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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Chantiers - TP

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Il y a 4 ans et 364 jours

"Nous ne rattraperons pas le retard" (Alain Dinin, Nexity)

CONSTRUCTION NEUVE. Le PDG du premier groupe de promotion immobilière français "ne croit pas à un crash". Il l'a affirmé au JDD, le 17 mai. Pour ce qui est des livraisons de logements, il s'attend à une baisse d'au moins 100.000 unités en 2020.
Il y a 4 ans et 364 jours

Le long chemin de la reprise des travaux publics franciliens

CRISE SANITAIRE. Bien que la relance soit bien amorcée, le retour à une activité à plein régime demandera du temps. Le préfet de région, Michel Cadot, en a bien conscience, et poursuit les échanges avec la Fédération régionale des Travaux publics (FRTP) d'Ile-de-France pour accompagner les entreprises.
Il y a 4 ans et 364 jours

Le bâtiment comme symbole de reprise économique, le pari risqué du gouvernement

Le bâtiment "est un secteur absolument vital pour l'économie française", affirmait Bruno Le Maire au premier jour du déconfinement, le 11 mai. "Ça peut être le symbole du redémarrage économique français."C'était le premier déplacement du ministre de l’Économie après deux mois de strict confinement pour lutter contre la propagation du coronavirus, et son choix fut emblématique: un chantier, aux environs de Paris.Pourquoi le bâtiment plutôt que l'automobile, lourdement frappée par la crise et en quête de subventions, ou les commerces, largement contraints à fermer pendant le confinement ?Il y a d'abord le symbole concret de la reprise des chantiers, en grande majorité interrompus depuis la mi-mars. L'activité avait redémarré sur 72% d'entre eux dimanche, et le gouvernement veut qu'ils aient tous repris à la fin mai, même si le secteur n'y croit guère.La reprise du bâtiment est un moteur crucial. Son activité représente plus de 5% de l'économie française. Et au-delà, la santé du secteur est garante d'une offre suffisante en logements, essentielle au bon fonctionnement de toute l'économie.Son redémarrage n'a rien d'évident car il dépend de l'attitude de ses trois grandes catégories de clients: les particuliers, les acteurs publics - État et collectivités locales - et les groupes privés, dont les promoteurs qui construisent les logements.Ces derniers tentent encore d'appréhender l'avenir immédiat du marché.Depuis le début de la crise, il n'y a plus de chiffres mensuels sur les permis de construire. Le coup d'arrêt devrait se révéler brutal, bien que le gouvernement ait pris des mesures pour assurer une rapide reprise de leur examen après le confinement.Les promoteurs, qui évoquaient déjà une chute des permis avant la crise, craignent notamment que les blocages persistent avec les incertitudes autour des municipales, interrompues entre les deux tours par le confinement.Des clients "ont tout perdu"Au moins "la demande de logements, tirée par la démographie et le déficit d'offre structurel, ne disparaît pas: elle se reporte", soulignait début mai Alain Dinin, PDG de Nexity, premier promoteur français."Je ne crois pas à un retour à la normale avant la fin de l'année", prévenait-il toutefois dans la dernière édition du Journal du Dimanche. "Pour la promotion immobilière, l'année 2020 sera en baisse importante, d'au moins 100.000 logements."Et difficile d'être optimiste pour les autres grandes catégories de clients du bâtiment. Les particuliers, notamment, voudront-ils toujours refaire leur cuisine, après, pour certains, des mois de chômage partiel voire d'inactivité totale ?"Les clients sont inquiets pour la suite: certains ont fait des économies, mais d'autres ont tout perdu", rapporte à l'AFP Patrick Liébus, président de la Capeb, l'organisation qui domine les artisans du bâtiment, particulièrement touchés par le sujet."On a quand même pas mal de clients qui sont dans le commerce, l'hôtellerie, la restauration", ajoute-t-il. "Ils ne sont pas forcément en état de nous faire des devis."A un autre niveau, les inquiétudes sont semblables dans le secteur des travaux publics. Dans quel état les collectivités locales sortiront-elles de la crise et seront-elles en mesure d'engager des travaux ?Selon la FNTP, principale organisation des entreprises de travaux publics, la crise pourrait coûter jusqu'à neuf milliards d'euros aux collectivités locales, notamment parce que l'arrêt du marché immobilier les a privées des impôts locaux qu'elles prélèvent sur ces transactions.La fédération fait déjà état d'un "trou d'air" dans les appels d'offres et estime que de nombreuses entreprises du secteur pourraient ne pas y survivre avant même la fin de l'année."Sans attendre les plans de relance qui seront discutés une fois la crise sanitaire passée, il convient de soutenir immédiatement la commande publique locale qui menace de s'effondrer", pressait-elle fin avril dans un communiqué.
Il y a 4 ans et 364 jours

Avec +87% de factures impayées, la trésorerie est à nouveau un enjeu crucial pour les entreprises

Pour la première fois, l'étude « Culture cash : enjeux et perspectives de la Direction Financière » combine la perception des Directions Financières avec des données concrètes issues des comportements de paiement de plus de 1,3 million d'entreprises en France. Cette étude sur la culture du cash apporte plusieurs grands enseignements pour le Directeur Financier post-Covid-19 en France :Environ 3,5 factures sur 10 sont échues avec plus de 10 jours de retard, versus environ 2 sur 10 avant le confinement ;Le nombre de factures payées de manière hebdomadaire chute à environ 680,000 factures versus une moyenne de 780.000 avant la période du confinement, soit 12% de baisse ;Les entreprises fournissant des services et de la prestation intellectuelle subissent des retards de paiement plus importants. A l'inverse, les entreprises délivrant des biens ou du transport ont des délais plus courts ;Une meilleure implication des fonctions opérationnelles ainsi qu'une utilisation plus poussée des technologies d'automatisation et d'intelligence artificielle figurent parmi les principales pistes pour optimiser la culture cash.A l'évidence, la crise économique due au Covid-19 aura donné à la Direction Financière une nouvelle dimension. Habituellement garante de la performance de l'entreprise, elle concentre, plus que jamais, ses ressources sur la pérennité de son activité par un ajustement quotidien de la trésorerie.« La crise économique sans précédent que nous traversons replace la culture cash au centre des préoccupations des entreprises et de leurs dirigeants, à l'heure où l'accès au crédit se tend et où les organisations cherchent à préserver leurs liquidités. L'étude que nous avons conduite met en lumière le nouveau rôle que sont amenées à jouer les Directions Financières au sein de leur organisation, véritables partenaires stratégiques du dirigeant d'entreprise dans ce contexte exceptionnel », analyse Baréma Bocoum, Associé Restructuring / Deal Advisory chez KPMG France.« Trop longtemps considéré comme une variable d'ajustement du ressort exclusif d'une poignée de spécialistes, le cash doit, lui aussi sortir de son long confinement. Alors que nous assistons à une véritable crise de confiance clients-fournisseurs dans toute l'Europe, il est désormais urgent que toute l'entreprise s'empare de ce sujet hautement stratégique. La capacité des Directeurs Financiers à diffuser les outils de pilotage collaboratifs de la relation client, en s'appropriant notamment les technologies d'analyse prédictive et d'automatisation, sera un atout capital pour éviter d'amplifier l'onde de choc de cette période inédite. Cette étude sans précédent arrive à point nommé pour les y aider », observe Olivier Novasque, PDG de Sidetrade.11 jours : c'est le retard moyen constaté en matière de délai de paiementL'étude KPMG France et Sidetrade révèle une vision fine des comportements de paiement inter-entreprises sur la période de janvier 2017 à février 2020 :Près d'un tiers des factures émises sur la période ont une échéance à 30 jours, et seulement 13,2% une échéance à 60 jours ;Le délai contractuel moyen de paiement des clients (ou DSO) est de 37 jours et le retard moyen constaté de 11 jours.Or, la crise du Covid-19 et l'impact du confinement ont d'ores et déjà des conséquences majeures sur les délais de paiement, qui viennent remettre la gestion du cash au centre de la stratégie globale de l'entreprise. Les chiffres présentés ci-dessous sont issus des données transactionnelles extraites de la plateforme Sidetrade et forment un échantillon de 15 millions de factures entre le 30 décembre 2019 et le 11 avril 2020.Augmentation de 4 points du nombre de factures impayées à plus de 10 jours ou payées avec plus de 11 jours de retard ;Chute de 12% du nombre de factures payées de manière hebdomadaire durant la période de confinement.Dans ce contexte, KPMG a modélisé une étude d'impact présentant, pour une entreprise industrielle avec des clients BtoB, la situation de trésorerie durant les 3 phases identifiées de la crise (confinement, reprise d'activité post-confinement et sortie de crise modélisée à partir de novembre 2020). Les scénarios envisagés permettent d'identifier 4 enjeux majeurs pour les entreprises :Des impacts financiers et opérationnels ;Un pilotage du cash minutieux ;Des leviers clés à activer ;Des axes d'amélioration de la performance à plus long terme.Top 3 des secteurs les plus impactés par les retards de paiement : L'Éducation, l'Hébergement et la RestaurationSur la période de janvier 2017 à février 2020, certains secteurs de l'économie sont plus sensibles aux problématiques de recouvrement et d'optimisation du poste client par essence. Les termes de paiement accordés tendent majoritairement vers 30 jours, ce qui est conforme à la LME et la Loi Macron.Le délai de paiement de 60 jours nets ne concerne qu'environ 11% des entreprises étudiées. Cette pratique se raréfie, même auprès des grands comptes.Le délai de paiement de 60 jours nets est plus fréquemment utilisé par les secteurs tels que : services administratifs, industries manufacturières, ventes de biens et matériels pour l'automobile.Néanmoins, les termes de paiement se contractent mais le comportement de paiement reste stable, créant un retard de paiement moyen de 11 jours.Côté fournisseurs, certains secteurs (comme celui des entreprises délivrant des biens ou du transport) bénéficient de délais plus courts. Cela tient au pouvoir de négociation / blocage plus important dans leur cas, ainsi qu'à la réglementation (Loi Gayssot). En revanche, ce sont les secteurs de l'Éducation, de l'Hébergement et de la Restauration qui subissent des retards de paiement plus importants.Côté acheteurs, ce sont les secteurs de la Production et distribution d'énergie, ainsi que les Services financiers qui subissent des retards de paiement significatifs.Quelles pistes pour optimiser sa culture cash ?L'intégration des fonctions opérationnelles au sein des Comités Cash est un facteur clé de succès. Celles-ci permettent d'anticiper les risques de tensions de trésorerie et améliorent sensiblement la qualité des prévisions, ainsi que l'accélération du cash. Ainsi, 50% des Directions Financières interrogées déclarent posséder des prévisions de cash intégrant les fonctions opérationnelles et 70% justifient la qualité de la culture cash de leur entreprise par le niveau d'implication des opérationnels.« Les entretiens menés avec les Directions Financières confirment l'importance de l'implication des opérationnels pour atteindre un bon niveau de performance cash. Paradoxalement, seulement 25% des Directions interviewées indiquent réaliser des « Comités Cash » réguliers et structurés. Une meilleure implication de l'ensemble des acteurs opérationnels de l'entreprise, couplée à l'appui des outils technologiques, représentent un levier puissant qui permet d'améliorer la stratégie économique de l'entreprise », complète Charles Durand, Directeur de Missions Restructuring / Deal Advisory chez KPMG France.L'étude met en avant 4 best practices pour une diffusion de la culture cash optimale au service de l'efficacité financière :S'inscrire dans la stratégie de la direction générale ;Mettre en place des indicateurs expliqués, partagés et communiqués ;Créer un système d'incentive financier aligné avec l'objectif ;Mettre en place des Comités Cash structurés au bon niveau et à la bonne fréquence.Enfin, et dans un contexte désormais post-covid-19, le Directeur Financier doit s'appuyer sur le numérique pour partager la culture du cash.L'analyse des données transactionnelles via les nouvelles technologies (process mining et data analytics) permet de mettre en lumière les gisements d'opportunités et de répondre aux besoins des Directions Financières (digitalisation du processus de facturation et robotisation du processus de recouvrement, mise en place d'un outil intégré permettant d'optimiser les prévisions de trésorerie…).Les technologies Cloud contribuent également à une digitalisation rapide du processus de gestion du poste client et à une diffusion accélérée de l'information auprès de tous les acteurs en charge d'un client.
Il y a 4 ans et 364 jours

Thermor présente sa nouvelle gamme de climatisation réversible connectée Nagano

Choisir le bon climatiseur pour se sentir bien chez soiAvec NAGANO, Thermor se donne pour mission d'améliorer le confort thermique de ses clients en toutes saisons.Les raisons de s'équiper ne manquent pas tant cette gamme présente des atouts indéniables en termes de performances et de fonctionnalités.Les climatiseurs connectés NAGANO bénéficient d'une large plage de fonctionnement : de -20°C à +43°C en été et de -20°C à + 24°C en hiver. Quelles que soient les températures extérieures, même aussi exceptionnelles soient-elles, le bien-être des occupants est assuré.Les climatiseurs connectés NAGANO mono ou multi-split (bi/tri/quadri) sont dimensionnés pour s'adapter aux petits comme aux grands espaces (jusqu'à 4 pièces).Disponibles dans des puissances allant de 2.600 W à 7.000 W en mono et de 4.000 W à 7.800 W en multi-split, ils chauffent ou refroidissent l'habitation très rapidement. Un confort absolu très appréciable.Affichant un niveau sonore de seulement 20dB(A), les climatiseurs connectés NAGANO savent se faire discrets afin de garantir la tranquillité de tous les utilisateurs.En plus d'être très efficace, la gamme de climatisation NAGANO est particulièrement esthétique avec son design élégant aux lignes épurées. Grâce à sa finition blanc mat, coloris intemporel et moderne à la fois, elle s'intègre harmonieusement à tous les styles d'intérieurs.La température parfaite en toutes saisonsLa souplesse de configuration et l'intégration de fonctionnalités innovantes offrent, incontestablement à l'utilisateur, une grande liberté et un niveau de contrôle extrêmement précis lui permettant de mieux maîtriser le confort thermique de son domicile tout en réduisant ses consommations d'énergie.la température s'ajuste au degré près, en fonction des habitudes de vie des occupants et des différents espaces de vie,la fonction Silence (quiet) bascule le ventilateur en petite vitesse et délivre un débit d'air plus faible,la fonction Intelligente (smart) mesure la température de la pièce pour adapter le confort automatiquement et garder une maison et confortable en toute circonstance,la fonction Sleep régule la température nocturne afin d'éviter un rafraîchissement ou un chauffage excessif la nuit,la fonction Timer permet aux particuliers de définir à leur guise une heure de déclenchement ou d'arrêt, un mode, une température de consigne et une vitesse de ventilation (au nombre de 3),le capteur ECOPILOT ajuste le débit d'air pour suivre ou pour éviter tout contact direct avec l'utilisateur en fonction de sa demande,le balayage à flux verticaux et horizontaux permet de répartir au mieux la fraîcheur ou la chaleur pour une homogénéité de température dans chaque pièce.Une simple pression sur les boutons de la télécommande permet de paramétrer avec une grande simplicité les commandes de l'affichage digital. Mais, l'utilisateur peut également, à distance, à partir d'un smartphone ou d'une tablette, allumer et éteindre l'appareil, modifier les réglages ou moduler la température, pièce par pièce. Il suffit pour cela de télécharger l'application Smart Clima depuis l'App Store ou Google Play.Cap sur les économies d'énergieAussi économique qu'efficace, la gamme de climatisation réversible connectée NAGANO affiche un haut niveau de classe énergétique en mode chauffage (A+++ et SCOP jusqu'à 4,6) comme en climatisation (A++ et SEER jusqu'à 8,50).Enfin, les climatiseurs NAGANO sont capables de détecter automatiquement la présence de l'utilisateur à 120° et jusqu'à 10 m. Ainsi, lorsque le capteur constate que la pièce est inoccupée, les fonctions chauffage ou refroidissement passent en mode économie (de + ou – 2°C).Installation, Formations et Stations SAV agrééesLa gamme de climatisation NAGANO s'installe très facilement. La mise en service quant à elle doit être effectuée par une entreprise disposant d'une attestation de capacité à manipuler les fluides frigorigènes. Si l'entreprise qui installe la climatisation de dispose pas de cette attestation, Thermor s'appuie sur un réseau de 120 stations SAV agréées pouvant assurer la mise en service et le dépannage des produits Thermor.Et pour accompagner encore davantage la filière professionnelle Thermor propose des formations, une assistance technique, un SAV sous 24 H, et une aide au dimensionnement. A ce sujet, Thermor vient de mettre en ligne une application mobile totalement gratuite (disponible sur l'App Store et Google Play via les mots clés « Thermor » ou « Climatisation » permettant de dimensionner précisément une installation de climatisation réversible.Une promotion exclusive pour les installateurs jusqu'au 31 Juillet 2020Enfin, pour compléter son dispositif de lancement, Thermor propose jusqu'au 31 Juillet 2020, une offre à destination des installateurs, soit 150€ TTC remboursés sur la 1ère installation d'une climatisation NAGANO.Une marque connue et reconnue, des fonctionnalités innovantes, un design réussi et un bouquet de services pour accompagner ses clients : autant d'atouts qui devraient permettre à Thermor de faire une belle entrée sur le marché de la climatisation !
Il y a 4 ans et 364 jours

La Tour Sigma à Dijon accueille ses premiers locataires, la phase 2 des travaux démarre

Les équipes de Bouygues Bâtiment Nord-Est et Linkcity Nord-Est mènent, depuis début 2019, le chantier de rénovation de la Tour SIGMA, située au pied de la gare TGV de Dijon. L'opération a repris le 15 avril après 1 mois d'arrêt dans le respect strict des conditions d'hygiène et de sécurité. La 2ème phase de réhabilitation de cet immeuble d'affaires d'environ 10 000 m² de bureaux sur 11 étages est en cours.Le 2 décembre 2019, la 1ère phase du chantier s'est achevée avec la livraison du bâtiment SIGMA II de 2 777 m² sur 2 étages.Linkcity, filiale de développement immobilier du groupe Bouygues Construction, a donné un second souffle à ce bâtiment emblématique situé au cœur de Dijon.« Certifié BREEAM New Construction Niveau Good pour ses performances environnementales et le bien-être au travail de ses usagers et au niveau Bâtiment Basse Consommation Rénovation, la Tour SIGMA est parfaitement adaptée aux besoins des entreprises locales. La location quasi-totale des surfaces de l'ensemble illustre la réussite de ce projet. Sa requalification en dehors du champ des Immeubles à Grande Hauteur et ses performances énergétiques permettent de proposer aux occupants un niveau de charges maitrisé, couplé à un loyer en adéquation avec le marché local » témoigne Victoire Guigues, Responsable de Programmes chez Linkcity Nord-Est.Bien que la majorité des surfaces de bureaux soient aujourd'hui louées, des surfaces locatives sont encore disponibles pour intégrer le bâtiment SIGMA II.Deux espaces de 470 m² et 270 m² à vocation tertiaire sont disponibles.Informatique Banque Populaire (IBP) installera quelques 300 collaborateurs de son site de Longvic, l'un des six sites de la filiale informatique, dans la Tour SIGMA.
Il y a 4 ans et 364 jours

UFO en plein cœur du Sentier, par Axel Schoenert

Axel Schoenert aime travailler au cœur de Paris dans un contexte de confrontation entre la ville vieille et la ville neuve. Livrée en novembre 2019, la restructuration lourde d’un immeuble de bureaux, devenu UFO (Unique Flexible Office) et nouveau siège de 8 000m² pour Le Bon Coin, en témoigne. Communiqué. La banque autrichienne Raiffeisen Immobilien a […] L’article UFO en plein cœur du Sentier, par Axel Schoenert est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 364 jours

Projet de stade avorté: le FC Nantes demande réparation

Le FC Nantes réclame environ 12 millions d'euros de dommages et intérêts à Nantes Métropole après l'abandon un an plus tôt de son projet de stade privé.
Il y a 4 ans et 364 jours

L'instruction des permis de construire reprendra son cours fin mai

La prolongation de l'état d'urgence sanitaire, désormais prévue jusqu'à fin juillet, ne concernera pas l'examen des permis de construire qui reprendra bien son cours fin mai.
Il y a 4 ans et 364 jours

Bouygues annonce une perte nette trimestrielle creusée par la pandémie

Le groupe a signé une perte trimestrielle de 204 millions d'euros, nettement creusée par rapport aux 59 millions enregistrés un an plus tôt. Ses revenus ont décliné de 9% à 7,22 milliards.Ces résultats "reflètent les premiers effets de la pandémie de Covid-19", souligne Bouygues dans un communiqué.Il n'est certes pas rare que le groupe soit dans le rouge au premier trimestre, car l'activité de sa filiale Colas, spécialisée dans les travaux routiers et ferroviaires, est très saisonnière.Mais, par rapport à un an plus tôt, sa perte est d'une autre ampleur en raison de la crise du coronavirus qui a privé le groupe de 750 millions d'euros de revenus.Les effets sont surtout violents dans la construction, dont les revenus chutent de 12% alors que les chantiers français sont tombés au "quasi-arrêt" mi-mars avec le début du confinement décrété contre la propagation du coronavirus.Désormais, "depuis la mi-avril, les activités de construction redémarrent progressivement leurs chantiers en France", mais "le rythme de reprise est conditionné notamment à l'accord des clients", détaille le groupe, soulignant le coût élevé des mesures sanitaires.Pour l'heure, Bouygues, qui prévient que ses résultats souffriront plus lourdement au deuxième trimestre, ne donne pas de nouvelle prévision annuelle, après avoir renoncé en mars à ses précédents objectifs dans les premières semaines de la crise en France.Le groupe obtient néanmoins un soutien relatif de son autre grande branche, les télécoms, dont les revenus ont progressé (+2,5%) et où il a gagné de nouveaux abonnés dans le fixe comme le mobile."Les résultats commerciaux et financiers de Bouygues Telecom sont faiblement affectés par le Covid-19 au premier trimestre 2020", souligne le groupe, même si la crise lui a coûté une vingtaine de millions d'euros dans le secteur à cause surtout de la fermeture de boutiques.Contrairement à ses deux grands concurrents, Eiffage et Vinci, Bouygues est actif dans les télécoms alors qu'il n'exploite quasiment pas d'autoroutes ou d'aéroports, des secteurs particulièrement exposés aux restrictions sur les déplacements.
Il y a 4 ans et 364 jours

DuPont Sustainable Solutions anime une formation de sensibilisation aux risques pour les employés de Siemens Gamesa offshore

DuPont Sustainable Solutions (DSS) a été choisi par la division Offshore de Siemens Gamesa pour former environ 6 000 employés à une plus grande prise de conscience des risques afin d’améliorer la sécurité. L’unité commerciale Onshore de Siemens Gamesa ayant déjà collaboré avec DSS, la société a choisi de lui faire à nouveau confiance en raison de sa grande expertise et de sa réputation en matière de sécurité et de gestion des risques opérationnels. Les deux sociétés se sont associées pour mettre en œuvre la formation DuPont TM Risk Factor TM à tous les niveaux de l’organisation, un coaching en leadership de groupe pour les cadres supérieurs et intermédiaires, ainsi qu’un certain nombre d’ateliers de sécurité dans les unités de conception technique. La formation ayant été conçue pour être livrée à distance grâce aux technologies numériques, le projet est actuellement en cours, sans interruption en raison du Covid-19. Siemens Gamesa est le leader mondial du marché de l’industrie éolienne offshore, avec des employés et des installations sur les marchés principaux (France, Allemange, Espagne, États-Unis, etc.) et en développement (Inde, Chine, Brésil, etc). Les activités de l’entreprise englobent tous les aspects de la chaîne de valeur, y compris l’innovation, le développement, la fabrication, l’installation et le service, pour n’en nommer que quelques-uns. Dans les domaines de la fabrication, de l’installation, de l’exploitation et de la maintenance, de nombreux employés travaillent seuls ou en petits groupes, d’où l’importance de renforcer la sensibilisation aux risques critiques pour leur sécurité. Le projet « Siemens Gamesa LeadSafe » a démarré avec un projet pilote fin 2019 après une première évaluation de la culture de sécurité de l’organisation par DSS pour personnaliser la formation. Le projet implique la plupart du personnel travaillant sur les sites de fabrication de l’entreprise, les bureaux, les sites de pré-assemblage et le personnel d’installation. Il comprendra également des ateliers sur mesure pour 200 ingénieurs visant à améliorer la sécurité dans le processus d’ingénierie. Compte-tenu de l’importance de protéger ses employés, Siemens Gamesa a décidé de poursuivre la mise en œuvre du projet durant la pandémie du Covid-19, une grande partie de la formation étant délivrée virtuellement. Les marchés, comme la Chine, dont la reprise économique est plus avancée ont été priorisés. « Nous faisons le choix de la sécurité chez Siemens Gamesa et nous sommes fiers de collaborer avec DSS pour fournir à nos employés des outils pour prévenir les incidents en gérant les risques. La sécurité est toujours notre priorité parce que nous la plaçons au-dessus de tout ce que nous faisons. Nous voulons nous assurer que tous les employés ont le bon état d’esprit quant à leur prise de décision chaque jour. C’est ce que le projet LeadSafe est censé nous aider à réaliser », explique Andreas Nauen, PDG de Siemens Gamesa Offshore Business Unit. Le premier séminaire de gestion a déjà eu lieu, se concentrant sur le rôle que les dirigeants jouent pour influencer et réaliser un changement de culture. La communication est un des éléments les plus importants. Comme l’a dit un participant par la suite, « le changement de culture modifie les échanges. Vous devez parler de sécurité pour motiver les gens et demander leurs commentaires. » En plus des séminaires de leadership et du coaching, DSS soutient Siemens Gamesa Offshore en formant un certain nombre d’employés à devenir eux-mêmes des formateurs internes. Cédric Parentelli, Directeur Général Europe et Afrique du Nord de DSS, a déclaré : « La clé de la performance en matière de sécurité repose sur le comportement sécuritaire. Bien que les mesures techniques puissent réduire considérablement le nombre d’accidents, elles ne suffisent pas à les éliminer. Pour ce faire, il faut sensibiliser les gens aux risques et au rôle que joue leur prise de décision dans les incidents. Avec ce nouveau projet de sécurité, Siemens Gamesa Offshore fait un pas important dans cette direction. Signe supplémentaire de son engagement pour la sécurité, Siemens Gamesa Offshore définit actuellement la portée des travaux, visant à étendre le projet de sécurité actuel au reste des métiers du groupe : Onshore et Services, et introduit également des actions transversales/corporates ». http://www.consultdss.com
Il y a 4 ans et 364 jours

EDF: le calendrier de Flamanville maintenu malgré la pandémie

Le confinement s'est traduit par un ralentissement du chantier de l'EPR de Flamanville (50) mais il n'y a "pas de raison" d'en revoir le calendrier, selon le PDG d'EDF, Jean-Bernard Lévy.
Il y a 4 ans et 364 jours

Covid-19 : L'UNICEM présente au gouvernement des mesures pour une relance résiliente de l'activité

Dans ce contexte inédit, l'UNICEM a proposé au gouvernement, il y a quelques jours, des pistes d'action pour garantir la reprise de l'activité avec des mesures de court terme.Dans la continuité, l'UNICEM a élaboré des propositions pour un plan de relance de l'activité à moyen et plus long terme.Aujourd'hui, la fédération insiste sur la nécessité d'assurer une relance cohérente avec les enjeux de transition écologique et l'adaptation des villes et des territoires au changement climatique, tout en accentuant notre résilience et en tirant les enseignements de cette crise, avec une place toujours plus importante accordée à la responsabilité sociale des entreprises.L'UNICEM invite le gouvernement à décider la mise en œuvre de mesures fortes et concrètes, parmi lesquelles :Réaliser des infrastructures et des aménagements collectifs nécessaires à un développement de l'économie compatible avec le respect de l'environnement et la santé des concitoyensLa construction et les travaux publics doivent être relancés en suivant deux priorités :Un ambitieux programme d'entretien et de rénovation :des infrastructures routières structurantes, y compris les ouvrages d'art, des voies navigables et du réseau ferroviaire afin de permettre une augmentation du trafic marchandises ;du patrimoine historique bâti, domaine important pour l'industrie française de la pierre ornementale, et la sauvegarde de savoir-faire nationaux.Un plan d'investissement massif en faveur :de l'extension et la rénovation des infrastructures nécessaires à la réalisation des missions de service public (hôpitaux, EHPAD, établissements scolaires, centres de recherche et cités administratives…) ;de l'extension des infrastructures adaptées aux nouvelles mobilités (infrastructures cyclables, transports en commun urbain et interurbain, mobilités électrique ou hydrogène, développement de la mobilité connectée et autonome) ;de la modernisation et du développement du parc de logements sociaux ;de la construction d'ouvrages qui favorisent la résilience de nos villes face aux inondations et aux vagues de chaleur ;du développement des contournements urbains pour améliorer la sécurité des populations et la qualité de l'air dans les villes et villages.Faire de la commande publique un levier pour encourager la production locale et le mieux-disantL'UNICEM souhaite que soit réengagé le débat quant aux règles européennes des marchés publics afin que la commande publique puisse favoriser, lorsque cela est possible, le recours aux produits et matériaux locaux ou à des entreprises engagées dans une démarche responsable (labels RSE, ISO 14 001, ISO 26 000, labels sectoriels…).Accélérer le développement de l'économie circulaireLa filière de recyclage et de valorisation des déchets inertes du bâtiment est équilibrée économiquement et performante sur le plan environnemental. Le taux de recyclage de la filière dépasse les objectifs de la directive européenne : le seuil des 70% de recyclage et valorisation est d'ores et déjà atteint. Les déchets recyclables sont recyclés à hauteur de 80% et ils couvrent 28% des besoins en granulats pour la construction. L'UNICEM propose d'aller encore plus loin dans la performance du recyclage en s'appuyant sur ce modèle qui fonctionne. La fédération est prête à contractualiser avec les collectivités et les pouvoirs publics un objectif d'amélioration de la couverture du territoire en points de collecte visant à atteindre en trois ans un taux de recyclage de 95%. Elle a déjà commencé à agir dans cette direction en signant une convention avec la CAPEB pour accompagner les artisans dans l'amélioration du recyclage des déchets du bâtiment et la lutte contre les dépôts sauvages.Garantir une fiscalité environnementale réellement favorable à la transition écologique et profitable à tous les territoiresLes entreprises adhérentes à l'UNICEM sont convaincues de la nécessité d'une fiscalité incitative, cohérente avec les moyens humains, matériels et financiers dont elles disposent, en faveur de l'atteinte des objectifs de l'Accord de Paris. Cette fiscalité incitative, ou ayant vocation à susciter une évolution des pratiques en faveur de l'environnement, doit cependant être soumise à l'existence d'une alternative à ces dernières.L'UNICEM propose qu'une part significative des taxes environnementales soit réorientée vers les territoires qui accueillent leurs activités. Ceci constitue un préalable nécessaire :A l'acceptabilité, donc la pérennité, des activités industrielles ;Au maintien des budgets de nos communes, donc à leur investissement dans les leviers humains et infrastructurels sources de valeurs pour l'ensemble de notre pays. « Avec ce plan pour une relance résiliente, notre ambition est de proposer au gouvernement des mesures fortes et concrètes qui permettraient au tissu économique de rattraper une partie de l'activité perdue et d'accélérer la transition écologique et l'adaptation de nos villes et de nos territoires au changement climatique », conclut Nicolas Vuillier, Président de l'UNICEM.
Il y a 5 ans et 0 jours

Atelier COS comme chez lui à l’Hôtel du Palais d’Eugénie

L’agence parisienne Atelier COS (Didier Beautemps et Valeria Sanchez) s’apprête à livrer à l’été 2020 la rénovation du prestigieux Hôtel du Palais à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques). Subtile harmonie entre histoire et modernité ? Communiqué. Originellement Villa d’Eugénie, L’Hôtel du Palais à Biarritz est la résidence d’été offerte en 1855 par l’Empereur Napoléon III à son épouse Eugénie. […] L’article Atelier COS comme chez lui à l’Hôtel du Palais d’Eugénie est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 1 jours

Bâtiment modulaire pour Atelier Aconcept à Mantes-la-Jolie

Dans le cadre du programme EOLE SNCF à Mantes-la-Jolie (Yvelines) Atelier Aconcept a dévoilé en mars 2020 un bâtiment modulaire de 2 000 m², un monolithe tout en métal perforé réalisé pour un coût de 6,33 M€ HT. Communiqué. Le projet fait l’objet d’un repositionnement des bâtiments existants ainsi qu’un regroupement avec une brigade SNCF. […] L’article Bâtiment modulaire pour Atelier Aconcept à Mantes-la-Jolie est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 2 jours

Covid-19 : l'Assemblée valide de nouvelles adaptations du droit du travail

Le but est "d'éviter les ruptures brutales" de contrats au moment où l'économie "repart", avait déclaré jeudi la ministre du Travail Muriel Pénicaud, au début de l'examen en première lecture du projet de loi composite relatif à "diverses dispositions liées à la crise sanitaire".Les députés ont adopté un amendement du gouvernement qui permet, par "accord d'entreprise", de fixer un nombre de renouvellement des contrats à durée déterminée (CDD) et contrats d'intérim à un niveau autre que celui prévu par accord de branche ou par la loi.Mme Pénicaud a souligné la "condition très importante de l'accord majoritaire" d'entreprise et les "garde-fous": cette "mesure n'existe que jusqu'au 31 décembre, elle accompagne la reprise" et il y a une "limite totale de 18 mois pour les contrats cumulés".Cette diposition était initialement renvoyée à une ordonnance.Des députés LREM ont défendu en vain, par la voix de Jacques Maire, le maintien de la "supériorité des accords de branches". "Si la branche se mobilise, il ne faut pas y déroger", a insisté ce "marcheur", à l'unisson de députés PS."Vous souhaitez précariser les salariés en permettant aux employeurs de déroger au nombre de renouvellement de CDD et contrats précaires", avait aussi dénoncé plus tôt l'insoumis Loïc Prud'homme, y voyant un "nouveau cadeau au patronat"."Nous pensons que la précarité doit être l'exception", avait renchéri Sébastien Jumel (PCF).Sur l'activité partielle, qui concerne actuellement 12,4 millions de salariés, le texte habilite le gouvernement à adapter les règles "aux caractéristiques des entreprises", au secteur ou aux catégories de salariés.L'objectif est de "moduler" le dispositif notamment pour "maîtriser la dépense publique", tout en tenant compte de certains secteurs comme l'hôtellerie et la restauration qu'il convient de "protéger plus fortement", a indiqué la ministre.Un amendement LREM a été adopté pour moduler l'activité partielle en "fonction de l'impact économique de la crise sanitaire" sur les entreprises, la ministre estimant qu'il va permettre de réagir "avec souplesse".Les communistes sont revenus inlassablement à la charge en vain pour avoir des détails sur la "réduction de voilure" annoncée du chômage partiel, rejoints notamment par le LR Antoine Savignat demandant que les élus soient "éclairés".Comme annoncé par le gouvernement la semaine dernière, un amendement prévoit aussi que le chômage partiel sera pris en compte pour la retraite de base. Il a reçu un soutien de tous les bancs.Les députés ont aussi temporairement relevé le plafond du temps de travail des étudiants étrangers de 60 à 80% d'un temps complet, en invoquant notamment leurs besoins financiers.
Il y a 5 ans et 2 jours

Covid-19 : La FFB interpelle le gouvernement et demande des compensations pour amortir les surcoûts des chantiers liés à la crise

La reprise des chantiers ne pourra pas se faire comme avant, en raison de l'application des préconisations sanitaires publiées par l'OPPBTP, dont le respect, indispensable, entraîne un allongement des délais et d'importants surcoûts d'exécution (mise en sécurité du chantier et du matériel, gardiennage, perte de rendement du fait des nouvelles conditions de travail, mobilisations supplémentaires de personnel et de matériels, variations du coût des matières premières ou de produits manufacturés, etc.).Redonner plein effet aux pénalités de retard, dans ce contexte, par une ordonnance prise sans associer les principaux acteurs et employeurs du secteur est d'une grande injustice.Aujourd'hui, la FFB interpelle le gouvernement sur la nécessité de prendre en compte les surcoûts liés à la Covid-19 que ne peuvent supporter les artisans et entrepreneurs, tant en marchés publics qu'en marchés privés.Des solutions existent, notamment la compensation des surcoûts de la Covid-19 par l'application systématique au prix des marchés d'un coefficient d'imprévision et l'annulation pendant quelques mois des charges sociales patronales.Pour Jacques Chanut, président de la FFB : " Le bâtiment avait été entendu sur le fait de décorréler l'instruction des permis de construire de la fin de l'état d'urgence sanitaire, mais les pouvoirs publics ont profité de cela pour décorréler également les délais de chantiers, sans donner de message clair à ce stade sur la nécessaire répartition des surcoûts de la Covid-19. Ce sujet important est aujourd'hui d'une grande priorité pour prévenir les dépôts de bilan des artisans et entrepreneurs du bâtiment, leur permettre de surmonter cette crise et participer, sur tous nos territoires, à la nécessaire reconstruction économique et sociale de notre pays."
Il y a 5 ans et 2 jours

Comment mieux isoler son domicile contre le bruit ?

Le bruit que font les enfants, la télévision allumée à toute heure ou la pratique du sport dans le salon augmentent le bruit dans les maisons, ce qui rend le travail à domicile plus difficile. Ne pas disposer d’un bon confort acoustique peut réduire notre concentration jusqu'à 48%, comme le souligne ROCKWOOL, leader de la fabrication d’isolants en laine de roche, un matériau durable et recyclable.Nous avons en tête que notre santé ne dépend que du régime alimentaire ou de l'exercice physique que nous faisons. Pourtant, un environnement bruyant peut causer, par exemple, des problèmes cardiaques. De plus, le bruit augmente le stress de 27% et diminue la productivité de 12%. Face à cette situation, améliorer l'acoustique des bâtiments en utilisant une isolation en laine de roche est une bonne méthode, car elle agit comme une barrière antibruit, isole et contrôle les vibrations. En raison de ses propriétés, ce matériau réduit l'impact acoustique provenant de l'extérieur ou du bâtiment lui-même.Le bruit, une nuisance invisibleLorsque nous choisissons une maison, nous le faisons en fonction du prix, de l'emplacement et des critères esthétiques, mais nous ne tenons généralement pas compte du confort acoustique qu'elle peut offrir. En réalité, c'est essentiel, car nous passons la majeure partie de notre temps à l'intérieur ; aujourd’hui, avec le confinement, ce phénomène a augmenté. Par conséquent, il est essentiel de miser sur des bâtiments durables, sûrs et confortables, pour ainsi augmenter la qualité de vie.La laine de roche, qui est au cœur des produits ROCKWOOL, est un matériau isolant et versatile qui absorbe le bruit. Son utilisation vous permet d’éviter d’entendre les pas des voisins sur le sol, les conversations dans la pièce d’à côté ou le déplacement de meubles, entre autres. Par conséquent, isoler correctement son logement est nécessaire pour se concentrer, être plus efficace au travail et être plus détendu.Comment isoler son appartement si les co-propriétaires s'opposent à la rénovation de l'immeuble ?Il n'est pas facile de convenir avec les voisins d'effectuer des travaux dans le bâtiment. Pour isoler votre appartement lorsque les voisins s'opposent à la réhabilitation complète du bâtiment, vous pouvez avoir recours à l'isolation par l'intérieur. Grâce à cette technique, il est possible de rénover uniquement l’appartement lui-même afin d’améliorer son confort acoustique et thermique. L'isolation en laine de roche, en raison de sa densité élevée est extrêmement résistante à la circulation de l'air, ce qui réduit et absorbe le bruit, rendant calmes les espaces auparavant bruyants.
Il y a 5 ans et 2 jours

Covid-19 : Télétravail, "open space", "coworking", la crise sanitaire change la vie de bureau

Selon la dernière édition, datant de 2017, du baromètre de la qualité de vie au bureau, réalisé par TNS Sofres et Actineo, trois actifs sur cinq (65%) travaillant au bureau sont dans un espace fermé, 29% dans un espace collectif ouvert (ou "open space") et 6% sont sans poste attitré (bureau partagé ou "desk-sharing").Sur les 65% qui sont en bureau fermé, 32% sont seuls (proportion qui monte à 77% chez les cadres dirigeants et 46% chez les cadres intermédiaires) et 33% sont dans un bureau de plus de deux personnes (36% des employés).Dans le contexte post-covid, "les entreprises vont être obligées de repenser leur organisation. Toucher aux environnements de travail est une question sensible" pour Catherine Pinchaut, secrétaire nationale de la CFDT, qui prévient que beaucoup va dépendre "de la qualité du dialogue social". "Il faut que l'employeur assume ses responsabilités en matière de sécurité, qu'il informe et forme ses salariés", insiste Céline Verzeletti, secrétaire confédérale de la CGT.Les bureaux en plateau ouvert ont été fustigés dans le livre à succès "L'open space m'a tuer" paru en 2008 sous les plumes de Thomas Zuber et Alexandre des Isnards (Pocket). Le sociologue du travail Alain d'Iribarne les a qualifiés de "fabrique du contrôle social" où "chacun se surveille, écoute les conversations des autres". Ils vont devoir être repensés, assure l'architecte et psychologue du travail Elisabeth Pélegrin-Genel. "L'open space a été densifié au fil des années, on a entassé les gens pour économiser des mètres carrés. On va devoir +dédensifier+ et revenir à quelque chose de sans doute beaucoup plus agréable car on ne sera pas collé les uns contre les autres."Pas "la fin du bureau"Auteur en 2016 du livre "Comment (se) sauver (de) l'open space ?" (Editions Parenthèse), elle se dit aujourd'hui "assaillie de sollicitations pour installer des plexiglas" sur les plateaux de travail. "Comme dans +Playtime+ de Jacques Tati. J'espère que ce ne sera que temporaire, qu'on ne va pas finir par vivre chacun dans son scaphandre, à deux mètres les uns des autres..." Dans ce contexte, le bureau partagé "peut devenir une bonne solution de par sa facilité d'entretien" car il est plus facile de désinfecter un poste de travail vide de tout effet personnel, estime Mme Pélegrin-Genel.Le cotravail (ou "coworking") permet pour sa part de renouer avec une ambiance de bureau dans des espaces dédiés, partagés par plusieurs entreprises, plus proches du domicile, permettant d'éviter des heures de trajet."Le coworking est une alternative au domicile" pour Odile Duchenne, directrice générale d'Actineo, observatoire de la qualité de vie au travail, tout en permettant ce "travail à distance, grand gagnant" de cette crise.Selon Patrick Conjard, de l'Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail (Anact), le "travail hors les murs", qui concernait 7% des salariés avant la crise et 30% (un peu plus de 7 millions) pendant, "bouleverse les pratiques managériales" appelées à "gérer les collectifs en présence et à distance"."0n va de plus en plus travailler ailleurs que dans les immeubles de bureau", ajoute Mme Duchenne, mais "cela ne veut pas dire la fin du bureau". Pour la dirigeante d'Actineo, "l'entreprise sera le lieu où l'on vient pour les réunions, le partage, la créativité". Cela impliquera l'aménagement de "salles de réunion plus grandes, plus hautes de plafond, plus aérées". Une chose est certaine pour Odile Duchenne : "la crise marquera ces lieux".
Il y a 5 ans et 2 jours

Vitra : Chair Times

En ce temps propice au visionnage de documentaire, l’éditeur design Vitra dévoile « Chair Times », un film qui retrace l’histoire de la chaise à travers 125 objets issus de la collection du Vitra Design Museum. Du XIXème siècle aux créations les plus récentes, retour sur un artefact qui en dit long sur son époque. Véritables marqueurs de la mode et de l’éthique d’une société, les chaises sortent de nos salles à manger le temps d’un documentaire. Présenté par Vitra, « Chair Times » dévoile les facettes d’une pièce de mobilier qui permet de reconnaître et comprendre une époque. Structures sociales, matériaux, techniques, habitudes et styles sont tant d’éléments qu’une simple chaise permet de disséquer.Guidés par le président émérite de Vitra et l'ancien PDG Rolf Fehlbaum, de grands noms du design comme les créateurs Hella Jongerius et Ronan Bouroullec, l’architecte David Chipperfield ou encore les conservateurs du Vitra Design Museum Amelie Klein, Jochen Eisenbrand s’expriment et nous offrent des clés de compréhension inédites.De quoi passer le temps tout en s’instruisant ! Pour en savoir plus, visitez le site de VitraPhotographies : VitraZoé Térouinard
Il y a 5 ans et 2 jours

Grand Paris Express: le premier lot de génie civil de la ligne 18 attribué

CONTRAT. La Société du Grand Paris a choisi le groupement qui réalisera le premier marché de génie civil de la ligne 18 du Grand Paris Express. Les travaux pour la dernière ligne du réseau de super-métro vont donc pouvoir être engagés.
Il y a 5 ans et 2 jours

ISOcomble sur les starting blocks pour la reprise d'activité

Cette période de crise sanitaire aura été un véritable défi pour bon nombre d'entreprises. Cependant, des dispositifs d'aide ainsi que des initiatives de la part de certaines sociétés ont permis de faire face à certaines difficultés. C'est pourquoi ISOcomble a particulièrement mis l'accent sur l'accompagnement complet de son réseau mais aussi auprès des particuliers, afin de préserver la santé et le bien-être de chacun malgré les tensions existantes.Suite à l'annonce du confinement et à la fermeture des agences, Stéphane Lagneaux, Directeur réseau ISOcomble, a tenu à garder un lien régulier avec les franchisés, en les informant par téléphone ou par email sur toutes les démarches possibles susceptibles de les aider. Puis, selon le souhait et la capacité de chacun, des chantiers ont pu reprendre chez les particuliers, en respectant à la lettre les mesures d'hygiène et de sécurité via les préconisations de l'OPPBTP (L'Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics). Stéphane Lagneaux précise : « Avant toute intervention, les équipes veillent à obtenir de la part du client la garantie de non contamination par le Covid-19 ainsi qu'un accord d'intervention. Nous insistons également sur la nécessité d'interagir le moins possible avec les experts ISOcomble sauf si nécessaire au moment de la signature des fins de travaux ou lors de l'état des lieux, en respectant les gestes barrières et en portant l'équipement de sécurité indispensable. »Grâce à des dispositifs clairs et précis informant les clients de manière détaillée sur le déroulement de la future intervention des équipes ISOcomble, tous les chantiers initialement prévus ont pu aboutir, soit un par jour par franchisé, et ce, dans de bonnes conditions sans que la qualité du travail effectué ne soit altérée. Par ces différentes actions, l'enseigne met en lumière ses atouts essentiels : la qualité des relations humaines via un accompagnement quotidien, l'ancrage local des agences de proximité ISOcomble et la qualité des travaux réalisés par des experts qualifiés pour rendre les habitats plus sains.Cela fait déjà plusieurs semaines que l'enseigne prépare sa reprise d'activité totale pour revenir au plus vite à des niveaux d'activité important. Dans ce sens, le réseau a axé ses réflexions autour d'actions de communication spécifiques permettant de valoriser le concept écologique, en plus de rappeler que l'opération « Coup de Pouce Isolation » se poursuit pour une isolation à partir de 1 euro.Un accent mis sur la communication digitaleEn vue d'optimiser la reprise d'activité totale des agences de proximité dès le 11 mai, le réseau a choisi d'accompagner ses franchisés sur tous les fronts. Notamment sur le volet digital avec un lancement prochain de campagnes SMS géolocalisées ainsi que des envois d'emailings ciblés, venant soutenir l'ancrage local des 20 agences existantes. Ces actions seront réalisées dans le but de gagner davantage en contacts qualifiés et d'accompagner au mieux l'ensemble du réseau en cette période transitoire. C'est pourquoi ISOcomble entend davantage occuper le terrain digital, plus que jamais dans l'air du temps, en accentuant sa présence sur les réseaux sociaux.Ces opérations ont pour but de se rapprocher des consommateurs vivant à proximité des agences et également de les rassurer sur les bonnes pratiques en cette période de reprise.Des atouts essentiels assurant la réussite du réseauTout en s'adaptant aux exigences actuelles face au contexte sanitaire, les équipes continuent d'assurer une isolation de qualité avec l'isolant le plus performant et durable existant sur le marché, ISOtextil, fabriqué à partir de chutes de vêtements neufs recyclés. Par ailleurs,il bénéficie d'un atout supplémentaire et non négligeable, une garantie de 15 ans, unique sur le marché.De plus, afin de répondre aux besoins des particuliers et s'adapter à tous les budgets, l'opération « Coup de Pouce Isolation » via les mécanismes de Certificats d'Economie d'Energie (CEE) se poursuit. Celle-ci participe amplement à la progression des agences ISOcomble tant en franchise qu'en succursale, témoin de l'engouement des consommateurs souhaitant bénéficier d'une isolation de qualité effectuée par des experts qualifiés et de proximité, à un prix minime.
Il y a 5 ans et 2 jours

Les créations d'entreprises dans la construction ont plongé en avril

CONJONCTURE. Sans réelle surprise, le nombre de créations d'entreprises a dégringolé de 33,5% au mois d'avril, tous secteurs d'activité confondus, après déjà une importante chute en mars. Le bâtiment, les travaux publics et l'immobilier ne sont pas non plus épargnés, bien que les tendances de long terme soient un peu plus positives.
Il y a 5 ans et 2 jours

Dossier : 6 architectures ayant défrayé la chronique

Comme l’art contemporain, l’architecture comprend elle aussi son lot de débâcles. Entre architectes avant-gardistes et public retissant, la discipline est parfois teintée de scandale. Cette semaine, Muuuz vous propose un retour en images sur les ouvrages les plus décriés de ces dernières années. La canopée des Halles, Patrick Berger et Jacques Anziutti, 2016Nous avons tous connu le quartier des Halles en travaux, centre névralgique de la capitale pourtant impraticable. Mais depuis 2016, le « ventre de Paris » est dotée d’une structure mi-excavé, mi-surhaussé comparée à une « vulgaire soucoupe volante » par les habitants du quartier. Jack Lang, ancien Ministre de la Culture et actuel président de l’Institut du monde arabe, qualifiera même l’ouvrage de « crime contre la beauté ». Un ouvrage qui divise les foules depuis désormais 4 ans. . La Tour Orbit, Anish Kapoor et Cecil Balmond, 2012Surnommée la « tour Eiffel ivre » par les britanniques, la tour Orbit s’élève à 115 mètres de haut dans le paysage londonien. Dessinée à l’occasion des Jeux Olympiques de 2012 par l’artiste fantasque Anish Kapoor et l’ingénieur Cecil Balmond, le moins que l’on puisse dire c’est que la réception de l’ouvrage a été plutôt mauvaise. Comme celle de la Tour Eiffel, souligne d’ailleurs Kapoor, malicieux. . La Pyramide du Louvre, Ieoh Ming Pei, 1985-1989En 1983, le président de la République François Mitterrand confie la construction du hall d’entrée du musée du Louvre à l’architecte sino-américain Ieoh Ming Pei. Lorsque l’architecte visionnaire présente son idée de structure pyramidale transparente à la Commission nationale des monuments historiques en 1984, le projet suscite la polémique. Inspirée par les monuments funéraires égyptiens, la Pyramide du Louvre destiné à accueillir les nombreux visiteurs du musée est fortement critiquée. En 1985, le maire de Paris Jacques Chirac propose de simuler la pyramide pour apaiser la controverse. Lors de l’inauguration de la Pyramide du Louvre au grand public en 1989, l’œuvre semble avoir déjà été adoptée par les Parisiens. . La Torre Agbar, Jean Nouvel, 2005Immeuble de bureaux indissociable de la skyline de Barcelone (Espagne), la Torre Agbar ne fait pas l’unanimité. Alors que Jean Nouvel assure s’être inspiré des montagnes de Montserrat et des geysers, les espagnols l’appellent entre eux « el supositori », soit le suppositoire. On est loin de la poésie des paysages géologiques catalans... .  MAXXI, Zaha Hadid, 2002-2009L’architecte irako-britannique Zaha Hadid remporte le concours d’architecture lancé par le maire de Rome Francesco Rutelli en 1998 grâce à son projet de bâtiment spectaculaire voué à abriter MAXXI, le musée national des arts du XXIème siècle. La construction du monument est longue. Son coût faramineux. Très controversé par les Italiens, l’édifice valu pourtant à l’architecte de décrocher le prix Stirling en 2010. . Le Centre Pompidou, Gianfranco Franchini, Renzo Piano et Richard Rogers, 1971-1977Lieu culturel désormais iconique, le Centre Pompidou a été très controversé tout au long des années 1970. En 1969, le président de la République Georges Pompidou lance un concours international car il souhaite faire construire un centre national d’art et de culture sur le plateau Beaubourg, situé en plein cœur du Marais. Le projet audacieux et résolument contemporain des trois architectes, Gianfranco Franchini, Renzo Piano et Richard Rogers, est sélectionné par le jury. Durant la construction du bâtiment, et même après son inauguration en 1977, l’édifice provoque de virulents débats. Comparé à « une raffinerie de pétrole », « un hangar » ou « un tas de ferrailles » par ses détracteurs, ce nouveau complexe architectural divise la scène artistique française. Aujourd’hui, le Centre Pompidou est un monument incontournable de la capitale, et la marque s’exporte à l’international. La Rédaction
Il y a 5 ans et 2 jours

Du mobilier urbain en bambou à Marseille

Depuis quelques mois, un ensemble de petits mobiliers urbains parés de bambou orne la cité phocéenne pour le confort de ses habitants.  Dessinées par l’agence D&A (Devillers et Associés) développées, fabriquées et posées par la société SERI, leader du petit mobilier urbain, ces structures modulables allient solidité et élégance d’une structure en acier et d’une assise en bambou MOSO®. Baptisée PACHA, la nouvelle gamme de mobiliers modulables comprend une table de pique-nique, des bancs et banquettes, des chaises et tables basses dans un style contemporain, voire intemporel, aux finitions qualitatives et naturelles.  Une solution technique autour de l’acier et du bambou Développée dans le cadre d’un appel d’offres, la gamme de petits mobiliers urbains baptisée PACHA représente une solution pérenne pour résister aux intempéries sans accuser les outrages du temps. « L’entretien constitue l’un des points sensibles d’une assise et nous recherchions un matériau performant qui puisse répondre à cette problématique. Nous avons développé en collaboration avec l’agence D&A une solution technique fabriquée en France qui se démarque par la qualité du piétement en acier et de l’assise en bambou MOSO®, un matériau durable avec une longévité exceptionnelle. Cette solution s’est démarquée sur un certain nombre de points, en particulier la résistance et la durabilité qu’elle peut offrir avec une classe d’emploi 4, mais également sa dureté qui permet par exemple, de minimiser la taille du renfort central du banc, et ainsi, de gagner en esthétisme. » commente Stanislas PHILIPPE, Directeur Commercial chez SERI. Un procédé naturel et unique de thermo-traitement à 200°C appliqué sur la gamme MOSO® Bamboo X-treme® lui confère la plus haute classe de durabilité possible selon les normes européennes. L’un des grands avantages concerne son faible entretien. Etant donné que les propriétés ignifuges sont obtenues par le procédé de haute densité et le procédé thermique, il n’est pas nécessaire de procéder à un traitement ultérieur pour conserver ses caractéristiques. Résistants aux intempéries, les tasseaux Bamboo X-treme® sont également moins sensibles au vandalisme que de nombreux bois d’usage courant grâce à leur dureté. Enfin, la gamme PACHA a été créée avec une seule section de carrelets Bamboo X-treme (40*60) ce qui facilite l’entretien des différents mobiliers. Le choix de la solidité et de la performance environnementale Le choix du bambou MOSO® fait également écho au modèle de fabrication vertueux de SERI. Grâce à sa croissance rapide (jusqu’à 1m par jour) mais aussi parce qu’il dispose de propriétés avantageuses et supérieures à la majorité des bois, le bambou MOSO® est l’une des alternatives les plus prometteuses pour le développement durable. Sa culture ne provoque pas de déforestation et durant sa croissance, le bambou MOSO® capte plus de CO2 que l’émission produite durant l’ensemble de sa production et de son transport. Les bambous MOSO® ont un bilan carbone neutre sur l’ensemble de leur cycle de vie. Le bambou MOSO® est également facile à recycler, il peut être utilisé comme matière première pour faire des panneaux agglomérés ou brûlé dans une centrale d’énergie thermique ou dans un site de biomasse pour produire l’électricité. Enfin, fabriqués dans des usines ISO 9001 et ISO 14001, les produits sont conformes aux normes les plus strictes en matière de qualité, de sécurité et de protection de l’environnement.   À propos de D&A (Devillers & Associés) Fondée par Christian Devillers, Equerre d’Argent, Grand Prix de l’urbanisme, l’agence D&A dispose de compétences diversifiées pour répondre de façon globale et à toutes les échelles aux demandes de la ville d’aujourd’hui dans une dynamique multiscalaire et multidisciplinaire : du grand territoire aux villes et aux quartiers en renouvellement ou en reconversion, du traitement paysager et urbain des infrastructures de transport aux ouvrages d’art et de l’architecture … au mobilier urbain ! À propos de SERI La société SERI, issue des fonderies de Châtellerault, a été créée en 1921 par Jean LENOIR. Forte d’une expérience acquise dans la fabrication de produits industriels de grande qualité et toujours à l’écoute de son environnement, l’entreprise a développé son savoir-faire pour devenir depuis 1979 la référence comme concepteur et fabricant de mobilier urbain. Aujourd’hui, les collectivités locales, les bureaux d’études, les architectes et designers reconnaissent les compétences de SERI pour la conception et la fabrication industrielle de mobiliers urbains. SERI est considéré comme le spécialiste des grands aménagements urbains. www.seri.fr À propos de Moso Avec une expérience de près de 20 ans, MOSO® international est le pionnier des solutions innovatrices en bambou pour l’intérieur comme l’extérieur et le seul producteur de bambou à intervenir mondialement. Basé aux Pays-Bas, MOSO® international possède des bureaux en Espagne, en Italie, en Afrique du Sud, en Chine, aux Etats-Unis et aux Emirats Arabes Unis et compte 80 collaborateurs au total. www.moso.eu/fr  
Il y a 5 ans et 2 jours

La tuile Ténord Huguenot d'Edilians certifiée NF Faible Pente

L'unique modèle petit moule du marché certifié NF FPDernière née de la gamme des tuiles petits moules à relief d'EDILIANS, la TÉNORD Huguenot est une tuile à emboîtement produite dans le site de Wardrecques au cœur de l'Audomarois, dans les Hauts de France.Caractéristique des toitures de la région Nord, elle est la première et la seule tuile petit moule du marché à bénéficier de la certification NF Faible Pente et s'ajoute aux 12 modèles déjà certifiés d'EDILIANS. Sans aucune modification des pureaux de pose, la TÉNORD Huguenot peut être mise en œuvre jusqu'à 19% de pente ce qui autorise son installation sur des toitures plus plates, un atout pour répondre aux exigences des projets architecturaux plus contemporains.Une esthétique traditionnelleGrâce à un procédé de fabrication innovant sur moule en plâtre, la TÉNORD Huguenot offre un aspect de surface parfaitement lisse et une haute qualité de finition. Avec son nez fin, son cornet étroit et ses demi-lunes, son design respecte les codes traditionnels des toitures du Nord.S'inscrivant résolument dans le patrimoine historique de sa région, la TÉNORD Huguenot se décline dans une palette de 4 teintes brillantes (Flammé Rustique, Rouge, Anthracite, Terre d'Amarante) qui apportent une touche de modernité.Un jeu double et une pose simpleAux performances techniques élevées, la tuile TÉNORD Huguenot possède un double jeu de pose inédit de 20 mm longitudinal, au niveau du pureau, et de 4 mm latéral. Cette qualité de conception garantit une flexibilité de pose optimale ainsi qu'une simplicité d'installation en rénovation comme en neuf. En construction, son pureau maximum de 270 mm fait de la TÉNORD Huguenot la plus économique des tuiles du Nord (jusqu'à 18,7 tuiles au m²).Dotée d'un système de double emboîtement et recouvrement au service d'une étanchéité irréprochable, la tuile TÉNORD Huguenot peut être associée aux autres solutions pour la toiture et l'éco-habitat d'EDILIANS, telles que les accessoires (rive, plain plan, faîtage) et les écrans de sous-toiture.
Il y a 5 ans et 2 jours

L’EPA Paris-Saclay @ « HOMES » en toute connaissance de KOZ

KOZ Architectes réalisera une résidence étudiante résiliente de 7 557 m² (SDP) au sein du Campus urbain de Paris-Saclay. DEMATHIEU BARD Immobilier maître d’ouvrage de ces « HOMES ». Livraison prévue en 2022. Communiqué. KOZ architectes a été désigné en mai 2020 pour la maîtrise d’œuvre d’une nouvelle résidence étudiante en bois sobre et innovante […] L’article L’EPA Paris-Saclay @ « HOMES » en toute connaissance de KOZ est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 2 jours

Un chantier francilien prioritaire mené en plein confinement

FERROVIAIRE. Le 4 février 2020, un glissement de talus sur les voies SNCF, à hauteur de la gare de Transilien Sèvres-Ville d'Avray, paralysait le trafic des lignes L et U. Le chantier pour stabiliser le terrain et rétablir la circulation des trains a dû être brièvement interrompu au début du confinement. Mais jugé prioritaire, il a fait l'objet d'adaptations pour pouvoir assurer une reprise du trafic avant le 11 mai.
Il y a 5 ans et 2 jours

La solution d'ITE Myral plébiscitée sur les chantiers C.O.B pour ses qualités esthétiques et sa facilité de pose

Les deux maîtres d'ouvrage ont été accompagnés pas à pas par les équipes (chargé d'affaires, bureau d'études, formation) de l'industriel pour un résultat final en parfaite adéquation avec leurs objectifs environnementaux et esthétiques. Alors que le matériau bois est en nette progression dans le bâtiment en France (+19.4% PDM dans le collectif), la solution d'ITE Myral est parfaitement compatible avec ce type de projet tant sur le plan technique qu'esthétique grâce à un système de fixation unique. Cette compatibilité s'accompagne d'une grande facilité de mise en œuvre permettant de respecter des délais ambitieux.Le Groupe scolaire Simone Veil labellisé E3C1, Argenteuil (95)L'architecte en charge du projet, Joël Mischke, souhaitait faire oublier l'image de l'ancien site industriel sur lequel le groupe scolaire est maintenant implanté. Au total, l'ensemble livré en septembre dernier est d'une surface de 5 833 m² et s'inscrit dans une démarche environnementale très forte, qui s'est concrétisée par l'obtention du label E+C- avec un niveau E3C1.Les choix des matériaux utilisés par l'architecte se sont tournés vers cet objectif, notamment avec le bois. Pour le revêtement de façade, Joël Mischke a trouvé dans la solution Myral un bardage compatible avec son projet, et qui puisse laisser libre court à sa créativité grâce à la large gamme de finitions proposées. « Pour la plus grande partie des bardages, j'ai donné la priorité au blanc, le zinc patina est utilisé en R+2 pour marquer quelques points singuliers comme le logement du gardien, et avec le poli miroir, j'ai obtenu un reflet du ciel très intéressant qui permet de casser l'effet de masse de l'ensemble… ». Chaque étage de l'édifice est paré de bardages aux finitions et coloris différents, offrant à l'ensemble un jeu de volumes intéressant. Si l'architecte a été convaincu par le rendu esthétique de la solution Myral, il a tout autant apprécié la facilité de mise en œuvre du revêtement de façade, grâce à ses panneaux facilement manipulables. Ils ont permis de gagner du temps dans le déroulement du chantier et d'avoir le bâtiment prêt pour la rentrée 2019. La Société Normande Poulingue, spécialisée dans la conception et réalisation sur le marché de la construction bois, représentée sur site par Mr Baugard Antoine, a mis en œuvre avec brio l'ensemble des façades. La facilité et la rapidité de mise en œuvre ont permis à l'entreprise de réaliser les bardages en part propre en évitant la sous-traitance.Un immeuble bas carbone pour répondre aux exigences du futur, Méricourt (62)L'immeuble est un ensemble de 3 étages réalisé dans le cadre d'un éco quartier qui comprend 36 logements. Sur ces bâtiments, la solution Myral en pose bardage ventilé a été choisie pour une surface totale de 1 858 m². Dans une logique d'aménagement innovant, le maire de Méricourt souhaitait une qualité de bâti qui réponde aux exigences du futur. Le cahier des charges visait à obtenir un bâtiment bas carbone à haute performance énergétique. Objectif atteint, puisque l'immeuble arrive aujourd'hui à une base RT 2012 -20%.Martial Schillinger est le promoteur à l'origine du projet, accompagné par le Groupe Alsacien Mathis, spécialiste en construction bois en conception réalisation. Ils ont été séduits par la facilité de mise en oeuvre de la solution Myral grâce aux lames d'un seul tenant de 10.86 mètres sur toute la hauteur du bâtiment, et au système de fixation simple et non apparent. Le large choix de finitions a permis de donner du caractère à l'ensemble : « L'esthétisme plaisait à tout le monde. Ces revêtements métalliques changent un peu de ce que l'on a l'habitude de voir : il s'agit d'un vrai parti-pris esthétique ». Le choix s'est porté sur des panneaux aspect zinc et aspect or pour faire le contraste avec la rythmique bois autour de l'immeuble. Alors que les bâtiments en béton autour de l'immeuble sont parés d'un revêtement bois, cet immeuble, le seul avec une structure 100% bois, est couvert d'un revêtement métallique, en faisant un bâtiment totémique de la ZAC. Le mariage entre les parements aspect or et aspect zinc confère une véritable signature architecturale à l'ensemble.« Les élus et l'agence d'Architecture Houyez apprécient le niveau de qualité perçu. Et cela nous a conforté dans notre volonté d'inclure cette solution dans nos futurs programmes. Soit en 100%, soit en mix avec d'autres produits.» - Martial Schillinger, promoteur construction bois à l'origine du projet de Méricourt
Il y a 5 ans et 2 jours

Avec WICONA le groupe scolaire et centre de loisirs Simone Weil se refait une beauté

En première couronne parisienne, Champigny-sur-Marne (94) s’inscrit dans la dynamique du Grand Paris. À deux pas du centre-ville et d’une future gare du Grand Paris Express, le quartier des Courtilles renforce ses équipements. Parmi eux : le premier groupe scolaire/centre de loisirs ouvert depuis 1974 sur la ville, dédié à l’accueil des enfants de maternelle et de primaire. Conçu par le cabinet d’architecture Valero Gadan Architectes & Associés (Paris IIIe), le projet devait prendre en compte la montée des effectifs des prochaines. Outre les exigences d’un bâtiment HQE, le cahier des charges demandait d’optimiser la mutualisation des espaces, la robustesse de l’ouvrage, sa facilité de maintenance. Fonctionnalité et pérennité sont donc les maitres mots de ce bâtiment, qui se devait aussi d’illustrer l’école républicaine, comme le souhaitait la municipalité. « Nous avons répondu avec un bâtiment qui interprète les codes de l’école de la république comme devant être imposante mais aussi précieuse, et d’un coût tout à fait compétitif, en construction et en maintenance. La réversibilité du bâtiment est un autre point qui nous tient à cœur au sein de l’agence, surtout pour un bâtiment public : il n’était pas question de laisser aux successeurs une carcasse non manipulable ! » déclare l’architecte Bernard Valero. Groupe Scolaire et centre loisirs Simone Weil / © Olivier Rolfe Large palette de solutions en aluminium WICONA Pour répondre à ces impératifs, une multitude de matériaux résistants ont été employés, des sols aux plafonds, en passant par les murs et façades. Parmi eux : une large palette de solutions en aluminium WICONA a été retenue. En effet, trois versions du système de mur-rideau MECANO (ossature 52 mm) sont utilisées. La solution de façade lisse MECANO VEC se hisse sur plus de 450 m2 sous le ruban de brise-soleil verticaux dorés apposé sur les façades sud et ouest de l’école primaire. Particulièrement performant en termes d’étanchéité et d’isolation, MECANO serreur ponctuel éclaire les rez-de-chaussée en intégrant des portes WICSTYLE 65. La version MECANO serreur filant, qui autorise des prises de volume importantes (jusqu’à 42 mm), a permis de réaliser la verrière de 19 m2 disposée en éclairage zénithal d’un escalier intérieur. Groupe scolaire Simone Weil / © Olivier Rolfe Diversité toujours côté châssis, avec les solutions WICLINE 65 HI (haute isolation) fixes et à frappe et les coulissants WICSLIDE 65, tantôt seuls, souvent intégrant un garde-corps vitré, parfois associés dans des ensembles composés coulissant/fixe/ ouvrant pompier. Des solutions feu complètent le dispositif (portes et châssis WICSTYLE 77 FP). Groupe scolaire Simone Weil / © Olivier Rolfe   Maître d’ouvrage : Ville de Champigny-sur-Marne (94) Architecte : Valero Gadan Architectes & Associés (Paris IIIe, 75) Entreprise : STM, groupe Roger Delattre (Faches-Thumesnil, 59) Photographe : Olivier Rolfe
Il y a 5 ans et 2 jours

Surélévation en bois d’une maison australienne près de Melbourne

Nichée derrière une maison en bois dans le nord-est verdoyant de Melbourne, en Australie, ces surélévation et extension modulaire, à la fois audacieuses et raffinées, ont été conçues par les architectes de Modscape. [De l’architecte] Ayant besoin d’un espace supplémentaire pour leur famille grandissante, les propriétaires ont décidé d’utiliser une solution modulaire et d’agrandir leur […]
Il y a 5 ans et 2 jours

Covid-19 : Apave et AFNOR lancent un label dédié à la sécurité sanitaire

Objectif : inspirer confiance, avec la délivrance d'une attestation et sa déclinaison visible (macaron) attestant qu'une entreprise de BTP applique à la lettre les règles sanitaires spécifiques au Covid-19.Comme de nombreux autres secteurs de l'économie française, les acteurs du BTP reprennent progressivement leurs activités après près de deux mois de crise sanitaire, mais doivent le faire en appliquant les mesures de protection contre le Covid-19 sur le lieu de travail et sur les chantiers. Pour tous ceux qui désirent montrer qu'ils les appliquent scrupuleusement, et ainsi rassurer leurs interlocuteurs et leurs clients, la vérification sur site par un organisme reconnu tierce partie est une excellente solution. Avec, si l'exercice est concluant, l'octroi d'un label reconnaissant ces bonnes pratiques. L'entreprise bénéficie ainsi du regard affûté d'un évaluateur impartial.Pour développer ce label, AFNOR Certification et Apave Certification, deux acteurs majeurs de la certification dans le secteur de la construction, ont bâti un cahier des charges adapté à la vérification des dispositions prises au niveau des entreprises (bureaux, dépôts et ateliers des entreprises, chaînes logistiques d'approvisionnement des matériaux ) et des chantiers (bases vie, bungalows de chantier ...) en capitalisant sur des documents sectoriels comme le guide de l'OPPBTP et les fiches métiers de la Direction Générale du Travail (DGT). Les évaluateurs missionnés dans les entreprises qui en feraient la demande s'y sont formés. « Je me réjouis de ce partenariat entre deux acteurs de premier plan, tous les deux tiers de confiance auprès des acteurs économiques du secteur de la construction et désireux d'amorcer une reprise saine, ambitieuse et résiliente, de nature à rassurer collaborateurs, clients et partenaires et qui doivent reprendre leurs chantiers dans les meilleures conditions », commente Franck Lebeugle, Directeur général d'AFNOR Certification.« Dans le contexte de reprise d'activités post crise Covid-19, ce partenariat entre Apave et Afnor est une excellente nouvelle. Nos équipes ont à cœur d'accompagner le secteur du BTP dans cette période si particulière. La mise à disposition de nos compétences communes et complémentaires en Certification, Bâtiment et Génie Civil et QHSE, s'inscrit dans la volonté commune de nos structures d'accompagner la reprise d'activités en toute sécurité et de soutenir la relance économique qui y est associée », déclare Philippe Maillard, Directeur général d'Apave.
Il y a 5 ans et 2 jours

Ubalt Architectes : INSEP x ADIDAS

Depuis janvier 2020, l'Institut National du Sport, de l'Expertise et de la Performance (INSEP) bénéficie de nouvelles infrastructures, à la fois fonctionnelles et graphiques, conçues par Ubalt Architectes. Le studio parisien d’architecture Ubalt Architectes s’est associé à l’agence événementielle Ubi Bene pour rénover plusieurs espaces de l’INSEP dans le cadre de son partenariat avec la marque de sport adidas. Les équipes Ubalt Architectes ont pensé l’esprit du lieu autour des couleurs communes à l’INSEP et adidas, le blanc et le bleu. Du choix des couleurs à la sélection des matériaux, les architectes ont ainsi décidé de puiser leur inspiration dans les univers graphiques des deux entités pour mieux illustrer ce co-branding. Tout l’enjeu de la réhabilitation a donc consisté à concevoir un lieu fonctionnel à l’identité visuelle forte. Destinées à accueillir des sportifs de haut niveau, les nouvelles infrastructures de l’INSEP se composent de plusieurs espaces aux formes géométriques simples : une maison de vie, une salle de réunion, des vestiaires et des couloirs. La maison de vie des jeunes sportifs est un espace ouvert structuré selon les différentes activités des athlètes. Au centre de la salle est installée une grande cage de tôle déployée, qui comprend des tables hautes réservées aux repas ou aux moments de travail. De part et d’autre de la cellule, il y a une salle de jeu et un solarium. Avec son sol bleu, sa tôle déployée et son mobilier en carrelage immaculé, la salle de réunion baptisée du nom de la célèbre athlète française Micheline Ostermeyer répond à la décoration de la pièce principale. Dans les couloirs remaniés de la Halle Pajol, le bleu domine, rappelant une fois encore le partenariat entre l’institut français et la firme allemande. Les architectes ont recouvert les murs, les bancs et les douches des vestiaires de carrelage blanc, tandis que le grès du sol remonte le long du mur. Seules quelques touches discrètes de bleu contrastent avec les teintes sobres de la pièce. Tous les nouveaux espaces de l’INSEP sont animés par un subtil jeu d’associations de lignes graphiques, de matériaux bruts et de couleurs franches, qui crée l’esprit du lieu. L’endroit se veut fonctionnel, mais devient singulier grâce à la grande liberté prise par Ubalt Architectes pour réinterpréter le complexe sportif à l’image des deux structures. Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence Ubalt Architectes et celui de l’agence événementielle Ubi Bene. Photographies : Yohann Fontaine Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 2 jours

Covid-19 : Face à la crise, travailler plus ou travailler moins ?

Sur le temps de travail, le Medef a tiré le premier il y a un mois par la voix de son président, Geoffroy Roux de Bézieux, qui a estimé qu'il faudrait "poser la question du temps de travail, des jours fériés et des congés payés" pour accompagner la reprise.Devant le tollé -- "indécent" a claqué le numéro un de la CFDT Laurent Berger-- il a vite remballé sa proposition, aussi promue par l'Institut Montaigne.Sauf que depuis, des mauvais chiffres des demandeurs d'emplois sont arrivés, les prévisions de croissance plongent (-6 points de PIB pour les deux mois de confinement) et la crise de l'emploi se profile.Les idées ressortent.Si la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, martèle depuis deux mois que l'exécutif fait tout pour éviter les licenciements, elle a discrètement lâché cette semaine qu'elle ne pouvait "pas affirmer qu'il n'y aurait pas de licenciements dans les entreprises en difficulté".Vieux routier des relations sociales en France, et ancien conseiller social de Nicolas Sarkozy, Raymond Soubie s'est même étonné de ne voir "personne anticiper" les plans sociaux, et la situation des entreprises qui seront face à des "marchés durablement réduits".Lui pronostique la disparition de "dizaines de milliers, et probablement des centaines de milliers d'emplois". Si bien qu'il préconise de revoir "d'urgence" les règles des plans sociaux pour les entreprises les plus en difficultés, et pour les autres de passer des accords prévoyant des efforts des entreprises sur l'emploi en échange d'efforts des salariés sur le temps de travail."C'est le monde d'après avec les recettes d'avant-hier!", a persiflé auprès de l'AFP un cadre de FO, qui craint de son côté les licenciements au compte-goutte dans des petites entreprises.Les accords de "performance collective" (ex-accords de maintien de l'emploi, préservation de l'emploi, mobilité), dénommés ainsi depuis les ordonnances travail de 2017, peuvent déjà porter sur la durée du travail et la rémunération."Confinement des esprits"La ministre du Travail, pour qui la durée légale du travail "n'est pas un problème", rappelait récemment que ce "dispositif s'inscrit dans le paysage" avec 13 accords en avril et 356 depuis le début de l'année.Dans un entretien au Monde, le président du Medef explique d'ailleurs mercredi qu'il faut voir la situation par secteur."Dans certains secteurs, la demande peut être soutenue, mais les contraintes sanitaires font que la productivité baisse: ce sont dans ces secteurs-là que la question du +travailler plus+ peut se poser, mais elle ne peut l'être qu'avec les salariés et entreprise par entreprise".A droite, les propositions se multiplient. Christian Jacob, le président de LR, plaide pour "sortir du carcan des 35 heures", et son parti planche sur un plan de relance, avec notamment les contributions de l'ex-ministre du Budget Eric Woerth.Mais l'allongement de la durée du travail n'est pas du goût de Laurent Berger, qui parle de "confinement des esprits" et de "vieilles lunes". Pour lui aussi, on "tarde trop" à se préoccuper de l'emploi alors que "le risque de faillites en cascade et son lot de drames sociaux et territoriaux se confirme"."Si on pense que l'on va s'en sortir positivement en promettant de la sueur et des larmes, on est chez les fous", estime-t-il dans l'hebdomadaire La Vie.Plutôt que de vouloir allonger la durée du temps de travail, "nous devons apprendre à travailler autrement et à travailler mieux", argumente-t-il, particulièrement inquiet de la situation des jeunes.Il promeut les propositions du "pacte pour le pouvoir de vivre", aux côtés d'une cinquantaine d'organisations, comme celle de favoriser les emplois dans la rénovation thermique des logements.Fidèle à sa position sur la semaine de 32 heures, la CGT milite pour travailler moins. "Comment va-t-on faire croire aux gens que si ceux qui ont du travail travaillent plus, ça va libérer de la place pour ceux qui n'en ont pas ?", cingle Philippe Martinez, son numéro un.
Il y a 5 ans et 2 jours

Difficile reprise de l’activité pour les travaux publics franciliens

Fin avril, le niveau d’activité des travaux publics en Ile-de-France s’élevait à 24% par rapport à la « normale », contre 36% en moyenne au niveau national. La profession s’inquiète également de la forte chute de la commande publique.
Il y a 5 ans et 3 jours

A Rennes, l'Économie Sociale et Solidaire aura son immeuble au printemps prochain

Porté par Coop de construction, le chantier du Quadi, futur pôle de développement de l'Économie Sociale et Solidaire (ESS) a repris en vue d’une livraison en mars 2021.
Il y a 5 ans et 3 jours

Délais de chantier : l'ordonnance du 13 mai remet le feu aux poudres

COLÈRE. Une mesure contenue dans l'ordonnance adoptée en conseil des ministres, ce mercredi 13 mai 2020, inquiète fortement les organisations patronales du bâtiment et des travaux publics, contactées par Batiactu.
Il y a 5 ans et 3 jours

Covid-19 : l'ingénierie alerte sur un risque de l'effondrement de l'économie

Alors que 70% des entreprises d'ingénierie enregistrent une chute de leurs prises de commandes publiques et privées, 90% d'entre elles anticipent un ralentissement durable de leur activité et craignent un effondrement économique global. L'ingénierie intervient dans tous les domaines d'activité (aéronautique, automobile, environnement, construction, BTP, infrastructures, industrie, énergie, chimie, numérique, etc.) et dès les phases d'études et de conception.« "Quand le bâtiment va, tout va." Qui n'a jamais entendu cette phrase ? Ce que l'on sait moins, en revanche, c'est que quand l'ingénierie ne va pas, c'est l'économie toute entière qui n'ira pas, à moyen et long terme. L'ingénierie intervient à toutes les étapes des projets industriels et de construction et ce, dès leur genèse. 50% de projets d'ingénierie en moins aujourd'hui, c'est 50% de construction et d'installations en moins demain dans le BTP, l'industrie, l'énergie, etc. Notre secteur est un indicateur avancé de tendance de l'activité économique et du monde de demain. » explique Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie.Une profession touchée de plein fouet par la crise…L'ingénierie accompagne maîtres d'ouvrages et industriels dans la conception et réalisation de leurs projets. Gel des contrats, suspension des appels d'offres en cours, report du second tour des élections municipales… Le baromètre révèle que 90% des entreprises d'ingénierie anticipent une baisse de leur activité au second semestre 2020 et plus d'1 entreprise sur 2 estime que cette contraction excédera 50%. Cela s'explique principalement par la baisse des commandes aussi bien dans le secteur privé que public, qui touche 70% des répondants.Pour préserver l'emploi et maintenir leur force de frappe, les entreprises d'ingénierie ont recouru massivement au télétravail, chaque fois que cela était possible. 54% de leurs collaborateurs sont ainsi en télétravail, mais avec un taux d'occupation qui s'amenuise au fil des mois. Et 30% d'entre eux sont désormais au chômage partiel.Le baromètre met également en lumière des problématiques de trésorerie pour les ingénieristes, qui sont des sociétés de services intellectuels sans réserve financière et qui ne peuvent pas stocker leur production. 62% des répondants ont demandé des délais de paiement pour les échéances sociales et/ou fiscales, 33% ont eu recours aux fonds de solidarité et 23% au prêt garanti par l'État. Plus d'1 entreprise sur 2 sera en difficulté de trésorerie sous 6 mois, sans reprise de l'activité économique.Notons que la mise en place des mesures de sécurité sanitaire en vue de la reprise entrainera des coûts supplémentaires, pouvant atteindre pour une entreprise 200€ par salarié par mois.…qui alerte sur les risques d'une reprise trop lente de l'activité économiquePartenaires des donneurs d'ordre publics et privés, les entreprises d'ingénierie sont mobilisées pour préparer l'après-crise et 60% d'entre elles ont déjà préparé un plan de relance. Dans ce contexte d'incertitudes et de gel des commandes, elles anticipent néanmoins un redémarrage économique lent et étalé sur plusieurs mois. Pour plus d'un tiers des entreprises, celui-ci n'aura pas lieu avant au moins un an. Une reprise jugée bien trop lente par la profession et qui mettrait en danger l'ensemble des filières économiques.Pierre Verzat explique : « Maîtres d'ouvrages et industriels doivent à tout prix maintenir leurs projets d'investissement, sous peine d'asphyxier l'ensemble du tissu économique de nos territoires et d'entrainer la disparition de beaucoup d'entreprises, souvent des PME, qui créent de l'emploi en local. »Pour un plan de relance qui garantisse le maintien de l'activité économique et soutienne la santé économique des entreprises Pour amorcer la relance, les entreprises d'ingénierie appellent à travers leur fédération professionnelle à :Garantir un maintien de l'activité économique, à travers :La mise en place des conditions de soutien à la commande publique : Relever le seuil de dispense de procédure pour la passation des marchés publics de prestations intellectuelles actuellement à 40K€, à 100K€ HT, jusqu'à la fin de la crise sanitaire.Garantir le bon fonctionnement des Commissions d'appels d'offres.Proroger d'un an les accords-cadres signés avec les acheteurs publics, expirant dans le courant de l'année 2020La simplification et l'accélération des procédures administratives pour favoriser la relance économiqueAssouplir de manière transitoire la règle du plafonnement des évolutions de contrats de prestations intellectuelles.Accélérer l'adaptation de l'administration au télétravail et plus largement la dématérialisation des procédures administrativesSoutenir la santé économique des entreprises en garantissant un niveau suffisant de trésorerie et un accompagnement vers la repriseProtéger la trésorerie des entreprises pour absorber le choc lié à la crise du Covid-19Garantir l'application de la réglementation concernant les délais de paiement afin d'alimenter la trésorerie des entreprisesPoursuivre les projets en phase travaux en autorisant les surcoûts de travaux liés à la réorganisation des chantiers, du fait du Covid-19 Accompagner les entreprises vers la reprise d'activitéPrévoir des modalités de sortie graduelle du dispositif exceptionnel d'activité partielle après le 31/12/20.Proposer des outils d'accompagnement aux entreprises en difficulté ou souhaitant être coachées pour la reprise.Développer l'innovation pendant la période de crise sanitaire à travers des mécanismes dédiés comme le Crédit impôt recherche (CIR).Retrouvez l'intégralité de la contribution de Syntec-Ingénierie.*Baromètre réalisé par Syntec-Ingénierie auprès de ses adhérents au cours de la semaine du 27 avril. Les répondants sont des entreprises de toutes tailles, qui interviennent dans l'industrie et la construction et dans tous les secteurs d'activité d'ingénierie.
Il y a 5 ans et 3 jours

Covid-19 : Le Sénat souhaite mettre la transition écologique au cœur de la relance

Parallèlement à un suivi « à chaud » de la gestion immédiate de cette crise et de ses impacts sur les différents secteurs qui relèvent de sa compétence (cliquer ici), la commission de l'aménagement du territoire et du développement durable du Sénat lance des travaux d'analyse des impacts profonds de cette crise et des leçons qui devront en être tirées pour le climat dans le cadre de la relance.Considérant que la crise actuelle constituait une sorte de répétition générale de crises potentiellement plus graves à venir, Gaël Giraud a plaidé pour la réindustrialisation verte de notre pays. La rénovation thermique des bâtiments, la mobilité verte et la formation professionnelle, pour disposer de main d'œuvre qualifiée dans le secteur du bâtiment par exemple, sont pour lui des priorités.L'indispensable relocalisation d'une partie de notre économie pourrait conduire selon lui à des nationalisations stratégiques. « Depuis une quarantaine d'années, l'État est devenu l'assureur général du secteur privé », a-t-il estimé, considérant qu'une réflexion devait être menée pour définir un nouveau dialogue et de nouvelles méthodes de collaboration entre l'État et le secteur privé pour une vraie industrie dont les coûts fixes seraient pris en charge collectivement.Interrogé sur la conditionnalité environnementale des aides accordées par l'État aux entreprises, Gaël Giraud a évoqué une difficulté, aujourd'hui à la main des États : celle de la pénalisation de la vertu écologique liée à la concurrence. « Il faut des critères quantitatifs clairs pour mesurer la profondeur des engagements des entreprises ».Interrogé à ce sujet par de nombreux sénateurs, il a estimé que, contrairement aux orientations prises à ce stade par la Commission européenne et par Bercy, le problème de la dette publique – que l'austérité budgétaire ne saurait résoudre dans un contexte déflationniste – n'était pas aujourd'hui le plus important et que la priorité devait aller au désendettement du secteur privé jusqu'à ce qu'il puisse réinvestir dans l'économie. Selon lui, malgré le matraquage médiatique sur le sujet, il n'y a pas d'hostilité de l'opinion publique à la dette, notamment dans un contexte où le chômage risque de devenir la principale hantise. Il a en revanche plaidé pour une annulation de la part des dettes publiques détenues par la Banque centrale européenne.Il a partagé les craintes exprimées sur un retour du plastique dans le cadre de la relance : « refaire dépendre une partie de notre économie du pétrole est la pire des mauvaises idées aujourd'hui ».Gaël Giraud s'est également montré favorable à l'outil de la taxe carbone, à même de fournir des recettes fiscales à l'État, lui permettant de financer des chèques énergies pour les contribuables pénalisés, au développement de monnaies locales dans les collectivités territoriales ainsi qu'à une non comptabilisation des investissements verts de long terme dans le cadre du pacte de stabilité et de croissance : « dans une entreprise, on ne met jamais sur un pied d'égalité les dépenses d'investissement de long terme et les dépenses courantes ».Interrogé sur ce sujet, il a estimé qu'aucun argument économique ne plaidait pour un allongement du temps de travail, créateur de chômage.Il a également mis en lumière l'importance d'une reconstruction de la coopération internationale, négligée ces dernières années. « Nous avons réduit la mondialisation à la simple globalisation marchande : or, elle ne se réduit pas à cela ». Il a ajouté : « On ne pourra pas venir à bout d'une pandémie comme celle du Covid‑19 sans une coopération de tous les pays de la planète ».L’audition (en vidéo) de M. Gaël Giraud, économiste
Il y a 5 ans et 3 jours

Charte de reprise FFB-CDC Habitat : un cadre de dialogue essentiel, mais qui ne suffit pas

Quel partage des responsabilités liées aux arrêts de chantiers ? Quelle prise de risque pour chacune des parties ? Est-il possible, et sous quelles conditions, d'organiser la continuité des études et des instructions, voire la reprise des travaux sur certains chantiers ?Une charte a ainsi été élaborée pour que toutes les parties puissent ensemble identifier les freins et contraintes liées à la reprise, disposer d'une lecture partagée du guide de l'OPPTBTP et ainsi s'accorder sur les principes d'une bonne gestion commune de cette situation exceptionnelle. Nous ne réussirons collectivement que si nous partageons les mêmes valeurs, celles d'un dialogue local permanent.Ce cadre volontariste ne doit toutefois pas faire oublier que, sur certains chantiers, les premières estimations font apparaître des surcoûts significatifs, correspondant aux frais liés à la prise en compte du risque sanitaire (distanciation sociale, achat de masques, de gants, rotations supplémentaires des camionnettes, etc.) et à la réorganisation des chantiers (mobilisations supplémentaires de personnels et de matériels, hausse du coût des matières, prolongation des frais financiers …).À travers cette charte, les entreprises du BTP et CDC Habitat se donnent un référentiel partagé pour objectiver ces surcoûts.Afin que ce cadre de négociation puisse aboutir à une déclinaison locale constructive, un soutien des pouvoirs publics sera également indispensable, pour éviter une contraction sensible de l'appareil productif, qui induirait des pertes d'emploi massives et une érosion des compétences cependant nécessaires au déploiement des grandes politiques publiques, notamment en matière de performance énergétique et environnementale.
Il y a 5 ans et 3 jours

2019 a été l’année d’une croissance retrouvée pour le marché du bricolage

En pleine crise sanitaire impactant tous les commerces, la FMB et INOHA dévoilent l’étude du marché du bricolage 2019 laissant apparaître une croissance solide jusqu’à l’arrivée du Covid-19. Alors que les deux premiers mois de l’année 2020 affichaient une progression dans la continuité de celle de 2019, la pandémie a freiné cette dynamique : avec une augmentation de 3,4% de son chiffre d’affaires par rapport à 2018, le marché du bricolage avait renoué avec la croissance et atteignait 28 milliards d’euros après plusieurs années atones depuis la crise de 2008. 2019 : un marché qui repartait à la hausse En 2019, la croissance du marché du bricolage a été soutenue par les ventes records enregistrées dans l’immobilier ancien : pendant 24 mois consécutifs, le volume de transactions s’est situé à un niveau très élevé, dépassant depuis juin 2019 la barre du million de transactions sur 12 mois glissants. L’achat de logements anciens implique généralement de nombreux projets de travaux qui s’inscrivent dans un contexte positif. L’indice de confiance des ménages s’est restauré en 2019 malgré les mouvements sociaux qui ont émaillé la fin de l’année. Après une croissance modérée en 2018 (+2%), la consommation de biens d’équipement du logement augmente (+5%). Enfin, la météo s’est elle aussi montrée très favorable en 2019, notamment sur les mois d’été propices à la réalisation de travaux. Dans ce contexte positif, le marché du bricolage a atteint en 2019 un chiffre d’affaires de 28 milliards d’euros (+3,4%), tous circuits confondus. Il représentait le secteur le plus dynamique dans l’habitat. Les Grandes Surfaces de Bricolage, circuit de distribution n°1 du bricolage Les Grandes Surfaces de Bricolage captent l’essentiel des achats bricolage, distribuant 74% du marché. Les écarts de performance s’atténuent entre circuits de distribution. Après une année stationnaire en 2018, le taux de progression de la GSB (+2,5%) est très proche de celui enregistré par les négoces (+3,5%). Après des années de croissance, la dynamique du secteur du e-commerce ralentit (+11,8% vs 18% en 2018). 2019 : une embellie pour presque tous les rayons avec un grand gagnant : le confort thermique En 2019, presque tous les rayons ont profité de l’embellie du marché à l’exception de celui de la Peinture/Droguerie/Colles qui reste en léger retrait (-0,3%). Le grand gagnant est le Confort Thermique (+5,5%). L’augmentation des températures relevées ces dernières années continue à favoriser la vente d’appareils de climatisation et de ventilation. Liés aux travaux de rénovation, les rayons Plomberie/Salle de bains/Cuisine (+4,6%), Quincaillerie (+4,4%), Bâtiment (+3,8%), et Electricité (+3%) affichent également de belles progressions. Les rayons Décoration (+3,2%), Revêtements (+3,1%), Bois & Menuiserie (+3%) profitent également des tendances décoratives telles que les verrières intérieures et le grand retour du papier peint. Grâce à une météo favorable, le rayon Jardin (+3,5%) tire également son épingle du jeu. 2020 : un million de projets potentiels Un million de logements ont été vendus en 2019. Sur ce nombre de transactions, une partie représentait un réservoir de travaux pour 2020. Les conditions étaient donc réunies pour que la croissance du marché du bricolage enregistrée en 2019 se poursuive. Malgré de forts taux de croissance en janvier et février 2020, la dynamique du marché a été freinée par l’arrivée de la crise sanitaire et les mesures de confinement prises dès le 16 mars par le gouvernement. Cette crise va profondément affecter toute l’économie française, y compris le marché du bricolage. Cependant, à moyen ou long terme, ce réservoir de projets devrait permettre de redynamiser ce secteur. « Dans le contexte de crise sans précédent que nous vivons actuellement, nous pouvons néanmoins nous féliciter des très bons résultats 2019 qui confirment la place essentielle des GSB sur leur marché. Les premiers mois de 2020 prolongeaient cette tendance positive, qui a malheureusement été fortement freinée par l’arrivée du Covid-19. Mais on soulignera que dans cette crise, les enseignes de bricolage ont fait preuve de réactivité et développé leur agilité pour répondre aux défis inédits qui s’imposent à tous les acteurs de l’économie, et continuer de répondre aux attentes des clients. Cela a nécessité une réorganisation profonde, afin de garantir la sécurité des salariés et des clients et d’empêcher la propagation du virus. Chaque décision prise par les entreprises l’a été à l’aune de ces priorités et en vue de préserver leur fonctionnement sur le moyen et le long terme », déclare Mathieu Pivain, Président de la FMB. « L’année 2019 a été une belle année pour notre filière en réalisant l’un des meilleurs résultats depuis 10 ans. Le consommateur a envie de bricoler : cela reste une de ses activités préférées et cela semble se confirmer en temps de confinement. Nous avons un beau réservoir de projets qui, je l’espère, nous permettront d’être résilients face à la crise sanitaire et économique que nous traversons » conclut Jean-Eric Riche, Président d’INOHA. http://www.inoha.org http://www.fmbricolage.com
Il y a 5 ans et 3 jours

Extra Medium : MA

Le projet « MA », c’est tout d’abord une histoire de famille. Le terrain, acheté par les proches de l’architecte au début des années 2000, était jadis une ferme typique du Vaucluse se confondant avec le paysage. Repris en mains par les équipes d’Extra Medium il y a 4 ans, la demeure se transforme ainsi en un havre de paix où paysage, charme et design cohabitent en harmonie. Réhabiliter un lieu chargé d’histoire n’est pas tâche facile, surtout quand un lien sentimental nous unit à la bâtisse. C’est pourtant le pari que s’est lancé le cabinet Extra Medium qui fait revivre une vieille ferme de famille en lui insufflant une touche de modernité bienvenue. La maison, enfouie dans les collines, jouit d’une situation d’exception qui lui confère un caractère monastique, intime et agréable. Des qualités mises en valeur par les partis pris architecturaux de l’agence en charge du projet qui conçoit cette réhabilitation comme une chance d’offrir une nouvelle vie à ce patrimoine familial. La structure existante a été soigneusement déconstruite en plusieurs phases. L’empreinte et l’enveloppe ont été revues mais respectent toujours les proportions de l’ancienne construction. Inspirés par l’architecture vernaculaire du Vaucluse et l’histoire du site, les maîtres d’oeuvres réinterprètent les matériaux caractéristiques de la région, finissant les murs à la chaux et utilisant des tuiles anciennes pour la toiture.A l’intérieur, le calme règne. Déclinant divers matériaux locaux – pierres et marbre notamment –, les différents espaces sont d’une clarté apaisante. Les pièces lumineuses sont réchauffées par une présence subtile de bois clair, que l'on retrouve sur le mobilier ou les contours des fenêtres. Un foyer des plus réconfortant.Pour en savoir plus, visitez le site d’Extra MediumPhotographies : Simone BossiZoé Térouinard
Il y a 5 ans et 3 jours

Eiffage remporte le contrat pour construire l'hôpital Paris-Saclay

Eiffage a remporté le contrat de "conception, réalisation, et entretien-maintenance" de l'hôpital Paris-Saclay dans l'Essonne, pour un montant de 141 millions d'euros.
Il y a 5 ans et 3 jours

AMCC décline ses coulissants aluminium Elégance & Excellence en version à galandage

Si seulement 8% des 2 millions de coulissants vendus en France en 2017 sont des modèles à galandage*, ils n’en restent pas moins de plus en plus présents dans les projets architecturaux qui font la part belle aux espaces lumineux et aux ouvertures sur l’extérieur. A l’esthétique minimaliste, les lignes de coulissants aluminium Élégance & Excellence d’AMCC, désormais disponibles en version à galandage, s’inscrivent plus que jamais dans cette tendance.   Une esthétique panoramique pour un confort sans limite Idéal pour supprimer les frontières entre l’intérieur et l’extérieur de l’habitat, les nouveaux coulissants aluminium à galandage CG70 d’AMCC associent : • un dormant de 160 mm à coupe droite, avec ou sans panneau isolant, • un ouvrant équipé d’un double vitrage à isolation thermique renforcée 4/20/4 avec intercalaire à bord aluminium pour la ligne Élégance et à bord chaud pour la ligne Excellence. Ces caractéristiques techniques confèrent à l’ensemble d’excellentes performances pour atteindre un coefficient de transmission thermique de 1,7 à 1,4 W/m2.K et une étanchéité à l’air et à l’eau respectivement de A*3-E*6B-V*A2 pour le coulissant aluminium CG70 Élégance, et de A*4-E*6B-V*A2 pour la ligne Excellence. Avec leurs profilés et leur montant central étroits, les coulissants aluminium à galandage d’AMCC autorisent la création de larges baies vitrées, y compris de grande hauteur (jusqu’à 2,60 m), avec un clair de jour optimal. Disponibles sur-mesure en version monorail 1 vantail (avec refoulement sur un côté) ou monorail 2 vantaux (à refoulement sur deux côtés), les coulissants CG70 sont munis d’un rail en polyamide qui, associé à des joints en partie basse, facilite leur manipulation. Les vantaux disparaissent alors entièrement dans l’épaisseur de la cloison pour apporter un maximum de lumière naturelle. Cette ouverture maximale du coulissant permet également de gagner en liberté de circulation grâce à un accès totalement dégagé sur l’extérieur.   Des coulissants à la sécurité assurée et au design préservé Permettant de créer de larges ouvertures pour offrir une vue imprenable sur le paysage, les coulissants aluminium à galandage d’AMCC laissent entrer la nature dans le séjour sans négliger la sécurité. Pour cela, ils disposent : • d’un profilé de réception de cloison qui garantit une rigidité maximum et une protection renforcée, • d’une serrure à 2 ou 3 points de fermeture par crochets et gâches inox au service d’une grande résistance à l’effraction. Pour répondre aux exigences esthétiques et décoratives de chaque habitat, les nouveaux coulissants CG 70 sont proposés dans un large choix de coloris, en finition lisse ou granité mate ainsi qu’en bi-coloration, procédé qui permet d’appliquer une teinte différente sur les profilés intérieurs et extérieurs. Et pour une finition parfaite jusque dans les moindres détails, les coulissants sont manœuvrables à l’aide de différents modèles de poignées (poignée décalée anti-pince doigt, poignée Aktiv ou encastrée).   En enrichissant sa gamme de coulissants aluminium avec ces versions à galandage, AMCC propose une offre complète de coulissants, fenêtres et porte-fenêtres à frappe qui s’associent parfaitement, créant ainsi une harmonie entre l’ensemble des menuiseries de la maison. *Source étude TBC de 2018 sur « le marché des fenêtres en France en 2017 » http://www.amcc-fenetres.fr