à celle des autres producteurs du fait des économies d’échelle réalisées et des prix d’acquisition des matériels qu’ils ont pu négocier. Dès lors, ils sont placés, au regard de l’objet de la loi, dans une situation différente des autres producteurs. Par ailleurs, la différence de traitement contestée est en rapport direct avec l’objet de la loi. Il résulte de tout ce qui précède que l’article 225, qui ne méconnaît pas non plus la garantie des droits, le principe d’égalité devant les charges publiques ou l’objectif de valeur constitutionnelle d’intelligibilité de la loi, ni aucune autre exigence constitutionnelle, doit être déclaré conforme à la Constitution.
Il y a 4 ans et 173 jours

Dossier : Les expositions qui ont marqué 2020

Compte tenu de la crise sanitaire, les lieux culturels sont actuellement fermés. En cette fin d’année bien particulière, Muuuz revient sur cinq expositions qui ont marqué 2020. Christo et Jeanne-Claude. Paris ! au Centre PompidouEn 2020, le Centre Pompidou a consacré une rétrospective au couple formé par Christo Vladimiroff Javacheff (1935-2020) et Jeanne-Claude Denat de Guillebon (1935-2009), mettant à l’honneur les œuvres les plus emblématiques de leur période parisienne. . Le Milieu est bleu au Palais de TokyoAu Palais de Tokyo, l’artiste plasticienne allemande Ulla von Brandenburg (née en 1974) a créé des mondes fictionnels marins et ruraux où elle accorde une grande place à l’imaginaire. Orchestrée par Ulla von Brandenburg en collaboration avec le commissaire Yoann Gourmel, l’exposition invitait les visiteurs à plonger dans l’univers onirique si particulier de la plasticienne. . Dimensions of Reality : Female Minimal à la Galerie Thaddaeus Ropac de PantinÀ la Galerie Thaddaeus Ropac de Pantin, l’exposition Dimensions of Reality : Female Minimal mettait à l’honneur quatorze artistes femmes pionnières de l'abstraction géométrique, longtemps restées dans l’ombre de leurs confrères masculins. Replacer ces artistes femmes dans l’histoire de l’art abstrait, et plus largement dans l’histoire de l’art, tel était l’objet de cet événement inédit. . Erwin Wurm, photographs à la Maison Européenne de la PhotographieÀ la Maison Européenne de la Photographie, l’exposition Erwin Wurm, photographs, la première grande rétrospective consacrée au travail photographique de l’artiste autrichien Erwin Wurm (né en 1954), invitait à découvrir en images son univers absurde, et ses sculptures aussi drôles que réflexives. . Nocturnes à la Fondation Henri Cartier BressonConçue en collaboration avec la galerie kamel mennour, l’exposition Nocturnes à la Fondation Henri Cartier Bresson présentait un corpus inédit d’œuvres de l’artiste espagnole Marie Bovo (née en 1967) : des photographies issues de cinq séries différentes, toutes prises à la tombée de la nuit, magnifiant des villes désertées et des espaces faussement dépeuplés. La rédaction
Il y a 4 ans et 173 jours

Paris lance des initiatives contre le réchauffement climatique

"Nous sommes convaincus que c'est par l'action très concrète, à l'échelle locale qu'on fait bouger et qu'on trouve des solutions pour réduire l'élévation de la température", a plaidé vendredi la maire PS de Paris Anne Hidalgo, au cours d'un forum sur le climat à Paris.Il faut porter de "nouvelles propositions" pour "la préservation de notre planète" et répondre ainsi à "l'espoir de la jeunesse", a poursuivi l'édile en clôture du forum, convaincue que "c'est un nouvel élan qu'il faut donner à l'Accord de Paris".Ainsi, la Ville de Paris va lancer son GIEC, "une instance scientifique qui va regrouper experts en sciences sociales et chercheurs indépendants, de très haut niveau. Jean Jouzel [climatologue français et proche d'Anne Hidalgo] participera à sa création et à la définition de sa composition", a annoncé à l'AFP l'adjoint EELV chargé du Plan Climat, Dan Lert, évoquant un "GIEC Paris" inspiré, à l'échelle de la capitale, du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat mis en place à l'initiative de l'ONU.Cette instance, qui pourra être saisie "par les élus, les associations, les citoyens", "permettra d'éclairer les décisions de la Ville de Paris", a précisé M. Lert."Quels sont les quartiers de la capitale qui sont les plus impactés par le réchauffement climatique?", "quelles sont les rues à végétaliser en priorité?", "quels sont les quartiers où on doit accélérer la transition parce qu'il n'y a pas assez d'espaces verts, qu'il y a des noeuds routiers?", sont autant de questions auxquelles le GIEC devra répondre."A Paris, entre 2004 et 2018, nos émissions de gaz à effet de serre ont baissé de 25%. Désormais, notre défi, c'est l'accélération des politiques de transition écologique. On doit réussir en dix ans ce qu'on a fait en quinze ans", rappelle Dan Lert.Autre nouveauté: sur le modèle de La Rochelle, Paris va créer son "opérateur de compensation carbone". Concrètement, "je suis Parisien et demain je dois prendre l'avion. Je pourrai grâce à cet opérateur de la Ville compenser les émissions causées par mon voyage en finançant des projets bas-carbone à Paris ou dans le bassin parisien", suggère un cadre de la mairie.Des volets aux fenêtresCes annonces surviennent à la veille du cinquième anniversaire de l'Accord de Paris, dans lequel les pays s'engageaient à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à maintenir le réchauffement sous la barre des 2°C, si possible 1,5°C.Or "la France a un retard net sur sa trajectoire: en 2019, la température moyenne du globe est déjà à +1°C et à Paris, elle est à +2,2 par rapport à 1880. Il faut accélérer!", insiste l'élu.Ainsi, l'Hôtel de Ville a décidé de mettre en place une nouvelle "stratégie d'adaptation" face aux événements climatiques extrêmes, comme les vagues de chaleur, en assurant une "végétalisation" de la ville, "la réouverture d'un tronçon de la Bièvre (un ruisseau enterré il y a plus d'un siècle) au cours du mandat", en multipliant "les parcours ombragés" dans les rues, en mettant "en place une centaine de fontaines à boire dès l'an prochain" ou encore en proposant un plan pour poser des volets aux fenêtres des logements.En outre, "nous allons lancer un plan solaire avec installation de panneaux sur nos bâtiments publics (écoles, collèges, équipement sportifs et stades)", ajoute Dan Lert.Annoncée il y a plusieurs mois, l'Académie du climat (lieu de formation, de rencontres entre les associations, d'ateliers...) ouvrira ses portes "en septembre dans la mairie du IVe arrondissement et accueillera des jeunes de 9 à 25 ans", a indiqué l'adjoint à l'Education Patrick Bloche.
Il y a 4 ans et 173 jours

Calendrier des projets de transports publics en Ile-de-France

Voici les dates de mise en service actuellement envisagées pour les projets de RER, métro, tramways et bus en site propre TZen en Ile-de-France."Plus on s'éloigne de 2023, plus la date est indicative", indique-t-on chez Ile-de-France Mobilités, où l'on rappelle que les travaux ont subi plusieurs mois de retards lors du premier confinement.Le calendrier est parallèlement en cours de révision pour le métro du Grand Paris (lignes 15 à 18).14 décembre 2020M14: Saint-Lazare - Mairie de Saint-OuenAvril 2021T9: Porte de Choisy - OrlyFin 2021M4: Mairie de Montrouge - BagneuxAvril 2022M12: Front Populaire - Mairie d'AubervilliersMi-2022 (sans doute plus tard)T13: Saint-Cyr - Saint-Germain-en-LayeFin 2022RER E: Haussmann Saint-Lazare - Nanterre-La Folie2023T3b: Porte d'Asnières - Porte MaillotT10: Croix de Berny - Clamart Jardin-ParisienT12: Massy - EvryM11: Mairie des Lilas - Rosny Bois-PerrierTZen 4: Viry-Châtillon - Corbeil-Essonnes2024M14: Mairie de Saint-Ouen - Saint-Denis PleyelM14: Olympiades - Aéroport d'OrlyRER E: Nanterre-La Folie - Mantes-la-JolieTZen 3: Porte de Pantin - GarganCâble A (téléphérique): Créteil - Villeneuve-Saint-Georges2025T1: Noisy-le-Sec - MontreuilTZen 5: Bibliothèque François-Mitterrand - Choisy-le-Roi2026T1: Montreuil - Val-de-FontenayT1: Quatre-Routes - ColombesEnsuiteT1: Colombes - RueilT7: Athis-Mons - JuvisyT8: Saint-Denis - Rosa ParksT10: Achèvement au nord (le tracé n'est pas défini)T11: Sartrouville - Epinay-sur-Seine et Le Bourget - Noisy-le-SecT12: Massy - VersaillesT13: Saint-Germain-en-Laye - AchèresM1: Château de Vincennes - Val-de-FontenayTZen 2: Sénart - MelunLa Société du Grand Paris estime parallèlement que la crise sanitaire a entraîné "entre trois et huit mois de retard suivant les lignes" pour le Grand Paris Express en construction autour de la capitale.Elle dit s'attacher à "limiter les retards" et annoncera des dates "réalistes" de mise en service "quand la crise sanitaire sera derrière nous", a priori au printemps.Les premiers tronçons des lignes 16 et 17 de Saint-Denis Pleyel au Bourget, annoncés à temps pour les Jeux olympiques de 2024, auraient ainsi pour l'instant entre trois et huit mois de retard, de même que le tronçon suivant de la 16 entre Le Bourget et Clichy-Montfermeil.Idem pour la ligne 15 au sud de Paris, de Pont de Sèvres à Noisy-Champs, prévue avant la pandémie pour l'été 2025.La 18 entre Orly, Massy-Palaiseau et Saclay aurait de trois à cinq mois de retard par rapport à une ouverture prévue de 2026/27.Le dernier tronçon de la 16 entre Clichy-Montfermeil et Noisy-Champs, prévu pour 2028, aurait également entre trois et cinq mois de retard, tandis que celui de la 17 entre Le Bourget et le triangle de Gonesse, suspendu par une décision judiciaire, est pour l'instant annoncé pour 2028.Le reste des 200 kilomètres du métro du Grand Paris est envisagé à l'horizon 2030.
Il y a 4 ans et 174 jours

Le Groupe Poujoulat poursuit ses investissements industriels dans la production de bois de chauffage

Installée sur une friche industrielle (une ancienne filature) à Demangevelle en Haute-Saône, l'usine Bois-Factory 70 produit du bois de chauffage haute performance (écorcé, calibré et séché). Certifiées NF biocombustibles solides, ces produits permettent aux utilisateurs de bois énergie de disposer d'un combustible adapté aux appareils modernes et performants (labellisés Flamme Verte) et répondent ainsi aux enjeux de la qualité de l'air. Le site, d'une surface de dix hectares, est implanté au cœur d'un massif forestier peuplé d'essences feuillues parfaitement adaptées aux exigences de la combustion. La première tranche d'investissements représente 20 millions d'euros (génie civil, machines-outils, chaudière biomasse et premier séchoir). Une seconde tranche d'investissement, de 6 millions d'euros, s'engagera à compter du début de l'année 2021 pour permettre la montée en charge de l'usine. Cette seconde tranche a bénéficié d'une aide du plan de relance au titre du « Fonds d'accélération des investissements industriels dans les territoires » porté par la Préfecture de département et la Conseil Régional Bourgogne Franche-Comté. Le site a, par ailleurs, été soutenu par le fonds chaleur de l'ADEME dès 2015 pour ses investissements permettant d'alimenter le process de séchage. A moyen terme, l'unité de production de Haute-Saône fournira 150 000 stères de bois certifiés, 20 000 m3 de bois d'allumage et 10 000 tonnes de bûches densifiées, permettant de doubler la capacité de production du groupe. L'usine comptera une quarantaine de salariés et participera à la dynamisation de la filière forêt-bois de la région avec près de 150 emplois indirects.« Nous nous inscrivons, avec cet outil, dans le sillon tracé par la Programmation pluriannuelle de l'énergie, à savoir : développer le bois énergie domestique moderne et performant. Pour ce faire, le groupe propose des biocombustibles de toute nature ayant les performances requises pour que cohabitent chauffage au bois et amélioration de la qualité de l'air. Avec le déploiement des appareils modernes labellisés Flamme Verte « 7 étoiles », nos produits répondent aux exigences d'une excellente hygiène de combustion. Notre offre de bois de chauffage certifié est d'ores et déjà un succès, la croissance est au rendez-vous. » Frédéric COIRIER, Président Directeur Général du Groupe
Il y a 4 ans et 174 jours

L’État va débloquer des crédits pour moderniser la ligne ferroviaire Paris-Toulouse

L'État va concrètement consacrer 257 millions d'euros, sur un total de 385 millions, le solde devant être apporté par les collectivités locales, pour des travaux de modernisation qui permettront "de gagner 22 minutes de temps de trajet, afin de mettre Limoges à 2 heures 49 de Paris en 2025", selon le ministère.Cette enveloppe s'ajoute aux 2,2 milliards d'euros qui "ont déjà été sanctuarisés afin de régénérer la ligne et réaliser de premières améliorations", a-t-il noté dans un communiqué.Il s'agit notamment de régénérer les voies d'ici 2025 (1,6 milliard), d'acheter de nouveaux trains au groupe espagnol CAF (450 millions) et d'améliorer la fiabilité et la sécurité de la ligne (140 millions)."Malgré la crise et le contexte sanitaire, le planning des travaux est tenu et les nouvelles rames seront bien disponibles dès 2023", a assuré le ministère.Un plan de modernisation similaire a été lancé pour la ligne reliant Paris à Clermont-Ferrand.
Il y a 4 ans et 174 jours

Nouveau snack à Pompéi : un thermopolium dévoilé

De récentes fouilles ont permis de mettre à jour un thermopolium complet avec des reliefs de repas à Pompéi. Cet établissement servait eau et aliments chauds aux passants à l’instar d’un snack moderne. Les décorations du comptoir partiellement dévoilées en 2019 montraient une Néréide chevauchant un cheval de mer dans un décor marin. Dans cette nouvelle phase de fouille, le comptoir a révélé des représentations de volailles probablement abattues et vendues sur place, des fragments d’os de ces animaux à l’intérieur de conteneurs en terre encastrés dans le comptoir. La représentation d’un chien en laisse servait probablement d’avertissement. Des ossements humains, dispersés à la suite des tunnels creusés au XVIIe siècle, ont été également retrouvés. Plusieurs appartiennent à une personne d’au moins cinquante ans, qui au moment où le courant pyroclastique est arrivé, était très probablement sur un lit, comme en témoignent une série de clous et de résidus de bois trouvés sous le corps. Divers garde-manger et récipients de transport ont été découverts : neuf amphores, un vase en bronze, deux flacons et une jarre de table en terre. Des 80 Thermopolia recensé à Pompéi celui-ci est le mieux conservé. Photo : parc archéologique de Pompéi  
Il y a 4 ans et 174 jours

Rockcomble Evolution et Rockcommerce remportent deux prix des Trophées du Négoce

Lors de la 13ème édition des Trophées du Négoce qui s’est déroulée le 15 décembre à Paris, Rockcomble Evolution a été lauréat de la catégorie Performance thermique. Cette distinction récompense la politique d’innovation de ROCKWOOL et sa solution d’isolation en laine de roche pour faciliter l’isolation des combles aménagés, augmenter le confort de pose et améliorer les performances thermiques et acoustiques. Rockcommerce, a quant à lui été primé dans la catégorie « Services aux négoces/clients ». Lancé en juin dernier, ce service digital sur mesure permet de faciliter la gestion de l’ensemble des services proposés par ROCKWOOL à ses clients.Organisé par Le Moniteur Events, ce concours récompense les meilleures initiatives et innovations de la distribution dans le secteur du bâtiment. Matthieu BIENS, directeur marketing et développement produit de ROCKWOOL,déclare : « Ces deux trophées sont très importants à nos yeux. C’est la reconnaissance de notre transformation digitale avec Rockcommerce et de notre démarche d’innovation continue avec Rockcomble Evolution. Ce sont 2 piliers essentiels de notre stratégie qui sont récompensés ici. »Rockcomble Evolution est commercialisé depuis le mois de juillet 2019. Dans la lignée de Rockplus Premium, ce produit « premium » permet un gain de temps pendant l’installation et un gain de place intérieure une fois installé. C’est une innovation 100 % laine de roche avec un système breveté monocouche et une suspente RC EVO ; un seul panneau pour bénéficier du crédit d’impôt R=6 (m². K/W).Les caractéristiques à retenir de Rockcomble Evolution sont les suivantes :Rapide à installerDoux au toucher et facile à poserAssure un grand confort thermique été et hiver (λ33)Et un confort acoustiquePour Matthieu Biens, « Rockcomble Evolution, c’est toute notre démarche d’innovation continue en 1 système. On trouve dans ce produit aussi bien les bénéfices de nos derniers investissements technologiques à Saint Eloy les Mines avec une laine plus douce et avec de meilleures performances thermiques, que l’approche client avec un système innovant breveté et développé avec notre partenaire SPP PAI pour les suspentes. Le résultat : un gain de temps lors de la pose pour les artisans et pour le particulier une isolation sans compromis – sécurité incendie, confort d’été, acoustique, durabilité et recyclabilité. » Ce produit avait déjà gagné le prix du « produit innovant » au concours Sageret 2020.Rockcommerce, accessible via ordinateur, tablette ou smartphone, est avant tout une plateforme simple et intuitive permettant d’harmoniser et d’optimiser la réalisation des démarches, le tout de manière autonome. Développée et conçue spécialement pour simplifier le quotidien des clients et des commerciaux de ROCKWOOL, la plateforme digitale offre une toute nouvelle expérience en matière d’approvisionnement.En quelques clics, il est désormais possible de consulter l’ensemble des fiches produits, de passer une commande de manière simplifiée, 7 jours sur 7 et 24h sur 24, d’effectuer un tracking en temps réel sur ses livraisons mais aussi de visualiser et d’archiver ses factures. La plateforme propose également de trier les commandes par critères, les modifier ou même les annuler. Elle est accessible sur shop.rockwool.com« Nos métiers, les besoins de nos clients et nos interactions sont voués à évoluer et nous devrons utiliser tous les outils digitaux à notre disposition pour que nos clients bénéficient d’un service exemplaire et à la pointe de la technologie. C’est ce que nous avons voulu avec Rockcommerce : un service multi plateforme, smartphone, tablette ou ordinateur avec une multitude de services dont la prise de commande mais aussi le suivi des commandes et la géolocalisation. », explique Matthieu Biens.
Il y a 4 ans et 177 jours

Les défenseurs de la Butte Rouge à Châtenay-Malabry dénoncent sa "destruction programmée"

Construite à partir des années 30 dans un style minimaliste Bauhaus pour loger les ouvriers de Paris, la Butte Rouge, dans les Hauts-de-Seine, fait l'objet d'un vaste plan de réhabilitation contesté depuis dix ans par les urbanistes."Aujourd'hui, il y a un passage à l'acte. Une modification du PLU (plan local d'urbanisme) vient d'être soumise à l'enquête publique, sans concertation préalable avec la population" a dénoncé l'association Châtenay Patrimoine Environnement."Nous demandons à la ministre de la Culture que la Butte Rouge soit classée comme site patrimonial remarquable", a déclaré à l'AFP Julien Lacaze, président de l'association Sites et Monuments, selon lequel cette décision est attendue d'urgence. Selon les défenseurs de ce site emblématique de l'habitat ouvrier, seulement 15 % de la Butte Rouge (17 bâtiments sur 233) sera préservé à terme si le projet de réhabilitation promu par le maire Carl Segaud (LR) est entériné début janvier par l'Établissement public territorial.Dans une volonté de densification, certaines maisons seront détruites, d'autres surélevées, agrandies à l'arrière, reliées aux maisons voisines, des bâtiments et parkings seront construits, "rompant l'équilibre actuel entre habitat et parc arboré qui fait le charme du site", a expliqué Julien Lacaze.L'ancien maire LR de Châtenay, Georges Siffredi (LR), devenu président du Conseil général des Hauts-de-Seine, avait lancé ce projet afin d'édifier "une cité-jardin du 21e siècle". Selon M. Siffredi et son successeur Carl Segaud, les normes des années 30 ne correspondent plus à celles d'aujourd'hui, des appartements sont trop exigus pour loger les familles nombreuses. Et le quartier, actuellement réservé à 100% de logements sociaux où vivent 10.000 personnes, doit s'ouvrir au secteur privé.Selon l'association Châtenay Patrimoine Environnement, la Butte Rouge va devenir "un quartier de promotion immobilière classique". Il est urgent, pour stopper le projet, que la proposition de classement de la Butte Rouge comme "site patrimonial remarquable" soit acceptée par Roselyne Bachelot, souligne-t-elle.
Il y a 4 ans et 177 jours

Les premiers logements étudiants en bois lancés à Paris-Saclay

CONSTRUCTION BOIS. L'EPA Paris-Saclay a signé un acte de vente avec le groupement mené par Demathieu Bard Immobilier, promoteur immobilier en charge de la maîtrise d'ouvrage du projet de résidence étudiante privée située sur le lot S1.2, au sein de la Zac du quartier de l'Ecole polytechnique. Il s'agit de la première résidence étudiante en bois du campus.