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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 3 ans et 64 jours

Recherche et Développement construction bois – FCBA et Würth France associent leurs expertises

jeudi 7 avril, à l’occasion du 11ème Forum International Bois Construction, l’Institut technologique FCBA et l’entreprise Würth France, spécialisée dans la fabrication de systèmes d’assemblages, de liaisons et de renforcement, dans le domaine de la construction bois notamment, ont signé un accord de partenariat. Parmi les axes de collaboration ainsi développés, l’accompagnement de l’innovation au […]
Il y a 3 ans et 64 jours

Panasonic étend sa capacité de production de pompes à chaleur en République tchèque

Pilsen, République tchèque – Multiplication par 4 de la production européenne de pompes à chaleur air-eau en 2022, par rapport à 2019. L’usine Panasonic de Pilsen, en République tchèque, a commencé à produire ses pompes à chaleur air-eau il y a 3 ans. La production n’a jamais cessé d’augmenter au sein de l’usine tchèque de Panasonic, […]
Il y a 3 ans et 65 jours

Dissection de la Nagakin Capsule Tower de Tokyo

Monument emblématique réalisé en 1972 par l'un des fondateur du mouvement métaboliste, Kishō Kurokawa, la Nagakin Capsule Tower se décompose. Elle était l'une des dernière figure du mouvement à tenir debout, avec le Yamanashi Press and Broadcasting Centre de Kenzō Tange. Depuis le décès de son architecte en 2007, la tour tombe en décrépitude. En 2012, on comptait 30 logements habités sur 144. Elle est située à Ginza – se traduit par "district de l'argent" – qui, comme...
Il y a 3 ans et 65 jours

Une commune du Tarn-et-Garonne dit "stop" au photovoltaïque

"On n'est pas contre, mais Bessens ne peut pas être le pays du photovoltaïque", affirme Eric Escabasse, président de la société de chasse de ce village situé à une vingtaine de kilomètres de Montauban.Au volant de sa voiture, il parcourt les chemins boueux bordés de chênes qu'il connaît par cœur et où il avait l'habitude de chasser avant que 34 hectares soient recouverts de panneaux photovoltaïques.Le troisième projet à l'étude sur la commune ne passe pas pour cet homme de 57 ans qui mène la fronde. "J'espère avoir des petits-enfants, mais je ne veux pas les promener au milieu des panneaux solaires", explique-t-il à l'AFP.Pour le maire, Adrien Raphet, âgé de 34 ans, une implantation supplémentaire serait un non-sens. Sur cette commune de 1.500 habitants se produit déjà l'équivalent de la consommation annuelle en électricité de 15.000 personnes, hors chauffage."De notre côté, l'effort a été fait. On demande à ce qu'il soit réparti", souligne le jeune édile.Sans bénéfice directCe troisième projet, porté par Valorem, entreprise basée en Gironde, a fait l'objet d'une enquête publique, dont la synthèse doit être remise à la préfète du Tarn-et-Garonne, décisionnaire sur le sujet.Il concerne un peu plus de 11 hectares où seraient produits 12 GWh selon Valorem, de quoi couvrir les besoins de plus de 17.000 usagers, hors chauffage.Une pétition, portée par Eric Escabasse, a recueilli plus de 600 signatures de Bessinois qui y sont opposés."On se sent spoliés, on sacrifie notre territoire et on n'a rien en retour", estime Adrien Raphet, selon lequel "la transition ne peut pas se faire contre la population". Sollicitée par l'AFP, la préfecture du Tarn-et-Garonne n'a pas souhaité s'exprimer.A Bessens, la colère est alimentée par les deux premiers parcs, dont les travaux ont perturbé le quotidien des habitants, sans leur bénéficier directement.L'entreprise qui les a bâtis ne verse que 3.000 euros par an à la municipalité pour l'utilisation des chemins communaux.Valorem en propose 45.000. "On arrive selon nous avec un bon projet, mais trop tard", estime Frédéric Petit, responsable de l'entreprise pour l'Occitanie. "Si les deux premiers parcs n'avaient pas été construits, ça se serait passé complètement différemment."Un avis que partage Eric Escabasse: "On savait bien qu'il fallait faire la transition écologique, mais on pensait qu'ils allaient mettre ces parcs et que ça allait s'arrêter".C'est la proximité d'un point de raccordement au réseau électrique qui attire les producteurs d'énergie solaire.Pour empêcher tout nouveau projet, le maire entend sanctuariser le secteur grâce à son classement prochain en zone naturelle réservoir écologique (NRE) par l'intercommunalité.Solution alternativeIl propose également une solution alternative en prônant l'utilisation des toitures de la zone d'activités de 400 hectares située dans la commune voisine de Montbartier.Une possibilité qu'envisage Valorem, sans toutefois renoncer au projet à Bessens."Plus qu'une alternative, c'est complémentaire", affirme Frédéric Petit. "Pour arriver à la souveraineté énergétique, les toitures, ça ne suffira pas : il faudra des parcs au sol, de l'éolien, de la méthanisation..."Les Bessinois envient le sort d'Urriés, en Espagne, localité avec laquelle leur commune est jumelée et où une centrale solaire pourrait voir le jour, permettant aux habitants de ne plus payer l'électricité."Dans ce cas-là, on se dirait que ça vaut le coup, qu'ils nous ont pris un terrain, mais qu'on a un retour. Mais maintenant, c'est trop tard", juge Eric Escabasse.Les opposants, qui dénoncent le défrichage de sept hectares de forêt et craignent des problèmes lorsque viendra le temps du démantèlement des installations, ne rendent pas les armes."On se bat contre des grosses sociétés", souffle toutefois Eric Escabasse, qui attend de pied ferme la décision préfectorale.Si un projet solaire de 75 hectares a fini par être abandonné en Aveyron fin mars, le fer de lance des anti-voltaïque de Bessens confie qu'il n'est "pas optimiste".
Il y a 3 ans et 65 jours

"L'Alarme" de Jean-Louis Borloo : plaidoyer pour une décentralisation réelle

POLITIQUE. Dans un texte court de 92 pages intitulée "L'Alarme", sorti juste avant le premier tour de l'élection présidentielle, l'ancien ministre Jean-Louis Borloo, qui a apporté son soutien à Emmanuel Macron, esquisse des pistes de travail pour agir "avant qu'il ne soit trop tard." Logement, bâtiment et énergie sont notamment abordés.
Il y a 3 ans et 65 jours

La croissance française se tasserait plus que prévu du fait de la guerre en Ukraine

La banque centrale française a abaissé sa précédente prévision de croissance qui était de 0,5%, quand l'Insee tablait encore mi-mars sur une progression du produit intérieur brut (PIB) de 0,3% au premier trimestre."Après avoir retrouvé son niveau d'avant-crise durant le troisième trimestre 2021, plus tôt que la moyenne européenne, le PIB (produit intérieur brut) resterait en croissance", au premier trimestre 2022, mais de façon "plus modérée, du fait de l'environnement international", estime la Banque de France dans son enquête mensuelle de conjoncture. Au dernier trimestre 2021, le PIB avait progressé de 0,7%.Ce ralentissement de l'économie française semble confirmer que la croissance sera sur l'année bien inférieure au 4% prévu initialement par le gouvernement, et le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a d'ailleurs déjà indiqué que le gouvernement réviserait sa prévision prochainement. Mi-mars, l'Insee avait indiqué s'attendre à une consommation des ménages en recul de 0,5% au premier trimestre, alors que leur pouvoir d'achat devrait avoir reculé de 1,4% du fait de l'inflation. C'est un élément d'inquiétude pour la croissance française, la consommation étant traditionnellement son principal moteur."Le mois de mars a été marqué par la guerre en Ukraine dont les premières conséquences se font sentir sur l'économie française. En outre, face au regain de l'épidémie de Covid-19, la Chine a réinstauré des mesures de confinement dans certaines régions, ce qui a pu renforcer les difficultés d'approvisionnement", des entreprises, explique aussi la banque centrale française après avoir interrogé plus de 8.000 entreprises pour son enquête."Route plus glissante""Le choc est beaucoup moins brutal que le choc Covid d'il y a deux ans, mais il pourrait durer plus longtemps et affecter notre croissance et l'emploi", a prévenu le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau dans un entretien aux journaux du groupe Ebra (L'Est républicain, Les dernières nouvelles d'Alsace, le Dauphiné libéré, etc.)."Incontestablement, nous allons devoir traverser des temps économiques plus difficiles. L'économie française avance sur une route qui est devenue plus glissante", a-t-il ajouté.Si l'activité a continué de progresser au premier trimestre, c'est surtout dans le secteur des services, notamment dans l'hôtellerie-restauration, qui se remet progressivement de la fin des restrictions sanitaires liées à l'épidémie.En revanche, dans l'industrie, la situation est plus contrastée. Dès février, la production industrielle française avait pris par surprise les observateurs, en reculant de 0,9%, selon les données de l'Insee, et la situation se serait encore aggravée en mars.Dans l'automobile, dont les chaînes d'approvisionnement sont très affectées par le conflit en Ukraine, 89% des entreprises interrogées par la Banque de France affirment désormais faire face à des difficultés d'approvisionnement, soit 10 points de plus qu'en février.Autre conséquence de la guerre, les entreprises de l'agro-alimentaire subissent elles aussi des problèmes d'approvisionnement, le pays étant un fournisseur important, notamment d'huile et tourteaux de tournesol. Elles sont désormais 59% à rapporter des difficultés, contre 45% en février (+14 points), souligne la Banque de France.Pour le mois d'avril, la banque centrale pointe une situation de "forte incertitude", notamment dans l'industrie, même si les entreprises s'attendent toujours une légère croissance de leur activité. Les services resteraient bien orientés, alors que les entreprises du bâtiment entrevoient une "très légère baisse" de leur activité.Outre les perturbations des chaînes d'approvisionnement, l'inflation suscite l'inquiétude. Elle a bondi à 4,5% en mars, son plus haut niveau depuis les années 1980, stimulée par la flambée des prix de l'énergie.
Il y a 3 ans et 65 jours

Eiffage s'engage dans l'industrialisation de la production de logements

STRATÉGIE. Dans un marché "en ralentissement" et marqué par l'inflation, Eiffage Immobilier veut développer le hors site, avec une filiale dédiée. Le major du BTP travaille également à "décarboner" ses métiers mais veut éviter les "annonces fracassantes" sur le Zan.
Il y a 3 ans et 65 jours

Emmanuel Macron veut consacrer 50 milliards d'euros par an à la transition écologique

PRÉSIDENTIELLE 2022. L'équipe de campagne du président sortant et candidat à sa réélection a tenu une conférence de presse pour présenter son programme en matière de transition écologique. Si les grandes lignes et les chiffres qui les accompagnent ont été rappelés, aucune nouvelle mesure concrète sur le secteur du bâtiment n'a été annoncée.
Il y a 3 ans et 65 jours

Selon le GIEC, il est urgent d'introduire le concept de sobriété dans le bâtiment

Yamina Saheb, analyste principale des politiques climatiques chez Open Exp, l'une des autrices principales du rapport du GIEC publié lundi 4 avril, a présenté les conclusions du rapport en ce qui concerne le secteur du bâtiment le 6 avril dans une conférence en ligne organisée par l'Ecole des Ponts.
Il y a 3 ans et 65 jours

Avec la hausse des faillites d'entreprises, Bercy tient à rassurer sur les PGE

CONJONCTURE. Dans la foulée des derniers chiffres des défaillances d'entreprises, qui témoignent d'une augmentation des procédures judiciaires depuis le début de l'année, le ministère de l'Économie insiste sur les modalités de remboursement des Prêts garantis par l'État, assurant que le taux de défaut devrait être très faible.
Il y a 3 ans et 65 jours

Revalorisation de MaPrimeRénov' au 15 avril : quels travaux lancer et à quel coût ?

Cette mesure a été adoptée pour répondre à la flambée des prix de l’énergie dans le contexte de la guerre en Ukraine. Pour les familles chauffées au gaz et au fioul, en première ligne face à l'envolée des prix, Effy fait le point sur les solutions les plus efficaces pour contenir leur budget et leur coût.Pour Audrey Zermati, directrice stratégie Effy : "La guerre devrait malheureusement peser lourdement et pour longtemps sur le prix du gaz et du fioul. A l'instant T, personne ne saurait réellement estimer ni jusqu'où ni jusqu'à quand ces prix vont augmenter. Les familles ont donc tout intérêt à envisager dès aujourd'hui des solutions durables pour faire face à l'augmentation des tarifs. Pour soutenir et accélérer leur projet, elles pourront compter, à partir du 15 avril, sur la revalorisation de l’enveloppe de MaPrimeRénov’. L'objectif est de réaliser des économies d'énergie qui permettront de neutraliser au mieux les augmentations, en conservant une même qualité de vie à la maison." Cas n°1. Pour une famille très modeste qui se chauffe au fioul et qui fait face à des tarifs qui ont doubléUne famille de 4 personnes à revenus modestes (≤ 43.472€ en IdF, ≤ 31.359 € hors IdF)Occupe une maison de 100m² classée passoire thermiqueElle se chauffe au fioulSa facture annuelle 2021 était de 2000€ pour une consommation de 2000L / anPour "neutraliser" une hausse de 100 % des tarifs observés à l'heure actuelle, la famille doit opter pour l'isolation thermique des combles perdus et le remplacement de la chaudière fioul par une pompe à chaleur qui permettent à minima de diviser par deux les consommations énergétiques du logement.Estimation du coût global : des travaux, hors aides : 13.540 eurosMontant des aides (MaPrimeRénov', Primes CEE) : 9.500 eurosMontant du reste à charge : 4.040 eurosFacture 2021 : 2.000 eurosFacture 2022 : (prix fioul + 100% vs 2021) sans réalisation des travaux : 4.000 eurosFacture 2022 en réalisant des travaux : 2.000 euros*Retour sur investissement en année : 2 ans*à prix de l'électricité constantCas n°2. Pour une famille qui se chauffe au gaz, neutraliser une augmentation de 50 % des tarifsUne famille de 4 personnes à revenus intermédiaires, (52.925 < revenus ≤ 79.041€ en IdF,40.201 IdF)Habite un pavillon de 80m² de classe énergétique ESe chauffe au gaz avec une chaudière gaz classiqueSa facture annuelle 2021 était de 1482€ pour une consommation de 14.000 kWh Pour neutraliser une hausse de 50 % des tarifs et réduire au moins de moitié ses consommations énergétiques, la famille doit associer trois actions : l'isolation des combles perdus, l'isolation des sols et l'installation d'une pompe à chaleur (chauffage et eau chaude sanitaire)Estimation du coût global : des travaux, hors aides : 16.090 eurosMontant des aides (MaPrimeRénov', Primes CEE) : 6.800 eurosMontant du reste à charge : 9.230 eurosFacture 2021 : 1.482 eurosFacture 2022 : (prix fioul + 100% vs 2021) sans réalisation des travaux : 2.223 eurosFacture 2022 en réalisant des travaux : 1.111 eurosRetour sur investissement en année : 8 ansPasser au chauffage bois ou à l'autoconsommation : les Français de plus en plus nombreux à vouloir se détourner des énergies fossiles La flambée des prix des énergies incite en toute logique de très nombreuses familles à se questionner sur leur mode de consommation énergétique à la maison. La guerre en Ukraine a encore exacerbé ces questionnements. Effy a ainsi enregistré une hausse de près de 35% du volume de demandes d'informations en une semaine. Les requêtes révèlent une propension de plus en plus nette des Français à envisager de se détourner des énergies fossiles. Les demandes ciblées sur les pompes à chaleur ont augmenté de près de 70 % ; + 75 % pour les chaudières bois et + 44 % sur l'autoconsommation solaire. Pour Audrey Zermati, directrice stratégie Effy : "On comprend très bien que les Français cherchent des solutions pour s'affranchir de ces hausses des prix de l'énergie qui peuvent peser lourd sur le budget de la famille. Avant de penser à changer d'énergie de chauffage ou à opter pour l'autoconsommation photovoltaïque, nous invitons les familles à vérifier en premier lieu la qualité de l'isolation de leur logement. C'est la première étape d'un projet de rénovation énergétique réussi."
Il y a 3 ans et 65 jours

Le FILMM édite une nouvelle brochure : RE 2020 vs RT 2012, ce qui change ?

Elle présente les 4 grands piliers qui structurent la nouvelle règlementation des bâtiments neufs. La Réglementation Environnementale – RE 2020 – est entrée en vigueur pour les logements neufs au 1er janvier 2022. Elle s’appliquera aux bâtiments de bureaux et d’enseignement au 1er juillet 2022 et aux autres bâtiments tertiaires un peu plus tard. Plus exigeante pour les bâtiments neufs pour lutter contre le changement climatique, elle met notamment l’accent sur l’isolation thermique des logements renforçant l’indicateur Bbio et introduit la notion d’analyse de cycle de vie. Sobriété énergétique : les besoins en énergie (indicateur Bbio) sont toujours calculés à l’aide d’une méthode de calcul au pas horaire mais les scénarios d’occupation ont été ajustés et les fichiers météorologiques actualisés. Le Bbio dépend de l’orientation du bâtiment (apports solaires), de sa forme (compacité), de l’étanchéité à l’air de son enveloppe et du niveau d’isolation. En repère, la brochure précise judicieusement dans un tableau, l’évolution des résistances thermiques en m². K/W à mettre en œuvre, entre les deux réglementations. Consommations d’énergie : pour bien saisir les évolutions notables en matière de consommation d’énergie, la brochure fait le point sur les facteurs du calcul du Cep max. Le FILMM rappelle que dans la RT 2012, le calcul de la consommation des bâtiments inclut le chauffage, le refroidissement, l’eau chaude sanitaire, l’éclairage et les auxiliaires (pompes, ventilateurs, etc.). Alors que désormais, la RE 2020 y ajoute l’éclairage des parties communes, les consommations des parkings (éclairage et ventilation) ainsi que les consommations liées aux déplacements dans le bâtiment (ascenseurs, escaliers roulants). La RE 2020 a également ajouté un seuil pour les consommations d’énergie non renouvelables (Cep nr max) en kWhep/(m2.an) et le calcul d’un nouvel indicateur sur l’impact des émissions de gaz à effet de serre de l’énergie consommée en kg CO2 eq/(m².an). Confort d’été : c’est là le 3ème aspect de la brochure qui explique que la RE 2020 a complètement revu l’indicateur, devenu le nombre de degrés heures d’inconfort (DH), exprimé en heures. Il faut désormais identifier le nombre d’heures pendant lesquelles la température maximale de confort est dépassée, multiplié par l’écart de température (entre la température mesurée et la température maximale dite de confort). Cela prend donc en compte la durée de l’inconfort et l’intensité de l’inconfort et ce, sur l’ensemble de l’année. Changement climatique : ce dernier volet explique le calcul de l’indicateur « IC Construction », une nouvelle notion intégrée à la RE 2020 même si, comme le rappelle le FILMM, la meilleure façon de lutter contre le changement climatique, c’est de consommer moins d’énergie. L’impact carbone des produits et équipements de la construction, « IC construction », prend en compte l’ensemble des produits et équipements constituant le bâtiment ainsi que l’aménagement de la parcelle sur laquelle il est construit. A cela sont ajoutées les consommations liées au chantier (énergie et eau). Ce calcul se fait à partir des quantités de produits mises en œuvre et des déclarations environnementales de ces produits (FDES) que les membres du FILMM mettent largement à disposition dans la base INIES. La RE 2020 a fixé des seuils à ne pas dépasser sur ces 2 indicateurs et a déjà prévu leur renforcement tous les 3 ans (2025, 2028 et 2031). Fascicule pédagogique compte tenu de la clarté des informations qui y sont présentées, le FILMM met à la disposition des professionnels et des particuliers, en accès libre de téléchargement sur son site Internet sa nouvelle brochure « RE 2020 vs RT 2012 : ce qui change ? » : www.filmm.org/re-2020-vs-rt-2012-ce-qui-change.
Il y a 3 ans et 65 jours

Un quart des entreprises françaises menacées par la hausse de l'inflation et le manque de gestion efficace des prix

L’étude récente sur l'inflation* conduite par le cabinet de conseil international Simon-Kucher & Partners a révélé que 21% des entreprises françaises interrogées s'attend à ce que les coûts augmentent de plus de 6% au cours de l'année à venir, en raison de la forte hausse des coûts de main-d'œuvre et de production. Dans le même temps, une entreprise sur trois (29%) n'a pas augmenté ni prévu d'augmenter ses prix en réponse à la hausse des coûts et des taux d'inflation. Les pressions sur les prix continuent de s'accentuerPlus de la moitié des entreprises françaises interrogées (56%) reconnaissent l'importance d'augmenter les prix pour contrer la hausse des coûts. Elles hésitent cependant quant aux meilleures approches à adopter, la perte excessive de volume due aux augmentations de prix étant une préoccupation majeure pour 38% d’entre elles. Ces pressions sur les prix entraîneront des répercussions non seulement sur les entreprises, mais aussi plus globalement, notamment sur les consommateurs finaux et les marchés boursiers. David Vidal, Managing Partner France et Directeur de la division Europe et Amérique Latine, commente : « Nous constatons un manque de confiance de la part des entreprises quant à la manière et au moment d'appliquer leurs augmentations de prix. Compte tenu des niveaux d'inflation généralement faibles de ces dernières années, il s'agit d'un problème nouveau à gérer pour de nombreuses entreprises. Cependant, l'absence d'une gestion efficace des prix représente une menace réelle pour les entreprises. L'incapacité à répercuter les coûts risque d'entraîner une diminution importante des marges et de compromettre leur viabilité à long terme. »Les augmentations de prix auront un impact généraliséL'étude révèle que plus de la moitié des entreprises françaises interrogées (56%) ont une augmentation de prix en cours ou à venir. L'efficacité de ces augmentations comme lutte contre la hausse des coûts n'est toutefois pas claire. Lorsqu'on leur demande quelle part de l'augmentation des coûts prévue ils pensent pouvoir répercuter sur les prix, les répondants français l’estiment à 12% seulement. Sur la base d'une augmentation des coûts de 6%, cela représente 5,3% de coûts supplémentaires qui se répercutent sur leurs résultats.« Beaucoup d’entreprises n'ont pas encore répercuté leurs hausses de coûts. Cela suggère que lorsqu'elles le feront, les consommateurs ressentiront un impact inflationniste supplémentaire significatif », ajoute Martin Crépy, Partner et en charge de l’industrie ‘Consumer Goods’.Les taux d'inflation actuels exigent la mise en place de compétences de gestion des prixLorsque les entreprises appliquent des augmentations de prix, une sur quatre (27%) parmi celles interrogées en France les appliquent de manière uniforme à l'ensemble de leur clientèle, sans différenciation en fonction de la volonté de payer des clients, ou de la rentabilité réalisée avec différents segments de clients. Ce manque de différenciation représente une occasion perdue supplémentaire de maximiser l’efficacité de leurs programmes d'augmentation de prix.« Les augmentations de prix sont un sujet très sensible, en particulier pour les sociétés qui entretiennent des relations de longue date avec leurs clients. De nombreuses équipes de direction actuelles n'ont jamais vu l'inflation à de tels niveaux, ce qui signifie que les entreprises doivent rapidement mettre en place des capacités d’action sur le pricing, mises en veille trop longtemps », précise Franck Brault, Senior Partner et en charge de l’industrie ‘Chimie’. « A l'heure actuelle, une stratégie de communication et de pricing bien pensée est d'une importance capitale pour que les entreprises puissent survivre à la concurrence. »*A propos de l’étude : L'étude « Inflation Pricing Study » a été menée en ligne entre décembre 2021 et mars 2022 par le cabinet de conseil mondial Simon-Kucher & Partners (via YouGov). Plus de 3000 entreprises de 20 pays ont été interrogées sur les thèmes de l'inflation et de la hausse des prix.
Il y a 3 ans et 65 jours

Double nomination chez Demathieu Bard

De gauche à droite, François Barthélemy, nouveau directeur délégué des ressources humaines, et, Vincent Monnot, directeur financier. [©Demathieu Bard] Le groupe Demathieu Bard annonce la nomination de François Barthélemy au poste de directeur délégué des ressources humaines. Et de Vincent Monnot à celui de directeur financier. François Barthélemy remplace Jacques Perrin, qui se consacre désormais à sa fonction de secrétaire général du fonds de donation Demathieu Bard Initiatives. Grâce à son expertise dans le domaine des ressources humaines, François Barthélemy sera en charge de mobiliser l’ensemble des collaborateurs autour des valeurs de l’entreprise&nbsp;: l’engagement, l’énergie et l’enthousiasme. «&nbsp;Je suis honoré de la confiance qui m’est témoignée à travers cette nomination. Je souhaite accompagner la croissance du groupe, en m’appuyant sur ses valeurs humaines et authentiques&nbsp;». De plus, François Barthélemy favorisera la prévention, la diversité et l’inclusion sous toutes ses formes. Il souhaite respecter les engagements sociétaux et de développement durable engager par l’entreprise et ses collaborateurs. Les missions de Vincet Monnot Quant à Vincent Monnot, il devient directeur financier. Il va ainsi poursuivre le développement mené par le groupe. Il aura pour mission de renforcer la fonction finance, qui est “partenaire” de la réussite et de la performance du groupe. Vincent Monnot rejoint ainsi le directoire aux côtés de René Simon, président, Franck Becherel, directeur général secteur construction, et Philippe Jung, directeur général secteur immobilier. «&nbsp;Je prends à cœur la mission qui m’est confiée d’accompagner la croissance de l’entreprise, en poursuivant le travail effectué jusqu’ici dans la gestion financière du groupe. Cette gestion devrait ainsi accompagner les ambitions futures de l’entreprise et s’ancrer dans les valeurs qui animent Demathieu Bard depuis plus de 160 ans&nbsp;», témoigne Vincent Monnot. Les parcours de François Barthélemy et Vincent Monnot Diplômé d’un master RH du Ciffop et d’un magistère en droit social à l’université de Paris-Nanterre, François Barthélemy possède une expérience de plus de 25 ans. Il a travaillé dans différents groupes dont Lapeyre, L’Oréal et Saint-Gobain &#8230; Il a notamment occupé des postes de DRH réseau, de pôle… au sein du groupe Saint-Gobain (Placo, Securite et Glassolution). Ingénieur de formation, Vincent Monnot est aussi diplômé d’un mastère économie et gestion à l’Essec. Il compte 30 années d’expérience en finance, dont 10 ans en cabinet d’audit. Il a occupé des postes au sein de directions financières et directions fusion-acquisition. Depuis 2014, Vincent Monnot était directeur général finance chez Idverde (service pour l’environnement).
Il y a 3 ans et 65 jours

Pierre Fleck, Frans Bonhomme : "Des hausses, sans risque pénurique identifié"

PDG du groupe Frans Bonhomme, Pierre Fleck fait le point sur l'activité de l'enseigne, et plus largement sur la conjoncture dans les travaux publics et les perspectives de long terme.
Il y a 3 ans et 65 jours

Les nouveaux barèmes de MaPrimeRénov' pour l'installation de chauffage fonctionnant aux EnR sont parus

La hausse des forfaits de MaPrimeRénov' pour l'installation d'appareils de chauffage fonctionnant aux énergies renouvelables est désormais confirmée. Un arrêté paru au Journal officiel du 12 avril 2022 annonce la hausse de 1.000 euros pour les forfaits concernés pour les propriétaires occupants, les propriétaires bailleurs et les autres titulaires d'un droit réel immobilier conférant l'usage d'un logement. L'arrêté sépare en deux catégories les demandes de prime concernées :Les demandes de primes déposées entre le 15 avril 2022 et le 31 décembre 2022.Les demandes de primes déposées à partir du 1er janvier 2023.Pour les dossiers de demande de prime déposés entre le 12 avril 2022 et le 31 décembre 2022, les montants de forfaits seront les suivants :Chaudières à alimentation automatique fonctionnant au bois ou autres biomasse : 11.000 euros pour les ménages très modestes, 9.000 euros pour les ménages modestes,5.000 euros pour les ménages intermédiaires.Chaudières à alimentation manuelle fonctionnant au bois ou autres biomasse : 9.000 euros pour les ménages très modestes, 7.500 euros pour les ménages modestes,4.000 euros pour les ménages intermédiaires.Équipements de production de chauffage fonctionnant à l'énergie solaire thermique : 11.000 euros pour les ménages très modestes, 9.000 euros pour les ménages modestes,5.000 euros pour les ménages intermédiaires.Pompes à chaleur géothermiques ou solarothermiques : 11.000 euros pour les ménages très modestes, 9.000 euros pour les ménages modestes,5.000 euros pour les ménages intermédiaires.Pompe à chaleur air/ eau : 5.000 euros pour les ménages très modestes, 4.000 euros pour les ménages modestes, 3.000 euros pour les ménages intermédiaires.Ce même arrêté a entériné l'arrêt du financement de l'installation des chaudières au gaz à haute performance énergétique à partir du 1er janvier 2023.
Il y a 3 ans et 65 jours

L’Europe interdit les importations de ciment russe

Fini les importations de ciment russe en Europe&#8230; [©ACPresse] L’Union européenne vient d’adopter un nouveau train de sanctions économiques et individuelles contre la Russie. Ceci, toujours en réaction à l’agression militaire opérée par le Kremlin contre son voisin ukrainien. L’objectif recherché reste inchangé&nbsp;: faire pression sur le gouvernement et l’économie russes, et limiter les ressources nécessaires à financer cette guerre. «&nbsp;L’objectif de nos sanctions est de mettre un terme au comportement irresponsable, inhumain et agressif des troupes russes. Et de montrer aux décideurs du Kremlin que leur agression illégale a un coût élevé&nbsp;», souligne Josep Borrell, haut représentant de l&rsquo;Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité. Si l’une des sanctions marquantes est l’interdiction d’acheter, d’importer ou de transférer du charbon et d’autres combustibles fossiles solides depuis la Russie vers l’Union européenne, elle est loin d’être la seule. Fini le ciment russe Ainsi, certaines matières premières liées à la construction sont aujourd’hui concernées et interdites d’importation. La liste est certes courte, mais iconique&nbsp;: fini l’acier, le fer, le bois et le ciment d’origine russe&nbsp;! Au niveau de la France, le taux d’importation de ciment en provenance de Russie reste négligeable, pour ne pas dire nul. Mais d’autres pays, d’Europe centrale en particulier, devront sans doute se tourner vers de nouveaux fournisseurs très rapidement&#8230; De quoi présager une hausse des prix. &nbsp; Une autre interdiction concerne le transport routier et maritime. Plus de camions russes ou biélorusses sur les routes européennes, y compris en simple transit. Idem pour les navires marchands battant pavillon russe, qui ne peuvent plus accéder aux ports de toute l’Union européenne. Néanmoins, quelques dérogations subsistent pour des marchandises, tels les produits pharmaceutiques, médicaux, agricoles et alimentaires. Et pour le transport routier à des fins humanitaires. Par cette nouvelle série de sanctions et les précédentes, le Conseil européen exige, encore une fois, que la Russie cesse sans délai son agression militaire sur le territoire ukrainien.
Il y a 3 ans et 65 jours

Le déficit d'ingénierie rurale à la loupe

Dans son étude sur l’ingénierie territoriale publiée en avril, la société centrale pour l’équipement des territoires met le doigt sur un maillon faible de l’aménagement hexagonal : le mur des ressources humaines freine l’émergence des projets. Il se révèle plus difficile à franchir que celui de l’argent, compte tenu des moyens fléchés par le volet territorial du plan de relance.
Il y a 3 ans et 65 jours

Colas Rail toujours bien présent sur le métro du Caire

CONTRAT. La filiale ferroviaire du groupe Colas s'est vu attribuer un nouveau marché sur un chantier du réseau de métro du Caire. Une longue histoire qui se poursuit dans les souterrains de la ville égyptienne.
Il y a 3 ans et 65 jours

Viessmann et Isolation by Tryba s'associent pour la rénovation énergétique globale

Un partenariat évident pour ces deux entreprises familiales, références sur leurs marchés et partageant des fondamentaux communs, comme expertise et savoir-faire, qualité et performances des produits et de la relation client. Cette innovante offre commune déployée sur tout l’Hexagone à partir du 1er mars 2022 au travers des 16 centres ISOLATION by TRYBA, propose en effet aux particuliers un interlocuteur unique et expert, afin de mener, en toute confiance, une rénovation énergétique globale réussie de leur habitat. Des travaux qui seront sources d’économies bien sûr, mais également d’un confort optimal et d’un bien immobilier revalorisé.Isolation par l’extérieur, ravalement de façade, bardages, isolation des combles, ventilation et désormais génie climatique (avec des solutions en pompes à chaleur, climatisation, eau chaude solaire), constituent autant de réponses pour une rénovation de qualité, certifiée par des organismes externes réputés (CERTIBAT RGE).Rappelons qu’à partir de 2022 et suite notamment aux évolutions visant les conditions à respecter pour la rénovation énergétique globale en maison individuelle, il devient impératif de déployer une approche globale mettant en œuvre un bouquet de travaux, optimal sur le plan technico-économique, afin de bénéficier d’aides financières, notamment des CEE.
Il y a 3 ans et 65 jours

"Vinci n'accepte plus de contrats moyen terme sans formule de révision de prix" X.Huillard

INFLATION. Lors de l'assemblée générale du groupe Vinci, le 12 avril 2022, le P-DG Xavier Huillard a été interrogé sur les conséquences de l'inflation sur l'activité du groupe et l'impact de la guerre en Ukraine.
Il y a 3 ans et 65 jours

La barbichette et le dindon

Ces jours-ci, dans le monde de la construction, il n'y a pas que le marché des matériaux qui est tendu.
Il y a 3 ans et 65 jours

Edgar Suites transforme l’ancien siège du Barreau de Paris en dix « Suites Urbaines » d’exception

Situé au 25 rue du Jour, l’Hôtel de la Porte est un joyau architectural datant du 17e siècle. La façade de l’hôtel, la décoration du grand escalier et le plafond d’un ancien salon situé au premier étage sont inscrits à l’inventaire des Monuments historiques depuis 1926. Le bâtiment a abrité le musée et le siège du Barreau de Paris.Cet immeuble de 4 étages est désormais constitué de dix appartements uniques, répartis selon trois typologies (25 m² ; 55 m² ; 75 m²), pour une surface totale de 868 m².La totalité de l’aménagement a été confié à Selency, partenaire d’Edgar Suites. Spécialiste du mobilier de seconde main, Selency propose une alternative à l’équipement neuf, contribuant ainsi à préserver les matières premières de la planète.Cachet de l’ancien et confort contemporain Se sentir chez soi ailleurs : telle est la philosophie d’Edgar Suites depuis sa création. Dans la résidence du 25 rue du Jour, Edgar Suites signe un projet de réhabilitation de grande ampleur, mixant charme de l’ancien et confort du moderne.Pour cette réalisation, Edgar Suites s’est entouré du cabinet d’architectes Pierre Audat et Associés. Le budget des travaux pour cette transformation s’estime à 1.850.000 €.« Nous retrouvons dans cette résidence les fondamentaux du vieux Paris -vieilles pierres, fer forgé, escalier classé- mais également tout le confort attendu par notre clientèle étrangère exigeante, désireuse de vivre une expérience voyageur au cœur d’un quartier historique, explique Xavier O’Quin, président d’Edgar Suites. La clientèle étrangère vient pour de longs séjours, le choix du lieu est primordial ! » ajoute-t-il. Edgar Suites, une démarche durable Depuis 2016, Edgar Suites réinvente la résidence hôtelière dans une volonté de tourisme durable. La société redonne de la valeur commerciale à des immeubles de bureaux obsolètes grâce à un changement d’usage et à un accompagnement complet (démarches administratives, travaux…).De plus, en privilégiant les actifs de petite taille au cœur des villes, la société contribue à réduire l’impact des voyages sur l’environnement et le quotidien des habitants, tout en tissant des partenariats avec les commerçants locaux.Pour Xavier O’Quin : « Aujourd’hui, 7 dossiers sur 10 que nous examinons ne se prêtent pas à notre modèle. Les mètres carrés ne sont pas déterminants dans notre recherche d’actifs. Nous ciblons des immeubles obsolètes où ajouter de la valeur. C’est l’utilité et l’efficacité des plans qui nous importent. » En cinq ans, Edgar Suites a vu son nombre de suites sous gestion passer de 10 à 150, réparties entre Paris et Bordeaux. Après une levée de fonds réussie de 104 millions d’euros en mai 2020, la société projette de gérer 700 suites en 2026, en élargissant son activité aux principales métropoles Françaises. Edgar Suites annonce, ainsi, l’ouverture d’une résidence pour le dernier trimestre 2022 à Paris Montmartre dans un ancien hôtel réhabilité à son format de « Suites Urbaines » et ses premières suites à Montrouge dans une résidence de 2.000 m² ainsi qu’à Lille et Cannes pour 2023.Par ailleurs, la politique d’acquisitions d’actifs immobiliers pour compte propre amorcée en 2021 se matérialise avec une première acquisition d’un ensemble immobilier de 2.000 m² en cours de signature à Levallois-Perret.Fiche technique :Adresse : 25 rue du Jour, 75001 ParisSurface de l’immeuble : 868 m²Surface des appartements : 3 typologies : 25 m² ; 55 m² ; 75 m²Nombre d’étages : 4Budget travaux : 1.750.000 € HT + 100.000 € de ravalementArchitecte : Pierre Audat et Associés
Il y a 3 ans et 65 jours

La responsabilité élargie des producteurs pour le bâtiment et le bois

Beaucoup de questions restent en suspens en rapport avec l&rsquo;entr&eacute;e en vigueur de la REP b&acirc;timent d&eacute;but 2023, notamment dans le domaine du bois.
Il y a 3 ans et 65 jours

Nelly Philipponnat, réélue présidente de CEKAL

Nelly Philipponnat, ingénieur ESTP, a depuis plus d’une vingtaine d’années assumé des postes de marketing, communication et de représentation au sein des différentes instances professionnelles en lien avec le matériau verre. Elle est actuellement directrice des bâtiments durables de Saint-Gobain Glass bâtiment France.Feuille de route 2022-2025Faire vivre le référentiel CEKAL au rythme des évolutions techniques pour un programme de certification exigeant, adapté à la réglementation et aux développements technologiques du secteur.Suivre les évolutions des textes européens et s’y adapter.Faciliter l’apprentissage des centres certifiés aux évolutions normatives relatives à la fabrication de produits entrant dans le domaine de compétence de CEKAL.Achever enfin le retour à un rythme de croisière après la crise de la pandémie, avec une vigilance toujours forte sur le suivi et l’évaluation des constituants qui équipent les vitrages.Mener à bien les évaluations annuelles du Cofrac.Échanger avec les centres certifiés et les informer, via les Rencontres régionales CEKAL organisées chaque année avec un nouveau programme. En 2022, elles se dérouleront à Nancy le 12 mai, à Grenoble le 5 juillet (avec la visite des laboratoires du CSTB), à Bordeaux le 19 octobre.Participer à la grande rencontre des acteurs du bâtiment avec la conférence CEKAL organisée le 5 octobre 2022 sur Batimat.Communiquer vers les utilisateurs, notamment au travers de la mise à disposition de vidéos sur les contrôles et le marquage pour les vitrages isolants, feuilletés et trempés et continuer à proposer un site Internet ouvert et transparent. Pour Nelly Philipponnat, présidente de CEKAL : "Le dévouement et l’implication à mes côtés des membres du nouveau Bureau, des présidents et membres des commissions et comités à notre cause commune seront, comme toujours, essentiels pour tenir l’objectif d'une certification rigoureuse qui bénéficie à toutes les parties prenantes. Nous aurons à cœur de faire vivre le référentiel au rythme des évolutions techniques, de suivre au plus près l'évolution des textes européens et s'y adapter, d’évaluer les constituants qui équipent les vitrages, et ne pas baisser la garde en matière de confidentialité et d'impartialité." Les membres du Bureau élus ou réélus sont les suivants : Nelly Philipponnat, présidenteJean-Claude Desnoues, vice-présidentJean-Paul Vieyres, trésorierJean-Marc Salzard, secrétaireEric Vivion et Jean Michel Lidou représentant les 2 collèges au sein de CEKAL
Il y a 3 ans et 65 jours

Modification de l'indice des loyers commerciaux

La formule de calcul de l&#39;indice national trimestriel des loyers commerciaux a &eacute;t&eacute; modifi&eacute;e par d&eacute;cret le 14 mars afin de limiter la hausse des loyers en 2022 et 2023. (Image &copy; Vectorpocket)
Il y a 3 ans et 65 jours

Loire-Atlantique : Saint-Fernand va se doter de 24 nouveaux logements

L’aménagement des 24 logements dans le secteur Saint-Fernand, à Vallons-de-l’Erdre, est attribué à la société immobilière Nexity.
Il y a 3 ans et 65 jours

Chauffage et rafraîchissement : Acova FASSANE NEO, le radiateur réversible double fonction

Portées par les aides de l’état et la RE2020 pour favoriser la rénovation énergétique tout en visant la neutralité carbone, les PAC ont le vent en poupe et notamment les modèles air/eau dont les ventes ont augmenté de 57% en 2021 selon les derniers chiffres publiés par UNICLIMA. Offrant un rendement particulièrement élevé, le radiateur Acova FASSANE NEO a été spécialement conçu pour s’intégrer à ces installations basse température, en constructions neuves ou en rénovation. Utilisé avec une PAC air/eau réversible ou géothermique, il bénéficie ainsi d’une double fonction : il chauffe en hiver et rafraîchit aussi l’habitat en été ! LE CONFORT SANS CONCESSION À BASSE TEMPÉRATURE L’installation d’une pompe à chaleur nécessite des radiateurs aux performances élevées pour optimiser leur rendement et garantir des économies d’énergie. Bénéficiant de la technologie NEO, Nouvelles Energies Optimisées, le radiateur réversible Acova FASSANE NEO combine la puissance de la convection et le confort du rayonnement pour offrir la température souhaitée de manière réactive. ACOVA FASSANE NEO ET PAC, DES TEMPÉRATURES AGRÉABLES TOUT AU LONG DE L’ANNÉE Confort d’hiver En mode chauffage central, Acova Fassane Neo, alimenté par une PAC air/eau réversible ou géothermique, fonctionne comme un radiateur traditionnel. Le réglage des ventilateurs s’effectue en fonction de la puissance recherchée (3 vitesses au choix). Ils s’activent lorsque la température d’arrivée d’eau est supérieure à 25°C et la température de l’air est au moins 2° C inférieure à celle-ci. Lorsque l’écart est minime, les ventilateurs s’arrêtent. Confort d’été Durant les jours de fortes chaleurs, le radiateur Acova Fassane Neo, raccordé à ces types de pompes à chaleur, rafraîchit alors l’intérieur de l’habitat. Les ventilateurs s’allument lorsque la température de l’eau rafraîchie est inférieure à 21°C et la température de l’air au moins 2°C supérieure à celle-ci. A l’inverse, ils s’éteignent lorsque la température de l’eau de refroidissement dépasse les 21°C ou lorsque la température de l’air approche celle de l’eau à 2°C. Deux fois plus compact qu’un radiateur traditionnel à puissance équivalente, Acova FASSANE NEO permet de chauffer et rafraîchir de très grands volumes avec des modèles de pompes à chaleur basse température (air/eau réversible ou géothermique) dotées d’un meilleur coefficient de performance, jusqu’ici réservé au plancher chauffant et ventilo-convecteurs. LA PUISSANCE DE LA CONVECTION ET LE CONFORT DU RAYONNEMENT Horizontal ou vertical, il est composé en face avant d’un corps de chauffe entièrement irrigué d’eau qui délivre sa puissance en privilégiant le rayonnement. En partie arrière, un échangeur en cuivre et aluminium performant est associé à des ventilateurs ultra-plats qui, activés, génèrent un flux d’air à contre-courant de l’échangeur pour une meilleure efficacité thermique et une convection accélérée. Pour un confort parfait, le brassage d’air est imperceptible. Enfin, une attention particulière a été portée sur l’acoustique. Deux isolants phoniques encadrent l’échangeur pour le rendre quasi-silencieux. LA QUALITÉ SIGNÉE ACOVA Fabriquée en France, cette solution de chauffage et de rafraîchissement innovante bénéficie de la qualité reconnue des radiateurs décoratifs de la marque Acova : . profil allégé grâce à ses lignes bizeautées, . tête thermostatique et insert design, . habillage latéral et grilles de sorties d’air en acier, . disponible dans les 46 teintes du nuancier Acova. http://www.acova.fr/
Il y a 3 ans et 65 jours

Colas Rail : un contrat à 159 M€ sur la ligne 4 du métro du Caire

La filiale ferroviaire de Colas a remporté avec un groupement dont elle est mandataire un contrat pour la réalisation des systèmes ferroviaires, voies et dépôts de la future ligne 4 du métro du Caire.
Il y a 3 ans et 65 jours

Plaque céramique : Laminam

Applicable en bardage rapporté, revêtement non ventilé ou collé, cette surface en grès-cérame s’adapte à tout système de façade : adhésif, avec agraphes, rivets, à cellules… Elle comprend une plaque de base renforcée structurellement par un filet en fibre de verre collé au dos, appelé 5+. D’épaisseur réduite et légère, elle ne surcharge pas la structure portante. Résistante aux sollicitations mécaniques, aux températures, à l’usure, aux agents chimiques, atmosphériques, à la corrosion et à l’abrasion ; réfractaire à l’humidité et aux rayons UV. Aspect pierres naturelles, bois, marbre, oxyde… Matières totalement recyclées et recyclables. Dimensions : 1 000 x 3 000 mm. Photo : Bâtiment sur le site pékinois des Jeux olympiques d’hiver 2022
Il y a 3 ans et 65 jours

Myral : un impact carbone divisé par 3 d’ici à 2024

Depuis sa création en 1987, les préoccupations environnementales de Myral font partie intégrante de ses solutions d&rsquo;ITE : des panneaux innovants, durables, fabriqués en France avec une performance thermique en toute saison. Depuis 2010 l&rsquo;entreprise a décidé de structurer son développement pour répondre aux évolutions du marché. Au cœur de sa réflexion : la question de la massification de nos solutions d’ITE durables. Ainsi, son bureau d’études s’attache à développer des avis techniques pour les panneaux M32 et M62, des appréciations de laboratoire pour la réglementation incendie ou encore des fiches de déclaration environnementale et sanitaire (FDES) qui constituent un véritable nid technique et réglementaire nécessaire au changement d’échelle de production. ` Plan d’action 2022-2024 : les étapes d’une décarbonation massive Le plan d’action de Myral repose d’abord sur un prérequis indispensable : raisonner en système et non plus en produit unique. La singularité de la solution Myral est d’offrir aux acteurs du bâtiment un système global, qui comprend à la fois parement avec l’isolant intégré et un isolant complémentaire pour les façades neuves ou à rénover. Dans le cadre des évolutions réglementaires et des analyses de cycles de vie des matériaux, l’un ne peut pas aller sans l’autre. Le plan se décompose en 4 axes distincts : &#8211; Réemploi & recyclage des déchets : -4% de CO2 émis &#8211; Ecoconception via l’augmentation de la part de matières premières recyclées : -33% de CO2 émis &#8211; Intégration d’un isolant complémentaire avec un impact carbone réduit: de -48 à -63% de CO2 émis &#8211; Intégration d’un puits de carbone biogénique dans le système de vêtage, la clé pour aller encore plus loin dans la démarche de réduction d’impact En savoir plus&#8230;
Il y a 3 ans et 65 jours

3ème édition du Trophée des communes pour la rénovation énergétique

Pour la troisième année, l’Association des Maires d’Île-de-France et ses partenaires organisent un concours visant à encourager les collectivités dans la voie de la rénovation énergétique. Dans un contexte marqué par le renforcement des exigences règlementaires pour la rénovation des bâtiments et l’éradication des passoires thermiques, mis en avant dans la loi climat et résilience, les maires ont plus que jamais un rôle crucial à jouer pour accompagner au mieux la transition énergétique. Ce Trophée constitue un moyen d’encourager les villes pour accélérer la démarche de rénovation énergétique sur les bâtiments, publics et privés, et ce, quelle que soit la taille des communes. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 19 avril. https://fr.surveymonkey.com/r/2QL26R6 &nbsp; Cet article 3ème édition du Trophée des communes pour la rénovation énergétique est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 65 jours

Myral : un impact carbone divisé par 3 d’ici à 2024

Depuis sa création en 1987, les préoccupations environnementales de Myral font partie intégrante de ses solutions d’ITE : des panneaux innovants, durables, fabriqués en France avec une performance thermique en toute saison. Depuis 2010 l’entreprise a décidé de structurer son développement pour répondre aux évolutions du marché. Au cœur de sa réflexion : la question de la massification de nos solutions d’ITE durables. Ainsi, son bureau d’études s’attache à développer des avis techniques pour les panneaux M32 et M62, des appréciations de laboratoire pour la réglementation incendie ou encore des fiches de déclaration environnementale et sanitaire (FDES) qui constituent un véritable nid technique et réglementaire nécessaire au changement d’échelle de production. ` Plan d’action 2022-2024 : les étapes d’une décarbonation massive Le plan d’action de Myral repose d’abord sur un prérequis indispensable : raisonner en système et non plus en produit unique. La singularité de la solution Myral est d’offrir aux acteurs du bâtiment un système global, qui comprend à la fois parement avec l’isolant intégré et un isolant complémentaire pour les façades neuves ou à rénover. Dans le cadre des évolutions réglementaires et des analyses de cycles de vie des matériaux, l’un ne peut pas aller sans l’autre. Le plan se décompose en 4 axes distincts : – Réemploi & recyclage des déchets : -4% de CO2 émis – Ecoconception via l’augmentation de la part de matières premières recyclées : -33% de CO2 émis – Intégration d’un isolant complémentaire avec un impact carbone réduit: de -48 à -63% de CO2 émis – Intégration d’un puits de carbone biogénique dans le système de vêtage, la clé pour aller encore plus loin dans la démarche de réduction d’impact En savoir plus… Cet article Myral : un impact carbone divisé par 3 d’ici à 2024 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 65 jours

Hauts-de-Seine : inauguration de la rue Mathilde-Milliard à Villeneuve-la-Garenne

La municipalité de Villeneuve-la-Garenne a sécurisé et aménagé la rue Mathilde-Milliard.
Il y a 3 ans et 66 jours

Des grues de chantier dansent dans le ciel de Bobigny en Seine-Saint-Denis

"C'est Boboche (surnom de Bobigny, ndlr), il n'y a qu'ici qu'on voit ça", sourit Thomas, un habitant venu assister au spectacle comme de nombreuses familles.Sous les yeux du public, dix grues se sont émancipées de leurs tâches répétitives pour s'adonner à une réalisation inhabituelle dans la lumière rasante du soir.Entre la mairie et la préfecture, au milieu des HLM, elles officient sur le chantier du centre-ville de Bobigny, en lieu et place d'un centre commercial vétuste, qui accaparait depuis les années 1970 le cœur de cette ville populaire de banlieue parisienne.Avec les grutiers, "on a fait des répétitions au sol, et on disait +quart de tour à droite+, +attendez le top+, ils ont chacun un plan avec leur chorégraphie", des indications par talkie-walkie et des repères visuels dans le paysage urbain, explique la chorégraphe Kitsou Dubois, connue pour son travail en apesanteur."On n'a pas l'habitude de ces engins, qui se déplacent très lentement, il y a une grande disparité de vitesse des grues. On a simulé les grues en 3D pour pouvoir ensuite écrire la musique", enchaîne Alexandre Bouvier, compositeur qui a mêlé aussi bien les sonorités enfantines d'une boîte à musique que le célèbre psaume de Vivaldi "Nisi Dominus".D'ici 2023 un quartier flambant neuf doit sortir de terre, avec des logements, commerces, espaces verts et même un cinéma. Une petite révolution urbaine pour les quelque 50.000 Balbyniens de cette commune marquée par des cités bétonnées, construites sur dalles.La ville communiste, qui a porté ce spectacle avec le promoteur Cogedim, veut que le chantier ne soit pas uniquement synonyme "du bruit, des gravats. On fait en sorte d'inverser un peu les choses, de lever les yeux et de regarder vers l'avenir", encourage Claire Dupoizat, adjointe au maire chargée de la culture.
Il y a 3 ans et 66 jours

Le secteur du béton prêt à l'emploi progresse de 10% en 2021 avec 40,5 millions de m3

Un retour aux valeurs enregistrées en 2019Le secteur du BPE voit ses niveaux de production se raffermir progressivement. Avec une hausse de 10 % (données CVS-CJO) enregistrée en 2021, la production de BPE atteint 40,5 millions de m3 sur l’année retrouvant des valeurs équivalentes à celles de 2019. Zoom sur les volumes de production en régions pour le quatrième trimestre 2021Alsace : 337.489 m3Aquitaine : 638.524 m3Auvergne : 220.115 m3Bourgogne : 227.971 m3Bretagne : 709.733 m3Centre : 331.856 m3Champagne Ardenne : 182.988 m3Franche Comté : 140.272 m3IDF : 1.363.746 m3Languedoc Roussillon : 559.058 m3Limousin : 83.165 m3Lorraine : 238.191 m3Midi Pyrénées : 572.138 m3Nord : 424.176 m3Normandie : 519.753 m3Pays de la Loire : 777.934 m3Picardie : 190.766 m3Poitou Charentes : 339.061 m3PACA-Corse : 938.780 m3Rhône Alpes : 1.179.494 m3La Réunion : 115.345 m3
Il y a 3 ans et 66 jours

Confiance renouvelée à Xavier Huillard : Vinci peut préparer sereinement sa succession

GOUVERNANCE. Le groupe Vinci a tenu son assemblée générale le 12 avril 2022, Salle Pleyel à Paris. La nomination d'un nouvel administrateur a été approuvée au cours de cette réunion, tandis que les mandats de 4 autres ont été renouvelés. Parmi eux, celui de Xavier Huillard, que le conseil d'administration assume de reconduire comme P-DG bien qu'il atteigne en cours de mandat la limite d'âge pour la direction générale. Explications.
Il y a 3 ans et 66 jours

Plus d’un Français sur trois envisagent d’équiper leur logement en EnR, une hausse de près de 50% depuis 2019

En cette période de crise énergétique et d’incertitude quant aux approvisionnements, il ressort du baromètre que plus d’un Français sur trois envisagent d’équiper leur logement en EnR (37%). Un chiffre en augmentation de presque 50% par rapport à 2019 (puisque 25% l’envisageaient il y a 3 ans) et qui fait échos aux 90% des Français qui constatent une augmentation de leur facture d’énergie depuis 12 mois et aux 77% qui jugent que des équipements EnR pour le chauffage, l’électricité et l’eau chaude peut avoir un impact positif sur leur pouvoir d’achat.Face à la crise, plus d’1 français sur 3 envisagent de s’équiper en EnR pour le chauffage, l’eau chaude et l’électricité de leur foyer 44% des Français sont équipés d’au moins une solution EnR dans leur logement (= 2021)Les solutions EnR les plus installées : Les solutions bois : insert (16%), poêle (15%)Le chauffe-eau thermodynamique (13%)Les pompes à chaleur (11%) 77% jugent que les équipements EnR peuvent avoir un impact positif sur leur pouvoir d’achat à l’usage. 87% estiment cependant que les EnR sont chères à l’achat. C'est un investissement.4 Français sur 5 estiment que la transition énergétique du pays passe par un mix-énergétique associant EnR et énergies conventionnelles (nucléaire, gaz…) 95% font confiance à au moins un des équipements EnR pour la production de leur chauffage, eau chaude et électricité Les français considèrent que les énergies renouvelables peuvent assurer la transition énergétique de leur logement4 Français sur 5 : Permettent de se sentir bien chez soi (82%)Sont respectueuses de l’environnement (79%)3 Français sur 4 estiment que les EnR : Sont incontournables pour améliorer la performance énergétique de l’habitat (75%) 60% estiment néanmoins que les EnR ne fonctionnent pas toute l’année L’écosystème de la rénovation énergétique inspire de plus en plus confiance aux français qui reclament une simplification des dispositifs 69% ont confiance dans les installateurs (+4 points v. 2021)79% pensent qu'un label ou une qualification est une marque de confiance (+2 points v. 2021)76% considèrent la mention RGE comme de confiance (+1 point v. 2021)71% ont confiance dans un installateur près de chez eux (+1 point v. 2021)47% réclament une simplification des dispositifs d’incitation et d’aide
Il y a 3 ans et 66 jours

37% des français envisagent d’équiper leur logement en EnR, une hausse de près de 50% depuis 2019

En cette période de crise énergétique et d’incertitude quant aux approvisionnements, il ressort du baromètre que plus d’un Français sur trois envisagent d’équiper leur logement en EnR (37%). Un chiffre en augmentation de presque 50% par rapport à 2019 (puisque 25% l’envisageaient il y a 3 ans) et qui fait échos aux 90% des Français qui constatent une augmentation de leur facture d’énergie depuis 12 mois et aux 77% qui jugent que des équipements EnR pour le chauffage, l’électricité et l’eau chaude peut avoir un impact positif sur leur pouvoir d’achat.Face à la crise, plus d’1 français sur 3 envisagent de s’équiper en EnR pour le chauffage, l’eau chaude et l’électricité de leur foyer 44% des Français sont équipés d’au moins une solution EnR dans leur logement (= 2021)Les solutions EnR les plus installées : Les solutions bois : insert (16%), poêle (15%)Le chauffe-eau thermodynamique (13%)Les pompes à chaleur (11%) 77% jugent que les équipements EnR peuvent avoir un impact positif sur leur pouvoir d’achat à l’usage. 87% estiment cependant que les EnR sont chères à l’achat. C'est un investissement.4 Français sur 5 estiment que la transition énergétique du pays passe par un mix-énergétique associant EnR et énergies conventionnelles (nucléaire, gaz…) 95% font confiance à au moins un des équipements EnR pour la production de leur chauffage, eau chaude et électricité Les français considèrent que les énergies renouvelables peuvent assurer la transition énergétique de leur logement4 Français sur 5 : Permettent de se sentir bien chez soi (82%)Sont respectueuses de l’environnement (79%)3 Français sur 4 estiment que les EnR : Sont incontournables pour améliorer la performance énergétique de l’habitat (75%) 60% estiment néanmoins que les EnR ne fonctionnent pas toute l’année L’écosystème de la rénovation énergétique inspire de plus en plus confiance aux français qui reclament une simplification des dispositifs 69% ont confiance dans les installateurs (+4 points v. 2021)79% pensent qu'un label ou une qualification est une marque de confiance (+2 points v. 2021)76% considèrent la mention RGE comme de confiance (+1 point v. 2021)71% ont confiance dans un installateur près de chez eux (+1 point v. 2021)47% réclament une simplification des dispositifs d’incitation et d’aide
Il y a 3 ans et 66 jours

Défaillances d'entreprises : 10.000 procédures au 1er trimestre 2022, pas de déferlante mais un dur retour à la réalité

Amorcée dès novembre 2021, la hausse des ouvertures de procédures s’accélère chaque mois. Tous les secteurs sont touchés, mais les activités en lien avec les consommateurs – restauration, commerce, service à la personne, etc. sont les plus fragilisées. En région, l’Ile-de-France et la Corse résistent le mieux.Thierry Millon, directeur des études Altares : « En 2020 et 2021, moins de 61 000 procédures collectives ont été ouvertes contre 107 000 lors des deux années précédentes. Plus de 46 000 entreprises ont été sauvées de la défaillance durant la longue période Covid. Sans le fameux « quoi qu’il en coûte » gouvernemental, la crise sanitaire aurait pu provoquer bien plus de procédures. Au 1er trimestre 2022, l’étau de la crise sanitaire se desserre et les aides s’arrêtent. Un retour à une forme de normalité qui implique aussi une reprise des défaillances. La hausse s’amorce donc et elle est déjà très nette dans les secteurs qui comptent sur la reprise des habitudes de consommation comme aller au restaurant ou chez le coiffeur. Aucun territoire n’est épargné par le phénomène. »En hausse de 34,6% sur un an, le nombre de défaillances d’entreprises se rapproche des niveaux de début 20209 972 entreprises sont tombées en défaillance entre le 1er janvier et le 31 mars 2022, soit une hausse de 34,6% par rapport à la même période de 2021. Ces niveaux, proches du 1er trimestre 2020 (10 902), restent encore nettement inférieurs à ceux de 2019 ou de 2018 qui avoisinaient les 14 000 défauts.Avec 220 jugements enregistrés ce trimestre, le nombre de procédures de sauvegarde augmente de 29,4%. Ce dispositif représente seulement 2,2% de l’ensemble des procédures.Les procédures de redressement judiciaire (RJ) sont en hausse rapide de 46,6% pour 2188 jugements prononcés. Elles représentent moins d’un jugement sur quatre (22%), un taux très en-dessous des 30% relevés en 2018.Les jugements de liquidation judiciaire (LJ) augmentent également fortement (+31,7% ; 7 564 liquidations).Les jeunes entreprises sont les plus durement fragiliséesPrès de la moitié (48%) des entreprises entrées en défaillance au 1er trimestre ont été créées il y a moins de 5 ans. Plus sévère encore, les défaillances chez les entreprises fondées pendant ou juste avant la crise ont flambé de 52%. 1927 procédures concernent des structures de moins de 3 ans. 83,8% sont immédiatement placées en liquidation judiciaire.A noter qu’il s’agit à plus de 90% de sociétés commerciales (et non de micro entreprises). Les difficultés des jeunes entreprises sont particulièrement marquées dans les activités « magasins multi-rayons » (essentiellement des commerces d'alimentation générale) où les défauts sont trois fois plus nombreux ce trimestre ; mais aussi dans la restauration (+180%), où le nombre de procédures était exceptionnellement bas il y a un an.En hausse de 56% sur un an, le nombre de procédures chez les petites PME dépasse le niveau d’avant crise94% des entreprises en cessation de paiement sont des TPE, une part relativement constante. On observe en revanche des tensions plus remarquables chez les PME. En particulier pour les « petites » PME de 10-49 salariés où les défaillances s’envolent de 56% sur an (645), dépassant le niveau d’avant crise (632). Ces structures se concentrent dans les secteurs de la construction, le commerce et l’industrie. Les PME d’au moins 50 salariés résistent davantage avec des taux de défaillance quasi stables.Les défaillances en hausse dans les deux tiers des secteurs, dépassant parfois les niveaux de 2020Après un début d’année encourageant, la guerre en Ukraine et ses conséquences doivent inciter à la prudence.Thierry Millon conclut : « En ce début d’année 2022, la confiance en l’avenir gagnait du terrain : les niveaux de trésorerie, les carnets de commande bien remplis laissaient présager une reprise de l’économie. Toutefois, depuis le 24 février et le début de l’invasion russe en Ukraine, l’horizon s’assombrit : la flambée des prix de l’énergie, les difficultés d’approvisionnement, les pénuries de matériaux, l’inflation qui s’emballe… autant de signaux qui incitent à la prudence. A l’instar du « quoi qu’il en coûte » gouvernemental déployé pendant la crise sanitaire, le nouveau Plan Résilience de 7 milliards d’euros devrait contribuer à empêcher la faillite des entreprises directement impactées par la guerre et celles plus durement touchées par l’envolée des prix de l’énergie. Ce nouveau paquet de mesures (activité partielle, PGE, etc.) doit soulager les trésoreries, mais le gouvernement exhorte les entreprises à tout faire pour continuer à payer leurs factures dans les temps. En effet, si les délais de paiement interentreprises ont été bien maîtrisés jusqu’à présent, les turbulences de ce début d’année pourraient changer la donne. Les directions financières pourraient être tentées de temporiser de plus en plus sur le règlement des factures pour conserver leur trésorerie. Dans ces conditions, la trajectoire à la hausse des défaillances d’entreprises devrait se poursuivre mais sans laisser présager à ce stade, une déferlante de faillites, les entreprises disposant encore de liquidités. »Focus / La procédure de traitement de sortie de crise : 5 mois après où en sommes-nous ?Créée par la loi du 31 mai 2021 relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire dans son article 13, la procédure de traitement de sortie de crise (PTSC) doit permettre un rebond plus rapide aux entreprises en difficultés financières liées aux conséquences de la crise sanitaire. Elle s’adresse donc aux entreprises qui fonctionnaient dans des conditions satisfaisantes avant la crise Covid. En application depuis le 18 octobre 2021 au lendemain de la publication des décrets n° 2021-1354 et n° 2021-1355 du 16 octobre 2021, cette PTSC n’est pas destinée à être pérenne et devrait s’éteindre le 2 juin 2023.La PTSC peut concerner les entreprises de moins de 20 salariés à la date de la demande d’ouverture de la procédure et (critères cumulatifs) disposant de moins de 3 000 000 d’euros de total de passif hors capitaux propres. Les comptes annuels du dernier exercice sont exigés et doivent apparaître « réguliers, sincères et aptes à donner une image fidèle de la situation financière de l’entreprise ».En principe donc, cette nouvelle procédure peut concerner de très nombreuses entreprises en cessation de paiements. Cependant, ces dernières doivent pouvoir payer leurs salariés. En effet, à la différence du redressement judiciaire, la PTSC ne permet pas de bénéficier d’une avance du régime de garantie des salaires (AGS), ce qui peut s’avérer être un frein.La période d’observation est d’une durée maximale de 3 mois au terme desquels un plan de remboursement des dettes pourra être arrêté par le Tribunal pour une durée pouvant atteindre dix ans. A défaut d’avoir été en capacité d’élaborer un projet de plan d’apurement des dettes, le Tribunal ouvre un redressement judiciaire ou une liquidation judiciaire.Cinq mois après le démarrage de la PTSC, à peine plus d’une trentaine de procédures ont été ouvertes ; 18 sur le premier trimestre 2022 et 14 au cours du dernier trimestre 2021. Parmi ces dernières, 2 ont depuis fait l’objet d’un redressement ou d’une liquidation judiciaire. 10 ont pu valider un plan dont la durée a été fixée entre 5 et 10 ans.Pour consulter l'étude complète : cliquez ici
Il y a 3 ans et 66 jours

Les faillites d'entreprises repartent à la hausse, particulièrement dans le second-oeuvre

CONJONCTURE. Le nombre de défaillances d'entreprises a bondi de plus de 34% sur les trois premiers mois de 2022. Les quelque 10.000 procédures comptabilisées concernent surtout les jeunes sociétés et les PME, mais la région parisienne parvient à résister. Le secteur de la construction subit le même sort, les activités du second-oeuvre étant particulièrement exposées.
Il y a 3 ans et 66 jours

Le ponçage de béton : quel intérêt ?

Le béton est apprécié pour sa résistance et sa longévité. Vu sa texture et sa qualité, il requiert des techniques spécifiques aussi bien pour le travailler que pour l’entretenir. On peut notamment poncer du béton pour améliorer certaines de ses caractéristiques. Découvrez l’intérêt du ponçage de béton ! Augmenter l’adhérence du revêtement L’adhérence fait référence à la capacité d’une surface à en accepter une autre. Avec les revêtements, cette propriété devient la capacité à solliciter des forces avec l’objet en contact. L’adhérence d’un revêtement dépend directement de la nature et de l’état de surface des matériaux en contact. Les sols en béton récemment posés ont généralement des surfaces micro rugueuses. Poncer du béton permet ainsi de le rendre lisse et étanche. Ce traitement permet également de se passer d’une chape avant de poser un revêtement. Par ailleurs, poncer du beton permet d’en augmenter l’adhérence. Les conditions pour le recouvrir d’un revêtement sont ainsi plus souples. Ces travaux sont généralement réalisés pour des chantiers de construction neuve ou de rénovation. Les étapes à suivre pour réussir un ponçage de béton Le ponçage de béton se réalise avec des équipements spécifiques. Le choix de l’outil de ponçage tient compte de critères tels que la surface à couvrir, le budget disponible, les compétences nécessaires pour les travaux et la main-d’œuvre disponible. Une fois en possession des équipements, il est nécessaire de préparer l’endroit où l’on doit travailler. Poncer le béton engendre énormément de poussière. Il est donc conseillé de prendre certaines précautions comme : Revêtir des équipements de sécurité : lunettes, gants, masques, etc. ; Protéger les meubles et les autres pièces ; Aérer la zone en ouvrant toutes les fenêtres et autres ouvertures. Un spécialiste conduit au mieux de telles opérations. Lorsque toutes les mesures de sécurité sont prises, il est temps de commencer le ponçage du béton. Il est recommandé de débuter par le centre la pièce en effectuant des mouvements linéaires. Il faut passer de nombreuses fois au même endroit pour obtenir un résultat convenable. Environ 10 cm d’espace doivent être laissés à partir des murs pour éviter de trop se rapprocher de ces derniers. Ce n’est qu’une fois le sol bien poncé que l’on s’occupe des bordures de la pièce avec une ponceuse de taille adaptée. Lorsque les travaux sont terminés, il est conseillé d’aspirer la poussière et de nettoyer toute la surface afin d’y poser le revêtement. Bon à savoir Deux méthodes de ponçage sont distinguées : sec et humide. La réalisation du ponçage humide requiert l’utilisation de l’eau tandis que celle à sec n’en a pas besoin. Ce processus humide est plus efficace puisqu’il permet de contenir la poussière au niveau du sol. Il suffit de nettoyer la boue d’eau et de poussière générée plus tard. À grande échelle, le ponçage à sec n’est quant à lui pas du tout recommandé. Pour poncer du béton en toute sécurité, il est essentiel de respecter une réglementation. Une vérification du bon état du câble d’alimentation doit ainsi être faite avant de le brancher. Il est aussi primordial de protéger les voies respiratoires et d’utiliser un système d’aspiration.
Il y a 3 ans et 66 jours

Le bloc-baie chrono one de Soprofen obtient l’avis technique du CSTB

Dans une démarche d’amélioration continue, SOPROFEN mobilise en permanence son service Recherche & Développement pour proposer des solutions toujours plus innovantes répondant aux directives réglementaires. C’est dans cette dynamique que l’expert du volet roulant présentait en parallèle du dernier salon EquipBaie, son nouveau bloc-baie Chrono One fabriqué en France en PVC recyclé (à hauteur de 60%). Aujourd’hui, ce coffre intégré, véritable concentré de technologie vient de recevoir l’Avis Technique du CSTB. Illustrant une nouvelle fois le savoir-faire incontournable de SOPROFEN sur le marché du bloc-baie, cet Avis Technique (n°6/16-2339), publié le 22 février dernier, formule une appréciation favorable à la mise en œuvre du Chrono One en tableau avec isolation par l’intérieur ou par l’extérieur (enduit sur isolant et/ou bardage), dans des murs en maçonnerie ou en béton. Cette procédure très exigeante s’appuie en particulier sur les essais effectués par la Commission Chargée de Formuler les Avis Techniques du CSTB. Ceux-ci témoignent des performances exceptionnelles du Chrono One, obtenues notamment grâce à sa technologie brevetée de sous-face en nid d’abeille, en termes : &#8211; d’isolation thermique (jusqu’à Up 0,661 + 0,027/Lc) grâce aux planches PVC en nid d’abeille ainsi qu’à un isolant polystyrène dans les joues et le long de la trappe, &#8211; d’affaiblissement acoustique (jusqu’à 57dB Dne Atr), &#8211; de perméabilité à l’air, lui permettant d’atteindre une certification classe 4* (0,4m3/h.m2 pour une hauteur de coffre de 200 mm), conformément à la réglementation en vigueur, &#8211; de résistance mécanique du coffre et de sa liaison sur la menuiserie, en particulier sous les charges dues au vent, grâce à un adaptateur en aluminium et aux renforts d’inertie complémentaires à la traverse haute. Parmi les autres points relevés par le CSTB, figure la facilité de mise en œuvre du Chrono One sur les fenêtres, ce qui était l’une des volontés de SOPROFEN lors du développement de ce nouveau bloc-baie pour offrir un montage en moins de 8 minutes top chrono. Rappelons que SOPROFEN avait déjà reçu le 1er Avis Technique de la profession pour son bloc-baie Mono VR il y a 30 ans, suivi en 2020 par le 1er Avis Technique sur un bloc-baie en polystyrène pour le Chrono PSE2. Cette nouvelle distinction illustre une fois de plus la capacité d’innovation du leader français de la fermeture. http://www.soprofen.fr/
Il y a 3 ans et 66 jours

Cetih renforce son activité fenêtre

ACQUISITION. Le spécialiste de de l'enveloppe de l'habitat, Cetih (BeL'M, Zilten, Swao...) vient d'achever l'acquisition de l'entreprise Bignon, fabricant de fenêtres notamment bois et mixtes.