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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 2 ans et 191 jours

Précarité énergétique, mobilité : neuf nouveaux programmes CEE dévoilés

ANNONCE. Le gouvernement vient de présenter neuf nouveaux programmes financés par les certificats d'économie d'énergie (CEE). Ils couvrent notamment les champs de la mobilité et de la précarité énergétique.
Il y a 2 ans et 191 jours

Management de l’Énergie : la meilleure énergie est celle que l’on ne consomme pas

Que ce soit pour gagner en compétitivité ou pour répondre aux enjeux de la transition énergétique, les acteurs industriels ou tertiaires ont tout intérêt à s’appuyer sur un système de Management de l’Énergie optimisé.Qu’est-ce que le Management de l’Énergie ?Le Management de l’Énergie, ou Energy Management, est une démarche qui fait partie des actions concrètes qu’une entreprise peut mettre en place pour réaliser un projet d’efficacité énergétique.Cette démarche appelle à une expertise liée à la gestion de la donnée et à un ensemble d’expertises métiers en maîtrise de l’énergie appliqué au bâtiment. C’est cette synergie entre les deux métiers, couplée à un puissant outil de pilotage des consommations énergétiques, qui forme le Management de l’Énergie.Aucune réglementation n’oblige les entreprises à initier ce type de démarche : Le Management de l’Énergie est une démarche volontaire et proactive des organisations. Seules les organisations soumises au Décret Eco Energie Tertiaire (appelé également Décret Tertiaire, qui découle d’une directive européenne) se verront obligées de réduire leurs consommations énergétiques avec un objectif à 2030, 2040 et 2050. Pour autant, toute entreprise est concernée par le Management de l’Énergie.Les 3 étapes clés pour entamer une démarche de Management de l’ÉnergieToute démarche de Management de l’Énergie repose avant tout sur une gestion rigoureuse de la donnée. La première étape consiste donc à la collecter correctement via plusieurs sources, de la plus accessible à la plus complexe. Pour collecter des données plus précises, il est nécessaire de systématiser l'instrumentation de la collecte de manière à avoir une vision plus fine et plus fidèle du fonctionnement du bâtiment, mais également d'identifier les postes de consommations les plus énergivores.Pour une analyse efficace et pertinente, les facteurs d’influence, également appelés facteurs d’intensité d’usage, ne doivent pas être négligés lors de la collecte des données de l’activité. Cela consiste à prendre en compte toutes les données qui influent sur l’activité de l’entreprise : la météo, les horaires d’ouverture, le niveau de production, l’occupation des sites, etc. Un suivi de la consommation rapporté aux facteurs d’influence permet ainsi de repérer rapidement les dérives énergétiques (production lumineuse énergivore, fuite d’eau, mauvaise isolation thermique…).La deuxième étape clé consiste à traiter la donnée. Un logiciel de management de l’énergie, aussi appelé EMS pour Energy Management Software, permet le traitement et la mise à disposition de l’information récoltée. L’entreprise peut ainsi mettre en place des tableaux de bord de suivi des KPI sur son patrimoine, mais également des alertes. Au-delà du traitement de la donnée, l’EMS rend visible les anomalies, permet d’en analyser les causes et facilite la planification des tâches et actions de performance énergétique.Une fois la donnée collectée, centralisée, fiabilisée et rendue visible, il est nécessaire de l’exploiter, l’analyser et la valoriser. C’est le rôle de l’Energy Manager. L’expert se base sur l’outil pour réaliser les analyses et conseiller le client quant aux actions à mener pour atteindre ses objectifs de réduction de consommation énergétique. Ce n’est réellement que, lors de la phase d’analyse, que les premières économies sont générées et que le client commence à voir un retour sur investissement.Un cycle d’amélioration continue se met ainsi en place au sein de l’organisation du client afin de pérenniser les actions de performance énergétique mises en place et ainsi constamment trouver des leviers d’optimisation.Réconcilier réduction de la facture d’énergie et accélération de la décarbonation de l’entrepriseLes démarches de Management de l’Énergie ont un coût à la fois matériel, logiciel et humain.Elles nécessitent l'installation d'équipements intelligents (GTB, plan de comptage, etc) permettant la collecte des données, l'utilisation d'un logiciel de pilotage pour centraliser et mesurer le profil de consommation de l'entreprise, ainsi que la mise à disposition d'un Energy Manager permettant d'exploiter les données collectées.Quel intérêt dès lors pour une entreprise de se lancer dans l’aventure ?D’abord, le Management de l’Énergie est un très fort levier d’économies. Combiné à la Gestion Technique du Bâtiment, l’Energy Management permet :d’optimiser au maximum les dépenses énergétiques,de mettre en place des actions concrètes qui aboutissent à de véritables économies financières,et donc à l’entreprise de gagner en compétitivité.En moyenne, déployer une démarche de management de l’énergie permet de réaliser 5% d’économies d’énergie, ces économies pouvant atteindre les 15% dans le cadre d’un bâtiment vétuste et n’utilisant pas de GTB.La mise en place d’un système de Management de l’Énergie répond aussi à des préoccupations environnementales. Les entreprises font l’objet d’une double pression pour réduire leur empreinte énergétique. D’un côté, les entreprises sont soumises à de nouvelles obligations réglementaires en termes d’émission de gaz à effet de serre et de décarbonation. De l’autre côté, les consommateurs prennent de plus en plus en compte les enjeux environnementaux lors de leurs décisions d’achats et valorisent les entreprises éco-responsables.Avoir une vision globale de la consommation énergétique de son activité permet d’avoir un suivi de son empreinte environnementale et de suivre une trajectoire énergétique précise. Ainsi, l’entreprise réduit son empreinte énergétique tout en renforçant ses engagements RSE.Ces engagements peuvent être partagés via des rapports, des communications externes et des tableaux de bord diffusés en interne avec une estimation des économies d’énergie réalisées.Aujourd’hui le Management de l’Énergie s’adresse aux collectivités, PME et aux grands groupes, sans distinction de secteur d’activité. Tout réside en réalité dans la capacité des organisations à fédérer, autour d’une ambition claire, toutes les parties prenantes dans le but d’agir dans la même direction. Il ne faut pas non plus négliger l’apport d’un accompagnement externe qui pourra s’engager sur des objectifs contractuels. Il est grand temps de prendre des engagements concrets et forts, à la hauteur du défi à relever.Tribune de Christophe Constant, Directeur Général d’Helexia France (Linkedin).
Il y a 2 ans et 191 jours

"Nous prédisons un équilibre du marché, c'est un signe positif", G. Martinaud (Orpi)

IMMOBILIER. Le réseau immobilier français Orpi dresse le bilan de l'année 2022. Si le marché national se rééquilibre, celui des villes moyennes connaît des prix en hausse qui pourraient freiner les primo-accédants à l'achat d'un bien.
Il y a 2 ans et 191 jours

Le diagnostic des installations gaz évolue au 1er janvier 2023

Elle fait l’objet de l’arrêté de reconnaissance ministériel du 25 juillet 2022, publié au Journal officiel de la République française du 4 août 2022 qui fixe son application à compter du 1er janvier 2023. Le diagnostic gaz est une prestation réglementée qui permet d'analyser les points-clés de la sécurité d’une installation intérieure de gaz afin de fournir un état de celle-ci. Il est réalisé par un diagnostiqueur certifié.Une nouvelle norme qui s’inscrit dans la continuité de l’existantCette nouvelle version s’inscrit dans la phase habituelle d’évolution des normes afin de tenir compte, selon le cas, de nouvelles dispositions normatives ou réglementaires, ou bien d’évolutions de son environnement et de pratiques des utilisateurs.Pas de rupture majeure pour cette nouvelle version mais plutôt la prise en compte des évolutions réglementaires impactant les installations de gaz, comme la parution de l’arrêté du 23 février 2018 ainsi que les évolutions technologiques avec le corpus normatif technique correspondant. Les retours des nombreux utilisateurs de la norme - administrations, diagnostiqueurs, contrôleurs, certificateurs de personnes et de produits, normalisateurs - ont été pris en compte et accompagnés d’améliorations de forme.4 questions pour tout savoir sur le diagnostic gazQuand réaliser un diagnostic gaz ?Lors de la vente ou de la location d’un logement. Un diagnostic gaz doit être fourni pour toute vente d'un bien immobilier équipé d'une installation gaz de plus de 15 ans. Il s'ajoute ainsi aux autres diagnostics obligatoires (plomb, amiante, performance énergétique, etc.) à fournir dans le dossier de diagnostic technique remis par le notaire lors de l'achat du logement. Lors d’une location, depuis la loi Alur de 2014, la vérification des installations intérieures de gaz pour les baux d'habitation (soumis à la loi du 6 juillet 1989) est devenue obligatoire.Quelles installations vérifiées ?Le diagnostiqueur examine :la tuyauterie fixe de l’installation et contrôle son étanchéité. le raccordement en gaz des appareils, c’est-à-dire les robinets et les flexibles qui raccordent les appareils à la tuyauterie fixe et s’assure que le robinet qui est en place correspond aux exigences réglementaires. la combustion, qui doit s’effectuer correctement grâce à un débit normal de gaz des appareils. la ventilation des locaux, le logement doit bénéficier de ventilations adaptées et la chaudière et/ou le chauffe-eau doivent être correctement raccordés au conduit d’évacuation des produits de combustion.Quel bilan pour l’installation de gaz ?Le diagnostiqueur établit le bilan de l’installation gaz et indique le cas échéant les anomalies décelées, classées en 3 catégories :A1 pour une anomalie mineure qui ne présente pas de danger immédiat. À faire réparer si possible. A2 pour une anomalie sérieuse qui représente un danger pour la sécurité des personnes et des biens et doit être traitée dans un délai imparti. DGI pour une anomalie majeure qui représente un Danger Grave Immédiat qui nécessite la mise hors service de l'appareil concerné jusqu’à sa remise en conformité.Quelle durée de validité pour le diagnostic gaz selon la norme NF P45-500 ? Le diagnostic gaz est valable 3 ans dans le cas de la vente d’un logement et 6 ans dans le cas d’une location.
Il y a 2 ans et 191 jours

Le bouclage du métro du Grand Paris ne sera pas achevé en 2030

"On va casser le cap de 2030, on va recaler l'échéance de mise en service des deux derniers tronçons" de la ligne 15, de Pont de Sèvres à Saint-Denis Pleyel puis à Champigny, a expliqué M. Monteils mardi.La SGP est chargée de construire 200 km de métro automatique, avec quatre lignes nouvelles, numérotées de 15 à 18, et les prolongements de la ligne 14. S'articulant autour d'une ligne circulaire, plusieurs branches doivent relier les aéroports d'Orly et Roissy, le pôle scientifique de Saclay et des quartiers sensibles de Seine-Saint-Denis.Les lignes sont découpées en plusieurs lots, avec chacun un calendrier. "Nous n'avons concrètement pas d'offre qui soit à mise en service 2030", pour la réalisation du lot allant de Pont de Sèvres à La Défense et Courbevoie, à l'ouest, a-t-il constaté.M. Monteils s'est refusé à avancer une date d'ouverture tant que le groupement chargé de sa construction ne sera pas choisi."La dernière échéance du Grand Paris Express ne sera pas 2030", mais "on n'est pas à deux ans" de retard, a-t-il dit, laissant deviner un objectif d'ouverture en 2031. "On décale de quelques mois, et on se sent beaucoup plus robustes sur le planning global", a-t-il souligné.Le patron de la SGP ne pense pas que les trois autres lots de la ligne 15 au nord et à l'est de Paris --les deux tronçons "15 ouest" et "15 est" de la ligne circulaire étant découpés en quatre lots, dont la réalisation sera confiée à un groupe de BTP-- prendront davantage de retard.Le planning du reste des travaux du métro du Grand Paris, actualisé en juillet 2021, est en revanche confirmé."On est parfaitement à l'heure" pour les prolongements de la ligne 14 attendus pour les Jeux olympiques de 2024, au nord jusqu'à Saint-Denis Pleyel et au sud à l'aéroport d'Orly, a en particulier relevé M. Monteils.C'est ensuite la "15 sud", première section de la ligne circulaire, qui doit ouvrir fin 2025 entre Pont de Sèvres, Champigny et Noisy-Champs.
Il y a 2 ans et 191 jours

Grue connectée : Spie batignolles et la start-up CAD.42 signent un contrat de partenariat de 3 ans

D'une durée de 3 ans, ce partenariat porte sur le co-développement de nouveaux services aux chantiers, basés sur une technologie d'Intelligence Artificielle (IA) alimentée par les données captées sur les grues des projets Spie batignolles.Pour Alexis Hermet : « Ce partenariat répond à notre quête continue de solutions d'optimisation de nos engins et de nos process pour gagner en productivité, en logistique et en planification. »Pour Jean-Philippe Panaget : « Ce partenariat est à la fois l'occasion d'enrichir massivement la banque de données exploitée par nos algorithmes d'intelligence artificielle, mais aussi de co-construire les services de demain pour les chantiers, et les méthodes/études de prix. »Un partenariat formalisé après deux années de collaboration fructueuseDans sa recherche de solutions d'optimisation du fonctionnement de ses grues, Spie batignolles a sollicité, début 2021, le savoir-faire de la start-up CAD.42, experte en matière de capteurs sur grue et engins mobiles.Dans le cadre d'un POC (Proof of Concept), un premier chantier de la branche construction de Spie batignolles a été équipé d'un boîtier connecté au cloud, conçu par CAD.42, afin de monitorer l'utilisation de la grue.Celui-ci intégrait 3 technologies :Capteur de géolocalisation pour mesurer en temps réel tous les déplacements d'une grue au cours d'une journée.Capteur dynamométrique, une technologie de mesure du poids soulevéTechnologie d'identification visuelle des charges de la grue (banche, benne à béton, poutre préfabriquée…).Le croisement de ces 3 capteurs a permis de recueillir de précieuses données sur l'exploitation de la grue et d'identifier des développements à initier, notamment le lien avec le BIM 4D (planification) ou l'élaboration de tableaux de bords.De nouvelles méthodes constructives pour gagner en productivitéDans le cadre du partenariat, une équipe projet a été mise en place, réunissant à la fois des collaborateurs de Spie batignolles et de CAD.42.Le protocole prévoit l'acquisition par Spie batignolles de boîtiers intelligents supplémentaires dans un objectif de massification des données alimentant la technologie d'IA. Ils sont notamment équipés de cellules photographiques alimentant une photothèque exhaustive, l'un des objectifs principaux étant, à terme, la reconnaissance de tous les matériaux et matériels soulevés par la grue. Ces boîtiers seront déployés sur plusieurs chantiers de construction menés par le Groupe sur l'ensemble du territoire français.L'équipe projet sera alors chargée d'analyser les données réceptionnées par chacune des grues équipées, d'exploiter les rapports journaliers de la grue, et de faire progresser conjointement cette solution. Ce travail permettra de parfaire le fonctionnement et codévelopper de nouvelles fonctionnalités.Le partenariat « gagnant-gagnant » vise à la fois un bénéfice pour Spie batignolles, à travers l'amélioration de sa productivité, et à la fois un accompagnement de la startup CAD.42 pour entraîner et améliorer sa solution.Pour Alexis Hermet : « C'est la grue qui donne le rythme d'un chantier de construction. Or nous ne nous servons pas actuellement des données instantanées de la grue pour mesurer la performance et la productivité d'un chantier. Notre collaboration avec CAD.42 vise à mieux comprendre l'exploitation de nos grues grâce à des données croisées particulièrement précises. Cela nous permettra d'en optimiser l'utilisation, comme réduire les temps de déplacements à vide, ou encore réaliser des chrono-analyses automatisées. Les tableaux de bord de productivité seront des outils précieux d'aide à la décision pour nos conducteurs de travaux et d'amélioration continue afin de définir et fiabiliser nos standards et nos bibliothèques de temps unitaires. »Au-delà de la construction, des tests avec les boîtiers connectés sont déjà en cours sur des usages complémentaires tel que la gestion des interférences de grues chez Spie batignolles fondations et Spie batignolles génie civil.
Il y a 2 ans et 191 jours

RSE : Une démarche au cœur de la stratégie du groupe fischer 

« La durabilité associe des aspects tels que la protection de l’environnement, la technologie et l’innovation ainsi que la réussite économique et la responsabilité sociale. Chez fischer, nous considérons cette interaction comme un défi pour vivre, travailler et prospérer en accord avec la nature. »Professeur Klaus Fischer – Propriétaire du groupe d’entreprises fischer  ©fischer Respect de l’environnement, bien-être des collaborateurs ou encore pérennité financière sont des défis quotidiens pour les entreprises. La RSE guide les investissements tant elle pousse à inscrire le développement économique dans une démarche environnementale et sociale. Pour fischer, la RSE est bien au cœur des investissements. Groupe international avec 50 filiales dans plus de 30 pays, fischer partage et porte des valeurs communes qui sont l’innovation, la responsabilité, le sérieux. Véritable philosophie du groupe, elles sont le pilier de sa démarche RSE. Menée par une approche environnementale, initiée depuis plus de 60 ans, cette démarche est aujourd’hui globale et solidement ancrée dans le quotidien de l’entreprise. Elle s’articule autour de 7 principes fondamentaux.  Le développement durable chez fischer, une histoire qui dure « Pour une entreprise, le développement durable est une action responsable qui vise la réussite économique à long terme en accord avec l’environnement et la société. » Devise fischer  Une démarche RSE déclinée en 7 principes fondamentaux – Le bien-être des collaborateursfischer a toujours accordé une grande importance au bien-être et à la motivation de ses collaborateurs. Inspirer les personnes, apporter une qualité de vie au travail, et donner les valeurs et les outils pour atteindre au mieux les objectifs fixés : ce sont les facteurs clés de la réussite de l’entreprise familiale. Pour contribuer à l’épanouissement des salariés et à l’amélioration des conditions de travail, fischer met à leur disposition des salles de pause et de sport, des mesures pour les protéger et limiter les risques d’accidents au travail, des formations…– L’avis des parties prenantesEn étroite collaboration avec ses partenaires – clients, revendeurs, distributeurs, fournisseurs, représentants de groupements, associations ou encore organisations – fischer est attentif aux suggestions et aux besoins de ces parties prenantes. Leurs recommandations permettent à l’entreprise de s’améliorer continuellement et de faire évoluer ses activités.– Des ressources préservéesLe groupe fischer ne cesse de perfectionner la gestion de ses ressources. 85% de ses produits sont fabriqués au sein de l’Union Européenne, dont 48% proviennent des usines allemandes. Soucieux de limiter l’impact de ses produits sur l’environnement, fischer valorise près de 100% des déchets issus de la production de chevilles en plastique. En 2021, 99,99% des 2 791 tonnes de déchets produits ont été recyclés. Autre mesure, sur le site de production en Allemagne, l’eau de source est utilisée pour le refroidissement indirect des installations de production et l’arrosage des espaces verts.  ©Fischer – Gestion de l’énergie et des émissionsL’efficacité énergétique et la réduction des émissions (CO2, sonores, polluantes) sont au cœur de la stratégie de développement durable de fischer.Pour évaluer et améliorer ses performances environnementales, et minimiser les risques, fischer est conforme aux normes ISO 14001 pour le Système de management environnemental, ISO 50001 pour le Système de management de l’énergie et ISO 9001 pour le Système de management de la qualité. Afin d’augmenter l’efficience énergétique d’au moins 1,5% par an, ses installations de production sont continuellement modernisées. Les éclairages conventionnels sont substitués par la technologie LED, les systèmes de ventilation, de pompage et de production sont remplacés par des systèmes plus performants… L’entreprise souhaite également augmenter le pourcentage d’énergie produite en interne via l’installation de ses propres centrales de production, des panneaux photovoltaïques… Depuis 2018, tous les sites allemands sont alimentés en électricité verte, qui provient entièrement de centrales utilisant des sources d’énergie renouvelables.Par ailleurs, fischer veille a ce que les émissions de CO2 soient maitrisées et augmentent moins fortement que le volume de production.Enfin, les émissions sonores des usines de production ainsi que les émissions de substances polluantes, via les ventilations, sont rigoureusement analysées afin de ne pas nuire à l’environnement et aux zones résidentielles avoisinantes. – Des produits responsablesSelon les idées du concept japonais Kaizen (amélioration continue), le groupe fischer a développé une philosophie visant à améliorer les procédures de l’entreprise et à éviter le gaspillage. La conception de chaque produit fischer suit ainsi ce processus afin d’apporter aux utilisateurs la meilleure solution d’ancrage en termes de qualité et d’usage. Du choix des matières premières à la fin de vie des produits en passant par la fabrication, le conditionnement et le merchandising, fischer porte une attention particulière sur le cycle de vie de ses solutions de fixation pour les rendre plus responsables. Les matières premières et les moyens de production mis en place doivent répondre aux exigences de recyclage et de gestion des déchets.Pour la conception de ses produits, le groupe recherche des solutions qui peuvent valoriser des matériaux durables. La gamme Greenline en est le parfait exemple. Elle est la première gamme de fixation au monde fabriquée à partir de matières premières renouvelables. fischer cherche également à limiter l’impact de ses produits sur l’environnement et sur l’Homme en développant des formulations sans substances nocives comme la résine d’injection FIS V Zero.Outre la formulation des produits, fischer s’est engagé à modifier les emballages de ses produits afin qu’ils soient respectueux de l’environnement et recyclables au maximum. Le carton utilisé pour les boîtes et les blisters est recyclé jusqu’à 98% et recyclable. Pour l’implantation en magasin, fischer accorde une attention aux matériaux qu’il utilise. Les matières plastiques et le PVC sont délaissés progressivement pour des outils à base de carton ou de PVC recyclé, qui ne comportent pas d’encres solvantées.– La formation Prospère et en pleine croissance, le groupe fischer comptait plus de 5 400 collaborateurs fin 2021. Il soutient activement le développement professionnel et personnel de ses collaborateurs, et ce de nombreuses façons. Des programmes de formation interne préparent les managers de demain, et soutiennent les collaborateurs qui souhaitent acquérir ou parfaire des compétences techniques. Des formations continues sont proposées aux apprentis et aux étudiants qui recherchent une expérience professionnelle. ©Fischer – Des innovations constantesAvec plus de 14 000 références, l’offre fischer couvre l’ensemble des besoins des professionnels comme des particuliers : solutions de fixation métalliques, chimiques, nylon, sanitaires, isolants, visserie et accessoires, forets, coupe-feu, techniques de supportage, inserts pour A|C|T, systèmes de rails insert, chimie du bâtiment ou encore outils électriques.  Avec plus 1 500 brevets déposés, l’entreprise a su, grâce à son savoir-faire et à sa capacité d’innovation, imposer de nouvelles références et devenir un acteur incontournable dans le domaine des systèmes de fixation. Les produits fischer sont utilisés dans la vie courante des bricoleurs comme sur les chantiers des artisans et des professionnels du bâtiment, c’est pourquoi fischer œuvre en permanence à l’amélioration de la qualité de ses produits. Parmi les dernières innovations :– La FIS V Plus : 1ère résine universelle agréé 100 ans dans le béton. Avec un seul produit, les utilisateurs peuvent réaliser de nombreuses applications dans le béton fissuré, non fissuré et la maçonnerie, sismiques C1 ou C2 et des ancrages dans des forages inondés.– La FIS V Zero : 1ère résine exempte de substances nocives (peroxyde de benzoyle) plus respectueuse de l’Homme et l’environnement. Universelle, polyvalente et aussi performante qu’une résine traditionnelle, elle dispose de nombreuses ETE.– La gamme DuoLine : avec les chevilles multi-matériaux DuoPower, à bascule DuoTec, autoforeuse DuoBlade, étanche DuoSeal et rallongée DuoXpand, qui regroupent les meilleures caractéristiques techniques pour couvrir un large champ d’application. – Le système de rails insert : une nouvelle génération qui intègre le processus BIM (Building Information Modeling). Disposant d’une ETE-18/0862 (Evaluation Technique Européenne) dans le béton fissuré, ce système de fixation complet, composé de rails et de tiges d’ancrage prémontés en usine, offre une grande souplesse d’utilisation et un réel gain de temps de pose. La recherche de performanceL’obtention de prix est un important indicateur de performance pour le groupe fischer. Parmi les dernières récompenses, fischer a reçu le « Prix allemand de la durabilité 2020 », le « Trophée de l’Innovation LSA » en 2021 pour la FIS V Zero, et le « Plus X Award » 2022, le plus grand prix d’innovation au monde dans le domaine de la technologie, du sport et du style de vie.  https://www.fischer.fr/fr-fr
Il y a 2 ans et 191 jours

Le démarrage de la filière Rep repoussée au 1er mai 2023

La filière de reprise gratuite des déchets ne deviendra pas réalité le 1er janvier 2023. Les 4 éco-organismes agréées par l’Etat ont indiqué que le démarrage des éco-contributions sera effectif le 1er mai 2023. [©ACPresse] La nouvelle filière du recyclage des déchets prévue le 1er janvier 2023 a été repoussée de cinq mois, pour un démarrage effectif le 1er mai de la même année. C’est ce que viennent d’annoncer les quatre éco-organismes agréés que sont Ecominéro, Ecomaison, Valdelia et Valobat. Ce report concerne l’application des éco-contributions sur les produits et matériaux de construction du bâtiment. Le démarrage des services de reprise gratuite des déchets triés est aussi décalé à cette date. Néanmoins, les entreprises considérées comme “producteurs” doivent, dès la nouvelle année, adhérer à un l’un de ces éco-organismes.  De son côté, la FFB se réjouit de cette initiative lancée par les quatre sociétés de recyclage. En effet, la Fédération a alerté de nombreuses fois l’Etat sur la nécessité d’un délai de 9 mois entre la publication des barèmes et son application. « Le décalage de la filière Rep1 relève du bon sens, déclare Olivier Salleron, président de la FBB. L’anticipation est la clef de la réussite d’un démarrage serein. Au vu du retard pris par la filière, il n’y avait pas d’autre option possible. » Lire aussi : Les barèmes d’éco-contribution changent du simple au double… Un délai indispensable Ce temps supplémentaire permet ainsi aux entrepreneurs et aux artisans d’intégrer ces surcoûts dans leurs devis et marchés. De plus, la FFB rappelle que « ce délai est indispensable à toute nouvelle publication de nouveaux barèmes par les éco-organismes ». Les tarifs 2024 doivent donc être connus dès mars 2023. Au-delà de cette très bonne nouvelle, quatre points essentiels au bon fonctionnement de la filière sont encore attendus. Le premier sujet concerne la définition des règles de tri, afin de bénéficier de la gratuité de reprise. Le second est la publication des points de collecte partenaires de la Rep en 2023. Quant aux deux derniers, il s’agit de la création de l’organisme coordonnateur de la filière et les précisions sur la définition du producteur. 1Responsabilité élargie des producteurs (Rep) pour les produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 191 jours

Acorus ouvre son premier atelier de réemploi de matériaux de rénovation

Un atelier de reconditionnement pour les professionnels de la rénovationLe hangar de 100 m2 situé à Croissy-Beaubourg (77) abritera un atelier de nettoyage et de reconditionnement. Au lancement Acorus proposera une gamme de matériaux de réemploi restreinte de cinq produits destinés aux sanitaires : baignoires en acier, receveurs de douche, lavabos, évier en inox et packs W.C. Des produits récupérés sur des chantiers en Ile-de-France et pris en charge par un chef d’atelier dédié. A terme il sera aidé par des employés d’une entreprise de réinsertion.Une première opération verra le jour avec des blocs W.C récupérés sur un chantier de bureaux avenue de l'Opéra et qui, après un nettoyage et un reconditionnement efficace du responsable de l'atelier de réemploi, seront reposés ce mois-ci sur un chantier de logements sociaux de Paris Habitat.Un partenariat avec Cycle-UpCet atelier est monté en partenariat avec Cycle-up qui développe une solution globale d’économie circulaire pour le réemploi des matériaux de construction. Cela permet de répondre aux enjeux des déchets du bâtiment et de proposer un mode de construction bas carbone simple, pragmatique et local. Depuis le mois de janvier, où Acorus est monté au capital de Cycle-up, le Groupe accompagne les équipes de cette start-up en apportant son expertise dans la rénovation des bâtiments.“L’environnement est au cœur de notre quotidien. Réutiliser des matériaux déjà existants est une piste pour diminuer les émissions de CO2 du secteur du bâtiment. Le réemploi permet également de remédier à la raréfaction des matières premières et de réinjecter dans la filière de la construction des matériaux à l’empreinte carbone nulle, puisqu’il n’est pas besoin de les fabriquer à nouveau. Il est important de prendre en compte les données environnementales à travers nos travaux techniques mais également notre façon de les mettre en œuvre. Grâce aux économies d’énergie qu’elles permettent de réaliser, les solutions d’entretien, de rénovation et de réhabilitation installées quotidiennement par nos 850 techniciens, constituent des gains sur les consommations énergétiques des logements”, déclare Philippe Benquet, Président du Groupe d’Acorus.
Il y a 2 ans et 191 jours

Rym Mtibaa, nouvelle directrice des projets chez EndLess

Rym Mtibaa a été nommée directrice des projets chez EndLess. [©EndLess] EndLess annonce la nomination de Rym Mtibaa comme nouvelle directrice des projets. L’entreprise confirme ainsi sa dynamique de croissance. Et son ambition de devenir le partenaire de référence des éco-organismes de la Rep PMCB. En effet, Endless propose des solutions de collecte et de valorisation de tous les déchets de chantier. Elle est issue du groupe Big Bag’n Go x SOS Bennes.  « Cette filière naissante nous amène à nous réinventer et nécessite la création de méthodes, d’outils et de nouvelles pratiques concertées avec la profession. Ce recrutement est un signal fort envoyé au secteur qu’une bascule est en train de s’opérer, déclare Thibaut d’Hau Decuypere, directeur général d’EndLess. Et de poursuivre : « Les acteurs de la gestion des déchets s’entourent de compétences en lien avec la Rep, au même titre que les acteurs de la Rep s’entourent d’experts de la gestion des déchets ». Les missions de Rym Mtibaa Ainsi, Rym Mtibaa contribuera à la transformation du groupe. Interlocutrice des éco-organismes de la filière Rep PMCB. Elle aura pour mission de trouver des solutions opérationnelles au sujet d’innovations. Telles que la logistique des flux triés sur les chantiers, la mise en œuvre de la reprise gratuite, la traçabilité des déchets… qui répondra aux standards de la filière. « La Rep vient donner un cadre à une dynamique déjà présente. C’est le résultat d’une prise de conscience du sujet qui est en œuvre depuis fort longtemps. Elle apporte aux acteurs des garanties, en termes de volumes de déchets et de reprise. Cela leur permet d’investir dans les transformations nécessaires. Une dynamique dans laquelle les gestionnaires de déchets vont jouer un rôle déterminant pour la réussite de cette filière », commente Rym Mtibaa, la nouvelle directrice des projets EndLess. Avant de compléter : « Rejoindre EndLess aujourd’hui, c’est rejoindre un acteur clef de cette transformation. Le maillon entre la chaîne amont, c’est-à-dire les entreprises du bâtiment, les maîtres d’ouvrage et les maîtres d’œuvre… Et la chaîne aval, constituée des éco-organismes, des préparateurs matières, des industriels… Nous sommes l’acteur en contact direct des chantiers, de leurs besoins, de leur quotidien. Notre mission est d’apporter des solutions accessibles, qui intègrent les exigences des filières. Nous sommes les garants, auprès de ces dernières, de la qualité des flux qui leur seront transmis ». Lire aussi : Big Bag’n Go devient EndLess Le parcours de Rym Mtibaa Diplômée d’un master des Métiers des études, du conseil et de l’intervention de l’université Paris 7 Denis Diderot, Rym Mtibaa a débuté sa carrière au sein l’institut Cemagref. Là, elle était chargée d’études technico-économiques sur les installations de traitement des déchets durant 5 ans. Puis, elle a occupé un poste au conseil régional d’Ile-de-France, où elle s’occupait de la planification régionale de la prévention et de la gestion des déchets de chantier du BTP. Par la suite, elle a travaillé au sein de l’éco-organisme Ecosystem en qualité de directrice des projets, où elle a mis en place et coordonné la plate-forme collaborative Démoclès. En 2021, elle a intégré l’éco-organisme Eco-mobiler, pour l’élaboration de la demande d’agréments dans le cadre de la candidature de la Rep PMCB. Femme engagée, Rym Mtibaa s’est toujours investie dans le secteur de la gestion des déchets pour faire bouger les lignes. Un engagement profond pour l’économie circulaire en adéquation avec les valeurs d’EndLess. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 191 jours

Bouches-du-Rhône : Lancement du village BTP&co à Marseille

La présidente de la Fédération BTP 13 Isabelle Lonchampt et Laure-Agnès Caradec, présidente du conseil d’administration d’Euroméditerranée, ont reçu le ministre du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion Olivier Dussopt, lors de l’inauguration du Village BTP&co. [©VillageBTPandco] C’est l’aboutissement d’un projet ambitieux et unique en France mené par la Fédération du BTP 13. Le Village BTP&co a été inauguré le 25 novembre 2022. Il se situe au 99 rue de Lyon, à Marseille. C’est un espace dédié à l’emploi, avec pour objectif la création d’un lieu permettant de répondre à toutes les interrogations et demandes des personnes en recherche de travail. Le Village propose un accompagnement personnalisé aux demandeurs d’emploi. Le cheminement se divise en plusieurs phases, de l’accueil du candidat à son intégration dans un parcours de formation et de recrutement. Tout au long de sa visite, l’ensemble des métiers du BTP lui sont présentés. Il peut ainsi choisir celui qui lui correspond le mieux, grâce à des films en réalité virtuelle, une application mobile, des visites de chantier et des rencontres avec des professionnels. Des objectifs bien définis Mis en place dans le cadre du plan Macron “Marseille en grand”, le Village BTP&co a des objectifs bien définis. Tout d’abord, promouvoir les métiers du BTP auprès de tous les publics, ainsi que le développement économique du secteur. Le Village doit accompagner les personnes ayant un projet développé. Il doit favoriser le lien entre l’offre et la demande d’emploi dans le BTP et permettre le développement des compétences des publics les plus éloignés de l’emploi. La finalité de tous ces objectifs est de mettre en lien les candidats et les entreprises, via la FBTP 13. Les premiers résultats du Village permettront d’établir le pouvoir de cette initiative. Sur le papier, c’est un moyen important de développement du recrutement dans le BTP en région Paca. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 191 jours

Nouveau guide de choix chevillage et scellement chimique de Würth

Un guide de choix pour aider les clientsPour accompagner les professionnels dans leur démarche et trouver la cheville adaptée à leur projet, Würth France met à disposition un guide de choix fixation. Ce guide est spécialement consacré aux choix des chevilles et scellements chimiques, il permet une économie de temps et d’efforts. Cet outil de recherche offre l’avantage de sélectionner la meilleure cheville en fonction des besoins. L’utilisation est rapide et facile : sélectionnez le support sur lequel vous souhaitez vous fixer (béton, plâtre, brique, etc…) et également le type de cheville (plastique, métallique ou chimique) en fonction de ce que vous souhaitez notamment en termes de support de charge, et vous obtiendrez une solution adaptée. Würth France souhaite accompagner ses clients dans l’ensemble de leurs projets. Retrouvez le guide de choix sur l’e-shop
Il y a 2 ans et 192 jours

placo r s invite en cuisine avec les plaques de platre habito r et placoflam r

Ayant à cœur de contribuer à créer des intérieurs qui améliorent la qualité de vie et le bien-être au sein du foyer, Placo® développe des plaques de plâtre aux fonctionnalités spécifiques pour répondre aux besoins d’aménagement intérieur de tous les espaces de la maison. Chaque solution apporte ainsi ses atouts et répond aux exigences prioritaires dans l’usage d’une pièce à vivre. Et la cuisine n’échappe pas à la démarche !
Il y a 2 ans et 192 jours

Chauffage limité à 19 degrés : Les Français respectent-ils la préconisation du gouvernement ?

Cette nouvelle étude [1] nous informe que les Français ont bien diminué la température de leur chauffage, mais que nous sommes encore loin d’atteindre les 19°c.En effet, ce dernier mois, la température moyenne constatée était de 20,2°c. Il s’agit d’une baisse importante par rapport à la même période l’année dernière (21,1°c). Pour rappel, un degré en moins c’est environ 7% d’économies sur la consommation d’énergie. En revanche, nous restons pour l’instant bien au-dessus des préconisations du gouvernement.Pour Henri de Noblens, co-fondateur de Homeys : « L’analyse des données de chauffage dans les immeubles résidentiels qui sont principalement chauffés au gaz, révèle que les communications du gouvernement et la hausse des prix de l’énergie ont poussé les gestionnaires à revoir à la baisse les températures de consigne cet hiver. Tout le monde est plus attentif au réglage de la température ainsi qu’à son suivi. »[1] Étude menée sur 2.810 logements résidentiels équipés de chauffage collectif du 13 novembre au 13 décembre 2022
Il y a 2 ans et 192 jours

EDF se renforce dans la rénovation énergétique

ACQUISITION. EDF annonce l'acquisition du groupe "Les ECO-Isolateurs", expert dans les travaux d'isolation et de rénovation énergétique dans les bâtiments résidentiels.
Il y a 2 ans et 192 jours

Gouvernement : pas de report de la REP mais une montée en puissance à partir de janvier

La REP entrera bien en vigueur au 1er janvier mais la facturation de l'éco-contribution n'entrera en vigueur qu'à partir du 1er mai 2023. Une période de tolérance avait d'ores et déjà été accordées aux PME, c'est finalement toute la filière qui va bénéficier de ce report.
Il y a 2 ans et 192 jours

REP Bâtiment : démarrage des écocontributions reporté au 1er mai 2023 - La FFB entendue !

Les entreprises considérées comme « producteurs » au sens de la REP (fabricants et importateurs de produits et matériaux notamment) doivent néanmoins adhérer à l’un des éco-organismes dès le 1er janvier 2023.Ce report concerne : l’application des écocontributions sur les produits et matériaux de construction du bâtiment ; le démarrage des services de reprise gratuite des déchets triés. La FFB se félicite de cette initiative des éco-organismes qui fait écho à sa demande récurrente auprès de l’État d’un délai de 9 mois entre la publication des barèmes et son application. Ce décalage permet donc de laisser un temps supplémentaire aux entrepreneurs et artisans du bâtiment pour intégrer ces surcoûts dans leurs devis et marchés. La FFB rappelle que ce délai est indispensable à toute nouvelle publication de nouveaux barèmes par les éco-organismes. Les tarifs 2024 doivent donc être connus dès mars 2023. Au-delà de cette très bonne nouvelle, plusieurs points essentiels au bon fonctionnement de la filière sont encore attendus, en particulier : la définition des règles de tri pour bénéficier de la gratuité de reprise ; la publication des points de collecte partenaires de la REP en 2023 ; la création de l’organisme coordonnateur de la filière ; les précisions sur la définition du producteur.Olivier Salleron, président de la FFB déclare : « Ce décalage relève du bon sens dans un contexte chaotique de mise en place de cette filière REP. L’anticipation est la clé de la réussite d’un démarrage serein. Au vu du retard pris par la filière, il n’y avait pas d’autre option possible. »
Il y a 2 ans et 192 jours

En manque d'élan, la chaleur renouvelable attend "des décisions politiques fortes"

ANALYSE. Bien que sa production issue de sources d'énergie renouvelable et de récupération progresse, la chaleur "verte" ne représente même pas un quart de la consommation finale de chaleur en France. Pour rattraper ce retard, les acteurs appellent à renforcer le Fonds chaleur et à décarboner "massivement" le secteur.
Il y a 2 ans et 192 jours

MaPrimeRénov' : l'Anah constate des "irrégularités", mais "accélère" les paiements

PROMESSE. L'Agence nationale de l'habitat (Anah) assure qu'elle a procédé en décembre à une accélération des paiements de MaPrimeRénov', alors qu'elle a été récemment alertée par les artisans du bâtiment sur les dossiers bloqués.
Il y a 2 ans et 192 jours

Comment la pandémie a-t-elle redéfini l’usage et la conception du logement dans le monde entier ?

En s'appuyant sur les données provenant de 12 pays* en Europe, Amérique du Nord et au Moyen-Orient, PlanRadar fournit une analyse détaillée de l'influence de la pandémie sur la conception et l'usage du logement. Ainsi portée par le développement du travail à distance, la maison du futur se doit d'être davantage fonctionnelle, durable et connectée pour s'adapter aux nouveaux besoins de ses occupants. Le logement sera plus grand et modulableAujourd'hui en Europe, la République Tchèque est le pays en Europe où la surface minimum d'une pièce de vie est la plus grande : 16 m². L'Italie suit de près, avec une surface minimum de 14 m². La France semble se situer dans la moyenne (9 m²), loin des Etats-Unis (6,5 m²) et des Emirats Arabes Unis (3 m²).L'enquête de PlanRadar révèle surtout que dans la plupart des pays étudiés, la taille minimale des logements augmente, alors que les surfaces moyennes par habitant restent très disparates d'un pays à l'autre : 46 m² en Allemagne et 27,5 en Pologne par exemple. En Autriche, la taille des logements est passée de 86 m² dans les années 90 à 99,2 m² en 2015. En France, la taille minimum des logements pouvant bénéficier d'aides fiscales immobilières (Pinel) va doubler en 2023, pour passer à 28m² pour un T1. La tendance va donc vers une augmentation de la taille minimale des surfaces.Avec l'émergence du télétravail et du travail hybride, la frontière entre espace privé et espace de travail s'est progressivement amincie participant à l'émergence de nouveaux besoins et désirs de ses occupants. Ainsi, des millions de propriétaires et de locataires recherchent désormais des logements dotés d'un espace où ils peuvent travailler sans être interrompus par la vie de famille. Lorsque cela n'est pas possible, ils recherchent un mobilier flexible qui leur permet de transformer certaines pièces en bureau pendant la journée, avant de les réaménager en cuisine, salon ou chambre, la journée de travail terminée.L'étude de PlanRadar montre que les espaces multifonctionnels sont à présent une priorité dans 7 pays sur les 12 étudiés (États-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Autriche, Slovaquie, Italie et les Émirats Arabes Unis). Certains pays comme la France, les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Allemagne et l'Autriche affirment même que les bureaux à domicile seront une tendance clé à l'avenir.De nouvelles aspirations vers des espaces partagés et durablesDe plus en plus préoccupés par la crise climatique, les citoyens se tournent vers le « vivre durable ». Cette aspiration partagée dans la majorité des pays, se décline sous différents prismes. L'Allemagne, la France et la République Tchèque misent sur les matériaux biosourcés tandis que le Royaume-Uni priorise les maisons passives. De leur côté, les États-Unis orientent leurs efforts vers la mobilité durable avec le développement de bornes de recharge pour les véhicules électriques. Tous sont soucieux de l'impact du mobilier sur l'environnement. 9 pays sur les 12 interrogés s'attendent à ce que leurs meubles soient fabriqués à partir de matériaux recyclés, durables ou d'origine naturelle. Ainsi, quatre pays (Allemagne, Autriche, France et Hongrie) montrent un intérêt pour les meubles d'origine locale, à la fois pour soutenir les efforts de durabilité et pour éviter les retards d'approvisionnement observés pendant la pandémie de COVID-19. L'Allemagne quant à elle est le seul pays à exprimer un intérêt pour les surfaces autonettoyantes et les matériaux antibactériens.Enfin, l'enquête révèle que durabilité rime avec partage des usages. Privés d'espaces extérieurs pendant la pandémie, les habitants ont de nouvelles attentes en termes d'espaces verts. Ainsi, les Américains, les Britanniques et les Italiens sont particulièrement désireux de disposer d'un espace extérieur directement accessible depuis leur maison. Il ne s'agit pas nécessairement d'un jardin privé ; beaucoup s'intéressent aux espaces extérieurs communs.La maison connectée : une priorité pour la France et les Etats-UnisGrâce aux progrès technologiques, la domotique se développe et les maisons connectées ou « intelligentes » deviennent réalité. Ces équipements connectés doivent rendre les logements plus confortables, plus faciles à gérer et plus sûrs, mais doivent aussi permettre de réaliser des économies. C'est ce que révèle l'étude PlanRadar qui montre que l'ouverture aux technologies intelligentes se généralise dans le monde entier. Parmi les technologies les plus populaires, on retrouve les systèmes d'éclairage intelligents, les thermostats connectés et les dispositifs de sécurité domestique connectée. La France et les États-Unis sont les plus en avance de phase et prévoient l'adoption de 14 des 24 technologies répertoriées dans cette étude tels que (le thermostat et éclairage intelligents ainsi que les dispositifs de sécurité connectés).Retrouvez l'étude complète de ce troisième volet sur ce lien.*Étude menée par PlanRadar en juin 2022 sur les tendances et priorités des architectes concernant la construction, l'habitat et les bureaux du futur dans 12 pays Etats-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Autriche, France, Espagne, République tchèque, Slovaquie, Hongrie, Italie, Emirats arabes unis et Pologne. Les sources proviennent principalement des données publiques d'experts, d'instituts indépendants et d'organismes professionnels et gouvernementaux. En France, il s'agit principalement du Conseil national des architectes, du Ministère de la Transition écologique et de l'UNSFA.
Il y a 2 ans et 192 jours

Le Conseil constitutionnel censure une disposition sur les arrêts de travail dans le budget de la Sécurité sociale

Pilule du lendemain gratuite, hausse des prix du tabac, internat des médecins généralistes allongé d'un an... Les mesures emblématiques de la loi de financement de la Sécurité sociale, adoptée définitivement par le Parlement le 2 décembre, sont validées.Feu rouge, en revanche, devant l'article 101, qui prévoyait que les arrêts de travail prescrits en téléconsultation par un autre professionnel que le médecin traitant ou un médecin vu au cours des 12 derniers mois ne seraient plus remboursés.Selon le Conseil constitutionnel, ces dispositions "peuvent avoir pour effet de priver l'assuré social (...) du versement des indemnités journalières alors même qu'un médecin a constaté son incapacité physique de continuer ou de reprendre le travail".Pour cette raison, l'article visé n'est pas conforme au 11e alinéa du préambule de la Constitution de 1946, selon lequel "tout être humain qui (…) se trouve dans l'incapacité de travailler a le droit d'obtenir de la collectivité des moyens convenables d'existence", estiment les sages de la rue de Montpensier dans leur décision.Le Conseil constitutionnel a par ailleurs censuré 11 autres dispositions considérées comme des "cavaliers sociaux", qui n'avaient pas leur place selon lui dans un budget de la Sécurité sociale. Ces mesures pourront cependant être reprises dans d'autres textes.C'est notamment le cas de l'article 39, qui prévoyait que les chirurgiens-dentistes, les sages-femmes et les infirmiers avaient "vocation à concourir à la permanence des soins".Même chose pour l'article 42, qui visait à limiter la possibilité, pour certains établissements de santé, laboratoires de biologie médicale et établissements médico-sociaux, de recourir à l'intérim avec des personnels en début de carrière.Les Sages ont en revanche donné tort aux députés de gauche qui avaient déposé un recours sur les conditions d'adoption du texte via l'arme constitutionnelle du 49.3. Ce faisant, "aucune exigence constitutionnelle n'a été méconnue" par l'exécutif, affirme le Conseil.Le budget de la Sécu ne prévoit pas de coup de rabot sur l'hôpital, mais des économies d'environ un milliard sur le médicament, 250 millions sur les laboratoires d'analyses, 150 millions sur l'imagerie, et autant sur les complémentaires santé.Sans le juger insincère, le Conseil constitutionnel relève qu'il est fondé sur des prévisions de croissance ambitieuses, à +1% du PIB. Or la hausse du produit intérieur brut devrait ralentir à +0,3%, selon les dernières projections de la Banque de France."Si, ainsi que pourraient le laisser penser de récentes prévisions, il apparaissait en cours d'année que ces prévisions (...) étaient remises en cause, il appartiendra au gouvernement de soumettre au Parlement les ajustements nécessaires dans une loi de financement de la sécurité sociale rectificative", préviennent les sages.
Il y a 2 ans et 192 jours

Une acquisition pour Cobra IS au Brésil

CROISSANCE EXTERNE. L'entreprise boucle une opération qui avait été initiée avant son rachat par le groupe Vinci.
Il y a 2 ans et 192 jours

Les solutions Owatrol pour Magnifier les intérieurs

Le bois s’est installé depuis toujours sur le sol des habitats des plus somptueux aux plus simples, chez les particuliers comme dans les lieux de travail. Il ne subit pas les intempéries mais face à son usage, il est essentiel de les protéger correctement pour garantir un vieillissement optimal.Souvent en chêne, parfois en bois exotiques, les parquets, plan de travail,… sont généralement faits de bois durs difficilement imprégnables. Laissés bruts ils vont rapidement se tacher, s’abîmer (griffures, usure…) du fait de leur utilisation plus ou moins intensive. Il est donc indispensable de les protéger si l’on souhaite garder leur bel aspect. Autrefois la cire était le moyen utilisé pour assurer leur longévité et leur bel aspect. Néanmoins, celle-ci présente plusieurs inconvénients :Elle nourrit et protège en surface mais encrasse le bois au fil du temps, le fait monter en teinte et le rend glissant.Elle nécessite un entretien très régulier, plusieurs fois par an dépendant du trafic.Après la cire, l’ère des vitrificateurs a pris la relève depuis plusieurs décennies :Ils apportent une solution très résistante aux taches et à l’eau, seules les zones de passages peuvent devenir très visibles dès que l’usure due au trafic apparaît.La maintenance peut être lourde avec un ponçage fastidieux. De plus, le film donne un aspect satiné ou brillant qui peut ne pas être apprécié.Actuellement certains produits apparentés à des huiles donne un effet seconde peau qui permet de conserver l’aspect naturel du parquet.Fort de son expertise pour la protection des bois marine et extérieurs, Owatrol® a su développer une gamme technique spécifique dédiée aux parquets et bois d’intérieur.Les finitions de la famille OLÉOFLOOR®, résultent d’un savant mélange d’huiles d’origine naturelle et de résines ultra performantes pour apporter un fini magnifié avec une protection optimisée.OLÉOFLOOR®, décryptage : imprégnation / fini seconde peau / résistance :Imprégnation : comme pour les bois extérieurs avec les saturateurs, l’excellent pouvoir d’imprégnation conféré aux huiles permet à l’OLÉOFLOOR® de pénétrer dans tous les bois d’intérieur pour les protéger à coeur et garantir une belle durabilité.Fini seconde peau : la composition fluide et pénétrante de l’OLÉOFLOOR® lui permet de faire corps avec le support sans laisser de film, de magnifier le fini du bois tout en conservant la teinte d’origine.Résistance : les résines d’OLÉOFLOOR® se combinent entre elles à la surface et génèrent une véritable barrière aux agressions extérieures aussi bien celles mécaniques que chimiques. Les parquets, plans de travail protégés à l’OLÉOFLOOR® résistent mieux aux passages répétés et aux produits chimiques variés (détergents, feutres…).Les plus :Maintenance allégée : grâce à leur pouvoir d’imprégnation, les huiles de l’OLÉOFLOOR® ne restent pas en surface et le bois ne s’encrasse pas tout en résistant aux taches. Lors de sa maintenance il n’est pas nécessaire de procéder à un ponçage systématique et il est même possible de faire de simples retouches locales.Déco :OLÉOFLOOR® CLASSIC qui avive le bois pour donner un aspect chaleureux avec un beau fini mat satiné.OLÉOFLOOR® NATURAL qui agit comme une seconde peau avec un fini mat. OLÉOFLOOR® NATURAL est totalement invisible avec la version Incolore, ou trendy dans ses versions blanc antique et gris antique.À noter : OLÉOFLOOR® bénéficie de l’effet vaccin des saturateurs Owatrol®, c’est-à-dire : un bois nourri à l’OLÉOFLOOR® s’en souvient et les quantités nécessaires à sa maintenance sont réduites.Afin de répondre à toutes les demandes, Owatrol® propose aussi avec le VEGAFLOOR® et l’ULTIMAFLOOR® une gamme de vitrificateurs particulièrement performants grâce à leurs résines hybrides polyuréthanes acryliques garantissant une protection optimale face à un usage intensif.VEGAFLOOR® : apporte la garantie d’un vitrificateur haute résistance : idéal pour le salon, la salle à manger ou les chambres d’enfants, il résiste aux rayures, passages répétés, poinçonnement, impacts. Également adapté aux environnements plus difficiles, Vegafloor est le soin parfait pour les salles de bains ou cuisines : il ne craint ni les projections, ni l’eau stagnante, tout en résistant aux produits ammoniaqués. Son film qui présente une souplesse à coeur lui permet de suivre les éventuelles déformations du sol sans craquer : il est idéal avec les parquets anciens.ULTIMAFLOOR® : avec ses qualités « extrêmes » est la réponse pour protéger efficacement les parquets à forts trafics des bureaux, musées, lieux publics ainsi que les escaliers… Ces deux solutions s’appliquent facilement sur tous les bois, sèchent rapidement (2/3 heures) sans dégager d’odeur, garantissant le confort de l’applicateur. Le fini est non glissant, l’aspect naturel du bois est préservé, le film obtenu ne jaunit pas dans le temps et ne craint pas la lumière.La touche déco :VEGAFLOOR® est disponible en mat, satin ou brillant et ULTIMAFLOOR® en mat et satin. Ils peuvent aussi être préalablement teintés avec une teinte à bois, permettant d’obtenir des effets tendance tels que « faux cérusé » ou blanc « vieilli ».À savoir : une passe de PRIMAFLOOR® avant le VEGAFLOOR® permet aussi de préparer et teinter le parquet.Une gamme parquet respectueuse de l’environnement : En tête de liste avec son taux de COV bien inférieur aux normes réglementaires et son classement A+ (cf nouvelle norme « émissions dans l’air intérieur).GAMME OLEOFLOOR®, gamme vitrificateur : des solutions owatrol® techniques et novatrices pour des bois intérieurs magnifiés !Pour en savoir consultez la page du Groupe DURIEU ou visitez le site OWATROL.
Il y a 2 ans et 192 jours

Zan : aménager en dissociant le foncier et le bâti, une solution contre la spéculation

STRATÉGIES FONCIÈRES. Dans un livre blanc sur la stratégie à adopter par les collectivités dans la perspective du Zéro artificialisation nette, la Scet, filiale de la Banque des territoires, préconise de dissocier le foncier et le bâti dans les opérations d'aménagement. Une manière de "réarmer les collectivités" alors que le Zan va renchérir et ralentir les opérations.
Il y a 2 ans et 192 jours

Palmarès des secteurs du BTP et de l'immobilier qui emploient les ingénieurs des Arts et Métiers

Cet outil interne, édité semestriellement, permet d’apporter aux Alumni des Arts et Métiers, mais aussi aux élèves et à leurs enseignants, une information objective et prospective sur l’emploi dans 12 secteurs industriels où les ingénieurs Arts & Métiers sont présents et reconnus (Aéronautique, Agroalimentaire, BTP, Conseil, Défense, Énergies renouvelables, Logistique, Luxe, Nucléaire, Informatique, Santé, Transports.)Fruit du travail des Groupes Professionnels de la Soce, réalisé en partenariat avec la Junior-Entreprise AMJE Paris, cet observatoire réunit des données sur l’actualité économique et technologique, les perspectives de croissance et l'évolution des indicateurs généraux d’employabilité, accompagnés de points de vue d’ingénieurs des Arts et Métiers, experts dans leurs différents secteurs.Afin de rendre compte rapidement de l’attractivité des secteurs étudiés, les Groupes Professionnels ont créé un indice global d’attractivité se définissant comme suit :Secteur BTP - immobilier1. AttractivitéSi le secteur connaît des difficultés conjoncturelles liées au COVID ou à la guerre en Ukraine, l’impulsion donnée par le gouvernement pour verdir le bâtiment, développer de nouvelles infrastructures dans les énergies ou développer l’industrie permet d’être optimiste quant à son avenir.Les entreprises du BTP connaissent de profonds bouleversements organisationnels avec la transition numérique, qui sera source de nombreuses opportunités d’emplois. Le besoin d’ingénieurs étant croissant dans le secteur, les salaires et le nombre d’emplois suivront.Par ailleurs, la présence des groupes français Vinci, Bouygues et Eiffage dans le top 6 européen du BTP témoigne du rayonnement et du savoir-faire français dans le domaine de la construction.Au premier semestre de 2022, le secteur du BTP est classé à la 4e place sur le critère de l’attractivité parmi les 12 secteurs analysés.2. Le point de vue d’un acteur du secteurJean-Marie DOLO - Directeur technique et de l’innovation - Eiffage« De très belles perspectives se présentent pour les travaux publics en France et à l’international, notamment grâce aux projets comme le Grand Paris ou les nouveaux programmes nucléaires. Les industriels du BTP, comme la construction ou l’entretien des routes auront des difficultés de rentabilité à cause d’un volume d’affaires insuffisant. Le bâtiment est lui porté par la construction de logements et non plus par le tertiaire. La réglementation de la RE2020 incite à diminuer l’utilisation de béton et à s’orienter vers des matériaux plus chers et qui sont en difficulté d’approvisionnement, à cause d’une offre insuffisante.Le digital va révolutionner le secteur en faisant évoluer les manières de construire, vers un mode de fonctionnement plus coopératif et avec l’apparition de nouveaux métiers autour de la transition numérique. Le domaine est aujourd’hui à la pointe de la technologie et propose de beaux métiers d’avenir. Il n’y a plus aujourd’hui de parcours type pour réaliser une belle carrière dans le secteur.La hausse des prix à cause de la guerre en Ukraine ou les retards de dépôts de permis de construire n’auront qu’un effet passager. La nécessité de réindustrialiser la France, le rayonnement des majors français du BTP à l’international, ainsi que l’impossibilité de délocaliser les métiers du secteur permettent d’être confiant sur son avenir en France. »3. Le point de vue du Président du Groupe Professionnel BTP - ImmobilierJean-Yves GABON, Président du Groupes Professionnels 28 - Chef de service - Bouygues Construction« Le secteur du BTP est attractif et vaste, avec un fort besoin d’ingénieurs et de nombreuses possibilités.Le VIE (Volontariat International en Entreprise) est la voie royale pour démarrer une carrière dans le secteur, il permet d’évoluer rapidement et de découvrir de grands chantiers à l’étranger. Pour ceux qui souhaitent rester en France, le métier de la conduite de travaux est formateur et est une bonne école de management, spécialement sur les ouvrages importants. Le besoin d’ingénieurs dans ces métiers-là est stimulé par les grands projets nationaux comme les chantiers du Grand Paris, des Jeux Olympiques ou encore du canal Seine Nord Europe.Les grands groupes de BTP s’implantent de plus en plus sur le marché des énergies renouvelables, ce qui crée un besoin d’ingénieurs dans les domaines de l’éolien, du nucléaire ou encore de l’hydrogène. De même pour les ingénieurs matériaux qui travaillent dans la valorisation des déchets de chantiers.Le bilan carbone des chantiers étant un critère de plus en plus déterminant dans les appels d’offre, les entreprises du secteur recherchent des ingénieurs dans ce domaine qui est réellement un métier d’avenir. »
Il y a 2 ans et 192 jours

Nouvelle gamme éco-performante de foyers vitrés

L’attribution de la toute nouvelle mention spéciale « durabilité » décernée fin 2021 au Gyrofocus Vitré lors des Archiproducts Design Awards (ADA) est la reconnaissance de la démarche engagée par Focus depuis des années dans la transformation de ses foyers à bois, avec un triple objectif de performances énergétiques, d’écoresponsabilité et ce sans jamais toucher au design.Au-delà du design, les performances énergétiques !Focus présente une sélection de trois modèles certifiés Ecodesign. Ces trois modèles iconiques de la marque, désormais disponibles en version vitrée dans le respect des réglementations environnementales en vigueur, sont protégés par un Brevet. Le Gyrofocus et le Domofocus affichent également une notation 4 étoiles (4 stelle) dans la réglementation italienne parmi les plus exigeantes au monde.Absolument rien du design de l’Ergofocus et du Domofocus n’a été modifié. La forme pure et ergonomique de l’un et l’épanouissement des courbes du second, petit frère du Gyrofocus, ont été parfaitement préservés ainsi que leur pivotement à 360°. Comme sur le Gyrofocus, des parois vitrées, dépourvues de montants et coulissant latéralement, offrent une vue intacte sur le feu sans risque de projection d’étincelles.Au-delà du design, les défis technologiques !Focus est l’unique entreprise du secteur à contraindre la chambre de combustion de ses cheminées à leur design. Ce challenge déjà difficile s’est largement complexifié avec l’ambition de fermer ses foyers et de les doter de réelles performances énergétiques… les formes organiques de ces modèles iconiques n’étant initialement pas adaptées à ce double défi technologique !Il y a une dizaine d’années, Focus a engagé une véritable transformation de son processus industriel en créant un service R&D et en y investissant plus de 6 millions d’euros. Afin d’accélérer et fluidifier encore les processus de certification, Focus s’est également dotée d’un banc de test identique à celui utilisé par les laboratoires européens qui décernent l’agrément Ecodesign. C’est grâce à cette forte composante technologique, à une culture très spécifique à ses propres produits et à une production en série limitée que Focus relève ces défis.Performances énergétiques Gyrofocus et Domofocus :• Rendement : 81%• CO à 13% de O2 : 0,09% (1102 mg/Nm3)• NOx aà 13% de O2 : 151 mg/Nm3• OGC à 13% de O2 : 34 mg/Nm3• Émissions de poussières : 19 mg/Nm3• Puissance : 18 kWPerformances énergétiques Ergofocus :• Rendement : 80%• CO à 13% de O2 : 0,09 % (1187 mg/Nm3)• NOx aà 13% de O2 : 93 mg/Nm3• OGC à 13% de O2 : 33 mg/Nm3• Émissions de poussières : 16 mg/Nm3• Puissance : de 6 à 10 kWLe Gyrofocus vitré couronné lors des Archiproducts Design Awards [ADA] 2021Depuis l’automne 2021 déjà, l’emblématique Gyrofocus, première cheminée suspendue et pivotante au monde, existe dans une version vitrée qui ne trahit en rien son statut d’icône du design international.Preuve que les modèles Focus ne sont pas seulement beaux, mais aussi intelligents, la première reconnaissance officielle est arrivée fin novembre 2021 pour l’engagement dont l’entreprise a fait preuve dans la création de produits écoresponsables. Parmi les lauréats de la catégorie « Finitions », le Gyrofocus vitré s’est également vu décerner la toute nouvelle mention spéciale durabilité.Le jury, composé d’experts en environnement d’écoconception et de durabilité, issus du monde de l’architecture et du design, a récompensé les produits capables de se distinguer par l’utilisation de matériaux recyclables et biodégradables, les techniques de production à faibles émissions polluantes, leur engagement à garantir un impact environnemental minimal pendant tout le cycle de vie du produit.Il y avait plus de 100 nominés venant du monde entier pour la mention spéciale sur le développement durable. Le Gyrofocus Vitré s’est démarqué par sa capacité d’innovation, sa haute technologie et surtout par son design légendaire, désormais aussi éthique que durable.A ses côtés désormais dans la gamme des foyers à bois vitrés, son frère cadet, le Domofocus et l’intemporel Ergofocus.
Il y a 2 ans et 192 jours

Filière Rep : imbroglio autour de l'entrée en vigueur de la reprise gratuite des déchets

DÉCHETS. La filière de reprise gratuite des déchets deviendra-t-elle réalité au 1er janvier 2023, comme cela était prévu ? La situation apparaît comme floue, au vu des prises de position contradictoires de l'État et des quatre éco-organismes sur le sujet.
Il y a 2 ans et 192 jours

Le surcoût de l'inflation dans le budget des ouvrages des JO estimé à 140 millions d'euros

La maire de Paris et présidente de la Solideo, Anne Hidalgo (PS), est venue au conseil d'administration avec le président du Comité international olympique (CIO) Thomas Bach, a-t-on appris auprès de la Solideo et de la mairie de Paris.Touchée par la hausse des prix dans la construction et des matières premières mais aussi par "la désorganisation des chaînes logistiques", la Solideo envisageait un surcoût avoisinant 150 millions d'euros. Il est donc un peu en deçà à 140,1 millions d'euros, portant la part publique à 1,711 milliard d'euros.En juillet 2021, la Solideo avait déjà revu son budget en raison de l'inflation, conduisant à augmenter la partie publique de 175 millions d'euros pour la faire passer de 1,38 milliard à 1,55 milliard d'euros.Pour éponger l'inflation de 2022, une enveloppe de 61,3 millions d'euros a été votée dans le projet de loi de Finances 2023. L'Etat prend en charge les deux tiers et les collectivités un tiers. Le département de Seine-Saint-Denis a récemment indiqué qu'il mettait une rallonge de 8,1 millions d'euros."Nous serons bien en mesure de livrer les ouvrages dans les temps impartis, dans les coûts fixés et dans les ambitions fortes que nous avons déterminées", s'est félicité le directeur général Nicolas Ferrand cité par le communiqué. Comme ces derniers mois, la Solideo a expliqué vendredi rester dans l'épure de l'enveloppe fixée "en euros constants hors taxes 2016".A la date de vendredi, le budget de la Solideo, au sens large, tourne autour de 4,4 milliards d'euros. Aux 1,7 milliard d'argent public (Etat et collectivités) s'ajoutent 2 milliards d'investissements privés (recettes de charges foncières par exemple), auxquels se greffent des investissements complémentaires qui ne transitent pas toujours par la Solideo mais liés aux JO (100 millions) ou pour leur héritage (400 millions de la part des collectivités et 200 millions de financements privés).Outre le village olympique, qui doit être livré fin 2023 et le village des médias situé au Bourget qui doit recevoir des techniciens le temps des JO, la Solideo s'occupe d'une soixantaine d'ouvrages: rénovations de gymnases et de piscines, construction de ponts et passerelles, échangeur autoroutier...Le comité d'organisation des JO (Cojo), dont le budget est à 96% privé, a lui voté le 19 décembre un budget en hausse de 10% à 4,4 milliards d'euros, une hausse dont la moitié provient de l'inflation (195 millions).
Il y a 2 ans et 192 jours

Le CSTB crée la direction Économie et Ressources, confiée à Sylvain Laurenceau

La direction opérationnelle Économie et Ressources Le secteur de la construction doit répondre à de nouveaux enjeux : accélération des dynamiques pour limiter les impacts environnementaux et développer l’économie circulaire, sécurisation des approvisionnements, besoin de création de valeur locale...Le CSTB crée une entité dédiée à ces défis : la direction Économie et Ressources. Fondée sur une approche systémique, cette nouvelle direction concentre son activité sur deux fondamentaux qui sous-tendent les différentes mutations en cours du secteur de la construction : la disponibilité de ressources permettant d’alimenter l’activité, et l’existence de modèles économiques pérennes.Elle assoit son expertise sur l'analyse et l'accompagnement des solutions constructives liées à l'économie circulaire, l'analyse des modèles économiques, les dynamiques de parc et la prospective, ainsi que le développement de méthodes et outils pour accompagner les acteurs dans la prise en compte de ces nouvelles pratiques.S’appuyant sur une dominante Recherche et Expertise, la direction Économie et Ressources intègre une équipe de près de 30 chercheurs, ingénieurs et économistes. En synergie avec la plupart des autres directions du CSTB, ils travailleront sur les 3 échelles :Produits : intégration des matières recyclées, réemploi, traitement des déchets, accompagnement à l’innovation, caractérisation de l’écoconception, etc.Bâtiments : optimisation de l’analyse en coût global, analyse des externalités, anticipation des différents usages tout au long de la vie de l’ouvrage, conception des bâtiments en banques de matière, outils d’analyse de la circularité, etc.Territoires : analyse des flux de matières, analyse de la structuration des filières, dont les filières émergentes, dynamiques de parc, analyse prospective, accompagnement des politiques publiques, optimisation de l’équilibre entre tensions locales et globales et répartition de la valeur, etc.Ainsi organisée, la direction Economie et Ressources entend accompagner l’ensemble des acteurs, entreprises et maîtres d’ouvrages, industriels et institutionnels, mais aussi les pouvoirs publics, pour leur permettre de répondre au mieux aux enjeux de préservation des ressources et d’une économie circulaire, pérenne et vertueuse.Une nouvelle direction pilotée par Sylvain LaurenceauIngénieur économiste, Sylvain Laurenceau est diplômé de l’École Polytechnique et de la London School of Economics.Il débute sa carrière à Londres, en 2007, où il travaille sur le développement local, avant de rejoindre le CSTB en 2009. Au sein de la direction Économie et Sciences Humaines, il est en charge de l’analyse et de l’évaluation de différents dispositifs publics de soutien au secteur du bâtiment.En 2015, il intègre la direction Energie-Environnement. En 2018, il coordonne l’élaboration d’une feuille de route du CSTB autour de l’économie circulaire, puis constitue en 2020 une équipe dédiée, toujours au sein de la direction Energie-Environnement.Fort de ce parcours et de cette expertise, il est aujourd’hui nommé Directeur opérationnel Économie et Ressources :« La création de la direction Économie et Ressources s’inscrit dans un contexte de mutations profondes auxquelles toute la filière est confrontée. Les travaux que nous mènerons, tant en termes de recherche, que d’expertise technique et d’accompagnement de l’innovation, viseront à répondre aux nouveaux besoins ainsi induits. Menés dans une approche transversale, ils contribueront également à irriguer une large partie des activités du CSTB, au service du secteur de la construction. » Sylvain Laurenceau – Directeur opérationnel Économie et Ressources - CSTB
Il y a 2 ans et 192 jours

REP PMCB : le démarrage opérationnel repoussé au 1er mai 2023

Le 19 décembre, les quatre éco-organismes agréés pour la REP Bâtiment ont annoncé officiellement un report du démarrage opérationnel de...-Négoce
Il y a 2 ans et 192 jours

Saint-Gobain, élève assidu contre le changement climatique

Saint-Gobain a été reconnu pour son engagement dans la lutte contre le changement climatique par le Carbon Disclosure Project (CDP). [©Saint-Gobain] Cette année encore, Saint-Gobain a été reconnu pour son engagement dans la lutte contre le changement climatique par le Carbon Disclosure Project (CDP). Organisation non gouvernementale publiant des données sur le bilan environnemental des grands groupes. Saint-Gobain figure sur sa liste “Climate Change a List”, qui recense 283 entreprises modèles dans le combat écologique. « Cette reconnaissance atteste de la cohérence et du sérieux des actions du groupe en matière de développement durable, se réjouit Claire Pedini, directrice des ressources humaines et de la RSE chez Saint-Gobain. Elle est la preuve de sa mobilisation pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050. » Lire aussi : Partenariat Icade – Saint-Gobain pour développer des bâtiments durables Des objectifs ambitieux en plusieurs étapes Avant d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, Saint-Gobain s’est fixé une feuille de route 2030. Celle-ci vise à réduire de 33 % les émissions de CO2 pour les scopes 1 et 2, et de 16 % pour le scope 3. Ces objectifs ont été validés par la Science Based Targets Initiative, qui a aussi approuvé l’engagement net zéro carbone 2050 du groupe. En 2022, Saint-Gobain s’est affirmé comme l’un des leaders mondiaux de la construction durable. Il a réalisé plusieurs premières, notamment la production zéro carbone de verre plat en France. Ses acquisitions des adjuvantiers Chryso et GCP Applied Technologies lui ont permis de renforcer sa position dans la chimie de la construction. Au cœur du combat avec sa raison d’être “Making the world a better home”, Saint-Gobain n’en a pas fini de lutter pour transformer le secteur de la construction. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 192 jours

Avec Technimétal, Alphi constitue son pôle industriel

« Nous capitalisons autour de ce pôle “Industrie” pour toujours en faire plus pour nos clients », explique Alexandre Souvignet, Pdg d’Alphi. [©Alphi] Après avoir développé sa branche “Coffrage et étaiement”, avec l’acquisition, cet été, de Simpra, Alphi annonce une nouvelle opération de croissance externe. Celle-ci vise à renforcer son pôle industriel, avec le rachat de Technimétal. « Nous réfléchissons toujours sur le long terme, afin d’avoir une vision globale. Nous avons ainsi développé et structuré nos deux principaux pôles d’activités. Nous visons les 35 % de parts de marché avec l’enseigne “Damois Industrie et Services”. Nous capitalisons autour de ce pôle “Industrie” pour toujours en faire plus pour nos clients », explique Alexandre Souvignet, Pdg d’Alphi. Lire aussi : Alphi rachète Simpra Le pôle industriel d’Alphi est créé En juillet 2021, la société aixoise Damois, spécialisée dans le travail sur mesure des métaux, était entrée dans le giron d’Alphi. Avec Technimétal, qui vient de la rejoindre, Alphi peut proposer une offre optimisée à destination de ses clients industriels. Ceci, sous l’enseigne “Damois Industrie et Services”. Anciennement basé au Bourget-du-Lac (73), Technimétal est un spécialiste dans les services à l’industrie. Il intervient sur sites et assure des opérations sur mesure en maintenance, installations, notes de calcul, matériels de contrôle…  Les trois collaborateurs de Technimétal intègrent ainsi “Damois Industrie et Services”, dont Julien Parpillon, l’ex-dirigeant de l’entité. Par ailleurs, le groupe Alphi est présent à l’international par le biais de ses filiales en Inde, au Luxembourg, au Portugal, au Qatar et au Royaume-Uni. Dans les prochaines semaines, “Damois Industrie et Services” emménagera sur la zone d’activités de Savoie Hexapole (ancien site Socla), à deux pas du siège social d’Alphi. Lire aussi : Alphi acquiert le Suisse Adria Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 192 jours

paris les loyers ont davantage depasses les plafonds en 2021

À Paris, les dépassements du loyer maximum autorisé ont augmenté en 2021 par rapport à 2020, selon un bilan publié par l'Observatoire des loyers de l’agglomération parisienne (Olap). Un constat similaire dans les trois départements qui forment la petite couronne de la capitale.
Il y a 2 ans et 192 jours

Emmanuel Demesmay, nouveau Directeur Général de Veka France

Cette décision prendra effet le 1er janvier 2023 et fait suite au décès brutal de Jos Lenferink en août dernier. Elle marque également la fin de la zone SWENA (South Ouest Europe et North Africa) pour retrouver les deux entités indépendantes VEKA France (en charge des marchés français et d’Afrique du Nord) et VEKA Ibérica (en charge des marchés espagnol et portugais).« Le Groupe confie la direction générale de VEKA France à Emmanuel, qui peut compter sur le soutien des équipes de la maison mère pour mener à bien les projets à venir » indique Andréas Hartleif, CEO Groupe VEKA. « L’organisation française sera progressivement précisée pour dimensionner les équipes de façon optimale et répondre aux impératifs du marché avec justesse et réactivité. »Agé de 42 ans, Emmanuel Demesmay a rejoint VEKA en 2020 en tant que Directeur commercial France, puis Country Manager France, où il dirige les équipes marketing, prescription et commerciale depuis près de 3 ans.Auparavant, c’est au sein du groupe SFS qu’il a effectué les 20 premières années de sa carrière. D’abord technico-commercial sur différents secteurs en France, il accède au poste de responsable Grands Comptes puis de Product Manager. Il a alors pour mission de développer et lancer de nouveaux produits en collaboration avec les filiales étrangères du Groupe. C’est naturellement qu’il se verra confier ensuite la direction du département Menuiserie et Industrie avec le management de l’équipe technique et commerciale.« C’est avec fierté et sens des responsabilités que j’aborde ce nouveau challenge et je remercie la Direction du groupe VEKA pour sa confiance renouvelée » déclare Emmanuel Demesmay. « VEKA est une entreprise familiale, indépendante financièrement, qui a prouvé son haut niveau de performance et de résilience lors des crises que nous venons de traverser. J’ai à cœur de poursuivre le développement de VEKA France sur le marché national et en Afrique du Nord, en incarnant les valeurs du Groupe auxquelles je crois. »Et de poursuivre : « Concernant notre outil industriel en Haute-Savoie, je souhaite accroître encore notre niveau d’exigence, pour que VEKA France soit une filiale exemplaire dans le Groupe. Performante, réactive, moderne, digitale et rentable, dimensionnée pour accompagner notre croissance avec de nouveaux clients dans un environnement en constante évolution. Et cela débutera très prochainement par la mise en chantier de notre nouveau centre logistique, validé par le Groupe en novembre dernier. »Et de conclure : « Proposer des solutions innovantes et industrielles, conçues et produites en France, pour permettre à nos fabricants partenaires de se différencier sur leurs marchés respectifs. Poursuivre nos investissements industriels pour optimiser notre niveau de qualité et de services. Nous engager toujours davantage dans la décarbonation en nous appuyant sur VEKA Recyclage et notre expertise en coextrusion. Renforcer encore l’attractivité de la marque VEKA, non seulement auprès des professionnels mais aussi auprès du grand public et des collaborateurs… Ce sont autant d’objectifs sur lesquels nous allons travailler avec les équipes VEKA, que je sais déjà compétentes et engagées.»
Il y a 2 ans et 193 jours

Guerre de l'immobilier à Monaco : le tribunal suprême rejette une demande de récusation

Via sa société Esperanza, M. Pastor avait déposé fin novembre une requête en récusation visant Didier Linotte, président du tribunal suprême de Monaco, mettant en cause son "impartialité" dans le traitement d'un contentieux portant sur un important projet immobilier, "l'esplanade des pêcheurs".Les enjeux financiers sont considérables, le prix du m2 à Monaco étant parmi les plus élevés au monde. Et sur cette bande de terre de 2km2 déjà ultra urbanisée, qui s'étend le long de la mer, chaque surface libre est âprement disputée.Ce qui est le cas pour "l'esplanade des pêcheurs", d'une superficie d'environ 13.000 m2, enjeu d'une bataille féroce entre le groupe Caroli, qui entend y construire un complexe immobilier et culturel, et celui de M. Pastor. Pour rejeter cette demande de récusation, le tribunal suprême a jugé que les éléments présentés par Esperanza "concernant les relations entretenues par M. Linotte avec des autorités, des avocats et des entreprises monégasques, ne sont pas de nature à créer un doute légitime sur son impartialité dans la procédure".Cette requête s'appuyait sur des documents (vidéos, échanges de mails confidentiels, etc.) en lien avec des projets immobiliers diffusés à l'automne 2021 par un site internet intitulé "les dossiers du Rocher".Ces documents ciblaient quatre proches du prince Albert II, baptisés "le G4" par le site : outre Didier Linotte, il s'agit de Thierry Lacoste, son avocat et ami d'enfance, de Claude Palmero, expert-comptable et administrateur de ses biens, et de Laurent Anselmi, son chef de cabinet.Dans cette affaire des "Dossiers du Rocher", les quatre mis en cause ont déposé plainte, ainsi que Patrice Pastor, accusé d'être le commanditaire de ce site. Fin octobre, deux hommes, soupçonnés d'avoir participé à cette campagne, ont été mis en examen à Paris.Pour argumenter sa requête qui a trait à un litige concernant "l'esplanade des pêcheurs", Patrice Pastor évoquait des documents publiés par les "dossiers du Rocher" faisant état de liens entre le groupe Caroli et les membres du G4. En conséquence, le richissime homme d'affaires estimait que "l'examen serein et impartial" de son recours contre un déclassement du site était "objectivement impossible" de la part de M. Linotte.Le tribunal suprême de Monaco, qui a compétence en matière constitutionnelle et administrative, est composé de cinq membres et de deux suppléants.
Il y a 2 ans et 193 jours

Spie batignolles propose un catalogue d’éléments constructifs imprimés en 3D

C’est à Ollainville (91), sur sa plateforme matériels, que le groupe Spie batignolles a créé en 2021 son propre atelier de fabrication additive de 1200 m², devenant le premier constructeur a en être doté, dans une logique d’industrialisation. La cellule d’impression 3D installée dans cet atelier se présente sous la forme d’un bras robotisé 6 axes prenant appui sur un socle de 2m de haut, guidé par une technologie de modélisation brevetée par XtreeE. La cellule est ainsi capable d’imprimer de grands objets, jusqu’à 3 m de hauteur. Les ingénieurs dessinent, ou optimisent un modèle numérique en 3D. Une fois le design validé, la pièce est transformée en parcours d’impression. Spie batignolles emploie une technologie d’impression additive avec des bétons spécifiques pour l’impression 3D. Les éléments produits dans cet atelier sont commercialisés au travers de l’offre EmPrinte qui regroupe l’impression d’éléments constructifs standards ou sur-mesure pour les besoins des chantiers du groupe et plus largement pour le compte de clients tiers. Le catalogue comprend la préfabrication de petits éléments constructifs comme des boîtes de réservations et des éléments de coffrages, mais également des pièces complexes comme des voussoirs de passerelles ou noeuds de poutres. Il intègre également du mobilier urbain, des tables, des bancs, du décor artificiel. Il s’agit d’éléments à forte réplicabilité, lesquels s’inscrivent parfaitement dans un procédé industriel ou bien de pièces sur-mesure. Le fait de disposer de cette activité en propre permet à Spie batignolles de rester maître de sa chaîne de production hors-site, sans avoir recours à des intermédiaires et être tributaire de difficultés de livraison. Cet article Spie batignolles propose un catalogue d’éléments constructifs imprimés en 3D est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 193 jours

Vers une hausse "sensible" du taux de rémunération du Livret A en février, selon la Banque de France

"Nous ferons le calcul au mois de janvier, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire décidera" du nouveau taux "mais je peux dire qu'il y aura une nouvelle hausse du Livret A au 1er février, elle devrait être sensible", a affirmé François Villeroy de Galhau sur RMC/BFM TV.L'augmentation du taux "devrait être encore plus forte" en ce qui concerne le Livret d'épargne populaire (LEP), un produit d'épargne soumis à des conditions de ressources et dont le taux est actuellement fixé à 4,6%. "Accessible à 15 millions de Français", le LEP est ainsi "le produit le plus intéressant pour les épargnants", a souligné François Villeroy de Galhau. Le taux des deux livrets est calculé en tenant notamment compte de l'inflation, qui a renoué ces derniers mois en France avec des niveaux inédits depuis les années 1980 (6,2% sur un an an en novembre selon l'Insee). Il a déjà été relevé en août, de 2,2 à 4,6% pour le LEP et de 1 à 2% pour le Livret A.
Il y a 2 ans et 193 jours

GCC et Nobatek/Inef4 mettent l’accent sur l’impact carbone

Lors du salon Simi, GCC et Nobatek/Inef4 ont consolidé leur partenariat afin de prendre en compte l’impact carbone. [©GCC] Un an après l’officialisation de leur partenariat, le groupe GCC et l’Institut de transition énergétique du bâtiment Nobatek/Inef4 renforcent leur collaboration. L’objectif initial de ce rapprochement était d’expérimenter des solutions innovantes et responsables en faveur du bâtiment. Désormais, l’ambition évolue. A travers un programme spécifique, les deux sociétés souhaitent mettre l’accent sur l’impact carbone des projets de construction. Un plan qui répond à trois critères. Intégrer la dimension carbone Ainsi, le premier consiste à réduire le temps de réalisation des études d’analyse du cycle de vie (ACV) opérées par GCC. Le second vise à évaluer, puis à faire émerger des propositions d’optimisation de projets sur la base des performances environnementales et économiques des deux entités. Quant au dernier, il propose une solution qui s’intègre dans le projet d’évolution digital de GCC. « C’est le fruit de nos échanges continus depuis le début de notre partenariat, déclare Julien Szabla, directeur général de Nobatek/Inef4. Nous voulons mettre notre expertise au service d’un acteur majeur de la construction, tel que GCC. Cela lui permettra d’intégrer pleinement la dimension carbone dans ses opérations. » Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 193 jours

Réforme du marché carbone européen : industriels comme ménages seront mis à contribution

TRANSITION ÉCOLOGIQUE. L'Union européenne s'est accordée sur une vaste réforme de son marché carbone, rouage essentiel de son plan climat. Parmi les mesures emblématiques, la fin des "droits à polluer" gratuits des industriels, la taxation des émissions carboniques liées au chauffage ou encore l'instauration d'un Fonds social pour la transition écologique.
Il y a 2 ans et 193 jours

chantiers des jo 2024 le surcout de l inflation estime a 140 millions d euros

La Société de livraison en charge de la construction des ouvrages olympiques pour les Jeux Olympiques de 2024 vient de boucler son budget pour l’année. Solideo vient d’inscrire 140,1 millions d’euros au titre du surcoût d’inflation, selon un communiqué.
Il y a 2 ans et 193 jours

« L'acquisition de Terreal représenterait un apport significatif dans l'équipement et l'intelligence du toit », Frédéric Didier (Wienerberger France)

Après l'annonce de l'offre de Wienerberger pour l'acquisition de Terreal, le directeur général de Wienerberger France esquisse pour...-Industrie
Il y a 2 ans et 193 jours

Les Français et le chauffage : quelles évolutions dans les attitudes et comportements depuis 2018 ?

En 2018, Eni et IFOP avaient mené une première étude visant à en savoir plus sur les comportements, petits gestes et habitudes des Français quant à leur « consommation du chauffage ». En 2022, dans ce contexte énergétique difficile, Eni et IFOP relancent ce sondage et s’intéressent aux évolutions de comportements et de perception des Français depuis 2018.Température intérieure idéale, podium des pièces où il doit faire chaud, petits gestes pour réduire la facture énergétique, travaux de rénovation énergétique, utilisation de chauffages d’appoint… les Français ont-ils changé leur rapport au chauffage depuis 2018 ? Comment réagissent-ils aux annonces gouvernementales et à la « règle des 19°C » ? Sont-ils de meilleurs élèves en matière d’économie d’énergie ?On y apprend que les Français sont de plus en plus sensibles aux économies d’énergie, au point de réduire leur confort et ont un recours de plus en plus raisonné au chauffage. Coté rénovation énergétique, si l’engouement est important, la réalisation des travaux à court terme n’est pas prévue. Quant à la règle des 19°C… Alors même qu’elle est inférieure à la température idéale des Français, elle a su convaincre : 70% des Français sondés comptent bien appliquer cette consigne et 63% jugent cette déclaration justifiée.Pour Frédéric DABI, Directeur Général de l’IFOP : « Le message de la Première ministre, perçu comme légitime par une majorité de Français, est le signe d’une réelle prise de conscience collective. L’adhésion mesurée à la consigne des 19°C est en effet le corolaire d’un processus de plus long terme de progressive adoption de comportements destinés à réduire ses dépenses énergétiques. La crise énergétique annoncée pour cet hiver a en revanche accéléré ce processus, et renforcé de manière indéniable les habitudes de chauffage de son foyer qui avaient déjà été observées en 2018. »Pour Benoît IGNACE, Directeur Général Adjoint d’Eni : « Si l’énergie a toujours été une préoccupation importante, la prise de conscience écologique couplée à la crise énergétique en ont fait un enjeu majeur pour les Français. Lancé en 2018, le sondage « ENI – IFOP, les français et le chauffage » permet de mieux comprendre le rapport des Français à leur consommation d’énergie et surtout d’y déceler les enjeux de demain. Cette nouvelle édition nous offre un nouvel éclairage sur la nécessité d’assister les Français sur les travaux d’efficacité énergétique car si près de 50% envisagent de réaliser des travaux d’amélioration énergétique, seuls 8% l’envisagent à court terme alors que c’est un levier majeur d’économies d’énergie… Il est urgent d’accompagner les consommateurs et c’est la mission que s’est donnée Eni depuis plusieurs années. »En complément de cette grande vision nationale, l'enquête Eni – Ifop permet également d'observer les grandes typicités régionales, le chauffage n'échappant pas au phénomène de « frontières territoriales ».Retrouvez l'enquête en intégralité ici.
Il y a 2 ans et 193 jours

Novatech Europe intègre le groupe Cetih

ACQUISITION. Cetih et Novatech Canada ont un partenariat de longue date, qui a donné naissance en 2010 à Novatech Europe. Aujourd'hui, cette entité intègre le spécialiste de de l'enveloppe de l'habitat, Cetih, connu pour ses marques BeL'M, Zilten, Swao.
Il y a 2 ans et 193 jours

Plusieurs organisations professionnelles rappellent l'urgence d'engager une rénovation de l'immobilier de loisirs en montagne

Très récemment, le sujet a été relancé en parallèle de la mise en place par le Gouvernement d’un groupe de travail sur l’attrition des résidences principales en zones touristiques.Ce phénomène de vieillissement de l’immobilier de loisirs en montagne est lié à la période de réalisation de ces logements, construits pour l’essentiel dans les années 70-80. Tous les territoires touristiques sont concernés.La loi climat et résilience avait écarté du dispositif « passoires énergétiques » les meublés touristiques dont la durée de location ne dépassait pas 120 jours par an. La raison invoquée par le Gouvernement était que la location de manière ponctuelle ne met pas son locataire en situation de précarité énergétique, tout en indiquant être très attentif au maintien d’une offre locative équilibrée sur l’ensemble du territoire, notamment dans les zones tendues et les secteurs concernés par une forte activité touristique.Or, le Gouvernement d’Elisabeth BORNE vient d’annoncer son souhait de faire entrer ces locations touristiques dans le dispositif « passoires énergétiques ». Si la volonté de tous, et en particulier des acteurs de la montagne, est bien de rénover rapidement ces logements, une application uniforme du dispositif, en zone urbaine comme en zone touristique, aurait des conséquences particulièrement fortes pour les territoires touristiques dont la montagne.En effet, la mise en place de ce dispositif retirerait de facto un nombre très important de biens du marché de la location, offres marchande et non marchande, pendant plusieurs années. Il est en effet matériellement impossible de procéder à une rénovation d’ampleur sur une courte durée. Les territoires touristiques seront donc très fortement pénalisés par cette réduction drastique d’hébergement, avec des conséquences importantes sur l’économie, l’emploi et donc indirectement sur la population locale.Pour ne pas fragiliser un peu plus le secteur du tourisme, il convient donc de procéder à cette mise aux normes des logements en adaptant le dispositif au fonctionnement spécifique de ces territoires touristiques.