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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88254 résultats)
Il y a 2 ans et 170 jours

Retraites : les mesures « pénibilité » qui ne passent pas pour les syndicats du BTP

Suivi médical renforcé, création d’un fonds d’investissement pour la prévention de l’usure professionnelle, identification par les...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 170 jours

en 2022 sika franchit la barre des 10 milliards de francs suisses de ca

L’entreprise Sika a passé pour la première fois la barre des 10 milliards de francs de CA en 2022. Les ventes du groupe ont augmenté de 13,4 % par rapport à l’année précédente.
Il y a 2 ans et 170 jours

2023 doit etre une annee de refondation de la politique du logement fnaim

Le marché de l’immobilier a poursuivi sa dynamique en 2022. Telle est la conclusion tirée par la Fédération nationale de l'immobilier dans sa conjoncture du mois de janvier, qui constate toutefois une décélération en fin d’année face à l’inflation et aux difficultés croissantes d’accéder à un crédit immobilier. À horizon 2023, le syndicat appelle les pouvoirs publics à faire de cette nouvelle année « celle de la politique du logement ».
Il y a 2 ans et 170 jours

Pénibilité : visite médicale obligatoire et systématique à 61 ans, annonce Véran

"Désormais, grâce à un avis médical, il sera possible de partir plus tôt", a déclaré le ministre sur franceinfo, par le biais notamment d'une "visite médicale obligatoire et systématique" à 61 ans, en plus de celle qui existait déjà à 45 ans. Il a précisé que ce "nouveau mécanisme" devait encore faire l'objet de concertations.Face à la pénurie de médecins du travail, il n'a pas exclu, le cas échéant, que le médecin traitant soit chargé de ce diagnostic. Mais "c'est plutôt sur la médecine du travail que les choses reposent, après elles seront affinées en fonction des négociations".Défendant le principe de "prévention de l'usure professionnelle (…) pendant la carrière professionnelle" plutôt que de "constater les dégâts à 60 ans", il a rappelé la création d'un fonds d'investissement d'un milliard d'euros d'ici 2027, notamment pour financer des outils limitant la pénibilité du travail. M. Véran a ainsi cité les lève-malades pour les hôpitaux ou les Ehpad.Il a par ailleurs rappelé que la réforme améliorait un certain nombre de critères de pénibilité existants: il faudra désormais travailler 100 nuits par an et non 120 (30 nuits par an au lieu de 50 quand on est en 3X8) pour acquérir des points ouvrant droit à une retraite anticipée.Enfin, "il y aura sans doute des carrières, des métiers, des situations qui justifieront une forme d'automaticité" d'acquisition de points, a-t-il assuré.Selon le gouvernement, les branches professionnelles doivent recenser "les métiers les plus exposés aux facteurs de risques ergonomiques qui causent 9 maladies professionnelles sur 10: les postures pénibles, le port de charges lourdes et les vibrations mécaniques".Le gouvernement entend également développer, grâce au fonds d'investissement, notamment les aides à la formation et à la reconversion en cours de carrière vers des métiers moins pénibles.
Il y a 2 ans et 170 jours

Holcim achète Chrono Chape, fabricant de chapes en ciment situé en Côte d'Or

Le cimentier suisse Holcim renforce sa position en France avec le rachat de Chrono Chape, un fabricant de chapes en ciment, annonce-t-il ce 5 janvier sans dévoiler le montant de la transaction.
Il y a 2 ans et 170 jours

Datas et RSE, deux enjeux de taille pour les industriels de l'habitat et les négoces

DEFIS. L'association professionnelle des industriels du nouvel habitat, Inoha, s'est fixée plusieurs objectifs en ce début 2023. Parmi les grands chantiers de l'année, figurent la maîtrise et le partage de la data ainsi que le défi de la RSE.
Il y a 2 ans et 170 jours

Construire en bois : les fondamentaux

Les enjeux environnementaux, financiers et normatifs poussent maîtres d’ouvrage, architectes et constructeurs à se tourner vers des conceptions en bois, plus légères et moins carbonées. Eclairage complet avec la visio-formation « construire en bois : les fondamentaux », proposée par le BuildingLab.fr à partir du 31 janvier 2023. La construction bois est au cœur des préoccupations urbaines […] L’article Construire en bois : les fondamentaux est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 170 jours

Loi d’accélération des EnR : le développement du solaire enfin reconnu comme une nécessité

Le législateur en reconnaissant les énergies renouvelables comme un intérêt public majeur envoie un signal fort de la nécessité d’accélérer les projets renouvelables dans notre pays.Cette loi permettra d’élargir les perspectives de développement pour le solaire, notamment en donnant un cadre à l’agrivoltaïsme, en simplifiant les installations solaires situées à proximité des autoroutes et des voies ferrées, ainsi que celles en toiture et les ombrières de parking. Ces avancées, si elles sont perfectibles, sont le fruit de l’équilibre à date de la représentation nationale. Le passage en CMP, nous l’espérons, viendra renforcer ces premières avancées, et si possible, gommer les freins résultant de divers amendements peu cohérents avec les objectifs poursuivis par le législateur.Instruit des expériences passées, Enerplan entend rester vigilant : les textes réglementaires devront rendre la loi efficace et « praticable ». Par ailleurs, les objectifs de la loi ne peuvent être atteints que si d’importants moyens humains sont déployés dans les administrations. Enfin, la nouvelle PPE pour le solaire devra être cohérente avec cette volonté nationale affichée.Cette loi doit permettre à la France de rattraper son retard eu égard à ses engagements européens et enclencher la dynamique d’ores et déjà prise par les autres pays européens. En 2022, le volume européen des raccordements des installations solaires s’élève à 41 GW soit une croissance de près de 50%, à comparer à un volume français de 2 GW en France avec une croissance nulle.... !2023 doit être l’année de lancement de ce mouvement en France. La filière solaire est prête et considère qu’un objectif de 4 GW est atteignable dès cette année.Pour Daniel Bour, Président d’Enerplan : « Le vote de la loi, en tant que tel, est une reconnaissance officielle de l’importance du solaire dans le futur énergétique français. Cette loi illustre la volonté du Ministère de la Transition Energétique, l’engagement du Gouvernement et l’approbation de la Représentation Parlementaire Nationale d’accélérer le solaire dans notre pays. C’est aussi un message très clair envoyé aux préfectures et aux différentes commissions intervenant dans la délivrance des autorisations administratives d’accompagner le mouvement. Enerplan souhaite que la loi soit un véritable catalyseur, pour la mobilisation de tous les acteurs. La filière solaire est prête et considère qu’un objectif de 4 GW est tout à fait atteignable dès cette année 2023. »
Il y a 2 ans et 170 jours

Corrigés de l'inflation, les prix de l'immobilier ont baissé "presque partout" (Fnaim)

CONJONCTURE. La "décélération" des prix des logements anciens devrait se poursuivre en 2023, estime Loïc Cantin, nouveau président de la Fnaim. Pour le réseau d'agences, le danger réside dans le blocage des crédits, qui risque de gripper, par ricochet, un marché locatif déjà soumis à des "contraintes réglementaires fortes".
Il y a 2 ans et 170 jours

Les grands chantiers d’INOHA en 2023 pour accompagner ses adhérents

Année élective pour le renouvellement de son Conseil d’Administration et de son Président, 2023 sera également synonyme, pour INOHA, l’association des Industriels du Nouvel Habitat, de grands chantiers menés dans le cadre de son plan d’actions stratégique 2025. Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha, a profité de la cérémonie des vœux organisée le 11 janvier dernier pour les dévoiler. La feuille de route 2023 d’INOHA s’inscrit dans la continuité du plan stratégique lancé en 2021 pour accompagner ses adhérents à franchir un nouveau cap en devenant mieux informés, plus performants, plus responsables et plus influents. Ainsi, pour éclairer les membres d’INOHA sur les enjeux de la filière, sur l’évolution des marchés et sur les attentes des consommateurs, plusieurs actions sont déployées : INODATA, la nouvelle plateforme Business Intelligence d’INOHA. Véritable observatoire de l’économie et des tendances du Nouvel Habitat, INODATA propose de nouveaux services exclusivement réservés aux adhérents : Indicateurs macroéconomiques, Données des marchés GSB, Négoce, GSA, Jardinerie-Lisa, Informations sur les tendances : analyse des recherches des consommateurs sur internet, observatoire des rayons et des acteurs, enquête sur les projets passés et à venir des consommateurs et les évolutions de leur comportements d’achat. Pour faciliter son utilisation technique et celle des datas, centrées en particulier sur les études consommateurs marchés et tendances réalisées par GfK, de nombreux webinars de présentation seront organisés : • des capsules de compétences, nouvelles formations courtes de deux heures en visio (adaptées aux spécificités des adhérents), aborderont des sujets très ciblés, comme par exemple, la RSE, l’analyse des datas, les évolutions réglementaires et environnementales… INOHA proposera cette année un nouveau programme collectif sur la réduction et l’éco- conception des emballages afin de répondre à la réglementation (décret 3R de la loi AGEC du 29/04/2021). Pour construire ensemble l’avenir, INOHA a, dès 2022, engagé et accompagné la filière dans sa démarche RSE. En 2023, INOHA soutiendra de nouveaux groupes d’adhérents dans leur parcours de décarbonation tout en mettant en place au sein de l’association ses propres démarches responsables (actions suite au bilan carbone réalisé en 2022, sensibilisation des salariés au numérique à l’empreinte carbone réduite, …). INOHA lancera également un Club RSE pour que ses adhérents échangent sur les bonnes pratiques en termes de RSE et des groupes d’échanges d’expérience. En parallèle, INOHA poursuivra le travail initié avec la FMB (Fédération des Magasins de Bricolage) sur le déploiement d’un système unique de partage de data produits et aidera ses adhérents dans la prise en main de FAB-DIS au travers de capsules de compétences. Enfin, pour peser et conforter son rôle d’acteur incontournable auprès des distributeurs et des pouvoirs publics, INOHA continuera à travailler avec toutes les parties prenantes pour l’instauration des REP Articles de Bricolage et de Jardin et celle du Bâtiment et a pour objectif de développer encore son nombre d’adhérents. « Dans cette période d’incertitude, avoir des données pertinentes, complètes et précises est plus que jamais stratégique pour permettre à nos adhérents de prendre les meilleures décisions. C’est l’ambition que nous formulons avec INODATA, l’observatoire économique et des tendances du Nouvel Habitat sur lequel nous avons travaillé en 2022 et que nous lançons en ce début d’année. L’accompagnement de nos adhérents sur la RSE est également une priorité et nous intensifierons en 2023 ce que nous avons initié l’année dernière », conclut Jean-Luc Guéry, Président d’INOHA. www.inoha.org
Il y a 2 ans et 170 jours

Quels sont les équipements de chauffage les plus économiques ?

Quand on souhaite remplacer son système de chauffage, il ne suffit pas de comparer uniquement l'investissement de départ / à terme, la part que représente l’achat du combustible est beaucoup plus importante.Hello Watt a étudié les modes de chauffage à travers une facture annualisée qui prendrait en compte.1/20ème de l’investissement de départ (20 ans étant la durée de vie moyenne de tous les appareils de chauffage)Une année de combustible, en considérant un prix moyen sur les 20 prochaines années basé sur une augmentation annuelle de 5% pour les énergies fossiles, 3% pour l’électricité et le bois*Les calculs ont été effectués pour une maison de 100 m2, avec 12.000 kWh de chaleur nécessaire.Hello Watt a considéré les rendements suivants :Pompe à chaleur : Coefficient de performance = 3 (pour 1 kWh d’électricité, 3 kWh de chaleur sont produitsPoêle à bois : 95%Chaudière biomasse : 95%Chaudière gaz Très Haute Performance Énergétique : 90%Radiateurs électriques Haute Performance : 100%Propane : 85%Vieille chaudière fioul : 80% Convecteurs électriques (dit « grille-pain ») : 80%Hello Watt a négligé le coût d’entretien des équipements dans les calculs car il est quasiment égal entre chaque équipement. Par exemple, l’entretien d’une chaudière gaz coûte 125 €/an, quand l’entretien d’une pompe à chaleur coûte 250 € tous les 2 ans.*Pour 2023, pour l’électricité et le gaz, nous avons appliqué 15% d’augmentation au lieu de 5% pour le gaz et 3% pour l’électricité, suite aux annonces gouvernementales.Le classement des systèmes de chauffagePour les ménages équipés d’un réseau d’eau chaude (cas des maisons anciennement équipées d’un chauffage au gaz ou au fioul par exemple).Podium des meilleurs systèmes de chauffage pour les ménages équipés d'un réseau d'eau chaude, selon Hello Watt1er : Pompe à chaleur air-eau Même si elles peuvent être chères à l’achat, les pompes à chaleur sont largement subventionnées. Elles fonctionnent à l’électricité, une énergie relativement chère, mais transforme un kWh consommé en 3 kWh de chaleur produite. Cela permet d’avoir une consommation très faible, ce qui en fait le système de chauffage le plus intéressant à installer aujourd’hui. 2ème : Chaudière biomasse Ces chaudières utilisent un combustible peu cher : le bois. Elles sont écologiques, mais il faut pouvoir stocker les granulés ou les bûches ! 3ème : Chaudière gaz Si le logement est raccordé au réseau, le gaz naturel est l’option à privilégier. Sinon, c’est du gaz propane en citerne qu’il faudra utiliser. Non adapté : Chauffage tout électrique Interdit : Chauffage au fioulPour les ménages qui ne sont pas équipés d’un réseau d’eau chaude (cas des maisons anciennement équipées de chauffage électrique par exemple).Podium des meilleurs systèmes de chauffage pour les ménages qui ne sont pas équipés d'un réseau d'eau chaude, selon Hello Watt1er : Pompe à chaleur air-air La pompe à chaleur air-air puise les calories présentes dans l'air extérieur puis les diffuse à l'intérieur du logement sous forme d'air chaud. 2ème : Poêle à granulés Même s’il est plutôt à envisager sous forme de chauffage d’appoint, le poêle à bois reste une solution écologique et économique.3ème : Chauffage électrique Se chauffer exclusivement à l’aide de radiateurs électriques revient très cher. Dans ce cas, l’installation de panneaux solaires pour produire sa propre électricité peut être une très bonne option. Non adapté : Gaz naturel, propane, chaudière biomasse, pompe à chaleur air-eau Interdit : Chauffage au fioulDétails des calculs Prix des combustiblesPrix d’achat d’une installation neuveOn constate, pour certains appareils de chauffage, des variations importantes d’investissement en fonction des revenus. Même si la part de l'investissement initial est moins déterminante que celle du combustible, les revenus d’un ménage peuvent donc faire légèrement varier le choix du meilleur système de chauffage.C’est pour cela que chaque cas est particulier, et qu’il est important de faire appel à un expert comme Hello Watt pour trouver le bon système de chauffage dans sa situation.
Il y a 2 ans et 170 jours

La réforme des retraites dévoilée, la bataille commence

"Mobilisation" également dans les rangs du pouvoir: en Conseil des ministres mercredi, le président Emmanuel Macron a appelé le gouvernement "à expliquer aux Français très concrètement" ce "qui va changer pour eux. Et à défendre une réforme "indispensable et vitale", selon ses propos rapportés par le porte-parole Olivier Véran.Après trois mois d'atermoiements et de concertations, le gouvernement a confirmé mardi la hausse attendue de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans d'ici à 2030.Moins que les 65 ans promis par Emmanuel Macron avant sa réélection. Mais assez pour "garantir l'équilibre" budgétaire à la fin de la décennie, tout en finançant "des mesures de justice", a assuré Elisabeth Borne.La Première ministre a défendu des "avancées" sur l'emploi des seniors, les "carrières longues" et la prise en compte de la pénibilité. Mais surtout une revalorisation des petites pensions, bientôt portées à 1.200 euros brut (avant CSG) par mois pour une carrière complète.La mesure concernera non seulement les futurs retraités, mais aussi près de deux millions de retraités actuels. De quoi contenter la droite, clé d'une adoption de la réforme au Parlement.Mais le groupe LR à l'Assemblée a une "ligne rouge" sur les "carrières longues". Il exige qu'une personne qui commence à cotiser à 20 ans "puisse partir quand elle a atteint l'ensemble de ses annuités (43 ans dès 2027, NDLR), c'est-à-dire non pas à 64, mais à 63 ans", a souligné mercredi sur RFI son porte-parole, Pierre-Henri Dumont.Côté patronat, c'est un satisfecit général: le Medef a salué des "décisions pragmatiques et responsables". Tout en réaffirmant son peu d'allant pour l'index mesurant l'emploi des seniors dans les entreprises de plus de 300 salariés, assorti d'une sanction financière en cas de refus de publication.Restant sur une position de soutien critique du gouvernement, François Bayrou a jugé le projet "améliorable", en réitérant sa proposition d'inclure une hausse des cotisations patronales. Une hypothèse repoussée par le pouvoir : s'il a bien prévu une "contribution supplémentaire" des employeurs, elle sera entièrement compensée par la baisse de leur cotisation au régime "accidents du travail", une branche excédentaire de la Sécu.L'accueil est, sans surprise, beaucoup plus hostile du côté des syndicats, qui ont appelé à "une première journée de grèves et de manifestations" le 19 janvier. Appel bien reçu par les organisations de la fonction publique et de l'énergie, qui l'ont déjà relayé auprès de leur base.Cette première date est censée "donner le départ d'une puissante mobilisation dans la durée", a souhaité le leader de la CFDT, Laurent Berger, qui a dénoncé un projet bâti "sur le seul dos des travailleurs". Ce dernier a appelé à signer "massivement" une pétition mise en ligne mercredi par l'intersyndicale pour dire "non à cette réforme injuste et brutale".L'ensemble des partis de gauche s'est aussi rallié à cette première journée, y compris les Insoumis, qui prévoient aussi une "marche pour les retraites" le 21 janvier à Paris."Pilule amère entourée de miel"Les mesures de compensation de la réforme leur semblent très insuffisantes face à une "grave régression sociale", selon le mot du leader LFI, Jean-Luc Mélenchon. "Ce n'est pas parce que vous avez eu une pilule amère entourée de miel que la cuillère est agréable", a résumé le chef des députés PS à l'Assemblée, Boris Vallaud.L'affrontement débutera donc juste avant la présentation du projet de loi en Conseil des ministres, le 23 janvier. Le gouvernement a choisi –fait rare-- de passer par un budget rectificatif de la Sécurité sociale, imposant ainsi un examen du texte à marche forcée en vue d'une adoption définitive fin mars, tout en se ménageant la possibilité de recourir au 49.3 en cas de blocage à l'Assemblée.L'entrée en action des syndicats peut-elle faire plier l'exécutif ? Le gouvernement "ne se projette pas dans l'idée d'une mobilisation massive", a risqué son porte-parole, Olivier Véran, lors du compte rendu du Conseil des ministres. Il avait redit un peu plus tôt : "Nous voulons aller jusqu'au bout".
Il y a 2 ans et 170 jours

Réforme des retraites : le patronat satisfait, les syndicats vent debout

RÉACTIONS. Sans surprise, le projet de réforme des retraites présenté hier par Élisabeth Borne est favorablement accueilli par les organisations patronales, tandis que l'intersyndicale a d'ores et déjà appelé à descendre dans la rue. Tour d'horizon des réactions des principaux acteurs du secteur.
Il y a 2 ans et 170 jours

La Thermoprédalle BA 0,45, pour une performance thermique en ITI optimale

Une solution adaptée La Thermoprédalle BA 0,45 est une solution éprouvée de plancher préfabriqué à rupteurs thermiques intégrés pour le traitement homogène et complet des ponts thermiques de la périphérie du bâtiment.Certifiée par un Avis Technique, elle garantit la performance thermique de tous les logements collectifs et bâtiments tertiaires tout en minimisant leur empreinte carbone, et ce pour toutes les zones sismiques de France métropolitaine.Un impact carbone réduitGrâce aux planchers Thermoprédalle BA 0,45 Rsoft bas carbone *, le bâtiment étudié et composé de logements R+3, d’une toiture-terrasse, de murs en béton, d’un doublage PSE de 120 mm ainsi qu’un traitement complet par Thermoprédalle BA 0,45 Rsoft en L9 avec balcons compris ; voit l’ensemble de son impact carbone (Ic Construction) réduit de près de 9% par rapport à la version en béton standard.Cette construction atteint d’ores et déjà le seuil carbone 2025 et répond à la RE2020.Le recours aux planchers de la gamme Rsoft offre une réduction carbone pouvant aller jusqu’à 40% comparativement à un plancher à prédalles classiques. De plus, en traitant l’ensemble des ponts thermiques périphériques à tous les niveaux de plancher, la Thermoprédalle BA 0,45 contribue à la réduction des consommations d’énergie et des émissions de carbone tout en améliorant la qualité de l’air intérieur des bâtiments.Elle dispose d’une FDES individuelle pour sa gamme de rupteurs thermiques créditée à 11,30 kg éq. CO2/ml.Une configuration conforme aux spécificités de votre chantierLa Thermoprédalle BA 0,45 s’adapte à toutes les configurations de bâtiment, avec ou sans balcon et ce quel que soit le sens de portée. Ce procédé exclusif associe des rupteurs thermiques discontinus et traversant sur la hauteur de la dalle à des nervures en béton armé munies de paniers d’armatures assurant le transfert des efforts verticaux et horizontaux. La Thermoprédalle BA 0,45 offre la possibilité de traiter les ponts thermiques des balcons en zone courante et d’angle. Les paniers d’armatures, qui assurent la résistance de la structure et facilitent la liaison plancher/balcon sont directement intégrés en usine. Les armatures des nervures sont spécifiquement dimensionnées pour les balcons.Ainsi, avec un traitement complet et homogène des ponts thermiques de tous les niveaux de planchers, des balcons et y compris d’angle, vous favorisez la réduction des consommations d’énergie tout en optimisant le Bbio du bâtiment.Une mise en œuvre aussi simple qu’une prédalle classiqueSérénité de pose et efficience sont garanties sur le chantier grâce à l’intégration des pains isolants et des paniers d’armatures en usine. Aucune manipulation des rupteurs n’est nécessaire sur le chantier : conformité au cahier des charges, coût et planning maîtrisés.* avec dalle de compression CEMIII
Il y a 2 ans et 170 jours

Retraites : les Français sont-ils mieux lotis que leurs voisins ?

L'âge légal: comparaison n'est pas raisonL'âge légal est l'âge à partir duquel un travailleur a le droit de partir à la retraite. Cet âge ne garantit toutefois pas une retraite pleine et sans décote. En France, il est fixé à 62 ans et le gouvernement prépare actuellement une réforme pour le reporter.En comparaison, il s'établit à 67 ans en Allemagne, en Italie, au Danemark et bientôt en Espagne, à 66 ans au Royaume-Uni.Mais l'âge légal ne suffit pas à comparer la situation réelle d'un pays à l'autre, car les systèmes de retraite sont différents et la notion même d'âge légal varie beaucoup. Ce seuil est par ailleurs souvent assorti d'exceptions permettant de partir plus tôt, notamment pour les personnes ayant commencé à travailler très jeunes.D'autres indicateurs permettent une meilleure comparaison entre pays, comme l'âge de départ à la retraite réellement constaté.Les Français partent tôtAinsi, les Français quittent le marché du travail à 62,3 ans en moyenne, selon les dernières données de la Commission européenne (2019).Dans l'Union européenne, seuls les seniors de quatre petits pays partent plus tôt. Ce sont les Luxembourgeois qui prennent leur retraite le plus tôt, à 60,2 ans en moyenne.La France est en revanche très loin de l'Italie, pays de l'Union européenne où les travailleurs demandent leur pension le plus tard (65,5 ans), mais également de l'Allemagne (64,6 ans), le Portugal (64,3 ans), l'Espagne (64,2 ans).En moyenne, les habitants de l'UE prennent leur retraite à 63,8 ans. Dans la plupart des pays de l'Union, les femmes partent à la retraite plus tôt que les hommes. L'Espagne, l'Italie et la Belgique sont de rares exceptions. En France, la différence est minime, les femmes partant à 62,2 ans, contre 62,3 ans pour les hommes.Leurs retraites moins généreuses qu'au SudEn moyenne, les retraités français touchent une pension s'élevant à 54,4% de leur dernier salaire, selon la Commission.Ils sont mieux lotis que la moyenne des retraités de l'UE, qui en perçoivent 46,2%, ou que leurs homologues allemands, qui touchent en moyenne 39,8% de leur ancien salaire.La France est en revanche devancée par les grands pays du sud de l'Europe, comme l'Espagne, championne avec une pension de 77% du dernier salaire, le Portugal (74%) ou l'Italie (66,9%).Mais cette situation durera-t-elle ? La Commission européenne s'attend à voir les pensions baisser en France à 39,6% de l'ancien salaire en 2040 et à 34,7% à horizon 2070. Les retraités français seraient alors rétrogradés sous la moyenne européenne (40,4% en 2040 et 37,5% en 2070).Beaucoup d'argent consacré aux pensionsLa France consacre en moyenne 14,8% de son Produit intérieur brut (PIB) aux pensions, toujours selon la Commission.Dans l'Union européenne, seules la Grèce (15,7%) et l'Italie (15,4%) y consacrent plus d'argent.Ces trois pays dépensent beaucoup plus pour les retraites que la moyenne européenne (11,6%) et que des pays comme la Pologne (10,6%), l'Allemagne (10,3%) ou la Roumanie (8,1%).C'est l'Irlande qui ferme la marche, ne consacrant que 4,6% de son PIB aux retraites.
Il y a 2 ans et 170 jours

Bas-Rhin : une subvention européenne d’environ 95 millions d’euros pour l’amélioration des équipements éducatifs strasbourgeoi

La Banque européenne d’investissement va accompagner la Ville et l’Eurométropole de Strasbourg (Bas-Rhin) dans un programme...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 170 jours

Supervan nomme Salomé Halioua au poste de Directrice des Opérations

Depuis le lancement de son activité de transport et livraison express de produits lourds et volumineux, Supervan ne cesse d’innover et de développer de nouveaux services. De la livraison via un véhicule utilitaire léger à la livraison par poids lourd (Service XXL), en passant par le développement de sa marketplace de matériaux de chantier (Plateforme Breek), la startup oeuvre en continu pour le futur de la logistique. Supervan compte aujourd’hui près de 40 collaborateurs et plus de 500 chauffeurs partenaires. Salomé Halioua, le nouveau visage des Opérations chez SupervanDiplômée de l’école d’ingénieures EPF (École Polytechnique Féminine) à Cachan, Salomé commence sa carrière à Orléans en 2016 chez Amazon, au poste de Manager de Production. Elle y gère les équipes logistiques et leur fonctionnement au sein d’un entrepôt pendant plus de deux ans. Cette expérience lui offre l’opportunité de gérer le lancement du service transport d'un nouvel entrepôt Amazon en région parisienne. Lors de cette expérience, elle manage près de 150 collaborateurs (équipes 24/24 et 7j/7) et les flux de transport quotidiens de plus de 200 camions.En 2020, elle rejoint le siège d’Amazon à Paris et l’équipe Sales & Operations Planning où elle se spécialise dans l’analyse de données et la planification afin d’effectuer des prévisions et d’optimiser les flux de livraison sur le dernier kilomètre. L’année suivante, Salomé intègre la division européenne d’AVS (Amazon Vendor Services). Elle est notamment chargée d’évaluer et d’optimiser l’efficacité de la chaîne d’approvisionnement pour un portefeuille de fournisseurs de renom (L’Oréal, Revlon, Reckitt ou encore PRH), et d’établir des plans d’actions pour les aider à optimiser leurs processus logistique avec Amazon.En rejoignant les équipes de Supervan, Salomé Halioua aura notamment pour mission de gérer et de renforcer les effectifs de l’équipe des opérations, qui compte aujourd’hui 15 collaborateurs. En tant que Directrice des Opérations, ses objectifs seront de garantir une expérience client et chauffeur irréprochables, et de s’assurer de l’optimisation des différents processus internes et flux de livraisons (sécurité, délais…). « Aux Opérations, nous sommes toujours au cœur de l’action. Nous faisons le lien entre les chauffeurs et les différents besoins de nos clients, et nous construisons avec tous nos interlocuteurs une relation de confiance, à la fois durable et bienveillante. Garants d’une expérience opérationnelle irréprochable, nous tenons à offrir un service sans accroc à nos clients. Je me réjouis de rejoindre cette startup en pleine croissance, et de mettre mon expertise au service de son développement. », souligne Salomé Halioua, Directrice des Opérations chez Supervan. « Nous sommes plus que ravis de pouvoir compter Salomé au sein de nos équipes. Son expertise et son expérience sont très précieuses pour la croissance de Supervan, et vont nous permettre de nous rapprocher considérablement des besoins de nos clients. Ce recrutement stratégique représente le passage d’un nouveau cap pour nous, et nous avons hâte de voir l’équipe des Opérations grandir sous sa direction. », déclare Guillaume Fournier, Fondateur et CEO de Supervan.
Il y a 2 ans et 170 jours

Holcim acquiert l’Italien Nicem

L’italien Nicem intègre le groupe cimentier Holcim. [©Holcim] Holcim a acquis Nicem, spécialiste du carbonate de calcium (CaCO3) moulu, basé près de Bergame, en Italie du Nord. Le carbonate de calcium ou calcite est une matière première très polyvalente et à faible teneur en carbone utilisée pour un large éventail d’applications. En particulier dans les secteurs de la construction, du plastique, du caoutchouc et de la peinture. Lire aussi : Holcim France acquiert Chrono Chape « Nicem complète nos activités existantes et nous permet de tirer davantage parti de notre expertise en matière de formulations vertes. Cela ouvre une nouvelle source de matériaux alternatifs pour décarboner nos bétons prêts à l’emploi », indique Miljan Gutovic, responsable régional Europe d’Holcim. Comme Chrono Chape, racheté début janvier 2023, l’acquisition de Nicem fait progresser la “Stratégie 2025 – Accélérer la croissance verte” du groupe cimentier suisse (maison-mère de Lafarge). Et va permettre d’alimenter les activités de granulats et de béton prêt à l’emploi en matière première alternative. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 171 jours

Jean-Michel Torrenti, nouveau président de l’Ecole française du béton

Jean-Michel Torrenti est le nouveau président de l’Ecole française du béton. [©EFB] La Fondation Ecole française du béton (EFB) annonce avoir nommé Jean-Michel Torrenti à sa présidence. Celui-ci succède à Daniel Tardy qui conserve le titre de président d’honneur. Chercheur à l’Université Gustave Eiffel et professeur à l’école des Ponts, Jean-Michel Torrenti dispose d’une expérience de plus de 35 ans en recherche dans le domaine du comportement mécanique et de la durabilité des bétons. Directeur du Projet national Fastcarb, il est aussi chef de la délégation française et membre du présidium de la Fédération internationale du béton et membre du conseil scientifique de l’Andra (Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs). Lire aussi : FastCarb : On peut réabsorber 40 kg de CO2/t de granulats recyclés « C’est un honneur pour moi de succéder à Daniel Tardy en tant que président et je tiens à le remercier pour toutes ces années d’engagement auprès de l’Ecole française du béton », déclare Jean-Michel Torrenti. Et d’ajouter : « J’entends poursuivre ses actions, réaffirmer les fondamentaux de l’EFB. Et mettre mon expérience et mes compétences au service de la connaissance et de la valorisation du béton pour construire le monde de demain ». Daniel Tardy, président d’honneur de l’EFB Daniel Tardy devient président d’honneur de l’Ecole française du béton. [©EFB] Pour sa part, après 15 ans d’engagement auprès de l’EFB, Daniel Tardy passe le relais, tout en restant président d’honneur. Ancien dirigeant du groupe ETPO, il est un brillant scientifique, ingénieur polytechnicien, directeur d’IUT et d’école d’ingénieur. Sans oublier ses fonctions de président honoraire de la FNTP. Daniel Tardy a soutenu la Fondation EFB et ses actions en faveur de la valorisation des métiers de la construction. Mais aussi de la diffusion des connaissances sur le béton avec conviction et bienveillance depuis sa création. Le béton fait partie du paysage architectural et reste l’un des matériaux fondateurs de la construction. L’EFB est une fondation d’entreprise créée il y a plus de 25 ans. Elle œuvre au quotidien pour soutenir et valoriser toute action visant à améliorer la connaissance et l’utilisation du béton. En particulier, dans le cadre de la transition écologique et l’innovation technologique. Mieux faire connaître les métiers du béton Aujourd’hui, nombre d’entreprises de la construction et de la filière béton peinent à recruter des personnes qualifiées nécessaires au bon développement des territoires. C’est pourquoi l’EFB s’attache à faire connaître les métiers de la construction et du béton auprès des jeunes, des responsables d’orientation et des enseignants. Outre des démarches d’information et pédagogiques via une plate-forme web dédiée, elle met en place plusieurs programmes d’actions de terrain. Ces dernières visent à mobiliser les compétences professionnelles. Et à recréer des liens pérennes entre les acteurs industriels et les établissements scolaires et universitaires. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 171 jours

Rhône : création d’un bâtiment agricole collectif à Millery

La Communauté de communes de la Vallée du Garon, dans le département du Rhône, va construire un bâtiment agricole collectif pour aider les...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 171 jours

Eolien en mer : un contrat XXL pour Vinci en mer du Nord

ENR. Le groupe Vinci, via sa filiale Cobra IS, a remporté un nouveau contrat de conception-construction-installation pour deux plateformes de conversion d'énergie éolienne offshore en mer du Nord. Mais leur capacité et le montant du marché sont bien plus importants que les précédents.
Il y a 2 ans et 171 jours

quoi de neuf en matiere d assurance emprunteur

La loi du 28 février 2022 dite « Loi LEMOINE » a modifié l’assurance emprunteur avec plusieurs mesures dont la principale permet à l’emprunteur de résilier son assurance de prêt à tout moment et sans frais auprès de l’assureur de votre choix. SMAvie lance BATI emprunteur, une assurance emprunteur qui couvre le remboursement d’un prêt immobilier ou professionnel en cas de décès, d’invalidité ou d’incapacité temporaire de travailler de l’emprunteur. Décryptage.
Il y a 2 ans et 171 jours

Living EstateTM : une expérience digitale pour une commercialisation de projets immobiliers plus impactant

Living EstateTM : le renouveau de la Marketing SuiteAllianz, Altarea Cogedim, Aquila, Blackstone, Deka, Foncia IPM, Hémisphère, Ivanhoé Cambridge, PGIM, Scaprim, SFL... Bleu Dalcans compte de nombreuses références dans le secteur de l’immobilier. Grâce à cette expertise, elle a imaginé Living EstateTM : un dispositif complet qui intègre, en plus d’un espace témoin scénographié, un parcours de visite initiatique spécialement conçu pour que le futur acquéreur puisse se projeter avant, pendant et après sa visite. Le digital s’inscrit dans ce concept comme un levier immersif pour présenter et aider à commercialiser le projet immobilier (vidéo projection, mobilier interactif, création des contenus, modélisation des spaces planning, sonorisation...).Pour Raphael Benbassa, Associé Fondateur de Bleu Dalcans : « Notre volonté est de sortir les écrans de leurs rôles fonctionnels pour créer des expériences inédites. Le digital est un moyen exceptionnel qui nous permet d’accroitre l’attractivité d’un lieu qu’il s’agisse de futurs espaces de bureaux, d’hôtels ou de centres commerciaux. Avec Living EstateTM, notre objectif est de rendre les espaces témoins, traditionnellement attentus, plus vivants et désirables ! Dans un marché locatif de plus en plus tendu, et sur un secteur finalement très aseptisé et standardisé, nous permettons enfin aux Assets de se démarquer. »Les avantagesPour les BROKERS : Un service premium et flexible Un accompagnement sur la mise en valeur de l’espace La capacité à proposer une expérience immersive aux prospects Pour les PROSPECTS : L’incarnation d’une vision et d’un projet d’entreprise visant au bien-être des collaborateurs Une projection sur une utilisation optimale du futur lieu de vie / de travail Une mémorisation de la visite facilitée Pour les ASSET : Des délais de mise sur le marché raccourcis Une indépendance vis-à-vis des brokers La valorisation des placements immobiliers en faisant de chaque actif un produit unique L’exemple de JOYA Val de Fontenay - Ivanhoé CambridgeSur un espace dédié de plus de 500 m2, les équipes de Bleu Dalcans ont créé un parcours efficace, visuel, mémorisable et digital pour aider les Assets à commercialiser l’actif. Les équipes ont géré la conception, le déploiement du mobilier et de l’agencement mais aussi les contenus vidéos, interactifs et immersifs.Pour François Burgess, Asset Manager Ivanhoé Cambridge : « Bleu Dalcans a parfaitement su répondre à notre volonté de proposer aux prospects locatifs de Joya une programmation marketing innovante, axée sur le digital et sur l’interactivité des outils. Cette agence a mis à notre disposition une équipe complète de professionnels dévoués et talentueux, allant de la création de l’idée jusqu’à la réalisation de l’espace. Le respect du planning et du coût en fait un partenaire fiable avec lequel nous avons pris beaucoup de plaisir à travailler ».Une démarche RSE chère à Bleu DalcansLa volonté de Bleu Dalcans est de créer des espaces vivants, qui répondent aux besoins et qui favorisent le bien-être des utilisateurs, dans le respect de l’environnement. C’est pourquoi, les espaces conçus avec Living EstateTM se démarquent des Marketing Suites traditionnelles avec un véritable ancrage écologique et modulaire.Depuis 2020, Bleu Dalcans est partenaire d’EcoTree. Dans ce cadre, elle participe à des projets forestiers et de biodiversité en France. Bleu Dalcans est aujourd’hui propriétaire de 100 arbres, dans la Forêt de Pont de Buis (29), plantés et gérés durablement par EcoTree en France.
Il y a 2 ans et 171 jours

En avant pour les Green Solution Awards 2022-2023

L’association Construction21 a lancé lors du dernier salon Batimat le concours Green Solution Awards 2022-2023, qui met en avant les réalisations qui font émerger des solutions en vue de la décarbonation du secteur de la construction. Jusqu’au 28 février 2023. Un an après la cérémonie internationale de Glasgow pendant la COP26, les Green Solutions Awards […] L’article En avant pour les Green Solution Awards 2022-2023 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 171 jours

Vinci : un contrat à 4 Mds € dans l'éolien offshore

Vinci a remporté, à travers sa filiale Cobra IS, le contrat pour la conception, la construction et l'installation de deux plateformes...-International
Il y a 2 ans et 171 jours

Stradal lance le DDSelect, une solution de traitement des pollutions des eaux pluviales

Plus performant, le DDSelect répond à l’ensemble des besoins et contraintes des collectivités en matière de lutte contre les pollutions urbaines.Décantation hydrodynamique : une innovation majeureDès 2019, Stradal s’est associé à Hydro International, spécialiste mondial du traitement des pollutions, pour concevoir et fabriquer le First Defense, la première solution de traitement des pollutions des eaux par décantation hydrodynamique, intégrée à une enveloppe béton haute performance. Aujourd’hui, fort de ses 3 années sur le terrain et des retours d’expérience suite à l’installation de plus de 200 décanteurs hydrodynamiques en France, Stradal a conçu une nouvelle génération de décanteurs, le DDSelect.Ce décanteur hydrodynamique innovant cible les Matières En Suspension (MES) grâce à un système de décantation qui traite les particules de taille médiane de 63 μm, avec un abattement supérieur à 80% des MES et de leurs polluants associés.Il est décliné dans une gamme comprenant 12 produits : 6 dimensions et deux niveaux de performance pour coller au plus près aux besoins des collectivités.Le béton bas carbone : un matériau haute performance et plus écologiqueLe DDSelect est intégré dans une enveloppe en béton bas carbone haute performance qui permet une diminution de 30% de l’empreinte écologique par rapport au béton classique. Il assure une parfaite étanchéité et résiste aux sollicitations tout au long de sa durée de vie estimée à plus de 50 ans.Par ailleurs, il est 100% recyclable, et est issu d’une filière de proximité et de matériaux locaux.Ultra compact et dimensionné au plus juste, le décanteur hydrodynamique DDSelect permet une emprise au sol extrêmement réduite. C’est un ouvrage sur-mesure, personnalisable à la demande : angle, diamètre, matériaux, hauteur… Il est ainsi 10 fois moins volumineux qu’un décanteur lamellaire et 30 fois moins qu’un bassin de décantation. Le DDSelect peut s’installer sur un réseau existant, permettant de limiter les travaux, les investissements et de valoriser le patrimoine.Plus d’une centaine de décanteurs DDSelect déjà en opérationAvec des volumes de traitement pouvant aller jusqu’à 1.400 litres d’eau par seconde, le DDSelect permet de prendre en charge des projets de toute taille partout en France. Une vingtaine de références ont déjà été installées dans l’Eurométropole de Strasbourg. Des réalisations sont en cours dans de nombreuses collectivités comme Arcachon et sur le littoral où l’enjeu en matière de traitement et de qualité de l’eau en lien avec l’activité humaine est particulièrement fort.La décantation hydrodynamique pour cibler toutes les pollutionsPour traiter les polluants présents dans les eaux pluviales, une des solutions les plus efficaces2 est la décantation hydrodynamique. Elle associe deux forces : la gravité et la force centrifuge et repose sur le procédé de séparation par effet vortex : un procédé de séparation liquides/solides qui permet une rétention des particules minérales ou organiques les plus fines.Cette technologie permet de traiter à la fois les MES (Matières En Suspension) et leurs micropolluants associés ainsi que les macro-déchets (mégots, canettes, emballages plastiques…).
Il y a 2 ans et 171 jours

Face à l'exode des habitants, la mairie de Paris accélère

Entre 2014 et 2020, 12.400 habitants en moins par an: "les Parisiens sont toujours plus nombreux à déménager", et ces départs "sont notamment motivés par le coût élevé du logement" et "l'offre réduite de logements de grande taille pour les familles", affirme l'Insee dans un rapport publié fin décembre. "La situation serait bien plus difficile sans notre politique", rétorque à l'AFP Ian Brossat, l'adjoint communiste de la maire (PS) Anne Hidalgo, pour qui le logement reste une "priorité absolue".Encadrement des loyers : "serrer la vis"Nouveauté de la rentrée, la ville peut contrôler à la place du préfet l'encadrement des loyers en vigueur depuis juillet 2019 dans la capitale. Concrètement, la mairie a lancé une plateforme où les locataires pourront signaler un loyer trop élevé, ensuite instruit par la mairie qui mettra le propriétaire en demeure afin qu'il diminue le loyer et restitue les trop-perçus. Sans mise en conformité, la mairie pourra lui infliger une amende. Mais pour l'élu LR Jean-Baptiste Olivier, ce renforcement des contrôles, ajouté à la hausse de la taxe foncière et à l'interdiction progressive de louer les passoires thermiques, prévue par la loi, risque d'engendrer un "effet pervers" avec "moins de logements sur le marché".Mesures anti-Airbnb : objectif atteintDepuis janvier 2022, tout changement d'usage d'un commerce en meublé touristique est soumis à autorisation de la mairie et les logements transformés en locations touristiques doivent faire l'objet d'une double, voire d'une triple compensation en surface.Un an plus tard, M. Brossat fait le bilan d'un "effet extrêmement dissuasif", avec le rejet d'une grande majorité des demandes de changement de commerces en meublés touristiques.Les préemptions vont continuerEn décembre, le compte foncier logement de la ville pour 2023 a été abondé de 148 à 200 millions d'euros afin "d'augmenter la capacité à acquérir des immeubles et à faire du logement social par ce biais", résume Ian Brossat.Solution à la raréfaction des emprises disponibles dans la capitale, les préemptions ne sont pas du tout du goût de l'opposition de droite, Jean-Baptiste Olivier jugeant qu'il s'agit d'une "erreur politique grave" dans une ville lourdement endettée.En préemptant, "on réduit les possibilités de logements privés, (...) le prix du mètre carré va augmenter et ce sera de plus en plus la ville des très aisés", vitupère l'élu de droite. "Il faudrait mieux réhabiliter l'existant et revoir les systèmes de chauffage qui en ont bien besoin", ajoute M. Olivier. Un PLU façonné "logement public"Ayant quasiment atteint son objectif de 25% de logement social pour 2025, la mairie se fixe désormais, à l'horizon 2035, 30% de logement social et 10% de logement "abordable", c'est à dire "20% en-deçà du prix du marché, pour les classes moyennes", selon Ian Brossat.Pour cela, il compte renforcer encore l'obligation pour tout nouvel immeuble de logements d'intégrer au moins 30% de logement social.Les futurs immeubles de bureaux seraient aussi obligés d'intégrer "une part de logements (...), et sur celle-ci, une part de logements sociaux", affirme-t-il.La majorité de gauche compte aussi instituer des "zones de grand déficit de logement social": les nouveaux immeubles de logements créés dans les micro-quartiers comptant "moins de 10% de logements sociaux" devront être consacrés à 50% au logement social.L'élu communiste mise enfin sur les "réserves", des immeubles du secteur tertiaire où la mairie pourra inciter le propriétaire, à l'occasion d'un nouveau permis de construire, à "la transformation en logement, notamment social".Le BRS, balbutiant mais symboliqueAvec 90 nouveaux logements commercialisés en 2023, le bail réel solidaire (BRS), qui permet à un particulier de devenir propriétaire du bâti mais pas du foncier, n'en est qu'à ses débuts.Mais avec un millier de logements en projet, "l'idée est de monter en puissance", souligne Ian Brossat, partisan de ces logements vendus à moitié prix, et qui veut développer cette catégorie dans le nord-est parisien, excédentaire en logements sociaux.
Il y a 2 ans et 171 jours

somfy envisage son retrait de la bourse

Le groupe Somfy a annoncé envisager un retrait de la Bourse après l’opération de rachat des actions qu’elle ne détenait pas. Le constructeur de moteurs de volets roulants et de domotique était en Bourse depuis 2002.
Il y a 2 ans et 171 jours

le groupe airvance rachete aeib ventilateurs

Après être entré au capital de Pando2, spécialisé dans la supervision et la gestion de la qualité de l’air intérieur, le groupe Airvance annonce faire l’acquisition d’AEIB, spécialisé dans la ventilation industrielle et le désenfumage.
Il y a 2 ans et 171 jours

Âge de départ, carrières longues, pénibilité : l'exécutif dévoile sa réforme des retraites

ÉCONOMIE. Après plusieurs semaines de tractations avec les partenaires sociaux et les oppositions politiques, le gouvernement d'Élisabeth Borne présente son projet de loi réformant le système des retraites. Âge légal de départ, durée de cotisation, dispositifs de carrières longues et de pénibilité, cotisations sociales des indépendants : Batiactu fait le point sur les enjeux du texte.
Il y a 2 ans et 171 jours

La demande de nouveaux entrepôts logistiques en baisse en 2022

LOGISTIQUE. Les espaces de stockage sont, certes, convoités en France, mais le nombre de demandes diminue. Plusieurs facteurs continueront d'impacter le secteur en 2023.
Il y a 2 ans et 171 jours

Somfy pourrait sortir de certains indices boursiers

FINANCE. Le spécialiste de l'automatisation des ouvertures et des fermetures de la maison et du bâtiment, Somfy, pourrait se retirer de la Bourse après des opérations de rachat des actions.
Il y a 2 ans et 171 jours

Parlez-vous le Wouafchitect ?

La première chronique de l’année est généralement dédiée aux mots de l’architecture. Ce janvier, peau de balle et balai de crin sur le lexique à la mode. Cela annonce-t-il une disette conceptuelle en 2023 ? Pour éviter le stress, dissertons sur la présence en augmentation des chiens et des chats dans les agences. Les animaux de […] L’article Parlez-vous le Wouafchitect ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 171 jours

Quel est le coût horaire de la main d'oeuvre dans la construction ?

INFOGRAPHIE. Le coût horaire que représente la main d'oeuvre pour une entreprise de la construction est-il plus élevé que dans les autres secteurs ? Une récente enquête de l'Insee apporte des réponses.
Il y a 2 ans et 171 jours

Moins de demande pour les entrepôts en 2022

Pour des entrepôts de plus de 10.000 mètres carrés, elle a reculé de 8% en 2022 par rapport à 2021, passant de 3,68 à 3,38 millions de mètres carrés.Les entrepôts logistiques se développent rapidement sur le territoire français depuis plusieurs années, surtout aux abords des grands axes autoroutiers, du fait de l'essor de l'e-commerce et la pression du "zéro stock".En 2022, l'érosion de la demande a surtout été marquée hors région parisienne, où elle a reculé de 14,6%.En Ile-de-France, la baisse a été de 10,3%, lestée par les entrepôts de 5.000 à 10.000 mètres carrés (-36,4%), une catégorie qui n'est pas comptée dans le reste du pays. Pour les seuls entrepôts de plus de 10.000 mètres carrés, la demande a au contraire augmenté de 13,9%."Les volumes en 2022 restent particulièrement solides", a commenté dans une note René Jeannetot, directeur du pôle logistique de BNP Paribas Real Estate."Même si la livraison prochaine d'entrepôts en cours de construction devrait permettre de fluidifier temporairement certains marchés, la transformation continue de la supply-chain (chaîne d'approvisionnement ndlr), observée chez les acteurs du commerce et de l'industrie, soutiendra le bon niveau de demandes constaté actuellement sur ce marché", affirme-t-il."Les grands logisticiens et les acteurs de la grande distribution alimentaire ont poursuivi leurs prises de positions dans l'Hexagone tout au long de l'année, demeurant le principal soutien du marché. Les spécialistes du e-commerce accusent quant à eux un net repli en 2022, reflet d'une surcapacité logistique conjoncturelle", estiment de leur côté les analystes de CBRE. "La politique de sobriété foncière et la conjoncture macroéconomique limitent le potentiel de développement. Ces tensions sur l'offre orientent considérablement à la hausse les valeurs locatives sur les secteurs les plus tendus", ajoutent-ils.La mise en place progressive de la règle "zéro artificialisation nette", qui vise à limiter le grignotage des espaces naturels par la ville pour protéger l'environnement, menace la construction de nouveaux entrepôts, très gourmands en foncier.Leur installation est aussi confrontée, dans certains territoires, à l'opposition de riverains qui craignent notamment l'augmentation du trafic de camions.
Il y a 2 ans et 171 jours

Vêtements d’hiver : parés pour les basses températures

Vêtements d’hiver : parés pour les basses températures En version polaire, thermique, softshell ou hivernale, les vêtements de travail et de protection jmgcom mar 10/01/2023 - 15:59 En savoir plus sur Vêtements d’hiver : parés pour les basses températures Partager
Il y a 2 ans et 171 jours

Les principales mesures du projet de loi d'accélération des énergies renouvelables qui devrait être voté aujourd'hui à l'Assemblée

Des objectifs ambitieuxEn France, qui s'est longtemps reposée sur la puissance de son parc nucléaire, les énergies renouvelables ne représentent que 19,3% de la consommation finale brute d'énergie, une part plus faible qu'ailleurs en Europe et déjà en deçà de l'objectif fixé en 2020 de 23%.A l'urgence climatique, la guerre en Ukraine vient aujourd'hui ajouter la menace d'un "blackout", rendant nécessaire pour le gouvernement un changement d'échelle.Pour 2050, le président Emmanuel Macron s'est fixé comme objectifs de multiplier par dix la capacité de production d'énergie solaire pour dépasser les 100 GW, et de déployer 50 parcs éoliens en mer pour atteindre 40 GW.Délais réduitsIl faut en moyenne en France 5 ans de procédures pour construire un parc solaire, 7 ans pour un parc éolien et 10 ans pour un parc éolien en mer.Le texte prévoit des adaptations temporaires des procédures administratives pour simplifier et accélérer la réalisation des projets, l'objectif étant de raccourcir significativement les délais de déploiement.Le gouvernement veut notamment réduire certains recours, en reconnaissant une "raison impérative d'intérêt public majeur (RIIPM)" pour des projets d'énergies renouvelables.Planification et approbation des communesC'était un des sujets les plus sensibles du texte.Après un compromis trouvé au Sénat, les communes pourront faire remonter - dans un dispositif de planification "ascendante" - les zones d'accélération, prioritaires pour déployer des projets d'énergies renouvelables. Pour la phase d'application de ces zones "propices", l'approbation du maire sera requise.La mesure a crispé la gauche, qui redoute le retour du "veto des maires" que réclamaient des députés LR pour l'ensemble du territoire.À l'exception des procédés de production en toitures, ces zones ne pourront être incluses dans les parcs nationaux et les réserves naturelles, a précisé l'Assemblée.AcceptabilitéL'Assemblée a adopté en première lecture des amendements écologistes pour instaurer un observatoire et un médiateur des énergies renouvelables.Pour une meilleure "acceptabilité", les députés ont ajouté au texte un objectif paysager incitant les collectivités à "veiller à limiter les effets de saturation visuelle", notamment des éoliennes.Afin de mieux répartir les énergies renouvelables sur le territoire, le texte rend possible une modulation tarifaire qui inciterait des porteurs de projets à s'installer dans des zones aux conditions naturelles a priori moins favorables.Plus d'espace pour le solaireLe projet de loi facilite l'installation de panneaux photovoltaïques aux abords des autoroutes et grands axes. Il permet de déroger à la loi Littoral, dans un cadre très contraint, pour l'implantation de panneaux dans des "friches". Il facilite aussi l'implantation dans les communes de montagne.Il impose l'équipement progressif des parkings extérieurs de plus de 1.500 m2 avec des ombrières photovoltaïques.L'éolien prend la merLe projet de loi propose de mutualiser les débats publics sur la localisation des projets de parcs éoliens en mer "pour améliorer la planification spatiale" et accélérer leur développement.L'Assemblée a rejeté en séance des amendements LR réclamant que les zones d'implantation soient situées à une distance minimale de 40 km du rivage.Seront toutefois "ciblées en priorité des zones propices situées dans la zone économique exclusive", soit un peu plus de 22 km des côtes, et en dehors des parcs nationaux ayant une partie maritime.RedistributionSur proposition des socialistes, l'Assemblée a renoncé à un principe de ristourne sur la facture des riverains d'énergies renouvelables. Les députés privilégient des mesures territoriales plus larges comme des fonds pour aider les ménages modestes en situation de précarité énergétique ou pour financer des projets en faveur de la biodiversité.AgrivoltaïsmeLe texte entend définir "l'agrivoltaïsme", combinant exploitation agricole et production d'électricité, par exemple avec des panneaux solaires montés sur des pieds, permettant la culture voire le passage d'animaux. La production agricole devrait rester "l'activité principale" ou les installations être "réversibles".
Il y a 2 ans et 171 jours

Le plan de la CDC pour les 5 prochaines années

Venu défendre sa candidature à sa succession devant les sénateurs, Eric Lombard en a profité pour détailler les trois axes de travail qui...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 171 jours

Les pailleux en ordre de marche

L’Assemblée générale du Réseau Français de la Construction Paille, à Paris le 9 décembre, était la dernière ligne droite avant le premier congrès de la construction paille à Poitiers en février 2023. © Mehmet Aydogdu
Il y a 2 ans et 171 jours

Jour J pour la réforme emblématique des retraites

La Première ministre a confirmé lors d'une conférence de presse l'arbitrage qui avait largement fuité ces derniers jours, après une séquence de plusieurs mois mêlant consultations, atermoiements et report-surprise de l'annonce."J'ai bien conscience que faire évoluer notre système de retraite suscite des interrogations et des craintes chez les Français. Nous voulons y répondre, et convaincre" et surtout "garantir l'équilibre du système en 2030", a déclaré la cheffe du gouvernement.Les partis de gauche, le Rassemblement national et l'ensemble des syndicats de salariés sont vent debout contre un recul de l'âge de départ.Réunis en fin d'après-midi à la Bourse du Travail à Paris, les dirigeants des huit grands syndicats (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, Solidaires, FSU) ont appelé à une première journée de manifestations et de grèves le 19 janvier."Cette réforme va frapper de plein fouet l'ensemble des travailleurs et travailleuses et plus particulièrement celles et ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires dont l'espérance de vie est inférieure au reste de la population", a déclaré, au nom de l'intersyndicale, le patron de la CFDT Laurent Berger, dont l'exécutif avait un temps espéré le soutien."Nous sommes déterminés à ce que cette réforme ne passe pas" et "on souhaite qu'il y ait le maximum de salariés en grève" le 19 janvier, a abondé son homologue de la CGT, Philippe Martinez.Le patron de Force ouvrière Frédéric Souillot a dénoncé "la réforme la plus injuste pour les salariés de la deuxième ligne et les plus précaires".A compter du 1er septembre, l'âge de départ sera "relevé progressivement de trois mois par an pour atteindre 64 ans en 2030. Nous serons donc à 63 ans et 3 mois à la fin du quinquennat" en 2027, a détaillé la Première ministre. En lieu et place des 65 ans sur lesquels Emmanuel Macron avait fait campagne. "Nous n'irons pas plus loin que les 43 ans de cotisation prévus par la réforme Touraine pour partir avec une retraite à taux plein. Mais nous atteindrons cette cible plus vite, en passant à un rythme d'un trimestre par an", a-t-elle développé. Il faudra donc avoir cotisé 43 ans dès 2027 au lieu de 2035 pour une retraite à taux plein.Pension minimumAutre mesure-phare sur laquelle le gouvernement compte pour faire accepter la réforme: le relèvement à 85% du Smic net, soit près de 1.200 euros actuellement, de la pension minimum pour les carrières complètes. Une mesure étendue aux retraités actuels. "Près de deux millions de petites retraites vont être augmentées", a fait valoir Élisabeth Borne.La réforme comprend également un dispositif "adapté" pour les carrières longues, "pour qu'aucune personne ayant commencé" à travailler tôt ne soit obligée de travailler plus de 44 ans", selon le gouvernement.Elle "actera l'extinction des principaux régimes spéciaux" subsistants: "les nouveaux embauchés à la RATP, dans la branche des industries électriques et gazières et à la Banque de France" seront notamment affiliés au régime général, a précisé Mme Borne.Sur le volet pénibilité, "un fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle" sera instauré, doté d'un milliard d'euros sur le quinquennat.Le gouvernement veut en outre créer un "index" mesurant l'emploi des seniors pour les entreprises de plus de 1.000 salariés "dès cette année", et pour celles de plus de 300 salariés en 2024, que les entreprises devront renseigner sous peine de sanctions. Une mesure qui suscite l'hostilité du patronat.Élisabeth Borne assurera le service après-vente mardi soir sur France 2. Et le gouvernement devrait inscrire sa réforme dans un projet de budget rectificatif de la Sécurité sociale présenté en Conseil des ministres le 23 janvier, avant examen en février à l'Assemblée."Nous sommes prêts à faire encore évoluer notre projet, et cela sera possible grâce à un débat parlementaire loyal et constructif", a souligné la Première ministre."Régression sociale"Les réactions politiques ne se sont pas faites attendre: Jean-Luc Mélenchon a dénoncé une "grave régression sociale". Marine Le Pen a assuré de sa "détermination" à "faire barrage" à une "réforme injuste".Le président des députés LR Olivier Marleix s'est en revanche montré "satisfait d'avoir été entendu", sur le rythme de la réforme et les petites retraites.Le Medef, de son côté, a salué "les décisions responsables et pragmatiques" du gouvernement.Selon les derniers sondages, une large majorité de Français sont opposés au relèvement de l'âge légal.S'il prédit "un mouvement d'ampleur" des syndicats, le député Renaissance Marc Ferracci, proche d'Emmanuel Macron, affiche en revanche la détermination du pouvoir: "Il faut qu'on montre qu'on ira jusqu'au bout".
Il y a 2 ans et 171 jours

L’oasis urbaine, drôle d’ambiance pour une rencontre ?

Ambiance : « Atmosphère matérielle et morale qui environne une personne ou une réunion de personne », explique le Petit Robert. L’importance de l’ambiance où nous vivons est déterminante à bien des égards : notre qualité de vie, nos conditions de travail, nos relations avec nos voisins ou nos collègues, et bien d’autres choses encore, sont conditionnées par […] L’article L’oasis urbaine, drôle d’ambiance pour une rencontre ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 171 jours

Le démarrage des écocontributions décalé au 1er mai 2023 pour la REP Bâtiment

L'annonce a été faite juste avant Noël 2022 par les quatre éco-organismes agréés pour la REP Bâtiment. Les entreprises concernées doivent cependant adhérer à l'un des éco-organismes dès le 1er janvier 2023.
Il y a 2 ans et 171 jours

Le Groupe Airvance fait l’acquisition de la société AEIB, spécialiste de la ventilation industrielle

Depuis près de 50 ans, AEIB Ventilateurs, société familiale, conçoit et fabrique des solutions de désenfumage et de ventilation industrielle certifiées ATEX et IECEX, c’est-à-dire destinées aux atmosphères explosives ou dangereuses, à l’attention des marchés du nucléaire et de la marine. AEIB est basée dans la région de Bordeaux, à Tresses (33) et dispose d’un site de production de 5300 m². L’entreprise est certifiée ISO 9001 depuis 2003. Avec un CA de 8 M€ en 2021 et un effectif de 50 salariés, la société sert des clients dans le monde entier, dans le secteur de la défense et du nucléaire. Par ailleurs, AEIB a développé ces dernières années plusieurs gammes de ventilateurs de désenfumage, en collaboration avec le Groupe Airvance.En tant qu’expert du traitement de l’air, le Groupe Airvance assure le bien-être et la sécurité des personnes sur leurs lieux de vie et de travail. La protection incendie et le désenfumage sont la composante sécuritaire majeure dans un bâtiment. Le matériel de protection incendie vise à éviter la naissance du feu, par le choix de matériaux adaptés. Le désenfumage, quant à lui, a pour objectif l’évacuation des fumées et des gaz toxiques. Avec cette acquisition, le Groupe Airvance vient renforcer son pôle d’expertise dans le secteur du désenfumage et de l’industrie, et souhaite développer les synergies au niveau des offres de produits. AEIB dispose d’un solide savoir-faire en désenfumage : son équipe Recherche & Développement, la qualité de ses produits (certifiés ISO 9001 depuis plus de 10 ans), ses gammes étoffées et son laboratoire de tests renforceront l’expertise du Groupe Airvance dans le désenfumage et l’industrie.« La société AEIB, tout comme le Groupe Airvance, sont deux entreprises familiales. Je suis heureux d’accueillir AEIB et toutes ses équipes au sein du Groupe Airvance. Ce rapprochement traduit notre volonté de nous développer dans le secteur du désenfumage et de renforcer les moyens de production européens du Groupe Airvance auprès de nos partenaires industriels historiques. » - Laurent Dolbeau (CEO Airvance Group)« Nous travaillons avec le groupe Airvance depuis 2002, nous leur sommes reconnaissants de leur confiance depuis toutes ces années et savons que AEIB va continuer à croître au sein d’un groupe leader sur le marché de la ventilation. » - Gilles Beauquin (Gérant AEIB)La concordance des stratégies des deux entreprises, ajouté à la complémentarité des savoir-faire techniques, montrent tout l’intérêt de ce rapprochement.
Il y a 2 ans et 172 jours

Nouvelle fenêtre Prismatic Oknoplast avec poignée centrée

Ce nouveau modèle se distingue par son design épuré et ses hautes performances d'isolation. Grâce à un profilé affiné de 76 mm et un battement central de 120 mm, il propose de plus grandes surfaces vitrées qui laissent entrer plus de lumière à l'intérieur de l'habitat. Salon, bureau, cuisine, chambre..., toutes les pièces de la maison profitent d'une grande clarté à laquelle s'ajoute de remarquables performances thermiques, pour un plus grand confort et d'importantes réductions de la consommation d'énergie.Harmonie & designAvec son design exceptionnel, la nouvelle fenêtre PRISMATIC OKNOPLAST répond aux dernières tendances architecturales avec des formes plus modernes, sans arrondis. Conçue pour une harmonie parfaite, la PRISMATIC est un élément de décoration qui sublime l'habitat. Et pour mettre en avant et affiner ce profilé élégant, OKNOPLAST propose une nouvelle poignée centrée très esthétique.24 couleurs de plaxage sont également disponibles afin de donner un caractère unique aux pièces de la maison. Couleur béton brut ou effet bois, le plaxage peut être choisi en fonction du style de l'habitation.À la pointe des dernières innovations sur le marché, la fenêtre PRISMATIC OKNOPLAST combine design et technologie.« PRISMATIC est une fenêtre destinée aux personnes qui recherchent une solution complète. L'association d'un profilé exclusif et moderne, et d'un grand vitrage n'est pas seulement esthétique, mais offre également plusieurs fonctions : avant tout, la fenêtre «capte» les rayons du soleil, ce qui rend l'intérieur nettement plus lumineux, plus confortable et plus chaleureux. En même temps, grâce à la faible perte de chaleur, notre produit permet d'augmenter les économies de chaque maison », déclare Mike Żyrek, directeur recherche et développement du groupe OKNOPLAST.Un vitrage 4xglass pour une isolation thermique et acoustique renforcéeLa finesse du profilé de la nouvelle PRISMATIC OKNOPLAST réduit la quantité de PVC utilisé dans la production de la fenêtre. Le vitrage 4Xglass plus grand, aux propriétés thermiques élevées, permet de profiter d'espaces plus lumineux et agréables en toute saison. Innovant, il est composé d'une vitre de 4 mm d'épaisseur, de deux vitres de 3 mm d'épaisseur et de deux intercalaires de largeur différentes : 18 mm et 16 mm. Avec ces différentes épaisseurs des vitres et des intercalaires, le vitrage 4Xglass constitue une protection efficace contre les déperditions de chaleur et supprime la sensation de parois froides à l'intérieur de l'habitat.La nouvelle fenêtre PRISMATIC OKNOPLAST dispose de belles performances d'isolation avec son profilé de classe A à 5 chambres qui garantit une protection phonique, supprime les déperditions thermiques, les infiltrations d'air et la condensation. Grâce à un triple joint, la fenêtre PVC PRISMATIC assure une très bonne isolation thermique de la maison, ce qui permet de réduire les dépenses en chauffage. De plus, avec une épaisseur de vitrage allant de 24 à 48 mm, elle offre également une très bonne isolation acoustique, idéale pour un intérieur calme. Elle affiche ainsi un coefficient de performance thermique Uw = 0,78 W/(m²K)* et un coefficient d'isolation phonique Rw = 34 dB**.La sécurité avant toutLes fenêtres étant avec les portes la principale voie d'accès des cambrioleurs, OKNOPLAST a doté sa nouvelle fenêtre PRISMATIC d'une nouvelle génération d'équipements destinés à assurer la sécurité des biens et des personnes : renforts brevetés des ouvrants et dormants, double point de sécurité, vitrage retardateur d'effraction, ainsi que deux gâches anti-effraction vissées dans le renfort en acier du dormant. Les classes de résistance RC1 ou RC2 sont disponibles en option.* Pour une fenêtre de référence avec un vitrage de Ug=0,5W/(m²K) munie d'un intercalaire Warmatec.** Pour une fenêtre de référence avec un vitrage de 4/18/3/16/3