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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Chantiers - TP

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Il y a 5 ans et 23 jours

Des activités de petits bâtisseurs

Le jeu Archifrise permet de se confronter à des questions d’architecture de façon ludique, en parcourant le temps depuis la préhistoire jusqu’aux années 2010. [©DR] En ces temps de confinement, le Réseau des maisons de l’architecture (RMA) propose des activités de petits bâtisseurs aux plus jeunes. Ceci, via ArchipedagogiE, sa plate-forme Internet, qui donne accès à une base de données et d’outils pédagogiques. A télécharger gratuitement. Tout pour permettre d’occuper les enfants à la maison avec des jeux et de les sensibiliser à l’architecture.  On y découvre une série d’idées d’activités ludiques autour de l’univers de la construction et de l’urbanisme. Et ce, pour tous les âges et réalisables à la maison. Tels le Jeu de 7 Familles sur des villes imaginaires, des albums à colorier, Triviale Cité, le jeu Archifrise, le Kifékoi du chantier… De futurs architectes en herbe Ateliers permettant aux enfants de jouer, tout en apprenant. [©Vincent Jacques] [©Vincent Jacques] [©Vincent Jacques] [©Vincent Jacques] [©Vincent Jacques] Le Jeu de 7 familles a été revisité. Ces familles correspondent aux grands archétypes urbains présents dans des œuvres variées de la mythologie, du folklore, du cinéma, de la littérature… Quant aux plus jeunes, ils peuvent laisser aller leur talent artistique avec des albums à colorier. Pour les plus âgés, Triviale Cité est une course sur fond d’architecture, d’urbanisme et d’environnement. Répartis en groupes, les joueurs doivent arriver en premier à la case finale du plateau. Pour cela, ils doivent répondre à des questions réparties en cinq thèmes : Habiter, Construire, Se déplacer, Se rencontrer et Respecter la nature. Les questions feront appel à la réflexion, voire à l’argumentation des joueurs. Le château de Chambord est-il plus vieux ou plus récent que le Panthéon de Paris ? Quel bâtiment a été construit entre la première et la seconde guerre mondiale ?  Le jeu Archifrise permet de se confronter à ces questions de façon ludique, en parcourant le temps depuis la préhistoire jusqu’aux années 2010. Le Kifékoi du chantier est un jeu pour faire deviner par déduction un acteur/ouvrier intervenant sur un chantier de construction. Le jeu possède 19 cartes acteurs/ouvriers d’un chantier et permet ainsi de découvrir ces métiers et leurs caractéristiques.  L’occasion d’occuper les plus petits et les plus grands et de faire naître, peut-être, de futures vocations dans les domaines de l’architecture, de l’urbanisme ou de la construction. Muriel Carbonnet
Il y a 5 ans et 23 jours

La 10e édition du Forum International Bois Construction reportée en 2021, revivez en vidéo l’édition 2019 !

Il y’a quelques semaines, nous vous annonçons qu’en raison du Coronavirus COVID-19 et des directives gouvernementales le Forum Bois Construction avait été reporté aux 15, 16 et 17 juillet 2020. Nouvelle décision prise, la 10e édition aura finalement lieu du 15 au 17 juillet 2021 au Grand Palais Éphémère en bois en plein centre de Paris sur Le Champs-de-Mars au pied de la Tour Eiffel.  En effet, le Grand Palais fermera ses portes en janvier 2021 pour 3 années de rénovation. À partir de cette date, le Grand Palais Éphémère, bâtiment provisoire de 10 000 m² conçu par l’architecte Jean-Michel Wilmotte, s’installera sur le Champ-de-Mars pendant toute la durée des travaux et jusqu’à l’issue des Jeux Olympiques et Paralympiques Paris 2024. Durant les Jeux Olympiques, cette structure monumentale accueillera les épreuves de judo et de lutte et sera également un lieu olympique pendant les Jeux Paralympiques.Le Grand Palais Éphémère permettra d’accueillir au cœur de Paris tous les événements habituellement organisés dans la Nef. © Wilmotte & Associés Architectes En attendant de participer à cette 10e édition, WoodSurfer et le Forum Bois Construction vous donnent la possibilité d’accéder gratuitement (jusqu’au 15 mai) aux conférences filmées par Plan Rapproché du Forum international Bois Construction 2019 qui s’est tenu les 4 et 5 avril 2019 à Nancy. Pour cela, il vous suffit de suivre le procédé suivant : 1) Rendez-vous sur la page : https://vimeo.com/ondemand/forumboisconstruction/ 2) Cliquez sur le bouton bleu « Tout louer 99,00€ »3) Créez un compte Viméo ou identifiez-vous4) Au moment de saisir les information de facturation, cliquez sur « Appliquer le code promo » et appliquez le code suivant stayhome. 5) Cliquez sur appliquer pour valider puis visionnez, profitez de toutes les vidéos en accès libre jusqu’au 15 mai 2020.
Il y a 5 ans et 23 jours

Reprise des travaux routiers : les règles à suivre en 27 fiches

Routes de France, syndicat des entreprises de travaux routiers à mis le 22 avril à disposition de ses adhérents des fiches qui adaptent le guide de préconisations sanitaires de l'OPPBTP aux spécificités de leurs métiers.
Il y a 5 ans et 23 jours

Covid-19 : Le Groupe Enr'Cert plaide pour le maintien du Green Deal

Cette décision serait un non-sens sur le plan sanitaire, économique et environnemental. Santé et climat étant étroitement liés, le Green Deal doit rester au premier plan. Il est l'une des solutions à la sortie de crise.L'Union Européenne doit profiter de cette occasion unique pour établir une barrière carbone aux frontières de l'Europe, qui rendra tangible le coût environnemental de nos consommations.Ce changement de doctrine doit s'accompagner d'un soutien clair aux relocalisations et aux circuits courts. L'efficacité énergétique est l'un des meilleurs outils pour ce faire : elle rendra notre société plus économe, moins sensible aux fluctuations des prix de l'énergie et donc plus résiliente.L'efficacité énergétique est également un levier puissant pour nos entreprises qui, affaiblies par la crise actuelle, y verront un moyen de réduire leurs coûts tout en diminuant leur empreinte environnementale.Pour les ménages, c'est un gain de pouvoir d'achat qui pourra être réinvesti utilement au sein d'une économie davantage tournée vers le long-terme.La rénovation énergétique est également créatrice d'emplois non-délocalisables, impliquant des compétences et des niveaux de qualifications variés, et qui seront l'un des ingrédients de la relance.“La crise sanitaire doit être un catalyseur et non un frein en matière d'efficacité énergétique.” déclare Gaëtan THORAVAL, directeur général d'Enr'Cert.
Il y a 5 ans et 23 jours

"Nous travaillons déjà au contenu d'un plan de relance", J.Denormandie

ENTRETIEN EXCLUSIF. Le ministre de la Ville et du Logement, Julien Denormandie, détaille pour Batiactu le contenu de l'ordonnance présentée ce mercredi en conseil des ministres. Il insiste sur le fait que les permis de construire doivent continuer à être délivrés, et annonce déjà travailler à un plan de relance pour le secteur.
Il y a 5 ans et 23 jours

Les différents types de filets utiles dans l’industrie

Pour tout entrepreneur, la sécurité de ses employés qui évoluent dans les entrepôts est cruciale. Les filets en tous genres sont ainsi déployés pour prévenir les risques de chutes ou d’accidents entrainés par une erreur de manutention. Ces accessoires s’avèrent d’ailleurs indispensables dans de nombreux domaines (industrie, sport, transport) et sont très utilisés sur les plateformes pétrolières ou aéroportuaires. Si vous n’êtes pas encore à la une concernant les filets de protection, restez attentifs. Les filets de sécurité losange ou filets anti-chutes Les filets anti-chutes en forme de losange sont conformes à la norme NF EN-1263-1. Ce dispositif a ainsi été élaboré dans le but de préserver la vie des travailleurs qui sont souvent amenés à travailler en hauteur. À proprement parler, le filet anti-chutes est pourvu d’une ralingue transfilée maille à maille. La matière est en polypropylène ultra résistant puisqu’elle est caractérisée par une charge maximale en utilisation de 628 kg/m² et d’une charge maximale de rupture de 6 280kg/m². Pour être certain de la qualité du produit, il est conseillé de commander des filets fabriqués en France. Vous trouverez de très larges gammes de filets pour des utilisations diverses. Les filets anti-feuilles Les filets anti-feuilles s’avèrent très économiques et pratiques pour la piscine. En effet, ils sont faciles à installer et se fixent très rapidement. De plus, la taille des mailles ne permet pas aux feuilles de passer à travers. Autrement dit, le filet anti-feuille est une excellente solution pour garder l’eau de la piscine propre. Il est peu encombrant, qui plus est, sa durée de vie avoisine les 5 voire 8 ans. Les avantages de ce dispositif sont également assez nombreux puisqu’il est possible de le plier et le choix du filet dépendra de la taille de la piscine. Les filets pour racks de stockage en entrepôt Les filets pour racks de stockage ont été élaborés pour limiter les risques de chute des produits entreposés en hauteur. Ce dispositif de sécurité assure une bonne luminosité pour une meilleure visibilité. Les zones alentours sont sécurisées, de plus, les filets pour racks constituent une protection supplémentaire contre le vol. Techniquement, ce dispositif est conforme aux recommandations de l’INRS qui conseille sur le recours de butée de palettes ou de panneaux grillagés sur la face arrière des rayonnages. Les filets d’héliportage Les filets d’héliportage sont l’une des solutions de gestion et de transport de matériaux via les airs. Ce système de transport s’avère indispensable pour aller là où les véhicules traditionnels n’ont pas accès. Et pour répondre efficacement à la demande, les filets de chargement pour les activités d’héliportage permettent de transporter et de manipuler des tonnes de matériel. Ce genre de dispositif garantit une totale sécurité d’utilisation en milieux périlleux. Dans ce sens, les filets d’héliportage sont composés de mailles doubles dont la charge maximale en utilisation est de 1400 kg/m² et la charge maximale de rupture est de 14 000kg/m². Les filets pare-outils Les filets pare-outils sont indispensables sur les chantiers de BTP. Ce dispositif de sécurité protège ainsi des chutes de matériels. Le filet utilisé à cet effet est ultra- léger et particulièrement résistant. Cette solution s’avère tout aussi économique que n’importe quel autre système de protection. En sus, le filet pare-outil peut faire office de brise-vent tout en préservant des regards indiscrets. Privilégiez surtout les filets pare-outils conformes NF P93.355 pour garantir une sécurité optimale sur vos chantiers. Les filets brise-vent Ce genre de filet est surtout sollicité par les agriculteurs et les éleveurs. Ces derniers ont d’ailleurs recours aux filets brise-vent pour assainir l’air au niveau des bâtiments réservés aux animaux. En pratique, les courants d’air peuvent altérer la santé du bétail. Il est aussi prouvé que les coups de vent et les intempéries sont des sources de stress. Dans ce sens, le filet brise vent est composé de polyéthylène qui est une matière résistante à l’eau et aux UV. En plus d’arrêter le vent, cet accessoire filtre parfaitement les rayons du soleil. À titre de référence, un filet de 2 mètres de hauteur permet de protéger une zone équivalente à 20 mètres de long. Quant à la longueur du filet, elle doit représenter 10 fois sa hauteur. Les filets pare-gravats ou filets monuments Les filets pare-gravats sont requis pour protéger les alentours des bâtiments en construction. Ils sont généralement accrochés devant les façades pour préserver les passants en cas de jets de pierres accidentels. La protection est optimale, et ce, même si les fils des filets pare-gravats sont extrêmement fins (près de 1,2 mm d’épaisseur). Le matériel est même stabilisé UV et imputrescible à l’eau. En outre, les dimensions du filet pare-gravats dépendront des travaux à réaliser et des besoins en sécurité : sablage, nettoyage, échafaudage et protection de bord de route, protection de route de montagne, travaux de finition. Les filets brise-vue Malgré les idées reçues, les filets brise-vue sont très sollicités dans le domaine industriel. Cet élément occultant permet ainsi de délimiter les espaces au sein d’un entrepôt. Comptez également sur une efficacité accrue contre les vents ou les UV. Techniquement, le taux d’occultation d’un filet brise-vue est en moyenne de 45 %. Néanmoins, il est tout à fait possible de trouver des filets brise-vues qui présentent un taux d’occultation de 100 %. Autrement dit, le filet est totalement opaque. Les filets de benne Comme son nom l’indique, le filet de benne est un accessoire incontournable chez les transporteurs. Il est surtout utilisé pour sécuriser le chargement d’une benne à camions ou camionnettes. Ce type de couverture préserve des risques de perte et d’intempéries. Quoi qu’il en soit, il existe différents types de filets pour répondre à une multitude de besoins. Prenez entre autres les filets anti-insectes ou anti-oiseaux qui sont une excellente alternative aux traitements chimiques et aux pesticides. La solution est écologique et peu coûteuse. En prime, les cultures sont préservées des insectes, des oiseaux et des intempéries. Et pour une meilleure efficacité, ce genre de filets est imputrescible et traité contre les UV.
Il y a 5 ans et 23 jours

Comment rénover un bien inhabité depuis quelques années ?

Héritage, achat d’un bien immobilier à un prix avantageux… L’acquisition d’une maison ancienne va souvent de pair avec la rénovation. Pourtant, la réhabilitation d’une maison ancienne nécessite énormément d’huile de coude. Entre les travaux de grande envergure et les travaux de second œuvre, considérez quelques points avant de sauter le pas. En effet, pour optimiser les coûts des travaux, vous devez bien organiser votre projet de rénovation d’une maison ancienne. Trouvez ici nos conseils pour mener à bien votre projet de réhabilitation d’un bien inhabité depuis plusieurs années. Pourquoi opter pour la rénovation d’une maison ancienne ? Le cachet d’une maison ancienne a de quoi charmer la plupart des personnes souhaitant acquérir un bien immobilier. Toutefois, avant d’engager les travaux de rénovation, quelques points sont à prendre en considération. L’ampleur des tâches de rénovation de votre vieille bâtisse peut vous laisser perplexe. Cependant, il faut noter qu’opter pour la rénovation d’une maison ancienne vous confère de nombreux avantages, dont : ● La possibilité d’optimiser l’efficacité énergétique et d’améliorer le confort de votre bien immobilier En effet, qui dit maison ancienne, dit souvent bien mal isolé. Ainsi, vous pouvez profiter de cette occasion pour renforcer l’isolation énergétique de votre maison ancienne. Notez également que de plus en plus de dispositifs d’aides financières à la rénovation sont désormais accessibles. Certificats d’économie d’énergie, Loi Denormandie… Vous pouvez bénéficier d’une aide à la rénovation pour améliorer votre bien. Si vous résidez dans le sud de l’Île-de-France et souhaitez bénéficier de ces aides, vous pouvez contacter une entreprise de maçonnerie en Essonne qui s’assurera de respecter les normes en vigueur. ● L’avantage d’ajouter plus de valeur à votre bien La rénovation d’une maison ancienne offre également une plus-value à votre bien immobilier. En effet, si vous envisagez de revendre votre maison, la rénovation est une étape à considérer. Ainsi, en préservant le cachet de votre bien tout en le modernisant, vous augmentez sa valeur. ● Une solution pour acquérir un bien dans une zone à forte densité de bâti Rénover une vieille maison est également une excellente alternative pour pallier le manque de terrains de construction dans certaines zones. En effet, lorsque le coût d’acquisition d’un terrain constructible est beaucoup trop élevé, il convient de se tourner vers la rénovation d’une maison ancienne. Comment prioriser vos travaux de rénovation de maison ancienne ? Afin d’optimiser votre budget et votre temps, établissez un ordre de priorité pour vos travaux de rénovation. Cette étape reste cruciale, surtout si vous devez engager de gros travaux. À noter que les travaux lourds englobent toutes les tâches concernant la toiture, l’assainissement, les fondations et la charpente. Ainsi, le projet de rénovation doit toujours commencer par les gros travaux. S’ensuivent les travaux de second œuvre, soit ceux qui ne concernent pas directement le bâti. Il s’agit notamment des travaux de peinture, de plomberie, d’installation électrique, ou encore les tâches concernant les revêtements muraux et revêtements de sols. Si votre maison ancienne comprend plusieurs étages, commencez vos travaux en allant du grenier vers le sous-sol pour éviter de salir les étages. Rénover une maison ancienne, quels travaux importants engager ? Pour avoir une check-list des travaux de grande envergure à réaliser, commencez par un état des lieux. Ainsi, inspectez chaque aspect de votre maison ancienne pour avoir une idée précise de ce que vous souhaitez supprimer ou remettre à neuf. Vous pouvez notamment opter pour une démolition de certaines pièces de l’habitat, une remise à neuf du revêtement de sol, ou encore une installation d’une nouvelle chaudière. Dans certains cas, vous pouvez également déposer les équipements sanitaires et les meubles de cuisine. Prioriser le toit et les murs Vérifiez l’état de la toiture, de la charpente et des murs de votre maison ancienne. En effet, ces éléments contribuent grandement à l’état général de votre habitat. Sur le long terme, si votre bâti est en mauvais état, vous risquez d’avoir de grandes contraintes. Ainsi, pour votre projet de rénovation, priorisez les travaux concernant la toiture, la charpente et l’isolation des murs. Après avoir vérifié la qualité de la maçonnerie et réalisé les travaux de rénovation nécessaires sur le bâti, il convient de placer les portes, les fenêtres, les portails et autres ouvertures. Les enjeux du bâti dans la rénovation d’un logement ancien Un bâti en bon état vous évite les problèmes d’humidité et d’infiltration qui ont tendance à fragiliser votre maison. Ainsi, si vous remarquez par exemple des fissures dans les murs ou des tuiles cassées sur le toit, mettez la rénovation de ces zones de la maison en priorité. Cela va renforcer à la fois la sécurité et le confort de votre maison rénovée. Réhabilitation d’un logement ancien, zoom sur les travaux de second œuvre Une fois votre bâti remis à neuf, focus sur les travaux de second œuvre. Il s’agit notamment de : L’installation électrique, du système de chauffage et de la plomberie Vérifiez donc l’état de l’installation électrique existante. Si nécessaire, vous pouvez procéder à une remise aux normes de celle-ci. En effet, la plupart des maisons inhabitées depuis quelques années possèdent une installation électrique qui n’est pas conforme aux normes en vigueur. Pour cette étape, il vaut mieux faire appel à un professionnel puisque les travaux d’installation électrique nécessitent souvent des saignées au niveau des murs. Ainsi, des travaux de maçonnerie sont nécessaires. Il en est de même pour le système de chauffage et la plomberie. Procédez aux travaux de remise à neuf de l’installation électrique, de la plomberie et du système de chauffage ou de climatisation avant la finition de votre rénovation de maison ancienne. Les travaux de finition de votre projet de rénovation de maison ancienne Qui dit finition, dit souvent pose de revêtements muraux, revêtements de sols, menuiseries, et autre. Une fois que vous avez préparé le sol et les murs, il est maintenant temps de poser les revêtements de votre choix. À l’issue de cette étape, il ne reste plus qu’à décorer votre intérieur au gré de vos envies.
Il y a 5 ans et 23 jours

Quatre nouveaux revêtements de sol haut de gamme s'ajoutent à la collection MOSO® Bamboo Elite

MOSO® a également amélioré les fonctions techniques du revêtement de sol : une stabilité accrue avec une lame nettement plus large et un système de clic pour une installation facile en pose flottante. La gamme Bamboo Elite affirme ainsi son originalité, tout en conjuguant durabilité et esthétisme contemporain.Extra large pour créer un aspect luxueuxLe format XXL donne non seulement l'impression que les espaces sont plus spacieux, mais il apporte aussi une touche d'élégance supplémentaire. Les lames MOSO® Bamboo Elite Premium se démarquent aussi par ses grandes dimensions ; elles présentent une largeur de 190 mm, soit 31 mm de plus que les lames Bamboo Elite originales, qui sont déjà plus larges que la plupart des lames bambou disponibles sur le marché. Ce nouveau format de lame est rendu possible par la stabilité améliorée des couches intermédiaires de bambou lamellé croisé. MOSO® comprime les lamelles de bambou selon un processus de fabrication optimisé.Des couleurs et finitions tendances Les quatre nouvelles versions sont disponibles dans deux styles différents : Vertical et Density®. L'aspect naturel du revêtement de sol en bambou durable est accentué par un verni extra mate avec une légère pigmentation blanche. Bamboo Elite Premium est disponible dans les versions suivantes :À l'instar de tous les revêtements de sol MOSO®, une attention particulière a été accordée aux aspects environnementaux lors du développement des quatre nouveaux produits ; ces derniers sont déjà conformes à la nouvelle réglementation sur les émissions qui entrera en vigueur en Allemagne en 2020. Aux versions vernies Caramel et Naturel White, s'ajoute une finition huilée pour le style vertical Caramel. La collection Bamboo Elite est désormais disponible dans toutes les structures et couleurs de bambou : vertical, horizontal et Density®, Caramel et Naturel.Un sol en bambou massif répondant aux plus hautes exigences Bamboo Elite Premium Density® est très stable grâce à la structure symétrique d'une couche supérieure et inférieure de bambou Density®. La dureté Brinell élevée, allant jusqu'à 9,5 kg/mm² (EN 1534), lui confère une résistance à l'usure impressionnante : il est plus robuste que tout autre parquet en bois. Ainsi, a longue durée de vie des sols Bamboo Elite Premium est garantie 30 ans. Ces propriétés techniques sont complétées par la classe de feu particulièrement élevée allant jusqu'à Bfl-s1 (versions Density®, selon la norme EN 13501-1), ce qui rend le parquet Bamboo Elite Premium Density® spécialement adapté aux applications résidentielles, mais aussi aux applications commerciales telles que les bureaux, les restaurants et les magasins de détail. Grâce au système de clic, la pose flottante du revêtement de sol permet de gagner du temps. Lors de la pose sur un sol chauffant ou dans le secteur commercial, MOSO® recommande de coller entièrement le revêtement de sol sur le support.Écologique - plus qu'une simple déclaration L'écologie fait partie intégrante des valeurs de la société MOSO®. Le bambou Moso est une graminée qui atteint les caractéristiques du bois dur après une période de croissance d'environ 5 ans. Il peut être récolté pour être transformé. Pendant cette période, le bambou Moso croît six fois jusqu'à la maturité de la récolte. La plante ne meurt pas après la récolte ; sa culture ne provoque donc pas de déforestation. Le rapport ACV (Analyse du Cycle de Vie) réalisé par la TU Delft (ISO 14040/44) montre que Bamboo Elite Premium, évalué sur l'ensemble de son cycle de vie, est certifié CO2 neutre. Grâce à des résultats de tests supplémentaires et à sa disponibilité optionnelle en tant que revêtement de sol certifié FSC®, le sol en bambou massif contribue à l'évaluation des certifications de bâtiments durables telles que LEED et BREEAM.Prix public : 78 -98€/m² (sans TVA)
Il y a 5 ans et 23 jours

Laurent Lévêque, TSO : « Vers une reprise progressive à plus grande échelle »

Le directeur matériel détaille les mesures qui permettent aux chantiers de la filiale de NGE spécialisée dans les travaux ferroviaires de se poursuivre.
Il y a 5 ans et 23 jours

Covid-19 : Moscou inaugure un hôpital inspiré de l'expérience chinoise

Situé à Golokhvastovo, un village à 70 km au sud-ouest de la capitale russe, le projet s'est inspiré de la construction en Chine d'hôpitaux en des délais record pour endiguer l'épidémie."A la différence d'établissements similaires qui ouvrent dans beaucoup de pays en période de lutte contre la maladie Covid-19, ce centre va fonctionner à titre permanent", a souligné la mairie de Moscou dans un communiqué."Après la fin de la pandémie, toutes sortes d'infection seront traitées ici", a-t-elle précisé.Plus de 500 personnes ont déjà commencé à travailler dans cet hôpital d'une capacité de 800 lits ayant accueilli ses 20 premiers patients lors des dernières 24 heures, selon la même source.Au total, l'établissement, dont la capacité pourrait être élargie à 900 lits, prévoit d'employer plus d'un millier de spécialistes médicaux.Des travaux sont toujours en cours d'achèvement sur le site, qui dispose d'un laboratoire et d'un foyer pour le personnel, selon un journaliste de l'AFP qui a visité l'hôpital lundi.Plus de 3.000 ouvriers ont participé à la construction de cet hôpital, entamée à la mi-mars.La propagation du nouveau coronavirus a mis à l'épreuve les hôpitaux de la capitale russe, épicentre de l'épidémie en Russie avec 29.433 cas recensés mardi.Au total, 52.763 cas et 456 décès du coronavirus ont été officiellement enregistrés dans le pays, qui n'a pas encore atteint son pic épidémique.
Il y a 5 ans et 24 jours

Dans les communautés Emmaüs, le destin de 5.000 compagnons suspendu aux dons

"On pourra passer avril en grattant sur les économies, mais la réalité, c'est qu'Emmaüs pourrait très bien ne pas survivre à cette crise", alerte Antoine Sueur, président de la communauté Emmaüs Liberté à Ivry-sur-Seine, en banlieue parisienne.Pour la première fois de son histoire, après le vibrant appel à une "insurrection du don" de l'Abbé Pierre au cours de l'hiver 1954, Emmaüs France a lancé un appel à la générosité.En 70 ans d'existence, Emmaüs était pourtant devenu un phalanstère prospère, venant en aide à 20.000 précaires, les logeant, les hébergeant, les réinsérant.Parmi eux, près de 5.000 compagnons. Hérauts de la décroissance, ils vivent de la collecte des objets que les autres jettent, dans 119 communautés à travers la France. Retaper, revendre: "offrir une seconde chance aux hommes et une seconde vie aux objets", c'est un des credo de l'association.Mais aujourd'hui, faute d'activité due au confinement, les communautés créées par l'Abbé Pierre en 1949 se retrouvent sans le sou et les compagnons, menacés de retourner à la rue.A Ivry, 45 hommes et femmes sont logés, nourris, blanchis, contre un peu de travail. "Ici, on fait vivre une quarantaine de personnes sans que ça coûte un euro à la société", lance M. Sueur. Mais depuis le 17 mars, tout s'est arrêté.Celui qui réceptionnait les trésors collectés dans le fond des greniers a posé son couteau sur un canapé encore emballé, celles qui triaient les dons de vêtements destinés à la revente ont laissé des piles à moitié faites sur une table.Dans les plus de 2.000 m2 de dépôt encombrés d'armoires et de vaisselle, ici, une poupée nue sur une pile de jouets abîmés attend un coup de lustre. Là, des piles de livres abandonnés avant d'avoir pu être triés, rangés, répertoriés.La plupart des communautés Emmaüs sont touchées par le manque d'argent. Au début du confinement, elles ont fait jouer l'entraide, les plus riches ont donné aux plus pauvres. Mais après cinq semaines, la solidarité est à l'os et les fonds de tiroir ont été raclés.Pour relancer la mécanique enrayée par le confinement, l'association a besoin de 5 millions d'euros. "Nous sommes condamnés à mort si nous ne recevons pas d'aide", dit simplement M. Sueur. "Tu manges, tu dors"Depuis 11 ans, Georges, 62 ans, est compagnon à Ivry. D'origine portugaise, sans famille en France, il n'a, à un moment de sa vie, plus trouvé de travail parce "trop vieux", lui disait-on.Il s'occupe d'habitude de la vaisselle dans le bric-à-brac. Avec la suspension des activités, il s'est recyclé dans les cuisines et prépare désormais les repas. Une manière de s'occuper, "si je reste dans la chambre, c'est la cata", dit-il.Il ne trouve pas toujours les mots pour se raconter mais ça, il le dit tout net: "Si ça ferme ici, je suis dans la merde"."Ici tu manges, tu dors, et c'est déjà beaucoup", reconnaît Sembala, un sans-papier de 22 ans, là depuis un an.Dans ce monde de déshérités, les sans-papiers ont remplacé ces dernières années les ex-taulards et les hommes brisés par la Seconde guerre mondiale, la guerre d'Indochine, puis celle d'Algérie, qui avaient fait les premiers compagnons.Pas moins de 27 nationalités sont représentées parmi les 45 compagnons de la communauté d'Ivry.Originaire du Mali, Sembala a déjà connu la rue, en France, et avant, en Grèce. L'idée d'y retourner le rend nerveux: la misère, les repas tirés des poubelles, il se souvient. "J'ai peur", dit-il.
Il y a 5 ans et 24 jours

Covid-19 : le cap des dix millions de salariés au chômage partiel dépassé

"Ce matin, en France, il y a 10,2 millions de salariés dont le salaire est payé par l'État, par le ministère du Travail, car ils sont en chômage partiel", a déclaré Mme Pénicaud sur BFM Business.Ce dispositif, qui permet au salarié d'être indemnisé à hauteur de 70% du salaire brut et 84% du salaire net, concerne désormais 820.000 entreprises, soit plus de 6 sur 10."C'est considérable, on n'a jamais fait ça dans notre pays", a-t-elle poursuivi, ajoutant que ces chiffres continuaient à augmenter "jour après jour".La crise du coronavirus a mis un coup d'arrêt à de nombreux secteurs professionnels, notamment l'hôtellerie-restauration, où 9 salariés sur 10 sont au chômage partiel, et le BTP, où 93% des salariés sont également au chômage partiel, a-t-elle détaillé."On voit l'ampleur de la tâche pour le retour au travail dans le déconfinement (...) Plus la crise dure, plus les lendemains seront difficiles", a ajouté Mme Pénicaud, disant vouloir "travailler avec toutes les professions, les syndicats, pour que le travail puisse reprendre progressivement, en respectant pleinement les conditions de sécurité".Pour Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT interviewé dans Le Figaro, "le dispositif de chômage partiel ne devra pas être arrêté du jour au lendemain et la politique de soutien à l'emploi devra être maintenue bien après le début du déconfinement"."Le risque est en effet grand que les entreprises les plus en difficulté, notamment dans le secteur des bars, hôtels et restaurants aujourd'hui totalement à l'arrêt, suppriment des emplois", dit-il.Plus généralement, le plan d'urgence mis en place par le gouvernement "est globalement efficace". "Cette crise marque, en tout cas, le retour en force et la nécessité de l'État protecteur qui sait être présent quand il faut amortir les chocs".Mais le leader syndical note toutefois des problèmes: "Certaines entreprises, dans les transports ou l'alimentaire, ne respectent toujours pas les règles sanitaires et mettent en danger leurs salariés. La situation des soignants, qui luttent au quotidien contre le virus, est toujours préoccupante. Certaines entreprises, comme le cabinet de conseil Sopra Steria, l'opérateur SFR ou certains établissements privés d'enseignement sous contrat, abusent également du chômage partiel alors que la situation ne le justifie pas, en faisant télétravailler leurs salariés".
Il y a 5 ans et 24 jours

Permis de construire: le gouvernement rectifie le tir sur la suspension des délais

Le gouvernement a rectifié une ordonnance précédente qui inquiétait le monde du logement concernant la suspension des délais en matière d'urbanisme et notamment pour les permis de construire.
Il y a 5 ans et 24 jours

Capeb : Chute historique de l’activité

Patrick Liébus est le président de la Capeb. [©Capeb] Dans un contexte sanitaire et économique sévère, la Capeb a dévoilé les tendances de l’activité des entreprises artisanales du bâtiment pour le 1er trimestre 2020. Sans surprise, les entreprises se retrouvent dans une situation extraordinaire. La croissance de l’activité s’est effondrée. Un recul de – 12 % par rapport au même trimestre de l’année précédente. Pour faire face à cette situation exceptionnelle, 66 % des entreprises artisanales du bâtiment ont fait des demandes de chômage partiel. Et 15 % l’envisagent toujours. Mais 5 % d’entre elles ont vu leurs demandes refusées par l’administration. Notamment du fait que leur activité n’était pas considérée comme “officiellement interdite”. « L’artisanat du bâtiment fait face à une crise économique sans précédent consécutive à la crise sanitaire du Covid-19, explique Patrick Liébus, président du syndicat. Alors que 80 % des entreprises du secteur sont à l’arrêt, la filière de la construction est touchée de plein fouet. Une chute brutale de la croissance est enregistrée pour l’ensemble des corps de métiers. Ceci, avec un recul de l’activité compris entre – 9 % et – 16 % au 1er trimestre 2020. Les mesures engagées par l’Etat pour soutenir la trésorerie des TPE sont vitales. Et devront se poursuivre dans les prochains mois. » 80 % des entreprises ont stoppé leur activité selon la Capeb Depuis le 17 mars, 80 % des entreprises sont à l’arrêt. Quelque 17 % ont maintenu une activité réduite, n’exposant pas les salariés aux risques sanitaires. Et 3 % poursuivent une activité quasi-normale pour les interventions d’urgence. Pour les entreprises du bâtiment, la principale raison de cet arrêt des chantiers s’explique par le refus des clients particuliers (71 %). Et des clients professionnels, publics ou privés (45 %) de continuer les travaux. Pour 46 % des chefs d’entreprise, la baisse d’activité s’explique aussi par la volonté de protéger leurs salariés. Enfin, les difficultés d’approvisionnement en produits et matériaux de construction sont aussi mis en avant par 39 % des chefs d’entreprise. Un chiffre corroboré par ceux ayant poursuivi leur activité. Et qui déclarent, pour 84 % d’entre eux, éprouver des difficultés à obtenir les matériaux de construction nécessaires. « Aujourd’hui, la priorité des chefs d’entreprise est de garantir la santé de leurs collaborateurs. Tout en permettant un redémarrage de l’activité de manière sécurisée. A cet égard, nous demandons au gouvernement de prendre des mesures pour accompagner et inciter les entreprises à reprendre leur activité. La Capeb juge essentiel que les entreprises puissent bénéficier d’aides spécifiques pour couvrir,  des surcoûts découlant de la mise en œuvre de règles sanitaire. Alors qu’il est bien souvent impossible de répercuter ces surcoûts aux clients, notamment lorsqu’il s’agit de particuliers. » Ces aides spécifiques pourraient inclure le transport des salariés, la réorganisation des chantiers, la gestion de la co-activité, le réaménagement des bases de vie, des vestiaires… Et bien sûr, la fourniture des équipements de protection nécessaires. Recul de – 14 % d’activité dans le neuf Dans le détail, l’activité est en net recul de – 12 %. Et concerne l’ensemble des entreprises artisanales, quelle que soit leur taille. Les entreprises employant 10 à 20 salariés ont subi une perte de croissance de – 13 %. Et celles de moins de 10 salariés sont concernées par une baisse de – 12 %. Avec – 14 % de baisse par rapport au 1er trimestre 2019, la construction neuve est la plus touchée. Une situation provoquée en partie par l’arrêt soudain des chantiers. Après un essoufflement régulier de l’activité chaque trimestre depuis 2016. Ainsi, les permis de construire affichent un recul de 1,6 % au cours des 12 derniers mois . Soit 451 500 autorisations au total. De son côté, le nombre de logements commencés, cumulés sur douze mois, a reculé de 1,2 % . Soit 409 200 logements commencés. Le solde d’opinions concernant la trésorerie s’établit à – 29 points (contre – 11,5 points pour la moyenne de long terme). La trésorerie est en nette détérioration pour 34 % des entreprises, contre 14 % au 1er trimestre 2019 (soit 20 points d’écart). Seulement 5 % des entreprises parlent d’une amélioration. Enfin, le montant moyen des besoins de trésorerie de ces sociétés atteint 24 000 €, contre 20 000 €, un an auparavant.
Il y a 5 ans et 24 jours

Rénovations thermiques : les fédérations veulent un fonds d'urgence

L'Union française de l'électricité, plusieurs fédérations du bâtiment et de l'énergie, ont appelé le gouvernement à créer un fonds d'urgence pour les travaux d'économies d'énergie. L'objectif : soutenir "dès maintenant" les TPE et PME du secteur.
Il y a 5 ans et 24 jours

Deltastudio : Elena

Dario Pompei, Valerio Galeone et Saverio Massaro, les architectes de deltastudio, ont réhabilité un ancien entrepôt agricole de la commune de Caprarola en Italie, le transformant en une villa minimaliste, où élégance et simplicité riment avec douceur de vivre. À la demande d’un jeune couple, les équipes de l’agence italienne d'architecture deltastudio ont entièrement repensé une structure agricole abandonnée pour en faire une maison familiale fonctionnelle et chaleureuse. Après quatre années de chantier, la villa voit enfin le jour début 2020, et prend alors le nom de la propriétaire, Elena. L’entrepôt est spacieux, un volume en béton brut de 290 mètres carrés répartis sur deux niveaux. Perché sur les hauteurs de la commune, il surplombe Caprarola. Tirant profit des caractéristiques et de la situation géographique exceptionnelle du bâtiment, les architectes ont décidé d’abaisser les frontières entre intérieur et extérieur pour offrir aux futurs habitants de la villa un espace lumineux et ouvert sur le paysage. Avec ses grandes fenêtres, ses balcons et sa terrasse, la villa a été conçue pour s’insérer dans la nature environnante. À l’intérieur, les architectes créent des vastes pièces, dont la disposition est calquée sur le mouvement apparent du soleil. Les espaces de vie – le salon, la salle à manger, la cuisine – donnent sur le village, tandis que les chambres sont tournées vers la campagne. Les murs, les plafonds, les sols sont en bois ou en béton, dont chaque teinte est choisie pour définir les espaces, du beige au noir, en passant par une vaste palette de gris. La villa est une habitation fonctionnelle autant que confortable. Pour en savoir plus, visitez le site de deltastudio. Photographies : © deltastudioLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 24 jours

Covid-19 : les artisans du bâtiment très fortement impactés par la crise sanitaire

"L'artisanat du bâtiment fait face à une crise économique sans précédent consécutive à la crise sanitaire du Covid-19", a résumé dans un communiqué Patrick Liébus, président de la la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb).Au premier trimestre, selon les chiffres extrapolés par la fédération après sondage auprès de ses adhérents, l'activité du secteur, qui va de la construction de maison à la rénovation énergétique, a chuté de 12% par rapport à un an plus tôt, un effondrement jamais vu.Cette chute ne donne même pas la pleine mesure des effets de la crise du coronavirus car ce n'est qu'à la mi-mars qu'un strict confinement a été mis en place pour lutter contre la propagation de la maladie, contraignant de nombreux secteurs économiques à un ralentissement voire un arrêt total.A ce titre, quatre cinquièmes des entreprises de l'artisanat du bâtiment sont à l'arrêt, selon la Capeb. Les autres sont, pour l'essentiel, en activité réduite.Les adhérents ont dû s'arrêter pour de multiples raisons, dont l'impossibilité à s'approvisionner, mais la principale - dans plus de deux tiers des cas - reste le refus d'un client particulier de reprendre un chantier.Après une période de tensions avec le gouvernement, le secteur du bâtiment a pourtant mis en place des règles sanitaires, destinées à permettre la reprise des chantiers, mais celle-ci peine à se faire.Pour mettre en place ces mesures, les artisans du bâtiment ont besoin d'une aide financière du gouvernement, selon la Capeb, qui estime impossible de répercuter sur leurs clients particuliers les coûts supplémentaires.Qui plus est, en matière de régulation, "il faut des fois faire tomber certaines barrières", a jugé mercredi Christian Vabret, président par intérim de la Chambre de métiers et de l'artisanat (CMA), sur la chaîne BFM Business. Des "organismes de contrôle sont en train de bloquer les chantiers", a-t-il regretté.
Il y a 5 ans et 24 jours

Le guide de l'OPPBTP adapté aux travaux routiers

TRAVAUX PUBLICS. Après les Canalisateurs, c'est au tour du syndicat de spécialité Routes de France de mettre à disposition de ses adhérents 21 fiches métiers et 6 autres transverses, pour adapter le guide de préconisations sanitaires de l'OPPBTP.
Il y a 5 ans et 24 jours

Appel à la création d'un fonds d'urgence pour les travaux d'économies d'énergies

"L'ampleur de la crise actuelle appelle à mettre en place en urgence un dispositif de soutien massif auprès des TPE et PME de cette filière, qui sont un maillon essentiel du dispositif des certificats d'économies d'énergie (CEE) et plus largement de la rénovation énergétique du pays", soulignent les signataires dans une lettre au Premier ministre Edouard Philippe.Ce fonds, géré par les pouvoirs publics, serait alimenté financièrement en échange de CEE par les fournisseurs d'énergie qui souhaiteraient s'engager dans cette démarche solidaire, expliquent-ils.Pour eux, il s'agit d'"assurer la survie d'entreprises en difficulté et de relancer au plus vite la dynamique de travaux de rénovation énergétique"."En ciblant l'utilisation de ce fonds vers les TPE/PME présentant des garanties suffisantes quant au respect des règles, il appuierait la réforme en cours du dispositif des CEE notamment pour lutter contre la fraude", notent-ils.En outre, "grâce à la délivrance de CEE, la tension potentielle sur leur prix, inéluctable avec l'arrêt de la production pendant la crise, s'atténuerait", "évitant une flambée de la facture des clients", arguent-ils.Outre l'UFE, les principales fédérations de l'énergie (Afieg, Ufip, FFPI, Fedene...) et du bâtiment (FFB, CAPEB) portent cette initiative.Introduit en 2006, ce dispositif de certificats dits "CEE" oblige les fournisseurs d'énergie à financer des actions d'économies d'énergie (rénovation thermique des bâtiments, changement de chaudières, isolation, etc.), sous peine de pénalités.
Il y a 5 ans et 24 jours

Wizzcad offre une application pour la reprise des chantiers

Wizzcad lance “Reprise Chantier” [©DR] La reprise de l’activité du BTP s’inscrit dans un contexte de crise liée à la pandémie de Covid-19. Pour l’accompagner, la start-up Wizzcad met une application à disposition de tous les professionnels du secteur. Et ce, gratuitement. « Déjà jusqu’au 30 septembre prochain. Et nous réfléchissons pour une durée encore plus large », explique Marc Germain, associé et co-fondateur de Wizzcad. Plate-forme collaborative Open BIM native pour la transformation numérique des projets de construction, de la conception à la maintenance, Wizzcad lance “Reprise Chantier”. Une application disponible sur tous les smartphones. Et qui permet de digitaliser les formulaires de reprise de chantier validés par le gouvernement (référentiel édité par l’OPBTP). Cette application garantit en temps réel la sécurité de tous les intervenants sur site. Tout en gagnant un temps précieux pour lancer la reprise des chantiers.  « Nous sommes touchés par les problématiques de sécurité liées au Covid-19, comme tout un chacun. Nous voulions par cette application mettre à disposition de tous la documentation et les questionnaires. En fait, faire utiliser un outil facile d’usage par toutes les entreprises du BTP.  Que chacun se sente en sécurité de revenir sur les chantiers. » De manière concrète, les intervenants peuvent remplir les formulaires de sécurité directement depuis leur smartphone. Ces formulaires sont ensuite disponibles pour les coordinateurs sécurité et santé, qui peuvent autoriser l’ouverture du chantier à distance. Ceci, si toutes les prescriptions de sécurité liées à la crise sanitaire sont respectées. L’application est disponible gratuitement sur iOS et Android et via le site web de Wizzcad
Il y a 5 ans et 24 jours

Habitat : Le fonds de dotation Qualitel lance son appel à projets 2020

Depuis plusieurs années, le fonds de dotation Qualitel est engagé dans la lutte contre le logement indigne, en accompagnant financièrement des initiatives en faveur de l'amélioration des conditions de vie des plus précaires. Ce 6 avril, l'appel à projets 2020 est lancé.
Il y a 5 ans et 24 jours

Covid-19 : Elisabeth Borne a réuni les acteurs du secteur pétrolier

L'approvisionnement en produits pétroliers répond à des besoins du quotidien pour de nombreux Français et est essentiel à la vie économique du pays et à son fonctionnement. La ministre et les acteurs ont pu constater que l'approvisionnement était aujourd'hui totalement assuré dans un contexte de ralentissement très fort de la consommation des carburants routiers et aériens (de 60 à 95% de baisse selon les produits). Les stocks commerciaux des opérateurs pétroliers dans les dépôts sont à un niveau particulièrement élevé. Certaines installations ont dû réduire leur fonctionnement, pour ne pas s'arrêter et être opérationnelles lors de la reprise économique.Dans ce contexte économique difficile, la ministre a remercié les entreprises et leurs salariés pour leur mobilisation qui a permis le maintien des services essentiels, dont les stations-services sur les autoroutes - nécessaires en particulier pour les transporteurs routiers de marchandises – de même que les livraisons de combustibles aux particuliers ou de gazole non routier aux entreprises du BTP et du secteur agricole.Le ministère de la Transition écologique et solidaire reste attentif au bon fonctionnement de l'ensemble de la logistique des produits pétrolier, en lien avec les acteurs du secteur, pour continuer à assurer l'approvisionnement en carburant sur l'ensemble du territoire.Par ailleurs, Elisabeth Borne a annoncé le lancement d'échanges avec les représentants des opérateurs pétroliers afin de définir les principes et bonnes pratiques permettant de renforcer la continuité de l'activité du secteur, tout en assurant le respect des consignes sanitaires. Ces travaux permettront également de préparer la reprise de certaines activités et le retour progressif à la normale dans un contexte de déconfinement.
Il y a 5 ans et 24 jours

Une chute brutale et sans précédent de l’activité artisanale du bâtiment

Depuis le 17 mars, 80 % des entreprises artisanales du bâtiment sont à l’arrêt, 17 % ont maintenu une activité réduite n’exposant pas les salariés aux risques sanitaires et 3 % poursuivent une activité quasi-normale pour les interventions d’urgence selon la dernière note de conjoncture de la Capeb . Pour les entreprises du bâtiment, la principale raison de cet arrêt des chantiers s’explique par le refus des clients particuliers (71 %) et des clients professionnels, publics ou privés (45 %) de continuer les travaux. Pour 46 % des chefs d’entreprises, la baisse d’activité s’explique également par la volonté de protéger leurs salariés. Enfin, les difficultés d’approvisionnement en produits et matériaux par les fournisseurs font également parties des critères mis en avant par 39 % des chefs d’entreprise. Un chiffre corroboré par les chefs d’entreprises ayant poursuivi leur activité et qui déclarent pour 84 % d’entre eux éprouver des difficultés à obtenir les matériaux nécessaires. L’activité est en net recul de 12 % et concerne l’ensemble des entreprises artisanales, quelle que soit leur taille. Les entreprises employant 10 à 20 salariés ont subi une perte de croissance de 13 % et celles de moins de 10 salariés sont concernées par une baisse de de 12 %. La construction neuve, avec 14 % de baisse par rapport au 1T2019, est la plus touchée. Une situation provoquée en partie par l’arrêt soudain des chantiers après un essoufflement régulier de l’activité chaque trimestre depuis 2016. Les permis de construire affichent un recul de 1,6 % au cours des 12 derniers mois (de février 2019 à janvier 2020 par rapport à la même période de l’année précédente), soit 451 500 autorisations au total. De son côté, le nombre de logements commencés, cumulés sur douze mois (de février 2019 à janvier 2020), a reculé de 1,2 % (par rapport à la même période l’année précédente), soit 409 200 logements commencés. L’activité en entretien-rénovation est également affectée par la baisse d’activité de – 10,5 % par rapport au T12019. Le volume des travaux d’Amélioration de Performance Energétique du Logement (APEL) est également concerné par ce net recul et fait face à une baisse de – 8,5 %, contre 1,5 % de croissance au trimestre précédent. Le solde d’opinions concernant la trésorerie s’établit à – 29 points (contre – 11,5 points pour la moyenne de long terme). Pour Patrick Liébus, président de la CAPEB, « Il est essentiel que les entreprises puissent bénéficier d’aides spécifiques pour couvrir, au moins une partie des surcoûts découlant de la mise en œuvre de règles sanitaires (le transport des salariés, la réorganisation des chantiers, la gestion de la co/activité, le réaménagement des bases de vie, des vestiaires, des sanitaires sur site, la désinfection des surfaces, la gestion des déchets, et bien évidemment la fourniture des équipements de protection nécessaires), alors qu’il est bien souvent impossible de répercuter ces surcoûts aux clients notamment lorsqu’il s’agit de particuliers. » Graphique : au cours du premier trimestre 2020, l’activité de l’artisanat du bâtiment recule de 12 % par rapport au même trimestre de l’année précédente. (Capeb)
Il y a 5 ans et 24 jours

Covid-19 : une appli contrôle le port des équipements de protection

Permettre le respect des procédures de prévention sur chaque siteCette extension permet de procéder à la vérification de la conformité du port des équipements de protection individuelle par chaque intervenant sur un chantier ou site de production. Les clients donneurs d'ordre des plateformes Bativigie/Activigie peuvent ainsi s'assurer du bon respect des procédures de prévention définies pour leurs sites en matière de port des EPI. Une procédure simple, qui vient prolonger de manière concrète les préconisations de l'OPPBTP (l'organisme professionnel de prévention du BTP), visant à lutter contre la propagation du virus Covid 19, notamment par l'utilisation d'un masque de protection.« Très concrètement, lors d'un contrôle, l'opérateur en charge de celui-ci va systématiquement procéder à une vérification visuelle de la présence des équipements de protection attendus. Si un défaut est constaté sur un intervenant, celui-ci ne pourra pas accéder au chantier ou site de production. Une déclaration d'incident est activée par notre plateforme, avec une notification simultanée au donneur d'ordre et à l'entreprise employeur. Cette dernière devra alors s'assurer que son salarié dispose des équipements nécessaires et en adopte le bon port », détaille Frédéric Pradal, créateur et dirigeant des plateformes Bativigie/Activigie.Nouvelle version de l'application : à télécharger sans surcoûtLa nouvelle application est d'ores et déjà disponible, en téléchargement via Apple Store ou Play Store. Cette nouvelle version est entièrement gratuite, sans surcoût de service, pour les clients et utilisateurs des plateformes Bativigie/Activigie. Depuis 2015, Bativigie et Activigie fournissent aux donneurs d'ordre de la construction et de l'industrie des services de vigilance sous-traitance uniques en France. La plateforme logicielle sécurise les chantiers et sites industriels des risques liés au travail illégal, en permettant un contrôle des personnels via une application dédiée. Celle-ci, embarquée sur un simple smartphone, assure la vérification de la conformité des opérateurs présents sur un site au regard d'une douzaine de points de contrôle (carte d'identité, attestation Urssaf, déclaration de détachement…). Le système gère en amont l'ensemble des données et documents relatifs aux intervenants et garantit une traçabilité intégrale de la vigilance mise en œuvre, avec un reporting en temps réel sur les incidents. En cinq années, plus de 6000 chantiers ont ainsi été réalisés sous contrôle Bativigie.
Il y a 5 ans et 24 jours

DÉNY SECURITY présente KBOX, l’armoire électronique qui simplifie la gestion des clés

Leader français de l’organigramme et du contrôle d’accès, DÉNY SECURITY connaît parfaitement tous les enjeux de sécurité auxquels sont confrontés les responsables de site. Parmi eux figurent l’attribution, le stockage et la traçabilité des trousseaux. Pour faciliter et sécuriser cette gestion des clés, en particulier dans les petites et moyennes structures, DÉNY SECURITY propose KBOX, une nouvelle gamme d’armoires électroniques de gestion des clés.   Une gamme évolutive à l’identification facile et rapide D’une capacité modulaire de 10 à 120 clés en fonction des besoins, la nouvelle gamme d’armoires électroniques KBOX de DÉNY SECURITY constitue une solution idéale pour la gestion et la traçabilité en toute tranquillité des trousseaux, dans les bâtiments tertiaires, les collectivités locales, les hôpitaux ou les sites industriels, de petite et moyenne taille.   Dotée d’une porte robuste en acier, cette armoire électronique permet de ranger les clés et de gérer leur accès. Evolutive par module de 10 clés, elle convient également à la gestion de smartphones, GPS ou encore de flotte automobile grâce à un boîtier de rangement métallique adaptable dans la KBOX.   Sécurisée, l’ouverture de l’armoire s’effectue simplement via un système d’identification multiple (par code, badge ou mixte code et badge) qui laisse ou non l’utilisateur accéder à la clé autorisée. Un voyant lumineux lui indique visuellement la ou les clés qu’il est habilité à sélectionner.   Pour protéger un passe et le ranger dans l’armoire KBOX, il suffit au gestionnaire de l’équiper d’un porte-clés inviolable. Son design conique et son emplacement dans l’armoire en forme d’entonnoir garantissent non seulement une fixation rapide mais évitent aussi les erreurs lors de la restitution. Entièrement conçu en métal, le porte-clés bénéficie d’une grande robustesse.   Toutes les informations de prêts sont enregistrées dans l’armoire électronique et accessibles par l’administrateur en temps réel grâce au logiciel interne qui centralise toutes les données.   Un système de gestion sécurisé Très simple d’utilisation, le logiciel de gestion intégré à l’armoire KBOX de DÉNY SECURITY garantit une traçabilité de mouvement des clés extrêmement pointue. Facile à prendre en main, il permet à l’administrateur du parc : • d’ajouter à tout moment une nouvelle clé ou un nouvel utilisateur, • de programmer des plages journalières et horaires pendant lesquelles sont autorisés les emprunts de certaines clés, • d’extraire toutes les informations utiles au suivi et à la gestion du parc sur un fichier Excel.   En cas de non restitution à l’heure définie, une alarme informe immédiatement le gestionnaire des clés sur l’écran de l’armoire et sur son ordinateur connecté au réseau.   Avec, selon les établissements, un nombre parfois considérable de clés à gérer et de prêts quotidiens, la gamme d’armoires électroniques KBOX de DÉNY SECURITY apporte une réponse fiable et simple aux procédures de gestion des trousseaux. http://www.deny-security.com
Il y a 5 ans et 24 jours

Grand Paris Express: deux nouveaux marchés attribués à Bouygues Construction et Besix

La Société du Grand Paris a notifié deux marchés de travaux de bâtiment tous corps d’état pour un montant total de 281 millions d’euros. Le premier concerne le centre d’exploitation des lignes 16 et 17, situé à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) ; le second, la gare emblématique Saint-Denis-Pleyel, conçue par Kengo Kuma.
Il y a 5 ans et 24 jours

Façade anglaise en bois brûlé Kebony

La délicate patine flambée apportée au bois Kebony prépatiné s’accorde harmonieusement avec l’esprit contemporain de cette maison individuelle située dans le nord de Londres, signée par le bureau d’architecture Claridge Architects. Les lames de « Hijo Ni Mirikiteki Na », réalisées par la société Shou Sugi Ban, sont posées en diagonale et apportent au bâtiment une palette de tons gris qui complètent le caractère suburbain des jardins environnants.Le nom de la société Shou Sugi Ban reprend un terme japonais se traduisant par « planche de cèdre brûlé ». Cette entreprise basée au Royaume-Uni fabrique du bois en utilisant la technique ancienne de bois brûlé, brossé ou pré-patiné, et travaille avec le bois Kebony pour offrir un produit d’apparence unique et intrigante. Développée en Norvège, la technologie brevetée Kebony est un procédé respectueux de l’environnement, qui modifie les résineux issus de sources durables en chauffant le bois avec de l’alcool furfurylique ; un sous-produit agricole. En polymérisant la paroi cellulaire du bois, les résineux adoptent de façon permanente les attributs du bois dur tropical, notamment une durabilité, une dureté et une stabilité dimensionnelle élevées. Le bois Kebony est ainsi le matériau idéal pour ce processus de bois brûlé, car il développe une surface intéressante ainsi qu’une teinte noire profonde, tout en conservant sa durabilité reconnue.M. Karl Harrison, fondateur de la société Shou Sugi Ban, commente son choix en ces termes : « Kebony est l’un des types de bois les plus durables sur lesquels nous travaillons – pour notre plus grand plaisir. L’effet “brûlé” met en évidence le grain du bois. La réaction de nos clients a été enthousiaste. Nous nous réjouissons d’avance de proposer dans l’avenir d’autres projets faisant appel à Kebony. »* Technologie KebonyLa technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Il y a 5 ans et 24 jours

"Rester agiles pour nous adapter à la demande des clients", O.Colleau, Kiloutou

INTERVIEW. Après avoir fermé toutes ses agences au moment de l'annonce du confinement, le groupe de location de matériels Kiloutou a mis en place des process pour relancer progressivement son activité. Olivier Colleau, président exécutif, revient sur la situation du groupe et sur la façon dont il accompagne la reprise de ses clients.
Il y a 5 ans et 24 jours

Le conseil scientifique chargé de la restauration de Notre-Dame de Paris est en place

La loi du 29 juillet 2019 pour la conservation et la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris a institué, au sein de l’établissement public dédié, un conseil scientifique, consulté sur les études et opérations de conservation et de restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris. De cette instance doit naître une dynamique de réflexion sur et pour le monument. Sur proposition du général Jean-Louis Georgelin, président de l’établissement public, les membres du conseil scientifique ont été nommés le 27 mars par Franck Riester, ministre de la Culture, en raison de leur expertise dans les domaines des monuments historiques, de l’archéologie, de l’histoire, de l’histoire de l’art, de l’ingénierie, des sciences et techniques et des matériaux. Placé sous la présidence du général Jean-Louis Georgelin, le conseil scientifique est nommé pour une durée de cinq ans renouvelable : M. d’Alessandro (Christophe), organiste et directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique ;M. Berné (Damien), conservateur en chef du patrimoine, en charge de la sculpture au musée de Cluny ;Mme Caponi (Gisella), directrice honoraire de l’institut supérieur pour la conservation et la restauration de Rome ;M. Dillmann (Philippe), directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique, coordinateur des travaux de recherche menés par le Centre national de la recherche scientifique au profit de la cathédrale Notre-Dame de Paris ;Mme Dion (Anne), conservatrice générale du patrimoine, adjointe au directeur du département des objets d’art au musée du Louvre ;M. Drouin (Gilles), ecclésiastique, directeur de l’institut de théologie à l’institut catholique de Paris, chargé par l’archevêque de Paris d’animer la réflexion relative au réaménagement liturgique de la cathédrale Notre-Dame de Paris ;Mme Gouzi (Christine), professeure d’histoire de l’art à Sorbonne Université, spécialiste de la peinture religieuse ;M. Léniaud (Jean-Michel), directeur d’études à l’école pratique des hautes études, directeur honoraire de l’école des chartes, président de la société des amis de Notre-Dame de Paris ;M. Loyer (François), directeur de recherche honoraire au Centre national de la recherche scientifique, directeur honoraire de la commission du Vieux Paris, spécialiste de l’architecture et de l’urbanisme du XIXe siècle ;M. Lucan (Jacques), architecte, historien, professeur d’architecture à l’école d’architecture de Marne-la-Vallée et à l’école polytechnique fédérale de Lausanne ;M. Mouton (Benjamin), ancien architecte en chef des monuments historiques, ancien vice-président du Conseil international des monuments et des sites (ICOMOS) ;Mme de Ponthaud (Marie-Suzanne), architecte en chef des monuments historiques, en charge des cathédrales de Chartres et de Reims ;M. Sandron (Dany), professeur d’histoire de l’art à Sorbonne Université, directeur au centre André Chastel ;Mme Sire (Marie-Anne), inspectrice générale des monuments historiques. Photo : Anna Ader
Il y a 5 ans et 24 jours

Nouvelle gouvernance chez Egis

Laurent Germain, directeur général, et Pierre-Marie Chavannes, président non exécutif du conseil d’administration d’Egis. [©Egis/PatriceMaurein] Nicolas Jachiet, Pdg d’Egis, a décidé de faire valoir ses droits à la retraite et quittera le groupe le 31 octobre prochain. Actionnaire majoritaire d’Egis, la Caisse des dépôts et consignations a proposé la nomination de Laurent Germain, au poste de directeur général. Celle-ci sera confirmée lors du prochain conseil d’administration, le 2 juillet prochain. « Au cœur des défis majeurs du XXIesiècle comme le changement climatique, les nouvelles mobilités, la révolution numérique. Fort de collaborateurs à l’expertise très reconnue et à l’engagement exemplaire, de son positionnement international équilibré, Egis est idéalement positionné pour atteindre une position de leader mondial dans les transports et la mobilité du futur et dans la construction de la ville durable », indique Laurent Germain. La Caisse des dépôts et consignations présentera aussi la nomination de Paul-Marie Chavanne, comme président non exécutif du conseil d’administration d’Egis. « Je suis très honoré d’avoir été proposé à la présidence du conseil d’administration d’Egis. Aujourd’hui, notre priorité reste centrée sur la gestion de la crise sanitaire. Et dans les prochaines semaines, tout sera mis en œuvre pour un passage de témoin réussi entre Nicolas Jachiet et le futur directeur général, Laurent Germain », explique Paul-Marie Chavanne. Le parcours de Laurent Germain et Paul-Marie Chavanne  Laurent Germain est aujourd’hui directeur général de Segula Technologies, groupe d’ingénierie français et de conseil en technologies. Il est diplômé de l’Essec (Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales). Mais aussi de l’Institut d’études politiques (IEP) de Paris. Il est ancien élève de l’Ecole nationale d’administration (ENA). Après avoir exercé différentes fonctions au sein du ministère de l’Economie et des Finances, il devient, en 2004, conseiller de François d’Aubert, ministre délégué à la Recherche, en charge des affaires budgétaires. Un an après, il est nommé directeur financier du Centre national d’études spatiales (CNES). En 2014, il rejoint Segula Technologies. Ingénieur de l’Ecole centrale de Paris, ancien élève de l’Ecole nationale d’administration, Paul-Marie Chavannes est inspecteur des Finances. Il a débuté sa carrière au ministère de l’Economie et des Finances. Ensuite, il a occupé des fonctions de direction générale dans plusieurs groupes industriels. En 2001, il devient Pdg de Geopost, la filiale de colis express de La Poste.
Il y a 5 ans et 24 jours

Covid-19 : l'UFME accompagne ses adhérents

Ayant à cœur de remplir pleinement sa mission de relais d'information et de soutien, l'équipe de permanents de l'UFME, en télétravail, reste quotidiennement à l'écoute des besoins et préoccupations de ses adhérents.En veille permanente, elle repère et diffuse les dernières informations gouvernementales et des autres organisations professionnelles du secteur. Les adhérents sont ainsi informés en temps réel :des nouvelles mesures liées à la loi d'urgence sanitaire et intégrées dans le code du travail,des préconisations de sécurité, un sujet cher aux adhérents qui priorisent avant tout la préservation de la santé des collaborateurs et des clients,des différents et récents guides de recommandations pour sécuriser les activités lorsque la reprise est en cours ou imminente.La récente diffusion à ses adhérents de son « Guide sur la reprise de l'activité « chantiers » dans le diffus Menuiseries intérieures & extérieures » illustre sa démarche d'adaptation des guides de préconisations sanitaires du BTP aux spécificités des métiers de la menuiserie, et dans un premier temps avec l'étape « métré ». Cet outil, résultat des travaux menés par le Groupe de Travail « Sécurisation des chantiers dans le diffus », présente des recommandations et des préconisations pour :définir les risques liés à son activité vis-à-vis des collaborateurs dans l'entreprise et sur le chantier, et des clients,adapter ses activités et son intervention sur le chantier en temps de crise sanitaire, en analysant les exigences préalables, en hiérarchisant ses chantiers et en définissant les conditions d'intervention du métreur chez le client.Lutter contre l'isolementSe revendiquant historiquement comme un soutien fort des industriels, l'UFME multiplie les prises de contacts régulières avec ses adhérents. Une manière de lutter contre l'isolement. L'équipe les aide à décrypter et assimiler les informations au fil de l'actualité, à appliquer les mesures sanitaires ou encore à regrouper les commandes de masques.
Il y a 5 ans et 24 jours

Carrier devient une société indépendante

UTC (United Technologies) avance dans sa restructuration. Carrier est désormais côté à la bourse de New-York.
Il y a 5 ans et 25 jours

Prix “IMBP” de l’Idrrim : A vos dossiers !

L’édition 2020 du prix “IMBP” organisé par l’Idrrim, est lancée [©Idrrim] Organisée par l’Institut des routes, des rues et des infrastructures pour la mobilité (Idrrim), l’édition 2020 du prix “Infrastructures pour la mobilité, biodiversité & paysage” (IMBP) est lancée. Elle récompensera les meilleurs projets réalisés par les acteurs impliqués dans la conception, la construction, la gestion. Ainsi que l’entretien, l’aménagement, la requalification. Et enfin, l’exploitation des infrastructures de mobilité.  Les dossiers sont à renvoyer avant le 31 juillet prochain. Le concours couvre sept thématiques :– Continuités écologiques ;– Génie écologique ;– Paysage urbain et rural ;– Sensibilisation et communication ;– Initiatives astucieuses en cours de réalisation ;– Initiatives à l’international ;– Projets prometteurs. L’appel à projets s’adresse à toute structure ou organisme public ou privé, quelle que soit sa taille : collectivités, services et établissements publics de l’Etat, bureaux d’études, entreprises, associations… De plus, les infrastructures concernées peuvent être aussi bien des routes que des voies vertes, des espaces publics urbains. Plus d’information ici.
Il y a 5 ans et 25 jours

"Avec le confinement, les normes du logement passent au crash-test" (F.Leclercq)

ARCHITECTURE. L'agence Leclercq Associés portera, pour six années encore, les orientations stratégiques de l'extension d'Euroméditerranée, à Marseille. François Leclercq et Marie Taveau, directrice de projets, exposent, pour Batiactu, grands principes et secteurs à enjeux, et ce que changera la crise dans la façon de faire la ville.
Il y a 5 ans et 25 jours

Humbert & Poyet : Appartement rue des Archives

Les architectes Emil Humbert et Christophe Poyet mêlent matériaux nobles, œuvres d’art contemporaines, meubles d’esprit Art Déco ou Memphis et références au classicisme dans un duplex historique de la rue des Archives. En plein Marais, le duo Humbert & Poyet imagine une habitation raffinée, où le classicisme côtoie la modernité, pour une famille. Les décorateurs Emil Humbert et Christophe Poyet ont en effet répondu par un appartement élégant et subtil aux commanditaires, qui désiraient un logement convivial et fonctionnel adapté au quotidien de leur famille. Inspirés par l’histoire du bâtiment de la rue des Archives, les architectes ont pris le parti de modifier l’organisation spatiale de ce duplex de 250 mètres carrés en revenant à une distribution classique des pièces. Le premier niveau est désormais réservé aux salles de séjour – le salon, la salle à manger, la cuisine et la bibliothèque –, quand le second accueille la chambre parentale et son dressing, la chambre d’enfant et la salle de bain. Des moulures discrètes et une imposante cheminée ont été ajoutées. Ces clins d’œil au classicisme, qui ponctuent l’appartement, sont aussi habilement mariés à des éléments modernes et contemporains : « Nous sommes particulièrement inspirés par les mouvements modernistes, art déco et Memphis, alliés au classicisme, on retrouve ces périodes à travers les choix des meubles, des couleurs et des finitions dans notre travail et la conception de cet appartement. Tout cela se combine pour former des espaces uniques qui sont des déclarations en soi, forts et raffinés. » L’entrée donne le ton. On y découvre du terrazzo en all-over – au sol, sur les murs et les marches de l’escalier –, ainsi que des œuvres d’art et des pièces de mobilier de créateurs célèbres, notamment une peinture de Keith Haring, des chaises de Le Corbusier, une console de Jean Prouvé, des céramiques des artistes Georges Jouve et Olivier Gagnère. À l’instar du hall, toutes les pièces de l’appartement sont audacieusement décorées, avec des beaux matériaux – bois, marbre, laiton, terrazzo –, des pièces de mobilier et des objets d’art iconiques, des meubles de Humbert & Poyet. Dans le salon, par exemple, le canapé de velours bleu Grand Théodore, le lampadaire en albâtre brillant Ava et la table-basse Gabrielle signés Humbert & Poyet côtoient les appliques et les lampes dessinées par le designer italien Gino Sarfatti, les tabourets Tulip crés par l’architecte finno-américain Eero Saarinen, une photographie prise par le sulfureux photographe américain Robert Mapplethorpe et une peinture imaginée par le plasticien français Bertrand Lavier. Après avoir fait ses preuves en rhabillant quantité d’adresses commerciales – les restaurants Beefbar à Paris, Mexico, Monaco, Hong-Kong et Malte, l’hôtel The Hoxton et la boutique Maison Weill à Paris – Humbert & Poyet confirme sa très bonne réputation avec de nombreux projets résidentiels. Affaire à suivre… Pour en savoir plus, visitez le site de Humbert & Poyet.Photographies : © Francis AmiandLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 25 jours

Top 10 des meilleures villes où investir dans l'immobilier neuf selon son profil d'acquéreur

Les meilleures opportunités d'investissement dans l'immobilier neuf se trouvent actuellement dans les périphéries de grandes villes particulièrement dynamiques : Grenoble, Annecy, Genève, Paris, Toulouse, Marseille et Aix-en-Provence, Bordeaux. Les prix du neuf sont souvent supérieurs aux prix de l'ancien. Ce surcoût, justifié par la qualité des constructions et, dans de nombreux cas, compensé par les avantages fiscaux attachés au neuf, est bien moindre lorsqu'on s'éloigne (mais pas trop) des grandes agglomérations. Il y a donc de nombreuses pépites à découvrir lorsqu'on analyse systématiquement toutes les villes françaises où des biens neufs sont proposés. « Les villes mises en lumière par ce double classement proposent un environnement plus apaisé, plus vert, bien moins cher, et bien plus rentable que les métropoles qu'elles bordent. La méthodologie suivie dans cette étude a permis de ne sélectionner que des opportunités équilibrées d'investissement en veillant, au-delà de la rentabilité ou de la plus-value attendue, à ce que les risques (non location, impayé de loyer, éloignement des transports ou des services de base) soient également bien maîtrisés. » Commente Mathieu Morio, fondateur de GridkyClassement profil rentabilitéA seulement 2 km de Grenoble, Saint-Martin-le-Vinoux (38) arrive en tête de classement. La rentabilité locative brute des investissements y est de 6,5% (en prenant en compte l'avantage fiscal Pinel, et 4,5% sans cet avantage). Cette ville bénéfice à plein du dynamisme économique et éducatif de Grenoble (5ème ville la plus innovante du monde), tout en présentant des prix plus attractifs. Elle se situe au cœur du Parc naturel régional de Chartreuse tout en étant à 3 arrêts de tram de la métropole. La part des nouveaux ménages arrivant chaque année à Saint-Martin-le-Vinoux représente 35% contre 3,7% en moyenne nationale. La population a ainsi augmenté de 19% sur 5 ans sur cette zone.Arrive en seconde position du classement Allonzier-la-Caille (74), petite ville de 2.000 habitants située à 10 minutes d'Annecy et 20 min de Genève, placée en pleine nature tout en bénéficiant de la proximité avec 2 centres économiques majeurs. La rentabilité locative atteint 5,7% (avec levier fiscal). Reflétant cette situation privilégiée, le taux de logements vacants y est particulièrement bas, à 4,9% contre 7,1% au national.On retrouve en troisième place la commune d'Asnières-sur-Seine (92), qui figure régulièrement dans les classements des villes de banlieue les plus courues par les parisiens. Commune de l'ouest parisien située à moins de 15 min de la Défense, Asnières-sur-Seine bénéficie d'un cadre paisible et du charme des bords de Seine. La rentabilité locative dans le neuf, notamment dans le nouvel écoquartier Seine Ouest, est de 5,6% (avec levier fiscal). Ville aisée, le taux de cadres y atteint 33% contre 25% au niveau national.La Bouilladisse (13) est la quatrième ville où l'investissement d'un bien neuf est le plus rentable avec 5,5% (avec levier fiscal). La commune de 6.000 habitants bénéficie d'une position stratégique entre Marseille, Aix en Provence et Aubagne (accessibles en moins de 30 min). Reflétant ces avantages, la part des nouveaux ménages arrivant chaque année représente 7,6% contre 3,7% en moyenne nationale. Par ailleurs, le taux de logements vacants y est particulièrement bas à 5,5%, et les cadres, 27% des habitants, y sont fortement représentés.Balma (31), aux portes de Toulouse (accessible en 20 min par le métro A et plusieurs lignes de bus), arrive en cinquième position du classement avec une rentabilité de 5,5% (avec levier fiscal). Balma propose un bassin d'emplois sur place avec par exemple AG2R La Mondiale et plusieurs sièges de banques implantées localement. Il s'agit de l'une des communes les plus intéressantes en première couronne de Toulouse. La part des nouveaux ménages arrivant chaque année représente 35% contre 3,8% en moyenne nationale, et la population a augmenté de 19% sur 5 ans sur cette zone.Pontault-Combault (77), idéalement placée entre les pôles d'emplois de Créteil et de Marne-la-Vallée, et à seulement 30 min du centre de Paris en transports, Pontault-Combault est la sixième ville dans le classement Gridky. La rentabilité locative brute de l'investissement dans un bien neuf y est de 6% (avec levier fiscal), notamment en raison d'une forte demande locative. Il n'y a que 4,1% de logements vacants (presque deux fois moins que la moyenne nationale), et la balance démographique est de +5,1% sur 5 ans. Pontault-Combault est légèrement moins bien classée que les villes qui la précèdent en dépit d'une meilleure rentabilité, car le risque locatif y est un peu plus fort (tout en restant néanmoins excellent), avec un poids des loyers dans les revenus des habitants à 17% (au même niveau que la moyenne nationale).A 15 km de Perpignan, Saint-Cyprien (66) se place à la 7ème position du classement. Ville à la fois moderne et ayant gardé son atmosphère de village, Saint-Cyprien est située à 5 min de la mer. La rentabilité locative d'un appartement neuf y est de 6% (avec levier fiscal). La tension locative y est maximale avec seulement 0,2% de logements vacants. Il n'y a donc quasiment aucun logement disponible à la location sur la commune. Saint-Cyprien n'est toutefois pas classée plus haut en dépit de son excellent taux de rentabilité, car la croissance démographique, à 1,9% sur 5 ans, y est légèrement moins élevée que sur les villes mieux classées.Tournefeuille (31), commune de 27.000 habitants située à l'ouest de Toulouse, arrive en 8ème place. La proximité avec la ville rose, et ses nombreuses lignes de bus la reliant en 20 min, lui permettent de bénéficier de l'afflux démographique que connaît la région depuis plusieurs années : Tournefeuille a vu sa population croître de 2,6% sur les 5 dernières années, et l'arrivée de 12% de nouveaux ménages chaque année. Vous pouvez y espérer une rentabilité locative de 5,3% (avec levier fiscal).En 9ème position du classement, on retrouve Clamart (92). La rentabilité locative atteint 5,3%. Déjà à moins de 30 min de Paris en voiture, la commune va bénéficier du Grand Paris avec l'arrivée en 2024 de la ligne 15. Cette position privilégiée dans le sud-ouest parisien motive de nombreux nouveaux ménages à y emménager (+9,4% chaque année). Enfin, Clamart est en pleine mutation, avec l'émergence de nouveaux quartiers (le Panorama par exemple) offrant une haute qualité de vie.Gradignan (33), à seulement 9 km de Bordeaux, est à la 10ème place du classement. La rentabilité locative atteint 5%. La ville bénéficie d'un boom démographique avec une augmentation de 9,5% de sa population sur les 5 dernières années. La commune a vu son besoin en logements bondir, ce que reflète le très faible pourcentage de logements vacants (3%).Classement profil « plus value »Allonzier-la-Caille (74) passe en première position. Il existe sur cette ville certains biens neufs ayant un prix au m² de 3 760 €, ce qui est inférieur aux prix de l'ancien (qui se situent actuellement entre 2 826 € et 5 291 €), avec un prix moyen de 3 919 €. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 54%.Balma (31) arrive en seconde place. Le prix au m² des biens neufs est de 3 276 € face à un prix au m² dans l'ancien qui se situe actuellement entre 2 177 € et 4 124 € (avec un prix moyen de 2 973 €). L'écart de prix au m² des biens neufs par rapport au prix moyen dans l'ancien sur cette zone n'est ainsi que de 10%. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 53%.Asnières-sur-Seine est toujours troisième du classement. Le prix au m² de certains biens neufs est de 5 549 €, très proche du prix au m² dans l'ancien (qui se situe actuellement entre 3 563 € et 7 093 € sur cette zone, avec un prix moyen de 5 054 €). Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 60%.Fait son apparition en quatrième position du classement, la ville de Bruges (33), située au nord de Bordeaux. Le prix au m² des biens neufs est de 3 917 € en regard d'un prix dans l'ancien allant de 2 574 € à 4 771 € sur cette zone, avec un prix moyen de 3 524 €. Le neuf y est donc à peine 11% plus cher que l'ancien, ce qui est tout à fait attractif. Par ailleurs, si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 45%. La population a augmenté de 16% sur 5 ans sur cette zone, et le taux de logements vacants n'y est que de 3,2% (contre 6,9% au national).Saint-Martin-le-Vinoux se place en cinquième position. Avec des biens neufs accessibles dès 2 555 € alors que le prix au m² dans l'ancien se situe actuellement entre 1 757 € et 3 554 € sur cette zone, (avec une moyenne de 2 491 €), le prix de ce bien neuf est inférieur au prix maximum observé actuellement sur le marché de l'ancien, ce qui est tout à fait attractif. De plus, l'écart de prix au m² de ce bien neuf par rapport au prix moyen dans l'ancien sur cette zone est de 2,6%, alors que l'écart moyen entre le neuf et l'ancien est de 44% sur l'ensemble du marché. Ce lot est donc sensiblement moins cher au m² par rapport aux prix dans l'ancien que les autres biens neufs actuellement en vente. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 52% sur cette ville.Frontalière avec la Suisse (à moins de 30 min du centre-ville de Genève), la ville d'Etrembières (74) arrive en sixième place des villes où investir dans le neuf pour maximiser sa plusvalue. Le prix au m² des biens neufs est de 4 221 €, soit quasiment au même niveau que les prix de l'ancien qui se situent entre 2 924 € et 5 789 € sur cette zone, avec un prix moyen de 4 010 €. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 44%. La population a augmenté de 29% sur 5 ans sur cette zone.Autre ville frontalière avec nos voisins helvétiques, Gex (01) se place en septième position. Le prix au m² des biens neufs est de 3 685 € quasiment au niveau de l'ancien qui se situe actuellement entre 2 844 € et 5 595 € sur cette zone, avec un prix moyen de 3 574 €. De plus, si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 42%. La population a par ailleurs augmenté de 21% sur 5 ans à Gex.Première métropole du classement, Bordeaux (33) est la 8ème ville où il est le plus intéressant d'acheter un bien neuf pour espérer obtenir une belle plus-value. Le prix au m² des biens neufs les plus intéressants est de 4 449 €, ce qui n'est pas très cher en comparaison d'un dans l'ancien qui se situe entre 3 131 € et 5 845 €, avec un prix moyen de 4 307 €. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 49%.On retrouve la ville de Bouilladisse en 9ème place du classement. Le prix au m² des biens neufs est de 3 169 €, très proche du prix de l'ancien qui se situe entre 2 162 € et 4 362 €, avec un prix moyen de 3 011 €. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 45%. La population a augmenté de 2,3% sur 5 ans sur cette zone. La part des cadres dans les actifs sur cette zone (27%) reflète un environnement plutôt aisé.Biscarrosse (40) est 10ème .Le prix au m² des biens neufs est de 3 280 €, ce qui est inférieur à la moyenne du prix dans l'ancien : 3 442 €, avec un min de 2 530 € et un max de 4 651 € sur cette zone. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 50%. La part des nouveaux ménages arrivant chaque année représente 14% contre 3,7% en moyenne nationale. La population a augmenté de 13% sur 5 ans sur cette zone.
Il y a 5 ans et 25 jours

Pendant la pandémie, la maison brûle et on regarde ailleurs

En ces temps de confinement, le café du Commerce est fermé. Pour garder le contact et attendant des jours meilleurs, Kamel, le patron philosophe qui s’ennuyait un peu, a eu l’idée d’un café vidéo avec les habitués du zinc. Chacun […] L’article Pendant la pandémie, la maison brûle et on regarde ailleurs est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 25 jours

Covid-19 : appel à reprendre l'activité et assouplissements pour les Ehpad

Sommé par le président Emmanuel Macron de présenter un plan de déconfinement avant la fin avril, son Premier ministre Édouard Philippe en a dessiné dimanche les grands principes, sans entrer dans les détails.Une chose est claire: il n'y aura pas de retour à la normale avant de longs mois, mais il faut relancer un pays à l'arrêt depuis le 17 mars.La ministre du Travail Muriel Pénicaud a appelé lundi les chefs d'entreprises à reprendre leur activité s'ils le pouvaient en annonçant que 9,6 millions de salariés étaient actuellement au chômage partiel et dont le salaire est payé par l'État, soit près d'un salarié du privé sur deux.Le chômage partiel ne sera pas abandonné le 11 mai "sinon il y aurait des catastrophes", a-t-elle déclaré. "Mais ça va être dégressif".Le confinement sur huit semaines en France pour lutter contre l'épidémie de coronavirus va se traduire par 120 milliards d'euros de pertes pour l'activité, selon une étude publiée lundi par l'OFCE."Pendant la période de confinement, le produit intérieur brut (PIB) est réduit de 32%", correspondant à cinq points de PIB sur l'année 2020, précise l'Observatoire français des conjonctures économiques.Le gouvernement estime de son côté que le PIB reculera sur l'ensemble de l'année 2020 de 8% sous l'effet du choc économique.Masque, accessoire de mode ?Le gouvernement est toujours à l'œuvre pour trouver la formule qui permettra au pays de redémarrer tout en maintenant les précautions sanitaires qui reposeront sur les gestes barrière, des tests massifs et l'isolement des malades.Un assouplissement a été mis en place dès lundi pour humaniser l'isolement des personnes les plus vulnérables: le droit de visite est rétabli pour les familles dans les Ehpad et les établissements qui accueillent des personnes en situation de handicap, dans des conditions "extrêmement limitées", a annoncé dimanche le ministre de la Santé Olivier Véran.Face à "beaucoup d'inconnues" qui entourent encore le virus, les Français vont "devoir apprendre à vivre avec lui", a averti le Premier ministre."Il faut changer culturellement notre mode de vivre. Nous étions plutôt proches les uns des autres, cela va changer une des composantes fondamentales de notre société", a déclaré lundi Karine Lacombe, cheffe du service infectiologie de l'hôpital Saint-Antoine sur France Inter.Son confrère, Eric Caumes, chef du service des maladies infectieuses de la Pitié-Salpêtrière, espère de son côté que le port de masques, qui "apparaît comme la mesure barrière la plus efficace" "s'imposera par le simple bon sens". "Le masque pourrait devenir un accessoire de mode, espérons-le", a-t-il déclaré.Test virologiqueLes masques, et leur pénurie, restent un sujet de crispation majeur, alors que le plus gros avion-cargo du monde, l'Antonov An-225 Mriya, s'est posé dimanche à l'aéroport de Paris-Vatry (Marne) avec à son bord huit millions de masques médicaux en provenance de Chine.Les masques "grand public", qui seront produits en France à 17 millions d'exemplaires par semaine d'ici le 11 mai, seront eux probablement rendus "obligatoires" dans les transports publics.En ce qui concerne le dépistage, l'objectif du gouvernement est de pouvoir réaliser à partir du déconfinement 500.000 tests par semaine pour les personnes présentant des symptômes et celles ayant été en contact avec un malade du Covid-19, a indiqué M. Véran.Après le 11 mai, "si vous êtes porteur de symptômes (...) et que vous voulez savoir si vous êtes malade, ou si vous avez été en contact rapproché d'une personne dont on sait qu'elle est malade, vous pouvez, vous devrez bénéficier de ce test virologique", a assuré M. Véran.Le nombre de patients hospitalisés pour une infection au Covid-19 s'élevait dimanche à 30.610 dont 5.744 patients dans un état grave en réanimation. Il s'agit du onzième jour consécutif de baisse du nombre de patients en réanimation et du 5e de baisse consécutif des hospitalisés.Sur les 395 morts annoncés dimanche soir, 227 sont décédés à l'hôpital, soit le nombre le plus bas de décès à l'hôpital depuis quatre semaines (23 mars avec 186 morts).Ces statistiques traduisent la poursuite d'une "très lente décrue épidémique, mais le nombre de personnes hospitalisées reste très élevé", a-t-il souligné en appelant à ne pas relâcher les efforts alors que l'épidémie a désormais causé le décès de près de 20.000 personnes en France (dont un peu plus de 12.000 dans les hôpitaux).Le quotidien des 67 millions de Français continuera donc d'être bouleversé: "il n'est pas raisonnable d'imaginer voyager loin à l'étranger très vite", a indiqué M. Philippe, alors que le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, avait averti que "les mariages, les anniversaires, les grandes réunions familiales devront être évités dans les mois qui viennent".Sur la réouverture des école, un autre sujet polémique, M. Philippe est resté prudent, indiquant que plusieurs hypothèses étaient à l'étude, "par territoire" ou "par moitié de classe".
Il y a 5 ans et 25 jours

Le manque d'approvisionnement en EPI, un « frein majeur à la reprise » pour les entreprises de TP

L’enquête réalisée par la FNTP auprès de ses membres confirme que les activités de travaux publics s’apprêtent à redémarrer. Toutefois, de nombreux freins subsistent, en particulier la difficulté à se procurer des EPI.
Il y a 5 ans et 25 jours

Rénovation d'une bâtisse à Glatens

Niché dans les hauteurs d'un petit village du Tarn-et-Garonne, le Château de Glatens, comme son adresse l'indique, a amorcé sa mue en vue d'accueillir de nouveaux hôtes. Erigé dans un parc de plusieurs hectares, il est devenu la propriété de la famille anglo-saxonne Parfitt, tombant sous le charme de cette grande demeure historique en 2017.S'en sont suivis de longs mois de chantier pour réhabiliter l'ensemble du bâtiment, en 2 phases de travaux réparties sur 2 ans. Dans ce cadre, le choix de la solution de chauffage et de rafraîchissement pour assurer un confort de vie intérieur optimal a constitué un enjeu majeur de cette réfection. Totale invisibilité Pour l'accompagner dans sa décision d'équipement, Justin Parfitt s'est appuyé sur le savoir-faire de Jérémy Bozoyan, gérant de l'entreprise EURL BOZOYAN basée à Saint-Aignan (82) et spécialisée dans les travaux de génie climatique/chauffage. www.bozoyan.fr« Ma société n'était encore jamais intervenue pour un projet d'une telle envergure » se souvient Jérémy Bozoyan. Dans leur cahier des charges, les propriétaires exigent une installation parfaitement intégrée au bâti, soit complètement dissimulée derrière des cloisons, grilles de soufflage et autres aménagements afin de limiter l'impact sur la décoration intérieure. Pour la phase 1 du chantier correspondant à la moitié du bâti, Jérémy Bozoyan préconise l'installation d'une unité de soufflage puissante de marque Daikin pour alimenter les 4 chambres du 1er étage par un réseau de gaine Airzone dissimulé en faux-plafond. L'unité de soufflage d'une puissance de 14 kW (référence FBA140A) et la pompe à chaleur éco-énergétique (référence RZASG140MV1) à laquelle elle est raccordée fonctionnent grâce à l'énergie renouvelable, l'air, permettant des économies d'énergie substantielles. Habituellement, la pompe à chaleur est installée à l'extérieur du logement, en façade du pignon, pour permettre au ventilateur de capter les calories présentes dans l'air et les restituer sous forme d'air chauffé l'hiver ou d'air rafraîchi pendant l'été. Au Château de Glatens, la famille Parfitt ne souhaitait aucun équipement apparent. De fait, Jérémy Bozoyon a eu l'idée de se servir de vastes combles pour abriter les installations, additionnées à un système de ventilation pour favoriser l'apport d'air neuf. Il a rajouté une pompe à chaleur de petite puissance (référence RXM35K) pour permettre le chauffage et le rafraîchissement de l'unique chambre du rez-de-chaussée. Dans cet espace immense, Jérémy Bozoyan a installé une unité console non carrossée de 3.5 kW (référence FNA35A) encastrée dans le mur, ne laissant apparaître qu'une grille de soufflage. L'ensemble de ces solutions Daikin fonctionnent au réfrigérant R-32, au faible potentiel de réchauffement planétaire. Bien que chaque chambre dispose de son propre thermostat, depuis sa chambre Justin Parfitt a la main sur les températures de toutes les chambres. Les unités disposent du WiFi pour permettre leur pilotage et la programmation de plages horaires de fonctionnement à distance, depuis un smartphone, un ordinateur ou une tablette via l'application Daikin Online Controller. « Le confort acoustique a constitué l'autre enjeu de cette opération. Monsieur Parfitt souhaitait l'équipement le moins sonore du marché. Daikin sait parfaitement répondre à ce besoin, proposant les solutions les plus discrètes du marché», raconte Jérémy Bozoyan. Ces travaux liés à la phase 1 ont démarré en mars 2018 pour prendre fin au printemps 2019, juste à temps pour accueillir de nouveaux locataires puisque la famille Parfitt a le projet de louer à la semaine sa propriété pendant 6 mois, chaque année.
Il y a 5 ans et 25 jours

Politique énergétique : 3 propositions des organisations de la filière électrique

A la suite des consultations publiques sur la Stratégie Nationale Bas Carbone et la Programmation Pluriannuelle de l’Énergie, le SERCE estime que les grandes orientations en matière de politique énergétique et climatique pourraient être enrichies de recommandations issues de l’étude “L’électricité au coeur du bâtiment performant, au service de l’usage : une réponse aux enjeux énergétique, climatique et numérique” réalisée par les organisations de la filière électrique. Parmi les recommandations et mesures concrètes déclinées dans cette étude, le SERCE considère que trois leviers sont particulièrement pertinents pour atteindre les objectifs de transition énergétique et climatique portés par la PPE et la SNBC, notamment en lien avec l’amélioration de la performance énergétique des bâtiments tertiaires. Mesurer pour comprendre et maîtriser sa consommation énergétiqueLe SERCE estime que le sous-comptage des consommations énergétiques offre la possibilité d’auditer en continu les différents postes de consommation afin d’adopter une démarche d’efficacité énergétique personnalisée, agile et tangible. En associant un service d’Energy Management au matériel déployé, de nouveaux projets énergétiques verront le jour en lien avec le niveau de maturité du maître d’ouvrage sur le sujet : cartographie énergétique, qualification des actions de performance énergétique, plan d’actions…Proposer des démarches de rénovation énergétique assorties de garanties de performanceEn s’appuyant sur les solutions de comptage, les opérations d’amélioration de la performance énergétique des bâtiments peuvent intégrer un engagement réel et mesurable dans la durée, sous la forme d’un CPE qui peut favoriser la limitation de l’investissement initial.Accélérer la décentralisation du système électrique afin de pouvoir intégrer massivement les énergies renouvelables et gagner en efficacité.Le SERCE demande l’augmentation du seuil de participation au guichet ouvert pour les installations photovoltaïques en autoconsommation en le passant de 100 à 500 kW, ce qui leur permettrait notamment de bénéficier d’un tarif d’achat pérenne sans passer par la procédure complexe des appels d’offres.
Il y a 5 ans et 25 jours

L’Ademe propose de nombreuses formations gratuites

Pendant la période de confinement, l’ADEME propose différentes opportunités de formation gratuites à suivre en distanciel : MOOC, e-learning, webinairs, synthèses multimedia conçues par l’ADEME et/ou en partenariat, pour acquérir…Cet article L’Ademe propose de nombreuses formations gratuites est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 5 ans et 26 jours

Covid-19 : 9,6 millions de salariés au chômage partiel en France

"Ce matin, ce sont 9,6 millions de salariés qui gardent leur contrat de travail, sont au chômage partiel mais dont le salaire est payé par l'État", a indiqué la ministre sur RTL, évoquant une "situation tout à fait hors du commun, qu'on n'a jamais connue en France"."On est quasiment à un salarié sur deux dans le secteur privé dans le pays", a-t-elle souligné.Lors de la sortie du confinement, "le 11 mai, on ne ferme pas le chômage partiel, sinon il y aurait des catastrophes", a déclaré la ministre. "Mais ça va être dégressif, au fur et à mesure que l'activité reprend, on a besoin de moins de chômage partiel", a-t-elle précisé."Par exemple, si un chef d'entreprise qui a 100 salariés demain retrouve de l'activité, du marché, qui lui permet de rappeler 20 de ses salariés(...), à ce moment-là on continuera le chômage partiel sur 80 (salariés, NDLR), ça pourra être dégressif en proportion de la remontée de l'activité. C'est important car ça permet de ne pas être dans le tout ou rien", a affirmé la ministre.Muriel Pénicaud a également incité les chefs d'entreprise à relancer leur activité, "s'ils le peuvent, c'est-à-dire s'ils retrouvent des marchés, s'ils mettent en place les guides de bonne pratique en terme de santé et de sécurité qu'on a fait secteur par secteur".En respectant ces guides, au nombre de 31 pour l'instant, "vous respectez vos obligations de sécurité des salariés, donc vous êtes dans les clous" et cela permet "aux salariés de se dire +je peux aller en sérénité travailler+", a-t-elle estimé.
Il y a 5 ans et 26 jours

Covid-19 : près des trois-quarts des artisans fermés

"Seulement 27% des entreprises artisanales sont actuellement en activité en France", selon une enquête en ligne menée par l'organisation, présentée dans un communiqué."Les entreprises autorisées ne sont pas épargnées: 26% d'entre elles ont aussi fermé. Enfin, 58% des entreprises artisanales ont mis en place l'activité partielle pour leurs salariés ou apprentis", détaille CMA."Nous avons tous en ligne de mire la reprise de l'activité, nous nous y préparons", a souligné Christian Vabret, le président par intérim de CMA France. "Nos entreprises ont d'ores et déjà besoin d'un plan de relance et du soutien d'un État stratège et interventionniste pour garantir leur survie et le rebond".Les chambres souhaitent l'application d'une "nouvelle fiscalité verte et durable" avec une taxation des produits extérieures à l'UE et un "soutien massif de l'État en faveur des entreprises engagées dans l'économie circulaire".Elles demandent également l'effacement ou la neutralisation des charges sociales et fiscales pour les entreprises les plus en difficulté, la défiscalisation des heures supplémentaires, un "dispositif exceptionnel d'amortissement des prêts de trésorerie", et des mesures incitatives au recrutement de salariés et d'apprentis.