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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Chantiers - TP

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Il y a 4 ans et 357 jours

Les Fédérations des OPH et des ESH s'engagent ensemble dans un « Manifeste pour une relance socialement juste »

Au regard de la situation économique actuelle, en tant qu’acteurs de la cohésion économique et sociale, les deux fédérations entendent se mobiliser fortement au sein de l’USH pour être au rendez-vous de la relance. Elles ciblent prioritairement le renforcement de l’accompagnement social des locataires et l’insertion des jeunes et des plus fragiles.Au travers de ce travail commun fécond, les deux grandes Fédérations locatives de l’Union sociale pour l’habitat formulent des mesures à mettre en œuvre pour relever les défis d’une relance socialement réussie et écologiquement responsable.Pour répondre à l’urgence, elles proposent une accélération massive des investissements dès 2020 et pour une période de trois ans (2021-2023) en termes de réhabilitations et de constructions.Pour y arriver, les organismes de logement social demandent un engagement fort de la part de l’État et de tous ses partenaires et notamment la Caisse des Dépôts et Action Logement.Marcel Rogemont, président de la Fédération des Offices Publics de l’Habitat : “nous sommes porteurs d'une relance forte et socialement juste. Elle le sera si le logement social est reconnu comme un bien de première nécessité et donc avec le retour d'une TVA à 5,5% permettant de construire plus. Elle le sera si elle bénéficie à tous les territoires et si elle est écologiquement responsable. Un programme ambitieux de réhabilitation est nécessaire pour porter une amélioration de la qualité de vie des habitants et en même temps réduire l’empreinte carbone du bâtiment. Pour relever ces défis, les organismes d'HLM se mobilisent et proposent des actions concrètes. Les pouvoirs publics devront être au rendez-vous pour les accompagner.”Valérie Fournier, présidente de la Fédération des ESH : “Le rôle historique du mouvement HLM est de participer une nouvelle fois à la relance économique car les organismes ont une relation durable avec les territoires dont ils sont, bien souvent, les premiers investisseurs des territoires. Nous proposons d’accélérer notre activité avec un pacte de relance sur 24 à 30 mois décliné par organisme et par territoire, signé par le préfet et présenté aux élus des territoires sur lesquels nous intervenons, pour donner de la visibilité aux partenaires. Nous proposons donc au gouvernement de nous permettre d’anticiper les commandes sur les 30 mois à venir par des mesures fortes de simplification et de soutien à l’investissement en termes de fonds propres pour ceux qui font.”
Il y a 4 ans et 357 jours

Bouygues réalisera un centre hospitalier universitaire au Bénin

CONTRAT. Une filiale de la major mènera le groupement en charge du développement et de la réalisation du futur hôpital de référence du pays.
Il y a 4 ans et 357 jours

Grand Stade de Lille : vers un procès du président de la Métropole

JUSTICE. Le parquet de Lille a requis le renvoi du président de la Métropole européenne de Lille devant le tribunal correctionnel, dans l'affaire du Grand Stade.
Il y a 4 ans et 357 jours

Rockwool crée Rockcommerce, une plateforme en ligne qui permet à ses clients de gérer l'ensemble de leurs démarches

Les démarches administratives accompagnant l'approvisionnement en produits du BTP peuvent parfois s'avérer complexes. Conscient de ces obstacles, ROCKWOOL, leader de la production d'isolant en laine de roche, a décidé de mettre à la disposition de ses clients un outil digital sur mesure afin de leur faciliter la gestion de l'ensemble des services proposés. Grâce à la nouvelle plateforme ROCKCOMMERCE, commander un produit, suivre une livraison ou obtenir ses factures n'a jamais été aussi simple. Rendez-vous sur shop.rockwool.com !Flexibilité, liberté et autonomie, à la portée de tous !Accessible via ordinateur, tablette ou smartphone, ROCKCOMMERCE, c'est avant tout une plateforme simple et intuitive permettant d'harmoniser et d'optimiser la réalisation des démarches, le tout de manière autonome. Développée et conçue spécialement pour simplifier le quotidien des clients et des commerciaux de ROCKWOOL, la plateforme digitale offre une toute nouvelle expérience en matière d'approvisionnement.En quelques clics, il est désormais possible de consulter l'ensemble des fiches produits, de passer une commande de manière simplifiée, d'effectuer un tracking en temps réel sur ses livraisons mais aussi de visualiser et d'archiver ses factures. Tout ce qu'il suffit de faire en amont, c'est de créer son mot de passe.Personnalisez et optimisez le pilotage de toutes vos démarchesAvec ROCKCOMMERCE, non seulement l'état des commandes est visible en un coup d'œil, mais la plateforme propose également de les trier par critères, les modifier ou même les annuler. La date initiale d'une livraison en cours doit être changée ? Elle est modifiable en un seul clic et sans passer par un intermédiaire. Pour connaître l'avancement d'une commande, le service Track and Trace propose la géolocalisation en temps réel des camions acheminant les produits. Au-delà de l'accès rapide à toutes les fiches produits, ROCKCOMMERCE, c'est aussi la possibilité de passer sa commande 7 jours sur 7, 24h sur 24.Enfin, afin de faciliter la gestion comptable pour les clients, la plateforme propose un accès à l'historique des commandes depuis 2017 et la possibilité de télécharger instantanément toutes les factures.« Chez ROCKWOOL, la transformation digitale est considérée comme la pierre angulaire de notre croissance. Ainsi, depuis plusieurs années déjà, nous l'intégrons à notre fonctionnement en interne comme en externe. La notion de service nous étant toujours primordiale, il était naturel que nos clients puissent aussi bénéficier d'un service digitalisé. Au-delà des avantages fournis, nous souhaitons les aider à se familiariser au concept afin qu'eux-mêmes puissent se lancer dans leur propre transformation digitale » déclare Thibaut Van Den Berghe, directeur commercial chez ROCKWOOL France.Découvrez la plateforme ROCKCOMMERCE en vous rendant sur shop.rockwool.com.Pour plus d'informations, visitez le site de ROCKWOOL.
Il y a 4 ans et 357 jours

Les Travaux publics prévoient une forte chute de leurs revenus

Les groupes de travaux publics pensent qu'ils mettront des mois à retrouver une activité normale à la suite de la crise du coronavirus, rapporte une enquête de leur fédération.
Il y a 4 ans et 358 jours

Le parquet de Lille réclame un procès pour le président de la Métropole dans l'affaire du Grand Stade

En 2018, le parquet avait requis un non-lieu à l'encontre des sept personnes mises en examen ou placées sous le statut de témoin assisté dans ce dossier, dont M. Castelain, mais avait demandé un supplément d'information pour un volet de l'affaire concernant celui-ci, au sujet de la livraison via Eiffage à son domicile de pierres pour la construction d'une terrasse.Suite à ces investigations supplémentaires, le parquet a donc considéré les charges suffisamment établies pour requérir le renvoi de l'élu divers droite devant le tribunal correctionnel de Lille pour "recel d'abus de confiance".Selon des sources concordantes, les autres chefs de poursuite sont soit prescrits, soit ne constituent pas des infractions caractérisées.Après ces réquisitions, il appartient maintenant au juge d'instruction de se prononcer sur cette demande de renvoi, mais aussi sur le non-lieu requis par le parquet sur le reste de l'affaire.Interrogé par l'AFP, le parquet n'a pas souhaité réagir dans l'immédiat.Cette décision fait suite à la mise en examen en août 2019, dans ce volet, de M. Castelain, à la tête de la Mel depuis 2014. Il est soupçonné d'avoir bénéficié pour 18.000 euros de pierres livrées via Eiffage, constructeur du stade, pour une terrasse personnelle.Il était déjà mis en examen depuis 2017 pour "trafic d'influence passif" et "complicité de favoritisme" dans cette enquête sur l'attribution du marché du stade Pierre-Mauroy à Eiffage en 2008, lorsqu'il était l'un des vice-présidents de la communauté urbaine.Maire divers droite de la petite commune de Péronne-en-Mélantois depuis 1998, réélu dès le premier tour à l'élection municipale du 15 mars, Damien Castelain devrait être candidat à sa succession à la tête de la métropole à l'issue du second tour, le 28 juin.Son élection en 2014 avait marqué la fin de la domination du Parti socialiste qui présidait la communauté urbaine depuis sa création en 1967, tout en empêchant l'UMP (devenue LR) de s'en emparer."On ira jusqu'au bout"Outre M. Castelain, deux anciens élus -Michèle Demessine, ex-sénatrice PCF du Nord et Henri Ségard, lui aussi ancien vice-président de l'institution- étaient visés par cette information judiciaire ouverte pour favoritisme, faux et usage de faux, corruption et trafic d'influence.Deux anciens dirigeants d'Eiffage étaient également soupçonnés de trafic d'influence actif, et deux fonctionnaires de la communauté de faux et usage de faux.Eiffage avait été choisi par la communauté urbaine, alors que son projet présentait un surcoût de 108,5 M EUR, face à celui, plus classique, de Bouygues.De source proche de l'enquête, il était reproché à MM. Castelain et Ségard d'avoir été invités par Eiffage à deux évènements sportifs à l'étranger, un match de football de l'équipe de France à l'Euro 2008 et le Grand Prix de Hongrie de F1 en août 2010."On aura au moins découvert que Damien Castelain n'était pas tout à fait l'homme droit qu'il devrait être en tant qu'élu du peuple. Mais nous ne sommes pas au bout du dossier, on ira jusqu'au bout, on ira contester devant la chambre de l'instruction le fait qu'Eiffage ne soit pas renvoyé et on ira jusqu'en cassation pour que cette montagne n'accouche pas d'une souris", a affirmé mardi à l'AFP Eric Darques, partie civile.L'avocate de M. Castelain, Florence Rault, avait rejeté ces accusations en avril 2017, affirmant qu'il avait payé son voyage en Suisse, ses travaux de terrassement et qu'il avait été invité en Hongrie par des amis "n'ayant aucun rapport avec Eiffage".Interrogée mardi soir par l'AFP, Me Rault n'a pas souhaité s'exprimer.Le stade Pierre-Mauroy, implanté à Villeneuve-d'Ascq et inauguré en 2012, est une enceinte ultramoderne de 50.000 places où se tiennent principalement les matches du Losc, club de foot de Lille.M. Castelain fait aussi l'objet d'une enquête préliminaire pour détournement de fonds publics pour des factures notamment de parfums, services de bien-être ou nuits en hôtel de luxe entre 2017 et 2018, s'élevant à 11.000 euros environ, selon le site Médiacités.
Il y a 4 ans et 358 jours

300 nouveaux projets pour accélérer l'installation de panneaux photovoltaïques sur les bâtiments

Ces lauréats vont bénéficier d'un soutien public pour l'électricité renouvelable produite. Ils contribueront ainsi à l'atteinte des objectifs français de production d'électricité renouvelable, conformément à la Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) récemment publiée.« Alors que nous entrons dans une phase de reprise progressive de l'activité, nous poursuivons nos échanges avec la filière des énergies renouvelables pour la soutenir, pour identifier les freins à cette reprise et pour donner de la visibilité sur les prochains mois. La PPE doit en cela être un élément structurant du futur plan de relance, la transition énergétique étant à la fois un défi à relever collectivement et une opportunité pour notre économie. » a déclaré aujourd'hui Élisabeth Borne. Le prix moyen de cet appel d'offres est de 93,98 €/MWh pour la famille des projets d'une puissance entre 100 kWc et 500 kWc et 83,06 €/MWh pour la famille entre 500 kWc et 8 MWc.Cette désignation se fera de manière dématérialisée grâce à un nouvel outil développé par le ministère de la Transition écologique et solidaire afin de faciliter et d'accélérer les interactions entre les porteurs de projets et l'administration.En complément, afin de soutenir les porteurs de projets d'énergies renouvelables confrontés à des difficultés du fait de la crise sanitaire, le ministère a pris diverses mesures de simplification, notamment en accordant des délais supplémentaires pour finaliser et mettre en service les projets.A la suite de la publication du décret portant la Programmation pluriannuelle de l'énergie, le ministère a également mis en consultation les projets de cahiers des charges de la deuxième PPE, afin de recueillir les propositions des parties prenantes.Retrouvez en ligne la liste des lauréats désignés.
Il y a 4 ans et 358 jours

CSTB'Lab : bienvenue à Epidherm, FlexThings, Reso 3D et Baulders !

Avec pour thématique « Outils et méthodes pour le chantier », le dernier jury du CSTB'Lab a permis de sélectionner quatre nouvelles jeunes pousses : Epidherm, FlexThings, Reso 3D, Baulders. Elles seront accompagnées par l'accélérateur de start-up du CSTB, qui leur ouvrira son écosystème scientifique et technique et leur permettra d'affiner et fiabiliser leurs solutions innovantes liées à des enjeux majeurs du secteur de la construction, comme la digitalisation de services, la gestion collaborative de projets, la visualisation 3D des réseaux, etc. Les start-up sélectionnées proposent : Epidherm - Un logiciel de « générative design » à destination des acteurs du bâtiment, qui associe les algorithmes au calcul du cloud, pour générer des solutions en réponse aux contraintes spécifiques de chaque projet. FlexThings - Différentes solutions (réalité augmentée, Internet des objets, PLM) d'accompagnement des industriels dans la mise en place d'un système interconnecté dans lequel les machines, les processus et les produits communiquent en permanence. Reso 3D - Une application mobile permettant de relever la position des tranchées ouvertes, et de dresser le plan des réseaux souterrains afin d'en connaître la nature et la position exacte dans les trois dimensions (récolement). Baulders - Une plateforme SAAS collaborative de gestion de projets du secteur de la construction, utilisant les techniques d'automatisme et d'IA afin d'optimiser la performance globale. Ces quatre start-up ont été sélectionnées sur la base de quatre critères : Le caractère innovant de leur proposition L'équipe (les compétences et expertises mobilisées, la capacité à porter le projet) La pertinence de l'accompagnement scientifique que peut délivrer le CSTB au projet Le business modèle du projet À propos du CSTB'Lab Créé en 2017 avec le soutien d'Impulse Partners, le CSTB'Lab vise à accélérer et pérenniser les projets de jeunes entreprises innovantes, au service du bâtiment intelligent, durable, responsable et connecté. Près de 40 start-up ont ainsi pu rejoindre l'écosystème CSTB'Lab depuis sa création, bénéficiant d'un accompagnement transverse, associant : Appui scientifique et technique Partage des expertises, connaissances et résultats de Recherche & Développement du CSTB ; accès aux ressources et moyens du CSTB Collaboration avec des chercheuses et chercheurs sur des thématiques dédiées Etc. Soutien business et services adaptés, mis en place avec Impulse Lab Facilitation des synergies inter start-up Coaching et accompagnement business/marketing Etc. En savoir plus : Le site du CSTB'Lab
Il y a 4 ans et 358 jours

Coup de filet contre la "mafia des déblais" sur la Côte d'Azur : 11 interpellations, 6 sociétés visées

"Depuis quelques mois, des plaintes et des signalements au sujet de +déballes+ sauvages de remblais de chantiers (...) étaient en cours auprès des parquets de Draguignan et Nice", a rappelé dans un communiqué le parquet de Draguignan.L'enquête a mis au jour "un système organisé depuis plusieurs années", a-t-il précisé: "Des centaines de milliers de mètres-cubes de terre, de béton, de ferraille, de goudron avaient ainsi été déversés sur une vingtaine de sites irrémédiablement défigurés, entre Fréjus, Le Luc et Trans-en-Provence, dans le Var, et jusqu'à Sospel dans les Alpes-Maritimes".Les entreprises obtenaient des marchés d'évacuation de gravats, facturaient au tarif réglementaire mais écoulaient et entreposaient les déblais "sur des terrains privés ou publics, en trompant ou menaçant les propriétaires", le tout coûtant "environ cinq fois moins cher", a encore décrit le parquet.Le coup de filet de mardi a mobilisé près de 200 gendarmes, appuyés par un hélicoptère et assistés par des agents de l'administration fiscale et de la direction régionale de l'environnement.Plusieurs camions et engins de chantier ont été saisis en lien avec les multiples infractions soupçonnées: gestion irrégulière de déchets en bande organisée, abandon de déchets en bande organisée, escroquerie en bande organisée, blanchiment d'escroquerie en bande organisée, menace de mort, de crime ou délit sur un officier public, extorsion par violence, blanchiment de délit, travail dissimulé par dissimulation d'activité et par dissimulation de salariés.Les peines encourues peuvent aller jusqu'à 10 ans de prison et un million d'euros d'amende, outre les dommages et intérêts et frais de remise en état des terrains souillés.Le traitement des déchets, notamment de chantiers, est problématique dans le Sud-Est. En août 2019, le maire du village varois de Signes Jean-Mathieu Michel, 76 ans, est mort écrasé accidentellement par une camionnette dont il souhaitait verbaliser les occupants qui avaient déchargé des gravats dans la nature, une affaire qui n'a rien à voir avec le dossier évoqué mardi par le procureur de Draguignan.
Il y a 4 ans et 358 jours

Le gouvernement sort le grand jeu pour relancer le BTP

Dans le cadre du 3e projet de loi de finances rectificative (PLFR3), l’Etat entend compenser les surcoûts et accélérer la reprise du BTP. [©ACPresse] Suite au conseil des ministres du 10 juin, le gouvernement a présenté de nouvelles mesures pour aider les entreprises du BTP. Dans le cadre du 3e projet de loi de finances rectificative (PLFR3), l’Etat entend compenser les surcoûts et accélérer la reprise du secteur. En effet, le BTP a lourdement été touché ces derniers mois. Ses secteurs ont connu une baisse d’activité de – 88 % en avril. Si depuis mi-mai, seuls 1 % des chantiers de travaux publics et 15 % du bâtiment sont encore à l’arrêt, les entreprises n’ont pas sorti la tête de l’eau pour autant. Ainsi, concernant la prise en compte des surcoûts qu’a engendrée la crise sanitaire, plusieurs axes ont été présentés. Dès le 9 juin, le Premier ministre a demandé aux maîtres d’ouvrage de l’Etat de négocier rapidement avec les entreprises du BTP, pour leurs marchés de travaux. Et ce, pour une prise en charge d’une partie des surcoûts directs liés à l’arrêt des chantiers et aux mesures sanitaires. Dans une circulaire datant du 20 mai 2020, les préfets ont été mis à contribution. En effet, ils sont chargés de promouvoir des chartes, définissant une approche solidaire des surcoûts entre les entreprises du BTP, les maîtres d’ouvrage, dont les collectivités et bailleurs, et les maîtres d’œuvre. Les préfets peuvent aussi utiliser leur pouvoir de dérogation, afin de mobiliser les des dotations de l’Etat. Ceci, pour aider les collectivités territoriales à gérer ces surcoûts. Le PLFR3 prévoit une baisse de charges sociales (jusqu’à 50 % sur les mois de mars à mai) pour les entreprises de moins de 50 salariés ayant subi des pertes de chiffre d’affaires importantes. « Toutes les entreprises pourront demander un plan d’apurement de leurs charges sociales reportées depuis mars sur une durée pouvant aller jusqu’à 36 mois », indique le gouvernement. Ce dernier a aussi créé un comité de suivi, afin d’évaluer les surcoûts liés aux pertes de rendements dues à la mise en place des règles de sécurité sanitaire sur les chantiers [Lire article sur le guide de l’OPPBTP]. Le PLFR3 prévoit une baisse de charges sociales (jusqu’à 50 % sur les mois de mars à mai) pour les entreprises de BTP de moins de 50 salariés. [©ACPresse] 10 Md€ de dotations d’investissement pour les collectivités locales « Ce nouveau comité de suivi est piloté par le Commissariat général au développement durable, en lien avec les fédérations professionnelles. Il permettra de donner des références pour la négociation entre maîtres d’ouvrage et entreprises du BTP », précise le gouvernement. Enfin, et toujours pour la gestion des surcoûts, les maîtres d’ouvrage sont encouragés à faire usage de l’ordonnance n° 2020-319 du 25 mars 2020. Cette dernière permet d’augmenter les avances aux entreprises titulaires de marchés publics au-delà de 60 %, sans obligation de garantie à la première demande. Par ailleurs, les pénalités de retard ont été reportées de plusieurs mois. Du côté de la relance économique, le gouvernement porte à 1,6 Md€ l’enveloppe PLFR3 dédiée à la dotation de soutien à l’investissement local. Elle permettra de soutenir les collectivités sur différents projets structurants. Dans les domaines de la santé, la transition écologique, ou encore la rénovation thermique de bâtiments publics, et la rénovation du patrimoine. « En 2020, l’Etat versera aux collectivités locales près de 10 Md€ de dotations d’investissement, commente le gouvernement. Il s’agit d’un effort très important qui apportera des commandes aux entreprises du BTP dans les prochains mois. Surtout dans le contexte de la mise en place des nouvelles équipes municipales et intercommunales. » Les pénalités de retard ont été reportées de plusieurs mois. [©ACPresse] Une aide au recrutement d’apprentis pour le BTP Le dispositif de garantie de l’Etat à l’assurance-crédit est renforcé à travers le PLFR3. Cette mesure est mise en place de manière immédiate par décret pour les PME et entreprises intermédiaires. Le gouvernement s’attaque aussi à l’impôt sur les sociétés. Les entreprises qui y sont soumises pourront demander, cette année, le remboursement immédiat de leur stock de créances de report en arrière de leurs déficits. Tout comme les créances constatées en 2020 liées aux pertes engendrées par la crise sanitaire. Concernant les forces vives au sein des entreprises, le plan de reprise comprend la création d’une aide au recrutement d’apprentis. Allant de 5 000 à 8 000 € par contrat, elle concerne les diplômes allant jusqu’à la licence professionnelle. « Cette aide sera versée aux entreprises de moins de 250 salariés sans condition. Et aux entreprises de plus 250 salariés à la condition qu’elles s’engagent à atteindre l’objectif, déjà fixé par la loi, de 5 % d’alternants en 2021. Cela devrait représenter plus de 130 M€ pour le secteur. » Des concertations et un nouveau plan à la rentrée Enfin, le gouvernement prolonge la possibilité d’organiser les assemblées générales de copropriétés, par visioconférence ou par correspondance jusqu’au 31 janvier 2021. Une façon de favoriser et de déclencher rapidement les décisions de travaux. Ces mesures “d’urgence” seront renforcées par un plan de relance économique présenté à la rentrée. L’Etat compte se pencher sur la transformation de l’économie française « pour la rendre plus compétitive et plus décarbonée ». Si de grandes concertations sont prévues pour inclure les différents segments d’activités, dont le BTP, le gouvernement parle déjà de simplification de procédure pour la rénovation thermique, et d’accélération de la transition écologique… A suivre…
Il y a 4 ans et 358 jours

Frans Bonhomme reprend totalement ses activités

Depuis le 8 juin, les 260 agences françaises de l’enseigne spécialisée dans les travaux publics, aménagement extérieur et l’assainissement non collectif sont ouvertes. Et les équipes commerciales ont repris leur activité.
Il y a 4 ans et 358 jours

Le gouvernement présente un nouveau budget en soutien aux secteurs fragilisés dont le bâtiment

Il s'agit du troisième projet de loi de finances rectificative élaboré depuis le début de la crise et il correspond au "deuxième temps de la réponse à la crise", a affirmé mardi soir le ministre de l'Économie Bruno Le Maire sur RTL."Le deuxième temps, c'est de venir au secours de tous les secteurs qui sont les plus menacés", a-t-il ajouté.Après les plus de 400 milliards d'euros de mesures d'urgence prises dans les deux budgets précédents, ce nouveau budget rectifié va faire monter le soutien public à "460 milliards" d'euros, a précisé le ministre.Il inclut ainsi les 18 milliards d'euros du plan d'aide au secteur du tourisme, l'un des plus affectés par le confinement, les 8 milliards d'euros du plan pour l'automobile, les 600 millions pour la French Tech, ou encore les 15 milliards d'euros de soutien au secteur de l'aéronautique et les aides au secteur du livre. S'y ajouteront des mesures en faveur du petit commerce et du bâtiment.Le gouvernement fait de premiers pas pour alléger les surcoûts liés à la crise dans le bâtimentLes entreprises du bâtiment seront aidées à assumer les coûts supplémentaires induits sur leurs chantiers par les mesures de lutte contre le coronavirus, a annoncé le gouvernement, promettant surtout de mettre à contribution les clients publics."Le gouvernement a décidé de prendre des mesures pour aider les entreprises du BTP à compenser les surcoûts et à accélérer la reprise", a annoncé l'exécutif, en marge de la présentation d'un nouveau budget rectificatif. Le bâtiment est l'un des secteurs qui a été largement contraint à l'inactivité par le confinement mis en place entre mars et mai. De nombreux chantiers ont dû s'arrêter, faute de pouvoir mettre en place des mesures sanitaires adéquates. Depuis, le plus gros des chantiers ont repris, plus de 85% dans le bâtiment, selon le gouvernement, mais le secteur doit assumer des coûts supplémentaires pour assurer la sécurité sanitaire.A plusieurs reprises, ses fédérations ont demandé à partager ces coûts avec les clients, publics et privés. En début de semaine, dans une lettre ouverte, la FFB, principale organisation du secteur, et la FNTP, centrée sur les travaux publics, accusaient encore le gouvernement de "tergiverser".Celui-ci va d'abord demander aux clients publics de prendre leur part. Le Premier ministre, Edouard Philippe, a prié les organismes dépendant de l'Etat "de négocier rapidement avec les entreprises du BTP une prise en charge d'une partie des surcoûts".Au-delà, le gouvernement annonce la mise en place d'un "comité de suivi" qui doit permettre d'évaluer précisément le manque à gagner des entreprises.Ses conclusions doivent servir de base aux négociations avec les clients, publics et privés. L'exécutif a, par ailleurs, mis en avant d'autres mesures qui ne sont pas spécifiques au bâtiment mais le concernent largement, comme l'annulation de plusieurs mois de charges pour les petites entreprises, moins de 50 salariés, ayant subi une chute de leurs revenus. Néanmoins, la mise en place d'un plan de relance du secteur attendra la rentrée, avec la présentation plus générale de mesures destinées à orienter la reprise économique à long terme."Le secteur du BTP sera directement concerné par ce plan de relance au titre de l'investissement notamment pour la rénovation thermique et au titre des simplifications de procédure", a affirmé le gouvernement.Vague de faillites et perte de centaines de milliers d'emploisAlors que se profilent "une vague de faillites" et des "centaines de milliers" de pertes d'emploi, selon Bruno Le Maire, le gouvernement va renforcer d'environ 5 milliards d'euros le dispositif de chômage partiel et débloquer 1 milliard pour élargir les aides aux entreprises qui embauchent un apprenti.Même si à Bercy, on défend une politique de soutien à "l'offre", ce budget intégrera aussi des aides exceptionnelles directes pour les 800.000 jeunes précaires de moins de 25 ans et les ménages les plus modestes.Enfin, il doit entériner un soutien de 4,5 milliards d'euros de l'État pour les collectivités, au moment où leurs recettes fondent avec la crise.Au total toutefois, les dépenses budgétaires directes supplémentaires ne représenteront que 13 milliards d'euros, le reste étant des mesures de trésorerie (reports de charges, prêts garantis, etc.).Malgré ce nouveau soutien, certains secteurs s'estiment oubliés, comme l'agriculture ou les transports publics.L'ONG environnementale Greenpeace regrette elle qu'à côté des plans pour l'automobile ou l'aérien, il y ait "toujours zéro pour la relance du ferroviaire".Récession, déficit et dette recordsOutre ces plans d'aides, le gouvernement est contraint d'aggraver encore ses prévisions économiques pour cette année. Il table désormais sur une récession de -11%, contre 8% de baisse du PIB anticipée il y a seulement quelques semaines.Les difficultés du secteur du tourisme devraient à elles seules amputer le PIB de quasiment un point cette année.Conséquence: avec des recettes fiscales qui vont fondre de 27 milliards de plus par rapport à l'estimation déjà en baisse du précédent budget rectifié, le déficit devrait encore s'aggraver à 11,4% du PIB et la dette publique gonfler à 120,9%, estime le gouvernement.Mardi, la Banque de France a elle tablé sur une chute d'environ 10% du PIB cette année. Si elle envisage un rebond de l'activité dès le troisième trimestre, le patron du Medef, appelle lui dans un entretien aux Echos à accélérer le déconfinement et à "réviser les protocoles sanitaires s'appliquant en entreprise".De son côté, le gouvernement souhaite mettre fin au 10 juillet à l'état d'urgence sanitaire, a annoncé Matignon mardi soir.Inquiétude du Haut conseil pour les finances publiquesLe Haut conseil des finances publiques (HCFP) s'inquiète que le gouvernement ait pu sous-évaluer les dépenses prévues pour faire face à la crise, et à l'inverse minimiser la perte de recettes attendues, dans son avis sur le troisième projet de budget rectifié pour 2020."Toutes les mesures de soutien de l'activité annoncées par le gouvernement, notamment certains plans sectoriels de relance, n'ont pas été traduites" dans ce projet de loi de finances rectificative (PLFR), écrit notamment le Haut conseil dans son avis publié mercredi au moment où le gouvernement présente son projet de budget rectifié en conseil des ministres.Par ailleurs, "une partie des mesures présentées comme des mesures de trésorerie pourrait finalement avoir un impact sur le déficit dès cette année", note-t-il.Or le gouvernement prévoit déjà que la dépense publique atteindrait 63,6% du PIB cette année, "un niveau jamais atteint au cours de ces 70 dernières années", souligne le HCFP.Côté recettes, le Haut conseil note que des "aléas négatifs" entourent la prévision du gouvernement d'une baisse de 27 milliards des rentrées issues des prélèvements obligatoires.En particulier, le gouvernement n'a pas révisé celles provenant de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux.De même, le gouvernement "fait l'hypothèse forte que les reports de quelques mois d'échéances fiscales et sociales ne donneront pas lieu à des abandons de créances significatifs en 2020, alors même que de nombreuses entreprises concernées par ces reports seront fragilisées par la chute de leur activité du fait de la crise sanitaire", prévient le HCFP.Déjà à plusieurs reprises inquiète de l'état des finances publiques, l'instance alerte enfin une nouvelle fois sur le fait que la dette, qui devrait gonfler à 120,9% du PIB selon le gouvernement, contre 98,1% l'an dernier, "fragilise la soutenabilité à moyen terme des finances publiques de la France et appelle une vigilance particulière".Il s'agit d'une "hausse massive" de la dette, a commenté mercredi lors d'une audition à l'Assemblée nationale le président du HCFP, Pierre Moscovici. Depuis la création de la zone euro, "un tel niveau de dette n'avait été atteint (...) que par très peu de pays", a-t-il souligné.En revanche, le Haut conseil apparait un peu plus optimiste que le gouvernement sur l'ampleur de la récession, attendue à -11% par le gouvernement.Il juge "prudente" cette prévision, estimant que le taux d'épargne des ménages "pourrait être inférieur au niveau exceptionnellement élevé prévu par le gouvernement pour 2020 (23,2 % contre 14,9 % en 2019), et donc la consommation plus élevée".De même il juge que "l'emploi pourrait être un peu plus élevé que prévu par le gouvernement", qui table sur 1,2 million d'emplois perdus en fin d'année.Au total, depuis la loi de finances initiale, "les prévisions se sont dégradées de plus de 12 points de croissance, de 9 points de déficit public et de 22 points de dette, c'est évidemment considérable (...), c'est à la hauteur du choc que nous traversons", a observé M. Moscovici, qui souhaite que "les missions, le champs de compétences et les moyens" du Haut Conseil soient renforcés.
Il y a 4 ans et 358 jours

A Perpignan, relance musclée pour le BTP

Perpignan Méditerranée Métropole, la Ville de Perpignan et l’Office public HLM Perpignan-Méditerranée ont adopté un plan triennal de 750 millions d’euros en faveur du bâtiment et des travaux publics.
Il y a 4 ans et 358 jours

Le SNEP présente son étude "Perception et usage du PVC par les architectes"

La parole aux architectesLorsque la parole leur est laissée pour parler du PVC, il en ressort les points suivants :Le PVC est un matériau très intéressant pétri de qualités,Il est un bon compromis entre le bois et l'aluminium,Il demeure nécessaire et irremplaçable,Ses qualités indéniables sont : facilité d'entretien, haute recyclabilité, performance thermique et durabilité.Cette perception du PVC par les architectes en fait un matériau de choix sur leurs chantiers. Selon l'étude, 71,6% du panel estiment que le PVC est un matériau intéressant.Les qualités du PVC selon les architectesLes qualités intrinsèques du PVC sont connues et reconnues par les architectes qui citent spontanément :Son aspect économique, qu'ils prescrivent aussi bien pour les logements sociaux que chez les particuliersSes performances techniques, avec sa rapidité de mise en œuvre, ses performances énergétiques, ses performances d'isolation, son excellente durée de vie, sa résistance à l'humidité, sa simplicité d'entretien, ou encore le large panel de couleurs et de personnalisation qu'il offre.L'utilisation du PVC dans le bâtimentPlus de 75% du PVC est utilisé dans le bâtiment. Ce matériau incontournable trouve sa place dans de nombreuses applications, mais quelles sont celles où les architectes y voient un intérêt prioritaire ? Pour les fenêtres pour 69,7%, pour les revêtements de sols pour 77,4%, et jusqu'à 90,4% pour les applications sanitaires (plomberie...).La fenêtre PVC : le choix des architectesEn France, près 3 fenêtres sur 5 sont en PVC. Et les architectes y sont pour quelque chose ! Pour la rénovation, 52,1% des architectes recommandent la fenêtre PVC. Pour une construction neuve, ils sont 53,4% à la prescrire. Quelles raisons ressortent parmi de multiples motivations ? Son coût imbattable à 39,7%, son excellente isolation thermique à 11,1%, à la demande du client à 9,5%, son excellent rapport performance/prix à 8,5%.Fenêtre PVC, bois ou aluminium ?Lorsque l'on demande aux architectes de comparer les menuiseries PVC, bois et aluminium, la fenêtre PVC tire son épingle du jeu sur le prix où il demeure sans conteste le matériau le plus concurrentiel.Mais ses autres particularités, qui le différencient du bois et de l'aluminium, sont également bien connues des architectes :92,7% des architectes connaissent la fenêtre PVC en couleurs qui offre un choix et une diversité sans pareil.83,8% savent qu'il existe des fenêtres PVC grande dimension, ce qui permet d'imaginer les meilleures solutions en terme d'ouvertures, sans contrainte technique, et quel que soit le chantier.63,9% savent que la fenêtre PVC se recycle. Et ils ont raison ! Depuis 2015, le SNEP a contribué à la mise en place d'une filière de 200 points de collecte des produits PVC en fin de vie à travers toute la France et sensibilise les entreprises de construction, de démolition et les prescripteurs au recyclage de leurs produits PVC, en particulier les profilés menuiseries et châssis de fenêtres. En France en 2018 : 105 517 tonnes de PVC ont été recyclées (source VinylPlus 2018).62,6% savent qu'il existe une marque de qualité pour les menuiseries PVC. Et ils ont raison ! QualiPVC fenêtre est une marque créée et déposée à l'INPI le 25 mars 2016 par le SNEP. Cette marque, gage de qualité, est une vraie reconnaissance pour les menuisiers qui en bénéficient. Faire le choix d'une menuisier QualiPVC, c'est bénéficier de la fabrication française, d'un contrôle qualité strict, de la bonne application de la charte recyclage, d'un professionnel qualifié à proximité, de l'expertise d'un syndicat professionnel.Le PVC et la fenêtre PVC demeurent plus que jamais des incontournables du bâtiment, que ce soit dans le résidentiel ou le tertiaire, et les architectes ne diront pas le contraire !
Il y a 4 ans et 358 jours

Le belge Besix aménagera l'une des principales gares du Grand Paris Express

"Besix France remporte le marché des travaux d'aménagement de la gare de Saint-Denis Pleyel du Grand Paris Express", a indiqué le groupe belge dans un communiqué."Le montant du marché attribué à Besix [est] supérieur à 100 millions d'euros", précise-t-il, confirmant des annonces effectuées en avril par la Société du Grand Paris, l'établissement public qui gère ce projet majeur d'urbanisme autour de la capitale.La gare de Saint-Denis Pleyel constitue l'une des principales stations de métro prévues dans le cadre de l'extension du réseau. Elle sera à la fois le nouveau terminus de l'actuelle ligne 14 et verra aussi passer les futures lignes 15, 16 et 17.La gare doit être prête début 2024 pour les Jeux Olympiques. Des travaux ont déjà commencé, notamment menés par le géant français Eiffage, mais Besix réalisera le gros du projet."Les travaux comprennent les importantes façades et la verrière, les voiries et réseaux divers, les corps d'état architecturaux -parachèvements- et les corps d'état techniques", dont les travaux d'électricité, a énuméré le groupe belge.
Il y a 4 ans et 359 jours

BMW sollicite Colas pour ses infrastructures routières en République tchèque

La filiale locale, Colas CZ, construit le site d’expérimentation de l’entreprise allemande d'automobiles. Les travaux impliquent de recourir à des solutions géotechniques particulières.
Il y a 4 ans et 359 jours

Hidalgo veut remettre des logements Airbnb sur le marché locatif longue durée

"Je suis heureuse que ce modèle prédateur, parce qu'il a retiré beaucoup de logements à la location de longue durée (...), ait montré ses limites", s'est félicitée sur France Inter la candidate (PS) à sa réélection en référence aux difficultés économique d'Airbnb, frappé de plein fouet par la crise du coronavirus."Le fait que ces appartements-là ne sont plus loués en location saisonnière va peut-être nous permettre de les remettre dans la location longue durée", a-t-elle avancé."Dans une de mes propositions, il y a cette idée de créer une société d'économie mixte (...) de 6 milliards", avec la ville, la caisse des dépôts et des acteurs privés, qui aura la capacité de racheter ces logements et de les remettre sur le marché locatif longue durée "à moins 20% du prix du marché", a-t-elle souligné."Si je suis élue cette proposition fera partie des premiers actes que je poserai parce que la question du logement est cruciale à Paris", a-t-elle précisé rappelant d'Airbnb représentait 26.000 logements au cœur de Paris.Mme Hidalgo a par ailleurs souhaité que les pistes cyclables et les aménagements de certains grands axes de circulation installés à la sortie du déconfinement "puissent perdurer"."Ces décisions ont démontré par la preuve que cela correspond aux aspirations des parisiens", a assuré l'élue qui, dans un entretien à Libération, précise vouloir "réserver l'axe Hôtel de ville à Concorde aux véhicules et navettes électriques, notamment pour desservir les commerces, ainsi qu'aux taxis".
Il y a 4 ans et 359 jours

Les enjeux de la dématérialisation du permis de construire

L'éditeur Abvent a organisé un webinar qui a réuni 1500 participants, autour du sujet du Permis de construire numérique, avec des retours terrain en particulier celui de la Ville de Paris.
Il y a 4 ans et 359 jours

Rénovation : "Nous avons un sous-investissement chronique", Boris Vallaud (PS)

TRANSITION. Suite à la crise du coronavirus, le groupe socialiste à l'Assemblée nationale remet sur la table sa proposition d'une "prime climat" pour massifier les chantiers de rénovation thermique mais aussi fournir de l'activité au secteur du bâtiment. Boris Vallaud, député PS des Landes, détaille le dispositif pour Batiactu.
Il y a 4 ans et 359 jours

Transition ID : Montcalm

Situé dans le 18ème arrondissement de la capitale, l’appartement de 170 mètres carrés a su taper dans l’œil de ses propriétaires grâce à ses beaux volumes et sa grande luminosité. Cependant, son traitement initial, plutôt froid et austère, avait bien besoin d’un bon coup de frais ! C’est désormais chose faite, grâce à l’inventivité et au goût de l’agence parisienne Transition ID. Duplex de 170 mètres carrés doté d’une terrasse de 100 mètres carrés situé juste derrière la butte Montmartre, il y a de quoi faire rêver ! Un ensemble au potentiel d’exception, révélé par le cabinet d’architecture d’intérieur Transition ID. Pour ce projet, Carla Lopez, co-fondatrice de l’agence, mise sur un retour au source et tente de redécouvrir le charme initial de cet appartement, tout en l’associant à des influences scandinaves et modernistes. L’un des premiers champs d’action consiste en la restructuration des espaces, jusqu’alors maladroitement découpés. L’entrée se fait au niveau inférieur, qui devient, sous la houlette de Transition ID, un étage de nuit. Jadis composé de quatre chambres et de deux salles d’eau, ce niveau est aujourd’hui doté d’un grand espace « nuit et jeu » pour les enfants, d’une suite parentale et d’une chambre d’amis. Alors que l’étage supérieur était très largement cloisonné, les maîtres d’œuvre ont fait le choix de tout ouvrir et de créer une pièce unique où cohabitent cuisine, salle à manger et salon, segmenté par des baies vitrées permettant à la lumière de s’épanouir au sein de cet espace de vie donnant sur une terrasse végétalisée. Côté déco, si le parquet d’origine est ici révélé et que le blanc typique des intérieurs haussmanniens semble dominer, des touches colorés – de la peinture vert de sauge au papier peint Cole&Son en passant par des carreaux de carrelage vifs et de revêtement Terrazzo de Papermint – viennent dynamiser l’ensemble. Des verrières et des claustras en bois contribuent également à délimiter les espaces, tout en apportant de la chaleur à l’appartement. Un aspect vivant de cette rénovation accentuée par le choix du mobilier, allant des canapés Togo de Michel Ducaroy bleu aux banquettes en velours moutardes dans la partie salle à manger.Une réhabilitation au goût plus que sûr !Pour en savoir plus, visitez le site de Transition IDPhotographies : ShoootinZoé Térouinard
Il y a 4 ans et 359 jours

Nouvelle offre du logiciel PV archelios™ PRO

Développé avec Cythelia Energy, division solaire de Trace Software, archelios™ PRO permet de dimensionner tout type de projet solaire de quelques kWc à plusieurs dizaines de MWc, sur toiture, en ombrière ou au sol.archelios™ Pro Free, Silver, Gold et Platinum : une nouvelle gamme de logiciels PV adaptée à chaque activitéQu'ils soient artisans, installateurs de petits projets, développeurs de grandes centrales solaires ou concepteurs occasionnels, tous les utilisateurs n'ont pas besoin des mêmes fonctionnalités. Avec la nouvelle gamme archelios™ PRO, Trace Software dote les professionnels d'un outil ergonomique et performant, adapté à la taille de leurs projets, avec des fonctionnalités dimensionnées pour leur activité.Une nouvelle offre archelios™ PRO élargie :archelios™ PRO Free : conception de projets jusqu'à 36 kWc sans 3Darchelios™ PRO Silver : conception de projets jusqu'à 100 kWcarchelios™ PRO Gold : conception de projets jusqu'à 1 MWcarchelios ™ PRO Platinum : dimensionnement de projets complexes illimitésL'une des grandes nouveautés de cette gamme est l'accès gratuit à la version archelios™ Pro Free.archelios™ Pro Free : un logiciel gratuit pour démarrer avec des petits projets PVQue l'on soit artisan, étudiant, ou encore jeune entreprise, et que les projets ne dépassent pas une puissance de 36 kWc, le logiciel archelios™ PRO Free est idéal.Le logiciel permet de concevoir des projets d'installations solaires raccordées au réseau ou en autoconsommation, mais également de fournir très précisément le calcul de productible et les indicateurs économiques associés. L'utilisateur bénéficie d'une base de données et de fonctionnalités qui l'assistent pour le dimensionnement des onduleurs et des modules en fonction du projet.Grâce à sa prise en main simple et ergonomique, archelios™ PRO Free est un excellent outil pédagogique pour les utilisateurs qui débutent dans la conception photovoltaïque.archelios™ Pro Silver, Gold et Platinum : des gammes premium pour les bureaux d'études et installateurs photovoltaïquesLes versions Silver, Gold et Platinum s'adressent aux bureaux d'études et aux installateurs photovoltaïques qui conçoivent des installations PV raccordées au réseau ou en sites isolés, en autoconsommation, avec ou non stockage d'énergie.La version archelios™ PRO Silver permet une conception rapide, notamment grâce à la modélisation 3D et détaillée des projets. Elle permet également de fournir très précisément le calcul de productible et les indicateurs économiques associés (LCOE, CGA, rentabilité, …). Les concepteurs disposent d'une large base de données de références multi-fabricants qui leur permet de réaliser le meilleur choix de matériel pour un rendement optimal de l'installation. Ils ont la possibilité d'exporter directement leur projet vers les logiciels de la suite archelios™ : archelios™ CALC et archelios™ O&M.Avec archelios™ PRO Gold les utilisateurs gagnent en temps de conception grâce à des fonctionnalités de saisie rapide et des outils de conception 3D automatiques, notamment pour le câblage des boîtes de jonction et des onduleurs. Accès aux bases de données météo et Google Maps comme pour la version Silver, gestion optimisée de l'autoconsommation, comparaison de projets, exports du projet en format AutoCAD et CSV et vers les autres outils de la suite, sont autant d'atouts qui permettent aux concepteurs de gagner en temps de conception et de livrer des projets ultra précis au plus proche, voire au-delà, des attentes de leurs clients.Bénéficiant des fonctions Silver et Gold, archelios™ PRO Platinum est de loin le logiciel le plus complet du marché des logiciels PV. Il dote les concepteurs de fonctionnalités uniques telles que l'optimisation de l'écrêtage, l'outil de terrassement en 3D et la gestion de grandes centrales multi-MWc. Pour les installations de grande envergure, c'est la garantie d'un projet rigoureux donc moins coûteux, maîtrisé et au plus proche des conditions de production, même pour les installations les plus complexes.Intégrez l'environnement 3D de votre projet en un clic avec 3D Maparchelios™ PRO est le seul logiciel du marché à proposer la fonctionnalité 3D Map qui permet d'intégrer automatiquement l'environnement 3D de votre projet en un clic, avec prise en compte automatique de la végétation et des bâtiments environnants pour une évaluation précise et rapide des pertes dues aux masques proches, sans besoin de visite de site. Un gain de temps impressionnant ! 3D Map est disponible sur Silver, Gold et Platinum.
Il y a 4 ans et 359 jours

Des militants sur une grue à Chambéry contre un chantier controversé

C'est la deuxième opération du genre depuis le déconfinement, la dernière ayant eu lieu le temps d'une matinée le 19 mai pour dénoncer ce projet de parking de 7 étages en hauteur, destiné à abriter près de 500 places aux portes de l'hyper-centre."Cette fois on a monté du matériel et de la nourriture pour tenir jusqu'à l'annonce du maire (LR, Michel Dantin) de suspendre le chantier jusqu'au second tour des municipales", a déclaré à l'AFP Yves Macquet, citoyen chambérien mobilisé contre ce projet, sujet de débat de la campagne municipale.Selon la préfecture de la Savoie, la "vingtaine" de personnes qui ont démarré l'opération avant 7 heures étaient encore une "douzaine en milieu d'après-midi, dont cinq sur la grue". "La police est sur place, tout est calme", a-t-on précisé.Un chapiteau a été monté au pied du chantier pour informer les gens "sur le sens de l'action" et une "Ravet Party (du nom du projet de futur parking, ndlr) est organisée ce soir avec de la musique", a ajouté M. Macquet, déplorant un "déni de démocratie" dans la poursuite de ce chantier "alors que la majorité des chambériens se sont exprimés contre"."Il faut trouver un compromis avec la mairie et Q Park (opérateur en parc de stationnement): deux étages et demi ont été construits, soit 250 places, il faut finir le chantier en l'état", a avancé le porte-parole, qui promeut plutôt une "augmentation de l'offre de transports en commun et des mobilités douces" pour le centre-ville.Lors d'un conseil municipal fin mai, le maire de Chambéry avait réitéré sa volonté de mener le projet à son terme. Dans un communiqué publié lundi soir, il a condamné ce blocage qui s'apparente pour lui "à un déni de démocratie".Et il a tenu à rappeler que "la justice, saisie par les opposants au projet à maintes reprises, dont les initiateurs figurent aujourd'hui sur des listes se présentant aux élections municipales, s'est exprimée en rejetant l'ensemble de leurs arguments".Ce parking participera "à la réduction de la part de la voiture en ville", a-t-il encore estimé.Candidat à un second mandat, il doit affronter au second tour la liste rassemblée de l'ancien ministre PS Thierry Repentin, soutenu par l'UDI et de la tête de liste citoyenne Aurélie Le Meur.Contactée par l'AFP, la société Q Park n'a pas souhaité faire de commentaire.
Il y a 4 ans et 359 jours

Coup de filet contre une "mafia des déblais" sur la Côte d'Azur

Le siège de six sociétés de travaux publics et deux chantiers ont été investis mardi 9 juin par des enquêteurs qui ont placé en garde à vue 11 personnes, après des mois d'enquête sur des déversements sauvages de déblais de chantier sur la Côte d'Azur.
Il y a 4 ans et 359 jours

Un luxueux abri de piscine devient le coeur de la maison

ESTIVAL. Pour que ses occupants puissent profiter de leur piscine toute l'année, cette maison a été construite autour du bassin, et un luxueux abri permet de le protéger en hiver. Ce dernier a été pensé comme une pièce de vie qui a tous les avantages d'une extension et d'un espace modulable.
Il y a 4 ans et 359 jours

Au billard à trois bandes, Bouygues le plus malin de la bande des trois ?

Alors que Bouygues, dans les choux lors du concours pour le village olympique en décembre 2019, semblait avoir raté le coche des jeux olympiques, voilà qu’après la piscine c’est le gymnase olympique qui lui échoit. Ces deux victoires coup sur coup éclairent d’un œil nouveau la déconfiture supposée du match aller. Coup de pot ou […] L’article Au billard à trois bandes, Bouygues le plus malin de la bande des trois ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 359 jours

«Surcoûts : quelle règle dit que c’est au maître d’ouvrage de tout payer ?», Salvador Nunez, directeur d’Escota

Concessionnaire d’un des premiers réseaux autoroutiers construits en France, Escota, la filiale de Vinci Autoroutes, gère un réseau de 471 km traversant six départements dans le sud-est. Avant le confinement, la direction de la maîtrise d’ouvrage qui compte une quarantaine de salariés, avait en cours l’équivalent de 37 millions d’euros HT de travaux pour la maintenance du patrimoine et la création de nouveaux ouvrages. Son directeur, Salvador Nunez, appelle à la raison et invite à prendre son temps pour bien identifier et mesurer les surcoûts liés à la gestion de la crise.
Il y a 4 ans et 359 jours

MaPrimeRénov : interrogations sur le budget affecté en 2020

RÉNOVATION ENERGETIQUE. Le dispositif MaPrimeRénov, lancé en janvier 2020, va-t-il pouvoir être utilisé à plein tout au long de cette année, alors que le budget affecté semble trop limité ? La question est posée par un rapport de la commission des finances de l'Assemblée nationale.
Il y a 4 ans et 359 jours

Les professionnels du BTP lancent un cri d'alarme au gouvernement pour éviter l'effondrement du secteur

Les surcoûts liés à la mise en sécurité des compagnons sur chantier ne sont que rarement partagés, ce qui fragilise fortement les entreprises du BTP. A ce premier choc vient s’ajouter un second, en raison de l’effondrement de la commande publique comme privée. Si rien n’est fait, cette combinaison désastreuse se traduira inévitablement en septembre avec des entreprises en faillite et des salariés qui ne manqueront pas de grossir les rangs de pôle emploi.La construction représente près de 2 millions d’emplois et près de 500.000 entreprises, essentiellement des TPE/PME situées sur tout le territoire, dont la baisse d’activité a été comparable aux entreprises frappées par les fermetures administratives. Autant les premières mesures de soutien du gouvernement se sont avérées efficaces, autant, depuis plusieurs semaines, il tergiverse à prendre les dispositions qui s’imposent pour maintenir à flot un secteur essentiel à l’ensemble de l’économie du pays. Pour stimuler l’investissement des ménages, des acteurs privés et des collectivités publiques, la FNTP et la FFB demandent au gouvernement et aux parlementaires d’intégrer au projet de loi de finances rectificatif les mesures suivantes :La prise en charge des surcoûts liés au COVID-19 et l’annulation des charges fiscales et socialesLa mise en place d’un véritable mécanisme d’incitation à l’investissement local grâce au FCTVAUn plan massif de rénovation énergétique des bâtimentsLe relèvement des budgets consacrés au niveau national aux infrastructures et à la gestion de l’eau Le retour à un taux réduit de TVA à 5,5 % pour l’ensemble des travaux. Pour Jacques Chanut, Président de la Fédération Française du Bâtiment : « Le ministre de l’Économie et des Finances a annoncé que la question des surcoûts sera traitée mais nous n’avons toujours pas de précisions à ce stade. En tout état de cause, nous ne pouvons-nous contenter de demi-mesures. Quid par ailleurs des mesures de soutien aux comptes d’exploitation de nos entreprises ? Nous demandons l’annulation et non le lissage des reports de charges ce qui est justifié dans un secteur qui a été tout autant impacté par la crise que les secteurs fermés par décision administrative. Par ailleurs, nous souhaitons la mise en place au plus vite du grand plan d’accompagnement de la rénovation énergétique annoncé depuis plusieurs années. »Pour Bruno Cavagné, Président de la Fédération Nationale des Travaux Publics : « La priorité du gouvernement doit être donnée au soutien à la demande. Nous craignons, en effet, un effondrement des appels d’offres à la rentrée de septembre. Il convient donc de soutenir par tous moyens la commande publique locale, qui représente 50% de notre activité, voire plus de 90% pour de nombreuses TPE/PME. »
Il y a 4 ans et 359 jours

Au Bénin, Bouygues Bâtiment International construira le CHU d’Abomey-Calavi

Le groupe français a décroché un contrat de 175 M€ pour le développement et la réalisation du centre hospitalier universitaire de la plus deuxième plus grande ville du pays.
Il y a 4 ans et 359 jours

L'économie française devrait mettre au moins deux ans à se relever de la pandémie

"L'économie française est en train de remonter assez rapidement du plongeon brutal de mars, mais nous sommes loin d'être sortis d'affaire", a estimé le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau sur France Info."Comme l'ensemble du monde, (elle) a subi un choc d'une ampleur inédite au premier semestre 2020" avec le confinement strict mis en place mi-mars et levé mi-mai, constate la Banque centrale française dans ses projections macroéconomiques jusqu'en 2022 publiées mardi.Le rebond de l'économie dès le troisième trimestre ne suffira donc pas a éviter une récession inédite de l'économie cette année. Évaluée à -10%, cette prévision est proche des -11% anticipés par le gouvernement dans le troisième projet de loi de finances rectificative qu'il présentera mercredi en Conseil des ministres.Après cela, "2021 et 2022 seraient des années de redressement net mais progressif", prédit la Banque de France, avec une croissance de 7% prévue l'an prochain, puis une progression de 4% du PIB en 2022.Mais "ce fort rebond apparent ne permettrait pas de retrouver le niveau d'activité de fin 2019 avant mi-2022", prévient la banque centrale française.En effet, l'économie française doit redémarrer à partir d'un niveau historiquement désastreux. Après le recul du PIB de 5,3% au premier trimestre, selon l'évaluation de l'Insee, l'économie devrait plonger d'environ 15% au deuxième trimestre, prévoit la Banque de France.Elle est un peu plus optimiste que l'Insee qui table sur une chute de 20%.Car, selon la banque centrale, l'activité a rebondi au mois de mai, avec une perte d'activité estimée à -17% sur une semaine-type de la fin mai par rapport à la normale, contre -27% en avril et -32% fin mars.Et le mois de juin devrait confirmer cette tendance, avec une perte d'activité ramenée à -12%.Déjà, les fermetures de sites dans l'industrie "sont devenues marginales" et le bâtiment reprend "de façon très dynamique", note la Banque de France.La situation est plus contrastée dans les services, avec des secteurs toujours en difficulté, comme l'hébergement ou la restauration encore en partie confinés, et d'autres qui ont nettement rebondi, comme les services à la personne, le travail temporaire ou les services automobiles.Chômage historique mi-2021Mais l'élément "essentiel" de la reprise sera le rythme du rebond de la consommation des ménages. Il est "probable que la montée attendue du chômage et le contexte global de forte incertitude continuent de peser sur les comportements d'achats", juge la BdF.Avec une épargne cumulée autour de 100 milliards d'euros, le taux d'épargne des ménages dépassera les 22% cette année et la consommation reculera de 9,3%.Si le dispositif massif de chômage partiel mis en place par le gouvernement va quelque peu ralentir l'impact de la crise sur l'emploi et le pouvoir d'achat cette année, le taux de chômage devrait dépasser les 10% fin 2020, et grimper jusqu'à un pic supérieur à 11,5% à la mi-2021, un niveau "au dessus des précédents historiques", projette la Banque de France.Et là encore, il faudra attendre 2022 pour le voir redescendre à 9,7%. Le pouvoir d'achat devrait lui légèrement reculer de 0,5% cette année, avant de repartir à la hausse mais à un rythme bien plus faible que l'activité.L'ensemble de ce scénario de reprise repose sur une circulation du Covid-19 sous contrôle et une économie qui s'adapte aux contraintes sanitaires. Et il ne tient pas compte des futures mesures de relance que le gouvernement devrait prendre.M. Villeroy de Galhau a notamment plaidé pour la mobilisation de 10 à 30 milliards d'euros pour soutenir les fonds propres des entreprises "fragilisées financièrement" et très endettées.Cette reprise pourrait aussi être plus rapide si une solution médicale pérenne arrivait mi-2021, et si l'épargne des ménages se réduisait plus rapidement, a estimé le gouverneur. Ou à l'inverse, encore plus lente en cas de rechute sanitaire.
Il y a 4 ans et 359 jours

Covid-19 : urbanistes, géographes et designers veulent inventer de nouveaux espaces de fête

"Danser, faire la fête, se serrer dans les bras... Toutes ces choses qui nous semblaient acquises, se sont évaporées du jour au lendemain", observe Technopol, l'association de défense des musiques électroniques et organisatrice de la Techno Parade, qui a lancé "Danser demain", collectif créé pour "penser la fête d'après".Pour Tommy Vaudecrane, président de Technopol, "il ne faut pas être inquiet pour l'avenir de la fête, mais pour la forme qu'elle prendra".Une première table ronde, organisée récemment sur Facebook et toujours disponible en replay, a déjà été suivie par plus de 60.000 internautes."Depuis l'apparition des musiques électroniques, on a dû les imposer en trouvant des circuits alternatifs. C'est une gymnastique dont on est familier", assure Tommy Vaudecrane."Pendant le confinement, la fête digitale s'est distinguée avec un public fidèle. Bob Sinclar, en mixant depuis chez lui en direct, a mis la pêche, même si on ne pourra pas se passer du vivre ensemble. Si demain, les fêtes de plus de 1.000 personnes restent interdites, que va-t-on faire ?", se demande le président de Technopol."Sortir la fête de ses murs"Pour le musicien Jean-Michel Jarre, pionnier des musiques électroniques, qui participe aussi au collectif "Danser demain", "le contact physique est irremplaçable. Les e-concerts sont des moyens de communiquer d'une autre manière, en attendant le réel".Parmi les autres intervenants du collectif, le géographe et urbaniste Luc Gwiazdzinski, professeur à l'université de Grenoble, estime que la crise sanitaire s'est attaquée au cœur même de ce qu'est une ville, mais aussi à la vie nocturne."La fête convoque les corps, les face à face, l'émotion... Le Covid met cela à distance. C'est un défi à la ville et à la nuit, posant de grosses difficultés pour ceux qui fabriquent la fête", dit à l'AFP le président du conseil scientifique de la Plateforme nationale de la vie nocturne, un club de réflexion réunissant des élus, experts, professionnels, universitaires..."Une des clés est la possibilité d'avoir accès à l'espace public: en ouvrant les parcs, en créant des rues réservées, tout en prenant en compte les riverains qui risquent de s'être habitués au silence...", ajoute Luc Gwiazdzinski."Si la fête veut s'en sortir, elle doit sortir de ses murs, récupérer l'espace public en partenariat avec les collectivités pour se diluer et éviter la saturation, sur des temps plus longs, dans la journée par exemple, avec aussi des micro-fêtes où on maîtrise mieux les règles sanitaires", suggère-t-il, suggérant par exemple d'investir toujours plus "des halles d'exposition ou des friches, d'autant que la fête, souvent à l'avant-poste, n'a pas attendu" pour gagner ces lieux. Le temps presse toutefois: "Dehors Brut", club électro parisien en plein air sur une friche de la SNCF près de Bercy, n'a pas résisté à la crise sanitaire et se retrouve en liquidation judiciaire.
Il y a 4 ans et 359 jours

Loxam cible les particuliers

CAMPAGNE DE PUB. Le loueur de matériels de chantier, Loxam, lance une campagne à destination des particuliers.
Il y a 4 ans et 359 jours

Sanidoor® by Doortal élimine germes et bactéries sur les blocs-portes

Confrontée, comme la majorité des entreprises industrielles de l'Hexagone, au ralentissement de ses activités avec l'apparition du coronavirus et la mise en application du confinement, l'entreprise Doortal a mis à profit ce temps de crise pour innover. Spécialisée dans la fabrication de blocs-portes métalliques pour les lieux publics et sites sensibles, l'entreprise investit en moyenne 1,5 M€ chaque année dans la recherche et le développement de nouveaux produits toujours plus performants.« L'innovation est dans notre ADN », affirme Johnny Guilhot, gérant associé. Une véritable marque de fabrique, que les équipes de Doortal ont apposée cette fois en un temps record, afin de répondre à l'urgence de la situation sanitaire. En l'espace de six semaines, elles ont mis au point, avec leurs partenaires, SANIDOOR® by Doortal : une solution globale antibactérienne capable d'éliminer jusqu'à 99% des germes et bactéries sur les blocs-portes.Un traitement breveté pour une gamme haute sécuritéPour être en mesure de proposer cette nouvelle offre, pourvue de traitements testés et certifiés en laboratoires agréés, l'entreprise Doortal a sélectionné des matériaux et procédés antimicrobiens permettant d'offrir une solution innovante adaptée aux règles d'hygiène anti-infectieuses.L'entreprise est dès à présent en mesure de proposer le système de thermolaquage SANIDOOR® sur l'ensemble de sa gamme de blocs-portes métalliques techniques. Formulé à partir d'une poudre d'ions d'argent actifs, ce revêtement de peinture provoque, par son action antimicrobienne, la destruction des bactéries selon un mécanisme d'action en 3 phases : blocage des échanges cellulaires, arrêt de la respiration des cellules, blocage de la division cellulaire.Un traitement antibactérien sans substance nociveMais au-delà du bloc-porte, c'est aujourd'hui l'ensemble des équipements proposés dans la gamme SANIDOOR® by Doortal qui permet de proposer aux professionnels du bâtiment une solution parfaitement sécurisée. Pour relever ce défi, Doortal a fait appel à ses partenaires scrupuleusement sélectionnés pour la fourniture de poignées de porte et de barres anti-panique. « Dans un bâtiment accueillant quotidiennement un très large public, plusieurs centaines de personnes vont en effet poser la main sur ces éléments et peuvent donc transmettre les microbes dont elles sont éventuellement porteuses. » souligne Johnny Guilhot.Ainsi, le revêtement antibactérien des poignées SANIDOOR® contient des ions métalliques qui préviennent la prolifération des germes. Conçu pour une application sur le métal, il comprend un vernis qui élimine les bactéries, virus et champignons, sans aucune substance nocive. Il en va de même pour les barres anti-panique dont le traitement antibactérien, totalement inoffensif pour l'homme, repose sur l'émission lente et constante d'ions d'argent, capables de pénétrer l'organisme microbien et de bloquer sa reproduction.Une gamme adaptée pour les milieux exigeantsPourvus de ce traitement breveté, les équipements SANIDOOR® by Doortal constituent une solution globale efficace pour tous les bâtiments où l'activité microbienne est redoutée. Peu présente jusque-là dans l'univers de la santé, l'entreprise compte sur cette gamme parfaitement adaptée aux enjeux du milieu médical pour s'imposer dans les hôpitaux, cliniques, cabinets médicaux, ehpad… « Notre solution constitue une protection active pour réduire de façon radicale le risque de contagion, notamment dans les bâtiments publics où la propagation des maladies infectieuses est facilitée par une forte concentration bactérienne sur les poignées et barres de poussée », affirme le gérant associé de l'entreprise.Néanmoins, la cible potentielle de SANIDOOR® by Doortal est beaucoup plus large. Bien que le déconfinement s'engage dans l'Hexagone, l'épidémie de coronavirus continue de susciter de très nombreuses inquiétudes dans la population. Les établissements scolaires, les restaurants, les hôtels, les centres de sport, les bâtiments des administrations… représentent ainsi autant de débouchés naturels pour Doortal. Des marchés sur lesquels l'entreprise entend se positionner, en s'appuyant sur un réseau de prescripteurs du bâtiment, au premier rang desquels on retrouve les architectes DPLG, architectes d'intérieur et promoteurs. « Nous visons le marché hexagonal dans l'immédiat », conclut Johnny Guilhot, qui ne ferme cependant pas la porte à d'autres développements à terme.
Il y a 4 ans et 360 jours

Béton[s] le Magazine sort du confinement avec son numéro 88 !

Non, l’équipe d’ACPresse n’a pas chômé… Pendant les 3 mois d’activités confinées, mais non moins intenses, nous avons continué à vous informer régulièrement sur le site ACPresse. En parallèle, nous nous sommes consacrés à la préparation de ce nouveau numéro. Nous sommes donc heureux de vous présenter en format papier, ainsi que sous liseuse numérique, le petit dernier “Béton[s] le Magazine” consacré à l’esthétisme des bétons. Poli, soyeux, uni, rugueux, inégal, rude, noble… Tous les adjectifs peuvent être utilisés pour parler du béton. Preuve que ce matériau protéiforme est capable, grâce au savoir-faire des fournisseurs et aux techniques développées par les entreprises de BTP, de répondre aux desseins et aux exigences des architectes. Notre dossier de 19 pages vous propose de découvrir différents procédés de mise en œuvre de bétons architectoniques à travers cinq réalisations emblématiques. Ainsi que le who’s who des beaux bétons. Si l’offre des bétons s’étend… Le matériel s’adapte ! Vous découvrirez également la nouvelle offre des malaxeurs, avec un tour d’horizon des innovations du secteur. Le numéro arrive chez les abonnés. Et pour ceux qui n’ont toujours pas repris le chemin du bureau, nous vous proposons de profiter d’une lecture en ligne accessible à la fin de l’article : pour les abonnés avec votre compte premium et sur inscription pour ceux qui ne sont toujours pas abonnés Du coté des reportages, rendez-vous à Boulogne-Billancourt avec le bâtiment le plus haut d’Europe et ses huit niveaux en béton de chanvre. Et à Neuilly-sur-Seine pour suivre la rénovation des Maisons Jaoul imaginées par Le Corbusier. De plus, ce numéro sera l’occasion de faire un point sur le marché de la construction avec les derniers indicateurs économiques commentés. Vous y retrouverez aussi :• Du coté des acteurs, les interviews de Pierre Alexandre Cot d’Ingérop, de Michel Aron d’Adesol, d’Anne Labroille et de Rosella Cotti pour l’association Mémo ;• L’actualité des entreprises des régions ;• Le décryptage de la solution de protection des bétons Ultra Grip, développée par l’industriel autrichien Agru ;• Une présentation de Mobile STK, la centrale hyper compacte d’Imer ;• Quand le fragmentaire fait sens avec un “Esprit béton” consacré à l’œuvre en béton romain de Michel Carpentier. Bonne lecture ! Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. 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Il y a 4 ans et 360 jours

Rénovation énergétique : les députés veulent des investissements "massifs"

Les députés socialistes plaident pour une rénovation énergétique "massive" des logements, grâce à une "prime climat", de "510 milliards d'€ sur 30 ans".
Il y a 4 ans et 360 jours

K-STUDIO : Villa Mandra

Perchée sur les hauteurs d'Aleomandra à Mykonos (Grèce), mais presque entièrement cachée des regards, la Villa Mandra offre une vue spectaculaire sur l’île de Delos. Cette grande maison de vacances, conçue par l’agence athénienne K-STUDIO, est un havre de paix, où les propriétaires viennent profiter de l’été avec leur famille et leurs amis. Surplombant la mer, cette maison de vacances confortable, spacieuse et raffinée, est une invitation à se reposer en pleine nature. À la demande des propriétaires, la Villa Mandra a été pensée comme un lieu hors du temps, où il fait bon vivre. Les architectes de K-STUDIO ont édifié une maison discrète en s’inspirant de l’architecture vernaculaire grecque. La villa, composée de deux petits volumes traditionnellement blanchis à la chaux, est construite autour d’une vaste terrasse, ouverte sur la mer et protégée du soleil grâce à une élégante pergola en châtaignier. Cette terrasse extérieure est d’ailleurs le carrefour de la maison, car elle relie les six chambres aux espaces de vie – le salon, la cuisine, la piscine et le jardin. Les volumes blanc immaculé, les murs en pierres locales et les trois pergolas s'intègrent parfaitement à l’environnement naturel alentour. Les architectes puisent leurs différentes influences dans la diversité des paysages cycladiques, et proposent ainsi une réinterprétation contemporaine de la maison méditerranéenne. À l’intérieur comme à l’extérieur, la décoration est dépouillée, mais sans jamais être austère. Les décorateurs ont en effet choisi d’insuffler à chaque pièce une ambiance apaisante en associant couleurs claires, matières naturelles et meubles indispensables. Une maison de rêve qui fait rimer simplicité avec douceur de vivre. Pour en savoir plus, visitez le site de K-STUDIO. Photographies : © Claus Brechenmacher et Reiner BaumannLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 360 jours

Le portail Batipédia propose de nouveaux services-métiers

Aujourd'hui, deux premiers services, développés par le groupe Kinaxia, éditeur de solutions logicielles en ligne dans les domaines du droit de l'urbanisme et de l'information environnementale, sont accessibles, via un paiement à l'acte, sur le portail BATIPÉDIA : Preventimmo, leader national des renseignements d'urbanisme, et CityScan, premier service de géo-décision immobilière.BATIPÉDIA : faciliter l'accès à toute l'information nécessaire aux acteurs de la construction et de l'urbanismeBATIPÉDIA centralise les contenus scientifiques et technico-réglementaires nécessaires à la filière construction : informations réglementaires, normatives et thématiques ; actualités, au jour le jour, dédiées à l'évolution de la réglementation, aux faits marquants du secteur ; logiciels prédictifs en ligne, etc.Promoteurs, constructeurs, architectes, urbanistes, diagnostiqueurs, aménageurs, experts, artisans, industriels, bureaux d'étude et de contrôle, etc. accèdent ainsi facilement aux informations indispensables à l'exercice de leur métier.Vers des contenus enrichis : de nouveaux services métiers accessibles depuis BATIPEDIAAfin de renforcer l'accompagnement des acteurs et répondre toujours plus précisément à leurs attentes, de nouveaux services viendront régulièrement compléter le portail BATIPEDIA.Des partenariats sont ainsi engagés avec des éditeurs proposant des solutions à forte valeur ajoutée pour les utilisateurs du site, à l'image de Preventimmo et CityScan, deux services-métiers en ligne développés par le groupe Kinaxia, dès aujourd'hui disponibles sur BATIPÉDIA :Preventimmo est un service web de fourniture de renseignements d'urbanisme : état des risques & pollutions, note de renseignements d'urbanisme, certificats & attestations ou encore études spécifiques (constructibilité, concordance cadastrale, etc.). Preventimmo est destiné aux acteurs du marché de l'immobilier en France : notaires, promoteurs, diagnostiqueurs immobiliers, etc.CityScan est le premier service en ligne de géo-décision immobilière. Grâce à plus de 120 indicateurs géolocalisés exclusifs, CityScan permet de tout savoir sur un emplacement immobilier en France métropolitaine : éducation & transports, commerces, qualité de vie, urbanisme, risques naturels, qualité numérique, etc.Les utilisateurs du site BATIPÉDIA peuvent accéder à ces deux services via paiement à l'acte auprès de Kinaxia.D'autres services viendront peu à peu enrichir l'écosystème BATIPÉDIA, offrant ainsi aux professionnels un accès simple et rapide à une gamme de services adaptés à leurs besoins.Prochaine étape : un nouveau service prévu pour fin juin 2020, qui permettra aux professionnels d'acheter à l'unité des modèles de documents administratifs et techniques afin de faciliter la passation et la gestion de projets de construction en marché public et en marché privé.
Il y a 4 ans et 360 jours

Intermat : le salon mondial de la Construction se prépare pour 2021

Intermat, salon triennal dédié à la construction et aux infrastructures du BTP et de matériels de chantier, prépare activement son édition 2021 malgré les incertitudes liées à la pandémie.
Il y a 4 ans et 360 jours

Restaurant : RAL 8004

Faire le choix d’une couleur unique pour déterminer les grandes lignes d’un projet est un exercice souvent prisé par le studio Briand & Berthereau. « Nous aimons partir sur une couleur majeure – un peu comme un matériau finalement – et nous essayons d’être le plus proche possible avec les différents supports et matériaux », explique Arnaud Berthereau. Pour le Saint Croc – un espace de restauration rapide autour du croque-monsieur situé dans un centre commercial de la région...
Il y a 4 ans et 360 jours

Restaurant : Légèreté landaise

L’avantage de concevoir des commerces en dehors des grandes métropoles est de pouvoir attacher autant de soin à l’agencement du projet qu’à son intégration dans le site. À Soorts-Hossegor, les architectes de l’agence Java ont rénové un bâtiment existant et l’ont doté d’une extension en lamellé-collé de mélèze pour y installer un café et un atelier de torréfaction. Situé dans une zone industrielle, entouré d’une forêt de pins, ce projet de 160 m2 largement vitré est...
Il y a 4 ans et 360 jours

Restaurant : Invitation au voyage

Située place de la Rotonde à Rennes et inaugurée en décembre dernier, La Cavale offre un écrin digne des romans de Pierre Loti. Après une restructuration très lourde (en raison d’un plafond qui menaçait de s’effondrer), ce restaurant de 250 m2 « pensé comme un bar de quartier convivial » accueille 90 places assises en salle et 35 en terrasse. Pour sa rénovation complète et radicale, l’agence Pierre-Arnaud Descôtes Architecte a proposé un métissage de matériaux comme pour...
Il y a 4 ans et 360 jours

Restaurant : Contre la tyrannie de la « tendance »

Le dynamisme économique dont a été témoin Paris et les grandes métropoles ces dernières années – notamment porté par les plateformes d’hébergement touristiques – s’est traduit par une profusion de concept stores et de lieux de restauration au fort potentiel instagrammable. Les sommes colossales investies pour transformer ces commerces, en dépit d’un turnover important et d’une fièvre des loyers, interroge néanmoins sur le consumérisme de la prescription à l’emporte-pièce....
Il y a 4 ans et 360 jours

Hôtel : Brutalisme vintage et design industriel

Situé en plein cœur de Lausanne, l’hôtel du Flon conçu par l’agence suisse Local Architecture est un ensemble monolithique singulier dont l’aménagement intérieur reproduit un modèle abondamment calqué dans les complexes hôteliers : l’« industrial chic ». Coïncidence hasardeuse, le thème général exigé par la maîtrise d’ouvrage colle parfaitement avec l’histoire industrielle du site qui accueillait jusqu’à la fin du XXe siècle les anciens entrepôts du quartier...
Il y a 4 ans et 358 jours

Un éco-hôtel de luxe choisit le bois Kebony

Le Carbis Bay Hotel choisit le bois Kebony pour revêtir l’ensemble de ses installations. Un choix cohérent.. Cet article Un éco-hôtel de luxe choisit le bois Kebony est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.