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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Chantiers - TP

(55336 résultats)
Il y a 5 ans et 11 jours

Coronavirus : les entreprises du BTP activent leur fondation

COMMUNICATION SOLIDAIRE. La crise du coronavirus a révélé de manière rapide et brutale certaines inégalités sociales, sanitaires et générationnelles. Les entreprises de la construction, en tant qu'acteur sociétal, se sont mobilisées pour venir en aide non seulement au personnel hospitalier, mais aussi plus largement à ceux qui en avaient besoin. Pour cela, de nombreux groupes ont utilisé leur fondation d'entreprise. Explications avec Vinci et Wilo.
Il y a 5 ans et 11 jours

Passoires thermiques : le collectif Rénovons remet le couvert

135 milliards d’euros pour amener en 2040 les 6,7 millions de passoires thermiques aux normes des bâtiments à basse consommation : le collectif Rénovons a publié et commenté le 5 mai sa seconde étude sur la rénovation énergétique du logement, réalisée avec le cabinet conseil Siapartners.
Il y a 5 ans et 11 jours

Résultats de la 6e édition du Baromètre ARTI Santé

Comme chaque année depuis 2014, la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (CAPEB), la Chambre Nationale de l'Artisanat des Travaux Publics et du Paysage (CNATP), et le pôle d'innovation IRIS-ST dévoilent les résultats de la nouvelle édition du baromètre ARTI Santé BTP, enquête nationale de référence sur les conditions de travail et la santé des chefs d'entreprise artisanale du BTP.Pour la première fois, l'étude révèle une diminution de leur rythme de travail. Ils étaient ainsi davantage en 2019 à prendre des congés au-delà de deux semaines par an et à réduire leur temps de travail hebdomadaire. Cependant, la part des dirigeants qui déclarent leur métier très exigeant physiquement mais aussi mentalement est en hausse avec respectivement +5 et +3 points par rapport à la précédente édition et la difficile déconnexion avec le travail s'accentue. Face au rythme soutenu de leur activité, les répondants sont toujours autant soumis à des problèmes de santé (stress, burn-out) et ont de plus en plus le sentiment d'être isolés (+4 points). La CAPEB, consciente de toutes ces données et difficultés, fait le bilan des 6 éditions passées du baromètre et propose un partenariat, alliant synergie et compétence, avec le réseau du Centre d'Information sur la Prévention des difficultés des entreprises (CIP) qui s'avère d'autant plus nécessaire du fait de la crise sanitaire actuelle.Pour la première fois, une légère diminution du rythme de travail mais une activité davantage exigeante mentalement et physiquementL'étude menée auprès de 2053 répondants entre novembre et décembre 2019 révèle une baisse du rythme de travail des dirigeants d'entreprise artisanale du BTP et du paysage. En 6 ans, les congés des dirigeants sont en effet de plus longue durée. Ainsi, le nombre de dirigeants s'octroyant plus que deux semaines de congés est en augmentation. Ils sont également de moins en moins nombreux à travailler de 6 à 7 jours par semaine (54% en 2019 contre 59% en 2018). De plus, la proportion du nombre de dirigeants travaillant plus de 60 heures par semaine est également en baisse (21% en 2019 contre 26% un an auparavant).L'intensité du rythme de travail hebdomadaire des dirigeants varie en fonction de la taille de l'entreprise. Ainsi, les répondants employant 11 à 15 salariés sont plus susceptibles de travailler plus de 60 heures par semaine par rapport aux artisans travaillant seuls (38% contre 14%), quand bien même les employeurs ayant répondu déclarent prendre plus de congés. Un rythme soutenu pour l'ensemble des répondants qui s'explique en partie par la lourdeur des tâches administratives qui représentent pour près de la moitié des chefs d'entreprise 25% de leur temps de travail. Si le rythme de travail opère pour la première fois une légère baisse, il reste cependant très soutenu. Comme les années précédentes, les chefs d'entreprise artisanale peinent à trouver le bon équilibre entre vie familiale et vie professionnelle : 87% des répondants ont toujours le sentiment que leur vie professionnelle empiète sur leur vie privée et 75% d'entre eux considèrent qu'ils ne sont pas suffisamment disponibles pour leur entourage.En cause : le rythme soutenu mais également la difficulté pour ces dirigeants d'opérer une réelle coupure avec leur activité. Travailler pendant les jours de repos est une pratique en augmentation chez les chefs d'entreprise artisanale du BTP et du paysage : ils sont ainsi 51% à consulter leurs mails tous les jours ou tous les deux jours pendant leurs congés. Pour 34% d'entre eux, il s'agit en effet de rester disponible auprès de leurs clients.Le nombre de chefs d'entreprise qui considèrent leur travail très exigeant ne cesse d'augmenter : +5 points (83% en 2019 – 78% en 2018) pour l'exigence physique et +3 points (91% en 2019 – 88% en 2018) pour l'exigence mentale. L'accroissement de l'exigence physique peut s'expliquer, au-delà du fait qu'il s'agisse de métiers manuels, de l'évolution de certains matériaux et équipements et les contraintes liées aux chantiers. Bien que ce soit l'exigence physique qui augmente le plus, l'exigence mentale reste toujours plus importante. Elle s'explique entre autres par le poids des responsabilités et de la multitude de tâches qui incombent aux chefs d'entreprise. Une situation qui n'est pas sans risque pour la santé mentale et physique de ces artisans.Une activité qui continue de peser sur la santé physique et mentale des chefs d'entrepriseDepuis six ans, les résultats du baromètre alertent sur l'état de stress des dirigeants des entreprises artisanales du BTP et du paysage. Si la proportion des répondants qui se déclarent stressés reste stable à 58%, son intensité quant à elle augmente.Le poids des démarches administratives, la charge de travail, les contraintes de délais et la nécessité de devoir être de plus en plus réactif sont notamment en cause. 84% des chefs d'entreprise artisanale du BTP et du paysage déclarent ainsi travailler dans l'urgence. Cet état émotionnel influence fortement la qualité du sommeil et les expose à un risque accru d'épuisement professionnel voire de burn-out. Un syndrome qui concerne davantage de répondants cette année : 6% contre 5% en 2018.Il est à craindre que cette situation déjà préoccupante se détériore considérablement cette année avec la gestion de la crise sanitaire à laquelle sont confrontés tous les chefs d'entreprise.Les chefs d'entreprise artisanale sont également 58% à affirmer se sentir très fatigués (contre 59% en 2018, 58% en 2017 et 56% en 2016) et 47% déclarent se réveiller au milieu de la nuit et avoir du mal à se rendormir. Ce manque de sommeil a des répercussions concrètes sur l'activité professionnelle pour 70% des répondants. 51% des répondants se disent ainsi davantage irritables (contre 32% en 2018) et 64% en manque d'énergie et en permanence fatigués.La lourde charge de travail ainsi que les troubles émotionnels dont les répondants sont victimes sont des facteurs qui favorisent le sentiment d'isolement des chefs d'entreprise. En effet, 40% des sondés éprouvent ce sentiment (+ 4 points par rapport à l'année dernière) et 46% souhaitent être davantage soutenus. Pour répondre à ce besoin, les réseaux professionnels arrivent pour la première fois en première position (64% des répondants), suivis par les institutions telles que les assurances et les banques.Malgré cette situation inquiétante, le baromètre met en avant un regain d'optimisme chez les répondants. 54% sont plutôt optimistes concernant l'activité de leur entreprise (contre 40% en 2018) et 65% sont totalement épanouis dans leur métier. L'étude porte néanmoins un point d'attention sur les entreprises dont la pérennité est menacée. En effet, seulement 21% des dirigeants en difficultés financières se font aider et uniquement 26% savent vers qui se tourner dans une telle situation. Ces résultats attestent de l'importance de continuer à informer les chefs d'entreprise sur les structures existantes qui permettent de les aider en cas de difficultés.Un suivi médical en lien avec leur activité professionnelle qui intéresse les chefs d'entrepriseDepuis plusieurs années, le baromètre fait le constat d'un faible suivi médical des chefs d'entreprise de l'artisanat du bâtiment. En 2019, seulement 45% consultent leur médecin régulièrement ou de temps en temps. Plus inquiétant encore, pour 48% des répondants, leur état de santé nécessiterait un arrêt de travail qu'ils n'ont pas pris. La première raison évoquée est le maintien à tout prix de l'activité de l'entreprise. Ce constat alarmant montre la nécessité de continuer à sensibiliser les artisans du bâtiment sur les risques liés à leur activité. De plus, l'étude révèle que 68% les dirigeants seraient intéressés par un suivi médical en lien avec leur activité professionnelle avec leur médecin généraliste ou un autre professionnel.« L'état de santé des chefs d'entreprise est une question cruciale dont nous suivons scrupuleusement l'évolution chaque année grâce à notre baromètre. Le secteur de l'artisanat du bâtiment est un secteur particulièrement exigeant en termes de délais,de contraintes de chantiers et de contraintes clients. Les chefs d'entreprise, motivés par la satisfaction client et le maintien de l'activité, se donnent généralement à 100% en fermant parfois les yeux sur leur fatigue ou sur des signes cliniques cachant des pathologies plus graves, pouvant représenter un risque pour leur santé physique ou mentale. Notre devoir est de tirer la sonnette d'alarme et de continuer à sensibiliser les dirigeants des entreprises sur les risques liés à leur activité, afin de les informer au mieux et de les accompgner. Je perçois cette année une réelle prise de conscience de ces chefs d'entreprise qui expriment le besoin d'être médicalement suivis en lien avec leur activité. C'est une demande que nous entendons et que nous défendrons pour qu'elle trouve rapidement son application ! » - Patrick Liébus, Président de la CAPEB« Si être chef d'entreprise c'est être libre et autonome, c'est aussi vivre une vie qui n'est pas de tout repos. Si la passion est la motivation de l'artisan, gérer les problèmes du quotidien, anticiper le moyen terme et se fixer des objectifs sur le long terme peuvent s'avérer très stressant. Durant longtemps, la conjointe, aux côtés du chefs d'entreprise, partageait souvent cette charge mentale et libérait l'artisan d'une partie de ce stress. Aujourd'hui, ce schéma traditionnel n'est plus forcément la norme et le chef d'entreprise a fréquemment le sentiment d'être seul, isolé devant toutes ses implications et cet environnement toujours plus administratif et procédurier. Il est important d'évoquer ce sentiment ordinaire chez les artisans, d'en parler et que le chef d'entreprise prenne conscience que sa santé physique et mentale est primordiale, qu'il doive en prendre grand soin. La crise sanitaire que nous traversons n'aura pas épargné notre stress d'entrepreneur entre nos responsabilités d'assurer la sécurité de nos salariés et la pression de faire vivre notre entreprise.»- Françoise Despret, Présidente de la Chambre nationale de l'artisanat, des travaux publics et paysagistes (CNATP)Un Bilan sur 6 ansDepuis 2014, le baromètre ARTISANTE BTP édité par la CAPEB et la CNATP en partenariat avec l'IRIS-ST étudie les conditions de travail et la santé des chefs d'entreprise artisanale. Cette évaluation annuelle de l'état de santé et de stress perçu par les artisans a permis à la CAPEB et à la CNATP de dégager les enjeux du secteur. Ils se proposent maintenant d'en déterminer les actions à mettre en place pour inverser les tendances inquiétantes.Les principales tendances observées au cours de ces 5 dernières années sont invariables voire se dégradent : un rythme de travail intense, une exigence mentale en constante augmentation, un stress présent et des cas d'épuisement professionnels recensés et en augmentation, un suivi médical quasi inexistant car non obligatoire, des difficultés économiques spécifiques aux très petites entreprises.Une synergie de compétences pour une politique préventiveLe Baromètre fait état depuis plusieurs années du lien qui existe entre la santé du chef d'entreprise et celle de son entreprise, c'est pourquoi une collaboration forte a été mise en place entre la CAPEB, la CNATP, l'IRIS-ST et le CIP pour venir en aide aux chefs d'entreprise devant faire face à des difficultés financières au sein de leur entreprise. Une collaboration basée sur le maillage des réseaux de chaque partie sur le territoire. Une action concrète en réponse à une problématique soulevée par le Baromètre.Le Centre d'Information sur la Prévention des difficultés des entreprises (CIP National) met à la disposition des adhérents de la CAPEB et de la CNATP sa plate-forme d'accueil et d'écoute. Sur l'ensemble du territoire national, les CIP territoriaux sont en capacité de recevoir et d'orienter les chefs d'entreprise vers les dispositifs légaux, publics et privés leur permettant de résoudre tout ou partie de leurs difficultés économiques et financières.A leur disposition, un trio d'experts qui les reçoit individuellement, de manière confidentielle, anonyme et gratuite. Expert-comptable ou commissaire aux comptes, avocat, ancien juge du Tribunal de commerce et parfois un conseiller CCI et/ou CMA échangeront avec les chefs d'entreprise entre 30 et 60 minutes.« En cette période de crise sanitaire totalement exceptionnelle, je suis particulièrement inquiet pour tous les chefs d'entreprise artisanale et de TPE dans la mesure où depuis des années, nos études et baromètres nous enseignent qu'il existe un lien direct entre la santé du chef d'entreprise et celle de son entreprise. Je souhaite que nous sachions faire face collectivement pour aider et accompagner les chefs d'entreprise qui seraient en détresse. Ce partenariat, fondé sur le maillage de nos réseaux territoriaux respectifs, constitue une action concrète pour répondre à cette problématique et un des éléments de l'accompagnement que nous nous devons d'apporter aux entreprises. »- Patrick Liébus, Président de la CAPEBLes grandes évolutions a retenirLes points alarmants :Une activité de plus en plus exigeante : la part des dirigeants déclarent leur métier « très » exigeant physiquement et mentalement est en hausse : respectivement +4 et +9 points par rapport à 2018Un équilibre vie familiale et vie professionnelle difficile à trouver : 87% des répondants ont le sentiment que leur vie professionnelle empiète sur leur vie privéeRenforcement du sentiment d'isolement : 40% des artisans ont le sentiment d'être isolés : un chiffre en augmentation de + 4 points par rapport à 2018Les cas de burn-out en hausse : une maladie qui concerne davantage de répondants cette année : 6% contre 5% en 2018.Les points positifs :Un rythme de travail en légère baisse : la proportion de dirigeants travaillant plus de 60 heures par semaine est de 21% en 2019 contre 26% en 2018Un regain d'optimisme : 54% des répondants sont plutôt optimistes concernant l'activité de leur entreprise et 65% des artisans sont épanouis dans leur métier.Un suivi médical qui intéresse : 68% les dirigeants seraient intéressés par un suivi médical
Il y a 5 ans et 11 jours

TÉNORD Huguenot d’Edilians : la seule tuile petit moule certifiée NF Faible Pente

Leader français de la tuile terre cuite, EDILIANS dispose déjà d’une large gamme de tuiles fortement et faiblement galbées aptes à être utilisées sur des couvertures Faible Pente. Aujourd’hui, le spécialiste de l’enveloppe du bâtiment complète son offre et présente la TÉNORD Huguenot, la première tuile petit moule certifiée NF Faible Pente.   L’unique modèle petit moule du marché certifié NF FP Dernière née de la gamme des tuiles petits moules à relief d’EDILIANS, la TÉNORD Huguenot est une tuile à emboîtement produite dans le site de Wardrecques au cœur de l’Audomarois, dans les Hauts de France. Caractéristique des toitures de la région Nord, elle est la première et la seule tuile petit moule du marché à bénéficier de la certification NF Faible Pente et s’ajoute aux 12 modèles déjà certifiés d’EDILIANS. Sans aucune modification des pureaux de pose, la TÉNORD Huguenot peut être mise en œuvre jusqu’à 19% de pente ce qui autorise son installation sur des toitures plus plates, un atout pour répondre aux exigences des projets architecturaux plus contemporains.   Une esthétique traditionnelle Grâce à un procédé de fabrication innovant sur moule en plâtre, la TÉNORD Huguenot offre un aspect de surface parfaitement lisse et une haute qualité de finition. Avec son nez fin, son cornet étroit et ses demi-lunes, son design respecte les codes traditionnels des toitures du Nord. S’inscrivant résolument dans le patrimoine historique de sa région, la TÉNORD Huguenot se décline dans une palette de 4 teintes brillantes (Flammé Rustique, Rouge, Anthracite, Terre d’Amarante) qui apportent une touche de modernité.   Un jeu double et une pose simple Aux performances techniques élevées, la tuile TÉNORD Huguenot possède un double jeu de pose inédit de 20 mm longitudinal, au niveau du pureau, et de 4 mm latéral. Cette qualité de conception garantit une flexibilité de pose optimale ainsi qu’une simplicité d’installation en rénovation comme en neuf. En construction, son pureau maximum de 270 mm fait de la TÉNORD Huguenot la plus économique des tuiles du Nord (jusqu’à 18,7 tuiles au m2). Dotée d’un système de double emboîtement et recouvrement au service d’une étanchéité irréprochable, la tuile TÉNORD Huguenot peut être associée aux autres solutions pour la toiture et l’éco-habitat d’EDILIANS, telles que les accessoires (rive, plain plan, faîtage) et les écrans de sous-toiture. http://www.edilians.com
Il y a 5 ans et 11 jours

Le contournement de Strasbourg doit reprendre son cours le 11 mai

Vinci a programmé lundi 11 mai la relance du chantier autoroutier de plus de 500 millions d’euros, au stade où il s’était arrêté il y a près de deux mois. Il consacre les prochains jours à la finalisation des mesures de protection.
Il y a 5 ans et 11 jours

SPIE réalise l'infrastructure électrotechnique de la nouvelle usine d'Harmonic Drive SE

L'acteur européen indépendant des services multi-techniques dans les domaines de l'énergie et des communications a ainsi réalisé en 18 mois l'installation complète de l'ensemble des systèmes énergétiques et électriques, des dispositifs de protection incendie et des systèmes d'éclairage. SPIE a équipé l'usine sans interrompre l'activité grâce à des solutions provisoires, permettant d'assurer la continuité de la production.Des services complets dans le domaine du génie électriqueFace à la situation du marché et à l'augmentation des ventes, l'extension de ce site de production était devenue une nécessité pour Harmonic Drive SE. Pour des raisons de temps, l'entreprise a décidé de rénover un bâtiment existant. Thorsten Schunk, responsable de l'équipe génie électrique chez SPIE Pulte, l'unité chargée de la mise en œuvre et de l'exécution du projet, explique : « Les exigences techniques pour cet environnement de production étaient donc très strictes et devaient garantir la fabrication de précision des réducteurs et servomoteurs de notre client. »Sur les 6.000 m² environ de l'usine, SPIE a installé un nouveau système haute tension, un système d'alarme anti-intrusion et incendie, un système complet de rails d'alimentation électrique, un poste basse tension, de nouveaux transformateurs et un poste moyenne tension. Par ailleurs, l'installation de brise-soleil orientables était particulièrement importante pour éviter la pénétration de chaleur dans l'usine. Thorsten Schunk précise : « Lors de la fabrication de réducteurs et de servomoteurs, il faut éviter les variations de température pour prévenir les écarts de qualité. Les systèmes à lames et les brise-soleils automatiques que nous avons installés permettent de limiter le rayonnement solaire et viennent ainsi compléter le système de climatisation des locaux pour garantir une température optimale et constante dans l'atelier de production. »Une plus grande efficacité énergétiqueLe fournisseur de services multi-techniques a également installé un système d'éclairage LED économe en énergie dans l'atelier de production. « Aujourd'hui, la basse consommation fait partie des critères de qualité d'un système d'éclairage. L'utilisation de lampes LED a considérablement amélioré l'efficacité de l'éclairage. De fait, les lampes LED consomment cinq fois moins d'électricité que les systèmes d'éclairage classiques, pour une durée de vie nettement plus longue », souligne Thorsten Schunk. Des concepts d'éclairage complets comprenant différents groupes de commutateurs réglables et contrôlables indépendamment les uns des autres, et un usage intelligent de la lumière naturelle favorise une consommation d'énergie responsable.Hautes performances et collaboration fluideAutre défi pour le fournisseur de services multi-techniques : réaliser les travaux d'installation sans interrompre l'activité de production. Une planification et une gestion de projet rigoureuses ont été des facteurs décisifs dans la réussite des opérations. Pour permettre à Harmonic Drive SE de poursuivre sa production sans perturbation, SPIE a conçu des solutions provisoires complètes qui ont permis d'alimenter les différentes zones d'installation. « Grâce à une étroite collaboration avec les planificateurs et Harmonic Drive SE, SPIE a respecté le calendrier. La production a ainsi pu investir les nouveaux locaux à la date prévue », explique Björn Kempf, chef de projet chez Harmonic Drive SE. « La fluidité de notre collaboration avec SPIE, avec qui nous avions déjà travaillé sur un projet de modernisation des installations électriques de notre première usine, et son expertise technique ont contribué au succès de cette nouvelle collaboration. Nous sommes heureux de pouvoir compter sur SPIE comme un partenaire de confiance. »
Il y a 5 ans et 11 jours

"La crise actuelle peut être une opportunité pour rénover le parc public"

ENTRETIEN. Philippe Pelletier, président du Plan bâtiment durable, explique à Batiactu de quelle manière la crise que traverse le secteur peut constituer une opportunité pour la rénovation énergétique du parc public.
Il y a 5 ans et 11 jours

Blocs isolants bas carbone : une réponse au label E+C- et à la RE 2020

Sachant que le grand changement, par rapport à la Réglementation Thermique (RT) 2012, porte sur la prise en compte des émissions carbone du bâtiment durant tout son cycle de vie.Pour la filière béton, comme pour les autres matériaux, l’enjeu est donc d’intégrer une nouvelle exigence réglementaire liée à l’empreinte carbone des bâtiments, tout en veillant à l’application des autres réglementations auxquelles un projet doit répondre. Les blocs isolants FABTHERM® du Groupe Fabemi, acteur majeur du marché des produits béton, sont 100% naturels et recyclables. Ils contribuent à réduire l’empreinte carbone des bâtiments (de 4 à 8 % par rapport aux autres solutions constructives), permettant ainsi de réaliser des ouvrages E+C-, et anticipent les exigences de la prochaine RE 2020.L'objectif étant également de combiner béton bas carbone et économie circulaire, les 450 mises en chantiers effectuées depuis le lancement des blocs isolants FABTHERM® (résidentiel, ERP et bâtiments industriels), soit environ 250 000 m² de blocs, ont été réalisées dans le Grand Sud-Est, à proximité des usines de production du Groupe Fabemi.Construire E+C- avec du béton bas carboneLes trois principaux axes de recherche Fabemi – réduire l’impact environnemental de ses blocs, apporter une réponse à une réglementation thermique de plus en plus exigeante et assurer une meilleure isolation des parois – ont débouché sur le développement des blocs béton FABTHERM®. Traditionnellement fabriqués sans cuisson et produits localement, ce qui permet de réduire leur impact environnemental, les blocs FABTHERM® AIR 0.6, 1.1 et 1.8 et FABTHERM® ÉCO sont 100 % naturels et recyclables. Ils revendiquent de hautes performances thermiques, tout en affichant un impact environnemental des plus faibles dans leur catégorie. En lançant ces produits, Fabemi démontre sa capacité d’innovation et son engagement dans une démarche d’éco-conception et d’écologie industrielle.De la fabrication à la fin de vie, l’empreinte carbone des blocs Fabemi est réduite grâce à une production locale (impact du transport très faible) et à un procédé de fabricationsans cuisson. Les blocs sont produits avec des agrégats provenant de carrières situées à proximité des usines Fabemi, séchés naturellement, et utilisés sur des chantiers proches des unités de production.De plus, les blocs isolants FABTHERM® Fabemi, 100% recyclables, n’ont pas besoin d’être triés à l’issue de la déconstruction, les déchets gravats n’appelant aucune manipulation particulière. Après la démolition des bâtiments, ils deviennent ainsi des déchets « inertes ».Enfin, les blocs isolants FABTHERM® disposent de Fiches de Déclarations Environnementales et Sanitaires (FDES). Des données vérifiées et disponibles sur INIES, qui permettent de calculer la contribution des produits à l’impact environnemental du bâtiment à construire.Blocs isolants bas carbone FABTHERM® AIR FabemiDeux à huit fois plus isolants que des blocs traditionnels, les blocs de 20 cm de large FABTHERM® AIR 0.6, 1.1 et 1.8, à base d’agrégats légers ou courants, intègrent une âme en mousse 100% minérale AIRiumTM qui renforce leurs capacités isolantes. Ils affichent ainsi des résistances thermiques exceptionnelles pour cette largeur de bloc qui permettent de répondre à tous les besoins (logements collectifs, maisons individuelles et bâtiments tertiaires) et au cahier des charges des murs isolants hautement performants. Cette mousse minérale isolante permet de construire et d’isoler en même temps sans impacter le poids carbone de la façade, ce qui procure un gain de temps sur le chantier et un gain de surface habitable. Les blocs FABTHERM® AIR Fabemi profitent de nombreuses qualités (performances acoustiques, essais feu et sismique), de fiches FDES vérifiées (base INIES) et d’un Avis technique (FABTHERM® AIR 1.1 et 1.8) pour répondre à toutes les exigeances techniques des opérations de construction.• Sous Avis Technique (N° 16/19-773_V1), le bloc isolant à coller FABTHERM® AIR 1.1 Fabemi affiche une résistance thermique de R = 1,12 m².K/W. Cinq fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 1.1 conjugue résistance mécanique, au feu, et performances acoustiques et environnementales. Il est idéal pour les logements collectifs jusqu’à R+4.Les +FDES vérifiée (base INIES) : 15,6 kg eq. CO2/m²100 % naturel et recyclableConforme Eurocode 8 – toutes zones sismiquesRésistance au feu REI : 120 min avec un doublage collé traditionnelJusqu’à R+4Fabrication française• Sous Avis technique (N° 16/19-772_V1), le bloc isolant à coller FABTHERM® AIR 1.8 Fabemi présente une résistance thermique de R = 1,77 m².K/W. Huit fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 1.8 permet de réduire l’épaisseur des doublages intérieurs et de maîtriser l’impact environnemental de la façade. Il est idéal pour le petit collectif jusqu’à R+3.Les + FDES vérifiée (base INIES) : 23,6 kg eq. CO2/m²100 % naturel et recyclableConforme Eurocode 8 – toutes zones sismiquesRésistance au feu REI : 90 min avec un doublage collé traditionnelJusqu’à R+3Fabrication française• Innovation brevetée Fabemi, le bloc isolant à maçonner FABTHERM® AIR 0.6 présente une résistance thermique de R = 0,58 m².K/W. Deux fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 0.6 est le seul bloc isolant 100 % minéral à poser maçonné. Il est idéal pour le petit collectif jusqu’à R+2.Les + Mode de pose mortier / maçonnerFDES vérifiée (base INIES) : 15,6 kg eq. CO2/m²100 % naturel et recyclableConforme Eurocode 8 – toutes zones sismiquesRésistance au feu REI : 120 minJusqu’à R+2 Fabrication françaiseBloc isolant bas carbone FABTHERM® ÉCO FabemiLe bloc creux isolant à coller FABTHERM® ÉCO Fabemi présente une résistance thermique de R = 0,51 m².K/W. Deux fois plus isolant qu’un bloc traditionnel grâce à sa géométrie, le FABTHERM® ÉCO répond aux besoins architecturaux, thermiques et économiques du marché de la construction. Idéal pour les maisons individuelles groupées ou le petit collectif jusqu’à R+2, ses performances thermiques permettent de conserver un mode constructif traditionnel béton.Les + FDES vérifiée (base INIES) : 11,7 kg eq. CO2/m²100 % naturel et recyclableConforme Eurocode 8 – toutes zones sismiquesRésistance au feu REI : 120 minJusqu’à R+2Fabrication françaisePour en savoir plus :https://www.fabemi-structures.com/
Il y a 5 ans et 11 jours

Testo partage son expertise dans son nouveau webinar : « contrôle d’accès aux sites industriels et aux ERP, quels sont les bons outils de mesure de température pour garantir la sécurité de vos employés ? »

La crise du Covid-19 a métamorphosé l’organisation de toutes les entreprises françaises. Elles doivent dès aujourd’hui anticiper la sortie de confinement et préparer leur Plan de Reprise d’Activité tout en garantissant la sécurité de leurs salariés. Avec son nouveau webinar gratuit consacré à la présentation des outils de mesure de température des personnes, Testo, spécialiste des appareils de mesure, met son expertise technique au service de toutes les entreprises. L’objectif : les informer et les aider à mettre en place les solutions de mesure infrarouge les plus pertinentes pour contrôler les accès aux sites industriels et aux ERP et détecter les personnes fiévreuses. Webinar testo : 30 minutes d’informations et d’échanges en ligne Animé deux fois par semaine par Philippe Guérin, expert de la thermographie infrarouge Testo, le webinar gratuit dédié aux outils de mesure de température des personnes s’adresse aux responsables sécurité des entreprises de tous secteurs (industrie, agro-alimentaire, restauration, BTP, gestionnaires, …). S’appuyant sur une présentation extrêmement didactique, il aborde en 30 minutes : • Le principe du rayonnement infrarouge : tous les corps émettent un rayonnement, les outils de mesure tels que les thermomètres infrarouge et les caméras thermiques analysent ces rayonnements. • Les différences de fonctionnement entre les thermomètres infrarouge et les caméras thermiques : Le thermomètre infrarouge réceptionne le rayonnement du corps qu’il a en face de lui. Il focalise les ondes infrarouge qu’il perçoit et les oriente vers un capteur qui transforme cette énergie en signal électrique. Celui-ci est ensuite converti en valeur de température. La qualité d’un thermomètre infrarouge est liée à l’optique qui permet d’obtenir des indications de rapport de cible exprimant une moyenne de température sur une surface. Plus le rapport est élevé, plus la cible de mesure est petite. Plus on s’éloigne de la cible, plus la surface de mesure est grande et moins elle est précise. La mesure de température doit donc être effectuée au niveau du front de la personne, sans lunette, à une distance de 50 cm par un agent de sécurité muni d’équipements de protection. La caméra thermique est munie de capteurs qui réceptionnent les rayonnements du corps et les convertissent en valeur électrique et ensuite en valeur de température. Chaque pixel correspond à une moyenne de température mesurée. La résolution de l’image et donc la précision de la caméra dépendent du nombre de pixels. La mesure de la température s’effectue au creux de l’œil, surface où l’échange thermique est le plus intéressant à prendre en compte. Grâce à ces caractéristiques, la caméra thermique permet de faire des mesures plus précises, de contrôler simultanément un plus grand nombre de personnes, et à une plus grande distance que le thermomètre infrarouge. La détection d’une personne fiévreuse est donc plus facile à constater. Selon les modèles de caméras thermiques, comme par exemple la testo 890, une alarme est déclenchée automatiquement si la valeur de température détectée est supérieure à la consigne enregistrée. L’image peut être déportée sur un écran d’ordinateur ou une tablette afin de sécuriser encore plus l’agent de contrôle. • La présentation de ses différentes gammes de thermomètres infrarouge comme testo 830 et les caméras thermiques telles que testo 872 et testo 890 ayant la particularité de signaler les personnes fiévreuses par bip sonore. Le webinar se conclut par un tchat de questions/ réponses. Un module de formation en ligne pour en savoir plus En complément de ce webinar, Testo propose une formation en ligne pour tous les opérateurs et utilisateurs qui souhaitent approfondir leurs connaissances techniques sur ce sujet. D’une durée de 2 heures, il fait le point sur les techniques utilisées, détaille les consignes d’utilisation afin de ne pas commettre d’erreurs d’interprétation et met en avant les préconisations d’utilisation d’un thermomètre infrarouge et d’une caméra thermique destinés à la mesure de la température corporelle. A l’issue de la formation, un guide de bonne pratique est adressé à chaque participant. L’inscription à ce module se fait sur le site internet de testo : www.testo.fr Webinar et module de formation en ligne, testo reste au plus proche des entreprises pour les aider à assurer la sécurité de leurs salariés et réussir la reprise de leur activité avec des outils de mesure fiables et de qualité. http://www.testo.fr
Il y a 5 ans et 12 jours

Comment le chantier du Campus Sud des métiers reprend du service

A Nice, l’activité reprend progressivement dans la Plaine du Var où, depuis le 20 avril, quarante-cinq ouvriers ont réinvesti le chantier du Campus Sud des métiers selon des procédures et mesures sanitaires mises en place par Fayat Bâtiment.
Il y a 5 ans et 12 jours

Covid-19 : réussir et conforter la reprise d'activité dans Le Bâtiment et les Travaux Publics

Dans toute la France, les chantiers reprennent progressivement. Avec l'ensemble de la filière, il est désormais essentiel de lever les derniers freins logistiques et de rechercher ensemble les solutions économiques favorables à une reprise plus durable. Depuis plusieurs semaines, la reprise s'organise. Le guide de l'OPPBTP a permis de mettre au point les protocoles sanitaires nécessaires à la réouverture en sécurité des chantiers et la concertation entre la maitrise d'ouvrage, la maitrise d'œuvre et les entreprises pour permettre de relancer progressivement l'activité. Cependant, des freins à une reprise plus large subsistent.Lever les derniers freins logistiques sur l'amont et l'aval de la filièreD'un point de vue logistique, l'approvisionnement en masques demeure encore problématique même si la situation s'améliore grâce à la mobilisation de l'outil de production local et à des initiatives comme celle du Conseil Régional avec une dotation de 100.000 masques destinée aux entreprises du BTP de moins de 20 salariés. Les lieux de distribution seront les Fédérations Départementales du BTP, les CAPEB départementales et la Fédération Régionale des Travaux Publics. L'approvisionnement, les raccordements provisoires de chantiers, l'ouverture des déchetteries restent également des points sur lesquels la filière se mobilise. Renforcer la concertation et la solidarité économiqueLes Organisations Professionnelles du Bâtiment et des Travaux Publics appellent également à la solidarité de la maitrise d'ouvrage pour faire face aux surcoûts de chantiers liés aux nouvelles contraintes imposées par la crise sanitaire. Devant être chiffrées au cas par cas, ces augmentations correspondant au respect des nouvelles préconisations sanitaires et à la réorganisation des chantiers (distanciation sociale, nettoyage des bases vie, achat de masques, de gants, rotations des camionnettes et VUL, mobilisation supplémentaire de personnels, prolongation des frais financiers, baisse de la productivité, etc.). Les entreprises ne pourront pas les absorber seules. Il est indispensable de renforcer cette solidarité, dont font preuve nombre de maitres d'ouvrage depuis la période de confinement, à l'image notamment de la Région Auvergne-Rhône-Alpes qui a annoncé une enveloppe de 15 millions d'euros dédiée aux surcoûts sanitaires de ses chantiers en cours.Soutenir la commande publique localeEnfin, concernant les freins administratifs, deux modifications de l'ordonnance qui prévoyait un gel des autorisations d'urbanisme à l'issue de la période de confinement ont été obtenues ; mais cette évolution demeurerait insuffisante si aucune consigne n'était donnée aux services instructeurs en vue d'accélérer les délais d'instruction. La situation appelle également à la levée des arrêtés municipaux interdisant les travaux pendant la période de confinement, comme il en est apparu dans notre région. Les Organisations Professionnelles appellent au soutien des EPCI et des collectivités et à la bienveillance des citoyens afin d'éviter un retard qui pénaliserait la reprise d'activité et l'emploi local.La crainte d'un essoufflement de la commande publique locale est en effet bien réelle et pourrait se produire au plus mauvais moment. Il est nécessaire de lancer de nouveaux projets pour éviter un « trou d'air », dès la fin de l'été, qui pourrait avoir de lourdes conséquences sur la santé économique de la filière.De ce fait, les Organisations Professionnelles souhaitent que dans les communes qui ont pu élire l'ensemble de leurs conseillers municipaux, l'installation et le fonctionnement des nouveaux Conseils (élection du Maire, désignation des commissions d'appels d'offre et travaux notamment, élection des délégués communautaires) puissent très rapidement être engagés afin de permettre les décisions de travaux nécessaires aux équipements publics. Dans le même objectif, une réflexion doit rapidement s'ouvrir sur le soutien de l'Etat à l'investissement des collectivités locales.Réactiver la commande privéeLa sécurité est une priorité pour les Organisations professionnelles et les entreprises du Bâtiment et des Travaux Publics. Celles qui le pouvaient ont pris les mesures urgentes et spécifiques pour assurer les conditions sanitaires nécessaires à la reprise des travaux. Les Organisations Professionnelles demandent donc aux particuliers qui ne sont pas à risques et aux entreprises d'ouvrir leur porte aux artisans et entreprises du BTP afin qu'ils terminent les travaux initiés ou qu'ils en engagent d'autres... Il en va de la santé économique du BTP et de ses emplois.
Il y a 5 ans et 12 jours

Toutes les solutions d'Owatrol® pour nettoyer et protéger vos bois d'extérieur

Avec sa gamme de nettoyants bois, Owatrol maitrise tous les stades. Il suffit de bien identifier l'étape nécessaire.Rappel : comprendre l'état du boisLes bois ne vieillissent pas tous de la même façon suivant leur exposition, leur finition, leur usage. Ils subissent les UV, les intempéries, l'usure des passages répétés…Certains ont des protections, d'autres pas. Suivant leur état et leur aspect, le diagnostic est différent… L'analyse est une étape cruciale !Tips pour analyser :En présence d'un bois gris et terne ayant simplement vieilli aux intempéries : il faut dégriserEn présence d'un bois noirci, encrassé : il faut déshuilerEn présence d'un bois recouvert d'une ancienne finition très filmogène, type peinture ou lasure : il faut décaper.Actions : nettoyer ou dégriser / déshuiler / décaper : explications, les solutions d'Owatrol®Nettoyer / dégriser :Le bois présente un aspect gris sale, il a en général été laissé aux intempéries sans protection ou bien avec une finition non filmogène. Il a uniquement subi le cycle de vieillissement « eau + UV + pollution », il faut dégriser, c'est l'action du NET-TROL® qui va le faire revivre en quasi instantané !Comment : Il agit sur tous les bois, sa formule en gel facilite son application et son pouvoir ultra mouillant lui permet d'agir en 15 minutes.Le plus :NET-TROL® élimine également les coulures et les traces de tanin sur certains bois (ex : red cedar).Application / 15 minutes d'action / Rinçage à l'eau / Support impeccable comme à l'origine.Déshuiler :Le bois est noirci, encrassé car il a reçu une finition huilée en amont, souvent mal adaptée (huile de lin, voire huile de vidange… !). Les huiles appliquées cuisent sous l'action des UV et avec l'eau s'incrustent pour de bon dans le bois qui noircit en profondeur. Il faut donc désencrasser pour enlever les anciennes huiles : c'est l'action du déshuileur AQUANETT® .Comment : Il rend solubles les huiles incrustées dans le support et laisse, après rinçage et neutralisation, un bois impeccable.Application / 5 minutes d'action / Rinçage à l'eau / Neutralisation / Le support est neuf.Décaper :Dans ce cas, le bois est lasuré ou peint et doit d'abord être débarrassé de ses multiples couches pour que l'on puisse à nouveau travailler dessus. Il faut donc décaper et l'action du DILUNETT® va permettre d'éliminer toutes les anciennes couches de peinture, lasure ou vernis et d'enlever les taches récalcitrantes.Comment : La composition ultra technique du DILUNETT® lui permet d'éliminer jusqu'à 8 couches de peinture. Sans solvant, sans C.O.V, non volatil et ne desséchant pas, il reste actif longtemps garantissant l'élimination totale des différents revêtements.Le plus : DILUNETT® ne se dessèche pas et reste actif longtemps ce qui garantit l'élimination totale des différents revêtements.Il est impératif de neutraliser les supports déshuilés à l'AQUANETT® et au DILUNETT® avec du NET-TROL®.Application / Action jusqu'à 45 minutes si nécessaire / Rinçage / Neutralisation.Le plus Owatrol® : Validation du test de biodégradabilité OCDE 301F : En 2017 Durieu a choisi de valider de façon officielle que ses nettoyants pour les bois extérieurs, rinçables à l'eau, ont un impact négligeable sur l'environnement. Ainsi, NET-TROL® / AQUANETT® et DILUNETT® ont chacun validé la conformité avec le test de biodégradabilité OCDE 301F (NB : ce test, une fois validé, garantit que le rejet de ces produits au moment du rinçage est sans impact négatif pour la nature).Réussir la préparation d'un bois magnifié : choisir de dégriser, déshuiler ou décaper la solution avec les indispensables d'Owatrol® : NET-TROL®, AQUANETT® et DILUNETT®Pour en savoir plus :https://www.owatrol.com/
Il y a 5 ans et 12 jours

Le SERCE propose trois mesures pour réussir la transition énergétique du parc tertiaire

Parmi les recommandations et mesures concrètes déclinées dans cette étude, le SERCE considère que trois leviers sont particulièrement pertinents pour atteindre les objectifs de transition énergétique et climatique portés par la PPE et la SNBC, notamment en lien avec l'amélioration de la performance énergétique des bâtiments tertiaires.Ces leviers d'actions issus des retours d'expérience collectés auprès de ses adhérents depuis plusieurs années visent à permettre une déclinaison opérationnelle de la politique française à la hauteur de ses enjeux.1. Mesurer pour comprendre et maîtriser sa consommation énergétiqueL'étude recommande d'intégrer une obligation minimale d'équipement de suivi des consommations énergétiques qui offrira aux décideurs des outils fiables et pérennes de monitoring énergétique.Le SERCE estime que le sous-comptage des consommations énergétiques offre la possibilité d'auditer en continu les différents postes de consommation afin d'adopter une démarche d'efficacité énergétique personnalisée, agile et tangible.En associant un service d'Energy Management au matériel déployé, de nouveaux projets énergétiques verront le jour en lien avec le niveau de maturité du maître d'ouvrage sur le sujet : cartographie énergétique, qualification des actions de performance énergétique, plan d'actions…2. Proposer des démarches de rénovation énergétique assorties de garanties de performanceLa promotion du Contrat de Performance Énergétique (CPE) est plébiscitée par l'ensemble des acteurs de la filière électrique pour favoriser son recours, en particulier dans la mise en oeuvre du décret sur la rénovation des bâtiments tertiaires.En s'appuyant sur les solutions de comptage, les opérations d'amélioration de la performance énergétique des bâtiments peuvent intégrer un engagement réel et mesurable dans la durée, sous la forme d'un CPE qui peut favoriser la limitation de l'investissement initial.D'après le retour d'expérience de l'OCPE, les CPE “Travaux sur les systèmes” permettent d'atteindre en moyenne 20% d'économie d'énergie (jusqu'à 45% selon les cas) pour des montants d'investissements inférieurs à 200 € HT/m².Le SERCE appelle à la généralisation de ce type d'approche qui peut allier des garanties de performance environnementales portant notamment sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre.3. Accélérer la décentralisation du système électrique afin de pouvoir intégrer massivement les énergies renouvelables et gagner en efficacité.Si l'étude estime qu'il faut “Faciliter l'installation de solutions d'autoconsommation et de pilotage/stockage de l'énergie en levant les freins administratifs et réglementaires”, en annexe, la fiche thématique intitulée “Combiner production locale d'énergie et nouvelles mobilités” va plus loin en affirmant qu'il faut “réévaluer le seuil entre guichet et appel d'offres en cohérence avec les objectifs de la PPE afin de faciliter le déploiement de l'autoconsommation individuelle”.Très concrètement le SERCE demande l'augmentation du seuil de participation au guichet ouvert pour les installations photovoltaïques en autoconsommation en le passant de 100 à 500 kW, ce qui leur permettrait notamment de bénéficier d'un tarif d'achat pérenne sans passer par la procédure complexe des appels d'offres.En effet, les appels d'offres sont des procédures incertaines qui nécessitent d'avoir une année minimum de délai entre la phase de conception et celle de réalisation, ce qui est peu compatible avec les projets de rénovation énergétique réalisés par les entreprises du SERCE.
Il y a 5 ans et 12 jours

Décret tertiaire : l'arrêté "méthode" est paru

REGLEMENTATION. Un arrêté d'application complétant le décret sur les obligations d'économies d'énergie des bâtiments tertiaires vient de paraître au Journal officiel du 23 mai 2020. Il contient notamment des informations sur la manière de déterminer les niveaux des objectifs d'énergie finale à atteindre.
Il y a 5 ans et 12 jours

Le groupe Marc appelle à un «pacte de non-agression» dans les TP

D’ordinaire très discret, le groupe breton de travaux public Marc prend la parole par la voix de son directeur général Romain Lehoux pour interpeller la filière sur un nécessaire « pacte de non-agression » entre les différents acteurs.
Il y a 5 ans et 12 jours

Les géants des centres commerciaux en plein dans la crise

Les deux géants français du secteur, Unibail-Rodamco-Westfield (URW), propriétaire du Forum des Halles à Paris ou de la Part-Dieu à Lyon, et Klépierre, détenteur de Créteil Soleil, ont chacun publié mercredi leurs chiffres trimestriels.Ils détiennent chacun une centaine de grands centres commerciaux à travers plusieurs pays, avec une présence marquée en France. Klépierre est essentiellement actif en Europe alors qu'URW, seule foncière du CAC 40, a aussi un pied aux États-Unis.Pour l'heure, leurs comptes sont peu affectés par la crise du Covid-19, face à laquelle de nombreux pays, comme la France, ont imposé la fermeture de l'essentiel des magasins.Au premier trimestre, les revenus d'URW et Klépierre ont respectivement enregistré une hausse de 1,7% à 790,3 millions d'euros et une baisse de 4,7% à 252,8 millions d'euros.Mais ces évolutions sont trompeuses car le confinement a commencé mi-mars, alors que le trimestre était presque fini."Le Covid-19 n'a eu qu'un effet limité sur les revenus du groupe au premier trimestre car les loyers sont facturés et payés en avance d'un trimestre dans la plupart de l'Europe, et d'un mois aux États-Unis", a souligné URW."L'effet de la pandémie se traduira au deuxième trimestre", a prévenu le groupe, qui devait déjà gérer depuis 2018 la lourde acquisition, pour une vingtaine de milliard d'euros, du groupe Westfield.Dans ce contexte, les deux géants, dont les dirigeants renoncent par ailleurs à une partie de leurs salaires, s'abstiennent de toute prévision chiffrée sur leurs comptes.Ils veillent cependant à prendre un ton rassurant, détaillant par exemple déjà les mesures sanitaires prévues pour rouvrir leurs centres."Bien qu'il soit trop tôt pour estimer l'impact réel de la situation sur nos résultats annuels, nous restons confiants", a assuré dans un communiqué Jean-Marc Jestin, président du directoire de Klépierre, mettant en avant le faible endettement de son groupe ainsi que la "grande qualité" de ses centres.Cas par cas sur les loyers Pourtant, les perspectives des deux géants se sont encore assombries cette semaine en France, avec le discours prononcé mardi par le Premier ministre, Édouard Philippe, pour détailler la sortie du confinement à partir du 11 mai.M. Philippe a confirmé que l'ensemble des commerces devraient rouvrir, à part les bars et les restaurants, mais il a prononcé une exception de taille. Les grands centres commerciaux, soit plus de 40.000 mètres carrés, pourront rester fermés par les préfets, car ils peuvent encourager des clients à venir de loin.Or, c'est justement la stratégie des géants du secteur: se concentrer sur quelques grands centres, avec de riches animations à la clé, pour en faire des lieux de "destination" sur un large rayon.Dans l'immédiat, les grands propriétaires de centres commerciaux préfèrent retenir que la fermeture des gros sites ne sera pas systématique.La fédération du secteur, le CNCC, a ainsi promis jeudi de "comprendre les raisonnements et modes de calcul retenus puis d'apporter les réponses attendues par les préfets".Mais un autre écueil continue à menacer les comptes du secteur. Les fédérations de commerçants insistent pour annuler en masse leurs loyers, y voyant une question de survie.Le gouvernement a obtenu des grands propriétaires qu'ils annulent trois mois de loyers pour les plus petites enseignes, celles de moins de dix salariés, mais c'est loin de satisfaire le secteur du commerce.De leur côté, les propriétaires de centres commerciaux soulignent qu'une annulation massive mettrait en danger leur propre modèle.Le secteur se trouve ainsi face à un paradoxe. S'il rassure sur sa solidité économique, il affaiblit aussi son principal argument pour refuser d'annuler plus de loyers, au moment où l'exécutif a nommé une médiatrice pour calmer la polémique."Klépierre a toujours attaché une importance particulière aux relations d'affaires durables, équilibrées et de long terme qu'il entretient avec les enseignes", promet le groupe français.Il explique étudier au cas par cas les situations de ses locataires, de même qu'URW qui fait plus explicitement état "d'allègement de loyers" pour certaines enseignes, en particulier dans la restauration.
Il y a 5 ans et 12 jours

Wilo-Yonos Maxo puissance éprouvée, régulation et rendement élevé

Puissance et régulationLe circulateur à rotor noyé Wilo-Yonos MAXO est déjà disponible en tant que version simple et double avec un moteur d'une puissance P2=1300 watts. « Grâce à la technologie haut rendement intégrée, les systèmes de chauffage dans les immeubles et les bâtiments fonctionnels de grande taille fonctionnent en économisant jusqu'à 80% de courant de plus qu'avec une pompe non régulée » déclare à ce sujet le responsable de produits Wilo Michael Dieckmann.Wilo étoffe cette gamme circulateurs Wilo-Yonos MAXO avec deux nouvelles références en DN 32 : Wilo-Yonos MAXO 32/0,5-10 PN6/10 (code 2210113) et Wilo-Yonos MAXO 32/0,5-11 PN6/10 (code 2210114). Ces deux nouvelles références sont présentes dans le Wilo-Select 4 et le catalogue en ligne Wilo.« Wilo propose bien plus que des pompes »Wilo va encore plus loin : en plus de produits de haute performance et de haute qualité, le fournisseur de pompes et de systèmes de pompage propose également des services adaptés aux utilisateurs. « Notre assistance s'étend bien au-delà des conseils personnalisés par nos professionnels avant, pendant la planification et après l'installation », affirme Laurent Mennetrier, directeur de la Sesem Division Services Wilo France. « Dans plus de 60 pays, plus de 2.500 techniciens et partenaires Wilo se déplacent sur site et encadrent le service personnalisé à la clientèle. » Wilo accompagne ses clients lors de la mise en service des pompes, notamment par un contrôle de l'installation, une optimisation des réglages et un test de fonctionnement obligatoire. Les forfaits de maintenance personnalisés font également partie du service Wilo, tout comme la réparation sur site ou l'assistance mondiale avec plus de 90 % des pièces de rechange d'origine dans un délai de 24 heures. Wilo franchit également un cap supplémentaire en partageant son savoir-faire technique : « Nos formations sont assurées par des collaborateurs qualifiés et expérimentés et s'adaptent au plus près des besoins de nos clients », souligne Laurent. « Les formations peuvent être effectuées sur site et permettent ainsi non seulement l'échange avec nos partenaires mais aussi entre les participants eux-mêmes. »Performances maximales avec une technologie de pompe fiable« La Wilo-Yonos MAXO garantit également des économies significatives au niveau de la facture d'électricité annuelle, grâce à sa technique à haut rendement », déclare Dieckmann. Cela est rendu possible grâce à une régulation automatique qui adapte en permanence la puissance de la pompe à la demande de chaleur actuelle. « La Yonos MAXO peut ainsi être utilisée de manière extrêmement rentable. » Simultanément, elle est également en mesure de fournir des puissances maximales à tout moment et de manière fiable grâce à sa technique éprouvée et aux puissances du moteur spécifiques à l'application : « Dans ce segment, la Wilo-Yonos MAXO est ainsi également une pompe qui convient parfaitement pour le remplacement de pompes moins efficaces, techniquement dépassées, et moins performantes avec un réglage facile sur trois vitesses» selon Dieckmann.Installation facile grâce à une construction compacteParallèlement, en interaction avec les installations de chauffage, la Wilo-Yonos MAXO apporte de nombreux avantages : « Dès son installation, cette pompe standard se démarque par sa construction particulièrement compacte permettant un montage peu encombrant », explique Dieckmann. « Nous avons également adapté ce modèle au plus près aux besoins et exigences de nos clients. » Nous avons ainsi abouti à des caractéristiques qui rendent l'installation et le fonctionnement de la Yonos MAXO particulièrement confortables : La fiche Wilo amovible permet un branchement électrique rapide et confortable tandis que la commande de la pompe est facilitée grâce à la « technologie du bouton rouge » éprouvée. Le réglage de la hauteur manométrique de consigne à l'aide d'un bouton rotatif s'avère des plus conviviales pour un artisan spécialisé. « De cette manière, les consommateurs finals peuvent se fier à une adaptation individuelle et particulièrement efficace à leur propre installation de chauffage » explique Dieckmann. Pour ce qui est des types de régulation, les pompes Wilo proposent une pression différentielle constante pour les chauffages par le sol ainsi qu'une pression différentielle variable pour les chauffages à radiateurs. Equipement fonctionnel avec écran à LED« La lisibilité et l'efficacité ont été les maîtres mots, et ce également lors de la conception de l'écran à LED. La hauteur manométrique de consigne, les vitesses et les codes de défaut sont affichés à l'utilisateur, des caractéristiques de sécurité améliorent la fiabilité et la longévité de l'installation : le disjoncteur moteur intégré en série protège la pompe, de façon fiable, contre la surchauffe, la surintensité et le blocage » selon Dieckmann. « La disponibilité de l'installation est ainsi également garantie par une fonction de report de défauts centralisé. » Les coquilles d'isolation thermique disponibles en option (sur les pompes simples) minimisent les pertes de chaleur par le corps de la pompe et améliorent ainsi considérablement le rendement. « Nous nous sommes donné comme objectif de « proposer plus que des pompes » explique Dieckmann. « L'orientation sur les exigences de nos clients dans le cadre du développement et de la mise en œuvre est ainsi un élément central. »
Il y a 5 ans et 12 jours

Réussir la reprise en Auvergne-Rhône-Alpes

En Auvergne-Rhône-Alpes, les chantiers reprennent progressivement. Avec l’ensemble de la filière, il est désormais essentiel de lever les derniers freins logistiques et de rechercher ensemble les solutions économiques favorables à une reprise plus durable. Lever les derniers freins logistiques sur l’amont et l’aval de la filièreD’un point de vue logistique, l’approvisionnement en masques demeure encore problématique même si la situation s’améliore grâce à la mobilisation de l’outil de production local et à des initiatives comme celle du Conseil Régional avec une dotation de 100 000 masques destinée aux entreprises du BTP de moins de 20 salariés. Les lieux de distribution seront les Fédérations Départementales du BTP, les CAPEB départementales et la Fédération Régionale des Travaux Publics. L’approvisionnement, les raccordements provisoires de chantiers, l’ouverture des déchetteries restent également des points sur lesquels la filière se mobilise. Renforcer la concertation et la solidarité économiqueLes Organisations Professionnelles du Bâtiment et des Travaux Publics appellent également à la solidarité de la maitrise d’ouvrage pour faire face aux surcoûts de chantiers liés aux nouvelles contraintes imposées par la crise sanitaire. Devant être chiffrées au cas par cas, ces augmentations correspondant au respect des nouvelles préconisations sanitaires et à la réorganisation des chantiers (distanciation sociale, nettoyage des bases vie, achat de masques, de gants, rotations des camionnettes et VUL, mobilisation supplémentaire de personnels, prolongation des frais financiers, baisse de la productivité, etc.). Les entreprises ne pourront pas les absorber seules. Il est indispensable de renforcer cette solidarité, dont font preuve nombre de maitres d’ouvrage depuis la période de confinement, à l’image notamment de la Région Auvergne-Rhône-Alpes qui a annoncé une enveloppe de 15 millions d’euros dédiée aux surcoûts sanitaires de ses chantiers en cours. Soutenir la commande publique localeEnfin, concernant les freins administratifs, deux modifications de l’ordonnance qui prévoyait un gel des autorisations d’urbanisme à l’issue de la période de confinement ont été obtenues ; mais cette évolution demeurerait insuffisante si aucune consigne n’était donnée aux services instructeurs en vue d’accélérer les délais d’instruction. La situation appelle également à la levée des arrêtés municipaux interdisant les travaux pendant la période de confinement, comme il en est apparu dans notre région. Les Organisations Professionnelles appellent au soutien des EPCI et des collectivités et à la bienveillance des citoyens afin d’éviter un retard qui pénaliserait la reprise d’activité et l’emploi local.La crainte d’un essoufflement de la commande publique locale est en effet bien réelle et pourrait se produire au plus mauvais moment. Il est nécessaire de lancer de nouveaux projets pour éviter un « trou d’air », dès la fin de l’été, qui pourrait avoir de lourdes conséquences sur la santé économique de la filière.De ce fait, les Organisations Professionnelles souhaitent que dans les communes qui ont pu élire l’ensemble de leurs conseillers municipaux, l’installation et le fonctionnement des nouveaux Conseils (élection du Maire, désignation des commissions d’appels d’offre et travaux notamment, élection des délégués communautaires) puissent très rapidement être engagés afin de permettre les décisions de travaux nécessaires aux équipements publics. Dans le même objectif, une réflexion doit rapidement s’ouvrir sur le soutien de l’Etat à l’investissement des collectivités locales. Réactiver la commande privéeLes Organisations Professionnelles demandent aux particuliers qui ne sont pas à risques et aux entreprises d’ouvrir leur porte aux artisans et entreprises du BTP afin qu’ils terminent les travaux initiés ou qu’ils en engagent d’autres… Il en va de la santé économique du BTP et de ses emplois.
Il y a 5 ans et 12 jours

Le plan de relance tourné vers l’investissement durable de l’AIMCC

Le plan de reprise et de relance élaboré par l’AIMCC, en tant qu’animatrice du Comité stratégique de filière « Industries pour la construction », se base sur une conviction forte…Cet article Le plan de relance tourné vers l’investissement durable de l’AIMCC est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 5 ans et 12 jours

Les Offices Publics de l’Habitat préparent la relance

Pour la Fédération nationale des Offices Publics de l’Habitat , la crise sanitaire actuelle est inédite et met davantage en avant les inégalités sociales. Elle rend visible et palpable, dans l’espace public et dans l’opinion, les difficultés quotidiennes que rencontrent plusieurs millions de concitoyens, la fragilité des services publics mais aussi la mobilisation massive de ceux qui les animent, ainsi que les faiblesses d’un modèle socio-économique. La crise sanitaire a le mérite de mettre en lumière les progrès qu’il reste à accomplir (personnes sans logement, logements insalubres ou surpeuplés…) pour que le droit au logement digne soit effectif pour tous. Deux axes principaux sont à explorer : aboutir à une relance socialement juste, et faire que cette relance irrigue tous les territoires en favorisant la transition écologique et la qualité des logements. Cette dynamique positive devra être accompagnée par l’État, garant de la solidarité nationale en lien avec les collectivités, garantes de la mise en œuvre concrète des politiques de l’habitat. Une relance socialement justePour répondre à cet axe, la FOPH propose différentes actions : la revalorisation de l’APL au-delà de l’inflation ;l’abondement par le budget de l’État des FSL départementaux ou métropolitains les plus sollicités ;la suspension des expulsions pour dette de loyers jusqu’au printemps 2021 ;l’accompagnement individualisé de chaque locataire en difficulté économique et sociale ;la reconnaissance du logement social comme un bien de première nécessité en lui appliquant la TVA à 5,5% sur tous les investissements, soit un gain de 4.000 à 7.000 euros par logement construit. Ce sont ces fonds propres supplémentaires qui dans un premier temps couvriront les surcoûts liés à la crise sanitaire et qui favoriseront une reprise rapide des chantiers, pour ensuite permettre d’accroître les investissements. Le coût estimé pour les finances publiques s’élève à 250 millions par an pour les PLUS, 150 millions pour les PLS. Une relance qui passe par la reprise des chantiersDepuis quelques jours, les chantiers ont repris progressivement. Pour réussir la relance, il est nécessaire de préserver les agents économiques privés et publics. Construire et réhabiliter permettra de contribuer à préserver les PME du bâtiment, présentent sur de nombreux territoires : 94% des communes comptent au moins une de ces entreprises ou artisans. Il sera également nécessaire de le faire plus massivement pour répondre aux besoins quantitatifs de logements et en proposant des logements aux normes environnementales élevées. De nombreux offices devront aussi rénover des logements pour en accroître les qualités de confort et de performances énergétiques. Pour la FOPH, la suppression de la baisse des APL payée par les loyers des locataires serait une mesure simple pour permettre aux HLM de récupérer immédiatement 6% d’autofinancement, soit pour les offices environ 600 millions d’euros, et pour conforter l’État dans son rôle de garant de la solidarité nationale.Cependant, d’autres mesures sont proposées qui évitent le recours à l’endettement, un endettement qui a beaucoup crû avec les mesures « dites » d’accompagnement de la RLS. Parmi les nouvelles mesures, sont attendues: un soutien financier renforcé sous forme de subvention aux projets portés dans le cadre de l’ANRU pour accroître le nombre de reconstructions, de réhabilitations lourdes et les restructurations du patrimoine,une augmentation du nombre de logements réhabilités pour accélérer leur amélioration thermique et leur qualité d’usage. Pour les offices, une première étude issue des mémentos prévisionnels (outils de recensement des PSP des offices) montre que les offices pourraient accroître de 50% le nombre de logements réhabilités chaque année (50 000 en moyenne par an pour un montant moyen au logement de 23 000 euros entre 2014 et 2018) et donc atteindre 75 000 logements par an à partir de 2021/2022, si entre 150 millions et 200 millions de subventions supplémentaires peuvent être injectées chaque année,plus spécifiquement pour les offices, autoriser les collectivités locales à souscrire des titres participatifs de leur office pour accroître leurs investissements au bénéfice des habitants de ces mêmes collectivités. Une relance qui passe par des investissementsChaque année, les Offices Publics de l’Habitat lancent en moyenne 50 000 ordres de service pour des interventions de plus de 5 000 euros par logement. Le coût moyen de ces interventions est de 22,6K€ par logement, soit un engagement d’investissement moyen de 1,1 milliard par an. Plus de 220 000 ordres de services sont également lancés pour des interventions plus légères (moins de 1 200 euros par logement en moyenne), pour un engagement d’investissement moyen de 260millions d’euros. L’investissement total engagé atteint ainsi en moyenne 1,4 milliard par an.
Il y a 5 ans et 12 jours

Icade annonce une baisse de 10% de son C.A. au 1er trimestre, déjà affecté par le Covid-19

"Les secteurs de l'immobilier et du bâtiment connaissent des perturbations dont certaines ont impacté notre activité de promotion dès le premier trimestre", a indiqué le groupe dans un communiqué.L'activité de promotion est en recul de 31,9%, à 101,1 millions d'euros."Après un début d'année marqué par une dynamique commerciale positive, Icade Promotion a constaté depuis mi-mars, un arrêt de la quasi-totalité de ses chantiers et une baisse très significative de la commercialisation et des ventes", a ajouté le groupe.Icade, à la fois actif comme foncière et promoteur, avait suspendu le 23 mars ses objectifs 2020.Les revenus locatifs de ses foncières ont progressé de 7,8%, à 169 millions d'euros.Concernant le renoncement à un trimestre de loyers des petites entreprises à l'arrêt à cause du coronavirus, sur injonction du gouvernement, Icade a indiqué que ces TPE "représentent moins de 2% des revenus locatifs de la Foncière Tertiaire" et s'attend à une perte correspondante "de l'ordre de 2,2 millions d'euros".
Il y a 5 ans et 12 jours

Maison ultra-contemporaine avec des lignes épurées, de larges ouvertures et une prouesse technique

On découvre, derrière des murs de clôture en pierres dorées, une maison aux lignes élancées, aux volumes cubiques avec 2 étages superposés en porte-à-faux, et aux façades totalement vitrées. A l'intérieur, une décoration élégante et chaleureuse, une lumière éclatante, des volumes généreux où l'intérieur et l'extérieur se confondent grâce aux baies vitrées toute hauteur.Caractéristiques techniquesMaison ultra-contemporaine Surface habitable : environ 290 m² de surface habitable. 5 chambres, salle d'eau dans chaque chambre, dont une suite parentale au rez-de-chaussée avec salle de bain et dressing.Conception bioclimatique : forme compacte de la maison ; orientation plein sud, peu d'ouvertures et espaces tampons au nord ; pièces à vivre au sud ; baies vitrées toute hauteur sur toute la façade sud afin de capter au maximum la chaleur et la lumière naturelle (chaleur passive), débord de toiture calculé pour éviter la surchauffe en été et laisser pénétrer le soleil en hiver pour une chaleur passive.Structure : Béton + isolation intérieureToiture : Toiture terrasse entièrement végétaliséeMenuiseries : Aluminium, double vitrage 8 / 16 / 4 mm remplissage Argon, faible émissivité, rupteurs de ponts thermiquesChauffage : aérothermie (PAC) air/eau Daikin, chauffage au sol, production d'eau chaude sanitaire intégré système de chauffage principal de la maison.Ventilation : double flux
Il y a 5 ans et 12 jours

Dossier : 6 films d'architecture à voir d'urgence !

Ouvrages iconiques, égos gonflés à bloc, critiques et émotions, les angles et sujets des films d’architecture ne manquent pas. Et alors que nous sommes tous coincés à la maison, pourquoi ne pas en profiter pour accroître sa culture en la matière ? Un temps propice à la diffusion de grands reportages d’architecture dont la rédaction de Muuuz ne cesse de se délecter. Du touchant Esquisses de Frank Gehry à la très instructive série « Architectures » d’ARTE en passant par l’OVNI The Competition, retrouvez des maintenant notre sélection de six films à voir et revoir. Sydney Pollack, Esquisses de Frank Gehry, 2006 Connu pour avoir réalisé le film Out of Africa en 1985, l’acteur et cinéaste américain Sydney Pollack réalise son premier documentaire et son dernier film en 2006 avec Esquisses de Frank Gehry [Sketches of Frank Gehry]. Alors que Sydney Pollack n’est pas spécialisé en documentaire ni en architecture, le très célèbre architecte Frank Gehry confie à son ami la réalisation d’un documentaire sur son travail. Ce documentaire rend bien compte du processus de création et de l’approche architecturale de Frank Gehry, mais les entretiens entre les deux amis, qui ponctuent le film, témoignent de la partialité du réalisateur. . Kaspar Astrup Schröder, Big Time, dans la tête de Bjarke Ingels, 2017Le documentaire Big Time, dans la tête de Bjarke Ingels réalisé par le Danois Kaspar Astrup Schröder dresse le portrait intime de l’architecte danois Bjarke Ingels, surnommé Big. Résultat de sept années d’enquête, le film retrace les péripéties professionnelles et les états d’âme de ce génie de l’architecture contemporaine. Bien que le documentaire aux allures de biopic ait suscité des réactions controversées à sa sortie, il a au moins le mérite de nous plonger véritablement « dans la tête de Bjarke Ingels ». . Gilles Coudert, L'Esprit Le Corbusier, 2018Réalisé par le cinéaste Gilles Coudert et raconté par l’acteur Charles Berling, L’Esprit Le Corbusier réunit des témoignages de plusieurs acteurs du monde de l’art et le récit de l’adolescence du réalisateur à Firminy. Ce documentaire singulier vaut pour son approche sensible, car il invite à découvrir Le Corbusier à travers des points de vue critiques divers. Il propose ainsi d’appréhender ce qui se joue dans les édifices mêmes de l’architecte suisse. . Angel Borrego Cubero, The Competition, 2008Le documentaire réalisé par l’architecte madrilène Angel Borrego Cubero a tout du drame contemporain. Mettant en scène les plus grandes vedettes de la profession dans un combat acharné, le reportage suit de près le concours de l’élaboration du Musée national d’Andorre. Charrettes, bataille d’égo et projets tous plus fous les uns que les autres, tel est le beau programme proposé par Cubero. Un film introuvable que la rédaction de Muuuz se fait un plaisir de vous résumer. .ARTE, La collection « Architectures »Proposée par le duo Richard Copans et Stan Neumann, la collection « Architectures » retrace l’Histoire de l’Architecture à travers des films de 26 minutes, tous consacrés à un bâtiment iconique allant de l’Antiquité jusqu’aux créations contemporaines. Diffusés sur Arte, ces mini-reportages décortiquent et vulgarisent la conception d’un ouvrage phare architectural, des « fondations jusqu’aux couvertures ». Une série incontournable de la discipline à retrouver en 9 volumes qui promet de nous faire voyager en ces temps de confinement. . Jean-Luc Godard, Opération Béton, 1955Axé sur la phase béton de la construction du Barrage de la Grande-Dixence, le documentaire signé Jean-Luc Godard décline tous les codes qui ont fait la renommé du grand cinéaste : modernité brute, poésie, musicalité et plans inédits. De quoi accroître sa culture architecturale et cinématographique d’une seule traite ! . La Rédaction
Il y a 5 ans et 12 jours

Relance mondiale : la Francophonie plaide pour la biodiversité

Du Québec à la Côte-d’Ivoire en passant par la France, « tous les accents de la Francophonie » s’accordent pour défendre la place de la biodiversité dans la relance mondiale, relève Sébastien Treyer, directeur général de l’institut pour le développement durable et des relations internationales. 800 webinaristes ont réfléchi aux moyens de maintenir le cap d’une reconstruction du monde qui passe par la restauration des écosystèmes, le 30 avril à l’initiative de cette organisation.
Il y a 5 ans et 15 jours

Après le déconfinement, tous à vélo ?

Avec le confinement, le trafic automobile s'est réduit comme peau de chagrin. Bogota, Berlin, Oakland, New York et d'autres en ont profité pour aménager des pistes cyclables provisoires, fermer des axes au trafic motorisé non résidentiel ou encourager leurs habitants à se déplacer en petite reine pour respecter la distanciation sociale.Plusieurs agglomérations françaises veulent suivre leur exemple pour l'après-déconfinement."Les gens vont avoir psychologiquement du mal à s'agglutiner dans les trams, bus ou métros" par crainte de transmission du virus, relève Pierre Serne, président du Club des villes cyclables, une association de collectivités locales qui promeut l'usage du vélo.Le recours à la voiture individuelle serait une mauvaise solution, créant une congestion des villes et relançant la pollution atmosphérique.La pollution aux particules fines, issue notamment du trafic routier, augmente la mortalité liée au coronavirus, selon des chercheurs de l'université Harvard (États-Unis). D'autres se demandent si ces particules peuvent transporter le virus.Espaces piétons et pistes cyclablesEn région parisienne, où l'usage du vélo a bondi depuis la grève qui a paralysé les transports publics fin 2019, il serait possible "de passer de 400.000 à 800.000" personnes à vélo par jour, estime la présidente de la région Valérie Pécresse.Pour y parvenir, elle travaille "avec le RER-vélo", un collectif d'associations qui a imaginé neuf lignes cyclables, jusqu'à Mantes-la-Jolie ou Melun, des villes situées à 50 km de la capitale. L'idée est d'"expertiser tout ce qu'on peut faire, très rapidement", explique Mme Pécresse.Paris, qui a déjà multiplié les pistes cyclables, compte "favoriser les déplacements domicile-travail" à vélo après le déconfinement, indique l'adjoint à la mairie en charge des transports, Christophe Najdovski.Cela passera par "des aménagements légers, peu coûteux, rapides à mettre en oeuvre, sécurisés et réversibles" sur la chaussée d'habitude réservée aux voitures et aux deux-roues motorisés, poursuit-il.La métropole de Lyon (est) veut aménager "de nouveaux espaces piétons et de nouvelles pistes cyclables" avec des "modulations possibles en fonction des horaires", dit David Kimelfeld, président de la métropole.Grenoble (est), Montpellier (sud) ou Rennes (ouest) prévoient aussi d'accélérer leurs plans vélo.Concrètement, le centre d'études Cerema suggère de "réduire le nombre de voies motorisées", de quatre à deux par exemple, d'"élargir les aménagements cyclables existants" et de "modifier le plan de circulation".L'enjeu ne concerne pas que les centres-villes mais aussi "des voiries plus interurbaines ou périurbaines", souligne Pierre Serne, qui prend l'exemple d'hôpitaux excentrés où des soignants vont travailler à vélo.Pour la Fédération des usagers de la bicyclette (FUB), il est primordial d'installer ces pistes cyclables provisoires sur des axes entiers, pas seulement des tronçons isolés, de les accompagner de parkings à vélo provisoires et d'en installer qui suivent le tracé de lignes de métro."Il faut vraiment sécuriser les infrastructures" pour que les cyclistes se sentent en sécurité, insiste Olivier Schneider, président de la FUB, et pas seulement avec un simple marquage au sol.Réparer les vieux vélosUn autre enjeu est d'équiper les gens en vélos. En plus des primes existantes pour acheter des vélos électriques et des vélos cargo, la FUB défend l'idée d'un chèque de 100 euros pour "financer la remise en état de vélos" qui sommeillent aujourd'hui dans des caves ou de bourses à vélos d'occasion, dans le respect des gestes barrière.Pourquoi ne pas rendre gratuits les systèmes de vélo en libre-service "et les étendre encore plus", suggère Joël Hazan, expert au Boston Consulting Group (BCG), pour qui le maintien du télétravail fait également partie de la solution.En attendant, les déplacements à vélo sont autorisés pendant le confinement, sauf pour du sport, rappelle le président de la FUB. Il demande aux préfets qui ont fermé des pistes cyclables pendant le confinement de les rouvrir.
Il y a 5 ans et 15 jours

Tribune. « La taille et la qualité des logements, c’est le vaste chantier auquel nous devrons tous nous atteler »

Il est impératif de mettre un terme à la course à l’habitat minimum, estiment les architectes François Leclercq, Jacques Lucan et Odile Seyler dans.. Cet article Tribune. « La taille et la qualité des logements, c’est le vaste chantier auquel nous devrons tous nous atteler » est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 15 jours

Covid-19 : guide de recommandations sanitaires de l'UNICEM pour les entreprises de la filière matériaux

L'UNICEM comprend et soutient la volonté gouvernementale de maintenir une activité industrielle. Dans cet objectif, elle publie pour les entreprises de la filière « matériaux » un guide de recommandations sanitaires.Toujours au plus près de ses adhérents depuis le début de la crise, l'UNICEM maintient un dispositif opérationnel de soutien tant au niveau national que régional. Elle est associée aux équipes du gouvernement qui œuvrent pour soutenir les entreprises restées fonctionnelles et permettre un redémarrage rapide et coordonné de l'activité dans le secteur du BTP. L'UNICEM relaie auprès du gouvernement les difficultés concrètes rencontrées par ses entreprises adhérentes, région par région, afin que des solutions opérationnelles puissent y être apportées dans les meilleurs délais.Les entreprises adhérentes de l'UNICEM restent à l'écoute de leurs clients. Si certaines d'entre elles se sont arrêtées, c'est principalement parce que leurs commandes se sont effondrées. Elles sont en capacité d'accompagner la reprise, moyennant la mise en place d'une organisation du travail adaptée aux exigences de la situation sanitaire.L'ensemble des syndicats membres de l'UNICEM1 a ainsi collaboré à la rédaction de recommandations communes spécifiques au Covid-19, permettant, par leur mise en œuvre, d'assurer des conditions de travail protégeant les collaborateurs des entreprises de la filière.Ces recommandations communes ont été élaborées avec le concours des organismes de prévention (PREVENCEM et CERIB) et discutées paritairement avec l'ensemble des organisations syndicales représentatives des salariés. La CFDT a choisi de les valider aux côtés des organisations professionnelles d'employeurs. Elles viennent de recevoir l'agrément des Ministères de la Transition écologique et solidaire et du Travail, dans leurs domaines de compétences respectifs.Afin de prendre en compte les spécificités des syndicats professionnels membres, ces recommandations communes sont complétées par des recommandations propres à chaque filière. L'ensemble permet ainsi de décliner des guides de bonnes pratiques pour chaque métier.Pour Nicolas Vuillier, Président de l'UNICEM : « La validation des recommandations communes par les instances gouvernementales est une bonne nouvelle pour nos entreprises. Elles viennent en effet compléter les mesures déjà mises en œuvre sur les sites encore en activité et aideront le plus grand nombre à se mettre en ordre de marche pour répondre à la reprise attendue des chantiers du bâtiment et des travaux publics. Je remercie tous ceux qui ont activement contribué à la réalisation et validation de ce guide adapté à nos métiers ».Les guides sont disponibles sur le site Internet de l'UNICEM. 1 Ces syndicats représentent les industries des granulats (UNPG), des roches ornementales et de construction (SNROC), de la chaux (UP'CHAUX), du plâtre (SNIP), des minéraux industriels (MI-F) et de valorisation des déchets inertes (UNEV), les activités de béton prêt à l'emploi (SNBPE) et de pompage (SNPB), les activités des mortiers industriels (SNMI) et adjuvants, agents de démoulage et produits de cure (SYNAD).
Il y a 5 ans et 15 jours

Comment fonctionne un garde meuble ?

Un garde meuble, comment ça marche ? Nous sommes tous confrontés un jour à des déménagements pour des raisons professionnelles ou personnelles. Pour conserver nos affaires ou nos outils de travail intactes et en toute sécurité, la meilleure solution est de faire recours à un garde-meuble. Dans cet article, vous trouverez plus d’informations sur le fonctionnement d’un garde-meuble et comment ces lieux de stockage peuvent aider les artisans à stocker leur matériel en ville. Il s’agit d’un espace de stockage idéal pour les artisans opérant dans les centres villes, où il peut parfois être très compliqué de trouver un entrepôt. Entrepôt de stockage pratique et sécurisé Lors des travaux de rénovation d’une maison, d’un sinistre ou d’un déménagement, il se peut que nous ne trouvions pas d’espace pour mettre à l’abri nos affaires surtout les meubles. Pour garder les affaires intactes dans un endroit sécurisé, la meilleure alternative est de louer un garde-meuble qui se trouve non loin de chez soi. Ce choix est avantageux du fait de la diversité des offres en fonction du volume de stockage et de la durée de location selon vos besoins et vos budgets. En effet, les garde-meubles se trouvent dans des locaux hautement sécurisés, équipés de caméra vidéosurveillance, de dispositif d’alerte incendie, d’un contrôle d’accès par code, d’alarmes et parfois de vigile. Mais il n’y a pas que le lieu qui est sécurisé, les biens stockés bénéficient des meilleures conditions de stockages pour qu’ils restent intacts même après un long bout de temps. La ventilation et la température dans les garde-meubles y sont optimales. Il existe sur le marché deux grands types de garde-meuble en fonction de vos besoins. Il y a les garde-meubles classiques qui ne sont accessibles que sur rendez-vous et les self-stockages qui sont accessibles à tout moment. Bien évidemment, le self-stockage est le plus prisé de tous en raison de sa flexibilité bien que son prix soit plus coûteux. Comment choisir un garde-meuble ? Avant de louer un garde-meuble, vous devez avant tout choisir le lieu et la date de location qui correspondent à vos besoins. Le lieu est un choix stratégique, il ne devrait pas se trouver trop éloigné de votre domicile pour faciliter les déplacements en cas de besoin et pour limiter les frais. Si vous résidez en Isère (38), vous pouvez choisir une location de box à Grenoble. Pour dénicher le tarif le moins cher, il est possible de comparer les prix sur le net, à vous de choisir le garde-meuble adapté à votre budget. Votre choix s’orientera sur la taille, l’accessibilité, la sécurité et la qualité du garde-meuble. Certaines agences d’entrepôt de stockage proposent des box personnalisés selon la surface souhaitée, généralement de 1 à 50 m². Concernant l’accessibilité, les self-stockages sont plus flexibles, parfois 7 J/7 et 24 h/24. La sécurité et la qualité sont les critères qui différencient les garde-meubles d’une cave ou d’un garage. Plus vos affaires sont précieuses et valeureuses, plus vous devez donner plus de considération à la sécurité. Le coût de location dépend aussi de la zone géographique du garde-meuble, plus elle se trouve en ville, plus elle est chère. Pour vous donner une idée du coût de la location, à Paris, il faut débourser en moyenne 216 par mois le 12 m², à Bordeaux 173 euros et à Rennes 130 euros. Pendant les périodes de haute saison, les prix peuvent grimper en raison du nombre de la demande.
Il y a 5 ans et 15 jours

Covid-19 : l'office HLM de Bobigny défavorable à l'annulation des loyers d'avril

"Les équilibres financiers précaires (...) de même que le manque de bases légales, ne permettent pas l'exonération des loyers", a alerté Jonathan Berrebi, le président de l'OPH, dans un courrier du 29 avril adressé aux locataires.La ville de Bobigny s'était engagée la semaine dernière à annuler l'ensemble des loyers du mois d'avril pour tous les locataires de cet office public, évoquant une première en France pour "privilégier le pouvoir d'achat des familles".En mettant en péril les finances du bailleur, déjà soumis à un plan de redressement, son impact serait "considérable", insiste M. Berrebi. Il souligne que, "si une telle décision devait être mise en œuvre", elle doit obtenir l'aval du conseil d'administration.Dans un courrier daté du 28 avril, et dont l'AFP a eu copie jeudi, dix membres de ce conseil demandent la tenue rapide d'un conseil d'administration extraordinaire, à distance. "Cette proposition doit faire l'objet d'un débat", écrivent-ils.Parmi les élus signataires se trouvent le maire UDI sortant Stéphane de Paoli et le candidat de la majorité, Christian Bartholmé, arrivé en deuxième position au premier tour des élections municipales de mars.La ville de Bobigny s'est engagée à assumer 50% de cette exonération, pour un coût total de 1,6 million d'euros. Cette décision devra également faire l'objet d'un vote lors du prochain conseil municipal.Mais elle avait expliqué que la charge restante devait être assumée par l'OPH en utilisant "tous les leviers" à sa disposition, comme le report des travaux qui ne peuvent être réalisés en période de confinement."Il est infondé d'affirmer qu'aucun échange entre la municipalité et le président de l'office HLM n'ait eu lieu préalablement" à cette annonce, a déclaré la ville de Bobigny, arguant que des échanges écrits entre les deux parties allaient dans ce sens."Nous maintenons notre engagement", a-t-elle conclu.Face à la crise sanitaire, qui complique la situation économique de nombreux ménages, plusieurs bailleurs sociaux franciliens proposent à certains locataires en difficulté des reports de loyers ou des plans d'étalement. Mais à ce stade aucun n'a opté pour une annulation massive de loyers.
Il y a 5 ans et 16 jours

Récession confirmée pour l'économie française après un premier trimestre désastreux

Le produit intérieur brut français s'est contracté de 5,8% au premier trimestre, selon une première estimation dévoilée jeudi par l'Institut national de la statistique (Insee).Début avril, la Banque de France avait évalué ce recul à environ 6%.Il s'agit en tout état de cause de la baisse la plus forte dans l'historique des évaluations trimestrielles du PIB débuté en 1949. Et elle dépasse largement les reculs du premier trimestre de 2009 (-1,6%), dans la foulée du début de la crise financière de 2008, ou du deuxième trimestre de 1968 (-5,3%), marqué par les mouvements sociaux du mois de mai, précise l'Insee.Après le recul de 0,1% enregistré au dernier trimestre 2019, ce nouveau chiffre confirme que la France est bien entrée en récession.La chute de l'activité "est principalement liée à l'arrêt des activités +non essentielles+ dans le contexte de la mise en place du confinement à partir de la mi-mars", pour endiguer l'épidémie de Covid-19, explique l'Insee.L'économie est comme "un organisme placé sous anesthésie" et qui "n'assure plus que ses fonctions vitales", indiquait la semaine dernière l'Institut. "La moitié des salariés se trouvaient, fin mars, dans une entreprise dont l'activité s'est arrêtée ou a diminué de plus de moitié"."Les mesures de confinement mises en place le 17 mars se sont traduites par une chute sans précédent de la consommation de l'investissement et du solde commercial en mars", analyse l'assureur-crédit Euler Hermes dans une note.A premier trimestre, et malgré un début d'année plutôt positif, la consommation des ménages a ainsi reflué de 6,1%, alors que de nombreux commerces, les restaurants ou encore les cafés, ont été fermés sur décision du gouvernement. Sur le seul mois de mars, elle a plongé de 17,9%.L'investissement a reculé de 11,8% et le commerce extérieur s'affiche lui aussi en repli: -6,5% pour les exportations et -5,9% pour les importations.L'Insee ne publie pas de prévision pour l'ensemble de l'année 2020 mais elle a estimé que chaque mois de confinement amputerait la croissance de 3 points sur un an.Le gouvernement table lui à ce stade sur une chute du PIB de 8% cette année, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire ayant répété que la crise aurait un impact comparable à la grande dépression de 1929."Il faut être lucide sur le fait qu'une fois que le choc a été absorbé" il y a un risque de "multiplication des faillites" d'entreprises, d'impact "sévère" sur l'emploi, et de perte de marchés à l'export de la France, a-t-il prévenu mercredi.Déjà, les inscriptions à Pôle emploi ont connu une hausse historique en mars, après seulement deux semaines de confinement."cataclysmique"Le recul du premier trimestre "est un chiffre très impressionnant mais c'est presque une mise en bouche malheureusement qui nous prépare à un deuxième trimestre cataclysmique avec un mois et demi de confinement (...) et un déconfinement très progressif", a déclaré à l'AFP Mathieu Plane, économiste à l'OFCE.Pour tenter de limiter les dégâts, le gouvernement a lancé un plan de soutien massif de 110 milliards d'euros pour les entreprises et les salariés, ainsi qu'un dispositif de garanties de crédits jusqu'à 300 milliards.Malgré cela, le Premier ministre Edouard Philippe a mis en garde contre "le risque de l'écroulement" de l'économie française en annonçant mardi un déconfinement progressif à partir du 11 mai.Ce déconfinement est attendu avec une certaine impatience par de nombreuses entreprises, malgré les difficultés qui s'annoncent pour garantir des conditions de sécurité maximales.Le ministre de l'Economie a lui appelé "un maximum de Français" à reprendre le travail dès le 11 mai.La reprise "prendra du temps" en l'absence d'un retour à la normale immédiat de l'activité et de la prudence attendue de la part des ménages et des entreprises, a de son côté prévenu l'Insee.Le gouvernement planche déjà sur un plan de relance pour la rentrée, afin de stimuler la consommation et apporter une aide spécifique aux secteurs les plus touchés par la crise, en particulier le transport aérien, l'automobile ou le tourisme.
Il y a 5 ans et 16 jours

Covid-19 : cas concrets de reprise avec des chantiers de rénovation énergétique

Hellio s'engage aux côtés de ses entreprises partenaires en réalisant un tour de France pour les accompagner sur le terrain et leur apporter son soutien logistique avec la fourniture de matériel.Parmi elles, LMD Calorifuge et K&S RENOV HABITAT ont ainsi pu réaliser il y a quelques jours le calorifuge des réseaux hydrauliques, l'isolation des points singuliers en chaufferie, et l'isolation des planchers bas pour l'ensemble d'une copropriété à Boissy-Saint-Léger (94).« Afin d'anticiper la reprise du secteur qui s'annonce très importante, Hellio soutient l'activité sécurisée de nos artisans qui ont le matériel et qui peuvent travailler en toute sécurité », souligne Christophe Février, président et fondateur d'Hellio. « Rappelons que la reprise des chantiers d'économies d'énergie est une priorité pour le ministère de la Transition écologique et solidaire ».Dans le Val d'Oise, LMD Calorifuge, société créée en 2011 spécialisée en travaux de calorifuge et d'isolation de points singuliers, et KS RENOV Habitat, créée en 2014 spécialisée en isolation des planchers bas, ont décidé de poursuivre leur activité en adaptant leurs habitudes de travail. Ces entreprises sont partenaires d'Hellio depuis 5 ans, spécialiste des économies d'énergie de l'habitat qui accompagne les ménages dans leurs projets de rénovation énergétique, du conseil à la réalisation, en passant par leur financement.Continuité des chantiers dans le respect des consignes sécuritairesPour ces deux entreprises qui emploient chacune une dizaine de salariés, la continuité de leur activité était une nécessité :« Le Covid-19 aujourd'hui, cela représente 90% de baisse d'activité pour nos structures. Depuis la mi-mars nous n'avons fait que 3 chantiers, comparé aux 20 chantiers que nous aurions faits habituellement sur cette période », témoigne Mickaël Schmidt, gérant de LMD Calorifuge et KS RENOV HABITAT.Et sur le terrain, lors des interventions, plusieurs précautions sont prises pour assurer la sécurité des collaborateurs et des clients, dans le respect des gestes barrières et des consignes sanitaires transmises par l'OPPBTP.« Nos travaux se déroulant dans les parties communes des bâtiments, nous veillons à désinfecter toutes les poignées de porte qui ont été touchées. Nous demandons à nos collaborateurs de respecter absolument la distance de sécurité d'un mètre cinquante. Nous nous assurons également qu'ils se déplacent de manière individuelle, c'est-à-dire que lorsque deux opérateurs doivent se rendre sur un même chantier, ils doivent venir chacun avec leur camion pour ne pas être confinés dans le même véhicule », précise Mickaël Schmidt.Le principal frein vient du côté des copropriétaires qu'il faut réussir à convaincre afin de pouvoir réaliser les travaux :« Nous menons en amont un grand travail pédagogique afin de leur expliquer qu'il n'y aura pas de coexistence entre eux et nos salariés. Une fois que ces chantiers sont terminés, les membres du conseil syndical et les copropriétaires sont très contents de la réalisation des travaux qui ont pu se dérouler durant ce temps-là. »Soutien et évaluation de la situation des entreprises partenaires par HellioAfin de soutenir l'activité de ses entreprises partenaires et de veiller à leur sécurité, Hellio a entrepris un tour de France des chantiers qui ont repris.L'objectif : évaluer les freins de l'activité, soutenir les professionnels partenaires et les accompagner dans la reprise par une série de mesures de terrain : numéro vert dédié, lettre d'information hebdomadaire sur l'actualité fiscale et comptable du secteur, réorganisation des carnets de commande, fourniture de matériel sanitaire (gel hydro alcoolique, blouses et masques) et de travail (fourniture d'isolant, mise à disposition de véhicules de courtoisie, etc.).« En tant qu'entrepreneur, cela me tient à coeur d'être sur le terrain pour soutenir et évaluer la situation de nos entreprises et artisans partenaires. Hellio accompagne des centaines d'entreprises de travaux qui se lèvent tous les matins pour rénover l'habitat Français. Aujourd'hui, je suis là pour les soutenir dans la reprise des travaux en toute sécurité. Nous sommes prêts pour la reprise des chantiers et de mes équipes », insiste Christophe Février.Ce soutien et cet accompagnement du spécialiste des économies d'énergie sont appréciés par l'entreprise, comme en témoigne Mickaël Schmidt :« Hellio nous soutient durant cette période difficile en travaillant avec nous sur le contact au niveau des syndics pour rassurer les clients sur le fait que les travaux peuvent se réaliser en toute sécurité, pour les occupants et pour nos collaborateurs. Hellio nous simplifie également les dossiers administratifs pour la partie prise en charge des Certificats d'Économies d'Énergie (CEE) ».La rénovation énergétique, moteur de la continuité et de la reprise économiqueDe par la nature des travaux, la plupart des chantiers de rénovation énergétique se prête plus facilement au redémarrage. L'absence de co-activité, l'inoccupation de certains chantiers (en cours de construction ou autres : résidences secondaires, déménagements, etc.) ou encore la configuration des maisons qui permet d'accéder aux combles sans passer par l'espace habitable ou encore la faible fréquentation des parties communes dans les immeubles sont autant de facteurs favorables à une reprise en toute sécurité.« Nous pouvons continuer jusqu'à présent à travailler sur ce type d'intervention car les travaux se déroulent essentiellement dans les chaufferies, les parkings, les locaux de caves, des endroits finalement peu fréquentés par les habitants. Nous arrivons tôt le matin et partons tard donc la possibilité de croiser d'autres personnes est infime », explique Mickaël Schmidt.Les équipes d'Hellio indiquent que les appels des particuliers pour s'informer sur les programmes d'économie d'énergies sont particulièrement nombreux en ce moment. Preuve que la rénovation énergétique reste au coeur des préoccupations des Français.Et pour cause ! La poursuite des travaux de rénovation énergétique est la clé pour faire baisser les factures d'énergie des ménages en hausse pendant le confinement, mais aussi toute l'année !Les travaux réalisés il y a quelques jours sur cette copropriété concernaient le calorifuge des réseaux hydrauliques, l'isolation des points singuliers en chaufferie, et l'isolation des planchers bas. Ces trois opérations vont permettre aux copropriétaires d'économiser plus de 10 % sur la facture énergétique de la chaufferie.Laurent Michel, directeur général de l'énergie et du climat, l'a d'ailleurs confirmé dans sa lettre mensuelle sur les Certificats d'Économies d'Énergie (CEE), diffusée le 22 mars 2020 : dès la fin de crise, les CEE « doivent être un moteur de la relance ».
Il y a 5 ans et 16 jours

Reprise progressive du chantier de Notre-Dame de Paris

Le chantier de Notre-Dame, mis en sommeil en mars en raison de l'épidémie de coronavirus, va reprendre progressivement a anoncé l'Établissement public en charge de la restauration de la cathédrale.
Il y a 5 ans et 16 jours

Le Mobilier national va soutenir l'artisanat d'art et le design

L'illustre institution installée aux Gobelins, qui crée, conserve et restaure tapisseries, tapis et mobilier depuis le XVIIe siècle, et avait été épinglée l'an dernier par la Cour des comptes pour ses méthodes vieillottes et peu rentables, se sent "au cœur d'un écosystème particulièrement fragilisé", explique-t-elle dans un communiqué.Avec près de 500 partenaires -- artisans d'art, fabricants, éditeurs, designers, créateurs, architectes d'intérieur --, le Mobilier national n'est pas uniquement "un gardien du Temple" mais "un acteur de la reconstruction de notre modèle social", note son directeur Hervé Lemoine, qui œuvre à l'aggiornamento du Mobilier national.Le plan, doté de 500.000 euros, doit aider notamment le design, secteur d'avenir, créateur d'emplois durables et "préserver des métiers manuels, porteurs de valeurs souvent recherchées pour de possibles reconversions", selon le communiqué.Une commission acquièrera des œuvres d'artistes et designers de la scène française (cartons de tapisserie, maquettes de design mobilier). Elles serviront à produire des prototypes au sein de l'Atelier de Recherche et de Création, ou à tisser des tapisseries dans les manufactures des Gobelins, de Beauvais ou de la Savonnerie. Les œuvres réalisées dans les ateliers entreront dans les collections du Mobilier.Les "royalties" obtenus en 2020 par l'édition de meubles seront intégralement réinvestis en faveur de la jeune garde du design.Le plan prévoit aussi l'acquisition de mobiliers de designers contemporains auprès d'éditeurs et de galeries françaises.Une campagne de restauration de la collection de mobiliers des années 1930 à 1950, la première de France, sera par ailleurs lancée. Elle sera confiée aux ébénistes, tapissiers en siège, doreurs, bronziers, lustriers, horlogers, restaurateurs textiles qui maillent le territoire. Le Mobilier national doublera ainsi ses commandes à son réseau de sous-traitants.Le plan entend par ailleurs aider les circuits courts, en développant une production de tapisserie et de tapis intègrant progressivement les laines venant des troupeaux français.Enfin, une vente aux enchères de mobiliers "déclassés" -- sortis du domaine public, n'ayant plus de valeur d'usage ni patrimoniale -- sera organisée à l'automne, lors des Journées européennes du patrimoine. Ses bénéfices seront reversés à la Fondation Hôpitaux de Paris - Hôpitaux de France.Texte
Il y a 5 ans et 16 jours

Au Sénégal, NGE livre son premier chantier de travaux ferroviaires neufs

Le groupe de BTP, et ses partenaires, annoncent la livraison de la reconstruction de la voie dédiée au fret à Dakar. Un projet emblématique qui « constitue une vitrine » pour l’expertise de NGE en Afrique de l’ouest.
Il y a 5 ans et 16 jours

Un CSPS peut-il être référent covid-19 du maître d'ouvrage ?

FLOU. Le référent covid-19 pour le maître d'ouvrage est une mission facultative introduite par le guide de l'Organisme professionnel de prévention du BTP (OPPBTP). Mais le débat ne semble pas tranché sur le fait de savoir si un CSPS peut, ou non, remplir cette fonction. Explications.
Il y a 5 ans et 16 jours

RE 2020 : il y aura un label d’accompagnement

Le Plan Bâtiment Durable appelle à intégrer la santé dans les règlementations construction neuve et rénovation et travaille sur un label d’accompagnement de la RE2020
Il y a 5 ans et 16 jours

Consolidation du sol d'assise d'une habitation fissurée

Un pavillon victime de la sécheresseConstruite dans les années 70's, cette habitation individuelle du sud de la France présentait de multiples fissures sur ses façades et sur les murs de refends. Celles-ci, d'ampleur millimétrique à centimétrique, étaient devenues visibles sur l'extérieur et l'intérieur du bâtiment. Le phénomène s'est empiré en 2018 avec les fortes chaleurs sévissant dans la région. Les fissures se sont généralisées sur l'ensemble des murs porteurs de l'ouvrage. Résoudre ce problème par une intervention rapide, efficace, et pérenne était devenue une urgence pour les propriétaires, et la société URETEK® répondait parfaitement à ces besoins.Des injections de résine adaptées aux sols argileuxAu préalable, une étude du sol a été réalisée par le bureau d'étude d'ingénierie géotechnique OGéo. La typologie du sol, les réseaux sous terrain existants ainsi que le diagnostic sur l'origine des désordres affectant l'ouvrage ont été analysés.Le sol, de nature limono-argileuse avec des blocs calcaires, se caractérisait notamment par sa sensibilité aux phénomènes de dessiccation/réhydratation, cause principale du sinistre. Cela se traduisait alors par des tassements différentiels de fondations sous l'ensemble de l'ouvrage.Les équipes régionales d'URETEK® sont intervenues en consolidant le sol d'assise des fondations de la maison via le procédé d'injection de résine expansive, Deep Injections. Mis en œuvre sous l'ensemble de l'ouvrage, le traitement a été déployé sur 193 ml sous semelle, et jusqu'à une profondeur de 2,50 à 3,80 m par rapport au terrain aménagé. L'ampleur de cette intervention aura seulement nécessité 14 jours de travaux.L'effet des injections a renforcé les zones traitées à faible compacité et entraîné une meilleure répartition des charges pour assurer la stabilité de l'ouvrage.Au-delà d'avoir amélioré la portance moyenne du sol d'assise des fondations traitées, le traitement du sol par injection de la résine expansive URETEK® a eu pour but de limiter le phénomène de retrait/gonflement des formations à dominante argileuse :Grâce au compactage du terrain résultant de la forte expansion de la résine qui entraîne une diminution de l'indice des vides,Avec le remplissage et l'imperméabilisation des macro-vides résiduels sous fondations ainsi qu'au sein des fissures de retrait.Le chantier s'est déroulé avec un contrôle scrupuleux des injections, de 2 manières :Par un contrôle laser permanent pendant les injections, jusqu'à réaction de l'ouvrage en surface indiquant un sol devenu suffisamment porteur, Par des tests pénétrométriques réalisés avant/après les injections, pour confirmer l'amélioration de la résistance du sol traité.Le + URETEK®Dans le cadre de la période d'observation post-traitement, une injection d'appoint (prévue dans le contrat initial) a été réalisée ponctuellement pour reprendre un léger tassement différentiel localisé de fondations apparu après la première intervention.Inventeur de la technique d'amélioration des sols par injection de résine expansive.Première entreprise ayant obtenu un avis technique validé par le CSTB depuis 2015.Les bénéfices pour le sinistréTechnique peu invasive et quasiment non-destructiveAucun déménagementRéutilisation immédiate du bâtimentChantier propre, peu de poussièresSérénité budgétaireEn savoir plus :Deep Injections : cliquez iciDécouvrez les solutions URETEK® : cliquez ici
Il y a 5 ans et 16 jours

Covid-19 : Le Sénat mise sur la transition énergétique comme levier du plan de relance d'après-crise

Cette audition s'inscrit dans le cadre des travaux de suivi, conduits par Daniel Gremillet, Roland Courteau et Daniel Dubois, de l'impact de cette crise sur le secteur de l'énergie.Après avoir entendu une cinquantaine d'acteurs de terrain depuis le début du mois d'avril (grands énergéticiens, fédérations professionnelles de l'électricité, du gaz et du pétrole, représentants de la rénovation énergétique, des énergies renouvelables – EnR – et des biocarburants, Commission de régulation de l'énergie, Médiateur de l'Énergie, Agence internationale de l'énergie) et relayé leurs difficultés auprès de la ministre de la Transition écologique et solidaire, les sénateurs ont jugé indispensable d'engager une réflexion prospective sur le devenir de notre transition énergétique.Aussi ont-ils échangé hier sur le rôle de la transition énergétique dans la stratégie de sortie de crise : pour les sénateurs, l'accompagnement de la rénovation énergétique, le soutien aux projets d'EnR, la lutte contre la précarité énergétique sont autant de leviers mobilisables pour relancer l'activité économique tout en atteignant nos objectifs énergétiques et climatiques.Les sénateurs ont rappelé leur vive inquiétude quant au cap poursuivi dans ces domaines par le Gouvernement, regrettant la difficile application de la loi « Énergie-Climat », pourtant adoptée dans un esprit de consensus par le Sénat en septembre dernier.Pour Daniel Gremillet, « six mois après l'adoption de cette loi, dont j'étais le rapporteur pour notre commission, tout reste à faire : une ordonnance a été adoptée, une dizaine de mesures règlementaires prises, un rapport publié. La programmation pluriannuelle de l'énergie et la stratégie nationale bas-carbone viennent tout juste d'entrer en vigueur. Il faudra attendre l'été pour que le Gouvernement prenne l'ordonnance sur les centrales à charbon … davantage encore pour celle sur l'hydrogène. C'est trop peu et trop lent ».Les sénateurs ont regretté la faiblesse des moyens budgétaires et fiscaux mis par le Gouvernement en regard de nos objectifs énergétiques et climatiques, plaidant pour leur revalorisation significative à l'occasion des prochains textes financiers.Pour Roland Courteau, « il devient urgent de se pencher sur les difficultés rencontrées par nos énergéticiens en termes de trésorerie et d'investissement, de soutenir le secteur de la rénovation énergétique, en corrigeant les effets de bord de la dernière réforme du crédit d'impôt pour la transition énergétique et en améliorant les aides aux particuliers et aux entreprises, d'accompagner les ménages en situation de précarité énergétique, en revalorisant le chèque énergie. Lors du dernier collectif budgétaire, le Sénat a adopté, à notre initiative, plusieurs amendements pour soutenir les filières très sinistrées des biocarburants : il est regrettable que le Gouvernement ne les ait pas conservés in fine ».Enfin, les sénateurs ont relevé que la transition énergétique ne peut réussir sans indépendance énergétique, insistant sur la nécessité de garantir notre sécurité d'approvisionnement mais aussi notre souveraineté industrielle, dans un secteur aussi stratégique que celui de l'énergie.Pour Daniel Dubois, « l'atteinte de la neutralité carbone d'ici à 2050 nécessite un soutien réaffirmé à la filière nucléaire, qui continuera de produire la moitié de notre mix en 2035, et doit donc demeurer compétitive et attractive. À cet égard, la chute des prix de l'électricité, les difficultés de la régulation et les reports d'investissements observés dans cette filière ne constituent pas une bonne nouvelle pour le climat. Une relocalisation des EnR est également nécessaire : nous attendons beaucoup de l'application du critère du bilan carbone dans les futurs appels d'offres – apport sénatorial majeur à la loi “Énergie-Climat” – qui permettra à nos industriels français et européens de lutter contre le dumping environnemental ».Les sénateurs poursuivront leurs travaux de suivi tout au long de la crise et formuleront des préconisations concrètes pour inscrire la transition énergétique au cœur du plan de relance.
Il y a 5 ans et 16 jours

Relance progressive de l’activité chez Sothoferm

Fermé depuis le 17 mars dernier, le numéro un du volet battant en France a relancé son activité le lundi 27 avril.
Il y a 5 ans et 16 jours

Les solutions de ventilation Ubbink choisies pour la construction d'une maison neuve à Sennecey-lès-Dijon

Les solutions et le savoir-faire Ubbink permettent ainsi d'assurer une parfaite ventilation de la maison, avec un minimum de pertes de charge, et de récupérer l'énergie nécessaire au fonctionnement du chauffe-eau thermodynamique.Une réflexion en amont pour une construction optimaleSitué à Sennecey-lès-Dijon (21), le chantier consiste à construire un pavillon contemporain au sein d'un lotissement. Cette réalisation s'inscrit parfaitement dans la démarche du constructeur ESYOM, précurseur dans la construction de maisons à basse consommation énergétique et dont le mot d'ordre est de trouver les solutions d'innovation pour des maisons plus abordables, plus confortables et plus sécuritaires. Dans ce cadre, ESYOM a proposé l'installation d'un chauffe-eau thermodynamique sur air extrait. Ce type d'installation permet de récupérer les calories issues de la ventilation pour assurer le fonctionnement du chauffe-eau et réaliser ainsi des économies importantes. Par ailleurs, l'installation devait répondre à plusieurs exigences : facilité de mise en œuvre, maîtrise de la qualité de la pose, performance et pérennité.Des systèmes performants alliant qualité d'air optimale et confortAinsi, ESYOM s'est tourné vers Ubbink et les produits des gammes AERFOAM et AIR EXCELLENT. Silencieux et conçus de manière à optimiser la maintenance et le nettoyage du réseau, les systèmes Ubbink apportent une réponse appropriée (conduits semi-rigides ne s'écrasant pas; intérieur des conduits double peau et lisse, limitant les pertes thermiques, les pertes de charge et les nuisances acoustiques ; système démontable pour une facilité d'entretien ; éléments se clipsant entre eux pour une connexion parfaitement étanche...).Ainsi, pour le réseau de ventilation allant du chauffe-eau thermodynamique au mur pour l'extraction de l'air : c'est la gamme de conduits et coudes de ventilation AERFOAM qui a été choisie. En effet, celle-ci est largement plébiscitée par les professionnels pour son installation facile et pratique. Les éléments AERFOAM sont en Polyéthylène Expansé (EPE), matériau léger, aux propriétés techniques performantes et se fixent à l'aide de colliers de fixation robustes et se connectent avec des raccords garantissant l'étanchéité entre les éléments du système. Depuis début 2019, la gamme AERFOAM affiche une empreinte carbone nulle grâce à l'utilisation de ressources organiques dans son processus de fabrication. Elle contribue ainsi à la réduction des émissions de CO².Pour le réseau de distribution d'air du chauffe-eau thermodynamique, c'est le réseau circulaire composé de la gamme AIR EXCELLENT qui a été sélectionné. Celui-ci permet en effet de maîtriser une ventilation performante tout en améliorant la qualité de l'air. Silencieux et conçus de manière à optimiser la maintenance et le nettoyage du réseau, les systèmes disposent de conduits-semi rigides pour contourner le risque d'écrasement, limitent les pertes thermiques et les pertes de charge. Facile à installer, la gamme AIR EXCELLENT est intuitive et se pose sans outil.« Pour toutes nos maisons chauffées au gaz depuis 3 ans, le choix d'un réseau semi-rigide s'est imposé comme une évidence. En effet, celui-ci permet une ventilation performante et, ainsi, une amélioration de la qualité d'air intérieur. En comparaison à un réseau souple, qui aura tendance à s'encrasser et à favoriser la condensation et donc à entraîner des pertes de charge, les produits Ubbink permettent de parer à ces problématiques et donc de répondre à toutes nos attentes », indique Gilles Moyse, promoteur du chantier. La pose du réseau n'a nécessité qu'une journée. La fin du chantier est prévue pour mai 2020.Fiche identité chantierProjet : Résidence Sennecey-lès-Dijon / Maisons ESYOMLivraison travaux : Mai 2020Promoteur : Gilles Moyse - ESYOM
Il y a 5 ans et 16 jours

AIMCC : Sept leviers pour la relance économique

L’AIMCC et le Comité stratégique de filière “Industrie pour la construction” (CSF IPC) proposent 7 leviers pour la relance économique du secteur. [©Technologie photo créé par rawpixel.com – fr.freepik.com] L’AIMCC et le Comité stratégique de filière “Industrie pour la construction” (CSF IPC) proposent 7 leviers pour la relance économique du secteur. Pour formuler ce plan, l’AIMCC (animatrice du CSF IPC) s’est appuyée sur une conviction forte. Ainsi, l’écologie et l’économie doivent converger pour sortir au plus vite de la crise. « Nos propositions conjuguent 3 priorités, explique Hervé de Maistre, président du CSF IPC. Soutenir les plus fragiles, redonner rapidement de l’activité aux entreprises françaises et accélérer la transformation environnementale. Pour réussir le plan de relance, il nous faut des décisions audacieuses, un état d’esprit collectif et une gouvernance efficace. Les industriels sont conscients de la gravité de la situation. Prêts à assumer leurs responsabilités aux côtés des pouvoirs publics et de tous les acteurs de la construction. » En dehors des 7 mesures qu’ils proposent, l’accélération de la reprise est une condition importante pour l’AIMCC et le CSF IPC. « Plus la reprise sera lente, plus les capacités d’actions seront exposées à un risque. Ceci, dans un contexte concurrentiel toujours aussi vif malgré la crise. » 1 – Une relance de la construction durable et résiliente par la mobilisation de l’épargne privée. Pour José Mickael Chenu, directeur marketing du groupe Vinci et vice-président d’EGF BTP. « La mobilisation de l’épargne privée est une voie possible de la relance rapide. Notamment dans le logement neuf, mais aussi, par exemple, pour le plan Campus Universités et autres… » 2 – La massification de la rénovation énergétique performante des maisons individuelles et des quartiers pavillonnaires. « Il est indispensable de créer une nouvelle dynamique en matière de rénovation énergétique des maisons individuelles, explique Eric Mestrallet qui anime le pilote industriel en Ile-de-France en lien avec la Métropole du Grand Paris du projet “Parcours rénovation énergétique performante”. Elle est bien souvent assimilée à un angle mort des politiques publiques depuis une dizaine d’années. De plus, c’est un enjeu pour générer de la valeur ajoutée locale, pour valoriser le patrimoine des propriétaires occupants et pour apporter, dans certains cas, une réponse à la dégradation des quartiers. Et ainsi, éviter le sentiment de “relégation” de nos concitoyens. » 3 – La promotion du Made in France. « Il est indispensable de faire de la commande publique un levier pour encourager la production locale et la “mieux-disance”, commentent Nicolas Vuillier, président de l’Unicem, et Didier Petetin, directeur général de Vicat. Et ainsi, promouvoir la création de la valeur ajoutée locale par nos industries et l’ensemble de nos partenaires au sein de la filière, synonyme de résilience et d’indépendance. » 4 – La prise en compte prioritaire des ménages démunis pour une rénovation BBC aidée et financée à 100 %. « Il faut penser aussi et surtout aux ménages les plus démunis, indique Jacques Pestre, administrateur de la FNBM qui pilote les actions relatives à la rénovation de l’habitat. Ils sortiront de la crise, encore plus fragilisés et le projet : “100 % aidé et financé” sera réservé aux ménages des 3 premiers déciles. » 5 – Chèque “rénovation travaux” à destination de tous les ménages. « Il faut relancer la machine rapidement et tenir compte des leçons de la dernière relance post-crise 2008. Explique Hugues Vérité, délégué permanent du CSF IPC et délégué général de l’AIMCC. Et ce, en redémarrant encore plus vite. La création éventuelle d’une “monnaie verte” constituerait une des pistes les plus efficaces. » 6 – L’industrialisation des solutions de rénovation performante pour les universités et les pools de bâtiments publics. « Ainsi, il est possible en moins de 6 mois de lancer un programme ambitieux de rénovation globale à l’échelle de 10 universités inscrites dans leur territoire 1. Déclare Patrice Barbel, enseignant-chercheur et conseiller patrimoine au sein de la Conférence des présidents d’universités. Ce sont elles qui seront les étalons d’un déploiement généralisé – 15 000 000 m2 – sur 3 ans dans le cadre d’une industrialisation des solutions d’efficacité énergétique performantes et volontaristes. Mais aussi, de financements innovants de types “fonds d’amorçage” associés à des fonds de garantie. L’objectif cible sera de stabiliser un modèle économique soutenable et vertueux pour l’ensemble des acteurs des territoires : bilan carbone, mobilité, emplois, innovations, formations, recherche… » 7 – Le respect dans les relations commerciales, un gage de confiance réciproque essentiel pour une reprise accélérée. « Il faut de la loyauté dans les relations commerciales, conclut Philippe Gruat, administrateur de l’AIMCC et référent PME-TPE-ETI au sein du Conseil national de l’industrie pour la filière. Notamment sur le respect des délais de paiement et des créances entre acteurs de la chaîne, soit la pierre angulaire d’une reprise et d’une relance fondées sur la confiance de toute la filière. »
Il y a 5 ans et 16 jours

Rémi Bouchié, nouveau directeur du CSTB’Lab

Etienne Crépon, président du CSTB, a nommé Rémi Bouchié à la direction du CSTB’Lab. [©CSTB] Etienne Crépon, président du CSTB, a nommé Rémi Bouchié à la direction du CSTB’Lab, accélérateur d’entreprises innovantes dans le domaine de la construction et de l’aménagement. Ses missions ? Rémi Bouchié poursuivra le développement stratégique du CSTB’Lab. Il pilotera la sélection de nouvelles entreprises innovantes, travaillant sur les thématiques émergentes de la construction. L’objectif 2020 pour l’accélérateur est d’accueillir une douzaine de nouvelles start-up. De plus, Rémi Bouchié accompagnera les actions engagées pour renforcer les synergies entre les start-up et le CSTB (Centre scientifique et technique du bâtiment). Et leurs échanges avec les acteurs de la construction. Des travaux de recherche pourront, par exemple, être engagés par le CSTB, dans le cadre d’une collaboration avec une start-up de l’éco-système CSTB’Lab. Ceci, dans la mesure où les thématiques seraient cohérentes avec sa programmation scientifique. Le parcours de Rémi Bouchié Ce nouveau modèle de coopération constituera un levier de création de valeur pour le secteur du bâtiment. « L’accompagnement transversal proposé aux start-up par le CSTB’Lab les aide à développer leurs solutions et à rencontrer leur marché. Mais et surtout, leur dynamisme et leurs idées sont de formidables atouts pour le CSTB, souligne Rémi Bouchié. Et ce, pour faire progresser l’innovation et les connaissances. Développer avec ces jeunes pousses des coopérations structurantes contribuera à renforcer les synergies entre la recherche et l’innovation technologique. Et sera bénéfique pour l’ensemble de la filière. Je suis heureux d’accompagner cette évolution, en rejoignant le CSTB’Lab qui apporte des réponses concrètes aux besoins et enjeux du bâtiment et de la ville de demain. »  Diplômé en génie énergétique et environnement (GEN), option génie des systèmes thermiques, Rémi Bouchié, 36 ans, rejoint la direction “Enveloppe, Isolation et Sols” du CSTB en 2006. Depuis 2017, il y dirige une équipe d’experts en transferts hygrothermiques des composants d’enveloppe des ouvrages. 
Il y a 5 ans et 16 jours

Rémi Bouchié, nouveau Directeur du CSTB'Lab

Âgé de 36 ans, diplômé de l'Institut National des Sciences Appliquées (INSA) de Lyon, Rémi Bouchié accompagnera le développement stratégique du CSTB'Lab. Il poursuivra et pilotera notamment les réflexions et actions engagées pour renforcer les coopérations entre les jeunes pousses et le CSTB, dans un objectif de création de valeur pour le secteur du bâtiment.Une vision large de la construction, associant recherche, innovation et techniqueDiplômé en Génie Énergétique et Environnement (GEN), option Génie des Systèmes Thermiques, Rémi Bouchié rejoint la direction Enveloppe, Isolation et Sols du Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) en 2006.Ingénieur Recherche et Expertise, il participe notamment à la recherche de solutions d'évaluation innovantes pour la performance énergétique des bâtiments, à l'élaboration des règles de calcul supports pour l'application de la RT 2012 (Règles Th-Bât), ainsi qu'à la réalisation de normes européennes au sein du groupe CEN TC 89.Depuis 2017, il dirige au CSTB une équipe d'experts en transferts hygrothermiques des composants d'enveloppe des ouvrages. Chargée notamment d'accompagner les entreprises dans leur parcours d'innovation, l'équipe aide ces-dernières à évaluer l'intégrabilité de leurs solutions et limiter les risques de pathologies.Ces différentes missions ont permis à Rémi Bouchié de développer une forte expertise et une vision transversale des enjeux de la construction, associant recherche, innovation et technologie. C'est en s'appuyant sur ce parcours pluridisciplinaire que Rémi Bouchié prend aujourd'hui la Direction du CSTB'Lab.Les missions de Rémi Bouchié au sein du CSTB'LabRémi Bouchié poursuivra le développement stratégique du CSTB'Lab. Il pilotera ainsi la sélection de nouvelles entreprises innovantes, travaillant sur les thématiques émergentes de la construction (économie circulaire, transition numérique, industrialisation de la rénovation thermique, etc.). L'objectif 2020 pour l'accélérateur est d'accueillir une douzaine de nouvelles start-up.Il accompagnera également les actions engagées pour renforcer les synergies entre les start-up et le CSTB, et leurs échanges avec les acteurs de la construction. En effet, au-delà de l'accompagnement transversal proposé par le CSTB'Lab', l'objectif est aujourd'hui d'évoluer vers davantage de co-développements avec les innovateurs, dans une logique de partenariats « gagnant-gagnant ». Des travaux de recherche pourront par exemple être engagés par le CSTB, dans le cadre d'une collaboration avec une start-up de l'écosystème CSTB'Lab, dans la mesure où les thématiques seraient cohérentes avec sa programmation scientifique.Ce nouveau modèle de coopération, complémentaire à l'accompagnement scientifique et technique fondamental du CSTB'Lab, constituera un nouveau levier de création de valeur pour le secteur du bâtiment, comme le souligne Rémi Bouchié :« Si l'accompagnement transversal proposé aux start-up par le CSTB'Lab les aide à développer leurs solutions et rencontrer leur marché, leur dynamisme et leurs idées sont aussi de formidables atouts pour le CSTB, pour faire progresser l'innovation et les connaissances. Développer avec ces jeunes pousses des coopérations structurantes contribuera à renforcer les synergies entre la recherche et l'innovation technologique et sera bénéfique pour l'ensemble de la filière. Je suis heureux d'accompagner cette évolution en rejoignant le CSTB'Lab qui apporte des réponses concrètes aux besoins et enjeux du bâtiment et de la ville de demain. »
Il y a 5 ans et 17 jours

Les femmes trouvent (enfin) leur place en ville

Urbanisme - La réalisation d'espaces publics plus égalitaires s'impose peu à peu dans les projets d'aménagement. L'usage de données genrées et de méthodologies adaptées professionnalise les démarches.