Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

(61697 résultats)
Il y a 8 ans et 17 jours

Design caritatif au profit de AIDES chez BETC à Pantin

L'association AIDES organise la première Grande Braderie du Design. Du 11 au 13 Mai aux Magasins généraux de Pantin - siège de BETC, créateurs, éditeurs et diffuseurs se mobilisent et proposent à la vente des objets de design à prix réduit. Les recettes seront reversées à l'association pour la lutte contre le VIH. Parrainé par Philippe Starck, la première édition de la Grande Braderie du Design fédère aux côtés de AIDES des acteurs du monde de la création, prêts à mettre leur...
Il y a 8 ans et 17 jours

Bruel-Delmar et JAM pour le quartier du Moulon à Saclay

L'EPA Paris-Saclay vient d'annoncer les lauréats de la consultation de maîtrise d'"uvre urbaine pour l'un des quartiers majeurs du campus urbain en mutation : la ZAC du Moulon. L'atelier de paysages Bruel-Delmar, mandataire du groupement, associé à JAM architecte-urbaniste, Agathe Argot-Scène publique, concepteur lumière, et Artelia, bureau d'études techniques, a été retenu pour cette mission d'une durée de 6 ans. Depuis 2011, l'aménagement de la ZAC du Moulon à Gif-sur-Yvette...
Il y a 8 ans et 17 jours

Les bâtiments publics devront améliorer leur performance énergétique

Les propriétaires de bâtiments publics, bureaux, hôtels, commerces, ..., devront réaliser des travaux d'ici le 1er janvier 2020 afin de réduire leurs consommations énergétiques.
Il y a 8 ans et 17 jours

Biennale d'Art de Venise : Architecture-Studio lance "Suite par Valérie Jouve"

EXPOSITION. Alors que la Biennale de Venise, grand-messe de l'art contemporain se déroule du 13 mai au 26 novembre 2017, l'agence parisienne Architecture-Studio lance ce jeudi une exposition "Suite par Valérie Jouve" pour rendre hommage au travail de l'artiste et à la tour Rotana livrée à Amman (Jordanie) en fin d'année 2016.
Il y a 8 ans et 17 jours

Drones : des acteurs français tournés vers les professionnels

TENDANCE. Airware a signé un partenariat commercial avec SenseFly, une filiale de Parrot, pour proposer aux grandes entreprises un service d'analyse de données recueillies par des drones. A l'autre extrémité du spectre, Parrot propose maintenant ses machines légères aux artisans, architectes et PME. Tour d'horizon des grandes tendances du marché des engins volants par Emmanuel de Maistre, fondateur de Redbird et vice-président d'Airware.
Il y a 8 ans et 17 jours

Le Prix des Femmes Architectes 2017 est lancé

L'Association pour la recherche sur la ville et l'habitat (ARVHA) vient de lancer la cinquième édition du "Prix des Femmes Architectes". Objectif : mettre en valeur les oeuvres et les carrières de femmes architectes et encourager la parité dans une profession à forte dominante masculine.
Il y a 8 ans et 17 jours

Travail détaché : maîtres d'ouvrage et donneurs d'ordre, tous responsables !

Déclarations de détachement, d'accident du travail, arrêt temporaire de chantiers? L'arsenal de lutte contre le travail illégal se renforce avec un décret qui fait peser sur les maîtres d'ouvrage de nouvelles obligations relatives au recours au travail détaché, déjà annoncées par la loi Travail.    
Il y a 8 ans et 17 jours

Odile Decq, l'activiste de l'architecture

Plus célèbre à l'étranger qu'en France, elle combat le machisme des architectes et dénonce les clans de la profession : Odile Decq, qui reçoit l'un des prestigieux prix Architizer jeudi à New York, se veut une "activiste" de l'architecture.
Il y a 8 ans et 17 jours

Travaux embarqués : le nouveau décret enfin publié

Le fameux décret instaurant l'obligation de réaliser des travaux d'isolation thermique par l'extérieur lors d'important travaux de ravalement des immeubles, qui avait tant scandalisé les défenseurs du patrimoine est paru, dans une version réécrite, au JO du 10 mai.
Il y a 8 ans et 17 jours

Rencontre avec : Patrick Jouin

Il y a 20 ans commençait la carrière " en solo " du designer Patrick Jouin, propulsé sur le devant de la scène par sa participation au Salone de Milan. Retour sur les débuts de cette ancienne jeune pousse du design, dont le talent n'est aujourd'hui plus à prouver et qui, pourtant, se réinvente à chaque collaboration. Muuuz : Il y a vingt ans vous obteniez votre premier stand au Salone del Mobile de Milan. Quel souvenir gardez-vous de vos débuts en tant que designer indépendant ?Patrick Jouin : Avant le Salone, il y a d'abord eu un premier tremplin dans ma carrière qui a été le VIA (Valorisation de l'Innovation dans l'Ameublement) en 1996, qui m'avait attribué sa bourse appelée " appel permanent ". J'avais alors réalisé une petite chaise pour Fermob. La marque est ainsi devenue mon premier éditeur, alors que j'étais encore designer chez Starck à l'époque. Puis le VIA m'a attribué sa Carte blanche, qui n'existe plus maintenant, aux côtés des frères Bourroulec.Par la suite, c'est ma cons"ur Matali Crasset qui m'a parlé du SaloneSatellite [l'une des premières plateformes de lancement de jeunes designers, ndrl] du Salone del Mobile de Milan, auquel elle participait. C'était les tout débuts de l'événement, ce n'était pas du tout ce que c'est maintenant ! À l'époque il avait lieu dans la ville, sur un site qui a depuis été rasé. J'ai alors réservé le dernier stand disponible. " J'ai rassemblé mes travaux dans ma Fiat Punto et dépensé tout mon argent dans la réalisation de prototypes et dans le voyage jusqu'à Milan. Je prenais concrètement mon envol. Je n'ai jamais été aussi fatigué de ma vie mais j'étais empreint d'une excitation phénoménale ! " Je n'avais préparé que 50 cartes de visite et quelques diapositives pour montrer mes réalisations. Elles sont parties en une journée et je ne savais même pas à qui je les avais données. Les éditeurs comme Cappellini ou Flos se sont tous montrés très curieux de ma démarche et j'ai immédiatement été publié. C'est à ce moment que j'ai quitté le studio de Philippe Starck. Que représente pour vous cette plateforme de lancement qu'est le SaloneSatellite ?Il s'agit d'un endroit très excitant, où se réunissent une série de créateurs et leurs " visions ", qui matérialisent un ou deux ans de travail. Il y a là des échecs, des envies, des passions. On y voit de la compétition, des égos... c'est un côté qui peut faire peur. On peut se dire " jamais je ne rencontrerai les éditeurs ".... Mais cela peut se produire, à condition de travailler pour. C'est comme l'amour ou le mariage : on ne peut pas savoir au préalable quand et comment cela va se dérouler ! De fortes histoires se nouent, d'autres se délitent, et il y a aussi parfois des divorces. Quelles sont les nouveautés que vous exposez cette année au Salone ?En tout, je propose sept projets conçus avec cinq éditeurs, utilisant des techniques et matériaux différents. Comme cette année célèbre les 20 ans du SaloneSatellite, l'organisme a demandé aux éditeurs de montrer des pièces spéciales : Fermob a ainsi présenté la chaise Facto réalisée à mes débuts et éditée depuis 20 ans.J'ai également révélé le complément de la gamme Ester, initiée il y a deux ans avec la marque Pedrali, à laquelle nous avons ajouté une barre en aluminium injecté, léger et résistant particulièrement adapté aux fonctions et usages des restaurants. Pour la même marque, nous avons développé le canapé outdoor Reva de 1,5 et 3 places. Son cadre, réalisé dans le même matériau, sur lequel est tendu de la toile Batyline [tissu technique, ndrl], lui permet de sécher rapidement s'il est mouillé. Cela crée une sorte de cage où l'on pose des coussins. À l'attention de Kartell, j'ai réalisé un prototype de lampe/bougeoir en plastique, Candy candle, détournement du bougeoir traditionnel ; et pour Cassina la table Lebeau, allégorie de l'arbre. Concernant la marque Fiam j'ai manipulé le verre cuit. On vient à rebours en recuisant une dalle de verre à laquelle on applique un moule texturé. Quelque part garde la trace du feu. De produit fini à produit artisanal. Avec Porada et la chaise Ella, je me suis penché sur l'utilisation du bois massif en France qui avait en effet quasiment disparue car la matière coûte chère, mais surtout sa mise en "uvre. Certaines grandes maisons le travaillaient toujours, mais la révolution digitale et celle de l'usinage ont vraiment changé la donne, et ont permis de réinvestir le matériau. Ici, chacune des 17 pièces de noyer a ainsi nécessité un réel travail d'ébénisterie. Il s'agit d'un des matériaux qu'on peut utiliser à l'infini. Cela me fascine. Afin de faire la promotion de cette collection, nous avons réalisé une série de photographies de la chaise devant un arbre de la forêt de Fontainebleau, dont les spécimens ont 50 ou 100 ans, parfois 200. Une partie de cette zone est encore utilisée pour la récolte. C'est extraordinaire : afin que les plants ne soient pas tordus par le vent ou mangés par les sangliers ou par les cerfs, ou qu'ils ne souffrent pas de sécheresse, on les protège durant 30 ans. C'est le travail de toute une vie d'un forestier, qui sera récupéré par un autre, puis un autre, qui pourrait être son petit-fils ! Comment choisissez-vous vos collaborations ?Elles sont font naturellement, car je traite avec gens que je connais au sein des grandes maisons d'édition. Je les connaissais déjà un peu à mes débuts grâce à mon travail chez Philippe Starck, qui m'avait mis le pied à l'étrier. Vous avez travaillé plusieurs années pour Philippe Starck, vous semblez pourtant très différents..." En effet, je suis presque l'opposé de Philippe Starck ! On ne peut pas tricher. Par exemple, jouer la star, ce ne serait pas moi. Lui il ne triche pas et le copier serait une catastrophe. " Cela ne sert à rien de regarder avec envie ce qu'on ne peut pas être. Le design est parfois une société de spectacle, certains se déguisent en " super-moi " pour être repérés, alors qu'il y a plein de manières d'y arriver. D'autant plus que tous les éditeurs ne sont pas à l'aise avec ce genre de postures. En définitive, le design est un monde qui reflète plein de manières d'être. C'est une folie de croire qu'on a besoin d'être imbuvable ! Depuis vos premières aventures milanaises, vous revenez souvent dans cette terre du design. Quel est votre attachement à cette zone ?Non loin de Milan, la province de la Brianza, spécialisée dans l'industrie du meuble, est des endroits les plus riches d'Europe. Elle est fondée sur une manière de travailler ensemble dans la compétition mais aussi dans l'entre-aide. Il y a un décalage avec l'Hexagone. Chez nous, on essaie à tout prix de contrôler le savoir-faire à la française, de tout pouvoir faire, du coup nous n'avons pas toujours les meilleures machines. En Italie, c'est différent : chacun est spécialiste d'une technologie. Il y a donc un assemblage des meilleurs savoir-faire pour mener à bien un projet. Finalement, combien de projets traitez-vous simultanément à l'agence ?Environ 45, traités par deux entités distinctes, deux " marques " : il y a Jouin Manku, qui se charge des projets d'architecture et d'architecture d'intérieur ; et Patrick Jouin ID, pour Industrial designer, nom trouvé par l'auteur Pierre Doze. Pourtant aucun de tous vos projets ne se ressemble ! Y a-t-il un " Style Jouin " ?J'essaie d'éviter de faire la même chose. J'ai l'obsession du confort, de la sensualité.On passe longtemps à dessiner les choses, à les utiliser. L'impact visuel ne représente qu'une petite partie. Si au bout 3 heures on est mal sur une chaise : c'est non pour nous !Il s'agit là de mon savoir-faire. Photographies :1) Patrick Jouin, © Benoit Linero2) Reva, Pedrali3) Ella, Porada4) Facto, Fermob5) Reva, Pedrali6) Ester, Pedrali7) Candy Candle, Kartell, © Kartell8) Lebeau Wood, Cassina9) Magma, Fiam10) Ella, Porada11) Louis, Porada Pour en savoir plus, visitez le site de Patrick Jouin
Il y a 8 ans et 17 jours

Rencontre avec : Patrick Jouin

Il y a 20 ans commençait la carrière " en solo " du designer Patrick Jouin, propulsé sur le devant de la scène par sa participation au Salone de Milan. Retour sur les débuts de cette ancienne jeune pousse du design, dont le talent n'est aujourd'hui plus à prouver et qui, pourtant, se réinvente à chaque collaboration. Muuuz : Il y a vingt ans vous obteniez votre premier stand au Salone del Mobile de Milan. Quel souvenir gardez-vous de vos débuts en tant que designer indépendant ?Patrick Jouin : Avant le Salone, il y a d'abord eu un premier tremplin dans ma carrière qui a été le VIA (Valorisation de l'Innovation dans l'Ameublement) en 1996, qui m'avait attribué sa bourse appelée " appel permanent ". J'avais alors réalisé une petite chaise pour Fermob. La marque est ainsi devenue mon premier éditeur, alors que j'étais encore designer chez Starck à l'époque. Puis le VIA m'a attribué sa Carte blanche, qui n'existe plus maintenant, aux côtés des frères Bourroulec.Par la suite, c'est ma cons"ur Matali Crasset qui m'a parlé du SaloneSatellite [l'une des premières plateformes de lancement de jeunes designers, ndrl] du Salone del Mobile de Milan, auquel elle participait. C'était les tout débuts de l'événement, ce n'était pas du tout ce que c'est maintenant ! À l'époque il avait lieu dans la ville, sur un site qui a depuis été rasé. J'ai alors réservé le dernier stand disponible. " J'ai rassemblé mes travaux dans ma Fiat Punto et dépensé tout mon argent dans la réalisation de prototypes et dans le voyage jusqu'à Milan. Je prenais concrètement mon envol. Je n'ai jamais été aussi fatigué de ma vie mais j'étais empreint d'une excitation phénoménale ! " Je n'avais préparé que 50 cartes de visite et quelques diapositives pour montrer mes réalisations. Elles sont parties en une journée et je ne savais même pas à qui je les avais données. Les éditeurs comme Cappellini ou Flos se sont tous montrés très curieux de ma démarche et j'ai immédiatement été publié. C'est à ce moment que j'ai quitté le studio de Philippe Starck. Que représente pour vous cette plateforme de lancement qu'est le SaloneSatellite ?Il s'agit d'un endroit très excitant, où se réunissent une série de créateurs et leurs " visions ", qui matérialisent un ou deux ans de travail. Il y a là des échecs, des envies, des passions. On y voit de la compétition, des égos... c'est un côté qui peut faire peur. On peut se dire " jamais je ne rencontrerai les éditeurs ".... Mais cela peut se produire, à condition de travailler pour. C'est comme l'amour ou le mariage : on ne peut pas savoir au préalable quand et comment cela va se dérouler ! De fortes histoires se nouent, d'autres se délitent, et il y a aussi parfois des divorces. Quelles sont les nouveautés que vous exposez cette année au Salone ?En tout, je propose sept projets conçus avec cinq éditeurs, utilisant des techniques et matériaux différents. Comme cette année célèbre les 20 ans du SaloneSatellite, l'organisme a demandé aux éditeurs de montrer des pièces spéciales : Fermob a ainsi présenté la chaise Facto réalisée à mes débuts et éditée depuis 20 ans.J'ai également révélé le complément de la gamme Ester, initiée il y a deux ans avec la marque Pedrali, à laquelle nous avons ajouté une barre en aluminium injecté, léger et résistant particulièrement adapté aux fonctions et usages des restaurants. Pour la même marque, nous avons développé le canapé outdoor Reva de 1,5 et 3 places. Son cadre, réalisé dans le même matériau, sur lequel est tendu de la toile Batyline [tissu technique, ndrl], lui permet de sécher rapidement s'il est mouillé. Cela crée une sorte de cage où l'on pose des coussins. À l'attention de Kartell, j'ai réalisé un prototype de lampe/bougeoir en plastique, Candy candle, détournement du bougeoir traditionnel ; et pour Cassina la table Lebeau, allégorie de l'arbre. Concernant la marque Fiam j'ai manipulé le verre cuit. On vient à rebours en recuisant une dalle de verre à laquelle on applique un moule texturé. Quelque part garde la trace du feu. De produit fini à produit artisanal. Avec Porada et la chaise Ella, je me suis penché sur l'utilisation du bois massif en France qui avait en effet quasiment disparue car la matière coûte chère, mais surtout sa mise en "uvre. Certaines grandes maisons le travaillaient toujours, mais la révolution digitale et celle de l'usinage ont vraiment changé la donne, et ont permis de réinvestir le matériau. Ici, chacune des 17 pièces de noyer a ainsi nécessité un réel travail d'ébénisterie. Il s'agit d'un des matériaux qu'on peut utiliser à l'infini. Cela me fascine. Afin de faire la promotion de cette collection, nous avons réalisé une série de photographies de la chaise devant un arbre de la forêt de Fontainebleau, dont les spécimens ont 50 ou 100 ans, parfois 200. Une partie de cette zone est encore utilisée pour la récolte. C'est extraordinaire : afin que les plants ne soient pas tordus par le vent ou mangés par les sangliers ou par les cerfs, ou qu'ils ne souffrent pas de sécheresse, on les protège durant 30 ans. C'est le travail de toute une vie d'un forestier, qui sera récupéré par un autre, puis un autre, qui pourrait être son petit-fils ! Comment choisissez-vous vos collaborations ?Elles sont font naturellement, car je traite avec gens que je connais au sein des grandes maisons d'édition. Je les connaissais déjà un peu à mes débuts grâce à mon travail chez Philippe Starck, qui m'avait mis le pied à l'étrier. Vous avez travaillé plusieurs années pour Philippe Starck, vous semblez pourtant très différents..." En effet, je suis presque l'opposé de Philippe Starck ! On ne peut pas tricher. Par exemple, jouer la star, ce ne serait pas moi. Lui il ne triche pas et le copier serait une catastrophe. " Cela ne sert à rien de regarder avec envie ce qu'on ne peut pas être. Le design est parfois une société de spectacle, certains se déguisent en " super-moi " pour être repérés, alors qu'il y a plein de manières d'y arriver. D'autant plus que tous les éditeurs ne sont pas à l'aise avec ce genre de postures. En définitive, le design est un monde qui reflète plein de manières d'être. C'est une folie de croire qu'on a besoin d'être imbuvable ! Depuis vos premières aventures milanaises, vous revenez souvent dans cette terre du design. Quel est votre attachement à cette zone ?Non loin de Milan, la province de la Brianza, spécialisée dans l'industrie du meuble, est des endroits les plus riches d'Europe. Elle est fondée sur une manière de travailler ensemble dans la compétition mais aussi dans l'entre-aide. Il y a un décalage avec l'Hexagone. Chez nous, on essaie à tout prix de contrôler le savoir-faire à la française, de tout pouvoir faire, du coup nous n'avons pas toujours les meilleures machines. En Italie, c'est différent : chacun est spécialiste d'une technologie. Il y a donc un assemblage des meilleurs savoir-faire pour mener à bien un projet. Finalement, combien de projets traitez-vous simultanément à l'agence ?Environ 45, traités par deux entités distinctes, deux " marques " : il y a Jouin Manku, qui se charge des projets d'architecture et d'architecture d'intérieur ; et Patrick Jouin ID, pour Industrial designer, nom trouvé par l'auteur Pierre Doze. Pourtant aucun de tous vos projets ne se ressemble ! Y a-t-il un " Style Jouin " ?J'essaie d'éviter de faire la même chose. J'ai l'obsession du confort, de la sensualité.On passe longtemps à dessiner les choses, à les utiliser. L'impact visuel ne représente qu'une petite partie. Si au bout 3 heures on est mal sur une chaise : c'est non pour nous !Il s'agit là de mon savoir-faire. Photographies :1) Patrick Jouin, © Benoit Linero2) Reva, Pedrali3) Ella, Porada4) Facto, Fermob5) Reva, Pedrali6) Ester, Pedrali7) Candy Candle, Kartell, © Kartell8) Lebeau Wood, Cassina9) Magma, Fiam10) Ella, Porada11) Louis, Porada Pour en savoir plus, visitez le site de Patrick Jouin
Il y a 8 ans et 17 jours

La visite virtuelle fait évoluer le futur quartier

Grâce à la réalité immersive, Bordeaux Euratlantique, qui n'est encore qu'une friche peut déjà être appréhendé en 3D.
Il y a 8 ans et 17 jours

Des villas ponton d'inspiration scandinave au coeur de la Vendée

Nichées à 200 mètres de l'océan Atlantique, entre Saint-Gilles-Croix-de-Vie et les Sables d'Olonne, cinq villas ont été imaginées et réalisées par Damien Lamy et sa compagne Marylou au coeur d'une propriété d'1,2 hectare. Fixés sur un ponton unique et sur pilotis, ces écolodges sont conçus avec un toit commun et communiquent les uns aux autres. Décorés à l'image des logements scandinaves, le calme et la sérénité sont les maîtres mots lorsqu'on entre à l'intérieur. Visite guidée.
Il y a 8 ans et 17 jours

Rénovation à venir à l'opéra de Sydney

L'icône architecturale de la ville, due au Danois Jørn Utzon (1918-2008), a ouvert en 1973?
Il y a 8 ans et 17 jours

Le design s'expose à Interzum

Interzum, le salon international des intérieurs bois et des meubles, ouvrira ses portes ce 16 mai à Cologne en Allemagne. Une source d'inspiration en matière de design et d'aménagement intérieur.  
Il y a 8 ans et 17 jours

La plus petite mini pelle de Kobelco débarque en Europe

Le design super compact de la Kobelco SK08 fait de cette mini pelle une machine idéale pour travailler à l'intérieur des bâtiments où l'espace est restreint.
Il y a 8 ans et 18 jours

Mermet réinvente la gestion de la lumière grâce un système de protection solaire innovant

Sollicité par Pitch Promotion et l'Agence Fontani, le fabricant de tissu technique Mermet a récemment doté un bâtiment de bureaux appartenant à l'Union notariale financière d'un vaste " bouclier thermique ". Ce dernier prend la forme d'un tissu en fibres de verre, le Satiné 5500 Low E, notamment réputé pour sa faible émissivité et le confort visuel qu'il offre. Les détails du projet.
Il y a 8 ans et 18 jours

68 projets en quête de chef de gare ?

La maison de l'architecture en Ile-de-France à Paris organise un cycle de conférence fort à propos au sujet des gares du Grand Paris Express (GPE). Ces 68 ouvrages, dont neuf sont "emblématiques", font l'objet d'une "approche architecturale spécifique", c'est-à-dire contextuelle. S'il faut rendre grâce ici à un projet de territoire à l'échelle métropolitaine, ne s'agissait-il […]
Il y a 8 ans et 18 jours

Campus Jourdan, une vision judicieuse de la culture française ?

Peut-on donc dire d'un ouvrage qu'il est typiquement français ? Que la réalisation issue de contraintes hypercontextuelles a dans certains cas plus à voir avec la culture locale au sens large qu'avec le talent propre de l'architecte ? En quoi un bâtiment est-il typique d'une culture ? Quand tant de contraintes culturelles s'imposent pour faire […]
Il y a 8 ans et 18 jours

Construire réversible, réponse à l'absurdité immobilière ?

Dans un contexte où le trop-plein de bureaux coexiste en ville avec la pénurie de logements, l’avenir de la construction passe-il par la réversibilité des édifices ? C’est en tout cas le propos que développe l’agence Canal Architecture dans l’ouvrage Construire Réversible, paru en avril 2017. "Qu’attendons-nous pour construire réversible ?". Patrick Rubin est allé […]
Il y a 8 ans et 18 jours

Construire Réversible : Morceaux choisis.

L’ouvrage Construire réversible, paru en avril 2017 et édité aux Editions Canal architecture, donne la parole à un large panel d’acteurs de la construction. Du politique à l’architecte, en passant par la sociologue, et le promoteur? Seul peut-être manque à l’appel le citoyen lamda, mais après tout, chacun habite quelque part. Morceaux choisis. Suzel Brout, […]
Il y a 8 ans et 18 jours

A Caen, la trame élégante du club de Kayak révèle un projet subtil

Fin 2016, l'architecte et plasticienne belge Inessa Hansch a livré sur la Presqu’île de Caen (Calvados) un club de Kayak. Un petit équipement sportif de 432m² certes (pour un budget de 375 000 ¤ HT) mais qui vient utilement compléter le projet d'aménagement des espaces publics de la pointe de la presqu'île, à deux pas […]
Il y a 8 ans et 18 jours

Drive Technology Center par Archigroup

SEW"Eurodrive, un acteur de pointe dans les systèmes d’entraînement et d’automatisme, souhaitait renforcer sa présence en Rhône-Alpes. C'est désormais chose faite avec un bâtiment de 3 400 m² (2 625 m² d'ateliers et 775 m² de bureaux) conçu et réalisé par Archigroup et livré en février 2017. Communiqué. SEW"Eurodrive est une filiale française du groupe […]
Il y a 8 ans et 18 jours

Odile Decq lauréate d'un ?Lifetime achievement award'

Le 11 avril 2017, le site online Architizer a annoncé les lauréats de ses 5ème ?Annual A+Awards'. Parmi eux, lauréate du premier ?Lifetime Achievement Award', Odile Decq a été récompensée tant pour l'ensemble de son oeuvre construite que pour son engagement, sa contribution et son apport au débat sur l?architecture. Communiqué. "En raison de votre […]
Il y a 8 ans et 18 jours

Tartaix fait évoluer son système de gestion pour une transformation digitale réussie

Depuis 1919, Tartaix détaille le laiton au profit des artisans et designers de Paris et du monde entier. Pour permettre à l'entreprise d'entrer de plain-pied dans le 21ème siècle et de profiter de toutes ses opportunités, Nathalie Darras, qui a repris l'entreprise en 2015, a décidé de migrer son système de gestion de Ciel à Sage 100. Avec des arguments en acier trempé?
Il y a 8 ans et 18 jours

Les missions de maîtrise d'"uvre propres aux marchés publics globaux enfin connues

Dans les marchés publics globaux lancés à compter du 1er juillet 2017, la mission du maître d'"uvre devra contenir au minimum certains éléments comme les études de projet et celles d'exécution. Les études d'esquisse et celles d'avant-projet sommaire seront facultatives. Le détail dans un décret " LCAP " publié au " Journal officiel " du 7 mai.
Il y a 8 ans et 18 jours

Concours "Réinventer pourris" : le coup de gueule d'architectes parisiens

HUMOUR. Une association d'architectes parisiens vient de lancer le concours parodique "Réinventer pourris". Un moyen d'alerter les acteurs du secteur sur la culture du travail gratuit et l'omniprésence de la novlangue du "greenwashing".
Il y a 8 ans et 18 jours

La tour Bleue de Cergy adopte une teinte irisée

REHABILITATION. L'emblématique tour de Cergy, érigée en 1972, troque sa livrée de béton bleu ciel contre un revêtement aluminium aux reflets bleutés changeants. L'immeuble d'habitation gagne sur tous les tableaux : en performance énergétique et en qualité esthétique. Visite guidée avec Antoine Felletin, l'architecte en charge de cette rénovation.
Il y a 8 ans et 18 jours

Festival D'Days : Let's Play

Le festival des D'Days vient d'inaugurer sa 17e édition restant fidèle à sa raison d'être : promouvoir le design et la création grâce à une dynamique et une effervescence collectives. À découvrir sous la nef du Musée des Arts Décoratifs de Paris (1er), une sélection d'"uvres réparties en une vingtaine de pavillons. Le festival des D'Days, dont le nom provient de la contraction des deux termes Designer's Days, est un événement transversal présent dans de nombreux lieux de la Capitale : du Grand Palais à la Gaité Lyrique, en passant par la galerie Joseph. Son but : mettre en avant la production de designers, souvent peu connus, ici associés à de nombreux partenaires. Cette sélection de projets témoigne de la vivacité et de la variété de la création française. La thématique de cette année, " Let's Play ", se veut volontairement ludique, et souligne la capacité du domaine à réinventer les règles, à rebattre les cartes et à créer de nouveaux usages. Les règles du jeu sont simples : elles sont en perpétuelle évolution. Dans un esprit participatif et collaboratif, les acteurs, du concepteur à l'usager, forment alors une chaîne solidaire et féconde qui a pour but de remodeler à l'infini le visage du l'esthétisme moderne. Par exemple, Kartell et le créateur néo-zélandais George Nuku présentent ici une série de meubles inspirée de l'art Maori. Une réinterprétation d'un savoir-faire typique, visible dans l'utilisation de certains matériaux comme la pierre, le bois, les coquilles et même les os. Sont également visibles des travaux plus traditionnels, comme les tapisseries des ateliers d'Aubusson ; l'installation audiovisuelle des frères Bodart avec leur Pianographe ; ou encore le Plan Symbiotique du studio Mameluca, une structure composée de poutrelles en bois et entièrement modulable, symbolisant un modèle social où les hommes peuvent vivre en harmonie entre eux, et avec la nature. Ainsi queIl'atelier textile de Dedar, intitulée Pachisi tapestry : a colour playground, qui permet de choisir son propre tissu et son coloris à disposer sur une toile, le visiteur devient à son tour designer. On note également Stairway to Infinity (probablement en hommage au célèbre morceau de Led Zeppelin) de l'agence RDAI, conçu en collaboration avec 3A Composites : un escalier de vingt-huit marches en bois de plus en plus étroites, placé dans l'angle d'une pièce. Mais cette pièce est recouverte des murs au plafond de miroirs, donnant une impression d'espace infini où tout objet se démultiplie encore et encore. Un volume hors du temps qui perturbe fortement le sens de l'orientation et la perception de ses visiteurs. D'Days, jusqu'au 14 mai 2017, Musée des Arts Décoratifs, Paris (1er) Photographies : 1) Esquisse de Stairway to Infinity, RDAI 2) Papier Machine, Marion Pinaffo & Raphaël Pluvinage  3) Entrée du festival sous la nef du Musée des Arts Décoratifs de Paris 4 ) Papier Machine, Marion Pinaffo & Raphaël Pluvinage  5) Stairway to Infinity, RDAI  6) Tissu Pachisi, Dedar 7) Divano Uncle Jack Te Aomarama, Kartell & George Nuku , © Raffaele Origone 8) Phoenix Pop, Marie Aurore Stiker Metral, Les Ateliers d'Aubusson  9) Pianographe, Florent & Romain Bodart 10) Premier plan : Tissu Pachisi, Dedar Second plan : Symbiotic Plan, Mameluca Studio, © Mameluca Studio Pour en savoir plus, visitez le site de D'Days 
Il y a 8 ans et 18 jours

Festival D'Days : Let's Play

Le festival des D'Days vient d'inaugurer sa 17e édition restant fidèle à sa raison d'être : promouvoir le design et la création grâce à une dynamique et une effervescence collectives. À découvrir sous la nef du Musée des Arts Décoratifs de Paris (1er), une sélection d'"uvres réparties en une vingtaine de pavillons. Le festival des D'Days, dont le nom provient de la contraction des deux termes Designer's Days, est un événement transversal présent dans de nombreux lieux de la Capitale : du Grand Palais à la Gaité Lyrique, en passant par la galerie Joseph. Son but : mettre en avant la production de designers, souvent peu connus, ici associés à de nombreux partenaires. Cette sélection de projets témoigne de la vivacité et de la variété de la création française. La thématique de cette année, " Let's Play ", se veut volontairement ludique, et souligne la capacité du domaine à réinventer les règles, à rebattre les cartes et à créer de nouveaux usages. Les règles du jeu sont simples : elles sont en perpétuelle évolution. Dans un esprit participatif et collaboratif, les acteurs, du concepteur à l'usager, forment alors une chaîne solidaire et féconde qui a pour but de remodeler à l'infini le visage du l'esthétisme moderne. Par exemple, Kartell et le créateur néo-zélandais George Nuku présentent ici une série de meubles inspirée de l'art Maori. Une réinterprétation d'un savoir-faire typique, visible dans l'utilisation de certains matériaux comme la pierre, le bois, les coquilles et même les os. Sont également visibles des travaux plus traditionnels, comme les tapisseries des ateliers d'Aubusson ; l'installation audiovisuelle des frères Bodart avec leur Pianographe ; ou encore le Plan Symbiotique du studio Mameluca, une structure composée de poutrelles en bois et entièrement modulable, symbolisant un modèle social où les hommes peuvent vivre en harmonie entre eux, et avec la nature. Ainsi queIl'atelier textile de Dedar, intitulée Pachisi tapestry : a colour playground, qui permet de choisir son propre tissu et son coloris à disposer sur une toile, le visiteur devient à son tour designer. On note également Stairway to Infinity (probablement en hommage au célèbre morceau de Led Zeppelin) de l'agence RDAI, conçu en collaboration avec 3A Composites : un escalier de vingt-huit marches en bois de plus en plus étroites, placé dans l'angle d'une pièce. Mais cette pièce est recouverte des murs au plafond de miroirs, donnant une impression d'espace infini où tout objet se démultiplie encore et encore. Un volume hors du temps qui perturbe fortement le sens de l'orientation et la perception de ses visiteurs. " D'Days " jusqu'au 14 mai 2017, Musée des Arts Décoratifs, Paris (1er) Photographies : 1) "Stairway to Infinity" , RDAI 2) Esquisse de "Stairway to Infinity" , RDAI 3) Entrée du fesival sous la nef du Musée des Arts Décoratifs de Paris 4 & 5) "?Papier Machine" , Marion Pinaffo & Raphaël Pluvinage  6) Tissu "Pachisi", Dedar 7) "Divano Uncle Jack Te Aomarama' , Kartell & George Nuku , ©Raffaele Origone 8)  "Phoenix Pop" , Marie Aurore Stiker Metral, Les Ateliers d'Aubusson  9) "Pianographe" , Florent & Romain Bodart 10) "Symbiotic Plan" Mameluca Studio, ©Mameluca Studio Pour en savoir plus, visitez le site de D'Days 
Il y a 8 ans et 18 jours

Ligne 7 Architecture : Pôle Sportif André Clousier

C'est dans la ville du Neubourg (27) que l'agence Ligne 7 Architecture conçoit le pôle sportif André Clousier, remplaçant l'ancien gymnase du collège Pierre Corneille. Les maîtres d'"uvre, Bernard Ritaly et Dominique Lardeau, ont souhaité réaliser une structure en adéquation avec les fonctions sportives du lieu tout en s'inscrivant dans une démarche environnementale. Le complexe sportif été implanté en extrémité ouest du collège Pierre Corneille afin de faciliter l'accès des élèves qui peuvent y pénétrer sans avoir à sortir de l'enceinte scolaire, comme cela était le cas auparavant, tout en conservant un accès principal sur la rue. Le pôle sportif est divisé en trois espaces : la façade d'entrée " salle polyvalente, vestiaires et hall ", une grande salle omnisport et un toit-terrasse végétalisé. La construction utilise des lignes de composition orthonormées, mêlant l'horizontalité des unités et verticalité des matériaux, visible par exemple avec les lames de bardage métallique recouvrant la grande salle. Un travail sur les espaces vides et pleins a également été effectué, avec un soubassement en béton contrastant avec une partie supérieure vitrée plus aérienne qui offre transparence et luminosité naturelle. À l'intérieur, le blanc côtoie le bois clair et confère à ce lieu un aspect apaisant, loin des couleurs criardes que l'on trouve habituellement dans les gymnases. Un grand mur d'escalade jaune vient en outre égailler et dynamiser la pièce. Avec ce centre sportif, ayant obtenu le Label BBC-Effinergie, les concepteurs proposent une construction aux qualités environnementales non négligeables, notamment par un entretien peu contraignant du bâtiment, que dans l'utilisation des sources énergétiques renouvelables " réduction des consommations en énergie et en eau potable. De quoi s'exercer dans les meilleures conditions possibles en alliant sport, confort et conscience écologique. Photographies : Stephane Chalmau Pour en savoir plus, visitez le site de Ligne 7 Architecture
Il y a 8 ans et 18 jours

Ligne 7 Architecture - T. Bresdin : Pôle Sportif André Clousier

C'est dans la ville du Neubourg (27) que les agences Ligne 7 Architecture et T. Bresdin conçoivent le pôle sportif André Clousier, remplaçant l'ancien gymnase du collège Pierre Corneille. Les maîtres d'"uvre ont souhaité réaliser une structure en adéquation avec les fonctions sportives du lieu tout en s'inscrivant dans une démarche environnementale. Le complexe sportif été implanté en extrémité ouest du collège Pierre Corneille afin de faciliter l'accès des élèves qui peuvent y pénétrer sans avoir à sortir de l'enceinte scolaire, comme cela était le cas auparavant, tout en conservant un accès principal sur la rue. Le pôle sportif est divisé en trois espaces : la façade d'entrée " salle polyvalente, vestiaires et hall ", une grande salle omnisport et un toit-terrasse végétalisé. La construction utilise des lignes de composition orthonormées, mêlant l'horizontalité des unités et verticalité des matériaux, visible par exemple avec les lames de bardage métallique recouvrant la grande salle. Un travail sur les espaces vides et pleins a également été effectué, avec un soubassement en béton contrastant avec une partie supérieure vitrée plus aérienne qui offre transparence et luminosité naturelle. À l'intérieur, le blanc côtoie le bois clair et confère à ce lieu un aspect apaisant, loin des couleurs criardes que l'on trouve habituellement dans les gymnases. Un grand mur d'escalade jaune vient en outre égailler et dynamiser la pièce. Avec ce centre sportif, ayant obtenu le Label BBC-Effinergie, les concepteurs proposent une construction aux qualités environnementales non négligeables, notamment par un entretien peu contraignant du bâtiment, que dans l'utilisation des sources énergétiques renouvelables " réduction des consommations en énergie et en eau potable. De quoi s'exercer dans les meilleures conditions possibles en alliant sport, confort et conscience écologique. Photographies : Stephane Chalmeau Pour en savoir plus, visitez le site de Ligne 7 Architecture
Il y a 8 ans et 18 jours

Ligne 7 Architecture - T. Bresdin : Pôle Sportif André Clousier

C'est dans la ville du Neubourg (27) que les agences Ligne 7 Architecture et T. Bresdin conçoivent le pôle sportif André Clousier, remplaçant l'ancien gymnase du collège Pierre Corneille. Les maîtres d'"uvre ont souhaité réaliser une structure en adéquation avec les fonctions sportives du lieu tout en s'inscrivant dans une démarche environnementale. Le complexe sportif été implanté en extrémité ouest du collège Pierre Corneille afin de faciliter l'accès des élèves qui peuvent y pénétrer sans avoir à sortir de l'enceinte scolaire, comme cela était le cas auparavant, tout en conservant un accès principal sur la rue. Le pôle sportif est divisé en trois espaces : la façade d'entrée " salle polyvalente, vestiaires et hall ", une grande salle omnisport et un toit-terrasse végétalisé. La construction utilise des lignes de composition orthonormées, mêlant l'horizontalité des unités et verticalité des matériaux, visible par exemple avec les lames de bardage métallique recouvrant la grande salle. Un travail sur les espaces vides et pleins a également été effectué, avec un soubassement en béton contrastant avec une partie supérieure vitrée plus aérienne qui offre transparence et luminosité naturelle. À l'intérieur, le blanc côtoie le bois clair et confère à ce lieu un aspect apaisant, loin des couleurs criardes que l'on trouve habituellement dans les gymnases. Un grand mur d'escalade jaune vient en outre égailler et dynamiser la pièce. Avec ce centre sportif, ayant obtenu le Label BBC-Effinergie, les concepteurs proposent une construction aux qualités environnementales non négligeables, notamment par un entretien peu contraignant du bâtiment, que dans l'utilisation des sources énergétiques renouvelables " réduction des consommations en énergie et en eau potable. De quoi s'exercer dans les meilleures conditions possibles en alliant sport, confort et conscience écologique. Photographies : Stephane Chalmeau Pour en savoir plus, visitez le site de Ligne 7 Architecture
Il y a 8 ans et 18 jours

Les tunnels sacrifiés de Bercy-Charenton

Les tunnels de Bercy-Charenton, patrimoine majeur du XIXe siècle, sont un trésor architectural et historique méconnu. Datant de Napoléon, l'ancienne gare de la Rapée est aujourd'hui la cave à vin la plus importante de la capitale. Il s'agit encore du seul entrepôt écologique de Paris. Ils font l’objet d’une exposition à Paris. Photos de Teddy […]
Il y a 8 ans et 18 jours

Hung Nguyen Architects: The Pavilion of the Origins

Situé à Hanoï (Viêt Nam), le Pavillon des origines est un projet mariant architecture, design et végétation, avec une sélection de plantes spécialement choisies pour leurs propriétés dépolluantes. Un poumon vert qui apporte une bouffée d'air frais dans un contexte urbain parfois suffocant. Positionné sur le toit-terrasse d'une maison de trois étages de la capitale vietnamienne, la structure principale de cette pergola se compose d'un ensemble de cadres blancs modulables de hauteur différente, formant des tables, des chaises et même des hamacs par l'adjonction de filets tendus. Un lieu de repos et de contemplation donc. Le tout, bercé par le vent, est noyé de lumière naturelle. Ces jardinières aériennes cubiques de 20 centimètres de côté subdivisent subtilement cet espace ouvert, mais couvert, de 18 mètres carrés. Les armatures en acier ainsi que le gravier sont blancs pour mieux se fondre dans le ciel et les nuages, tandis que le toit translucide en polycarbonate réduit le rayonnement solaire. La présence des végétaux permet de créer une oasis urbaine dans ce qui est l'une des villes les plus polluées d'Asie, et peut-être alors d'y respirer un peu mieux par l'action purifiante des plantes. Cette jungle suspendue apporte à la fois le calme et la sérénité nécessaires à ses propriétaires, ressource leur esprit et d'oxygéne leurs poumons : un retour aux sources. Photographies : Nguyen Thai Thach Pour en savoir plus, visitez le site de Hung Nguyen Architects
Il y a 8 ans et 18 jours

Hung Nguyen Architects : Pavilion of the Origins

Situé à Hanoï (Viêt Nam), le Pavillon des origines est un projet mariant architecture, design et végétation, avec une sélection de plantes spécialement choisies pour leurs propriétés dépolluantes. Un poumon vert qui apporte une bouffée d'air frais dans un contexte urbain parfois suffocant. Positionné sur le toit-terrasse d'une maison de trois étages de la capitale vietnamienne, la structure principale de cette pergola se compose d'un ensemble de cadres blancs modulables de hauteur différente, formant des tables, des chaises et même des hamacs par l'adjonction de filets tendus. Un lieu de repos et de contemplation donc. Le tout, bercé par le vent, est noyé de lumière naturelle. Ces jardinières aériennes cubiques de 20 centimètres de côté subdivisent subtilement cet espace ouvert, mais couvert, de 18 mètres carrés. Les armatures en acier ainsi que le gravier sont blancs pour mieux se fondre dans le ciel et les nuages, tandis que le toit translucide en polycarbonate réduit le rayonnement solaire. La présence des végétaux permet de créer une oasis urbaine dans ce qui est l'une des villes les plus polluées d'Asie, et peut-être alors d'y respirer un peu mieux par l'action purifiante des plantes. Cette jungle suspendue apporte à la fois le calme et la sérénité nécessaires à ses propriétaires, ressource leur esprit et d'oxygéne leurs poumons : un retour aux sources. Photographies : Nguyen Thai Thach Pour en savoir plus, visitez le site de Hung Nguyen Architects
Il y a 8 ans et 18 jours

Hung Nguyen Architects : Pavilion of the Origins

Situé à Hanoï (Viêt Nam), le Pavillon des origines est un projet mariant architecture, design et végétation, avec une sélection de plantes spécialement choisies pour leurs propriétés dépolluantes. Un poumon vert qui apporte une bouffée d'air frais dans un contexte urbain parfois suffocant. Positionné sur le toit-terrasse d'une maison de trois étages de la capitale vietnamienne, la structure principale de cette pergola se compose d'un ensemble de cadres blancs modulables de hauteur différente, formant des tables, des chaises et même des hamacs par l'adjonction de filets tendus. Un lieu de repos et de contemplation donc. Le tout, bercé par le vent, est noyé de lumière naturelle. Ces jardinières aériennes cubiques de 20 centimètres de côté subdivisent subtilement cet espace ouvert, mais couvert, de 18 mètres carrés. Les armatures en acier ainsi que le gravier sont blancs pour mieux se fondre dans le ciel et les nuages, tandis que le toit translucide en polycarbonate réduit le rayonnement solaire. La présence des végétaux permet de créer une oasis urbaine dans ce qui est l'une des villes les plus polluées d'Asie, et peut-être alors d'y respirer un peu mieux par l'action purifiante des plantes. Cette jungle suspendue apporte à la fois le calme et la sérénité nécessaires à ses propriétaires, ressource leur esprit et d'oxygéne leurs poumons : un retour aux sources. Photographies : Nguyen Thai Thach Pour en savoir plus, visitez le site de Hung Nguyen Architects
Il y a 8 ans et 18 jours

République numérique : les données relatives aux subventions accordées par des organismes publics seront publiques

A partir du 1er août 2017, les données relatives aux subventions accordées par des organismes publics devront être publiées sur Internet. Nom de la société attributaire, montant de la subvention et modalités de versement comptent parmi les principales informations à publier.
Il y a 8 ans et 18 jours

Le programme nantais îlink, lauréat du Grand Prix Régional des Pyramides d'argent

Dans le cadre de la cérémonie des Pyramides d'Argent 2017 organisée début avril par la Fédération des Promoteurs Immobiliers (FPI), la Direction régionale Bretagne " Pays de la Loire a remporté le Grand Prix Régional pour îlink, une réalisation d'envergure de VINCI Immobilier.
Il y a 8 ans et 18 jours

Le Portugal fédère l'architecture du Grand Est

Par les "Rencontres européennes de l'architecture" qui débutent mardi 9 mai, les trois Maisons de l'architecture d'Alsace, de Lorraine et de Champagne-Ardenne conçoivent l'un des premiers exemples concrets de la volonté de la profession d'exister à l'échelle du Grand Est. Elles consacrent cette première édition aux concepteurs portugais.
Il y a 8 ans et 18 jours

35 pays en lice pour la finale mondiale des sélections continentales du Prix Versailles 2017

Promu activement par l'UNESCO et l'Union Internationale des Architectes, le Prix Versailles s'est imposé comme le prix mondial d'architecture des magasins, hôtels et restaurants.
Il y a 8 ans et 19 jours

Paris va relancer le "concours des façades"

Paris va rétablir le "concours des façades", un concours d'architecture abandonné en 1930, afin de "relancer l'exigence d'esthétisme" dans l'architecture parisienne.
Il y a 8 ans et 19 jours

La Seine Musicale : à prouesses architecturales, solutions innovantes et collaborations expertes

La Seine Musicale a ouvert ses portes en avril 2017 au c"ur du plan urbain de Jean Nouvel, à la pointe de l'île Seguin à Boulogne-Billancourt (92). Conçu par l'architecte Shigeru Ban associé à Jean de Gastines, ce lieu culturel se compose d'un auditorium et d'une salle de spectacle modulable, qui accueilleront concerts et événements pour tout public. En phase conception de cette architecture unique, le CSTB a accompagné les acteurs dans leurs défis techniques. D'une part, les experts en aérodynamique ont mené l'étude de dimensionnement au vent du bâtiment et de la voile solaire ; d'autre part, les instructeurs ont réalisé l'évaluation de la toiture végétalisée et de la façade vitrée. D'une superficie de 35 000 m², la Seine Musicale se distingue par plusieurs prouesses architecturales : une grande voile équipée de panneaux photovoltaïques, qui suit la course du soleil ; une toiture végétalisée en pente raide, espace vert pour les piétons et refuge pour la biodiversité ; une façade vitrée de 4 000 m² sur une forme ovoïde. Dimensionner au vent la voile solaire mobile Le bureau d'études RFR (Artelia), missionné par Bouygues Construction, s'est appuyé sur l'expertise du CSTB pour mener des études aérodynamiques sur mesure. 1ère étape : représenter l'environnement aérodynamique de la Seine Musicale. À partir de données métrologiques et topographiques locales, le CSTB a défini par simulation CFD (mécanique des fluides numérique), les vitesses du vent sur le site pour toutes les incidences. Les mesures obtenues ont été affinées en souffleries atmosphériques grâce à une reproduction du site au 1/500ème prenant en compte les effets des bâtiments les plus proches. 2ème étape : optimiser le dimensionnement au vent de la voile via une campagne expérimentale (tests sur maquettes au 1/250ème et 1/75ème en soufflerie). Le CSTB a d'abord testé la voile mobile dans plusieurs positions. Il a aussi considéré l'impact de l'environnement actuel et envisagé par Jean Nouvel. Puis, il a mesuré les efforts locaux et globaux du vent sur les panneaux photovoltaïques (1 000 m²) et la structure support pour optimiser le chargement au vent sur cette voile. Sécuriser la toiture végétalisée en pente raide Ses pentes sont inclinées à 76 % et pourtant la toiture de la Seine Musicale accueille un jardin public et offre un refuge à la biodiversité. Cette innovation a bouleversé les codes du monde de la construction végétalisée. Le CSTB a accompagné l'entreprise AMC Étanchéité dans l'évaluation de cette toiture végétalisée aux pentes hors normes. Celle-ci a porté sur la conception des ouvrages : d'isolation et de protection jardin : la structure porteuse comporte des butées de retenue (bacs collaborants en béton armé) ; d'étanchéité : des gabions métalliques assurent le compartimentage et le maintien en place de la terre elle-même et du couvert végétal. Le comité d'experts multidisciplinaires " construction, paysage, horticulture " a formulé en 2015, une Appréciation Technique d'Expérimentation (ATEx) favorable, assortie de recommandations (méthode de mise en "uvre, contrôles d'exécution, conditions d'accès et de sécurité, prescriptions d'entretien). Évaluer une façade vitrée dans une charpente en bois inclinée L'auditorium de la Seine Musicale est niché au c"ur d'un "uf de bois tressé, aux formes arrondis recouverte d'une peau en verre. Le CSTB a été sollicité par la société Mtech pour évaluer son procédé innovant de verrière et de façade en devers (+15°) composée de vitrages isolants. Des réunions préparatoires à l'ATEx ont porté sur les conditions de mise en "uvre des vitrages sur la charpente en bois non plane. Sur la base de contre-calculs, le CSTB a défini les protocoles d'essais à réaliser (étanchéité à l'eau et à l'air ; résistance au vent, aux chocs ; sécurité des personnes). Les résultats de ces tests ont permis, lors de l'évaluation proprement dite, de valider la stabilité à froid et la durabilité de l'ouvrage. Par ailleurs, sa faisabilité a été évaluée grâce à la fabrication d'un prototype sur site et à la mise en "uvre des premiers remplissages. Une ATEx favorable a été délivrée à Mtech pour sa solution en juillet 2016. En savoir plus : Expertise Aérodynamique du CSTB Savoir-faire dédié aux Grands ouvrages Appréciation Technique d'Expérimentation (ATEx) Grand Musée de l'Afrique à Alger?: innovation, élégance et performance
Il y a 8 ans et 19 jours

Paris va relancer le concours des façades

Paris va rétablir le "concours des façades", un concours d'architecture abandonné dans les années 1930, afin de "relancer l'exigence d'esthétisme" dans l'architecture parisienne et éviter la banalisation, a annoncé jeudi le groupe UDI-MoDem du Conseil de Paris qui est à l'origine de cette initiative.