Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Chantiers - TP

(55464 résultats)
Il y a 4 ans et 360 jours

Nouvelle édition du Guide de conception et de réalisation des terrasses en bois

La quatrième édition du Guide de conception et de réalisation des terrasses en bois vient de paraître.
Il y a 4 ans et 360 jours

Vinci remporte pour 117 millions d'euros de contrats sur des autoroutes australiennes

"Seymour Whyte, filiale australienne de Vinci Construction, a remporté deux contrats dans le Queensland, en Australie", a annoncé le groupe dans un communiqué.Le premier représente 114 millions d'euros, mais sera partagé à égalité avec un groupe local, John Holland. Il prévoit des travaux sur la Bruce Highway, au nord de la ville de Brisbane.Le second représente 60 millions d'euros et prévoit de rénover une portion de l'autoroute M1, dite "du Pacifique", vers la frontière entre les États du Queensland et de Nouvelle-Galles du Sud.
Il y a 4 ans et 360 jours

Reprise d’activité post Covid-19 : le réseau Initial 100% opérationnel

Né à l’initiative de Kawneer en 1994, le réseau INITIAL regroupe des fabricants indépendants experts de la menuiserie en aluminium prête à poser. Grâce à leur mobilisation et au soutien de Kawneer, gammiste reconnu, les membres du réseau INITIAL n’ont cessé de travailler durant la période de confinement et abordent la reprise d’activité en étant 100% opérationnel avec des commandes fabriquées, prêtes à livrer ! Le réseau INITIAL, les experts de la menuiserie aluminium prête à poser, 100% opérationnel Créé par Kawneer il y a près de 30 ans, le réseau INITIAL constitue une véritable communauté de fabricants indépendants experts de l’aluminium, bien implantés localement, qui représente la marque INITIAL avec l’offre 100% alu la plus large du marché. Au fil des années, le réseau INITIAL, à taille humaine, a su s’adapter à l’évolution du marché de la menuiserie aluminium. Il s’est professionnalisé à la fois par des investissements (surface de production, équipements, outils industriels…) mais également dans son approche du commerce et du service. 10 sites industriels de fabricants de menuiseries aluminium prêtes à la pose, répartis sur le territoire français, réalisent plus de 2500 menuiseries prêtes à poser par mois sans compter les productions spéciales telles que vérandas, extensions d’habitat, châssis grandes dimensions, portes-repliables, gardes corps, murs- rideaux… pour les professionnels poseurs et les distributeurs spécialisés. Aujourd’hui mature, ce réseau d’entrepreneurs nés a démontré toute son agilité dans sa capacité à maintenir l’activité et apporter le savoir-faire, le service et la qualité attendus par ses clients en portant haut et fort les couleurs d’Initial. Toutes ces entreprises et leurs équipes se sont mobilisées pour surmonter la période de crise de ces deux derniers mois en réussissant à fabriquer et à livrer leurs clients poseurs dès la reprise de leur activité. « Avant le confinement, notre carnet de commande était bien rempli. Nous avons fermé le 18 mars au soir mais dès le 23 mars, j’ai repris contact avec mes fournisseurs pour savoir s’ils étaient en mesure de me livrer la matière première pour continuer mon activité et servir les clients restés ouverts. Après avoir mis en place les protocoles sanitaires afin d’assurer la sécurité de tout le personnel, nous avons ainsi repris à mi-temps dès le 31 mars. Dès l’annonce de la date du déconfinement, toute l’entreprise a repris le 27 avril à 100%. Grâce à notre faculté d’anticipation et d’adaptation, nous avons aujourd’hui rattrapé tout le retard pris lors de cette période et nous sommes revenus dans des délais habituels de livraison de 3 à 5 semaines », témoigne M. Jaap Van Linschoten, gérant de la société MBR basée à Alès, membre du réseau depuis 1996, employant 16 salariés. INITIAL, un réseau profitable aux valeurs fortes, prêt à relever tous les défis Les membres du réseau INITIAL véhiculent l’ADN de la marque basé sur des valeurs fortes et respectées par tous telles que : • le service, avec des offres sur-mesure, adaptées ; • la qualité, avec une charte qualité étudiée et revendiquée ; • la proximité, avec une identité locale, une notoriété et une reconnaissance sur leurs terres ; • le respect des délais et des engagements ; • l’expertise technique. Initial, dans le top 3 des réseaux de fabricants de menuiseries prêtes à poser 100% aluminium, est aujourd’hui un réseau profitable, prêt à relever tous les défis. C’est pour cela que Kawneer souhaite dynamiser davantage le réseau avec pour objectif d’atteindre 15 à 20 membres d’ici 2021. La course n’étant pas au nombre mais au respect des valeurs fondamentales qui constituent l’ADN de ce réseau et de la marque INITIAL. http://www.initial-fenetres.com
Il y a 4 ans et 363 jours

Pour le parc éolien en mer de Saint-Brieuc, Ailes Marines choisit Prysmian comme fournisseur des câbles sous-marins inter-éoliennes

Ce contrat d’un montant de 80 millions d’euros renforce la position du Groupe Prysmian comme acteur majeur de la transition énergétique en France Ailes Marines, en charge du développement, de la construction, de l’installation et de l’exploitation du parc éolien en mer de la Baie de Saint-Brieuc, vient de signer avec le Groupe Prysmian, leader mondial dans l’industrie des systèmes de câbles de puissance et de télécommunication, un contrat de 80 millions d’euros pour fournir les câbles inter-éoliennes du parc de Saint-Brieuc. Prysmian fournira une offre complète clé en main comprenant la conception, la fourniture, l’installation ainsi que de l’ensemble des tests pour la mise en service des 90 km de câbles tripolaires sous-marins  de 66 kV haute tension à courant alternatif (HVAC) avec une isolation XLPE. Les phases des câbles (âmes et isolation) seront fabriquées dans les usines du groupe Prysmian situées à Montereau-Fault-Yonne et à Gron (France), puis l’assemblage final des câbles tripolaires sera effectué à Nordenham (Allemagne). La livraison et la mise en service sont prévues pour fin 2022. « Ce contrat confirme une fois de plus notre avance technologique, que nous mettons au service de la transition énergétique en France, ainsi que notre capacité à fournir à nos clients des solutions performantes fabriquées localement » affirme Laurent Tardif, PDG Europe du Sud au sein du Groupe Prysmian. « Ce contrat marque un jalon important pour Prysmian, cela prouve que notre ambition de devenir un fournisseur d’une solution clé en main, couvrant l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement, est crédible et durable à long terme. Notre système de câbles inter-éoliennes de 66 kV permet de transporter deux fois plus d’énergie par rapport à des câbles de 33 kV » a ajouté Olivier Angoulevant, Directeur de la division Énergie Éolienne Offshore. Ce contrat renforce aussi la longue et fructueuse collaboration entre le Groupe Prysmian et Iberdrola Renovables, actionnaire unique de la société de projet Ailes Marines. Iberdrola Renovables a déjà confié à Prysmian plusieurs projets ces dernières années, comme le parc éolien offshore de Wikinger en mer Baltique, ainsi que le parc éolien offshore de Vineyard, situé dans l’état du Massachusetts, aux Etats-Unis. Selon Javier Garcia Perez, Président d’Ailes Marines et Directeur Offshore International d’Iberdrola : « Le contrat avec Prysmian concernant les câbles inter-éoliennes pour le parc éolien en mer de Saint-Brieuc est une nouvelle étape importante qui prouve une fois de plus qu’Ailes Marines est déterminée à investir dans la relance “verte” de l’économie et de l’industrie en France tout en contribuant à l’objectif d’atteindre zéro émission nette grâce aux énergies renouvelables » Le parc éolien en mar de Saint-Brieuc  Le parc éolien en mer de Saint-Brieuc se situera dans la Baie de Saint-Brieuc en Bretagne, à 16,3 kilomètres au large des côtes françaises. Une fois terminé, le parc éolien, d’une capacité totale de 496 MW, produira 1 820 GWh par an, l’équivalent de la consommation électrique annuelle de 835 000 habitants. Les travaux d’installation dureront plusieurs mois et se poursuivront jusqu’en 2022. Le parc éolien sera totalement opérationnel en 2023.
Il y a 4 ans et 360 jours

Saint-Gobain poursuit la recherche de "partenariats" pour PAM et Lapeyre

Interrogé sur l'évolution de l'activité canalisation, M. Bazin a déclaré lors de l'assemblée générale du groupe que "la pertinence stratégique de la recherche de partenariats demeure"."Le processus est un peu en pause compte tenu de la crise du Covid au cours des derniers mois", mais le groupe le reprendra "dès que les circonstances le permettront (...) avec la volonté de garantir la pérennité de l'activité de Saint-Gobain Pont-à-Mousson dans le long terme", a-t-il ajouté.M. Bazin a précisé que la crise avait pesé "fortement (sur) la rentabilité à court terme", avec notamment la fermeture pendant six semaines du haut-fourneau principal de Pont-à-Mousson.Mais il a souligné que le travail de redressement de l'activité canalisation en cours depuis 2017 "porte ses fruits", avec une réduction des coûts, des investissements de productivité et une réduction des surcapacités en Europe.Concernant les magasins Lapeyre (aménagement de la maison), le directeur général délégué a également dit que "le projet de recherche de partenariats reste toujours valide au plan stratégique" et que "les démarches pourraient reprendre progressivement autour de l'été"."Les efforts stratégiques d'amélioration progressent bien", a affirmé M. Bazin, en citant la logistique, la refonte de la gamme et l'informatique.De son côté, le PDG de Saint-Gobain, Pierre-André de Chalendar a souligné que les niveaux d'activité du groupe "progressent chaque semaine"."Depuis le point bas touché début avril, cette progression n'a cessé de se poursuivre avec un mois de mai qui enregistrait un niveau d'activité d'environ 80% par rapport à 2019, en jours ouvrés comparables, en nette hausse par rapport au mois d'avril qui était d'environ 60%", a détaillé M. de Chalendar, tout en précisant que les processus de reprise sont "très disparates (...) selon les pays".Le PDG a d'autre part estimé que pour les salariés du groupe en France, le chômage partiel pourrait se terminer à la fin juin, après avoir concerné plus de la moitié des effectifs durant le premier mois de confinement, de mi-mars à mi-avril, avant de diminuer régulièrement.
Il y a 4 ans et 361 jours

L’ISMO de Paris-Saclay, par KAAN et FRES : deux âmes, une façade

KAAN Architecten, en collaboration avec FRES architectes, a livré au printemps 2018 l’Institut des Sciences Moléculaires d’Orsay (ISMO). Implanté sur le campus de la future Université Paris-Saclay, ce bâtiment de 10.000 m², pour un budget de 20M€, se distingue par une apparence « puissante et élégante ». Communiqué. L’Institut des Sciences Moléculaires d’Orsay (ISMO), né en 2010 […] L’article L’ISMO de Paris-Saclay, par KAAN et FRES : deux âmes, une façade est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 362 jours

Le siège social de Linedata, à Neuilly, rénové par DL2A

Au printemps 2019, au terme de 18 mois de travaux, l’agence DL2A (Didier Lefort) a livré à Neuilly (Hauts-de-Seine) un bâtiment totalement réhabilité de 1 300 m² destiné au siège social de Linedata, une société éditrice de logiciels. Pas le moins exotique des projets de l’agence. Communiqué. Les commanditaires souhaitaient que la triple vocation du […] L’article Le siège social de Linedata, à Neuilly, rénové par DL2A est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 362 jours

Le député européen Yannick Jadot attaque Bruno Le Maire sur Renault et la rénovation des bâtiments

"Les Français ne comprennent pas que l'État, une nouvelle fois mettent des milliards et des milliards dans l'automobile et que ça conduise à 5.000 suppressions de postes" chez Renault, s'est emporté M. Jadot au cours de l'émission politique "Vous avez la parole"."On a eu le scandale du diesel, l'explosion des SUV et là vous nous refaites le même plan de relance sans penser la relocalisation autour du recyclage de l'automobile et des services de l'automobile", a poursuivi le leader écologiste."Il faut savoir ce qu'on veut, si Renault ferme ou pas, Renault joue sa survie, et la responsabilité du ministre de l'Économie, c'est de lui apporter son soutien pour qu'elle puisse vivre", lui a rétorqué le ministre de l'Économie, qui a signé cette semaine une garantie de l'État pour un prêt de cinq milliards d'euros au constructeur automobile en difficulté."Nous avons demandé à Renault de faire des relocalisations, le moteur 100 kilowatts qui devait être produit en Chine sera produit à Cléon. Renault multipliera par 4 ou 5 le nombre de véhicules électriques produits en France", a assuré Bruno Le Maire."Dans votre parti, j'entends certains qui disent que les véhicules électriques ne sont pas l'avenir, alors c'est quoi, la trottinette?", a-t-il lancé à son détracteur.L'eurodéputé vert a ensuite déploré que sur la rénovation thermique du bâtiment, le gouvernement ait "réduit le budget, alors que c'est un sujet éminemment consensuel", selon lui."Il y a 12 % de notre population qui vit dans la précarité énergétique, on a six millions de passoires énergétiques. On a des bâtiments publics, des écoles notamment, qui ne sont pas rénovés", a dénoncé M. Jadot."On a là un potentiel extraordinaire de créations d'emplois, d'amélioration du pouvoir d'achat, d'aménagement du territoire", a-t-il répété.Bruno Le Maire a indiqué qu'il y aurait des mesures pour le bâtiment au sein des 40 milliards de dépenses supplémentaires destinées à soutenir les secteurs les plus touchés par la crise du coronavirus. Elles seront présentées le 10 juin dans le projet de budget rectificatif, a-t-il précisé."La rénovation thermique des bâtiments, ça peut être le projet phare de la relance verte de la France", a estimé le ministre.
Il y a 4 ans et 362 jours

Quelles solutions pour concevoir des bâtiments répondant aux nouveaux enjeux sanitaires ?

Patrick Nossent, président de Certivéa : « Alors que le pays entame un long processus de déconfinement, un retour possible au bureau, à l'école, dans les magasins impose des réaménagements et changements d'usages en urgence au sein des bâtis. Mais pour répondre à ces enjeux sanitaires sur le long terme, nous devons aller plus loin et concevoir des bâtiments sains et performants, qui assurent une fonction de refuge, en temps de crise mais pas seulement. »Qualité sanitaire, flexibilité, connectivité, services : l'avènement du bâtiment refugePatrick Nossent : « L'Organisation Mondiale de la Santé définit la santé comme un état de bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie. La santé passe donc par le confort, la qualité des services, mais également la protection contre les évènements climatiques extrêmes. Qualité du bâtiment, flexibilité des espaces, connectivité et bonnes pratiques vont jouer un rôle central pour la qualité de vie des occupants. »1. Les qualités intrinsèques du bâtiment : qualité de l'air intérieur, de l'eau et de l'entretien des espacesVentilation, filtres, mesure de la qualité de l'air intérieur ;Mesure de la qualité de l'eau, traitements d'entretien et décontamination des réseaux intérieurs pour éviter l'altération des propriétés organoleptiques (odeur, couleur, goût, etc.), la modification des caractéristiques physico-chimiques (température, dureté, concentrations en métaux et composés organiques et contamination microbiologique ;Mesure des polluants ; mesure des seuils d'ondes électromagnétiques ;Matériaux antibactériens et faciles à entretenir ; espace de stockage des déchets, etc.2. Accessibilité et flexibilité du bâtiment pour s'adapter aux besoins des usagerAménagements intérieurs modulables pour la gestion des flux de personnes, l'espacement des postes de travail ;Modularité des usages d'un bâtiment, en particulier bâtiment public : de salle communale à lieu d'accueil pour sans-abris, de centre de congrès à hôpital de campagne, de village vacance à centre de quarantaine, etc.3. La connectivité et le numérique pour garantir le maintien de toutes les interactions, en toutes circonstancesPour organiser le télétravail, nécessité de pouvoir compter sur des réseaux sécurisés, fiables avec des outils de partage et de collaboration en ligne ;Services d'informations pour favoriser l'application des consignes sanitaires : nombre de personnes dans une salle, un étage, le nombre de voiture dans un parking ; montres connectées pour signaler la distance de sécurité ; état du trafic des réseaux de transports en commun pour éviter la cohue, etc.Ouverture des portes sans contact ;Nettoyage automatique des espaces sanitaires, etc.4. Les services associés et bonnes pratiques pour préserver la santé et favoriser le mieux-êtreDémarches d'amélioration de la Qualité de Vie au Travail en entreprise avec politiques de sensibilisation aux enjeux sanitaires ; cellule d'écoute psychologique ;Cabine médicale connectée pour bénéficier d'une téléconsultation ou check up santé ;Salles de sport, salles de sieste, espace de restauration collective de qualité ;Ergonomie des postes de travail, etc.Chocs sanitaires et climatiques : comment se prémunir durablement ?Le bâtiment doit permettre aux usagers de gérer les chocs climatiques comme sanitaires dans les meilleures conditions possibles. Les innovations en construction / rénovation et les règlementations incluent progressivement ces réalités.Mais le secteur doit surtout participer à l'amélioration durable des cadres de vie. Cela suppose un engagement multi thématiques : sobriété énergétique et installations bas carbones, préservation de la biodiversité, santé et confort des usagers, performance économique des territoires, sont autant d'enjeux interconnectés.Pour accompagner les professionnels dans la prise en compte de l'ensemble de ces problématiques, la règlementation ne suffit pas à elle seule. Les certifications volontaires en développement durable (HQE, R2S, OsmoZ) offrent des cadres méthodologiques, des solutions de gestion de projet, des grilles d'évaluation, des référentiels de bonnes pratiques exemplaires et des outils pour valoriser les efforts entrepris par les professionnels.Patrick Nossent : « Construire et préserver un cadre de vie durable et résilient suppose qu'on agisse de manière globale sur la qualité de vie, la préservation de l'environnement et la performance économique. La certification des bâtiments privés ou publics et des infrastructures sur les enjeux de développement durable permet aux professionnels d'apporter une réponse holistique à ces enjeux. »
Il y a 4 ans et 362 jours

Frédéric Carré, nouveau président de la FFB Occitanie

Le dirigeant du groupe Carré (Métallerie – Menuiserie Aluminium), ancien président (2012-2018) de la FBTP Haute-Garonne, succède à Bruno Dumas, président depuis le 1er juillet 2016.
Il y a 4 ans et 363 jours

Zoom sur la numérisation des artisans du secteur de la baie et de la métallerie

Des artisans adeptes des réseaux sociauxUne large majorité des artisans interrogés disent posséder un site internet (68,5%) et sont très présents sur les réseaux sociaux (78%). Parmi ceux-ci, Facebook est largement plébiscité avec 58% des artisans qui s'y rendent régulièrement. Viennent ensuite Linkedin (44%) et Instagram (22%). Twitter n'est utilisé que par 5% d'entre eux. A noter que les artisans qui disposent d'un site internet sont encore plus présents sur les réseaux sociaux (87%).Des artisans très équipés pour travaillerLe taux d'équipement est assez élevé parmi les artisans interrogés. Ainsi, 83% déclarent disposer d'un ordinateur portable à titre professionnel et 82,5% d'un smartphone. Bien sûr, la plupart d'entre eux utilisent plusieurs outils (2,6 en moyenne par artisan).La recherche d'information est le premier objectif pour lequel les artisans utilisent les terminaux dont ils sont équipés (96%). C'est principalement avec leur smartphone qu'ils réalisent ces recherches (72%) puis via leur ordinateur portable (58%). Viennent ensuite la réalisation de devis (91%) puis la gestion des clients (88%).Pour gérer leur activité, les artisans préfèrent toutefois l'ordinateur portable : 73% pour la réalisation des devis et la gestion des clients ; 63% pour la facturation ; 65% pour la gestion des commandes ; 70% pour trouver et gérer des prospects.De la même manière, l'utilisation de configurateurs (73% des artisans) ou de simulateurs (63%) est faite principalement sur un ordinateur portable (respectivement 68% et 59%).Parmi les services dont disposent les artisans, il est à noter que seuls 14% d'entre eux font appel à des plateformes d'intermédiation pour trouver des chantiers et être mis en contact avec des particuliers.De la même manière, le BIM est seulement utilisé par 15% des artisans pour leurs chantiers. En revanche, ils ont recours plus facilement à des applications professionnelles (36%). La réalité virtuelle, et notamment l'utilisation de lunettes 3D, n'est encore utilisée que par 4% d'entre eux.L'automatisation : un levier de développement pour les artisansLes artisans ont bien pris conscience du potentiel que représentent les objets connectés. La demande est en effet croissante de la part des clients et ces solutions offrent de nombreux avantages en termes de confort, d'économies d'énergie, de performances des habitations. Il s'agit donc d'une véritable opportunité de développement de business pour les professionnels et la plupart ont pris ce virage depuis quelques temps déjà.Ainsi 87% des artisans interrogés sont capables de répondre aux demandes d'automatisation, principalement sur les portails (46%) et les volets (44%). Les stores viennent en troisième position avec 30%, suivis des portes (19%) et des fenêtres (11%).Lorsqu'ils proposent cette solution, ils sont 54% à avoir intégré cette compétence dans leur entreprise et 46% à faire appel à un tiers (sous-traitant ou partenaire).Du côté des demandes d'automatisation, les artisans déclarent en recevoir 70% de manière spontanée. Là encore, ce sont majoritairement les portails et les volets qui sont concernés (49% pour les deux), mais aussi les stores à 33% puis les portes (23%) et les fenêtres (15%).« La transition numérique est en cours et inéluctable. Les professionnels du bâtiment et notamment ceux de la baie et de la métallerie l'ont parfaitement compris et avancent en ce sens depuis quelques années. Pour se différencier de leurs concurrents et répondre aux besoins de leurs clients voire les anticiper, ils savent que se munir d'outils numériques est primordial et c'est ce que montre l'étude que nous avons réalisée. Même si des progrès peuvent être faits, et c'est en cela qu'un salon comme EQUIPBAIE-METALEXPO est indispensable pour accompagner les professionnels. Ce n'est pas un hasard si nous avons choisi pour thème cette année « L'avenir des métiers et le numérique ». », indique Guillaume Loizeaud, directeur d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO.
Il y a 4 ans et 363 jours

Les entreprises vont toucher une aide exceptionnelle en cas d’embauche d’un apprenti

Alors que, d’après la FNTP, 37 % des entreprises de travaux publics pensent baisser leurs effectifs d’apprentis, le gouvernement va mettre en place une aide exceptionnelle de 5 000 euros pour l’accueil d’un mineur, et de 8 000 euros pour un majeur.
Il y a 4 ans et 363 jours

Covid-19 : syndicats et patronat reçus à l'Élysée pour "sauver l'emploi"

"L'enjeu", a souligné la ministre du Travail Muriel Pénicaud à l'issue de la réunion, c'est de "sauver l'emploi", de "bâtir une nouvelle donne" pour préserver les compétences des salariés.Parmi les annonces faites à l'issue de cette rencontre de près de trois heures avec les partenaires sociaux: les entreprises qui recruteront un apprenti du 1er juillet au 28 février bénéficieront d'une aide élargie à l'embauche de 8.000 euros pour les majeurs et 5.000 euros pour les mineurs.Alors que cette aide est aujourd'hui réservée aux entreprises de moins de 250 salariés et pour des diplômes au niveau inférieur ou égal au bac, le dispositif sera élargi jusqu'au niveau de la licence et à toutes les entreprises, ce qui représentera "un coût supplémentaire supérieur à un milliard d'euros", selon l'entourage de la ministre.Autre point sur lequel l'exécutif était très attendu: la réforme contestée de l'assurance-chômage. Des discussions sur ce sujet vont s'ouvrir "dans les semaines qui viennent" avec les organisations syndicales et patronales en vue de parvenir à des décisions "d'ici l'été", a annoncé la ministre du Travail dans la cour de l'Elysée.Alors que toutes les organisations syndicales réclament l'annulation de cette réforme, "les choses sont très, très ouvertes sur l'assurance-chômage", a précisé le ministère.D'autres chantiers se poursuivront dans les prochaines semaines, sur le chômage partiel qui va être aménagé, sur l'emploi des jeunes, dont "près de 800.000 vont sortir du système scolaire ou universitaire cet été", a rappelé Mme Pénicaud, ou encore sur la formation.A la sortie de la réunion, les syndicats ont accueilli avec prudence les annonces concernant l'apprentissage, et ont insisté sur la question des salaires. Philippe Martinez (CGT) a exhorté le président de la République à "convertir en actes ses propos sur les salaires, la prise en compte des deuxièmes lignes". Laurent Berger (CFDT) a appelé à "ne pas oublier la reconnaissance des travailleurs exposés pendant la période de confinement", tandis qu'Yves Veyrier (FO) a dit être "resté complètement sur (sa) faim" car "il n'y a pas eu d'annonce du tout" sur le sujet.Plus de huit millions de personnes sont au chômage partiel et plus de six millions de demandeurs d'emploi ont été comptabilisés par Pôle emploi en avril, du jamais vu en France. Et la situation devrait s'aggraver: mardi, Mme Pénicaud a anticipé que la France "repasserait les 10%" pour le taux de chômage, contre 8,1% avant l'épidémie.Le gouvernement anticipe une chute du PIB de 11% cette année et un creusement du déficit public à 11,4% du PIB contre 3% en 2019. Pour répondre à cette crise historique, "nous avons mis 450 milliards d'euros sur la table de mesures de trésorerie et budgétaire, 20% de notre richesse nationale", a souligné le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, à l'issue de la réunion à l'Elysée.Déconfinement accéléréDepuis mardi, le déconfinement a connu un coup d'accélérateur, avec la levée de l'interdiction de se déplacer à plus de 100 km de son domicile, ou encore l'ouverture partielle des cafés, restaurants et petites salles de spectacle. Le ministre de l'Education, Jean-Michel Blanquer, a par ailleurs dit jeudi espérer que le protocole sanitaire puisse être assoupli "bientôt" dans les écoles.Sur le front de l'épidémie, 44 nouveaux décès ont été recensés dans les hôpitaux en France, portant le bilan total à 29.065 morts depuis le début de l'épidémie, selon le bilan quotidien communiqué jeudi soir par le ministère de la Santé, (qui ne comprend pas les morts dans les établissements sociaux et médico-sociaux au cours des dernières 24 heures). Et la baisse se poursuit en réanimation.Durement éprouvés, les soignants ne désarment pas et plusieurs syndicats (CGT, FO, SUD, Unsa) et collectifs (Inter-Urgences, Inter-Hôpitaux) ont appelé jeudi à une journée d'action nationale le 16 juin pour réclamer notamment des moyens supplémentaires et une revalorisation générale des salaires. Ils se sont de nouveau rassemblés par centaines jeudi devant des hôpitaux.Le président Macron avait souhaité que le 14 juillet soit l'occasion de rendre hommage aux soignants. L'Elysée a confirmé jeudi que ce serait le cas, au cours d'une cérémonie militaire place de la Concorde, qui remplacera, pour des raisons sanitaires, le traditionnel défilé sur les Champs-Elysées.
Il y a 4 ans et 363 jours

Bâtiments tertiaires : détails sur le coup de pouce chauffage

Le Gouvernement a précisé les modalités d'application du coup de pouce chauffage pour les bâtiments tertiaires, financé par les certificats d'économie d'énergie (CEE).
Il y a 4 ans et 363 jours

« Jeu de pleins et vides », avec filet, à Courdimanche par Martins Afonso

L’agence Martins | Afonso atelier de design (Michaël Martins Afonso), avec Atelier Miel, a livré en janvier 2019 à Courdimanche (Val-d’Oise) la rénovation d’une maison de 200m² que les propriétaires souhaitaient plus adaptée à leur mode de vie. Un filet est l’occasion de proposer de nouveaux usages, notamment pour les enfants. Communiqué. Mise en scène […] L’article « Jeu de pleins et vides », avec filet, à Courdimanche par Martins Afonso est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 363 jours

Des VRV à condensation à eau pour climatiser les nouveaux locaux de Multiburo à Montparnasse

Une installation peu courante : des VRV à eauC'est dans le cadre d'un vaste projet de transformation du quartier de la gare Montparnasse que la SNCF Gares et Connexion a proposé la location de nouveaux espaces commerciaux en lieu et place de ses anciens bureaux.Multiburo, spécialiste de la location de salles de réunions et d'espaces de coworking, s'est installé dans la plus grande surface commerciale de la gare Montparnasse. Sur 1 600 m², des 19.000 m² de superficie totale de la galerie commerçante, Multiburo propose :11 salles de réunion35 bureaux locatifsune zone de coworking pouvant accueillir jusqu'à 30 personnes.Il s'agit de la 27e surface Multiburo ouverte en France, et la 3e en gare parisienne.Dans son cahier des charges concernant l'installation de confort climatique au sein de ses locaux, équipement prégnant au vu de son activité de loueurs d'espaces conviviaux, Multiburo avait pour exigences :Confort acoustique essentiel pour offrir un service de location de bureaux calmesConfort thermique individualisé avec thermostat déportéL'ensemble de la zone commerciale de la Gare Montparnasse est connecté sur boucle d'eau, donc de fait, imposée aux commerçants preneurs. Les installations extérieures sont interdites par manque de place, et en raison du caractère patrimonial de la bâtisse qui est classée.La recommandation d'Erwan Mener, EMD Conseil (AMO) intervenant pour Multiburo, a porté sur l'installation d'un VRV à condensation eau Daikin raccordé sur boucle d'eau, une installation peu courante et différente de celle privilégiée par les autres commerçants de la gare préférant un système PAC classique sur boucle d'eau.Bien que ne l'ayant jamais préconisé jusqu'à présent, Erwan Mener a été séduit par une installation similaire visitée à Séville, avec des avantages pluriels comparativement à un système plus classique, notamment celui d'afficher un excellent ratio confort / récupération d'énergie.Le VRV à condensation eau Daikin allie performance et économie d'énergie grâce à la pluralité de nombreuses technologies telles que l'Inverter. De plus, les groupes des VRV eau ne nécessitent qu'un réseau hydraulique direct et court, alors qu'un groupe traditionnel aurait demandé d'opérer un raccordement derrière chaque terminal intérieur. L'installation VRV s'avère plus simple à réaliser, avec moins de contraintes, et moins coûteuse en termes de mise en œuvre pour la maîtrise d'ouvrage.L'installateur, Spie Industrie Tertiaire, a donc procédé à la mise en place de 5 VRV à eau 3 tubes RWEYQ10T9Y1B dont les groupes, très compacts, sont contenus dans un local technique.Chacun reste maître de son confort thermiquePour que ses clients puissent travailler dans l'ambiance qui leur convient le mieux, Multiburo a souhaité qu'ils puissent choisir eux-mêmes la température de leur espace de travail.L'air est distribué dans les différentes pièces grâce à 59 unités cassettes (600 x 600) réparties sur l'ensemble de la zone. Ces cassettes permettent une diffusion de l'air individualisée, pour un confort optimal et adapté à chacun des clients.42 télécommandes MADOKA ont été installées, apportant une touche design aux espaces de travail. Très instinctives, elles sont laissées à la disposition des clients qui peuvent réguler la température selon leurs besoins.Un niveau sonore extrêmement réduitDésireux d'offrir à ses clients une ambiance de travail calme et propice à la concentration, Multiburo s'est tourné vers la marque Daikin pour installer des solutions très silencieuses. La technologie à détente directe du système VRV mis en place assure un niveau sonore beaucoup plus faible qu'un système de PAC air/eau.La solution VRV à eau de Daikin est donc apparue comme la solution idéale, au vu de ses performances acoustiques, pour un espace de coworking.Daikin et Multiburo n'en sont pas à leur première collaboration : les espaces de la Gare de Lyon et de Saint Lazare ont également été équipés de solution Daikin.
Il y a 4 ans et 363 jours

L'UFME élit son Président Bruno Cadudal et constitue son nouveau Bureau

Après des années d'aides fiscales dédiées à la fenêtre, la profession est entrée depuis deux ans dans une nouvelle ère. Souhaitant que l'UFME prenne une nouvelle dimension dans les débats de demain, Bruno Cadudal se fixe pour missions de :développer le réseau d'adhérents afin de renforcer sa représentativité et notamment sur les sujets liés à l'environnement,consolider sa position auprès des instances du secteur (Pôle Fenêtre, CSTB, DHUP, FCBA, AIMCC, EPPA…),permettre à chacun de participer aux travaux et échanges, quelle que soit la taille de l'entreprise, et de poursuivre son ouverture vers les extrudeurs gammistes et professions associées.« L'optimisation thermique des bâtiments reste le fer de lance de la fenêtre. Mais d'autres sujets émergent et nous occuperont dans les prochaines années. Tel est le cas de la question environnementale et du recyclage des menuiseries, sans oublier le confort que le ménage français est en droit d'attendre pour son logement.L'UFME aura de nombreux enjeux dont la revalorisation de la fenêtre PVC par exemple. Depuis 2019, la section concepteurs gammistes, rassemblant l'ensemble des acteurs de la profession, s'est mobilisée pour favoriser la revalorisation du matériau PVC. Le volet social et formation assuré depuis 2007 par l'UFME prend depuis ces derniers mois une nouvelle orientation. Même si cette mission reste plus méconnue, la gestion de la Convention Collective Menuiserie Charpente est une autre facette de nos compétences, très importante et nous offre toute légitimité pour porter haut et fort la fenêtre bois française de qualité auprès de l'ensemble des instances nationales (FCBA, Ministère …). », déclare Bruno Cadudal.Bruno Cadudal est Président d'Atlantem, activité menuiserie du Groupe HERIGE depuis dix-huit ans. Issu d'une formation d'ingénieur agro-alimentaire (ENSAIA - 1987), complétée d'un master de management (ICG - 1995), il a débuté sa carrière dans l'industrie agro-alimentaire à l'étranger pendant quatorze ans (Nouvelle-Zélande et Etats-Unis) puis en France (Lactalis et United Biscuits). Il s'est investi depuis plus de dix ans dans les actions de l'UFME et est notamment à l'initiative du baromètre d'activité, indicateur d'activité permettant chaque mois aux adhérents de se positionner par rapport au marché français. Il participe au développement et renouveau du salon Equip'baie et est impliqué dans les relations avec les partenaires de l'UFME tels que le SNFA. Ses nombreuses années en tant qu'administrateur et membre du Bureau lui ont permises d'acquérir une profonde connaissance du fonctionnement de l'UFME.La constitution d'un nouveau bureauBruno Cadudal a nommé les Présidents des Commissions :Hugues de Forges à la Commission technique (nouveau nommé),Jean-Marc Combes à la Commission sociale et formation,Patrick Sage à la Commission communication.Le Conseil d'Administration a également validé la composition du Bureau de l'UFME :Patrick Bouvet, Vice-PrésidentVincent Pasquet, TrésorierFrançois Guérin, Secrétaire Général (nouveau nommé)Jos Lenferink, Représentant de la Section extrudeurs gammistesFrançois de Labarthe, Représentant de la Section professions associées.
Il y a 4 ans et 363 jours

Cléa : nouvel espace numérique de la maison, au service de la relation et de l'accompagnement client

Tout au long du projet, CLÉA facilite et renforce la qualité de la relation entre le professionnel (constructeur, promoteur, architecte, maître d'œuvre, entreprise…) et ses clients, en permettant notamment à ces derniers de mieux suivre l'évolution du chantier et de s'approprier leur maison.Le principe : un espace numérique dédié à la maison, de sa conception à sa livraison, tout au long de son cycle de vie Contrat, suivi du chantier, réception, prise en main... : tout au long d'un projet de maison individuelle, la qualité de la relation client est fondamentale. Mais il n'est pas toujours simple de répondre rapidement à toutes les questions des propriétaires, les intégrer pleinement dans le projet, quelle qu'en soit l'étape, ou leur permettre d'accéder facilement et quand ils le souhaitent aux documents et informations-clés.C'est dans cet esprit que QUALITEL Espace Numérique du Logement a conçu et développé CLÉA, solution numérique dédiée à la maison.Objectif : faciliter le quotidien des acteurs de la construction, qu'ils soient constructeurs, promoteurs, architectes, maître d'œuvre, entreprises, etc., avec un outil pratique et interactif.Du côté des professionnels : quotidien facilité, relation client renforcéeSpécifiquement adaptée aux enjeux de la relation client dans le domaine de la maison individuelle en construction, CLÉA intègre 3 fonctionnalités essentielles pour permettre aux professionnels d'apporter à leurs clients un service à forte valeur ajoutée :Un espace sécurisé* pour centraliser, stocker et partager avec les clients toutes les informations et documents de la maison : proposition commerciale, plans, contrat et notice descriptive, etc.Un outil interactif permettant de fluidifier la communication avec les clients : suivi et avancement du chantier, envoi de photos, invitations aux visites, etc.Un guide d'entretien personnalisé pour chaque maison.Au-delà du renforcement de l'accompagnement client, c'est aussi sur la simplicité d'utilisation que les équipes de QUALITEL ont particulièrement travaillé pour faire de CLÉA un outil facilitateur au quotidien. En quelques clics, les professionnels peuvent notamment :Créer, avec le moins de saisie possible, l'espace dédié au projet ;Renseigner automatiquement les informations principales du projet et du site, en téléchargeant simplement l'étude thermique au format XML et en indiquant l'adresse de la maison ;Créer des modèles types de maisons, duplicables / adaptables à d'autres projets ;Personnaliser facilement la liste des équipements, à partir d'une bibliothèque régulièrement mise à jour en fonction des évolutions techniques, des informations, notices et conseils rédigés par les experts QUALITEL.Du côté des propriétaires : un service en plus, avant, pendant et après le chantier Avec CLÉA, via un accès dédié, protégé par un code personnel, les particuliers peuvent :Suivre plus facilement l'avancée de leur projet ;Accéder à l'ensemble des données, qu'elles soient relatives au contrat, aux caractéristiques techniques, aux équipements... ;Bénéficier de conseils et de contenus variés autour de la maison : écogestes, qualité de l'air intérieur, ventilation... ;Etc.Ce service d'accompagnement perdure par ailleurs au-delà de la livraison avec des rappels automatiques pour l'entretien des équipements, ainsi qu'un outil de suivi des consommations d'énergie conforme à l'article 23 de la RT 2012, disponible en option d'ici la fin 2020.Mieux informés, les propriétaires peuvent pleinement s'impliquer dans leur projet et s'approprier facilement le fonctionnement de leur maison et ainsi, assurer la pérennité de leur bien.*L'ensemble des informations stockées sont hébergées sur des serveurs en France et sont protégées dans le respect de la réglementation RGPD.CLÉA en brefDe quoi s'agit-il ? Un espace numérique dédié à la maison, pensé pour faciliter et renforcer la qualité de la relation client.Pour qui ?Pour tous les professionnels de la construction, en maison individuelle : constructeurs, promoteurs, maîtres d'œuvre, architectes, etc.Quand et comment y accéder ?Dès le 18 mai 2020, sur smartphones, tablettes et ordinateurs via clea.qualitel.orgCombien ça coûte ?40€ HT / maison25€ HT / maison pour les professionnels engagés dans la certification NF HabitatProchaines étapes ? Dans les tous prochains mois, CLEA sera disponible pour les acteurs du logement collectif. A l'automne 2020, une version 100% grand public sera également déployée permettant de créer l'espace de son logement actuel.
Il y a 4 ans et 363 jours

Dossier : 5 intérieurs minimalistes qui nous inspirent

Avec leurs intérieurs épurés, plusieurs agences privilégient la sobriété poussée à l’extrême et annoncent ainsi le grand retour du minimalisme dans nos foyer. Cette semaine, la rédaction de Muuuz vous dévoile cinq intérieurs minimalistes inspirants qui nous prouvent qu'en matière d'intérieur, less is more. Moulin d’Ubalt ArchitectesL’agence d’architecture d’intérieur parisienne Ubalt Architectes, fondée en 2015 par Mylène Vasse et Nastasia Potel, métamorphose un appartement de Montreuil (93) en un loft minimaliste blanc, noir et gris rehaussé par des touches de couleurs subtiles. C’est l’une des réalisations les plus représentatives de la palette surprenante du duo, mêlant ici lignes graphiques, couleurs délicates et matières travaillées. . Appartement Saint-Denis de JCPCDRParis regorge de surprises ! La preuve avec cet appartement étonnant de 75 mètres carrés situé rue Saint-Denis. Entre ouvrage haussmannien et inspiration scandinave, le projet signé JCPCDR est un ensemble contemporain, lumineux et fait la part belle aux volumes atypiques, caractéristiques de la capitale. Une source d’inspiration pour tous les citadins qui souhaiterait rafraichir leur décoration ! . Maison à Beaune d’Atelier OrdinaireConnu pour son travail du bois, l’Atelier Ordinaire signe un nouvel ouvrage familial en Bourgogne. C’est plus précisément à Beaune que l’agence alsacienne conçoit une maison préfabriquée dialoguant avec le paysage sylvestre et destinée à un couple de viticulteurs. Une cabane des plus contemporaines construite hors site qui laisse entrer la lumière grâce à de larges ouvertures savamment placées. . Appartement L de PseudonymeCréée en juillet 2017, la jeune agence parisienne Pseudonyme prouve que la valeur n'attend pas le nombre des années. Après avoir revalorisé la façade du célèbre Circus Hotel de Berlin (Allemagne), le duo d'architectes affiche son goût pour les textures métalliques et signe un lieu unique au cœur du 6e arrondissement de la capitale, entre espace privé, appartement de collectionneur et galerie d'art. Focus sur un studio dont on n'a pas fini d'entendre parler... . MA d’Extra MediumLe projet « MA », c’est tout d’abord une histoire de famille. Le terrain, acheté par les proches de l’architecte au début des années 2000, était jadis une ferme typique du Vaucluse se confondant avec le paysage. Repris en mains par les équipes d’Extra Medium il y a 4 ans, la demeure se transforme ainsi en un havre de paix où paysage, charme et design cohabitent en harmonie.La Rédaction
Il y a 4 ans et 363 jours

Une maison bois avec une serre en lieu et place de toit

Cette maison bois avec une serre a été conçue par Richar David Architekti à Horice en République Tchèque. Le projet s’est réalisé en trois étapes. [De l’architecte] La première est la reconstruction de l’ancienne maison des propriétaires. Nous avons fait des calculs de coûts et leur avons proposé de construire une nouvelle maison avec un […]
Il y a 4 ans et 363 jours

Covid-19 : les bailleurs acceptent le report de 3 mois des loyers commerciaux

Fin avril, Bercy avait annoncé la nomination d'une médiatrice, Jeanne-Marie Prost, afin de définir "des accords-cadres" et des règles de bonne conduite entre les commerçants en difficulté et leurs bailleurs.Mercredi, dans un communiqué, le ministère annonce la finalisation de ces travaux sous la forme d'"une charte encadrant les reports et annulations de loyers pour la période de confinement et la période de reprise jusqu'au 30 septembre 2020"."Dans cette charte, les bailleurs acceptent de reporter trois mois de loyers (deux au titre du confinement et un correspondant à un prorata des quatre mois de reprise jusqu'à septembre) pour les commerçants qui en ont besoin, quelle que soit leur taille", est-il précisé.Bercy rappelle que les grandes fédérations de bailleurs (CNCC, SFIF, CDC, AFG, ASPIM, FFA) "s'étaient déjà engagées à annuler trois mois de loyers pour les TPE fermées administrativement"."Le bailleur et son commerçant devront s'accorder avant le 30 juin sur le règlement des sommes reportées et l'échéancier de remboursement, qui pourra s'étendre au-delà du 30 septembre si la situation du commerçant le justifie", précise le communiqué.Le ministère précise que la charte a reçu l'adhésion des fédérations de bailleurs CNCC, SFIF, UNPI, AFG, ASPIM, FFA d'une part, de plusieurs fédérations de commerçants d'autre part (Confédération des commerçants de France, Commerçants et artisans des métropoles de France, fédérations de l'habillement, de l'équipement du foyer, des détaillants de la chaussure, de la photographie, etc.)D'autres fédérations associées à la médiation "n'ont pas souhaité adhérer à la charte, préférant poursuivre la négociation avec leurs bailleurs sans se référer à ce cadre", selon le communiqué.Pour ces 15 fédérations opposées au projet de charte sur les loyers, parmi lesquelles la FFF, l'alliance du commerce, la Fnaem, les propositions sont "limitées, non contraignantes, déséquilibrées et excluantes", indiquent-elles dans un communiqué où elles pointent du doigt "l'échec de cette médiation".Le report d'un trimestre d'un loyers est "déjà largement [appliqué]", développent ces non-signataires, et les contraintes appliquées aux bailleurs ne leur semblent pas suffisantes.L'accord ne prend pas en compte "tous les lieux encore fermés, comme les cinémas, les bars et restaurants dans les zones orange, et les commerces implantés dans les centres commerciaux de plus de 70.000m³, que l'État n'a pas autorisés à rouvrir le 2 juin", ajoutent-ils.Interrogé par l'AFP, le président de la Confédération des commerçants de France Francis Palombi s'est félicité de la conclusion de cette charte "qui était nécessaire. Cela a été laborieux, mais nous avons une base de travail: nous devons à présent nous retrouver autour d'une table pour discuter des clauses et des détails".Ces mesures sont "particulièrement satisfaisantes pour les toutes petites entreprises que nous représentons, de moins de 11 salariés", a souligné M. Palombi.
Il y a 4 ans et 363 jours

Covid-19 : ultime feu vert de l'Assemblée à un nouveau texte d'urgence

Objet d'un accord mardi entre députés et sénateurs, le texte approuvé à main levée par les élus LREM, MoDem et la grande majorité des UDI devra encore obtenir l'aval du Sénat le 10 juin pour être adopté définitivement par le Parlement.Les trois groupes de gauche - PS, LFI et PCF - ont voté contre, dénonçant notamment des "brèches dans le droit du travail" et un code du travail "désossé", l'ex-LREM Emilie Cariou (Écologie Démocratie Solidarité) formulant aussi des critiques en ce sens.Au nom de LR, Antoine Savignat a déploré un projet "illisible, sans cohérence" et rappelé, comme d'autres élus, le qualificatif de "gloubi-boulga" qui lui a été affublé par des parlementaires.Le texte prévoit notamment de nouvelles adaptations en matière de chômage partiel, des mesures relatives à la justice, ainsi que des dispositions liées au Brexit.Il prévoyait initialement 40 habilitations à légiférer par ordonnances, un nombre ramené à six par les parlementaires, a indiqué le ministre des Relations avec le Parlement Marc Fesneau, défendant un texte qui "vise à répondre à une crise qui touche de nombreux domaines".Au chapitre du droit du travail, le texte permet notamment une modulation du dispositif de chômage partiel à partir du 1er juin. Il créé un dispositif spécifique d'activité partielle dénommé "activité réduite pour le maintien en emploi" qui doit permettre, sous réserve de négociations d'entreprise ou de branche, "une réduction du temps de travail" compensée "en partie" par l'État.Le texte prévoit également que les salariés en activité partielle bénéficieront de droits à la retraite à titre exceptionnel jusqu'au 31 décembre. Il permet en outre la poursuite du recours à des contrats courts ou encore facilite le prêt de main d’œuvre.Sur le volet justice, le projet de loi permet notamment une extension de l'expérimentation des cours criminelles dans 18 départements. Le gouvernement avait proposé de la porter à 30 départements pour faire face à l'engorgement des tribunaux lié à l'épidémie mais les sénateurs avaient initialement rejeté toute extension.Toujours au chapitre judiciaire, le projet de loi acte également plusieurs reports dont celui de la réforme du divorce à 2021.Parmi ses diverses mesures, le texte habilite en outre le gouvernement à prendre par ordonnances des dispositions liées au Brexit à l'issue de la période de transition, qui doit en principe s'achever au 31 décembre. Là aussi un compromis a été trouvé: initialement fixée à 30 mois, l'habilitation a été réduite à douze mois.
Il y a 4 ans et 363 jours

"Il faut amplifier le tournant environnemental" (François de Mazières)

POINT DE VUE. Le maire (DVD) de Versailles, ancien président de la Cité de l'architecture et du patrimoine, plaide, auprès de Batiactu, pour un autre aménagement du territoire, l'"amplification du tournant environnemental", et une plus grande place accordée aux élus locaux dans la politique d'attribution des logements sociaux.
Il y a 4 ans et 363 jours

Un protocole pionnier pour les surcoûts du Covid-19 en Alsace-Moselle

Le Syndicat des eaux et de l’assainissement Alsace-Moselle a signé le 3 juin un accord avec les fédérations locales de travaux publics sur sa prise en charge des dépenses induites par les mesures sanitaires. Elle repose sur un plafonnement par rapport au montant du marché et au coût journalier par salarié.
Il y a 4 ans et 363 jours

Le confinement, révélateur des inégalités en matière de qualité du logement

École, travail, loisirs... c'est tout leur quotidien que les Français confinés ont dû revisiter pendant 2 mois. Au cœur de ces nouveaux modes de vie improvisés, un élément charnière : le logement. Perçu et vécu comme un « cocon », celui-ci a pu aider à vivre cette période inédite et complexe. À l'inverse, moins bien supporté, il a aussi pu contribuer à générer des tensions supplémentaires.Dans tous les cas, alors que la vie commence à reprendre un cours « plus normal », l'étude QUALITEL - IPSOS le montre : le confinement a révélé et confirmé l'importance de la qualité du logement dans la vie des Français. L'importance de la qualité du logement plus que jamais confirmée, mais des inégalités observéesCette période de confinement a été un révélateur de l'importance de la qualité du logement pour les Français, pour le meilleur et parfois pour le pire.Un grand nombre de Français ont plutôt, voire beaucoup, apprécié leur logement pendant ces deux mois. Une part non-négligeable (34%) affirmait même, au bout de 6 semaines, « qu'ils pourraient vivre en confinement très longtemps sans problème ».Mais qui étaient ces confinés « heureux à la maison » ? Des personnes plutôt âgées de 60 ans et plus, vivant en couple et propriétaires d'une maison en commune rurale. Ce sont ceux qui donnent la meilleure note à la qualité de leur logement, 7,2/10 [1] contre 6,7/10 pour ceux qui avouaient « commencer à en avoir marre ». Certains ressortent même de cette période avec un attachement renforcé à leur domicile : 37% affirment avoir « adoré » leur logement pendant le confinement.A contrario, 20% de Français, soit près de 8 millions de foyers, ont déclaré avoir « mal supporté » leur logement pendant le confinement.Parmi eux, on trouve une sur-proportion de jeunes (28% des moins de 35 ans), de personnes seules (26%), en appartement (29%) avec des revenus modestes (32% des personnes gagnant moins de 1 250€).Plusieurs facteurs liés au logement ont contribué à vivre plus ou moins bien le « mode confiné »La catégorie d'agglomération...Sans surprise, la France des campagnes qui juge en temps normal plus favorablement la qualité de son logement (cf. baromètre Qualitel 2019) a globalement mieux vécu le confinement. 65% des personnes vivant en zone rurale ont estimé que leur logement était tout à fait adapté pour vivre confiné, 47% pour les personnes vivant dans une grande métropole (35% pour l'Île-de-France)....Le fait d'habiter en appartement ou en maison...Un des éléments particulièrement discriminant pour avoir bien vécu le confinement est le fait d'habiter en maison plutôt qu'en appartement. Les habitants d'appartement qui évaluent la qualité de leur logement à 6,2/10, n'ont été que 28% à juger que leur logement était tout à fait adapté à une vie confinée, contre 65% de ceux vivant en maison avec une note de 7,1/10....D'être propriétaire ou locataire...Les propriétaires ont également noté plus généreusement leur logement en cette période de confinement (7,3/10), par rapport aux locataires (6 en moyenne et 5,7 pour les locataires de logements sociaux). Et ce sont ces mêmes propriétaires, qui, à 61%, ont trouvé que leur logement était tout à fait adapté au confinement (33% pour les locataires)....De bénéficier du vrai luxe, l'espaceSans surprise, la surface du logement a constitué l'un des critères les plus décisifs pour bien vivre le confinement : seul 1 Français sur 4 habitant dans moins de 75 m² (hors studio) a jugé son logement tout à fait adapté au confinement, une proportion passant à près de 8 Français sur 10 pour ceux habitant dans plus de 120 m².Dans le détail, ceux qui ont jugé leur logement inadapté l'ont principalement expliqué par le manque d'un espace extérieur (52%), une surface globale trop petite (49%) ou l'absence d'une pièce pour s'isoler (33%).Le grand confinement de 2020 pourrait ainsi marquer un tournant dans cette « conquête de l'espace ».Vers de nouveaux horizons38% des habitants d'appartements affirment que cette période leur a donné envie de déménager, soit un chiffre 3 fois plus élevé que les habitants de maison. C'est le cas aussi de 31% des habitants de l'agglomération parisienne, bien plus nombreux que les résidents des villes moyennes (21%) à émettre le souhait de déménager.Même constat chez les parents : 41% des personnes ayant des enfants en bas âge souhaitaient déménager à l'issu de ce confinement. Ils ont davantage souffert de la promiscuité et du manque d'espace. Des difficultés qui ont été anticipées par certains : ainsi les familles avec enfants en bas âge ont été deux fois plus nombreuses que la moyenne des Français à quitter leur logement pour passer le confinement ailleurs (11% contre 6%).
Il y a 4 ans et 363 jours

Un nouveau président pour Perl

CARNET. Perl, filiale du groupe Nexity basée sur le modèle de l'investissement en nue-propriété adossé à de l'usufruit locatif social, a un nouveau président en la personne de Julien Drouot-l'Hermine. Celui-ci conserve la présidence d'une autre filiale du promoteur : iSelection, spécialisée dans l'immobilier de placement.
Il y a 4 ans et 364 jours

Le monde d'après : l'architecte japonais Shigeru Ban appelle à repenser les habitats d'urgence

En cas de séisme, tsunami, violente tempête ou inondation dans un contexte pandémique, "les centres d'évacuation représenteraient des lieux à haut risque" d'infections en raison des attroupements de gens, avertit l'architecte de 62 ans interrogé par l'AFP."Gérer la situation avec quelques jours de retard serait rédhibitoire", ajoute-t-il, recommandant par conséquent d'anticiper des infrastructures adaptées.Lui et ses équipes ont conçu des espaces individuels, cloisonnés par des tentures suspendues à de longs tubes en papier: un système spartiate mais souple, récemment testé dans un gymnase de la ville de Yokohama (sud-ouest de Tokyo) pour héberger des personnes démunies lors de la crise du Covid-19.Les autorités japonaises par exemple ont été tellement accaparées par la crise sanitaire qu'elles n'ont pas anticipé le scénario d'une catastrophe naturelle en période de pandémie, selon l'architecte: "C'est seulement récemment que les gens ont commencé à se demander ce qu'il faudrait faire en cas de séisme"."Je sais que ce n'est pas facile mais je pense que nous devons y réfléchir", insiste-t-il.Lauréat du prix Pritzker en 2014, la plus prestigieuse récompense en architecture, Shigeru Ban propose des solutions innovantes d'habitat d'urgence depuis plus d'un quart de siècle et aux quatre coins de la planète, du Japon à la Turquie en passant par Haïti et le Rwanda.Ému par le printempsIl est notamment connu pour sa "cathédrale de carton" de Christchurch, structure semi-temporaire construite après le séisme dévastateur de 2011 en Nouvelle-Zélande.Mais il a aussi conçu des bâtiments permanents, comme en France le musée d'art contemporain Centre Pompidou-Metz ou la salle de spectacle La Seine Musicale à Boulogne-Billancourt, avec son associé Jean de Gastines.En mars, Shigeru Ban devait justement s'envoler pour Paris, où son bureau européen est installé, mais a renoncé en dernière minute à son déplacement devant le confinement imminent de la France.Depuis, il n'a pas cessé de travailler, sept jours sur sept: son bureau à Tokyo n'est qu'à cinq minutes à pied de son domicile."Je ne fais rien d'autre que travailler. Je n'ai pas de loisirs et je ne fais rien de spécial à cause de la situation dans laquelle nous sommes".Ce temps suspendu est toutefois aussi l'occasion pour lui de poser son regard sur la nature environnante et le rythme des saisons au Japon, pour la première fois depuis une éternité."C'est probablement la première fois depuis 16 ans que je reste au Japon pendant plus d'un mois d'affilée. J'ai été très ému par la beauté de l'arrivée du printemps", confie-t-il.Mirages de la technologieMais le travail sur le terrain lui manque. "Il est dangereux d'essayer de tout résoudre avec la technologie. Il est faux de croire que l'on n'a pas besoin de se rencontrer en personne parce qu'on a la vidéoconférence", prévient-il."Faire des modèles 3D sur ordinateur n'a rien à voir avec le fait de créer une véritable maquette ou de fabriquer un objet avec les matériaux en main", ajoute-t-il. "Il faut pouvoir être capable de créer en ressentant les matières et leur poids".Il déplore aussi le manque d'ouverture sur le monde des étudiants japonais, une attitude risquant de se renforcer encore avec la pandémie selon lui."Ce serait vraiment grave si les étudiants japonais se repliaient sur eux-mêmes et n'allaient plus à l'étranger sous prétexte qu'ils sont bien au Japon. C'est ce qui me préoccupe le plus"."Il faut plus que jamais se tourner vers l'extérieur, se mélanger et échanger avec des personnes différentes", insiste celui qui a étudié l'architecture aux Etats-Unis.Le Japon a été relativement épargné par la pandémie, avec environ 17.000 cas de contamination recensés et 900 morts depuis le début de la crise sanitaire.L'état d'urgence avait été déclaré par le gouvernement en avril, et a été levé par étapes à partir de la seconde quinzaine de mai.
Il y a 4 ans et 364 jours

Transformation "à minima" de la maison d'Hitler pour en faire un poste de police

C'est par son approche sciemment "minimaliste en apparence" que le cabinet d'architecte autrichien Marte.Marte a remporté l'appel d'offre européen lancé pour transformer la bâtisse, a expliqué le président du jury, Robert Wimmer, en conférence de presse.Le gouvernement autrichien a mené une longue bataille judiciaire pour s'assurer la propriété de cette maison située dans le nord du pays, dans le but d'empêcher que l'endroit où est né Adolf Hitler le 20 avril 1889 ne devienne un lieu de pèlerinage néonazi.La bâtisse de 800 mètres carrés située dans le centre de Braunau-am-Inn, à la frontière allemande, va notamment être rehaussée par une nouvelle toiture, et subir un agrandissement."Confier ce bâtiment à la police est la meilleure des choses à faire pour le neutraliser", a estimé le responsable du projet au gouvernement, Hermann Feiner.Plusieurs hypothèses avaient été envisagées pour l'avenir du bâtiment, y compris sa démolition ou une transformation radicale de son architecture.Les travaux vont coûter cinq millions d'euros financés par l'État. Ils s'achèveront au début de l'année 2023."Un nouveau chapitre, tourné vers l'avenir, va être ouvert concernant la maison natale d'un dictateur et d'un meurtrier de masse", a déclaré le ministre autrichien de l'Intérieur Karl Nehammer.Au terme d'une longue procédure, l'Autriche était définitivement devenue en 2019 propriétaire de cette maison, après en avoir été locataire pendant plus de 40 ans. Une expropriation avait dû être engagée contre la propriétaire.L'Autriche, annexée par l'Allemagne en 1938, a longtemps entretenu une relation complexe avec son passé. Après la Seconde guerre mondiale, ses gouvernements successifs l'ont présentée comme "la première victime du nazisme", niant la complicité de nombreux Autrichiens dans les crimes du IIIe Reich. Un regard critique a commencé à s'exercer au milieu des années 1980.
Il y a 4 ans et 364 jours

Les seules scies sur table avec aspirateur intégré pour une coupe à sec et sans poussière

Depuis la fin d’année 2019, ATDV a repris une nouvelle carte très prometteuse sur le marché. Déjà beaucoup plébiscitée dans l’Europe et l’Amérique, la société est maintenant en mesure de proposer des scies sur table iQ pour couper tous types de carrelages, de la brique, des pierres du béton et des pavés etc.. Trois modèles sont disponibles suivant le besoin de l’utilisateur. La grande innovation de ses produits ? Ce sont les seules scies sur table au monde avec un système d’aspiration cyclonique intégré. Elles permettent une coupe à sec et sans poussière et donc de travailler en intérieur et en extérieur. Grâce à ce nouveau système l’utilisateur sécurise ses voies respiratoires, garde son champ de vision dégagé et travaille plus rapidement. De plus, les scies sont simples à transporter et l’utilisateur n’aura plus de nettoyage à effectuer en fin de chantier. De quoi changer la vie de beaucoup d’entreprises. Les 3 types de scies sur table sont compactes, simples d’utilisation et facilement transportables. Les avantages : Un aspirateur intégré captant 99.5 % des poussières Montage simple, pas d’eau ni de poussière. Plus d’installation de protection de chantier et de nettoyage dus à l’utilisation de l’eau Transport simple Coupe précise, nette et rapide Pas de laitance et d’eau contaminée dans la nature et les canalisations L’utilisateur ne respirera plus de la silice Le disque reste froid ce qui permet d’avoir une plus grande durée de vie du matériel et consommable.   Informations supplémentaires : iQTS244 Coupe tout type de carrelage, pierre naturelle etc.. Capacité de coupe standard : 25 mm d’épaisseur et 610 mm en longueur Dimensions (en mm) : 685 x 711 x 864 Tension : 230 V Puissance : 2000 W Poids : 42 kg Diamètre du disque : 255 mm Aspirateur : 47 dm3/s Capacité bac à poussière : 5 kg Accessoires : Support X – Guide d’onglets – Kit de tuyau d’aspiration iQ360XR Coupe la pierre, la brique, des pavés etc.. Capacité de coupe : 95 mm d’épaisseur et 305 mm en longueur Dimensions (en mm) : 432 x 762 x 508 Tension : 230 V Puissance : 2300 W Poids : 30 kg Diamètre du disque : 355 mm Aspirateur : 47 dm3/s Capacité bac à poussière : 22 kg Accessoires : SmartCart iQMS362 Coupe du béton, pierre, maçonnerie etc.. Capacité de coupe : 140 mm d’épaisseur et 610 mm en longueur Dimensions (en mm) : 432 x 762 x 508 Tension : 230 V Puissance : 2300 W Poids : 68 kg Diamètre du disque : Q-drive 420 mm Aspirateur : 47 dm3/s Capacité bac à poussière : 18 kg Poids maxi sur la table : 25 kg
Il y a 4 ans et 364 jours

"La rénovation énergétique, excellent candidat pour le plan de relance" E.Wargon

ENTRETIEN EXCLUSIF. Rénovation énergétique, label RGE, coups de pouce CEE, diagnostic de performance énergétique, réglementation environnementale, relance... La secrétaire d'État à la Transition écologique et solidaire, Emmanuelle Wargon, a reçu Batiactu au ministère pour effectuer un tour d'horizon de l'actualité.
Il y a 4 ans et 364 jours

Saint-Gobain cède sa participation dans Sika pour 2,41 Md€

Pierre-André de Chalendar est le Pdg de Saint-Gobain. [©Saint-Gobain] Saint-Gobain a annoncé avoir finalisé la cession d’environ 15,2 millions d’actions Sika détenues par sa filiale Schenker-Winkler Holding AG. Ceci représentant l’intégralité de sa participation de 10,75 % du capital de l’industriel suisse Sika. Et ce, pour un montant total de 2,41 Md€. La transaction s’est effectuée par placement privé auprès d’investisseurs institutionnels qualifiés par voie de construction accélérée d’un livre d’ordres. Cette cession permet à Saint-Gobain de générer un gain brut s’élevant à 1,44 Md€ depuis mai 2018. Cette vente de la participation dans Sika lui permet ainsi de renforcer encore son bilan. Retour sur la vente par Saint-Gobain Rappelons que Saint-Gobain avait acquis une participation de 10,75 % dans Sika dans le cadre d’un accord global conclu avec le Suisse et la famille Burkard en mai 2018, lors du rachat de Schenker-Winkler Holding AG. Les titres Sika étaient détenus en tant que titres de participation. « La participation dans Sika a constitué un investissement exceptionnel pour Saint-Gobain durant les deux dernières années, explique Pierre-André de Chalendar, Pdg de Saint-Gobain. Nous avons finalisé la vente pour un montant de 2,56 Md de CHF, soit environ 2,41 Md€, à comparer avec un prix d’achat de 933 M€ en mai 2018. La réalisation d’un tel retour sur investissement est un développement très positif pour le groupe. Les gains de cette cession renforceront le bilan, la flexibilité financière et la position de liquidité de Saint-Gobain dans un environnement qui demeure incertain. »
Il y a 4 ans et 364 jours

Lancement du chantier du parc éolien de Fécamp

EDF Renouvelables, Enbridge et wdp ont annoncé le début du chantier du parc éolien en mer de Fécamp. D’une capacité de 500 MW, le parc éolien en mer de Fécamp sera composé de 71 éoliennes localisées entre 13 et 22 km au large des côtes. Sa mise en service est prévue à l’horizon 2023.
Il y a 4 ans et 364 jours

Incendie sur le chantier de la Poste du Louvre à Paris

Un incendie spectaculaire est survenu rue Étienne Marcel ce mardi 2 juin, devant le chantier de restructuration de la Poste du Louvre conduit par Dominique Perrault Architecture depuis 2016. Une fuite de gaz provenant d’une canalisation « sous-trottoir » s’est rompue et des flammes de dix mètres de haut se sont propagées le long de la façade en pierre du bâtiment historique, conservée et restaurée dans l’esprit du bâtiment transformable de Julien Guadet, son concepteur. L’intervention...
Il y a 4 ans et 364 jours

Covid-19 : le chantier du CHU de Guadeloupe a repris

Le chantier du futur C.H.U. de la Guadeloupe a repris avec 150 ouvriers et bientôt 300 tout en assurant des mesures de sécurité face au Covid-19.
Il y a 4 ans et 364 jours

Les artisans du BTP veulent croire à la relance économique du secteur

Fort de son positionnement privilégié avec plus de 2.200 artisans partenaires, PrimesEnergie.fr dévoile les principaux enseignements de son enquête de terrain inédite réalisée à la sortie du confinement.Principaux enseignementsEn dépit de la crainte d'un « trou d'air » post-confinement...Si 91% des artisans estiment avoir pris les mesures sanitaires nécessaires pour assurer la sécurité et la santé des salariés, plus d'un patron sur deux craint d'envoyer ses collaborateurs travailler sur les chantiers. Le coronavirus représente une menace latente sous laquelle il est difficile d'être serein : très partagés, seule la moitié estime que les conditions sont réunies pour que le secteur du BTP poursuive son activité.Alors que 54% des répondants déclarent avoir conservé une activité relativement normale durant la période de confinement, une part significative d'artisans a été contrainte de cesser toute activité (23%) quand d'autres ont pu limiter la casse en recourant au chômage partiel (23%). Moins touchés que dans les secteurs de la restauration, du tourisme ou de l'événementiel, les professionnels du bâtiment s'interrogent sur la capacité du gouvernement à soutenir durablement le secteur (59%).Alors que les particuliers représentent 2/3 de leur activité, le maintien des aides comme le dispositif des certificats d'économie d'énergie ou la TVA à 5,5 % sur certains travaux est pour eux un enjeu majeur. Ainsi, alors que les résultats de l'étude OpinionWay révélaient notamment que près de 7 Français sur 10 s'inquiètent de la capacité de l'État à maintenir les aides à la rénovation énergétique, 63% des artisans du BTP s'inquiètent quant à eux de la capacité des particuliers à financer leurs travaux.Au-delà de la problématique du financement, 46% des professionnels craignent de voir baisser la motivation des Français à réaliser des travaux. Enseignements de nature à les rassurer : 59% des Français se déclarent inquiets de la disponibilité des artisans pour continuer et terminer les travaux de rénovation et 41% craignent de ne pas pouvoir concrétiser leurs projets en la matière.... Le moral des artisans du BTP résiste à la crise.Alors que le marché du bâtiment est l'un des premiers secteurs d'activité économique du pays, les artisans du bâtiment se montrent globalement optimistes sur les perspectives économiques d'une façon générale et le marché du bâtiment en particulier (52%). Indicateur révélateur de leur état d'esprit positif : près de 7 sur 10 témoignent également leur confiance dans la capacité de leur entreprise à surmonter la crise et à maintenir les emplois.Malgré les difficultés occasionnées par la crise actuelle, 26% des artisans interrogés estiment avoir retrouvé leur niveau habituel d'activité à la rentrée et 35% pensent avoir repris ¾ de leur activité.« Cette enquête terrain transmet une vision particulièrement encourageante de la perception des professionnels du bâtiment. Elle permet de relever l'évolution du paysage général et démontre que la transition écologique est synonyme de relance économique vertueuse autant pour les particuliers que les professionnels. L'étude que nous avons réalisée avec OpinionWay démontre avec force que les Français ne veulent plus choisir entre l'économie et l'environnement et que les aides à la rénovation énergétiques et les certificats d'économie d'énergie en particulier seront une des pierres angulaires de la reprise » - Nicolas Moulin, Président de PrimesEnergie.fr.Note méthodologique : enquête réalisée en mai 2020 auprès de 370 artisans du bâtiment.
Il y a 4 ans et 364 jours

Collectivités et architectes sont-ils prêts pour le BIM généralisé ?

NUMÉRIQUE. La filière est-elle prête pour l'instruction dématérialisée des demandes de permis de construire au 1er janvier 2022, comme le prévoit la loi ? Fin mai, François Pélegrin, président d'honneur de l'Unsfa, a présenté une expérimentation qui doit aider architectes et services instructeurs à appréhender le permis de construire numérique, dans le cadre du plan BIM 2022.
Il y a 5 ans et 0 jours

Point.P publie son nouveau catalogue

Point.P a publié le catalogue “Matériaux, Outillages & Consommables”. [©Point.P] Point.P lance l’édition 2020 de son catalogue “Matériaux, Outillages & Consommables”. L’outil se veut 2-en-1, en intégrant à la fois une partie matériaux, qu’une partie outillages et consommables, avec plus de 30 000 références. Il s’adresse à l’ensemble des acteurs du BTP. Pour répondre aux besoins de la filière, plus de 365 000 exemplaires sont diffusés. Soit 40 % d’exemplaires en moins que l’année 2019. Et ce, pour répondre aux contraintes environnementales actuelles. Le catalogue se décline en 10 versions régionales. Pour chacune, la partie “matériaux” comprend 11 univers. A savoir : Gros œuvre, Façade ITE, Assainissement, VRD-TP, Bois et Panneaux, Couverture, Systèmes plaque et Plâtre, Isolation, Plafond, Menuiseries intérieures & extérieures et Revêtements sol & mur. Quant à la partie “Outillages”, elle est repartie en 8 univers. Tels que Connectivité-électricité, Electro & Consommables, Matériel de chantier, Protection individuelle, Outillage manuel, Fixation-quincaillerie, Plomberie-sanitaire. Ainsi que Mastic-peinture-droguerie. Ce nouveau catalogue a été pensé, afin de faire gagner du temps aux professionnels. Afin de pousser cette volonté encore plus loin, Point.P a même intégré un nouveau service de contact par SMS. En effet, en fin de page, une liste d’agences Point.P ayant adopté ce service est proposée.
Il y a 5 ans et 0 jours

Avec Web2vi, Unilin Insulation renforce son offre de services pour les membres du Club Unilin

Aujourd'hui, pour poursuivre son engagement sur les chemins de l'innovation, l'industriel étaye son offre pour les membres du Club en partenariat avec WEB2Vi.com, créateur d'outils numériques pour les professionnels du bâtiment. UNILIN Insulation propose deux packs pour réaliser des devis 2 fois plus vite et optimiser la gestion de l'entreprise, en prenant en charge jusqu'à 50% de l'investissement, en fonction du nombre de chantiers réalisés.WEB2VI.com, un partenaire innovantGrâce à ce partenariat, UNILIN Insulation se met au service des adhérents pour les aider à mieux gérer leur entreprise et maintenir leur savoir-faire dans un monde où le digital offre des solutions innovantes et impactantes qui couvrent toutes les étapes d'un projet.En effet, plus qu'un outil de prise de mesure et de chiffrage, WEB2Vi.com est un logiciel et une bibliothèque d'ouvrages pour couvreurs et charpentiers ainsi qu'une plateforme de gestion en ligne depuis le métré jusqu'à l'export comptable. Des référentiels de poses précis créés par des professionnels pour tous les métiers du bâtiment y sont disponibles. De plus, l'intégration du métré 3D dans le devis grâce au drone ANAFI avec prise de vue 4K (en collaboration avec Parrot) complète l'offre de solutions novatrices.Ces outils numériques permettent aux artisans de renforcer l'efficacité dans leur gestion :réalisation de maquettes 3D métrées à partir des images 4K du drone,des temps de métrés et devis divisés par 10,amélioration des diagnostics terrain et visualisation parfaite de l'état de la toiture,réduction des risques de chute, la sécurité étant une préoccupation majeure chez UNILIN Insulation,gestion des clients et négociation commerciale simplifiées.Deux packs WEB2Vi.com pour répondre aux différents besoinsUNILIN Insulation propose aux membres du Club deux packs avec une participation financière pouvant aller jusqu'à 1145 euros en fonction du nombre de chantiers Trilatte réalisés avec cet outil.Le pack métré 3DUne solution intermédiaire comprenant le logiciel de photogrammétrie, le drone PARROT ANAFI ainsi qu'une tablette, pour réaliser les maquettes 3D et les mesures et diagnostics.Le pack ProLa solution complète comprenant le Pack métré 3D ainsi que le logiciel de gestion avec les bibliothèques d'ouvrages et de matériaux de WEB2Vi.com.A travers ce partenariat, UNILIN Insulation poursuit donc sa mission d'accompagnement auprès de ses partenaires installateurs en les sensibilisant, en les formant et en leur proposant d'accéder de manière privilégiée à des solutions innovantes et simples.Le Club UNILIN est plus que jamais au service des couvreurs, charpentiers et entreprises générales pour les aider, au quotidien, à mettre en œuvre les meilleures solutions d'isolation par l'extérieur des toitures en pente.
Il y a 5 ans et 0 jours

ONDULINE : Une toiture amiantée de 4 200 m2 rénovée avec ONDUCLAIR RENOV FC

Changer l’ensemble d’une toiture en fibrociment amianté prend du temps et exige souvent des investissements élevés. Pour rénover la toiture de leur concession automobile et éviter toute perte d’exploitation durant le chantier, les dirigeants de cette entreprise, située à Caudan dans le Morbihan, ont choisi une rénovation en sur-toiture avec le système ONDUCLAIR RENOV FC proposé par ONDULINE. La législation en termes de rénovation d’une toiture amiantée implique de nombreuses contraintes. Déposer une toiture amiantée peut vite devenir lourd d’un point de vue financier car il convient de faire appel à une société spécialisée et certifée sous section 3 du Code du travail. Celle-ci doit sécuriser l’ensemble du chantier, dans un cadre législatif très strict, ce qui dans le cas de cette concession automobile risquait de rendre inaccessible les locaux, le temps du démontage puis de l’installation d’une nouvelle couverture. Pourtant l’ancienneté de la toiture de ce bâtiment la rendait sujette à des problèmes d’infiltration, ce qui présentait des risques pour la santé des employés. Le bâtiment est composé de 3 halls, chacun recouvert d’une toiture ondulée en fibrociment amianté de 1 400 m2, soit une surface totale de 4 200 m2. Compte tenu de l‘importance de la surface à rénover et des contraintes économiques, il a été choisi de conserver l’ancienne toiture et de la recouvrir sans perçage avec un matériau adapté. Il a fallu opter pour une solution légère, qui puisse être supportée par la charpente existante. Romuald Bigot, responsable commercial de La Maison de l’Étancheur, et Michel Provost, dirigeant de l’entreprise de couverture CCBI agréé Onduline, en charge du chantier, ont proposé le système ONDUCLAIR RENOV FC, dont l’application revêt de nombreux avantages. ONDUCLAIR RENOV FC Solution économique et efficace Le système ONDUCLAIR RENOV FC est une solution de sur-toiture efficace, en termes d’étanchéité et d’isolation, qui permet un strict respect de la législation « amiante ». Le procédé consiste à couvrir, sans aucun perçage, la toiture ondulée en fibrociment des bâtiments. Posés sur les plaques existantes, les éléments ondulés et isolants (ép. 30, 50, 80 mm) en polystyrène expansé (version ONDUCLAIR FC PSE) seront eux-mêmes recouverts de plaques en polyester armé pour assurer une bonne étanchéité. Disponible en différentes couleurs et dans un large choix de profils, ONDUCLAIR RENOV FC s’adapte aux mesures de la couverture d’origine. Les attaches spécifiques viennent « pincer » sur leurs bords les plaques de fibrociment existantes, assurant ainsi leur recouvrement sans les altérer. Autres avantages : la simplicité et la rapidité de la mise en œuvre, qui permettent à un poseur de couvrir à lui seul 10 m2 par heure ; le poids très léger de 3 kg au m2 de la couverture et de son isolant (en ONDUCLAIR FC PSE), qui évite toute surcharge sur la charpente existante. Un système complet, facile à poser Les nombreux atouts d’ONDUCLAIR RENOV FC ont convaincu les intervenants de privilégier cette solution. Romuald Bigot, de La Maison de l’Étancheur, affirme : « Nous avons choisi ONDUCLAIR RENOV FC car, compte tenu de la surface, nous avions une grande contrainte relative à la charge sur la structure existante. Cette solution était largement la plus performante sur ce point. » La réalisation des travaux a pu s’effectuer dans des délais limités, sans suspendre les activités et sans déménager les infrastructures de la concession et de son atelier, ce qui aurait généré une perte financière importante. Par ailleurs, la longueur des plaques (jusqu’à 12 m) a permis de limiter le nombre de recouvrements sur la couverture initiale, pour une pose, une esthétique et une étanchéité optimisées. Michel Provost, de l’entreprise de couverture CCBI, ajoute : « Ce système est d’une grande facilité de pose. Les éléments, très simples à manipuler, permettent une exécution rapide du chantier. » La gamme ONDUCLAIR RENOV FC se compose en effet d’un large choix d’accessoires tels que faitières, raccords de murs, rives, plaques à châssis, entourage de cheminée… En outre, des plaques translucides sont proposées pour réaliser des puits de lumière. Pour Olivier Lafitte, chef d’équipe de l’atelier de la concession, ce type de rénovation rend le travail plus confortable : « Nous avons pu continuer à travailler pendant toute la durée du chantier. Nous profitons à présent d’une toiture complètement étanche, d’une meilleure luminosité grâce aux translucides qui ont été remplacés. Nous profitons aussi d’une meilleure isolation thermique et acoustique, ressentie en cas de forte pluie. » Avantage produits : • Évite le démontage et l’évacuation coûteuse des plaques en fibrociment amianté • 8 à 10 m2 à l’heure par poseur • Permet de restaurer facilement tous les bâtiments : s’adapte aux profils de la couverture initiale • Isolation par l’extérieur sans perçage de la couverture initiale • Pas de perte d’exploitation (commerces, industries, bureaux…) • Système léger : à partir de 3 kg/m2 pas de surcharge de couverture Caractéristiques • Épaisseurs : 30 mm* / 50 mm* / 80 mm • Profils : GO 92 (5 ondes 1⁄2 – 177 x 51) GO 110 (6 ondes 1⁄2 – 177 x 51), existe en PST, super onde ou maxi onde • Coloris : rouge foncé / ardoise / gris • Isolant : E • Résistance thermique : R(m2/°C/w) : 2.50 en PSE graphité, ép. 80 mm)
Il y a 5 ans et 0 jours

ACBI gagne son procès pour son produit breveté: Le Modulogard

Cette semaine, le tribunal de grande instance de la ville de Paris a rendu son verdict dans une affaire de violation de brevet. La cour a statué en faveur de la société ACBI. Deux ans de procédure auront été nécessaire pour faire condamner l’entreprise contrefactrice du brevet concernant le Modulogard® . Pour rappel ce procédé de garde-corps rabattable destiné à équiper les modules de chantier a vu son brevet déposé en 2012. La justice reconnait le caractère innovant dans l’association de moyens qui confèrent au brevet toute sa validité. En conclusion : Le verdict condamne le contrefacteur à mettre fin à toute infraction à la législation sur la propriété intellectuelle et à dédommager ACBI du préjudice subi. La jurisprudence est maintenant établie
Il y a 5 ans et 0 jours

Coup double pour Colas Rail

CONTRATS. Le groupe Colas s'est récemment vu attribuer deux nouveaux marchés ferroviaires. L'un, en France, concerne l'extension d'une ligne de métro. L'autre, à l'international, porte sur la reconstruction d'une voie ferrée qui lui permet de s'implanter dans un pays d'Europe du sud.
Il y a 5 ans et 0 jours

SPIE conçoit un nouveau centre de contrôle sur la Potsdamer Platz

Lancé en août 2019, le projet doit s'achever en mai 2021. TELBA GmbH, une filiale de SPIE Deutschland & Zentraleuropa, réalise les travaux portant au total sur 16 bâtiments de la Potsdamer Platz, parmi lesquels des complexes de bureaux, un centre commercial, une salle de spectacle et plusieurs cinémas, ainsi qu'un parking souterrain sous toute la superficie de la place.Une solution système fiable et durableLe contrat prévoit la connexion de tous les dispositifs techniques de sécurité, tels que les systèmes d'alarme incendie et anti-intrusion, les équipements vidéo, les issues de secours et ascenseurs déjà en place, et le système de contrôle d'accès à la totalité des 16 bâtiments de la Potsdamer Platz, à un nouveau système de vidéosurveillance et de gestion des risques basé sur WinGuard et Milestone, deux logiciels indépendants du matériel. Lorsque l'opération sera terminée, le système complet assurera l'administration et la gestion d'environ 40 000 points de données et 700 caméras vidéo.Le contrat prévoit également le renouvellement de la technologie vidéo, avec l'installation de caméras sur IP Axis (sans câble réseau), d'un système de détection vidéo intelligent et de la technologie de centre de contrôle (équipements, mur d'images, salle de crise, etc.), avec notamment un système de communication basé sur la solution UNIFY OpenScape Xpert. Jörg Marks, directeur général de TELBA GmbH, explique : « En plus de ce contrat majeur, nous sommes heureux d'avoir négocié un contrat de maintenance de dix ans pour les nouvelles installations. »De hautes compétences d'une seule et unique sourceLes clients du fournisseur de services multi-techniques bénéficient d'un large éventail de services auprès d'une seule et unique source. D'autres unités SPIE sont impliquées dans l'installation des solutions de communication et la mise en œuvre technique du système de vidéosurveillance et de gestion des risques. « Grâce aux multiples compétences de SPIE, nous étions le seul fournisseur à proposer une solution technique tout-en-un convaincante. Ce projet phare met en lumière nos capacités et illustre parfaitement la force collective des unités opérationnelles de SPIE », explique Michael Hartung, directeur de la division ICS (Information & Communication Services) et membre du comité de direction de SPIE Deutschland & Zentraleuropa. En outre, le projet marque une nouvelle étape importante dans le développement continu de l'activité des systèmes d'alarme.Respect du calendrierLes premières étapes se sont correctement déroulées : Le centre de contrôle, désormais équipé d'un nouveau mobilier et de nouveaux écrans, est d'ores et déjà opérationnel avec les systèmes existants. Dans les prochaines semaines, les nouveaux logiciels de gestion du centre de contrôle seront installés sur des serveurs virtuels et accessibles sur site ; ils seront alimentés en données d'ici fin 2020. Des tests complets ont déjà été menés avec succès. Par ailleurs, au cours des 12 prochains mois, les caméras, au nombre d'environ 700, seront installées sur toute la zone de la Potsdamer Platz et seront progressivement mises en service. Jörg Marks : « Le test final du système est prévu pour début 2021, et nous devrions livrer le projet à notre client, Brookfield Properties, en mai la même année. »Un partenariat de confiance et certifié« Aux dires mêmes de notre client, la solution technique que nous lui avons proposée avec notre partenaire Advancis a été décisive dans l'attribution de ce projet, et nous en sommes très fiers. Notre solution apporte une valeur ajoutée nettement supérieure à celle des solutions concurrentes. Une raison de plus de nous réjouir d'avoir remporté ce contrat ! », se félicite Jörg Marks. Au début du mois de mars 2020, SPIE a été certifiée « partenaire système » d'Advancis Software & Services GmbH. L'éditeur de logiciels est l'un des leaders du marché mondial des logiciels de gestion de la sécurité et de la technique du bâtiment multi-fournisseurs.
Il y a 5 ans et 0 jours

Détecter les incendies (et la fièvre) le plus tôt possible

HIK Vision a mis au point des caméras permettant la détection précoce d’incendie en extérieur. La société vient de voir 15 de ses systèmes de détection de chaleur par caméra thermique certifiés par le CNPP.
Il y a 5 ans et 0 jours

Ruimtemakers Architecten x Niels Maier : The Oblique House

Les agences néerlandaises Ruimtemakers Architecten et Niels Maier ont conçu à quatre mains une maison graphique à la volumétrie étonnante. Nichée dans la forêt d’une grande propriété située en bordure du village limbourgeois de Beek (Pays-Bas), la résidence est un havre de paix loin de toute agitation urbaine. Les architectes de Ruimtemakers Architecten ont érigé une maison composée de trois volumes très différents. Le volume principal en brique grise accueille le salon, la salle à manger et la cuisine, ainsi que la chambre principale et la salle de bains au rez-de-chaussée. Le deuxième volume, en bois, abrite la buanderie et une salle de repassage. Le troisième volume, monté sur le toit de la résidence, fabriqué à partir d’un solide matériau composite Corian®, dont l’aspect s'apparente au granit. Sa façade blanche agrémentée de lignes obliques donna d’ailleurs son nom à la maison. Bien que ces trois entités soient très différentes, elles forment toutefois un ensemble harmonieux. Ce jeu de contrastes se poursuit à l'intérieur de la résidence. Les équipes de l’agence d’architecture d’intérieur Niels Maier ont en effet imaginé un intérieur minimaliste, dont la palette réduite à l’essentiel est parfois ponctuée de touches colorées. L’intérieur de la maison est sobre et élégant. Les murs et les plafonds sont blancs, et les sols gris foncé. Les détails contemporains et les meubles bien choisis ou réalisés sur-mesure confèrent aux diverses pièces leur identité propre tout en créant l’ambiance feutrée tant désirée par le propriétaire. Ensemble, les agences Ruimtemakers Architecten et Niels Maier signent une maison très atypique. Pour en savoir plus, visitez le site de Ruimtemakers Architecten et celui de Niels Majer. Photographies : © Cafeine, Thomas De BruyneLéa Pagnier