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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

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Il y a 4 ans et 184 jours

Un constructeur du Pays basque fête son 130ème anniversaire

L'histoire, le supplément d'âme des maisons CastelC’est Pierre Castel qui en 1890 déposa la première pierre de cette maison d’exception dont la transmission s’est toujours faite sur le terrain. Edouard et Albert, ses fils, Jean-Paul et Jean-Claude, ses petits-fils puis Daniel Rospide ont ensuite pris le relais. Construction, rénovation et réalisations sur-mesure : depuis plus d’un siècle, ce sont ainsi 5 générations de bâtisseurs passionnés qui perpétuent l’histoire et les savoir-faire de Castel Fils. C’est aujourd’hui au tour de Philippe Idiart de souffler cette 130ème bougie. De s’appuyer sur des fondations solides pour porter toujours plus haut l’excellence et les valeurs de l’entreprise.L'entretien du patrimoine local comme fer de lanceAu travers de ses différents travaux de construction ou de rénovation, Castel a toujours eu à cœur de mettre en avant et de protéger le style et l’esthétisme basques. Chaque projet architectural est mené en accord avec les singularités du paysage local. « Nous souhaitons inscrire nos réalisations dans le temps pour qu’elles traversent les générations, en conjuguant maîtrise des savoir-faire traditionnels et techniques innovantes. Nous créons et sublimons des lieux de vies dans le respect du patrimoine local et des aspirations de nos clients avec qui nous bâtissons des relations privilégiées. C’est là que réside toute la richesse du travail de nos équipes. » souligne Philippe Idiart.L'innovation au cœur de la traditionCôté menuiserie, Castel a modernisé son atelier l’année dernière en s’équipant de machines à commande numérique, en particulier d’un centre d’usinage 5 axes. Un équipement qui lui permet de mieux répondre aux demandes personnalisées de ses clients et de donner vie aux créations et agencements intégralement sur-mesure : cuisine, dressing, bibliothèques ou bien encore mobiliers en bois massif.Chez Castel on recrute !Parce que chez Castel « Il n’y a pas d’histoire sans bâtisseurs », ce sont aujourd’hui les savoir-faire conjugués d’une trentaine d’artisans intégrés à l’entreprise et de jeunes en apprentissage qui font sa richesse : maçons, carreleurs, menuisiers, ou ébénistes. Des partenaires fidèles viennent compléter cette belle équipe : architectes et décorateurs d’ici et d’ailleurs, plombiers, électriciens, plâtriers, peintres... Face aux demandes grandissantes de projets de rénovation ou de construction à venir, Castel ouvre ses portes à de nouveaux collaborateurs. Alors si vous êtes maçon, carreleur ou menuisier passionnés par votre métier, l’équipe Castel n’attend plus que vous pour souffler la prochaine bougie.
Il y a 4 ans et 184 jours

La bible du bois - Livre

Le bois est présent partout : dans l’habitat individuel, le logement collectif, les bâtiments publics, les équipements de loisirs, les bureaux, les commerces, etc. Si son marché le plus important demeure la maison individuelle, la réhabilitation et l’extension offrent des débouchés intéressants, en particulier à […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 185 jours

Le bâtiment au défi de réduire ses émissions de CO² plus rapidement tout en préservant ses emplois

"Les émissions de CO² du secteur du bâtiment ont atteint un niveau jamais vu", a prévenu mercredi l'ONU dans un rapport annuel sur le sujet, après un constat semblable un an plus tôt.Cette étude concerne à la fois l'énergie utilisée lors de la construction de bâtiments et celle consommée par ceux qui existent déjà. Au total, les Nations unies estiment que le secteur a émis en 2019 dix milliards de tonnes de CO².Ce dernier est le principal gaz à effet de serre, dont la présence dans l'atmosphère contribue au réchauffement climatique.Plusieurs pays, dont les membres de l'Union européenne, se sont engagés à atteindre d'ici à 2050 la "neutralité carbone", c'est-à-dire ne pas émettre plus de CO² qu'ils n'en consomment, au terme d'un accord international signé voici cinq ans, celui de Paris.Mais, à son rythme actuel de consommation d'énergie, le monde du bâtiment en sera loin. L'ONU estime qu'il devrait bien plus accélérer ses efforts, même si ces derniers sont déjà notables."En 2019, pour la première fois depuis trois ans, les investissements ont augmenté en matière de bâtiments à faible consommation d'énergie", remarque l'ONU, bien qu'ils ne représentent toujours qu'une part marginale.Dans ce contexte, ces derniers mois, plusieurs géants du secteur se sont engagés à moins polluer lors de la décennie qui s'ouvre.En début d'année, c'était Vinci qui promettait de réduire ses émissions de CO² de 40% d'ici à 2030, promettant d'y consacrer plusieurs centaines de millions d'euros d'investissement.Ce mercredi, son grand concurrent, Bouygues, annonçait des objectifs proches. A la même échéance, il promet de réduire de 30% les émissions directes de sa filiale de travaux routiers et ferroviaires, Colas, et de 40% celles de ses autres activités de construction.Vitrine dorée"Les choses ne se mettent pas suffisamment vite en place donc nous considérons qu'il est de la responsabilité des acteurs économiques de proposer un certain nombre de mesures pour restreindre notre empreinte CO²", a expliqué Olivier Roussat, numéro deux du groupe, lors d'une conférence.Les ambitions du groupe passent par exemple par l'utilisation accrue de béton à la fabrication moins polluante. Généralement, il faut utiliser du ciment produit en faisant chauffer des matériaux à des températures extrêmement hautes, donc en recourant à beaucoup de combustible.Mais Bouygues et Vinci ne constituent qu'une vitrine du secteur. Derrière ces deux groupes, qui font partie du CAC 40 et réalisent des dizaines de milliards d'euros de chiffre d'affaires, l'univers du bâtiment est éclaté en une myriade d'acteurs plus ou moins gros.Ils manifestent souvent moins d'enthousiasme à se fixer des objectifs environnementaux, qui reviennent à s'imposer des contraintes coûteuses dans un univers où les marges sont rarement florissantes.En France, le bâtiment grogne notamment face à l'introduction l'an prochain de nouvelles normes sur les bâtiments neufs.Détaillée fin novembre, cette réglementation, dite RE 2020, vise à faire baisser d'au moins 30% les émissions de CO² de tout le secteur en dix ans."Les objectifs et les délais annoncés (...) semblent irréalistes, tant sur le plan économique que sur la capacité de la filière à s'adapter à ces changements radicaux", a réagi la Fédération française du bâtiment (FFB), principale organisation du secteur.Le gouvernement lui-même reconnaît que ces nouvelles normes vont rendre plus chère la construction de bâtiments, un choix que le secteur juge particulièrement inadéquat en pleine crise économique née de la pandémie."Ce sont des dizaines de milliers d'emplois mis en danger inutilement, dans l'industrie et le BTP", a estimé Olivier Salleron, président de la FFB, qui estime aussi qu'un ménage pauvre aura de plus en plus de mal à se payer la construction d'un logement.
Il y a 4 ans et 185 jours

AREP renforce sa direction Environnement et Numérique

Félix Pouchain rejoint l’équipe de direction Environnement et Numérique d’AREP en tant qu’expert modélisation et visualisation, avec... Cet article AREP renforce sa direction Environnement et Numérique est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 185 jours

Mobilisation d'un front anti-JO en Seine-Saint-Denis

A l'appel de plusieurs associations et collectifs citoyens, une centaine de personnes se sont rassemblées il y a quelques jours sur l'Aire des Vents à Dugny pour "sauver" cette parcelle du parc départemental de Georges-Valbon, qui doit accueillir le village des médias puis sera transformé en écoquartier de 1.300 logements et commerces.Dans cette grande pelouse de 20 hectares qui accueille traditionnellement la Fête de l'Huma, des barrières ont déjà été installées pour marquer la zone de construction. "Regardez autour de vous, des trottinettes, des couples qui se promènent, des joggeurs et des enfants", décrit Youcef Tatem, du collectif "Notre parc n'est pas à vendre"."C'est un parc populaire, de cohésion sociale, pourquoi nous l'enlever ?", s'interroge ce retraité de 74 ans qui s'est battu en 2015 contre le projet de Central Park à la française de 2.000 immeubles en lisière du parc labellisé Natura 2000."Pourquoi bétonniser cet endroit ? On manque d'espaces verts dans le département, c'est une aberration écologique", estime Christian Bernard, originaire de Bondy qui vient tout juste d'achever sa marche nordique dominicale.Pour Anne Guyonnet, il ne s'agit pas d'"être contre les JO qui vont permettre d'obtenir des infrastructures en Seine-Saint-Denis" mais de s'interroger sur l'impact environnemental qui est "la grosse cata", estime cette cheffe de projet artistique de 50 ans."Les JO n'est plus la fête populaire où on regardait les exploits de Carl Lewis à la TV", considère cette habitante du Blanc-Mesnil.Entre distribution de soupe chaude et tracts, France Boulay confie qu'il avait l'habitude de promener ses enfants sur l'Aire des Vents. "Je trouve dommage de vendre un bien public à des promoteurs immobiliers", regrette-t-il.Pour cet ancien agent de maintenance, "il suffit d'héberger les journalistes dans les hôtels du Bourget comme c'est le cas lors du salon international de l'aéronautique"."Mépris"Le rassemblement à Dugny s'inscrit dans le "Toxic tour" organisé par le comité citoyen de vigilance des JO-2024.Il s'agit d'une série de visites guidées sur les sites olympiques de Seine-Saint-Denis, afin de montrer "les impacts concrets en termes de pollution, de nuisances et d'endettement public qu'auront les décisions politiques des JO-2024", explique Marianna Kontos.Sous la banderole: "JO-Paris 2024, intox et pillage de la Seine-Saint-Denis", le comité de vigilance a organisé une première étape mi-novembre dans les rues de Saint-Ouen et Saint-Denis.Le front anti-JO a fait une halte devant le chantier du village olympiqueet le quartier Pleyel.Depuis plus d'un an, des habitants et des parents d'élèves de ce quartier mènent un combat judiciaire contre un projet d'aménagement d'échangeurs autoroutiers qui doit desservir le village des athlètes.Une bretelle d'entrée et de sortie d'autoroute reliant l'A1 et l'A86 va être créée à proximité d'un groupe scolaire fréquenté par 700 enfants."On asphyxie des enfants au nom des JO et au détriment du département. On se fiche de nous parce qu'on est pauvres", a lancé Hamid Ouidir, parent d'élève à la FCPE 93, lors d'une prise de parole."On nous méprise, la Solideo (société de livraison des ouvrages olympiques) et le département ne nous parlent pas", se désole Benjamin Darras, de l'association "Vivre à Pleyel" qui avec 14 autres requérants ont déposé un recours devant le Conseil d'Etat, plus haute juridiction administrative en France.Ils avaient remporté une première bataille avec la suspension des travaux mais la Cour administrative d'appel de Paris a donné en octobre le feu vert au démarrage des travaux.A Dugny, parmi les indignés des JO de Paris 2024, figure aussi le collectif de la défense des jardins ouvriers d'Aubervilliers, réuni autour de la bannière: "On veut des potirons, pas du béton !"Un hectare de leur potager, situé dans une zone très urbanisée, va disparaître au profit d'un centre aquatique d'entraînement et d'une gare du Grand Paris.L'établissement public Grand Paris Aménagement, propriétaire des jardins, a promis "une compensation"."Tous ces projets d'aménagement se font au détriment du 93, on se demande ce que l'on va gagner avec les JO", déclare amer Hugo Coldeboeuf, du collectif de la défense des jardins ouvriers.
Il y a 4 ans et 185 jours

Podcast #3 – Renforcer une structure par des matériaux composites

ACPresse – Renforcer une structure – Raconté par Yann Butillon ACPresse · Renforcer une structure par des matériaux composites à base de fibres de carbone Quelles sont les solutions permettant un renforcement structurel d’un ouvrage en béton ? Plusieurs raisons imposent de renforcer une structure en béton : impact accidentel ou incendie, erreur de conception ou de positionnement des armatures, mise en conformité d’un ouvrage existant ou encore changement de destination de l’ouvrage. Selon le type d’ouvrages, la nature de la dégradation, le moment de l’intervention ou l’accessibilité au chantier, les techniques de renforcement peuvent être différentes. On en dénombre six différentes. A un moment ou à un autre, un ouvrage aura besoin d’un entretien plus ou moins poussé, d’une réparation, voire d’un renforcement structurel. [©ACPresse] a – La projection d’un béton Projeter du béton sur une structure constitue la première solution de renforcement. Cette technique présente toutefois quelques inconvénients : elle est bruyante, émettrice de poussières et nécessite pas mal de manutention. Sans compter la création d’une surépaisseur et de poids sur la structure existante. La projection de béton constitue une des alternatives techniques, permettant une réparation et/ou un renforcement structurel. [©ACPresse] b – La précontrainte additionnelle par post-tension Cette technique est bien adaptée aux ouvrages de génie civil. Elle voit la mise en tension des câbles de précontrainte à l’extérieur de l’ouvrage. Son avantage est de permettre une importante reprise d’efforts. En bâtiment, sa mise en œuvre est beaucoup plus complexe, car elle impose des équipements lourds et un savoir-faire particulier. c – Le renforcement en sous-œuvre Il s’agit ici d’injecter en sous-sol un coulis ou un mortier qui, une fois durci, reprendra les efforts de l’ouvrage situé au-dessus. Bien maîtrisée et pérenne, cette technique reste limitée aux fondations, impose beaucoup de manutention, de produits et nécessite des équipements de mise en œuvre particuliers.    d – Le renforcement par plats métalliques Cette technologie consiste à coller et à cheviller des plats métalliques sur une structure en béton. La reprise d’efforts est importante et il y a peu d’immobilisation de l’ouvrage. Mais le métal est sensible à la corrosion. e – Le renforcement par profilés métalliques La mise en place de profilés métalliques demande de la manutention, du personnel et d’importantes étapes de chantier (engravures dans la structure existante pour scellement des poutres, mise en place de sabots…). On rapporte des épaisseurs supplémentaires qui peuvent être importantes et pas toujours compatibles avec des gabarits de passage imposés. Les profilés métalliques sont lourds et difficiles à manutentionner. Et peuvent être sensibles à la corrosion. f – Le renforcement par éléments composites Ces éléments de renfort sont constitués de fibres (de carbone, de verre ou d’aramide) maintenues dans une matrice (résine). Légers, les composites de renforcement se déclinent en plusieurs sous-familles et domaines d’emplois. Leur rôle est d’apporter une matière sans surépaisseur sur un ouvrage existant pour le renforcer et assurer ainsi une meilleure tenue, aussi bien à la flexion, qu’au cisaillement. Légers, les composites de renforcement se déclinent en plusieurs sous-familles et domaines d’emploi. [©Mapei] Quels sont les domaines d’emploi des composites de renforcement ? A vrai dire, les applications sont multiples. Cela va du renforcement de poutres, de trémies ou d’ouvertures, au chemisage de poteaux. L’application de composites de renforcement permet une augmentation de la résistance à la flexion, une réduction des effets du cisaillement ou une annulation du flambement. En effet, le manque de cadres dans une poutre aboutit à une hausse de l’effort de cisaillement. Idem avec le manque de cerces dans un poteau circulaire, qui peut induire du flambement. Quels sont les différents types de matériaux composites à base de fibres de carbone ? Et pour quels usages ? Il existe plusieurs types matériaux de renforcement à base de fibres de carbone, dont les principaux sont : les tissus, les lames et les mèches d’ancrage. Tous offrent un module d’élasticité élevé, les rendant aptes à reprendre des contraintes mécaniques importantes. Ces trois types sont proposés par Mapei, industriel qui nous a aidés à préparer le présent Béton Pratique. Les tissus s’appellent Mapewrap C Uni-Ax. Les lamelles sont baptisées Carboplate. Les mèches d’ancrage se nomment Mapewrap C Fiocco. a – Le tissu carbone Elément souple par définition, le tissu carbone permet d’enrober une surface pour en épouser au plus près la forme. C’est la solution idéale pour envelopper, par exemple, un poteau et une retombée de poutres. Le tissu impose l’utilisation d’un primaire d’imprégnation du support, puis d’une colle époxy spécifique. Collage de tissus carbone au niveau de la jonction entre deux poutres et un poteau. [©Mapei] b – La lamelle carbone Comme son leur nom l’indique, les lamelles carbone présentent une forme linéaire, plate et assez étroite. Elles se mettent en œuvre en sous-face de poutres ou de planchers par collage époxy. Elles peuvent se chevaucher pour former un quadrillage (cas des renforts d’ouverture). Il est aussi possible d’utiliser des lamelles en partie supérieure d’ouvrages. Dans ce cas, la création d’engravures est nécessaire pour intégrer et protéger les lamelles ainsi positionnées.   Renforcement de la sous-face d’une poutre de pont à l’aide de lamelles en carbone. [©Mapei] c – La mèche d’ancrage carbone La mèche se décompose en deux parties. D’un côté, le jonc (ensemble de fibres et de résine durcie maintenues dans une sorte de fourreau) et le fouet (ensemble de fibres libres non enduites). La partie “jonc” est à ancrer dans des trous pré-percés dans la structure à renforcer. Quant à la partie “fouet”, elle vient se positionner, par exemple, sur les retombées de poutres. Et éventuellement, sur des tissus carbone déjà en place pour assurer un parfait raccordement de l’ensemble. Mèches carbone et leur mise en œuvre. [©Mapei] Quelles sont les limites d’emploi et les précautions à prendre ? a – Que dit la réglementation ? A ce jour, les solutions de renforcement par matériaux composites à base de carbone ne bénéficient d’aucune uniformisation normative ou de certification. En France, les Avis techniques délivrés par le CSTB constituent les seuls documents certifiés et reconnus. Dans ce contexte, les industriels proposant ces solutions doivent former les bureaux d’études techniques et les entreprises applicatrices. b – Bon à savoir avant de commencer Le support à renforcer doit être sec. Il doit être poncé pour obtenir une surface propre et plane. Sa résistance à l’arrachement doit être d’au moins 1,5 MPa. Enfin, il faut s’assurer que l’ouvrage renforcé ne soit pas exposé de manière continue à une température supérieure de 45 °C de manière continue (ou à 58 °C de façon ponctuelle). En effet, les colles époxy sont sensibles à la chaleur, peuvent devenir visqueuses au-delà de ces températures, et perdre leur rôle mécanique au sein du composite. Dans le même ordre d’idées, une protection au feu est indispensable, si la vérification de la stabilité au feu de l’ouvrage le demande. Préparation du support à renforcer. Ici, l’opération de ponçage. [©ACPresse] Avec nos remerciements à Mapei pour l’aide technique apportée à la préparation de ce document.
Il y a 4 ans et 185 jours

Notre-Dame de Paris : accord de principe pour une reconstruction avec du bois et du plomb

RESTAURATION. Suite à la question écrite d'un député, le ministère de la Culture a indiqué que la Commission nationale du patrimoine et de l'architecture avait approuvé le 9 juillet 2020 le rétablissement de l'architecture de Viollet-le-Duc pour le chantier de réhabilitation de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Autrement dit, un feu vert de principe a été donné à une éventuelle ré-utilisation du chêne pour la charpente, et du plomb pour la couverture.
Il y a 4 ans et 185 jours

Grand Témoin : Philippe Pelletier, avocat, président du Plan Bâtiment Durable

INTERVIEW. Philippe Pelletier est avocat honoraire, président du Plan Bâtiment durable. Découvrez ses réflexions, sa vision, son actualité, son message aux professionnels et son portrait en 5 traits.
Il y a 4 ans et 185 jours

Naé, une nouvelle gamme de peintures déco-responsable

Une peinture « green » pour un habitat sain et durable.Issue de l’éco-conception, Naé est une gamme de peintures composées d’une résine alkyde en phase aqueuse d’origine végétale biosourcée. Un produit neutre, sans solvant, sans polluant volatil et sans substance cancérigène. Classée A+, Naé affiche un taux de composants organiques volatiles (COV) en pot inférieur à 1g/L. Certifiée NF Environnement et Zone Verte Excell, Naé contribue à une meilleure qualité de l’air intérieur des lieux de vie, des habitats HQE® ou autres Etablissements Recevant du Public.Naé, pour une décoration sans limite.Unikalo met à la disposition des professionnels une gamme de peintures qui permet de répondre aux attentes de consommateurs qui recherchent de plus en plus à concilier technicité et qualités professionnelles des produits, protection de l’environnement, habitat sain et décoration tendance.Grâce à une multitude de couleurs à la fois intemporelles et contemporaines, la gamme de peintures biosourcée Naé offre de nouveaux horizons esthétiques pour habiller murs et plafonds. 110.000 teintes disponibles en impression finition mate, veloutée ou satinée, agrémentées de 168 nouvelles teintes originales, inspirées de la nature, allant du pastel au foncé.Véritable instigateur de tendances, le nuancier« MISE EN COULEUR » dévoile 25 nouvelles ambiances pleines de fraîcheur et de modernité. C’est une source inépuisable d’inspiration pour les professionnels de la décoration.Naé, la peinture aux qualités professionnelles et environnementales.Une solution plus respectueuse de l’environnement mais sans compromis sur la qualité. Destinée aux travaux neufs ou en rénovation, la gamme de peintures biosourcée Naé assure de hautes performances techniques.Grâce à ses excellentes propriétés, elle offre une opacité optimale pour un résultat parfait en 2 couches et garantit une haute durabilité des teintes dans le temps. De plus, elle présente une résistance à l’abrasion humide de classe 1 en blanc et de classe 2 en teintes, ce qui en fait une peinture deux fois plus résistante aux nettoyages périodiques qu’une solution classique. La gamme est conditionnée en fûts de 0.75 L, 3Lou 12 L avec un rendement de 8 à 10 m²/L/couche pour l’impression et la finition mate et de 9 à 11 m²/L/couche pour les finitions veloutées et satinées.Naé s’applique avec une grande aisance soit au rouleau soit à l’aide d’un pistolet Airless pour recouvrir rapidement et de façon homogène de plus grandes superficies.Son séchage rapide est un gain de temps fort appréciable pour les peintres et décorateurs d’intérieurs qui doivent répondre sur les chantiers à des contraintes temporelles toujours plus exigeantes. Plâtre, ciment, bois, Naé accroche parfaitement et confère un rendu impeccable et sans trace de reprises.Unikalo engagé dans la démarche HQE.En plus de garantir une production 100% française (toutes les peintures de la marque sont formulées et fabriquées sur le site de Mérignac (33), site certifié ISO 14001, Unikalo s’engage quotidiennement pour produire plus sain.Ainsi, Unikalo réalise l’analyse de cycle de vie de ses produits afin de déterminer les impacts environnementaux qu’ils génèrent. Ces analyses sont détaillées dans une FDES, disponible sur www.inies.fr. Le maître d’ouvrage dispose alors de tous les outils nécessaires au choix du produit qui conviendra le mieux aux objectifs de son chantier.Plus qu’une peinture, Naé est une solution innovante qui permet aux professionnels de faire face aux défis environnementaux de demain.
Il y a 4 ans et 185 jours

Oise : plusieurs projets seront lancés à Breteuil en 2021

Différents projets de construction et d’aménagement vont voir le jour à Breteuil en 2021.
Il y a 4 ans et 185 jours

Grand Paris Express : le marché de construction du centre d'exploitation de Vitry attribué

CONTRAT. La Société du Grand Paris a choisi le groupement qui réalisera le génie civil et l'aménagement tous corps d'état de ce centre d'exploitation situé sur la ligne 15 Sud. Et ce sont les entreprises Legendre construction, Colas et Cosson qui s'en chargeront.
Il y a 4 ans et 185 jours

Vinci gagne un contrat à presque 200 millions d'euros sur le métro du Grand Paris

Vinci "remporte le contrat de réalisation du viaduc de la ligne 18 du Grand Paris Express", dit le groupe dans un communiqué.Le contrat représente un montant total de 193 millions d'euros que Vinci partagera avec d'autres entreprises au sein d'un groupement mené par le géant des chantiers.Le chantier durera deux ans et demi et visera à construire un viaduc de presque sept kilomètres vers la gare de Massy-Palaiseau (Essonne), à une quinzaine de kilomètres au sud de Paris.
Il y a 4 ans et 185 jours

Appel à projets « Ponts connectés »

« Ponts connectés » est un appel à projets lancé par le Cerema pour soutenir l’innovation en matière de surveillance des ponts. Jusqu’au 14 février 2021. L’état des ponts constitue un enjeu majeur de sécurité pour les usagers. Le rapport d’information du Sénat rendu en juin 2019 souligne le vieillissement de notre patrimoine et la […] L’article Appel à projets « Ponts connectés » est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 185 jours

L’architecture audacieuse du complexe sportif et culturel de Vélizy-Villacoublay

Après 27 mois de travaux, dont un an de gros œuvre, CBC, filiale de VINCI Construction France, vient de livrer à la Mairie de Vélizy-Villacoublay (78) le complexe sportif et culturel Jean-Lucien Vazeille. Conçu par Jean-Pierre Lott Architecte, le bâtiment à l’architecture toute en courbes et en transparence, intègre plusieurs ouvrages exceptionnels: la réalisation de 120 mètres de voiles courbes suspendus, la création d’un atrium baigné de lumière et d’une rampe hélicoïdale qui peut rappeler l’esprit de celle du musée Guggenheim de New-York et la mise en œuvre de quatre poutres post-contraintes de 30 mètres de long ainsi que d’une charpente métallique qui parachève l’ensemble. Jean-Pierre Lott indique : « Dans le paysage très tramé des immeubles environnants, le projet que nous avons dessiné par ses formes courbes viendra affirmer clairement son statut d’équipement public et participera ainsi à la recomposition du quartier. D’un point de vue urbain, le projet que nous présentons offre deux visages : un rez-de-chaussée très vitré invitant à entrer, qui supporte un grand voile sinueux en béton ajouré, et exprime le mouvement, la légèreté, métaphore de la pratique sportive. C’est un défi à la gravité. Le projet s’organise sur quatre niveaux autour d’une grande rampe elliptique qui met en scène chaque activité du bâtiment, et offre au visiteur une vision globale. La construction du bâtiment a été une performance technique, je dis toujours que les bâtiments sont plus faciles à construire qu’à dessiner, il faut ici remercier la Ville de nous avoir fait confiance pour concevoir le projet et l’entreprise pour la patience et l’intelligence qu’elle a eue pour réaliser notre projet ». Photo : © Graphix Images
Il y a 4 ans et 185 jours

Un cube de bois habillé de verre rouge

Le nouveau bâtiment abritant le poste de sécurité de l’hôpital de Montreuil en Seine-Saint-Denis a été construit en bois et ses façades habillées d’un bardage ventilé en verre émaillé StoVentec Glass rouge éclatant. L’option de construire en filière sèche a été privilégiée afin de réduire la durée d’intervention sur le site ainsi que les nuisances de chantier. Le choix s’est porté sur une ossature bois à faible empreinte carbone en panneaux de bois en CLT. Dès la conception, Elisa Bellec, architecte associée de l’agence Truelle qui a obtenu le chantier s’est adressé à Sto. Le bardage ventilé StoVentec Glass à fixations invisibles est constitué de panneaux de verre émaillé de 6 mm d’épaisseur collés sur une plaque en mortier de granulats composé de verre recyclé a été choisi. Pour animer la forme simple du bâtiment, l’architecte a choisi dans la gamme de couleurs proposée par Sto trois teintes de rouges (RAL 3016, 3020, 3013) et un orange (RAL 2000) pour le portique. Les panneaux de tailles et de couleurs différentes ont été répartis de façon aléatoire sur la façade. Au total, ce sont 227 panneaux tous différents qui seront livrés par Sto. Le titulaire du lot Bardage est Socateb, une entreprise expérimentée qui connaît bien les produits Sto. Une chance pour cette première mise en oeuvre de StoVentec Glass sur un support en bois car l’Avis Technique du système n’admettait alors que des supports en maçonnerie ou en béton banché. « Pour adapter la mise en oeuvre du StoVentec Glass sur une structure bois CLT, nous avons échangé avec le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB), le bureau de contrôle et le service technique de Sto », explique Antoine Monnot, responsable du département bardage-vêture de Socateb. La technique mise au point sur ce chantier est désormais intégrée dans l’Avis Technique du système. A partir d’un échafaudage tubulaire autostable, qui ne présente aucune fixation sur la structure bois, est d’abord mis en place un pare-pluie qui enveloppe tout le bâtiment. Il évite la migration de l’humidité dans le bois. Des chevrons de 188 mm x 75 mm sont ensuite fixés verticalement avec un entraxe de 60 cm à l’aide de vis traversantes. « Ces dimensions imposantes sont nécessaires pour respecter une lame d’air de 2 cm », justifie Antoine Monnot. En effet, des panneaux de laine de verre de 16 cm d’épaisseur sont glissés entre ces montants et maintenus à l’aide de griffes Dentifix (Etanco), évitant ainsi de perforer le pare-pluie. La face avant des chevrons est protégée par une bande EPDM. Les rails en aluminium supports du parement peuvent alors être vissés sur la structure verticale en chevrons, selon l’entraxe défini par Sto en fonction des spécificités du chantier. Il reste enfin à agrafer les 227 panneaux de verre émaillé en respectant scrupuleusement le calepinage et en réservant des joints ouverts de 8 mm entre panneaux. Après le réglage de l’horizontalité du rail support, chaque panneau est ajusté par des vis de réglage et est bloqué à l’aide de goupilles. « Le plus compliqué a été le réglage des panneaux dans le plan, car les montants en bois fixés directement sur l’ossature en OSB ne laissent aucune marge, observe Antoine Monnot. Nous avons dû parfois raboter ou caler pour assurer un alignement parfait. » Les encadrements des fenêtres sont habillés de tôle d’aluminium laquée rouge ou orange, comme les couvertines des acrotères. Les 295 m2 de façade ont été réalisés en un mois par trois compagnons de l’entreprise Socateb. Maître d’ouvrage : Centre Hospitalier Intercommunal André Grégoire Maître d’oeuvre : SCP Truelle Architectes Entreprise générale : Paris Charpente Entreprise façade : Socateb Date du chantier : 2016
Il y a 4 ans et 185 jours

Bras de fer à Rouen sur un coûteux projet d'autoroute

"C'est une infrastructure du passé", a tonné lundi soir le vice-président EELV de la Métropole Jean-Michel Bérégovoy. "Ce contournement est très attendu par les habitants et les entreprises", a rétorqué Laurent Bonnaterre élu de l'opposition.Le contournement Est de Rouen, d'une longueur de 41,5 km, n'était pas à l'ordre du jour du conseil métropolitain lundi soir, mais ce fut le sujet le plus abordé.Car le nouveau président PS de l'agglomération Nicolas Mayer-Rossignol, 43 ans, s'est prononcé pendant la campagne électorale contre ce projet que son prédécesseur s'était engagé à financer à hauteur de 66 millions d'euros."Je n'ai pas changé d'avis" depuis, a confirmé lundi, pour la première fois depuis son élection, celui qui est aussi le nouveau maire de Rouen.Le jeune fabiusien s'était prononcé pour ce projet lorsqu'il présidait l'ancienne région de Haute-Normandie."Je fais partie de celles et ceux qui avaient sous-estimé l'état de notre planète", a expliqué devant le conseil M. Mayer-Rossignol, évoquant un "état d'urgence écologique".La Région Normandie (centriste) a de son côté confirmé à l'AFP qu'elle maintenait son financement à hauteur de 157 millions. Et le président LREM de la Seine-maritime s'est dit "à titre personnel" favorable au maintien du financement départemental, dans un communiqué.Le principal contributeur, l'État, a pour sa part fait savoir qu'il n'imposerait pas contre la volonté locale ce projet lancé il y a plus de 40 ans.Le préfet vient de demander par courrier aux trois collectivités de "solliciter la confirmation par délibération avant fin février de leur engagement financier", a indiqué lundi à l'AFP son service de presse. "Projet écologique"Les élus de la majorité PS ont-ils comme leur nouveau président, changé d'avis sur le sujet? Nicolas Mayer-Rossignol ne semble pas pressé de soumettre la question au vote. "Ce n'est pas une obligation réglementaire", a estimé le socialiste devant la presse."Le débat aura lieu", a toutefois promis l'ingénieur des mines.Il est visiblement déjà relancé. "Quelques élus veulent remettre en cause ce projet. Avec nous, réaffirmez votre soutien", martelait chaque jour du 7 au 12 décembre une pleine page de publicité achetée par la Chambre de commerce et d'industrie (CCI) de la Métropole, dans le quotidien régional Paris-Normandie.Pour la CCI, le contournement est "un projet écologique" qui détournera les "milliers de camions" qui "n'ont d'autres solutions que de traverser le centre ville de Rouen".Et les tribunes sur le sujet se sont multipliées dans la presse locale depuis que le Conseil d'État a validé l'utilité publique du projet en novembre."La France ne tenant déjà pas ses engagements de réduction d'émission de gaz à effet de serre, faut-il continuer à augmenter les tonnes de CO2 dans l'atmosphère? Le doute est plus que permis et remet en cause les 66 millions que notre collectivité devait consacrer à cette autoroute à péages", a lancé le PCF Stéphane Barré lors du conseil lundi soir.Le projet induit notamment l'émission de 50.000 tonnes de CO2 supplémentaire par an, a rappelé le Conseil d'État, soit 50 jours d'émission d'une zone de 700.000 habitants."Il peut y avoir des compensations pour limiter cet impact", a estimé Laurent Bonnaterre qui ne voit pas comment créer la zone à faible émission dont l'État exige la création à Rouen, sans ce contournement Est.Pour M. Mayer-Rossignol, l'attractivité économique n'est par ailleurs pas un argument en faveur du contournement. Les Néerlandais et les Belges "poussent pour un canal Seine-Nord, pas pour une grande autoroute entre Amsterdam et Paris", a-t-il dit au conseil."Une chose est sûre: ça coûte de l'argent (...) Si on met l'argent là, on peut pas le mettre ailleurs", a-t-il ajouté soulignant les investissements que nécessiteront par exemple les aides au remplacement des véhicules polluants.
Il y a 4 ans et 185 jours

Les dix lauréats du concours !mpact 2020 pour une architecture sobre et engagée

Le bois est présent partout : dans l’habitat individuel, le logement collectif, les bâtiments publics, les équipements de loisirs, les bureaux, les commerces, etc. Si son marché le plus important demeure la maison individuelle, la réhabilitation et l’extension offrent des débouchés intéressants, en particulier à […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 186 jours

RE 2020 : les prescripteurs bas carbone présentent des solutions pour le béton

Les normes environnementales à venir vont pénaliser les solutions béton actuelles, trop carbonées. Le hub des prescripteurs bas carbone dévoile quelques solutions.
Il y a 4 ans et 186 jours

5 étapes cruciales pour la rénovation d’appartement

Vous avez enfin réalisé votre rêve en devenant propriétaire d’un appartement, toutefois votre dernière acquisition aura besoin de quelques travaux de rénovation si vous souhaitez l’aménager comme vous voulez. C’est un autre défi qui vous attend, car même si vous faites appel à un architecte, cela aura un impact considérable sur le budget. Alors, pourquoi ne pas réaliser les travaux vous-même ? Vous ferez des économies, cependant il est préférable de confier les travaux les plus complexes à des spécialistes déclarés. Dans tous les cas, la rénovation de votre appartement passera par les 5 étapes qui vont suivre. Se préparer pour les travaux de rénovation Avant de commencer votre projet, vous devez lister les travaux nécessaires à la rénovation de votre appartement étant donné qu’il existe de nombreux types de travaux. En effet, les rénovations les plus simples consistent en un coup de peinture ou au changement de revêtements tandis que celles plus complètes nécessitent de rénover l’installation électrique, d’aménager la plomberie ou encore de refaire l’aménagement intérieur. Dans tous les cas avant d’entreprendre vos travaux de rénovation, il est conseillé de : faire le tour de l’appartement pour lister les travaux nécessaires, pièce par pièce ; vérifier les installations pour l’électricité et la plomberie afin d’être certain de leur conformité ; prévoir un budget indicatif ; réaliser un planning avec l’ensemble des travaux et leur durée approximative pour la rénovation de l’appartement. Étant donné que les travaux de remise à neuf peuvent être très coûteux, vous ne devez absolument pas sous-estimer le budget et anticiper les frais supplémentaires qui pourraient survenir au cours des travaux. Pour prévoir le coût, vous pouvez toujours demander un devis en ligne pour la rénovation d’appartement à Boulogne. Effectuer les travaux de démolition Si vous avez pour projet de refaire l’aménagement intérieur de votre appartement, vous devez effectuer les travaux de démolition. C’est la première étape à effectuer étant donné que ces travaux sont très salissants et peuvent abîmer les revêtements des murs ou du sol. Après tout, il faudra : casser les murs porteurs ; abattre les cloisons ; cassée la cuisine aménagée ; détruire la cheminée s’il y en a une ; retirer les anciens revêtements muraux. Afin de ne pas déranger vos voisins, il est conseillé de faire ce type de travaux de 10 à 16 heures, car il serait dommage de débuter vos relations avec le voisinage par un conflit. Refaire le gros œuvre et les installations Suite aux travaux de démolition, vous devrez vous débarrasser des décombres avant de passer à l’étape suivante à savoir refaire le gros œuvre et les installations de l’appartement. Cette étape concerne les différents types de travaux comme : la remise en état des murs ; la pose des cloisons ; la réalisation de tranchées ou de saignées ; la rénovation de l’installation électrique et de la plomberie ; la pose d’enduit sur les murs ; la réalisation d’une chape sur les sols. Pour certains travaux, vous aurez sûrement recours à des spécialistes tels que des maçons, un plombier et/ou un électricien. C’est une solution plutôt coûteuse, mais elle vous garantit une construction dans les normes pour tout ce qui concerne le gros œuvre. Investir dans l’isolation Profitez de cette occasion pour poser des isolants dans votre appartement, car en plus d’augmenter l’isolation phonique et thermique, ils garantissent votre confort. Pensez également à changer les fenêtres de votre appartement si vous n’êtes équipé que d’un seul vitrage. Bien que ce soit une opération coûteuse, en passant au double vitrage vous diminuerez considérablement vos factures de chauffage ainsi que le bruit de la circulation. Terminer les travaux par les revêtements et la peinture Vous pourrez finalement passer à la pose de revêtements de sol, de revêtements muraux et à la réalisation des peintures ainsi que des tapisseries. C’est le moment d’ajouter votre touche personnelle pour vous sentir chez vous et quand cette étape sera réalisée, la rénovation de votre appartement est pratiquement finie. Il ne reste plus que les derniers détails comme l’aménagement, le choix des éclairages et la décoration intérieure.
Il y a 4 ans et 186 jours

Dans le 11e arrondissement de Paris, des logements sociaux... en pierre massive

RÉALISATION. C'est le choix de la pierre massive qui a été fait pour un programme de logements sociaux implanté rue Oberkampf, dans le 11e arrondissement de Paris. Signé par l'agence d'architectes Barrault Pressacco, le projet a cherché à mieux considérer les ressources locales et à moderniser les traditions et ouvrages anciens, pour au final mieux s'intégrer au territoire de la métropole du Grand Paris.
Il y a 4 ans et 186 jours

Tribune : Mesurabilités démesurées

Invité par L’Architecture d’Aujourd’hui à réfléchir au thème de la « démesure », Éric de Thoisy, architecte, docteur ...En savoir plus Cet article Tribune : Mesurabilités démesurées est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 186 jours

L'Ordre des architectes dresse le portrait de la profession

ARCHIGRAPHIE. L'enquête exhaustive que réalise le Conseil de l'Ordre des architectes tous les deux ans est parue cette fin d'année. L'occasion de pointer les tendances à l'oeuvre, dont la féminisation de la profession: la part des femmes architectes a en effet doublé en vingt ans, avec des inégalités toujours criantes.
Il y a 4 ans et 186 jours

Passage de témoin au SNBPE Bretagne – Centre – Pays de la Loire

De gauche à droite, Benjamin Bordonado et Olivier Stéphan, futur et ancien délégués régionaux SNBPE et SNPB Bretagne – Centre – Pays de la Loire. [©DR] Une page se tourne au niveau de la délégation régionale SNBPE et SNPB Bretagne – Centre – Pays de la Loire. Après sept années de bons et loyaux services, Olivier Stéphan va quitter ses fonctions de délégué pour commencer une “nouvelle aventure professionnelle”… Mais toujours dans la filière béton. « Un secteur qui m’est cher, fruit d’une histoire qui dure depuis 15 ans désormais », déclare Olivier Stéphan. A dater du 1erjanvier 2021, c’est Benjamin Bordonado qui lui succédera à ce poste. Pour l’heure, l’ex- et le futur délégués travaillent en binôme, le temps de se passer le relai.  Ainsi, Benjamin Bordonado poursuivra les missions locales axées sur la prescription et la stratégie marketing autour du béton prêt à l’emploi et du pompage du béton. Et, d’une manière plus précise, autour des sujets opérationnels comme la sécurité, ou stratégiques comme les enjeux environnementaux. De formation “communication, marketing et relations internationales”, Benjamin Bordonado a surtout œuvré dans les domaines bancaires et financiers, avant de rejoindre la filière béton et la délégation régionale SNBPE et SNPB.
Il y a 4 ans et 186 jours

ARTEPOT, fabricant de bacs à fleurs pour professionnels

ARTEPOT vient de lancer son nouveau site où toute sa gamme de bacs à fleurs et carrés de potager est disponible. Vous retrouverez les bacs des 3 grandes familles de matériaux innovants, parfaitement adaptés à un usage extérieur : La Fibre de Verre, l’Aluminium et l’Acier Corten. Les Bacs en Fibre de verre La Fibre de verre est la gamme phare de la marque Artepot. Très innovant, ce matériau est réputé pour ses nombreuses qualités : poids plume, résistance aux fortes chaleurs et au gel, matériau très stable qui ne bouge pas au contact de son environnement. Ces bacs résistent parfaitement à la charge, aux chocs et aux rayons UV. On retrouve la Fibre de verre dans les coques de bateau ou encore les casques de moto. C’est un matériau parfaitement adapté aux aménagements extérieurs. Les bacs en Fibre de Verre sont tous fabriqués à la main. Les parois mesurent 3mm d’épaisseur et sont doublées avec des plaques de polystyrène expansé de 3 cm.  Les angles des bacs sont également renforcés pour être encore plus résistants. Son aspect proche de l’aluminium en fait un matériau très en vogue pour son design contemporain. Les pots de fleurs en Fibre de verre sont déclinés dans 4 coloris : Blanc, Gris anthracite, Beige et Noir. Tous les produits ARTEPOT sont disponibles sur leur site : www.artepot.com Les fiches produits sont également téléchargeables. Les Bacs en Acier Corten L’Acier Corten est un matériau vivant qui change d’aspect au contact de son environnement. L’acier s’oxyde au bout de quelques semaines à quelques mois et obtient une couleur rouille à l’effet vintage qui plait beaucoup aux architectes d’extérieur. Il s’agit d’un matériau très utilisé pour agrémenter les jardins aux styles industriels. La couche d’oxydation en surface est ultra-résistante face à l’humidité, la chaleur, le gel (jusqu’à -20 degrés) et au poids. Cet alliage à base de fer va se recouvrir d’une épaisse couche de rouille apportant un effet vintage qui est de plus en plus demandé. Les bacs à fleurs en Acier Corten sont livrés sans oxydation, avec une couleur fer. Il est possible d’accélérer le processus d’oxydation avec un acide spécifique. Le fond des bacs en Corten est percé pour permettre l’évacuation des eaux des plantes. ARTEPOT propose également une gamme de carrés de portager en Acier Corten dans 3 formes : carré, rectangulaire et triangulaire. Les Bacs en Aluminium L’aluminium fleurit dans les extérieurs pour son design contemporain. Les lignes épurées des bacs en aluminium plaisent de plus en plus aux paysagistes. La légèreté de ce matériau et sa résistance aux attaques extérieures sont des avantages qui expliquent leur succès. Inaltérable, la durée de vie des bacs en aluminium est très longue. Aucun entretien n’est nécessaire. L’aluminium étant très malléable, ARTEPOT propose ces bacs dans 40 coloris. De nombreuses formes et tailles Pour s’adapter à tous les projets, ARTEPOT propose une large gamme de bacs dans différents formats et design. Pour les 3 matériaux, vous retrouverez des bacs carré, rectangulaire ou conique dans des tailles différentes : grande hauteur, de taille moyenne…. Les plus petits bacs ont une contenance d’environ 50L (environ 40x40x40 cm) et peuvent dépasser les 1300L de contenance (120x120x120 cm pour un bac carré).
Il y a 4 ans et 186 jours

Le détail des 20 milliards d'euros de soutien d'urgence mobilisés en 2021

Activité partielleLe gouvernement prévoit de consacrer encore 11 milliards d'euros au financement du chômage partiel, contre 6,5 milliards d'euros budgétés jusqu'ici dans le projet de loi de finances pour 2021.Ce montant inclut à la fois le dispositif de chômage partiel existant actuellement et prolongé au moins jusqu'à fin janvier, tel qu'annoncé par la ministre du Travail Elisabeth Borne, et le nouveau dispositif d'activité partielle de longue durée (APLD) créé pour accompagner les entreprises dans la durée.En 2020, le gouvernement devrait avoir dépensé 29 milliards d'euros, sur les 34 milliards budgétés.Fonds de solidaritéLe gouvernement prévoit 7 milliards d'euros de dépenses pour soutenir les entreprises qui resteront fermées ou dont l'activité sera très fortement réduite par le maintien des contraintes sanitaires. Ce montant se décompose en 5 milliards d'euros de nouveaux crédits, le reste venant de reports de moyens non utilisés en 2020.Les nouvelles conditions d'attribution du fonds de solidarité, mises en place en décembre, seront maintenues "au moins jusqu'à fin juin 2021", a indiqué le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, sauf si la situation économique et sanitaire évolue considérablement d'ici là.De nouveaux secteurs, exclus jusqu'ici, vont y avoir droit, comme certains prestataires d'évènementiels (organisateurs de mariage, commerces de vêtements de cérémonies), les producteurs de lapins et de pintades ou encore les producteurs d'escargots, très pénalisés par la fermeture des restaurants.En 2020, 17 milliards auront été dépensés, sur les plus de 19,5 milliards d'euros budgétés.Exonérations de chargesUn milliard d'euros supplémentaires sont dédiés à des exonérations de charges qui bénéficient aux entreprises les plus touchées par la crise.En 2020, les entreprises ont bénéficié de 7 milliards d'exonérations de charge, quand le gouvernement en avaient prévu environ 8 milliards.Jeunes 200 millions d'euros sont mobilisés pour financer les annonces de nouvelles aides aux jeunes faites par le président de la République la semaine dernière, en particulier via le dispositif de Garantie jeunes ou le renforcement du système de boursesAide alimentaireLe gouvernement va soutenir à hauteur de 120 millions d'euros les associations qui distribuent de l'aide alimentaire, et qui font face à une forte augmentation des sollicitations des ménages depuis le début de la crise.Stations de skiLes stations de ski et le monde de la montagne seront aidés à hauteur de 400 millions d'euros, notamment pour couvrir les pertes d'exploitation des remontées mécaniques, fermées au moins jusqu'au 7 janvier.Dans cette enveloppe, figurent notamment une indemnisation "à hauteur de 70% des charges fixes" pour les remontées mécaniques, ou encore l'accès au fonds de solidarité pour les commerces situés en zone de montagne, a précisé le secrétaire d'Etat au Tourisme Jean-Baptiste Lemoyne.Congés payésL'Etat va prendre en charge le coût de dix jours de congés payés pour les entreprises les plus touchées par la crise, comme l'hôtellerie, la restauration, l'évènementiel, les discothèques ou les salles de sport. La mesure coûtera plusieurs centaines de millions d'euros.AéroportsEn difficulté face à la baisse du trafic aérien, les aéroports bénéficieront d'une aide de 250 millions d'euros.La PosteL'effondrement du courrier a fait fondre les revenus de l'entreprise, que le gouvernement a décidé d'aider pour un montant qui sera précisé prochainement.
Il y a 4 ans et 186 jours

Equilibrage des réseaux d’Eau Chaude Sanitaire : Watts enrichit sa gamme de vannes iDROSET Séries CF avec une version certifiée ACS

Conformément à la réglementation thermique, en neuf comme en rénovation, l’installation en pied de colonne de vannes d’équilibrage statiques sur un réseau hydraulique est une obligation pour garantir une répartition homogène de l’énergie dans le circuit. Avec sa gamme iDROSET Séries CF commercialisée il y a 1 an, Watts permettait d’ores et déjà aux professionnels de répondre à cette exigence sur les réseaux chauffage. Aujourd’hui, Watts va plus loin et présente une version certifiée ACS de sa vanne iDROSET, spécialement conçue pour équiper les réseaux bouclés d’Eau Chaude Sanitaire.   Une solution fiable pour l’équilibrage du bouclage d’ECS Plus complexe que sur une installation de chauffage et climatisation, l’équilibrage d’un circuit Eau Chaude Sanitaire nécessite d’installer et de régler précisément, sur chacune de ses boucles, une vanne d’équilibrage de façon à obtenir un débit calculé conformément au DTU (NF DTU 60.11 P1-2 du 10 Août 2013). Pour éviter des imprécisions de réglage et tout risque de colmatage, l’ouverture de la vanne doit correspondre à un passage de fluide d’au moins 1 mm.   Pour aider les professionnels à réussir cette opération dans les installations intérieures des bâtiments à usage d’habitation ou de bureaux, Watts propose une version certifiée ACS de sa gamme de vannes iDROSET Séries CF. Délivrée par la Direction Générale de la Santé, cette Attestation de Conformité Sanitaire autorise ainsi son utilisation pour l’équilibrage des réseaux d’eau destinée à la consommation humaine.   Une technologie brevetée pour un étalonnage précis A la conception innovante, les vannes d’équilibrage disposant de l’agrément ACS bénéficient des mêmes avantages que l’ensemble de la gamme iDROSET Séries CF de Watts : • une technologie brevetée qui garantit un ajustement millimétré du niveau de débit requis et offre une plage de débit exceptionnelle (rapport de débit de 25:1), • un cadran indiquant le changement de débit en temps réel qui rend plus rapide le réglage de toutes les vannes ainsi que la lecture du débit sans avoir à utiliser un appareil supplémentaire, • 6 références permettant de couvrir un large éventail de débits allant de 35l/h min à 10.000 l/h maxi, munies d’écrous tournants compatibles avec tous les types de canalisations.   Avec une pression nominale d’une valeur de 16 Bar et une température de service de -10 à 110°C, les vannes d’équilibrages iDROSET Séries CF en version ACS allient performance, simplicité et gain de temps.   Autre nouveauté, pour la conception et le dimensionnement des réseaux hydrauliques en rénovation, Watts propose en complément une nouvelle version à raccordement taraudé ISO 228 F/F, spécialement développée pour palier aux difficultés de raccordement dans les espaces exigus.   En enrichissant ainsi sa gamme de vannes d’équilibrage statiques avec deux nouvelles versions, ACS et F/F, Watts apporte une solution globale quels que soient les réseaux, chauffage comme eau chaude sanitaire. http://www.wattswater.fr
Il y a 4 ans et 186 jours

Folies et Grandeurs

Lisez en intégralité l’édito d’Emmanuelle Borne, rédactrice en chef d’AA. Cet article Folies et Grandeurs est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 186 jours

Loi Asap : quelles conséquences pour les architectes ?

URBANISME. Au-delà des assouplissements en matière de commande publique, plusieurs dispositions de la loi Asap viennent modifier le droit de l'environnement et celui de l'urbanisme. L'Ordre des architectes fait le point.
Il y a 4 ans et 186 jours

Démesures

À l’ère de la frugalité économique et écologique, y a-t-il encore de la place pour la ...En savoir plus Cet article Démesures est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 186 jours

Poces : Environnement souterrain, et si on parlait béton ?

Une soixantaine de participants scientifiques, maîtres d’ouvrage et d’œuvre, entrepreneurs, fournisseurs et institutionnels ont assisté aux conférences. [©Poces] Inauguré en 2017, le Pôle de compétences en environnement souterrain (Poces) est hébergé à Ecurey (55), au Pôle d’Avenir. Il s’est rapidement imposé comme une référence technique et pédagogique auprès de nombreux acteurs du secteur des travaux souterrains. Depuis plus de deux ans, il propose des évènements et des formations professionnelles spécialisées. Le tout avec des mises en pratiques dans les galeries du laboratoire de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra), à Bure (54). Ainsi, douze modules de formation ont été déployés. Ils abordent différents thèmes comme la maîtrise des risques en souterrain, la sécurité incendie. Mais aussi, les risques projets, l’environnement de travail souterrain, la gestion de travaux… Une deuxième édition Intitulées “Durabilité des bétons en milieu souterrain”, les Journées techniques du Pôle de compétences en environnement souterrain (Poces) ont eu lieu cet automne. [©Poces] C’est toujours dans cette même démarche que le Poces a organisé la 2eédition de ses Journées techniques, intitulées “Durabilité des bétons en milieu souterrain”. Organisé à Ecurey (55), cet évènement a constitué un rendez-vous regroupant scientifiques, industriels et institutionnels du secteur. Ces derniers ont partagé leurs expériences, leurs pratiques et leurs progrès. Pour cette 2eédition, le béton et ses innovations étaient au cœur des discussions. Considéré comme un matériau incontournable dans la réalisation d’ouvrages, tels que les galeries et les tunnels. Autour de la durabilité des bétons Ainsi, une soixantaine de participants scientifiques, maîtres d’ouvrage et d’œuvre, entrepreneurs, fournisseurs et institutionnels ont assisté aux conférences. Et participé aux tables rondes. Ces deux journées ont été l’occasion de partager des expériences et de discuter des meilleures pratiques. Ainsi que de s’informer sur les innovations dans le domaine des bétons pour la construction des tunnels de demain. Ces rencontres ont permis de valoriser toute la filière des milieux souterrains. Et de diffuser de la façon la plus large possible les connaissances acquises par des professionnels et des chercheurs. Quatre conférences François Martin, chef de projets travaux souterrains chez BG Ingénieurs Conseils, a abordé la thématique de l’emploi des bétons dans les travaux de réalisation de tunnels et de galeries. [©Poces] Quatre grandes conférences ont ponctué ces Journées techniques. Déjà, l’exposé de François Martin, chef de projets travaux souterrains chez BG Ingénieurs Conseils. Thématique abordée : l’emploi des bétons dans les travaux de réalisation de tunnels et de galeries. François Martin a ainsi démontré que ce matériau était incontournable dans ces ouvrages. Mais aussi, qu’apparemment simple et facile à confectionner, ainsi qu’à mettre en œuvre, le béton était en réalité « prodigieusement compliqué » dans cet environnement. Laurie Lacarrière, enseignante-chercheuse à l’Insa-LMCD Toulouse, a communiqué sur le thème de la durabilité des bétons et de ses constituants. [©Poces] Puis, c’est l’intervention de Laurie Lacarrière, enseignante-chercheuse à l’Insa-LMCD Toulouse, qui a suivi. Avec comme thème : la durabilité des bétons et de ses constituants. L’enseignante-chercheuse a fait la synthèse sur l’état des connaissances. Temps fort : la “prise en compte des couplages thermo-hydro-chemo-mécaniques pour la prédiction de la durabilité des ouvrages enterrés”. Laurie Lacarrière a appréhendé la durée de vie et de service des constructions selon des conditions environnementales. Cette approche académique a été complétée par l’intervention de Frédéric Duprat, enseignant-chercheur à l’Insa-LMCD Toulouse. Celui-ci a transporté les auditeurs dans le monde de la gestion des ouvrages.  Des tables rondes, marque de fabrique du PoCes Une troisième conférence menée par Sylvie Geromey (Cetu/Asquapro) et Abdel Mestari (ABCCR/Asquapro) a porté sur les bétons projetés. [©Poces] Une troisième conférence menée par Sylvie Geromey (Cetu/Asquapro) et Abdel Mestari (ABCCR/Asquapro) a porté sur les bétons projetés. Les différentes méthodes de projection avec leurs spécificités ont été ici détaillées. Précisant les avantages et les difficultés de chacune. La présence sur le site d’un simulateur virtuel de projection de béton et des démonstrations encadrées par Yves Girard (Master Builders Solutions) ont permis aux participants de s’initier à cette technique innovante. Interventions des scientifiques de l’Andra avec Odile Azanam. [©Poces] Enfin, il y a eu les interventions des scientifiques de l’Andra avec Odile Azanam, Gilles Armand et Jad Zghondi. Qui ont permis de rendre compte des problématiques liées à l’utilisation et à la durabilité du béton dans la future installation souterraine Cigéo. Cette dernière est implantée dans l’Est de la France, à Bure, à la limite des départements de la Haute-Marne et de la Meuse. Marque de fabrique du Poces, le format des tables rondes a aussi permis de partager des expériences autour de la durabilité des bétons.  
Il y a 4 ans et 186 jours

Spie batignolles en 3ème position des entreprises du BTP les plus performantes en matière de RSE

Ce classement - qui concernait 2.000 entreprises de plus de 500 salariés - a été établi en interrogeant 5.000 personnes sur leur appréciation de la RSE dans ces entreprises et en analysant une vingtaine d’indicateurs clefs factuels.Spie batignolles y figure en 145ème position tout secteur confondu et en 3ème position des acteurs du BTP, avec la meilleure note sur le critère « Environnement ». Le résultat d’une politique RSE volontariste et ambitieuse, inscrite au cœur de son plan stratégique, dans laquelle Spie batignolles est engagé depuis plusieurs années.En matière d’environnement, l’économie circulaire est un des piliers de cette politique.Dans ce domaine, plusieurs actions sont menées de front : prise en compte dès l’amont de l’éco-conception en privilégiant les éco-matériaux, utilisation de matériaux recyclables et recyclés, mise en place du réemploi, amélioration du processus de valorisation des déchets ou de l’impact de la production sur le bilan carbone.83 % de taux de valorisation en 2019S’inscrire dans démarche d’économie circulaire est particulièrement essentiel pour les entreprises du BTP au regard de ce que représente chaque année le poids des déchets issus des chantiers. Le potentiel de transformation des déchets en ressources pour s’inscrire dans un cercle vertueux est immense. Il suppose l’engagement de toutes les parti-prenantes et la création de véritables filières de recyclage et de transformation.Devant cet enjeu de transition énergétique, l’Union Européenne a instauré une obligation de valorisation des déchets inertes et non dangereux issus du BTP. Un seuil minimum de valorisation de 70 % en 2020 est imposé aux producteurs et possesseurs de ces déchets.Spie batignolles dépasse ce seuil, avec un taux de valorisation à 83 % en 2019, et a naturellement la volonté d’aller encore plus loin.Sur le point particulier du réemploi, le très faible taux évalué à 1 % sur plus de 40 millions de déchets dénombrés sur les chantiers en France témoigne d’une problématique majeure : une grande majorité des déchets du BTP ne peut être réemployée ou réutilisée, d’où la difficulté pour les entreprises de s’inscrire efficacement dans une démarche d’économie circulaire.Il s’avère donc indispensable d’innover en matière d’éco-matériaux (matériaux biosourcés, géo-sourcés...), de plateformes de valorisation et de transformation des déchets.Des actions structurantes pour accélérerEn matière d’Economie Circulaire, qu’il s’agisse de réemploi, de réutilisation, de recyclage de matériaux ou encore de développement d’éco-matériaux, Spie batignolles s’engage dans des actions ambitieuses.« Club du Réemploi » – un partenariat multi-acteurs pour le réemploi des matériaux de chantierLe groupe Spie batignolles, par l’intermédiaire de son entité de promotion Spie batignolles immobilier, s’est associé à d’autres maîtres d’ouvrage dans un programme d’actions ambitieux et sans précédent concernant le réemploi des matériaux de chantier. Baptisé « Club du Réemploi », et comptant plusieurs dizaines d’entreprises, ce groupement a vocation à accélérer la transition vers une politique de réemploi bien plus prégnante. Dans cette perspective, ce Club s’est fixé comme objectif d’atteindre un taux de 15 à 20 % d’ici 2024.Une expérimentation de ce nouveau programme est actuellement menée sur 150 chantiers. Pour ce faire, les responsables de chantier s’appuient sur une plateforme digitale dédiée qui recense les produits adaptés au réemploi dans une logique de standardisation, ainsi que la mise à disposition de nombreuses plateformes de réutilisation de ces matériaux.Plateforme Valosphère – une plateforme d’optimisation des déblaisSpie batignolles malet, experte en infrastructures routières, s’est associée à Arc Environnement pour créer Valosphère en août 2019, une plateforme pour l’optimisation des déblais inertes des chantiers et le développement des écoproduits issus de ce retraitement. Sa conception est née dans le cadre du plan « La Rochelle territoire 0 carbone », lauréat en 2019 de l’appel à projet national Territoires d’innovation. La plateforme traite annuellement 25.000 tonnes de déchets (gravats, végétaux, ...), de leur recueil jusqu’à leur traitement et leur valorisation. Une fois recyclés, ils sont ensuite réintroduits dans des travaux routiers ou autres types de constructions. Valosphère mène également des travaux de recherche sur la partie éco-matériaux.Agreco +®: un béton bitumineux à l’émulsion écologiqueLe pôle Recherche & Développement de Spie batignolles malet a développé de nombreuses solutions d’infrastructures routières particulièrement innovantes, tels que le dispositif Lumiroute® ou encore Agreco +®, un béton bitumineux à l’émulsion composé de 100 % d’agrégats d’enrobés.Agreco+® permet d’utiliser les agrégats d’enrobés du chantier qui sont traités sur place ou à proximité du chantier à l’aide d’une centrale à froid hypermobile. Ce procédé permet de proposer une solution alternative au retraitement en place à l’émulsion. L’organisation d’un unique double fret suffit à approvisionner le chantier, limitant de fait les transports de matériaux.Des initiatives chantier qui se multiplientA l’échelle des chantiers, de nombreuses initiatives concourent elles aussi à valoriser efficacement les déchets.40.000 tonnes de matériaux ré-utilisés pour la construction d’un centre logistiqueLe centre de distribution BARJANE pour Biocoop construit par Spie batignolles immobilier et l’entité Bâtir France, qui répond aux exigences des certifications ISO 14001, HQE® niveau Excellent et BiodiverCity®, a été réalisé avec 43.000 tonnes de matériaux issus de la déconstruction d’une ancienne briqueterie, qui ont été concassés en vue d’être réutilisés dans la nouvelle construction. Ce choix a permis de réduire significativement l’empreinte écologique de ce chantier en évitant, d’une part, la consommation de matériaux d’apport, et d’autre part l’évacuation des gravats, économisant ainsi 150 tonnes équivalent CO².Réduction d’émissions carbone et de déchets grâce à un partenariat avec Cycle-UpL’entité Bâtir France, rattachée à Spie batignolles grand-ouest, a mené une collaboration avec Cycle-Up, 1ère plateforme professionnelle de réemploi des matériaux du bâtiment et de l’immobilier, sur un chantier de réhabilitation à Châteaubriant. Un premier bilan a démontré le succès de cette opération qui a permis de limiter 23.40 tonnes de déchets produits et de réduire les émissions de carbone à hauteur de 62.20 teq CO².Collaboration avec Backacia sur un chantier de réhabilitationL’entité Spie batignolles Outarex a œuvré avec Backacia, la place de marché du réemploi des matériaux et équipements du BTP, sur un chantier de réhabilitation à Coignières.Une façade bâtie à l’aide d’anciennes portes en chêneSur un chantier mêlant réhabilitation et construction neuve mené par Spie batignolles boyer pour la création d’une crèche dans le 20e arrondissement de Paris, et sous l’impulsion de la Direction des Constructions Publiques et de l’Architecture de la Ville de Paris et le concours de l’architecte Jean Bocabeille - BFV Architectes, la transformation de 600 portes palières en chêne massif provenant d’une résidence en rénovation à proximité a permis la conception de la façade en bois de la crèche.Des déchets qui deviennent de véritables ressourcesAutre initiative originale sur certains chantiers de travaux publics du groupe : les équipes coopèrent avec Terra Innova, start-up spécialisée dans la réutilisation des déblais pour la re-fertilisation des terres agricoles situées à proximité d’un chantier.
Il y a 4 ans et 186 jours

Mirage monumental à Montréal, un sol signé NÓS

Le bois est présent partout : dans l’habitat individuel, le logement collectif, les bâtiments publics, les équipements de loisirs, les bureaux, les commerces, etc. Si son marché le plus important demeure la maison individuelle, la réhabilitation et l’extension offrent des débouchés intéressants, en particulier à […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 186 jours

Archéologie du bâti sur l’une des plus anciennes églises alsaciennes

L’église abbatiale Saint-Trophime à Eschau, dans les environs de Strasbourg, compte parmi les plus anciens édifices religieux encore conservés en Alsace. Attestée dès 778, cette église est reconstruite à la fin du Xe siècle et bénéficie aujourd’hui d’un programme de rénovation porté par la Commune d’Eschau avec le soutien notamment de la Fondation du Patrimoine. Dans le cadre de ces travaux et sur prescription de l’Etat, une intervention archéologique sur les façades extérieures et les toitures de l’édifice, est réalisée par une équipe de l’Inrap. Cette opération qui vise à retracer l’histoire architecturale de l’édifice durera une trentaine de jours au total. Elle se déroulera en trois phases, en décembre 2020, au printemps et durant l’été 2021, suivant l’avancement des travaux. L’intervention archéologique en cours à Eschau suit la méthodologie propre aux études de bâti. Le décrépissage de l’édifice et la présence d’un échafaudage permettent d’accéder au plus près des maçonneries et d’en comprendre les agencements. Grâce à la photogrammétrie, une méthode d’enregistrement numérique, un relevé photographique redressé de l’ensemble des façades mises à nu peut être réalisé. Ces relevés servent ensuite de base graphique sur lesquelles sont replacées les observations et les descriptions minutieuses réalisées sur les maçonneries. Ces observations visent à détecter les différentes phases d’évolution du bâtiment et, au sein de chacune de ces phases, d’en décrire les caractéristiques constructives (types de matériaux employés, modes de mise en œuvre…) et stylistiques. La datation de ces différentes phases résulte du croisement entre ces caractéristiques, les données historiques et les éventuelles analyses complémentaires comme la dendrochronologie. Le décrépissage a révélé la présence d’éléments en bois ancrés dans les murs : des boulins, correspondants aux reliquats des échafaudages ayant servi à la construction de l’édifice, mais également les châssis de deux fenêtres. Les prélèvements dendrochronologiques réalisés sur ces éléments devraient permettre de dater avec précision les phases incluant ces bois. L’étude archéologique en cours a d’ores et déjà permis d’identifier au moins cinq phases principales dans l’évolution de l’édifice et notamment d’appréhender la phase de construction attribuable à l’an Mil. Celle-ci se caractérise par une maçonnerie réalisée en petit moellons de matériaux hétérogènes (calcaire, grès, basalte…) qui réemploie ponctuellement des terres cuites architecturales d’époque gallo-romaine. Les chaînages d’angle sont réalisés avec des blocs de grès rose taillés, finement décorés ; ils sont caractéristiques du début du XIe siècle. Plusieurs fenêtres régulièrement disposées et ultérieurement murées ont également été identifiées. Les relevés photogrammétriques permettront de proposer une restitution de l’état d’origine des façades et de la distribution des ouvertures. Deux importantes phases de remaniement du bâtiment sont attribuables au XIIe siècle et à l’époque gothique (reconstruction de la façade ouest de la nef aux XIIIe-XIVe siècles). Des modifications plus ponctuelles ont également eu lieu à l’époque moderne (XVIe- XVIIIe siècles). En 2021, la poursuite de l’étude concernera le chœur, les deux bras du transept et les bas-côtés de l’Abbatiale et permettra de finaliser cette étude d’archéologie du bâti. Aménagement : Commune d’Eschau Contrôle scientifique : Service régional de l’archéologie (Drac Grand-Est) Recherche archéologique : Inrap Responsable scientifique : Boris Dottori, Inrap Photo : Boris Dottori, Inrap
Il y a 4 ans et 186 jours

Restauration du décor sculpté de la rose occidentale de la cathédrale de Soissons

Suite à la tempête Egon de 2017, des éléments anthropomorphes authentiques ont été mis à jour à l’occasion de la restauration de la rose occidentale de la cathédrale de Soissons. La maîtrise d’œuvre a pu, dans le cadre de son étude de diagnostic, bénéficier de moyens d’accès exceptionnels pour réaliser les relevés d’état sanitaire au niveau des décors sculptés de l’arc brisé de la façade. Des petites têtes anthropomorphes du XIIIe ont été distinguées de la plupart des fleurons à motifs végétaux. Celles-ci sont discrètement dissimulées : les personnages se trouvent au centre de la composition, à la place des stigmates des fleurons. D’autres visages sculptés présents sur l’arc brisé datent clairement des travaux de la reconstruction après-guerre. En raison de leur exposition aux intempéries et de la nature de la pierre locale mise en œuvre, ces décors présentaient pour la plupart un épiderme fragilisé. Des petites fenêtres d’essais réalisées au début du chantier par la société TOLLIS, attributaire du marché de restauration du décor sculpté, ont permis de confirmer le choix de l’architecte d’utiliser le laser. Après avoir réalisé un micro-gommage fin et délicat, ces crochets anthropomorphes ont fait l’objet d’un nettoyage complémentaire à l’aide d’une machine, à exemplaire unique, fruit du développement de la société TOLLIS dans le but d’élaborer un laser de nouvelle génération. Une diode laser à haut rendement (et non plus une lampe flash) au rayonnement ultra-précis permet une désintégration photonique des encroûtements noirs qui sont littéralement pulvérisés. La pierre sous-jacente, de couleur claire, ne peut accumuler l’énergie lumineuse et se retrouve ainsi protégée, assurant ainsi la très grande sélectivité du nettoyage. L’énergie du faisceau est systématiquement calibrée.   Photo : Ville de Soissons – Frédéric Sartiaux
Il y a 4 ans et 186 jours

Plus de 70 millions d'euros d'investissements pour Hager

LOGISTIQUE ET PRODUCTION. Hager group, fournisseur de solutions électriques, a débloqué une enveloppe de 70 millions d'euros afin d'améliorer ses outils logistiques et de production dans le Bas-Rhin. Découvrez à quoi vont servir exactement ces investissements.
Il y a 4 ans et 186 jours

Le palmarès 2020 de la Fondation Jacques Rougerie : audacieux et visionnaire

La Fondation Jacques Rougerie dévoilait, le 10 décembre, les lauréats de son Concours international d’Architecture 2020. Un palmarès audacieux et visionnaire, qui met... Cet article Le palmarès 2020 de la Fondation Jacques Rougerie : audacieux et visionnaire est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 186 jours

Le trésor de la cathédrale d’Orléans est visible dans un nouvel écrin

Exposé dans deux vitrines mises en place dans la sacristie en 1939, le trésor de la cathédrale d’Orléans n’était plus visible du public depuis plusieurs décennies. Il bénéficie depuis 2020 d’un nouvel aménagement dans l’une des chapelles du déambulatoire, dédiée à saint Michel, qui est désormais vouée à sa présentation permanente. Une grande vitrine habillée de bois de chêne a été créée, offrant une bonne vue d’ensemble des objets et reprenant le volume du confessionnal néo-gothique en vis-à-vis duquel elle est implantée. Conçue dans le strict respect des normes de sécurité et de conservation préventive avec contrôle et régulation de l’hygrométrie intérieure, la vitrine bénéficie d’un éclairage soigné, mettant en valeur les pièces d’orfèvrerie exposées. La sécurité de la chapelle, placée, comme la vitrine, sous alarme électronique, a été renforcée par la pose, à l’extérieur, d’une grille de défense sur chacune des baies et, à l’entrée, d’une grille haute monumentale ; celle-ci intègre, en la renforçant, la clôture du XIXe siècle, ce qui a pour effet de maintenir, en partie basse, la continuité de niveau et de décor avec les clôtures des autres chapelles. Maîtrise d’ouvrage : Drac Centre-Val de Loire Maîtrise d’œuvre : Régis Martin (ACMH) Réalisation de la vitrine : Ateliers de la Chapelle  
Il y a 4 ans et 186 jours

La statue de Saint-Paul coupée par une grue

Le 7 décembre 2020, la statue de Saint-Paul de la cathédrale de Liège a été coupée en deux par une grue qui manœuvrait avec des charges. Le buste de la statue est tombé sur le toit, a glissé sur des ardoises, rebondi sur une corniche, avant de percer la toiture et de faire écrouler une partie du plafond intérieur, au dessus de l’entrée de la cathédrale. La partie inférieure de la statue est restée en place. Des débris sont tombés à l’intérieur de l’édifice en cours de restauration. Le buste a pu être retiré et déposé le lendemain. Des études vont être menées pour restaurer la sculpture. Photo : Sonuwe – Wikimedia
Il y a 4 ans et 186 jours

Philip Johnson bientôt radié du MoMA ?

Le Johnson Study Group - un collectif anonyme d'artistes et d'architectes - demande au MoMA de retirer le nom de Philip Johnson (1906-2005) de ses murs en raison des liens avérés de l'architecte avec le fascisme. Une demande soutenue par 38 personnalités du monde artistique dont 10 participeront le 20 Février prochain à l’exposition du MoMA, « Reconstructions: Architecture and Blackness in America ». Une installation considérée comme la première du MoMA à explorer l'architecture des...
Il y a 4 ans et 187 jours

Grand Paris Express : Vinci et Razel-Bec pour le viaduc de la ligne 18

Vinci Construction et ses filiales ont remporté en groupement avec Razerl-Bec un contrat de 193 M€ millions d'euros pour l’ensemble du génie civil de cet ouvrage d’art de 6,7 km
Il y a 4 ans et 187 jours

Île-de-france : LAYHER participe à la restauration des trois grands édifices – Publi-information

 Communiqué de presse  Décembre 2020      LAYHER, marque leader dans le secteur de l’échafaudage, est un acteur incontournable dans la rénovation des bâtiments historiques en Ile-de-France. L’entreprise participe actuellement à la restauration de trois édifices emblématiques : le Tribunal de Commerce, l’Église Saint-Pierre de Montrouge et la Maison d’éducation de la Légion d’Honneur.  TRIBUNAL DE COMMERCE  Situé dans le 4ème arrondissement de Paris, sur l’île de la Cité, le Tribunal de Commerce a ouvert ses portes en 1866, dessiné par l’architecte Antoine-Nicolas Louis Bailly à l’initiative de Napoléon III. Le corps principal de l’édifice est couronné d’un dôme de 45 mètres de hauteur renfermant une coupole habillée de grandes fenêtres oeil de boeuf.  En 2020, LAYHER a été sélectionnée afin de participer à la restauration du dôme et de la coupole vieux de plus de 150 ans. Un total de 150 tonnes a été disposé avec 30 tonnes dédiées à l’intérieur du bâtiment et 120 tonnes sur l’extérieur.  Un échafaudage a été installé dans l’escalier pour réaliser la réfection des murs intérieurs et les travaux sur la coupole.  Sur l’extérieur du bâtiment, un escalier d’accès à la toiture et une sapine de levage pour l’approvisionnement du matériel ont été mis en place. Une plateforme d’accès à la naissance du dôme et un échafaudage sur sa périphérie permettent de réaliser les travaux de réfection des pierres.  Afin de cacher les travaux sur le dôme, l’échafaudage extérieur a été réhaussé de 8 mètres pour permettre la mise en place d’une bâche décorative.      ÉGLISE SAINT PIERRE DE MONTROUGE  L’église Saint-Pierre de Montrouge est située dans le 14ème arrondissement de Paris, dans le quartier du Petit-Montrouge. Dans un style néo-roman, elle a été construite entre 1863 et 1872 sur les plans de l’architecte Joseph Auguste Émile Vaudremer.  Au fil des années, les pierres constituant la flèche du clocher se sont détériorées, nécessitant une dépose complète de celles-ci pour une restauration à l’identique avec la pierre de Sainte-Maximim. L’enjeu du chantier de restauration est de reconstruire à l’identique la flèche du clocher qui culmine à 58 mètres de hauteur.  Un échafaudage de la gamme LAYHER Universel LightWeight bâché et un lift ont été placés le long de la tour de 0 à 38 mètres afin d’accéder à la partie supérieure. Autour de la flèche, de 38 à 58 mètres, est disposé un échafaudage non bâché pour réaliser les travaux de dépose/repose des pierres. Pour cela, LAYHER a mis en place un pont roulant inédit en échafaudage.    MAISON D’ÉDUCATION DE LA LÉGION D’HONNEUR  Construite au 18ème siècle, la Maison d’Éducation de la Légion d’Honneur de Saint-Denis, anciennement monastère, a été transformée en maison pour l’instruction des filles par Napoléon. Elle occupe les bâtiments de l’ancienne abbaye royale, à proximité de la Basilique de Saint-Denis en plein coeur de la ville.  Dans le cadre du chantier de restauration de la Maison d’Éducation de la Légion d’Honneur, LAYHER a été chargée par le Fond de Dotation Légion d’Honneur Éducation d’installer une structure en parapluie et les différentes installations du chantier tels que les lift, palissades, installations électriques, et base vie.  Le chantier concerne la restauration de la toiture de l’aile sud et du pavillon central de l’ancienne abbaye royale de Saint-Denis. Il a été réalisé par Échafaudage Service, filiale de Layher SAS spécialisée dans les montages complexes, et engage environ 180 tonnes de matériel.  L’étude réalisée par le Bureau d’étude LAYHER a permis la mise en oeuvre de structures limitant l’impact des travaux sur l’exploitation de l’édifice.  Le matériel Universel LightWeight a été utilisé pour réaliser les sapines d’appuis des planchers de travail et du parapluie. Ce matériel a été installé au droit des trumeaux en pierre afin de conserver l’éclairage naturel du bâtiment.  Le parapluie Couvralu permet de protéger les ouvriers et l’édifice des intempéries tout en conservant une bonne luminosité, facteur indispensable des chantiers de restauration. Avec une portée de 20 mètres et couvrant une surface de 1520 m², le parapluie a été conçu sur deux niveaux avec des versants asymétriques permettant de limiter les prises au vent sur les ouvrages.  Un monte-charge a également été installé par LAYHER pour faciliter l’approvisionnement des matériaux en hauteur.  À propos de Layher  Implantée en France depuis 1980, la société Layher a révolutionné le monde de l’échafaudage par des solutions novatrices et sécuritaires. Elle met à la disposition de ses clients un stock location de 40 000 tonnes de matériel reparti sur ses 10 dépôts, mais aussi un bureau d’étude composé d’experts, consulté pour les chantiers les plus techniques (Palais de Justice, Banque de France, Grand Palais…). Eric Limasset, Président de Layher SAS, filiale du leader européen de l’échafaudage, assure également la responsabilité des filiales Layher Formation, Layher Maroc et Layher Côte d’Ivoire.  www.layher.fr 
Il y a 4 ans et 187 jours

Bordeaux : Bouygues TP Régions France obtient le marché du pont Simone-Veil

Interrompus en juin 2018 en raison d’un différend entre l’entreprise Razel-Bec (Fayat) - initialement chargée du projet - et Bordeaux Métropole, les travaux du pont Simone-Veil reprendront en janvier 2021. Le marché de travaux vient d’être attribué à Bouygues Travaux publics Régions France et son co-traitant Pro-Fond pour un montant d’environ 47,2 millions d’euros. La mise en service est envisagée début 2024.
Il y a 4 ans et 187 jours

Buffalo, la chaussure de sécurité haute performance signée Difac

Depuis 40 ans, Difac propose des équipements de protection et des vêtements de travail pour que les femmes et les hommes de la construction et du BTP puissent exercer leur métier en toute sécurité. Ainsi, il dévoile sa nouvelle gamme VM Footwear. Cette dernière est composée d’une vingtaine de chaussures de sécurité adaptées à toutes les activités professionnelles. Améliorant considérablement le confort et la résistance. Le modèle Buffalo Parmi les nouveautés, la chaussure de sécurité Buffalo normée S3. Elle est dotée des semelles “Soles by Michelin”, d’un système de fermeture Boa, d’une tige en cuir pleine fleur et d’une doublure membranée respirante imperméable Free-Tex. La nouvelle chaussure est adaptée à tous les corps de métier, dans des environnements difficiles, boueux et huileux. Elle peut aussi bien se porter dans un milieu chaud ou froid. Difac dévoile sa nouvelle chaussure de sécurité Buffalo. [©Difac] Coté ligne, une attention toute particulière a été portée par les concepteurs. La Buffalo se coordonne facilement à toutes les tenues grâce à un choix de coloris intemporels : le noir et le rouge. Son système intelligent permet de l’enfiler et de l’enlever rapidement. En effet, les lacets classiques sont remplacés par un fil en acier inoxydable relié à une molette mécanique. Ainsi, le serrage devient plus rapide, plus simple et le pied reste parfaitement maintenu. Dotée de la technologie “Hardheel Structured” située dans la zone du talon, la Buffalo assure une stabilité parfaite du pied. Etre bien jusqu’au bout des orteils…