Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

(61943 résultats)
Il y a 4 ans et 164 jours

Jean Nouvel redessine la skyline de la Défense

Bien que très renommé, la Défense n’avait encore jamais eu l’opportunité d’accueillir un bâtiment conçu par Jean Nouvel. La tour HEKLA de 220 mètres qui pousse dans le secteur de la Rose de Cherbourg va redessiner complètement la skyline de la Défense et la rééquilibrer. La tour HEKLA c’est le projet iconique de l’architecte et aussi sa vision du bien-être dans une tour de demain. Il réalise avec cette tour un challenge personnel et ajoute ainsi sa touche personnelle dans le paysage de la Défense. En choisissant un aspect prismatique, Jean Nouvel joue avec les couleurs et les lumières et propose de véritables “éclats de caractère”. Ce projet est bien sûr le résultat d’une collaboration entre l’architecte, Hines et AG Real Estate qui développent le projet ainsi qu’Amundi et Primonial, acquéreurs de la Tour. Avec 76 000 mètres carrés habitables, 48 étages, et 2 518 mètres carrés de terrasses et loggias, HEKLA promet des vues spectaculaires et une lumière naturelle dans tous les espaces. Un rooftop au 49ème étage fera office de jardin suspendu et pourra accueillir des événements d’entreprises, des afterworks ou des réunions informelles. La tour vise l’obtention de six certifications au plus haut niveau possible parmi lesquelles le label HQE, BREEAM ou encore LEED. Cet engagement s’inscrit dans une volonté plus globale d’incarner le “Future in France” et de construire un immeuble de nouvelle génération.
Il y a 4 ans et 164 jours

Château de La Chapelle-Gauthier : 18 mois de travaux de réhabilitation

Le vaste chantier de rénovation du château de La Chapelle-Gauthier sera subventionné dans le cadre du plan de relance. Le début des travaux est prévu en 2021.
Il y a 4 ans et 164 jours

Il y a 300 ans, un gigantesque incendie ravageait Rennes

En ce dimanche 22 décembre 1720, tout est calme à Rennes. La ville, l'une des plus importantes du royaume de France avec ses 40.000 habitants, grâce notamment à l'implantation du Parlement de Bretagne au XVIe, présente une architecture en pans de bois avec des ruelles denses et tortueuses.Rue Tristin, une artère en plein centre-ville désormais disparue, un feu part de l'atelier d'un menuisier. Rapidement, l'incendie devient incontrôlable. Mais pourquoi n'a-t-il pas été contenu comme cela a été le cas ailleurs ?"On a préparé la période hivernale: dans les maisons, il y a beaucoup de bois de chauffage mais aussi des denrées alimentaires hautement inflammables comme des matières grasses, du saindoux, du suif...", avance Gilles Brohan, animateur du patrimoine à l'office de tourisme de Rennes.La nuit est tombée et on est dimanche, un jour chômé où l'on a parfois l'habitude de boire plus que de raison... Aucune véritable aide n'est à attendre des secours, le corps des pompiers n'existant pas encore.Attisée par un fort vent, une "mer de feu", selon les témoignages, consume la cité. Au bout de quelques jours, l'intendant, ancêtre du préfet, ordonne même de... détruire des maisons pour créer des pare-feux.Fin décembre, la pluie, tant attendue, tombe enfin. Le feu est maîtrisé le 30. Si le bilan humain se limite à une dizaine de victimes - la plupart des habitants ayant eu le temps de s'échapper -, le centre n'est plus qu'un amas de ruines fumantes: un millier de maisons détruites, soit 40% de la ville, tandis qu'une trentaine de rues sont rayées de la carte."En Europe, à l'époque moderne, l'incendie de Rennes fut un événement exceptionnel. Si les incendies urbains étaient loin d'être rares, très peu amenèrent une destruction aussi importante", relève l'historien australien David Garrioch, cité dans "Rennes 1720. l'incendie" (PUR).1720, annus horribilisPlace désormais à la reconstruction de la ville. Après avoir dépêché pour s'y atteler un militaire en la personne d'Isaac Robelin, une nomination qui peut faire écho à celle du général Jean-Louis Georgelin pour la restauration de Notre-Dame de Paris, c'est finalement l'architecte du roi Jacques Gabriel qui est nommé, une décision qui flatte l'ego des notables bretons.La reconstruction, qui va durer jusqu'en 1760, s'appuie sur un plan orthogonal, "avec des îlots qui se coupent à angle droit", formant "une ville rationnelle qui tranche avec l'imbrication médiévale", souligne M. Brohan."Le tour de force de Gabriel est qu'il va densifier tout en aérant la ville, qui va gagner en salubrité, en lumière, en espaces publics, avec deux places royales, conçues dans l'esprit des Lumières du XVIIIe", ajoute-t-il.Pour ne pas revivre le traumatisme du feu, les Rennais, très pieux dans cette ville où couvents et congrégations sont en nombre, vont se protéger symboliquement: les niches à vierge, dont beaucoup sont encore visibles, se multiplient.Mais Rennes n'en a pas pour autant totalement fini avec les flammes. En 1994, à la suite d'une manifestation de marins-pêcheurs, le Parlement de Bretagne, monument le plus emblématique de la capitale bretonne, brûle... alors qu'il avait été presque miraculeusement épargné en 1720.Et là où à Londres, "The monument", une impressionnante colonne dorique, rappelle le terrible incendie de 1666, il a fallu attendre 1993 pour qu'un monument commémoratif soit inauguré à Rennes: la fontaine de l'artiste italien Claudio Parmiggiani, installée sur une place où le feu a été stoppé.Reste que cet incendie ponctue une "année 1720 absolument épouvantable", rappelle l'historien Georges Provost, avec en plus une crise financière majeure et la peste en Provence. Une "annus horribilis" 300 ans avant celle de 2020 marquée par une épidémie mondiale, une crise économique et des attentats islamistes.
Il y a 4 ans et 164 jours

Patrimoine : la Mission Bern débloque des fonds pour les projets sélectionnés en 2020

RÉHABILITATION. La mission de sauvegarde du patrimoine tricolore emmenée par l'animateur Stéphane Bern a annoncé ce 6 janvier 2021 avoir accordé 15,2 millions d'euros d'aides aux 101 "sites de maillage" qui avaient été sélectionnés en 2020. Cette enveloppe vient en complément des sommes déjà débloquées par les pouvoirs publics et de l'autofinancement.
Il y a 4 ans et 164 jours

Découvrez les lauréats de l'édition 2020 du concours "Tuile terre cuite architendance"

PALMARÈS. Organisée par la Fédération française des tuiles et briques en partenariat avec le Réseau des maisons de l'architecture, la 5e édition du concours "Tuile terre cuite architendance" a décerné en 2020 sept prix à des projets architecturaux recourant évidemment à ces matériaux mais oeuvrant aussi pour le "vivre-mieux" et le "bien-vivre ensemble". Détails.
Il y a 4 ans et 164 jours

Le 3ème Challenge Start-ups Construction Tech® dévoile ses lauréats

Les membres du jury, qui se sont exceptionnellement réunis de manière virtuelle, ont sélectionné 5 lauréats. Et pour la première fois, 3 mentions spéciales ont été décernées. Les start-ups retenues l'ont été pour la qualité de leurs solutions et pour la réelle valeur ajoutée qu'elles apportent au secteur. À noter que parmi ces lauréats et mentions spéciales, Rebartek AS est originaire de Norvège et Weavair du Canada.Pour cette nouvelle édition, les membres du jury ont tenu à saluer « la mobilisation des start-ups qui ont présenté des dossiers de qualité et des solutions très concrètes. ». Ils ont aussi noté la présence de plus en plus importante de solutions prenant en compte les préoccupations environnementales.Prochaine étape : webinaire le 15 janvier 2021 de 9h00 à 11H00Les tendances des candidatures au 3ème Challenge Start-ups Construction Tech seront décryptées.Les 5 lauréats et les 3 mentions spéciales pitcheront leur solution.Le jury annoncera le Grand Lauréat du 3ème Challenge Start-ups Construction Tech®Pour vous y inscrire : cliquez iciLes lauréatsART & FACT INNOVATION (Catégorie : Impression 3D)Art & Fact Innovation conçoit des pylônes destinés à accueillir les opérateurs de téléphonie mobile, en impression 3D en béton ultra haute performance. Ces derniers sont désignés et architecturaux, et s'intègrent aux paysages. Ils sont personnalisables et adaptables, et bénéficient d'une empreinte carbone plus faible que les mâts traditionnels. Ils peuvent être végétalisés ou peints.Les partenaires de Art & Fact Innovation sont des structures spécialistes dans leur domaine : Ingénierie : Lamoureux et Ricciotti / Impression 3D : XtreeE / Montage : FreyssinetFondateur : Denis WEHRLÉAnnée de création : 2018Site internet : artetfact.euKEYCLIC(Catégorie : Smart Building)Keyclic est une plateforme collaborative qui simplifie la gestion d'incidents au quotidien. 100 % digitale cette plateforme permet de gérer les services post livraison d'un programme immobilier répondant à 3 enjeux majeurs de ces périodes :La clarté et la simplicité des demandesL'efficacité dans le traitementLa satisfaction des clientsFondateurs : Baptiste YVENAT et Julien BOYÉAnnée de création : 2014Site internet : keyclic.comPANGA(Catégorie : Smart City)Actuellement, la plupart des données sont envoyées et traitées dans le Cloud, avant d'être renvoyées et utilisées à leur point de départ : c'est ce qu'on appelle le Cloud Computing. Panga est convaincu que l'avenir de l'IoT passe par l'Edge Computing : traiter la donnée là où elle est produite. Panga développe une solution pour Smart Building et Smart City basée sur une architecture réseau locale unifiée pour les bâtiments et les quartiers, construite sur des systèmes distribués, sécurisés et résilients (Grid & Edge computing) afin de délivrer des services aux usagers.Fondateur : Patrick SIMONAnnée de création : 2015Site internet : panga.frQARNOT BUILDINGS(Catégorie : Énergie renouvelable)Qarnot a été fondé il y a près de dix ans autour d'une idée écologique et de bon sens : valoriser la chaleur perdue des serveurs informatiques pour chauffer des bâtiments, dans une logique d'économie circulaire numérique : la chaleur, déchet des uns dans l'informatique devient la ressource précieuse des autres dans le bâtiment. Ainsi, Qarnot a créé des datacenters à placer directement dans les bâtiments, sous forme de radiateurs (pour chauffer les pièces) et de chaudières (pour chauffer l'eau) pour chauffer écologiquement grâce à la chaleur dégagée par le calcul informatique. Dans cette logique d'écologie et d'économie, Qarnot a aussi développé un logiciel de gestion énergétique pour le bâtiment.Fondateurs : Paul BENOIT et Miroslav SVIEZENYAnnée de création : 2010Site internet : qarnot.comREBARTEK AS(Catégorie : Robotique)Rebartek est une startup qui conçoit et préfabrique des barres d'armatures automatiques. Rebartek est spécialisé dans le domaine de la robotique. La solution est construite en deux temps : premièrement, un robot permet de construire la structure des barres d'armatures, qui est ensuite installée sur le chantier. À défaut d'assembler chaque barre à la main, le robot peut-lui-même les assembler et construire « l'armature ». Cette solution permet de gagner en temps et en main d'œuvre. La deuxième partie de la solution est un logiciel automatisé. Cela permet de personnaliser complètement les plans des structures des « armatures » et de donner les instructions au robot. Grâce à ce logiciel automatisé, Rebartek économise 20 % des matériaux.Fondateur : Max TROMMERAnnée de création : 2018Site internet : rebartek.comMentions spécialesBIOXEGYmention spéciale « Green tech »Le bio mimétisme est une approche R&D / R&I inédite qui consiste à s'inspirer de l'ingéniosité des mécanismes du vivant. Bioxegy est un bureau d'études et d'ingénierie spécialiste du bio mimétisme. Il intervient auprès de grands groupes, ETI et PME, tous secteurs confondus, en France et en Europe.Fondateurs : Sidney ROSTAN et Simon de MYTTENAEREAnnée de création : 2018Site internet : bioxegy.comCUEILLETTE URBAINEmention spéciale « Agriculture urbaine »Cueillette Urbaine propose la vente et l'exploitation de fermes urbaines productives et écologiques clés en main, l'installation de potagers participatifs en entreprise et l'animation d'ateliers sur la sensibilisation à l'écologie et la cuisine de saison.Fondateurs : Paul ROUSSELIN et Pierre-Frédéric BOUVETAnnée de création : 2016Site internet : cueilletteurbaine.comWEAVAIRmention spéciale « Qualité de l'air »La solution de Weavair est un dispositif de capteurs intelligents, ainsi qu'un logiciel de prédiction pour les systèmes de distribution de l'air permettant de réduire le risque de transmission des maladies et participer à la baisse des coûts.Fondateur : Natalia MYKHAYLOVAAnnée de création : 2018Site internet : weavair.comProchaines étapes :15 janvier 2021 : Pitch des lauréats et élection du Grand Lauréat ;Mise en ligne de tous les candidats dans l'Annuaire Digital Construction Tech® ;3 au 6 octobre 2022 : Présence du Grand Lauréat sur le secteur Construction Tech® à BATIMAT.Le Jury du Challenge Start-ups Construction Tech®Stéphanie Bigeon-Bienvenu : Directrice de la communication et du digital, OPPBTP (l’Organisme Professionnel de Prévention du Bâtiment et des Travaux Publics) ;Solène Bordenave : Senior consultant, Impulse Partners ;Delphine Eyraud-Galant : Déléguée Smart Up Bâtiments, Gimélec;Emilie Garcia : Responsable financement innovation, BPI France ;Emmanuel Natchitz : Directeur du développement, ESITC Paris ;Franck Le Nuellec : Directeur marketing, développement et innovation stratégique, CCCA-BTP ;Guillaume Sever : Responsable suivi des participations, BPI France ;Ara Shahnazaryan : Conseiller en stratégie et transformation numérique, S.H. Conseil ;Thomas Volpi : Directeur, Houzz ;Bénédicte Winter : Senior Manager Energy, Building & Environmental Technologies, GTAI (Germany Trade & Invest).
Il y a 4 ans et 164 jours

Un premier accord régional de relance à plus de 5 milliards d’euros signé à Toulon par Jean Castex

Le Premier ministre Jean Castex était le 5 janvier à Toulon, dans le Var, pour signer un premier accord régional de relance avec Renaud Muselier, le président de la région Sud, Provence-Alpes-Côte d’Azur et président des régions de France. Dans la foulée, les deux hommes ont signé un contrat d’avenir. Cette nouvelle génération de contrat de projet Etat-région détaille les investissements prévus par chacune des deux parties sur la période 2021-2027 pour un montant total de 5 milliards d’euros.
Il y a 4 ans et 164 jours

Fondasol intègre Prodétis

Le groupe d'ingénierie conseil expert de la géotechnique a fait l'acquisition de son homologue Prodétis (25 collaborateurs, 3,3M€), spécialisée dans les domaines des études d’exécution des ouvrages de génie civil, des ouvrages d’art, des ouvrages industriels et des ouvrages souterrains.
Il y a 4 ans et 165 jours

Décès de Carolina Bueno, co-fondatrice de Triptyque Architecture

L’architecte Carolina Bueno, co-fondatrice de l’agence Triptyque Architecture s’est éteinte dans la nuit du... Cet article Décès de Carolina Bueno, co-fondatrice de Triptyque Architecture est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 165 jours

Watts enrichit sa gamme de vannes iDROSET Séries CF pour l'équilibrage des réseaux d’eau chaude sanitaire avec une version certifiée ACS

Avec sa gamme iDROSET Séries CF commercialisée il y a 1 an, Watts permettait d’ores et déjà aux professionnels de répondre à cette exigence sur les réseaux chauffage.Aujourd’hui, Watts va plus loin et présente une version certifiée ACS de sa vanne iDROSET, spécialement conçue pour équiper les réseaux bouclés d’Eau Chaude Sanitaire.Une solution fiable pour l’équilibrage du bouclage d’ECSPlus complexe que sur une installation de chauffage et climatisation, l’équilibrage d’un circuit Eau Chaude Sanitaire nécessite d’installer et de régler précisément, sur chacune de ses boucles, une vanne d’équilibrage de façon à obtenir un débit calculé conformément au DTU (NF DTU 60.11 P1-2 du 10 Août 2013). Pour éviter des imprécisions de réglage et tout risque de colmatage, l’ouverture de la vanne doit correspondre à un passage de fluide d’au moins 1 mm.Pour aider les professionnels à réussir cette opération dans les installations intérieures des bâtiments à usage d’habitation ou de bureaux, Watts propose une version certifiée ACS de sa gamme de vannes iDROSET Séries CF. Délivrée par la Direction Générale de la Santé, cette Attestation de Conformité Sanitaire autorise ainsi son utilisation pour l’équilibrage des réseaux d’eau destinée à la consommation humaine.Une technologie brevetée pour un étalonnage précisA la conception innovante, les vannes d’équilibrage disposant de l’agrément ACS bénéficient des mêmes avantages que l’ensemble de la gamme iDROSET Séries CF de Watts :une technologie brevetée qui garantit un ajustement millimétré du niveau de débit requis et offre une plage de débit exceptionnelle (rapport de débit de 25:1)un cadran indiquant le changement de débit en temps réel qui rend plus rapide le réglage de toutes les vannes ainsi que la lecture du débit sans avoir à utiliser un appareil supplémentaire6 références permettant de couvrir un large éventail de débits allant de 35l/h min à 10.000 l/h maxi, munies d’écrous tournants compatibles avec tous les types de canalisationsAvec une pression nominale d’une valeur de 16 Bar et une température de service de -10 à 110°C, les vannes d’équilibrages iDROSET Séries CF en version ACS allient performance, simplicité et gain de temps.Autre nouveauté, pour la conception et le dimensionnement des réseaux hydrauliques en rénovation, Watts propose en complément une nouvelle version à raccordement taraudé ISO 228 F/F, spécialement développée pour palier aux difficultés de raccordement dans les espaces exigus.En enrichissant ainsi sa gamme de vannes d’équilibrage statiques avec deux nouvelles versions, ACS et F/F, Watts apporte une solution globale quels que soient les réseaux, chauffage comme eau chaude sanitaire.
Il y a 4 ans et 165 jours

Rheinzink accompagne le projet d'une famille à Flagey-les-Auxonnes (21)

Du premier coup de crayon, en 2017, à la finalisation de cette maison posée à Flagey-Les-Auxonnes (Côte d'Or), en Bourgogne, beaucoup de chemin a été parcouru. Aidé par l'architecte Cédric Le Saulnier, de l'agence Art&Fact, Baptiste Fournier, entrepreneur et charpentier, et sa femme Elena, qui gère avec lui, leur entreprise spécialisée dans les structures en panneaux de bois massif lamellés-croisés, ont pu réaliser leur projet en l'espace de trois ans.Celui-ci s'incarne donc dans une maison avec toit-terrasse de 345 m² réunissant 9 pièces réparties entre un espace jour et un espace nuit comprenant 5 chambres, afin de s'adapter aux contraintes d'une vie de famille. À cet ensemble, s'ajoute un studio attenant, prévu pour recevoir famille et amis.En tant que spécialistes, Baptiste et Elena Fournier ont souhaité construire leur maison selon leurs exigences. L'une de leur priorité était le fait que leur maison s'inscrive dans une démarche de développement durable. Une attention toute particulière a donc été accordée à l'isolation et au mode de chauffage et de ventilation, avec notamment l'utilisation de panneaux isolants en laine de bois, un poêle à granules et un système de VMC Double-Flux, pour en faire une maison passive.Pour habiller les différentes façades et toitures, les entrepreneurs-artisans ont fait appel à RHEINZINK suite à une rencontre sur un stand sur le salon Batimat. « En tant que professionnels de la couverture, nous avions forcément beaucoup de questions techniques » indiquent les deux entrepreneurs, « et la qualité des réponses de RHEINZINK nous a directement convaincu ».Ils ont choisi le zinc prePATINA ardoise pour leurs façades est-ouest. « L'évolution des couleurs en fonction de l'intensité lumineuse donne un côté vivant à la maison, ce que nous recherchions » explique Elena Fournier. Ainsi, tout l'acrotère est en zinc à joint debout en largeurs aléatoires. Sous cette façade, plusieurs épaisseurs de laine de bois, flexible et rigide, viennent isoler la maison. Les façades nord et sud sont en panneaux composites, afin d'alterner les matériaux pour casser l'uniformité de la maison.Enfin, la qualité du zinc est saluée par le couple qui a réalisé elle-même la pose : « L'épaisseur fine du matériau permet un travail et une découpe facile afin de pouvoir façonner des bacs en largeur aléatoire », indique Baptiste Fournier. Ainsi 5 à 6 formes différentes ont été façonnées, afin de correspondre parfaitement aux contraintes architecturales du projet. Le chantier devrait être achevé pour la fin d'année 2020.
Il y a 4 ans et 165 jours

SPIE France dynamise sa politique RH au bénéfice de ses collaborateurs

La démarche concerne la valorisation des évolutions de carrière dans un groupe ambitieux et en pleine transformation. Chaque collaborateur a les moyens de construire sa trajectoire et de se projeter au sein des différentes filiales de SPIE France. Tous ont désormais une vision globale de leur fonction, ils visualisent précisément les compétences attendues et évaluent mieux celles qu’ils doivent développer et comment le faire.Lancée en février 2019, cette démarche permet d’optimiser la gestion des compétences, de préparer les évolutions professionnelles et organisationnelles. Marqueur de la transformation de SPIE France, le projet s’est tout d’abord constitué sur un socle de 5 communautés professionnelles : Offres et actions commerciales – Management de Centres de profits / Gestion des affaires et projets – Chantiers Opérations (travaux, maintenance et management de chantiers) – Etudes – Experts.L’ensemble de ces communautés représente 10 filières et 62 fonctions. 80% des métiers opérationnels de SPIE France ont été étudiés et ont donné lieu à la réalisation d’un référentiel commun.Chaque fonction a fait l’objet d’une présentation en 5 parties créant un référentiel commun pour la description de la fonction, les compétences transverses et métiers nécessaires, les perspectives d’évolution au sein de chaque filière, les passerelles inter-métiers au sein de chaque filiale et de SPIE France et les parcours de formation.Les objectifs de la démarche sont les suivants :Mettre en adéquation les ressources humaines d’aujourd’hui et les besoins en compétences de demain en lien avec le plan stratégique de SPIE France et de ses filialesRendre plus lisibles les métiers et les évolutions possibles au sein des filiales et des filières de SPIE FranceOptimiser le recrutement des équipes opérationnelles et managérialesRendre les collaborateurs les acteurs de leur évolution en leur permettant d’évaluer les opportunités qui leur sont offertesCartographier les compétences attendues pour chaque fonction, tracer la progression pour chacune d’entre ellePromouvoir la mobilité interne entre les filiales et les filièresLe référentiel des fonctions et des compétences désormais déployé pour les 62 fonctions opérationnelles, en cours de réalisation pour 45 fonctions supports, est accessible via le Système d'Information Ressources Humaines (SIRH) pour l’ensemble des collaborateurs et managers. Tous disposent d’un socle commun particulièrement utile lors des entretiens annuels d’évaluation, des entretiens professionnels ou de l’intégration des nouveaux collaborateurs.Pour construire ce dispositif, SPIE France a choisi le mode collaboratif et s’est inscrit dès le début des travaux dans une démarche très opérationnelle en appui sur 13 ateliers, chacun composé d’un sponsor membre d’une filiale, d’un pilote RH et de 4 à 5 opérationnels issus de différents métiers et filiales. Au total, une centaine de collaborateurs ont conduit un diagnostic pertinent des métiers et des compétences.Les responsables des ateliers se sont régulièrement réunis pour partager les avancées de leurs travaux et formaliser leurs contributions respectives. Les résultats ont été recueillis et synthétisés dans le « book GDC » présenté aux dirigeants de SPIE France, à l’occasion d’un séminaire de direction.Ce livrable est destiné aux collaborateurs, aux managers, aux futurs candidats et aux représentants de la filière RH. Il est aussi utilisé en externe par les futurs candidats et les ambassadeurs Ecoles pour mieux maîtriser les métiers des filiales et promouvoir les besoins en compétences au sein des 34 écoles partenaires de SPIE France.« L’implication des opérationnels dans la démarche a été déterminante. L’adhésion a dépassé nos attentes et a permis une contribution collective d’une grande utilité pour qualifier les compétences et explorer de manière très concrète le périmètre de chacune des fonctions », indique Patricia Léné, responsable développement ressources humaines et diversité chez SPIE France et chef de projet GDC. « L’ensemble de cette démarche valorise la mobilité interne des collaborateurs au niveau national ou au sein d’un même bassin d’emploi. Le contexte économique actuel, très complexe, qui nécessite une grande agilité a révélé l’efficacité de la démarche qui nous a permis d’accompagner les collaborateurs et de répondre rapidement aux enjeux d’adaptation des compétences aux besoins du marché », conclut Olga Martin-Jarousse, directrice des ressources humaines de SPIE France.
Il y a 4 ans et 165 jours

Le logiciel de facturation Obat partenaire du site de vente en ligne pour les professionnels du bâtiment Warmango.fr

Concrètement, l'objectif est désormais de gagner du temps et d'améliorer la gestion des ressources (financières, matérielles et humaines) pour être plus compétitif.En effectuant leur transition digitale, tous les acteurs du bâtiment peuvent profiter d'outils & de services innovants et simples, capables de les assister au quotidien.Dans ce contexte, le logiciel de facturation Obat lance un partenariat avec Warmango.fr, un site de vente en ligne de fournitures et matériaux pour les professionnels du bâtiment.Ce partenariat riche de sens, puisque animé par des valeurs communes et des services très complémentaires, va permettre à tous les pros de découvrir des outils très performants et intuitifs, tout en réalisant des économies substantielles.Accompagner les artisans du BTP vers une gestion du bâtiment digitale et simplifiéeLe partenariat entre Obat et Warmango.fr s'est imposé comme une évidence : ces deux acteurs spécialisés dans l'administratif pour l'un et la distribution de matériaux pour l'autre partagent la même volonté d'accompagner les artisans dans la gestion de leur entreprise.Obat propose donc une réduction de 20% aux clients de Warmango.fr pendant toute la première année de leur abonnement. Ils auront aussi un accès privilégié à toute l'actualité et aux offres spéciales de Warmango.fr, directement depuis leur compte Obat.fr.Quant aux clients Obat, ils vont pouvoir profiter d'une remise de 5% sur l'ensemble de leur panier chez Warmango.fr. Cette promotion est valide sur les 10 premières commandes passées sur la plateforme.Pour bénéficier de cette réduction avantageuse, rien de plus simple ! Il suffit :de prendre contact avec un conseiller Obat ou Warmango. afin d'obtenir son code promo ;de créer un compte sur l'une des deux plateformes ;et de rentrer le code lors de son inscription sur Obat ou au moment de valider son panier sur Warmango.fr.Warmango.fr : les matériaux de plomberie, de chauffage et d'électricité en ligneWarmango.fr est un distributeur de matériaux de plomberie, de chauffage et d'électricité en ligne.Sa mission est d'offrir à ses clients un large choix de produits de marques au meilleur prix ainsi que des promotions toute l'année. Le tout, livré rapidement et partout en France, et si besoin avec l'assistance d'un commercial disponible à tout moment.L'idée est de permettre aux entreprises du BTP de gagner considérablement en compétitivité sur un marché de plus en plus concurrentiel.Son offre produit comporte actuellement 20.000 références, disponibles 24h/24 et 7j/7, à des prix de 10 à 30% moins chers qu'ailleurs.Obat, le logiciel digital qui simplifie la gestion d'entrepriseObat est un logiciel de facturation "nouvelle génération" pour les artisans indépendants, les TPE et les PME du bâtiment.Lancé début 2019, il propose de nombreuses fonctionnalités visant à simplifier le quotidien des professionnels du BTP et à leur faire gagner du temps sur la gestion de leur entreprise, à travers la création de devis et de factures et le suivi de chantier.Moderne, évolutif et très facile à prendre en main, il permet notamment :de transformer les devis en factures en un clicde créer très simplement des situations de chantier et d'améliorer la trésoreriede profiter de 30.000 libellés d'ouvragesde personnaliser facilement tous les documentsde générer et de remplir automatiquement les attestations de TVAde faire signer les devis directement en lignede visualiser les marges à la création du devis pour être compétitif et améliorer son résultatde relancer les impayésd'accéder au logiciel facilement via une tablette, un ordinateur ou un mobiled'exporter tous les documents au format comptableObat a été imaginé pour éviter aux professionnels du bâtiment de perdre un temps précieux sur les tâches redondantes. Ainsi, ils peuvent se concentrer sur ce qui fait le cœur du métier d'artisan : le travail manuel et la proximité avec ses clients. Le chiffre d'affaires suivra tout seul !Franck Asseray, co-fondateur et directeur commercial d'Obat
Il y a 4 ans et 165 jours

Appel à projets pour une surveillance intelligente des ponts

Le centre d'études Cerema (1) lance un appel à projets "ponts connectés" visant à recenser les dernières innovations pour surveiller intelligemment l'état des ouvrages d'art.
Il y a 4 ans et 165 jours

Patrimoine archéologique pillé : une saisie douanière record

Une enquête menée en coopération avec les autorités belges, les services déconcentrés du ministère de la culture et la douane, a permis la saisie de 27 400 objets classés biens culturels. Cette saisie de pièces archéologiques pillées est à ce jour une des plus importantes jamais réalisée en France. En septembre 2019, un résident français en Belgique déclare la découverte fortuite sur son terrain d’un trésor monétaire composé de 14 154 pièces de l’époque romaine. L’examen de ces pièces conduit les autorités belges à remettre en cause la véracité de ce récit et à partager leurs soupçons avec la Drac de la Région Grand Est. Celle-ci se tourne alors vers la direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED), en charge de la lutte contre les trafics de biens culturels. C’est lors d’une visite domiciliaire que les enquêteurs des douanes, accompagnés d’archéologues de la DRAC Grand-Est découvrent un ensemble de pièces archéologiques d’une qualité exceptionnelle. Parmi les objets saisis, figurent des bracelets et torques (colliers) datant de l’âge du Bronze et de l’âge du Fer, un dodécaèdre romain dont il n’existe qu’une centaine d’exemplaires connus et dont l’utilisation demeure une énigme archéologique, mais également des fibules romaines, des boucles de ceintures mérovingiennes, médiévales et de la Renaissance, des éléments de statues, des monnaies romaines et gauloises pillées dans des ateliers de fabrication référencés comme sites archéologiques. Au total, 13 246 objets sont saisis. Les enquêteurs obtiennent à cette occasion confirmation que le trésor monétaire à l’origine de leurs soupçons est bien issu de divers pillages en France. Photo : Drac de la Région Grand Est  
Il y a 4 ans et 165 jours

Découverte du corps exceptionnellement conservé d’un abbé du XIIIe siècle

Des fouilles archéologiques menées sur autorisation de l’État (préfet de région) sur le site de l’ancienne abbaye Saint-Médard de Soissons dans l’Aisne, dont la crypte est classée au titre des Monuments historiques depuis 1875 ont permis la découverte du corps d’un abbé. Sous la dalle funéraire de l’abbé Albéric de Braine, décédé le 3 mai 1206, la tombe a été découverte dans un exceptionnel état de conservation. En ouvrant ce caveau, le 28 octobre 2020, l’équipe de fouille a constaté que la hampe de la crosse, le grand manteau brodé qui enveloppait le corps de cet homme d’église et ses chaussures étaient conservés. Un mystère pour les archéologues : le visage était recouvert par une tôle de plomb et la tête reposait sur un oreiller également en plomb. ARC-Nucléart, atelier de recherche et de conservation au Commissariat à l’Énergie Atomique et aux Énergies Alternatives de Grenoble, a réalisé un prélèvement de cette sépulture, son traitement par irradiation gamma et son stockage. Le prélèvement a été réalisé mardi 15 décembre 2020, le transport et le traitement ont été engagés dès le lendemain. En 2021 la phase 2, sera consacrée à la fouille , à l’étude et à la restauration de cet ensemble afin d’identifier précisément cet individu et les rituels funéraires, qui caractérisent cette inhumation. Une analyse ADN et une datation par mesure de radiocarbone seront réalisées. Une étude de l’histoire d’Albéric de Braine et de sa famille, très présente dans le Soissonnais aux XIIe et XIIIe siècles, sera également engagée aux Archives nationales de France. Une grande exposition, du type « de la fouille au musée », est dès à présent envisagée. Pour le financement de cette importante phase 2, il sera fait appel au mécénat. L’association « Abbaye Royale Saint-Médard de Soissons », qui a en charge, aux côtés de la Ville de Soissons, la sauvegarde et la valorisation du site, sera également associée à cette opération. Photo : Drac Hauts-de-France  
Il y a 4 ans et 165 jours

La création architecturale au service du patrimoine

Après la réussite de la rénovation du musée d’Unterlinden, à Colmar, ou de la conception du Centre national du Graphisme, à Chaumont, deux nouveaux édifices régionaux emblématiques vont être l’objet d’ambitieux programmes architecturaux : : la Cathédrale d’Angers et l’Ecole nationale supérieure d’architecture de Toulouse (ENSAT). Ce double événement met en lumière le dynamisme du secteur architectural et démontre, une fois de plus, la fécondité du dialogue entre création architecturale et patrimoine. Figure majeure de l’architecture contemporaine, le Japonais Kengo Kuma s’inspire de la nature pour concevoir des édifices qui se fondent dans leurs environnements. En parallèle de son intervention sur la Gare de Saint-Denis Pleyel, toujours en cours, le prolifique architecte s’apprête à donner à la Cathédrale d’Angers de nouveaux contours. L’objectif de cette commande du ministère de la Culture ? Protéger le portail occidental du monument, orné de rares polychromies médiévales qui, suite à leur découverte en 2009, ont fait l’objet d’une ambitieuse restauration. Après plusieurs études historiques et archéologiques, les données recueillies n’ont pas été jugées suffisantes pour envisager une reconstitution à l’identique de la galerie ancienne, ouvrant ainsi la voie à une création contemporaine. Constituée d’arches et d’ouvertures, la galerie imaginée par Kengo Kuma sera dotée d’une esthétique sobre et épurée. Elle s’intégrera harmonieusement au reste de la cathédrale, tout en préservant durablement les décors sculptés de son portail. Auteur de l’architecture de nombreux lieux de mémoires – tels que le musée de la bataille de Valmy dans la Marne, le musée de la Guerre 14-18 à Lens ou encore le centre européen du résistant déporté – Pierre-Louis Faloci a toujours veillé à composer avec le paysage et l’histoire des lieux. Son projet de réhabilitation de l’ENSAT permettra de répondre aux besoins de développement de l’établissement et de ses activités de recherche. Il inclura la réhabilitation des bâtiments existants ainsi que la création de près de 2 500 m² supplémentaires, tout en assurant un renouvellement du paysage urbain. Fidèle à ses convictions, l’architecte souhaite en effet renforcer l’ENSAT dans son inscription dans le quartier en créant un large parvis et une traversée piétonne qui connectera le quartier haut des Pradettes avec le parc du château de l’Université Toulouse – Jean Jaurès en contrebas. En remodelant l’environnement de l’école, l’intervention de Pierre-Louis Faloci devrait donc profite, au-delà des étudiants de l’école, à l’ensemble des toulousains. Le portail polychrome de la cathédrale d’Angers protégé par une galerie signée Kengo Kuma Concours international d’architecture pour un portail de la cathédrale d’Angers   Le Grand Prix national de l’architecture 2018 a été attribué à Pierre-Louis Faloci
Il y a 4 ans et 165 jours

La nef de la cathédrale de Montauban fissurée

Le 30 octobre 2020, les agents de l’Unité Départementale de l’Architecture et du Patrimoine (UDAP) du Tarn-et-Garonne ont noté, à l’occasion d’une visite de contrôle, l’apparition d’importantes fissures à l’extrémité occidentale de la nef de la cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption de Montauban. Les agents ont immédiatement informé la Conservation régionale des monuments historiques de la Drac Occitanie. Au regard des lézardes constatées, particulièrement visibles entre les fenêtres hautes et les grandes arcades de la première travée du monument, il semble que le massif occidental – comprenant la façade, la tribune d’orgue et les deux clochers – a connu très récemment un important mouvement structurel qui l’a désolidarisé du reste de l’édifice. L’entreprise Relano, missionnée par l’architecte des bâtiments de France, a commencé à poser une dizaine de témoins en plâtre pour vérifier si les désordres sont stabilisés ou s’ils sont toujours actifs. La CRMH a commandé une mission en urgence à l’architecte en chef des Monuments historiques, maître d’œuvre afin que la cathédrale soit appareillée (capteurs, fissuromètres, etc.), qu’un système d’alerte soit mis en œuvre et qu’un diagnostic structurel soit établi. En fonction de l’analyse de l’ACMH, une stabilisation en urgence pourrait être prescrite. Photo : Drac Occitanie  
Il y a 4 ans et 165 jours

Le Centre architectonique de la Fondation Vasarely à Aix-en-Provence est « Musée de France »

Soutenue dès 2009 par la DRAC PACA, le Centre architectonique de la Fondation Vasarely a reçu l’appellation Musée de France en 2020 après un classement MH en 2013. Une reconnaissance pour les œuvres de Victor Vasarely et leur mise en valeur architecturale. L’arrêté du 10 décembre attribuant l’appellation, suite à la tenue du Haut Conseil des musées de France en date du 1er décembre 2020, conclue une dynamique de développement et de mise en valeur du Centre, notamment par le soutien du ministère de la Culture (DRAC PACA) depuis 2009. Les « musées de France » sont des musées agréés par l’État et bénéficiant prioritairement de son aide, selon les termes de la loi du 4 janvier 2002. L’Appellation « Musée de France » peut être accordée aux musées appartenant à l’État, à une autre personne morale de droit public ou à une personne de droit privé à but non lucratif. Photo : JP Juigner  
Il y a 4 ans et 165 jours

Florence Lipsky, lauréate 2020 du Prix Femme Architecte

Dans un communiqué daté du 5 janvier, l’agence Triptyque architecture annonce le décès de sa cofondatrice, Carolina Bueno, à l’âge de 46 ans, des suites d’une longue maladie. Créée en 2000, l’agence Triptyque est née de la rencontre de ses quatre associés, Carolina Bueno, Grégory Bousquet, Olivier […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 165 jours

Château de la Belle au Bois Dormant, en rénovation à partir de janvier 2021

Disneyland Paris prévoit de grands travaux sur le château de la Belle au Bois Dormant. Le chantier débutera au mois de janvier.
Il y a 4 ans et 165 jours

Dossier : Petits espaces, grandes idées

Difficiles à aménager, les petits espaces inspirent les architectes et décorateurs les plus aguerris. Cette semaine, la rédaction vous dévoile quatre petits intérieurs fonctionnels, confortables et tendance. Un studio d’étudiant par StudiokokumiDe l'art de ne modifier que l'essentiel. Ainsi pourrait être résumée l'œuvre du Studiokokumi, qui signe la restructuration d'un petit appartement parisien de 25 mètres carrés dans le 4ème arrondissement de Paris. Le principe ? N'intervenir que sur la moitié de la surface pour optimiser l'intégralité du bien. . Un petit appartement par Ubalt ArchitectesÀ Paris, dans le 20ème arrondissement, les architectes Mylène Vasse et Nastasia Potel ont réinventé un appartement de 62 mètres carrés avec fantaisie. Attentives au potentiel de ce petit espace, les architectes ont valorisé sa distribution, sa luminosité et sa vue sur la ville, en créant transparences, reflets et perspectives. . Une garçonnière par eliiÀ Madrid (Espagne), l'agence elii transforme un studio de 34 mètres carrés en un petit appartement convivial et contemporain. Une garçonnière entièrement réaménagée, en plan et en coupe, comme son nom l'indique « Yojigen Poketto », littéralement « poche en quatre dimensions » en japonais. Un qualificatif tout trouvé... . Un penthouse par AMOOÀ Barcelone (Espagne), dans le quartier de Gràcia, l’agence d’architecture AMOO vient de rénover un penthouse de 60 mètres carrés. Niché au dernier étage d’un édifice historique, le penthouse Providència, rénové par Aureli Mora et Omar Ornaque, est un rectangle divisé en deux espaces distincts : la salle de séjour et les espaces de vie intime. La rédaction
Il y a 4 ans et 165 jours

Le maire de Belfort estime que la position du gouvernement sur l'usine GE est "éloignée de la réalité"

GE a multiplié ces derniers mois les plans sociaux et M. Meslot a récemment estimé que le groupe américain aurait supprimé "plus de 1.200 emplois directs" à Belfort sur les 4.300 personnes que comptait le site en 2015.L'élu avait fait part de ses craintes à la ministre en octobre. Mme Pannier-Runacher lui a répondu, par une lettre du 15 décembre que l'AFP a pu consulter."Le bassin d'emplois belfortain, qui dispose de compétences rares dans les métiers du nucléaire, et d'un tissu d'entreprises structuré autour de la Vallée de l'Énergie, a naturellement vocation à bénéficier" du plan de relance de la filière nucléaire, estime la ministre. Cela "permettra de maintenir et développer un outil industriel qui a joué et jouera un rôle clé pour l'édification de notre système électrique".Mme Pannier-Runacher souligne la "totale vigilance" du gouvernement pour que les salariés bénéficient de "solutions constructives (...) à la hauteur des moyens" de GE. Elle souhaite aussi "contribuer à la diversification des activités en capitalisant sur les compétences uniques du territoire", et met en avant notamment la nouvelle filière de l'hydrogène.Elle annonce enfin la mise en place d'un comité de pilotage, dont sera membre la commune de Belfort, "pour coordonner l'ensemble des initiatives".Des assurances qui restent insuffisantes pour Damien Meslot: "Si ces mots sont effectivement suivis d'effets, je serais rassuré, voire satisfait, pour l'emploi et pour nos habitants. Je crains toutefois que ce discours soit éloigné de la réalité", note-t-il."Je ne serais réellement rassuré que dans le cas où les activités présentes à Belfort seraient rachetées par un consortium autour du groupe EDF", souligne-t-il. "C'est la seule solution qui permettrait de mettre en oeuvre une politique industrielle de l'énergie qui protégerait le savoir-faire et les compétences en France.""En ce qui concerne les moyens consacrés au domaine de l'hydrogène, nous verrons quelle part des 9 milliards d'euros d'investissements prévus en France d'ici 2030 bénéficiera à notre département", conclut le maire de Belfort.
Il y a 4 ans et 165 jours

Pour certains salariés le télétravail n'est plus tenable

"Cinq jours sur cinq, c'est plus tenable!", tant physiquement, avec "des douleurs qui arrivent de partout" faute d'exercice, que psychologiquement, rapporte à l'AFP Claude (prénom modifié), salariée chez EDF dans la région lyonnaise. "J'ai l'impression d'être au bord de la dépression alors que j'ai jamais été comme ça. Je suis chez moi, je me mets à pleurer devant mon ordinateur", confie cette femme de 51 ans.Depuis la fin octobre, le protocole sanitaire en entreprise impose le télétravail comme une règle, précisant qu'il doit être "porté à 100% pour les salariés qui peuvent effectuer l'ensemble de leurs tâches à distance".A compter de jeudi, ce protocole sera adapté pour permettre aux salariés qui en éprouvent le besoin de revenir sur site, avec l'accord de leur employeur, une journée par semaine, la ministre du Travail Elisabeth Borne y voyant "un enjeu de santé publique", alors que beaucoup souffrent d'isolement.C'est le cas de Claude qui affirme qu'elle "ne peut pas continuer à vivre comme ça", n'ayant "plus aucune vie". "On prend l'image à l'heure actuelle d'un prisonnier: on a le droit de sortie, mais on vit la même vie que le prisonnier tout seul dans sa pièce", dit-elle, plaidant pour qu'on "laisse le choix" à ceux qui veulent retourner au bureau.Si le télétravail, que beaucoup ont découvert avec le Covid, a fait des adeptes, le 100% fait beaucoup moins recette: selon un sondage Ifop publié début décembre et portant sur les salariés de Paris et sa petite couronne, ils ne sont que 8% à vouloir travailler exclusivement à distance."Je me marche dessus""Je n'aime pas travailler chez moi", confirme à l'AFP Romain Berger, 28 ans, employé d'un groupe de communication parisien qui a pu revenir un peu sur site comme Claude entre les deux confinements. "Chez moi je me repose et on travaille au bureau", "je n'aime pas trop mélanger les deux", dit-il.Pour ce salarié qui aimerait bien revenir plus qu'un jour par semaine, ce sentiment est "renforcé" par le fait qu'il vit dans un petit espace de 15 m2: "Je me marche un peu dessus", dit-il."A la maison on n'a que des problèmes, on n'a pas les bons côtés du boulot, les côtés où on rigole, on parle de tout et de rien", rapporte de son côté James. "Du coup, le soir, ça monte, ça monte, ça monte (...), il n'y a pas de soupape de décompression", ajoute ce quadragénaire actif dans l'horlogerie.Sophie (prénom modifié), dans un bureau d'études en région lyonnaise, met aussi en avant le manque d'interactions sociales. "On a toujours à gagner à échanger avec nos collègues", constate la jeune femme de 33 ans, pour qui il y avait "plus de légèreté à travailler à plusieurs", à faire ses pauses ensemble. Elle compte "sauter sur l'occasion" d'un assouplissement car "on se perd un peu" dans ce mode de travail.En apprentissage dans le marketing-communication dans une compagnie d'assurance en Île-de-France, Alexandre, 25 ans, à distance depuis novembre, a aussi "hâte" de retourner sur site. "J'ai pu constater que je ralentissais en compréhension et en formation, ça m'énerve un peu", dit le jeune homme, tout en se disant conscient que le télétravail est "un mal pour un bien" face à l'épidémie.Après le premier assouplissement attendu, Mme Borne avait fait état d'"un deuxième jalon au 20 janvier", consistant à laisser la main aux partenaires sociaux, qui viennent de conclure un accord national, "pour définir dans le dialogue social un nombre minimal de jours de travail". Mais la ministre a laissé entendre lundi soir aux partenaires sociaux que cette échéance serait repoussée, en raison de la situation sanitaire.Un numéro vert (0800.13.00.00) a aussi été lancé mi-novembre pour accompagner les salariés qui vivent difficilement la situation.
Il y a 4 ans et 165 jours

Agence pour la simplification des agences

La vaccination comme l’architecture ? Quelles normes pour les 90 super congélateurs nécessaires ? Combien de pages pour le référentiel ad hoc ? Dans le cahier, de fait, les charges pèsent de tout leur poids sur les agences ! Au 3 janvier au soir, il y avait eu trois cent trente-deux vaccinations en une semaine. Malgré la pesanteur administrative, […] L’article Agence pour la simplification des agences est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 165 jours

On écrit à Chroniques : courrier du cœur 2020

A Chroniques, nous nous efforçons de donner suite à tout le courrier, abondant, que nous recevons. Mais les réponses à apporter ne sont pas forcément un cadeau, ni pour l’expéditeur, ni pour le destinataire. Pot-pourri du courrier reçu à Chroniques en 2020 (et pas un mot sur le Covid). – Pierre S., qui tente, via […] L’article On écrit à Chroniques : courrier du cœur 2020 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 165 jours

Marc Mimram | Paysages de gravité

Le 14 juillet 2016, j’ai eu la chance d’être invité par Farrokh Derrakshani, directeur du Prix Aga Khan d’Architecture, à une conférence au V&A Museum de Londres, intitulée « Beyond The Bridge ». Dans la liste des orateurs, j’ai vu la biographie d’un homme appelé Marc Mimram. Chronique-photos d’Erieta Attali. Je ne savais pas qui […] L’article Marc Mimram | Paysages de gravité est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 165 jours

Taxe d'habitation, relance des territoires, allégement des impôts de production... ce qui change au 1er janvier 2021

Découvrez ce qui change le 1er janvier 2021À compter du 1er janvier, la taxe d'habitation (TH) va être totalement supprimée pour les résidences principalesDepuis 2020, 80% des foyers étaient totalement dégrevés de taxe d'habitation. Les 20% de foyers restants seront progressivement exonérés jusqu'à la suppression totale de la TH en 2023.Un nouveau schéma de financement des collectivités locales entre en vigueur en 2021 leur permettant d'être intégralement compensées de la perte du produit de taxe d'habitation.Allégement des impôts de production en faveur des entreprisesDans le cadre de la politique de relance, les impôts de production sont allégés en faveur des entreprises, au moyen d'une division par deux du taux de cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) et d'un nouveau mode de calcul de la valeur locative des locaux industriels. Les effets sur les ressources des collectivités sont neutralisés.Automatisation progressive du fonds de compensation de la taxe sur la valeur ajoutée (FCTVA)À l'initiative du Gouvernement, la loi de finances pour 2021 prévoit l'automatisation progressive du FCTVA à compter du 1er janvier 2021. Cette automatisation consiste à remplacer l'examen manuel des dossiers de demande de remboursement envoyés aux préfectures par un calcul automatique dans une nouvelle application dédiée sur la base des dépenses imputées sur un ensemble de comptes éligibles. Il s'agit donc d'une simplification pour les collectivités, qui seront à terme très largement déchargées de la transmission de dossiers papier spécifiques.De nouvelles enveloppes en faveur de la relance dans les territoiresAprès le vote d'une enveloppe de 1 Md€ au cours de l'été 2020 en faveur de l'investissement du bloc communal, de nouvelles enveloppes en faveur pour la relance dans les territoires sont adoptées dans le cadre de la loi de finances pour 2021, en plus des dispositifs classiques de soutien à l'investissement public local, dont les montants sont tous reconduits :650 M€ pour promouvoir la rénovation thermique des bâtiments des communes et EPCI ;300 M€ en faveur de la rénovation thermique des bâtiments des départements ;600 M€ en faveur des investissements des régions.Prorogation de dispositifs de soutien aux territoires en difficultéProrogation jusqu'en 2022 de sept dispositifs de soutien aux territoires en difficulté qui devaient arriver à échéance à la fin de l'année 2020 : les zones de revitalisation rurale (ZRR), les zones franches urbaines-territoires entrepreneurs (ZFU-TE), les zones d'aide à finalité régionale (AFR), les zones d'aide à l'investissement des petites et moyennes entreprises (ZAIPME), les bassins d'emploi à redynamiser (BER), les bassins urbains à dynamiser (BUD) et les zones de développement prioritaire (ZDP).L'ensemble de ces zonages concernerait au total 13.900 communes en France, soit près de 40% des communes.
Il y a 4 ans et 165 jours

Faire de la vague de rénovations un projet culturel, une approche holistique ?

Les organisations européennes représentatives des architectes, urbanistes, architectes paysagistes, architectes d’intérieur, ingénieurs, designers, enseignants et chercheurs de l’environnement bâti, accueillent avec enthousiasme l’initiative pour un nouveau Bauhaus* européen. Déclaration. Présentée par la Présidente de la Commission européenne dans le cadre de la stratégie « Une vague de rénovations pour l’Europe », cette initiative ajoute une […] L’article Faire de la vague de rénovations un projet culturel, une approche holistique ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 165 jours

704 Clavex+ HP, un mortier hautes performances signé Parexlanko

Parexlanko innove avec le 704 Clavex+ HP, un mortier de scellement et de calage hautes performances à retrait compensé pour des environnements exigeants. [©Parexlanko] Parexlanko innove avec le 704 Clavex+ HP, un mortier de scellement et de calage hautes performances à retrait compensé pour des domaines d’applications très larges et des environnements exigeants. Ce mortier polyvalent à base de liants hydrauliques maintient des performances mécaniques élevées en épaisseurs de 5 à 150 mm. Il s’adresse surtout au génie civil (les tabliers et les piles d’ouvrage d’art). Mais il assure aussi le calage de machines industrielles lourdes et/ou à fortes vibrations. Et le clavetage de poutres, de poteaux et d’éléments préfabriqués en béton, l’assemblage d’éléments en béton précontraint… Une granulométrie très fine Disposant d’une granulométrie très fine de 0/1,6 mm, le 704 Clavex+ HP offre une très haute fluidité, lui permettant d’assurer des calages de faibles épaisseurs. Et ce, tout en offrant une résistance mécanique très élevée : 12 MPa à la flexion et 60 MPa à la compression. Son double taux de gâchage, sa consistance coulante ou plastique. Ainsi qu’un large temps de prise autorisent son pompage sur de longues distances. En effet, le début de prise se situe entre 6 h 15 et 16 h 00 (6 h 15 à 35 °C, 8 h 30 à 20 °C et jusqu’à 16 h 00 à 5 °C). Ce mortier peut être en contact avec de l’eau potable (château d’eau). Mais il résiste aussi à l’eau de mer et aux eaux sulfatées.   
Il y a 4 ans et 165 jours

« Objectifs bas carbone » pour les participants du CementLab

Afin de nourrir et amplifier cette démarche fédérative, des rencontres sont, en effet, régulièrement organisées. Les start-up viennent y présenter leur solution auprès des différents acteurs de la chaîne de construction au sens large : du chercheur à l'entreprise générale, en passant par l'architecte, le bureau d'études, l'industriel producteur de matériaux, les constructeurs et promoteurs, etc. Le workshop du 15 décembre a d'ailleurs connu un grand succès, avec la participation d'environ 130 personnes. Suite aux interventions de qualité de la première partie du CementLab, les participants ont sollicité en nombre les start-up, afin d'échanger avec eux, dans un second temps, dans les coffee-rooms privées.Le bas carbone, un engagement de l'industrie cimentièreL'industrie cimentière est engagée depuis des décennies dans une démarche d'écologie industrielle : gestion raisonnée de la ressource, économie circulaire, nouvelles technologies, recherche et développement. Pour réduire son empreinte carbone, l'industrie cimentière travaille sur deux axes d'optimisation : les ciments à basse empreinte carbone, ainsi que les technologies de rupture pour capter le CO², dans le process. La cimenterie du futur sera une industrie qui non seulement captera les émissions de carbone, mais produira ses matériaux à partir de déchets.Des start-up innovantes qui œuvrent dans un objectif de réduction de l'empreinte carboneL'industrie cimentière, engagée dans des démarches qui s'inscrivent dans le cadre de la transition écologique, soutient toute initiative visant à réduire l'empreinte carbone du secteur. Dans ce cadre, 3 start-up ont pu ainsi venir exposer les solutions qu'elles proposent :Néolithe : Néolithe développe une technologie de transformation des déchets ménagers et industriels non-recyclables en granulats minéraux utilisables dans le BTP (notamment dans les routes et les bétons). Leur procédé permet l'économie de 80% des émissions de CO² traditionnellement liées au traitement des déchets. Openergy : Plateforme de simulation énergétique du bâtiment en exploitation, introduisant un suivi systématique des résultats.CloudCycle : Solution digitale d'harmonisation entre l'offre et la demande de béton réduisant les coûts et les émissions de CO².Des témoignages d'experts et spécialistesOutre les pitchs des start-up, Sekoya, la plateforme carbone & climat d'Eiffage, entièrement dédiée aux matériaux et procédés bas carbone, a fait l'objet d'une présentation.Sekoya a pour rôle d'identifier et de mettre en valeur les solutions des entreprises les plus innovantes, favorisant ainsi l'émergence de la ville et des infrastructures durables. Cette plateforme soutient le déploiement des solutions bas carbone, afin de lutter contre le dérèglement climatique, pour participer à l'amélioration de la qualité de vie des habitants. Les solutions auditées par Sekoya sont proposées dans le cadre d'appels d'offres.En complément de ce témoignage, le CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) est venue présenter ses missions : garantir la qualité et la sécurité des bâtiments, et son positionnement sur le bas carbone. Le CSTB rassemble des compétences pluridisciplinaires pour développer et partager les connaissances scientifiques et techniques déterminantes. Il accompagne les acteurs dans le cycle de l'innovation de l'idée au marché et dans la transformation du monde du bâtiment en lien avec les transitions environnementale, énergétique et numérique.Les liens des replay : Intervention Eiffage/Sekoya : https://www.youtube.com/watch?v=ljLinbCkOMMIntervention Néolithe : https://www.youtube.com/watch?v=c0qKgBh6NeoIntervention Cloudcycle : https://www.youtube.com/watch?v=eB0C408rQWIIntervention Openergy : https://www.youtube.com/watch?v=HXB0hFU_q4YLe CementLab en 5 points :Un laboratoire d'idées dédié au ciment et à son usage, et plus largement à tous les acteurs de la construction (cimentiers, carriers, producteurs de béton, constructeurs, promoteurs, architectes, bureaux d'études et d'ingénierie, économistes, etc.).Comprendre et analyser les enjeux de la transition numérique et écologique pour adapter l'offre et les bonnes pratiques nécessaires aux impératifs du marché.Favoriser une dynamique d'échanges et de rencontres entre industriels, start-up et chercheurs pour encourager le transfert de technologie et l'innovation dans une démarche de développement durable et d'économie circulaire.Saisir les opportunités de solutions convergentes et les unir pour passer de l'idée à la réalisation concrète sur le terrain.Une démarche initiée par le SFIC (Syndicat français de l'industrie cimentière) et pérennisée par des rencontres régulières ainsi qu'une plateforme dédiée : https://cementlab.infociments.fr.
Il y a 4 ans et 166 jours

Les façades font leur cinéma

L'animation lumineuse associe architecture et communication visuelle. Le développement des solutions leds a ouvert le champ des possibles grâce à la miniaturisation, la flexibilité et à l'électronique embarquée.
Il y a 4 ans et 166 jours

Une nouvelle présidente pour le groupe BMI France, leader des solutions de toitures

Après une carrière qui l'a amenée à opérer chez Hewlett Packard et Philips Lighting, Viola Ferrario a rejoint il y 4 ans Ariston Thermo Group, acteur du confort thermique et de l'efficacité énergétique avec des marques mondiales, une référence dans le secteur du bâtiment. En 2018 elle a été promue Directrice Générale pour la France et de la Belgique, poste basé à Paris et a ainsi eu la responsabilité de développer, avec succès, le plus grand marché d'Ariston Thermo.Forte de son background commercial et marketing, la nouvelle Présidente de BMI France a pour mission de renforcer le groupe dans sa position de acteur des solutions de couverture et d'étanchéité.Il s'agit pour Viola Ferrario d'incarner au quotidien la philosophie de BMI « Bien plus qu'un toit ».« L'ambition de BMI Group est de révéler le potentiel de chaque toit. C'est véritablement une nouvelle approche de la cinquième façade qui est proposée à travers un vaste choix de produits et systèmes. Le bâtiment et l'architecture connaissent une évolution remarquable avec notamment de nouvelles fonctionnalités pour les toitures : esthétiques, conviviales, responsables, techniques ; le champ des possibles s'élargit avec de nouveaux enjeux de développement et de communication. Au-delà des solutions produits, chez BMI nous avons à cœur de constamment développer de nouveaux services pour accompagner nos clients. »déclare Viola Ferrario.Très appréciée pour ses qualités humaines et sa capacité à manager des équipes pluridisciplinaires, Viola Ferrario a été séduite par la dimension relationnelle propre au groupe.« Chez BMI, les orientations se prennent à partir des retours terrain des clients et d'une réflexion de fond menée de manière collégiale. Les équipes sont soudées et très expérimentées sur leur secteur. C'est d'ailleurs un point fort que nous remontent nos clients B2B. » commente la nouvelle Présidente.D'origine italienne, Viola Ferrario vit à Paris depuis trois ans avec sa famille. Elle est mère de deux enfants. Trilingue, elle parle couramment italien, anglais et français.
Il y a 4 ans et 166 jours

L'EPA Nice Écovallée sélectionne Architecturestudio pour la maîtrise d'œuvre urbaine de Parc Méridia

Architecturestudio sera chargée de faire émerger un nouveau quartier de vie au sein de l'Opération d'Intérêt National Nice Écovallée poursuivant la structuration et la requalification urbaine du territoire sur une soixantaine d'hectares entre la ZAC Nice Méridia et le stade Allianz Riviera.Pour Sarah Bellier, Directeur général par intérim de l'EPA Nice Écovallée« Le projet proposé par Architecturestudio a répondu à nos aspirations en termes de praticité, opérationnel, avec une justesse d'échelle urbaine. Il s'agit de faire émerger d'ici 12 ans, un nouveau quartier de vie paysager dans le prolongement de Nice Méridia. Parc Méridia participera au changement d'échelle de la technopole urbaine. La concertation publique débutera courant 2021. Parmi les 23 groupements qui ont répondu à notre consultation, trois ont été admis à concourir : le groupement avec Architecturestudio, le groupement Agence Ter (mandataire) avec CAB, TECTA, INDDIGO, Guam Conseil et Builders&Partners et le groupement TVK (mandataire) avec BASE, SOA, Suez Consulting SAFEGE, EODD, Roland Ribi et Associés et la Société du canal de Provence et d'aménagement de la région provençale. Nous sommes très fiers, le territoire est attractif pour les professionnels de la ville. »Pour Philippe Pradal, Président de l'EPA Nice Écovallée« Parc Méridia lance concrètement la phase 2 de l'OIN Nice Écovallée. Aujourd'hui, à l'ouest de Nice, la ville polycentrique se dessine. Nice Méridia, Grand Arénas et Parc Méridia sont et seront de nouveaux pôles de vie et d'attractivité qui répondent aux besoins de logements des habitants et usagers du territoire et au-delà des entreprises. Une nouvelle dynamique économique et urbaine est enclenchée. »Parc Méridia, un projet d'envergure pour donner une nouvelle échelle à la technopole urbaine, Nice MéridiaParc Méridia s'inscrit dans le contrat de PPA (Projet partenarial d'aménagement) signé en 2019 pour la période 2019-2032 par les partenaires. Il prévoit le développement d'environ 589.000 m2 de surface de plancher. Il s'agit de créer un nouveau quartier de vie mixte, animé et intergénérationnel visant à accueillir logements, entreprises et emplois, ainsi que les commerces et services de proximité et équipements publics nécessaires aux habitants et usagers.Parc Méridia, un quartier paysagerCe développement urbain va de pair avec la préservation et la mise en valeur des zones naturelles et agricoles. Au titre de la Directive territoriale d'aménagement (DTA), un minimum de cinquante hectares de terres agricoles seront préservés. La zone agricole au nord du périmètre a vocation à faire l'objet d'un projet agricole. Le quartier s'articulera autour d'un grand parc paysager de 20 ha (plus important que la Promenade du Paillon (15ha)) sur ce territoire historiquement et symboliquement agricole et paysager, pour une reconquête de la nature sur des espaces aujourd'hui très dégradés. Ce parc sera réalisé sous maîtrise d'ouvrage de la Métropole Nice Côte d'Azur.« Habiter le parc, les sillons » selon ArchitecturestudioLe groupement lauréat propose une urbanisation douce, où se mêlent densité désirable, mixité plurielle, maillage performant et souple et paysage continu. L'enjeu est de valoriser un lien fort avec le parc de 20 ha dans une subtile cohabitation avec les équipements sportifs du parc des Sports et dans un dialogue avec les espaces naturels et agricoles remontant vers l'Allianz Riviera et son écoquartier. La qualité de vie, l'exemplarité environnementale et l'innovation seront les fondamentaux de Parc Méridia. Le quartier se dessine selon un principe de sillons d'est en ouest pour ouvrir les bâtiments sur le paysage de la plaine du Var. La trame urbaine s'inscrit dans le prolongement de celle de la ville traditionnelle et de Nice Méridia.Un parc de 20 ha qui s'inscrit dans le plan de verdissement de Nice, ville verte de la méditerranéeAu XIXe siècle, Nice était déjà la ville-jardin de l'Europe. Ce patrimoine exceptionnellement préservé est un des axes majeurs du développement de la ville et de la métropole Nice Côte d'Azur. Aux plus de 300 hectares d'espaces verts déjà accessibles au public à Nice et en complément des 50 nouveaux hectares de parcs et jardins qui sont programmés d'ici fin 2025, dont 30ha sur le grand parc paysager de la plaine du Var, 10ha sur l'extension de la Promenade du Paillon, s'ajoute ainsi le parc de l'écoquartier Grand Méridia à l'ouest du centre historique de Nice, dans l'OIN ou l'urbanisme repose sur un modèle de transition écologique. Il ne s'agit pas seulement de faire naître un nouvel espace naturel. « Il s'agit d'aménager, de valoriser les complémentarités entre ville et campagne et de préserver les précieuses ressources » selon Christian Estrosi, Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d'Azur, Président délégué de la Région Provence Alpes Côte d'Azur,Dès 2008, ces priorités et notamment la Trame Verte et Bleue ont été inscrites dans le Plan Local d'Urbanisme de Nice. Cela a permis de préserver les espaces agricoles et naturels, notamment ceux des collines et de la plaine du Var mais aussi de redévelopper la culture du maraîchage comme élément économique structurant en écho à la forte vocation agricole du lieu. Grâce à tous les efforts engagés en faveur de la végétalisation du territoire, Nice recense 1 arbre pour 5 habitants soit l'une des communes les plus vertes de France.Ces nouveaux espaces verts augmentent considérablement la surface perméable du territoire permettant d'améliorer durablement le drainage des espaces publics et de supprimer progressivement les ilots de chaleur.Ils atténuent les épisodes d'inondation ou de ruissellement des eaux et favorisent l'infiltration dans les réserves d'eau souterraines pour redonner au sol son rôle naturel d'éponge en évitant la saturation des réseaux.Parc Méridia, une opération majeure de la deuxième phase de Nice ÉcovalléeDix ans après la création de l'Opération d'Intérêt National Nice Écovallée, la première phase de développement s'achève avec la livraison des premiers aménagements publics et programmes immobiliers dans Grand Arénas, le quartier d'affaires à vivre 100% azuréen, et Nice Méridia, la technopole urbaine au cœur de la Métropole de Nice Côte d'Azur. Alors qu'une nouvelle centralité métropolitaine émerge, plébiscitée par les habitants et les entreprises qui y créent de l'emploi autour du futur pôle d'échanges multimodal et des lignes 2 et 3 du tramway, une nouvelle page s'écrit pour Nice Écovallée depuis l'approbation en décembre 2019 du contrat de Projet Partenarial d'Aménagement. Ce contrat de PPA identifie trois nouvelles opérations, le hameau de La Baronne à la Gaude, Lingostière sud et Parc Méridia pour la période 2019-2032.
Il y a 4 ans et 166 jours

Covivio cède deux immeubles à Milan pour 137 millions d'euros

"Cette transaction confirme la dynamique positive du marché de Milan, et marque la poursuite de la stratégie de rotation de nos actifs", a relevé Alexei Dal Pastro, dirigeant de Covivio Italie, cité dans un communiqué.Cette stratégie consiste en la cession des actifs jugés "matures" du portefeuille afin de réinvestir les profits dégagés dans le développement de nouveaux actifs dans des zones stratégiques de la capitale lombarde.Covivio, qui a vu la crise sanitaire plomber ses activités dans les hôtels, a enregistré un recul de 9,1% de son chiffre d'affaires sur les neuf premiers mois de 2020, à 464 millions d'euros, a indiqué le groupe mi-octobre.Il détient des bureaux, des logements et des hôtels dans plusieurs pays européens.
Il y a 4 ans et 166 jours

Architect@work

Rencontre entre les architectes et l'innovation.
Il y a 4 ans et 166 jours

Nouveau mortier de scellement et de calage hautes performances polyvalent 704 Clavex+ HP

Ce mortier s’adresse spécifiquement au génie civil (les tabliers et les piles d’ouvrage d’art) mais il assure également le calage de machines industrielles lourdes et/ou à fortes vibrations (broyeurs, concasseurs, presses hydrauliques, rails etc.).704 CLAVEX+ HP assure aussi le clavetage de poutres, de poteaux et d’éléments préfabriqués en béton, l’assemblage d’éléments en béton précontraint, la reprise de sous-œuvre de fondations de bâtiments et le scellement d’armatures, de tirants, de tiges filetées, de tiges d’ancrage, etc.Un mortier hautes performancesPour répondre aux besoins de chantiers exigeants, 704 CLAVEX+ HP de PAREXLANKO a été conçu pour offrir une polyvalence sans égal tout en maintenant des performances mécaniques très élevées. 704 CLAVEX+ HP est adapté aux épaisseurs allant de 5 à 150 mm.Disposant d’une granulométrie très fine de 0-1,6 mm, 704 CLAVEX+ HP offre une très haute fluidité lui permettant d’assurer des calages de faibles épaisseurs, tout en offrant une résistance mécanique très élevée. Son double taux de gâchage, consistance coulante ou plastique ainsi qu’un large temps ouvert et d’un large temps de prise autorisent le pompage de 704 CLAVEX+ HP sur de longues distances. En effet, le début de prise se situe entre 6h15 et 16h (6h15 à 35°C, 8h30 à 20°C et jusqu’à 16h à 5°C).Une résistance à toute épreuveLe mortier de scellement et calage 704 CLAVEX+ HP s’adapte à tous les environnements. Il peut ainsi être en contact avec de l’eau potable (château d’eau), mais résiste à l’eau de mer et aux eaux sulfatées. Après 28 jours, 704 CLAVEX+ HP affiche une résistance mécanique exceptionnelle de 12 MPa à la flexion et de 60 MPa à la compression.Un mortier répondant à tous les critères de certificationFort de ses performances élevées, 704 CLAVEX+ HP est certifié :CE, NF030 scellement et calage.Il est conforme à la NF 1504-6 scellement mais aussi à la NF P18-821 calage catégorie 7.Bénéficie d’une CLP, lui permettant d’être en contact avec l’eau potable (Conformité aux Listes Positives).PV EGIS “résistance à l’écaillage” selon la XP P 18-420.PV EGIS “Résistance au Gel Sévère” selon NF P18-424.Caractéristique techniquesConstituants actifs à base de liants hydrauliques.Poudre grise prête à mouiller.Granulométrie : 0 - 1,6 mm.Densité pâte : 2,2 environ.pH du mortier : 12,5.D.P.U. à 20°C : 1 h 30 en scellement / 1 h 30 en calage.Essai d’aptitude à la mise en place selon P18 832 : surface de bulles < 5 %.
Il y a 4 ans et 166 jours

Premier béton prêt à l’emploi à base de bois chez Vicat

L’offre bas carbone Vicat s’enrichit du premier Béton Prêt à l’Emploi (BPE) biosourcé à base de bois. Composé de ciment bas carbone « Naturat », de granulats de bois et d’une charge minérale, il est livré en toupie pour une mise en œuvre identique à celle d’un béton traditionnel. Compatible avec le savoir-faire que les maçons ont développé depuis des décennies, il présente une rhéologie de 90 minutes et une consistance adaptée au remplissage de coffrages. La diversité des formulations permet de répondre à de nombreuses applications. Un premier chantier sera réalisé aux Puces du Canal à Villeurbanne (69) pour un ouvrage lié à la mobilité douce. « L’inclusion du bois dans une charge minérale donne naissance à un nouveau matériau qu’il est possible de produire sur tout le territoire. Il complète notre offre de matériaux biosourcés initialement destinés à la préfabrication. Ce développement est une réponse aux besoins de la future RE2020 et accompagne les filières de la construction vers la neutralité carbone. »  Guy Sidos, Président-directeur général du groupe Vicat Photo : Vicat
Il y a 4 ans et 166 jours

L’ADEME subventionne ISOVER dans le cadre de son engagement en faveur de la décarbonation

ISOVER investit dans un projet répondant aux enjeux de décarbonisation industrielle en France pour un montant de 3,8 millions d’euros dont 800 000 euros seront subventionnés par l’ADEME, partenaire du plan “France Relance”. Une subvention qui valorise les engagements et investissements de l&rsquo;industriel pour ses démarches favorables au développement durable et à la décarbonation, notamment dans ses usines françaises. La feuille de route environnementale pour l’usine d’Orange vise -33 % d’émissions de CO2 à l’horizon 2030. Trois axes de développement sont prévus pour des travaux débutant en septembre prochain. Tout d&rsquo;abord, la modification de la tour de composition verrière, qui permettra d’augmenter d’au moins 20 % le taux de matières recyclées (calcin externe) passant de 40 % à 60 % a minima et engendrera des économies d’énergie et de CO? grâce à une baisse en température induite du four. Ce projet permettra d’augmenter le taux de matières recyclées dans son four de fusion verrière et de réduire les émissions de CO? de 2 800 tonnes/an, soit une baisse des émissions de CO? de 4 600 tonnes/an, calculé sur la base du cycle de vie complet du produit. Ensuite, l’agrandissement de la zone de stockage externe des calcins, avec la création de 4 stands d’environ 200 m² chacun, permettant une meilleure séparation des diverses sources et facilitant leur exploitation. Enfin, les équipements permettant de transporter les matières premières vers le four seront remplacés par des convoyeurs à bande plus adaptés.
Il y a 4 ans et 166 jours

A Nantes, la gare de Rudy Ricciotti cache une forêt

La nouvelle gare de Nantes (Loire-Atlantique), signée Rudy Ricciotti pour un budget de 37,5 M€, a été inaugurée (finalement) le 20 novembre 2020. Sous la maîtrise d’ouvrage de SNCF Mobilités – Gares & Connexions, le projet consistait en la construction d’une passerelle-mezzanine de 160 m de long et 18 m de hauteur afin de relier [&#8230;] L’article A Nantes, la gare de Rudy Ricciotti cache une forêt est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 166 jours

Briser la glace dans des espaces de glisse

Programmation et conception sont des étapes essentielles pour maîtriser les coûts de construction et d'exploitation d'équipements très techniques qui marquent l'espace public de leur architecture forte.
Il y a 4 ans et 166 jours

Des astuces Fiskars bien outillées

Avec ses journées courtes et ses intempéries glaçantes, l'hiver est une saison propice à la morosité. Pour aider les adeptes du jardinage, du bricolage ou de la cuisine à affronter leur blues saisonnier, Fiskars a plus d'un outil dans sa besace. Le célèbre fabricant de produits fonctionnels, conviviaux et innovants livre ses conseils afin que chacun puisse s'offrir un heureux moment de détente, en intérieur ou en extérieur.
Il y a 4 ans et 166 jours

Le Groupe Lorillard assoit sa position de leader sur le marché de la menuiserie bois avec l’acquisition de la société Menuiserie Meslin

Expert de la menuiserie industrielle sur-mesure, le Groupe Lorillard, présidé par Monsieur Thierry LUCE, vient d’acquérir l’entreprise Menuiserie Meslin à Glatigny (50). Cette acquisition concède au Groupe Lorillard de nouvelles parts de marché et vise à renforcer sa position de leader dans la menuiserie bois, avec l’offre bois la plus large et la plus complète du marché. Elle permet également au Groupe d’intégrer des produits bois et aluminium spécifiques. De gauche à droite : Pierre Lorillard Directeur Général délégué au commerce, Madame et Monsieur Le Roy Dirigeants de la Menuiserie Meslin et Thierry Luce Président du Groupe Lorillard &nbsp; DES VALEURS PARTAGÉES Créée en 1961, la société Menuiserie Meslin est spécialisée dans la fabrication de menuiseries bois personnalisées et sur mesures. Entreprise familiale, dirigée par Monsieur et Madame Le Roy, elle rassemble 48 salariés et réalise un chiffre d’affaires de 7,5 millions d’euros (2020). S’adressant exclusivement aux artisans, la commercialisation en B to B n’implique que la fourniture de menuiseries. Ainsi l’entreprise, qui n’a pas encore de commerciaux, réalise 80 % de son chiffre d’affaires sur Paris et la région parisienne, à la faveur de sa notoriété, de ses produits atypiques (portes cochères, menuiseries cintrées en plan et en élévation pour bâtiment haussmanniens, etc.) et de son savoir-faire spécifique dans la menuiserie bois. Forte d’une activité saine et croissante, la Menuiserie Meslin a cependant besoin de s’adosser à un groupe afin de bénéficier d’une structure puissante pour développer son savoir-faire sur l’ensemble du territoire et faire croître la commercialisation de ses menuiseries. Au regard de l’histoire, du caractère familial et de la forte implantation régionale de l’entreprise, la société susceptible de les racheter se devait de partager les mêmes valeurs. C’est le Groupe Lorillard qui a donc été choisi par les dirigeants pour acquérir l’entreprise Menuiserie Meslin. Initialement ce rachat aurait dû se faire au mois de juillet dernier mais la crise sanitaire actuelle a bloqué l’avancement de l’acquisition. Et ce n’est qu’en novembre que le protocole d’accord fut signé. Site de production et siège social de la Menuiserie Meslin à Glatigny (50). &nbsp; ENRICHIR LES ACQUIS C’est toute son expérience industrielle et commerciale que le Groupe Lorillard va mettre à la disposition de la Menuiserie Meslin. Le Groupe a défini un plan industriel avec des investissements à court, moyen et plus long terme, afin d’augmenter les capacités de production, d’améliorer la performance de l’entreprise et d’accroître son chiffre d’affaires. Ainsi, une campagne de recrutement va être menée pour intégrer du personnel de chiffrage et renforcer le Bureau d’Etudes, ainsi que des opérateurs et menuisiers dans les ateliers. Des évolutions et des investissements vont également être menés pour l’outil de production. La société Menuiserie Meslin conçoit des menuiseries bois (80 % de l’activité), des menuiseries aluminium (20% de l’activité) et produit quelques menuiseries PVC. La production PVC va être rapatriée à Chartres afin de laisser plus de place pour l’agrandissement de la production aluminium qui représente 1,5 M€ du chiffre d’affaires actuel de la société Menuiserie Meslin. Ainsi, plusieurs équipements aluminium du Groupe vont être transférés chez Meslin afin de renforcer la production de produits aluminium spécifiques. Une plus-value pour le Groupe qui ne proposait pas encore ce type de produits : portes repliables, portes basculantes, verrières, coulissants d’angle réalisés à partir de la gamme Technal, partenaire historique de la Menuiserie Meslin. Parallèlement, l’outil de production bois va bénéficier de nouvelles machines visant à améliorer la performance d’usinage ainsi que d’une nouvelle cabine de laquage pour la garantie 10 ans des finitions bois, courant 2021. L’objectif est clair : densifier l’activité B to B avec la vente aux artisans, en augmentant la production bois de près de 30% et l’ambition de porter le chiffre d’affaires à 8,5 M€ en 2021 et 12 M€ à 3 ans. Atelier bois de Glatigny (50) de la Menuiserie Meslin &nbsp; CHRONIQUE D’UNE CROISSANCE ANNONCÉE Comme l’évoquait Thierry Luce début 2020 « Il est aujourd’hui nécessaire de continuer à investir pour résister à une pression concurrentielle nationale et internationale toujours plus importante » ; l’objectif du Groupe Lorillard est d’acquérir une taille critique qui se situe entre 200 et 250 M€ de chiffre d’affaires. L’acquisition de la Menuiserie Meslin porte le chiffre d’affaires du Groupe à près de 190 M€ à fin 2020, rapprochant le Groupe de l’objectif critique souhaité. Autres ambitions du N°1 sur le bois en France : renforcer sa position de leader sur ce marché par l’élargissement de son offre et porter la capacité de production bois du Groupe à plus de 25 % d’ici 2022. Avec la société Menuiserie Meslin, le Groupe Lorillard se dote d’une 4ème usine de production bois (avec son site chartrain, Molénat à Decazeville et Bourneuf à Parigné-L’Evêque), mais acquiert également des produits inédits au sein du Groupe et une complémentarité commerciale avec les marques Molénat et Bourneuf. En effet, Lorillard dispose désormais d’une commercialisation multicanale (BtoB, BtoC, chantier) ; Molénat distribue spécifiquement aux négoces, et Bourneuf se consacre à la fourniture et la pose de chantier haut de gamme ; quant à Meslin, elle vient renforcer le mode de fourniture directe aux artisans. &nbsp; Aujourd’hui, le Groupe Lorillard figure parmi les plus grands fabricants de menuiseries industrielles en France avec ses 7 sites de production répartis à travers le pays : Chartres (28), Saint-Doulchard (18), Pralong (42), Parigné-l’Evêque (72), Decazeville (12), Saint-Martin-de-Seignanx (40) et Glatigny (50) dont 4 ateliers bois, 4 ateliers PVC, 3 ateliers aluminium et 1 atelier pour les volets roulants. Et, l’acquisition de ce 7ème site de production oeuvre pour une stratégie de maillage du territoire, avec l’objectif de minimiser les coûts de transports en produisant toujours au plus près des clients et des chantiers. In fine, avec l’acquisition de la société Menuiserie Meslin, la représentativité de l’activité bois au sein du Groupe Lorillard se chiffre à 45 M€ (fourniture et pose et fourniture seule), soit un quart du chiffre d’affaires du Groupe.
Il y a 4 ans et 166 jours

2021 en chantiers: un grand palais de bois par Wilmotte et Associés

Dans un communiqu&eacute; dat&eacute; du 5 janvier, l&rsquo;agence Triptyque architecture annonce le d&eacute;c&egrave;s de sa cofondatrice, Carolina Bueno, &agrave; l&rsquo;&acirc;ge de 46 ans, des suites d&rsquo;une longue maladie. Cr&eacute;&eacute;e en 2000, l&rsquo;agence Triptyque est n&eacute;e de la rencontre de ses quatre associ&eacute;s, Carolina Bueno, Gr&eacute;gory Bousquet, Olivier&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article