Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

(61945 résultats)
Il y a 4 ans et 191 jours

La récente certification CTB Composants & Systèmes bois est bien installée

CTB Composants & Systèmes Bois, lancé en mai 2019 par l’Institut technologique FCBA, dresse un 1er bilan positif : 31 professionnels, fabricants d’éléments de structure bois, sont aujourd’hui titulaires de son droit d’usage. La marque de certification a ainsi su trouver son marché et le fidéliser : tous les professionnels engagés ont souhaité renouveler leur confiance, à l’issue de leur période d’engagement d’un an. Couvrant tous les éléments de structure bois et accessoires associés, qu’ils soient traditionnels ou totalement innovants, CTB Composants & Systèmes Bois a su s’imposer sur le marché comme une référence qualité efficace. FCBA continue à travailler sur le déploiement de la certification CTB Composants & Systèmes Bois, autour de l’augmentation et de la fidélisation du nombre de titulaires avec un objectif de plus de 10 nouveaux titulaires dans les prochains mois et de l’évolution du référentiel, attendu courant du 1er trimestre 2021. Ce nouveau référentiel se voudra encore plus lisible. Il intégrera notamment de nouvelles applications sur l’évaluation des adhésifs par exemple, et se raccordera aux exigences du NF DTU 31.4 : 2020.
Il y a 4 ans et 191 jours

La Filière Béton dénonce le “greenwashing” de la RE 2020

Après l’annonce des grandes lignes de la future RE 2020, faite le 24 novembre dernier, les réactions n’en finissent pas de pleuvoir. Déjà, une bonne partie des acteurs de la construction a dénoncé la modification de la comptabilisation du carbone. « Une dérive de la loi qui favorisera le bois au détriment de l’innovation dans les solutions constructives », indiquent les intéressés. A savoir, les filières béton, terre cuite, construction métallique et isolants… Bien entendu, de son côté, la filière bois « se félicite des orientations de la RE 2020 […] et de la reconnaissance de la méthodologie de l’analyse de cycle de vie dynamique. C’est une avancée historique ». La guerre semble belle et bien déclarée.  Les entreprises de la Filière Béton représentent 67 000 emplois directs, répartis sur 4 400 sites, dont dépendent aussi 200 000 emplois indirects. [©ACPresse] L’industrie cimentière pèse près de 2 Md€ C’est dans ce contexte que la Filière Béton vient de lancer une première salve. Ceci, à travers un document intitulé “Greenwashing et distorsion de concurrence n’ont pas leur place dans la RE 2020”. Sept pages qui détaillent toutes les incohérences, selon elle, de l’entrée en application de l’Analyse de cycle (ACV) dynamique simplifiée. « Le ministère de la Transition écologique […] ignore la réalité du tissu productif français. […] Le choix [d’introduire l’ACV dynamique simplifiée] questionne la poursuite des investissements de décarbonatation des entreprises de la Filière Béton, voire condamne à brève échéance leur présence dans l’Hexagone. » Les propos sont forts, sans doute à la hauteur des enjeux dans la balance. Est-il utile de rappeler que l’industrie cimentière pèse près de 2 Md€ de chiffre d’affaires en France ? Que les entreprises de la Filière Béton représentent 67 000 emplois directs, répartis sur 4 400 sites, dont dépendent aussi 200 000 emplois indirects ? Visiblement, oui ! L’ACV dynamique issue d’une étude canadienne Mais qu’est-ce que cette ACV dynamique ? Le fruit d’une unique étude produite au Canada par l’institut Craig et en partie financée par l’industrie du bois canadien… C’est ce que rappelle aussi la Filière Béton. Sa vocation est d’introduire une perspective temporelle de stockage du carbone dans les matériaux. En France, la DHUP, c’est-à-dire la Direction de l’habitat, de l’urbanisme et des paysages, rattachée au ministère de la Transition écologique, a fait de choix de la simplifier. Et de choisir un horizon temporel à 100 ans. « Une manière de considérer que le CO2et les autres gaz à effet de serre captés au départ ne seront jamais restitués. Effacés d’un coup de baguette magique ! », fulmine Philippe Gruat, président de la Filière Béton.  La mixité des matériaux, avec une dominante du bois : l’avenir de la construction en France ? [©ACPresse] En réalité, cette approche va aboutir à contracter une dette carbone auprès des générations futures, en prétendant répondre à l’urgence climatique. Pour mémoire, en 2017, selon l’Agence internationale de l’énergie, la France représentait 0,9 % des émissions de CO2 mondiales. Et ce, toutes sources confondues. Dans ces émissions, les matériaux de construction pèsent environ 10 %, dont la moitié pour le béton…  L’empreinte carbone d’un bloc béton Il est vrai que la loi Elan exige la prise en compte de la contribution au stockage du carbone de l’atmosphère pendant la durée de vie des bâtiments. Cependant, cette obligation questionne et appelle quatre observations de la part de la Filière Béton. Déjà, « l’intérêt climatique du stockage temporaire du carbone dans le bois est loin d’être scientifiquement démontré ». Ensuite, « appliquer la loi Elan n’impose pas de bouleverser le système actuel des ACV ». D’autant que « l’ACV dynamique n’est utilisée dans aucun pays d’Europe ». Et enfin, « la méthode de l’ACV dynamique simplifiée n’a fait l’objet d’aucune validation scientifique ».  A travers son document, la Filière Béton dénonce nombre d’absurdités. Une des plus amusantes est de voir passer l’empreinte carbone d’un bloc béton de + 13 kg de CO2à – 37 kg uniquement en remplissant ses alvéoles de copeaux de bois ! Deux avantages à une telle solution : la capacité isolante du bloc béton sera augmentée et le bois sera protégé contre les risques de feu… A priori, ce n’est pas la conclusion qu’imagine la filière bois, quand elle déclare que « cette mesure [introduction de l’ACV dynamique simplifiée] est de nature à favoriser l’essor d’une mixité́ renforcée des matériaux de construction ». Mention présente dans son communiqué de presse du 25 novembre 2020. Remplir les alvéoles d’une bloc béton de copeaux de bois ferait passer son empreinte carbone à – 37 kg ! [©ACPresse] Et la sécurité au feu des constructions en bois ? Enfin, la Filière Béton estime que l’ACV dynamique simplifiée n’est autre qu’une opération de “greenwashing”. Donc une décision purement politique, dans une volonté avouée du tout bois. Sans compter que ce choix va nécessiter une transformation profonde des forêts françaises. Et, a priori, un important recours aux importations de bois d’œuvre pour répondre à la hausse de la demande qui s’annonce…  Quant à la sécurité au feu des constructions en bois – qui inquiète beaucoup les pompiers, cela va de soi -, le document de la Filière Béton ne l’évoque pas. Mais le sujet risque de se retrouver très vite sur la table. Tout comme les aspects plus sociétaux. Dans un pays patrimonial, attaché à la pierre, à la transmission des biens, les Français ont-ils tous envie d’habiter dans une maison en bois, sans doute plus chère à la construction ? Et dont la valeur à 50 ou 100 ans reste une grande inconnue.    En savoir plus... Télécharger le document “Greenwashing et distorsion de concurrence n’ont pas leur place dans la RE 2020” en cliquant sur l'image. [©Filière Béton - Décembre 2020]   Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 191 jours

La famille fondatrice de Compobaie Solutions reprend sa direction

Jacques Anglade et ses trois enfants reprennent, ainsi, les rênes de la société créée il y a plus de 30 ans. Depuis début novembre, Compobaie Solutions est sortie officiellement de sa procédure de sauvegarde lui offrant désormais un horizon éclairci et rempli de projets.Cette fin d'année 2020 sonne comme une nouvelle ère pour Compobaie Solutions et ses équipes. Jacques Anglade, fondateur, a décidé de racheter l'entreprise il y a quelques mois pour la relancer et recréer les conditions de sa réussite.La période critique traversée par le monde du bâtiment en 2008 avait conduit à un changement d'actionnariat pour une poursuite d'activité sous l'entité Compobaie Solutions.Aujourd'hui, c'est accompagné de ses trois enfants que Jacques Anglade reprend les commandes d'une entreprise qu'il connait tant et qui lui est cher. L'histoire familiale est en marche !La famille Anglade souhaite conforter l'organisation et la structure de Compobaie Solutions. Son principal objectif est d'asseoir, après 30 années d'existence, la place de Compobaie Solutions sur le marché du bâtiment. Cette reprise aura permis de sauver 150 emplois et ouvre de nouveaux horizons pour le groupe.Aujourd'hui, la sortie de la procédure de sauvegarde permet à l'entreprise de recentrer ses objectifs sur l'innovation de son produit spécialisé. Le groupe propose une solution de traitement des ouvertures intelligentes : le bloc baie béton, assemblé en usine pour optimiser sa qualité optimale qui facilite sa mise en œuvre sur les chantiers et ses performances techniques.Les ambitions de la famille Anglade s'inscrivent dans une réelle volonté d'innover autour du Bloc baie béton déjà maîtrisé, pour le rendre encore plus performant et incontournable.Le savoir-faire et l'expertise de Compobaie Solutions s'appuient également sur cette force de pouvoir faire cohabiter l'aspect industriel et entrepreneur, autrement dit : la rigueur et la souplesse d'adaptation autour d'un seul et même produit.Compobaie Solutions souhaite rester fidèle à son cœur de métier et à son savoir-faire en continuant son orientation sur le segment de la maison individuelle et du logement collectif.C'est une bouffée d'oxygène et de nouveaux horizons qui s'offrent ainsi à cette entreprise leader sur son marché.
Il y a 4 ans et 191 jours

DES BÊTES EN VILLE ?

Ouvrage de vulgarisation bien écrit sur un sujet complexe, Zoocities s'intéresse à la place accordée aux animaux sauvages dans la ville. S'appuyant sur des anecdotes, des témoignages et des réflexions issues de la crise sanitaire, la philosophe Joëlle Zask entend contribuer aux débats sur notre rapport aux bêtes, commentant tant […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 191 jours

La santé

S’il en était besoin, la crise sanitaire a fait de la santé publique la priorité des priorités pour les villes. Si elle veut être sûre, la ville du futur devra garantir à ses habitants que l’air qu’ils respirent, l’eau qu’ils boivent, les plantes qu’ils croisent, ne présentent pas de dangers. Et ce en extérieur, comme en intérieur. Ce qui impose de repenser la construction de nos immeubles, d’habitations ou de bureaux, et de maîtriser de bout en bout l’acheminement des ressources naturelles, comme la traçabilité des biens de consommation. Des capteurs, ou nos données personnelles peuvent servir ces objectifs. Sauf que les données de santé sont particulièrement sensibles et qu’il faudra gagner la con… ance des citoyens avant de pouvoir les utiliser.
Il y a 4 ans et 192 jours

JASMIN, le nouveau parquet à bâtons rompus par DESIGN PARQUET

Indémodable et chaleureux, le parquet offre une réelle plus-value à toutes les décorations intérieures, classiques ou contemporaines. Avec sa nouvelle gamme de parquet en chêne à bâtons rompus Jasmin, Design Parquet anime les sols avec élégance.  Un parquet graphique au rendu unique Avec ses lignes graphiques, le parquet en chêne Jasmin à bâtons rompus, rythme le sol avec élégance. Les lames, de dimensions uniformes, sont posées à angle droit les unes par rapport aux autres, à 90°. Présentant des motifs de chevron, Jasmin donne des perspectives uniques et du caractère à la pièce qu’il revêt. Orientées dans le sens de la lumière, les lames offrent une tonalité homogène au parquet Jasmin. Posées perpendiculairement à la lumière, le rendu de teintes est beaucoup plus contrasté. Jasmin, un parquet à bâtons rompus pour tous les intérieurs Pour répondre à toutes les contraintes de confort des secteurs de l’habitat et du tertiaire (résistance à l’usure, pose sur sol chauffant/rafraîchissant), le parquet Jasmin à bâtons rompus est proposé dans la collection Design Déco : en parquet massif chêne, matériau durable et authentique pouvant être poncé pour lui redonner de l’éclat ; en parquet Loft Pro semi-massif chêne (parement de 4,5 mm d’épaisseur) qui allie la durabilité du massif à la stabilité d’un contrecollé. En version Premier, Rustique ou Campagne, Jasmin présente, selon les modèles, des petits nœuds en surface et de légères variations de couleur. Il se décline en finitions structurée, huilée et sciage light laissant apparaître en surface de légers coups de scie, pour s’adapter à tous les goûts et tous les styles. Selon un calepinage précis, la pose s’effectue en flottante (uniquement pour le parquet Loft Pro), collée ou clouée, et l’assemblage par rainures et languettes. http://www.designparquet.fr/
Il y a 4 ans et 192 jours

Une peinture « green » pour un habitat sain et durable.

Issue de l’éco-conception, Naé est une gamme de peintures composées d’une résine alkyde en phase aqueuse d’origine végétale biosourcée. Un produit neutre, sans solvant, sans polluant volatil et sans substance cancérigène. Classée A+, Naé affiche un taux de composants organiques volatiles (COV) en pot inférieur à 1g/L. Certifiée NF Environnement et Zone Verte Excell, Naé contribue à une meilleure qualité de l’air intérieur des lieux de vie, des habitats HQE® ou autres Etablissements Recevant du Public. Naé, pour une décoration sans limite. Unikalo met à la disposition des professionnels une gamme de peintures qui permet de répondre aux attentes de consommateurs qui recherchent de plus en plus à concilier technicité et qualités professionnelles des produits, protection de l’environnement, habitat sain et décoration tendance. Grâce à une multitude de couleurs à la fois intemporelles et contemporaines, la gamme de peintures biosourcée Naé offre de nouveaux horizons esthétiques pour habiller murs et plafonds. 110 000 teintes disponibles en impression finition mate, veloutée ou satinée, agrémentées de 168 nouvelles teintes originales, inspirées de la nature, allant du pastel au foncé. Véritable instigateur de tendances, le nuancier « MISE EN COULEUR » dévoile 25 nouvelles ambiances pleines de fraîcheur et de modernité. C’est une source inépuisable d’inspiration pour les professionnels de la décoration. A découvrir sur le site www.unikalo.com/inspirations Naé, la peinture aux qualités professionnelles et environnementales. Une solution plus respectueuse de l’environnement mais sans compromis sur la qualité. Destinée aux travaux neufs ou en rénovation, la gamme de peintures biosourcée Naé assure de hautes performances techniques. Grâce à ses excellentes propriétés, elle offre une opacité optimale pour un résultat parfait en 2 couches et garantit une haute durabilité des teintes dans le temps. De plus, elle présente une résistance à l’abrasion humide de classe 1 en blanc et de classe 2 en teintes, ce qui en fait une peinture deux fois plus résistante aux nettoyages périodiques qu’une solution classique. La gamme est conditionnée en fûts de 0.75 L, 3L ou 12 L avec un rendement de 8 à 10 m²/L/couche pour l’impress et la finition mate et de 9 à 11 m²/L/couche pour les finitions veloutées et satinées. Naé s’applique avec une grande aisance soit au rouleau soit à l’aide d’un pistolet Airless pour recouvrir rapidement et de façon homogène de plus grandes superficies. Son séchage rapide est un gain de temps fort appréciable pour les peintres et décorateurs d’intérieurs qui doivent répondre sur les chantiers à des contraintes temporelles toujours plus exigeantes. Plâtre, ciment, bois, Naé accroche parfaitement et confère un rendu impeccable et sans trace de reprises. Autres caractéristiques : Naé impress • Brillant spéculaire : 2,2 à 2,6 % sous angle de 60°, 9 à 12% sous angle de 85° • Densité (± 0,03) : 1,45 Naé mat • Brillant spéculaire : 2,2 à 2,6 % sous angle de 60°, 1,2 à 1,6% sous angle de 85° • Densité (± 0,03) : 1,39 Naé velours • Brillant spéculaire : 2,5 à 4,5 % sous angle de 60°, 18 à 23% sous angle de 85° • Densité (± 0,03) : 1,41 Unikalo engagé dans la démarche HQE. En plus de garantir une production 100% française (toutes les peintures de la marque sont formulées et fabriquées sur le site de Mérignac (33), site certifié ISO 14001, Unikalo s’engage quotidiennement pour produire plus sain. Ainsi, Unikalo réalise l’analyse de cycle de vie de ses produits afin de déterminer les impacts environnementaux qu’ils génèrent. Ces analyses sont détaillées dans une FDES, disponible sur www.inies.fr. Le maître d’ouvrage dispose alors de tous les outils nécessaires au choix du produit qui conviendra le mieux aux objectifs de son chantier.
Il y a 4 ans et 192 jours

“Prix des femmes architectes” 2020 : les lauréates dévoilées

La 8e cérémonie du “Prix des femmes architectes” se tenait virtuellement mercredi 9 décembre 2020. Avec ce prix, lancé en... Cet article “Prix des femmes architectes” 2020 : les lauréates dévoilées est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 192 jours

Benoît Rotteleur Architecte : rénovation et extension d’une maison en meulière

À Saint-Leu-la-Forêt (95), l’agence Benoît Rotteleur Architecte a rénové une maison en Meulière datant du début du XXe siècle. À la demande de la propriétaire Cécile, les architectes ont répondu par une intervention subtile. Les architectes Benoit Rotteleur (né en 1987) et Julien Blatteau (né en 1995) ont choisi de préserver l’esprit industriel de la demeure tout en lui apportant une touche contemporaine. Dotée de grandes baies vitrées, la nouvelle extension rappelle l’esthétique industrielle de l’ancienne verrière, et ouvre la maison sur le jardin. Pour ce projet, les architectes ont joué des volumes et des matériaux pour faire écho à la maison existante en misant sur des revêtements et des aménagements sobres. À l’intérieur, le bois apparent réchauffe les pièces immaculées et les châssis noirs des fenêtres. Les jonctions entre les espaces traitées en frêne, comme la banquette du patio et la verrière de la cuisine, donnent du cachet aux espaces de vie, tandis que les murs en brique de la façade s’inscrit dans la continuité de la bâtisse existante. L’agence Benoît Rotteleur Architecte signe une extension contemporaine aussi élégante que fonctionnelle. Pour en savoir plus, visitez le site de Benoît Rotteleur. Visuels : © Antoine Seguin La rédaction
Il y a 4 ans et 192 jours

Vinci gagne un contrat pour la construction d'un barrage au Sénégal

"Vinci signe le contrat de construction du barrage hydraulique de Sambangalou", a déclaré le groupe français dans un communiqué.Le contrat représente un montant total de 388 millions d'euros mais Vinci le partagera avec un groupe autrichien, Andritz, présent à hauteur d'un quart dans l'opération."La construction de ce barrage de 91 mètres de haut et d'une capacité de 128 mégawatts permettra la production d'une énergie renouvelable, le développement de l'irrigation des terres agricoles ainsi que l'approvisionnement en eau potable des localités environnantes", détaille Vinci."Les travaux débuteront au cours du premier semestre 2021 et dureront 48 mois", précise le groupe. "Le chantier emploiera, au pic de l'activité, 1.000 personnes recrutées et formées localement."
Il y a 4 ans et 192 jours

Palmarès des Femmes architectes 2020 : Florence Lipsky sacrée

PALMARÈS. La cérémonie du Prix Femmes Architectes 2020 s'est déroulée ce 9 décembre. Florence Lipsky de l'agence Lipsky-Rollet, a été sacrée Femme Architecte 2020, pour son oeuvre. En tout, 4 prix et une mention spéciale ont été remis. Découvrez son oeuvre et le palmarès complet.
Il y a 4 ans et 192 jours

11ÈME ÉDITION Trophée de la vitrification : PLASTOR RÉCOMPENSE LES PLUS BEAUX CHANTIERS EN VITRIFICATION PARQUET 2019

Comme chaque année, la remise des trophées de la Vitrification Plastor est l’occasion de distinguer des chantiers réalisés par des professionnels du parquet, partenaires de la marque. L’aspect technique et décoratif du chantier, mais également la qualité du travail et le savoir-faire artisanal sont pleinement pris en compte.Les parquets de ces chantiers d’exception profitent en matière de protection des performances des produits et systèmes Plastor. Les lauréats primés pour cette 11ème édition sont : • 1er Prix : La Grande Halle du Wip à Colombelles (14), réalisée par l’entreprise Les Sens du Bois (50), • 2ème Prix : La mairie de Plourin-Lès-Morlaix (51), réalisée par l’entreprise Corre ponçage SAS (29). • 3ème Prix : Une maison de particulier Béarnaise (64), réalisée par l’entreprise Esteves (64).   1ER PRIX : La Grande Halle du Wip à Colombelles (14) Entreprise Les Sens du Bois (50) Nicolas TAVARES et Franck JEUFFRAULT : Gérants de l’entreprise Les Sens du Bois (50) La rénovation de La Grande Halle du Wip à Colombelles, édifice du patrimoine industriel, intègre principalement du béton et du bois, avec 1 600 m2 de parquet ainsi que 6 escaliers de 40 marches qui ont été poncés et vitrifiés par la société Les Sens du Bois. Partenaires depuis plus de 10 ans avec Plastor, Nicolas TAVARES et Franck JEUFFRAULT, gérants de la société spécialisée dans la rénovation et la vitrification de parquets et d’escaliers, ont utilisé les produits Plastor pour réaliser les finitions de ce projet. « Nous sommes arrivés sur ce chantier grâce à la recommandation de la société Gouelle menuiserie à Sartilly (50) qui a remporté l’appel d’offre et réalisé la pose des planchers. Notre entreprise a réalisé le ponçage et la vitrification, donc toutes les finitions sur des parquets traditionnels en Douglas ainsi que sur des panneaux en contreplaqué avec une couche de massif en pin blanc. Nous devions également vernir les lisses des garde-corps des escaliers pour les protéger. La rénovation de ce bâtiment industriel exigeait le respect de normes de qualité environnementale, d’où l’importance du choix de produits à faible émissivité. Dans ce même souci, il a été décidé que les poteaux et dessous des couloirs apparents resteraient bruts. Nous avons dû tenir les délais avec la complexité habituelle, en organisant nos zones de travail au mieux afin que tous les autres artisans et corps de métier puissent avancer rapidement. Pour ce faire, nous avons mobilisé toute notre équipe, à savoir 5 personnes. Parfois mon père et un de ses collègues nous ont rejoints, nous étions alors 7. Nous sommes parvenus à réaliser les finitions en deux semaines de travail en tout. Comme il s’agissait de parquet neuf, la matière était assez agréable à travailler. Grâce aux produits Plastor dont nous apprécions la qualité depuis maintenant 12 ans, nous avons aisément pu évaluer le temps de travail de la manière la plus précise qui soit. Pour répondre aux prérequis d’émissions de COV très limitées, nous avons choisi d’utiliser l’huile Aquanat, très faible en émissivité de solvants avec seulement 25 g de COV/L. Pour durcir la couche de ces produits assez maigres, nous avons opté pour le DUOPUR-T3 mat, compatible avec l’huile Aquanat, qui avait été validé par le service technique de Plastor. Le suivi et le relationnel que nous entretenons avec les équipes de Plastor sont pour beaucoup dans notre réussite. »   LES PRODUITS PLASTOR UTILISÉS POUR LA GRANDE HALLE DU WIP Huile AQUANAT L’huile pour parquet monocomposant Aquanat de Plastor offre une excellente protection pour les parquets soumis à un trafic quotidien intense. Elle conserve l’aspect naturel du bois brut tout en le mettant en valeur. Facile d’utilisation, elle ne laisse pas de film visible et sèche en 1 à 2 h seulement entre 2 couches. Elle s’applique ainsi sans lustrage en 3 couches dans la journée et sans essuyage. Son odeur n’est pas gênante, elle dégage seulement 25 g/L de COV. Disponible en 2 effets : mat et effet brut. Rendement : 15 m2/L par couche Existe en 1L, 5L et 10L   Vitrificateur DUOPUR-T 3 Vitrificateur polycarbonate bicomposant en phase aqueuse pour pièces à fortes contraintes et lieux publics, le DuoPurT3 de Plastor est très agréable à appliquer. Gras, sans odeur gênante et classé A+, il donne un bon garnissant, un film non jaunissant et un temps de reprise important. Il est adapté aux parquets ou dérivés des bois intérieurs neufs ou anciens dans tous types d’essences. Appliqué directement sur bois brut, il permet de conserver la tonalité claire des bois. Il est formulé avec 0 % de NMP (N-Methyl Pyrrolidone) et NEP (N-Ethyl Pyrolidone). 3 aspects : mat, satiné et brillant. Rendement : 10 m2/L par couche Existe en 5L (Mélange Résine 4,5L + durcisseur 0,5L) et 10L (Mélange Résine 9L + durcisseur 1L)   2ÈME PRIX : La mairie de Plourin-lès-Morlaix (51) Entreprise Corre Ponçage SAS (29) Michel CORRE Gérant de l’entreprise Fondée en 1957, Corre Ponçage est une entreprise familiale, spécialisée de père en fils, installée à Brest. Forte de ses 63 ans d’expérience, elle effectue la pose et l’entretien de parquets. « Nous exerçons notre activité principalement auprès de particuliers. Il est assez rare que nous travaillions pour des collectivités. Dans le cas de la mairie de Plourin-lès-Morlaix, nous avons obtenu le chantier par la municipalité, qui connaissait la qualité de notre travail. Ce programme de mairiemédiathèque avait fait l’objet d’un concours d’architecture brillamment remporté par Philippe Madec en 1994. Notre intervention a surtout concerné la salle du conseil municipal. Le chantier représentait environ 200 m2 de parquet en chêne. Il s’agissait de la rénovation d’un parquet existant qui avait déjà été entretenu quelques années auparavant. La salle ayant diverses fonctions, le parquet avait subit des dommages. Il était rayé à cause des tables, abimé par le passage et avait essuyé quelques problèmes d’humidité liés à la condensation près des baies vitrées. Nous avons réalisé le ponçage et la vitrification en 3 couches. Nous étions seuls sur le chantier, la rénovation a duré une semaine. Nous avons d’abord utilisé un fond dur universel puis 2 couches de DUOPUR-T3, Sur conseil du service technique Plastor, et pour un obtenir un aspect mat très profond, nous avons appliqué une première couche satinée puis une seconde mate. Nous collaborons avec Plastor depuis toujours. Leurs produits et les relations que nous entretenons avec les commerciaux nous donnent entière satisfaction. Mes enfants reprennent l’entreprise et eux aussi sont ravis. »   3ÈME PRIX : Maison de particulier Béarnaise (64) Entreprise Esteves (64) Roger ESTEVES Gérant de l’entreprise Roger Esteves a commencé à travailler dans l’entreprise de son père en 2012 avant de reprendre seul la société. Il réalise la pose de parquets, le ponçage et la vitrification, ainsi que la pose de serrurerie, de menuiseries, de placards et de volets, le plus souvent pour des particuliers. Pour la rénovation du parquet de cette maison traditionnelle typique du Béarn, les produits Plastor ont été utilisés. « L’un de mes fournisseurs m’a recommandé auprès du propriétaire de la maison qui engageait une rénovation générale. Je devais rénover 100 m2 de parquet en pin ainsi qu’une petite partie en chêne, cela concernait un étage entier et un escalier. La première fois que j’ai vu le parquet, il était en assez bon état, seulement quand je suis revenu pour travailler, il avait été abimé et sali par les modifications effectuées par les plaquistes au niveau des cloisons. Comme rien n’avait été protégé, il y a eu beaucoup de plâtre à enlever. J’ai dû composer avec les plombiers durant le chantier. Mon père est venu en renfort, nous avons effectué des réparations de dégâts causés par les plaquistes. Le chantier nous a pris une bonne semaine en continu. Le client tenait à un aspect satiné si bien que nous avons d’abord réparé et poncé le parquet puis nous avons appliqué un fond dur universel PRIM’SO et 2 couches de DUOPUR-T3 satiné qui donne un bel aspect ciré. Je connais bien les produits Plastor car j’ai toujours travaillé avec la marque, comme mon père le faisait depuis des décennies. Nous sommes enchantés par leurs produits et leurs conseils. »   LES PRODUITS PLASTOR UTILISÉS POUR LA MAIRIE DE PLOURIN-LÈS-MORLAIX ET LA MAISON BÉARNAISE Primaire PRIM’SO Doté d’un haut pouvoir pénétrant qui lui permet de former une base d’accrochage idéale pour la finition, le fond dur universel PRIM’SO est compatible avec tous les vitrificateurs Plastor (phase aqueuse comme solvant). Sa fonction bouche-pores neutralise les anti-oxydants pour assurer le parfait séchage de tous les vitrificateurs parquet. D’un grand confort d’utilisation, PRIM’SO sèche rapidement et sans odeur gênante. Par ailleurs, il donne une légère couleur miel au parquet et convient pour des bois neufs ou anciens dans tous types d’essences. Rendement : 10 m2/L par couche Existe en 1L, 5L et 10L   Vitrificateur DUOPUR-T 3 Le DUOPUR-T3 est un vitrificateur polycarbonate bicomposant en phase aqueuse pour pièces à fortes contraintes et lieux publics. Constitué d’un mélange 90/10, il est très agréable à appliquer. Gras, sans odeur gênante et classé A+, il donne un bon garnissant, un film non jaunissant et un temps de reprise important. Il permet de conserver la tonalité claire des bois lorsqu’il est utilisé directement sur bois brut. Il est parfaitement adapté aux parquets ou dérivés des bois intérieurs neufs ou anciens dans tous types d’essences. Enfin, il est formulé avec 0 % de NMP (N-Methyl Pyrrolidone) et NEP (N-Ethyl Pyrolidone). 3 aspects : mat, satiné et brillant. Rendement : 10 m2/L par couche Existe en 5L (Mélange Résine 4,5L + durcisseur 0,5L) et 10L (Mélange Résine 9L + durcisseur 1L)
Il y a 4 ans et 192 jours

Château de Pierrefonds : des travaux de rénovation jusqu’en 2023

Le château de Pierrefonds fait partie des 14 éléments du patrimoine retenus par le Centre des monuments nationaux sur le territoire français. Le chantier débutera en 2021.
Il y a 4 ans et 192 jours

Strasbourg : un chantier à 2,34 M€ pour la cathédrale Notre-Dame

Les travaux de conservation-restauration de la cathédrale de Strasbourg débuteront au printemps 2021.
Il y a 4 ans et 192 jours

Le Musée du Quai Branly doté d'un nouvel espace pour la collection Ladreit de Lacharrière

L'ouverture était prévue cet automne mais a été reportée au 24 mars en raison du confinement dû au Covid-19.Un dispositif scénographique audacieux fait le choix d'une mise en scène à la fois spectaculaire et intimiste, qui invite à la contemplation, avec des vitrines constituées de socles massifs revêtus de bois avec une armature métallique, selon un communiqué.Selon le président du Quai Branly, Emmanuel Kasarhérou, Jean Nouvel et ses équipes "ont imaginé un modèle de vitrine totalement novateur, l'Aura, qui épouse l'objet, modèle ses vibrations. Ce principe de halo constitue une authentique prouesse technique et une première mondiale. Elle marque un nouvel âge de la muséographie qui fait place à l'œuvre dans toutes ses dimensions physiques et spirituelles, à rebours de certains mirages du tout-numérique".Une grande attention a été aussi accordée à la contextualisation des œuvres, une priorité pour le nouveau président du musée. Seize focus avec des repères historiques sur les œuvres, leur provenance, leur histoire et leur géographie seront accessibles via une plateforme numérique dédiée.Le milliardaire et collectionneur passionné d'art africain a souhaité financer durant cinq années les expositions temporaires sur la nouvelle galerie, à hauteur de 200.000 euros par an."J'ai pensé aussi de mon devoir d'apporter ma contribution à des recherches destinées à une meilleure connaissance des artistes (...) et une meilleure compréhension des civilisations africaines, grâce à la mobilisation d'un fonds spécifique", a-t-il annoncé.Cette donation, faite en 2018 au musée, et qui a désormais son espace, est la plus importante donation d'œuvres d'art africaines et océaniennes depuis 1945, d'une valeur de plus de 50 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 192 jours

Éditions Parenthèses : Le Style années 1950, l’intégrale

Les Éditions Parenthèses publient pour la première fois un ouvrage consacré au design des années 1950 et 1960, et revient sur les créations les plus iconiques de l’après-guerre consumériste. Panorama du meilleur du style années fifties. Placé sous la direction de Dominic Bradbury, l’ouvrage Le Style années 1950, l’intégrale retrace l'histoire du design de l’époque à travers une sélection de visuels inédits et d'articles signés par des spécialistes du design. Ce livre, très documenté et richement illustré, revient sur les créations les plus emblématiques du style années 1950, de la Vespa à l’Instamatic aux meubles Knoll, en passant par la police suisse Helvetica et la maison Rose Seidler (Australie). La publication rend également compte de l’effervescence créative des ateliers, des studios et des designers, qui inventent les formes d’un monde nouveau, en mettant à l’honneur les grands noms de l’architecture et du design comme Arne Jacobsen, Harry Bertoia, Joe Colombo, Jean Prouvé et Harry Seidler. Le Style années 1950, l’intégrale est l’occasion de redécouvrir une période foisonnante, qui continue d’inspirer les designers contemporains. Pour en savoir, plus visitez le site des Éditions Parenthèses. Visuels : 1) La salle à manger d’une maison conçue par Richard Dorman à Mulholland Drive, Los Angeles, 1958.© Richard Powers2) La salle à manger d’une maison conçue par Richard Dorman à Mulholland Drive, Los Angeles, 1958.© Richard Powers3) Affiche de la marque SmarTee montrant des mannequins en Vespa, 1960.© Piaggio Archive4) Maison Rose Seidler, Australie, 1950. La terrasse est dominée par une peinture murale colorée de style corbuséen par Harry Seidler. Le fauteuil Grasshopper dans le salon est de Eero Saarinen.© Richard Powers5) Motifs aux tonalités Pop Art des tissus de la marque Marimekko6) Dominic Bradbury (dir.), Le style des années 50, Éditions Parenthèses, p. 544 La rédaction
Il y a 4 ans et 192 jours

Les normes de construction d’un EPHAD

Pour des raisons de sécurité, la construction d’un EHPAD (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) est soumise à des normes bien définies. Comme l’indique son nom, cet établissement accueille des seniors ayant perdu leur autonomie. De fait, il est important que le bâtiment qui les abrite soit sécurisé afin de garantir leur bien-être, leur confort et surtout leur sécurité. De multiples réglementations relatives à la prévention des dangers ainsi qu’à la gestion des accidents doivent donc être respectées, notamment celles indiquées par l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS). Alors, quelles sont les actions de sécurité qui doivent être menées lors de la construction d’un EHPAD pour assurer aux pensionnaires un cadre de vie agréable et sécurisé ? On vous dit tout dans cet article. Poser des bandes podotactiles Également connue sous le nom de bande d’éveil, la bande podotactile est une surface de sécurité extérieure ou intérieure destinée aux personnes malvoyantes ou aveugles. Elle est identifiable au contact avec le pied ou à la canne blanche, d’où son adjectif podotactile. Ces surfaces sont fournies avec des clous podotactiles en forme de dôme. En fonction du matériau utilisé, le clou podotactile sera collé, frappé ou vissé pour former la bande. En général, il est conseillé d’opter pour les clous podotactiles en inox parce qu’ils offrent plus de résistance ainsi qu’une meilleure durabilité. Cependant, vous pouvez en trouver en laiton, en fibre de verre ou en aluminium. D’après la loi, ce dispositif est obligatoire dans un EHPAD pour annoncer un danger tel qu’un quai, un passage piéton ou une structure en hauteur. La bande doit donc être installée en haut de tous les escaliers, quel que soit le nombre de marches. Elle assurera ainsi la sécurité des seniors malvoyants ou aveugles en les prévenant de la présence imminente d’un escalier. Ils pourront donc prendre les mesures nécessaires pour éviter une chute. Pour un usage optimal, les bandes podotactiles installées dans un EHPAD doivent respecter différentes normes à la conception et à la pose. Les bandes d’éveil sont soumises à la norme P98-351. Il est question d’un document technique dont l’application a été rendue obligatoire suite à la publication d’un décret. Pour les EHPAD, cette norme fixe les propriétés géométriques des clous, les caractéristiques des matériaux, le contraste visuel et les règles d’installation qui doivent être respectées. Les caractéristiques géométriques tiennent compte de la largeur de la surface podotactile et des dimensions des clous. Pour un escalier, la largeur minimale de 40 cm est requise. Les clous doivent avoir une forme de dôme avec un diamètre de base de 25 mm et une hauteur de 5 mm. Il est essentiel de les disposer en diagonale avec un espacement de 37,5 mm entre chaque plot. Les matériaux de conception doivent faire l’objet de tests relatifs au risque de glisse, au feu, à la fumée et à l’indentation. Ces tests permettent de s’assurer de la durabilité de la bande et confirment sa conformité. Un accent particulier doit être mis sur le classement de réaction au feu qui doit être supérieur à F3. Conformément à la norme NF P98-351, le contraste représente l’écart de lumière réfléchie entre la bande podotactile et la surface sur laquelle elle est installée. Ce paramètre doit être de 0,70 si la bande d’éveil est plus foncée que le support et de 2,30 dans le cas contraire. Enfin, selon le principe de freinage, la bande doit être placée en retrait du risque pour permettre au senior de ralentir son élan. De fait, une distance variant entre 28 et 50 cm de la première marche est requise. Installer du matériel adapté à l’évacuation des personnes âgées En dehors des surfaces podotactiles, d’autres équipements de sécurité doivent être installés au sein d’un EHPAD en fonction de chaque section : La prévention du danger d’incendie Dans un EHPAD, la prévention du risque d’incendie passe principalement par la mise en place d’un dispositif de sécurité incendie. Il s’agit d’un ensemble de matériel qui garantit la sécurité des pensionnaires et facilite les évacuations. Il est principalement composé d’équipements de désenfumage, de détection des incendies et de signalisation des sorties. À cela s’ajoutent les clapets coupe-feu ainsi que les portes qui permettent d’empêcher la propagation du feu et de la fumée. La loi exige aussi de réduire le nombre d’étages pour simplifier les évacuations des seniors en situation de handicap en cas de danger. Enfin, conformément à la circulaire du 12 décembre 2006 relative au tabagisme dans les structures sociales, des règles rigoureuses doivent être prises pour empêcher les résidents de fumer dans leur lit. Cette disposition doit, à priori, être intégrée dans le règlement intérieur de votre établissement. Les alarmes lumineuses pour les seniors malentendants Spécialement conçues pour les malentendants, les alarmes lumineuses les informent du danger et de l’évacuation en cours. Ce dispositif émet une lumière de couleur blanche ou rouge avec une intensité minimale de 0,5 cd/m². Les barres de maintien Dans un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, l’intégrité physique de chaque résident doit être protégée. C’est pour cette raison que la pose de barres d’appui ou de maintien est nécessaire. Celles-ci doivent être présentes dans les toilettes, les douches, à côté du lit du pensionnaire, etc. Sur le marché, il existe de nombreux modèles (droite, longue, courte, en T) adaptés à des besoins particuliers. La main courante Il est question d’un système de sécurité qu’il faut fixer en hauteur de part et d’autre d’un escalier si celui-ci est composé de plus de 3 marches. La main courante sert de point d’appui pour les résidents à mobilité réduite. Pour une performance maximale, la main courante doit s’étendre au moins de la deuxième marche de l’escalier à l’avant-dernière. La hauteur de ce dispositif se situe généralement entre 0,8 et 1 mètre. Elle doit être suffisamment solide pour ne pas représenter un danger pour les pensionnaires. Il est recommandé aux gestionnaires de structures accueillant des personnes âgées de choisir des mains courantes en inox, en métal ou en aluminium. Les modèles en corde sont à proscrire. En définitive, un EHPAD est une structure dont l’environnement doit être propice à la sécurité des seniors dépendants qui y sont accueillis. Pour ce faire, il est indispensable d’installer des systèmes d’éveil, d’aide à l’équilibre et de prévention incendie.
Il y a 4 ans et 192 jours

La baie levante coulissante passive la plus performante du marché

Pionnier de la menuiserie passive, le fabricant Bieber propose une ligne complète de menuiseries passives baptisée PASSIVA : fenêtres, portes-fenêtres et baies coulissantes. Cette ligne de produits se décline en deux gammes : la gamme bois Optiwin et la gamme mixte (bois aluminium) Futura®. La nouvelle baie coulissante Futura est issue des recherches collaboratives menées avec le groupement d’experts européens Optiwin. Ce collectif, composé notamment d’acteurs suisses, autrichiens et tchèques leaders dans le domaine de l’habitation passive, a démontré la plus grande performance du verre par rapport au cadre. Pour laisser plus de place au verre et réduire la dimension du cadre, il a donc fallu supprimer la pareclose et utiliser une toute nouvelle technique, celle du vitrage collé. Membre de ce groupement, Bieber a accédé à des connaissances techniques, technologiques et de production qui lui ont permis de développer la nouvelle baie coulissante passive. Certifiée PassivHaus Intitut, la nouvelle baie est destinée au marché du neuf, résidentiel et tertiaire. Elle affiche des performances exceptionnelles : – un Uw au plus haut niveau de la classification énergétique de niveau passive (jusqu’à 0,66 W.m2. k) – de hautes performances thermiques, acoustiques et phoniques – une étanchéité à l’air exceptionnelle – une garantie de stabilité et d’étanchéité aux intempéries – une grande résistance mécanique – des performances AEV remarquables Elle est réalisée sur mesure dans de grandes dimensions pour des hauteurs allant jusqu’à 2,50 m. Elle réunit toutes les qualités des menuiseries mixtes, alliant la chaleur et la noblesse du bois à l’intérieur, et le design et la facilité d’entretien de l’aluminium à l’extérieur. Elle est disponible dans 28 teintes bois et 4 finitions brossées ainsi que 28 teintes aluminium ou tout autre RAL sur demande.
Il y a 4 ans et 192 jours

Lille Capitale mondiale du Design #2: Art urbain coloré à Wattrelos et à Roubaix

Ouvrage de vulgarisation bien écrit sur un sujet complexe, Zoocities s'intéresse à la place accordée aux animaux sauvages dans la ville. S'appuyant sur des anecdotes, des témoignages et des réflexions issues de la crise sanitaire, la philosophe Joëlle Zask entend contribuer aux débats sur notre rapport aux bêtes, commentant tant […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 193 jours

Des livres pour Noël

Comme chaque année à l’approche des fêtes, d’architectures publie sa sélection de livres. Voici en avant-première le choix de la rédaction dont les chroniques paraîtront dans le prochain numéro en kiosque et pour les abonnés exceptionnellement début janvier.  Retrouvez aussi la sélection des librairies Volume, Mollat, Imbernon et Archipel, toutes spécialisées en architecture qui se feront un plaisir de vous conseiller pour vos cadeaux de Noël !  Choix de la rédaction :  ...
Il y a 4 ans et 193 jours

Les énergies fossiles dominent toujours, mais l'élan est du côté des renouvelables

Renouvelables: le vent en poupe"Les fossiles restent dominants mais la dynamique est clairement sur les énergies renouvelables électriques", résume Nicolas Berghmans, chercheur à l'Institut du développement durable et des relations internationales (IDDRI).L'énergie solaire photovoltaïque a notamment connu une très forte croissance ces dernières années: elle est passée de 217 gigawatts de capacités installées dans le monde en 2015 à 578 GW l'an dernier, selon l'Agence internationale de l'énergie renouvelable (IRENA).Et cette année, tandis que les énergies fossiles s'effondraient, les capacités de production nouvelles ont porté à près de 90% sur des énergies renouvelables, tirées par le solaire, l'éolien et l'hydro-électricité, notablement aux Etats-Unis et en Chine. Ces nouvelles capacités devraient atteindre un niveau record de 200 gigawatts (GW), selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).Les énergies renouvelables devraient ainsi devenir en 2025 la première source de production électrique dans le monde, devant le charbon, selon elle."On n'a pas vu d'infléchissement très fort pendant la crise pour le développement des énergies renouvelables électriques et ça peut s'expliquer par la décroissance des coûts, qui les rendent compétitives, mais aussi par le soutien public qui s'est maintenu", souligne Nicolas Berghmans.Ce soutien a même été accentué dans certains pays avec des plans de relance économique qui se veulent vertueux d'un point de vue environnemental.Le pétrole, un roi menacéLes énergies fossiles, émettrices de CO2, dominent encore très largement le paysage énergétique mondial. Parmi elles, le pétrole représentait l'an dernier 33% du mix énergétique mondial, à la première place, selon l'étude de référence de BP.Le pétrole reste encore incontournable dans le secteur des transports, en plus de ses autres usages industriels comme la fabrication de plastique.Mais la crise du Covid-19, qui a ralenti l'activité à travers le monde et quasiment mis à l'arrêt le transport aérien, lui a fait subir un choc violent.L'AIE s'attend ainsi à une demande mondiale en chute de 8,8 millions de barils par jour (mb/j) cette année pour atteindre un total de 91,3 mb/j. Les cours ont également chuté, ce qui a eu pour conséquence de mettre fin à certains projets d'exploration-production trop chers.Si un rebond de la demande est attendu en 2021, les experts sont divisés sur les perspectives du pétrole pour l'avenir proche. Certains estiment qu'un pic de la demande a déjà été passé tandis que les pays producteurs de l'Opep pensent que la demande va continuer d'augmenter jusqu'en 2040, tirée par les pays émergents."On est sur un point d'inflexion", estime Nicolas Berghmans, car "on peut s'attendre à des transformations majeures dans le secteur des transports dans les dix prochaines années".Le véhicule électrique se développe ainsi, avec un prix des batteries en baisse mais aussi des interdictions de la vente des véhicules à moteurs thermiques prévues dans certains pays.Les voitures électriques représentaient 2,6% des ventes mondiales et 1% du parc en 2019, en hausse de 40% sur un an, selon l'AIE.Charbon, gaz: des destins divergentsLe charbon reste la deuxième énergie dans le monde malgré son bilan très négatif pour le climat et la qualité de l'air. Il est notamment encore largement utilisé pour produire de l'électricité.Il est toutefois sur une pente descendante. Cette année, l'AIE prévoit une chute de la demande de 7% en raison de la crise. Le rebond attendu ces prochaines années ne lui permettra pas de revenir aux niveaux de l'an passé: le pic a été passé.Le gaz naturel, qui émet du C02 mais moins que le pétrole et surtout le charbon, est en revanche sur une pente plutôt ascendante à moyen terme. Il bénéficie notamment d'une demande en hausse en Chine et en Inde, où il est parfois utilisé pour remplacer le charbon. Malgré une baisse de la demande de gaz cette année, l'AIE prévoit une croissance annuelle moyenne de 1,5% par an sur la période 2019-2025.
Il y a 4 ans et 193 jours

Vinci installe un écopont dernière génération au-dessus de l’A61

Dans l’Aude, la pose des poutres de ce futur ouvrage marque un point d’orgue dans le chantier d’élargissement de l’autoroute des Deux Mers.
Il y a 4 ans et 193 jours

Master Builders Solutions : Première cellule ERP de sols décoratifs

Masters Builders Solutions crée la première cellule Etablissements revenant le public de sols décoratifs et techniques, dédiée aux architectes. [©Master Builders Solutions] Une nouveauté chez Master Builders Solutions (MBCC Group) : la création de la première cellule ERP de sols en résine décoratifs et techniques, dédiée aux maîtres d’œuvre et maîtres d’ouvrage. Ceci, afin d’accompagner ces professionnels dans leur choix de solutions adaptées. Et d’assurer une prescription optimale dans leurs projets architecturaux. En effet, Master Builders Solutions est parti du constat que l’offre des revêtements de sols décoratifs et techniques dans les Etablissements recevant le public était complexe et vaste. Plusieurs paramètres influent sur ce marché. Et par voie de conséquence, rendent difficile un choix judicieux pour les prescripteurs. En effet, l’industriel a remarqué une augmentation de demandes et besoins des types de revêtements à base de résine. Mais aussi des recommandations sanitaires de plus en plus présentes, le besoin d’avoir un sol esthétique plébiscité par les usagers. Et enfin, la nécessité de faire gagner du temps aux professionnels.  Un accompagnement même à l’international Cette cellule met à leur disposition un ensemble de moyens et d’outils structurés et pluriels. Les prescripteurs pourront ainsi recevoir une information complète tant réglementaire, technique qu’économique et sanitaire. Basée en Ile-de-Fance et mobile dans l’Hexagone, elle est dirigée par Laurent Dessard, directeur commercial revêtements à base de résine. Et animée par Jeremy Gallez et José-Victor Alves, qui s’appuient sur un service technique dédié et des technico-commerciaux. Mais aussi sur un service clients, ainsi que sur un retour d’expérience post-application. Petit plus : le service fonctionné aussi pour l’international, à destination des agences françaises d’architecture bâtissant à l’étranger. Et devant se tenir informées de la réglementation, des usages et techniques des autres pays.
Il y a 4 ans et 193 jours

A Nantes, l'arrivée en gare offre une nouvelle vision sur la ville

EN IMAGES. Inaugurée le 20 novembre 2020, la gare mezzanine de Nantes, à l'empreinte architecturale forte signée Rudy Ricciotti, a vocation à devenir un bâtiment emblématique pour la ville, renforcer les liens vers et depuis la métropole ligérienne.
Il y a 4 ans et 193 jours

Spie batignolles expérimente l'impression 3D pour gagner en performance sur ses chantiers

« Nous sommes persuadés de l'intérêt de la technique de l'impression 3D pour développer de petits éléments en béton, dont la réalisation traditionnelle est généralement chronophage. Ces techniques permettront d'améliorer les conditions de travail de nos collaborateurs sur le chantier, notre productivité et in fine notre performance. »Frédéric Gaurat, directeur technique chez Spie batignollesL'impression 3D dans le bâtiment : un vaste champs des possiblesBien que l'impression 3D, ou tridimensionnelle, ait fait l'objet d'un tout 1er dépôt de brevet au début des années 80, son essor remonte surtout à 2010 avec l'impression de premiers objets réalisés à base de différentes matières telles que le plâtre, le plastique...Si cette technologie commence à être employée dans le secteur du bâtiment, elle concerne principalement à ce stade la construction de petites maisons individuelles, ou l'impression d'éléments décoratifs non structurels. Rien qui n'ait encore permis de véritables changements organisationnels dans le BTP, un secteur lourdement confronté à une pénurie de main d'œuvre.Spie batignolles s'empare du sujet pour développer l'emploi de cette technique sur ses chantiers, avec la volonté d'aller plus loin. Spie batignolles initie ses premiers cas d'usage d'impression 3D bétonSpie batignolles s'est fixé pour objectif d'utiliser l'impression 3D béton sur des éléments réplicables incorporés à l'ouvrage lorsque cette technique présente une alternative intéressante aux méthodes traditionnelles.Deux exemples d'application directe de ce nouveau mode constructif : le coffrage de nœuds de poutres complexes et la réalisation de boîtes de réservation.1-Les nœuds de poutres sur poteaux concentrent des charges importantes sur des surfaces réduites. Dans la conception de certains planchers complexes, la géométrie définitive de ces nœuds est bien souvent unique : 3 ou 4 poutres, de largeur, de hauteur et d'angle différents doivent être clavetées ensemble sur le même poteau. En méthode traditionnelle, la réalisation du coffrage de ces ouvrages est consommatrice de matériaux à usage unique, de temps passé, elle se fait en plusieurs phases, et elle est potentiellement source de non-qualité.Fort de ce constat, la direction technique de Spie batignolles a eu la volonté de trouver une solution résolvant au mieux l'ensemble de ces problèmes.En partenariat avec XtreeE, Spie batignolles a conçu, imprimé, puis mis en œuvre le coffrage d'un nœud de poutre, incorporé à l'ouvrage, à la forme géométrique complexe, permettant le clavetage des poutres sur le poteau en une seule phase.« Le premier prototype réalisé à l'échelle 1 sur un nœud de trois poutres conséquentes nous a permis de valider le procédé. Cet essai a répondu à une majorité de nos exigences avec des résultats très concluants. Il nous incite à poursuivre nos développements afin de rendre ce procédé encore plus performant et de l'étendre sur plusieurs projets dès 2021. »Frédéric Gaurat, directeur technique chez Spie batignollesDans ce 1er cas, les équipes industrialisent « hors site » le coffrage du nœud de poutre. L'utilisation de la maquette numérique liée à l'impression 3D permet à la direction technique de réaliser de manière très rapide une pièce complexe unique qui simplifiera la réalisation de l'ouvrage sur site.2 - Les boîtes de réservations font partie des coffrages les plus basiques généralisés sur un chantier. Traditionnellement réalisées en bois, elles servent à prévoir le passage des différents réseaux électriques, CVC et plomberie après coulage des voiles en béton. Bien qu'indispensables, leur mise en œuvre ne nécessite aucune expertise technique particulière mais occasionne un temps passé significatif.Spie batignolles et XtreeE sont parvenus à imprimer des boites de réservation prêtes en 24h seulement en employant le béton Ductal® qui présente l'avantage de sécher très rapidement et de se solidifier fortement. Les boîtes ainsi mises en œuvre sont incorporées à l'ouvrage fini et n'ont pas besoin d'être retirées.Les essais réalisés sur chantier ont permis de valider cette application de l'impression 3D.Dans ce 2ème cas, Spie batignolles industrialise « hors site » la réalisation de boîtes de réservations en série. Grâce au BIM, les réservations sont optimisées (nombre, standardisation des dimensions), et les boîtes imprimées en 3D permettent de supprimer de nombreuses tâches telles que la réalisation de la boîte en bois, le décoffrage en hauteur après coulage, ou encore l'évacuation du bois - rendu non réemployable - dans les bennes à déchets.L'impression 3D béton, moteur de l'industrialisation du BTPDans ces 2 exemples d'application de l'impression 3D, l'objectif final est d'industrialiser l'acte de construire depuis la conception jusqu'à la mise en œuvre sur le chantier, au service d'une meilleure performance. Ce nouveau mode constructif conduit à adapter le « sur mesure » ou la « grande série » à partir de la maquette numérique. A chaque fois, ce process permet de gagner en sécurité (moins de travaux en hauteur), en qualité de réalisation (élément fini incorporé à l'ouvrage), en délai et en performance économique.Avec la conception de ces premiers éléments constructifs issus de l'impression 3D, Spie batignolles s'engage pleinement dans l'ère du BTP 4.0 et continue à travailler sur de nouveaux développements réunissant les caractéristiques de récurrence, résistance, durabilité et sécurité.« Ce nouveau mode constructif, ouvre d'importantes perspectives et participera à une profonde transformation de nos métiers du BTP vers une industrialisation croissante, tant ses atouts sont indéniables en termes de rentabilité, de qualité de réalisation, de délai d'exécution et de sécurité. »Frédéric Gaurat, directeur technique chez Spie batignolles
Il y a 4 ans et 193 jours

Découvrez le numéro 146 du magazine 5façades

Et la qualité architecturale ?  La crise sanitaire de la Covid-19 aura au moins eu le mérite de donner un coup d’accélérateur à la rénovation thermique des bâtiments. Ces travaux, indispensables pour obtenir notamment la neutralité carbone à l’horizon 2050, sont une des priorités du plan de relance par le gouvernement pour le secteur du bâtiment. Les aides seront donc massives pour atteindre l’objectif de rénovation du parc au niveau BBC en 2050, et l’éradication des passoires thermiques à l’horizon 2030. Toutes les typologies de bâtiments sont concernées : parc privé (logement, tertiaire, etc.) et parc public qui, à lui seul, représente 100 millions de mètres carrés. Sachant que la rénovation globale est privilégiée. Dans cet ensemble, l’isolation de l’enveloppe, façade et toiture, sera en première ligne. Le but étant, comme on peut le lire dans le plan de relance, « la diminution de la facture énergétique, un gain de confort pour les usagers et les agents (notamment une meilleure protection face aux vagues de chaleur) et une réduction de l’empreinte énergétique et environnementale de l’État ». Jamais la qualité architecturale des ouvrages après rénovation n’est citée ! Un oubli ?  Découvrez le numéro, en cliquant ici. Stéphane Miget Rédacteur en chef  www.5facades.com  
Il y a 4 ans et 193 jours

I.MOWER T20000 (PEGASUS), le robot tondeuse le plus intelligent du marché

Adapté aux besoins des professionnels, I.MOWER T20000 se distingue par sa puissance technologique, son niveau de sécurité et sa richesse fonctionnelle. Il délivre notamment des informations sur les espaces verts et permet de réaliser des dessins ou des motifs soignés et précis sur les pelouses. Neuilly-sur-Seine – décembre 2020, INFINY IA, start-up française spécialisée en intelligence artificielle, notamment dans les domaines de l’analyse visuelle (Computer Vision), de la mobilité autonome et de la robotique, présente I.MOWER T20000, un robot tondeuse futuriste. Concentré de technologies, I.MOWER T20000 est le premier robot tondeuse doté d’une intelligence comparable à celle d’une voiture autonome. Grâce aux ressources qu’offre le deep learning à travers la vision par ordinateur, ce robot multifonction autonome propose une efficacité de tonte et une sécurité optimale. Conçu pour répondre aux besoins des professionnels des espaces verts I.MOWER T20000 s’avère aussi efficace pour les petites que pour les vastes surfaces. Il assure la tonte d’un terrain de 20 000 m2 en 10 heures seulement. Il servira par exemple à l’entretien des espaces verts dans les villes, des pelouses des terrains de golf, des grands jardins d’hôtels, ou encore des surfaces vertes situées dans les zones aéroportuaires. Le robot tondeuse peut tracter une remorque non motorisée de 50 kg et motorisée de 300kg. I.MOWER T20000 est à ce jour le seul robot tondeuse capable de réaliser des dessins ou des motifs très soignés et précis. L’utilisateur peut ainsi exprimer tous ses désirs créatifs dans le jardin, un logo d’entreprise par exemple. Une aide à la décision pour gérer les espaces verts Le cœur de l’intelligence réside à la fois dans la station d’accueil mais aussi dans la tondeuse I.MOWER T20000 qui abritent un boîtier supercalculateur dédié à l’intelligence artificielle (IA) ultra performant, créé par les experts d’INFINY IA. Grâce ses équipements embarqués, dont plus de 20 capteurs divers, 4 caméras 360° et 1 lidar 360°, I.MOWER T20000 est capable d’analyser plus de 2 millions d’informations à la seconde. La tondeuse I.MOWER T20000 allie performance de calcul et fort potentiel évolutif. Ainsi, de multiples ajouts de fonctionnalités sont possibles. Pour des usages innovants, elle est en mesure de cartographier un jardin d’une extrême précision. Elle pourra même transmettre des informations sur la qualité de la terre, le type d’arbres ou de fleurs en fonction de son parcours ou encore, préciser les zones à irriguer. Au-delà d’un robot tondeuse traditionnel, I.MOWER T20000 s’impose comme le véritable compagnon du paysagiste et du jardinier. Une sentinelle dans le jardin Le contrôle permanent de l’espace vert Le système est capable de détecter la présence d’intrus ou d’actions inhabituelles sur une zone. Chaque événement sera immédiatement signalé au propriétaire et une photographie de l’objet ou de la personne, floutée dans ce cas, lui sera même envoyée par SMS, email ou appel téléphonique. Pour renforcer l’alerte, une activation sonore et visuelle (gyrophare) ou un message sonore personnalisé pourra également être paramétré. La sécurité renforcée pour les individus et les animaux Le robot est programmé pour assurer une protection absolue pour les individus, même durant la tonte. Les lames de la tondeuse I.MOWER T20000 s’arrêtent de tourner aussitôt qu’elles détectent un obstacle, avant de modifier leur trajectoire. Ce système permet aussi de préserver la vie des petits visiteurs des jardins, tels que les hérissons, premières victimes de ces accidents meurtriers. Un design de bolide sportif personnalisable INFINY IA a décidé de faire appel à son partenaire PROTOSTYLE pour apporter un soin tout particulier à l’aspect de la tondeuse I.MOWER T20000. Son design est élégant, novateur et presque totalement personnalisable – nom, taille et logo du robot, couleur de carrosserie, des jantes et des motifs, remorque, coque extérieure.   Un modèle hybride soucieux de l’environnement La tondeuse I.MOWER T20000 et l’ensemble de ses équipements sont rechargeables via une station d’accueil, par énergie solaire, sur secteur ou encore de façon mixte pour favoriser une autonomie de fonctionnement et un respect de l’environnement. I.MOWER T20000 nécessite par ailleurs une très faible consommation d’électricité, parmi les plus basses du marché des robots tondeuses. I.MOWER T20000 offre une autonomie jusqu’à 12 heures. Selon le mode choisi (solaire, mixte, secteur), le temps de recharge moyen varie entre 120 mn à 180 mn. La tondeuse I.MOWER T20000 sera disponible à partir du premier semestre 2021. Les précommandes sont accessibles via le site https://infiny-ia.com/ à partir de 9 000 Euros H.T. Elle sera d’abord distribuée en France et dans les pays francophones, puis progressivement disponible dans le reste du monde. Vidéo de la version T2000 : https://youtu.be/DW5L2pf3wqE À propos de INFINY IA Créée en mai 2020, INFINY IA est spécialisée en intelligence artificielle dans les domaines de l’analyse visuelle (IA Computer Vision), de la mobilité autonome et de la robotique. Basée à Neuilly-sur-Seine, elle s’appuie sur l’expertise d’une équipe de passionnés pour développer des solutions de mobilité pour le grand public et les professionnels. INFINY IA compte à ce jour 25 collaborateurs avec un objectif de doubler l’effectif d’ici 2 ans. Site internet : https://infiny-ia.com/
Il y a 4 ans et 193 jours

L'État présente un Centre de ressources sur l'adaptation au changement climatique

Ce Centre de ressources est créé dans le cadre du deuxième Plan national d'adaptation au changement climatique (PNACC-2) qui couvre la période 2018-2022. Ce Plan comprend 58 actions pour adapter, d'ici 2050, les territoires de la France métropolitaine et d'outre-mer aux changements climatiques régionaux attendus.Le Centre de ressources sur l'adaptation au changement climatique a été développé par le Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (CEREMA), sous le pilotage du ministère, et en partenariat avec l'Agence de la transition écologique (ADEME) et Météo-France.« Le changement climatique n'est pas une notion lointaine géographiquement ou abstraite dans le temps : les dérèglements du climat ont bien lieu actuellement, tout autour de nous et partout en France. Les épisodes climatiques extrêmes, tels que les canicules et sécheresses, les feux de forêts ou bien les inondations, sont devenus de plus en plus intenses et fréquents. Notre agriculture, nos forêts, de nombreuses activités économiques sont touchées par les évolutions rapides du climat. Face à cette réalité, notre devoir est de nous y préparer afin de protéger au mieux les Français, à la fois leur bien-être mais aussi leur environnement. Avec ce nouveau centre de ressources, nous nous donnons les moyens de partager largement toutes les informations nécessaires à une meilleure préparation face à ces risques. » Barbara Pompili, ministre de la Transition écologiqueLes émissions passées de gaz à effet de serre accumulées dans l'atmosphère rendent désormais inéluctables certains impacts sur les populations et l'environnement : hausse des températures moyennes ; vagues de chaleur de plus en plus fréquentes, de plus en plus sévères et s'étendant au-delà des périodes estivales traditionnelles ; précipitations plus intenses, même dans les régions où la quantité annuelle de précipitations diminuera ; accélération de la hausse du niveau des mers... L'État se doit de mieux informer et mieux sensibiliser les populations afin ainsi de préparer sur le long terme la société à vivre avec un climat différent.Le Centre de ressources sur l'adaptation au changement climatique a pour objectif d'accompagner tout acteur engagé dans une démarche d'adaptation en lui donnant accès à un ensemble complet de ressources adaptées aux différents secteurs d'action.Sont donc disponibles en ligne et pour tous :une cartographie des initiatives locales ;un répertoire des acteurs locaux ;les appels à projet en cours, etdes formations proposées sur le sujet.Cinq parcours utilisateurs (élu, technicien de collectivité, particulier, acteur économique, bureau d'études) permettent d'accéder à des informations personnalisées sur la réglementation en vigueur, les impacts attendus du changement climatique et les solutions existantes.Tous les thèmes de l'adaptation au changement climatique sont traités : les impacts du changement climatique sur la santé (y compris au travail), l'eau, l'agriculture, la forêt, les sols, la biodiversité, les risques naturels, l'urbanisme, la mobilité, la pêche et l'aquaculture, le tourisme et le secteur financier.Des pages spécifiques regroupent les informations régionales. Un moteur de recherche permet d'accéder à différentes ressources : rapports, fiches, projets de recherche... Et des liens sont faits vers les projections climatiques locales réalisées par les chercheurs français, comme via le portail DRIAS ou encore l'application de Météo-France ClimatHD.Le Centre de ressources inclura également à terme un volet international en support aux actions d'aide au développement de la France et des acteurs français de l'Agenda mondial de l'action pour le climat, y compris un rôle de veille afin d'apprendre des autres pays.
Il y a 4 ans et 193 jours

Un pont arboré signé Rudy Ricciotti et Forma6 pour la gare de Nantes

Ouvrage de vulgarisation bien écrit sur un sujet complexe, Zoocities s'intéresse à la place accordée aux animaux sauvages dans la ville. S'appuyant sur des anecdotes, des témoignages et des réflexions issues de la crise sanitaire, la philosophe Joëlle Zask entend contribuer aux débats sur notre rapport aux bêtes, commentant tant […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 193 jours

Johnson Controls lance OpenBlue, une plateforme numérique pour les bâtiments intelligents

Intégrée aux équipements des bâtiments fournis par Johnson Controls, et enrichie par des partenariats technologiques avec des entreprises leaders issues du classement Fortune 100, cette plateforme numérique ouverte rendra les espaces partagés plus sûrs, plus agiles et plus durables.Johnson Controls OpenBlue est l'aboutissement d'années de recherche et de développement menées par les ingénieurs et les scientifiques de la société dans le monde entier, pour créer "l’architecture du futur" et imaginer des bâtiments plus intelligents, plus sûrs et plus durables. La nouvelle suite de solutions connectées permet une expérience totalement innovante pour les occupants des bâtiments, une sécurité respectueuse et une durabilité impactante, grâce à une technologie numérique de pointe.La connectivité est essentielle pour atteindre cet objectif : les systèmes du bâtiment doivent fonctionner ensemble et communiquer pour être plus efficaces. OpenBlue a été conçu dans un souci d'agilité, de flexibilité et d'évolutivité, pour permettre aux bâtiments de devenir des espaces dynamiques. En exploitant la plateforme OpenBlue, les clients pourront gérer les opérations de manière plus systématique, en créant des bâtiments qui ont de la mémoire, de l'intelligence et une identité unique. La plateforme et les solutions et services OpenBlue bénéficie d’une technologie d’intelligence artificielle (IA) primée, combinant des données provenant à la fois de l'intérieur et de l'extérieur des bâtiments."La manière dont nous interagissons avec notre environnement et dont les bâtiments et les espaces communs sont gérés dans un souci de sécurité et de durabilité est partout en tête des préoccupations, et nous reconnaissons plus que jamais la complexité de ces systèmes. Johnson Controls rend les bâtiments efficaces et sûrs depuis 135 ans, et cette année, notre obligation de fournir à nos clients des solutions complètes et de premier ordre n'a jamais été aussi importante", a déclaré George Oliver, président et directeur général de Johnson Controls. "Le lancement d'OpenBlue reflète la façon dont nous pensons que les bâtiments évoluent, passant d'actifs rigides à des ressources dynamiques. C'est donc un élément essentiel de notre stratégie, qui nous permet d'orienter nos clients du monde entier vers les solutions et les services nécessaires pour transformer leurs espaces à long terme".Les solutions OpenBlueEn combinant des systèmes traditionnellement indépendants, OpenBlue permettra de connecter chaque partie d'un bâtiment pour créer de nouvelles possibilités d'espaces plus intelligents, plus efficaces et plus durables.Les clients d'OpenBlue pourront notamment :Bénéficier d’une flexibilité dynamique. OpenBlue permettra aux bâtiments de fonctionner suivants différents modes, pour répondre à diverses situations critiques. Ces modes pourront inclure la gestion de l'accès au bâtiment, la circulation de l'air, le mouvement des ascenseurs, le verrouillage des portes, l'éclairage et la collaboration ouverte, ainsi que d'autres paramètres environnementaux et de sécurité.Déployer des solutions en réponse à la pandémie. OpenBlue connecte les produits, la technologie et les services de Johnson Controls pour aider les clients à reprendre le travail de la manière la plus sûre et la plus efficace possible. Ces solutions et services comprennent la recherche de contacts, la surveillance de la distanciation sociale, les caméras thermiques, l’amélioration de la qualité de l’air, les environnements sans contact, la gestion de la conformité et des rapports, l'optimisation de l'énergie, la surveillance avancée de la sécurité, etc.Choisir parmi des services à plusieurs niveaux pour répondre à leurs besoins. OpenBlue contiendra une suite de services à plusieurs niveaux, dotés d’intelligence artificielle, et offrant des capacités avancées telles que le diagnostic à distance, la maintenance prédictive, les évaluations de risque avancées, le contrôle de conformité et bien plus encore.Mettre la sécurité au cœur des solutions. OpenBlue a été conçu avec la sécurité au cœur de son fonctionnement, et permettra aux clients d'accéder à des solutions sécurisées dès leur conception. Chacune des offres OpenBlue est développée avec des protocoles de conception robustes pour la sécurité et les processus de confidentialité.Augmenter les économies d'énergie et améliorer la qualité de l'air intérieur. En connectant les équipements de CVC aux nouvelles données et à l'IA, les utilisateurs de la plateforme peuvent s'attendre à des économies de 20 à 60 % en optimisant les performances du système complet de CVC sur les coûts énergétiques et les paramètres de qualité de l’air.Plateforme numérique et partenariatsLa plateforme OpenBlue de Johnson Controls agrège les technologies opérationnelles traditionnelles, les systèmes informatiques existants avec les applications cloud infusées par l'IA et les technologies de pointe telles que les jumeaux numériques, ce qui rend possible la compréhension, l'intégration et la collaboration. OpenBlue permettra aux technologies d'exploitation de communiquer et de s'intégrer de manière transparente à travers un large éventail de systèmes."La connectivité est la clé qui nous permet de faire mieux travailler les bâtiments", a déclaré Mike Ellis, vice-président exécutif, Chief Customer & Digital Officer chez Johnson Controls. "Cette nouvelle suite de solutions permettra d'obtenir des résultats inimaginables auparavant pour nos clients en connectant les bâtiments à des fonctionnalités logicielles uniques, ce qui permettra d'offrir une grande valeur ajoutée aux clients. Nous nous sommes associés à un certain nombre de sociétés technologiques de premier plan et de leaders d'opinion dans divers secteurs pour déployer des solutions sur mesure dans les mois à venir".Une nouvelle marque de Johnson Controls"Le lancement d'OpenBlue est une approche radicale des espaces dynamiques", a déclaré Phil Clement, vice-président et Chief Marketing Officer de Johnson Controls. "L'identité de la marque a été créée en tenant compte d'un certain nombre de facteurs : Open fait référence à notre vision d’un avenir optimiste mais aussi à l'architecture ouverte de la plateforme pour permettre aux produits de fonctionner avec différentes solutions. La couleur bleue est au cœur de la marque Johnson Controls depuis 135 ans et donne un clin d'œil à notre fort héritage dans l'espace des bâtiments".Les experts de la technologie OpenBlue animeront des ateliers clients exclusifs "OpenBlue – l’architecture du futur", des webinaires de réflexion et des séances de réflexion pour aider les clients à réimaginer les possibilités des environnements construits et à redéfinir les capacités des espaces et des lieux pour faciliter la mission de leurs occupants.Johnson Controls s'associe à des entreprises mondiales du Fortune 100 pour réunir une expertise de pointe en matière de plates-formes de données ouvertes, d'applications logicielles et d'IA de pointe, de systèmes de construction et de dispositifs de pointe intelligents. Le nouvel écosystème technologique offre une nouvelle vision, tout en réimaginant l'avenir des lieux de travail, notamment les hôpitaux, les bureaux, les datacenters, les villes et bien d'autres encore.Pour en savoir plus sur OpenBlue, cliquez ici
Il y a 4 ans et 193 jours

BRIGA, renaissance d’une ville oubliée

Depuis sa redécouverte à la fin du XVIIIe siècle, le site antique du Bois-l’abbé (Eu, Seine-Maritime) n’a cessé de passionner la population locale, les érudits et chercheurs, qui ont entrepris de nombreuses fouilles, principalement sur un grand sanctuaire. Depuis 2006, une fouille programmée, menée par Étienne Mantel (DRAC Normandie) et Stéphane Dubois (INRAP), a porté d’abord sur le centre monumental, puis sur un quartier proche où on découvre les maisons et l’équipement urbain. Ces recherches extensives démontrent la genèse d’une ville antique aux origines gauloises, aux confins nord-ouest de l’Empire romain. À partir du Ier siècle avant notre ère, la ville se monumentalise et s’agrandit progressivement, équipée d’un théâtre, de thermes (bains publics), d’une basilique et d’un grand temple. Les nombreux blocs architecturaux sculptés ainsi que les fastueux décors d’enduit peints, très rares en Gaule du Nord, en témoignent. La découverte en 2007 d’une exceptionnelle statuette de Mercure en argent souligne l’importance de cette divinité tutélaire au sein des cultes locaux de la petite ville gallo-romaine. Il y a un peu plus de 2000 ans, cette ville s’appelait BRIGA. Exposition du 26 Décembre 2020 au 16 Mai 2021 au musée des Antiquités de Rouen  
Il y a 4 ans et 193 jours

20 ans après sa découverte, un ouvrage consacré à la grotte de Cussac

Le spéléologue Marc Delluc a découvert la grotte de Cussac, en Dordogne, le 30 septembre 2000. Elle a bouleversé nos connaissances en raison de son immensité (1,6 km de galeries investies par l’homme), de son inviolabilité jusqu’à sa récente découverte, la monumentalité des gravures (les plus grandes de l’art paléolithique), un âge intermédiaire entre Chauvet et Lascaux ( -28 -30 000 ans) et, plus original encore, la présence d’ossements humains associés. Une politique conservatoire exemplaire y a été menée par les services du ministère de la Culture. À l’issue des expertises coordonnées par Norbert Aujoulat, un ambitieux programme scientifique, initié en 2008, se poursuit chaque année. Le livre, abondamment illustré, est le premier sur ce site sans équivalent. La richesse de la documentation, sa diversité thématique, permettent de partager la générosité de ses trésors archéologiques et artistiques. Auteurs Jacques Jaubert, professeur de Préhistoire à l’université de Bordeaux, en charge du projet scientifique de la grotte de Cussac Valérie Feruglio, préhistorienne en charge de la coordination des études de l’art pariétal de Cussac ; Nathalie Fourment, conservatrice régionale de l’archéologie de Nouvelle-Aquitaine, en charge du site et de l’équipe ichnologie de Cussac. Cairn éditions – éditions Confluences
Il y a 4 ans et 193 jours

Le gisant de la reine Berengère de retour dans l’Abbaye royale de l’Epau (72)

Après des années de recherche et des mois de travaux de restauration, le gisant de la reine Berengère a retrouvé sa place d’origine au sein de l’église abbatiale de l’Abbaye royale de l’Epau. Les travaux ont été́ pilotés par le Département, en délégation de maîtrise d’ouvrage de la DRAC des Pays de la Loire sous maitrise d’œuvre du Cabinet ARCHITRAV et de son responsable François Jeanneau (architecte en chef des Monuments Historiques). L’opération de restauration a démarré́ fin septembre et s’est achevée le 30 novembre. Ce chantier de restauration a été labellisé « Chantier de France » et a mobilisé les savoirs faire et l’expertise de véritables métiers d’arts ancestraux, tout en y intégrant les techniques d’investigation innovantes d’aujourd’hui. En 2018, le gisant a fait l’objet d’une étude historique et architecturale générale intégrant des relevés de polychromie et un diagnostic sanitaire complet. Grâce à cette étude, le gisant de la reine a pu être déplacé au chœur de l’église abbatiale. L’objectif de ce déplacement était d’améliorer les conditions de conservation et de présentation du gisant. Sculpté dans la seconde moitié du XIIIème siècle, le gisant de la reine est en pierre calcaire, type cliquart. La représentation de Bérengère, sans doute idéalisée, porte la couronne, signe distinctif d’une reine. Au Moyen Âge, le gisant était entièrement peint : bleu azurite pour la robe, rouge clair pour le manteau, bleu-vert pour le voile, ocre-jaune pour le lion. Le coût de ce déplacement s’élève à 218 000 €, soit 36% pris en charge par la DRAC des Pays de la Loire. Source et photo : Drac Pays de la Loire  
Il y a 4 ans et 193 jours

Une maquette monumentale de la charpente de Notre-Dame de Paris au Lycée des Métiers et du Bâtiment de Felletin

Issue de la dynamique lancée par le président du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, Alain Rousset, au lendemain de l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris, la réalisation d’une maquette monumentale de la charpente a mobilisé en Nouvelle-Aquitaine les acteurs de la formation et les professionnels des métiers d’art, du patrimoine, du bâtiment, du bois et de la forêt, dont le campus Forêt-Bois. Cette reproduction de la charpente réalisée de plus de 14 mètres de haut (à l’échelle 1/10) ainsi qu’une travée de la cathédrale reconstituée en taille réelle, font l’objet d’une exposition qui restera en permanence au Lycée des Métiers et du Bâtiment de Felletin. Témoignant du savoir-faire régional et de l’architecture remarquable de l’édifice, ce lycée comme cette exposition incarnent l’école régionale du patrimoine que la Région Nouvelle- Aquitaine entend créer. Cette école assurera la promotion de l’ensemble des filières de la rénovation et de la restauration du patrimoine classé et du patrimoine bâti. C’est une mise en réseau des lycées, écoles, universités et instituts de formation initiale, des structures de formation et qualification professionnelle, et des entreprises et des filières. L’inauguration de la maquette de la cathédrale Notre-Dame a eu lieu le 7 décembre 2020 au Lycée des Métiers et du Bâtiment (LMB) de Felletin avec notamment Alain Rousset, président du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, et Jean-Louis Nembrini, vice-président en charge de l’Education. A l’heure où la Région Nouvelle-Aquitaine développe son ambition environnementale avec sa feuille de route Néo Terra, où le patrimoine a un besoin considérable de conservation et d’amélioration, notamment énergétique, et dans un contexte de transformation des métiers du bâtiment, particulièrement avec le développement du numérique, l’ambition de l’institution régionale consiste à consolider et développer le lycée des métiers du bâtiment de Felletin. L’objectif est de faire de cet établissement, labellisé campus des métiers et des qualifications « construction durable et éco-réhabilitation », une référence en matière de formations pour la rénovation du patrimoine, intégrant l’usage du BIM. Ce campus a aussi pour vocation de maintenir en état le patrimoine remarquable de la région et d’être une école de la réussite pour les jeunes dans un domaine d’avenir. Dans cette perspective, la Région a engagé un plan d’investissement à hauteur de 46 millions d’euros pour transformer cet établissement en campus à la campagne. Photo : © Région Nouvelle-Aquitaine / Yannick Pirot
Il y a 4 ans et 193 jours

Connaître les principaux problèmes de la toiture pour y remédier rapidement

Le toit reste un élément important qui permet de protéger l’intérieur d’une maison des intempéries et du soleil. En plus de ces rôles, il assure également l’étanchéité et l’isolation du logement. Sachant que le toit est souvent exposé aux différentes agressions extérieures, il arrive qu’à un certain moment, il présente de nombreux dégâts. À ce stade, il est obligatoire de procéder à des réparations très rapidement pour éviter que les choses n’empirent. Pour pouvoir surmonter les problèmes, il faut connaître les éventuels problèmes qu’il est possible de rencontrer. Les problèmes d’étanchéité L’exposition au quotidien de la toiture aux conditions météorologiques et aux intempéries peuvent causer des problèmes au fur et à mesure que le temps passe. Souvent, une erreur de pose ou de fabrication des matériaux ou encore la dégradation de certains composants peuvent engendrer l’infiltration d’eau. En cas de problème similaire, il est nécessaire d’agir vite, notamment en procédant à une vérification des zones touchées et isoler ou réparer rapidement. Pour ce faire, il est vivement conseillé de faire appel à une entreprise de couverture comme celle qui se trouve sur https://www.sos-toiture-31.fr/entreprise-couverture-saint-medard-31360 pour la réalisation des travaux. Généralement, si l’humidité persiste au niveau de la toiture, les dégradations peuvent s’empirer. Les dommages peuvent atteindre les différents composants de la toiture et même la structure de la maison. Au niveau de la toiture, elle peut s’attaquer à la couverture du toit, les matériaux constituant l’isolation thermique du toit, la charpente… Les bardeaux peuvent également être pourris si aucune action de réparation n’est pas mise en œuvre. Pour éviter ces problèmes, l’idéal serait de vérifier régulièrement la toiture afin de déterminer les éventuelles infiltrations ou encore la présence d’autres signes inquiétante. Les problèmes d’isolation thermique Lorsqu’il s’agit d’éventuels problèmes d’isolation, les causes viennent souvent de la nature même de l’isolant. Les dégradations s’appliquent très souvent à l’isolation extérieure. La pose des matériaux peut également engendrer des soucis. En cas de mauvais agencement ou d’un défaut de matériau, il y a souvent l’apparition d’humidité entre les plaques isolantes. Ce qui cause en effet la diminution des performances de l’isolant. En ce qui concerne l’isolation sous rampant, les soucis apparaissent très souvent au niveau de la toiture. Si elle n’est pas étanche, on peut s’attendre à une infiltration d’eau du côté du système d’isolation qui a tendance à pourrir petit à petit. Si les éléments de l’isolation sont installés directement sous le toit, il faudra envisager un diagnostic de l’isolation du comble avec la réparation de l’étanchéité. Autres informations à tenir en compte Généralement, les problèmes ci-dessus peuvent engendrer à leur tour d’autres soucis comme l’apparition de moisissures. L’humidité régulière et le manque de ventilation favorisent l’apparition de moisissures notamment le long des murs, du sol, des fenêtres et du plafond. Or, les moisissures peuvent causer diverses maladies comme les allergies… C’est pour cela qu’il est souvent important de faire appel à un artisan qualifié pour faire vérifier ces problèmes. Parmi les autres solutions à adopter afin d’éviter les problèmes, il peut être intéressant de parfaire l’évacuation de l’eau de pluie, notamment par l’installation de gouttières. Cela évitera la stagnation de l’eau sur les toits qui est susceptible de s’infiltrer. La ventilation doit également être revue pour éviter les moisissures. La solution la plus commune reste sans aucun doute la mise en place d’une petite sorte d’entrée d’air dans le grenier.
Il y a 4 ans et 194 jours

EDILIANS A RECU LE GRAND PRIX ENTREPRISE CATEGORIE « TOITURE-COUVERTURE » AU CONCOURS DU GESTE D'OR 2020

Lors de la 10ème édition du concours du Geste d'Or, association honorant les valorisations du patrimoine bâti, le jury a décerné à EDILIANS le Grand Prix Entreprise dans la catégorie « Toiture-Couverture » pour trois réalisations :
Il y a 4 ans et 194 jours

APPEL AUX ARTISANS

Lors du premier confinement, les marques partenaires du programme VIPros ont lancé l'opération et le site dédié tousensemble.vipros.fr, proposant aux artisans la gratuité totale ou partielle de matériels et de matériaux nécessaires à la reprise de leurs chantiers. Les pros du bâtiment n'ont plus qu'un mois pour profiter de ce bon plan. Plus de 2 800 aides ont ainsi été octroyées depuis le début de l'opération, pour un montant total estimé à 730 000 euros (prix tarif des produits offerts et montants remboursés sur les achats effectués) !! De quoi donner un sérieux coup de pouce aux artisans membres du programme VIPros et les aider à relancer leur activité en ces temps difficiles…
Il y a 4 ans et 194 jours

Le Sénat adopte le budget 2021 "travail et emploi", modifié

La ministre du Travail Elisabeth Borne a rappelé que les crédits de son ministère pour 2021 "se décomposent en deux volets: 13,2 milliards d'euros pour la mission "Travail et Emploi", en augmentation de 400 millions d'euros. Auxquels s'ajoutent les mesures de lutte contre la pauvreté dans le 4e projet de loi de finances et 10 milliards d'euros de crédits exceptionnels du plan de relance".Mme Borne a indiqué que l'enveloppe supplémentaire annoncée pour le budget de la Garantie jeunes serait présentée "en deuxième lecture à l'Assemblée nationale parce que nous sommes en train de faire le chiffrage". "C'est autour de 280 millions d'euros qu'on devrait rajouter", a-t-elle précisé, ce qui correspond à "50.000 Garanties jeunes de plus", le plan de relance ayant déjà prévu 50.000 autres entrées.Le Premier ministre Jean Castex avait annoncé la semaine dernière que la Garantie jeunes bénéficierait en 2021 à "au moins 200.000 jeunes", soit un doublement de ses bénéficiaires.La Garantie jeunes propose une allocation mensuelle (d'un montant maximal d'environ 490 euros) et un accompagnement renforcé en mission locale pendant un an aux jeunes de 16 à 25 ans qui ne sont "ni en emploi ni en études ni en formation" et "en situation de précarité financière". Encore pour les jeunes, le Sénat a donné son feu vert à un amendement du groupe RDPI à majorité En Marche, soutenu par le gouvernement, visant à étendre la rémunération et la protection sociale des stagiaires de la formation professionnelle à de nouveaux jeunes, bénéficiaires de dispositifs d'accompagnement, par exemple l'Accompagnement intensif des jeunes (AIJ), proposé par Pôle emploi, ou la Prépa-apprentissage.Toujours avec le soutien du gouvernement, le Sénat a adopté un amendement d'élus du groupe Indépendants visant à permettre aux agents assermentés de Pôle emploi chargés de lutter contre la fraude de bénéficier d'un "droit de communication", à l'instar de leurs homologues de la Sécurité sociale.Ce droit leur permettrait d'obtenir auprès d'un certain nombre d'organismes les informations nécessaires pour contrôler l'exactitude des déclarations faites en vue de l'attribution de prestations.Interpellée par ailleurs sur la fraude au dispositif de chômage partiel mis en place par le gouvernement pour les secteurs les plus touchés par la crise, Mme Borne a indiqué qu'avaient été menés "près de 400.000 contrôles a priori, plus de 10.000 suspicions de fraude qui ont conduit à bloquer le versement des sommes, et puis de l'ordre de 60.000 contrôles a posteriori et 700 procédures pénales engagées".Contre l'avis du gouvernement cette fois, les sénateurs ont adopté des amendements visant à augmenter les crédits dédiés aux Maisons de l"Emploi. Ils ont peu de chances d'être conservés par l'Assemblée nationale.
Il y a 4 ans et 194 jours

Concours BIM Green Awards : 5 ouvrages récompensés et deux coups de coeur

Le jury de la première édition de ce concours portant sur les bonnes pratiques du BIM a récompensé 5 ouvrages et décerné deux mentions spéciales.
Il y a 4 ans et 194 jours

Un mini loft modulable et autonome à installer partout

ÉCOLOGIQUE. Ce mini loft a été imaginé autour d'un concept innovant : proposer un habitat qui s'adapte aux besoins de modularité de nos espaces de vie, et à l'empreinte environnementale la plus réduite possible grâce à son autonomie énergétique.
Il y a 4 ans et 194 jours

Les étapes à suivre pour l’achat d’une maison

Acheter une maison est un projet de vie qui se prépare avec la plus grande attention. C’est la raison pour laquelle, ceux qui veulent être des propriétaires sont si exigeants. Cet article résume les différentes étapes de l’acquisition d’un logement. Devenir propriétaire en quelques étapes Qu’il soit neuf ou d’occasion, un logement coûte cher. De ce fait, plus d’un ont recours à un prêt immobilier afin de donner vie à leurs projets. Ainsi, dans la plupart des cas, la première étape de l’achat d’une maison est la définition du budget. Pour ce faire, on peut utiliser des simulateurs en ligne qui permettent de calculer la capacité de remboursement. Cela est en fonction des revenus, des charges et du taux d’endettement de l’intéressé. Pour plus de certitude, il n’est pas interdit de se faire conseiller par son gestionnaire de compte ou son gestionnaire de patrimoine. Après avoir fixé un montant à ne pas dépasser, il faut passer à l’étape suivante. Il est temps de chercher sa future maison. Lors de cette étape, il est primordial de se baser sur ses besoins actuels et futurs. Afin de trouver des offres intéressantes, on a la possibilité de consulter les petites annonces ici et là. On peut également diffuser une publication du type « recherche maison à… » sur les sites d’annonces payants ou non. Après avoir trouvé une maison au rapport qualité-prix raisonnable, il faut négocier le prix et proposer une offre d’achat au vendeur. Lorsqu’un commun accord est trouvé, il convient de signer un compromis ou une promesse de vente avec le propriétaire actuel. Pour information, le compromis de vente engage les deux parties. Un tel contrat vaut vente. À la suite de tout cela, le futur propriétaire continue par la demande de financement. C’est seulement après avoir eu un accord de garantie auprès d’une banque qu’il pourra recontacter le vendeur. La finalisation de la vente devra se faire devant un notaire. Pourquoi s’adresser à une agence immobilière ? Une nouvelle maison est un gros investissement. Pour ne pas se tromper dans leurs choix, certains se contentent d’être minutieux dans le processus d’acquisition immobilière, d’autres vont jusqu’à engager des spécialistes pour les conseiller. Solliciter une Agence immobilière Metz, c’est mettre toutes les chances de son côté. Les agents immobiliers ont plusieurs missions, dont la plus importante est d’aider sa clientèle à trouver des biens en parfaite adéquation avec ses besoins et son budget. Pour ce faire, ils mettent à profit tous leurs atouts : expérience, savoir-faire, relations, force de négociation, etc. Le travail d’un agent immobilier va au-delà de la sélection des biens intéressants dans une région donnée. En plus de trouver des bonnes affaires, ces professionnels informent les personnes désireuses de devenir propriétaires sur leurs obligations et droits. Ils les briefent également sur les différentes aides dont ils peuvent bénéficier. Forts de leur expertise, ils sont à même de négocier un bon prix pour une maison donnée. Par ailleurs, leur fine connaissance du secteur ou du quartier concerné leur permet d’estimer au juste prix les logements en vente. Enfin, il est à remarquer que les agents immobiliers peuvent faciliter les démarches administratives.
Il y a 4 ans et 194 jours

186 / 188 rue Gallieni, Philippe Gazeau assigné à résidences

L’architecte parisien Philippe Gazeau a livré à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) fin 2020 un ensemble de cinq bâtiments et d’une centaine de logements dont le projet construit ne ressemble en rien, mais alors en rien, à l’image du concours. Foin de balcons, un projet manifeste ? Il faut toujours se méfier des premières impressions. Sans doute est-ce le […] L’article 186 / 188 rue Gallieni, Philippe Gazeau assigné à résidences est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 194 jours

« Archimoche » ou l’architecture en 20 minutes et peu de caractères

Le quotidien 20 minutes a lancé en novembre 2020 un sondage auprès de ses lecteurs pour recenser les bâtiments « moches ». Au programme, onze villes laissées au jugement de leurs habitants : Lille, Rennes, Strasbourg, Paris, Nantes, Lyon, Bordeaux, Montpellier, Nice, Toulouse et Marseille. Sobrement intitulée « archimoche », la série recense un peu plus de 70 réalisations mal-aimées. […] L’article « Archimoche » ou l’architecture en 20 minutes et peu de caractères est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 194 jours

Le bâtiment du futur à l’aune de l’écologie mentale

Le logement du futur est annoncé ! Dans l’émission de France culture Art et Création du 11 novembre 2020, les architectes Flavien Menu et Frédérique Barchelard ont présenté « Proto Habitat », décrit comme un logement « nomade, écologique, modulable » et tous les ‘…ables’ qui vont avec ! Puisque ces mots s’affichent en étendard comme dans un prospectus de chez […] L’article Le bâtiment du futur à l’aune de l’écologie mentale est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.