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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

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Il y a 4 ans et 187 jours

Buffalo, la chaussure de sécurité haute performance signée Difac

Depuis 40 ans, Difac propose des équipements de protection et des vêtements de travail pour que les femmes et les hommes de la construction et du BTP puissent exercer leur métier en toute sécurité. Ainsi, il dévoile sa nouvelle gamme VM Footwear. Cette dernière est composée d’une vingtaine de chaussures de sécurité adaptées à toutes les activités professionnelles. Améliorant considérablement le confort et la résistance. Le modèle Buffalo Parmi les nouveautés, la chaussure de sécurité Buffalo normée S3. Elle est dotée des semelles “Soles by Michelin”, d’un système de fermeture Boa, d’une tige en cuir pleine fleur et d’une doublure membranée respirante imperméable Free-Tex. La nouvelle chaussure est adaptée à tous les corps de métier, dans des environnements difficiles, boueux et huileux. Elle peut aussi bien se porter dans un milieu chaud ou froid. Difac dévoile sa nouvelle chaussure de sécurité Buffalo. [©Difac] Coté ligne, une attention toute particulière a été portée par les concepteurs. La Buffalo se coordonne facilement à toutes les tenues grâce à un choix de coloris intemporels : le noir et le rouge. Son système intelligent permet de l’enfiler et de l’enlever rapidement. En effet, les lacets classiques sont remplacés par un fil en acier inoxydable relié à une molette mécanique. Ainsi, le serrage devient plus rapide, plus simple et le pied reste parfaitement maintenu. Dotée de la technologie “Hardheel Structured” située dans la zone du talon, la Buffalo assure une stabilité parfaite du pied. Etre bien jusqu’au bout des orteils…
Il y a 4 ans et 187 jours

Ouvrages d'art : le Gouvernement propose un soutien en ingénierie aux petites communes

SÉCURITE DES PONTS. L'Etat mobilise une enveloppe de 40 millions d'euros dans le cadre du plan de relance afin que ces collectivités locales apprennent à mieux connaître les ouvrages dont elles ont la charge.
Il y a 4 ans et 187 jours

La famille fondatrice reprend les rênes de Compobaie Solutions

Compobaie Solutions vient d’être rachetée par la famille fondatrice. Qui est composée de Jacques Anglade et de ses trois enfants. [©Compobaie Solutions] Spécialiste français du bloc baie en béton préfabriqué en usine, Compobaie Solutions opère un tournant dans son développement. En effet, la période critique traversée par le monde du bâtiment en 2008 avait conduit à un changement d’actionnariat… Retour en arrière aujourd’hui : l’entreprise vient d’être rachetée par la famille fondatrice. Jacques Anglade et ses trois enfants ont repris les rênes de la société. Et depuis début novembre dernier, Compobaie Solutions est sortie de sa procédure de sauvegarde. A présent, la famille Anglade souhaite conforter l’organisation et la structure de l’entreprise. Son principal objectif est d’asseoir, après 30 années d’existence, sa place sur le marché du bâtiment. Cette reprise a aussi permis de sauver 150 emplois. Et ouvre de nouveaux horizons pour le groupe. Lui offrant désormais des perspectives remplies de projets. « Compobaie Solutions souhaite rester fidèle à son cœur de métier et à son savoir-faire, en continuant son orientation sur le segment de la maison individuelle et du logement collectif », indique le communiqué de presse.
Il y a 4 ans et 187 jours

Le plan de relance doit être plus compatible avec la neutralité carbone

Les experts du HCC, scientifiques, ingénieurs ou économistes, se sont penchés sur le plan de 100 milliards d'euros sur deux ans dévoilé en septembre, pour voir dans quelle mesure il est compatible avec les engagements de la France de réduire ses émissions de gaz à effet de serre pour atteindre la neutralité carbone en 2050.Le HCC a étudié les 97 mesures, les classant entre celles "favorables, défavorables, ambigües ou qui s'inscrivent dans la continuité des émissions actuelles, trop élevées, de la France", selon ce rapport indépendant.Le gouvernement a fait de la transition écologique un des piliers de ce plan, avec 30 milliards d'euros consacrés au verdissement de l'économie.Le HCC a comptabilisé 28 milliards d'euros "favorables à l'atténuation des émissions de gaz à effet de serre", un montant proche de celui du gouvernement. "C'est un montant très important, la France fait partie des pays les mieux dotés" en ce sens, a relevé la climatologue Corinne Le Quéré, présidente du HCC, lors d'une conférence de presse en ligne.En revanche, "les deux tiers du plan soutiennent l'activité économique dans la continuité des pratiques actuelles. Elles pourraient avoir un effet significatif à la hausse sur les émissions de gaz à effet de serre par rapport à la trajectoire de réduction de la France, et font courir le risque d'un verrouillage dans des activités fortement émettrices à long terme", avertit le rapport.Les experts estiment aussi qu'il faut soutenir davantage des transformations structurelles à plus long terme pour que la France remplisse les objectifs fixés par l'accord de Paris de limiter le réchauffement climatique bien en-dessous de 2°C, voire à 1,5°C.
Il y a 4 ans et 187 jours

Réseau Lorenove, 3 nouvelles concessions ouvrent leurs portes

Le travail de l’équipe de Gérard Coron-Dall’o qui intervient sur l’animation commerciale, l’animation technique et le développement du réseau, porte ses fruits. Ce troisième trimestre manifeste l’ouverture de 3 nouvelles concessions dans le nord de l’Aveyron, dans la Loire et les Pyrénées Atlantiques. Visiblement le confinement n’a pas altéré la volonté de développement et de croissance des entrepreneurs français. Xavier Ryncarz, Alexandre Verdier et Michaël Ramah en sont le parfait exemple ! Ces trois chefs d’entreprises viennent de rejoindre le réseau Lorenove et d’ouvrir respectivement leurs concessions « LORENOVE MOLENAT AUBIN », « LORENOVE ROANNE » et « LORENOVE PAU ».   TROIS NOUVELLES CONCESSIONS POUR UNE MÊME VALEUR AJOUTÉE Compte tenu de la stratégie de développement du réseau qui vise à privilégier la qualité du partenariat à la quantité, LORENOVE capitalise sur les atouts et l’expérience que possèdent les entrepreneurs afin de fonder les bases solides de leur réussite. Ainsi Xavier RYNCARZ, Responsable de l’Agence « LORENOVE MOLÉNAT AUBIN » est un ancien salarié de l’entreprise MOLÉNAT, rachetée en 2015 par le Groupe LORILLARD. Intérimaire, puis successivement opérateur d’atelier, assistant de responsable de production, assistant en administration des ventes et responsable SAV, Xavier RYNCARZ a fondé et fait évoluer sa carrière chez MOLÉNAT, depuis 22 ans. Xavier RYNCARZ, Responsable de l’agence «LORENOVE MOLÉNAT AUBIN» Implantée historiquement depuis 1922 à DECAZEVILLE en AVEYRON, l’entreprise MOLÉNAT s’est spécialisée en 1965 dans la fabrication de menuiseries à destination des professionnels, mais n’a jamais commercialisé ses produits auprès des particuliers. Poussé par l’envie d’évoluer vers de nouveaux challenges, fort de son expérience au sein du Groupe LORILLARD et à l’appui du réseau LORENOVE, Xavier RYNCARZ fonde l’agence « LORENOVE MOLÉNAT ». Doté d’un showroom de 75 m², le magasin est implanté sur le site de MOLÉNAT, idéalement placé en bordure de nationale, et a ouvert ses portes mi-septembre. Xavier RYNCARZ qui démarre seul pour le moment, sera vite épaulé par une équipe de pose qui est en cours de développement. Sa zone commerciale s’étend de VILLEFRANCHE DE ROUERGUE, RODEZ (AVEYRON) à FIGEAC (LOT) en passant par MAURS (CANTAL).   De son côté Alexandre VERDIER, Dirigeant de la concession « LORENOVE ROANNE » a commencé sa carrière chez PLASTIBAIE en 2007 qui fut rachetée en 2009 par le Groupe LORILLARD. Après 7 ans passés au sein de PLASTIBAIE, cet ancien Responsable de Production a besoin de se réorienter vers de nouveaux horizons tout en valorisant son expérience acquise. Il rachète alors en 2014 les FERMETURES DU BRIONNAIS (71) spécialisées dans la vente de menuiseries BtoB, BtoC et auprès des architectes. En 2017 et 2018 il crée et rachète respectivement l’entreprise ALUSTAR (42) et Les Etablissements PUTANIER (42). A la tête d’un effectif de 30 salariés, Alexandre VERDIER souhaite accroître son activité BtoC et déployer sa commercialisation vers une clientèle haut de gamme. Devenir concessionnaire LORENOVE est pour lui un tremplin propice pour prendre de nouvelles parts de marché. Le magasin et le showroom de 160 m² de « LORENOVE ROANNE » ont ouvert fin octobre. Alexandre VERDIER, Dirigeant de la concession «LORENOVE ROANNE» Située dans la Zone Industrielle, la concession est accueillie au sein des 1000 m² des Etablissements PUTANIER abritant désormais les activités de vitrerie et miroiterie, la fourniture et la pose de menuiseries ainsi que le showroom. Sa zone commerciale s’étend de ROANNE (LOIRE) aux départements limitrophes du sud de la SAONE-ET-LOIRE, ainsi qu’au sud-est de l’ALLIER et l’est du PUY-DE-DOME. 10 salariés, 2 équipes de pose sont d’ores et déjà opérationnels. Un métreur/poseur ainsi qu’une technico-commerciale viendront renforcer la concession.   A Pau, Michaël RAMAH, dirigeant de la concession « LORENOVE PAU » vient de rejoindre le réseau. Ce Palois d’origine qui fait un retour aux sources pour raisons personnelles, suite à 15 ans d’expatriation, a choisi de repartir de zéro. En effet après 8 ans passés au sein d’un réseau de storistes, du côté d’Anger, Michaël RAMAH choisit de revendre sa société pour se tourner vers une offre de menuiseries plus étendue. Lorenove n’ayant pas d’entité sur la région Paloise et souhaitant se développer sur le secteur, c’est une opportunité commune qui s’est offerte à la marque et cet entrepreneur, pour déployer une future enseigne Fenêtres Lorenove. Michaël RAMAH, Dirigeant de la concession «LORENOVE PAU» Michaël connaît parfaitement le fonctionnement et les atouts des réseaux de concessionnaires mais le marché de la rénovation des menuiseries lui est inédit. A l’appui de formations techniques et commerciales dispensées par le Groupe Lorillard et du soutien de son animateur réseau, Michaël est opérationnel. Il s’est entouré d’une équipe de 2 poseurs, d’une assistante commerciale et d’un commercial et a doté son magasin d’un showroom de 150 m². Un second commercial devrait rejoindre l’équipe dans quelques mois. Situé en accès d’une zone commerciale passante, LORENOVE PAU ouvrira ses portes début janvier pour accueillir la clientèle du bassin Béarnais. Le choix de Xavier RYNCARZ, d’Alexandre VERDIER et de Michaël RAMAH de rejoindre le réseau LORENOVE, se fonde sur la notoriété de l’enseigne et l’engagement fort du Groupe LORILLARD à leurs côtés. Rejoindre LORENOVE c’est rejoindre un réseau soudé et jouir de son rayonnement tout en bénéficiant d’une exclusivité territoriale. « Intégrer LORENOVE c’est avoir la force d’un réseau derrière soit, pouvoir proposer un panel de produit de qualité et très étoffé avec des menuiseries mais également des volets roulants, battants, des portails. Je démarre seul mon activité sur ma région mais j’ai derrière moi tout un réseau et un Groupe solide pour m’épauler ». « Je souhaite développer mes activités vers un marché plus haut de gamme et pour cela j’ai besoin d’une force commerciale nationale, d’outils de communication performants et de garanties concurrentielles comme par exemple la garantie 20 ans sur les menuiseries PVC qui est un argument fort quant à la fiabilité des produits proposés. » « J’ai choisi de me rallier au réseau Lorenove principalement pour l’étendue des gammes, la renommée du réseau, la qualité des produits ainsi que les idées et valeurs humaines que la marque véhicule, qui m’ont toujours séduites. Leur nouveau concept d’accompagnement pour les entrepreneurs, m’a aussi conquis car sur mon secteur l’enseigne n’était pas du tout présente ainsi, je pars de zéro, sans entreprise de menuiserie, sans base de clients et il y a tout à faire », témoignent Xavier RYNCARZ, Alexandre VERDIER et Michaël RAMAH. De notoriété croissante, le réseau national de concessionnaires Fenêtres LORENOVE se fortifie. L’enseigne met un point d’honneur à véhiculer ses valeurs de marque : qualité, savoir-faire, rigueur, intégrité et services. Ainsi la stratégie de développement exige une sélection rigoureuse des candidats et implique un accompagnement attentif. L’intégration de ces 3 nouvelles concessions vient confirmer le bon déroulement du déploiement territorial du réseau. Et, dans la continuité de ce développement consciencieux, une autre concession devrait ouvrir ses portes d’ici fin janvier 2021 au Mans.
Il y a 4 ans et 187 jours

Collectif studiolada : Espace Marie et Mathias

À Ancy-Dorno (57), le collectif d’architectes studiolada a construit une halle et aménagé un parc touristique de loisirs. Affirmant son approche responsable de l’architecture, il signe un projet, dans un style sobre et fonctionnel, qui vante l’usage de matériaux locaux. À la demande de la Marie d’Ancy-Dornot, le collectif Studiolada a conçu une architecture aérienne et épurée, où cohabitent plusieurs infrastructures. Sous la halle de l’Espace Mathias et Marie, un espace sportif (volley, basket, hand, skateboard, bicross), un espace culturel (événements, spectacles à et un espace commercial (marchés divers). Le projet, sobre et fonctionnel, mise sur la flexibilité et la modularité, et s’adapte ainsi à la diversité des événements que l’équipement accueillera.Monumentale, la halle de 836 mètres carrés est composée de 9 travées de 4 mètres reposant sur 20 massifs en béton. Le sol est une grande dalle de béton lisse adapté à la pluridisciplinarité du lieu. La structure primaire est en douglas lamellé collé, tandis que le bardage et le voligeage ont été réalisés avec du pin noir issu des forêts communales. Les façades, quant à elles, sont rythmées par des fines plaques de polycarbonate transparent de la couverture et des bâches amovibles dessinées sur mesure. La grande halle, pouvant accueillir jusqu’à 500 personnes assises, est aussi dotée de châssis de désenfumage et d’éclairages supplémentaires, afin de rendre l’édifice modulable et le transformer en fonction des besoins de la commune. Pour en savoir plus, visitez le site du collectif Studiolada.Visuels : © Olivier MathiotteLa rédaction
Il y a 4 ans et 187 jours

Le bug de l’année 2.0.2.0. est un virus, voire un cheval de Troie

Se souvenir que l’année a débuté avec des incendies gigantesques en Australie. Que savions-nous de ce qui nous attendait quand la poussière bas carbone serait retombée ! Il faut cependant toujours se méfier de ceux qui veulent votre bien avec trop d’empressement autoritaire. C’est ainsi que chaque architecte se retrouve plus que jamais lesté de moult […] L’article Le bug de l’année 2.0.2.0. est un virus, voire un cheval de Troie est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 187 jours

L'Etat débloque 40 M€ pour l'évaluation des ponts des petites communes

Tirés du plan de relance, ces 40 millions d'euros d'ingénierie permettront d'"aider les petites communes à connaître leur patrimoine d'ouvrages d'art", sous la houlette du Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (Cerema).
Il y a 4 ans et 187 jours

Zaha Hadid : le prix de l’apesanteur

Dans le monde des starchitectes, Zaha Hadid était l’une des plus grandes. Quatre ans après sa ...En savoir plus Cet article Zaha Hadid : le prix de l’apesanteur est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 187 jours

Le projet de rénovation du musée Dobrée de Nantes réévalué à 43 millions d'euros

"Je pense que je suis le 4e président du département à porter ce projet. Je voudrais être le président qui transmettra un magnifique projet de musée", a déclaré Philippe Grosvalet, président PS du département au cours d'une conférence de presse.Le conseil départemental, qui avait déjà alloué 28 millions d'euros au projet, doit se prononcer lundi sur une nouvelle "autorisation de programme" portant le coût total des dépenses à 43 millions d'euros."Quant l'info a été donnée, j'ai sauté au plafond", a reconnu M. Grosvalet, qui a souligné que les prix avaient "considérablement augmenté dans la dépense publique"."Ce dossier cumule toutes les difficultés", a-t-il ajouté, évoquant notamment les risques de recours en justice.Un précédent projet porté par l'architecte Dominique Perrault avait été retoqué par la cour administrative d'appel de Nantes en 2014.Le musée, fermé depuis janvier 2011, devrait rouvrir fin 2023 si les travaux aboutissent dans les délais impartis. Les premiers travaux préparatoires (désamiantage, fouilles archéologiques...) ont commencé dès 2019. Des recours contre ces travaux et contre le permis de construire sont encore en cours.L'inflation du coût des travaux "traduit toute la complexité de cette opération sur un patrimoine non classé monument historique mais dont toutes les entreprises en reprennent les contraintes en termes de mode opératoire, d'aléas techniques et de risques financiers", explique le conseil départemental dans un dossier de presse.Regroupant 135.000 oeuvres couvrant 5.000 siècles et cinq continents, le futur musée "offrira un espace permanent d'exposition de plus de 2.000 m³" et "un espace d'expositions temporaires d'environ 400 m³" dans le manoir de la Touche, datant du XVe siècle, selon un dossier de presse. Situé dans le centre-ville de Nantes, le musée comptera des jardins, une librairie-boutique et un café.Le nouveau projet scientifique et culturel propose "d'embrasser" l'éclectisme de ses collections "et d'en faire un élément à part entière de l'identité spécifique du musée", selon la même source.En avril 2018, le reliquaire en or d'Anne de Bretagne, ancienne reine de France, avait été dérobé à l'intérieur du musée Dobrée, avant d'être retrouvé quelques jours plus tard.
Il y a 4 ans et 187 jours

Lille Capitale mondiale du Design #3: Expositions didactiques à Lens et Tourcoing

Le bois est présent partout : dans l’habitat individuel, le logement collectif, les bâtiments publics, les équipements de loisirs, les bureaux, les commerces, etc. Si son marché le plus important demeure la maison individuelle, la réhabilitation et l’extension offrent des débouchés intéressants, en particulier à […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 187 jours

Réduire sa facture de chauffage, c’est possible avec les poêles à combustible liquide Qlima

Le chauffage occupe une part importante dans le budget des foyers. Les familles font donc très attention à leur consommation d’énergie en hiver, préférant s’équiper d’appareils efficaces et économes. Tels les poêles à combustible liquide Qlima qui allègent significativement les dépenses. Économiques à l’achat comme à l’usage, les poêles à combustible liquide Qlima, leader européen sur ce marché, constituent la réponse idéale pour les particuliers attentifs à leur facture énergétique et à leur confort. En utilisant un combustible Qlima à 0,075 € TTC/kWh*, l’économie réalisée peut atteindre jusqu’à 35 % par rapport à un radiateur électrique radiant au tarif de 0,171 € TTC/kWh*. Installés en 30 secondes, ils chauffent la pièce en 5 minutes ! Les poêles à combustible liquide Qlima sont le moyen le plus rapide pour chauffer un intérieur. En quelques minutes, la puissance de chauffe, associée à un ventilateur performant (sur modèles Lasers), procure une chaleur confortable qui se diffuse rapidement dans toute la pièce. Répondant à la très stricte norme NF, les poêles à combustible liquide Qlima sont totalement sécurisés. Ils sont équipés d’un détecteur de CO2, d’un système anti-renversement en cas de choc et d’un arrêt automatique si la température de la pièce est trop élevée. Qlima propose deux catégories de poêles à combustible liquide : – Les poêles électroniques Laser, dont le nouveau modèle SRE 4033 C, d’une esthétique design, efficace et économe, ou le SRE 9046 C-2, un appareil puissant pour grandes surfaces. – Les poêles à mèche, comme le R 8128S C, à haut rendement, équipé d’un système unique de brûleur à double combustion « Turbo ». * Coûts kW/h moyens constatés   Nouveau poêle électronique Laser SRE 4033 C Qlima Un confort en or ! Efficace, sûr, rapide et très économe, le poêle électronique Laser SRE 4033 C Qlima s’intègre dans tous les intérieurs pour apporter une chaleur douce. Solution de chauffage design, il apporte les degrés nécessaires au bien-être dans des pièces jusqu’à 52 m2 pour 15 à 43 cts/h* seulement. Disponible en couleur or, ce modèle associe un brûleur haut de gamme à des fonctions programmables qui empêchent le gaspillage. Le brûleur à bec bunsen du SRE 4033 C Qlima utilise la forme gazeuse du combustible dans la chambre de combustion. Les effets sont remarquables : démarrage rapide (environ 45 secondes), odeurs considérablement réduites, y compris au démarrage et à l’extinction, et régulation de la combustion très précise. La régulation du poêle se fait en effet de 100 W en 100 W. Cela procure une chaleur constante, confortable, sans variations de température désagréables. De plus, un système d’air pulsé chauffe la pièce très rapidement grâce à une répartition équilibrée de l’air chauffé, perpétuellement brassé. Pilotable depuis un large écran de contrôle LCD, le SRE 4033 C Qlima dispose d’un mode Save, avec marche et arrêt automatiques, afin de maintenir la température programmée sans variation de chaleur. Un capteur mesure la température ambiante, et l’appareil s’autorégule en fonction de la chaleur choisie, réduisant ainsi la consommation de combustible de 8 %. La fonction hors gel (en réglant l’appareil sur 5 °C) empêche le froid hivernal de dégrader la maison. Pour un chauffage en toute sécurité, le poêle électronique Laser Qlima est équipé d’un détecteur de CO2 qui contrôle en permanence l’atmosphère de la pièce, et permet d’arrêter automatiquement l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. * Avec un combustible Qlima Pure. Coûts variables selon le combustible utilisé.   Poêle électronique Laser SRE 9046 C-2 Qlima La puissance en action pour grandes surfaces Particulièrement puissant, le poêle électronique Laser SRE 9046 C-2 Qlima permet de chauffer rapidement de grandes surfaces (jusqu’à 76 m2) pour 17 à 60 cts/h*. La chaleur produite se propage uniformément au moyen du ventilateur intégré. En seulement cinq minutes, l’appareil diffuse une chaleur confortable dans l’espace de vie. Équipé d’un brûleur high-tech, le SRE 9046 C-2 Qlima adapte en permanence sa puissance (entre 1 280 et 4 650 W) : c’est la régulation électronique. La puissance produite varie ainsi de 100 W en 100 W afin de correspondre précisément à la température programmée. Il en résulte un grand confort d’utilisation, mais aussi une réelle économie d’énergie. En activant le mode Save du SRE 9046 C-2 Qlima, la régulation électronique est doublée d’une fonction marche/arrêt automatique qui optimise la régulation. Par exemple, si la température de la pièce dépasse de 3 °C la température programmée, l’appareil s’éteint. Dans le cas contraire, il se remet en fonctionnement. Avec une régulation définie au plus juste, le confort est amélioré et la facture énergétique abaissée. De plus, pour empêcher le froid de faire des dégâts dans la maison, il est possible de programmer le mode Save sur 5 °C (fonction hors gel). Pour encore plus de confort, le SRE 9046 C-2 Qlima est équipé d’un grand réservoir de 9 litres, assurant jusqu’à 67 heures d’autonomie, et d’un système de temporisation de la ventilation, pendant l’allumage et l’extinction, qui évite la diffusion des odeurs de combustion. Ce modèle performant est également doté de dispositifs de sécurité infaillibles : parois froides, détecteur de CO2, système anti-renversement… * Avec un combustible Qlima Pure. Coûts variables selon le combustible utilisé.   Poêle à mèche R 8128S C Qlima Un rendement proche de 100 % Autonome et à haut rendement, le poêle à combustible liquide R 8128S C Qlima est équipé d’un système unique de brûleur à double combustion « Turbo » qui permet d’optimiser les performances de l’appareil. Le principe consiste à brûler les gaz issus de la première combustion au moyen d’un brûleur supérieur, afin d’obtenir une efficacité énergétique proche de 100 %. Avec ce système breveté, la combustion est propre, sans condensation, et le dégagement des odeurs considérablement limité. Le système « Turbo » apporte une grande puissance de chauffe et un confort d’utilisation hors pair : la chaleur est diffusée uniformément dans la pièce par convection (70 %) et par rayonnement (30 %). Capable de chauffer jusqu’à 42 m2 de surface, le poêle à mèche R 8128S C Qlima affiche une autonomie de 17 h 50, pour une puissance de chauffe de 2 850 W. Cet appareil mobile, qui fonctionne sans avoir besoin d’être branché à une prise de courant, constitue un chauffage autonome idéal dans les pièces de vie, mais aussi dans les garages, ateliers, vérandas… Ultra performant, le R 8128S C Qlima est aussi un as de la sécurité, car doté des équipements suivants : • Un dispositif de contrôle d’atmosphère qui mesure en permanence le taux de CO2 et arrête l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. • Une sonde qui déclenche l’arrêt total de l’appareil dès que la température de la pièce est trop élevée (33 °C). • Un dessus tempéré en conformité avec la norme de sécurité en vigueur. • Un système d’arrêt automatique qui se déclenche en cas de choc ou de renversement. • Un système de sécurité qui éteint l’appareil dès le retrait du réservoir.   Poêle électronique Laser SRE 4033 C Qlima     Type de brûleur : à injection électronique Puissance : de 1 190 à 3 300 W Volume pièce : de 21 à 52 m2 Autonomie : de 14,5 à 40 h Consommation : de 0,124 à 0,344 l/h Capacité du réservoir : 5 l Dimensions : L 436 x P 313 x H 435 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 329 euros TTC Points de vente : GBS, GSA et sites e-commerce Poêle électronique Laser SRE 9046 C-2 Qlima Type de brûleur : à injection électronique Puissance : de 1 280 à 4 650 W Volume pièce : de 30 à 76 m2 Autonomie : de 18 à 67 h Consommation : de 0,134 à 0,485 l/h Capacité du réservoir : 9 l Dimensions : L 466 x P 349 x H 445 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 549 euros TTC Points de vente : GBS, GSA et sites e-commerce Poêle à mèche R 8128S C Qlima     Type de brûleur : à double combustion Puissance : 2 850 W Volume pièce : de 20 à 42 m2 Autonomie : 17 h 50 Consommation : 0,297 l/h Capacité du réservoir : 5,2 l Dimensions : L 455 x P 295 x H 470 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 249 euros TTC Points de vente : GBS, GSA et sites e-commerce www.qlima.fr
Il y a 4 ans et 187 jours

Création de MENREC pour la collecte et le démantèlement des menuiseries en fin de vie

Cette nouvelle organisation ambitionne de valoriser les différents matériaux des menuiseries en fin de vie (bois, PVC, aluminium et verre) et leur réemploi pour la fabrication de nouvelles solutions (fenêtres, portes et volets).Encore considérées comme des déchets, les menuiseries en fin de vie font aujourd’hui généralement l’objet d’enfouissement dans des carrières alors qu’elles représentent une source importante de nouvelles matières premières et d’économies de carbones. Stopper cet enfouissement, tel est le crédo de MENREC.« Les menuiseries proposées par ATLANTEM INDUSTRIES et FENÉTRÉA, présentent une durée de vie de 30 ans, certifiée dans les Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) des produits. Nos entreprises ayant commercialisé leurs premiers produits il y a environ 27 ans, il nous est paru évident d’anticiper les premiers chantiers de déconstruction. Notre démarche vient également répondre à la prochaine augmentation des projets de rénovation attendue suite à l’annonce du Plan France Relance. L’occasion d’affirmer nos engagements respectifs pour stopper l’enfouissement des menuiseries en fin de vie. », s’accordent à l’unisson Dominique LAMBALLE, Président de FENÉTRÉA, et Bruno CADUDAL, Directeur Général d’ATLANTEM INDUSTRIES.Une démarche collaborativeAfin de créer une structure solide et dynamique, ATLANTEM INDUSTRIES et FENÉTRÉA ont intégré deux autres entreprises familiales aux compétences complémentaires : RIOU GLASS, leader français indépendant du vitrage, et le GROUPE BOHELAY, société de transport spécialisée dans la logistique du recyclage. Créée le 4 décembre dernier et présidée par Adrien BOHELAY, MENREC est une SAS indépendante détenue à part égale par les quatre co-fondateurs. Le siège et l’unité de démantèlement sont implantés à Saint-Allouestre, dans le Morbihan (56). Une situation géographique centrale pour la collecte dans le Grand Ouest. L’activité débutera au 1er mars 2021. MENREC a pour objectif de favoriser le développement de l’emploi solidaire. L’organisation prévoit le recrutement de dix collaborateurs à horizon fin 2021.Un dispositif responsable clé en main pour les installateursMENREC apporte à l’installateur du Grand Ouest une solution clé en main en matière de collecte et de démantèlement de menuiseries en fin de vie, sans surcoût par rapport à la situation actuelle. Il se verra délivrer une attestation prouvant que les menuiseries remplacées rentrent dans un dispositif d’économie circulaire. Une valorisation de son engagement responsable auprès de ses clients.L’organisation met à disposition des installateurs (artisans, menuisiers, réseaux de fenêtriers…), un rack ou une benne spécifiquement créés par MENREC. Lorsque le contenant est plein, le professionnel en informe MENREC via le site www.menrec.fr. La démarche est simplifiée : pas de tri à effectuer en amont, un gain de temps ! Un camion plateau avec chariot embarqué effectue une tournée pour collecter les racks et les bennes. Les déchets sont :acheminés vers l’unité de démantèlement qui dissocie le PVC, l’aluminium, le bois et le vitrage,stockés sur une plateforme de 1.000 m2, démantelés puis envoyés dans les centres de recyclage spécialisés,réintroduits dans de nouveaux process de fabrication d’ATLANTEM INDUSTRIES, de FENÉTRÉA et RIOU GLASS.
Il y a 4 ans et 187 jours

Xella, solution maison passive : Des maisons passives en Ytong Energie au sein du plus grand écoquartier de France à Carquefou

Située en proche périphérie de Nantes, la ville de Carquefou (44) accueille l&rsquo;écoquartier de La Fleuriaye. Avec de nombreux bâtiments associant du collectif à de la maison individuelle, un Institut médico-éducatif (IME), un centre équestre et 5 000 m² de tertiaire, ce programme constitue le plus grand ensemble certifié Bâtiment passif de France et d&rsquo;Europe. Plus de 600 logements y ont déjà vu le jour. Afin de généraliser le label Passivhaus, qui garantit au bâtiment une bonne qualité de l&rsquo;air et un confort thermique été comme hiver, l&rsquo;opération a été confiée à l&rsquo;aménageur Loire-Atlantique Développement &#8211; SELA, qui s&rsquo;est associé au bureau d&rsquo;études TY eco2, spécialisé dans la formation et l&rsquo;accompagnement en construction durable et passive. Au sein de cet ambitieux programme respectueux de l&rsquo;environnement et peu énergivore, lors de la première tranche de travaux, une trentaine de parcelles ont été acquises pour la construction de maisons individuelles. Parmi elles, quatre ont été réalisées en béton cellulaire Ytong Energie 25, une solution aux excellentes performances thermiques et d&rsquo;étanchéité à l&rsquo;air pour atteindre les niveaux passifs. D&rsquo;une surface de 100 à 110 m2 au sol et construites sur 2 niveaux, les quatre maisons requéraient environ 150 m2 de béton cellulaire chacune. Propriétaires et constructeur, sur les conseils de l&rsquo;aménageur et de TY eco2, ont opté pour les blocs Ytong Energie 25. YTONG ENERGIE 25 : Des murs très isolants compatibles avec la construction passive Martial Chevalier, gérant de TY eco2, souligne la particularité de l&rsquo;écoquartier de La Fleuriaye : « Cet ensemble de grande ampleur de bâtiments labellisés passifs inclut un lotissement libre de constructeurs. Ce choix audacieux a multiplié le nombre d&rsquo;intervenants, de techniques, d&rsquo;architectures, et a contribué à créer toute la richesse du quartier. Maisons en ossature bois, en voile béton banché ou en béton cellulaire&#8230; Les propriétaires de chaque terrain ont dû trouver les compétences d&rsquo;un maître d&rsquo;œuvre ou d&rsquo;un architecte habilité par nos soins. Nous accompagnons donc les propriétaires du début à la fin pour répondre scrupuleusement au cahier des charges que nous avions écrit avec l&rsquo;aménageur pour cet écoquartier. Au-delà du prérequis de la RT 2012 sur le territoire français, nous sommes allés chercher la performance passive avec des consommations et besoins en chauffage très faibles. » Performances thermiques et étanchéité D&rsquo;une excellente inertie thermique et offrant un très bon déphasage, qui permet de protéger de la chaleur en été et de la conserver l&rsquo;hiver, le béton cellulaire est un matériau de premier choix dans la conception d&rsquo;habitats passifs et bioclimatiques. Il forme une enveloppe thermique très isolante. Ainsi, les blocs Ytong Energie 25 offrent une valeur R = 2,78 m² K/W pour un maximum de confort et un minimum de dépenses énergétiques. Pour Martial Chevalier de TY eco2 « Les blocs Ytong Energie 25 présentent l&rsquo;avantage d&rsquo;être très isolants dans la matière, ce qui les rend extrêmement précieux pour le travail de gestion des ponts thermiques. » Les murs Ytong Energie sont parfaitement étanches à l&rsquo;air : pleins et massifs. Leur mise en œuvre collée à joint mince évite ainsi les déperditions d&rsquo;énergie. Une large gamme d&rsquo;accessoires complète ce système constructif : planelles, coquilles U et linteaux, coffres de volet roulant et colles permettent de traiter les ponts thermiques et de renforcer l&rsquo;étanchéité et l&rsquo;isolation du mur par l&rsquo;extérieur. Clément Sikorski, propriétaire d&rsquo;une des maisons passives en béton cellulaire de la Fleuriaye, témoigne des atouts de cette solution constructive : « Notre maison est certifiée passive puisque les tests d&rsquo;étanchéité effectués avec TY eco2 ont été passés avec succès. Nous y habitons depuis plus d&rsquo;un an. Nous n&rsquo;avons pas de chauffage, hormis un poêle à pellets qui nous permet d&rsquo;ajuster la température quand on revient de vacances à Noël et qu&rsquo;il fait vraiment froid, par exemple. C&rsquo;est un chauffage de secours, qui crée une ambiance agréable l&rsquo;hiver mais on ne s&rsquo;en sert pas au quotidien. En une heure, on gagne 3 degrés. L&rsquo;avantage d&rsquo;une maison comme la nôtre, c&rsquo;est sa grande inertie : la maison reste toujours dans la même fourchette de températures. On descend rarement sous 19° et en cas de canicule on ne dépasse pas le 24-25° C. » Un matériau propre et sain Composé de substances minérales naturelles, le béton cellulaire est durable, écologique et propre. Fabriqué à partir de matière première naturelles, le béton cellulaire est durable, écologique et présente une empreinte carbone réduite. Incombustible, ininflammable, ce matériau bénéficie d&rsquo;une performance meilleure qu&rsquo;A+. La perspirance, associée à une très bonne isolation, supprime les points froids et empêche le développement des moisissures. Murs Ytong à isolation rapportée : une excellente alternative pour la construction passive Outre ses qualités de résistance thermique et d&rsquo;isolation, les murs Ytong en béton cellulaire sont un mode constructif vertueux et très simples à mettre en œuvre. Ils présentent une alternative intéressante aux maisons à ossature bois pour les projets d&rsquo;habitat passif. Madame Stefan, dont la maison est en cours de construction, raconte : « Nous n&rsquo;avions pas envie d&rsquo;une maison en bois, parce qu&rsquo;on venait d&rsquo;un quartier où les maisons à bardage bois vieillissaient très mal. Mon frère, qui travaille dans le bâtiment, m&rsquo;a vanté les propriétés du béton cellulaire en termes d&rsquo;isolation et nous avons suivi l&rsquo;avis du constructeur. » Bénéficiant d&rsquo;une bonne capacité portante, les blocs en béton cellulaire sont ergonomiques et légers (18 kg contre 22 pour un parpaing classique). De plus, ils sont plus faciles à travailler, à scier et à poser. Martial Chevalier, séduit par le béton cellulaire depuis une vingtaine d&rsquo;années, développe : « Au toucher, le matériau est très agréable. Sa nature isolante permet un travail mécanique structurel de l&rsquo;ouvrage couplé avec l&rsquo;isolation, le tout avec des composants intéressants. Les blocs offrent des libertés d&rsquo;un point de vue architectural puisqu&rsquo;on les utilise en lieu et place des autres systèmes. La technique constructive du béton cellulaire s&rsquo;apparente davantage aux savoir-faire des maçons actuels que celle de l&rsquo;ossature bois. » Ronan M., conducteur de travaux du Cmiste Comeca, qui s&rsquo;est chargé de la construction de deux des maisons, ajoute : « Sur le plan thermique, le produit est excellent, il dépasse très largement la brique et le parpaing. Ces maisons passives ont des normes très exigeantes par rapport à celles qui s&rsquo;appliquaient sur les constructions il y a une dizaine d&rsquo;années, le béton cellulaire s&rsquo;y adapte très bien. » Raoul Féjean, ingénieur commercial chez Xella, qui a suivi le projet de La Fleuriaye, précise : « Aujourd&rsquo;hui, pour réaliser des maisons passives, les projets doivent avoir un U paroi < 0,15W/m2K. Pour atteindre ces performances, le béton cellulaire utilisé en solution ITI comme à la Fleuriaye offre un rapport qualité-prix très intéressant. Avec des blocs Ytong Energie 25 et un isolant de 160 derrière, le coût au m2 se situe entre 130 et 150 euros. Pour une paroi passive sur ce marché-là, c&rsquo;est un tarif très économique. » Enfin, la légèreté du matériau constitue également un atout de taille pour la santé des équipes chargées de la mise en œuvre. A savoir : Le label PassivHaus comprend 4 critères principaux. Il s&rsquo;agit de réaliser des constructions qui respectent les paramètres suivants : • Un besoin de chauffage inférieur à 15 kWh d&rsquo;énergie utile par m² de surface de référence énergétique et par an. • Une consommation totale en énergie primaire (tous usages, électroménager inclus) inférieure à 120 kWh par m² de surface de référence énergétique par an. • Une perméabilité à l&rsquo;air de l&rsquo;enveloppe mesurée sous 50 Pascals de différence de pression inférieure ou égale à 0,6 par heure. • Une fréquence de surchauffe intérieure (inférieur à 25°C) inférieure à 10 % des heures de l&rsquo;année. Les murs en béton cellulaire Ytong contribuent à l&rsquo;obtention du label PassivHaus grâce à ses performances en termes de résistance thermique, de traitement de ponts thermiques, d&rsquo;étanchéité à l&rsquo;air et de confort thermique. PROJET LA FLEURIAYE Fiche constructive des maisons individuelles en béton cellulaire Lieu : Carquefou (44) Aménageur : Loire-Atlantique Développement SELA Constructeur &#8211; bureau d&rsquo;études : Comeca &#8211; Ty éco 2 Superficie : 100-160 m2/maison Système constructif : béton cellulaire Xella avec ITI Isolation murs : laine minérale 14 cm Isolation toiture : laine minérale 40 cm Isolation planchers : UP 23 + isolant polyuréthane 10 cm Isolation de l&rsquo;enveloppe : U  inférieur/égal 0,15W/m2K Menuiseries/vitrages : Mixte pvc/alu ou bois/alu avec triple vitrage Uw mise en œuvre inférieur/égal 0,85W/m2K Besoins de chauffage PHPP : inférieur/égal 15KWh/m2.an Besoins totaux en énergie primaire PHPP : inférieur/égal 120kWh/m2.an Test d&rsquo;étanchéité à l&rsquo;air n50 :  inférieur/égal 0,6 h-1 Ventilation : VMC double flux rendement supérieur/égal 0,75%    P inférieur/égal 0,45W/M3/h Chauffage : bouches chauffantes Chauffage d&rsquo;appoint : poêle à granulés (option) ECS : Ballon thermodynamique Coût : hors panneaux solaires entre 1 800 et 2 200 euros/m2 (avec panneaux solaires : entre 2 200 et 2 600) TY eco2 ZA La Touche &#8211; 35890 Bourg des Comptes Tél : 0299521438 &#8211; contact@tyeco2.com www.tyeco2.com
Il y a 4 ans et 187 jours

Le "château Diter" sur la Côte d'Azur devra bien être démoli

En mars 2019, la cour d'appel d'Aix-en-Provence avait déjà confirmé une décision prise en première instance à Grasse qui condamnait ce propriétaire à démolir son bien. En quelques années, Patrick Diter avait transformé une modeste bastide de 200 m2 en une propriété au style Renaissance de 3.000 m2, estimée par le fisc à 57 millions d'euros.M. Diter avait fait construire notamment une piscine, un héliport et une route de 600 m2 tracée, tout aussi illégalement, dans un espace boisé classé.La démolition de l'intégralité des travaux constatés dans les procès-verbaux d'infraction, confirmée aujourd'hui par la Cour de cassation, doit intervenir dans les 18 mois et, passé ce délai, sous astreinte de 500 euros par jour de retard."Mes clients sont soulagés, ils attendaient cette décision avec inquiétude, ils sont satisfaits de voir que la justice soit rendue", a réagi Me Virginie Lachaut-Dana, avocate des voisins de M. Diter qui s'étaient portés parties civiles.Me Philippe Soussi, qui défend les intérêts de M. Diter, a indiqué vouloir saisir la Cour européenne des droits de l'homme."Cette décision de justice n'est pas l'épilogue de cette affaire", a-t-il affirmé. "L'idée même de la démolition du château Diter, qui est un chef d’œuvre architectural, est inimaginable et insensée. On va se battre pour éviter ça", promet-il.Me Louis Ribière, autre conseil de M. Diter, rappelle qu'une procédure, devant la justice administrative, est toujours en cours. "En juillet, le Conseil d’État a renvoyé devant le tribunal administratif le jugement sur le caractère frauduleux ou non du permis de construire accordé à M. Diter", indique l'avocat."Les infractions dépassent largement le cadre de ce permis de construire, ce n'est qu'un des éléments du dossier", souligne de son côté l'avocate des voisins de M. Diter.
Il y a 4 ans et 187 jours

France Relance : 4214 projets de rénovation énergétique des bâtiments publics de l’État

Jean Castex, Premier ministre, Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et Olivier Dussopt, ministre délégué́ chargé des Comptes publics ont annoncé la sélection de 4214 projets pour 2,7 milliards d’euros en faveur de la rénovation énergétique des bâtiments de l’État, de l’enseignement supérieur, de la recherche et de la vie étudiante, dans le cadre de France Relance. Les dossiers concernent un champ large de bâti : bâtiments de bureaux des services de l’État (ministères, préfectures), des bâtiments accueillant du public (commissariats, gendarmeries, centres des finances publiques…), des bâtiments d’enseignement supérieur et de recherche (universités, grandes écoles, laboratoires, organismes de recherche…), des bâtiments des CROUS (logement et restauration) ou encore des casernes, des locaux techniques. Autant de projets devant permettre d’améliorer la qualité d’accueil et de réception des usagers, comme les conditions de travail des agents de la fonction publique. Le Gouvernement a en premier lieu privilégié l’efficacité écologique et économique de la relance. Les projets ont ainsi été retenus au regard de deux critères essentiels : leur performance énergétique et la capacité à être mis rapidement en œuvre. Tous les projets retenus, mais tout particulièrement 4 108 projets de moins de 5 millions d’euros, vont favoriser les artisans, les TPE et PME partout en France, dans tous les territoires. Par ailleurs, l&rsquo;investissement devrait permettre la création de 20 000 emplois sur 2021-2023. Cet investissement va également permettre de renforcer les compétences de la filière de la rénovation énergétique. Les services de l’État et les établissements publics vont devoir très rapidement mettre en œuvre les chantiers de rénovation, pour une notification au plus tard des marchés fin 2021 et avec une date limite de livraison des chantiers en 2023. Pour accélérer la relance, l’État a pris des mesures de simplification : le relèvement temporaire du seuil de la commande publique à 100 000 euros de travaux dans la loi ASAP ou la facilitation de la réalisation de marchés de conception-réalisation dans le PLF pour 2021.
Il y a 4 ans et 187 jours

Le bâtiment Wave de Vinci labellisé Ready to Services 3 étoiles

Initié par la Smart Building Alliance (SBA), le label « Ready to Services » favorise une évolution des pratiques pour faire du SmartBuilding une plateforme de services apportant confort, performance énergétique et sécurité des données. Le bâtiment Wave de Vinci Energies à Euratechnologies, vient d’être labellisé R2S (Ready to Services) 3 étoiles, niveau le plus élevé de la certification délivré par Certivea. C’est le premier en France à atteindre ce niveau de certification. Le CD2E, accélérateur de l’éco transition basé à Loos-en-Gohelle, a accompagné, en partenariat avec AMEXIA cabinet conseil du groupe Projex en matière de développement durable, de SmartBuilding et de BIM, VINCI Energies pour préparer l’audit de labellisation. Le Cluster a pu, grâce à ses outils, simuler les performances du bâtiment en lien avec le référentiel et challenger VINCI Energies pour viser les 3 étoiles. Ce bâtiment était en exploitation, il a donc parfois fallu demander des principes d’équivalence et attirer l’attention de Vinci Energies sur les spécificités du label et de leur bâtiment. Grâce aux échanges réguliers et à l’accompagnement du CD2E, les outils nécessaires à l’obtention des 3 étoiles ont pu être mis en place. L’ensemble des entreprises locales de VINCI Energies mobilisées sur le projet (Delporte, Santerne Fluides, C2C, NAE, Lesot, Axians et Smart Building Energies) ont permis au bâtiment WAVE de bénéficier d’une connectivité performante avec une architecture réseau informatique intégrée au bâtiment, d’équipements techniques et d’interfaces favorisant l’interopérabilité, tout en garantissant la sécurité des systèmes. Le suivi des consommations énergétiques et l’optimisation des services sont pilotés via une plateforme Web, spécialement développée par les équipes de VINCI Energies. Facilement duplicable, cette plateforme est déjà déployée dans d’autres bâtiments tertiaires. Vainqueur du Grand Prix SIMI 2019 Immeubles de bureaux neufs de moins de 5 000 m2, WAVE accueille 100 collaborateurs depuis fin 2019 autour des promesses du SmartBuilding : évolutivité des espaces, confort des occupants, connectivité et performance énergétique.
Il y a 4 ans et 188 jours

Structure plus intense, touche dramatique : les baignoires de Bette maintenant disponibles en noir mat

Les éléments sanitaires noirs apportent de l'élégance et créent une ambiance monolithique dans la salle de bains. Bette propose dès à présent le très élégant coloris noir mat dans sa gamme de baignoires « Silhouette », au tablier fermement ajusté.
Il y a 4 ans et 188 jours

Résultats de la 8ème édition du Prix Femmes Architecte

Pour le Prix 2020, l'ARVHA reçoit également le soutien de BNP PARIBAS Real Estate, Ciments Calcia, Unibail Rodamco, et COGEDIM ainsi que de Batiactu, de TEMA et du journal de l'architecte.Ce prix a pour but de mettre en valeur les œuvres et les carrières de femmes architectes, afin que les jeunes femmes architectes puissent s'inspirer des modèles féminins existants, et d'encourager la parité dans une profession à forte dominante masculine.En 2019 le jury a attribué quatre prix et deux mentions spéciales:Prix Femme Architecte : Dominique JAKOB - JAKOB +MAC FARLANEPrix Œuvre originale : Fabienne BULLEMention spéciale œuvre originale : Marie France CHATENETPrix Jeune Femme Architecte : Marie PERIN Tica architectes et urbanistesPrix international : Francine HOUBENMention spéciale : Elisa VALEROEn 2019, La compétition a été ouverte du 1er juin au 30 septembre. Le jury s'est réuni le 31 Octobre 2019 pour désigner les lauréates de chaque prix. La cérémonie a été introduite par Claudia MATTOGNO architecte et professeur à la Sapienza et Présidente du Jury. Le prix Femme Architecte a été remis par Denis DESSUS président du conseil national de l'ordre des architectes. Le prix Œuvre Originale par Véronique DESCHARRIERES et la mention spéciale de l'œuvre originale par Katia DOMSCHKY membre du CEA Task force « Women in Architecture » , le prix Jeune Femme Architecte par Sandra Di Giorgio le prix international remis par Sophie BERTHELIER et la mention spéciale par Catherine BARBIER-AZAN et par Beatrice MOUTON.En 2020, 465 candidatures ont été examinées et ont présenté 1500 projets.En 2020, quatre prix ont décerné et une mention pour: Femme architecte primée pour ses projets réalisés – 3 à 5 ouvrages construits,Une œuvre originale réalisée par une femme architecte, et une mention spécialeJeune Femme architecte de moins de 40 ans primée pour ses projets – 3 à 5 projets réalisés ou nonPrix International 3 à 5 ouvrages construitsLa cérémonie de remise du prix s'est déroulé en visio-conférence le 9 décembre 2020 devant plus de 1500 personnes. En 2020, La compétition a été ouverte du 1er juin au 30 septembre. Le jury s'est réuni le 30 Octobre 2020 pour désigner les lauréates de chaque prix sous la présidence de Catherine GUYOT secrétaire générale de l'ARVHA et présidente de Women in Architecture France et de Spela HUKAR vice-présidente du jury et représentant de la chambre des architectes de Slovénie. La cérémonie a été conclue par Denis DESSUS président du Conseil National de l'Ordre des Architectes.Le jury était composé de représentants du Ministère de la Culture Madame (Agnès SAAL), de l'Ordre des Architectes National (Elizabeth GOSSART ) de Béatrice AUXENT présidente d'ARCHITECTUELLES , des lauréates du Prix 2019, Dominique JAKOB, Marie PERIN, Fabienne BULLE Sophie BERTHELIER de Spela kUHAR Vice-présidente du jury, représentante de la chambre des architectes des Slovénie, de Bettina DREIR FIALA représentante de la chambre des architectes D'Autriche et leader du projet « YesWePlan ! » pour l'égalité Hommes Femmes dans le secteur de l'architecture, de Iris WEX représentante de la chambre des architectes d'Allemagne et membre du CEA, Catherine PAPILLON directrice de communication BNP PARIBAS REAL ESTATE, et de Catherine GUYOT directrice de l'ARVHA, Présidente de Women in Architecture.Pour l'année 2020, les résultats sont les suivants:Jeune Femme ArchitectePour la catégorie Jeune Femme Architecte, le prix est attribué à OH ! SOM architectesStéphanie Franceschi, Marie Fade, Caroline Mangin.Le prix Œuvre OriginaleLe prix Œuvre Originale est attribué à Cathrin TREBELJAHR pour son projet « Réhabilitation et extension de l'ancienne préfecture de Versoix »La mention spéciale est donnée à Sophie DENISSOF agence CASTRO DENISSOF son projet « habiter le ciel » et pour son parcours professionnel.Prix International : deux prix ex æquoLe prix est attribué à Anna HERINGER pour son œuvre (Allemagne) et à Benedetta TAGLIABUE (Ex æquo) pour son œuvre (Espagne).Femme ArchitecteLe Prix Femme Architecte est décerné à Florence LIPSKY Agence LIPSKY ROLLET° pour son œuvre.L'ARVHA remercie l'ensemble des participants, lauréates ou non lauréates, les membres du jury pour leur investissement pour ce prix ainsi que Denis DESSUS président du conseil national de l'ordre des architectes, Agnès SAAL Ministère de la Culture, Elizabeth GOSSART du CNOA, Spela KUHAR vice-présidente du jury et représentante de la chambre des architectes de Slovénie , de Bettina DREIR FIALA représentante de la chambre des architectes D'Autriche et leader du projet « YesWePlan! » pour l'égalité Hommes Femmes dans le secteur de l'architecture, d'Iris WEX représentante de la chambre des architectes d'Allemagne et membre du CEA et Catherine PAPILLON directrice de communication BNP PARIBAS REAL ESTATE, Béatrice AUXENT présidente d'Architecturelles Hauts-de-France et tous les membres du jury pour leur contribution, qui ont examiné 1500 œuvres présentées par 465 dossiers de femmes architectes sur le site web www.femmes-archi.org
Il y a 4 ans et 188 jours

Dans l’œil de Vanessa Bosio

Voilà maintenant plus d&#8217;un an que la photographe Vanessa Bosio accompagne L&#8217;Architecture d&#8217;Aujourd&#8217;hui à chacun de ...En savoir plus Cet article Dans l&rsquo;œil de Vanessa Bosio est apparu en premier sur L&#039;Architecture d&#039;Aujourd&#039;hui.
Il y a 4 ans et 188 jours

Rotunno Justman architectes : créer autrement

Au cœur de la capitale, dans le Marais, les architectes de Rotunno Justman ont transformé un ancien local commercial de 90 mètres carrés en espace de travail épuré. L’agence franco-italienne Rotunno Justman est née en 2018 de la rencontre entre deux architectes, Maria-Giulia Rotunno et Ary Justman. Passionnés par la culture japonaise, les deux associés, qui ont fait leurs armes auprès de Shigeru Ban Europe et Sou Fujimoto Paris, défendent aujourd’hui une architecture sociale et écologique, et développent une approche conceptuelle, à travers des projets variés. Leur dernière réalisation illustre bien leur démarche exigeante et leur esthétique minimaliste. Dans le projet de réhabilitation « créer autrement », Maria-Giulia Rotunno et Ary Justman conjuguent éléments architecturaux du passé et pièces audacieuses très contemporaines. « Nous avons essayé de retrouver la noblesse du lieu en redonnant aux matériaux leur essence initiale : terrazzo, mur en pierre. », explique le duo. Les architectes ont amélioré les qualités spatiales de l’ancien local afin que chaque espace de travail soit dédié à une activité. Ils ont remplacé les portes et certaines cloisons par des rideaux à lanières PVC opaques ou transparentes pour laisser circuler la lumière. Les différents espaces peuvent ainsi être compartimentés, sans être cloisonnés.Un lieu aussi accueillant que fonctionnel. Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Rotunno Justman.Visuels : © Giaime MeloniLa rédaction
Il y a 4 ans et 188 jours

L'État lance une vaste rénovation thermique de 4.000 bâtiments publics

Ces "4.200 opérations réparties sur l'ensemble du territoire" représentent "un effort massif", a souligné le Premier ministre Jean Castex à Matignon.Ce programme était prévu dans le cadre du plan de relance d'une centaine de milliards d'euros du gouvernement, annoncé à la fin de l'été, dans le but de sortir durablement l'économie de la crise du coronavirus.L’État prévoit de consacrer quatre milliards d'euros à rénover ses bâtiments, mais le programme annoncé lundi ne représente que 2,7 milliards.Il ne vise en effet que les bâtiments qui dépendent directement de l’État et non ceux appartenant aux collectivités locales - comme les écoles -, qui font l'objet d'une autre enveloppe d'1,3 milliard d'euros.En ce qui le concerne, l’État compte faire rénover un peu plus de 4.000 bâtiments, dont une large part d'universités et d'établissements de recherche, à qui échoit la moitié de l'enveloppe, aux côtés de commissariats, de préfectures ou de casernes.Le gouvernement et les préfets ont eu l'embarras du choix car les candidatures ont représenté au total trois fois plus que l'enveloppe prévue, à plus de dix milliards d'euros de travaux potentiels, un "très grand succès" dixit Matignon.Le gouvernement promet d'aller très vite, l'ensemble des projets retenus devant être officialisés l'an prochain pour être achevés d'ici à la fin 2023."Il s'agit d'être efficace, de créer des emplois au moment où la crise est la plus forte", a martelé M. Castex.Cette rapidité vise non seulement à relancer l'activité du bâtiment - il table sur la création de 20.000 emplois - mais aussi à pousser le secteur à accroître ses compétences en matière de rénovation énergétique."Dans les 4.200 projets, 95% sont des projets de moins de 5 millions d'euros et iront donc vers des PME et des TPE", a relevé le ministre de l'Economie Bruno Le Maire.Malgré des délais contraints, le gouvernement se défend de toute précipitation, assurant n'avoir retenu que des projets réalistes.Le but "n'est pas tant d'avoir bouclé le projet le plus rapidement possible (...) que de ne plus perdre de temps" pour les lancer, ajoute-t-on à Bercy.
Il y a 4 ans et 188 jours

Livre : initiation à l’architecture pour les enfants avec « Étonnantes maisons pour petits explorateurs »

Pour Noël, initiez vos enfants à l’architecture et aux voyages. Le livre "Étonnantes maisons pour petits explorateurs" vous invite à visiter... Cet article Livre : initiation à l’architecture pour les enfants avec « Étonnantes maisons pour petits explorateurs » est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 188 jours

Rémi Cunin d'Egis à Edeis

L'ancien numéro 2 d'Egis rejoint le groupe d'ingénierie en tant que directeur général.
Il y a 4 ans et 188 jours

Le chômage partiel pourrait encore coûter 10 milliards d'euros à l’État en 2021, selon l'OFCE

Pour 2021, l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) prévoit un rebond du produit intérieur brut (PIB) de 7,1%, après une récession de 9,5% cette année.Mais, si ce rebond peut paraître "spectaculaire, il masque cependant des pertes d'activités encore importantes fin 2021", prévient l'OFCE. Ainsi, au dernier trimestre de 2021, le PIB sera toujours 1,4% en dessous de son niveau d'avant crise, et ce malgré le plan de relance prévu par le gouvernement. Mais ce sera bien plus dans les secteurs qui resteront contraints du fait du maintien de règles sanitaires, comme la restauration, les activités culturelles ou les commerces.Ainsi, de nombreuses entreprises continueront de mobiliser le chômage partiel pour réduire leurs coûts tout en évitant de licencier leurs salariés.En volume, cela représenterait encore environ 900 millions d'heures d'activité partielle l'an prochain, pour "un montant d'indemnisation de 10 milliards d'euros pris en charge par l'Etat et l'Unédic", anticipe l'OFCE, après un total de près de 2.700 heures cette année et près de 30 milliards d'euros mobilisés.La ministre du Travail Elisabeth Borne a d'ailleurs annoncé le maintien jusqu'à fin janvier des conditions actuelles d'indemnisation du chômage partiel. En particulier une prise en charge à 100% par l'Etat pour les secteurs les plus touchés par la crise. A ce stade, le gouvernement a budgété 6,5 milliards d'euros pour le chômage partiel l'an prochain. Ce dispositif, le plus coûteux pour les finances publiques depuis le début de la crise, a permis d'éviter une flambée encore plus grande du chômage cette année. En 2020, l'emploi salarié se serait contracté de 790.000 emplois par rapport au dernier trimestre de 2019, selon l'OFCE, qui estime qu'on atteindra 793.000 suppressions d'emplois fin 2021, toujours par rapport au niveau d'avant-crise. En particulier, les faillites d'entreprises, contenues jusqu'ici par le soutien public, pourraient entrainer la destruction de 180.000 emplois l'an prochain. Ces suppressions d'emploi seraient plus nombreuses dans l'industrie où les gains de productivité à en tirer sont les plus importants. Au total, fin 2021, le taux de chômage s'élèverait à 10,6%, après 9,5% fin 2020. Par ailleurs, l'OFCE souligne que l'Etat a considérablement augmenté sa prise en charge des effets de la crise au dernier trimestre, surtout en faveur des entreprises avec le renforcement du fonds de solidarité. Sur la période, les pouvoirs publics au sens large ont pris à leur compte 85% des pertes de revenu causées par la crise, les ménages et les entreprises se partageant le reste à parts égales. Lors des trois premiers trimestres, la part du choc absorbé par l'Etat a été de 56%, contre 41% par les entreprises et 3% par les ménages, estime l'OFCE.
Il y a 4 ans et 188 jours

Le chômage partiel pourrait encore coûter 10 millards d'euros à l’État en 2021, selon l'OFCE

Pour 2021, l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) prévoit un rebond du produit intérieur brut (PIB) de 7,1%, après une récession de 9,5% cette année.Mais, si ce rebond peut paraître "spectaculaire, il masque cependant des pertes d'activités encore importantes fin 2021", prévient l'OFCE. Ainsi, au dernier trimestre de 2021, le PIB sera toujours 1,4% en dessous de son niveau d'avant crise, et ce malgré le plan de relance prévu par le gouvernement. Mais ce sera bien plus dans les secteurs qui resteront contraints du fait du maintien de règles sanitaires, comme la restauration, les activités culturelles ou les commerces.Ainsi, de nombreuses entreprises continueront de mobiliser le chômage partiel pour réduire leurs coûts tout en évitant de licencier leurs salariés.En volume, cela représenterait encore environ 900 millions d'heures d'activité partielle l'an prochain, pour "un montant d'indemnisation de 10 milliards d'euros pris en charge par l'Etat et l'Unédic", anticipe l'OFCE, après un total de près de 2.700 heures cette année et près de 30 milliards d'euros mobilisés.La ministre du Travail Elisabeth Borne a d'ailleurs annoncé le maintien jusqu'à fin janvier des conditions actuelles d'indemnisation du chômage partiel. En particulier une prise en charge à 100% par l'Etat pour les secteurs les plus touchés par la crise. A ce stade, le gouvernement a budgété 6,5 milliards d'euros pour le chômage partiel l'an prochain. Ce dispositif, le plus coûteux pour les finances publiques depuis le début de la crise, a permis d'éviter une flambée encore plus grande du chômage cette année. En 2020, l'emploi salarié se serait contracté de 790.000 emplois par rapport au dernier trimestre de 2019, selon l'OFCE, qui estime qu'on atteindra 793.000 suppressions d'emplois fin 2021, toujours par rapport au niveau d'avant-crise. En particulier, les faillites d'entreprises, contenues jusqu'ici par le soutien public, pourraient entrainer la destruction de 180.000 emplois l'an prochain. Ces suppressions d'emploi seraient plus nombreuses dans l'industrie où les gains de productivité à en tirer sont les plus importants. Au total, fin 2021, le taux de chômage s'élèverait à 10,6%, après 9,5% fin 2020. Par ailleurs, l'OFCE souligne que l'Etat a considérablement augmenté sa prise en charge des effets de la crise au dernier trimestre, surtout en faveur des entreprises avec le renforcement du fonds de solidarité. Sur la période, les pouvoirs publics au sens large ont pris à leur compte 85% des pertes de revenu causées par la crise, les ménages et les entreprises se partageant le reste à parts égales. Lors des trois premiers trimestres, la part du choc absorbé par l'Etat a été de 56%, contre 41% par les entreprises et 3% par les ménages, estime l'OFCE.
Il y a 4 ans et 188 jours

Rénovation énergétique des bâtiments publics : 4214 projets retenus

Le montant global de ces projets de rénovation énergétique des bâtiments de l’État, de l’enseignement supérieur, de la recherche et de la vie étudiante lancés dans le cadre de France Relance s'élève à 2,7 milliards d’euros.
Il y a 4 ans et 188 jours

Le prolongement à Saint-Ouen de la ligne 14 du métro parisien ouvre lundi

Après une courte cérémonie, ce tronçon de 5,8 km entre Saint-Lazare et Mairie de Saint-Ouen sera mis en service à 16H00, selon Ile-de-France Mobilités et la RATP. La ligne 14, qu'on appelle encore parfois "Meteor", est la dernière née du réseau métropolitain. Inaugurée par Jacques Chirac en octobre 1998 entre Madeleine et Bibliothèque François-Mitterrand, elle a été prolongée au nord à Saint-Lazare en décembre 2003 et au sud à Olympiades en juin 2007, et faisait jusqu'à présent 8,6 km de long.La présidente du conseil régional et d'Ile-de-France Mobilités Valérie Pécresse vante "l'une des lignes les plus modernes du monde", la seule du réseau parisien accessible aux handicapés, aussi.L'idée de prolonger cette ligne de métro automatique jusqu'à Saint-Ouen remonte à 2007: elle est alors apparue comme la solution la plus satisfaisante pour soulager le nord de la ligne 13, dont les deux branches ploient sous la charge. Avec la promesse de la délester du quart de son trafic. Le prolongement de la ligne 14 doit aussi mieux desservir des secteurs en plein développement avec le nouveau quartier des Batignolles, le Tribunal de Paris ou encore les nombreux bureaux qui sortent de terre à Saint-Ouen.Ouvert avec trois ans de retard, le nouveau tronçon comporte quatre stations assez monumentales, celle de Porte de Clichy, desservant le Tribunal, n'ouvrira toutefois qu'en janvier, ainsi qu'un dépôt construit pour accueillir des rames dernier cri plus longues, achetées à Alstom. Au-delà, les travaux battent leur plein pour de nouveaux prolongements tant au nord, jusqu'à Saint-Denis Pleyel (Seine-Saint-Denis), qu'au sud, jusqu'à l'aéroport d'Orly (Essonne), juste à temps pour les jeux Olympiques en 2024. Avec au passage le changement du système d'automatisation, toujours fourni par le groupe allemand Siemens.La ligne fera alors 27 km de long, et devrait transporter 1 million de voyageurs par jour, contre 550.000 avant la pandémie.La Société du Grand Paris (SGP) a couvert 59% des 1,4 milliard d'euros du dépensés pour le prolongement jusqu'à Saint-Ouen, Paris 21% et la région Ile-de-France 14%.Ile-de-France Mobilités finance de son côté le matériel roulant (620 millions pour le moment) et couvre le déficit d'exploitation.
Il y a 4 ans et 188 jours

Cybel Extension recrute des pros du bâtiment

Cybel Extension, premier réseau national spécialiste de la conception et de la réalisation d’extensions de maisons individuelles et de garages clé en main recrute. Le réseau vient de mettre en place une plateforme entièrement dédiée au recrutement : recrutement.cybel-extension.com. La marque, créée en 2015 par deux professionnels du bâtiment et de la rénovation, se développe de façon raisonnée &#8211; 4 à 5 ouvertures par an &#8211; sur le territoire national, avec cohérence, et compte aujourd’hui 24 agences concessionnaires. &nbsp; Un réseau à taille humaine pour créer son agence tout en étant accompagné Déjà 24 agences développent l’enseigne Cybel Extension un peu partout en France, et en 5 ans, de beaux projets se sont concrétisés. Didier Fontaine, président de Cybel Extension, revient sur l’origine de la création du réseau : « Tout est parti d’un constat, confirmé par une étude terrain de 18 mois : une offre diffuse, pas toujours claire, des acteurs non spécialisés … pour un marché porteur (un permis de construire sur deux concerne un agrandissement de maison) ». Cybel Extension s’adresse aux professionnels du bâtiment passionnés par leur métier, ayant une solide expérience de la conduite de travaux et la volonté d’entreprendre pour améliorer l’habitat individuel. Le réseau a pour objectif d’intégrer de nouveaux contractants généraux indépendants issus du secteur du bâtiment, qui ont envie de créer leur propre activité tout en bénéficiant de conseils et d’actions collectives. La tête de réseau met en place des actions de formation continue, un accompagnement sur-mesure et favorise l’échange par une disponibilité et une écoute permanentes. Ce qui s’avère nécessaire habituellement, le devient d’autant plus en période de crise. Bénéficier de l’apport collectif et du soutien d’une équipe professionnelle et innovante aide à la prise de décision et permet de se sentir moins seul en tant qu’entrepreneur. A propos du fonctionnement du réseau, Cécile Genest, directrice marketing et développement explique : « Plan de communication, outils marketing, stratégie de positionnement … nous travaillons en permanence avec des experts pour des objectifs de trafic clients, de performances et de notoriété. » « En fait, nous mutualisons nos forces et compétences pour favoriser la croissance de chaque agence et par conséquent du réseau. » poursuit Cécile Genest. L’équipe Cybel Extension intègre architecte, designer, techniciens dessinateurs, tous spécialistes de l’extension ; un service marketing, une centrale d’achats et un backoffice pour la gestion administrative. Severine Menet &#8211; concessionnairede l’agence Cybel Extension dans le Maine-et-Loire (49) «Cybel Extension est précurseur et innovant dans la conception et la réalisation d’extensions de maisons et de garages clé en main. C’est une marque devenue forte en 5 ans et qui se différencie sur le marché par son bureau d’études intégré, créatif, gage de professionnalisme. Le réseau, aux compétences et aux valeurs humaines reconnues, nous apporte un soutien en marketing, communication, nous permet d’accéder au statut de contractant général et favorise l’échange collaboratif ». &nbsp; Le contexte actuel ne fait que renforcer l’envie et le besoin d’améliorer son habitat Après plusieurs semaines à vivre chez soi et « entre soi », les besoins d’agrandissement pour un bureau, un salon, une cuisine ou une suite parentale se sont révélés. Quand un couple, une famille, possède une maison et a pour projet d’habiter « plus grand » et si possible sans changer d’environnement ni d’infrastructures, l’option d’une extension de la maison se présente comme une solution à étudier de près. « Nous pensons très fortement que de plus en plus de Français sont adeptes du « bien vivre chez soi » et du « consommer local », ce qui favorise la sollicitation de professionnels de proximité pour améliorer son habitat » précise Cécile Genest. Les projets réalisés par les concessionnaires concernent l’ouverture et l’agrandissement d’une cuisine sur le jardin, la création d’une suite parentale, d’un bureau (le développement du télétravail augmente sensiblement ce type de demande), d’un espace de consultation pour les professionnels du médical ou du para-médical, d’une piscine couverte, d’un atelier de bricolage … et toute autre extension qui permet à la famille de grandir, de travailler chez soi, ou d’apporter un bien-être supplémentaire. Extension d’une maison à Vannes Cybel Extension en chiffres Création en 2015 1er réseau national expert en agrandissement de maisons et création de garages clé en main + 20% de croissance annuelle Une équipe support de 14 collaborateurs 24 agences 34 M€ de CA cumulé à 09-2020 + de 450 extensions réalisées
Il y a 4 ans et 188 jours

Le Groupe Rockwool annonce des objectifs de décarbonisation mondiaux ambitieux

Le Groupe ROCKWOOL, leader mondial des solutions en laine de roche, annonce des objectifs mondiaux ambitieux de décarbonisation fondés sur la science qui ont été vérifiés et approuvés par l'initiative Science Based Targets (SBTi).Les principaux éléments des plans de décarbonisation du Groupe ROCKWOOL comprennent :La réduction des émissions absolues de gaz à effet de serre des usines de 38 % d'ici 2034 (par rapport à l'année de référence 2019)1La réduction des émissions absolues de gaz à effet de serre sur l'ensemble du cycle de vie hors usine de 20 % d'ici 2034 (par rapport à l'année de référence 2019)2Ces objectifs de réduction des émissions absolues, qui s'ajoutent à nos objectifs de développement durable existants, représentent une réduction ambitieuse d'un tiers des émissions de gaz à effet de serre sur l'ensemble du cycle de vie (Scope 1, 2 et 3) du Groupe ROCKWOOL d'ici 2034, tout en assurant la réduction continue de l'intensité des émissions de carbone (carbone émis par tonne produite) de notre production.Jens Birgersson, PDG du Groupe ROCKWOOL déclare : « Nous sommes fiers de faire partie des quelques entreprises de production à forte intensité d'énergie dont les objectifs de réduction des émissions fondés sur la science ont été vérifiés et approuvés par SBTi. Ces nouveaux objectifs s'appuient sur une base solide, car nous sommes déjà une entreprise à intensité de carbone nette négative. Bien que peu d'entreprises puissent avoir cette prétention, nous savons également que ce n'est pas suffisant, et c'est la raison pour laquelle nous nous sommes engagés sur cette voie ambitieuse de la décarbonisation. »Expliquant l'engagement de décarbonation du Groupe ROCKWOOL, Jens Birgersson poursuit : « L'atteinte de ces objectifs de réduction des émissions sera une étape importante pour concrétiser l'ambition globale de réduction des émissions de gaz à effet de serre de l'entreprise à net zéro d'ici 2050.En démontrant qu'une entreprise de production à forte consommation d'énergie peut atteindre ces objectifs, nous espérons inciter les autres à prendre des mesures pour contribuer à la création d'un avenir plus vert et plus durable. »Alberto Carrillo Pineda, Directeur, Science Based Targets chez CDP, l'un des partenaires de l'initiative Science Based Targets, commente : « Nous félicitons le Groupe ROCKWOOL qui fait partie des leaders de son secteur en ayant reçu l'approbation de l'initiative Science Based Targets pour ses objectifs de réduction des émissions. En fixant des objectifs fondés sur la science du climat, le Groupe ROCKWOOL se prépare pour réussir la transition vers une économie zéro émission nette. »Les nouveaux engagements de décarbonisation s'appuient sur le statut existant d'entreprise à intensité de carbone (CO2e) nette négative du Groupe ROCKWOOL. En effet, pendant toute la durée de vie de son utilisation, l'isolation des bâtiments ROCKWOOL vendue en 2019 économisera 100 fois le carbone émis pendant sa production3. Recyclable à l’infini sans perte de performances, la laine de roche se distingue également des matériaux de construction non recyclables qui autrement pourraient être incinérés et générer des émissions en fin de vie. Le recyclage de la laine de roche dans nos usines contribue à réduire les émissions de carbone liées à la production.Tirant parti de nos efforts, depuis des décennies, pour améliorer l'efficacité énergétique de nos propres opérations, la réduction des émissions directes de notre production est un élément clé de notre innovation technologique. Par exemple, nous développons à grande échelle la technologie de fusion électrique, particulièrement adaptée d'un point de vue environnemental dans les pays où le réseau électrique est déjà bas carbone. C'est la raison pour laquelle nous avons choisi notre usine de Moss, en Norvège, comme projet pilote pour le plus grand four électrique du secteur. Avec le démarrage du nouveau four, les émissions de carbone de l'usine de Moss diminueront d'environ 80%.Alors que nous poursuivons la décarbonisation, nous récoltons déjà les bénéfices d'investissements importants dans la technologie leader de fusion avec utilisation flexible des carburants qui nous permet de passer du charbon à des carburants à intensité carbone moins élevée tels que le gaz naturel ou le biogaz dans les sites où cette technologie est utilisée. Outre la conversion de nos deux usines danoises au gaz naturel en 2020 et au biogaz certifié neutre pour le climat en 2021, nous convertirons également l'une de nos usines en Pologne au gaz naturel en 2021, et notre toute dernière usine en cours de construction aux États-Unis sera mise en service au gaz naturel à la place du charbon. Nous prévoyons la conversion d'autres usines, du charbon au gaz, en employant cette technologie de fusion avec utilisation flexible des carburants dans les prochaines années.Désormais, les enseignements tirés de ces multiples innovations et nos efforts continus en matière d'efficacité énergétique seront appliqués dans l'ensemble des opérations mondiales du Groupe ROCKWOOL.1 - L'objectif de 38 % couvre les émissions de Scope 1 et Scope 22 - L'objectif de 20 % couvre les émissions de Scope 33 - Y compris les émissions en amont, de l'extraction et du transport des matières premières et des carburants
Il y a 4 ans et 188 jours

LafargeHolcim : un nouveau four pour Martres-Tolosane

Avec nos remerciements à LafargeHolcim. Un mouchoir de poche. Ainsi peut être décrite l’emprise du chantier de construction du nouveau four de la cimenterie LafargeHolcim de Martres-Tolosane, en Haute-Garonne (31). Conséquent, l’équipement doit s’insérer entre les deux fours existants, en service jusqu’à la fin des travaux, et un silo de stockage. « C’est une opération d’un montant de plus de 100 M€. Soit l’investissement le plus important réalisé par le groupe en France depuis 40 ans », souligne François Pétry, directeur général de LafargeHolcim France et Belgique. En fait, ces travaux s’inscrivent dans un plan global plus large de 300 M€ d’investissements sur l’ensemble des sites répartis sur le territoire national.  La nouvelle ligne de cuisson (four et tour de pré-chauffage) doit s’inscrire dans la zone comprise entre les fours en service et le silo en béton qu’on devine à gauche. [©ACPresse] A travers ce programme, LafargeHolcim cherche, en premier lieu, à pérenniser son unité de production, tout en l’inscrivant dans les préoccupations environnementales actuelles et futures.&nbsp;«&nbsp;Les anciens fours ont respectivement été mis en service en 1956 et en 1966&nbsp;», rappelle Jean-Louis Sibioude, directeur de l’usine. Ils ont fait plus que leur temps.&nbsp;«&nbsp;Le nouveau four doit permettre de diminuer la consommation d’énergie électrique et thermique de la cimenterie de près de 20 %, donc son empreinte carbone. Ceci, en rendant possible la valorisation d’une part beaucoup plus importante des déchets.&nbsp;» En cours de construction, la future tour de pré-chauffage culminera à près de 100 m de haut. [©ACPresse] Le chantier de construction s’inscrit dans un véritable mouchoir de poche. [©ACPresse] Une&nbsp;haute technologie à basse émission de CO2 Dans sa future configuration, le site devrait tripler son taux d’utilisation de combustibles de substitution. Ici, l’industriel s’inscrit encore plus dans l’économie circulaire. En proposant un exutoire pour nombre de matériaux pouvant se substituer aux combustibles fossiles.&nbsp;«&nbsp;Grâce à ce nouveau dispositif, nous allons passer de 20 à 80 % de substitution&nbsp;», confirme Jean-Louis Sibioude. Un taux qui devrait être atteint à terme. C’est-à-dire dans les 12 à 18 mois après l’entrée en fonctionnement de la cimenterie “version 2020”.&nbsp; Elément central de l’usine, le nouveau four dit “MK3” présente une longueur de 64 m pour 4,30 m de diamètre. Il s’agit d’un four dit de “haute technologie à basse émission de CO2”. Il est alimenté en énergie par une tuyère Pillard. Ce four remplacera les deux existants &#8211; qui seront démantelés -, pour offrir une capacité de production en hausse de 20 %. Ainsi, il sera en mesure de fabriquer environ 550&nbsp;000 t de clinker par an. Soit plus de 770&nbsp;000 t de ciments, contre 650&nbsp;000 t aujourd’hui. Elément clef de l’investissement de 120 M€ destiné à moderniser l’ensemble de la ligne de production de la cimenterie, le montage du four s’est déroulé du 23 au 26 novembre dernier. Les 6 éléments (viroles) ont pu être assemblés grâce à d’importants moyens de levag. A savoir, trois grues mobiles de 250 t, 450 t et 500 t, ainsi qu’une grue à tour parmi les plus grandes en Europe (140 m). Opération de bétonnage de la superstructure de la tour de pré-chauffage. [ACPresse]L’ensemble des bétons représente un volume de l’ordre de 11 000 m3. [©ACPresse] Enfin une tour de pré-chauffage Mais la véritable nouveauté du site sera la tour de pré-chauffage. Culminant à près de 100 m de haut, elle abritera le dispositif de pré-calcination, conçu et fourni par CBM. Celui-ci verra se croiser les gaz chauds sortant du four et la farine crue qui donnera naissance au clinker.&nbsp;«&nbsp;La température dans la zone de pré-calcination oscille entre 300 °C en haut et 900 °C en entrée de four, détaille Jean-Louis Sibioude.&nbsp;Cette technologie assure environ 50 % de la cuisson de la farine.&nbsp;» Surtout, cette tour de pré-chauffage est le point d’entrée privilégié de l’essentiel des combustibles de substitution&nbsp;: pneus déchiquetés, combustibles solides de récupération (CSR) et autres copeaux de bois. «&nbsp;Il y a des discussions avec d’autres industriels locaux, cherchant des déchets à valoriser en combustibles&nbsp;», reprend François Pétry. Et Jean-Louis Sibioude, de compléter&nbsp;:&nbsp;«&nbsp;Tous les combustibles alternatifs proposés sont testés de manière très précise. Afin de connaître leur composition chimique, pour ne pas dégrader la qualité de notre clinker, donc des ciments produits&nbsp;». En d’autres termes, LafargeHolcim &#8211; ni aucun cimentier d’ailleurs &#8211; ne brûle pas n’importe quoi dans ses fours&#8230; Ces massifs constituent les supports du futur four MK3 de la cimenterie de Martres-Tolosane. En arrière-plan, les deux fours actuels. [©ACPresse] Les segments du nouveau four attendent d’être installés et assemblés entre eux pour former un ensemble de 64 m de long pour 4,30 m de diamètre. [©ACPresse] Des pneumatiques entiers Un des points singuliers de la cimenterie de Martres-Tolosane est la mise en place d’une installation d’introduction de pneumatiques entiers, directement dans le four1.&nbsp;Cette approche permet d’éviter la phase préalable de déchiquetage.&nbsp;L’atelier a été mis en service en 2016, dans le cadre d’une précédente phase de travaux. Mais entrant dans le projet global de modernisation. Il a nécessité un investissement de 2,1 M€, dont 400 000 € financés par l’Ademe. Et a été construit sur mesure par ATS Walter. Pour assurer l’approvisionnement en pneumatiques, LafargeHolcim s’est rapproché d’un collecteur. Qui travaille avec des garagistes auprès desquels les pneumatiques sont récupérés. Celui-ci les trie et les lave avant de les livrer à la cimenterie. La collecte est opérée en local, dans le cadre de contrats pluriannuels avec engagement de fourniture des volumes minimaux. La capacité de traitement de l’atelier atteint 8 000 t/an de pneumatiques. Ce qui représente 15 % de l’apport thermique d’un des deux fours actuels de l’usine.&nbsp;&nbsp;«&nbsp;Les pneumatiques n’ont pas d’impacts négatifs sur la qualité de la production, ni sur l’environnement de l’usine&nbsp;», rappelle Jean-Louis Sibioule. Bien au contraire, même. La fraction minérale, pour l’essentiel constituée de la trame en acier du pneumatique, assure l’apport en fer. Supprimant ainsi les besoins de compléments extérieurs. Ceci, en plus de l’apport énergétique&#8230; Assemblage de la partie inférieure du broyeur Loesche. [©ACPresse] Partie supérieure du broyeur, en cours de pré-assemblage. [©ACPresse] Pour la durée des travaux, l’atelier “pneumatiques” a été déplacé de l’autre côté des fours. [©ACPresse] Près de 11&nbsp;000 m3 de béton Pour les besoins de la construction du nouveau four, l’atelier “pneumatiques” &#8211; du moins, la zone de stockage, de tri et de préparation &#8211; a été déplacé de l’autre côté des fours. En effet, la position initiale de cet atelier tombait au droit des massifs supports en béton du nouveau four. Outre la cuisson, les travaux de rénovation de la cimenterie de Martres-Tolosane se concentrent aussi sur le broyage amont. Qui permet l’obtention de la farine crue, et sur son acheminement en direction du pré-calcinateur. En aval, un nouveau refroidisseur IKN à grille pendulaire. Il vient se connecter sur le processus de fabrication et de stockage des ciments.  Le broyeur cru constitue le dernier élément imposant de la nouvelle ligne de production. De type vertical, il s’agit du modèle LM3000 2+2 de Loesche. Par rapport à l’ancienne installation, il devrait permettre de diviser par deux la consommation énergétique.  Bien que les équipements industriels occupent le devant de la scène, l’opération de transformation de l’usine n’en est pas moins consommatrice de béton. Ainsi, à l’image de Boccard, qui pilote le pré-assemblage des équipements, l’entreprise de BTP Eiffage Génie Civil assure la construction de la superstructure non métallique. Si les bétons restent classiques, ils représentent tout de même 11&nbsp;000 m3, à mettre en regard des 4&nbsp;000 t d’équipements et des 3&nbsp;000 t de charpentes métalliques. «&nbsp;Des bétons fournis par LafargeHolcim, à partir d’une centrale à béton proche de l’usine&nbsp;», indique en conclusion Didier Michel, directeur du projet de modernisation pour LafargeHolcim.&nbsp; Les deux fours originels de la cimenterie de Martres-Tolosane ont été mis en service en 1956 et en 1966. Ils seront démantelés après 2020. [©ACPresse] En jaune, toutes les parties conservées de l’usine. En gris et bleu, les parties nouvelles. [©LafargeHolcim] 1Lire CBPC 930, supplément de BLM n° 67, de novembre/décembre 2016. Un nouveau terminal ferroviaire Excentrée par rapport à l’actuelle zone de travaux de la cimenterie de Martres-Tolosane, une toute nouvelle unité de chargement de clinker est en service depuis quelques mois sur le site. Elle se substitue à un poste de chargement manuel (à l’aide d’une chargeuse sur pneumatiques). Cette installation permet à l’usine une expédition en direction de la station de broyage d’Angoulême, en Charente (16), distante de 400 km. Il s’agit de la seule partie de l’ex-cimenterie de La Couronne, qui soit restée en service, suite à l’arrêt de la production de clinker, du fait de la fermeture de sa carrière mitoyenne, dont le gisement était épuisé. Confiés à Chovet-DB2i (groupe Demathieu & Bard), les travaux ont nécessité un investissement de 4,4 M€. La pièce principale du dispositif est une trémie d’une capacité de 1 000 t, soit les deux tiers d’un train complet d’une vingtaine de wagons. De fait, cette trémie a un peu le rôle d’un stock-tampon. Elle présente un diamètre de 10 m, pour une hauteur utile (sans le cône) de 11 m. L’ensemble de la superstructure culmine à 24 m. Elle bénéficie de deux sorties : la principale, réservée au chargement des trains, et l’optionnelle, dédiée en remplissage de citernes sur semi-remorques. La reconfiguration de la zone a imposé de dévier la voie ferrée existante pour l’axer sous la trémie et, en même temps, répondre aux contraintes relatives au gabarit réglementaire des wagons. Afin de s’inscrire dans la charte environnementale du groupe LafargeHolcim, tout un système anti-poussière d’extraction, de transfert et de vidange du clinker dans les wagons a été mis au point par Chovet-DB2i. Grâce à cette nouvelle installation, le remplissage d’un wagon de 66 t se fait dorénavant en 10 mn et celui d’un train complet de 1 500 t, en 6 h. Grâce à sa nouvelle installation, la cimenterie LafargeHolcim de Martres-Tolosane peut remplir de clinker un train complet de 1 500 t en 6 h.[©LafargeHolcim]
Il y a 4 ans et 188 jours

Débarrasser un local professionnel

Il arrive souvent dans la vie d’une entreprise de devoir changer de local. Que ce soit dans le cadre d’un déménagement car la société grandit, une rénovation de bureau, une soudaine envie de changer de mobilier ? Vous pouvez vous faire accompagner par une entreprise spécialisée dans toutes vos démarches pour vider votre local, votre entrepôt ou votre atelier. Les prestations de débarras sont adaptées à la structure de la société. Les commerces, bureaux d’agence ou locaux industriels ont chacun des exigences particulières. Les professionnels qui ont besoin de faire débarrasser leurs locaux ont des besoins spécifiques, qui souvent ne s’appliquent pas aux particuliers ; destruction d’archives, tri du matériel informatique, valorisation de mobiliers de bureaux. La réactivité, une qualité essentielle pour vider vos locaux professionnels En faisant appel à une entreprise de débarras spécialisée, comme Hexa débarras, en plus d’avoir un devis gratuit et une intervention rapide, vous avez l’assurance que la prestation soit effectuée en accord avec les services administratifs pour ne pas déranger le bon fonctionnement de votre structure pendant l’intervention, vous obtenez un certificat de destruction d’archives officiel, vous travaillez avec des professionnels déclarés et assurés. Vous avez aussi la garantie que le matériel informatique obsolète sera amené en déchetterie pour être recyclé, que le mobilier du bureau sera valorisé, par la vente ou par le don. En bref, une équipe d’expert qui vous accompagnera tout au long du débarras. Les entreprises de débarras sont aussi capables de débarrasser des entrepôts industriels de très grandes surfaces et en quelques jours vous rendre vide plusieurs milliers de m². Nettoyer votre local professionnel après le débarras Il est aussi souvent nécessaire de faire une prestation complète de nettoyage après le débarras, soit parce que vous réintégrer les locaux, soit parce que ces derniers ont été mis en vente ou en location. Ces prestations de nettoyage industriel répondent à des règles de sécurité et de respect des normes spécifiques. Les prestations proposées sont adaptées au besoin de l’entreprise ; nettoyage des surfaces et des vitres, dépoussiérage des surface, désinfection du bâtiment, dégraissage etc. Pour ce faire les professionnels du nettoyage sont formés et équipés ; ils disposent selon les besoins de nettoyeur-vapeur, d’auto-laveuse ou de monobrosse. Ainsi pour faire vider vos locaux professionnels et être assurer d’une prestation de qualité qui ne gênera pas votre activité, adressez-vous à une équipe d’expert du débarras et du nettoyage. En conclusion, il est important de bine choisir ses prestataires lorsque l&rsquo;on se lance dans le débarrassage d&rsquo;un local professionnel. Cela permet de s&rsquo;assurer une tranquillité d&rsquo;esprit importante à l&rsquo;heure de gérer un déménagement ou un départ définitif de ses bureaux. De vrais professionnels du nettoyage et du débarras vous permettrons ainsi d&rsquo;alléger vos préoccupations en prenant en charge
Il y a 4 ans et 188 jours

Entretien avec Fadia Karam, directrice du développement de SNCF Immobilier : "Notre ambition est de métamorphoser les fonciers ferroviaires en quartiers de ville et de vie"

Fadia Karam est directrice g&eacute;n&eacute;rale d&#39;Espaces ferroviaires, filiale am&eacute;nagement et promotion du groupe SNCF au sein de SNCF Immobilier, et directrice du d&eacute;veloppement de SNCF Immobilier. AMC: Qu&#39;elles sont les ambitions d&#39;Espaces ferroviaires en tant qu&#39;am&eacute;nageur ?&nbsp; Espaces ferroviaires intervient au c&oelig;ur des m&eacute;tropoles, sur des&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 4 ans et 188 jours

Appel national pour le patrimoine de la Vallée de la Roya et de la Vésubie

La tempête Alex a dévasté le patrimoine des communes de la Vallée de la Roya, de la Vésubie et du Haut-Pays. La Fondation du patrimoine lance un appel national à la générosité publique pour venir en aide à ces communes et entreprendre les travaux jugés les plus urgents. Les dons recueillis permettront d’alimenter un fonds de soutien qui sera reversé aux communes les plus touchées. Le démarrage rapide des travaux, au-delà du message d’espoir porté vers toute une population, représente un enjeu économique majeur. Il permettra de donner du travail aux artisans locaux, aux métiers d’art, et aux entreprises spécialisées dans la restauration du patrimoine. La capacité d’attractivité touristique de ce territoire représente d’autre part une de ses ressources essentielles. Il est urgent de rouvrir dès que possible les portes de ce patrimoine aux visiteurs. L’attribution des fonds recueillis se fera en étroite concertation avec la Drac, le Département des Alpes-Maritimes, la Métropole Nice-Côte d’Azur, et les intercommunalités des Alpes-Maritimes. Le patrimoine historique, dont le patrimoine religieux, a apparemment résisté, aucun monument n’a été emporté. Mais les 500 mm de pluie ont gravement endommagé les toitures d’édifices déjà vulnérables par le poids des siècles. L’eau est entrée à l’intérieur des édifices, et a entrainé des dommages annonciateurs d’une prochaine et rapide dégradation (fissures, décroutages, affaissements, etc.). Il s’agit pour une grande partie d’un patrimoine remarquable par ses caractéristiques et sa rareté : de style « baroque ligure », on ne le trouve que dans cette partie de la France. Les dons peuvent se faire soit en ligne sur www.fondation-patrimoine.org/73006, soit par chèque à l’ordre de « Fondation du Patrimoine – Tempête Alex & Vallées niçoises » à l’adresse suivante : Fondation du patrimoine, CCI Nice Côte d’Azur &#8211; 20 Boulevard Carabacel, CS 11259, 06005 Nice Cedex 01. Photo : Eglise Saint-Michel-de-Gast de Roquebilliere © UDAP 06 &nbsp;
Il y a 4 ans et 188 jours

Le chalet Anna : une maison modulable au gré des saisons et des envies

Anna est un concept de maison bois modulable créé par le cabinet d&#8217;architectes Caspar Schols aux Pays-Bas. Cette version est le résultat de plusieurs expérimentations dont cette première réalisation, la Garden House, construite en 2016. [De l&#8217;architecte] Alors que je me perdais dans ma nouvelle vie à Londres, je jouais avec l&#8217;idée de créer un [&#8230;]
Il y a 4 ans et 189 jours

Fondation Jacques Rougerie – Palmarès 2020 des Prix d’Architecture

Le Concours international d’Architecture de la Fondation Jacques Rougerie &#8211; Institut de France soutient et accompagne le développement de projets architecturaux biomimétiques audacieux et visionnaires dans la Mer, dans l&#8217;Espace ou relevant le défi de la Montée des Océans. Les lauréats 2020. La Fondation Jacques Rougerie &#8211; Institut de France décerne chaque année six Prix [&#8230;] L’article Fondation Jacques Rougerie &#8211; Palmarès 2020 des Prix d&rsquo;Architecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 190 jours

Prix du meilleur projet de fin d’études (PFE) 2021

Trois prix – Prix du Meilleur Projet de fin d’études (PFE), Prix de la Mutuelle des Architectes Français &#8211; Prix Robert Camelot, et prix Meyer-Lévy – sont proposé par L’Académie d’Architecture aux jeunes diplômés. Jusqu’au 15 janvier 2021. L’Académie d’Architecture, en organisant le Prix du Meilleur PFE, souhaite, dans le contexte évolutif des écoles, distinguer [&#8230;] L’article Prix du meilleur projet de fin d’études (PFE) 2021 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 191 jours

Consultation pour la réalisation d’un bâtiment mixte à Paris-Saclay

L’EPA Paris-Saclay lance une consultation pour la réalisation d’un bâtiment mixte stationnement / restauration d’entreprise au sein de la ZAC de Satory Ouest à Versailles. Jusqu’au 8 janvier 2021. Cette consultation a pour objet la désignation d’une maitrise d’œuvre pour la construction d’un programme mixte de 4 niveaux comprenant un parking silo et un restaurant [&#8230;] L’article Consultation pour la réalisation d’un bâtiment mixte à Paris-Saclay est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 191 jours

Le gouvernement annonce plus de 20 milliards d'euros de soutien d'urgence en 2021 face à la crise sanitaire

"Il n'est pas temps de lever les mesures de soutien à l'économie", a indiqué le ministre lors d'une conférence de presse téléphonique, et cette "aide massive", qui sera intégrée au projet de Budget pour 2021 en cours d'examen au Parlement, sera réorientée "sur les secteurs les plus impactés", a-t-il ajouté.Le Premier ministre Jean Castex a annoncé jeudi que le déconfinement serait moins rapide que prévu, ce qui va encore accroître l'impact de l'épidémie de Covid-19 sur de nombreuses entreprises, en particulier dans les activités de loisirs, la restauration ou l'évènementiel.Et quand les secteurs fermés rouvriront, ce sera au prix de conditions sanitaires strictes, qui risquent de limiter leur activité.Le "pilier" de cette nouvelle phase de soutien d'urgence, sera le fonds de solidarité dont les conditions d'attribution ont été renforcées en décembre, a détaillé Bruno Le Maire.Le gouvernement prévoit d'y consacrer 7 milliards d'euros en 2021, en le maintenant "au moins jusqu'à fin juin".Il mobilise aussi 11 milliards d'euros pour la prise en charge du chômage partiel, à la fois dans le cadre du dispositif existant, qui sera maintenu au moins jusqu'à fin janvier, et pour l'activité partielle de longue durée.Le gouvernement prévoit aussi 1 milliard d'euros d'exonérations de charges pour les entreprises.A cela s'ajoute des aides pour les stations de ski, les jeunes, l'aide alimentaire ou encore les aéroports.Sur ces 20 milliards, 8,5 milliards seront financés via des reports de crédits non dépensés cette année pour le chômage partiel, le fonds de solidarité et les exonérations de charges.Malgré tout, avec une prévision de croissance que le gouvernement maintient à 6% pour l'an prochain, le déficit et la dette vont finalement être plus élevés que ce qu'il anticipait jusqu'ici.Le déficit devrait atteindre 8,5% du PIB (contre 6,7% prévu initialement), après 11,3% attendu cette année.La dette va continuer à flamber l'an prochain, alors que le gouvernement espérait amorcer sa décrue grâce à la reprise. Il l'attend à 122,4% du PIB (contre 116,2% prévu jusqu'ici), après 119,8% cette année.Le détail des 20 milliards d'euros de soutien d'urgence mobilisés en 2021A côté du plan de relance, le gouvernement va encore consacrer plus de 20 milliards d'euros l'an prochain en soutien d'urgence pour les entreprises et les ménages. Voici le détail des mesures prévues.Activité partielleLe gouvernement prévoit de consacrer encore 11 milliards d'euros au financement du chômage partiel, contre 6,5 milliards d'euros budgétés jusqu'ici dans le projet de loi de finances pour 2021.Ce montant inclut à la fois le dispositif de chômage partiel existant actuellement et prolongé au moins jusqu'à fin janvier, tel qu'annoncé par la ministre du Travail Elisabeth Borne, et le nouveau dispositif d'activité partielle de longue durée (APLD) créé pour accompagner les entreprises dans la durée.En 2020, le gouvernement devrait avoir dépensé 29 milliards d'euros, sur les 34 milliards budgétés.Fonds de solidaritéLe gouvernement prévoit 7 milliards d'euros de dépenses pour soutenir les entreprises qui resteront fermées ou dont l'activité sera très fortement réduite par le maintien des contraintes sanitaires. Ce montant se décompose en 5 milliards d'euros de nouveaux crédits, le reste venant de reports de moyens non utilisés en 2020.Les nouvelles conditions d'attribution du fonds de solidarité, mises en place en décembre, seront maintenues "au moins jusqu'à fin juin 2021", a indiqué le ministre de l’Économie Bruno Le Maire, sauf si la situation économique et sanitaire évolue considérablement d'ici là.De nouveaux secteurs, exclus jusqu'ici, vont y avoir droit, comme certains prestataires d'évènementiels (organisateurs de mariage, commerces de vêtements de cérémonies), les producteurs de lapins et de pintades ou encore les producteurs d'escargots, très pénalisés par la fermeture des restaurants.En 2020, 17 milliards auront été dépensés, sur les plus de 19,5 milliards d'euros budgétés.Exonérations de chargesUn milliard d'euros supplémentaires sont dédiés à des exonérations de charges qui bénéficient aux entreprises les plus touchées par la crise.En 2020, les entreprises ont bénéficié de 7 milliards d'exonérations de charge, quand le gouvernement en avaient prévu environ 8 milliards.Jeunes200 millions d'euros sont mobilisés pour financer les annonces de nouvelles aides aux jeunes faites par le président de la République la semaine dernière, en particulier via le dispositif de Garantie jeunes ou le renforcement du système de bourses.Aide alimentairele gouvernement va soutenir à hauteur de 120 millions d'euros les associations qui distribuent de l'aide alimentaire, et qui font face à une forte augmentation des sollicitations des ménages depuis le début de la crise.Stations de skiLes stations de ski seront aidées à hauteur de 400 millions d'euros, notamment pour couvrir les pertes d'exploitation des remontées mécaniques, fermées au moins jusqu'à la fin de l'année.Congés payésL'Etat va prendre en charge le coût de dix jours de congés payés pour les entreprises les plus touchées par la crise, comme l'hôtellerie, la restauration, l'évènementiel, les discothèques ou les salles de sport. La mesure coûtera plusieurs centaines de millions d'euros.AéroportsEn difficulté face à la baisse du trafic aérien, les aéroports bénéficieront d'une aide de 250 millions d'euros.La PosteL'effondrement du courrier a fait fondre les revenus de l'entreprise, que le gouvernement a décidé d'aider pour un montant qui sera précisé prochainement.
Il y a 4 ans et 191 jours

Giscard salué pour sa "grande audace" avec la naissance du Musée d'Orsay

Valery Giscard d&#39;Estaing aura marqu&eacute; la politique culturelle fran&ccedil;aise et fait "un geste patrimonial et architectural d&#39;une grande audace" en transformant l&#39;ancienne gare d&#39;Orsay en mus&eacute;e.
Il y a 4 ans et 191 jours

Architecture de la mer et de l'espace : Palmarès 2020 de la Fondation Jacques Rougerie

DIAPORAMA. Comment habiter sous la mer, dans l'espace ou relever le défi de la montée des océans ? Depuis 10 ans, Le Concours international d'Architecture de la Fondation Jacques Rougerie – Institut de France place la Nature et la défense de l'environnement au coeur de son action, en récompensant des projets architecturaux innovants et visionnaires, fondés sur le biomimétisme. Découvrez le palmarès 2020, dévoilé ce 10 décembre.
Il y a 4 ans et 191 jours

La nouvelle tuile Level RS Erlus disponible en deux coloris

Parfaite pour son design et sa fonctionnalitéLa nouvelle tuile Level RS® séduit à la fois par son design et sa fonctionnalité. Sa forme pure et anguleuse, avec son nez droit, est particulièrement remarquable. Par ailleurs, son triple emboîtement latéral et de tête garantit une excellente évacuation de l'eau. Même si la toiture présente une faible pente (pente nominale de seize degrés ou minimale de dix degrés), la structure sous la couverture reste sèche en toutes circonstances. Aucune mesure de protection supplémentaire contre la pluie n'est nécessaire. Approuvée pour sa résistance à la grêleL'ensemble de la gamme ERLUS est certifiée contre la grêle. La nouvelle tuile Level RS® ne déroge pas à la règle. Elle a été testée contre la grêle et a atteint la classe de résistance 4. Concrètement, au cours du test de résistance, la tuile a résisté sans dégât à des grêlons de quatre centimètres de diamètre et d'un poids de trente grammes, projetés à une vitesse de 99 km/h. Une tuile à pureau plat en qualité frittéeLa tuile Level RS® est cuite à 1 200 degrés, ce qui lui apporte les propriétés du clinker. Cette cuisson explique sa faible absorption d'eau et donc sa longévité. Une grande résistance face aux tempêtes Les tuiles en pose croisée sont beaucoup plus résistantes face aux effets des tempêtes que celles posées à joints droits. La tuile Level RS® présente déjà une résistance très élevée sans utilisation de crochets de pannetonnage quand elles sont en pose croisée. Le nouveau modèle, adapté aux pentes de toit particulièrement faibles, possède un crantage marqué pour un ajustement parfait des crochets de pannetonnage I et II d'ERLUS. Une mise en œuvre pratiqueDans la famille des grands moules XXL, la tuile Level RS® fait partie de la gamme des tuiles avec un pureau moyen à 38,5 centimètres. Elle se caractérise ainsi par une mise en œuvre facile et rapide. Grâce à ses dimensions, cette tuile se révèle particulièrement pratique à la pose. Les deux groupes de pureau dans la gamme ERLUS : 34 cm et 38,5 cm offrent enfin une grande souplesse au niveau du choix des produits. Un système modulaire d'accessoires La nouvelle tuile Level RS® dispose des très nombreux accessoires « Marque ERLUS ». Fabriqués en fonte d'aluminium, les accessoires ALU ERLUS sont parfaitement assortis aux tuiles. Solides et durables, ils s'intègrent dans pratiquement toutes les pentes de toit. Fiche technique tuile Level RS®Pureau moyen : 38,5 cmDimensions : environ 29,0 x 48,5 cmTuiles par m² : environ 11,3 piècesPoids par unité : 4,8 kgPente nominale du toit : 16° avec pose croisée Classe de résistance à la grêle : 4Coloris : rouge profond, ardoise intense
Il y a 4 ans et 191 jours

Une nouvelle référence de construction bois pour Bouygues Bâtiment Grand Ouest

La construction bois et biosourcée s’impose désormais pour de nombreux acteurs comme une solution d’avenir contribuant à un cadre de vie plus durable. Bouygues Bâtiment France Europe en a fait une priorité avec l’objectif de faire de 30% de ses ouvrages des projets bois d’ici 2030. Cette ambition impulsée par son pôle d’excellence bois WeWood est portée au cœur des territoires par ses filiales régionales. C’est le cas de Bouygues Bâtiment Grand Ouest qui vient illustrer et concrétiser cette démarche sur un chantier emblématique en Pays de la Loire : le siège social de Podeliha (Groupe Action Logement) situé dans le nouveau quartier d’affaires Cours Saint-Laud à Angers. Démarré en mai 2019, le projet s’inscrit dans le cadre d’une vaste opération totalisant plus de 11 000 m2 de planchers et offrant une mixité d’usages avec logements, commerces et bureaux. La partie tertiaire est destinée à accueillir à l’été 2021 les 250 collaborateurs du siège social régional de Podeliha, bailleur social ligérien de référence et de deux filiales. Conçue par le cabinet Rolland & Associés, cette partie compte 3 bâtiments, un en R+5 et deux en R+3, pour une superficie totale de 6400 m2. L&rsquo;opération a obtenu le label BBCA Neuf, niveau Excellence, pour la phase conception. Pour satisfaire à ces critères environnementaux très exigeants et offrir une performance énergétique niveau RT 2012 -50%, il propose un mode constructif innovant : une solution mixte bois-béton alliant une superstructure bois constituée de planchers en CLT (bois lamellé-croisé) supportés par des poteaux et poutres bois, autour de noyaux en béton armé (façades, cages d’escalier et gaines d’ascenseurs). La fabrication des panneaux de CLT a été confiée à Piveteau Bois tandis que la pose de ces panneaux, mais aussi la fabrication et la pose de la charpente, des poteaux et poutres bois, la fourniture et la pose de murs à ossatures bois ont été assurées par l’entreprise Caillaud Bois. Maître d’ouvrage : Podeliha (Groupe Action Logement) Architecte : Cabinet Rolland & Associés Constructeur, mandataire du macro-lot clos couvert : Bouygues Bâtiment Grand Ouest Partenaires bois : Piveteau Bois et Caillaud Bois, ASCIA (bureau d’étude bois) 844 m3 de bois (lamellés collés, poteaux et poutres bois) mis en œuvre soit une réduction des émissions de CO2 d’environ 338 tonnes. &nbsp; Photo : © Willy Berré &nbsp;
Il y a 4 ans et 191 jours

Le Premier ministre indien inaugure symboliquement le vaste projet de réaménagement du centre de Delhi

Modi, 70 ans, s'est livré à des rituels hindous lors de la cérémonie inaugurale, officiellement laïque, de la construction du nouveau parlement - un bâtiment censé représenter le coeur de la démocratie pour 1,3 milliard d'habitants de l'Inde.Le nouvel édifice, beaucoup plus imposant, remplacera l'ancien bâtiment qui, selon Modi jeudi, "a besoin de répit". Une partie de l'ancien parlement sera "rénovée" puis continuera d'être utilisée pour les affaires du gouvernement, certains quartiers du bâtiment seront transformés en musées et d'autres démolis."Aujourd'hui est une date historique. C'est une étape importante dans le cheminement démocratique de l'Inde", a déclaré Modi dans son discours inaugural."L'ancien bâtiment du Parlement témoigne du parcours de l'Inde, de l'époque coloniale à une nation indépendante", a-t-il ajouté, "il est de notre responsabilité de donner à l'Inde du XXIe siècle un nouveau bâtiment parlementaire". Il devrait être achevé à temps pour le 75e anniversaire de l'Indépendance du pays, en 2022.Le vieux parlement bâti au début du XXe siècle par l'architecte britannique Edwin Lutyens composait la pièce maîtresse du Raj, l'Empire britannique en Inde, comprenant également le grand boulevard Rajpath, la résidence du président, les bureaux du gouvernement, le museum national et le monument aux morts de la Porte de l'Inde.Selon les critiques de ce vaste projet de réaménagement dont le coût total s'élèverait à 200 milliards de roupies (2,7 milliards de dollars) dont 130 millions de dollars pour le nouveau parlement, de telles dépenses trouveraient davantage d'utilité dans la lutte contre le Covid-19 et le soutien à l'économie durement heurtée par la pandémie.Des recours ont été déposés à la Cour suprême contre le programme, et pourraient, si ce n'est le compromettre, du moins le retarder. De son côté, le bureau de Modi argue que ce réaménagement "correspondra aux aspirations d'une Inde nouvelle".Tikender Singh Panwar, un membre de l'opposition et expert en urbanisation, estime que ce réaménagement est un "grand scandale en devenir"."Etrangement, pour un projet de cette importance, de cette taille et de ce coût, les détails sont bien sommaires (...)" a-t-il commenté auprès de l'AFP, ajoutant que Modi lui faisait l'effet d'"un leader fasciste voulant laisser l'empreinte de sa gloire sur Delhi".Selon le commentateur politique Arati Jerath, "cet argent aurait pu être bien dépensé pour soutenir et restaurer l'économie (et) créer des emplois, mais au lieu de cela, il est dépensé pour réaliser les rêves grandioses d'un homme et ce à quoi devrait ressembler une Inde nouvelle".L'inauguration se déroulait alors que des dizaines de milliers d'agriculteurs en colère contre les réformes agricoles bloquent les accès à la capitale pour la deuxième semaine d'affilée, constituant un défi majeur pour l'autorité de Modi et son programme de réforme.Lundi, la Cour suprême avait exprimé son mécontentement devant l'empressement du gouvernement à inaugurer le projet avant d'avoir pu les examiner les recours. Elle a toutefois autorisé la poursuite des procédures administratives, y compris la cérémonie de jeudi mais aucune construction ne doit commencer d'ici sa décision.