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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Chantiers - TP

(55516 résultats)
Il y a 4 ans et 343 jours

Le CSTB accompagne la conception de la couverture du court Philippe-Chatrier de Roland Garros

Maquette aéroélastique de la couverture du court central Philippe-Chatrier. Photo : CSTBDans le cadre de la rénovation du court central Philippe-Chatrier du stade Roland Garros, une couverture mobile protégeant les tribunes et le court a été réalisée. Elle permettra de parer aux phénomènes climatiques susceptibles de perturber la tenue et le bon déroulement des rencontres, et de fournir un confort optimisé aux spectateurs. Le CSTB a accompagné sa conception via des essais réalisés dans l'un de ses équipements de pointe : la soufflerie atmosphérique de Nantes. À la demande de la société Cimolai, société spécialisée dans la conception, la construction et l'installation de très grosses structures métalliques, mandatée par la Fédération française de tennis, une étude complète a été réalisée par le CSTB sur maquette aéroélastique de la couverture, à échelle du 1/70ème. Elle a permis de mesurer le comportement au vent de la structure de couverture, constituée de onze ailes mobiles car supportées à leurs extrémités par des bogies roulant sur deux rails parallèles situés en haut des tribunes Est et Ouest. À partir des données fournies par Cimolai concernant l'environnement, la géométrie et les caractéristiques mécaniques de la couverture, en termes de raideur et de masse, une maquette à échelle réduite, représentative de l'ouvrage réel, a été conçue. Une modélisation numérique en dynamique La maquette a été calibrée en soufflerie de manière à reproduire les composantes fondamentales du comportement dynamique de l'ouvrage réel, déterminés par Cimolai par le biais d'une modélisation numérique. Puis, le comportement de la maquette a été analysé en soufflerie pour différentes positions des ailes et sous différentes incidences et vitesses de vent, définies en accord avec les acteurs du projet. L'objectif de la campagne d'essais était de mesurer la réponse de l'ouvrage en termes de déplacements des ailes et d'efforts de réaction au niveau des bogies des ailes. L'étude en soufflerie a par ailleurs permis de mesurer la réponse de l'ouvrage dans un grand nombre de configurations de vitesses et de directions de vent d'une part, et de positions de la couverture d'autre part : repliée, dépliée ou intermédiaire, résultats inatteignables par d'autres méthodes dans le budget alloué. Des conditions réunies pour un dimensionnement au vent Autre conclusion de l'étude du CSTB ; aucun contact entre les ailes n'a été constaté dans la position repliée, lorsque celles-ci vibraient sous les effets du vent. Le soin et la rigueur apportés à la réalisation de la maquette, la grande quantité de configurations testées, la régularité et la complémentarité des résultats obtenus, mais aussi les éléments d'analyse fournis, ainsi que la bonne cohérence avec les études réalisées précédemment sur maquette rigide, ont permis de conclure que les conditions étaient réunies pour un dimensionnement au vent optimisé de la couverture, en bonne connaissance de cause. En savoir plus : L'expertise Grands ouvrages du CSTB
Il y a 4 ans et 343 jours

Une entreprise du BTP de la Marne condamnée pour homicide involontaire

Le parquet avait requis 20.000 euros d'amende contre l'entreprise Pieux Ouest, experte en fondations spéciales, qui, interrogée par l'AFP vendredi, ne savait pas encore si elle ferait appel ou non de ce jugement rendu mercredi."Les poursuites devant le tribunal avaient été engagées par le parquet estimant que l'employeur avait commis une faute caractérisée en ne mettant pas à la disposition des ouvriers un équipement de travail conforme aux règles de sécurité, en n'établissant pas de mode opératoire adapté (...) alors que les risques professionnels au démontage d'une foreuse étaient importants et connus de l'entreprise, et en omettant de dispenser à ses travailleurs des formations adaptées", a expliqué à l'AFP la procureure de Châlons, Ombeline Mahuzier.La victime, âgée de 53 ans, avait eu la tête broyée entre un bras dépliant et un engin de chantier alors que, malgré le protocole établi, l'homme ne se trouvait pas du bon côté d'une foreuse pendant son démontage. L'ouvrier ne portait pas de casque au moment de l'accident.C'est pourquoi, durant l'audience du 27 mai, la défense de la société, filiale du groupe Spie-Batignoles depuis 2019, avait rejeté une partie de la responsabilité de l'accident sur le chef de chantier et le salarié lui-même."La victime avait en effet commis une faute qui n'était pas toutefois la seule cause de l'accident", précise Mme Mahuzier.
Il y a 4 ans et 343 jours

Un ouvrier du BTP meurt dans une carrière de calcaire

La victime était en arrêt cardio-respiratoire à l'arrivée des pompiers, alertés vers 7h10, qui n'ont pas pu la sauver malgré les soins prodigués.Selon les gendarmes, le pneu d'un engin de chantier, de 10 mètres de long, servant à l'excavation, a explosé et a mortellement atteint la victime."Le salarié menait une opération de maintenance classique sur un pneumatique de support d'installation. Une violente et brutale perte de pression due à une raison encore inconnue a projeté le salarié", a expliqué dans un communiqué l'entreprise, qui a mis en place une cellule psychologique "pour accompagner ses collègues".Les carrières du Boulonnais appartiennent au groupe CB, qui produit des matériaux destinés à l'industrie (sidérurgie, chaux, sucre, verre, alimentation animale...), au bâtiment (béton prêt-à-l'emploi, préfabrication) et aux travaux publics.Une enquête a été ouverte par la gendarmerie de Marquise.
Il y a 4 ans et 343 jours

Contournement de Beynac : le Conseil d’Etat dit stop

Le Conseil d’Etat vient d’enterrer le projet de contournement de Beynac (Dordogne). Par son arrêt du 29 juin 2020, il déboute le conseil départemental de la Dordogne qui se voit contraint d’abandonner le chantier.
Il y a 4 ans et 343 jours

Dépenses accrues, recettes en berne et prévisions révisées : les chiffres du nouveau budget

Chute de 11% du PIBCe nouveau projet de loi de finances rectificative table sur un recul de 11% du PIB en 2020, au lieu de 8% auparavant, soit la plus forte récession de la France depuis 1945.Cette prévision tient compte d'un redémarrage de l'économie seulement "progressif", explique-t-on à Bercy.Il s'agit d'une estimation "prudente", selon le Haut Conseil des finances publiques (HCFP).Dette au plus hautAvec les dépenses supplémentaires pour soutenir l'économie et la récession record, le déficit public va se creuser à 11,4% du PIB, contre 3% l'an dernier, anticipe le gouvernement.La dette publique devrait s'envoler à 120,9% du PIB, alors qu'elle avait atteint 98,1% l'an dernier. La France figure ainsi parmi les pays européens les plus endettés.460 milliards de soutienLe gouvernement a désormais prévu près de 136 milliards d'euros de mesures de soutien à l'économie, contre 110 milliards prévus à la fin avril. Cela fait 57 milliards d'euros de dépenses budgétaires exceptionnelles depuis le début de la crise, le reste étant notamment des reports de charges.À cela s'ajoutent près de 327 milliards de garanties (crédits, export, etc.) accordées par l'État.Au total, le gouvernement a mobilisé 460 milliards d'euros, soit "21% de la richesse nationale", selon le ministre de l'Économie Bruno Le Maire.45 milliards pour les secteurs sinistrésDans le détail, le gouvernement va débloquer 45 milliards d'euros pour soutenir les secteurs les plus touchés par la crise, a indiqué M. Le Maire. Ce montant recouvre des mesures budgétaires et un soutien à la trésorerie des entreprises.Le tourisme bénéficiera de 18 milliards d'euros. Cette somme englobe lesmesures de chômage partiel, les prêts garantis par l'État, près de 3 milliards d'euros d'exonérations sociales ou encore les reports d'impôts.L'industrie automobile profitera de 8 milliards. Outre l'aide au chômage partiel et les emprunts garantis, ce montant inclut un milliard d'euros pour soutenir la demande de véhicules et un milliard pour encourager les investissements pour produire les voitures hybrides et électriques en France.L'État consacrera 15 milliards d'euros à l'industrie aéronautique et au transport aérien, dont 7 milliards de prêts accordés à Air France-KLM.Le gouvernement va aussi dédier 600 millions d'euros supplémentaires aux start-up technologiques, en créant notamment un fonds d'investissement. Des mesures sont aussi prévues pour les secteurs de la culture et du BTP. Chômage partiel: 5 milliards supplémentairesAu total, ce projet de budget comprendra environ 13 milliards d'euros de crédits budgétaires supplémentaires.Le dispositif de chômage partiel, dont une partie est prise en charge par l'Unédic, sera doté de 5 milliards d'euros de plus par rapport aux 25 milliards déjà prévus. Ce sou t rectifié.L'impôt sur les sociétés devrait notamment rapporter 13 milliards de moins que ce qui était prévu dans le précédent budget rectifié, et désormais plus de 32 milliards de moins que ce qui était anticipé dans le budget initial adopté fin 2019. Les recettes de TVA devraient encore plonger de 8,5 milliards par rapport au précédent budget rectifié, soit un manque à gagner d'un peu moins de 20 milliards par rapport à ce qui était anticipé dans le budget initial. En revanche, le gouvernement n'anticipe aucun impact à ce stade sur l'impôt sur le revenu.La dépense publique va s'élever à 63,6% du PIB à la fin de l'année du fait des mesures de soutien.Tendance baissière de l'inflationDans ses prévisions, le gouvernement a également pris en compte une "tendance à la baisse des perspectives d'inflation", avec une estimation "de l'ordre de 0,4%" pour l'année 2020 en France.
Il y a 4 ans et 343 jours

Hôpital de campagne modulaire à structure bois

La pandémie a révélé des besoins importants d’équipements d’urgence et flexibles pour compléter les capacités d’accueil des établissements de santé existants. Pour faire face à des situations sanitaires d’urgence, AIA Life Designers, groupe pluridisciplinaire d’architectes et d’ingénieurs, a créé HOSPI-CAMP, une solution française d’hôpital de campagne, en partenariat avec LECO Construction, société de construction modulaire en ossature bois. HOSPI-CAMP apporte des surfaces complémentaires pour toutes les activités en lien avec la santé, y compris les plus techniques comme les unités de réanimation, d’urgence, des blocs opératoires ou des laboratoires. Pour atteindre le niveau ISO requis par une chambre de réanimation, AIA Life Designers et LECO Construction ont aussi conçu le PLUG-TECH-AIA qui permet de transformer un module classique en chambre de réanimation avec un minimum de travaux, et ainsi de répondre aux normes sanitaires élevées. La conception des modules est novatrice par le recours à la production hors site qui permet une préfabrication en amont du chantier et un assemblage plus rapide sur place. La simplicité de construction, la disponibilité des matières et la légèreté apportent la souplesse requise par l’urgence. Cette solution est démontable et remontable grâce à la transportabilité de ses modules (par voies aérienne, routière, maritime, fluviale et ferroviaire). Elle peut aussi évoluer au gré des besoins, par ajout ou suppression de modules. Le projet a aussi recours au BIM qui permet un partage d’informations entre les intervenants du projet, tout au long du cycle de vie du bâtiment. Elle permet de maîtriser notamment la gestion des fluides médicaux, fonctionnalité essentielle pour répondre aux futurs usages du bâtiment.
Il y a 4 ans et 343 jours

Dans deux ans, il sera obligatoire de rénover les passoires thermiques !

Le président Emmanuel Macron a annoncé qu’il retenait les 146 propositions des membres de la convention citoyenne sur 149. Un projet de loi sera étudié à la fin de l’été pour intégrer les mesures. 15 milliards d’euros supplémentaires seront injectés sur deux ans pour la transformation écologique. Rappelons que la convention citoyenne souhaitait rendre obligatoire la rénovation énergétique globale des bâtiments d’ici 2040. Pour cela, une les propriétaires occupants et les bailleurs seront contraints de rénover de manière globale, de changer les chaudières au fioul et à charbon d’ici à 2030 dans les bâtiments neufs et rénovés. Un réseau harmonisé de guichets uniques et un système progressif d’aides à la rénovation, avec prêts et subventions pour les plus démunis devrait être développé. Les professionnels du bâtiment seront formés pour répondre à la demande de rénovation globale et assurer une transition de tous les corps de métier du BTP vers des pratiques écoresponsables.
Il y a 4 ans et 343 jours

Nexity promet d'aider les TPE-PME

CHANTIERS. Le promoteur s'engage auprès de ses partenaires PME et TPE. Il prendra notamment à sa charge les surcoûts liés aux normes sanitaires sur les chantiers. Les plus petites structures pourraient en outre bénéficier des formations dispensées aux salariés du promoteur.
Il y a 4 ans et 343 jours

BETie effectue le bilan environnemental des Bétons prêts à l’emploi

Le configurateur BETie calcule les impacts environnementaux et sanitaires du béton prêt à l'emploi (BPE). L'utilisateur peut ainsi obtenir des données de son chantier et y maîtriser l'empreinte carbone.
Il y a 4 ans et 343 jours

Les architectes appuient les propositions des citoyens de la Convention climat

Les propositions sont "dans la ligne de celles que le Conseil a porté auprès du gouvernement, lors du grand débat national, ou plus récemment auprès des maires", souligne-t-il dans un communiqué."Construire et rénover avec le meilleur bilan écologique est possible, que cela soit lors du chantier et pendant la vie du bâtiment, en utilisant des matériaux sains, biosourcés, et en circuit court", estime le conseil de la profession, alors que les besoins de logements restent toujours très importants en France.Les architectes se prononcent pour l'arrêt de "l'artificialisation des sols". La convention citoyenne, estiment-ils, "insiste à juste titre sur la nécessité de réinvestir les friches et les zones commerciales obsolètes des entrées de ville", soit "des centaines de milliers d'hectares artificialisés et mono-fonctionnels".Parmi ses propositions, remises au gouvernement, les 150 membres de la Convention citoyenne plaident notamment pour une rénovation énergétique obligatoire des bâtiments d'ici à 2040, avec un système progressif de prêts et subventions, remboursés par les économies réalisées. Le secteur du logement et du bâtiment représente de l'ordre de 20% des émissions de gaz à effet de serre en France.Aborder la question de la rénovation des bâtiments "uniquement par le volet énergétique est un frein", juge pour sa part le Conseil de l'Ordre des architectes, pour qui "la conception, en neuf comme en rénovation, doit prendre en compte tous les paramètres de la qualité d'usage, le fonctionnement, la valeur patrimoniale, l'adaptabilité de l'habitat aux transformations de la structure familiale et au choc climatique, et évidemment les volets santé et énergie".
Il y a 4 ans et 343 jours

FGH-V Galeria, la fenêtre balcon qui allie esthétisme, simplicité et sécurité

La fenêtre FGH-V Galeria se transforme en balcon lorsque les deux vantaux sont ouverts. La partie supérieure s’ouvre par projection vers le haut, alors que la partie inférieure s’ouvre par projection vers l’avant, créant ainsi un balcon. Le châssis supérieur peut basculer jusqu’à 45° et peut être maintenu à l’aide d’un mécanisme innovant permettant de le laisser dans la position souhaitée.Lors de l’ouverture, les barrières de sécurité latérales coulissent et s’intègrent dans le châssis inférieur et lors de la fermeture, les rails du balcon se cachent à l'intérieur de la fenêtre et ne sont visibles qu’au-dessus de la surface du toit. Ceux-ci ne collectent ainsi pas la saleté et ne gâchent pas l'esthétique de la toiture. Une fois le balcon ouvert, les rails sont toujours secs et propres, ce qui contribue à un fonctionnement fluide.La fenêtre-balcon Galeria assure le plus haut niveau de sécurité. Le système TopSafe offre une sécurité de fonctionnement et permet de résister aux effractions. Le format standard de la fenêtre est équipé d’un triple vitrage isolant avec un verre intérieur laminé et anti-effraction classé P2A. En cas de dommage, les morceaux de verre restent collés au film pour éliminer toute risque d’accident. Le vitrage est équipé d'un verre externe trempé offrant une garantie à vie contre la grêle.Un autre élément important de la fenêtre Galeria est son entrée d'air automatique V40P. Grâce à une zone de conduit réglable, elle fournit la quantité d'air optimale qui garantit un microclimat sain la pièce et assure des économies d'énergie.Référence chantier :Richmond, Êtats-UnisUn nouvel immeuble au centre-ville de Richmond, en Virginie aux États-Unis, propose des appartements luxueux dans les combles. L'excellent confort de vie a été garanti par installation des fenêtres de toit FAKRO Galeria. Les grandes tailles de fenêtres offrent une large vue de l'extérieur, ce qui donne une sensation d'espace et de contact avec l'environnement.
Il y a 4 ans et 343 jours

Une petite maison s'agrandit pour loger trois générations

AVANT-APRÈS. Grâce à plusieurs extensions savamment ajoutées à la bâtisse principale, cette maison a triplé sa surface pour devenir une grande demeure, familiale et moderne, qui accueille désormais trois générations.
Il y a 4 ans et 343 jours

Retour d'expérience sur l'utilisation de Rockfleece B Energy de Rockwool

Une alternative mêlant qualité et durabilité « Notre choix de passer sur un système soudable est basé sur la qualité et la durabilité dans le temps »Rockfleece B Energy est constitué d’un parement en voile de verre et permet de faire du soudé en plein. Utilisé en épaisseur de 140 mm sur ce chantier bâtiment neuf de 950 m2 à destination d’une enseigne de distribution de matériaux, le panneau isolant apporte, selon Hervé Soubeyrand, « une meilleure adhérence sur le complexe d’étanchéité final tout en limitant le nombre de fixations sur la toiture ». C’est justement pour ces raisons que Sleico, qui oriente son offre vers des solutions techniques durables et soudées en plein, a été curieuse d’essayer ce nouvel isolant.Conséquence : une diminution des poinçonnements avec l’usage ultérieur – tels que ceux résultant de la circulation sur les toitures – qui assure ainsi la pérennité de l’installation au fil du temps. Le produit est d’ailleurs assujetti à une garantie de 25 ans. « C'est un très bon rapport qualité prix et un bon système d'étanchéité »L’utilisation du soudé en plein permet également de se passer du recours à des systèmes renforcés généralement bien plus onéreux. Le produit présente donc un double avantage pour les étancheurs : tout en présentant un « retour dans le temps bien meilleur qu’un système bicouche basique » et donc une très bonne qualité du système d’étanchéité, ce panneau isolant garde le coût abordable d’un soudable. Des conditions de travail améliorées pour une meilleures productivitéBasé sur un voile de verre et non plus sur un bitume, Rockfleece B Energy facilite le travail des poseurs. En effet, cette nouvelle solution de soudé en plein rend la découpe du produit plus simple, d’autant qu’elle ne pollue pas les outils lors de la manipulation. Il en résulte une amélioration des conditions de travail sur les chantiers et, par extension, une amélioration notable de la productivité pour la société d’étanchéité. Elle apporte en plus une solution en lambda 0,036 pour les technologies soudées en plein ce qui réduit l’épaisseur et le poids des panneaux vis-à-vis des panneaux revêtus bitumes classiques.Découvrez le reportage sur le chantier et les explications de Michel Soria, chef de produit supports d'étanchéité et isolants bardage Rockwool en vidéo
Il y a 4 ans et 343 jours

Covid-19 : Cemex accompagne au mieux les acteurs du BTP grâce à son offre « Construire autrement »

Cette offre s'articule autour de trois volets : la protection des hommes, la relation clients et l'apport de solutions concrètes pour faire face aux nouvelles contraintes rencontrées par les entreprises de construction sur les chantiers, comme par exemple, limiter les manipulations, faciliter la distanciation physique ou encore rattraper les retards accumulés durant la période de confinement. « Maintenir l'activité de l'industrie de la construction est crucial, aussi bien pour l'économie française que pour la lutte sanitaire », indique Jean-Marie Modica, directeur matériaux France Sud. « Le secteur crée des infrastructures et des aménagements essentiels comme des établissements de santé ; CEMEX souhaite contribuer à cet effort en proposant des solutions facilitatrices à ses clients », ajoute-t-il.Protéger les hommesGrâce à l'élaboration de protocoles stricts de santé et sécurité spécifiques et à la sensibilisation de ses collaborateurs, CEMEX garantit la fourniture de matériaux de construction en toute sécurité, que ce soit lors de l'enlèvement des matériaux sur les sites CEMEX ou lors de la livraison et mise en œuvre des matériaux sur chantier. Par ailleurs, fort de son savoir-faire et de son dispositif industriel dédié à la fabrication d'adjuvants, CEMEX Admixtures a, dès le début de la crise sanitaire, adapté ses chaînes de production pour produire une solution hydroalcoolique que CEMEX commercialise à prix coûtant auprès de ses clients.Maintenir le lien à distance« Les équipes CEMEX se sont mobilisées pour analyser quelles solutions digitales pouvaient être mises en œuvre afin de faciliter les activités de nos clients en télétravail ou sur les chantiers sur lesquels la distanciation doit être assurée », indique Stéphanie Godicheau, responsable commerce digital. La plateforme digitale CEMEX Go est un outil pratique, rapide et sûr. Grâce à cette plateforme, les clients commandent leurs matériaux, suivent les livraisons, accèdent aux bons de livraison et factures depuis leur ordinateur ou téléphone, le tout à distance. Le contact physique est ainsi réduit au maximum.Améliorer la productivité des chantiersAvec son offre produits, CEMEX apporte un soutien précieux quant à la gestion des chantiers. La gamme evolution® des bétons autoplaçants diminue le nombre d'interventions humaines lors du coulage, les chapes fluides optimisent le temps de travail et les bétons fibrés suppriment la manipulation d'armatures. Hydratium® remplace les opérations habituelles de cure du béton tandis que les granulats en big bags limitent les manipulations et optimisent l'espace sur les chantiers. Les bétons Promptis®, CXB® Rapide et CXB® Accéléré permettent quant à eux de gagner en temps et en efficacité.Par ailleurs, la flotte des matériels de livraison CEMEX est adaptée aux contraintes inhérentes aux chantiers : accessibilité en hauteur, éloignement du point de coulage... En plus de la productivité, les pompes, malaxeurs-pompes et malaxeurs-tapis améliorent également la sécurité des équipes sur site et facilitent la mise en œuvre du béton.
Il y a 4 ans et 343 jours

L'esprit des lieux pour ressource: l'atelierPNG réhabilite le fort l'Ecluse

Décernée depuis 1983, le prix de l'Equerre d’argent a pour objectif de faire connaître le meilleur de la production architecturale réalisée sur le territoire français. Participez à la 38e édition en proposant votre réalisation avant le 11 septembre 2020 à minuit.   Qui succèdera à la […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 343 jours

Siemens collabore à la réalisation d’un campus de datacenters certifié Tier IV

Siemens Smart Infrastructure a été retenu pour travailler à la réalisation de Thésée Datacenter, le premier campus de datacenters situé en Ile-de-France certifié Tier IV par l’Uptime Institute. Siemens y installera sa solution intelligente White Space Cooling Optimization (WSCO) pour optimiser l’efficacité énergétique des bâtiments en régulant automatiquement le fonctionnement des systèmes de refroidissement.
Il y a 4 ans et 343 jours

Fiscalité du gazole: le gouvernement favorable à un report d'un an

Le gouvernement est favorable au report d'un an d'une mesure visant à supprimer un avantage fiscal sur le gazole non routier (GNR), carburant très utilisé par les secteurs du bâtiment et des travaux publics.
Il y a 4 ans et 343 jours

Les panneaux Rexolatte d'Unilin Insulation coiffent l'écosystème Darwin à Bordeaux

Partiellement réhabilitée sous l'impulsion d'un maître d'œuvre privé, cette zone de près de 20.000 m² est composée de bâtiments datant du XIXème siècle qui accueillent une multitude d'activités.Pour la rénovation complexe de la toiture d'un des bâtiments devant recevoir des bureaux en open-space à l'étage, les panneaux Rexolatte avec une sous-face acoustique noire perforée d'UNILIN Insulation ont été retenus pour leurs qualités thermiques, acoustiques et leur rapidité de pose.DARWIN, un écosystème où il fait bon travailler ou se détendreA la fois espace de travail et de détente, DARWIN est né sous l'impulsion d'un entrepreneur visionnaire, sur la friche de la caserne militaire Niel et des Magasins Généraux située sur les berges de la rive droite de Bordeaux. Cet écosystème unique, tourné vers l'entrepreneuriat responsable et la transition écologique, accueille des entreprises, des restaurants, une épicerie bio, des associations et un skatepark mais aussi des espaces dédiés au street-art.Rexolatte, des panneaux de toiture aux multiples avantages adaptés aux contraintes du chantierAfin de rénover la toiture de 2700 m² d'un des bâtiments de DARWIN déjà en exploitation au rez-de-chaussée et destiné à recevoir des bureaux en open-space à l'étage, l'entreprise de charpente MCE Perchalec a recommandé l'utilisation des panneaux Rexolatte. Composés de laine de roche à forte densité, ils bénéficient de qualités thermiques et acoustiques et leur mise en œuvre est simple et rapide.« Les murs étant en pierre de 60 cm d'épaisseur, les panneaux de toiture devaient bénéficier d'une résistance thermique élevée pour compenser l'absence d'isolation. Nous avons ainsi proposé Rexolatte avec une sous-face acoustique perforée en finition noire (Fibralux FR Black) teintée dans la masse, développée en partenariat avec UNILIN Panels pour ce chantier. Cette version décorative de la sous-face a tout de suite plu au client. Conformes aux exigences en matière d'incendie pour les ERP (classification B-s2-d0), les panneaux Rexolatte sont tout à fait adaptés à cette réhabilitation de bâtiment qui doit recevoir du public », explique Alexandre KATSELIS, conducteur de travaux de l'entreprise MCE Perchalec.Compte tenu des contraintes techniques du chantier, les panneaux Rexolatte de 4,60 m de long sont posés perpendiculairement au sens de la pente de la charpente métallique que souhaitait conserver le propriétaire.Permettant d'atteindre des portées importantes entre appui, ils reposent sur les fermes métalliques de la charpente. Au total, ce sont plus de 700 panneaux de 80 cm de large qui ont été mis en œuvre par 4 personnes sur le chantier.Entreprise de Charpente : MCE PERCHALEC, Blanquefort (33)
Il y a 4 ans et 344 jours

Dôme climatique du zoo de Beauval : le CSTB acteur du projet en phase de conception

Image © Architecte Boitte Architecture et ZooParc de BeauvalLe zoo de Beauval a inauguré début 2020 son nouveau dôme climatique à l'environnement tropical exceptionnel. Mandaté par la société CMF, conceptrice de la verrière aux proportions inédites de 13 855 m², le CSTB a fourni une démarche et une solution de modélisation numérique pour réaliser l'étude du comportement thermo-aéraulique de la serre tropicale. Le dôme comprend un restaurant panoramique et une serre tropicale aux dimensions hors normes afin de recréer des environnements particulièrement réalistes conçus pour assurer le bien-être des espèces animales abritées dans cet espace. En effet, CMF a proposé une conception spécifique de la verrière du dôme, intégrant une gestion globale du climat intérieur, afin de concilier confort du vivant (animaux, visiteurs, plantes tropicales) et économies d'énergie. Avant de démarrer fin 2017 les travaux de construction du futur dôme bioclimatique, l'entreprise CMF, spécialisée dans la construction de serres, a sollicité le CSTB pour valider les hypothèses de conception du climat intérieur de cette demi-sphère de plus de 100 mètres de diamètre. L'expertise des ingénieurs du CSTB, associée au couplage de plusieurs outils de modélisation numérique, en particulier l'outil de calcul aux volumes finis OpenFOAM et le logiciel de simulation aéraulique MATHIS, développé par le CSTB, a permis d'affiner l'estimation de la consommation énergétique du dôme. La modélisation a permis de mieux appréhender les mécanismes physiques mis en œuvre afin de piloter les paramètres clés de la solution proposée : Les déperditions thermiques de la serre sur la période de chauffe. L'analyse a ainsi permis de valider la puissance de l'unité de production, de manière à couvrir les besoins en chauffage de la serre. Les températures atteintes à l'intérieur de la serre en période estivale. L'analyse a permis de montrer que le système de ventilation naturelle mis en œuvre et la répartition de vitrages présentant des facteurs énergétiques différents selon leur position sur le dôme, sont capables de maintenir des conditions ambiantes compatibles avec l'exploitation prévue de la serre. Et ainsi, d'assurer le bien-être des espèces animales et végétales abritées dans cet espace, tout comme le confort des visiteurs. « Un tel projet est vraiment hors norme, tant par ses dimensions que par la nature des activités accueillies. Notre capacité à prendre en compte toute la complexité des phénomènes dans un modèle numérique cohérent de l'ambiance intérieure (interaction du vent avec l'ouvrage, caractéristiques aérauliques des ouvrants, caractéristiques radiatives des vitrages, évapotranspiration des surfaces végétalisées, évaporation des bassins et rivières, etc.) a permis d'apporter des éléments quantitatifs précis et de renforcer l'expertise de CMF en la matière pour le choix final des solutions techniques. ». François Demouge, ingénieur études et recherche, CSTB La modélisation numérique réalisée par le CSTB a ainsi permis de confirmer la projection des résultats spécifiques envisagés pour ce projet. Cette démarche a permis également de confirmer à l'architecte et au maître d'ouvrage les choix techniques pour maintenir un environnement adapté au bien-être des espèces animales hébergées et du public accueilli dans le dôme. En savoir plus : L'expertise Climatologie du CSTB L'expertise Aérodynamique du CSTB
Il y a 4 ans et 344 jours

Siège social d‘ANER, à Montreuil, de l’industrie aux bureaux par GSMA

Au sein d’un ancien îlot industriel de Montreuil (Seine-Saint-Denis), l’agence GSMA (Gaspard Saint-Macary Architecture) est parvenue à inscrire, sur 812 m² et pour un budget de 1,5 M€, le nouveau siège social d’ANER, une société spécialisée dans le nettoyage industriel. Livraison prévue : février 2021. Communiqué. Il s’agit de la reconversion d’une partie d’un îlot […] L’article Siège social d‘ANER, à Montreuil, de l’industrie aux bureaux par GSMA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 344 jours

Poullard : Un précurseur

Stéphane Poullard, gérant de la société éponyme : « Utiliser du béton recyclé à Chartres est presque devenu la norme ». [©ACPresse] Lancé le 23 novembre 2015, le granulat recyclé Granudem de Poullard a commencé à décoller. Ceci, avec la réalisation de chantiers pilotes. Comme la résidence Le Onze à Chartres, un ensemble de 12 logements livré en 2019 . La société possède plusieurs filiales dans le terrassement et la décontraction. Elle travaille en ce moment sur un chantier de démolition de 180 logements. Toujours à Chartres. Poullard produit 20 000 t de sables et de gravillons destinés au béton et 20 000 t pour le secteur routier. Sa centrale de BPE reste pour sa part anecdotique, avec environ 15 m³ fabriqués chaque jour. Avec un chiffre d’affaires en hausse de 20 % sur les deux dernières années, l’entreprise vient d’obtenir son brevet pour l’ensemble du process de fabrication de son béton 100 % recyclé. Elle vient aussi de recevoir la certification CE2+ de l’Afnor pour son granulat recyclé Granudem. Ce qui va lui permettre de fournir les centrales à béton. Et ce, avec un produit, qui rentrera dans la norme NF EN 206/CN. La grande majorité de ses granulats part aujourd’hui en vrac, pour alimenter les centrales locales Unibéton et Cemex. Le secret du Granudem ? « Pour réaliser un béton 100 % recyclé, il faut avoir travaillé sur un process pour sortir un sable et un gravillon de qualité, explique Stéphane Poullard, gérant de la société éponyme. Il faut en effet des granulats, qui ont une certaine résistance pour faire des bétons résistants. Toute la recette résidant dans le process de concassage, de criblage et de lavage des matériaux. » Le problème des stocks A partir de bétons de démolition, Poullard produit 20 000 t de sables et de gravillons destinés au béton et 20 000 t pour le secteur routier. [©ACPresse] D’ici la fin de l’année, Poullard espère commercialiser des blocs béton composé de sable 100 % recyclé et de gravillons de carrière. Intégrée au Plan Climat Air Energie territoriale (PCAET) de Chartres Métropole. Lequel outil pousse à l’utilisation de granulats recyclés dans la construction pour les bailleurs sociaux, l’entreprise s’installe aussi comme un acteur incontournable dans le tissu économique local. « Au départ, nous prêchions seuls dans le désert, mais la donne a changé, résume Stéphane Poullard. Désormais, utiliser du béton recyclé à Chartres est presque devenu la norme. Dans quelques mois, nous serons même en rupture de stocks de produits issus de la décontraction. Ce qui va nous contraindre à trouver de la matière première pour continuer de fournir nos clients. Nous cherchons surtout à vendre des granulats recyclés de très bonne qualité. Destinés au béton, plutôt que de les produire pour une mise en œuvre en grave routière. » Pour l’heure, le premier client reste la société Poullard elle-même. Qui, via sa filiale travaux, les utilise en travaux de terrassement et en VRD, avec des volumes en augmentation ces dernières années de 30 à 50 %. « La tendance s’est inversée. Ce qui nous oblige à chercher des chantiers de démolition pour maintenir nos stocks, poursuit Stéphane Poullard. Nous devons désormais alimenter les industriels situés autour de notre plate-forme de recyclage. Alors qu’auparavant, nous ne fournissions que nos propres chantiers. » Poullard qui songe déjà à se développer sur d’autres agglomérations étudie aussi la possibilité de valoriser d’autres produits, qui ne sont pas forcément issus de la déconstruction. Sans en révéler pour l’heure la teneur, secret industriel oblige. Non content d’être l’inventeur du premier béton 100 % recyclé. Poullard souhaite lancer dans les mois à venir un béton 100 % recyclé bas carbone. Une affaire à suivre…
Il y a 4 ans et 345 jours

Gymnote I, signé Reichen & Robert à Cergy-Pontoise

En juin 2020, quelques semaines après la sortie du confinement, GA Smart Building a livré le premier bâtiment de l’ensemble immobilier Gymnote à Cergy-Pontoise (Val-d’Oise). Communiqué du promoteur. Gymnote est un ensemble mixte de 11 000 m², composé d’un bâtiment de bureaux à destination de Ramsay Santé – l’un des leaders européens de l’hospitalisation privée […] L’article Gymnote I, signé Reichen & Robert à Cergy-Pontoise est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 345 jours

Une mère et ses deux enfants tués dans l'effondrement d'un bâtiment en Italie

La corniche, longue de près de 70 mètres, d'un ancien bâtiment industriel s'est effondrée soudainement sur la chaussée, ont indiqué ces agences.Une mère âgée de 38 ans se trouvait là avec deux de ses enfants de 15 mois et 5 ans, tous les trois ont été écrasés. La femme, d'origine marocaine, et son garçon de cinq ans sont morts sur le coup, tandis que le bébé, une petite fille, est morte peu après son évacuation à l'hôpital, a précisé l'agence Ansa.La scène s'est déroulée sous les yeux du frère aîné, âgé de neuf ans, qui se trouvait de l'autre côté de la route et a échappé à la chute de l'amas de briques et de pierres. Une passante de 42 ans a également été blessée.L'extraction des corps des victimes a pris plusieurs heures.L'incident a eu lieu dans la petite localité d'Albizzate, en périphérie nord-ouest de Milan en Lombardie. Le ministère public a ouvert une enquête pour meurtre et homicide involontaire.L'édifice concerné, sans étage, abritait autrefois une entreprise textile et accueille actuellement plusieurs commerces. Toute la zone a été bouclée et un bâtiment "jumeau", où se trouve un supermarché, a été fermé.
Il y a 4 ans et 346 jours

Un homme condamné à 2 ans de prison ferme dans l'affaire de l'attribution du marché du "Pentagone français"

Au centre du procès qui a eu lieu fin janvier: l'attribution en février 2011 de ce marché de plus de 3,5 milliards d'euros - un partenariat public-privé - à un consortium mené par Bouygues. L'enquête avait démarré en 2010 après un signalement anonyme.L'homme d'affaires Karim Aïssa a été condamné par le tribunal correctionnel de Paris à quatre ans de prison dont deux ans avec sursis, ainsi qu'à une amende de 50.000 euros. Le tribunal l'a de plus interdit de gérer une entreprise.Le parquet avait requis contre cet homme qualifié par le procureur de "professionnel de la corruption" une peine de quatre années d'emprisonnement et de 200.000 euros d'amende."C'est une rare photographie de la corruption", avait estimé le procureur. Karim Aïssa offrait notamment des places de spectacles, invitait à Roland-Garros, promettait rémunération, reconversion de carrière afin d'obtenir des informations sur des procédures d'appel d'offre, avait-il décrit. Son objectif était de négocier ces informations avec les candidats aux appels d'offre.Aux côtés de Karim Aïssa était jugé un ancien militaire, Fabrice Couderc, qui avait dérobé des documents confidentiels. Comparaissant pour "favoritisme" et "corruption passive", il a été condamné à trois ans de prison avec sursis et une interdiction d'exercer un emploi public pour cinq ans. Le parquet avait requis contre lui une peine de deux années d'emprisonnement dont un an avec sursis et 50.000 euros d'amende.Karim Aïssa était entré en contact avec Fabrice Couderc, capitaine de l'armée de terre, qui travaillait alors à la Direction mémoire patrimoine archives (DMPA), qui traitait de l'ensemble de l'immobilier de la Défense. Karim Aïssa lui aurait promis en échange de documents une somme d'environ 80.000 euros, mais aucune contrepartie financière n'a été versée.L'ancien militaire affirme de son côté avoir transmis seulement des informations et des documents d'ordre général, comme des brochures explicatives sur la finalité du projet.Le parquet national financier (PNF) avait demandé un procès pour un haut responsable de Bouygues, mais celui-ci avait bénéficié d'un non-lieu du juge d'instruction. Selon ce magistrat, "il n'a pas été possible d'établir un lien entre les informations contenues dans les documents détenus par Karim Aïssa et les améliorations apportées à Bouygues dans son offre finale".
Il y a 4 ans et 346 jours

Le secteur de la rénovation énergétique s'engage

Les partenaires s'engagent ainsi à :Poursuivre le développement de la plateforme Pass'Réno HabitatCréée en 2015 par l'ALEC-MVE elle met en relation les particuliers et le réseau de professionnels RGE locaux pour la réalisation de travaux énergétiques.Promouvoir et défendre le marché métropolitain de la rénovation énergétiqueUne coopération qui s'exprimera par des actions de communication communes (interventions conjointes lors d'événements, collaborations techniques ou partages d'expériences).« Le marché de la rénovation énergétique est une opportunité exceptionnelle de développement qui offre de véritables perspectives pour les nombreux métiers de la construction » souligne Jean-Luc Tuffier, Président de la FFB Grand Paris.« Le partenariat avec l'ALEC-MVE est une opportunité pour massifier les opérations de rénovation énergétique sur le territoire métropolitain. » ajoute Bertrand Demenois, Président de Rénovactif.« S'appuyer sur le partenariat de la FFB Grand Paris, permettra à Pass'Réno Habitat de mobiliser davantage de professionnels du bâtiment autour de la rénovation énergétique et favoriser ainsi une réelle dynamique locale entre les propriétaires prêts à s'engager et les entreprises » indique Mireille Alphonse, Présidente de l'ALEC-MVE.
Il y a 4 ans et 346 jours

Le confinement a-t-il donné des envies de travaux aux Français ?

ETUDE. Etre confiné pendant deux mois a mis le logement au coeur des préoccupations des Français. Mais sont-ils prêts à lancer des travaux ? Si oui lesquels ? Téléchargez l'étude de Little Worker réalisée par OpinionWay.
Il y a 4 ans et 346 jours

Le chantier du Centre aquatique olympique est lancé à Saint-Denis

EQUIPEMENT. Trois semaines seulement après que la Métropole du grand Paris ait désigné Bouygues bâtiment Île-de-France concessionnaire du Centre aquatique olympique, au sein de la Zac Plaine Saulnier, à Saint-Denis (93), le chantier a été lancé, début juin.
Il y a 4 ans et 346 jours

Une filiale de Spie batignolles condamnée pour homicide involontaire

Le tribunal de Châlons-en-Champagne (Marne) a condamné l'entreprise Pieux Ouest à 15 000 euros d'amende pour homicide involontaire à la suite du décès accidentel en septembre 2013 de l'un de ses salariés sur le chantier d'une résidence châlonnaise.
Il y a 4 ans et 346 jours

Artisans : conseillez à vos clients d’installer une caméra de surveillance !

En tant qu’artisan, donner de bons conseils à ses clients dans des domaines qu’ils ne maîtrisent pas permet de renforcer leur confiance en vous. Pour vos clients qui envisagent de faire des travaux de construction ou de rénovation, il est important de leur conseiller de penser à la sécurisation de leur maison, et cela dès le début de travaux. Vous pouvez les guider sur les systèmes de sécurité à opter pour avoir une protection optimale de leur maison. Dans cet article, nous allons notamment nous pencher sur la caméra de surveillance, mais aussi le détecteur de mouvements. L’installation d’une caméra de surveillance pour une sécurité optimale En tant qu’artisan professionnel, vous êtes l’un des mieux placés pour informer vos clients sur la nécessité de sécuriser leur maison, mais aussi de les conseiller sur les meilleurs dispositifs de sécurité. Une caméra de surveillance leur permettra de surveiller en temps réel la maison et de se protéger contre les insécurités. Elle permet de détecter les éventuels intrus et toute personne qui entre et sort du logement. Il y a de grandes chances qu’ils vous sollicitent aussi pour le choix de la caméra à installer. Vous pouvez alors leur conseiller d’opter pour les caméras Verisure reconnues pour leur fiabilité. Qu’il s’agisse d’une caméra connectée, d’un détecteur de mouvements, d’une sirène indépendante ou encore d’un détecteur d’ouverture, vous trouverez forcément la solution la plus adaptée selon les besoins de vos clients. On peut choisir entre une caméra filaire ou sans fil, transmettant des images en direct, que ce soit à l’aide d’un câble réseau ou via le Wi-Fi. Elle peut aussi être utilisée à l’intérieur ou à l’extérieur de la maison. La caméra de surveillance est l’outil indispensable dont vos clients ont besoin. Elle dispose en général d’une application pour smartphones permettant de la piloter à distance et de garder un œil sur son domicile. Elle peut suffire à dissuader les cambrioleurs et aide à alerter rapidement les autorités le cas échéant. Avec une caméra de surveillance connectée, on peut même se connecter à internet en 3G ou 4G. Il est aussi important de prendre une caméra de surveillance qui résiste parfaitement aux intempéries. L’installation d’un détecteur de mouvements Pour une protection optimale de leurs maisons ou entreprises, un détecteur de mouvements figure aussi parmi les outils incontournables. Avec la technologie qui ne cesse d’évoluer, on peut aujourd’hui trouver des modèles dotés d’un détecteur à haute sensibilité. Ils signalent automatiquement chaque présence douteuse dans la pièce à l’aide d’un infrarouge. Grâce à un capteur photo, le dispositif prend aussi tout de suite des photos et les envoie directement au centre de télésurveillance, même sans connexion filaire, cela grâce à un flash intégré dans le système. À noter qu’il reste actif le jour comme la nuit. Le détecteur de présence a également l’option de surveillance à distance. Il permet de garder un œil sur l’intérieur du domicile avec une application sur smartphone. Ce système de sécurité est aussi très économique et écologique. Il s’allume et s’éteint automatiquement quelques secondes après le passage d’une personne suspecte dans la pièce.
Il y a 4 ans et 346 jours

Élection de 7 nouveaux administrateurs nationaux pour la CAPEB et départ de Patrick Liébus

Outre l'examen et l'adoption des questions statutaires, les délégations ont procédé aux votes des 9 postes d'administrateurs venant à échéance. Ainsi le Conseil d'administration national accueille 7 nouveaux administrateurs. Ce Conseil renouvelé se réunira les 2 et 3 juillet pour élire le président national. Patrick Liébus ne se représentant pas au poste d'administrateur national, il tenait ce jour sa dernière Assemblée générale, clôturant ainsi dix années à la présidence nationale. Jusqu'à la réunion du prochain Conseil d'administration de juillet, la présidence nationale sera assurée par intérim par le Premier Vice-Président Jean-Christophe Repon.Les 7 nouveaux élus au sein du Conseil d'administration de la CAPEB nationale :Thierry TOFFOLI :Élu administrateur national au titre de la présidence de l'Union Nationale Artisanale Maçonnerie-Carrelage pour un mandat de trois ans, il succède à Dominique Métayer. Son entreprise de carrelage située en Haute Garonne emploie 2 salariés. A l'assemblée générale de la CAPEB d'avril 2015, il avait été élu administrateur confédéral. Conseiller professionnel de l'UNA MC depuis 2000, il est membre de commissions de normalisation DTU et groupes spécialisés au CSTB, relatifs à la pose de revêtement céramique.Sylvain FORNES :Élu administrateur national au titre de la présidence de l'Union Nationale Artisanale Peinture Vitrerie Revêtement, il succède à Jean-Jacques Chatelain. A la tête de son EURL de trois personnes dans le Rhône, ce Maître Artisan propose en activité principale des travaux de peinture, plâtrerie, faux plafonds, ITE et ITI sont ses activités secondaires. Très investi, il a présidé la CAPEB Rhône et Grand Lyon pendant 9 ans et a été conseiller professionnel de l'UNA qu'il préside aujourd'hui.Jean Pierre RICHARD :Élu administrateur national au titre de la 7ème circonscription élective, il est artisan électricien depuis 2006 dans l'Yonne à Moneteau. Il a adhéré à la CAPEB de son département en 2007 dont il est élu président en 2013. Également administrateur de l'U2P de l'Yonne depuis 2013, il est élu à la Chambre de Métiers et de l'Artisanat de l'Yonne et de la région depuis 2010.Nathalie BERGERE :Élue administratrice nationale, elle est co-gérante d'une entreprise de plomberie-chauffage-électricité créée en 2010, employant 5 salariés. Adhérente de la CAPEB de la Mayenne, elle s'est rapidement engagée au bénéfice de la commission départementale puis nationale des femmes d'artisans, en qualité de conseillère de la présidente. Laure VIAL :Élue administratrice nationale, elle est gestionnaire d'une entreprise artisanale de plomberie-chauffage créée en 2003 et employant 2 salariés. Adhérente à la CAPEB des Alpes de Haute-Provence depuis cette date, elle est élue à la présidence de la CAPEB Alpes-Durance, regroupant les deux départements avec les Hautes Alpes. Membre de la Chambre de métiers de son département, elle est élue présidente de la CMA des Alpes de Haute Provence.Vincent DEJOIE :Élu administrateur national, il dirige une entreprise artisanale de peinture, créée en 1985, employant 31 salariés dans les côtes d'Armor. Adhérant à la CAPEB de son département en 1985, il est élu administrateur puis la préside de 2013 à 2019 avant d'être porté, tout récemment, à la présidence de la CAPEB Bretagne.Laurent MARMONIER :Élu administrateur national, il dirige une entreprise artisanale de maçonnerie tournée vers la restauration du bâti ancien et vers l'amélioration thermique, qui emploie 2 salariés. A la création de son entreprise, il adhère à la CAPEB de l'Isère en 1999. Engagé en faveur de la politique professionnelle, il est nommé conseiller professionnel de l'UNA MC en 2014Liste alphabétique complète du Conseil d'Administration :(Nom, prénom, département, commune d'implantation de l'entreprise, métier)En rouge : nouvellement élu / En bleu : rééluBASILI Sabine > Ain (01120 Thil)Conjointe associée : Plomberie-Chauffage-ClimatisationVice-Présidente confédéraleBEAUDONNAT Cécile > Puy-de-Dôme (63210 Vernines)Conjoint collaborateur : Charpente CouverturePrésidente de la CNFABELLANGER Christophe > Maine et Loire (49000 Angers)ÉlectricienPdt de l’UNA Équipement Électrique et ÉlectrodomotiqueBERGERE Nathalie > Mayenne (53320 Loiron Ruille)Co-gérante entreprise de plomberie-chauffage-électricitéBOUNHOL Patrick > Aveyron (12120 Arvieu)Couvreur-ZingueurBROCHU Michel > Loire-Atlantique (44810 Heric)Charpentier-MenuisierCHATRAS Gilles > Puy-de-Dôme (63830 Nohanent)Plâtrier Peintre DécorateurSecrétaire confédéral adjointDEJOIE Vincent > Côte d’Armor (22490 Pleslin Trigavou)PeintreDESMEDT Jean-Marc > Côte-d'Or (21200 Ste Marie la Blanche)MenuisierPrésident de l'UNA Charpente-Menuiserie-AgencementDUMON Michel > Gironde (33330 St Etienne de Lisse)Menuisier CharpentierTrésorier confédéral adjointFORNES Sylvain > Rhône (69250 Montanay)PeintrePdt de l’UNA Peinture-Vitrerie-RevêtementsGASPAR Dominique > Meuse (55800 Revigny-sur-Ornain)MenuisierHADJIPANAYOTOU Antony > Hauts-de-Seine (92140 Clamart)Plombier ChauffagisteLABAT Jean-Yves > Landes (40180 Saugnac et Cambran)Plâtrier Pdt de l'UNA Métiers et Techniques du Plâtre et de l'IsolationLE DEVEHAT Éric > Ille-et-Vilaine (35600 Redon)Tailleur de pierrePdt de l’UNA Métiers de la PierreMARMONIER Laurent > Isère (38140 Poliénas)MaçonMATHIEU Francis > Creuse (23300 St Agnant de Versillat)Couvreur Charpentier ZingueurMORALES David > Haute-Garonne (31160 Encausse les Thermes)Plaquiste PlâtrierOLIVET Gilbert > Hérault (34000 Montpellier)Serrurier MétallierPdt de l’UNA Serrurerie-MétalleriePOSTEL Corine > Yvelines (78270 Chaufour les Bonnières)Conjointe collaboratrice (Couvreur)Trésorière confédéraleQUÉNET Albert > Finistère (29710 Ploneis)PeintreRANCUREL Jean-Claude > Vaucluse (84150 Violes)Plombier-ChauffagistePrésident de l’UNA Couverture-Plomberie-ChauffageRAVON Thierry > Charente (16430 Balzac)CarreleurREPON Jean-Christophe > Var (83000 Toulon)Électricien1er Vice-Président confédéralRICHARD Jean-Pierre > Yonne (89470 Moneteau)ÉlectricienTOFFOLI Thierry > Haute-Garonne (31840 Aussonne)CarreleurPdt de l’UNA Maçonnerie-CarrelageVIAL Laure > Alpes de Haute-Provence (04870 Saint-Michel l’Observatoire)Gestionnaire entreprise de plomberie-chauffageVIALATTE Tony > Eure (27930 Brosville)Couvreur
Il y a 4 ans et 346 jours

L'Anah a subventionné plus de 155.000 rénovations de logements en 2019

RAPPORT D'ACTIVITÉ. L'Anah a publié, le 25 juin, ses chiffres définitifs pour 2019, qui font état de 970,2 millions d'euros d'aides distribués, dont la plus grande partie aux propriétaires occupants pour financer les travaux de rénovation énergétique, en forte augmentation.
Il y a 4 ans et 346 jours

Capremib à l’assaut des tours Duo

Capremib préfabrique les éléments en béton des Tours Duo de Jean Nouvel, construites à Paris. [©Caprémib] En construction dans le XIIIe arrondissement de Paris, les tours Duo ont été dessinées par l’architecte Jean Nouvel. Elles vont marquer le périphérique de la capitale, qu’elles surplombent. D’une hauteur respective de 180 m (39 étages) et 122 m (27 étages), elles sont toutes les deux désaxées, et semblent en équilibre. Tout comme pour la tour Alto à La Défense, c’est l’industriel Capremib, qui a été choisi pour la préfabrication des éléments en béton.  Pour le chantier des tours Duo, Capremib fournit un total de 1 110 poutres en béton armé C60/75. Dont 256 pour les sous-sols des deux tours. Et 854 poutres à béquet, d’une longueur unitaire de 9 m, pour la superstructure de la tour 1. Chacun des 38 niveaux de cette tour est ceinturé par ces poutres. Dont le retour extérieur (béquet) varie de 30 à 50 cm de largeur. La longueur des poutres d’infrastructure s’échelonne de 3 à 11 m, avec une largeur allant de 20 à 120 cm.  Les coffrages métal/bois des poutres ont été conçus et réalisés dans les ateliers de Capremib. Démarrée en septembre 2018, la fabrication des poutres se poursuivra jusqu’à l’été 2020, à raison de 6 à 7 unités/j. Le volume total de béton utilisé représente 2 800 m3, complété par 450 t d’acier.  Afin d’assurer une fluidité́ optimale, Capremib anticipe l’avancée du chantier, en produisant les éléments nécessaires pour 2 à 3 étages. Qui sont ensuite stockés dans l’enceinte de son usine et livrés à la demande. Début 2021, les tours Duo accueilleront 6 000 salariés de la banque Natixis. Ceci, sur près de 90 000 m2 de bureaux. Ainsi qu’un hôtel, un bar avec une vue panoramique et des commerces.
Il y a 4 ans et 346 jours

Rénovation énergétique : le gouvernement confie une mission au Plan Bâtiment Durable et à la RICS

Julien Denormandie et Emmanuelle Wargon ont chargé les deux organismes d'une mission sur la rénovation des bâtiments et le renouveau urbain. Les acteurs concernés sont invités à s'exprimer via un questionnaire en ligne. Les premières propositions sont attendues fin juillet.
Il y a 4 ans et 346 jours

Le vélo progresse fortement en centre-ville mais baisse presque partout ailleurs

Ces derniers mois, les contraintes liées au coronavirus ont amené beaucoup de citadins à enfourcher une bicyclette pour aller au boulot.Et nombre de candidats aux municipales ont vanté les vertus environnementales de ce mode de transport. Sans "plan vélo", mâtiné d'"urbanisme tactique" depuis le déconfinement, impossible de faire campagne dans les grandes villes...Rejoindre son lieu de travail à coups de pédale reste un phénomène "très urbain": en 2015, à l'échelle nationale, il ne concernait que 1,9% des actifs ayant un emploi, selon l'Insee. Contre 6% à Lyon et de 12% à 16% à Bordeaux, Grenoble ou Strasbourg - agglomération la plus cyclable de France.La forte progression de la pratique en centre-ville est "un trompe-l'œil qui cache une baisse presque partout ailleurs ces dix dernières années", nuance une vaste étude sur les usages du vélo en France, publiée en avril sous l'égide de l'Ademe et de la Direction générale des entreprises.Cette "fracture territoriale majeure" en recoupe une autre, d'ordre social: "ceux qui refont du vélo, ce sont surtout les cadres et professions intermédiaires, alors qu'avant c'étaient les ouvriers et les employés", souligne Francis Papon, chercheur à l'Institut français des sciences et technologies des transports (Ifsttar).Des années 30 à l'après-guerre, on pouvait voir en effet des flots de cyclistes sortir chaque jour des usines, en région parisienne comme dans les grandes cités de province. Puis vint l'ère de la "bagnole".En 1958, le constructeur de camions Berliet, qui employait 12.000 personnes à Vénissieux, aux portes de Lyon, avait déjà réduit "des trois-quarts" ses abris à bicyclettes et son patron anticipait "une extension rapide et considérable des quatre roues". Il ne croyait pas si bien dire."Essaimer"Soixante ans plus tard, à quelques hectomètres de là, la Société d'équipement et d'aménagement du Rhône et de Lyon (SERL) réindustrialise une friche de 11 hectares, voisine de gros axes routiers mais très bien reliée aux transports en commun. L'occasion rêvée d'un site sans parking ?L'idée a séduit... tant que les entreprises accueillies fonctionnaient en mode start-up: leurs dirigeants venaient à vélo ou en trottinette électrique. "Mais il a fallu se rendre à l'évidence: en phase de production, leurs opérateurs viendraient de plus loin en voiture", raconte Audrey Delaloy, qui pilote le projet.Au-delà des périphériques, les aménagements cyclables font souvent défaut, surtout de banlieue à banlieue. Le nombre des adeptes s'en ressent: plus de 5.500 Lyonnais (soit 1,1% de la population) ont participé en 2019 au "Baromètre des villes cyclables", contre seulement une soixantaine de personnes à Vaulx-en-Velin (0,1%) par exemple.Dans cette commune, "des axes importants restent dépourvus de tout aménagement", constate Pierre Crepel, un militant du vélo qui y habite depuis 30 ans. "Des gens disent qu'ils s'y mettraient bien mais que c'est trop dangereux et qu'il y a trop de vols. Et que la voiture reste plus commode."Joseph d'Halluin, secrétaire général de la Fédération française des usagers de la bicyclette (FUB), veut croire que "ce n'est pas une fatalité: en faisant du vélo un sujet des municipales, on espère que ça va essaimer au-delà des coeurs de ville".L'assistance électrique permettant d'allonger les distances, "les marges de progression sont fabuleuses en première et deuxième couronnes", abonde Nicolas Frasie, administrateur de "La Ville à Vélo".Pour augmenter la part modale du cycle dans l'agglomération à 20% en 2030 - contre 3% en 2015 - cette association lyonnaise réclame notamment un "réseau express" reliant 30 communes de la Métropole et ses points névralgiques.Des structures proposent des séances de vélo-école en périphérie pour inciter à s'y mettre en selle. Comme Janus France, dont le local d'Oullins est installé dans un quartier enclavé par une voie rapide et le Rhône.De là, seul un pont surchargé de voitures, doté récemment d'un couloir malaisé pour les cyclistes, permet de rejoindre le centre de Lyon. "Alors qu'une passerelle dédiée donnerait beaucoup plus envie d'y aller à vélo", estime le fondateur de l'association, Rodrigue Yao Ogoubi.
Il y a 4 ans et 346 jours

Rénovation : Acorus acquiert un acteur du second oeuvre

RACHAT. Spécialiste de la rénovation en sites occupés, Acorus, vient de racheter une entreprise spécialisée dans le second oeuvre.
Il y a 4 ans et 346 jours

Les valeurs sûres d'Alkern pour un aménagement extérieur assurément réussi

Outre la carte de l'esthétique, rappelons de plus que la pierre reconstituée s'avère le matériau le plus adapté à la réalisation de bassins aux formes compliquées notamment arrondies (à l'opposé des rectangles actuels), qu'elle ne gèle pas et se veut très facile d'entretien. Un segment rénovation de bassin qui se développe d'ailleurs très fortement actuellement et qu'ALKERN accompagne en proposant des références aux différentes formes, accompagnées de margelles coordonnées.Ghisa et Volcanik, la sélection ALKERN pour apporter à la maison un caractère exceptionnelGhisa, l'effet martelé d’inspiration industrielle : Très appréciée depuis son lancement, la gamme Ghisa s’inspire ouvertement de l’esprit industriel pour revêtir un effet martelé des plus modernes et raffinés. Disponible en dimensions 75 x 45 cm et épaisseurs de 2,5 ou 3,5 cm, la dalle en pierre reconstituée Ghisa s’avère ingélive, comme l’ensemble des références ALKERN et se veut aussi facile d’entretien. Elle est proposée en différentes finitions : le très chic et urbain métal, en traditionnel ton pierre ou encore en élégant gris nuancé. Précisons aussi que l'offre Ghisa se complète de solutions de margelles coordonnées aux dalles, pour pousser l’esprit urbain jusqu’au moindre détail au bord de la piscine et revendiquer une belle unité de style. Prix public indicatif à partir de 46 € HT du m² pour les dalles ton pierre.Volcanik, la dalle aspect pierre de lave polie grand format : Devant le succès de références régionales, ALKERN a décidé de proposer sur l'ensemble du territoire ses dalles Volcanik. D'un aspect pierre de lave polie, la dalle Volcanik complète judicieusement son offre de solutions grands formats ALKERN à l’aspect structuré et naturel. S'inscrivant parfaitement dans la tendance actuelle des grandes dimensions accentuant la sensation d'espace, Volcanik joue pourtant la carte du minimalisme et de la naturalité pour réussir assurément la création d'espaces aux ambiances pures et ressourçantes. Volcanik est déclinée en dimensions de 75 cm de long x 45 cm de large x 3,5 cm d'épaisseur et en deux coloris : Gris ou Sable. Prix public indicatif à partir de 44 € HT du m².Premier fabricant indépendant de produits préfabriqués en béton en France, ALKERN emploie environ 1.200 collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires d’environ 200 millions d’euros. Le Groupe s’appuie sur une cinquantaine de sites de production de produits béton avec une présence sur les secteurs du bâtiment, de l’aménagement extérieur et des travaux publics.
Il y a 4 ans et 346 jours

Des techniques de pointe mises en œuvre pour la nouvelle centrale électrique de Landivisiau

En l'absence d'implantation de centrales nucléaires, la Bretagne est fortement dépendante des régions voisines pour couvrir sa consommation en électricité. Ainsi, la Bretagne importe plus de 80% de l'électricité qu'elle consomme.Rendre la Bretagne énergétiquement plus indépendanteUne centrale à cycle combiné au gaz naturel est une installation thermique produisant de l'électricité par la combinaison d'une turbine alimentée en gaz naturel et d'une turbine à vapeur. Cette technologie permet de répondre aux besoins de soutien du réseau électrique et correspond en matière de puissance nécessaire (422 MW) et de critères de disponibilité tels qu'identifiés par le Pacte électrique breton et la PPI (Programmation Pluriannuelle des Investissements de production d'électricité).Sous le contrôle de la Compagnie Electrique de Bretagne, propriétaire de la centrale, Siemens a la responsabilité de l'ingénierie, la fourniture et la construction de cette centrale électrique à cycle combiné ainsi que de son exploitation pendant 20 ans à compter de sa mise en service prévue pendant l'hiver 2021-2022.3 entités engagées avec des savoir-faire pluriels3 entités du groupe Spie batignolles réalisent cette opération divisée en deux projets distincts baptisés « Main Civil Work package » et « Design & Construct buildings package ».« Main Civil Work package », réalisé par Spie batignolles génie civil et Spie batignolles valérian, concerne tous les travaux de génie civil, de fondations, de terrassement, de VRD, de voiries, ainsi que la création d'un radier particulièrement technique.Spie batignolles valérian a notamment réalisé les terrassements pour les fondations d'ouvrages, les substitutions sous-fondations, les tranchées pour l'enfouissement des réseaux techniques, les assainissements et les chaussées.Les équipes de Spie batignolles disposent d'un délai court de 21 mois pour la réalisation de ce marché « Main Civil Work Package » portant sur un montant de 25 millions d'euros TTC.« Design & construct buildings package », confié aux équipes de Spie batignolles grand-ouest, correspond à un marché de conception/construction d'un bâtiment constitué de 3 parties.La livraison de ce bâtiment est prévue pour mars 2021 mais les équipes devront mettre à disposition de Siemens d'ici là des premiers espaces dans le cadre de livraisons intermédiaires.1.000 m3 de radier réalisés en moins de 24h avec des tests préalables sur le béton employéQuelques jours avant le début du confinement, les équipes de Spie batignolles génie civil et de Spie batignolles valérian ont réalisé un radier de près de 1.000 m3, correspondant au bétonnage de la partie inférieure du massif turbine.Le cahier des charges de Siemens imposait que le cœur de cet ouvrage ne dépasse pas la température de 65°C et conserve une température homogène dans son ensemble, avec un écart maximum de 20°C entre le cœur de l'ouvrage et sa surface. La température du béton frais devait être comprise entre 5 et 30°C.En effet, à sa mise en œuvre, un radier va naturellement réagir en se réchauffant. Les équipes avaient donc pour consigne de limiter cette prise de chauffe le plus possible, étant exempt de toute reprise de bétonnage.Spie batignolles génie civil a fait le choix d'un béton standard constitué de ciment de haut-fourneau (CEM III) affichant de lentes réactions. Avant d'être appliqué, les équipes ont procédé à un test sur un autre massif situé à proximité, pour s'assurer de la maîtrise d'élévation de la température du béton.Pour ce faire, le béton, provenant de la centrale à béton, a été coulé en une fois sur une seule journée dans un délai conforme aux mesures de rhéologie du béton. Les équipes disposaient d'un délai de 90 minutes pour la mise en place du béton et son compactage, incluant le temps de trajet. Il a été appliqué à l'aide de deux pompes à béton d'une capacité minimale de 60m3/h avec un coulage par couches de 40 cm d'épaisseur.La technique de coffrage de ce radier a également fait l'objet d'un essai préalable. Il s'agit de la solution FRAMAX de Doka. Tous les coffrages ont été habillés avec deux types d'isolants : avec des panneaux de 10 cm de polystyrène en périphérie et avec, simplement de la paille pour la partie supérieure. L'isolation permet d'éviter la déperdition de chaleur, la fuite de laitance et le maintien des températures lors des phases de réaction du béton.Cette technique, régulièrement usitée par Siemens sur d'autres centrales, était imposée dans le cahier des charges ; Spie batignolles restant décisionnaire du choix d'isolants à privilégier.La pose des coffrages a été réalisée avec une grue à tour encore jamais utilisée en France.Composée de câble en fibre, en lieu et place de l'acier, elle offre de vrais atouts comme celui de maximiser la sécurité des équipes sur place, de permettre une plus grande productivité, d'être peu énergivore et de nécessiter peu d'entretien.3 sondes de température ont été mises en place à différents niveaux de l'ouvrage, comportant respectivement 3 capteurs placés à 30 cm du haut, 30 cm du bas et au milieu.Un relevé de température a été effectué juste avant le confinement, dès que le radier a été coulé, puis jusqu'à 3 semaines après le coulage, signifiant une température maximale de 50 à 52°C.Les coffrages ont été laissés en place tout au long du confinement, avec un massif complètement isolé. Une surveillance a été nécessaire pendant toute la période du confinement pour s'assurer que la partie supérieure soit toujours humidifiée. Pour ce faire, les équipes ont installé 1 couche de géotextile entre chaque isolant puis ont réalisé une cure à l'eau de façon régulière pour y déposer une fine pellicule d'eau.Ces travaux ont nécessité l'intervention d'un chef de chantier, d'un géomètre, de conducteurs d'engins qualifiés, de coffreurs et manœuvres qualifiés.La géologie du site et les délais de réalisation mentionnés au cahier des charges du client ont constitué les autres enjeux de cette opération.Le terrain étant constitué de granits, les équipes ont employé des engins particuliers pour les travaux de terrassement.Réalisation du triptyque« Le triptyque » est le nom qui a été attribué par Siemens au bâtiment à réaliser dans le cadre du marché de conception/construction confié à Spie batignolles grand-ouest, pour un montant de près de 9 millions d'euros TTC. Spie batignolles, intervient sur les travaux de gros œuvre et de corps d'état.Le bâtiment accueille 3 espaces distincts : le bureau usine intégrant une salle de contrôle, un atelier ainsi qu'une zone technique avec notamment un laboratoire et une salle de traitement des eaux.Spie batignolles grand-ouest a dépêché une organisation spécifique sur ce projet, avec un responsable design et un responsable production, intégrés au sein d'une équipe dédiée de Siemens. Le principal enjeu de cette réalisation concerne la bonne intégration de la règlementation en vigueur en France dans la conception et la réalisation des bâtiments, ceux-ci ayant été initialement conçus selon des standards anglo-saxons internationaux.
Il y a 4 ans et 346 jours

Le CSTB lance sa nouvelle newsletters d'information gratuite : « Solutions & Performances »

Enjeux du marché, actualité sectorielle, tendances et innovations, éclairage technico-règlementaire, témoignages d'acteurs, etc., chaque mois, cette lettre proposera une information pédagogique sur un secteur en particulier. Pour le 1er numéro, à paraître le 2 juillet, c'est le très dynamique secteur des Menuiseries extérieures, et plus particulièrement des fenêtres, qui sera à l'honneur.La lettre « Solutions & Performances », nouvelle lettre d'information du CSTBRépondant toujours plus aux enjeux des transitions environnementale, énergétique et aux exigences en hausse des usagers, les produits et systèmes constructifs sont de plus en plus complexes et innovants. De nouvelles et nombreuses solutions sont ainsi développées et proposées sur le marché.Avec la lettre mensuelle « Solutions & Performances », pensée pour permettre à tous les corps de métiers de trouver le niveau d'information qui correspond à leurs attentes, le CSTB mettra en lumière ces tendances et nouveautés.Établissement public au service de l'innovation dans le bâtiment, fort de son expertise transversale et pluridisciplinaire, le CSTB souhaite, avec cette nouvelle lettre d'information, partager ses connaissances du marché, de la règlementation et valoriser la reconnaissance de la qualité des produits et des systèmes constructifs.Chaque mois, une partie d'ouvrage mise à l'honneurPour une lecture facilitée, chaque édition de la lettre « Solutions & Performances » sera dédiée à une partie d'ouvrage - avec un code couleur associé -, explorée à travers différentes rubriques :« Enjeux » dresse un état des lieux du marché pour les professionnels, mais aussi en termes d'attentes et de besoins des usagers ;« Actualités » fait un focus sur les nouveautés technico-règlementaires ;« Tendances » met en lumière une performance spécifique, avec une mise en avant des acteurs engagés sur ce sujet ;« Malfaçons », les malfaçons et écueils les plus souvent rencontrés et les solutions et méthodes pour les éviter ;À découvrir également, les rubriques « Parole d'expert », « Innovations », « Certificats », « Formations », etc.,Maîtrise d'ouvrage, maîtrise d'œuvre (entreprises, artisans, installateurs...), économistes, négoce, GSB, etc. : tous les acteurs de la construction pourront ainsi s'immerger dans l'univers de la partie d'ouvrage traitée, s'informer sur les tendances et nouveautés de ces marchés et approfondir leurs connaissances du secteur sur les plans technique, règlementaire et prospectif.Un 1er numéro dédié aux Menuiseries extérieuresDe plus en plus techniques, performantes et innovantes, maillon essentiel des performances demandées au bâtiment, notamment dans le domaine de la rénovation, les Menuiseries extérieures seront à l'honneur dans le 1er numéro de la lettre « Solutions & Performances », à paraître le 2 juillet.Au sommaire notamment :« Enjeux » : le marché des Fenêtres, les tendances, les innovations et les attentes des usagers ;« Actualités » : que va changer la règlementation environnementale pour le secteur des menuiseries extérieures ? ;« Malfaçons » : défauts de mise en œuvre des fenêtres ;« Tendances » : focus sur le recyclage des fenêtres PVC et témoignages d'acteurs du recyclage ;- Etc.Programmation à venir :Septembre : PlomberieOctobre : Revêtements de surfacesAvec « Solutions & Performances », newsletter mensuelle, le CSTB enrichit les informations qu'il partage avec les acteurs sur les tendances et les innovations des produits et systèmes constructifs, et complète ainsi sa communication éditoriale. Le CSTB diffuse également CONTACT, newsletter trimestrielle dédiée aux grands enjeux du secteur de la construction et de l'aménagement, dans une approche globale et pluridisciplinaire. Pour vous abonner à « Solutions & Performances », cliquez ici
Il y a 4 ans et 346 jours

Le cimentier Vicat va transférer son siège social pour réduire ses coûts

Les équipes "corporate" seront installées au mois de septembre à L'Isle-d'Abeau, berceau de l'entreprise où se trouvait déjà son centre opérationnel, a précisé Vicat dans un communiqué.Selon la région Auvergne-Rhône-Alpes, qui soutient le projet, 35 personnes sont concernées.Cette mesure s'inscrit dans le cadre d'un plan "d'adaptation des structures de coûts du groupe", mis en place en fonction de la crise liée au Covid-19, et qui comprend une réduction des coûts opérationnels et le report d'investissements industriels non stratégiques.Le président de la région Laurent Wauquiez (LR), qui a dégagé une enveloppe de 10 millions d'euros pour faciliter la relocalisation d'entreprises en Auvergne-Rhône-Alpes, s'est félicité de la décision du groupe cimentier."Nous sommes le premier territoire industriel de France mais les sièges de grands groupes se concentrent essentiellement à Paris. C'est un paradoxe alors que nous habitons une région attractive et dotée d'une réelle qualité de vie", a noté M. Wauquiez dans un communiqué, en qualifiant de "fondatrice" la volonté de relocalisation de Vicat.Vicat présente également un point de situation dans le contexte de l'épidémie de Covid-19, qui indique que "l'activité du mois de mai 2020 est en très nette amélioration par rapport aux mois de mars et d'avril 2020" et que "l'ensemble des cimenteries du groupe sont ouvertes".Parmi les douze pays où opère le groupe, la France enregistre une activité "dynamique, avec une progression constante depuis le point bas de la mi-mars".Aux États-Unis, "depuis le début de la crise sanitaire, l'activité est restée bien orientée tant en terme de volumes que de prix de vente".Au Brésil, l'activité est aussi jugée "dynamique, tant en volumes qu'en prix de vente".
Il y a 4 ans et 347 jours

Préserver une maison ancienne autrichienne avec une extension bois

La maison B. est l’extension d’une maison individuelle située à Klosterneuburg, en Autriche, conçue en 2019 par l’agence d’architecture Smartvoll. Ajouter plutôt que démolir est devenu un mantra de conception, un désir vigoureux de préserver. Cette maison est un exemple de volonté d’une famille de ne pas démolir l’ancienne maison pour bénéficier d’une nouvelle architecture […]
Il y a 4 ans et 347 jours

Quel est le profil idéal d’un couvreur professionnel ?

Si vous êtes à la recherche de couvreur confirmé, sachez que parmi les parcours de spécialisation existants, celui des Compagnies du Devoir fait partie des meilleurs. Les professionnels issus de leur cursus sont reconnus comme étant les plus réputés dans le métier. A la base, ils tiennent à transmettre auprès de leurs apprentis l’ensemble de leurs expériences ainsi que l’intégralité de leurs savoir-faire. Pour ce faire, ils leur proposent un accompagnement spécifique, notamment pour les catégories de moins de 25 ans, selon les moments clés de leur vie. Afin de vous aider dans votre choix, un aperçu des avantages particuliers de leur formation peut vous fournir quelques éclairages en plus. Un couvreur ayant reçu des formations spécifiques Pour avoir la certitude de réaliser vos travaux de toiture dans les respects de la norme, il est important en effet de travailler avec un couvreur bien formé comme : https://www.artisan-couvreur-eure.fr/ . Certains centres de formation proposent différents cursus en fonction de leurs besoins respectifs, à l’exemple des Compagnies du Devoir. Ils dispensent des parcours dédiés au moins de 25 ans en leur offrant 3 options, selon leur aptitude et leur situation personnelle, afin de garantir des formations spécifiques à leurs apprentis. La première catégorie permet également aux collégiens ou aux lycéens, après leur passage dans la classe de 3e, d’intégrer une spécialisation en vue de l’obtention d’un premier diplôme. A savoir, un CAP ou un Bac Pro au terme de 2 à 3 ans d’apprentissage. Autrement,ces jeunes peuvent également rejoindre ce circuit après avoir décroché leur bac technologique ou général, avec la perspective de pouvoir poursuivre leurs études jusqu’en Licence professionnelle. Dans le cas où ils ont déjà en poche des certifications justifiant leur première initiation dans le métier, ils ont encore la possibilité de rejoindre le système. Ainsi, ils auront l’opportunité d’approfondir leurs compétences et obtenir un diplôme supérieur. Un couvreur riche en expériences du métier Ce sont les compétences empiriques acquises au terme de nombreuses années d’exercice qui permettent en effet au couvreur de garantir d’excellente qualité de finition. Aussi, il est important de veiller à ces détails lorsque vous procédez à la vérification de son profil. Vous pouvez avoir l’assurance qu’ils ont à leur actif suffisamment d’expériences sur terrain, si vous sélectionnez entre autres des spécialistes issus des Compagnies du Devoir. A la base, le cursus proposé a la particularité d’intégrer une tour de France dans leur parcours d’initiation. De plus, cette optique leur offre la possibilité de changer de ville 1 à 2 fois au cours d’une année. C’est un voyage qui leur permet de partir à la découverte de différentes pratiques, un projet parfaitement initiatique tout en étant à la fois enrichissant. Une excellente manière d’apprendre de nouvelles techniques afin d’étoffer leurs savoir-faire. Cette démarche leur donne notamment l’opportunité d’enrichir leur réseau personnel et professionnel. Il est à noter qu’il a à l’occasion l’avantage de partir à l’étranger sur une période d’un an. En somme, c’est une façon parmi tant d’autres alternatives de perfectionner leur apprentissage. Bref, le meilleur moyen de garantir des travaux de toiture, exempts de vice et réalisés selon les règlementations en vigueur, est de vous appuyer sur les connaissances d’un expert. Alors, autant travailler avec ceux qui disposent de solide bagage et d’une grande expérience pour assurer la réussite de votre projet.
Il y a 4 ans et 347 jours

Covid-19 : environ 2 milliards d'euros de manque à gagner pour les sociétés autoroutières

"L'impact pour le groupe Sanef, c'est environ 400 millions d'euros", à comparer à un chiffre d'affaires de 1,8 milliard l'an dernier, a indiqué M. Quemard devant la commission d'enquête du Sénat sur les concessions autoroutières."Si on fait (un calcul) homothétique vis-à-vis du secteur, c'est de l'ordre de 2 milliards de chiffre d'affaires qui ne se réalisera pas au niveau du secteur sur l'année 2020", a-t-il ajouté.Les 18 sociétés d'autoroutes avaient réalisé en 2018 un chiffre d'affaires de 10,4 milliards d'euros, selon les derniers chiffres de l'Autorité de régulation des transports (ART).S'ajoute pour la crise actuelle "le risque de surcoût des travaux, qu'on ne sait encore chiffrer", a noté M. Quemard."Ca fait partie aussi du risque du concessionnaire", a noté le responsable, rappelant que le trafic poids lourds avait mis dix ans à se remettre de la crise financière de 2008.A la fin mai, le trafic des véhicules légers sur les autoroutes Sanef (de Paris vers le Nord, l'Est et la Normandie) était en recul de 36,5% sur les cinq premiers mois de l'année, a-t-il observé."Je suis extrêmement surpris par la lenteur de la reprise du trafic", a remarqué M. Quemard, avec par exemple un trafic de 16% inférieur à la normale le week-end dernier, alors qu'on aurait pu penser que les Français profiteraient du déconfinement."Le télétravail s'installe et a l'air de s'installer durablement", le trafic domicile-travail restant à 60% de la moyenne. "Nos prévisions c'est peut-être qu'on arrivera à 90% en fin d'année", a-t-il dit, tenant toutefois à rester prudent."Les étrangers ne vont probablement pas revenir massivement en France cet été pour les vacances", mais on devrait voir "un peu plus de Français sur les routes", a-t-il dit."On prévoit encore -5% l'an prochain de trafic par rapport à 2019", a ajouté M. Quemard, rappelant que le trafic poids lourds suivait de son côté les courbes de l'économie."Est-ce qu'en 2022 on retrouvera les trafics de 2019? Peut-être", a-t-il conclu.
Il y a 4 ans et 347 jours

Appel à candidature pour la 8ème édition du concours international des Intermat Innovation Awards

Cette 8ème édition s'inscrit pleinement dans la vision prospective du millésime 2021 d'INTERMAT, qui ambitionne de révéler, d'accélérer l'innovation et d'en combiner toutes les composantes qui feront l'efficience et le succès des projets de demain.Pour la première fois, l'annonce des nominés aura lieu lors des INTERMAT Press Day le 21 janvier 2021 pour mettre en lumière les innovations sélectionnées lors de la première réunion du jury. Et les lauréats seront annoncés le 19 avril 2021 sur le salon lors de la cérémonie de remise des trophées qui sera suivie d'une soirée de networking.L'appel à candidatures est aujourd'hui lancé pour tous les exposants d'INTERMAT 2021 qui développent un produit, un service, un équipement, un matériel, une technique ou une solution répondant aux thématiques en termes d'innovation de l'un des 5 pôles d'expertise du salon :Terrassement, Démolition & TransportRoutes, Industries des Matériaux & FondationsLevage & ManutentionBâtiment & Filière du BétonNouvelles TechnologiesChacune de ces 5 catégories récompensera deux innovations : Équipements & Matériels et Composants & Accessoires, soit 10 lauréats pour cette édition, revisitée en fonction de la nouvelle sectorisation du salon et enrichie par la catégorie Nouvelles Technologies.4 prix spéciaux récompenseront également les initiatives des entreprises proposant une innovation spécifique dans ces secteurs et domaines :Prix World of Concrete EuropePrix « Transition Énergétique »Prix Start-UpPrix SécuritéAu total, 14 lauréats seront récompensés.Le jury et les critères de sélectionSous la présidence de Bruno Cavagné, président de la FNTP, un jury, rassemblant des experts issus d'entreprises européennes de la recherche et de l'industrie de la construction, étudiera les dossiers de candidatures pour sélectionner les nominés, qui seront pour la première fois mis en lumière, puis les 14 lauréats.5 critères de sélection sont à prendre en compte par chacun des jurés pour choisir les dossiers parmi les domaines de progrès suivants :Économie : diminution des coûts d'investissement et d'entretien, simplification de la maintenance, amélioration du système de production et valorisation des produits ou techniques,…Conception technique et technologies utilisées : amélioration de la performance et de la productivité, facilité d'entretien,…Fonctionnement : qualité du travail, gain de productivité, facilité d'entretien et efficacité énergétique,…Utilisation : facilité d'emploi, ergonomie, confort, sécurité, amélioration des conditions de travail et prévention des risques,…Respect de l'environnement : préservation du climat et de la biodiversité, économie circulaire,…Le calendrier du concours5 octobre 2020 : clôture des inscriptions16 octobre : clôture des dépôts de dossiers.25 novembre : 1ère réunion du jury pour évaluer chaque dossier puis sélectionner les nominés.21 janvier 2021 : annonce des nominés lors des INTERMAT Press Days.10 février : 2ème réunion du jury pour la sélection finale des lauréats.19 avril : annonce des lauréats lors de la cérémonie de remise des Awards sur le salon.
Il y a 4 ans et 347 jours

CEE : fournisseurs d'énergies et de carburants vont devoir mettre les bouchées doubles

Dans leur dernière publication, les consultants des Échos Études dressent un tour d'horizon complet des enjeux économiques, réglementaires et financiers des CEE et des conséquences que peuvent avoir la crise actuelle sur le marché. Ils comparent les stratégies de production de CEE des obligés et des délégataires et leurs possibles ajustements face à la situation.Bilan incertain Le mécanisme des certificats d'économie d'énergie (CEE) n'est pas nouveau. Mais sur cette 4e période, qui s'achèvera au 31 décembre 2021, EDF, Total, Engie et tous les autres doivent collecter en tout 2 133 TWh cumac en 4 ans, soit 40 fois plus que leurs obligations de la 1ère période. Pour l'instant, le bilan ressort mitigé. Du côté des CEE précarité, nouveauté réglementaire introduite au 1er janvier 2016, les obligés et délégataires sont nettement en avance et leurs efforts devraient sans doute être moins intenses dans les mois à venir. En revanche, pour les CEE classiques, le compte n'y est pas et l'écart sera dur à rattraper. Le retard pourra, toutefois, être comblé par les surplus de CEE précarité. Mais cela suffira t-il ? D'autant que le confinement a porté un coup d'arrêt brutal aux travaux de rénovation énergétique, et donc un effondrement de la capacité à produire des CEE. Dans le résidentiel diffus et le petit tertiaire, la production de CEE a été famélique sur cette période. De plus, la crise a fragilisé nombre d'entreprises artisanales avec un risque de cessation d'activité pesant sur la capacité à produire des CEE à l'avenir.Coup de pouce de l'ÉtatÀ l'approche de la fin de la P4, les obligés et les délégataires n'auront d'autres choix que d'accélérer leurs efforts de production de certificats. Ce phénomène observé à chaque fin de période ne manquera pas de se reproduire. Pour remplir leurs objectifs, ils pourront aussi compter sur un soutien de l'État qui souhaitera probablement s'éviter le risque de voir l'objectif non atteint. Plusieurs mesures ont d'ores et déjà été adoptées pendant le confinement, comme la prolongation des deux opérations Coups de pouce (chauffage et isolation) jusqu'au 31 décembre 2021, alors qu'elles devaient initialement s'arrêter le 31 décembre 2020, ou l'allongement de 6 mois du délai de dépôt des demandes de CEE pour les opérations d'économies d'énergie achevées entre le 1er mars 2019 et le 31 août 2019.Opportunités en vueEntre production en propre (via des versements de primes aux consommateurs ou le financement de programmes par exemple), recours à des délégataires, appui sur des réseaux d'installateurs, appel à des mandataires, ou encore, intégration de la chaîne de valeur de l'efficacité énergétique pour développer une offre globale, les options qui s'offrent aux obligés sont nombreuses. Le mix est largement orienté par la taille de l'obligation. Mais la crise sanitaire, et maintenant économique, a aussi rebattu les cartes et nécessite des ajustements. Avec un seul enjeu en tête : contenir l'inflation des coûts du mécanisme.D'autant que la course à la collecte de CEE ne se fera pas sans heurts. Il y aura obligatoirement des perdants. A l'inverse, des opportunités se dessinent pour d'autres. Chez les délégataires, les tours de tables pourraient évoluer, face aux pressions sur la trésorerie, le nerf de la guerre. 2019 a déjà été une année riche en mouvements, avec 3 d'entre eux qui ont changé de main, un score inégalé jusqu'à présent. L'arrivée de Bureau Veritas qui a repris Capital Energy ou du groupe La Poste qui a accéléré sa diversification en reprenant Économie d'Énergie est un signal clair que le marché est attractif…