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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Chantiers - TP

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Il y a 4 ans et 347 jours

Solutions & Performances : la nouvelle newsletter du CSTB dédiée aux produits et systèmes constructifs

Parce que les produits et systèmes constructifs incorporés dans les bâtiments sont de plus en plus complexes et embarquent toujours plus d'innovation en réponse aux enjeux de la transition énergétique et de la révolution numérique, le CSTB a souhaité être plus proche des acteurs avec cette nouvelle newsletter : Solutions & Performances. Mensuelle, elle fournira une information tout au long de l'année aux professionnels et offrira une visibilité continue aux actualités du secteur, aux innovations et aux performances des produits et procédés de construction développés sur le marché. La ligne éditoriale de Solutions & Performances a été pensée pour permettre à tous les corps de métiers concernés de trouver un niveau d'information qui réponde à leurs attentes. Chaque numéro sera dédié à une partie d'ouvrage, dont la dénomination sera harmonisée avec celle utilisée pour les appels d'offres issus des chantiers. Pour en faciliter l'identification, un code couleur sera attribué à chaque partie d'ouvrage. Par exemple, la partie « Clos et couvert », qui regroupe les menuiseries extérieures - fenêtres, fermetures, étanchéité de toiture, et autres procédés - sera identifiée par le code couleur jaune. Dans la 1ère édition, qui paraîtra le 2 juillet, c'est le secteur des « Menuiseries extérieures » et plus particulièrement des fenêtres, très dynamique et stimulé par la rénovation et l'innovation, qui sera traité. Parce que le CSTB souhaite répondre aux préoccupations de ses clients, partenaires, de la maîtrise d'œuvre, des MOA, économistes, du négoce et de la distribution etc., ils retrouveront dans cette lettre, mois après mois, des rubriques dédiées aux dernières innovations évaluées par la CCFAT, à ce que le CSTB perçoit comme tendances du marché, mais aussi un regard lucide sur les malfaçons les plus courantes et les solutions pour les éviter. Au service de l'innovation dans le secteur de la construction, fort de l'expertise de ses 500 ingénieurs et 200 techniciens et des très nombreux experts qu'il mobilise dans ses instances de travail et dans les groupes spécialisés, le CSTB souhaite avec cette lettre d'information, partager ses connaissances du marché et de la réglementation et valoriser la reconnaissance de la qualité des produits et systèmes constructifs. Abonnez-vous à Solutions & Performances En savoir plus : Communiqué de presse, juin 2020
Il y a 4 ans et 347 jours

La métropole de Saint-Étienne annonce un plan de relance de 150 millions d'euros

À l'intérieur de cette enveloppe budgétaire, 70 millions d'euros serviront à "subventionner des projets communaux gelés ou suspendus, pour accélérer leur réalisation afin d'atténuer les conséquences économiques et sociales de la crise sanitaire", a déclaré lors d'une conférence de presse Gaël Perdriau, également candidat pour un nouveau mandat de maire de Saint-Étienne.80 millions d'euros seront aussi affectés à des projets relevant de la transition énergétique, de la rénovation urbaine, du développement de l'enseignement supérieur, et de l'accompagnement de jeunes entreprises en matière de recherche et d'innovation.L'élu a aussi annoncé "un doublement des moyens de la métropole en matière de lutte contre la précarité" et confirmé son engagement en faveur d'une stabilité de la fiscalité de cette collectivité au cours du prochain mandat.Saint-Étienne Métropole "négociera, au bénéfice des 53 communes qui la composent, un fonds d'emprunt de 150 millions d'euros auprès de grands opérateurs tels que la Caisse des dépôts et la Banque des territoires pour financer des projets à fort enjeux économique et social", a-t-il indiqué.Interrogé sur ce qui devait être un projet phare du prochain mandat, remis en cause par Élisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire, Gaël Perdriau a répondu être "toujours dans l'attente d'une réponse officielle du gouvernement concernant l'abandon de l'A45".Ce projet d'autoroute entre Saint-Étienne et Lyon représente un investissement de 1,2 milliard d'euros, pour lequel l'offre de Vinci avait été retenue et dont la Déclaration d'utilité publique prise voici 12 ans deviendra caduque le 16 juillet prochain.
Il y a 4 ans et 347 jours

Orly sortira vendredi de trois mois de sommeil forcé

A partir de vendredi, quelque 25 destinations seront desservies au départ d'Orly avec environ 70 décollages et atterrissages par jour -contre 600 en moyenne en temps normal- vers les Antilles, La Réunion, l'Italie, l'Espagne, le Portugal, l'Islande, la Croatie, la Guyane ou encore la Corse ou Rodez, des lignes d'obligations de service public (OSP).Environ 8.000 passagers y sont attendus vendredi -soit moins de 10% du trafic habituel de 90.000 passagers en moyenne par jour- sur l'aéroport centenaire, fermé aux vols commerciaux le 1er avril en raison de l'effondrement du trafic aérien sous l'effet des fermetures de frontières pour limiter la propagation du virus.Le trafic évoluera à partir du début juillet en fonction notamment de l'ouverture ou non des frontières par le Maroc, la Tunisie et l'Algérie.En mai, il s'est écroulé de 97,8% à Paris-Charles -de-Gaulle (CDG), au nord de Paris, où a été concentré tout le trafic pendant le pic de la crise, avec seulement 200.000 passagers accueillis.Pour s'adapter à un ciel encore très incertain -en raison de l'attentisme des voyageurs pour leur réservation, la levée des restrictions de voyages en ordre dispersé et de possibles recrudescences épidémiques-, la réouverture sera partielle avec d'abord le redémarrage d'Orly 3, puis progressivement d'Orly 4, 1 et 2."On a une crise qui est extrêmement brutale et qui est longue et surtout on se prépare à un redémarrage qui va être un peu lent, pour ne pas dire extrêmement lent", a prévenu mardi Alain Battisti, le président de la Fédération nationale de l'aviation marchande (Fnam).Un "uppercut" pour les compagniesSur le plan de la sécurité sanitaire, plus de 7.000 affiches et autocollants pour marquer la distanciation physique ont été apposés dans l'aéroport par son gestionnaire ADP ainsi que 150 distributeurs de gel et 137 plexiglas installés sur tous les comptoirs d'accueil, banques d'enregistrement et d'embarquement.Une caméra thermique a été installée à l'arrivée pour prendre la température des voyageurs et détecter d'éventuels cas de contamination par le coronavirus.En 2019, Orly a accueilli 31,9 millions de passagers essentiellement sur des vols dits de "point à point", de Paris vers la province, la Corse, l'Outre-mer ou encore l'Europe du Sud et le bassin méditerranéen.Les principales compagnies présentes à l'aéroport étaient Air France (29,6% du trafic), Transavia (17,5%), easyJet (9,2 %), Vueling (8,8%) et Air Caraïbes (4,1%) et 40% de son trafic était porté par des compagnies low-cost. L'Association internationale du transport aérien (Iata) table sur un retour du trafic au niveau de 2019 pas avant 2023. De nombreuses incertitudes pèsent en fonction de la situation sanitaire, mais aussi du comportement des voyageurs, en particulier ceux à haute valeur ajoutée des classes affaires qui ont pu prendre goût à la visioconférence pendant le confinement.Comme partout dans le monde, à Paris le trafic reprendra d'abord pour les vols intérieurs puis le moyen-courrier et enfin en dernier lieu le long-courrier et les liaisons intercontinentales.Si la période de quasi-arrêt du trafic a représenté un "uppercut" pour les compagnies aériennes, la période "de redécollage" restera "difficile", a commenté mardi Marc Rochet, président d'Air Caraïbes Atlantique."Le redécollage, il peut tuer. Parce que personne ne sait dire sa longueur, quand les clients vont revenir, comment ils vont remplir les avions..."
Il y a 4 ans et 347 jours

Procès du "Balardgone" : le verdict est tombé

JUSTICE. Le procès des deux hommes poursuivis pour l'attribution du marché du "Balardgone", le "Pentagone à la française", vient de se terminer et les peines sont tombées : l'homme d'affaires Karim Aïssa et l'ancien militaire Fabrice Couderc sont tous deux condamnés à de la prison avec sursis. Détails.
Il y a 4 ans et 347 jours

Paris-Saclay : nouvelle attribution de lots sur la Zac de Moulon

APPEL D'OFFRES. L'Etablissement public d'aménagement Paris-Saclay a attribué au bailleur social Sequens trois lots de la Zac de Moulon, pour la construction de logements sociaux, au coeur du campus universitaire. Les concours d'architecture sont en cours.
Il y a 4 ans et 347 jours

Que pensent les Français des matériaux et produits biosourcés ?

Objectif : mesure leur appétence pour les produits biosourcés. Ses résultats confirment l'attrait des français pour ces produits innovants qu'ils identifient comme autant de solutions favorables, à la fois, à la transition économique ET à la relocalisation industrielle. Pour François Monnet, Président de l'Association Chimie du Végétal : « Cette deuxième enquête confirme l'image positive qu'ont ces produits auprès des français. Elle reflète aussi l'importance grandissante qu'ils accordent à des produits plus écologiques et plus innovants. »Perception positive 87% des français ont toujours une image positive des produits biosourcés. Un intérêt réel pour le sujet80% des français interrogés sont demandeurs d'informations supplémentaires sur ces produits issus de matières premières renouvelables. Des produits biosourcés qui répondent aux attentes sociétales des françaisLes français perçoivent bien la plus-value environnementale et économique de cette filière industrielle, porteuse des préoccupations qui se sont renforcées dans cette période de crise sanitaire. Notamment : 83% pensent que son développement va apporter aux agriculteurs une vraie solution pour sécuriser leurs revenus76% pensent que ces produits contribuent efficacement à la ré-industrialisation de la France77% considèrent qu'ils contribuent de façon significative à la réduction d'émissions de gaz à effet de serre 75% considèrent que leur développement va permettre la création de nouveaux emplois à haute valeur ajouté (R&D, Marketing, …) Soutien légitime des Pouvoirs publicsConséquence logique de ce bénéfice perçu des produits biosourcés : 83% des français estiment qu'il est légitime pour les pouvoirs publics de soutenir ces développements. « Dans un contexte de redémarrage économique, le pays a de nombreux atouts pour devenir un champion des produits biosourcés, bases d'une reconstruction industrielle combinant compétitivité, écologie, souveraineté et revitalisation territoriale. Les acteurs industriels y sont prêts » affirme François Monnet.La filière Chimie du végétal & Bioproductions en chiffres :Chiffre d'affaires : 10 milliards €/ anCroissance : +5% / anEmploi : 165 000 emplois (directs & indirects)
Il y a 4 ans et 347 jours

"Heureusement, les grands projets sont là", G. Sauvé (Eiffage Génie civil)

INTERVIEW A l'occasion d'une visite sur le chantier de la gare de Saint-Maur/Créteil, le président d'Eiffage Génie civil Guillaume Sauvé est revenu pour Batiactu sur l'organisation de la reprise de ces opérations d'envergure, et sur l'importance des grands projets pour donner de la visibilité dans une période incertaine.
Il y a 4 ans et 347 jours

Les géomètres-experts lancent Géothèque, une plateforme de publication des actes fonciers

L’Ordre des géomètres-experts vient de finaliser la mise au point de Géothèque, une plate-forme inédite qui permet aux géomètres-experts de dématérialiser intégralement leurs actes fonciers jusqu’à la signature des procès-verbaux de bornage par les différentes parties prenantes. Répondant aux enjeux de digitalisation de la profession, ce dispositif garantit pleinement le respect de la procédure contradictoire et propose également un niveau de sécurisation renforcé. Il repose en effet sur une signature en ligne authentifiée selon le certificat de niveau 3 et sur le versement des actes sur le portail Géofoncier, ce qui permettra de collecter et centraliser ces données en un même espace : un gage supplémentaire de traçabilité et de sécurité pour les clients et les géomètres-experts.« Géothèque nous offre de réels gains de temps et d’efficacité ; nous mettions parfois plus d’un an pour recueillir les signatures de toutes les parties prenantes à un procès-verbal de bornage, désormais cela ne prend que quelques semaines. La dématérialisation de la procédure nous permet également de réaliser nos missions de bornage dans le respect des règles sanitaires tout en diminuant considérablement notre empreinte carbone », évoque Xavier de Gouville, géomètre-expert et gérant du cabinet ABAC-GEO AQUITAINE. « C’est également un service plus inclusif, car un PDF est interprétable par un traducteur automatique ou un moniteur dédié aux personnes malvoyantes… Ce qui n’est pas le cas du papier ! ».« Nous allons pouvoir certifier l’authenticité d’un acte numérique, c’est une révolution et la solution aux enjeux de traçabilité et d’archivage », déclare Claire Richard, géomètre-expert et Déléguée nationale du portail Géofoncier. « La dématérialisation des procès-verbaux de bornage, rendue possible par le portail Géofoncier, est la suite logique de la transition digitale amorcée par la profession depuis 10 ans, mais ce n’est qu’une première étape ».Vincent Saint-Aubin, le Président du Conseil supérieur de l’Ordre des géomètres-experts, a également salué cette innovation : « A terme, Géothèque sera notre outil de publication des actes fonciers. Cette nouvelle plate-forme permettra ainsi d’asseoir le géomètre-expert comme l’acteur incontournable de la BlockChain du foncier ».Les chiffres clés de la profession de géomètre-expert1.869 géomètres-experts inscrits au tableau de l’Ordre1.125 cabinets répartis sur l’ensemble du territoireUne branche de 8.600 salariés structurée essentiellement en PME
Il y a 4 ans et 347 jours

Adesol : Des solutions et services comme points de différenciation

Michel Aron, gérant d’Adesol : « Les chapistes constituent une piste d’évolution intéressante pour nous ». [©Adesol] Depuis le XVe siècle, le quartier du Faubourg Saint-Antoine, à Paris, accueille un grand nombre d’artisans. C’est au cœur de cette ébullition de création, qu’Henri Testas installe, rue de Prague, son activité de négoce de produits en laiton, bronze et fer forgé pour la décoration et les meubles. Au fil des années, l’entreprise familiale évolue et Etienne Testas, son fils, en reprend les rênes. En 1988, il crée l’entité Adesol, spécialisée dans la conception et la vente de profilés pour les murs et les sols. Suite au décès d’Etienne Testas, survenu en 2013, Michel Aron rachète Adesol. « L’entreprise avait un écho dans le monde du bâtiment, mais ne disposait pas vraiment de clientèle et avait du mal à évoluer, explique Michel Aron. Cependant, c’est cet écho qui m’intéressait… » Dès 2014, le nouveau dirigeant redresse Adesol, qui repart sur une croissance. Profilés de finition, joints de dilatation…, l’industriel est sur une logique du « meilleur produit, au bon endroit ». Si la fabrication des solutions est sous-traitée à des sidérurgistes français, toutes les filières1 sont créées en interne en fonction de la demande et du chantier. Les locaux de la rue de Prague ont été conservés dans leur jus « pour garder l’esprit de la création ».  De la conception à la finition, en passant par la réfection Ils accueillent un bureau d’études, l’administration et un atelier. Le siège se complète par un entrepôt situé à 30 mn de là. « La taille de production de nos profilés est de 6 m et notre unité de vente, de 3 m. C’est un point de différenciation pour nous. » Les solutions sont livrées à l’aide d’un camion aux couleurs d’Adesol en Ile-de-France. Et via les Transports Mazet, en province. Avec son service de finition, l’industriel coupe à la taille nécessaire, assure le fraisage, le perçage et le traitement de surface de ses produits. Ceux-ci sont aussi numérotés pour un meilleur confort de pose. Adesol intervient également en réfection.  « Nous travaillons en direct avec les professionnels poseurs, ceux qui font ce métier. Les joints de dilatation, c’est un peu la patate chaude que tout le monde se refile… Ce sont des éléments que l’on sous-estime. Il faut une assistance à la pose et que les choses soient faites dans les règles de l’art. Il n’y a pas de mauvais produit, mais de mauvaises mises en œuvre. » Pour répondre à cette problématique, Adesol a accéléré sa communication auprès des prescripteurs. « Depuis 2 à 3 ans, nous avons mis les moyens marketing pour toucher les architectes. L’année 2020 devrait être une celle du décollage2. La sélection d’Adesol par les chantiers du Grand Paris ou par des majors comme Bouygues peut nous permettre de sortir de l’ombre. » Nouer des partenariats Sans compter que l’industriel se développe sur le marché du parasismique, avec des solutions adaptées. « Nous sommes partenaire avec l’Italien Tecno-k Giunti. Nous nous occupons du marché français et travaillons avec le bureau d’études italien. Nous apprenons avec eux, ils sont déjà bien avancés sur le sujet. En France, il n’y a aucune prise de conscience réelle sur les zones sismiques. Dans la région Est et dans le Sud, vers Nice, il y a des risques. Je pense que nous allons être consultés pour le traitement de cette question dans le futur. » Enfin, les chapistes constituent une piste d’évolution intéressante pour Adesol. L’industriel a d’ailleurs conçu, en partenariat avec des clients de ce secteur, des joints de dilatation aux pattes de fixation plus larges. « Sur des chapes, elles peuvent être trop courtes pour la fixation en bord de chape et dalle. Nous avons ainsi créé un modèle de 120 mm, le double par rapport aux pattes habituelles », reprend Michel Aron. Et de conclure : « Nous réussissons à faire ce genre de partenariats, parce que nous sommes sur le terrain ».  Sivagami Casimir 1Négatif métallique faisant office de “moule” pour la fabrication de profilés aluminium et laiton.  2Ndlr : L’interview s’est déroulée en mars en pleine crise du Covid-19, expliquant pourquoi Adesol, comme un grand nombre d’entreprises, utilise le conditionnel à la vue des incertitudes économiques qu’a engendré cette pandémie. 
Il y a 4 ans et 347 jours

Le Livret A engrange presque quatre milliards d'euros en mai

En mai, la collecte nette réalisée par ce placement - très populaire, défiscalisé et accessible à tout moment - a atteint 3,98 milliards d'euros précisément, un montant record pour ce mois, après 5,5 milliards un mois plus tôt.Le Livret de développement durable et solidaire (LDDS), qui contribue au financement de l'économie sociale et solidaire, n'a pas non plus été en reste avec une collecte nette de 1,16 milliard d'euros. En avril, il avait enregistré une collecte historiquement élevée de près de deux milliards d'euros.Au total, la collecte nette totale moissonnée par le Livret A et le LDDS réunis s'est élevée en mai à plus de 5 milliards d'euros. Cumulé sur les cinq premiers mois de l'année depuis janvier, elle a atteint déjà plus de 22 milliards d'euros, contre 13,7 milliards sur la même période en 2019.Cette activité très soutenue a porté fin mai l'encours total d'épargne placée sur les deux produits à 433,4 milliards d'euros, dont 316 milliards pour le seul Livret A.Cet embellie n'est pas le résultat d'une rémunération attractive : le taux de rémunération du Livret A et du LDDS a été abaissé en février de 0,75% à 0,5%, soit son plus bas niveau historique.En France, les mesures sanitaires mises en place pour lutter contre le Covid-19 ont entraîné la fermeture pendant plusieurs semaines des commerces non-essentiels, empêchant de facto les ménages de consommer.À cette épargne forcée s'est ajoutée une autre épargne, volontaire celle-ci, placée en réserve par certains ménages inquiets. À cet égard, le mois de mai a été un mois d'entre-deux avec 11 jours de confinement suivis de 20 jours de déconfinement. "La réouverture des commerces aurait pu conduire les ménages à sortir de l'argent du Livret A pour réaliser les achats qui avaient dû être reportés. Il n'en fut rien. Le côté épargne a prévalu sur celui de la consommation", souligne Philippe Crevel, directeur du Cercle de l'épargne."Les ménages auraient pu laisser leur argent sur leurs comptes courants. Ce choix (des Livret A et LDDS) témoigne de la volonté de renforcer l'épargne de précaution, de se créer une cagnotte constituant une réserve en cas d'imprévu", ajoute cet analyste, estimant que cette situation "illustre un fort niveau d'inquiétude".Selon lui, "les menaces pesant sur l'emploi et sur les revenus expliquent ce comportement de prudence" et "Le dégonflement de la cagnotte suppose la restauration d'un climat de confiance".
Il y a 4 ans et 347 jours

Fabemi adopte une nouvelle stratégie de marque et lance son nouveau site Internet

Entreprise familiale française qui compte 13 sites de production dans l’Hexagone, le Groupe Fabemi réunit trois marques expertes reconnues : Fabemi, BRADSTONE et CARRÉ D’ARC. Celles-ci viennent d’être regroupées sous la bannière unique de Fabemi. Le nouveau site Internet dédié à Fabemi inaugure cette importante refondation démarrée en 2020. Le Groupe Fabemi vient d’ouvrir son nouveau site www.fabemi.fr qui réunit en une seule adresse Net les trois entités Fabemi. Cette réorganisation permet de clarifier l’offre du Groupe à l’intention des professionnels et des particuliers. Elle rassemble les savoir-faire à travers une nouvelle architecture qui facilite la navigation de l’internaute d’une rubrique à l’autre. Fabemi, référence des constructeurs et des paysagistes Face aux mutations en cours dans le secteur de la construction, le Groupe Fabemi se devait de capitaliser un maximum sur son seul nom. Simplifier, en rationalisant sa communication à l’attention de ses clients – maçons, entreprises de travaux publics, paysagistes, particuliers – était devenu une évidence. Fabemi entend ainsi soutenir les professionnels en leur fournissant les meilleures solutions et en les accompagnant dans leur développement. La création du site www.fabemi.fr pose la première pierre de cette réorganisation d’ampleur. Le site offre la possibilité de communiquer sur les valeurs essentielles du Groupe, met en avant sa démarche et l’esprit qui la sous-tend, sa mission, son ambition… Il présente et met à la disposition de chaque client une offre globale des produits et des services Fabemi lui permettant de réaliser son projet de A à Z, du gros œuvre à l’aménagement extérieur. Trois métiers, trois couleurs, une seule marque Dans cet élan de simplification, le Groupe Fabemi a renommé ses trois activités, de manière à pouvoir disposer d’une offre globale, claire et lisible pour l’ensemble de ses clients. Ainsi, l’activité Structure devient Fabemi Gros œuvre, l’activité Aménagement Extérieur devient Fabemi Terrasse & Jardin, et l’activité Travaux Publics devient Fabemi Voirie & Réseaux. Ces trois secteurs sont regroupés sur un même espace dans le nouveau site web, qui devient plus dynamique, plus moderne et intuitif. Cela permet aux clients de naviguer facilement à travers l’ensemble de l’offre Fabemi.   Une offre structurée autour de trois axes Le nouveau site Fabemi, qui s’adresse aux aux professionnels et aux particuliers, ouvre sur la présentation et l’historique du Groupe, né en 1961 à Donzère (Drôme). Les trois principaux domaines développés sur www.fabemi.fr se distinguent aisément par leurs coloris bleu, vert et orange : – Fabemi Gros Œuvre/Construction (bleu), avec des solutions durables et globales pour les bâtiments résidentiels, commerciaux et industriels, en structures horizontales et verticales. – Fabemi Terrasse & Jardin/Aménagement (vert), avec des solutions créatives pour les ouvrages construits et les aménagements paysagers tels que les terrasses, plages et tours de piscine, dégagement et allées. – Fabemi Voirie & Réseaux/Urbanisation (orange), avec des solutions optimisées pour l’acheminement des réseaux d’assainissement, de télécommunications… et pour la valorisation de l’espace public (chaussée, aménagement urbain). Les produits mis en avant dans chaque univers bénéficient d’une fiche technique détaillée avec résumé, caractéristiques, documentations (fiche produit, FDES…) et conseils de pose. J’ai un projet de… Les professionnels souhaitant utiliser le savoir-faire et l’offre de Fabemi comme les particuliers qui cherchent à définir leur projet trouveront dans ce nouveau site clair et bien structuré de nombreuses idées et réponses techniques à même de faciliter la mise en œuvre de leur ouvrage. Ainsi, les trois principaux domaines d’activité, déclinés de la même façon pour les professionnels comme pour les particuliers, sont détaillés dans leurs couleurs respectives sous les rubriques « J’ai un projet de construction » (bleu), « J’ai un projet d’aménagement » (vert) et « J’ai un projet d’urbanisation » (orange). « Conseils et guides » et « Nos Catalogues » L’offre du site Fabemi est complétée par les deux grandes rubriques « Conseils et Guides » et « Nos Catalogues ». Conseils et guides : les travaux pratiques – pose de pavés, de dalles, montage d’un mur… font l’objet de descriptions et conseils détaillés, avec textes et photos, animés par des vidéos montrant les étapes à suivre pour réussir son ouvrage avec des matériaux Fabemi. Nos Catalogues : les publications sur l’offre Fabemi couvrent l’intégralité des besoins des professionnels et des particuliers dans le domaine de la construction. Chaque catalogue fait l’objet d’une publication annuelle et intègre les nouveautés mises sur le marché. Présentation des produits et des ouvrages, commentaires, schémas, explications et photos sont remarquablement mis en page. Des ouvrages de référence à télécharger et à consulter pour mieux s’informer en vue de concrétiser son projet. FabExpress, portail collaboratif En cliquant sur FabExpress, chaque client du Groupe Fabemi a accès en temps réel à toutes les informations sur ses devis, ses commandes et ses factures. Il peut aussi consulter l’ensemble des produits présentés avec leurs visuels et fiches techniques. Actualisée toutes les dix minutes, cette plateforme est un outil qui facilite le suivi commercial et la gestion 24h/24. Une équipe dédiée répond aux interrogations spécifiques des clients. Club Fabemi Experts s’ouvre à l’ensemble des artisans Accessible depuis le nouveau site du Groupe, le Club Fabemi Experts rassemble plus de 600 entreprises de pose. Les principaux clients utilisant la plateforme Club Fabemi Experts étaient auparavant les paysagistes. La nouvelle stratégie Fabemi s’adresse désormais à tous les artisans concernés par au moins l’une des trois activités du Groupe. Les adhérents peuvent ainsi s’appuyer sur la qualité des produits et services Fabemi pour développer leur activité.   Sport et dynamique de groupe Le Groupe Fabemi partage par ailleurs avec l’univers du sport des valeurs communes : dynamisme, émulation collective, engagement, échange, entraide, cohésion… Des actions seront menées dans ce sens, via des événements sportifs (course à pied par exemple), le soutien d’initiatives locales ou encore des partenariats. Prochains grands rendez-vous sportifs : Run in Lyon, le 4 octobre 2020 et Run in Marseille le 22 novembre 2020.
Il y a 4 ans et 347 jours

ANCRAGE/VISSAGE FISCHER : Nouvelles Vis à béton ULTRACUT et Clés à chocs FSS 18V

Gamme de vis à béton hautes performances et clés à chocs sans fil pour une facilité de montage absolue Concevoir des solutions d’ancrage de grande qualité, sûres et faciles à utiliser est le leitmotiv de fischer. La gamme de vis à béton ULTRACUT reflète pleinement cette capacité d’innovation. Avec de hautes performances, la vis à béton ULTRACUT dispose d’une géométrie spéciale et renforcée du filetage qui permet une installation et un démontage facile et rapide, et assure des charges admissibles nettement plus élevées. Elle est la première vis à béton sur le marché européen à proposer les catégories de performances sismiques C1 et C2, garantissant les plus hauts standards de sécurité. Aujourd’hui, fischer enrichit sa gamme avec une nouvelle version : l’ULTRACUT A4 en acier inoxydable pour garantir une très haute protection contre la corrosion. Idéale pour des applications en extérieur ou dans des zones humides, cette nouvelle vis à béton assure une installation encore plus rapide, plus facile et plus sûre. Et pour simplifier davantage la pose, fischer lance 2 nouvelles clés à chocs sans fil, des outils d’une grande puissance dotés du système Cordless Alliance System (CAS), des batteries et chargeurs communs aux plus grandes marques d’outils électroportatifs dont fischer fait désormais partie. Une utilisation dans tous les matériaux et pour de multiples applications La vis à béton ULTRACUT fischer s’utilise dans le béton fissuré et non fissuré, la pierre naturelle dense, les maçonneries pleines et le béton cellulaire. Grâce à une reprise de charges lourdes, elle convient à de nombreuses applications pour tous les corps de métier : – Les constructions métalliques : ancrage de gardecorps, consoles et platines, rayonnages, balustrades… – La construction bois et les assemblages bois/béton : fixation de pannes sablières, de poutres, d’ancrage d’éléments de charpente… – Les installations temporaires de chantiers : étais tirantpoussant, coffrages, garde-corps, conduits d’alimentation dans les tunnels… – Les sanitaires, chauffages, électricité : supportage de réseaux, climatisation, chemin de câbles… Vis à béton ULTRACUT Un ancrage hautes performances La vis à béton ULTRACUT fischer dispose d’un filetage renforcé spécial avec une zone coupante sur sa partie avant. Cette géométrie spéciale du filetage facilite la pénétration de la vis en profondeur, réduit l’effort de vissage augmentant la durée de vie des batteries des outils électroportatifs utilisés. L’optimisation entre le diamètre de forage et le diamètre de filetage a été étudiée de telle manière que la vis usine son propre taraudage dans le béton. Cette technique conduit à la réalisation d’un verrouillage de forme qui permet un excellent transfert des efforts dans le béton et permet de réduire l’entraxe et les distances aux bords. Enfin, cette géométrie optimisée du filetage assure de fortes capacités de charges de traction, tout en diminuant le nombre de points d’ancrage. Une zone ductile sous la tête permet une légère déformation pour un plaquage optimal lorsque les forages ne sont pas parfaitement droits. Une rondelle crantée intégrée permet le serrage des pièces, même avec un grand trou de passage. Une pose facile, rapide et flexible Unique, le filetage en dent de scie garantit une accroche rapide dans le béton et permet ainsi un montage facile, même en cas de réutilisation (couvert par un agrément national allemand). Ajustable, la vis à béton ULTRACUT peut être dévissée au maximum 2 fois, jusqu’à 20 mm, pour permettre un calage ou un ajustement de la fixation. Grâce à la triple profondeur d’ancrage, pour les vis béton 10-12-14, et la double profondeur d’ancrage pour la vis béton II 8, chaque vis peut assembler jusqu’à 2 ou 3 épaisseurs différentes (selon modèle de vis à béton) de pièces à fixer, ce qui offre une grande flexibilité, un véritable gain de temps et d’argent pour l’artisan. De plus, pour les perçages verticaux au sol ou au plafond, la pose s’effectue sans nettoyage du forage. Au sol, il convient d’augmenter la profondeur de forage de 3 fois le diamètre de vis, ce qui permet à la poussière de s’écouler au fond du trou sans gêner le vissage. Une pose facile, rapide et flexible Pratique, la vis à béton ULTRACUT est idéale pour la pose d’éléments de chantiers temporaires puisqu’elle est réutilisable après vérification avec la jauge de contrôle (en option). Cette dernière permet de vérifier le diamètre extérieur du filetage pour garantir une tenue optimale de la vis en cas de réutilisation de celle-ci.   ULTRACUT A4 Nouvelle référence pour un montage optimal en extérieur La nouvelle vis à béton fischer ULTRACUT FBS II A4 en acier inoxydable offre un niveau élevé de résistance à la corrosion, ce qui assure une haute performance dans les zones humides et les applications en extérieur. Son embout rouge renforcé permet une installation encore plus rapide, sans effort, et plus sécurisée. Sa géométrie spéciale en dent de scie permet une coupe rapide dans le béton. Aucun trou préalable de perçage n’est nécessaire pour sa mise en oeuvre dans le sol et le plafond. L’ancrage sans expansion garantit des distances au bord minimales. Une solution sûre D’une grande sécurité, les vis à béton de la gamme ULTRACUT répondent aux exigences de la classe de résistance au feu R120, bénéficie d’un ATE Option 1 pour béton fissuré, et d’une catégorie de performances sismiques C1 et C2. Une large gamme Pour multiplier les champs d’applications, la vis à béton ULTRACUT existe en acier zingué en diamètres 8, 10, 12 et 14 avec différentes formes de tête : hexagonale, hexagonale avec empreinte Torx et fraisée. Elle est également disponible en version courte pour une installation pratique et rapide lorsque les charges sont réduites. En acier inoxydable, elle est disponible en diamètres 8 et 10 avec des têtes hexagonales avec empreinte Torx et fraisée. En option, différents accessoires sont proposés : la jauge de contrôle FUP, la douille hexagonale, l’adaptateur embout Torx pour boulonneuse, embout Maxx TX40, embout TX50, disque de remplissage FFD et rondelle. Points de vente : Négoces en matériaux, Négoces Professionnels Clés à chocs FSS 18V Système CAS : Une batterie et un chargeur communs à de nombreux outils d’autres fabricants Les nouvelles clés à chocs sans fil FSS 18V fischer permettent aux professionnels de fixer, en autre, les vis à béton sur les chantiers, en toute sécurité. Compatibles avec le système de batteries CAS (Cordless Alliance System), elles sont utilisables avec les mêmes batteries et chargeurs que les outils d’une douzaine de fabricants d’outillage électroportatif. Puissant, innovant et bénéficiant d’une technologie de batterie haute performance, ce système CAS offre aux utilisateurs plus de mobilité, de flexibilité et de productivité car ils peuvent passer d’un outil à l’autre en utilisant le même chargeur et la même batterie. Des outils puissants pour des fixations sûres Toutes les vis à béton fischer ULTRACUT FBS II de diamètre 6 à 14 peuvent être montées de manière rapide et sûre avec les clés à chocs sans fil FSS 18V correspondantes. De conception robuste et très résistante, elles sont dotées d’un boîtier spécial qui garantit une dissipation thermique et une longévité optimales des outils. Ces clés à chocs fischer sont disponibles en 2 versions : – la FSS 18V400 BL dispose d’un couple de 400 Nm et d’un moteur haute qualité sans charbon, à faible frottement, qui garantit un fonctionnement efficace, une faible usure, et une progression rapide du travail. Elle permet la pose de vis à béton de diamètres 6 à 10. Le couple peut également être réglé en 12 positions en fonction du diamètre de l’ULTRACUT FBS II. Quant à la FSS 18V 600, avec un couple élevé de 600 Nm, elle est idéale pour les installations avec des vis à béton de diamètres 10 à 14 et des applications exigeantes. En outre, les clés à chocs FSS 18V fischer sont équipées d’une lumière, pour faciliter la visibilité dans les endroits sombres ou difficiles d’accès. Elles sont fournies avec des accessoires (crochet de ceinture, adaptateur, jauge de contrôle…) et en L-Boxx – un coffret de rangement robuste et empilable avec d’autres L-Boxx. Points de vente : Négoces en matériaux, Négoces Professionnels
Il y a 4 ans et 347 jours

Les géomètres-experts lancent une plateforme de publication des actes fonciers

Les géomètres-experts ont franchi une étape majeure dans la dématérialisation des actes avec Géothèque une plateforme de publication des actes fonciers.
Il y a 4 ans et 347 jours

Geberit présente SuperTube, le nouveau système d'évacuation adapté aux IGH

Bien entendu, le système d'évacuation d'un immeuble IGH est infiniment plus complexe que celui d'une maison individuelle car il doit gérer des volumes d'eaux-vannes et d'eaux usées beaucoup plus importants. Dans cette perspective, tous les éléments techniques comme les colonnes de chutes sont à repenser entièrement. En effet les systèmes d'évacuation habituels sont très contraignants : les principales difficultés rencontrées dans les systèmes conventionnels sont liées à la largeur des diamètres de colonnes de chute qui doivent également recevoir une conduite de ventilation secondaire. S'ajoutent à cela les conduits horizontaux, en dévoiement ou dans les collecteurs qui doivent être installés avec une pente. Geberit SuperTube abolit ces deux contraintesAvec son écoulement optimisé et ses raccords innovants, le nouveau système d'évacuation Geberit SuperTube permet de créer une colonne d'air continue dans la conduite d'évacuation. Le résultat ? Toutes les ventilations parallèles deviennent superflues et l'on gagne en outre de précieux mètres carrés.L'espace de vie est une ressource rare dans les régions densément peuplées, comme les grandes villes indiennes. Depuis 2009, un nouveau district hyper moderne est en construction à la périphérie de la ville indienne de Pune : l'Amanora Town Park au sein duquel les Gateway Towers – un projet ambitieux comprenant deux bâtiments résidentiels de grande hauteur – sont en cours de réalisation. La structure en béton de la tour Gateway Towers 100 a atteint sa hauteur finale à la mi-2019 : avec ses 45 étages et culminant à 150m, cette tour est actuellement le bâtiment le plus haut de Pune. Son architecture en cascade n'est pas la seule particularité qui la distingue des autres constructions de l'Amanora Town Park : la tour sera également le premier immeuble de grande hauteur au monde à être équipé de la technologie SuperTube développée par Geberit.Geberit SuperTube, une solution fiable pour ce projet ambitieux « L'architecture spécifique et les logements de tailles différentes ont rendu nécessaire l'installation de plusieurs colonnes verticales et déports horizontaux. Grâce à SuperTube, nous avons été en mesure de proposer une solution fiable et moins encombrante au propriétaire du complexe. » selon Michael Allenspach, responsable des services techniques chez Geberit India.Les premiers bénéfices de Geberit SuperTube : une optimisation de l'espace dans les gaines et une réduction sensible des coûts en termes de matériaux et d'installation (aucune conduite de ventilation n'est en effet nécessaire).Geberit SuperTube, une super alternativeLe principe La technologie Geberit SuperTube se compose de quatre éléments distincts, en parfaite interaction. La conduite d'évacuation est associée à trois raccords particulièrement ingénieux qui créent une solution hydraulique innovante et dotée d'atouts hors du commun. Parmi ces raccords, le coude Geberit PE BottomTurn et le coude Geberit PE BackFlip (voir détails ci-après). Ces innovations Geberit permettent de maintenir la colonne d'air dans une colonne de chute même en cas de changement de direction de 90°.Les (super) raccords Le coude Geberit PE Bottom/TurnLe coude BottomTurn est installé lors d'un changement de direction : verticale à horizontale. Le coude garantit la transformation du flux annulaire dans la colonne de chute en flux laminé avant le changement de direction. Grâce à ce procédé, la colonne d'air est également maintenue dans un tronçon de conduite horizontal. L'eau est ensuite à nouveau guidée vers un flux annulaire par le coude Geberit BackFlip. Sa forme permet aux eaux usées d'adopter le mouvement de rotation requis pour être transformées de nouveau en flux annulaire sans interrompre la colonne d'air.Le coude Geberit PE BackflipL'intérieur torsadé du coude Geberit PE BackFlip retransforme le flux laminaire en flux annulaire. Cela garantit le maintien de la colonne d'air dans la colonne de chute.
Il y a 4 ans et 347 jours

Partenariat FFB et Action Logement pour la gestion des chantiers en période de crise sanitaire

Dans un contexte où seul un dialogue local constructif permet de réussir la reprise des activités, les engagements du groupe Action Logement, fort d'un patrimoine d'un million de logements, jouent un rôle important sur l'ensemble des territoires.Au-delà des préconisations du guide de l'OPPBTP en matière de sécurité sanitaire, ce dialogue, entamé sur tous les territoires par les différentes filiales immobilières du groupe Action Logement, vise en effet à aborder toutes les questions relatives aux surcoûts, aux nouvelles obligations générées et aux mesures indispensables pour protéger ceux qui interviennent sur les chantiers.La FFB estime, à ce stade des obligations imposées, les surcoûts entre 5 et 15%. Ils correspondent aux frais liés à prise en compte du risque sanitaire (distanciation physique, achat de masques, de gants, rotations supplémentaires des camionnettes, etc.) et ceux consécutifs à la réorganisation des chantiers (mobilisations supplémentaires de personnels et de matériels, hausse du coût des matières, prolongation des frais financiers …).Même si les bailleurs sociaux, les entreprises et certains autres acteurs de la filière prennent leur part, un soutien des pouvoirs publics paraît indispensable pour faire face à de tels surcoûts. À défaut, la casse s'avèrera inévitable et lourde sur l'ensemble du secteur.
Il y a 4 ans et 347 jours

Engie Solutions signe les chartes « Coup de pouce »

Engie Solutions est désormais signataire des deux chartes d’engagement « Coup de pouce Chauffage des bâtiments tertiaires » et « Coup de pouce Chaufferie fioul dans le cadre d’une rénovation performante de bâtiment résidentiel collectif » proposées par le ministère de la Transition écologique.
Il y a 4 ans et 347 jours

Batigest Connect de Sage, une nouvelle génération de solutions pour les entreprises du bâtiment

La numérisation des acteurs du bâtiment est une tendance qui progresse à mesure que les années passent. Les résultats de la 3ème édition du baromètre national 2017 sur les artisans et le numérique* identifiaient déjà le numérique comme l’un des 4 leviers de croissance du secteur. Dans le cadre de cette numérisation, Batigest Connect permet à l’entreprise de gagner en efficacité en interagissant plus facilement avec son écosystème (collaborateurs, clients, tiers).« Je suis très heureuse que nos clients et prospects puissent enfin découvrir Sage Batigest Connect. En effet, Sage a beaucoup investi dans le développement de cette nouvelle offre afin de répondre aux besoins des artisans et décideurs du bâtiment et moderniser sa solution. Avec cette solution, Sage pose les bases d’un développement vers une offre cloud et SaaS. Nous souhaitons que nos clients équipés de Batigest puissent facilement accéder à une offre connectée et prochainement, pour ceux qui le souhaitent, à une offre SaaS. » Émilie Batista-Fernandes, Product Marketing Manager Bâtiment chez SageModernité, continuité et stabilité de la base de donnéesEn plus de la connectivité, toutes les fonctionnalités de la solution Batigest i7 seront disponibles dans Batigest Connect : parmi lesquelles la réalisation de devis et factures, le contrôle et l’analyse de chantier, la facturation règlementaire ou encore le traitement des appels d’offre.Même avec une ergonomie repensée et un nouveau design, les artisans et PME du bâtiment devraient reconnaitre la solution de référence déjà éprouvée. De plus, les entreprises déjà clientes de Sage Batigest i7 pourront migrer facilement vers Batigest Connect avec la certitude de conserver toutes leurs données, en plus d’avoir une plus grande capacité de stockage à disposition.Connectivité et évolutivité au cœur de la solutionVia Sage Online Access, Batigest Connect permet le travail en mobilité. Ce service est inclus dans la solution et permet aux artisans en déplacement de pouvoir accéder à leurs données et travailler à distance « comme au bureau » pour la réalisation des devis par exemple.Toujours dans l’esprit d’offrir plus de connectivité, la solution a été conçue de façon à permettre l’ajout rapide d’applications complémentaires de mobilité et de nouvelles fonctionnalités. Elle s’adapte à la taille de l’entreprise et peut accueillir jusqu’à 50 utilisateurs, et donc être utilisée par les PME.Fruit d’une collaboration avec les partenairesLes partenaires continuent de jouer un rôle clé dans la stratégie de développement de l’éditeur. Ils ont ainsi été impliqués en amont dans la construction de l’offre commerciale et le découpage fonctionnel de la solution. En contribuant à la roadmap produit, ils ont par ailleurs été sollicités dans la phase de tests en réel sur leurs clients. « J’ai réalisé plusieurs Beta Tests, et je souhaite souligner la très bonne qualité de la version Beta de Batigest délivrée, qui répondra précisément à ce que les entreprises attendent aujourd’hui en termes de solutions de gestion. », précise Eric Monier, gérant de Utopia Informatique.* Étude publiée en mai 2017 et réalisée en partenariat avec Batiweb.
Il y a 4 ans et 348 jours

L'extension de la mairie de Biot sauvée de la destruction

Alors que le chantier de l’extension de la mairie de Biot touche à sa fin, le nouveau maire de la ville – Jean-Pierre Dermit (Les Républicains) – s’opposait férocement au projet architectural porté par l’atelier d’architecture EGR. Avec la ferme intention d’en obtenir la déconstruction quels qu’en soient les coûts, il a organisé un sondage citoyen pour décider de l’avenir des colonnes du parvis de la mairie. Une décision qui rappelle que l’on ne construit pas contre la...
Il y a 4 ans et 348 jours

Les professionnels de l'ingénierie et du numérique proposent de créer une « task force » pour sauver le BTP

Outre des mesures pour l'emploi, la trésorerie des entreprises et le redémarrage du secteur, CINOV appelle à la création immédiate d'une « task force » représentative de la filière. Cette dernière permettra d'accompagner les métiers du BTP dans leur transformation numérique, environnementale et sociétale.Alors que l'arrêt brutal et imprévu de tous les chantiers – puis leur reprise aménagée pour répondre aux règles sanitaires – ont provoqué d'importants surcoûts pour le secteur du BTP, CINOV alerte sur le risque de disparition de nombreux bureaux d'études qu'elle représente (maîtrise d'œuvre, AMO). Ces dernières, qui sont principalement des TPE-PME, se retrouvent en effet particulièrement exposées et la Fédération CINOV appelle le gouvernement à prendre les mesures qui s'imposent pour sauver ces entreprises, acteurs clés de la vie économique dans les territoires. Pour cela, elle propose de créer un fonds afin d'aider les entreprises et les collectivités territoriales à faire appel à des prestations de services intellectuels pour les accompagner dans leurs transformations. CINOV insiste néanmoins sur le fait que la création de ce fonds ne suffira pas : il faudra aussi – et surtout – accompagner ces investissements pour qu'ils puissent être rentables.Le secteur du BTP est en effet au cœur des transitions environnementale, énergétique, sociétale et numérique qui rendent inconcevable un retour à la situation antérieure à la crise sanitaire. CINOV appelle donc à la mise en place dès que possible d'une « task force » représentative dont l'objectif serait de faire adhérer et de mobiliser tous les acteurs de la filière autour d'un projet commun et, in fine, de faciliter la prise de décision puis d'accompagner la mise en œuvre des différentes mesures.« Avec cette task force représentative de la filière, nous pourrons mettre en œuvre plusieurs grandes idées ambitieuses autour des impacts sociaux et environnementaux du bâtiment et des infrastructures », affirme Frédéric LAFAGE, président de la Fédération CINOV. « Nous souhaitons notamment définir et mettre en place un agenda de la transition écologique du secteur, recourir massivement à la finance responsable, investir dans les infrastructures durables et concevoir un aménagement urbain durable et désirable pour penser le logement autrement et réussir, enfin, sa rénovation. »Les principales propositions de la Fédération CINOV pour une relance économique et durable du secteur :Créer immédiatement une « task force » représentative de la filièreRéussir la transition écologique du secteur :En appliquant progressivement et avec pédagogie les nouvelles réglementations, dont la future RE2020 ;En complétant la réglementation et les référentiels existants pour mettre en place une approche multicritères et des obligations de résultats pour tous les bâtiments ;En accompagnant la maîtrise d'ouvrage publique par un vaste plan de sensibilisation et de formation aux enjeux environnementaux ;En recourant massivement à la finance responsable (développer les labels Greenfin ou ISR, moduler les financements en fonction de leur impact sociétal et environnemental).Investir dans les infrastructures durables :En lançant un vaste programme quinquennal de renouvellement des réseaux d'eau et d'assainissement, de maintenance et d'entretien des infrastructures routières ;En priorisant les investissements dans les infrastructures vers des projets à forte performance environnementale avec une évaluation régulière de cette performance.Penser le logement autrement et réussir, enfin, sa rénovationEn conditionnant 100% des aides (primes et baisse de taxes foncières sur la durée de l'amortissement) à la réalisation de rénovation globale et performante, en une fois, des copropriétés ;En définissant un dispositif « Ma Prime Rénov' Copro » visant à rendre attractive la rénovation globale et copropriété.Concevoir un aménagement urbain durable et désirableEn créant un plan de mobilité douce, à intégrer au PLU, en mettant l'accent sur les accès aux lieux de vie (espaces publics, loisirs, lieux culturels, écoles, commerces…) ;En faisant du bruit, de la qualité de l'air et de la biodiversité des priorités nationales, à intégrer à travers des objectifs ambitieux, concrets et mesurables dans tous les projets urbains ;En développant des référentiels, des méthodes et des outils adaptés à des aménagements urbains durables et désirables, facilement utilisables par les différents acteurs (collectivités, aménageurs, promoteurs, AMO/MOE, entreprises…).
Il y a 4 ans et 348 jours

Rénovation : le ministre défend l'axe "incitatif puis coercitif"

OBLIGATION DE TRAVAUX. Le ministre de la Ville et du Logement, Julien Denormandie, est revenu au Sénat sur les propositions de la convention citoyenne pour le climat en matière de rénovation énergétique. Il salue le travail effectué et assure qu'il va dans le sens des projets gouvernementaux.
Il y a 4 ans et 348 jours

Critères de choix des crochets d’ardoise

Pour la réalisation de vos travaux de toiture, les crochets d’ardoise jouent un rôle important, afin de garantir l’aspect esthétique et la longévité de votre charpente. Compte tenu des enjeux, vous ne pouvez pas vous résoudre à sélectionner ces accessoires au hasard. Donc, il est essentiel de miser sur des produits de bonne qualité. Pour ce faire, demander conseil auprès d’un couvreur et réussir ainsi à discerner les caractéristiques à retenir. Selon la configuration de votre chantier, le choix des matières est également un facteur primordial. Dans cette optique, un professionnel vous informera que les conditions de pose sont notamment déterminantes. Caractéristiques spécifiques des crochets d’ardoise A la base, les crochets d’ardoise sont conçus pour répondre à vos différents besoins, notamment en fonction de votre architecture ou du climat dans votre région. Dans ce sens, vous avez la possibilité de sélectionner entre des matières telles que l’inox, la cuivre… Pour déterminer le choix des meilleurs modèles, un expert se fiera aux critères qui les caractérisent particulièrement. A savoir, le mode d’arrimage de votre accessoire, pour lequel vous pouvez opter pour une pointe à planter ou bien une agrafe. Si vos toitures sont faites d’ardoises en fibrociment, la forme de la tige peut être droite ou bosselée. Par contre, si vos revêtements sont en ardoises naturelles avec une inclinaison assez faible, un professionnel vous conseillera d’autres types de crochets. Autrement, pour la fixation de vos tuiles, votre entrepreneur devrait s’équiper d’une pince. Il vérifiera par la suite à partir de l’épaisseur du liteau l’écartement de l’agrafe. Tandis que l’écartement de la pince sera calculé selon l’épaisseur des couvertures. Et pour soigner la finition, il ne manquera pas de prendre en compte de la longueur de la griffe et de la pointe. En tout cas, c’est l’ensemble de toutes ces spécificités qui vous permettra d’arrêter vos préférences sur une référence précise. Tri sélectif des crochets d’ardoise Pour ce faire, un couvreur basera essentiellement son choix en fonction des critères inhérents à votre environnement. A savoir, la sélection d’une gamme inox pour une résidence située dans une zone rurale non polluée. Certes, il est suffisamment résistant mécaniquement. Toutefois, il n’est pas recommandé si vous vous trouvez en bord de mer ou non loin d’un lotissement industriel. Dans ce cas, il faut opter pour un autre type d’inox plus résistant à l’attaque de dioxyde de soufre dans l’atmosphère. Un alliage destiné particulièrement pour les travaux en zone urbaine, industrielle et même dans une localité respirant l’air marin. Autrement, le professionnel orientera votre choix, selon les conditions de pose de vos couvertures. Les cuivres leur donneront un bel aspect esthétique tout en les valorisant. De plus, elles offrent l’avantage de combattre efficacement l’apparition des mousses sur votre toit. Autrement, leur composition est faite d’un mélange d’inox avec une résine couleur anthracite ou noire, pour résister aux ultraviolets et rester discret. En d’autres termes, si vous souhaitez miser sur la longévité et la qualité de vos charpentes, l’intervention d’un expert tel que ce couvreur qui se trouve dans la Marne est indispensable. Il dispose en effet des compétences essentielles, afin de vous vous aider à trouver les accessoires adaptés à votre structure et vous fournir de belles prestations. Donc, autant prendre l’assurance que votre projet sera mené à bien, grâce au concours d’un spécialiste, avec des matériaux d’excellente facture.
Il y a 4 ans et 348 jours

Les constructeurs métalliques alertent contre "la fabrication détachée"

Par la voix de son président Roger Briand, le Syndicat de la construction métallique de France (SCMF) s'est ému de l'attribution de deux lots de charpente métallique - l'un sur le chantier de l'Arena Futuroscope à Poitiers, l'autre sur un centre d'exploitation des lignes 16 et 17 du Grand Paris Express - à des sous-traitants portugais. Dans des courriers adressés à Bruno Belin, président du Conseil départemental de la Vienne et à Thierry Dallard, président du directoire de la Société du Grand Paris, Roger Briand appelle à une commande publique plus responsable au pays de Gustave Eiffel. Propos recueillis par Adrien Pouthier
Il y a 4 ans et 348 jours

"Des espaces de travail de proximité sur chaque îlot d'Euromed 2" (H.Parant)

ENTRETIEN. Hugues Parant, directeur général d'Euroméditerranée, détaille pour Batiactu comment l'établissement public d'aménagement peut participer à la relance du secteur, notamment sur l'extension de l'OIN, où les promoteurs sont priés de prévoir des espaces de vie collective en pieds d'immeubles.
Il y a 4 ans et 348 jours

Réemploi des matériaux sur les chantiers de la Fabrique de Bordeaux Métropole

Missionné par la Fabrique de Bordeaux Métropole pour travailler sur le réemploi des matériaux de démolition, le collectif Cancan entre dans la troisième phase de sa mission, dans le cadre du projet « Réemploi et Valorisation expérimentale » (R&Ve). Démarrée en 2017, avec la réalisation d’une étude stratégique, suivie de la phase opérationnelle en 2019 avec des chantiers expérimentaux, la mission porte aujourd’hui sur la duplication de la démarche. L’objectif final étant de structurer une filière de récupération et connecter les chantiers menés par la Fab.
Il y a 4 ans et 348 jours

Le confinement, accélérateur de la transformation numérique du secteur immobilier

La crise sanitaire a poussé de nombreux agents immobiliers à s'intéresser à de nouveaux outils pour poursuivre leur activité et maintenir le lien avec leur clientèle jusqu'au déconfinement. Pour autant, la « démocratisation » engagée du numérique - loin d'être absolue - traduit des réalités différentes correspondant à des niveaux de maturité variés selon la taille des agences ou leur statut (indépendant ou appartenance à un réseau).Du B.a.-ba du numérique...A l'heure du tout-numérique, rares sont les agences immobilières à ne pas faire rimer leur stratégie commerciale avec optimisation de leur visibilité sur internet : avec 98% d'agence équipées d'un site web ou en passe de l'être et 96% d'un compte sur les réseaux sociaux, assurer une vitrine performante et attractive en ligne est devenu un prérequis incontournable pour les professionnels.D'autres évolutions technologiques ont progressivement convaincu les professionnels, tels que :La dématérialisation des documents liés à la gestion des biens, considérée aujourd'hui par plus de 8 agences sur 10 (83%) comme indispensable.Le développement de la signature électronique est une avancée majeure pour 87% des agents immobiliers, leur permettant de réaliser plus d'actes à distance, et donc de gagner en rapidité et en efficacité. Un point sur lequel l'État a montré une certaine réactivité, en autorisant par décret début avril la réalisation d'actes notariés à distance, dérogeant ainsi temporairement à la règle exigeant la présence physique des parties.La visioconférence a démontré son intérêt pour près de 7 agences sur 10 (69%) pour maintenir le lien avec les collaborateurs, les clients actifs ou potentiels. Durant le confinement, le numérique a représenté une alternative essentielle, pour poursuivre un certain niveau d'activité.... à l'hétérogénéité de l'adoption des outils numériquesUne partie des agents immobiliers se sont aussi adaptés aux attentes et aux nouveaux usages des particuliers.Les visites virtuelles ont démontré leur pertinence pour 58% des agents immobiliers, en permettant à des potentiels acheteurs de découvrir des biens en toute sécurité depuis leur domicile.D'autres outils ont également fait une percée en raison des contraintes de distances, de façon plus mesurée, comme la réalisation d'état des lieux à distance, intéressante pour près d'1 agence sur 2 (47%).Si ces nouvelles solutions devraient s'imposer dans le secteur pour devenir la norme dans les prochaines années, du fait de leurs nombreux avantages (gain de temps, d'économies, etc.), pour autant, ce phénomène de numérisation recouvre des réalités différentes. L'écart entre les plus petites agences (moins de 5 collaborateurs) et celles de plus de 10 collaborateurs est particulièrement important concernant l'adhésion à l'état des lieux numérique (36% des petites contre 74% des grosses). Dans une moindre mesure, la différence est sensible entre les agences indépendantes et celles membres de réseaux (42% vs 51%). Même constat sur l'estimation gratuite à distance, pratiquée par 45% des petites agences contre 78% pour les plus de 10 collaborateurs (50% des indépendants contre 60% des réseaux).« Le marché de l'immobilier a été très touché avec la fermeture brutale des agences dès l'annonce du confinement, l'impossibilité d'organiser des visites ou de signer des actes courant mars » observe Jean-David Lépineux, fondateur d'Opinion System. « Pour autant, la plupart des agents immobiliers ont su réagir et s'adapter dans un contexte compliqué, notamment en adoptant des outils numériques qui correspondaient déjà à des attentes fortes chez les particuliers. Cette crise sanitaire aura été un accélérateur de cette tendance numérique que l'on observe depuis peu au sein de la profession. Les petites agences ont également besoin de suivre ce mouvement, elles sont les plus impactées aujourd'hui et auront besoin de ces outils pour se renforcer. »*Note méthodologique : enquête réalisée entre avril et mai 2020 auprès de 223 agences immobilières partenaires d'Opinion System.
Il y a 4 ans et 348 jours

Professionnels, tout savoir sur les masques FFP2

Dans le contexte de crise sanitaire actuel, la demande de masque augmente de jour en jour. Cependant, tous les masques disponibles sur le marché sont très variés dans leur composition et n’offrent pas le même niveau de protection. Les masques FFP2 représentent l’une des options les plus efficaces pour se protéger contre les maladies, et notamment, contre le coronavirus. Depuis le 11 mai, le port du masque est vivement conseillé et deviendra même obligatoire dans certaines situations comme dans les transports publics. Il est donc grand temps de vous informer sur le sujet, que vous soyez professionnels du bâtiment, de tout autre secteur et même à titre particulier. Le masque FFP2 de A à Z, et bien plus encore, toutes nos explications dans la suite de cet article. Qu’est qu’un masque FFP2 et quels sont ses caractéristiques ? Les masques FFP (Filtering Facepiece particles ou pièce faciale filtrante) sont des masques dits de protection respiratoire qui couvrent à la fois la bouche et le nez. Leur caractéristique principale est de protéger leur utilisateur contre l’inhalation de gouttelettes ou de suspensions virales présentes dans l’air qui pourraient être contagieuses. On retrouve 3 types masques FFP : Les masques FFP1, qui ont la capacité de filtrer au moins 80 % des aérosols. Les masques FFP2, qui ont la capacité de filtrer au moins 94 % des aérosols. Les masques FFP3, qui ont la capacité de filtrer au moins 99 % des aérosols. Le masque FFP2, qui nous intéresse ici, est donc un masque très performant lorsqu’il est utilisé de la bonne manière. Ce n’est en revanche pas le plus efficace, puisque ce titre revient au masque FFP3. Concernant les masques FFP, plusieurs formats existent sur le marché, à savoir : des masques coques, des masques 2 plis ou 3 plis, ou encore les masques becs de canard, entre autres. Quels sont les autres types de masques ? Les masques FFP2 sont aujourd’hui très difficiles à trouver et la majorité des stocks sont réservés au personnel de santé et aux agents du service public. Toutefois, il existe des alternatives pour se protéger. Attention, celles-ci ne sont pas aussi efficaces que les masques FFP. Il s’agit : Des masques chirurgicaux qui constituent davantage un complément aux gestes barrières (lavages de main, distanciation sociale …), et dont l’utilisation se limite à 4 heures maximum. Des masques « grand public » ou « alternatifs » à usage non-sanitaire. Il s’agit de masques également destinés à compléter les gestes barrières et qui sont pour la plupart lavables et réutilisables. Ces deux types de masques sont aujourd’hui ceux que l’on trouve le plus facilement en pharmacie, dans les grandes surfaces ou dans les autres enseignes autorisées à en vendre. Certaines communes prennent également l’initiative d’en distribuer gratuitement à leurs habitants. Enfin, il est possible de fabriquer soi-même son propre masque en tissu. Pour cela, des patrons et tutoriels validés par l’Afnor (l’Association française de normalisation) sont disponibles sur le web. Quelle protection offre un masque FFP2 contre le coronavirus ? Le masque FFP2 offre un bon niveau de protection contre le coronavirus, mais pour cela, il doit être utilisé de façon optimale, c’est-à-dire, correctement positionné pour éviter les zones d’infiltration. Cette catégorie de masque filtre l’air inspiré, mais aussi l’air expiré. Il protège donc d’une contamination par inhalation. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est actuellement principalement réservé au personnel médical. Le port du masque FFP2 permet aussi d’empêcher les projections de postillons chargés d’agents infectieux d’une personne malade vers une autre. Cela limite donc fortement les risques de contamination de personne à personne. Toutefois, même en mettant parfaitement son masque FFP2, le risque zéro n’existe pas. En effet, les risques de contamination indirecte sont toujours présents puisque le coronavirus peut également nous contaminer en s’infiltrant par les yeux. Ainsi, si l’on touche une surface contaminée puis que l’on se frotte les yeux, il est possible de contracter le coronavirus. C’est pourquoi le respect des gestes barrières et notamment du lavage de main restent primordiaux. En complément du port du masque, comment se protéger au mieux face au coronavirus ? Si l’on dispose d’un masque FFP2, il est important d’adopter certaines bonnes pratiques permettant de se protéger au mieux face aux virus comme le Covid-19. Ces pratiques sont les mêmes pour tous les autres types de masque. La première consiste à respecter la durée d’utilisation. En effet, aucun masque n’est à durée illimitée et concernant le FFP2, celle-ci varie entre 3 et 8 heures selon les modèles. Ensuite, le lavage régulier des mains est indispensable. Pour cela, on utilise une solution hydroalcoolique si l’on est à l’extérieur, ou de l’eau et du savon si l’on est chez soi. Il faut notamment se laver les mains avant de mettre son masque et après l’avoir retiré. Parallèlement, on se lave les mains toutes les 2 heures environ et chaque fois que l’on touche une surface potentiellement contaminée chez soi ou en dehors du foyer. Il faut également éviter de se toucher le visage. Même si cela reste très compliqué, c’est une règle à adopter. Enfin, le masque FFP2 doit être changé dès lors que l’on a mangé ou bu, ou s’il est humide. Finalement, dernière règle à respecter lorsque l’on retire son masque : le faire toujours par les lanières sans toucher le masque en lui-même qui pourrait être contaminé. Ensuite, on le place dans un plastique que l’on ferme et que l’on jette immédiatement. Où se procurer un masque FFP2 et à quel prix ? À l’heure actuelle tous les masques FFP2 sont réservés au personnel médical ainsi qu’à certaines professions à risque plus exposées au risque de contamination. Le grand public n’a donc pas la possibilité de s’en procurer. Seuls les masques chirurgicaux et les masques grand public en tissu sont disponibles dans plusieurs points de vente : pharmacie, bureaux de tabac, et en grande surface, notamment. À noter que : Le prix des masques grand public en tissu varie entre 2 et 5 euros suivant leur durée de vie. Le prix des masques chirurgicaux est plafonné à 0.95 centimes l’unité.
Il y a 4 ans et 348 jours

Un ouvrier tué dans un éboulement sur le chantier du centre d'entraînement de l'AS Monaco à La Turbie

"C'est un éboulement de falaise. Il y a un chantier avec des engins dans une partie rocailleuse et un rocher est tombé", a indiqué le service départemental d'incendie et de secours (SDIS). L'accident a également fait un blessé léger.La victime décédée, qui conduisait une pelleteuse, était âgé de 56 ans, selon la gendarmerie qui a ouvert une enquête à la suite de cet accident du travail: "un rocher s'est détaché, on n'a pas encore d'explication".Des travaux sont effectués au centre d'entraînement de l'ASM.Par ailleurs un nouveau centre de formation est en contruction à Monaco, près du stade Louis II. D'un coût de 50 millions d'euros initial, il doit en principe être livré au deuxième semestre 2021.
Il y a 4 ans et 348 jours

Sur le chantier de Saint-Maur/Créteil, les travaux avancent et s'adaptent

INFRASTRUCTURE. Le 18 juin 2020, la Société du Grand Paris organisait une visite de la gare de Saint-Maur/Créteil, la plus profonde du futur réseau du Grand Paris Express. L'occasion de voir l'avancée des travaux et de constater les mesures sanitaires mises en place depuis la reprise du chantier. A découvrir en images.
Il y a 4 ans et 348 jours

Plan de relance, RE2020, Pac hybride, "Ma prime rénov" : le gaz monte au créneau

ÉCONOMIE. Souhaitant apporter sa pierre au plan de relance que le Gouvernement devrait présenter en septembre prochain, GRDF a dévoilé une dizaine de propositions visant à placer le gaz au centre de la reprise économique et, bien sûr, de la transition énergétique. Méthanisation, construction/rénovation, mobilité et sécurité constituent les quatre axes de cette batterie de mesures.
Il y a 4 ans et 348 jours

Rencontre avec : Studio Élémentaires

Depuis la création de leur studio en 2013, Apolline Couverchel et Gauthier Haziza signent des installations poétiques et se lancent dans des projets fous. Rencontre avec ce duo qui force l’admiration. Muuuz : Quel est votre parcours respectif, et pourquoi avez-vous décidé de vous associer pour fonder Studio Élémentaires en 2013 ?Apolline Couverchel : Après mon baccalauréat, j’ai étudié deux ans à l’École Duperré, puis la scénographie à l’École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre de Lyon. Ensuite, j’ai travaillé pour des studios de design et de scénographie à Paris. Gauthier et moi nous sommes rencontrés à l'ENSATT, et avons rapidement souhaité travailler ensemble. C’est d’ailleurs à l’ENSATT que nous avons appris à raconter des histoires avec la lumière et l’espace.Gauthier Haziza : J’ai étudié l’histoire de l’art, options études théâtrales, à l’université, la conception lumière à l’ENSATT, et le marketing et la communication à l’université Panthéon Assas. En 2013, nous avons fondé notre propre studio et nous avons commencé à travailler sur divers projets. La même année, le chef cuisinier français Paul Pairet nous a invités à collaborer avec lui pour réaliser une installation dans le cadre de l’exposition Cookbook, l’art et le processus culinaire aux Beaux-Arts de Paris. En 2015, nous sommes partis à Shanghai pour participer à une résidence artistique organisée par le groupe Swatch. À cette occasion, nous avons travaillé pendant quatre mois au Swatch Art Peace Hotel et avons créé in situ notre Ciel-volant, un cerf-volant aux couleurs du ciel qui a été remarqué par Shang Xia, une marque chinoise créée par Hermès, avec laquelle nous avons ensuite collaboré. Aujourd’hui, nous vivons à Bruxelles et travaillons aux Zaventem Ateliers. Comment êtes-vous arrivés à la conception d'installations cinétiques immersives ? Pourquoi avez-vous choisi de vous éloigner du théâtre pour vous concentrer sur l’art contemporain et le design ?AC : Le théâtre a beaucoup nourri notre imaginaire, mais nous avons aussi découvert ses limites. Nous avons donc souhaité nous détacher du texte, car au théâtre tout est mis au service du langage. Aujourd’hui, nous travaillons la lumière, le mouvement et l’espace, sans faire du théâtre, mais nous nous en inspirons constamment. GH : La lumière, la temporalité, le mouvement et la narration amènent finalement cette notion d’art vivant qui est caractéristique du théâtre. Il y a toujours une narration derrière nos objets. Par exemple, dans Silo, nous avons investi l’abbaye Notre-Dame de Bernay et créé une installation faisant écho à l’histoire du lieu. Au centre de l’édifice, nous avons érigé un silo agricole de huit mètres de haut rempli de popcorn, car l’église fut transformée en une halle aux blés en 1814. En termes de matériaux, couleurs et technologies, qu'est-ce qui constitue vos installations ? AC : Dans nos créations, les sources de lumière sont simples et variées. Nous utilisons des filtres colorés, des filtres lumières, des matières brutes. Le mouvement est notre point de départ. Nous cherchons à associer la beauté de la matière à la beauté de la technologie afin de créer un mouvement dans l’espace. Les nouvelles technologies confèrent à nos installation poésie et magie.GH : Nous nous renouvelons beaucoup, donc nous ne nous enfermons pas dans un style. Avec notre lampe mobile Hypnos, nous nous sommes concentrés sur le rapport entre le sable et la lumière pour façonner l’objet. Nous aimons les choses simples mais derrière l’apparente simplicité de nos objets se cache une grande complexité technique. Que questionnez-vous dans vos créations ? AC : Avec nos installations, nous nous intéressons à la magie, à la poésie et à la narration, et nous cherchons à surprendre le regardeur. GH : La question n’est pas arrêtée. Nous sommes très curieux, et nous puisons nos inspirations dans divers domaines. Quand nous collaborons avec un lieu, nous pouvons nous inspirer de l’histoire du site. Quand nous concevons nos propres objets, nous questionnons l’essence de notre travail. Comment voir ? Comment représenter ? Comment surpendre ? Créer c’est aussi raconter. Comment jouez-vous avec la perception ? AC : Nos objets plongent les spectateurs dans une sorte d’expérience du regard. Nous nous approprions des artifices du théâtre pour créer des effets. Dans notre installation Dichrofield réalisé pour le Jam Hôtel de Bruxelles, le mécanisme est visible. Dans certaines de nos créations, la technique est très belle, et nous souhaitais la monter. Dans d'autres, nous préférons garder une part de mystère. Comme au théâtre, nous avons appris à fabriquer des illusions, des leurres.GH : Nous jouons avec la perception grâce à des artifices, qui sont inspirés de la magie et du théâtre. Quand nous présentons nos installations, les regardeurs cherchent souvent le trucage. À Bernay, le directeur du théâtre Le Piaf nous a commandé une servante de théâtre. Nous avons fabriqué nos Ghost lamps en montant des ampoules sur une structure en acier. À la nuit tombée, ces lampes se mettent à s’allumer et à bouger comme par magie, et résonnent alors avec les fresques murales de l'artiste Elliott Causse.  Pourriez-vous me parler de Umbra, votre dernière sculpture en mouvement inspirée par le phénomène de l'éclipse totale ?AC : À la dernière foire Collectible, quand nous avons exposé Umbra, les visiteurs s’arrêtaient pour contempler la lampe. Dans un monde régi par l’efficacité, se retrouver face à des objets au fonctionnement mystérieux déroute. Umbra est doté d’un moteur qui permet de faire tourner le disque de la lampe très lentement. Lorsque la lumière est allumée, le disque tourne selon un temps aléatoire, défini en fonction de la durée des éclipses solaires totales du XXIème siècle. GH : Umbra est une lampe légère et suspendue qui a son propre cycle de vie. Avec Appoline nous réfléchissons souvent sur les phénomènes naturels. Récemment, nous nous sommes lancés dans un travail de recherche sur l’éclipse, et avons étudié les mouvements les plus élémentaires de ce phénomène naturel spectaculaire.  Quelles sont vos autres projets et collaborations prévus prochainement ? AC : Nous allons collaborer avec une maison d’édition pour présenter notre création Umbra. GH : Nous travaillons sur notre installation System, qui sera exposée dans le hall d’accueil d’un espace de coworking avenue Louise à Bruxelles. Nous nous concentrons également sur de nouvelles créations autoproduites. Quel serait votre installation rêvée ? AC : Nous voudrions nous inspirer de la tradition japonaise du Hannabi, une version minimaliste du feu d’artifices qui reprend le cycle de floraison d’une fleur.GH : En effet, nous aimerions beaucoup travailler sur le feu d’artifices, car cela associe l’espace, la lumière, la couleur, la représentation. Pour en savoir plus, visitez le site du Studio Élémentaires.Photographies : © Studio ÉlémentairesLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 348 jours

La gendarmerie met fin à l'occupation du chantier d'une église controversée

Les forces de l'ordre ont mis fin à l'occupation du chantier d'une église par des militants écologistes dans le village de Saint-Pierre-de-Colombier, au coeur d'un parc régional ardéchois.
Il y a 4 ans et 348 jours

L’OPPBTP donne ses recommandations en cas d'Alerte canicule

Face à la forte hausse de températures prévue pour les prochains jours, l’OPPBTP (Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics) accompagne les professionnels du bâtiment pour travailler en toute sécurité. L’Organisme leur indique les différentes précautions à suivre sur les chantiers pour se protéger du soleil tout en respectant les mesures de précautions sanitaires liées au Covid-19.
Il y a 4 ans et 348 jours

Activité presque normale sur les chantiers de Vinci, mais incertitude dans les aéroports

Sur les chantiers, "l'activité se situe actuellement à près de 90% de son niveau normal estimé en moyenne", a détaillé Vinci dans un communiqué quelques heures avant son assemblée générale.Le groupe, qui avait déjà renoncé à ses objectifs, n'a pas donné de prévision chiffrée sur l'impact de la crise sur ses comptes. Il a seulement prévenu que son chiffre d'affaires et ses bénéfices seraient affectés "de manière très significative" cette année.La crise du coronavirus a conduit de nombreux pays, dont la France, à prendre de strictes mesures de confinement qui ont, de fait, mis à l'arrêt momentané beaucoup de chantiers pour des raisons sanitaires."En France, où le groupe réalise environ la moitié de son chiffre d'affaires, l'activité a été très faible dans le bâtiment et les travaux publics pendant environ un mois à compter de l'entrée en confinement" à la mi-mars, a précisé Vinci."Dans de nombreux autres pays, elle s'est, en revanche, maintenue à des niveaux proches de la normale", a-t-il tempéré.Si la situation retrouve une relative normalité dans les chantiers, Vinci fait face à des perspectives toujours incertaines dans les aéroports, un secteur dans lequel il s'est massivement développé ces dernières années.Face à une restriction quasiment généralisée des voyages à travers le monde, l'activité de ses aéroports a été presque nulle en avril et mai."En juin, une reprise progressive de l'activité s'est amorcée pour les vols domestiques - notamment en France, au Japon et aux États-Unis - et les vols à l'intérieur de l'espace Schengen", a expliqué Vinci."Elle devrait être suivie, à partir du 1er juillet, d'une reprise progressive des liaisons internationales, la trajectoire de celle-ci restant, à ce stade, plus incertaine", a conclu le groupe, qui n'a pas non plus retrouvé un trafic normal sur ses autoroutes.
Il y a 4 ans et 348 jours

Husqvarna Construction Products France : une nouvelle stratégie ambitieuse pour devenir le partenaire privilégié des sociétés spécialisées dans le béton

Husqvarna Construction Products France, une histoire en béton Né il y a 330 ans en Suède, le groupe mondial Husqvarna se compose de 3 divisions : • Husqvarna, leader des produits d’extérieurs motorisés (tronçonneuses, robots tondeuses, …), • Gardena, spécialiste des solutions d’arrosage, • Husqvarna Construction Products, acteur incontournable de machines et d’outils diamantés pour l’industrie du béton. Présent dans le monde au travers de 9 usines et 4 centres de Recherche & Développement (Suède, Belgique, Bulgarie, Chine, Etats-Unis, …), le groupe a pour moteur l’innovation. Avec un chiffre d’affaires de 4 milliards d’euros en 2019, il compte 13 000 collaborateurs. La division Husqvarna Construction Products emploie quant à elle 2000 personnes et a réalisé en 2019 un chiffre d’affaires de 573 millions d’euros. Riche de cette histoire industrielle familiale ancestrale, Husqvarna Construction Products France fait vivre la marque sur le territoire national auprès de ses clients (distributeurs, loueurs, scieurs, foreurs, démolisseurs, grands groupes et entreprises générales du BTP). Elle leur propose une gamme complète de machines et d’outils diamantés de très grande qualité pour la préparation, la pose, la mise en place, la coupe, le forage, le polissage et la démolition du béton, à l’horizontale comme à la verticale. Dirigée par Olivier Touzé, Husqvarna Construction Products France compte deux sites en France, basés à Bezons (95) et Blois (41), 65 collaborateurs et a réalisé en 2019 un chiffre d’affaires de 33 millions d’euros (+ 17 %). Représentant 32% du marché français des ventes de scies murales, 41% des découpeuses et 34% des ponceuses de sol grand diamètre avec ses marques Husqvarna et HTC, l’entreprise est devenue leader sur son marché. S’inscrivant dans la stratégie disruptive de développement du groupe, et malgré le contexte actuel, Husqvarna Construction Products France s’est fixé de nouveaux objectifs, à atteindre d’ici 2025, orientés sur l’expérience client. Husqvarna, l’expérience béton 360° « Pour devenir le partenaire privilégié des clients les plus exigeants, Husqvarna Construction Products France souhaite passer d’une offre produits à une offre globale intégrant toutes les gammes et les services dont ils ont besoin » explique Olivier Touzé, Directeur Général. Outre renforcer son efficacité dans la vente d’outils diamantés, Husqvarna Construction Products France a défini des leviers de croissance clés, parmi lesquels : • séduire ses clients foreurs, scieurs et démolisseurs et en fidéliser de nouveaux grâce à sa nouvelle gamme de foreuse (DM 400), ses solutions d’aspiration performantes conformes aux nouvelles obligations européennes liées à la silice cristalline ; • continuer à accompagner les grands distributeurs et loueurs historiques français en leur proposant des produits solides, ergonomiques et durables ; • développer un réseau de 15 à 20 partenaires distributeurs réparateurs agréés d’ici fin 2020 qui bénéficieront d’un programme de formation technique pour pouvoir maintenir et dépanner toutes les machines Husqvarna Construction en quelques jours, sur l’ensemble de la France ; • travailler avec les majors du BTP. L’ensemble de ces objectifs s’accompagne de services associés tels que : • les solutions complètes de financement (crédit-bail, location) ; • le développement de l’offre TotalCare comprenant le financement, la maintenance, la réparation et le Fleet Management (solution de gestion du parc machines grâce à l’internet de l‘objet) ; • et toujours, l’accompagnement technique des clients pour résoudre leurs problématiques béton. « Avec d’ores et déjà deux centres services Husqvarna à Bezons et Blois, puis l’installation des ateliers des partenaires agréés sur l’ensemble du territoire français, le service après-vente doit devenir ainsi notre avantage concurrentiel », conclut Olivier Touzé. Répondant aux problématiques rencontrées par les professionnels, la volonté d’Husqvarna Construction Products France d’améliorer l’expérience client se traduit par une nouvelle signature de marque « Husqvarna, l’expérience béton 360° » déclinée dans une campagne de communication. http://www.husqvarnacp.com/fr
Il y a 4 ans et 348 jours

Réforme du RGE : davantage de contrôles dès le 1er septembre prochain

EXPLICATIONS. Les textes réglementaires traitant de la réforme du label Reconnu garant de l'environnement (RGE) sont parus. Au programme : renforcement des contrôles, modification de la nomenclature des travaux, et audits "plus techniques et pédagogiques".
Il y a 4 ans et 348 jours

Frans Bonhomme accompagne la reprise d'activité du BTP

Leader de la distribution en France et en Espagne, sur les marchés de Travaux Publics, Aménagement Extérieur, Assainissement Non Collectif et Bâtiment, le Groupe Frans Bonhomme se positionne pour soutenir la reprise des chantiers.Selon Pierre Fleck, Président du Groupe, « Alors que notre secteur, notamment les Travaux Publics, a été un des plus touchés par la crise, nous sentons depuis quelques semaines une forte reprise aussi bien en France qu'en Espagne. Nous continuons à rouvrir nos points de vente, notre site e-commerce connaît une très forte progression des commandes et dès aujourd'hui nos équipes commerciales repartent au contact de nos clients et prospects. Aussi bien sur nos sites qu'en télétravail nos collaborateurs sont extrêmement mobilisés au service des acteurs des Travaux Publics et du Bâtiment. C'est grâce à leur engagement et à leur expertise que Frans Bonhomme va retrouver progressivement les voies du retour à un niveau d'activité proche de l'avant-crise. »Cette reprise d'activité du groupe se poursuit parallèlement aux pourparlers avancés avec ses actionnaires et ses prêteurs afin d'apporter de nouveaux moyens financiers pour renouer avec la dynamique de gains de parts de marché qui a été accélérée par l'acquisition de DMTP fin 2019.
Il y a 4 ans et 349 jours

La Convention citoyenne pour le climat rejette les 28 heures de travail par semaine

Il s'agit de la première des quelques 150 mesures soumises à l'adoption des membres à être rejetée. Beaucoup d'intervenants se sont notamment inquiétés des conséquences économiques de la mesure et de l'image qu'une adoption donnerait de leurs travaux."C'est totalement déconnecté de la réalité et c'est indéfendable dans le contexte actuel. Et cette mesure discrédite totalement la convention, c'est donner le bâton pour se faire battre. Si c'est proposé, ça sera rejeté et ça aura juste discrédité notre travail," jugeait ainsi Mélanie (en séance, les membres de la convention ne sont mentionnés que par leurs prénoms)."Le partage c'est beau mais avec la crise actuelle c'est pas possible. J'ai travaillé toute ma vie 50 heures par semaine en élevant seule deux enfants. C'est toujours les mêmes qui travaillent moins, toujours les mêmes qui travaillent plus et pour des salaires minables," lançait de son côté Marie-Hélène en refusant la mesure."C'est hors mandat par rapport à la diminution des gaz à effet de serre", jugeait de son côté Lionel, tandis que d'autres abondait: "Il faudrait une convention citoyenne séparée sur le travail"."Le télétravail avant c'était un ovni, personne n'imaginait ça. Mais l'application de cette mesure ça n'est pas dans six mois, c'est dans dix ans, il faut se projeter et réfléchir", répondait Sylvie pour défendre la mesure."On peut être d'accord ou ne pas être d'accord, mais ça n'est pas à vous de dire qu'on va avoir l'air de guignols", lançait Annie. "On a voulu dire que le modèle et le système ne nous conviennent pas, alors osons".
Il y a 4 ans et 349 jours

Relations entre grands groupes et start-up : où en est-on ?

ETUDE. Il est désormais acquis que les grands groupes et les start-up collaborent ensemble sur de nombreux projets. Quels sont les avantages et les freins qui persistent ? Téléchargez le 4ème Baromètre - Le Village by CA, écosystème unique où startups et grands groupes réalisé en collaboration avec Capgemini.
Il y a 4 ans et 349 jours

Un lycée-campus rénové à Corbeil-Essonnes

REPORTAGE. Dix ans après avoir remporté le concours lancé par la région, les agences De-So et Terreneuve ont livré, en 2019, l'opération de réhabilitation-extension d'un des plus grands établissements scolaires d'Ile-de-France, le lycée Robert Doisneau, à Corbeil-Essonnes. En multipliant les petites touches, les architectes ont transformé le campus de huit hectares.
Il y a 4 ans et 349 jours

Rénovation : réactions contrastées sur les propositions de la convention climat

OBLIGATION. Les réactions n'ont pas tardé à pleuvoir après la présentation des propositions de la Convention citoyenne pour le climat portant, notamment, sur la rénovation énergétique. Parmi les acteurs du secteur, plusieurs associations ont trouvé un écho à leurs demandes de longue date.
Il y a 4 ans et 349 jours

Le Sénat présente dix-sept mesures pour sauver et relancer les PME, le commerce et l'artisanat

Élaborées en coordination avec le bureau de la Délégation aux entreprises, présidée par Élisabeth Lamure, ces mesures poursuivent deux objectifs principaux :à court-terme, sauvegarder le tissu commercial et artisanal français, en évitant une vague de faillites dont l'impact économique, social et sur le dynamisme de nos territoires serait dramatique ;préparer l'avenir et relancer durablement ces secteurs, en renforçant leur situation financière, en accélérant la numérisation des PME-TPE et en soutenant le commerce de proximité.Pour Serge Babary, « nombre de commerçants et d'artisans sont dans une situation critique, et ne bénéficieront pourtant pas du prolongement des aides annoncé par le Gouvernement. Ce dernier obéit à une logique sectorielle (restauration, culture, événementiel), ce qui le conduit à oublier les entreprises, souvent des PME, qui dépendent fortement de ces secteurs sans pour autant bénéficier de la même visibilité médiatique. L'approche doit au contraire être fondée sur les difficultés économiques concrètes, et inclure les entreprises tout au long de la chaîne d'approvisionnement ou de production ».En conséquence, les sénateurs préconisent de maintenir le Fonds de solidarité jusqu'au 31 décembre, non pas uniquement pour les entreprises de certains secteurs, mais pour toutes celles qui continuent d'enregistrer une baisse de 50% de leur activité. De la même façon, ils appellent à une prolongation de l'activité partielle et de sa prise en charge à 100% par l'État pour les entreprises qui continuent d'enregistrer de lourdes pertes d'exploitation. Une baisse du taux de TVA pour les secteurs les plus touchés est également proposée : elle présente l'avantage soit de bénéficier aux consommateurs, si elle est répercutée dans les prix, soit de permettre aux entreprises de reconstituer leur trésorerie, ce dont elles ont un besoin urgent.En outre, si les prêts garantis par l'État et les reports de charges se sont révélés être des solutions efficaces à très court terme, ils augmentent fortement l'endettement des PME et érigent un mur de la dette qu'elles risquent de ne pas pouvoir franchir, au détriment de leurs capacités d'investissement et de développement. Pour y faire face, les sénateurs appellent à renforcer les fonds propres des TPE-PME via des prêts participatifs ou des obligations convertibles, en lien avec les régions.Par ailleurs, la crise a mis en lumière les conséquences d'une des fragilités majeures des PME françaises : leur insuffisante numérisation, qui se traduit pour les commerçants par un faible recours aux ventes en ligne.Comme le rappelle Élisabeth Lamure, présidente de la Délégation aux entreprises, « face à l'interdiction d'accueil du public, les seules entreprises qui ont pu compenser – légèrement ‑ leurs pertes de chiffre d'affaires sont celles qui ont procédé à des ventes en ligne, soit via une livraison directe, soit sous la forme de click & collect ou de drives, à hauteur environ de 20 à 25% de leur chiffre d'affaires habituel. Or si 70% des consommateurs achètent et paient en ligne, seule une PME sur huit fait usage de solutions de vente en ligne, ainsi que le notait l'an dernier un rapport de la Délégation ».Par conséquent, les sénateurs proposent la mise en place d'un crédit d'impôt à la numérisation des PME, à destination des chefs d'entreprise et des salariés, qui couvrirait notamment une partie des dépenses de formation, d'équipement, et de services annexes. Ils préconisent également le déploiement à l'échelle nationale d'une plateforme publique, qui permettrait le référencement des commerçants et artisans qui le souhaitent, la publicité de leur catalogue de produits et services et de procéder à des ventes en ligne. Cet outil pourrait être la généralisation de la plateforme « Achatville », initiative bienvenue du réseau des chambres de commerce et d'industrie, aujourd'hui circonscrite à 29 départements.La relance de ces secteurs passe également, bien entendu, par celle du commerce de proximité. Pour Anne Chain-Larché, « le commerce de proximité, loin de se réduire à une activité de vente ou de prestation de services, joue avant tout un rôle social fondamental, alliant contacts humains, conseils au client, valorisation et maintien de savoir-faire précieux, animation des principaux lieux de vie et de socialisation. La relance du commerce de proximité est donc certes un enjeu économique, mais c'est aussi une nécessité vitale d'un point de vue sociétal, un atout fondamental de l'aménagement du territoire ».Il est ainsi proposé de préserver le FISAC (Fonds d'intervention pour la sauvegarde de l'artisanat et du commerce), d'augmenter fortement ses fonds et de mieux associer les élus locaux à ses décisions. Par ailleurs, un vaste plan de communication nationale afin de sensibiliser les consommateurs à l'importance du commerce de proximité et à ses difficultés pourrait être lancé.Enfin, l'apprentissage, pierre angulaire de l'artisanat, risque de connaître une « année noire » en 2020 si les carnets de commande restent peu remplis et que les employeurs n'embauchent pas d'apprentis. Ainsi que le note Fabien Gay, « cette situation est particulièrement grave : il ne s'agit pas seulement d'une hausse du chômage, qui à elle seule est déjà une conséquence dramatique de la crise. Il s'agit également d'une fragilisation de la capacité de la France à se redresser. En effet, les contrats non signés en 2020 représentent autant de compétences en moins pour les années à venir ».Si les mesures de soutien à l'artisanat annoncées par le Gouvernement le 4 juin vont dans le bon sens (notamment l'aide à l'embauche), les sénateurs proposent de les compléter et de revenir sur une inégalité de traitement qu'elles induisent entre jeunes. En effet, l'aide n'est versée que pour les formations au-dessous du niveau « licence pro ». Cette inégalité de traitement est difficilement compréhensible : une entreprise qui embauche un jeune en master peut également faire face à une chute drastique de son activité.« Surtout, un jeune en master a tout autant besoin d'être embauché à l'issue de sa formation qu'un jeune en bac pro, par exemple. Nous proposons donc d'octroyer cette aide quel que soit le niveau de diplôme préparé », explique Fabien Gay.Pour Sophie Primas, présidente de la Commission des affaires économiques, « les commerçants et artisans affrontent là une troisième crise en deux ans, après avoir perdu 30% de leur activité pendant la crise des gilets jaune et subi une baisse de fréquentation en décembre 2019 du fait des mouvements sociaux. Leur survie est en jeu, de même que celle de leurs fournisseurs. Il est absolument fondamental que le plan de relance qui leur est destiné ne se limite pas aux secteurs encore interdits d'accueil du public. Ces dix-sept recommandations prennent la mesure de cette urgence ». Pour lire l'étude : cliquez ici
Il y a 4 ans et 349 jours

Ferropem : « Aujourd’hui, nous cherchons des relais de croissance en Europe »

Sylvain Sédille, responsable commercial de Ferrompem. [©Ferropem] Béton[s] Le Magazine : Malgré sa place de leader sur le marché de la fumée de silice, Ferropem n’est que peu connue dans le monde de la construction, pouvez-vous nous la présenter ? Sylvain Sédille : L’activité de Ferropem, anciennement Pechiney Electro-Métallurgie, est la production de silicium par le procédé de carbo-réduction du quartz à très haute température dans des fours électriques. Dans les années 1980, nous avons équipé nos fours de hottes filtrantes, permettant de capter les gaz générés par les réactions. Ces gaz sont captés et génèrent du SiO, qui devient la fumée de silice (SiO2). Cette dernière se présente sous forme de particules sphériques, de structure amorphe et de pureté entre à 90-95 % en SiO2. La taille d’une particule est environ 150 fois inférieure à celle d’un grain de ciment, d’où sa propriété de filler dans le béton, comblant les vides interstitiels. Elle réagit également lors de l’hydratation du ciment, entraînant un effet pouzzolanique.  Aujourd’hui, comment Ferropem est-elle organisée ?  Le siège se situe à Chambéry et nos usines se trouvent à proximité, dans l’Ain, l’Isère, la Savoie, et le Gard. En 2005, l’entreprise a été rachetée par le groupe espagnol Ferroatlantica. Alors leader dans la production de silicium, ce dernier a fusionné en 2015 avec son concurrent direct sur le marché américain, Globe Specialty Metals pour former Ferroglobe. Celui-ci a désormais une capacité de production de fumée de silice de 250 000 t/an, avec des sites en France, Espagne, Afrique du Sud, Etats-Unis et Canada.  Comment votre fumée de silice est-elle aujourd’hui distribuée en France ? Grâce à l’aide de Condensil1, Ferropem a initié la mise en place de la normalisation de l’utilisation des fumées de silice. Condensil nous a aussi aidés à mettre en place l’industrialisation de la récupération des fumées et leur commercialisation. Ce lien fort existe toujours et nous permet de travailler ensemble. Condensil distribue en France et sous sa marque notre production aux centrales BPE et aux usines de préfabrication. En dehors de ce champ d’action, nous déterminons au cas par cas quelle est la meilleure solution pour nos clients.  La France est-elle un marché prioritaire pour Ferroglobe ? Bien sûr, mais la France n’absorbe pas toute notre production. Aujourd’hui, nous cherchons des relais de croissance en Europe à travers des partenaires en vue de promouvoir la formulation avec de la fumée de silice. Nous voyons un grand potentiel en Europe et nous avons aujourd’hui l’expertise et les ressources humaines pour soutenir de grands projets de construction et d’infrastructure à venir. Cette logique s’inscrit aussi dans une volonté de participer davantage à la revalorisation de co-produits, permettant d’abaisser l’empreinte carbone des bétons en Europe. Comment cette réorientation se traduit-elle sur le terrain ? Nous mettons tout en œuvre pour augmenter notre visibilité, grâce à une communication active auprès de l’ensemble des acteurs de l’industrie de la construction et des matériaux. Nous souhaitons raviver le savoir-faire des formulations sur la base de fumée de silice, visant à améliorer les performances des bétons et à augmenter leur durabilité. Le premier exemple, qui me vient, est le cas des bétons projetés où la fumée de silice permet une diminution des rebonds de 10 à 15 %, offrant un gain substantiel. Divers segments bénéficient aussi d’avantages performantiels, comme les applications souterraines, que ce soit en prévention des attaques acides internes ou des chlorures externes, les bétons réfractaires, les mortiers, parmi beaucoup d’autres.  Propos recueillis par Yann Butillon 1Condensil est une filiale du groupe Vicat.
Il y a 4 ans et 349 jours

Rénovation énergétique : une mission d'information parlementaire lancée

FILIÈRE. Au moment où la Convention citoyenne pour le climat rend ses propositions, une mission d'information parlementaire est lancée sur le thème de la rénovation énergétique des bâtiments. La députée Marjolaine Meynier-Millefert, déjà co-animatrice du Preb, en est la rapporteure. Elle revient pour Batiactu sur l'objectif de la mission et avance au passage quelques pistes de réflexion.
Il y a 4 ans et 349 jours

Face aux grandes chaleurs, optez pour la climatisation

Avec NAGANO, Thermor s'invite dans tous les foyers pour permettre à chacun d'améliorer le confort thermique de son habitation et ce en toutes saisons.La gamme de climatisation connectée NAGANO est une solution 2 en 1 pour chauffer en hiver et refroidir son logement en été. Grâce à sa large plage de fonctionnement (de -20°C à +43°C en été et de -20°C à +24°C en hiver), le bien-être des occupants est assuré, quelles que soient les températures extérieures. De quoi affronter les hivers rigoureux et les étés caniculaires avec plus de sérénité.Les climatiseurs NAGANO peuvent être installés dans tout type de logement, que ce soit en appartement ou en maison (sous réserve de pouvoir installer l'unité extérieure).En fonction des besoins, ils permettent de maintenir une température ambiante dans une seule pièce (catégorie mono-split) ou plusieurs à la fois et cela jusqu'à 4 maximum (en version multi-splits).Disposant d'une large plage de puissances (de 2 600 W à 7 000 W en mono et de 4 000 à 7 800 W en multi-split), ils chauffent ou refroidissent très rapidement. Un confort absolu, tout le temps, dont il deviendra difficile de se passer.Ultra silencieux, avec un niveau acoustique de seulement 20dB(A), les climatiseurs NAGANO seront se faire discrets afin de garantir une parfaite tranquillité, même en cas d'installation dans une chambre.En plus d'être très efficace, la gamme de climatisation NAGANO est particulièrement esthétique avec son design élégant aux lignes épurées. Grâce à sa finition blanc mat, coloris intemporel et moderne à la fois, elle s'intègre harmonieusement à tous les styles d'intérieurs.La température parfaite en toutes saisonsMaîtriser la température de son domicile est essentiel pour garantir un confort optimal. Les climatiseurs connectés NAGANO se programment et se pilotent aisément depuis la maison et apportent un niveau de contrôle d'une extrême précision, pièce par pièce.Une simple pression sur les boutons de la télécommande permet de paramétrer avec une grande simplicité les commandes de l'affichage digital :la température s'ajuste au degré près, en fonction des habitudes de vie des occupants et des différents espaces de vie,la fonction Silence (quiet) bascule le ventilateur en petite vitesse et délivre un débit d'air plus faible,la fonction Intelligente (smart) mesure la température de la pièce pour adapter le confort automatiquement et garder une maison et confortable en toute circonstance,la fonction Sleep régule la température nocturne afin d'éviter un rafraîchissement ou un chauffage excessif la nuit,le capteur ECOPILOT ajuste le débit d'air pour suivre ou pour éviter tout contact direct avec l'utilisateur en fonction de ses préférences,le balayage à flux verticaux et horizontaux permet de répartir au mieux la fraîcheur ou la chaleur pour une homogénéité de température dans chaque pièce.Afin de bénéficier d'une chaleur confortable ou d'une agréable sensation de fraîcheur avant son arrivée, l'utilisateur peut également contrôler à distance, à partir d'un smartphone ou d'une tablette, la température de son logement.Il suffit pour cela de télécharger l'application Smart Clima depuis l'App Store ou Google Play pour pouvoir allumer et éteindre l'appareil, modifier les réglages ou moduler la température. Un confort sur mesure pilotable n'importe où et à tout moment.Cap sur les économies d’énergieProfiter d’une maison plus confortable tout en consommant moins d’énergie, c’est possible.Eco-performants, les climatiseurs NAGANO affichent une excellente classe énergétique A+++ en mode froid (SEER jusqu’à 8,5) et A++ en mode chaud (SCOP jusqu’à 4,6).Et pour alléger encore un peu plus la facture électrique, les climatiseurs NAGANO détectent automatiquement la présence de l’utilisateur à 120° et jusqu’à 10 m. Ainsi, lorsque le capteur constate que la pièce est inoccupée, les fonctions chauffage ou rafraîchissement passent en mode économie (de + ou -2°C).Assurément, la nouvelle gamme de climatisation NAGANO possède de sérieux atouts qui sauront séduire les particuliers désireux de faire de leur domicile un cocon confortable quelle que soit la météo !