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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Chantiers - TP

(55336 résultats)
Il y a 5 ans et 17 jours

Découverte du Mékong avec l’Explorateur de l’architecte Jean-Pierre Heim

Le Mékong naît dans le Yunnan en Chine et se jette dans la mer de Chine au Vietnam, traversant le Laos, le Myanmar, la Thaïlande et le Cambodge jusqu’à son delta à Saigon. Tout au long, les pagodes, les terrasses […] L’article Découverte du Mékong avec l’Explorateur de l’architecte Jean-Pierre Heim est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 17 jours

La crise du Covid-19 change-t-elle les projets immobiliers des Français ?

ETUDE. Le promoteur Capelli, en partenariat avec l'institut Poll&Roll, a interrogé les Français pour savoir comment ils envisageaient leur projet immobilier après la crise sanitaire. Est-il remis en cause ? Quels sont les nouveaux critères d'achat recherchés ? Réponses.
Il y a 5 ans et 17 jours

Rénovation énergétique: les régions attendent un signal de l’Etat

La rénovation énergétique fait partie des cibles identifiées par les régions de France pour une relance durable, à l’issue de la crise sanitaire. Cette priorité découle des travaux pilotés par Agnès Langevine, présidente de la commission Transition écologique et énergétique de l’association des régions de France et vice-présidente de la région Occitanie.
Il y a 5 ans et 17 jours

Covid-19 : Élisabeth Borne salue les efforts de la filière nucléaire

Le comité stratégique de la filière nucléaire s'est réuni autour d'Élisabeth Borne pour présenter les mesures mises en œuvre pour répondre aux problématiques rencontrées par les acteurs de la filière - exploitants, donneurs d'ordre, sous-traitants - en cette période de crise sanitaire. Il s'agissait de s'assurer de la mobilisation de l'ensemble des métiers du nucléaire nécessaires à la continuité de l'approvisionnement électrique et de la bonne application des mesures de protection sanitaire des salariés.La filière a présenté les mesures spécifiques mises en œuvre qui permettent d'assurer l'approvisionnement en énergie du pays, et notamment l'adoption saluée d'une charte de bonnes pratiques en période de crise sanitaire, traduisant les engagements pris par les grands donneurs d'ordre vis-à-vis de leurs salariés et des sous-traitants.La ministre a insisté à cette occasion sur l'importance d'une bonne coordination des arrêts de réacteurs nucléaires dans les semaines et mois à venir pour travaux de maintenance et rechargement en combustible, afin de maximiser la disponibilité du parc de production pendant l'hiver. La filière devra s'assurer de la mobilisation de chaque acteur pour relancer ces chantiers dans les meilleurs délais pour tenir cet objectif.Enfin, la filière a présenté ses propositions en vue de retrouver rapidement une croissance durable au sein des entreprises du secteur, composé majoritairement de petites et moyennes entreprises. Plusieurs de ces mesures font déjà l'objet de travaux avec l'Etat, dans le cadre notamment de la Programmation Pluriannuelle de l'énergie, publiée le 23 avril 2020, ou du Plan National de Gestion des Matières et Déchets Dangereux.
Il y a 5 ans et 17 jours

Covid-19 : les artisans du bâtiment demandent aux particuliers et entreprises de relancer leurs chantiers

La CAPEB demande donc aux particuliers, qui ne sont pas à risques et aux entreprises d'ouvrir leur porte aux artisans exerçant leur activité, afin qu'ils terminent les travaux initiés ou qu'ils en engagent d'autres... Il en va de la santé économique de l'artisanat du Bâtiment.Suite à la publication du guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction-Covid-19 de l'OPPBTP, toutes les CAPEB d'Auvergne-Rhône-Alpes accompagnent les chefs d'entreprises pour les aider à prendre les mesures urgentes et spécifiques à mettre en œuvre pour assurer les conditions sanitaires nécessaires à la reprise de leurs travaux, en les aidant à se procurer notamment masques et gel hydro-alcoolique. La santé de leurs collaborateurs et celle de leurs clients est en effet la première priorité des entreprises artisanales du Bâtiment.La seconde priorité est de nature économique. En effet, sans une reprise progressive de leur activité, nombre d'entreprises artisanales du Bâtiment n'auront d'autres choix que de déposer le bilan. Or, les artisans du bâtiment sont des professionnels qui travaillent avec leurs salariés, leur conjoint, leurs clients, dans nos villages, juste à côté de chez nous. Ce sont des acteurs majeurs du tissu économique local.Nous avons tous un rôle à jouer. La CAPEB en appelle donc à la responsabilité de chacun et demande aux particuliers, qui ne sont pas risques, d'ouvrir leur porte et aux entreprises, de redémarrer leurs chantiers, en toute confiance !
Il y a 5 ans et 17 jours

Un écrin brut pour le musée des Arts décoratifs

La réouverture de l’aile Rohan du MAD a été marquée par la scénographie minimaliste du Studio Adrien Gardère pour l’exposition “Harper’s Bazaar, premier magazine de mode”. [©Bien Urbain/Luc Boegly] Nicolas Cèbe, architecte-co-fondateur, Jérôme Stablon, architecte-co-fondateur, et Guillaume Cantardjian, architecte-co-fondateur de l’atelier d’architecture Bien Urbain. [©Bien Urbain] Au musée des Arts décoratifs (MAD) de Paris, les galeries dédiées à présenter les expositions temporaires sur la mode se déploient dans l’aile Rohan du Louvre. Le jardin des Tuileries et la rue de Rivoli (Ier arrondissement) la bordent. Les Galeries de la Mode ont été repensées, à la demande de l’institution. Et ce, grâce au mécénat de Stephen et Christine Schwarzian. Ceci, par les équipes du Studio Adrien Gardère (scénographe). Qui, pour l’occasion, s’est associé avec l’atelier d’architecture Bien Urbain. Retrouver le bâtiment originel Au cœur du Musée des Arts Décoratifs, les salles d’expositions dédiées principalement à la mode se déploient dans l’aile Rohan du Louvre, qui longe le jardin des Tuileries et la rue de Rivoli. [©Bien Urbain] « Il a fallu un an pour réhabiliter les plus de 1 200 m2 de l’aile Rohan du MAD. Il y avait déjà eu une rénovation de ces espaces dédiés à la mode dans les années 1990. Mais ils étaient devenus obsolètes », décrit Jérôme Stablon, architecte chez Bien Urbain. Avec un gros curage de l’existant pour commencer. « Il a fallu “recomprendre” le bâtiment originel. » C’est ainsi que les murs sont apparus avec de la pierre, du béton et des blocs béton apparents. « Les laisser bruts a été une évidence. Cela correspond bien à l’univers de la mode actuelle. Et c’était nécessaire pour redécouvrir l’aile Rohan. » L’exposition “Harper’s Bazaar, premier magazine de mode” inaugure les nouvelles galeries de la mode du MAD, entièrement rénovées. [©Bien Urbain/Luc Boegly] Teintes stabilisées Une lasure minérale a permis de stabiliser les teintes des murs, sols et plafonds. Pour créer cet écrin brut, « nous sommes intervenus au niveau de vitrines amovibles entre chaque refend, véritables “machines à exposer”». Ces dernières peuvent changer de physionomie selon les scénographies des expositions temporaires. La réouverture de ces espaces a d’ailleurs été marquée par la scénographie minimaliste du Studio Adrien Gardère. Celle-ci réalisée pour l’exposition “Harper’s Bazaar, premier magazine de mode” . Pour créer cet écrin brut, « nous sommes intervenus au niveau de vitrines amovibles entre chaque refend, véritables “machines à exposer”». Ces dernières peuvent changer de physionomie selon les scénographies des expositions temporaires. [©Bien Urbain/Luc Boegly]Dans un écrin de béton brut, l’exposition “Harper’s Bazaar, premier magazine de mode” retrace les moments forts de cette revue mythique, son évolution depuis 1867. [©Bien Urbain/Luc Boegly] La chape fluide, tout comme le béton de l’escalier, ont été livrés en toupies, stationnées dans le cour du Louvre, le temps des livraisons. [©ACPresse]Pour créer cet écrin brut, « nous sommes intervenus au niveau de vitrines amovibles entre chaque refend, véritables “machines à exposer”». Ces dernières peuvent changer de physionomie selon les scénographies des expositions temporaires. [©Bien Urbain]Un gros curage de l’existant a donc été effectué. « Il y a fallu “recomprendre” le bâtiment originel ». [©Bien Urbain/Luc Boegly]Outre le besoin de redonner au lieu tout son lustre, l’intervention de coulage de la chape fluide est surtout destinée à la remise en l’état des sols. [©ACPresse] Le coulage de la chape fluide a été divisée en deux interventions : tout d’abord, environ 900 m2 au premier niveau, puis l’ensemble du rez-de-chaussée. [©ACPresse]Mise en œuvre sur les sols, la Chape Liquide Excelio d’Anhydritec ne nécessite aucun ponçage. Mais un balayage doit être réalisé. [©ACPresse]En arrière plan, l’escalier en demi-cercle permet de relier le rez-de-chaussée au premier niveau. [©Bien Urbain/Luc Boegly] Un escalier de béton brut Faisant face à une fenêtre donnant sur le jardin des Tuileries, l’escalier en béton brut prend la forme d’un demi-cercle ascensionnel et enveloppant. « Ce nouvel escalier sculptural et discret relie les deux étages des espaces d’exposition. » [©Bien Urbain] Et l’autre intervention s’est effectuée avec la création d’un escalier en béton brut. Juste en face d’une fenêtre donnant sur le jardin des Tuileries. Et ce, en demi-cercle ascensionnel et enveloppant. « Ce nouvel escalier sculptural et discret. Il relie les deux étages des espaces d’exposition. » Quelque 80 m2 de plancher ont été déposés pour ce faire. L’entreprise Cobalt a coulé le béton, « un C4 classique », en une seule fois. Le tout grâce à trois toupies stationnées dans le jardin du Louvre. « Epique… » Les coffrages étaient assez sympas, selon les dires de Jérôme Stablon.  « Il y a eu des reprises et des réenduits pour tout bien ajuster. » L’entreprise REM a réalisé la serrurerie de l’escalier et le garde-corps vitré de cette section des Arts Décoratifs. Fiche repère Maîtrise d’ouvrage : Musée des Arts décoratifs (MAD)Maîtrise d’œuvre : Studio Adrien Gardère Bien Urbain – atelier d’architecture Betom Ingénierie ACLSurface : 1 280 m² SUMontant des travaux : 1,7 M€ HTStatut : Livré en février 2020 Muriel Carbonnet
Il y a 5 ans et 17 jours

Poutrelles RAID Hybrides : gain de temps et économies pour des planchers performants

Plus légères que des poutrelles précontraintes traditionnelles, les poutrelles RAID® Hybrides sont manuportables. Elles permettent d’atteindre de grandes portées (6.20 m de long sans étais et 9 m avec étais), qui offrent une grande liberté de conception des bâtiments en réduisant sensiblement la nécessité de murs de refend. Autre atout, les raidisseurs triangulaires assurent une prise en main facile pour un transport aisé. Un confort de travail très apprécié et qui renforce l’efficacité des équipes sur les chantiers.Economiques, les poutrelles RAID® Hybrides font réaliser jusqu’à 12% d’économie de béton dans le cas de montages réalisés avec des entrevous béton ou polystyrène à bords droits.Par ailleurs, les poutrelles RAID® hybrides assurent une sécurité totale sur chantier : elles sont certifiées sous Avis Technique. Elles sont également certifiées Origine France Garantie.Les montages isolantsLes poutrelles RAID® hybrides Fabemi s’associent avec les entrevous polystyrène suivants pour assurer la correction des ponts thermiques :OPTIRAID : entrevous coffrant en polystyrène pour réaliser des planchers intermédiaires légers, en neuf comme en rénovation.RAIDtherm : entrevous polystyrène à languette limitant les pertes énergétiques des planchers bas, et entrevous polystyrène décor à languette permettant de conserver une sous-face plate.RAIDtherm sous chape flottante : entrevous polystyrène à languette combiné à la mise en œuvre d’une chape flottante servant à optimiser les épaisseurs des isolants et à réduire de manière significative les pertes linéiques.Fabemi, une solution pour chaque construction :https://www.fabemi-structures.com/
Il y a 5 ans et 17 jours

Covid-19 : Le guide OPPBTP est-il suffisant pour une reprise des chantiers en toute sécurité ?

« En cette période de pandémie, le rôle de référent COVID-19 sur chantier préconisé dans le guide de l’OPPBTP prend toute son importance… Mais ne va pas assez loin. » Indique Patrick VRIGNON, Président de BTP ConsultantsUn référent indépendant pour un système de management efficace Pour plus d’efficacité dans sa mission, le référent COVID-19 doit faire vivre un système de management d’amélioration au sens propre du terme : établir des procédures, vérifier leur application, exploiter les écarts et mener les actions correctives associées.Au-delà des préconisations du Guide du 10 Avril 2020, le rôle du référent COVID-19 devrait également consister à surveiller les situations de travail, établir les procédures à suivre, s’assurer qu’elles soient réalistes, contrôler leur application, mesurer et analyser les écarts, étudier le résultat de son travail, l'efficacité de ses méthodes, etc.Une telle fonction doit impérativement être indépendante de la chaîne de production à l’image de ce qu’est le contrôle extérieur dans le domaine du suivi qualité. Faire appel à une tierce partie afin de privilégier la sécurité face au rendement et permettre ainsi d’éviter toute situation de doutes pouvant conduire à des arrêts de chantier. C’est pourquoi, il est essentiel que ce soit le Maître d’Ouvrage qui le désigne et à lui qu’il rapporte périodiquement.Quand le secteur de la construction doit s’appuyer sur les pratiques industriellesSur la base de référentiels de management orientés santé et sécurité, le secteur de l'industrie s'assure de la capacité des sous-traitants à remplir les critères établis lorsqu'ils opèrent sur site. Ces référentiels permettent d'évaluer les pratiques en place et les résultats atteints par les sous-traitants impliqués. Les analyses montrent que les entreprises opérant sous ces référentiels ont 2 à 3 fois moins d'accident que la moyenne nationale, quel que soit leur corps de métier.D'ailleurs, la plupart de ces entreprises reconnaissent que cela leur permet de mettre en place les bonnes manières de faire, de respecter les procédures, d'avoir des salariés formés en conséquence, de mettre les valeurs humaines au cœur de leur projet.Comment faire changer des habitudes profondément ancrées ? Le travail autour du Guide de l'OPPBTP a le mérite de définir des procédures, des règles ayant pour objectif de diffuser une culture de la discipline vis-à-vis du risque COVID-19. Certes c'est un travail préalable indispensable, mais pour les chantiers avec des risques de promiscuité importants, l'expérience montre que cela ne suffit pas. La multiplication des règles induit souvent une attitude de contournement par les acteurs et il peut exister un fossé entre ce qui est écrit et ce qui est vécu.Il ne suffit donc pas de figer un cadre devant être respecté par chacun mais de faire s'approprier par tous une nouvelle manière de travailler ensemble. Responsabilité de chacun, qualité relationnelle qui donne confiance aux acteurs pour parler des sujets difficiles, intelligence collective qui permet de trouver des solutions aux problèmes au fur et à mesure qu'ils se présentent. On voit donc que faire appliquer le guide OPPBTP est, avant tout un sujet de management et sous-estimer la force des habitudes serait une profonde erreur.Or, les habitudes du secteur du bâtiment, contrairement à d'autres secteurs exposés depuis longtemps aux risques sanitaires, s'appuie sur des règles du vivre ensemble très éloignées de ces nouvelles mesures dénombrées dans le guide. Faire évoluer les habitudes de travail sur chantier est donc un véritable projet de changement et doit être abordé en tant que tel.« Nous entrons dans une longue période d'incertitudes ponctuée qui sait, de séquences de confinement et de déconfinement, de recul et de reprise de la vague épidémique. La seule certitude que nous devons rechercher collectivement, c'est celle de nous appuyer sur un dispositif garantissant la santé à tout moment de nos intervenants sur chantier. »
Il y a 5 ans et 17 jours

Covid-19 : BTP Consultants souhaite aller plus loin que le guide OPPBTP

« En cette période de pandémie, le rôle de référent COVID-19 sur chantier préconisé dans le guide de l’OPPBTP prend toute son importance… Mais ne va pas assez loin. » Indique Patrick VRIGNON, Président de BTP ConsultantsUn référent indépendant pour un système de management efficace Pour plus d’efficacité dans sa mission, le référent COVID-19 doit faire vivre un système de management d’amélioration au sens propre du terme : établir des procédures, vérifier leur application, exploiter les écarts et mener les actions correctives associées.Au-delà des préconisations du Guide du 10 Avril 2020, le rôle du référent COVID-19 devrait également consister à surveiller les situations de travail, établir les procédures à suivre, s’assurer qu’elles soient réalistes, contrôler leur application, mesurer et analyser les écarts, étudier le résultat de son travail, l'efficacité de ses méthodes, etc.Une telle fonction doit impérativement être indépendante de la chaîne de production à l’image de ce qu’est le contrôle extérieur dans le domaine du suivi qualité. Faire appel à une tierce partie afin de privilégier la sécurité face au rendement et permettre ainsi d’éviter toute situation de doutes pouvant conduire à des arrêts de chantier. C’est pourquoi, il est essentiel que ce soit le Maître d’Ouvrage qui le désigne et à lui qu’il rapporte périodiquement.Quand le secteur de la construction doit s’appuyer sur les pratiques industriellesSur la base de référentiels de management orientés santé et sécurité, le secteur de l'industrie s'assure de la capacité des sous-traitants à remplir les critères établis lorsqu'ils opèrent sur site. Ces référentiels permettent d'évaluer les pratiques en place et les résultats atteints par les sous-traitants impliqués. Les analyses montrent que les entreprises opérant sous ces référentiels ont 2 à 3 fois moins d'accident que la moyenne nationale, quel que soit leur corps de métier.D'ailleurs, la plupart de ces entreprises reconnaissent que cela leur permet de mettre en place les bonnes manières de faire, de respecter les procédures, d'avoir des salariés formés en conséquence, de mettre les valeurs humaines au cœur de leur projet.Comment faire changer des habitudes profondément ancrées ? Le travail autour du Guide de l'OPPBTP a le mérite de définir des procédures, des règles ayant pour objectif de diffuser une culture de la discipline vis-à-vis du risque COVID-19. Certes c'est un travail préalable indispensable, mais pour les chantiers avec des risques de promiscuité importants, l'expérience montre que cela ne suffit pas. La multiplication des règles induit souvent une attitude de contournement par les acteurs et il peut exister un fossé entre ce qui est écrit et ce qui est vécu.Il ne suffit donc pas de figer un cadre devant être respecté par chacun mais de faire s'approprier par tous une nouvelle manière de travailler ensemble. Responsabilité de chacun, qualité relationnelle qui donne confiance aux acteurs pour parler des sujets difficiles, intelligence collective qui permet de trouver des solutions aux problèmes au fur et à mesure qu'ils se présentent. On voit donc que faire appliquer le guide OPPBTP est, avant tout un sujet de management et sous-estimer la force des habitudes serait une profonde erreur.Or, les habitudes du secteur du bâtiment, contrairement à d'autres secteurs exposés depuis longtemps aux risques sanitaires, s'appuie sur des règles du vivre ensemble très éloignées de ces nouvelles mesures dénombrées dans le guide. Faire évoluer les habitudes de travail sur chantier est donc un véritable projet de changement et doit être abordé en tant que tel.« Nous entrons dans une longue période d'incertitudes ponctuée qui sait, de séquences de confinement et de déconfinement, de recul et de reprise de la vague épidémique. La seule certitude que nous devons rechercher collectivement, c'est celle de nous appuyer sur un dispositif garantissant la santé à tout moment de nos intervenants sur chantier. »
Il y a 5 ans et 17 jours

Comment bien entretenir sa toupie au quotidien ?

Une toupie véhicule toujours l’image du producteur du béton. C’est pourquoi elle doit être propre et en parfait état. [©ACPresse] 1 – Pourquoi une toupie doit-elle être dans un parfait état ? Une toupie est un véhicule industriel destiné au transport du béton, une matière première d’une densité de 2,4 t/m3, soit une cargaison de 18 t pour un volume de 7,5 m3… Le poids total en charge d’un tel véhicule atteint donc les 32 t sur la route. Il est donc essentiel qu’il soit parfaitement sûr. Son bon état en est la garantie première. Une toupie véhicule en même temps l’image de l’entreprise de production de béton prêt à l’emploi à laquelle elle est rattachée. C’est elle que le client voit en premier quand elle arrive sur le chantier avec sa cargaison. Le parfait état de ce véhicule est donc le gage de la qualité du matériau qu’il contient. Et, de facto, du producteur de BPE.  2 – Quels sont les vérifications et les entretiens que doit effectuer le chauffeur d’une toupie avant de prendre son service ?  Ce contrôle commence par une vérification visuelle du véhicule et de ses organes de sécurité. [©ACPresse] Le chauffeur de la toupie a l’obligation professionnelle de faire un check-up complet de son véhicule avant de commencer sa tournée.  Ce contrôle commence par une vérification visuelle du véhicule. Cela va de l’état des pneumatiques à la propreté des organes de sécurité, comme les rétroviseurs, la caméra de recul ou le panonceau “Interdiction de doubler par la droite”. La propreté générale du véhicule est confirmée en même temps.  Ce contrôle commence par une vérification visuelle du véhicule et de ses organes de sécurité. [©ACPresse] Vient ensuite le test des organes de sécurité : plaques minéralogiques, caméra de recul, feux flash de recul ou encore de l’avertisseur de recul sonore. Si besoin, le chauffeur peut se faire aider par le centralier pour confirmer le bon fonctionnement de tel ou tel organe. Le bon fonctionnement et la propreté de l’éclairage général (feux avant et arrière, clignotants…) sont aussi contrôlés durant cette étape.  Le plein de la bombonne à eau est fait à l’issue de ces vérifications et, surtout, la cuve de la toupie est mise en mode “vidange” pour s’assurer qu’elle est bien vide et sèche (il peut pleuvoir durant la nuit…). Enfin, il ne faut pas oublier un coup d’œil sur le niveau de carburant. 3 – Une fois le béton livré sur site, y a-t-il des opérations à réaliser immédiatement ? La situation idéale est quand le chantier dispose d’une aire de lavage équipée d’un big bag. Dans ce contexte, le chauffeur peut réaliser un nettoyage rapide de sa toupie et vidanger les résidus de béton frais encore présents dans la cuve.  Mais le cas le plus courant est l’absence, sur chantier, de ces dispositifs. A ce moment-là, la seule chose possible est de vider, dans la cuve, l’essentiel de la bombonne d’eau pour délayer les résidus de béton. Cela permet de pré-rincer la cuve, qui sera vidangée, puis lavée dès le retour à la centrale.  En revanche et quelle que soit la situation, le chauffeur a l’obligation de nettoyer la goulotte avant de quitter le chantier, histoire de ne pas perdre de résidus de béton sur le chemin du retour… Les toupies les plus récentes disposent de goulotte anti-pertes, ce qui n’interdit pas de veiller à leur propreté. 4 – Que doit faire le chauffeur lorsqu’il est de retour à la centrale ?  Le lavage de la cuve est absolument obligatoire dès lors qu’un béton spécial a été transporté. [©ACPresse] Laver la cuve constitue l’étape indispensable. Cela pallie les risques de pollution entre deux types de bétons différents (celui qui a été transporté et celui qui le sera à la tournée suivante). En même temps, cette action réduit le volume des dépôts de béton durci, qui finissent toujours par s’accumuler un peu dans la cuve.  Le lavage de la cuve est absolument obligatoire dès lors qu’un béton spécial a été transporté. Par spécial, le transporteur entend béton peu hydraté, béton à projeter, par exemple.  Lors de son passage à la centrale, le chauffeur ne doit surtout pas oublier de refaire le plein de sa bombonne d’eau. De même que vérifier la propreté de la toupie dans son ensemble  Le cas échéant, le chauffeur peut profiter de son temps d’attente pour parfaire la propreté de sa toupie, car cette dernière représente le producteur de BPE tout le temps 5 – Quelles sont les opérations d’entretien complémentaires à réaliser en fin de service ?  La toupie doit rejoindre son stationnement en parfait état et être prête pour le service. [©ACPresse] A vrai dire, les opérations de fin de service sont les mêmes que durant le service : propreté de la toupie, propreté de la cuve, plein d’eau. La laitance du béton s’élimine très bien, quand elle est fraîche et beaucoup moins bien une fois sèche…  La toupie doit rejoindre sa place de stationnement pour la nuit en parfait état et être prête pour le service du lendemain (ce qui ne supprimera pas les étapes de contrôle d’avant service). 6 – Quels sont les risques si l’entretien courant est mal effectué ? Trois risques majeurs peuvent être identifiés : surcharge de la toupie, dégradation de l’image véhiculée et, enfin, capacité financière à la baisse au moment de la revente.  Un poids lourd en surcharge constitue un danger sur la route, car ses dispositifs de sécurité (système de freinage en particulier) sont sur-sollicités. Le moteur est aussi mis à contribution au-delà de ses limites. La surcharge potentielle est due aux résidus de béton, qui sont pris au fond de la cuve au fil des tournées. Aussi, la rigueur du nettoyage opérée par le chauffeur est essentielle pour limiter ces dépôts. Pour sa part, le locatier JMS pèse chacune de ses toupies une fois tous les trois mois pour vérifier qu’il n’y a pas de dérive au niveau de leur poids à vide. Si la présence de béton durci est constatée dans la cuve, une opération de déplombage est organisée.  Cette intervention trimestrielle est aussi le moment choisi pour réaliser une vérification complète de l’état de la toupie, pour effectuer les graissages complémentaires… Sujet réalisé en collaboration technique avec Raphaël Guiller, responsable exploitation et logistique de Bétons Solutions Mobiles et Jean-Marc Ségué, directeur de JMS Services
Il y a 5 ans et 17 jours

Travaux d'économies d'énergies: appel en faveur d'un fonds d'urgence

L'Union française de l'électricité et les fédérations du bâtiment et de l'énergie ont appelé le gouvernement à créer un fonds d'urgence en faveur des travaux d'économies d'énergie.
Il y a 5 ans et 17 jours

Toulouse: les chantiers du métro et du téléphérique vont reprendre

Après un mois d’arrêt, Tisséo annonce la reprise progressive des travaux du métro et du téléphérique toulousains.
Il y a 5 ans et 17 jours

À Grenoble, GSE achève la construction d'un ensemble de bureaux à haute performance environnementale

C'est au cœur de la Zone d'Aménagement Concerté « ZAC » de la Presqu'île de Grenoble, face au Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), que GSE a construit le nouveau siège social de la société XENOCS. Celle-ci est reconnue comme étant le leader mondial sur le marché des équipements de laboratoire pour la caractérisation des matériaux à l'échelle nanométrique au travers de la technique de diffusion des rayons X.Un bâtiment de 5 5000 m² à l'architecture contemporaineDessiné par le cabinet Aotu architecture, ce projet met en évidence l'esthétique architecturale et la qualité des matériaux utilisés, notamment pour la façade, élément essentiel de l'harmonie du bâtiment.Développé pour Xenocs par GSE, ce bâtiment de 5 500 m² réparti sur 4 étages accueille le siège social du groupe, des ateliers de production, un show-room et des salles propres. Chaque étage bénéficie de larges terrasses et de toitures végétalisées. Le dernier étage accueille des salles de réunion partagées avec d'autres locataires.Le site, qui a été terminé fin 2019, propose des espaces propices au bien-être, au travail collaboratif, à l'innovation et à la créativité grâce à des bureaux ouverts, modernes, aérés et de nombreux open spaces.GSE a été extrêmement attentif aux détails de finitions des façades pour atteindre le niveau élevé de qualité de réalisation attendue par Frédéric Bossan et Peter Hoghoj, dirigeants de XENOCS. Et le résultat est au rendez-vous puisque la seule différence entre le dessin de concours d'architecte et les photos de la réalisation, ce sont … les montagnes de l'arrière-plan.… à haute technicité…Du fait de la spécificité et des besoins techniques de l'entreprise XENOCS, GSE a réalisé des ateliers, des bureaux et des salles à empoussièrement contrôlé.… et aux performances environnementales élevéesLe bâtiment est équipé d'une pompe à chaleur réversible à eau, limitant ainsi son impact environnemental.« Avec son aspect innovant, ses quatre étages superposés à la façon d'un escalier, l'esthétique architecturale de ce bâtiment est un élément essentiel du projet et a été un point déterminant dans le choix des dirigeants de la société XENOCS. Nous avons su travailler, avec le cabinet d'architecte AOTU et l'assistant maître d'ouvrage DESTIM , en synergie afin d'être en mesure de livrer un projet au plus proche des attentes et des valeurs du client. Nous sommes particulièrement fiers de construire un site aussi qualitatif, en termes de qualité architecturale, qualité environnementale et qualité fonctionnelle des aménagements » déclare Roland Paul, CEO de GSE.Grenoble Presqu'île : une charte environnementale ambitieuseAprès avoir été terrain militaire, puis de recherche nucléaire, puis de recherche sur les nano et micro technologies, la Presqu'île scientifique de Grenoble va devenir un nouveau quartier d'habitation, de bureaux et de commerce. Ce vaste projet de nouveau quartier est aménagé par la société d'économie mixte InnoVia, pour le compte de la Ville de Grenoble. Au confluent du Drac et de l'Isère, sur 265 hectares, la ZAC Presqu'île allie qualité de vie, performance économique, dynamisme universitaire et scientifique.Une charte environnementale ambitieuse s'applique également à toutes les nouvelles constructions, et à laquelle ce projet a dû répondre afin de réglementer les consommations énergétiques des bâtiments. L'objectif consiste à situer les dépenses énergétiques de 30 % en dessous de la Réglementation thermique 2012.La zone accueille d'ores et déjà le nouveau siège social du Crédit Agricole Sud Rhône-Alpes ainsi que les nouveaux bureaux de Schneider Electric.
Il y a 5 ans et 17 jours

#culturecheznous : passionante archéologie sous-marine

Pour partir à la découverte et réaliser l’expertise des épaves, les fouilles et les recherches mobilisent des équipes de passionnés et des savoirs scientifiques et techniques multiples : c’est l’histoire de l’humanité que les archéologues-plongeurs explorent pour en partager les trésors. https://archeologie.culture.fr/archeo-sous-marine/fr
Il y a 5 ans et 17 jours

#culturecheznous : Joseph-Henri Deverin, préserver et illustrer le patrimoine bâti

Joseph-Henri Deverin rejoint la Commission des Monuments Historiques en 1877, et est nommé sur titre architecte en chef des Monuments Historiques en charge de la Vienne (à l’exception de Poitiers), des Deux-Sèvres et plus tard de la Vendée et de la Loire-Atlantique puis de la cathédrale de Luçon. Il est l’auteur de plusieurs projets de restauration comprenant une réhabilitation du Palais Royal et un projet d’aménagement du château de Nantes… Joseph-Henri Deverin
Il y a 5 ans et 17 jours

A Gênes, la silhouette du nouveau pont a pris forme

INTERNATIONAL. Le dernier tronçon du nouveau pont de Gênes, conçu par Renzo Piano, a été posé le 28 avril 2020. Mais les travaux ne sont pas encore totalement terminés, l'inauguration est prévue pour cet été, près de deux ans après l'effondrement du pont Morandi.
Il y a 5 ans et 18 jours

Le CCCA-BTP va financer des projets innovants des organismes de formation

Le CCCA-BTP continue d'agir et de contribuer à l'effort national pour soutenir et développer la formation professionnelle dans les métiers du BTP, en organisant en 2020 onze appels à projets qui visent à financer des expérimentations et innovations portés par des organismes de formation. Huit des appels à projets programmés ont été lancés, malgré le contexte de la crise liée au coronavirus, et trois autres le seront d'ici au mois de juin.Le CCCA-BTP, financeur de projets innovants Avec cet important programme d'appels à projets, le CCCA-BTP consacre un budget prévisionnel de 30 M€ pour soutenir les expérimentations et innovations portés par des organismes de formation aux métiers du BTP et en assurer leur déploiement. Dans le cadre des orientations définies par le conseil d'administration, ce budget prévisionnel pourra être adapté, afin de répondre à la nécessité d'un plan de relance pour soutenir le développement de l'apprentissage BTP à l'occasion de la prochaine rentrée.Ces appels à projets répondent aussi à l'évolution des dispositifs et des modalités de financement du CCCA-BTP, au regard des missions qui lui sont confiées par la loi et pour mettre en œuvre la politique de formation professionnelle initiale, en particulier l'apprentissage, définie par les partenaires sociaux des secteurs du bâtiment et des travaux publics dans leurs accords de branche.Dans cette période de confinement et de ralentissement économique et social, qui impacte aussi la formation professionnelle, le CCCA-BTP reste mobilisé pour accompagner au mieux l'ensemble des organismes de formation dans la continuité de leurs activités. Dans le cadre de sa nouvelle offre de services, il a été décidé de lancer dès maintenant les appels à projets déjà programmés.Ce programme permettra aux équipes pédagogiques des CFA et organismes de formation de se mobiliser sur des projets d'expérimentation et d'innovation, sans attendre la sortie de la crise. Les projets sélectionnés pourront ainsi bénéficier des financements accordés par le conseil d'administration du CCCA-BTP.Les porteurs de projets pourront faire aussi appel à des co-financements privés ou publics : FSE (Fonds social européen), PIA (Programme d'investissements d'avenir), PIC (Plan investissement compétences), et/ou à des partenariats, en vue d'optimiser les financements et les déploiements des projets sélectionnés.En 2019, le CCCA-BTP avait organisé ses premiers appels à projets pour un budget global de 2M€. Une dizaine de porteurs de projets a ainsi été accompagnée, avec le financement de projets leur permettant d'expérimenter des projets novateurs sur leur territoire, notamment en termes de recrutement de jeunes et d'intégration du numérique dans la formation.Le mot de Jean-Christophe Repon, président du CCCA-BTP « En cette période troublée où solidarité et responsabilité s'imposent, avec une réforme de l'apprentissage désormais pleinement opérationnelle, le CCCA-BTP concrétise, avec ce programme d'appels à projets, une nouvelle approche d'offres de services au profit de tous les organismes de formation du BTP. Plus que jamais, nous nous devions nous mobiliser pour les accompagner dans le maintien, la continuité et le développement de leurs activités. Ce programme démontre aussi une nouvelle fois notre capacité à continuer d'agir et à contribuer, sur notre champ d'action, à l'effort national et au profit du développement de la formation professionnelle à nos métiers. C'est aussi tout simplement notre rôle et ce qu'attendent de nous les organismes de formation du BTP.Notre conseil d'administration s'est donné les moyens de ses ambitions, avec un programme doté d'un budget conséquent pour soutenir et accompagner les expérimentations et innovations, mais qui devra être revu pour accompagner les apprentis et les entreprises à la reprise de l'activité dans notre secteur, tout particulièrement pour soutenir le développement de l'apprentissage BTP d'ici au mois de septembre. Il s'inscrit également dans la dynamique que nous avons initiée au cours des années précédentes pour explorer, expérimenter et accélérer des projets innovants, notamment en termes de pédagogie de l'alternance. Avec ce programme d'appels à projets, notre ambition est claire : valoriser l'excellence de la formation professionnelle aux métiers de la construction de demain, au profit des jeunes et des entreprises de notre secteur du BTP. »Les thématiques du programme d'appels à projets du premier semestre 2020 Les appels à projets du programme 2020* concernent notamment : la mise en œuvre des transitions (énergétique, numérique…) ; l'accroissement de l'acquisition des compétences des apprentis et la valorisation de l'excellence ;l'enseignement du français comme langue étrangère pour les publics dont la langue maternelle est étrangère ;la valorisation et l'acquisition des compétences socio-professionnelles ; l'adéquation emploi/compétences sur les métiers en tension ; l'accompagnement à la mobilité internationale des apprenants ;l'accompagnement à la préparation des apprentis aux concours nationaux et internationaux ;l'ouverture socio-culturelle des jeunes en formation ;la création de contenus pédagogiques en distanciel et les méthodes, outils et usages des réalités virtuelles et augmentées. * Programme complet des onze appels à projets en annexe.Un programme ouvert à toutes les compétences du BTP, de l'orientation et de la formationLes appels à projets organisés par le CCCA-BTP sont prioritairement destinés à tout organisme de formation aux métiers du BTP dans les secteurs du bâtiment et des travaux publics, ou en lien avec les acteurs du BTP, et qui peuvent notamment faire valoir des compétences en termes d'apprentissage.Critères et processus de sélection des projets Un groupe technique paritaire de sélection des projets, composé de membres du conseil d'administration du CCCA-BTP, est constituée pour s'assurer, notamment, de la pertinence de la proposition et du public bénéficiaire du projet proposé, de la qualité des partenariats territoriaux mis en place par le porteur de projet, ou encore de la démarche d'expérimentation proposée. Les critères de sélection sont répartis en nombre de points sur 100 : qualité, performance et caractère d'innovation du projet (35 points) ;expertise et expérience de la formation professionnelle, du suivi socioéducatif ou socioprofessionnel et connaissance du secteur du BTP (20 points) ;calendrier et retroplanning de la conception, réalisation et exploitation du projet et équipe pressentie (15 points) ;perspectives de démultiplication, d'essaimage et de valeur ajoutée du projet et de ses livrables (20 points) ;budget prévisionnel et éléments permettant de sécuriser le déploiement du projet (10 points). En fonction des éléments apportés par les candidats, les budgets alloués par projet et porteur de projet sont déterminés par un Groupe technique paritaire ad hoc et votés définitivement par le conseil d'administration du CCCA-BTP.Règlements de consultation et informations pratiquesL'ensemble des informations (règlements de consultation, dossiers de réponse, etc.) relatives aux appels à projets sont disponibles sur le site Internet du CCCA-BTP, rubrique « Appels à projets ».Afin d'organiser et suivre les différents appels à projets, le CCCA-BTP a mis en place une cellule dédiée, auxquels les porteurs de projets peuvent s'adresser pour toute demande d'information : cellule.aap@ccca-btp.fr.
Il y a 5 ans et 18 jours

Stratégie de crise et reprise d’activité, le Groupe Lorillard concilie reprise et efficience

Site Chartrain du Groupe Lorillard (28) Arrêtés dès le 16 mars au soir et après 2 semaines et demie d’inactivité, les ateliers du Groupe Lorillard ont redémarré progressivement depuis la semaine 15 (semaine du 6 au 12 avril). « Dès le 24 mars nous avons établi un comité de crise sur le redémarrage qui se réunissait 2 fois par semaine, afin de nous organiser dans la reprise selon les règlementations du gouvernement et les contraintes sanitaires et sécuritaires » explique Hubert Marti, Directeur Industriel de l’ensemble des sites du Groupe Lorillard. « Toutes les personnes ont été formées et des nouveaux flux de circulation ont été mis en place au sein des sites dans le respect des règles d’hygiène et de sécurité ». Ce sont les ateliers bois qui ont repris en premier, début avril. Ce secteur d’activité jouit d’un portefeuille de commandes très important pour l’ensemble des sites (Chartres 28, Bourneuf à Parigné-l’Evêque 72 et Molénat à Decazeville 12) avec des délais de production courants de 12 à 14 semaines. Mais les 3 semaines d’arrêt consécutives ont imputé un retard important devant être rattrapé au plus vite. Ainsi, dès le 8 avril, toutes les unités bois de Chartres et 2 unités sur 3 chez Bourneuf sont reparties. Sur le site de Molénat, l’atelier bois a repris en semaine 16, sur les lignes d’assemblage et de finitions. L’usinage a repris en semaine 17. Pour ce qui concerne les autres matériaux, l’atelier aluminium du site Chartrain a réembauché en semaine 17. L’atelier PVC de Chartres a repris avec une petite équipe (10 personnes) en semaine 16. Depuis le 20 avril les équipes sont au complet (40 personnes). Plastibaie et C2F ont relancé leurs productions en semaine 16 avec des équipes réduites. Seul HP Fermetures & Menuiseries n’a pas encore recommencé, les équipes reprendront en semaine 18 pour l’aluminium et le PVC. « Ce qui a été le plus simple dans toute cette nouvelle organisation, c’est la construction du plan de prévention à l’échelle du Groupe. On aurait pu penser le contraire mais l’engagement des équipes a été décisif dans la simplification de cette mission. Les réunions de travail, 2 fois par semaine, avec les responsables de site, la responsable HSE, ont fait leur oeuvre. Cela a demandé beaucoup de travail mais pas de complexité particulière dans la réalisation. L’engagement de toutes les équipes a véritablement facilité la tâche » témoigne Hubert Marti.   PRODUIRE STRATEGIQUEMENT Pour le moment aucun site n’a redémarré à 100%. Le Groupe dispose d’une forte capacité en personnel mais le redémarrage est actuellement à mi-capacité afin de s’adapter à la demande clients. En effet, comme l’explique Hubert Marti, la stratégie du Groupe Lorillard, c’est de produire selon les besoins exprimés par les clients. « Pour ce faire, tous les clients ont été listés et contactés, relancés afin de savoir où ils en étaient, ce qu’ils faisaient et ce dont ils avaient besoin. Cela veut dire que l’on ne suit plus notre carnet de commande, on fabrique en fonction des besoins exprimés par nos clients, on ne peut pas être au plus près du besoin client, on est sur une production adaptée à la demande. On laisse nos clients replanifier leurs chantiers et nous transmettre leurs nouvelles dates de livraison. On est beaucoup plus efficace ainsi et on ne produit pas des menuiseries qui vont rester en stock ». Actuellement, près de 35 % des clients ont repris leur carnet de commande et répondent à la démarche du Groupe Lorillard. Les usines sont en capacité de leur offrir une production efficiente et rapide. Les délais moyens étant passés de 4 semaines initiales à 2 semaines actuellement. « Les mesures pour les risques que nous avons mises en place sont efficaces. Toutes les mesures dites barrières sur les ateliers de production n’ont pas diminué nos performances de production, au contraire, elles sont au moins équivalentes à nos performances d’avant crise » précise Hubert Marti.   UN CONTEXTE ENCORE HESITANT En pleine période de confinement l’activité auprès des particuliers est délicate, les travaux ne reprennent pas, comme l’explique Hubert Marti : « ce sont des chantiers habités donc il faut que les clients acceptent que nos équipes interviennent chez eux. Ce secteur reprendra certainement son cours à la fin du confinement. Pour ce qui concerne les copropriétés, étant des milieux habités, c’est tout aussi complexe d’y intervenir. Il faudrait que l’on trouve des moyens de protection, type combinaison, pour intervenir. Nous en avons, une soixantaine jetable, mais elles sont réservées pour les interventions de dépannage type fenêtre cassée, volet roulant en panne, etc. ». A contrario, l’activité chantier s’est relancée mais faiblement, avec un peu moins de 20 % des chantiers qui étaient en cours, réouverts. Quelques métrages ont été faits, des commandes notables ont été prises pour le deuxième semestre voire l’an prochain. Sur le diffus, très peu de commandes ont été réalisées depuis le début du confinement ; elles se comptent en centaine.   S’ADAPTER POUR DEMAIN « La principale difficulté dans cette nouvelle organisation, pour nous, porte sur le changement culturel dans le relationnel que nous avons avec nos clients. C’est une toute autre manière de travailler, et cela prend beaucoup de temps, mais c’est nécessaire pour que nous produisions efficacement. » témoigne Hubert Marti. L’autre grande difficulté afférente à la disponibilité des moyens de protection a obligé le Groupe Lorillard à repenser et adapter ses postes de production. « Sur nos ateliers bois, nos employés portaient déjà des masques pour se protéger de la poussière de bois. Les masques FFP2 étant introuvables nous avons choisi de changer nos typologies de masque pour des masques à cartouche non jetables. Ces masques sont personnels et permanents, ils ont une durée de vie importante » explique Hubert Marti. Aujourd’hui le Groupe réfléchit particulièrement à une solution de protection pour les postes de travail pour lesquels les masques ne sont pas obligatoires mais sur lesquels le personnel qui y travaille souhaite en porter. Avec la pénurie de masque et les problèmes d’approvisionnement, l’équipe réfléchit activement à une solution, un autre moyen que le masque, qui puisse les protéger efficacement. Ces dernières semaines, les priorités du Groupe Lorillard furent d’identifier les besoins des clients et de maîtriser les capacités de production, comme le précise Hubert Marti : « Notre production est stable avec de nouvelles règles de fonctionnement mais totalement efficiente. Avec le temps, les chantiers vont réouvrir, peut-être 35 à 40 % dans les 2 ou 3 prochaines semaines ». Dans la phase actuelle de la crise et dans les semaines à venir, le Groupe ne détermine pas de plan de relance à proprement parler. L’ignorance générale sur les mesures de reprise du gouvernement, sur les investissements des particuliers, sur la reprise des chantiers ou sur l’état de santé des fournisseurs et des clients, ne permet pas de présager l’avenir avec certitude. Fidèle à ses valeurs, Lorillard fait le choix de se concentrer sur l’impulsion de nouvelles manières de travailler, tant au plan technique qu’administratif, pour préserver la santé de son personnel et répondre efficacement aux besoins de ses clients.
Il y a 5 ans et 18 jours

Nos conseils pour égayer sa terrasse

Vous avez remarqué que votre terrasse avait triste mine ? Voici des idées faciles et géniales qui ne coûtent pas cher pour la mettre en valeur. Que ce soit pour la lumière, le mobilier ou les accessoires déco, vous avez autant de possibilités pour inviter une touche colorée dans votre terrasse. Habiller la terrasse avec des rideaux Pour aboutir à cette idée, vous n’avez nul besoin de mettre de triangles pour installer vos panneaux de rideaux. Idéal pour les bricoleurs débutants, cette astuce est très facile à faire. Il suffit d’acheter des agrafes à rideaux et des crochets pour y poser les voiles. Il n’y a rien de plus simple pour apporter une touche décorative à votre terrasse. Planter des fleurs dans des pots  Cette astuce est à la fois décorative, mais elle facilite aussi l’aménagement du jardin. Au lieu de déterrer vos plantes à chaque fin de saison, mettez-les plutôt dans des pots. Vous avez un large choix en ce qui concerne la forme : ronde, carrée, rectangulaire, ovale, ainsi que la matière ou la couleur. Installer une chaise suspendue  Vous avez déjà rêvé de faire une petite sieste sur la terrasse dans un lit suspendu ? Cette rêverie peut devenir une réalité en installant une chaise en bois à suspendre comme un hamac, par exemple. Si votre terrasse est couverte et possède un plafond en béton, n’hésitez pas à le percer pour y fixer un crochet. Il existe aussi des fauteuils suspendus accompagnés de supports. Mais, il faut prévoir des poteaux et une poutre transversale. Si votre terrasse est en bois, la repeindre Cette partie de la maison est soumise aux nombreuses conditions climatiques et subit plusieurs agressions qui la marquent dans le temps. La meilleure option pour arranger cela, c’est de repeindre la terrasse tout entière. Commencez par poncer et nettoyer toute la surface. Ensuite, mettez une première couche de peinture depuis les angles et les bordures jusqu’à ce que vous couvriez toute la terrasse. Après 24 à 48 h, elle sera de nouveau prête à être utilisée. Poser des carreaux multicolores sur la terrasse pour donner une touche vintage Dans le cas d’un espace en béton posé sur une dalle de terrasse, vous pouvez délimiter l’espace et l’embellir en même temps : installez des carreaux sur le sol de votre terrasse. Vous pouvez poser de grands carreaux à base simples, ou d’autres en grès cérame émaillé pour apporter de la couleur à l’extérieur ou encore des carreaux à motifs géométriques.
Il y a 5 ans et 18 jours

"Nous vendons des masques pour contrer les tarifs abusifs", F. Porcel, ITE Shop

TROIS QUESTIONS A... Franck Porcel dirige la PME toulousaine Géo Technic et a récemment lancé le site d'e-commerce ITE-Shop, dédié au matériel pour l'isolation par l'extérieur. Suite à la crise du covid-19, il propose des masques de protection. Il nous explique pourquoi et comment.
Il y a 5 ans et 18 jours

Covid-19 : le Pôle Fenêtre FFB et l'OPPBTP diffusent un complément d'information pour les menuisiers

Réalisée avec le concours de toutes les organisation du Pôle Fenêtre FFB et validée par l'OPPBTP, elle s'appuie sur les fiches déjà existantes, sur le site de l'OPPBTP, et comporte une fiche récapitulative des actions à mener pour chaque chantier.Elle doit permettre la reprise des chantiers chez le particulier dans les conditions de sécurité sanitaire optimisées pour les salariés des entreprises et pour les particuliers.Pour la télécharger, cliquez ici.
Il y a 5 ans et 18 jours

Des ouvrages d'art en béton préfabriqué sur le contournement de Strasbourg

INFRASTRUCTURE. Sur le tracé du contournement de Strasbourg, de nombreux ouvrages d'art sont à bâtir. La réalisation de 15 d'entre eux a été confiée à un groupement mené par Capremib, dont 8 en éléments préfabriqués.
Il y a 5 ans et 18 jours

Le chantier de Notre-Dame, en sommeil depuis la mi-mars, reprend progressivement

L'architecte en chef, Philippe Villeneuve, et une dizaine de responsables de la maîtrise d'ouvrage, se sont réunis lundi matin dans les bureaux de la base-vie au chevet de la cathédrale pour examiner des options complexes: après le plomb, le coronavirus exige de nouvelles mesures drastiques de distanciation et d'hygiène.Sur le chantier mis en sommeil mi-mars rien ne bougeait encore: le démontage de l'immense échafaudage ne devrait pas démarrer avant une semaine ou deux, le temps d'optimiser les mesures anti-contamination et de retenir les meilleurs options pour le travail des cordistes dans les airs.Le général Jean-Louis Georgelin, qui pilote "la task-force Notre-Dame", a répété sur Europe 1 l'objectif des cinq ans fixé par Emmanuel Macron: "nous ferons tout pour que les délais soient respectés. Cela veut dire être en mesure de rendre la cathédrale au culte". "Cela ne veut pas dire que tout sera terminé", a-t-il remarqué.Retardé par l'alerte au plomb et les intempéries, le démontage -- véritable chantier dans le chantier -- de 10.000 tubes de métal tordus et soudés de l'ancien échafaudage, devait enfin reprendre le 23 mars. Las, le coronavirus en a décidé autrement. "Il y a un vrai ras-le bol, ils veulent tous se débarrasser de cet énorme machin", soulignait lundi à l'AFP un familier du chantier.Un documentaire diffusé sur France 2, "Sauver Notre-Dame", a montré la grande cohésion des équipes pour ce "chantier du siècle" d'une complexité inouïe et aussi l'exaspération de nombreux intervenants quant aux retards provoqués par les mesures sanitaires imposées avant le coronavirus.Lente montée en puissanceLa reprise a été décidée après consultation des entreprises et conformément aux "préconisations de sécurité sanitaire".L'ancien chef d'État-major des armées a prévu "trois étapes" au fil de la montée en puissance des effectifs en mai: 1/remise en fonctionnement de la base-vie, 2/achèvement des travaux qui étaient en cours mi-mars, concernant notamment les nouvelles installations de décontamination, 3/ lancement de la dépose de l'échafaudage sinistré (qui devrait prendre quatre mois)."Pour les cordistes, la distanciation sociale est évidente", avait expliqué en avril le général Georgelin à l'AFP, en plaidant déjà pour la reprise partielle.Une réunion du collège interentreprises de sécurité, de santé et des conditions de travail (CISSCT) devait se tenir lundi après-midi en présence de l'Inspection du travail."Il est extrêmement important d'assurer à chacun en amont des conditions sûres face à la pandémie", a encore insisté lundi Jean-Louis Georgelin.Le découpage pourra se faire à partir de nacelles, ou de la poutre métallique montée au-dessus de l'échafaudage. La grue géante déposera ensuite au sol chaque pièce découpée.Les compagnons disposeront de masques et de gel hydroalcoolique.Une extension de la base-vie doit être ouverte d'ici 3 semaines dans des baraquements sur le bord de la Seine. Il s'agit surtout d'installer de nouvelles douches à distance les unes des autres, préservant mieux de la décontamination, alors que le nombre d'ouvriers sera accru.Avant mi-mars, le chantier mobilisait entre 60 et 70 ouvriers chaque jour.Sodexo et Accor, partenaires de la Fondation du patrimoine (FdP), ont apporté leurs soutiens logistiques.Alors que la chaîne d'hôtels logera à prix coûtant des compagnons venant souvent de province, une convention signée avec la FdP prévoit que Sodexo livrera, à titre gracieux, des repas chauds pour le déjeuner et des repas à emporter pour le dîner."Il faut faire en sorte que l'activité économique puisse redémarrer", a martelé lundi le général Georgelin, rejoignant la préoccupation de la Fondation de faciliter en France des chantiers du patrimoine pourvoyeurs de nombreux emplois pour les PME.Le chef de l'Établissement public a reconnu qu'il y aurait un coût supplémentaire dû à tous les retards, coût que "nous n'avons pas encore complètement chiffré". L'achèvement de la phase actuelle de sécurisation est toujours prévu avant la fin 2020.
Il y a 5 ans et 18 jours

Gênes a de nouveau son pont

La ville retrouve sa ligne d’horizon, celle d’un nouveau viaduc qui efface, sans la faire oublier, la tragédie du Pont Morandi. Un chantier conclu en un temps record.
Il y a 5 ans et 19 jours

Covid-19 : une médiatrice nommée pour trouver des solutions aux loyers des commerces en difficulté

Le ministre a "chargé Jeanne-Marie Prost d'une mission de médiation sur les loyers des commerçants", écrit le ministère dans un communiqué.Mme Prost, "qui a été médiatrice nationale du crédit, est actuellement présidente de l'observatoire des délais de paiement", précise Bercy.M. Le Maire a indiqué sur France Info que la médiatrice "devra nous apporter des solutions d'ici quelques semaines pour qu'effectivement, on allège la charge des loyers pour les commerçants de taille moyenne ou plus importante qui vont avoir un mal fou à faire face à ces échéances".Seize fédérations de commerce, dont le Syndicat National de la Restauration Thématique et Commerciale, l'Union de la Bijouterie Horlogerie ou l'Union Sport & Cycle ont réagi dans un communiqué en souhaitant "que cette médiation permette de travailler dans un état d'esprit constructif pour trouver des solutions collectives à la hauteur des enjeux et applicables à l'ensemble de la profession".Elles demandent "l'annulation des loyers durant la période de fermeture des commerces" pour l'ensemble des points de vente accueillant du public, ainsi que "l'adaptation du montant du loyer à la réalité de l'activité dans les mois à venir, compte tenu d'une reprise qui sera très progressive et donc risquée économiquement et socialement".Trois présidents de région (Nouvelle-Aquitaine, Bretagne et Hauts-de-France) ont également demandé mercredi dans une lettre à M. Le Maire un "système de progressivité" des loyers des commerçants "à partir de la reprise de l'activité".Le ministre a jugé que leur courrier était "tout à fait bienvenu et parfaitement légitime"."Nous avons déjà obtenu des grandes foncières qu'elles annulent trois mois de loyers pour les très petites entreprises de moins de dix salariés qui ont été obligées de fermer", a rappelé M. Le Maire."Est-ce qu'il faut aller plus loin ? Oui. Est-ce qu'il faut ouvrir une négociation entre les grandes foncières, les grands bailleurs et les autres commerçants, ceux qui par exemple ont des chaînes et des franchises ? Ma réponse est oui", a encore dit le ministre de l’Économie.Selon lui "les discussions vont être difficiles" car il y a "des enjeux financiers qui sont extrêmement élevés".Le ministre a en outre fait part de son souhait que tous les commerces puissent rouvrir après le 11 mai, en dehors des cafés et restaurants.
Il y a 5 ans et 19 jours

Demandeurs d'emplois en France, les derniers chiffres d'avant crise

L'année 2019 s'était achevée avec une baisse nette du nombre de demandeurs d'emplois sans activité (-3,3%), incitant le gouvernement à poursuivre son objectif ambitieux d'un taux de chômage à 7% à la fin du quinquennat.Janvier et février semblaient continuer sur cette même lancée, laissant entrevoir une nouvelle baisse sur les trois premiers mois de l'année, incluant les quinze premiers jours de confinement.Mais la crise sanitaire a fait dérailler l'économie française et mondiale en seulement quelques semaines.Dans son projet de budget rectificatif, le gouvernement table sur une contraction du Produit intérieur brut de 8% cette année, un déficit de 9% du PIB, une dette publique de 115%.Afin d'éviter des licenciements brutaux, le gouvernement a mis en place, et a élargi, le dispositif d'activité partielle dont bénéficient à l'heure actuelle plus de dix millions de Français, soit un salarié du privé sur deux.Ce dispositif a permis pour l'instant d'éviter des inscriptions à Pôle emploi même si certains, en CDD, en mission d'intérim, comme dans le secteur très touché de l'hôtellerie-restauration, se sont retrouvés sans emploi, et sans filet. Ils ont dû aller s'inscrire.D'après les derniers chiffres provisoires publiés chaque semaine par la Dares, le service de statistiques du ministère du Travail, les inscriptions ont augmenté de 12,6% entre le 15 mars et le 11 avril par rapport à la même période de l'année précédente.Après un pic (+31%) lors de la troisième semaine de mars, la hausse a ralenti, avec même une stabilité lors de la dernière semaine mesurée (4 au 11 avril). Dans de récentes prévisions, l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) prévoyait une hausse du nombre de chômeurs de 460.000 pendant les deux mois de confinement."Année difficile""Cela va être une année difficile en terme d'emplois", a reconnu la ministre du Travail Muriel Pénicaud."Il va y avoir des licenciements économiques qui vont tomber, on ne pourra pas faire autrement", pronostique auprès de l'AFP une source syndicale.En mars, le nombre de déclarations d'embauche de plus d'un mois (hors intérim) a reculé de 22,6% par rapport au mois de février, selon les Urssaf. Pôle emploi avait bien précisé que le contrôle de la recherche d'emploi était "suspendu" et "qu'aucun demandeur d'emploi ne serait radié ou sanctionné" pendant la période de confinement.Par ailleurs, pour ceux des inscrits qui étaient indemnisés et arrivaient en fin de droits, la période a été prolongée. Les salariés ayant démissionné juste avant le confinement parce qu'ils avaient une promesse d'emploi peuvent bénéficier de l'assurance chômage.Au début de la crise, l'exécutif a suspendu, jusqu'en septembre, le second volet de la réforme de l'assurance chômage qui durcit le calcul de l'allocation pour les travailleurs précaires, alternant contrats courts et périodes de chômage, et qui devait entrer en vigueur au 1er avril.Il a également suspendu la mesure sur la dégressivité des allocations au bout de six mois pour les demandeurs d'emploi ayant eu de hauts salaires, qui pouvait en théorie commencer à s'appliquer au 1er mai.Les syndicats, tous vent debout contre cette réforme demandent son retrait, en particulier le durcissement des conditions d'accès (avoir travaillé six mois sur les 24 derniers mois au lieu de 4 mois sur les 28 derniers mois) entré en vigueur en novembre. La ministre du Travail a assuré en outre que "les plans de relance" par secteurs prendraient en compte les jeunes, qui sont déjà particulièrement touchés par le chômage et voient leur entrée sur le marché du travail entravée."On ne peut pas avoir une jeunesse qui a une dette sur les épaules, les problèmes écologiques, et en plus pas d'avenir en matière d'emploi et de formation, cela ne serait pas responsable de notre part", a assuré Mme Pénicaud devant quelques journalistes.
Il y a 5 ans et 19 jours

Covid-19 : comment profiter de la crise pour optimiser les compétences numériques dans le BTP ?

Comment le futur de la construction s'appuiera sur les compétences numériques ?En cette période particulière d’épidémie sanitaire liée au COVID-19, lors de laquelle de nombreux chantiers tournent au ralenti voire même sont fermés, il est important de repenser les modes d’organisation du travail dans le secteur de la construction et de réfléchir à l’optimisation des compétences numériques pour permettre au secteur d’être toujours plus performant.En effet, le COVID-19, phénomène totalement imprévisible a placé l’industrie du BTP face à une courbe d'apprentissage numérique abrupte. Tout le secteur s’en trouve impacté. Cependant, pour les nombreux travailleurs, dans l'impossibilité de se rendre sur leur chantier ou au bureau, perfectionner leurs compétences numériques pendant cette période de confinement peut constituer une véritable opportunité. Agir immédiatement pour accélérer le parcours de transformation numérique aidera l'industrie à combler ses lacunes et se préparer aux tendances qui marqueront les prochaines années, parmi lesquelles la construction durable et le développement des villes intelligentes.Une pénurie de compétences avérée en France et en EuropeÀ l'instar de nombreux autres pays, le secteur de la construction française fait face à une pénurie de compétences. Le taux de vacance européen de la construction a augmenté depuis 2009 et le manque de compétences disponibles a une réelle incidence sur les développeurs et les entreprises du bâtiment. Une pénurie de main-d'œuvre peut nuire grandement à la livraison de projets en allongeant les délais nécessaires à leur achèvement et en pesant sur les marges. De surcroît, dans la plupart des pays, la construction n'a pas fondamentalement évolué depuis plus d'un siècle, et ce secteur présente des décennies de retard en termes de transformation numérique. C'est pourquoi, il devient de plus en plus difficile d'attirer et de former une nouvelle génération d'employés.Les causes de la pénurie de compétencesComme pour la plupart des pénuries de compétences, il s'agit d'une combinaison de différents facteurs. Dans le secteur de la construction, on compte trois éléments clés :Fidélisation du personnel : Le turnover dans ce secteur est important. Les salariés changent régulièrement d’emploi et d’entreprise. C'est pourquoi les sociétés de construction doivent constamment recruter de nouveaux collaborateurs pour les remplacer. Oui, attirer de nouveaux employés dans ce secteur constitue un défi, car il est souvent perçu comme à la traîne sur le plan technologique.Personnel vieillissant : En Europe, le nombre d'employés de 25 à 49 ans travaillant dans la construction a diminué de près de 4% entre 2008 et 2015, tandis que les 50 à 64 ans ont augmenté de 6%. En raison de la grande proportion de travailleurs de plus de 50 ans sur la plupart des chantiers, on peut s'attendre à de nombreux départs en retraite à brève échéance.Évolution des compétences : Alors que nous dirigeons vers un avenir de construction durable et de villes intelligentes, de nombreuses nouvelles compétences deviennent vitales. Les personnes possédant des connaissances numériques et techniques sont de plus en plus demandées, car les villes intelligentes nécessitent la création d'une « empreinte » numérique ainsi que la capacité à mieux gérer les données.Préparons-nous à l'avenirEn devenant un secteur axé sur le numérique, la construction peut constituer une proposition de carrière attrayante pour des effectifs jeunes parfaitement préparés à pallier la pénurie de compétences. Tandis que la construction évolue en s'orientant vers les villes intelligentes et les méthodes durables, la prochaine génération d'employés dotés de compétences numériques sera cruciale pour développer des bâtiments intégrés plus efficaces. Les compétences de gestion de l'information seront également essentielles : on estime que 80.000 travailleurs devront être formés en France au bâti immobilier modélisé (BIM) rien qu'en 2020.Prouver que ce secteur est innovant, collaboratif et tourné vers l'avenir le rendra plus attrayant pour les nouveaux entrants, et aidera à pallier la pénurie de compétences avant que la situation ne devienne plus grave à l'avenir. Les « natifs » numériques souhaitent travailler dans un domaine dynamique, visionnaire et passionnant. C'est pourquoi l'adoption d'outils et de technologies numériques est un moyen de démontrer que ce domaine avance dans la bonne direction.L’exemple à suivre : la construction numérique dans la région APACBien que la construction ait pris du retard par rapport à d'autres secteurs tels que la finance et la distribution en termes de transformation numérique, une région enregistre une tendance inverse : la région Asie-Pacifique (APAC). Grâce aux investissements de grande ampleur dans la 5G et la numérisation de manière générale, l'infrastructure de la région favorise une approche de la construction davantage axée sur le numérique. Dans des pays tels que le Japon et Singapour, ce secteur est déjà hautement numérisé. À titre d'exemple, l'ITM (Industry Transformation Map) de Singapour étudie l'utilisation des technologies numériques pour « intégrer les procédures de travail et connecter les acteurs travaillant sur projet ». Toutes les équipes sont équipés d'appareils mobiles, qui sont devenus une seconde nature pour communiquer via une plateforme numérique, effectuer un contrôle des anomalies à l'aide d'un outil numérique, ou transmettre les données d'un incident de sécurité à leurs collègues. Il s'agit là d'un parfait exemple de ce que le secteur de la construction européenne devra numériser pour parer à la détérioration de sa pénurie de compétences.Comme dans le reste du monde, elle devra suivre les traces de la région APAC en adoptant un modèle numérique axé sur les données. Dans le cas contraire, elle risquera une aggravation de sa pénurie de compétences et la perte de ses clients au profit des entreprises de la région APAC ayant déjà achevé leur transition numérique. Pour attirer et conserver les effectifs, pallier une main-d'œuvre vieillissante et garantir la disponibilité des compétences nécessaire à l'avenir de la construction, la numérisation constitue la meilleure réponse.
Il y a 5 ans et 19 jours

La dimension sensible de l’architecture

Calculé, chiffré, normé, l’art de bâtir est, selon Philippe Burguet et David Hamerman, de plus en ...En savoir plus Cet article La dimension sensible de l’architecture est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 5 ans et 19 jours

Covid-19 : La France dans la dernière ligne droite pour présenter son plan de déconfinement

Ce plan sera présenté mardi après-midi à l'Assemblée nationale par le Premier ministre Édouard Philippe, avec un vote dans la foulée malgré les protestations de partis d'opposition. Ils réclamaient un report du vote à mercredi, alors que seuls 75 des 577 députés peuvent se rendre dans l'hémicycle.C'est "une brutalité de plus", a dénoncé sur Twitter Jean-Luc Mélenchon (LFI), tandis que le patron des députés LR Damien Abad demande "24 heures de plus pour un travail de fond en commission et la consultation de nos collègues qui ne pourront siéger".C'est un véritable exercice d'équilibriste auquel le gouvernement doit se livrer: relancer l'économie sans relancer l'épidémie.La crise s'est traduite très concrètement dans les chiffres du chômage en mars, avec une hausse record de 7,1% sur un mois (+246.100 personnes).Résultat, le ministère du Travail dit vouloir engager "une réflexion avec les partenaires sociaux" pour "adapter rapidement" les règles d'assurance chômage. Les syndicats réclamaient unanimement, dès avant la crise sanitaire, que le gouvernement abandonne entièrement sa réforme de l'assurance chômage.Il a suspendu jusqu'en septembre un volet qui durcit le calcul de l'allocation pour les travailleurs précaires, alternant contrats courts et périodes de chômage, et qui devait entrer en vigueur au 1er avril. Ce sont eux qui se sont inscrits à Pôle emploi en mars.1er bilan après six semaines de confinementCela fait presque six semaines que le pays est confiné pour freiner la propagation du nouveau coronavirus qui a fait depuis le 1er mars 22.856 morts dans le pays, dont 242 nouveaux décès en 24 heures.Parmi les morts : l'ancien sénateur Henri Weber, cofondateur de la Ligue communiste révolutionnaire, figure de la gauche et de mai 68, décédé à 75 ans.La situation dans les hôpitaux s'améliore encore un peu avec 152 décès en 24 heures, le bilan quotidien le plus faible en cinq semaines, et une baisse continue depuis dix-huit jours des patients en réanimation pour Covid-19 (4.682 personnes).Mais les services de réanimation/soins intensifs, qui comptaient 5.000 lits avant la crise, restent sous pression avec encore 7.553 hospitalisés, toutes causes confondues.Le groupe Korian, pointé du doigt pour sa gestion dans ses maisons de retraite en France, a comptabilisé 606 décès liés au Covid-19 sur 23.000 résidents.A deux semaines du début du déconfinement, les questions sont nombreuses: où rendre les masques obligatoires ? Quels tests et pour qui ? Réouverture des commerces partout ou par régions ? Quid des entreprises ? Et les vacances d'été ?Le Conseil scientifique chargé d'éclairer le gouvernement a livré samedi soir ses recommandations pour une "levée progressive et contrôlée du confinement".Casse-tête des écolesDivergence notable avec les choix gouvernementaux, il préconise que crèches et établissements scolaires restent fermés jusqu'en septembre mais a pris "acte de la décision politique" de les rouvrir progressivement dès mai, en "prenant en compte les enjeux sanitaires mais aussi sociétaux et économiques"."Le conseil scientifique est là pour donner un certain nombre d'informations mais c'est le pouvoir politique qui décide", a expliqué à l'AFP son président, Jean-François Delfraissy."Sur le plan sanitaire, si vous demandez à des gens qui gèrent une épidémie, ils aimeraient que tout le monde reste à domicile jusqu'à ce qu'il n'y ait plus un cas. Bien évidemment ce n'est pas possible", a souligné Franck Chauvin, président du Haut conseil de la santé publique.Pour la rentrée scolaire, qui doit être progressive, le conseil préconise notamment le port obligatoire d'un masque antiprojections dans les collèges et lycées, pour le personnel et les élèves.Les experts suggèrent aussi le déjeuner en classe, la prise de température à la maison chaque matin avant l'école et des stratégies pour éviter les brassages d'élèves. Mais ils écartent la faisabilité et l'intérêt d'un dépistage massif.Cette note devrait servir de "base", a jugé Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Education nationale.Au-delà des questions scolaires, le Conseil scientifique préconise d'autoriser les déplacements entre régions par transports en commun si les mesures de précaution sont respectées. Il déconseille cependant "fortement" les déplacements internationaux pendant encore quelques mois.Les principaux syndicats de la SNCF et de la RATP s'inquiètent des conditions du déconfinement dans les trains, RER et métro. "On veut des masques, des protections, un certain nombre de dispositions, pour être sûr qu'on ne se contaminera pas", qu'"on ne contaminera pas les usagers, les familles", a réclamé Laurent Brun, secrétaire général de la CGT-Cheminots, premier syndicat du groupe ferroviaire sur BFMTV.Pourra-t-on alors partir en vacances cet été ? "Les deux mois qui viennent sont cruciaux", a expliqué Franck Chauvin. "Si le nombre de nouveaux cas par jour commence à ré-augmenter, c'est que l'épidémie va repartir, et donc il va falloir reprendre des mesures".Vote mardi ou mercredi, selon Braun-PivetLe vote sur le plan de déconfinement qui sera présenté mardi à l'Assemblée nationale par Edouard Philippe aura lieu mardi ou mercredi, selon ce que décidera la conférence des présidents, a annoncé lundi La présidente de la commission des lois Yaël Braun-Pivet (LREM)."Nous allons pouvoir voter soit le jour même, soit le lendemain, la conférence des présidents se réunit tout à l'heure à 9 heures 30 et elle va pouvoir en décider après avoir écouté tous les groupes politiques et le ministre en charge des relations avec le Parlement" Marc Fesneau, a expliqué sur Sud Radio la députée LREM.Selon elle, un vote mardi ou mercredi, "c'est un peu l'écume des choses", "c'est un faux débat", alors que les oppositions se sont insurgées contre le manque de temps entre la discussion à l'Assemblée et le vote."Je n'ai aucune préférence sur le moment du vote, ce qui est important, c'est que le débat ait lieu, qu'il y ait un vote et que le Premier ministre présente le plan de déconfinement, c'est ça l'essentiel", a-t-elle ajouté.Édouard Philippe présentera mardi à 15H00 devant l'Assemblée nationale "la stratégie nationale du plan de déconfinement" qui doit débuter le 11 mai.Depuis cette annonce samedi, les oppositions réclament davantage de temps pour la juger. Mais même au sein de La République en marche, des députés, comme Martine Wonner, avaient contesté le délai trop court pour se prononcer.Yaël Braun-Pivet a également confirmé qu'il n'y aurait finalement pas de vote spécifique sur l'application de traçage des données mobiles "StopCovid"."Demain, ça fera partie du débat global, c'est ce que moi j'appelais de mes vœux et c'est ce que un certain nombre d'interlocuteurs, la CNIL, le conseil national du numérique appelait, parce que ce tracking ne peut être pris en compte que dans le cadre d'une stratégie globale", a-t-elle expliqué."Une Appli toute seule n'est pas magique n'est pas miraculeuse et ne fera pas le job, il faut que ça s'insère dans un plan global et le Premier ministre demain va pouvoir nous dire si il entend l'utiliser, comment il va l'utiliser et comment cette brique va s'insérer dans le mur de la stratégie globale", a-t-elle précisé.
Il y a 5 ans et 19 jours

Covid-19 : Les mandats des syndics de copropriétés prolongés plus longtemps que prévu

L'exécutif a amendé ses précédentes mesures, "compte tenu du délai nécessaire à l'organisation d'une assemblée générale des copropriétaires et du nombre d'assemblées générales à organiser", a-t-il expliqué dans un communiqué à l'occasion de la présentation d'une ordonnance en conseil des ministres.A cause du strict confinement imposé depuis mi-mars contre la propagation du Covid-19, les copropriétaires ne peuvent plus tenir d'assemblées générales. Or, c'est à cette occasion qu'ils décident s'ils renouvellent ou non le mandat de leur syndic, c'est-à-dire l'organisme généralement professionnel qui gère pour eux le fonctionnement de la copropriété, par exemple en matière de travaux.Dans un premier temps, fin mars, le gouvernement avait automatiquement prolongé les mandats des syndics qui devaient expirer entre le 12 mars et le 24 juin, soit un mois après la fin prévue de l'état d'urgence sanitaire. Ils étaient prolongés jusqu'à la tenue d'une assemblée générale, au maximum six mois après l'état d'urgence.Finalement, la nouvelle ordonnance prolonge les délais sur ces deux plans. Les mandats concernés sont désormais ceux qui arrivent à expiration jusqu'à deux mois après l'état d'urgence, soit le 24 juillet.Ils pourront être prolongés jusqu'à huit mois, et non plus six mois, ce qui porte à fin janvier 2021 la potentielle prolongation de certains mandats.A ce titre, l'ordonnance précise aussi que la rémunération des syndics se fera au prorata du tarif prévu par le contrat existant, en fonction du temps de prolongation.Enfin, elle applique les mêmes règles de prolongation aux copropriétaires élus au conseil syndical. Au sein d'une copropriété, il s'agit de l'organisme chargé de contrôler son bon fonctionnement au nom de tous les propriétaires.
Il y a 5 ans et 19 jours

Le catalogue Atlantem « Portails, clôtures et claustras 2020-2021 » est disponible

Les clôtures et claustras prennent une place importante pour créer un ensemble complet et un cocon harmonieux. Également au cœur des évolutions : la connectivité avec l'intégration d'un visiophone consultable à distance.Les coordonnés : tout en délicatesse et éléganceParmi les rares industriels à concevoir et fabriquer les trois familles de produits portes d'entrée, de garage et de portails, ATLANTEM favorise l'harmonie. Sa gamme TENDANCE s'élargit avec six nouveaux modèles (Abott, Bridge, Clayton, Gill, Lamb ou Patton) dont le design est coordonné à celui des autres fermetures. Les effets d'optique sont diversifiés : spirales en mouvement, lignes sans fin, ombres de bambous…Tôles découpe laser : le style végétal a le vent en poupeATLANTEM pousse la qualité de précision à son paroxysme avec sa gamme de portails en tôles découpe laser. De nombreux motifs sont disponibles et se voient enrichis avec les modèles Jungle et Papyrus. Leur finition met en lumière le détail des lignes et des motifs au style résolument végétal.Toujours plus loin dans la connectivité utileLe portail connecté peut aujourd'hui disposer d'un visiophone fonctionnant en wifi. Grâce à une application sur smartphone, il permet de savoir qui se présente sans être contraint par exemple de descendre de l'étage. Si l'utilisateur est au travail ou au marché, il peut ouvrir le portail à un livreur afin qu'il dépose un colis.La part belle aux clôtures et claustrasLa préservation de l'intimité constitue un critère de choix de plus en plus plébiscité. En complément du portail, les clôtures et claustras figurent parmi les équipements incontournables. Dans sa logique d'harmonie des extérieurs, ATLANTEM étoffe sa gamme avec des designs résolument tendance. Les tôles découpe laser apportent de la finesse avec les motifs jungle, bambou, papyrus, bienvenue, cubes, alvéoles et chevrons. Le claustra Nigelle se pare d'une lame en polycarbonate transparente ou effet dépoli, pour une touche de clarté.À l'écoute du terrain, ATLANTEM propose des claustras intégrant une plaque ciment. Une solution pratique pour ne plus abîmer la lame du bas lorsqu'on passe la tondeuse. Disponible en gris brut, anthracite, ton pierre et vert étuvé, elle se fond dans le décor environnant.
Il y a 5 ans et 19 jours

Covid-19 : reprise partielle des activités du Cerib

Ces reprises, même partielles, sont encourageantes et permettent d’anticiper la future sortie de crise et la reprise progressive de toutes les activités du Centre, dans des conditions optimales de sécurité.Les équipes de trois des pôles majeurs du Cerib, le service Métrologie, le Centre d’Essais au Feu et le laboratoire Thermique ont adapté leur dispositif de production dans certains laboratoires, avec la mise en place de protocoles stricts de respect des distances physiques et de prévention des risques pour toutes les personnes en activité.Elles ont notamment établi, sous l’autorité de leurs directeurs, les Plans de Continuité d’Activité adaptés, les Modes Opératoires spécifiques Covid-19 nécessaires à l’organisation du travail et à la gestion des équipements.Le service Métrologie a recommencé son activité d’étalonnage des moyens de mesure avec une équipe réduite. Le Centre d’Essais au Feu a repris la réalisation de tests de résistance au feu sur le four Prométhée. Pour cela, l’équipe, également réduite, a réceptionné de nombreux corps d’épreuve et prépare, dans un second temps, les prochains essais de résistance au feu sur le four Atlas et sur la plateforme d’essai au feu des façades. Le laboratoire Thermique a renoué quant à lui avec les essais de conductivité thermique, notamment sur les blocs en béton. Enfin, des essais mécaniques à froid sont en préparation dans le grand hall abritant la dalle de test des structures d’ouvrages.Cette reprise progressive des activités du Centre a été possible grâce à la mobilisation des salariés et à la mise en place d’un environnement de travail sécurisé.Elle permet d’assurer la continuité de l’accompagnement des industriels et des acteurs de la construction dans leurs besoins et projets, et d’atténuer les effets de cette crise sans précédent.Le Centre d’Études et de Recherches de l’Industrie du Béton (Cerib) est un Centre Technique Industriel, reconnu d’utilité publique et institué en 1967 conjointement par le ministre chargé de l’Industrie et par le ministre chargé de l’Économie et des Finances, à la demande de la Fédération de l’Industrie du Béton (FIB). Avec près de 170 collaborateurs et un haut niveau d’expertise, ses équipements d’essais des produits et matériaux du BTP se déploient sur 15 000 m2 de laboratoires. Le Centre exerce son activité entre essais et évaluations, études et recherches, normalisation et certification, appui technique et transfert de connaissances, et dispose d’un centre de formation. Opérateur de recherche du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, ses travaux de R&D éligibles peuvent bénéficier du Crédit d’Impôt Recherche. www.cerib.comLe service Métrologie réalise l’étalonnage et la vérification de matériels de production et d’équipements de laboratoire dans différents domaines. Cette expertise au service de la qualité des mesures permet aux industriels de garantir la maîtrise de leurs procédés de fabrication et la qualité de leurs produits.Le Centre d’Essais au Feu du Cerib est un laboratoire de résistance au feu agréé par le ministère de l’Intérieur. Il réalise différents types d’essais, en fonction des besoins des concepteurs, sur tous types de matériaux, produits, éléments de structure ou ouvrages. Découvrez le Centre d’Essais au Feu sur www.labo-promethee.fr/Le laboratoire Thermique évalue la résistance thermique des éléments de construction en réalisant des essais de conductivité thermique sur des parois et parties d’ouvrages. Ces vérifications et essais sont accrédités COFRAC selon la norme NF EN ISO 17025 (portée disponible sur www.cofrac.fr).
Il y a 5 ans et 19 jours

Covid-19 : Vinci sauve son trimestre face au virus, grâce à l'international

Entre janvier et mars, le groupe a engrangé 9,69 milliards d'euros de revenus, soit environ le même niveau qu'un an plus tôt."Après un début d'année tonique dans la continuité de l'exercice précédent, l'activité de Vinci a fortement reculé après les mesures mises en place à l'échelle mondiale pour tenter d'enrayer le développement du Covid-19, et particulièrement en France à partir du 17 mars, date d'entrée en confinement", a résumé dans un communiqué Xavier Huillard, PDG du groupe.Vinci est affecté à plusieurs titres par la crise. Ses chantiers ont été largement contraints à l'arrêt, en particulier en France, et ses aéroports, un secteur dans lequel il s'est beaucoup développé ces dernières années, sont paralysés par les réductions drastiques imposées sur les voyages dans de nombreux pays.Ses chiffres ne donnent pour le moment pas toute la mesure des effets de la crise, les principales mesures n'ayant été imposées en Europe et aux États-Unis que depuis la fin du premier trimestre.Ainsi, si les revenus du groupe sont déjà en nette baisse en France (-6,3%), ils sont en hausse à l'étranger (+8,5%), en partie grâce à des chantiers moins affectés."A la différence de la France, où de très nombreux chantiers ont dû être interrompus, la situation à l'international est plus contrastée, l'activité ayant pu se poursuivre dans de nombreux pays à des degrés divers selon les métiers", a expliqué M. Huillard.Pour autant, cette résistance ne durera pas. Comme il l'avait déjà annoncé voici quelques semaines, Vinci ne se considère plus en mesure de faire progresser ses revenus et ses bénéfices cette année, ce qu'il escomptait avant la crise."Toutefois, à ce stade, les incertitudes sur le rythme et l'ampleur du redémarrage de l'activité ne permettent pas de quantifier les impacts financiers de la crise sanitaire sur les comptes 2020", a conclu le groupe.
Il y a 5 ans et 19 jours

UPM ProFi: Pionnier de l’économie circulaire

Depuis 2007, UPM ProFi est un pionnier dans la fourniture d’une seconde vie de haute qualité et durable à des matériaux qui seraient autrement mis en décharge ou incinérés. UPM ProFi Piazza One contient le pourcentage le plus élevé de matériaux recyclés de tous les principaux fournisseurs européens. En tant que solution européenne réellement locale, UPM ProFi utilise des déchets provenant d’Europe et a une faible empreinte carbone, tant pour les produits que pour le transport. Tous les produits UPM ProFi sont fabriqués à partir de matériaux recyclés (entre 50 % et 90 %), une solution qui contribue à réduire la mise en décharge et l’incinération des déchets. Les chutes peuvent être jetées avec les déchets ménagers ordinaires ou recyclées en énergie. Les matériaux composites sont eux aussi recyclables. Tous les déchets produits par nos usines sont recyclés. Malheureusement, il n’existe pas de service paneuropéen permettant de collecter les chutes et les matériaux issus de vieilles terrasses pour les recycler dans nos usines. Mais cela ne saurait tarder… Toutes les fibres des matières premières UPM ProFi sont certifiées PEFC Regardez cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=lZ0sLX8gZd4&feature=youtu.be  
Il y a 5 ans et 19 jours

Covid-19 : la construction des stades pour le Mondial-2022 au Qatar se poursuit malgré la pandémie

Des dizaines d'ouvriers en bleu de travail et aux visages recouverts de bandes de tissus plus ou moins improvisées s'affairaient sur l'ossature du stade Lusail qui accueillera la finale de la Coupe du monde de football, selon les journalistes de l'AFP.Tous gardaient une certaine distance entre eux sur le chantier de ce stade qui doit devenir le plus grand du pays, avec au total 80.000 places, d'après la même source.Le comité en charge de l'organisation du tournoi a affirmé dans un communiqué "réexaminer la situation en continu et prêt à prendre les mesures nécessaires pour protéger la santé et la sécurité de tous les ouvriers et du personnel"."Ces mesures peuvent inclure la suspension temporaire du travail (sur les chantiers) si nécessaire", ont-ils ajouté.Jusqu'à présent, les organisateurs du Mondial-2022 ont affirmé avoir enregistré huit cas de contamination au nouveau coronavirus sur les chantiers de trois stades. Aucun bilan n'a été donné par les organisateurs depuis six jours.Les autorités qataries ont déclaré officiellement pour leur part 7.764 cas de personnes infectées par la maladie Covid-19, dont dix décès.A partir de dimanche, le port de masque sera obligatoire pour toute personne travaillant dans le secteur de la construction, ont annoncé les autorités du pays.Et les bus acheminant les employés depuis leur lieu de travail jusqu'à leur domicile doivent aussi veiller à ce que leurs passagers s'assoient de manière suffisamment espacée pour limiter les risques de propagation du virus.Selon des ONG, les conditions de vie et de travail des travailleurs immigrés dans le Golfe les exposent davantage au risque d'infection au nouveau coronavirus.
Il y a 5 ans et 19 jours

Kiribati : des villages flottants offrent une solution pour une nation en perdition

Kiribati est un petit village isolé, composé de 33 îles situées au milieu de l’océan Pacifique. La montée des eaux océaniques due au changement climatique a mis Kiribati sous une immense pression. Pour y faire face, les architectes de la région ont conçu des habitations qui s’adaptent aux conditions climatiques. Le paysage de Kiribati à […]
Il y a 5 ans et 22 jours

Covid-19 : décès de Jean-Philippe Ruggieri directeur général de Nexity

"C'est avec une grande émotion et une profonde tristesse que Nexity a appris le décès de son directeur général, Jean-Philippe Ruggieri, cette nuit dans un hôpital parisien où il était soigné après avoir contracté le Covid-19", a précisé l'entreprise.Jean-Philippe Ruggieri, 51 ans, avait commencé sa carrière dans le groupe immobilier familial à Toulouse avant de rejoindre Nexity en 2001.Très grande tristesse suite au décès de Jean-Philippe Ruggieri, @Nexity. Bâtisseur et innovateur perpétuel. Engagé sur les défis sociaux et environnementaux. Homme de convictions et de valeurs. Il va bcp nous manquer. Toutes mes pensées à sa famille et à ses collaborateurs.— Julien Denormandie (@J_Denormandie) April 24, 2020
Il y a 5 ans et 22 jours

Travaux dans l'habitat individuel : la demande de devis des particuliers repart à la hausse

Le printemps, une saison faste pour les travauxLe printemps, et particulièrement le mois de mars, est habituellement, pour ForumConstruire.com, une période de forte affluence. Le trafic du site, quelque peu émoussé au sortir des fêtes de fin d'année, progresse ainsi de façon constante pour arriver à un pic, généralement rencontré au mois d'avril. L'annonce du début du confinement est donc arrivée dans une période où les particuliers débordent, traditionnellement, de nouveaux projets pour leur habitation.« C'est la raison pour laquelle cette annonce a eu un impact majeur sur la fréquentation de notre plateforme : nous avons ainsi perdu, quasiment du jour au lendemain, près de la moitié de notre trafic internet habituel. Plus précisément, le 17 mars dernier, premier jour de confinement, nous accusions une baisse de 45% de notre fréquentation, comparé à la même époque les années précédentes », commente Jean-Christophe Gigniac, Fondateur de ForumConstruire.com.Pourtant, une fois l'onde de choc des premières annonces passée, les statistiques des semaines 2 et 3 de confinement ont montré une lente remontée de l'audience générale du site, pour aboutir, en semaine 4, au niveau de fréquentation qui était celui d'avant la crise sanitaire liée au Covid-19. Aujourd'hui, en termes de fréquentation, ForumConstruire.com est ainsi revenu à son plus haut niveau, battant même, le 13 avril dernier, son record de visiteurs uniques sur les 365 derniers jours. « Pour nous, le constat est clair : les particuliers, confinés à leur domicile, recommencent à faire des projets d'amélioration de leur habitat », complète Jean-Christophe Gigniac.Comment cela se concrétise-t-il pour les entreprises du bâtiment ?Si les particuliers semblent actuellement fourmiller de nouveaux projets pour leur logement, nous pouvons légitimement nous demander comment ces « envies » de travaux se concrétisent et se répercutent du côté des professionnels du secteur. Se pencher sur l'évolution d'un autre site du groupe, en l'occurrence ViteUnDevis.com, permet d'en avoir un premier aperçu. ViteUnDevis.com est un site de « devis travaux », qui centralise les demandes de devis des particuliers en provenance de 1 097 sites Internet, dont ForumConstruire.com, pour les proposer à des artisans partenaires.En termes de fréquentation, là aussi, les statistiques montrent que les sept jours suivant les différentes annonces gouvernementales ont été marquées par une baisse importante du nombre de prospects, atteignant jusqu'à – 60% !Puis, sur ce site également, un rebond, certes lent mais constant, a été observé, jusqu'au week-end de Pâques où une véritable explosion du nombre de prospects traités a été constatée (+36,4% par rapport au premier week-end de confinement, celui des 21 et 22 mars). Une évolution qui permet d'ailleurs, aujourd'hui, au nombre de prospects traités via ce site d'atteindre son taux le plus haut sur les 365 derniers jours…« Déjà, de nombreux artisans, lorsque le respect des gestes barrières et des règles sanitaires est possible, reprennent progressivement leurs chantiers. Attention, il ne s'agit pas, pour nous, de prôner une reprise massive de ces derniers ! La santé de tous demeure évidemment la priorité. Néanmoins, cette période de confinement ne doit pas signifier, pour les entreprises du bâtiment, la suspension de toute démarche commerciale. Cela devrait même plutôt être le contraire ! En effet, face à cette hausse des demandes de la part des particuliers, il nous semble primordial que les acteurs du secteur agissent, dès maintenant, pour préparer l'après… Ainsi, les entreprises qui sauront répondre commercialement à ces demandes d'informations et/ou de devis, celles qui auront réussi à anticiper au mieux la reprise de leur activité, seront très probablement aussi celles qui parviendront à tirer leur épingle du jeu, en captant ces nouveaux chantiers. La concurrence étant moindre, les efforts pourraient être doublement payants ! », conclut JeanChristophe Gigniac.
Il y a 5 ans et 22 jours

Covid-19 : La crise sanitaire stoppe net la flambée des prêts immobiliers

"Le début de l'année 2020 a été très bon jusqu'au 15 mars", a résumé jeudi dans une vidéo Jean-Marc Vilon, directeur général de l'organisme Crédit Logement, qui réunit les principales banques françaises."Et puis est arrivé le moment du confinement, et à partir de là évidemment l'activité a baissé de manière extrêmement importante", a-t-il poursuivi, à l'occasion d'un bilan mensuel qui fait référence, établi par Crédit Logement avec l'institut CSA.Depuis la mi-mars, les Français sont contraints de rester chez eux et de nombreux commerces ont dû fermer, afin de lutter contre la propagation du coronavirus. Cette situation a logiquement plombé le marché immobilier, même s'il est encore trop tôt pour mesurer précisément l'ampleur de la chute des transactions.Le marché des prêts en donne toutefois une idée. Selon l'observatoire, leur nombre a reculé de presque 14% en mars, par rapport à un an plus tôt. Comme le confinement n'a été instauré qu'au milieu du mois dernier et est prévu jusqu'au 11 mai, la chute va probablement s'accentuer.Le coronavirus a donc fait ce qui semblait impossible depuis plusieurs années: bloquer un marché du crédit immobilier dont l'essor était tel qu'il commençait à inquiéter les autorités financières.Celles-ci demandaient depuis plusieurs mois aux banques de durcir un peu leurs conditions, alors que les prêts atteignaient en France un montant total historique. Les ménages profitent de taux qui n'ont jamais été aussi bas à la suite de la politique de crédit facile menée par la Banque centrale européenne (BCE).Les demandes des autorités ont, certes, eu des effets. Les banques ont prêté sur des durées un peu moins longues en moyenne - 229 mois en mars, soit légèrement plus que 19 ans - et surtout ont eu tendance à accroître la part d'emprunteurs jugés plus sûrs au détriment des ménages les plus jeunes et moins fortunés."Nombreuses inconnues"Mais, pris dans son ensemble, le marché avait peu changé: les prêts restaient historiquement nombreux et, en moyenne, les taux ne remontaient pas.Le coronavirus a-t-il vraiment changé la donne ou n'aura-t-il interrompu qu'un moment l'essor du marché ? C'est, pour le moment, impossible à dire et les acteurs évitent de s'y aventurer."On est face à une crise totalement inédite à la fois par son ampleur mais également par le type de crise", a souligné M. Vilon. "Elle a été choisie, finalement, par nos gouvernements. On a décidé d'arrêter l'économie"."L'impact sur l'immobilier résidentiel, c'est bien sûr moins de transactions en particulier en 2020", a-t-il avancé. "C'est sans doute encore un impact en 2021 mais on peut avoir des effets qui restent limités".Surtout, que feront les taux? Pour le moment, ils n'ont que très faiblement augmenté en mars - à 1,14% en moyenne -, mais ce chiffre mesure mal la réaction éventuelle des banques à la crise.Les données d'avril en donneront une meilleure idée, le temps que soient adaptés les barèmes. Or, plusieurs courtiers ont déjà évoqué une tendance à la hausse, même s'ils la jugent limitée."A ce stade, nous anticipons une hausse de taux pour la sortie de crise, mais celle-ci dépendra notamment de la longueur du confinement qui déterminera la durée où le marché est resté à l'arrêt", a jugé dans un communiqué le courtier Meilleurtaux.Mais "il convient d'être extrêmement prudent, car l'évolution dépend d'une équation dont nous ne maîtrisons pas les nombreuses inconnues", conclut-il.
Il y a 5 ans et 22 jours

La construction du plus long tunnel immergé du monde commencera en 2021 au Danemark

Long de près de 18 kilomètres, ce tunnel qui sera construit en creusant une tranchée dans des eaux peu profondes plutôt qu'en perçant un puits, doit relier les îles danoises de Lolland-Falster (sud de Copenhague) à la région allemande du Schleswig-Holstein, en passant sous la Baltique.
Il y a 5 ans et 22 jours

Schneider Electric annonce des ventes en repli au 1er trimestre mais reste confiant dans son modèle

Le chiffre d'affaires du spécialiste des équipements pour l'énergie et des automatismes industriels se monte sur ces trois premiers mois à 5,8 milliards d'euros, en baisse organique de 6,4% et à -7,6% en croissance publiée.Sur l'Asie-Pacifique (environ un quart de l'activité du groupe), les ventes sont en repli de 19,1%.Au deuxième trimestre, Schneider, qui avait connu en 2019 une année record, prévoit "un impact significatif" au vu des mesures de confinement instaurées dans le monde, tout en se disant "confiant quant à son profil de croissance".Le groupe, très présent en Europe et en Amérique du nord, "souhaite à ce stade s'abstenir de toute hypothèse quant à la forme et au calendrier de la reprise au second semestre 2020 ou au-delà".Mais "nous entrons dans cette crise avec des fondamentaux solides", a déclaré le PDG Jean-Pascal Tricoire, dans un communiqué, citant l'"approche multi-locale" de l'entreprise, l'essor de ses "services digitaux qui permettent de réaliser des opérations à distance" et "la solidité de la situation de trésorerie"."Nous sommes face à l'inconnu", a commenté jeudi le directeur général des finances Emmanuel Babeau, lors d'un point téléphonique avec la presse."Nous savons qu'avril sera impacté significativement dans de nombreuses géographies, en Europe et aux États-Unis. La Chine est en voie de récupération mais nous ne savons pas, pour le reste, ce que sera le rythme et la magnitude du rebond. Nous avons de nombreux scénarios sur la table, il est trop tôt pour dire lequel s'imposera", a-t-il dit, alors que Schneider a suspendu fin mars ses prévisions annuelles.Par exemple, la chute d'activité sur les marchés du bâtiment varie selon les pays: des projets de construction reprendront à la mise en place de mesures de sécurité, tandis que plusieurs gouvernements ont décidé la suspension de projets non essentiels."Dans ces temps incertains, nous avons une boussole, qui commence par la sécurité de nos personnels, puis la continuité de nos services, essentielle quand il s'agit d'hôpitaux, d'industries alimentaires, de centres de données... Et puis nous travaillons sur nos coûts", a énuméré M. Babeau.Le groupe affiche un montant de liquidités (incluant trésorerie et équivalents et lignes de crédits accordées) d'environ 9 milliards d'euros, "suffisantes pour lui permettre de mener à bien ses activités et rembourser ses dettes, tout en versant le dividende et en finançant les acquisitions déjà annoncées", note le communiqué.Au sortir de la crise, Schneider Electric "devrait être en mesure de tirer profit de l'essor des mégatendances portées par des initiatives gouvernementales" (tout électrique, tout digital, énergies renouvelables), estime le groupe. Il compte aussi sur "la montée en puissance des investissements" sur certains de ses principaux marchés (centres de données, infrastructures, bâtiments intelligents).
Il y a 5 ans et 22 jours

L’AFGC se mobilise pour soutenir ses jeunes collègues

L’AFGC souhaite apporter une aide à ses jeunes collèges en difficulté du fait de la pandémie de Covid-19. [©ACPresse] L’actuelle crise pandémique du Covid-19 a des conséquences économiques et sociales importantes. Les jeunes sont particulièrement touchés. « Depuis plus d’un mois et pour un mois encore, vous êtes dans une situation de confinement peu favorable au déroulement normal de vos activités. Mais aussi des actions qui y sont liées. Stages en entreprise, tâches expérimentales en laboratoire ou sur chantiers ont été stoppés nets. Etudes, alternances ou apprentissages sont plus que perturbés. Même chose pour ce qui concerne le début de votre vie professionnelle ou de votre recherche d’emploi », résume Bruno Godart, président de l’Association française de génie civil (AFGC). Fort de ce constat, l’organisme considère qu’il est naturel de se montrer solidaire. Ceci, avec tous ses adhérents, qu’il souhaite accompagner du mieux qu’il le peut. Un bel exemple d’entraide Ainsi, toute personne concernée qui rencontre un problème spécifique peut se rapprocher de l’AFGC. Les difficultés peuvent être multiples : absence totale de revenu, besoin en matériel informatique, recherche de logement. Mais aussi nécessité de se déplacer, chômage technique ou partiel, recherche d’un soutien ou d’échanges sur des travaux de recherche en cours, mise à disposition de documentation… Dans ce contexte, l’AFGC invite à un contact par mail [covid(at)afgc.asso.fr] en détaillant la situation personnelle. Et les éléments d’appréciation de non couverture par les dispositifs officiels existants.  L’ensemble, accompagné d’une demande précise d’aide (financière ou autre). Après examen par le Comité des affaires générales, dont Parick Guiraud assure la présidence, l’AFGC s’engage à apporter une réponse dans les meilleurs délais. Un bel exemple de solidarité et d’entraide. 
Il y a 5 ans et 22 jours

Association Mémo : « Féminiser la maîtrise d’œuvre est un atout pour la ville inclusive »

A gauche, Rossella Gotti, architecte urbaniste indépendante à la tête de sa propre agence. A droite, Anne Labroille, maîtresse d’ouvrage à l’Office HLM de Pantin et maîtresse de conférences associée au Master d’urbanisme de Nanterre. [©DR] Qu’est-ce qu’un “plafond de béton” ? Anne Labroille : C’est comme un plafond de verre, mais on ne voit pas au-dessus… Concrètement, il y a peu de femmes nommées aux postes de grande direction. Et peu de femmes qui créent leurs agences d’architecture. Les femmes représentent plus de 60 % des inscrits aux écoles d’architecture, mais seulement 28 % des inscrits à l’Ordre des architectes. Par ailleurs, il n’y a aucune agence dirigée par une femme dans le top 100 des agences d’architecture françaises ! Rossella Gotti : Les femmes architectes sont aussi beaucoup moins payées que leurs homologues masculins. Quand elles sont salariées, la différence est comparable à celle des autres professions. Mais en libéral, elle se creuse, atteignant 41 % de différence de revenus… Comment expliquez-vous ces inégalités ? Anne Labroille : Il y a peu de femmes à la tête d’agence d’architecture. Peu d’enseignantes dans les écoles d’architecture où, par ailleurs, on ne leur parle pas des femmes architectes de l’histoire ou contemporaines. Les prix d’architecture ne sont quasiment jamais décernés à des femmes. On les voit rarement dans les magazines professionnels… Les jeunes femmes architectes manquent de modèles à qui s’identifier. Rossella Gotti : Pour les femmes qui se sont installées en libéral, il y a ensuite une vraie difficulté d’accès aux grandes commandes. Comme il y a beaucoup d’hommes dans nos métiers, les commanditaires ont souvent tendance à penser à la figure de l’architecte homme. On fera appel aux femmes non pour un stade ou un pont, mais pour l’aménagement d’intérieur, avec de petites commandes.  Anne Labroille : Il y a aussi un problème d’accès aux réseaux d’influence. Les contrats sont souvent discutés lors d’évènements plutôt masculins, comme des compétitions de golf, de voile, de rugby… Qui plus est, le soir ou le week-end. C’est compliqué pour une femme d’y être invitée, de s’y faire une place et de se libérer pour y assister. Notre association Mouvement pour l’équité dans la maîtrise d’œuvre (Mémo) est d’ailleurs née d’une rencontre en 2016 au cours de laquelle les femmes présentes ont toutes fait le même constat : “Nous pouvions avoir un bon poste dans une grande agence, mais une fois à notre compte, nous devenions précaires”. Quelles sont les conséquences de l’absence des femmes sur notre environnement architectural ? Rossella Gotti : Déjà, la méconnaissance du travail passé des femmes architectes appauvrit l’histoire de l’architecture. C’étaient des architectes très souvent novatrices, car borderline.  Anne Labroille : D’autre part, nous concevons l’espace comme nous le vivons et comme nous l’avons étudié. Des bâtiments, des villes, des territoires conçus à égalité par des femmes et par des hommes seront mieux pensés pour tou-t-es. La féminisation de la maîtrise d’œuvre est un atout pour la construction de ville inclusive. De manière concrète, que fait votre association pour obtenir plus d’égalité ? Anne Labroille et Rossella Gotti présentent une surélévation sur une maison particulière lors d’une journée portes ouvertes des agences d’architecture. [©DR] Rossella Gotti : Nous menons plusieurs types d’action. Nous créons des données sur la visibilité des femmes architectes dans les prix, les médias, les publications, les expositions… Nous animons des conférences sur les inégalités professionnelles dans le monde de l’architecture et des visites de bâtiments construits par des femmes lors des “Journées du Matrimoine”.  Anne Labroille : En outre, nous promouvons une politique des quotas en faveur des femmes architectes dans les concours d’architecture, pour que celles-ci puissent au moins y participer. En effet, pour être présélectionné, il faut souvent avoir un chiffre d’affaires minimum, avoir déjà construit… Cela bloque les femmes qui sont déjà plus précaires, c’est un cercle vicieux.  Propos recueillis par Caroline Kim-Morange
Il y a 5 ans et 22 jours

Blocs, parements et chaperons Bradstone - Carré D'arc animent l'ambiance

Marques du Groupe Fabemi, BRADSTONE et CARRÉ D'ARC mettent à leur disposition un riche assortiment de modèles dans la ligne Béton Design.Les blocs Hadrien et Schistone BRADSTONE permettent de monter des séparations sur mesure, en parfaite harmonie avec l'environnement, les parements CARRÉ D'ARC animent un lieu, y compris à l'intérieur. Et, pour couvrir murs et piliers, les nouveaux chaperons de mur et chapeaux de pilier CARRÉ D'ARC ajoutent leur touche élégante à l'ouvrage.Apporter du rythme, jouer avec les matières, insérer de l'inattendu dans un décor… tout cela est possible avec les créations Béton Design issues du savoir-faire BRADSTONE et CARRÉ D'ARC. Une belle palette de textures et de coloris pour structurer l'espace avec goût.Blocs Hadrien BRADSTONE : un relief de pierre tailléeFaciles à poser, les blocs Hadrien BRADSTONE imitent parfaitement la pierre taillée à la main. Ils peuvent servir à construire un mur de séparation entre deux jardins, un muret courant le long d'une allée bordée de massifs, ou encore des jardinières. Leur tracé irrégulier accroche la lumière et apporte une ambiance chaleureuse.Les éléments Hadrien sont proposés en nuance Gironde. Ceux de forme incurvée permettent de réaliser des ouvrages en demi-cercle. Il existe également des blocs linteau droit, about, angle droit et angle gauche, sans oublier le bloc de chaînage et le couronnement.Les solutions apportées par les blocs Hadrien BRADSTONE se déclinent en muret, délimitation d'allée, coin terrasse et haut mur de séparation mitoyen. Ce dernier est décoré en son milieu d'une lame d'eau s'écoulant dans un bassin. Chaque structure est habillée de couronnements Hadrien BRADSTONE.Blocs Hadrien BRADSTONEBlocs : 60 x 15 x 7,5 cm Prix public indicatif : 11 euros TTC la pièceBloc chaînage : 45 x 15 x 7,5 cm Prix public indicatif : 17 euros TTC la pièceBloc linteau droit : 45 x 15 x 14 cm Prix public indicatif : 33 euros TTC la pièceBloc linteau about : 45 x 15 x 14 cm Prix public indicatif : 33 euros TTC la pièceBlocs linteau angle droite ou gauche : 45 x 15 x 14 cm Prix public indicatif : 33 euros TTC la pièceBloc courbe : 53 x 15 x 7,5 cm Prix public indicatif : 11 euros TTC la pièceCouronnement : 48,5 x 19,5 x 4 cm Prix public indicatif : 14 euros TTC la pièceColoris : GirondeMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxBloc Schistone BRADSTONE : charme celteLe bloc Schistone BRADSTONE présente un feuilletage qui rappelle les murets en roche schisteuse ponctuant les paysages de la Bretagne traditionnelle. Cet aspect pierre sèche est parfaitement rendu et convient à des ambiances authentiques ou régionales.Le bloc Schistone BRADSTONE pourra également mettre en valeur un décor contemporain. Cette belle lame d'eau semble percer le mur, telle une source jaillissante. Les blocs Schistone BRADSTONE ont cédé le passage sous la pression de l'eau, c'est du moins l'astucieuse mise en scène du paysagiste, inspiré par la rusticité armoricaine du matériau.Bloc Schistone BRADSTONEBloc : 58,5 x 14 x 10 cm (15 blocs au m² - longueur utile 47,5 cm) Prix public indicatif : 17 euros TTC la pièceColoris : GirondeMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxParement de mur Eygalières CARRÉ D'ARC : temps jadis au goût du jourDécoratif à l'extérieur comme à l'intérieur, le parement de mur Eygalière CARRÉ D'ARC a l'apparence des revêtements anciens aux pierres jointées. Il comprend deux types de modules de dimensions variables ainsi que des angles droits multiformats.Le parement de mur Eygalière est proposé en nuance Aquitaine et Luberon.Ces murs revêtus de parements Eygalières CARRÉ D'ARC teinte Aquitaine structurent l'espace par de douces lignes courbes délimitées par des piliers aux justes proportions.Parement Eygalières CARRÉ D'ARCDimension parement plat ép. 1,5 cm : 2 types de modules de dimensions variables Prix public indicatif : 56 euros TTC le m²Dimensions angles droits ép. 1,5 cm : multiformats 3 grands + 3 petits Prix public indicatif : 72 euros TTC le mlColoris : Aquitaine et LuberonMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxParement de mur Vaugelas CARRÉ D'ARC : esprit moderneInspiré de la pierre de schiste, le parement Vaugelas CARRÉ D'ARC se distingue par sa simplicité et le relief graphique qui convient aussi bien dans un espace partagé avec la nature que pour habiller le mur d'une pièce. Il est proposé en trois modules plats de tailles différentes et un angle droit. Le choix du coloris - Aquitaine, Ardèche ou Basalte - déterminera l'ambiance finale de la réalisation.Les terrasses du jardin, délimitées par des murets revêtus de parements Vaugelas CARRÉ D'ARC nuance Basalte, offrent des plages de gazon reposantes, décoratives, entre ombre et lumière.Le parement Vaugelas CARRÉ D'ARC donne un relief agréable et chaleureux à ce mur de salle de bains moderne aux lignes épurées. Sa teinte Aquitaine s'harmonise avec le plancher d'un élégant coloris châtaigne.Parement Vaugelas CARRÉ D'ARCDimensions parement plat : 3 modules différents 50 x 10 x 1,5 cm30 x 10 x 1,5 cm20 x 10 x 1,5 cm Prix public indicatif : 72 euros TTC le m²Dimensions angle droit : 20/10 x 10 x 1,5 cmPrix public indicatif : 89 euros TTC le mlColoris : Aquitaine, Ardèche et BasalteMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxParement de mur Avallon CARRÉ D'ARC : allure nordiqueLa régularité singulière des briques de construction évoque immanquablement les maisons du Nord. Le parement plat Avallon CARRÉ D'ARC revisite la briquette avec succès, pour habiller les murs intérieurs ou extérieurs. Les teintes, blanc uniforme, doré et feu avec nuances de rouge, apporteront l'effet surprise désiré.Le gris et le blanc sont faits pour aller ensemble. Démonstration avec le parement de mur Avallon CARRÉ D'ARC de cette chambre à coucher, dont la blanche fraîcheur facilite un réveil en douceur.Parement Avallon CARRÉ D'ARCDimensions parement plat : 24 x 5,5 x 2,5 cm Prix public indicatif : 72 euros TTC le m²Dimensions angle droit : 12 x 24,5 x 5,5 cm – ép. 2,5 cm Prix public indicatif : 77 euros TTC le mlColoris : Blanc, Doré et FeuMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxLa ligne Béton Design CARRÉ D'ARC ajoute cette année à sa riche gamme de produits un choix de chaperons de mur et de chapeaux de pilier, composés de ciment blanc et d'agrégats clairs, proposés en deux modèles, deux formats et trois couleurs. Des accessoires indispensables pour protéger un ouvrage et lui donner une belle finition.Chaperons de mur CARRÉ D'ARC : élégance au sommetProposés en trois teintes lumineuses, Beige, Blanc et Gris, les chaperons de mur Lisses CARRÉ D'ARC assurent une couverture solide et protègent de l'humidité. Les deux modèles, plat ou à deux pentes, sont dotés de « gouttes d'eau », c'est-à-dire 2 rainures parallèles sciées dans la masse et courant sur toute la longueur afin de gérer l'écoulement de l'eau de pluie.Les chaperons plats portent également en surface une légère arête centrale de 1 mm, qui sert à évacuer l'eau de pluie.Les chaperons de mur Lisses CARRÉ D'ARC sont proposés en 2 dimensions (50 x 30 cm et 100 x 30 cm) et 2 épaisseurs distinctes (4 cm pour les plats et 5,7 cm pour les 2 pentes).Le chaperon de mur 2 pentes CARRÉ D'ARC fait serpenter sa luminosité sur un beau mur ocre rouge. Son rôle à la fois couvrant et décoratif éclate au grand jour.Chaperons de mur Lisses CARRÉ D'ARCChaperon de mur plat : 50 x 30 x 4 cm Prix public indicatif : 15,50 euros TTC la pièceChaperon de mur plat : 100 x 30 x 4 cm Prix public indicatif : 30 euros TTC la pièceChaperon de mur 2 pentes : 50 x 30 x 5,7 cm Prix public indicatif : 16 euros TTC la pièceChaperon de mur 2 pentes : 100 x 30 cm x 5,7 cm Prix public indicatif : 31 euros TTC la pièceColoris : Beige, Blanc et GrisMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxChapeaux de pilier Lisses CARRÉ D'ARC : finition indispensableTout pilier encadrant un mur de clôture porte son chapeau. Les modèles de chapeaux Lisses CARRÉ D'ARC suivent le même procédé de fabrication que les chaperons afin de créer une couverture harmonieuse et uniforme.Deux modèles sont proposés en deux formats au choix : le plat, carrés de 40 cm ou 50 cm de côté, sur 4,5 cm d'épaisseur, et le pointe de diamant de mêmes dimensions, sur 7,7 cm d'épaisseur. Les trois coloris - Beige, Blanc et Gris - peuvent être assortis aux chaperons.Plat ou en pointe de diamant, le chapeau de pilier Lisse CARRÉ D'ARC protège tout en s'inscrivant dans un cadre esthétique lumineux.Chapeaux de pilier Lisses CARRÉ D'ARCChapeau de pilier plat : 40 x 40 x 4,5 cm Prix public indicatif : 23 euros TTC la pièceChapeau de pilier plat : 50 x 50 x 4,5 cm Prix public indicatif : 29 euros TTC la pièceChapeau de pilier pointe diamant : 40 x 40 x 7 cm Prix public indicatif : 24 euros TTC la pièce Chapeau de pilier pointe diamant : 50 x 50 x 7,7 cm Prix public indicatif : 30 euros TTC la pièceColoris : Beige, Blanc et GrisMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxBlocs pilier à enduire CARRÉ D'ARC : Superposables, ils portent bien le chapeauLe bloc pilier en béton CARRÉ D'ARC, creux et de section carrée, est disponible en cinq dimensions : 20, 26, 35, 40 et 50 cm de côté, pour une hauteur commune de 25 cm. Faciles et rapides à poser, ils peuvent être habillés d'un enduit de façade, de parements de mur ou de bardages.Un chapeau de pilier Lisse plat CARRÉ D'ARC ton Blanc coiffe ce pilier ton Béton gris à enduire. Le mur, à enduire également, est couvert d'un chaperon deux pentes ton Blanc CARRÉ D'ARC.Blocs pilier CARRÉ D'ARCDimensions : 5 modules différents 20 x 20 x 25 cm Prix public indicatif : 4,50 euros TTC la pièce26 x 26 x 25 cm Prix public indicatif : 5 euros TTC la pièce35 x 35 x 25 cm Prix public indicatif : 6 euros TTC la pièce40 x 40 x 25 cm Prix public indicatif : 15 euros TTC la pièce50 x 50 x 25 cm Prix public indicatif : 25 euros TTC la pièceColoris : Béton grisMatériau : Béton DécoratifPoints de vente : Négoces en matériaux