Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

(61693 résultats)
Il y a 8 ans et 39 jours

Charles Pétillon : Connexions

En collaboration avec le photographe et artiste Charles Pétillon, la marque américaine Sunbrella " leader dans la fabrication de textiles dits de " haute performance " ", magnifie ses produits à travers un projet artistique créatif et surprenant nommé Connexions. Une structure gonflable de dix ballons liés entre eux et habillés de tissus techniques, pour un résultat mesurant plus de 4,20 mètres de hauteur. Le but de cette création est d'explorer les possibilités offertes par le matériau afin d'en proposer une présentation atypique, qui va plus loin que le simple exposé d'échantillons. Le montage s'accompagne en outre d'un travail de photographies et de vidéos, présentant Connexions dans des décors et des lieux autres qu'une salle d'exposition ou un musée, pour créer un lien entre l'art et le lieu où il s'exprime. La seconde liaison s'établit dans un cadre beaucoup plus littéral, puisque que la marque et l'artiste-photographe ont développé un site web dédié à Connexions, où les utilisateurs peuvent déplacer la structure dans l'espace via des captures de Google Street View, et devenir le temps de quelques clics eux-mêmes artistes. Un nouveau pont apparaît, cette fois entre le réel et le virtuel, ainsi qu'entre spectateur et créateur, dont les rôles se confondent finalement. Lancée à Milan, l'installation est destinée à devenir itinérante et à parcourir les exhibitions et autres événements artistiques. Cette "uvre qui fait interagir trois protagonistes " Sunbrella, Charles Pétillon et le spectateur ", allie parfaitement art visuel et espace, où la matière se définit par rapport au monde qui l'englobe. Photographies : Charles Pétillon Pour en savoir plus, visitez le site de Sunbrella et de Charles Pétillon
Il y a 8 ans et 39 jours

Les architectes déchiffrés par la MAF

La Mutuelle des Architectes Français (MAF) vient de publier les chiffres des travaux 2015 déclarés par les architectes adhérents en 2016?
Il y a 8 ans et 39 jours

Tomra France dans les cartons

Tomra France, filiale française du spécialiste des machines de tri optique Tomra Sorting, vient d'emménager dans de nouveaux bureaux. La société reste aux abords de Montpellier puisqu'elle quitte Castries pour Saint-Aunès, plus précisément l'écoparc de la ZAC Saint-Antoine, à 11 km de Montpellier.
Il y a 8 ans et 39 jours

Accessibilité, vieillissement et habitat : la Fédération des Ascenseurs interpelle les candidats à l'élection présidentielle

Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Près de la moitié des Français vivant en habitat collectif n'ont pas accès à l'ascenseur, et la majorité des immeubles construits aujourd'hui n'en intègrent pas. Or, 3 Français sur 10 auront plus de 60 ans en 2035.
Il y a 8 ans et 40 jours

Des cabanes pour enfants écoresponsables

Hervé Roche et Antoine Anquetil, fabricants d'imaginaire associés, installés à Gannat (03) et à Clermont-Ferrand (63), réinventent la cabane haut de gamme en apportant design, authenticité et écoresponsabilité.
Il y a 8 ans et 43 jours

Rencontre avec : Jean-Charles de Castelbajac

Le VIA (Valorisation de l'Innovation de l'Ameublement) a 40 ans ! Pour fêter cet anniversaire, l'organisme s'offre une exposition itinérante, " No Taste for bad taste ". À l'occasion de sa présentation à l'Institut français de Milan, la rédaction de Muuuz a rencontré le touche-à-tout et inclassable Jean-Charles de Castelbajac qui s'est ici plié à l'exercice de la scénographie. Il y avait du second degré, de la poésie dans l'air, de l'émotion dans les mots et des étoiles dans les yeux. Muuuz : Pourquoi le VIA vous a-t-il choisi pour être scénographe de cette exposition ?Jean-Charles de Castelbajac : Je suis l'excellence incarnée ! Depuis 30 ans, je conçois de manière décloisonnée : j'ai toujours fais du design, de la mode, de l'art, etc. Au départ, j'étais comme un petit ruisseau à contre-courant, puis je suis devenu une rivière, un fleuve, maintenant je suis arrivé à la mer.C'est amusant que le VIA m'ait choisi. Quand on me l'a proposé, j'ai tout de suite accepté avec joie ! Comment avez-vous choisi le titre " No taste for bad taste " ?Nous l'avons choisi avec les équipes du VIA, mais il aurait également pu être " No taste for good taste " car le goût est quelque chose de subjectif. Personnellement, j'ai le goût de l'imparfait. Comment avez-vous opéré la sélection de quarante pièces de design français présentée lors de l'exposition ? et leurs dix valeurs associées (art de vivre, héritage, savoir-faire, élégance et touche de luxe, etc.) ?Tout ceci s'est décidé de manière collégiale, rigoureuse et arbitraire. Mon seul regret : qu'il n'y ait pas 10 pièces de plus qui parlent de demain car pour moi toute exposition doit annoncer la relève.Les dix valeurs essentielles qui nous ont permis de répartir notre sélection de quarante objets se sont imposées d'elles-mêmes, de concert avec le conseil supérieur du VIA. Moi, je leur ai juste donné une définition moderne en leur associant chacune un pictogramme que j'ai dessiné, car j'ai la passion des blasons. Pour moi un dessin en dit plus que de longues phrases. Parmi ces dix valeurs, dans laquelle vous reconnaissez-vous particulièrement ?" Le beau bizarre ! ", qui aurait pu être la onzième de ces valeurs ! ou le trouble, l'invisible, le mystère... Quels principes ont guidé votre intervention répartie en dix tentes ?L'idée était de parler de nomadisme, de voyage dans le temps. De faire quelque chose de très onirique, de très français, avec une référence au style national, à la tradition, et d'en faire perdurer le savoir-faire. En effet, ces tentes sont tout sauf modernes : leur chapiteau est en fonte, elles sont peintes à la main... mais elles sont avant tout l'expression d'un geste. La base de mon travail est ainsi de prendre l'histoire et de la transformer : je suis un conteur d'histoire. C'est ce que j'ai voulu dire dans ma scénographie, faire vivre aux visiteurs un voyage presque enfantin, régressif. Quelle histoire se cache donc derrière ces tentes ?Elles ont été faites à Paris par les Ateliers Richard, avec qui j'avais déjà travaillé dans les années 1970 dans le cadre de défilés de mode, et qui fabriquaient déjà ce type de structures du temps de la cour à Versailles. Avec eux, je voulais ramener le goût de l'excellence. Cela faisait longtemps que je n'étais pas autant rentré dans les détails, comme le faisait par exemple Mies van der Rohe dans ses maisons. J'ai aussi voulu créer toute une dramaturgie autour de l'arrivée de ces tentes, en dessinant des caisses en bois peintes dans lesquelles tout ce campement peut être transporté et qui peuvent s'emboîter comme un mécano. Comme un voyage de comédiens dans le temps ou les campagnes militaires de Jules César, chaque caisse contient ici un élément : les tentures, les montants, les chapiteaux, etc. " Au final, je n'ai jamais été aussi créatif. C'est fascinant ! Quand vous créez depuis cinquante ans, sans mélancolie : un classement générique émotionnel s'immisce à l'intérieur de vous. Le concept se met alors immédiatement en route... " Jean-Charles de Castelbajac Photographies :1) ©James Bort (www.jamesbort.com)3, 4, 5, ) ©Francesco Secchi Pour en savoir plus, visitez le site du VIA, du French design et de Jean-Charles de Castelbajac  
Il y a 8 ans et 43 jours

Rencontre avec : Jean-Charles de Castelbajac

Le VIA (Valorisation de l'Innovation de l'Ameublement) a 40 ans ! Pour fêter cet anniversaire, l'organisme s'offre une exposition itinérante, " No Taste for bad taste ". À l'occasion de sa présentation à l'Institut français de Milan, la rédaction de Muuuz a rencontré le touche-à-tout et inclassable Jean-Charles de Castelbajac qui s'est ici plié à l'exercice de la scénographie. Il y avait ici du second degré, de la poésie dans l'air, de l'émotion dans les mots et des étoiles dans les yeux. Muuuz : Pourquoi le VIA vous a-t-il choisi pour être scénographe de cette exposition ?Jean-Charles de Castelbajac : Je suis l'excellence incarnée ! Depuis 30 ans, je conçois de manière décloisonnée : j'ai toujours fais du design, de la mode, de l'art, etc. Au départ, j'étais comme un petit ruisseau à contre-courant, puis je suis devenu une rivière, un fleuve, maintenant je suis arrivé à la mer.C'est amusant que le VIA m'ait choisi. Quand on me l'a proposé, j'ai tout de suite accepté avec joie ! Comment avez-vous choisi le titre " No taste for bad taste " ?Nous l'avons choisi avec les équipes du VIA, mais il aurait également pu être " No taste for good taste " car le goût est quelque chose de subjectif. Personnellement, j'ai le goût de l'imparfait. Comment avez-vous opéré la sélection de quarante pièces de design français présentée lors de l'exposition ? et leurs dix valeurs associées (art de vivre, héritage, savoir-faire, élégance et touche de luxe, etc.) ?Tout ceci s'est décidé de manière collégiale, rigoureuse et arbitraire. Mon seul regret : qu'il n'y ait pas 10 pièces de plus qui parlent de demain car pour moi toute exposition doit annoncer la relève.Les dix valeurs essentielles qui nous ont permis de répartir notre sélection de quarante objets se sont imposées d'elles-mêmes, de concert avec le conseil supérieur du VIA. Moi, je leur ai juste donné une définition moderne en leur associant chacune un pictogramme que j'ai dessiné, car j'ai la passion des blasons. Pour moi un dessin en dit plus que de longues phrases. Parmi ces dix valeurs, dans laquelle vous reconnaissez-vous particulièrement ?" Le beau bizarre ! ", qui aurait pu être la onzième de ces valeurs ! ou le trouble, l'invisible, le mystère... Quels principes ont guidé votre intervention répartie en dix tentes ?L'idée était de parler de nomadisme, de voyage dans le temps. De faire quelque chose de très onirique, de très français, avec une référence au style national, à la tradition, et d'en faire perdurer le savoir-faire. En effet, ces tentes sont tout sauf modernes : leur chapiteau est en fonte, elles sont peintes à la main... mais elles sont avant tout l'expression d'un geste. La base de mon travail est ainsi de prendre l'histoire et de la transformer : je suis un conteur d'histoire. C'est ce que j'ai voulu dire dans ma scénographie, faire vivre aux visiteurs un voyage presque enfantin, régressif. Quelle histoire se cache donc derrière ces tentes ?Elles ont été faites à Paris par les Ateliers Richard, avec qui j'avais déjà travaillé dans les années 1970 dans le cadre de défilés de mode, et qui fabriquaient déjà ce type de structures du temps de la cour à Versailles. Avec eux, je voulais ramener le goût de l'excellence. Cela faisait longtemps que je n'étais pas autant rentré dans les détails, comme le faisait par exemple Mies van der Rohe dans ses maisons. J'ai aussi voulu créer toute une dramaturgie autour de l'arrivée de ces tentes, en dessinant des caisses en bois peintes dans lesquelles tout ce campement peut être transporté et qui peuvent s'emboîter comme un mécano. Comme un voyage de comédiens dans le temps ou les campagnes militaires de Jules César, chaque caisse contient ici un élément : les tentures, les montants, les chapiteaux, etc. Au final, je n'ai jamais été aussi créatif. C'est fascinant ! Quand vous créez depuis cinquante ans, sans mélancolie : un classement générique émotionnel s'immisce à l'intérieur de vous. Le concept se met alors immédiatement en route... Photographies :1) ©James Bort (www.jamesbort.com)3, 4, 5, ) ©Francesco Secchi Pour en savoir plus, visitez le site du VIA, du French design et de Jean-Charles de Castelbajac
Il y a 8 ans et 43 jours

Pablo Reinoso : Monographie

C'est aux éditions 5 Continents qu'est sortie la monographie de Pablo Reinoso, sculpteur-architecte faisant sensation dans le monde de l'art depuis plus d'une dizaine d'années. Un ouvrage de 280 pages mêlant des photos et textes qui permettent de mieux connaître et de comprendre l'esprit du créateur. À l'âge de 14 ans, le jeune Pablo Reinoso visite Paris. Il parcourt alors le musée Rodin, la maison de Verre de Pierre Chareau, et découvre le sculpteur Henry Laurens : c'est une révélation pour l'adolescent argentin. Six ans plus tard, il forme son premier atelier de sculpture à Buenos Aires. À 23 ans, il s'installe à Paris, sur les traces de son voyage initiatique. C'est le début d'une longue carrière. Dès ses premiers travaux en Argentine, il prend l'habitude de produire par série, lui permettant d'aller jusqu'au bout de ses idées, afin de maîtriser au mieux l'objet qu'il manie, remanie ou transforme. Comme pour sa série Thoneteando, en 2004, le créateur détourne un symbole du design industriel : la chaise Thonet n° 14. Néanmoins, ce sont ses Bancs Spaghetti, deux ans plus tard, qui l'amènent sur le devant de la scène internationale. S'en suit alors une période de succès retentissant, jusqu'à réaliser une commande pour la terrasse sud du palais de l'Élysée, et deux sculptures disposées sur les rives de la Tamise à Londres (Royaume-Uni). Avec cet ouvrage, retrouvez un condensé exhaustif du travail de Pablo Reinoso. Des images d'archive, dont certaines inédites, étoffées de textes sincères qui retracent le parcours du Sud-américain et l'analysent : un texte du philosophe et épistémologue Michel Serres, un entretien avec le critique d'art Henri-Francois Debailleux et un autre avec l'écrivain et psychanalyste Gérard Wajcman. " Si j'en viens à penser que les productions de Pablo Reinoso excèdent leur nature propre, ce n'est pas parce qu'il serait impossible de la nommer, mais, considérée sous un certain angle, parce que chaque création peut se manifester et participer de natures diverses, multiples, voire opposées, en même temps ou successivement. " Gérard Wajcman Monographie de Pablo Reinoso, éditions 5 Continents, 280 pages, 80 euros Photographies : 1) Retour au végétal , 2015 , p. 130-131 2) Double Spaghetti , 2006 , p. 136-137 3) Chaise de l'harmonie , 2011 , p. 24-25 4) Personal Stool - Self Portrait , 2012 , p. 248-249 5 et 6 ) Ashes to Ashes , 2002 , p. 98-99 7) Two for Tango , 2012 , p. 166-167  8) Circular Bench , 2012 , p. 206-207 Pour en savoir plus, visitez le site de Pablo Reinoso     
Il y a 8 ans et 43 jours

Pablo Reinoso : Monographie

C'est aux éditions 5 Continents qu'est sortie la monographie de Pablo Reinoso, sculpteur-architecte faisant sensation dans le monde de l'art depuis plus d'une dizaine d'années. Un ouvrage de 280 pages mêlant des photos et textes qui permettent de mieux connaître et de comprendre l'esprit du créateur. À l'âge de 14 ans, le jeune Pablo Reinoso visite Paris. Il parcourt alors le musée Rodin, la maison de Verre de Pierre Chareau, et découvre le sculpteur Henry Laurens : c'est une révélation pour l'adolescent argentin. Six ans plus tard, il forme son premier atelier de sculpture à Buenos Aires. À 23 ans, il s'installe à Paris, sur les traces de son voyage initiatique. C'est le début d'une longue carrière. Dès ses premiers travaux en Argentine, il prend l'habitude de produire par série, lui permettant d'aller jusqu'au bout de ses idées, afin de maîtriser au mieux l'objet qu'il manie, remanie ou transforme. Comme pour sa série Thoneteando, en 2004, le créateur détourne un symbole du design industriel : la chaise Thonet n° 14. Néanmoins, ce sont ses Bancs Spaghetti, deux ans plus tard, qui l'amènent sur le devant de la scène internationale. S'en suit alors une période de succès retentissant, jusqu'à réaliser une commande pour la terrasse sud du palais de l'Élysée, et deux sculptures disposées sur les rives de la Tamise à Londres (Royaume-Uni). Avec cet ouvrage, retrouvez un condensé exhaustif du travail de Pablo Reinoso. Des images d'archive, dont certaines inédites, étoffées de textes sincères qui retracent le parcours du Sud-américain et l'analysent : un texte du philosophe et épistémologue Michel Serres, un entretien avec le critique d'art Henri-Francois Debailleux et un autre avec l'écrivain et psychanalyste Gérard Wajcman. " Si j'en viens à penser que les productions de Pablo Reinoso excèdent leur nature propre, ce n'est pas parce qu'il serait impossible de la nommer, mais, considérée sous un certain angle, parce que chaque création peut se manifester et participer de natures diverses, multiples, voire opposées, en même temps ou successivement ", Gérard Wajcman Monographie de Pablo Reinoso, Editions 5 Continents, 280 pages, 80 euros Photographies : 1) Retour au végétal , 2015 , p.130-131 2) Double Spaghetti , 2006 , p.136-137 3) Chaise de l'harmonie , 2011 , p.24-25 4) Personal Stool - Self Portrait , 2012 , p.248-249 5 et 6 ) Ashes to Ashes , 2002 , p.98-99 7) Two for Tango , 2012 , p.166-167  8) Circular Bench , 2012 , p.206-207 Pour en savoir plus, visitez le site de Pablo Reinoso     
Il y a 8 ans et 43 jours

Liberty Original 70, nouvelles lames et dalles 100% PVC vierge plombantes et amovibles

Parfaitement adaptés aux besoins de modularité des bureaux et locaux commerciaux, les sols PVC 100% vierge Liberty Original 70 d'Udirev sont des dalles et des lames plombantes et amovibles, avec ou sans fixateur.
Il y a 8 ans et 43 jours

Comment étancher un toit-terrasse au bitume ?

Leader dans le domaine de l'étanchéité depuis plus de 100 ans, SOPREMA vous dévoile en 4 étapes comment étancher une toiture-terrasse ! Pour éviter les infiltrations d'eau et les désordres structurels qui en découlent, découvrez le Système d'étanchéité bitumineuse SOPREMA dans notre vidéo !
Il y a 8 ans et 43 jours

Comment étancher un toit-terrasse au bitume ?

Leader dans le domaine de l'étanchéité depuis plus de 100 ans, SOPREMA vous dévoile en 4 étapes comment étancher une toiture-terrasse ! Pour éviter les infiltrations d'eau et les désordres structurels qui en découlent, découvrez le Système d'étanchéité bitumineuse SOPREMA dans notre vidéo !
Il y a 8 ans et 43 jours

Des utilisateurs aident à concevoir le nouveau logiciel Revit 2018  

Autodesk, l'entreprise française d'édition de logiciels de conception 3D et d'ingénierie, a développé de nouveaux outils dans la version 2018 de son logiciel de modélisation.
Il y a 8 ans et 43 jours

Lafont lance sa nouvelle collection de vêtements pour les pro du BTP

L'entreprise spécialisée dans la conception et fabrication de vêtements professionnels vient de dévoiler trois nouvelles pièces de sa collection ?Work Attitude 250 Updated'.
Il y a 8 ans et 43 jours

A lire : "Premiers pas en BIM" d'Annalisa De Maestri

En 100 pages, la directrice d'un bureau d'études techniques spécialisée en BIM, Annalisa De Maestri, apporte des conseils de terrain à l'intention des intervenants d'un projet de construction. Elle répond aux questions de base et lève un frein à l'utilisation de la maquette numérique qui tendra à s'imposer dans le futur.
Il y a 8 ans et 43 jours

Bordeaux vers un nouvel " Horizon "

Le promoteur Nacarat a lancé dernièrement son nouveau projet immobilier, baptisé Horizon, au sein de la ZAC Saint-Jean Belcier intégrée au projet d'intérêt national Bordeaux Euratlantique. Composé de 183 logements dont 146 en accession libre sera livré fin 2019.
Il y a 8 ans et 43 jours

Les jeunes architectes lyonnais à l'honneur

La 16e édition des prix de la jeune architecture a réuni, jeudi 13 avril au soir, dans les salons de l'Hôtel de Ville de Lyon, les lauréats du prix, des architectes lyonnais et des maîtres d'ouvrage venus à la rencontre de ces jeunes prometteurs.
Il y a 8 ans et 43 jours

Stradal se renforce en Loire-Atlantique

Stradal, spécialiste de la préfabrication béton, a inauguré le site de production des Terres Rouges à Chaumes-en-Retz (Loire-Altantique). Il est l'un des 10 sites industriels du pôle VRD & Génie-Civil de Stradal en France.
Il y a 8 ans et 43 jours

La mue spectaculaire l'ancien hôpital du Hainaut à Valenciennes s'achève

Dernière ligne droite pour le gigantesque et ambitieux chantier de réhabilitation de l'ancien hôpital du Hainaut en un hôtel de luxe et 161 logements. Classé Monument Historique depuis 1945, le bâtiment du 18ème siècle et son patrimoine architectural unique situé en plein centre-ville de Valenciennes va, avant la fin de l'année, retrouver une seconde vie.
Il y a 8 ans et 43 jours

Snøhetta : Centre International d'Art Pariétal (Lascaux IV)

Largement connue pour la concentration de ces grottes paléolithiques, la vallée de la Vézère héberge dorénavant une nouvelle cavité, cette fois construite de la main de l'homme : Lascaux IV. Une architecture tellurique de 8 600 mètres carrés confiée aux Norvégiens de l'agence Snøhetta. Zoom sur le quatrième volet de la saga Lascaux qui dure depuis bientôt 80 ans. En 1940, se produisait l'un des plus gros coups de chance de l'archéologie : quatre adolescents découvraient par hasard celle que l'on surnomme aujourd'hui la chapelle Sixtine de la préhistoire, la Grotte de Lascaux. Dégradée par l'humidité produite par la respiration des visiteurs, elle est fermée au public en 1963, avant d'être reproduite à l'identique vingt ans plus tard et permettre aux curieux de découvrir ses peintures rupestres, sans en abîmer les originales. Contrairement à Lascaux II, le quatrième opus possède un fac-similé intégral " non plus partiel " de la grotte et, pour plus de réalisme, imite l'atmosphère du site : température (16 °C), humidité, éclairage et sons. Ce travail de peinture réalisé à la main a nécessité 2 ans de réalisation par 25 artistes. Une expérience sensorielle intégrale au c"ur de l'époque préhistorique, dans un monolithe de béton que les architectes ont imaginé comme une réinterprétation contemporaine d'une cave.Le projet est ainsi semi-enterré dans une colline en pente douce, dont la toiture végétalisée est accessible aux visiteurs et fait partie intégrante de la scénographie du Centre International d'Art Pariétal, répartie sur deux niveaux avec la reproduction de la grotte, un patio minéral et longiligne, et des espaces d'exposition détaillant notamment des fragments de la cavité. Depuis la route qui passe en contrebas, seule un léger soulèvement du terrain et deux failles telluriques " l'une verticale, l'autre horizontale ", laissent présager la présence de l'établissement culturel. Un nouveau coup de maître pour l'agence Snøhetta, ici associée à SRA Architectes et Duncan Lewis Scape Architecture, dans une enveloppe à la fois massive et délicate. Photographies : Éric Solé, Boegly + Grazia photographers, Dan Coutrice Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta 
Il y a 8 ans et 43 jours

Snøhetta : Centre International d'Art Pariétal (Lascaux IV)

Largement connue pour la concentration de ces grottes paléolithiques, la vallée de la Vézère héberge dorénavant une nouvelle cavité, cette fois construite de la main de l'homme : Lascaux IV. Une architecture tellurique de 8 600 mètres carrés confiée aux Norvégiens de l'agence Snøhetta. Zoom sur le quatrième volet de la saga Lascaux qui dure depuis bientôt 80 ans. En 1940, se produisait l'un des plus gros coups de chance de l'archéologie : quatre adolescents découvraient par hasard celle que l'on surnomme aujourd'hui la chapelle Sixtine de la préhistoire, la Grotte de Lascaux. Dégradée par l'humidité produite par la respiration des visiteurs, elle est fermée au public en 1963, avant d'être reproduite à l'identique vingt ans plus tard et permettre aux curieux de découvrir ses peintures rupestres, sans en abîmer les originales. Contrairement à Lascaux II, le quatrième opus possède un fac-similé intégral " non plus partiel " de la grotte et, pour plus de réalisme, imite l'atmosphère du site : température (16 °C), humidité, éclairage et sons. Ce travail de peinture réalisé à la main a nécessité 2 ans de réalisation par 25 artistes. Une expérience sensorielle intégrale au c"ur de l'époque préhistorique, dans un monolithe de béton que les architectes ont imaginé comme une réinterprétation contemporaine d'une cave.Le projet est ainsi semi-enterré dans une colline en pente douce, dont la toiture végétalisée est accessible aux visiteurs et fait partie intégrante de la scénographie du Centre International d'Art Pariétal, répartie sur deux niveaux avec la reproduction de la grotte, un patio minéral et longiligne, et des espaces d'exposition détaillant notamment des fragments de la cavité. Depuis la route qui passe en contrebas, seule un léger soulèvement du terrain et deux failles telluriques " l'une verticale, l'autre horizontale ", laissent présager la présence de l'établissement culturel. Un nouveau coup de maître pour l'agence Snøhetta, ici associée à SRA Architectes et Duncan Lewis Scape Architecture, dans une enveloppe à la fois massive et délicate. Photographies : Éric Solé, Boegly + Grazia photographers, Dan Coutrice Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta 
Il y a 8 ans et 43 jours

Snøhetta et Duncan Lewis Scape Architecture : Centre international d'art pariétal

Largement connue pour la concentration de ces grottes paléolithiques, la vallée de la Vézère héberge dorénavant une nouvelle cavité, cette fois construite de la main de l'homme : le Centre international d'art pariétal, dit Lascaux IV. Une architecture tellurique de 8 600 mètres carrés confiée aux Norvégiens de Snøhetta et à l'agence bordelaise Duncan Lewis Scape Architecture. Zoom sur le quatrième volet de la saga Lascaux qui dure depuis bientôt 80 ans. En 1940, se produisait l'un des plus gros coups de chance de l'archéologie : quatre adolescents découvraient par hasard celle que l'on surnomme aujourd'hui la chapelle Sixtine de la préhistoire, la grotte de Lascaux. Dégradée par l'humidité produite par la respiration des visiteurs, elle est fermée au public en 1963, avant d'être reproduite à l'identique vingt ans plus tard afin de permettre aux curieux de découvrir ses peintures rupestres, sans en abîmer les originales. Contrairement à Lascaux II, le quatrième opus possède un fac-similé intégral " non plus partiel " de la grotte et, pour plus de réalisme, imite l'atmosphère du site : température (16 °C), humidité, éclairage et sons. Ce travail de peinture réalisé à la main a nécessité 2 ans de réalisation par 25 artistes. Une expérience sensorielle intégrale au c"ur de l'époque préhistorique, dans un monolithe de béton que les architectes ont imaginé comme une réinterprétation contemporaine d'une cave. Le projet est ainsi semi-enterré dans une colline en pente douce, dont la toiture végétalisée est accessible aux visiteurs et fait partie intégrante de la scénographie du Centre international d'art pariétal, répartie sur deux niveaux avec la reproduction de la grotte, un patio minéral et longiligne, et des espaces d'exposition détaillant notamment des fragments de la cavité. Depuis la route qui passe en contrebas, seul un léger soulèvement du terrain et deux failles telluriques " l'une verticale, l'autre horizontale ", laissent présager la présence de l'établissement culturel. Un nouveau coup de maître pour l'agence Snøhetta, ici associée à SRA Architectes et Duncan Lewis Scape Architecture, dans une enveloppe à la fois massive et délicate. Photographies : Éric Solé, Boegly + Grazia photographers, Dan Coutrice Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta et Duncan Lewis Scape Architecture
Il y a 8 ans et 43 jours

Snøhetta et Duncan Lewis Scape Architecture : Centre international d'art pariétal

Largement connue pour la concentration de ces grottes paléolithiques, la vallée de la Vézère héberge dorénavant une nouvelle cavité, cette fois construite de la main de l'homme : le Centre international d'art pariétal, dit Lascaux IV. Une architecture tellurique de 8 600 mètres carrés confiée aux Norvégiens de Snøhetta et à l'agence bordelaise Duncan Lewis Scape Architecture. Zoom sur le quatrième volet de la saga Lascaux qui dure depuis bientôt 80 ans. En 1940, se produisait l'un des plus gros coups de chance de l'archéologie : quatre adolescents découvraient par hasard celle que l'on surnomme aujourd'hui la chapelle Sixtine de la préhistoire, la grotte de Lascaux. Dégradée par l'humidité produite par la respiration des visiteurs, elle est fermée au public en 1963, avant d'être reproduite à l'identique vingt ans plus tard afin de permettre aux curieux de découvrir ses peintures rupestres, sans en abîmer les originales. Contrairement à Lascaux II, le quatrième opus possède un fac-similé intégral " non plus partiel " de la grotte et, pour plus de réalisme, imite l'atmosphère du site : température (16 °C), humidité, éclairage et sons. Ce travail de peinture réalisé à la main a nécessité 2 ans de réalisation par 25 artistes. Une expérience sensorielle intégrale au c"ur de l'époque préhistorique, dans un monolithe de béton que les architectes ont imaginé comme une réinterprétation contemporaine d'une cave. Le projet est ainsi semi-enterré dans une colline en pente douce, dont la toiture végétalisée est accessible aux visiteurs et fait partie intégrante de la scénographie du Centre international d'art pariétal, répartie sur deux niveaux avec la reproduction de la grotte, un patio minéral et longiligne, et des espaces d'exposition détaillant notamment des fragments de la cavité. Depuis la route qui passe en contrebas, seul un léger soulèvement du terrain et deux failles telluriques " l'une verticale, l'autre horizontale ", laissent présager la présence de l'établissement culturel. Un nouveau coup de maître pour l'agence Snøhetta, ici associée à SRA Architectes et Duncan Lewis Scape Architecture, dans une enveloppe à la fois massive et délicate. Photographies : Éric Solé, Boegly + Grazia photographers, Dan Coutrice Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta et Duncan Lewis Scape Architecture
Il y a 8 ans et 43 jours

Snøhetta : Centre International d'Art Pariétal (Lascaux IV)

Largement connue pour la concentration de ces grottes paléolithiques, la vallée de la Vézère héberge dorénavant une nouvelle cavité, cette fois construite de la main de l'homme : Lascaux IV. Une architecture tellurique de 8 600 mètres carrés confiée aux Norvégiens de l'agence Snøhetta. Zoom sur le quatrième volet de la saga Lascaux qui dure depuis bientôt 80 ans. En 1940, se produisait l'un des plus gros coups de chance de l'archéologie : quatre adolescents découvraient par hasard celle que l'on surnomme aujourd'hui la chapelle Sixtine de la préhistoire, la Grotte de Lascaux. Dégradée par l'humidité produite par la respiration des visiteurs, elle est fermée au public en 1963, avant d'être reproduite à l'identique vingt ans plus tard et permettre aux curieux de découvrir ses peintures rupestres, sans en abîmer les originales. Contrairement à Lascaux II, le quatrième opus possède un fac-similé intégral " non plus partiel " de la grotte et, pour plus de réalisme, imite l'atmosphère du site : température (16 °C), humidité, éclairage et sons. Ce travail de peinture réalisé à la main a nécessité 2 ans de réalisation par 25 artistes. Une expérience sensorielle intégrale au c"ur de l'époque préhistorique, dans un monolithe de béton que les architectes ont imaginé comme une réinterprétation contemporaine d'une cave.Le projet est ainsi semi-enterré dans une colline en pente douce, dont la toiture végétalisée est accessible aux visiteurs et fait partie intégrante de la scénographie du Centre International d'Art Pariétal, répartie sur deux niveaux avec la reproduction de la grotte, un patio minéral et longiligne, et des espaces d'exposition détaillant notamment des fragments de la cavité. Depuis la route qui passe en contrebas, seule un léger soulèvement du terrain et deux failles telluriques " l'une verticale, l'autre horizontale ", laissent présager la présence de l'établissement culturel. Un nouveau coup de maître pour l'agence Snøhetta, ici associée à SRA Architectes et Duncan Lewis Scape Architecture, dans une enveloppe à la fois massive et délicate. Photographies : Éric Solé, Boegly + Grazia photographers, Dan Coutrice Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta 
Il y a 8 ans et 43 jours

Snøhetta : Centre international d'art pariétal

Largement connue pour la concentration de ces grottes paléolithiques, la vallée de la Vézère héberge dorénavant une nouvelle cavité, cette fois construite de la main de l'homme : le Centre international d'art pariétal, dit Lascaux IV. Une architecture tellurique de 8 600 mètres carrés confiée aux Norvégiens de l'agence Snøhetta. Zoom sur le quatrième volet de la saga Lascaux qui dure depuis bientôt 80 ans. En 1940, se produisait l'un des plus gros coups de chance de l'archéologie : quatre adolescents découvraient par hasard celle que l'on surnomme aujourd'hui la chapelle Sixtine de la préhistoire, la grotte de Lascaux. Dégradée par l'humidité produite par la respiration des visiteurs, elle est fermée au public en 1963, avant d'être reproduite à l'identique vingt ans plus tard afin de permettre aux curieux de découvrir ses peintures rupestres, sans en abîmer les originales. Contrairement à Lascaux II, le quatrième opus possède un fac-similé intégral " non plus partiel " de la grotte et, pour plus de réalisme, imite l'atmosphère du site : température (16 °C), humidité, éclairage et sons. Ce travail de peinture réalisé à la main a nécessité 2 ans de réalisation par 25 artistes. Une expérience sensorielle intégrale au c"ur de l'époque préhistorique, dans un monolithe de béton que les architectes ont imaginé comme une réinterprétation contemporaine d'une cave. Le projet est ainsi semi-enterré dans une colline en pente douce, dont la toiture végétalisée est accessible aux visiteurs et fait partie intégrante de la scénographie du Centre international d'art pariétal, répartie sur deux niveaux avec la reproduction de la grotte, un patio minéral et longiligne, et des espaces d'exposition détaillant notamment des fragments de la cavité. Depuis la route qui passe en contrebas, seul un léger soulèvement du terrain et deux failles telluriques " l'une verticale, l'autre horizontale ", laissent présager la présence de l'établissement culturel. Un nouveau coup de maître pour l'agence Snøhetta, ici associée à SRA Architectes et Duncan Lewis Scape Architecture, dans une enveloppe à la fois massive et délicate. Photographies : Éric Solé, Boegly + Grazia photographers, Dan Coutrice Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta 
Il y a 8 ans et 43 jours

GPE : La Société du Grand Paris attribue un lot de près de 800 millions d'euros à Eiffage

Eiffage et Razel-Bec remportent, en groupement, le contrat pour la réalisation d'un lot de la ligne 15 Sud du Grand Paris Express  pour un montant de 795 millions d'euros HT.
Il y a 8 ans et 43 jours

Lyon Confluence : Jean Nouvel signe la résidence Ycone

Dans le quartier La Confluence, les travaux de la résidence Ycone, imaginée par l'architecte Jean Nouvel, débuteront ce vendredi 14 avril à 11h.
Il y a 8 ans et 43 jours

Un toit commun pour Rotor + Rotor DC

Le collectif belge Rotor, et son antenne dédiée à la récupération de matériaux Rotor DC, ont trouvé siège commun. Dans les murs de l'ancienne chocolaterie Leonidas d'Anderlecht (Belgique), les deux entités s'installent pour créer un lieu hybride, entre magasin, dépôt, ateliers et bureaux. Le "magasin et camp de base" Rotor, qui manquait jusque-là pour le fonctionnement optimal de ce projet pluriel, sera inauguré le 22 Avril. Fondé en 2005, Rotor est un collectif d'acteurs...
Il y a 8 ans et 43 jours

Le nouveau BATINFO est en ligne

Batinfo... tout le monde ne connaît pas ce portail animé par Media Direct et qui fait partie des quelques médias de second niveau et qui pour autant, dénotent d'un certain intérêt en matière de communicaiton digitale. Batinfo.com exitse depuis plusieurs années déjà et aliment son contenu grâce à de multiples contributions (des agences de presse, d'industriels en direct, de GDA et son service de webmarketing) et sa propre production rédactionnelle. Couplé à Batidoc qui est sa "bibliothèque de produits", Batinfo revendique aujourd'hui dans les "bons mois" (stats Google Analytics fournies par Batinfo) : 50.000 visiteurs et 100.000 pages vues par mois. Le trafic est alimenté par une newsletter hebdomadaire envoyée à 250.000 abonnés. Car là est la force de Batinfo, il dispose d'un des meilleurs fichiers d'adresse et de mails du bâtiment en France puisque c'était et c'est encore son premier métier. Alors ce nouveau site web, qu'en pensons-nous ? Le flat design à l'honneur Sur cette nouvelle version, les ombres ont été supprimées, les couleurs vivifiées et le style global du site épuré : ce nouveau flat design modernise le site. Les actualités, principal intérêt du site (mais d'autres fonctions sont en prévision), ont été mises en valeur grâce à des blocs plus larges, des espacements aérés et des catégories plus visibles. Les contrastes entre les couleurs ont aussi été renforcés, ce qui donne un certain dynamisme au site. La police des textes a également été agrandie, passant de 16 à 22 pixels. Une volonté d'accessibilité pour la plupart des utilisateurs. Notons enfin que l'abonnement à la newsletter a été davantage mis en valeur au sein de chaque actualité, en haut et bas de page. Des améliorations techniques La nouvelle version du site présente aussi quelques améliorations techniques bénéfiques à l'expérience utilisateur et à la vivacité du site. Quelques animations viennent améliorer la navigation avec un en-tête dynamique, un menu à l'allure d'une application mobile et des effets de survol des actualités. Le site, désormais adapté à l'affichage sur mobile, présente alors un nouveau confort d'utilisation. Les publicités plus vendeuses On voit aussi dans cette version, que les visuels de publicité ont été agrandis et mettent réelleùment l'annonceuir en valeur. Un choix assumé et justifié par la lente dégradation de l'offre "bannière" que plus grand monde ne regarde. D'ailleurs Batinfo, dispose de différentes offres de communication à différents prix, accessibles à quasiment tous les industriels et autres fournieeurs de services.   Pour CIMBAT.COM CC et GD
Il y a 8 ans et 43 jours

Cohen/Gehry au Collège de France

L'architecte et historien Jean-Louis Cohen, titulaire d'une chaire internationale d'architecture et forme urbaine au Collège de France, consacre son prochain cycle d'interventions à Frank Gehry. Chaque mercredi entre le 19 avril et le 14 juin, le cours adoptera un angle de vue particulier et analysera un corpus de projets de l'américano-canadien, exprimant en quoi il a transformé à sa manière la pratique de l'architecture au cours des dernières décennies. Après avoir développé...
Il y a 8 ans et 44 jours

A Ivry, un centre de migrants conçu en un mois

REPORTAGE. Après le premier centre humanitaire parisien à la Porte de la Chapelle, Batiactu a découvert le second construit en quatre mois et demi sur la commune d'Ivry-sur-Seine. Son architecte Valentine Guichardaz- Versini, de l'Atelier Rita nous explique son parti pris social et architectural.
Il y a 8 ans et 44 jours

8 000 parisiens ont découvert ce que réserve l'Expo 2017 Astana

Ils ont été 8 000 visiteurs à venir découvrir le pavillon mobile Expo 2017 à Paris qui présentait les temps forts de la future exposition d'Astana (Kazakhstan) dédiée à "l'énergie du futur".
Il y a 8 ans et 44 jours

Bangkok Project Studio : The Wine House

À quelques kilomètres de Bangkok (Thaïlande), dans la ville d'Ayutthaya, sur les bords du fleuve Chao Phraya et au c"ur d'une végétation luxuriante, se trouve un lieu prisé des amateurs de vin : la Wine House Ayutthaya. La région espère bien faire de cet endroit un atout touristique supplémentaire. C'est dans ce site classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, que les architectes du Bangkok Project Studio installent un parallélépipède de base carrée de 9 mètres de hauteur. Malgré ses 11 mètres de côté, le bâtiment s'immisce parfaitement dans ce décor de jungle aux arbres immenses, notamment grâce à un habillage en contreplaqué recouvert d'une fine couche de résine, ramenant à l'aspect boisé environnant. Pour protéger ce fragile écrin de la pluie et de l'humidité, les architectes ont par ailleurs installé en façades de larges bandes de PVC d'un millimètre d'épaisseur. Derrière ce mur-rideau, le bâtiment repose sur un système poteaux-poutres. Si cette " cave à vin " possède évidemment un bar en rez-de-chaussée, quatre plateformes de hauteurs différentes desservies par cinq escaliers en colimaçon proposent de déguster un verre tout en profitant de la vue sur la rivière. Des points d'observation facilités par des façades ouvertes qui laissent passer la lumière naturelle et rafraîchissent l'intérieur. La force de cet ouvrage réside dans son gigantisme et sa finesse, matérielle comme spatiale. La Wine House est un savoureux mélange de fragrances de vin et de bois : un voyage pour les sens. Photographies : Spaceshift Studio Pour en savoir plus, visitez le site de Bangkok Project Studio
Il y a 8 ans et 44 jours

Bangkok Project Studio : The Wine House

À quelques kilomètres de Bangkok (Thaïlande), dans la ville d'Ayutthaya, sur les bords du fleuve Chao Phraya et au c"ur d'une végétation luxuriante, se trouve un lieu prisé des amateurs de vin : la Wine House Ayutthaya. La région espère bien faire de cet endroit un atout touristique majeur. C'est dans ce site classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, que les architectes du Bangkok Project Studio installent un parallélépipède de base carrée de 9 mètres de hauteur. Malgré ses 11 mètres de côté, le bâtiment s'immisce parfaitement dans ce décor de jungle aux arbres immenses, notamment grâce à un habillage en contreplaqué recouvert d'une fine couche de résine, ramenant à l'aspect boisé environnant. Pour protéger ce fragile écrin de la pluie et de l'humidité, les architectes ont par ailleurs installé en façades de larges bandes de PVC d'un millimètre d'épaisseur. Derrière ce mur-rideau, le bâtiment repose sur un système poteaux-poutres. Si cette " cave à vin " possède évidemment un bar en rez-de-chaussée, quatre plateformes de hauteurs différentes desservies par cinq escaliers en colimaçon proposent de déguster un verre tout en profitant de la vue sur la rivière. Des points d'observation facilités par des façades ouvertes qui laissent passer la lumière naturelle et rafraîchissent l'intérieur. La force de cet ouvrage réside dans son gigantisme et sa finesse, matérielle comme spatiale. La Wine House est ainsi un savoureux mélange de fragrances de vin et de bois : un voyage pour les sens. Photographies : Spaceshift Studio Pour en savoir plus, visitez le site de Bangkok Project Studio
Il y a 8 ans et 44 jours

Le pont ferroviaire de Longueau reprend du muscle

Le 14 avril prochain jusqu'au lundi 17 avril, SNCF Réseau procèdera aux travaux d'étanchéité du pont ferroviaire enjambant la rivière de l'Avre à Longueau dans la Somme. Les injections de résine doivent permettre de prolonger la durée de vie de l'ouvrage.
Il y a 8 ans et 44 jours

UNOFI : un bouclier thermique grâce au tissu Satiné 5500 Low E de Mermet

Avec le tissu Satiné 5500 Low E, le seul tissu à base de fibre de verre très faiblement émissif grâce à une métallisation sur les 2 faces, Mermet affirme une nouvelle fois son expertise en termes de gestion de lumière, régulation de chaleur et design.
Il y a 8 ans et 44 jours

UNOFI : un bouclier thermique grâce au tissu Satiné 5500 Low E de Mermet

Avec le tissu Satiné 5500 Low E, le seul tissu à base de fibre de verre très faiblement émissif grâce à une métallisation sur les 2 faces, Mermet affirme une nouvelle fois son expertise en termes de gestion de lumière, régulation de chaleur et design.
Il y a 8 ans et 44 jours

Une extension moderne en béton pour agrandir une maison bourgeoise

UN PROJET / UNE PARTICULARITE. Pour cette maison bourgeoise des années 1930, les propriétaires ont créé une extension contemporaine. Une extension comme un origami aux lignes design et élancées. Au final : terrasse panoramique, garage sous-terrain et cuisine ultra-lumineuse rendent le lieu chaleureux et propice au bien-être des habitants. Zoom.
Il y a 8 ans et 44 jours

Atelier urbain Aix 2040: l'habitat du futur au défi de l'humain

La septième édition de l'Atelier Urbain Aix 2040 s'est déroulée samedi 8 avril à la Fondation Vasarely. Cinq projets avant-gardistes ont été distingués. "Le Refuge", projet lauréat des architectes Hugo Maurin et Yannick Nobile, a séduit par son humanité... Visite guidée.
Il y a 8 ans et 44 jours

Les bailleurs sociaux de nouveau soumis au concours d'architecture!

Le décret du 10 avril 2017 étend l'obligation d'organiser un concours à des acheteurs qui en étaient jusque là exemptés. Il est applicable au 1er juillet 2017...
Il y a 8 ans et 44 jours

Royan, le "Brasilia français" dessiné et poétisé

Avec "Royan. Eloge des architectes de la reconstruction", les éditions Le Croît Vif rendent hommage à la station balnéaire charentaise...
Il y a 8 ans et 44 jours

Bruxelles valorise son patrimoine industriel

  Docks Bruxsel vient métamorphoser une friche industrielle désaffectée en un nouveau quartier mixte, dynamique et convivial en entrée de ville. Une opération menée par l'agence bruxelloise Art & Build architects sur un site imprégné par son histoire.
Il y a 8 ans et 44 jours

Montréal : le Congrès Infra 2017 est lancé

Le Congrès Infra 2017 lance un appel à propositions de conférences dans les domaines de l'eau, de l'énergie et de la communication. Des thèmes comme le forage dirigé, les récentes évolutions en microtunnel ou encore l'auscultation/diagnostic des ouvrages d'eau et d'assainissement sont susceptibles d'être abordés.
Il y a 8 ans et 45 jours

Les voies sur dalles préfa prennent un nouveau tournant

Perçue depuis de nombreuses années comme une alternative crédible à la voie classique ballastée, la technique de voies sur dalles béton a longtemps été freinée dans son essor par l'absence de process simple et économique de mise en "uvre. Le concept inédit de voies sur dalles standards " Rail CLIP " développé par Antoine Marot pourrait changer la donne en répondant à la fois à la problématique des courbes de transition et à l'évacuation d'urgence.