Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

(61697 résultats)
Il y a 8 ans et 22 jours

Start-up : l'accélérateur parisien Impulse Labs arrive à Londres

La structure, qui accompagne les jeunes pousses dans les univers du BTP et de l'immobilier, s'est implanté au c"ur de la capitale anglaise. Elle vient d'y organiser une première session de pitch. Plusieurs entreprises anglaises sont déjà partenaires, comme les filiales anglaises des groupes français.
Il y a 8 ans et 22 jours

Une immense plateforme logistique en lamellé collé sort de terre en Eure-et-Loir

CHANTIER. La plateforme logistique du groupe Carrefour comprenant pas moins de 120.000 de m² de charpente bois lamellé collé est en train de sortir de terre à Pourpry (Eure-et-Loir). Une opération de grande envergure réalisée par le promoteur-contractant général GSE et Arbonis, filiale de Vinci construction spécialisée dans le bois.
Il y a 8 ans et 22 jours

Une maison de verre pour faire la lumière sur l'histoire européenne

Le parlement européen a inauguré, le 4 mai, un lieu d'exposition d'environ 10 000 m² pour comprendre sur quelles fondations repose l'Union. L'architecture, franco-allemande, est cosignée des agences Chaix & Morel et Associés et JSWD Architekten.
Il y a 8 ans et 22 jours

Travailleurs détachés en France, une contribution de 40 euros réclamée

Un décret, publié le 5 mai 2017, fixe la contribution des employeurs établis hors de France détachant des salariés en France dont l'objectif est de compenser les coûts de mise en place du système de dématérialisation de déclaration et contrôle des détachements de travailleurs. Une somme qui sera réclamée au donneur d'ordre ou maître d'ouvrage dans certains cas.
Il y a 8 ans et 22 jours

France Énergie livre 700 pompes à chaleur pour un immeuble de bureaux

700 pompes à chaleur individuelles et décentralisées conçues pour un immeuble de bureaux restructuré de 21.300 m2.
Il y a 8 ans et 22 jours

Banksy : Hotel Walled Off

Après le parc d'attraction de Bristol Dismaland, le street-artiste britannique Banksy continue de parodier la culture populaire à des fins artistiques et politiques. Son nouveau projet, The Walled Off Hotel (littéralement " l'hôtel coupé par le mur "), en référence à la chaîne d'hôtellerie de luxe, Waldorf Astoria, prend place à Bethléem en Cisjordanie, à quelques pas de la barrière de sécurité sur laquelle l'artiste était déjà intervenu. Le Walled Off est un réinvestissement d'une maison d'hôte déjà existante située tout près du célèbre mur séparant les Israéliens et Palestiniens. L'hôtel est tout ce qu'il y a de plus traditionnel mais est également une "uvre d'art à part entière. Sur les neufs chambres, sept sont décorées et agencées par le graffeur tandis que les deux autres ont été confiées aux soins de l'artiste palestinien Sami Musa et de son confrère canadien Dominique Petrin. Plusieurs types de logements sont disponibles : les Artists, pleines d'"uvres d'art originales ; les économiques Budgets équipées des surplus de baraquements de l'armée israélienne ; les Scenic, offrant des vues imprenables sur le mur ; et la suite " présidentielle ", pouvant accueillir jusqu'à six personnes et décorée dans un style très kitsch. La résidence prévoit également des espaces communs tels qu'un piano-bar de style colonial faisant référence à la Grande-Bretagne qui, en 1917, s'est emparée de Jérusalem. On y sert d'ailleurs des spécialités anglaises comme des scones ou du thé. Dans cet espace en décalage avec le lieu Banksy installe des "uvres à visée volontairement contestataire : des caméras de surveillance remplacent alors les trophées de chasse, les graffitis recouvrent les fenêtres, les tableaux classiques deviennent des scènes de vandalisme, les représentations pastorales sont balayées par des bulldozers et les statuts Renaissance sont enveloppés de nuages toxiques. L'hôtel est également doté d'un musée dédié à l'histoire du mur, d'une galerie présentant des expositions temporaires d'artistes émergents, d'une salle d'exposition permanente composée d'une vingtaine de réalisations contemporaines palestiniennes, et d'une salle de projection.   Pour tous ceux qui se posent des questions sur la motivation de ce projet, le site web de l'hôtel a mis en place une rubrique " Questions ", où il tente de répondre aux interrogations les plus fréquentes et grâce à laquelle nous en apprenons plus sur la nature de cet édifice si particulier. " L'hôtel Walled Off est une structure de loisir entièrement indépendante mise en place et financée par Banksy. Il n'est aligné sur aucun mouvement politique ni à aucun groupe de pression. Le but est de raconter l'histoire de ce mur des deux côtés et de donner aux visiteurs l'opportunité de le découvrir par eux-mêmes. " Walled Off Hotel Banksy, qui a toujours été très inspiré par le conflit israélo-palestinien, avait déjà agrémenté les murs de Gaza de ses fresques murales. Il livre ici un lieu unique, à la fois mine d'or pour les amateurs d'art et sensibilisateur aux luttes de cette région du monde, dont tous les bénéfices sont reversés à des associations et projets locaux. Photographies : Walled Off Hotel Pour en savoir plus, visitez le site de l'hôtel Walled Off
Il y a 8 ans et 22 jours

Banksy : Hotel Walled Off

Après le parc d'attraction de Bristol Dismaland, le street-artiste britannique Banksy continue de parodier la culture populaire à des fins artistiques et politiques. Son nouveau projet, The Walled Off Hotel (littéralement " l'hôtel coupé par le mur "), en référence à la chaîne d'hôtellerie de luxe, Waldorf Astoria, prend place à Bethléem en Cisjordanie, à quelques pas de la barrière de sécurité sur laquelle l'artiste était déjà intervenu. Le Walled Off est un réinvestissement d'une maison d'hôte déjà existante située tout près du célèbre mur séparant les Israéliens et Palestiniens. L'hôtel est tout ce qu'il y a de plus traditionnel mais est également une "uvre d'art à part entière. Sur les neufs chambres, sept sont décorées et agencées par le graffeur tandis que les deux autres ont été confiées aux soins de l'artiste palestinien Sami Musa et de son confrère canadien Dominique Petrin. Plusieurs types de logements sont disponibles : les Artists, pleines d'"uvres d'art originales ; les économiques Budgets équipées des surplus de baraquements de l'armée israélienne ; les Scenic, offrant des vues imprenables sur le mur ; et la suite " présidentielle ", pouvant accueillir jusqu'à six personnes et décorée dans un style très kitsch. La résidence prévoit également des espaces communs tels qu'un piano-bar de style colonial faisant référence à la Grande-Bretagne qui, en 1917, s'est emparée de Jérusalem. On y sert d'ailleurs des spécialités anglaises comme des scones ou du thé. Dans cet espace en décalage avec le lieu Banksy installe des "uvres à visée volontairement contestataire : des caméras de surveillance remplacent alors les trophées de chasse, les graffitis recouvrent les fenêtres, les tableaux classiques deviennent des scènes de vandalisme, les représentations pastorales sont balayées par des bulldozers et les statuts Renaissance sont enveloppés de nuages toxiques. L'hôtel est également doté d'un musée dédié à l'histoire du mur, d'une galerie présentant des expositions temporaires d'artistes émergents, d'une salle d'exposition permanente composée d'une vingtaine de réalisations contemporaines palestiniennes, et d'une salle de projection.   Pour tous ceux qui se posent des questions sur la motivation de ce projet, le site web de l'hôtel a mis en place une rubrique " Questions ", où il tente de répondre aux interrogations les plus fréquentes et grâce à laquelle nous en apprenons plus sur la nature de cet édifice si particulier. " L'hôtel Walled Off est une structure de loisir entièrement indépendante mise en place et financée par Banksy. Il n'est aligné sur aucun mouvement politique ni à aucun groupe de pression. Le but est de raconter l'histoire de ce mur des deux côtés et de donner aux visiteurs l'opportunité de le découvrir par eux-mêmes. " Walled Off Hotel Banksy, qui a toujours été très inspiré par le conflit israélo-palestinien, avait déjà agrémenté les murs de Gaza de ses fresques murales. Il livre ici un lieu unique, à la fois mine d'or pour les amateurs d'art et sensibilisateur aux luttes de cette région du monde, dont tous les bénéfices sont reversés à des associations et projets locaux. Photographies : Walled Off Hotel Pour en savoir plus, visitez le site de l'hôtel Walled Off
Il y a 8 ans et 22 jours

SPORTS : Runaway

C'est dans le cadre de l'événement Takepart | makeart: taking art outdoors organisé par la ville de Santa Barbara (USA), que l'agence de design SPORTS présente l'installation Runaway, lauréate du concours Take part | Make art organisé par le Musée d'art contemporain de Santa Barbara.   Ce pavillon se compose de trois structures géométriques en treillis métallique chatoyant : jaune, cyan et magenta. Le projet, qui sera exposé dans six autres sites, s'inscrit dans une démarche contemporaine de présentation au public en dehors des lieux conventionnels d'exhibition. Les trois modules de Runaway intègrent ainsi le décor urbain, ici le front de mer. Cette installation grillagée permet en outre différentes appropriations par les riverains " banc, salon, mur d'escalade ou encore scène de spectacle ", qui deviennent alors acteurs. De cette manière, l'agence SPORTS, composée de Greg Corso et Molly Hunker, espère que Runaway n'affiche jamais deux fois le même visage grâce aux différents lieux et appropriations que la pièce sera amenée à côtoyer, révélant sa nature multifonctionnelle. " Runaway privilégie l'effet visuel et l'atmosphère qui s'en dégage et, ce faisant, agit comme un sublime spectacle et un objet du décor urbain pour les différentes communautés de Santa Barbara. " SPORTS Pour SPORTS, il faut étendre la portée du design : aussi bien pour les lieux dans lesquels il prend place que pour les personnes auxquelles il se destine. Photographies : Elliot Lowndes. Pour en savoir plus, visitez le site de SPORTS  
Il y a 8 ans et 22 jours

Révélations : Biennale Internationale des Métiers d'Art et de la Création

Pour sa troisième édition et suite au succès des deux premières, la Biennale internationale des métiers d'art et de la création, Révélations, réinvestit le Grand Palais pour un salon entièrement dédié à la création contemporaine. Depuis 2013, la Biennale internationale des métiers d'art et de la création, Révélations, créée par le groupe professionnel Ateliers d'Art de France, a lieu au Grand Palais la première semaine de mai de chaque année impaire " alternant avec Monumenta. Elle rassemble collectionneurs, architectes et galeristes internationaux. Révélations est ainsi avant tout un rendez-vous culturel où le savoir-faire et la création sont mis à l'honneur. Avec plus de 400 exposants (artisans d'art, designers, galeristes, maisons, écoles et fondations), sélectionnés par un Comité d'orientation artistique composé de personnalités internationales et présidé par Serge Nicole, l'événement permet aux créateurs et fabricants de bénéficier d'un véritable tremplin et à tous de découvrir des "uvres d'une grande diversité. Pour cette édition, on retrouve ce qui a fait le succès de Révélations : une scénographie soignée, signée cette année du Studio Gradère, des expositions, et la mise en avant d'un pays, invité d'honneur. Après la Norvège et la Corée du Sud, cette année, c'est le Chili qui est sélectionné pour en être la nation vedette présentée sur un stand conçu par les artistes Nury Gonzàlez et Pablo Nuñez, sur le modèle des maisons traditionnelles de ce territoire. Le pays présente alors un florilège de créateurs de métiers d'art tous novateurs et stimulants, et rend hommage à sa compatriote Violeta Parra, artiste mondialement connue, à travers un projet manifeste. Les techniques traditionnelles de cette contrée, souvent ancestrales, sont ici revisitées par des joaillers, créateurs textiles, sculpteurs et autres artistes et artisans. L'exposition internationale " Le Banquet " prolonge cette invitation au voyage à travers neuf autres pays sélectionnés " l'Allemagne, la Suisse, la Belgique, le Luxembourg, la Corée du Sud, la Russie, la Chine, Le Sénégal et le Togo ", qui révèlent une série d'"uvres chacune spécialement élaborée pour la biennale. L'Allemagne présente par exemple l'une de ses céramistes contemporaines phares, Claudia Biehne, tandis que pour la Russie, grâce à Urban Art Nations " une plateforme réunissant designers et artisans d'art ", nous dévoile " Black Stuff " de Maria Koshenskova, une "uvre traitant de la question de l'identité. L'occasion de découvrir les techniques et les arts d'autres cultures tout en traitant de questions actuelles. L'exhibition promeut également des pièces d'une grande dextérité par la représentation d'ateliers et d'artistes plus que prometteurs. Nous pouvons donc découvrir le travail des Ateliers Amea Estampille 52 et plus précisément de l'ébéniste Adrien Ancel excellant dans la fabrication de sièges sur ressorts sculptés en bouleau ou encore celui de Luce Couillet, diplômée en Design Textile à l'École nationale supérieure de création industrielle de Paris. Inspirée du tissage artisanale, cette dernière réalise ici une série de mobiles tissés en bois ou en papier. Durant quatre jours, il est également possible de découvrir l'exposition " Péri'Fabrique ", issue d'un programme de co-création mis en place par les D'Days et soutenu par la Fondation Bettencourt Schueller et le territoire d'Est Ensemble Grand Paris. Cette initiative réunit artisans d'art et designers, qui perçoivent une bourse qui permet de financer la création d'"uvres expérimentales. L'approche est originale : l'artisan choisit le designer avec lequel il souhaite collaborer et ne voit aucun dessin avant le début du processus de création. Les travaux issus de ces rencontres sont visibles sous la verrière du Grand Palais durant toute la durée du salon. Révélations, en partenariat avec Muuuz, vous invite du 4 au 8 mai à voyager et à découvrir savoir-faire et techniques des artistes et artisans de demain. Photographies : PhotoproeventPour en savoir plus, visitez le site de Révélations 3) Allemagne " Claudia Biehne © DR4) Russie " Denis Milovanov © Artyom Ibatullin5) Adrien Ancel, Ateliers Amea Estampille © Alpha Re6) Luce Couillet © Baptiste Heller7) Paravent-Ara Grégoire de Lafforest et Mireille Herbst © Jérome Galland
Il y a 8 ans et 22 jours

Révélations : Biennale Internationale des Métiers d'Art et de la Création

Pour sa troisième édition et suite au succès des deux premières, la Biennale internationale des métiers d'art et de la création, Révélations, réinvestit le Grand Palais pour un salon entièrement dédié à la création contemporaine. Depuis 2013, la Biennale internationale des métiers d'art et de la création, Révélations, créée par le groupe professionnel Ateliers d'Art de France, a lieu au Grand Palais la première semaine de mai de chaque année impaire " alternant avec Monumenta. Elle rassemble collectionneurs, architectes et galeristes internationaux. Révélations est ainsi avant tout un rendez-vous culturel où le savoir-faire et la création sont mis à l'honneur. Avec plus de 400 exposants (artisans d'art, designers, galeristes, maisons, écoles et fondations), sélectionnés par un Comité d'orientation artistique composé de personnalités internationales et présidé par Serge Nicole, l'événement permet aux créateurs et fabricants de bénéficier d'un véritable tremplin et à tous de découvrir des "uvres d'une grande diversité. Pour cette édition, on retrouve ce qui a fait le succès de Révélations : une scénographie soignée, signée cette année du Studio Gradère, des expositions, et la mise en avant d'un pays, invité d'honneur. Après la Norvège et la Corée du Sud, cette année, c'est le Chili qui est sélectionné pour en être la nation vedette présentée sur un stand conçu par les artistes Nury Gonzàlez et Pablo Nuñez, sur le modèle des maisons traditionnelles de ce territoire. Le pays présente alors un florilège de créateurs de métiers d'art tous novateurs et stimulants, et rend hommage à sa compatriote Violeta Parra, artiste mondialement connue, à travers un projet manifeste. Les techniques traditionnelles de cette contrée, souvent ancestrales, sont ici revisitées par des joaillers, créateurs textiles, sculpteurs et autres artistes et artisans. L'exposition internationale " Le Banquet " prolonge cette invitation au voyage à travers neuf autres pays sélectionnés " l'Allemagne, la Suisse, la Belgique, le Luxembourg, la Corée du Sud, la Russie, la Chine, Le Sénégal et le Togo ", qui révèlent une série d'"uvres chacune spécialement élaborée pour la biennale. L'Allemagne présente par exemple l'une de ses céramistes contemporaines phares, Claudia Biehne, tandis que pour la Russie, grâce à Urban Art Nations " une plateforme réunissant designers et artisans d'art ", nous dévoile " Black Stuff " de Maria Koshenskova, une "uvre traitant de la question de l'identité. L'occasion de découvrir les techniques et les arts d'autres cultures tout en traitant de questions actuelles. L'exhibition promeut également des pièces d'une grande dextérité par la représentation d'ateliers et d'artistes plus que prometteurs. Nous pouvons donc découvrir le travail des Ateliers Amea Estampille 52 et plus précisément de l'ébéniste Adrien Ancel excellant dans la fabrication de sièges sur ressorts sculptés en bouleau ou encore celui de Luce Couillet, diplômée en Design Textile à l'École nationale supérieure de création industrielle de Paris. Inspirée du tissage artisanale, cette dernière réalise ici une série de mobiles tissés en bois ou en papier. Durant quatre jours, il est également possible de découvrir l'exposition " Péri'Fabrique ", issue d'un programme de co-création mis en place par les D'Days et soutenu par la Fondation Bettencourt Schueller et le territoire d'Est Ensemble Grand Paris. Cette initiative réunit artisans d'art et designers, qui perçoivent une bourse qui permet de financer la création d'"uvres expérimentales. L'approche est originale : l'artisan choisit le designer avec lequel il souhaite collaborer et ne voit aucun dessin avant le début du processus de création. Les travaux issus de ces rencontres sont visibles sous la verrière du Grand Palais durant toute la durée du salon. Révélations, en partenariat avec Muuuz, vous invite du 4 au 8 mai à voyager et à découvrir savoir-faire et techniques des artistes et artisans de demain. Photographies : PhotoproeventPour en savoir plus, visitez le site de Révélations 3) Allemagne " Claudia Biehne © DR4) Russie " Denis Milovanov © Artyom Ibatullin5) Adrien Ancel, Ateliers Amea Estampille © Alpha Re6) Luce Couillet © Baptiste Heller7) Paravent-Ara Grégoire de Lafforest et Mireille Herbst © Jérome Galland
Il y a 8 ans et 22 jours

SPORTS : Runaway

C'est dans le cadre de l'événement Takepart | makeart: taking art outdoors organisé par la ville de Santa Barbara (USA), que l'agence de design SPORTS présente l'installation Runaway, lauréate du concours Take part | Make art organisé par le Musée d'art contemporain de Santa Barbara.   Ce pavillon se compose de trois structures géométriques en treillis métallique chatoyant : jaune, cyan et magenta. Le projet, qui sera exposé dans six autres sites, s'inscrit dans une démarche contemporaine de présentation au public en dehors des lieux conventionnels d'exhibition. Les trois modules de Runaway intègrent ainsi le décor urbain, ici le front de mer. Cette installation grillagée permet en outre différentes appropriations par les riverains " banc, salon, mur d'escalade ou encore scène de spectacle ", qui deviennent alors acteurs. De cette manière, l'agence SPORTS, composée de Greg Corso et Molly Hunker, espère que Runaway n'affiche jamais deux fois le même visage grâce aux différents lieux et appropriations que la pièce sera amenée à côtoyer, révélant sa nature multifonctionnelle. " Runaway privilégie l'effet visuel et l'atmosphère qui s'en dégage et, ce faisant, agit comme un sublime spectacle et un objet du décor urbain pour les différentes communautés de Santa Barbara. " SPORTS Pour SPORTS, il faut étendre la portée du design : aussi bien pour les lieux dans lesquels il prend place que pour les personnes auxquelles il se destine. Photographies : Elliot Lowndes. Pour en savoir plus, visitez le site de SPORTS  
Il y a 8 ans et 22 jours

SPORTS : Runaway

C'est dans le cadre de l'événement Takepart | makeart: taking art outdoors organisé par la ville de Santa Barbara (USA), que l'agence de design SPORTS présente l'installation Runaway, lauréate du concours du même nom organisé par le Musée d'art contemporain de Santa Barbara.   Ce pavillon se compose de trois structures géométriques en treillis métallique chatoyant : jaune, cyan et magenta. Le projet, qui sera exposé dans six autres sites, s'inscrit dans une démarche contemporaine de présentation au public en dehors des lieux conventionnels d'exhibition. Cette installation grillagée permet en outre différentes appropriations par les riverains " banc, salon, mur d'escalade ou encore scène de spectacle ", qui deviennent alors acteurs de l'oeuvre. De cette manière, l'agence SPORTS, composée de Greg Corso et Molly Hunker, espère que Runaway n'affiche jamais deux fois le même visage grâce aux différents lieux que la pièce sera amenée à côtoyer, révélant sa nature multifonctionnelle. " Runaway privilégie l'effet visuel et l'atmosphère qui s'en dégage et, ce faisant, agit comme un sublime spectacle et un objet du décor urbain pour les différentes communautés de Santa Barbara. " SPORTS Pour SPORTS, il faut étendre la portée du design : aussi bien pour les lieux dans lesquels il prend place que pour les personnes auxquelles il se destine. Photographies : Elliot Lowndes. Pour en savoir plus, visitez le site de SPORTS  
Il y a 8 ans et 22 jours

Révélations : Prix de la Jeune Création Métiers d'Art 2016-2017

Le Prix de la Jeune Création Métier d'Art, mis en place par les Ateliers d'Art de France, est une récompense qui vise à propulser des designers de moins de 35 ans sur le devant de la scène. Pour cette édition, cinq lauréats ont exposé leurs travaux durant le salon Révélations. Portrait de ces créateurs en devenir à suivre de près.   Camille Bellot et Paul Bouteiller Tous deux passionnés par l'univers de la mode " elle, diplômée de l'école Duperré, spécialisée en mode et en environnement ; lui, de l'École de design de la Ville de Paris en communication visuelle, mode et design ", Camille et Paul décident de s'associer dans le but de " faire naître des figures graphiques dans l'espace ". De cette envie est né leur animal mystérieux, sorte de canidé aux crocs acérés, fait de bois et de papier. Leur création est hybride, entre costume, masque, totem, jeu de construction, masque ou sculpture, elle se situe à la croisée des chemins de nombreuses influences. Leur collaboration a ainsi déjà été repérée pour orner les boutiques de grands noms du monde du luxe, comme celles de John Galliano ou de Royal Quartz.   Marine DominiczakLe travail de Marine est basé sur " les relations qu'entretient le corps avec son environnement et sa perception au sein de la société ". Après une formation en design, elle se spécialise dans la joaillerie et intègre l'atelier bijou de la Haute École des Arts du Rhin de Strasbourg jusqu'en 2013. Remarquée grâce à l'un de ses premiers travaux Mes Cales (2013), série de galets en fonte d'aluminium inspirés d'empreintes corporelles, elle continue depuis d'explorer le rapport entre l'objet et le corps. Pour cette réalisation, la matière doit en effet être maintenue par la personne, la plaçant volontairement dans une situation d'immobilité. Ici, l'objet contraint son sujet. Aujourd'hui en résidence à Séoul (Corée), la créatrice continue de développer sa démarche, abordant notamment le sujet de la chirurgie esthétique ou de l'usage démesuré du miroir.   Yiyan ZhouAprès une formation en design à l'Université Normale de Shangaï (Chine) puis un emploi de graphiste pendant quatre ans, l'artiste originaire de l'est de la Chine commence une nouvelle vie à Paris, en 2007, où elle entame un cursus de photographie et de stylisme au Studio Berçot. Charmée par la douceur de la porcelaine, elle entre à la Manufacture de Sèvres. En découle White Blanc & Bai, collection de bijoux/sculptures dont la finesse est récompensée par le Grand Prix de la Création de la Ville de Paris. Yiyan organise ses bijoux autour de la figure du cercle, symbole de la perfection et figure omniprésente dans la culture chinoise. Son façonnage de la porcelaine a également été exposé lors de la Design Week de Milan de 2015 et à l'occasion de l'évènement " Bijoux, objets d'art en porcelaine " à la Galerie Minimasterpiece à Paris en 2016.   Maxime LeroyAvec la plume comme matière de prédilection, Maxime réalise des "uvres sculpturales et graphiques sur n'importe quel support, en exploitant tout le potentiel avec une grande dextérité. Après plus de dix ans de maîtrise de ce matériau atypique, le concepteur fonde sa marque, M. Marceau en 2013, puis collabore avec de grandes maisons comme Chanel, Givenchy, Jean Paul Gauthier ou encore Louis Vuitton. En parallèle, il enseigne également la plumasserie au lycée Octave Feuillet , unique établissement dédié à l'apprentissage ce savoir-faire rare.   Marie MassonCette jeune créatrice formée à l'École Nationale Supérieure d'Art de Limoge puis à la Central St Martin's School de Londres au département Ceramics, Jewellery and Furniture redéfinit la parure féminine et masculine. Avec ses bijoux sculpturaux, elle sublime les corps. Marie exerce à partir de matière animale et humaine et met en forme des objets insolites, comme des cravates en crin de cheval, des broches de plumes ou même des objets de toilette décorés de cheveux. Elle évolue aujourd'hui en tant qu'artiste indépendante et expose ses réalisations lors de nombreux événements français ou étrangers. Photographies : Portraits (de gauche à droite) :1) Camille Bellot et Paul Bouteillier2) DR Marine Dominiczak3) Yiyan Zhou4) Julien Cresp5) Julien Cresp Oeuvres :1) Julien Cresp2) Julien Cresp3) Julien Cresp4) Atelier M.Marceau5) Julien Cresp Pour en savoir plus, visitez le site de Révélations
Il y a 8 ans et 22 jours

Révélations : Prix de la Jeune Création Métiers d'Art 2016-2017

Le Prix de la Jeune Création Métier d'Art, mis en place par les Ateliers d'Art de France, est une récompense qui vise à les propulser les designers de moins de 35 ans sur le devant de la scène. Pour cette édition, cinq lauréats ont pu exposer leurs travaux durant le salon Révélations. Portrait de ces jeunes talents, à suivre de près. Camille Bellot et Paul Bouteiller Tous deux passionnés par l'univers de la mode " elle, diplômée de l'école Duperré, spécialisée en mode et en environnement ; lui, de l'École de design de la Ville de Paris en communication visuelle, mode et design ", Camille et Paul décident de s'associer dans le but de " faire naître des figures graphiques dans l'espace ". De cette envie est né leur animal mystérieux, sorte de canidé aux crocs acérés, fait de bois et de papier. Leur création est hybride, entre costume, masque, totem, jeu de construction, masque ou sculpture, elle se situe à la croisée des chemins de nombreuses influences. Leur collaboration a ainsi déjà été repérée pour orner les boutiques de grands noms du monde du luxe, comme celles de John Galliano ou de Royal Quartz.   Marine DominiczakLe travail de Marine est basé sur " les relations qu'entretient le corps avec son environnement et sa perception au sein de la société ". Après une formation en design, elle se spécialise dans la joaillerie et intègre l'atelier bijou de la Haute École des Arts du Rhin de Strasbourg jusqu'en 2013. Remarquée grâce à l'un de ses premiers travaux Mes Cales (2013), série de galets en fonte d'aluminium inspirés d'empreintes corporelles, elle continue depuis d'explorer le rapport entre l'objet et le corps. Pour cette réalisation, la matière doit en effet être maintenue par la personne, la plaçant volontairement dans une situation d'immobilité. Ici, l'objet contraint son sujet. Aujourd'hui en résidence à Séoul (Corée), la créatrice continue de développer sa démarche, abordant notamment le sujet de la chirurgie esthétique ou de l'usage démesuré du miroir.   Yiyan ZhouAprès une formation en design à l'Université Normale de Shangaï (Chine) puis un emploi de graphiste pendant quatre ans, l'artiste originaire de l'est de la Chine commence une nouvelle vie à Paris, en 2007, où elle entame un cursus de photographie et de stylisme au Studio Berçot. Charmée par la douceur de la porcelaine, elle entre à la Manufacture de Sèvres. En découle White Blanc & Bai, collection de bijoux/sculptures dont la finesse est récompensée par le Grand Prix de la Création de la Ville de Paris. Yiyan organise ses bijoux autour de la figure du cercle, symbole de la perfection et figure omniprésente dans la culture chinoise. Son façonnage de la porcelaine a également été exposé lors de la Design Week de Milan de 2015 et à l'occasion de l'évènement " Bijoux, objets d'art en porcelaine " à la Galerie Minimasterpiece à Paris en 2016.   Maxime LeroyAvec la plume comme matière de prédilection, Maxime réalise des "uvres sculpturales et graphiques sur n'importe quel support, en exploitant tout le potentiel avec une grande dextérité. Après plus de dix ans de maîtrise de ce matériau atypique, le concepteur fonde sa marque, M. Marceau en 2013, puis collabore avec de grandes maisons comme Chanel, Givenchy, Jean Paul Gauthier ou encore Louis Vuitton. En parallèle, il enseigne également la plumasserie au lycée Octave Feuillet , unique établissement dédié à l'apprentissage ce savoir-faire rare.   Marie MassonCette jeune créatrice formée à l'École Nationale Supérieure d'Art de Limoge puis à la Central St Martin's School de Londres au département Ceramics, Jewellery and Furniture redéfinit la parure féminine et masculine. Avec ses bijoux sculpturaux, elle sublime les corps. Marie exerce à partir de matière animale et humaine et met en forme des objets insolites, comme des cravates en crin de cheval, des broches de plumes ou même des objets de toilette décorés de cheveux. Elle évolue aujourd'hui en tant qu'artiste indépendante et expose ses réalisations lors de nombreux événements français ou étrangers. Photographies :1) Julien Cresp2) Julien Cresp3) Julien Cresp4) Atelier M.Marceau5) Julien Cresp Pour en savoir plus, visitez le site de Révélations
Il y a 8 ans et 22 jours

Le concours d'architecture des façades relancé à Paris

Abandonné dans les années 1930, le concours d'architecture des façades va être relancé à Paris. Le Conseil de Paris a approuvé cette proposition qui stimulera "la créativité des architectes" et relancera "l'exigence d'esthétisme".
Il y a 8 ans et 22 jours

L'ossature bois décryptée

Un guide à vocation technique et pédagogique sur la conception technique et la mise en "uvre de l'ossature bois vient d'être publié. Un inventaire des différentes étapes à suivre.
Il y a 8 ans et 22 jours

Présidentielle 2017 : Emmanuel Macron défend son programme pour la construction

INTERVIEW EXCLUSIVE. Politique du logement et de la construction, taxation des entreprises, dispositifs fiscaux, Régime social des indépendants (RSI), travail illégal... A deux jours du second tour de l'élection présidentielle, Emmanuel Macron, candidat du parti En Marche ! répond à nos questions et aux préoccupations de nos lecteurs.
Il y a 8 ans et 22 jours

Projets publics : voilà comment il faudra calculer les émissions de gaz à effet de serre

Un décret publié au Journal Officiel détaille les principes et modalités de calcul des émissions de gaz à effet de serre des projets soumis à étude d'impact, de construction ou de rénovation de bâtiments d'un montant d'investissement supérieur à 20 000 000 euros hors taxes ou d'une surface de plancher supérieure à 10 000 m2.
Il y a 8 ans et 22 jours

Imer finalise la mise à niveau de ses ciseaux

Avec la sortie pour Apex de ses dernières nacelles ciseaux électriques série IM122, Imer achève le renouvellement de son offre en proposant un concept unique en terme de capacité de charge et de compacité.
Il y a 8 ans et 22 jours

Système dématérialisé : les entreprises qui détachent des salariés devront mettre la main à la poche

Un décret du 3 mai 2017 met les employeurs qui détachent des travailleurs en France à contribution pour le financement du système dématérialisé de déclaration et de contrôle. Néanmoins, en cas de manquement de ces derniers, le donneur d'ordre ou maître d'ouvrage devra régler les sommes sur ses propres deniers.
Il y a 8 ans et 22 jours

JLG se projette dans l'avenir

JLG aborde le sujet de l'élévation de personnes en intégrant les futurs besoins des utilisateurs, imposés tant par les normes de sécurité que par de nouvelles applications. Outre la motorisation hybride, JLG innove par des systèmes de sécurité par cellules ou par des concepts de nacelles plus compacts.
Il y a 8 ans et 23 jours

L'Île-de-France aura sa biennale

De Mai à Septembre 2019 se tiendra la première biennale d'architecture, urbanisme et paysage d'Île-de-France. La présidente de région Valérie Pécresse vient d'annoncer la tenue à Versailles de l'événement qui se veut majeur pour la visibilité du territoire et la promotion des acteurs de la construction. Versailles cherchera-t-elle à se mesurer à Venise, la biennale des biennales ? ou se contentera-t-elle d'abord d'exister aux côtés de celles de Bordeaux (Agora), Lyon, Caen...
Il y a 8 ans et 23 jours

Batinews : déjà plus de 150 000 actualités !

Depuis sa création en 2002, notre plateforme d'actualités Batinews.fr rassemble tous les articles des médias influents du bâtiment (Le Moniteur, Batiweb, Batiactu?) grâce aux flux RSS. Nous ne cessons d'agrandir nos sources de collecte afin de vous proposer la meilleure veille thématique. Aujourd'hui, ce sont plus de 150 000 actualités thématiques qui sont relayées sur notre site pour informer les acteurs du bâtiment, toujours en respectant le droit à la propriété de l'éditeur (aucun détournement de trafic). Nous regroupons ainsi des milliers de publications sur des thèmes tels que l'architecture, l'urbanisme, la construction durable, l'accessibilité ou encore le négoce et l'industrie. Une vraie mine d'informations ! Comme toujours, il est possible de publier ses propres communiqués de presse dans la rubrique correspondante, une fonction ouverte à tous et disponible sur inscription. Pour fêter ces 150 000 actualités, nous vous préparons une nouvelle version du site pour le moderniser : restez connectés !
Il y a 8 ans et 23 jours

" Construisons Positif et Bois " : des rencontres techniques en Bretagne

Les professionnels de la construction bois en Bretagne se sont retrouvés à Locminé, le 28 avril, pour une 6ème journée technique " Construisons Positif et Bois " à l’invitation d'Abibois, le réseau des professionnels du bois en Bretagne. Cette journée s'est organisée autour de conférences, d'ateliers, d'échanges et de temps conviviaux. " C’est l'occasion de … Cet article " Construisons Positif et Bois " : des rencontres techniques en Bretagne est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 8 ans et 23 jours

Révélations : Biennale Internationale des Métiers d'Art et de la Création

Pour sa troisième édition et suite au succès des deux premières, la Biennale internationale des métiers d'art et de la création, Révélations, réinvestit le Grand Palais pour un salon entièrement dédié à la création contemporaine. Depuis 2013, la Biennale internationale des métiers d'art et de la création, Révélations, créée par le groupe professionnel Ateliers d'Art de France, a lieu au Grand Palais la première semaine de mai de chaque année impaire " alternant avec Monumenta. Elle rassemble collectionneurs, architectes et galeristes internationaux. Révélations est ainsi avant tout un rendez-vous culturel où le savoir-faire et la création sont mis à l'honneur. Avec plus de 400 exposants (artisans d'art, designers, galeristes, maisons, écoles et fondations), sélectionnés par un Comité d'orientation artistique composé de personnalités internationales et présidé par Serge Nicole, l'événement permet aux créateurs et fabricants de bénéficier d'un véritable tremplin et à tous de découvrir des "uvres d'une grande diversité. Pour cette édition, on retrouve ce qui a fait le succès de Révélations : une scénographie soignée, signée cette année du Studio Gradère, des expositions, et la mise en avant d'un pays, invité d'honneur. Après la Norvège et la Corée du Sud, cette année, c'est le Chili qui est sélectionné pour en être la nation vedette présentée sur un stand conçu par les artistes Nury Gonzàlez et Pablo Nuñez, sur le modèle des maisons traditionnelles de ce territoire. Le pays présente alors un florilège de créateurs de métiers d'art tous novateurs et stimulants, et rend hommage à sa compatriote Violeta Parra, artiste mondialement connue, à travers un projet manifeste. Les techniques traditionnelles de cette contrée, souvent ancestrales, sont ici revisitées par des joaillers, créateurs textiles, sculpteurs et autres artistes et artisans. L'exposition internationale " Le Banquet " prolonge cette invitation au voyage à travers neuf autres pays sélectionnés " l'Allemagne, la Suisse, la Belgique, le Luxembourg, la Corée du Sud, la Russie, la Chine, Le Sénégal et le Togo ", qui révèlent une série d'"uvres chacune spécialement élaborée pour la biennale. L'Allemagne présente par exemple l'une de ses céramistes contemporaines phares, Claudia Biehne, tandis que pour la Russie, grâce à Urban Art Nations " une plateforme réunissant designers et artisans d'art ", nous dévoile " Black Stuff " de Maria Koshenskova, une "uvre traitant de la question de l'identité. L'occasion de découvrir les techniques et les arts d'autres cultures tout en traitant de questions actuelles. L 'exhibition promeut également des pièces d'une grande dextérité par la représentation d'ateliers et d'artistes plus que prometteurs. Nous pouvons donc découvrir le travail des Ateliers Amea Estampille 52 et plus précisément de l'ébéniste Adrien Ancel excellant dans la fabrication de sièges sur ressorts sculptés en bouleau ou encore celui de Luce Couillet, diplômée en Design Textile à l'École nationale supérieure de création industrielle de Paris. Inspirée du tissage artisanale, cette dernière réalise ici une série de mobiles tissés en bois ou en papier. Durant quatre jours, il est également possible de découvrir l'exposition " Péri'Fabrique ", issue d'un programme de co-création mis en place par les D'Days et soutenu par la Fondation Bettencourt Schueller et le territoire d'Est Ensemble Grand Paris. Cette initiative réunit artisans d'art et designers, qui perçoivent une bourse qui permet de financer la création d'"uvres expérimentales. L'approche est originale : l'artisan choisit le designer avec lequel il souhaite collaborer et ne voit aucun dessin avant le début du processus de création. Les travaux issus de ces rencontres sont visibles sous la verrière du Grand Palais durant toute la durée du salon. Révélations, en partenariat avec Muuuz, vous invite du 4 au 8 mai à voyager et à découvrir savoir-faire et techniques des artistes et artisans de demain. Pour en savoir plus, visitez le site de Révélations Photographies :  1) Visuel officiel Révélation 20172) © Photoproevent3) Allemagne " Claudia Biehne © DR4) Russie " Denis Milovanov © Artyom Ibatullin5) Adrien Ancel, Ateliers Amea Estampille © Alpha Re6) Luce Couillet © Baptiste Heller7) Paravent-Ara Grégoire de Lafforest et Mireille Herbst © Jérome Galland8) © Photoproevent9) © Photoproevent
Il y a 8 ans et 23 jours

Stradal inaugure son nouveau site "Les Terres Rouges" à Chaumes-en-Retz

Le site Les Terres Rouges, situé à Chaumes-en-Retz (nouvelle commune née de la fusion des communes d'Arthon-en-Retz et Chéméré en Loire-Atlantique) a été inauguré mi-avril 2017, en présence d'une centaine de personnes, élus locaux, personnels de l'entreprise, médecine du travail et partenaires associés à sa construction.
Il y a 8 ans et 23 jours

L'Atelier BIM Virtuel livre ses enseignements

Quel est l'état de l'art d'un projet réel mené en BIM aujourd'hui ? L'Atelier BIM Virtuel, lancé en juillet 2016 par le PTNB et l'USH, livre ses conclusions au terme de neuf mois d'expérimentation. L'opération a mobilisé 130 acteurs différents, afin d'évaluer tout le processus de travail collaboratif en rétro-conception.
Il y a 8 ans et 23 jours

MobilConcepts fournit les abris du tramway de Ouargla

MobilConcepts a décroché auprès du groupement UTE Tranvia le contrat de fourniture des abris voyageurs du tramway de Ouargla au sud de l'Algérie pour un montant de plus de 2 M¤.
Il y a 8 ans et 23 jours

D'architectures : Dire et faire l'architecture autrement

Les mutations économiques, sociétales et environnementales qui bousculent notre monde depuis déjà quelques décennies, sans que personne ne semble en avoir complètement pris la mesure, s'invitent dans le champ de l'urbain. À la faveur des crises migratoires, de la faillite des États et d'un climat en surchauffe, urbanistes, architectes, acteurs de l'aménagement ou simples citoyens remettent en question la fabrication des territoires telle que nous la pratiquons depuis des décennies.  ÉDITORIAL / Dans le moteur : Hyper-moderno, hyper-organique, hyper-minimaliste, hyper-programmatique, hyper-austère, hyper-brut, hyper-écolo : depuis trois décennies, tous les genres semblent avoir été poussés à leur paroxysme. Notre environnement est-il si hétérogène qu'il produise des causalités différentes au point de générer des formes aussi antinomiques ? Ou ne subissons-nous pas plutôt une débauche de postures dont se parent certains architectes pour gagner des parts de marché ?En réaction à ce catalogue aléatoire des styles et à l'épuisement esthétique qu'il engendre, ne serait-il pas salutaire, pour tenter de retrouver une légitimité aux formes que l'on donne à l'espace, de revenir à deux questions essentielles : dans ce monde en mutation permanente, comment fabriquer l'architecture, le paysage et la ville, et comment en parler ? Quand tout change " les conditions de la commande et de la mise en oeuvre, les impératifs écologiques, l'exigence de processus participatifs ", peut-on encore concevoir selon les mêmes méthodes que pendant la modernité triomphante de la reconstruction ? Assurément non, et c'est ce que la Biennale d'architecture de Lyon entend nous montrer du 8 juin au 9 juillet : accompagnés de nouveaux acteurs, des architectes travaillent déjà autrement. Mais comment rendre compte de ces nouvelles manières d'aborder le projet ? L'équipe de la Biennale a fait le pari un peu fou de nous montrer ces équipes pluridisciplinaires en train d'inventer ou d'expérimenter ces processus. Leur ambition est de nous donner l'opportunité de comprendre in vivo comment leurs projets se concrétisent et d'en rendre compte en direct devant le public. Tout en vous invitant évidemment à participer à cet événement, nous avons voulu dans notre dossier mensuel introduire les enjeux et les questions qui le fondent. Emmanuel Caille Pour en savoir plus, visitez le site de d'architectures
Il y a 8 ans et 23 jours

Cycle de conférences : "L'architecture entre les arts et la ville : les itinéraires de Frank Gehry"

Une série de cours prononcés par l'architecte et historien Jean-Louis Cohen au Collège de France (Paris)?
Il y a 8 ans et 23 jours

Copenhague Architecture Festival (CAFx) : Architecture as Identity

Pour la troisième année consécutive, le Danemark célèbre l'architecture avec le festival CAFx. Rencontre avec Josephine Michau, co-commissaire de cet événement rythmé par des conférences, projections de films, workshops, concerts, performances, visites, etc. Une immersion totale au c"ur de l'aménagement bâti et urbain. Muuuz : Comment est né l'idée de ce festival ?Joséphine Michau : C'est Mads Farsø et moi qui avons eu l'idée de cette manifestation architecturale, qui ne présentait à ses débuts que des films, car nous venons tous les deux du monde du documentaire cinématographique. Nous avons découvert l'universde l'architecture un peu par hasard, en distribuant des films traitant de cette thématique, notamment Le rêve de Copenhague de Max Kestner qui a remporté un grand succès ainsi qu'un reportage sur l'architecte et urbaniste Jan Gehl. Ces deux réalisations ont été la première brique du festival.Nous avons alors découvert l'intérêt général suscité par le sujet. Les gens se soucient réellement du développement de leur ville, de la physionomie de leur balcon et du développement de leur quartier, etc. Comment avez-vous alors financé le projet ?Nous avons tout d'abord appelé la municipalité, qui nous a expliqué comment et où trouver les fonds nécessaires. L'événement existe donc actuellement grâce aux dons de nos sponsors, de fondations, de financements publics et de la vente des billets : nous avons eu 13 000 visiteurs l'an passé ! Les films ont par ailleurs été montrés dans les transports en commun et plus de 211 000 personnes les ont visionnés sur la chaîne nationale DR K. Comment êtes-vous arrivés à obtenir un tel rayonnement ?Les premières éditions, 2014 et 2015, se sont cantonnées à Copenhague. Puis, à la demande de professionnels, nous l'avons étendu à la ville d'Aarhus, qui possède une longue tradition architecturale et urbaine, notamment avec la présence d'une importante école d'architecture. Nous avions toujours imaginé intégrer un jour ou l'autre ces villes, mais cela s'est passé plus vite que prévu. Comment choisissez-vous le thème de chaque édition ?Comme je ne suis pas architecte, j'ai une approche très naïve sur le sujet. Cela permet finalement d'ouvrir les thématiques ! Je peux par exemple me demander comment l'architecture affecte mon identité, comment mon corps est relié aux bâtiments. Toutes ces réflexions ont donné la thématique de cette année " Architecture as Identity ". En effet, celle-ci est ressentie à plein de niveaux différents : chez soi, dans un quartier, dans une ville. On a voulu traiter toutes ces échelles, du micro au macro. " Architecture as Identity " fait également écho à une part oublié de notre histoire : la colonisation. Car il s'agit cette année des 100 ans de la vente des îles Vierges (Antilles) au Royaume-Uni et aux États-Unis. Nous avons tendance à oublier que le commerce du sucre et la traite des esclaves payait une grande partie de l'aménagement des centres-villes danois ! Nous abordons donc en parallèle le sujet du post-colonialisme dans les banlieues et le statut du modernisme tardif des grands-ensembles qui y ont été construits, comme en France. L'exposition " Never Demolish ! " dirigé par Andreas Ruby, directeur du Musée d'architecture de Bâle, présente ainsi, à la galerie Space 10 de Copenhague et dans un appartement témoin de la banlieue d'Aarhus, une reproduction à l'échelle 1 de ce type de logements, rénové par les agences Lacaton & Vassal, Druot et Hutin à Bordeaux [les trois agences se sont penchées sur la rénovation de 530 logements sociaux, soit 68 000 mètres carrés. Chaque les habitants de chaque logis ont été interrogés afin de connaître et de répondre à leurs besoins. Les habitations ont été thermiquement améliorées et se sont vus adjoindre des jardins d'hiver ou balcon. Le tout, sans que personne n'aient à quitter son chez soi durant les travaux, ndrl].En résumé, le festival est un cadre, un catalyseur pour lancer des discussions ! " Architecture as Identity ", Copenhague Architecture Festival, jusqu'au 7 mai 2017, Copenhague, Aarhus et Aalborg (Danemark) Photographies : Kasper Nybo Photography Pour en savoir plus, visitez le site du Copenhague Architecture Festival et de la Future Architecture Platform
Il y a 8 ans et 23 jours

Copenhague Architecture Festival (CAFx) : Architecture as Identity

usqu'au 7 mai et pour la troisième année consécutive, le Danemark célèbre l'architecture avec le festival CAFx. Rencontre avec Josephine Michau, co-commissaire de cet événement rythmé par des conférences, projections de films, workshops, concerts, performances, visites, etc. Une immersion totale au c"ur de l'aménagement bâti et urbain. Muuuz : Comment est né l'idée de ce festival ?Joséphine Michau : C'est Mads Farsø et moi qui avons eu l'idée de cette manifestation architecturale, qui ne présentait à ses débuts que des films, car nous venons tous les deux du monde du documentaire cinématographique. Nous avons découvert l'universde l'architecture un peu par hasard, en distribuant des films traitant de cette thématique, notamment Le rêve de Copenhague de Max Kestner qui a remporté un grand succès ainsi qu'un reportage sur l'architecte et urbaniste Jan Gehl. Ces deux réalisations ont été la première brique du festival.Nous avons alors découvert l'intérêt général suscité par le sujet. Les gens se soucient réellement du développement de leur ville, de la physionomie de leur balcon et du développement de leur quartier, etc. Comment avez-vous alors financé le projet ?Nous avons tout d'abord appelé la municipalité, qui nous a expliqué comment et où trouver les fonds nécessaires. L'événement existe donc actuellement grâce aux dons de nos sponsors, de fondations, de financements publics et de la vente des billets : nous avons eu 13 000 visiteurs l'an passé ! Les films ont par ailleurs été montrés dans les transports en commun et plus de 211 000 personnes les ont visionnés sur la chaîne nationale DR K. Comment êtes-vous arrivés à obtenir un tel rayonnement ?Les premières éditions, 2014 et 2015, se sont cantonnées à Copenhague. Puis, à la demande de professionnels, nous l'avons étendu à la ville d'Aarhus, qui possède une longue tradition architecturale et urbaine, notamment avec la présence d'une importante école d'architecture. Nous avions toujours imaginé intégrer un jour ou l'autre ces villes, mais cela s'est passé plus vite que prévu. Comment choisissez-vous le thème de chaque édition ?Comme je ne suis pas architecte, j'ai une approche très naïve sur le sujet. Cela permet finalement d'ouvrir les thématiques ! Je peux par exemple me demander comment l'architecture affecte mon identité, comment mon corps est relié aux bâtiments. Toutes ces réflexions ont donné la thématique de cette année " Architecture as Identity ". En effet, celle-ci est ressentie à plein de niveaux différents : chez soi, dans un quartier, dans une ville. On a voulu traiter toutes ces échelles, du micro au macro." Architecture as Identity " fait également écho à une part oublié de notre histoire : la colonisation. Car il s'agit cette année des 100 ans de la vente des îles Vierges (Antilles) au Royaume-Uni et aux États-Unis. Nous avons tendance à oublier que le commerce du sucre et la traite des esclaves payait une grande partie de l'aménagement des centres-villes danois ! Nous abordons donc en parallèle le sujet du post-colonialisme dans les banlieues et le statut du modernisme tardif des grands-ensembles qui y ont été construits, comme en France. L'exposition " Never Demolish ! " dirigé par Andreas Ruby, directeur du Musée d'architecture de Bâle, présente ainsi, à la galerie Space 10 de Copenhague et dans un appartement témoin de la banlieue d'Aarhus, une reproduction à l'échelle 1 de ce type de logements, rénové par les agences Lacaton & Vassal, Druot et Hutin à Bordeaux [les trois agences se sont penchées sur la rénovation de 530 logements sociaux, soit 68 000 mètres carrés. Chaque les habitants de chaque logis ont été interrogés afin de connaître et de répondre à leurs besoins. Les habitations ont été thermiquement améliorées et se sont vus adjoindre des jardins d'hiver ou balcon. Le tout, sans que personne n'aient à quitter son chez soi durant les travaux, ndrl].En résumé, le festival est un cadre, un catalyseur pour lancer des discussions ! " Architecture as Identity ", Copenhague Architecture Festival, jusqu'au 7 mai 2017, Copenhague, Aarhus et Aalborg (Danemark) Photographies : Kasper Nybo Photography Pour en savoir plus, visitez le site du Copenhague Architecture Festival et de la Future Architecture Platform
Il y a 8 ans et 23 jours

Hiroshi Nakamura & NAP : Sayama Forest Chapel

L'architecte japonais Hiroshi Nakamura érige une majestueuse chapelle multiconfessionnelle au c"ur d'une forêt de la banlieue de Tokyo. Le temple à la structure épurée et tout en hauteur se situe à côté du cimetière de Sayama, où le maître d'"uvre a conçu un bâtiment permettant d'accueillir les personnes en deuil. Le rapport entre le bâtiment et son environnement est très important dans la culture japonaise, surtout pour des lieux de culte. En effet, traditionnellement, les Nippons ont des croyances animistes et considèrent que la nature possède des qualités spirituelles. De plus, le polythéisme et la fréquentation de différents lieux de culte sont choses courantes au pays du Soleil Levant. Le fait que les sanctuaires soient placés à la lisière d'un bois est une pratique courante. La toiture pentue de l'édifice qui se prolonge jusqu'au sol est une référence à l'architecture traditionnelle des temples shintoïstes. Elle est ici recouverte de plus de 20 000 feuilles d'aluminium de 4 millimètres d'épaisseur. La couverture et les murs de huit mètres de hauteur ne font alors plus qu'un, complétés par de hautes fenêtres, conférant au lieu un air de cathédrale gothique tant sa hauteur sous plafond est élevée. Ce saint site, d'une superficie totale de 110 mètres carrés, comprend une salle de prière dotée d'un autel placé contre une des importantes baies vitrées, dont le sol est légèrement incliné permettant aux fidèles de prier face à la végétation. L'entrée de cet abri triangulaire se fait ainsi côté forêt. L'utilisation de poutres en bois de mélèze renforce ce lien entre architecture et nature. L'élévation des charpentes forme un V inversé rappelant, d'après Hiroshi Nakamura, le geste rituel " gassho-zukuri " qui est effectué par les bouddhistes lorsqu'ils joignent leurs mains devant leur poitrine. " As people pray, so does the architecture " Hiroshi Nakamura Le tout est un endroit à l'abri de la civilisation, parfait pour se recueillir ou pour simplement apprécier le calme de ce lieu spirituel atypique. Photographies : Hiroshi Nakamura & NAPPour en savoir plus, visitez le site de Hiroshi Nakamura & NAP
Il y a 8 ans et 23 jours

Une villa d'architecte perchée sur la colline d'Hyères

A Hyères, en Paca, le cabinet Architecture 54 a imaginé une villa d'architecte sur un site très pentu. Sa forme est inspirée de l'origami et de l'architecture militaire.
Il y a 8 ans et 23 jours

Herzog & de Meuron : Feltrinelli Porta Volta

C'est à Milan, Volta Porta, porte historique de la ville, que le cabinet d'architecture suisse Herzog & de Meuron livre deux bâtiments symétriques, dont le plus important abrite la Fondation Giangiacomo Feltrinelli, et le plus petit une partie de la Mairie. L'implantation géographique des bâtiments était primordial pour les dirigeants de cette fondation spécialisée dans la recherche en histoire contemporaine, qui souhaitaient déménager leur siège au nord de la ville. De plus, le choix d'un lieu aussi historiquement chargé que la Porta Volta, dont l'architecture remonte au XVe siècle, n'est pas anodin. Le projet s'inscrit en effet dans un programme plus large de redynamisation de la zone quelque peu délaissée, comprenant la réalisation d'un poumon vert avec promenades et pistes cyclables, et mise en place d'évènements et d'activités. L'empreinte vernaculaire du bâti est telle dans cette zone que Jacques Hergoz et Pierre de Meuron ont choisi de s'inspirer des fermes typiques de la campagne lombarde, très longues et monolithiques, et des bâtiments milanais célèbres tels que l'hôpital Maggiore ou le château Sforzesco. La trame structurelle est ainsi volontairement répétitive, allongée et étroite, et reprend la figure locale du toit à deux pans mais largement vitré. Le rez-de-chaussée du bâtiment Feltrinelli, où prend place la fondation, est occupé par la bibliothèque du même nom. Le premier étage est un espace polyvalent voué à accueillir des projections et des performances artistiques. Les deux niveaux supérieurs abritent quant à eux des bureaux et des salles de conférences. Enfin, tout en haut, se trouve une salle de lecture, équipée de stations de lecture multimédia. Grâce à ce nouveau siège, la Fondation Giangiacomo Feltrinelli espère devenir un centre culturel à part entière et dynamiser le quartier. Photographies : Filippo Romano Pour en savoir plus, visitez le site de Herzog & de Meuron et de la Feltrinelli Porta Volta
Il y a 8 ans et 23 jours

Herzog & de Meuron : Feltrinelli Porta Volta

C'est à Milan, Volta Porta, porte historique de la ville, que le cabinet d'architecture suisse Herzog & de Meuron livre deux bâtiments symétriques, dont le plus important abrite la Fondation Giangiacomo Feltrinelli et l'autre une partie de la Mairie. Le choix de l'implantation géographique était primordial pour les dirigeants de cette fondation spécialisée dans la recherche en histoire contemporaine, qui souhaitaient déménager leur siège au nord de la ville. De plus, le choix d'un lieu aussi chargée historiquement parlant que la Porta Volta, dont l'architecture remonte au XVe siècle, n'est pas anodin. Le projet s'inscrit en effet dans un programme plus large de redynamisation de la zone quelque peu délaissée, comprenant la réalisation d'un poumon vert avec promenades et pistes cyclables, et mise en place d'évènements et d'activités. L'empreinte vernaculaire du bâti est telle dans cette zone que Jacques Hergoz et Pierre de Meuron ont choisi de s'inspirer des fermes typiques de la campagne lombarde, très longues et monolithiques, et des bâtiments milanais célèbres tels que l'hôpital Maggiore ou le château Sforzesco. La trame structurelle est ainsi volontairement répétitive, allongée et étroite, et reprend la figure locale du toit à deux pans mais largement vitré. Le rez-de-chaussée du bâtiment Feltrinelli, où prend place la fondation, est occupé par la bibliothèque du même nom. Le premier étage est un espace polyvalent voué à accueillir des projections et des performances artistiques. Les deux niveaux supérieurs abritent quant à eux des bureaux et des salles de conférences. Enfin, tout en haut, se trouve une salle de lecture, équipée de stations de lecture multimédia. Grâce à ce nouveau siège, la Fondation Giangiacomo Feltrinelli espère devenir un centre culturel à part entière et dynamiser le quartier. Photographies : Filippo Romano Pour en savoir plus, visitez le site de Herzog & de Meuron et de la Feltrinelli Porta Volta
Il y a 8 ans et 23 jours

Eolien en mer : la justice examine un recours contre un parc au large de Saint-Nazaire

La cour administrative d'appel de Nantes a examiné vendredi un recours visant à faire annuler l'autorisation d'exploiter un parc de 80 éoliennes en mer au large de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), délivrée en mars 2016 par arrêté préfectoral au groupe EDF.
Il y a 8 ans et 23 jours

La piscine Yves Blanc à Aix-en-Provence se modernise

Depuis septembre 2016, un groupement emmené par Spie batignolles sud-est restaure la piscine Yves Blanc située à Aix-en-Provence pour le compte du Pays d'Aix qui a engagé un Plan piscines d'un montant de 65 M¤ pour développer l'offre de centres aquatiques sur son territoire.
Il y a 8 ans et 23 jours

Porte à faux multiples pour un immeuble de logements

    L'agence Valero Gadan Architectes livre à Vitry-sur-Seine, avenue Rouget de Lisle, un immeuble en R+8 accueillant du logement. Un épannelage dégressif permet de rythmer l'alignement de ce bâtiment qui joue beaucoup sur les portes à faux.
Il y a 8 ans et 23 jours

Métamorphose d'un appartement parisien

Charlotte Vinet a me?tamorphose? cet appartement de 71 m2 situe? rue Nicolet a? Paris. L'architecte d'intérieur a fait de nombreux changements, des cloisons ont e?te? abattues pour gagner de l’espace et de la luminosite? et certaines pie?ces ont e?te? de?place?es.
Il y a 8 ans et 23 jours

" Une majorité de matériaux est éligible à une seconde vie "

Donner une seconde vie aux matériaux et produits de construction est un enjeu crucial pour le secteur du bâtiment. L'architecte Julien Choppin (du collectif Encore Heureux) démontre les possibilités du réemploi dans le n°359 des Cahiers techniques du bâtiment.
Il y a 8 ans et 23 jours

Yennenga, symbole de la ville moderne africaine ?

Une équipe composée d'agences françaises et burkinabées a remporté le projet de ville nouvelle à 15 km de Ouagadougou. Yennenga, le nom de la future ville, accueillera 80.000 habitants et respectera le mieux possible son environnement, nous assure ses concepteurs.
Il y a 8 ans et 23 jours

Le logement abordable selon l'agence R-A-W [playground]

    Promouvoir la possibilité de vivre confortablement dans un logement à prix abordable, c’est le rêve de tous sauf que concevoir une architecture qui répond à des critères à la fois attractifs et répondant aux exigences futures est moins évident. L’agence d’architecture parisienne R-A-W [playground] nous fait découvrir une proposition qui allie plusieurs qualités.
Il y a 8 ans et 24 jours

Cibetec fabrique 112 brises-soleil pour le Lycée international de l'Est Parisien

112 " c'est le nombre de colonnettes faisant office de brises soleil qui ornent le Lycée international de l'Est Parisien. De quoi donner toute sa singularité au bâtiment, imaginé par l'agence d'architecture 2/3/4. Censées assurer la luminosité à l'intérieur de l'édifice, ces structures présentent également des aspects technique et esthétique indéniables qui témoignent du savoir-faire de la société Cibetec, chargée de concevoir les poteaux.