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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 3 ans et 66 jours

Equans France innove avec le théâtre Mogador pour le confort thermique des spectateurs

En charge de l’exploitation et de la maintenance de cette salle inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1990, les équipes de EQUANS France ont associé pour la première fois un scan 3D des lieux avec les données de confort thermique mesurées sur site. Résultat : il est désormais possible de géolocaliser, au siège près, les zones d’inconfort ou de surconsommation énergétique et d’y remédier.BIM et scan 3D : un mariage inédit et prometteurL’alliance innovante du BIM (Building Information Modeling) et du scan 3D présente deux bénéfices majeurs. Elle permet d’identifier de manière extrêmement précise les zones de désagrément thermique dans un environnement complexe - avec une superficie importante et sur plusieurs niveaux - et d’intervenir rapidement pour les traiter. L’analyse permet d’identifier des pistes d’économies d’énergies concrètes pour optimiser le fonctionnement des installations techniques de la salle tout en garantissant le confort de chaque spectateur.Concrètement, un scanner dynamique est d’abord utilisé par les experts d’ENGIE Lab pour fournir une maquette 3D de la salle de spectacle en temps réel. En parallèle, 700 points de mesures sont réalisés au niveau des bouches de ventilation, en vue de consolider des indicateurs de confort thermique, établis selon la norme ISO 7730. Ces informations sont ensuite projetées dans une cartographie 2D, construite à partir du scan 3D des lieux, et permettent l’identification claire et délimitée des zones d’inconfort thermique ou de surconsommation énergétique.La performance énergétique au service de ceux qui font vivre les artistesDepuis sa reprise par Stage Entertainment en 2005, le théâtre Mogador, inauguré en 1919, a toujours mis l’expérience client au coeur de son identité et de sa mission, s’attachant à considérer chaque spectateur comme un “convive d’exception”. Cette ambition exigeante, à l’origine de la rénovation du théâtre en 2006, doit être conciliée avec un autre défi plus moderne, accélérer la transition énergétique des bâtiments.Testée pour la première fois en conditions réelles sur proposition d’EQUANS France, la technologie développée par ENGIE Lab CRIGEN a permis d’identifier deux zones d’inconfort thermique et d’y remédier grâce à l’intervention des équipes dédiées au contrat de maintenance en cours avec le théâtre.En parallèle, et afin d’anticiper les objectifs fixés par le décret éco-énergie tertiaire (DEET), les équipes du théâtre Mogador ont souhaité renforcer leur démarche de responsabilité environnementale. Grâce à l’audit énergétique proposé et réalisé par les équipes ingénierie d’Axima, de nombreuses actions d’amélioration de performance ont déjà été et continueront d’être mises en œuvre dans les prochains mois. La mise en place de variation de vitesse sur les systèmes de ventilation, en déploiement, permettra d’adapter et donc de limiter la consommation électrique. A terme, une application informatique récupérera les données de consommation du nouveau système et permettra au personnel du théâtre de piloter plus finement la consommation énergétique au quotidien.En effet, dans le courant de l’année 2022 et 2023, les équipes d’EQUANS France souhaitent faire du théâtre Mogador la figure de proue du bâtiment culturel intelligent. Ainsi, grâce à l’intelligence artificielle, les installations techniques du bâtiment en chaud, froid, ventilation recevront en temps réel les instructions de fonctionnement idéales pour concilier confort des spectateurs et économies d’énergie. La mise en route et l’arrêt des installations, ainsi que leur niveau de fonctionnement, pourront être anticipés et modulés en fonction des données météorologiques, du nombre de spectateurs attendu ou encore de l’heure d’ouverture du théâtre.Précurseur de l’usage de cette offre innovante, le théâtre Mogador réaffirme ainsi sa double volonté d’exemplarité environnementale et d’expérience client et, reprenant les mots de Barbara, artiste inconditionnelle du lieu à l’origine de son classement au patrimoine des monuments historiques, redit à son public qu’il est et demeurera toujours “sa plus belle histoire d’amour.”Pour Laurent Bentata, Directeur Général de Stage Entertainment France : « Etre centenaire ne nous condamne pas à être vétuste, c’est même tout le contraire ! Offenbach, Mistinguette, Aznavour, Barbara, Starmania, et en ce moment même l’iconique comédie musicale du Roi Lion nous venant tout droit de Broadway : cela fait plus de 100 ans que Mogador est le théâtre de mises en scène sublimes, et l’écrin d’artistes renommés pour le plus grand bonheur de son public. Notre volonté de nous réinventer, d’innover sans cesse et même d’être pionnier pour le confort de nos spectateurs, c’est dans cette histoire dont nous sommes si fiers que nous la puisons. » Pour Bruno Gobe, Directeur du Développement Opérationnel au sein de Axima Maintenance Technique, entité de EQUANS France : « Les équipes d’Axima Maintenance sont fières d’accompagner le théâtre Mogador en appuyant leur savoir-faire sur des innovations technologiques au service de l’expérience client et de la transition énergétique et digitale. Fort de ces résultats, nous espérons pouvoir déployer très prochainement cette solution dans d’autres bâtiments culturels. »Pour Damien Carval, Directeur-adjoint ENGIE Lab CRIGEN : « Le diagnostic pour un meilleur confort thermique des spectateurs est rendu possible par les solutions novatrices développées par l’équipe Drones & Robots d’ENGIE Lab CRIGEN. Ces solutions nouvelles permettent d’obtenir des cartographies précises des températures à l’intérieur de la salle de spectacle et d’identifier les zones d’amélioration du confort. »
Il y a 3 ans et 66 jours

Etanco racheté par Simpson Strong-Tie

Le spécialiste des fixations pour l'enveloppe du bâtiment passe dans le giron du groupe américain.
Il y a 3 ans et 67 jours

Studio : le mobilier que vous devez acheter neuf

Pour aménager un studio, économiser sur les mètres carrés est indispensable. Ce n’est pas une raison pour ne pas être confortablement installé. Effectivement, les idées ne manquent pas pour se créer un nid douillet et facile à vivre. Il existe aujourd’hui des meubles malins, multifonctions, rétractables ou empilables s’adaptant à toute situation. Découvrez une sélection des meubles à avoir dans un studio. Un canapé-lit insoupçonnable Auparavant, il fallait trancher entre accueillir confortablement ses convives dans un sofa digne de ce nom, ou se coucher dans un vrai lit. Fort heureusement, afin de répondre à l’optimisation des petites surfaces, les fournisseurs de meubles ont développé des canapés ne laissant en aucun cas apparaître le couchage qu’ils renferment. Simple et esthétique, le meilleur canapé lit offre un confort optimal avec son matelas ergonomique et son sommier à lattes. Une cloison multifonction En emménageant dans un studio, on constate que toutes les activités du quotidien se déroulent dans la même pièce. De ce fait, comment délimiter les différentes zones tout en permettant une circulation fluide ? Vous pouvez, par exemple, distinguer la cuisine du reste du mini-logement avec une cloison multifonction pleine de surprises. Outre le fait d’optimiser les rangements, ce mobilier offre une table toute faite par un jeu subtil d’éléments rabattables. Une table sur roulettes Le maître mot dans une petite superficie reste la modularité. Pour pouvoir évoluer en fonction de vos besoins, votre appartement doit pouvoir se transformer facilement. À cet effet, les éléments sur roulettes seront de mise puisqu’ils offrent la possibilité de se déplacer aisément, à l’instar de la table multifonction. Une banquette coffre Pour aménager une petite surface, il est primordial de trouver du mobilier astucieux qui cumule deux ou trois fonctions. Une banquette, avec ses multiples coussins, sert à la fois d’assise confortable pour accueillir ses amis, et permet, une fois le siège rembourré relevé, de profiter d’un large coffre de rangement. Une étagère comme séparation entre deux espaces Par ailleurs, vous pouvez user d’un élément de rangement ouvert afin de délimiter la chambre et la pièce à vivre, par exemple. Pourquoi ne pas miser sur une étagère construite sur mesure ? Ce meuble malin vous permettra de créer un peu d’intimité dans la chambre et de recevoir la télévision côté salon. Des rangements à composer Un des principaux challenges dans les petites habitations consiste à trouver des solutions pour maximiser le rangement sans surcharger l’espace. N’optez pas pour une seule étagère posée au sol, massive, qui accaparera trop de place. Préférez plutôt des rangements à fixer aux murs et à composer. Ces derniers pourront ainsi évoluer selon vos besoins. Des petites tables Au lieu d’investir dans de gros meubles pour aménager votre studio, privilégiez les éléments moins volumineux, mais en plus grand nombre. Après les avoir accumulés, vous constaterez qu’ils se révéleront tout aussi pratiques que des grands. Ainsi, parmi les accessoires d’ameublement incontournables pour optimiser un studio, il y a la table d’appoint ou la table basse. Facilement manipulable ou très légère, celle-ci s’adapte à toutes les situations. Une estrade pleine de surprises Pour un gain d’espace optimal dans un petit logement, vous pouvez installer une petite estrade. Toutefois, assurez-vous que la hauteur sous plafond vous le permet. Par un jeu de tiroirs subtil, cette estrade pleine de surprises vous permettra de faire évoluer la superficie disponible selon les différentes activités de la journée. Lorsque le tiroir est totalement refermé, la circulation est optimisée. Accessoirisé de coussins ou à demi ouvert, le tiroir renfermant le matelas se transforme en canapé convertible afin d’accueillir les invités. Une fois entièrement ouvert, il devient un grand lit confortable. Des assises pliantes ou empilables Gain de place oblige, n’hésitez pas à choisir des éléments facilement empilables. Laissés seuls ou combinés, ces tabourets pourront se transformer en assises supplémentaires, chevets ou encore bouts de canapé. Vous pouvez également acheter quelques chaises pliantes. Cependant, il faudra aménager un espace de stockage discret pour que ces dernières se fassent oublier lorsque vous n’en aurez pas besoin. Un lit escamotable Studio rime avec surface au sol réduite. Si le logement est doté d’une grande hauteur sous-plafond, n’hésitez pas à positionner des éléments en partie supérieure. À titre d’illustration, le lit rabattable peut sortir son épingle du jeu le moment voulu. À défaut, vous pouvez orienter votre choix vers un lit mezzanine pour dormir confortablement et dégager de la surface au sol. Une table rétractable Toujours dans une optique de praticité et de gain d’espace, procurez-vous une table rétractable que vous fixerez au mur. Ouverte, elle vous fait profiter d’un espace de travail ou de repas optimum. Et lorsque vous la refermez, ce meuble ingénieux facilite la circulation dans votre studio.
Il y a 3 ans et 67 jours

La Grèce va doubler sa production de charbon pour diminuer sa dépendance au gaz russe

"Le lignite est polluant et dans des circonstances normales, le gaz naturel est moins cher", a souligné le porte-parole dans un point presse.Mais, en raison de la guerre en Ukraine et du besoin pour la Grèce de diversifier son approvisionnement en énergie, la mesure sera, selon le porte-parole, "nécessaire" pour les deux prochaines années.Dépendante à 40% du gaz naturel russe, la Grèce cherche, depuis le début de l'invasion russe en Ukraine le 24 février, des solutions alternatives afin d'"assurer l'approvisionnement énergétique normal du pays", selon le ministère grec de l'Environnement et de l'Énergie.S'exprimant lors de l'inauguration d'un parc photovoltaïque dans le nord de la Grèce, le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis a déclaré mercredi que "la politique énergétique de la Grèce doit être flexible, en gardant à l'esprit la situation actuelle"."En aucun cas" ces changements n'affecteront l'objectif annoncé par la Grèce de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 55% en 2030 et d'atteindre la neutralité climatique d'ici à 2050, a affirmé le chef du gouvernement..Mais la promesse de fermer les centrales à lignite d'ici à 2023 ne sera pas tenue, a dénoncé l'opposition de gauche."C'est un aveu d'échec", a jugé le parti socialiste (Kinal).
Il y a 3 ans et 67 jours

Délais de paiement : le BTP a redressé la barre en 2021

TRÉSORERIE. S'ils n'ont pas encore renoué avec leur niveau d'avant-Covid, les délais de paiement se sont tout de même améliorés en 2021, atteignant 12,5 jours de retard en moyenne. Le secteur de la construction, et les TPE-PME plus largement ont réussi à remonter la pente. L'Île-de-France continue à l'inverse d'afficher des retards relativement longs.
Il y a 3 ans et 67 jours

Etanco passe sous pavillon Simpson Strong-Tie

Etanco intègre le groupe Simpson Strong-Tie. [©Simpson Strogn-Tie] « Etanco est une entreprise très prospère et rentable, qui a 70 ans d’histoire et dont la marque et la position sur le marché sont bien établies ». Ainsi Karen Colonias, présidente de Simpson Strong-Tie, a-t-elle annoncé l’intégration d’Etanco. Ceci, avant de poursuivre : « Nous pensons que son offre de produits étendue et complémentaire renforcera notre offre globale en Europe. Ce qui nous permettra d’apporter encore plus de valeur à nos clients. » Tout comme Etanco, le groupe Simpson Strong-Tie peut s’enorgueillir d’une longue expérience de fourniture de produits et de services d’exception. Les deux entreprises ont été fondées dans les années 1950 et sont ancrées dans des valeurs fortes. « Etanco et Simpson ont un ADN très similaire, car toutes deux s’appuient sur des produits de grande qualité et un service clients inégalé, souligne Ronan Lebraut, président du groupe Etanco. Ensemble, nous pouvons étendre et optimiser notre présence en Europe. Tout en proposant de nouveaux produits auprès de notre clientèle combinée. » Grâce à la forte position du groupe Etanco sur le marché, l’acquisition permettra à Simpson Strong-Tie d’accroître le portefeuille de ses produits et d’étendre sa présence sur les marchés existants. Elle assurera aussi l’essor des circuits de distribution en Europe, tout en renforçant l’offre de solutions dédiées à l’enveloppe du bâtiment pour le marché des professionnels comme des particuliers. Pas de changement organisationnel à court terme Côté organisation, dans l’immédiat, il n’y aura aucun changement dans les activités, dans les gammes de produits, dans la production. Ni, non plus dans les marques ou les collaborateurs d’Etanco et de Simpson Strong-Tie Europe. Les équipes de direction de Simpson Strong-Tie et d’Etanco travaillent déjà ensemble à la définition d’une stratégie commune pour l’avenir. Et assurent un fonctionnement sans faille pour les clients. « Notre objectif est de combiner les entreprises de manière à tirer parti de nos forces respectives sur le marché, au service de nos clients. Les clients d’Etanco et de Simpson Strong-Tie peuvent s’attendre au même niveau de qualité de produits et de services qu’ils ont reçu par le passé », déclare Michael Andersen, vice-président des opérations européennes de Simpson Strong-Tie. Et Karen Colonias, de conclure : « Nous sommes ravis d’accueillir les collaborateurs du groupe Etanco au sein de Simpson Strong-Tie. Nous sommes impatients de faire grandir l’entreprise ensemble ».
Il y a 3 ans et 67 jours

La Butte-Rouge, à Châtenay, classée "site menacé" par une organisation européenne

CITÉ-JARDIN. Europa Nostra, organisation co-financée par l'Union européenne et l'Institut de la Banque européenne d'investissement, a classé la Butte-Rouge de Châtenay-Malabry parmi les "sept merveilles d'Europe les plus menacées". En cause : le projet de rénovation urbaine de la Ville, qui permet sa "destruction à 85%".
Il y a 3 ans et 67 jours

Un baromètre pour lever le tabou du handicap dans l'entreprise

Sur la base du volontariat, les entreprises peuvent publier sur le site www.lesentreprises-sengagent.gouv.fr des données brutes sur quelques indicateurs clés.Thales, Engie, Accor, Siemens, TotalEnergies ont déjà renseigné des indicateurs dans ce baromètre de même que des entreprises de taille intermédiaire comme Septodont ou Sterimed, ou des acteurs publics comme la ville de Nice.Ces données s'articulent autour de six thèmes: le taux de personnes handicapées employées dans l'entreprise, la sensibilisation du personnel et la politique handicap, le recrutement inclusif, le maintien en emploi des collaborateurs handicapés, les achats inclusifs (réalisés dans les secteurs où travaillent des handicapés) et l'accessibilité numérique.Un des objectifs est d'aider des personnes en situation de handicap à cibler les entreprises bienveillantes à leur égard et les inciter à aborder le sujet sans tabou avec le recruteur.Alors que la France compte 12 millions de personnes handicapées et que 80% des handicaps sont invisibles (cognitifs, sensoriels, maladies invalidantes chroniques, maladies psychiques...), un nombre important de salariés n'osent pas faire part de leur handicap."En faisant connaître qu'elles sont ouvertes et engagées sur le sujet, les entreprises permettront à des talents en situation de handicap de frapper à leur porte et de libérer la parole lors du recrutement, ce qui leur permettra d'obtenir les adaptations nécessaires pour faciliter leur quotidien professionnel", a expliqué à l'AFP Sophie Cluzel, secrétaire d'État chargée des personnes handicapées."D'un côté il y a des personnes qui ne se déclarent pas car elles pensent que c'est un frein à leur carrière, de l'autre des employeurs qui disent +je ne trouve pas de personnes en situation de handicap qui se déclarent", explique-t-elle.Le taux de chômage des personnes handicapés a baissé en cinq ans de 19 à 14%, indique la secrétaire d'Etat, qui relève qu'il y a une "pénurie de recrutements sur beaucoup d'offres d'emplois, et que les personnes en situation de handicap sont un vrai vivier de compétences".Ce baromètre veut aussi permettre aux entreprises de mesurer leur progression chaque année ou de se comparer avec des employeurs de secteur et de taille similaires. Les salariés pourront aussi comparer les branches professionnelles et orienter leurs recherches. L'employeur a la possibilité de faire connaître un contact pour adresser une candidature.
Il y a 3 ans et 67 jours

La Ville de Marseille flèche 1,7 milliard d’euros d’investissements sur la période 2022-2026

La Ville de Marseille a voté, le 8 avril, le premier Plan pluriannuel d’investissement de son histoire. Doté d’une enveloppe de 1,7 milliard d’euros, il a pour fil rouge la transition écologique et une répartition plus équilibrée des équipements sur l’ensemble du territoire communal. Son vote est allé de pair avec l’adoption du budget primitif établi en 2022 à 1,8 milliard d’euros et de la hausse de 14 % du taux de la taxe foncière.
Il y a 3 ans et 67 jours

La France atteint un niveau record de capacités électriques renouvelables en 2021 surtout grâce au solaire

Hydroélectricité, éolien, solaire, bioénergies... La puissance du parc électrique renouvelable s'élevait fin 2021 à 59.781 megawatts (MW), indique le Panorama de l'électricité renouvelable, élaboré par le Syndicat des énergies renouvelables, RTE, Enedis et l'Agence ORE (Opérateurs de Réseaux d'Energie).Le pays a gagné l'an dernier près de 4 gigawatts supplémentaires. La puissance du parc solaire s'élève à 13.067 MW. En 2021, il a gagné 2.687 MW, un niveau trois fois supérieur à celui de 2020 et un boom particulièrement marqué au dernier trimestre. Il faudra faire encore mieux ces deux prochaines années, si le pays veut tenir son objectif fixé dans la loi (20.100 MW à fin 2023).Dans l'éolien, 1.202 MW ont été raccordés, tout en terrestre puisque la mise en service du premier parc offshore est attendue en avril 2022, au large de Saint-Nazaire. C'est un léger rebond par rapport au point bas de 2020, mais loin de la feuille de route énergétique de la France, qui vise 24.100 MW fin 2023 (18.783 MW aujourd'hui).Les énergies renouvelables ont l'an dernier couvert à hauteur de 25% la consommation électrique de la France métropolitaine.Cette baisse de deux points par rapport à l'année précédente tient à une production renouvelable en légère baisse (117,5 TWh contre 121,2 TWh en 2020) et une consommation électrique plus importante qu'en 2020, année affectée par les confinements dus au Covid-19.Le parc hydroélectrique est stable avec une puissance installée de 25.718 MW, même niveau qu'en 2020 malgré des mises en service destinées à compenser la fin de vie de certaines installations.La filière bioénergies électriques atteint pour sa part une puissance de 2.213 MW, avec 63 MW de nouvelles capacités. La Loi Énergie-Climat fixe un objectif de 40% d'énergies renouvelables dans le bouquet de production électrique en 2030.
Il y a 3 ans et 67 jours

"Nous souhaitons généraliser le tri par matériau dans les points de collecte", D. Mignon

ÉCONOMIE CIRCULAIRE. En vue de la mise en place de la filière Rep (Responsabilité élargie du producteur de déchets) pour les entreprises du bâtiment, les éco-organismes se positionnent sur les demandes d'agréments. C'est le cas d'Éco-mobilier, spécialisé dans la collecte de déchets d'ameublement, qui ambitionne d'étendre son périmètre d'action. Entretien avec Dominique Mignon, sa présidente.
Il y a 3 ans et 67 jours

6ème édition du baromètre sur les Français et l'ascenseur

La vétusté de certains équipements reste une grande préoccupation des FrançaisLes ascenseurs font partie intégrante du quotidien des Français. 77% d’entre eux l’utilisent régulièrement. La vétusté des appareils est un enjeu primordial. Pour 96% des Français, il est important de remplacer ces ascenseurs vétustes. 58% des interrogés estiment même que c’est une priorité absolue. C’est en ce sens que la Fédération sollicite actuellement les équipes de campagne pour les élections présidentielles, afin de porter la proposition de MaPrimeRenov’Ascenseurs, pour rénover le parc vieillissant.Si un ascenseur peut avoir une durée de vie conséquente, il ne faut cependant pas négliger son entretien et son aspect. Plus d’un français sur deux (56%) insiste d’ailleurs sur ce dernier point, remettant en cause le design ancien des ascenseurs.Une volonté d’élargir les aides financières pour la rénovation de logement à la restauration et l’installation des ascenseursPour répondre aux enjeux de disponibilité, d’accessibilité et de modernisation des ascenseurs, 77% des Français jugent nécessaires que les aides financières proposées pour les rénovations d’habitation incluent l’installation et la rénovation des ascenseurs.“Ouvrir ces aides va dans la continuité des actions menées par les acteurs de la construction et de la réhabilitation immobilière pour rendre plus accessibles les logements à tous : enfants, personnes âgées, personnes à mobilité réduite ou tout simplement dans toutes les situations de la vie quotidienne avec un besoin de mobilité facilitée.” - Philippe Boué, Président de la Fédération des AscenseursUne absence d’équipements dans les habitations et les lieux publics qui perdurePar-delà les remplacements, l'accessibilité demeure un grand sujet. Près de deux tiers des Français (63%) soulignent l’importance d’équiper les immeubles d’habitation d’ascenseurs et souhaitent interpeller les politiques dans le cadre des présidentielles qui arrivent. On soulignera tout de même une amélioration dans les lieux publics vis-à-vis de 2020.“Nous souhaitons attirer l’attention sur l’accès à la mobilité pour tous. A quelques semaines du premier tour des présidentielles, elle doit faire partie des réflexions menées par les candidats sur les enjeux sociétaux auxquels sont confrontés les Français” poursuit Philippe Boué.D’autres chiffres clés à retenir :57% des Français estiment que les solutions de mobilité verticale assistent au maintien à domicile et améliorent le quotidien ;Seuls 17% des Français ont un usage quotidien de l’ascenseur de leur domicile ;30% des Français souhaitent numériser leur expérience de l'ascenseur, avec par exemple une commande vocale pour sélectionner son étage et ouvrir les portes et 37% souhaitent avoir une musique d’ambiance pendant le trajet ;Malgré une nette progression de l’équipement des administrations françaises en ascenseurs, (+8 points depuis 2016), l’accessibilité des lieux publics reste moyenne.Méthodologie de l’enquête :Etude réalisée auprès d’un échantillon national représentatif de 1082 français âgés de 18 ans et plus, dont 77% d’usagers réguliers d’un ascenseur. L’échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, âge, profession de l’individu, région et catégorie d’agglomération, dans le respect de la norme internationale ISO 20252 ‘Études de marché, études sociales et d’opinion’. Dates de terrain : du 27 au 31 janvier 2022. Étude réalisée sur Internet via le panel Ipsos.
Il y a 3 ans et 67 jours

Un nouveau marché attribué et un décret publié pour la ligne 18

GRAND PARIS EXPRESS. La Société du Grand Paris a annoncé, le 11 avril 2022, qui réalisera l'extrémité ouest de la future ligne 18, en souterrain, entre Saint-Quentin-Est et Versailles Chantiers. Peu avant, un décret attendu a été publiée, permettant de valider les modifications de ce tronçon et de la section aérienne de la ligne.
Il y a 3 ans et 67 jours

Les webinaires se sont fait une place dans la vie des artisans du BTP

ÉTUDE. A l'occasion de la crise sanitaire, les artisans du bâtiment ont découvert l'intérêt, ainsi que les limites, du recours aux webinaires.
Il y a 3 ans et 67 jours

Publication des rapports annuels 2021 du notariat

Depuis 2015, la profession notariale a connu une mutation accélérée qui s’est poursuivie en 2021 : 16747 notaires (9802 en 2015) dont 9182 femmes et 7565 hommes. Au 31 décembre 2021, le nombre de femmes notaires titulaires ou associées (5189) était plus important que celui des femmes notaires salariées (3993), 64200 collaborateurs (vs. 49112 en 2015), 44 ans et 6 mois : l'âge moyen des notaires (48 ans en 2015), 6727 offices. Au total, 8091 lieux de réception de la clientèle (1364 bureaux annexes inclus), 24 millions de Français reçus chaque année, 10,1 milliards d’euros de chiffre d’affaires et près de 35 milliards d’euros d’impôts collectés. Le notariat poursuit à bonne cadence en 2021 sa transition numérique : 20 millions d’actes sur support électronique, le cap a été franchi fin octobre 2021 : le premier million avait été atteint en février 2015, le 10 millionième acte authentique électronique avait été atteint en avril 2019, 90% des actes authentiques sont aujourd’hui signés électroniquement, Plus de 80% des offices sont équipés de systèmes de visioconférence.
Il y a 3 ans et 67 jours

Le nouveau siège de l’ONF – Forum Bois Construction 2022

Réinventer les modes de travail pour le nouveau siège de l’ONF, l’organisation des espaces se nourrit de la ville et de la nature inspirée du contexte de son installation, dans l’école vétérinaire de Maison Alfort Avec Vincent Lavergne, architecte Vincent Lavergne Architecte Urbaniste et Samuel Poutoux, architecte Atelier WOA
Il y a 3 ans et 67 jours

L’herbe, championne du carbone

A base de fibre d’herbe, l’isolation Gramitherm a été prescrite pour le nouveau siège de l’ONF de Maisons-Alfort, et bénéficie d’une nouvelle levée de fonds.
Il y a 3 ans et 67 jours

Altrad annonce l'achat d'Endel, leader français de la maintenance industrielle, à Engie

Le prestataire de services Altrad a annoncé le 4 avril l'acquisition effective d'Endel, filiale de maintenance industrielle d'Engie, présente notamment dans le nucléaire.
Il y a 3 ans et 67 jours

Le biosourcé, vecteur d’identité visuelle et sociétaire – Forum Bois Construction 2022

L’opération incub pour le siège de Danone, dont le chantier devrait s’achever d’ici la fin de l’année, est conçu de manière vertueuse… Avec Alexandre Maneval, architecte – Arte Charpentier Cet article Le biosourcé, vecteur d’identité visuelle et sociétaire – Forum Bois Construction 2022 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 67 jours

Logement social et neutralité carbone – Forum Bois Construction 2022

La RE 2020 est la voiture balai, c’est le strict minimum de ce qu’on peut faire aujourd’hui… Avec Antoine Pagnoux, architecte – ASP Architecture Cet article Logement social et neutralité carbone – Forum Bois Construction 2022 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 67 jours

Logistique et transport – Forum Bois Construction 2022

L’opération Wood up est une tour de 50 m, 132 logements, 8 000 m2… Elle est au bord de la Seine… Avec Victor Fraboulet, chargé de projet – Poulingue et Nicolas Nectoux, directeur des opérations – REI Habitat
Il y a 3 ans et 67 jours

Le nouvel ouvrage de référence "Mon Katalogue" de Knauf est disponible

Dignes reflets de cette évolution et de l’Offre Globale Knauf, les 6 nouvelles éditions des catalogues Knauf 2022 abordent différentes applications : Aménagement Intérieur (728 pages), Isolation du Gros Œuvre (216 pages), Isolation des Planchers (224 pages), Isolation Thermique par l’Extérieur (180 pages), Isolation-Étanchéité des Toitures (184 pages) et Remblais Allégés (56 pages). Knauf renforce encore plus le lien de proximité avec ses clients dès la page de couverture avec la dénomination « Mon Katalogue » pour une appropriation aisée. « La nouvelle identité graphique avec le symbolique K de la marque assure une reconnaissance immédiate des supports » précise Stéphanie Freitag Delizy, Responsable Référentiel Marketing Produits Knauf.Si les codes couleurs sont toujours présents pour distinguer en un clin d’œil son édition (jaune, rouge, verte, bleue…), un travail de réflexion a été mené tant sur le guide de choix (voulu plus proche, plus accompagnateur tout au long du process) que sur la facilité à trouver son information, identifier le bon produit en fonction de ses applications.Le rubriquage visuel aide rapidement à se repérer et le sommaire détaillé offre une vue d’ensemble des applications, mais aussi une mise en exergue des nouveautés. Ces éditions 2022 sont très complètes avec des fiches produits détaillées, des conseils et astuces mais encore un guide de mise en œuvre pratique et un rappel des informations réglementaires.Knauf a su conserver la qualité technique reconnue de ses éditions en les complétant également de valeurs de réchauffement climatique ; une démonstration de son engagement environnemental qu’il met à disposition de toutes ses cibles (prescription technique, négoces, entreprises de pose).Disponibles sur demande en version papier auprès des négoces partenaires, des commerciaux ou sur knauf.fr, ces ouvrages 2022 sont également consultables en ligne dès le 30 mars, avec une version interactive proposant la possibilité d’extraction et de téléchargement : www.knauf.fr/documentation/demande-de-catalogue
Il y a 3 ans et 67 jours

Secteur du bâtiment : comment mieux valoriser & déconstruire ?

Le principe de déconstruction sélective, dans une logique d’économie circulaire, repose sur la volonté d’éviter le gaspillage et de gérer de façon optimisée l’allongement de la durée de vie des produits, équipements et matériaux, et de les valoriser au mieux en fin de vie. Pour en assurer le succès, la démarche doit s’appliquer aux étapes successives des chantiers, sur l’ensemble du cycle de vie du bâtiment, et impliquer l’ensemble des intervenants.Afin d’accompagner la filière dans cette voie vertueuse, l’Association ORÉE et le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment – CSTB, publient un guide dédié : « Secteur du bâtiment : comment mieux valoriser & déconstruire ? ».Il a vocation à partager les bonnes pratiques afin d’accompagner la nécessaire montée en compétence de l’ensemble de la filière.Un ouvrage pratique et opérationnel, téléchargeable gratuitement, dès aujourd’hui, en cliquant ici.De l’intérêt de la déconstruction sélectivePlus de 45 millions de tonnes de déchets sont générées chaque année par le secteur du bâtiment, contre 30 millions de tonnes pour l’ensemble des déchets ménagers. Les taux de réemploi et de recyclage de ces ressources sont actuellement très inférieurs à leur potentiel. Dans la dynamique de transition environnementale dans laquelle le bâtiment est pleinement engagé, il est important de modifier les pratiques pour éviter ce gaspillage, améliorer la gestion des produits, équipements et matériaux (PEM), tout au long de leur cycle de vie, et valoriser les déchets de construction.La déconstruction sélective répond à cet enjeu : elle permet d’augmenter la valorisation des produits, équipements, matériaux et déchets (PEMD) générés lors du chantier, par le réemploi des PEM et le recyclage, ou toute autre opération de valorisation de matière ou énergétique, des déchets.Le guide « Secteur du bâtiment : comment mieux valoriser & déconstruire ? » apporte aux acteurs, les clés pour comprendre et appréhender cette approche et les enjeux associés, et identifier les actions à mettre en place pour mener à bien une opération de déconstruction.Un outil pratique et opérationnelCe nouveau guide s’inscrit dans la continuité d’un guide réalisé par ORÉE, publié en 2018. Au-delà de l’actualisation de ses données clés, il renforce la dimension pratique et opérationnelle, fournissant aux acteurs les clés pour mettre en œuvre la déconstruction sélective.Il est structuré autour de fiches méthodologiques synthétiques et ciblées :Fiches Actions : les actions-clés à mettre en œuvre pour mener un projet de déconstruction sélective étape par étape, avant, pendant et après le chantier ;Fiches Métiers : une approche par métier, listant les rôles, missions et responsabilités des principaux acteurs impliqués dans un projet de déconstruction sélective (maîtrise d’ouvrage, maîtrise d’œuvre, entreprise de déconstruction, diagnostiqueur PEMD, gestionnaires de déchets, etc.) ;Fiches Filières : état des lieux des filières de valorisation – réemploi/ recyclage pour les PEMD issus de la déconstruction et de la rénovation ;« Il ne s’agit plus désormais de démolir, mais de déconstruire… pour reconstruire avec les matériaux de déconstruction appréhendés, non pas comme des déchets, mais comme des ressources. Il s’agit d’appliquer réellement la hiérarchie de traitement des déchets priorisant le réemploi, la réutilisation puis le recyclage. Cette démarche de déconstruction sélective et réfléchie est fondamentale et ne pourra aboutir qu’avec l’implication cruciale de tous les acteurs du bâtiment. Ce nouveau guide, conçu avec le CSTB, entend les accompagner dans cette voie, à travers des outils méthodologiques et opérationnels. » - Patricia Savin – Présidente de l’Association ORÉE & Nathalie Boyer – Déléguée générale de l’Association ORÉE« L’enjeu aujourd’hui est de sortir du modèle linéaire extraire-produire-consommer-jeter, pour aller vers une consommation plus sobre et une meilleure utilisation des ressources, en favorisant notamment le réemploi et en améliorant le tri des déchets et leur recyclage ou leur valorisation. Pour accompagner et massifier ces changements structurants, un renforcement, une diffusion et une appropriation des bonnes pratiques sont fondamentaux. C’est tout l’objectif de ce guide qui ambitionne d’apporter aux acteurs les clés pour aller vers une meilleure gestion des produits, équipements, matériaux et déchets issus des bâtiments existants. Le CSTB est heureux d’avoir co-piloté sa réalisation, en partenariat avec l’association ORÉE. » - Sylvain Laurenceau – Responsable de division Économie Circulaire au CSTB & Camille Golhen – Cheffe de projet Economie circulaire au CSTB
Il y a 3 ans et 67 jours

Innovation – Service Client – Pratique, rapide, économique et anti-gaspi : BigMat Camon se dote de la première centrale béton automatique disponible en libre-service

BigMat, 1ère enseigne européenne de distribution de matériaux et produits pour la rénovation et la construction, annonce dans le département de la Somme l’installation de Béton2Go, une mini centrale béton accessible en libre-service. Ce drive nouvelle génération permettra aux artisans, paysagistes, particuliers mais aussi aux services des collectivités de se fournir en petits volumes de […]
Il y a 3 ans et 67 jours

Triptyque remporte le prix ArchDaily “Building of The Year 2022”

Le cabinet d’architecture Triptyque a remporté le prix ArchDaily “Building of The Year 2022” pour le projet de la Villa M à Paris. [©Grégoire Gardette] Amener l’Amazonie à Paris avec un bâtiment tropical, véritable manifeste de la création d’un pacte entre la ville, la nature et la santé, voilà le défi que s’est lancé l’agence franco-brésilienne Triptyque avec la Villa M. Et pour ce projet, le cabinet d’architecture a remporté le prix ArchDaily “Building of The Year 2022”. « Nous voulions partager ce succès et la reconnaissance de notre travail avec nos principaux partenaires qui ont uni leurs efforts pour que la Villa Mvoit le jour », indique Triptyque Architecture. La Villa M plébiscitée Amener l’Amazonie à Paris avec un bâtiment tropical, véritable manifeste de la création d’un pacte entre la ville, la nature et la santé, voilà le défi que s’est lancé l’agence franco-brésilienne Triptyque avec la Villa M. [©Grégoire Gardette] « Nous avons conçu la Villa M comme un manifeste architectural naturaliste. Un bâtiment d’une époque nouvelle où l’homme ne s’oppose plus à la nature et au vivant. Hors normes, le projet actualise le mode haussmannien, figure du style parisien, tout en intégrant la santé en cœur de ville », expliquent Guillaume Sibaud et Olivier Raffaëlli, co-fondateurs de Triptyque Architecture. La Villa M se veut “la villa Médicis des médecins et des soignants” sur quelque 8 000 m2. Qu’est-ce qu’Arch Daily ? Créé en 2008, ArchDaily est le plus important site Internet dédié à l’architecture, avec plus de 13 M de visiteurs chaque mois. Chaque année, il propose son palmarès des lecteurs sur des milliers de projets candidats. Cette année, plus de 100 000 votes ont été exprimés au cours des trois dernières semaines avec 4 500 projets en lice.
Il y a 3 ans et 67 jours

Le Groupe Velux supprime la quasi-totalité du plastique de ses emballages de fenêtres de toit

Le Groupe VELUX, premier fabricant mondial de fenêtres de toit, a choisi d’agir de manière massive en supprimant les composants plastiques en polystyrène expansé (EPS) de ses emballages. Cette démarche s’inscrit dans sa stratégie de développement durable visant à rendre ses emballages mono-matériau, sans plastique et 100% recyclables à l'horizon 2030. Cette mesure a un impact direct sur l’environnement, mais aussi sur le climat. Elle contribue à réduire de 13% l'empreinte carbone des emballages des produits du groupe. Le Groupe VELUX a prévu de diminuer l’empreinte carbone des produits de 50% d’ici à 2030. Enfin, l’opération simplifie le recyclage pour les clients lors de la séparation et du tri des déchets d'emballage, rendant ainsi les processus d'élimination à la fois plus efficaces et moins coûteux. « Chez VELUX, nos engagements pour la planète et la nature sont au cœur de nos décisions sur l’évolution de nos produits et notre manière de produire » déclare André Dot, Président de VELUX en France. « Les emballages constituent un élément important de nos produits. Ils doivent donc être aussi respectueux que possible de l'environnement. Nous sommes fiers de réduire sensiblement la quantité de plastique que nous utilisons pour emballer et protéger nos fenêtres de toit. Il s’agit d’une étape capitale vers la réalisation de notre objectif de développement durable consistant à “rendre nos emballages plus verts ” ». Lancée en 2020, la stratégie de développement durable du Groupe s’inscrit dans le cadre d’un parcours de transformation sur 10 ans au cours duquel le Groupe VELUX sera pionnier dans les actions en faveur du climat et de la nature, créera des produits durables innovants et mènera une activité responsable.
Il y a 3 ans et 67 jours

L’Accorderie : échanger et coopérer localement

Face à une économie essentiellement basée sur les échanges monétaires et l’enrichissement personnel, il existe des alternatives qui permettent aux plus démunis de bénéficier de services gratuitement. C’est le cas de l’Accorderie, une solution d’échanges de services à l’échelle locale, d’un quartier ou d’un village. Une Accorderie œuvre dans le monde de l’économie sociale et solidaire, en […]
Il y a 3 ans et 68 jours

E. Macron et M. Le Pen au second tour : comparez leur programme pour le BTP

PRÉSIDENTIELLE. Emmanuel Macron (LREM) et Marine Le Pen (RN) se sont qualifiés pour le second tour de l'élection présidentielle 2022. Construction neuve, rénovation énergétique, infrastructures, énergie... Comparez leur programme pour le secteur de la construction, en vue de l'échéance du 24 avril prochain.
Il y a 3 ans et 70 jours

Le palais des Vieilles Procuraties, joyau de Venise, retrouve sa splendeur

Témoin silencieux des siècles traversés par la Sérénissime, cet ancien haut-lieu du pouvoir vénitien est prêt à livrer ses secrets au visiteur, invité à s'engouffrer dans une enfilade d'arcades entourées de poutres en bois et de murs de briques.Pour les trois premiers jours d'ouverture, la visite est réservée aux seuls Vénitiens, dont 3.000 ont répondu présents en 72 heures, avant de s'élargir à partir du 13 avril aux touristes du monde entier.Maître d'oeuvre de cette transformation d'une surface de 12.000 m2, l'architecte anglais de renommée internationale David Chipperfield a été chargé par l'assureur italien Generali, propriétaire du palazzo, d'insuffler une nouvelle vie à cet édifice iconique."La place Saint-Marc figure parmi les plus célèbres du monde, mais aucun d'entre nous n'a jamais imaginé ce qui se cache derrière ces façades construites par plusieurs architectes sur une centaine d'années", a déclaré M. Chipperfield à l'AFP.Erigées au XIIe siècle, les Procuratie Vecchie furent dévastées par un incendie en 1512. L'édifice vénéto-byzantin fut remplacé en 1538 par une structure à trois étages, dans le style classique de la Renaissance italienne.Lion ailéJusqu'à la chute de la République de Venise en 1797, les procurateurs, hauts magistrats qui secondaient le Doge, chargés du Trésor de la ville mais aussi des Affaires sociales, y ont travaillé tout en y occupant des logements gratuitement.Sous les combles de l'édifice s'étendent désormais les locaux spacieux de The Human Safety Net, une fondation lancée par Generali pour venir en aide aux personnes les plus vulnérables, dont des réfugiés, ainsi que des salles d'exposition et un auditorium."Les procurateurs s'occupaient des veuves, orphelins et pauvres. Pour nous, c'est un bel hommage à l'histoire et à l'identité de ce bâtiment d'y avoir The Human Safety Net, qui oeuvre pour l'inclusion sociale", a expliqué sa directrice Emma Ursich.A la gauche de l'entrée principale, le lion ailé de Saint Marc, symbole de la cité mais aussi l'emblème de Generali, est incrusté dans le mur de marbre blanc. Une plaque commémore la naissance en 1831 à Trieste de l'assureur, qui a pris ses quartiers à Venise l'année suivante."L'édifice avait été malmené pendant une très longue période, des décorations ont été enlevées, des escaliers, ascenseurs et salles de bains rajoutés, de manière très désordonnée. Notre responsabilité était de lui rendre une certaine intégrité", commente M. Chipperfield.Le chantier aura duré trois ans, après une phase de conception de 24 mois visant à préserver autant que possible les structures existantes.Au premier étage, où Generali a toujours quelques bureaux après avoir transféré en 1990 son siège italien dans les environs de Venise, à Mogliano Veneto, les fresques et peintures murales ont été entièrement restaurées pour leur redonner de l'éclat.La demeure de Sissi"Ce n'est un secret pour personne que travailler avec l'administration en Italie est assez compliqué", ironise David Chipperfield. Planter le moindre clou dans un édifice historique réclame d'innombrables autorisations.Quant aux artisans, "vous pouvez vous retrouver avec les meilleurs du monde", car il y a une longue tradition en Italie, "ils restaurent des bâtiments depuis mille ans"."Il était essentiel de collaborer avec les artisans et fournisseurs locaux, en utilisant des techniques et des matériaux qui font partie de la tradition vénitienne", explique Cristiano Billia, directeur associé de David Chipperfield Architects Milan.Ainsi, pour les sols, murs ou plafonds, ont été utilisés le pastellone, un produit naturel à base de chaux, le terrazzo, composé d'un mélange de fragments de marbre coloré et de ciment, ou encore le marmorino, un enduit de finition à effet satiné.Juste en face, de l'autre côté de la place, se dressent les Nouvelles Procuraties, dont la construction fut achevée en 1640 et qui hébergeaient au milieu du XIXe siècle d'illustres membres de la dynastie des Habsbourg comme l'impératrice Sissi, pendant le règne des Autrichiens sur Venise.Sa demeure donnait sur les très secrets Jardins Royaux longeant le Grand Canal, eux-mêmes rouverts au public en 2019 à l'issue de cinq ans de restauration.
Il y a 3 ans et 70 jours

"Un déni de démocratie": à Strasbourg, une autoroute pas autorisée... mais déjà en service

Au coeur de cette bizarrerie administrative, on trouve un tronçon d'autoroute de 24 kilomètres: l'A355, qui contourne Strasbourg par l'Ouest, sorte de dérivation de l'A35 qui traverse déjà la capitale alsacienne du nord au sud.Selon Vinci il s'agit du "plus grand projet autoroutier de ces dernières années en France".Envisagé dès 1973, le projet a alimenté pendant des décennies une contestation farouche. Les opposants y voyaient un nouveau sacrifice de terres cultivables et de zones humides, contestant l'idée que ce contournement puisse désengorger l'A35, saturée par les trajets pendulaires des travailleurs rejoignant quotidiennement l'agglomération.Malgré les nombreuses manifestations, et en dépit des avis défavorables rendus par les instances de contrôle des atteintes à l'environnement (notamment l'Autorité Environnementale - AE), l'Etat, à travers la préfecture du Bas-Rhin, a accordé en 2018 à Arcos, filiale du groupe Vinci, l'autorisation de construire ce tronçon d'autoroute.L'autorisation a immédiatement été contestée en justice par l'association Alsace Nature. Trois ans plus tard, en juillet 2021, la justice a partiellement donné raison à l'association, constatant que le dossier d'autorisation était entaché d'"insuffisances", concernant l'impact de l'autoroute sur la santé, la pollution ou l'évolution du trafic automobile - autant d'aspects pourtant censés justifier la construction du contournement."Le juge s'est appuyé sur des arguments qui figuraient dans le premier avis de l'Autorité environnementale", souligne Pierre Ledenvic, le président de l'AE. "On peut regretter que ces arguments n'aient pas été pris en compte en amont par le maître d'ouvrage et par l'autorité qui a accordé l'autorisation", déplore-t-il."Meilleurs sols de France"Néanmoins, malgré ces manquements, la justice n'a pas annulé l'autorisation: elle a simplement imposé à Arcos de compléter son dossier pour que la préfecture puisse éventuellement délivrer un arrêté complémentaire d'autorisation.Mais si la procédure d'autorisation a dû reprendre au début, le chantier lui s'est poursuivi et l'autoroute flambant neuve a été inaugurée le 11 décembre dernier par Jean Castex qui a vanté ses "bénéfices écologiques et environnementaux".Pendant que les premiers véhicules empruntaient la nouvelle autoroute, qui a grignoté 450 hectares classés "parmi les meilleurs sols de France" pour leur qualité agronomique, Arcos a revu son dossier. Elle l'a soumis, comme le veut la procédure, à l'Autorité environnementale... qui a retrouvé les mêmes manquements."Effectivement, un certain nombre de recommandations que nous avions faites en 2018 n'ont pas été prises en considération", regrette auprès de l'AFP Nathalie Bertrand, auteure du second avis émis par l'AE.Les autres instances consultées ont également rendu des avis défavorables sur l'A355 et la procédure suit son cours avec la tenue d'une deuxième enquête publique après celle de 2018: jusqu'au 16 avril, les habitants sont une nouvelle fois invités à donner leurs avis sur la pertinence de ce qui reste présenté comme un "projet". Bien qu'il soit déjà achevé..."Clairement on a eu un passage en force et le fait de revenir devant la population, c'est presque de la provocation", estime la maire écologiste de Strasbourg Jeanne Barseghian, qui évoque un "déni de démocratie"."On a besoin de renouer la confiance avec les autorités, il faut que les avis qui sont donnés pèsent réellement sur les décisions prises", réclame l'élue. "Interroger les citoyens sur un projet déjà fait, c'est délétère, ça décrédibilise les procédures".Signalétique trompeuseSollicitée, la préfecture du Bas-Rhin ne précise pas comment elle compte prendre en compte tous ces nouveaux avis. Si la délivrance d'un nouvel arrêté de régularisation ne fait guère de doutes, la préfète peut imposer certaines mesures à la société Arcos en fonction des observations émises.En attendant, plusieurs milliers d'automobilistes empruntent bon gré mal gré cette autoroute chaque jour, se plaignant d'une signalétique trompeuse, qui incite à passer inutilement par la section à péage, et des tarifs élevés aux heures de pointe.La société Arcos refuse de transmettre le moindre chiffre à la presse, mais elle a dû répondre à l'AE qui évoque un trafic de "7.000 à 8.000 véhicules par jour".L'itinéraire historique, gratuit, reste "utilisé par plus de 170.000 véhicules par jour sur ses parties les plus chargées", rappelle l'AE.Tous les acteurs reconnaissent néanmoins que le contournement reçoit une partie du trafic des poids-lourds. Ceux-ci ont désormais l'interdiction de traverser la ville, sauf pour charger ou livrer: le nombre de camions sur l'A35 a diminué de près d'un tiers, soit environ 3.000 par jour, selon les chiffres du Sirac (service de l'information et de la régulation automatique de la circulation).Cependant, bon nombre de poids-lourds en transit sont encore réticents à emprunter le contournement payant: selon la CRS autoroutière, 70% des camions contrôlés sur l'itinéraire historique sont en infraction.
Il y a 3 ans et 70 jours

Plus d'un Français sur trois envisageraient d'équiper leur logement en ENR

RENOUVELABLES. Environ un tiers de nos compatriotes seraient prêts à installer une source d'énergie renouvelable dans leur logement, selon le dernier baromètre du principal organisme de qualification des ENR du bâtiment, Qualit'ENR. Une proportion qui bondit de 50% par rapport à 2019 et qui confirme l'intérêt des particuliers comme des professionnels.
Il y a 3 ans et 70 jours

Les prix de l'immobilier ancien toujours en hausse malgré la flambée de l'énergie qui pèse sur les acquisitions

Les tendances à l’œuvre depuis la sortie des confinements sont toujours là : succès des maisons individuelles plutôt que des appartements, hausse des prix sur l'ensemble du territoire sauf à Paris, offre insuffisante par rapport à la demande.Au premier trimestre, les prix au mètre carré ont progressé de 3,7% sur un an selon Laforêt, de 6% selon Orpi et de 8,2% selon la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim), qui prend en compte les données de ses agences franchisées mais aussi celles recueillies sur des portails en ligne.Selon la Fnaim, c'est dans le Grand Ouest que les prix ont le plus augmenté, avec plus de 15% de hausse en Bretagne et près de 11% en Pays de la Loire.Mais la flambée des prix des carburants et de l'énergie commence à avoir des conséquences sur le marché, selon Orpi et Laforêt."S'il y a encore quelques mois, certains étaient prêts à faire quelques kilomètres de plus pour accéder à un bien, ils sont désormais regardants sur l'éloignement d'un logement par rapport aux infrastructures de transport ou leur lieu de travail. (...) De la même façon, certains foyers préfèrent opter pour un logement un peu plus petit pour ne pas subir leur facture d'énergie à terme", assure le président d'Orpi Guillaume Martinaud, cité dans le communiqué du réseau.Laforêt note également un léger regain d'intérêt pour les appartements et la région parisienne, possiblement imputables à la flambée des carburants et des coûts du chauffage."Le marché est contradictoire depuis quelques années maintenant", sourit Yann Jéhanno, président de Laforêt interrogé par l'AFP. "Evidemment, les maisons permettent, notamment en zone périurbaine, de répondre à cette demande de la pièce en plus, du jardin pour pouvoir s'isoler ou pour gérer les enfants, et en même temps on a de nouvelles aspirations qui engagent une partie des clients à revenir vers les centres-villes", dit-il.Les biens à l'extérieur des villes supposent souvent l'achat d'une voiture supplémentaire et peuvent être chauffés au gaz ou au fioul, énergies polluantes et de plus en plus chères, explique-t-il.Laforêt s'inquiète également de l'accès plus restreint aux crédits immobiliers, avec la remontée des taux d'intérêt conjuguée aux nouvelles règles qui plafonnent le taux d'endettement des ménages à 35% de leur revenu.
Il y a 3 ans et 70 jours

Bureaux : retour à la normale en Ile-de-France ?

CONJONCTURE. La demande placée de bureau en Île-de-France revient à des niveaux comparables à l'avant-pandémie, selon les statistiques de référence du groupement Immostat. Ce qui n'est pas le cas de l'investissement dans ce type d'actifs, en perte de vitesse.
Il y a 3 ans et 70 jours

L'inflation plombe le volume d'activité des travaux publics

CONJONCTURE. Avant même le début de la guerre en Ukraine, les tensions sur les coûts de production montraient déjà des impacts sur l'activité du secteur des travaux publics, dans les premières semaines de l'exercice 2022.
Il y a 3 ans et 70 jours

« On peut rénover la ville sans la gentrifier », Patrice Leclerc, maire de Gennevilliers (Hauts-de-Seine)

Rénovation urbaine près de la future gare du Grand Paris, nouveau quartier en bordure du parc départemental des Chanteraines, transformation de la halle des Grésillons en pôle d’économie circulaire : alimentés par un budget annuel d’investissement de 60 millions d’euros, les chantiers en cours et en projet à Gennevilliers (47 000 habitants, Hauts-de-Seine) alimentent les réflexions politiques de son maire Patrice Leclerc. Il les a synthétisées dans son essai publié en janvier chez Arcane 17, sous le titre « Inventons un nouvel art de vivre populaire en ville ».
Il y a 3 ans et 70 jours

Flambée des coûts de construction et incertitudes géopolitiques : le BTP doit s'adapter rapidement

Arcadis, société internationale d’ingénierie et de conseil, annonce la publication de son rapport annuel « International Construction Cost Index 2022 ». A destination des investisseurs, cet index compare les coûts de construction dans 100 métropoles mondiales. Il propose un décryptage des facteurs expliquant les coûts par grandes zones géographiques, ainsi qu’une analyse des grandes tendances du secteur.En France, la production dans le secteur de la construction qui avait chuté pendant la pandémie, s'est redressée en 2021. Le redémarrage violent de la demande a submergé les capacités de production de toute la filière d’approvisionnement. Le « just in time » a volé en éclat et les achats de précaution se sont amplifiés. Début 2022, la tendance établie auprès des constructeurs est semblable dans les Travaux Publics et le Bâtiment : il n’y a pas pénurie à date, néanmoins les délais de fournitures et les coûts ne sont plus garantis par les fournisseurs. Les prévisions initiales ébauchées avant le conflit ukrainien - de 3% d’augmentation de la production en 2022 - sont désormais largement remises en cause, le marché devenant extrêmement volatil.Le ministère de l'Économie et des Finances avait déjà appelé en 2021 les acheteurs publics à adapter certaines modalités d'exécution et de passation des contrats de la commande publique (prolongation des délais d’exécution, insertion de clauses de révision de prix, …), ces mesures ayant été mises à jour récemment en février 2022.Enfin, de nombreux autres facteurs conjoncturels contribuent à l’aggravation de cette crise comme la hausse historique de commandes de maisons individuelles en 2021 ou encore la pression s’exerçant sur la filière bois, poussant les majors à sécuriser leurs approvisionnements stratégiques.« Si la crise est mondiale et qu’elle affecte en priorité les pays occidentaux, on constate que les grandes villes françaises comme Paris et Lyon maintiennent leur compétitivité du point de vue des investisseurs internationaux. " Faire plus avec moins" sera la clé de la résilience à long terme pour le secteur de la construction, dans un contexte de forte inflation et d’incertitudes géopolitiques. » précise Nicolas Boffi, City Executive Paris chez Arcadis.Un "Guide pratique" en cinq points est présenté dans le rapport afin de faire face à la volatilité actuelle du marché.
Il y a 3 ans et 70 jours

La demande en immobilier de bureau revient à la normale au 1er trimestre

La demande placée, c'est à dire la surface totale de locaux où un nouvel occupant s'est installé, s'établit à 503.900 mètres carrés au premier trimestre.C'est 40% de plus qu'au premier trimestre 2021, et dans la moyenne des dix dernières années.Immostat, qui rassemble quatre acteurs majeurs du secteur, BNP Paribas Real Estate, CBRE, JLL et Cushman & Wakefield, ne donne que les chiffres pour l'Île-de-France, qui concentre l'essentiel du marché."Le marché a continué sur une dynamique qui avait pris corps au second semestre 2021 et a continué de bénéficier de conditions économiques qui étaient tout à fait favorables jusqu'à relativement récemment", commente pour l'AFP Virginie Houzé, directrice études et recherches chez JLL.Fait insolite, les loyers moyens des bureaux de seconde main (416 euros annuels par mètre carré) dépassent légèrement ceux des locaux neufs ou restructurés."Dans les loyers de seconde main, (...) vous pouvez avoir des immeubles de très bonne qualité, avec des loyers très élevés, qui vont tirer la moyenne vers le haut", notamment dans Paris intra-muros, explique Virginie Houzé.L'immobilier logistique (entrepôts), en pleine santé depuis plusieurs années, continue sa croissance rapide avec une demande placée en hausse de 31% pour les sites de plus de 10.000 mètres carrés.
Il y a 3 ans et 70 jours

La filière de l'éclairage impactée par une suite d’événements économiques imprévisibles

Le premier ministre vient de publier le 30 mars 2022 une Circulaire relative à l’exécution des contrats de la commande publique dans le contexte actuel de hausse des prix de certaines matières premières (1).Cette circulaire insiste sur l’imprévisibilité de l’environnement économique actuel ; elle vise à sensibiliser à nouveau les acheteurs publics au contexte difficile que traversent les entreprises, et à veiller à accéder aux demandes d’aménagement des contrats afin de ne pas mettre en danger leur pérennité, leurs emplois, le service public. Il y est précisé comment appliquer la théorie de l’imprévision aux contrats administratifs. Le gel des pénalités contractuelles dans l'exécution des contrats, et l’insertion d'une clause de révision des prix dans tous les contrats à venir font également partie des recommandations importantes de cette circulaire, qui conclue sur l’extension de l’imprévision aux contrats privés. Lors d’une communication récente, Le Syndicat de l’éclairage avait alerté sur les conséquences de ces difficultés d’approvisionnement sur les délais et les prix. Ce contexte de tensions se poursuit sans perspective d’amélioration en 2022. L’application du modèle de formule de révision des prix du syndicat à fin février montre une hausse de 3 à 5 % depuis décembre 2021. La plupart des fabricants, particulièrement touchés par cette inflation, doivent adopter un rythme de révision de leurs tarifs plus fréquent que par le passé. Il en est de même pour la durée de validité des offres de prix, qui tend à se raccourcir considérablement. Il n’est en effet pas soutenable pour les entreprises de notre secteur de s’engager au-delà d’un très court terme.Face aux circonstances exceptionnelles que nous devons affronter, la profession appelle l’ensemble de la filière à des efforts de compréhension et de solidarité.(1) Après la Circulaire du Premier Ministre du 16 juillet 2021 relative à l’aménagement des conditions d’exécution des marchés publics de l’État face aux difficultés d’approvisionnement, après la Fiche technique de la Direction des affaires juridiques de Bercy, sur les marchés publics confrontés à la flambée des prix et au risque de pénurie des matières premières, mise à jour le 18 février 2022.Voir également sur le même sujet un recueil de recommandations utiles pour l’ensemble des acteurs de la filière du bâtiment, publié par la Fédération française du bâtiment. »
Il y a 3 ans et 70 jours

A Chanverrie, le projet Habiflex de 20 maisons, c’est S.MART

En mars 2022, Podeliha a dévoilé son concept innovant d’habitat déplaçable : Habiflex. Un premier projet de vingt maisons modulaires, signé de l’agence rochelaise S.MART Architecture verra le jour à Chanverrie (Vendée). Communiqué du maître d’ouvrage. « Habiflex est un concept inédit d’habitat flexible et transitoire, qui marque une nouvelle étape dans le mode d’habiter et dans […] L’article A Chanverrie, le projet Habiflex de 20 maisons, c’est S.MART est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 70 jours

Résultats en berne pour Vestas en 2021 à cause de la pandémie

Sur l'ensemble de l'année, le bénéfice net a été divisé par plus de quatre, à 167 millions d'euros contre 765 millions l'année précédente, le chiffre d'affaires a lui augmenté de 5,2% à 15,58 milliards d'euros, grâce à l'augmentation des prix.Les ventes réalisées sont conformes aux prévisions avancées auparavant par Vestas qui visait un chiffre d'affaires compris entre 15,5 et 16,5 milliards d'euros.Dans un secteur toujours tiré par les investissements mondiaux importants dans les énergies renouvelables, 2021 a aussi été une année record pour le carnet de commandes du groupe qui a atteint 47 milliards d'euros pour les éoliennes et les services.Pour 2022, le groupe table sur des ventes entre 15 et 16,5 milliards d'euros, avec un bond de 5% du chiffre d'affaires du secteur "services"."L'instabilité de la chaîne d'approvisionnement causée par la pandémie et entraînant une augmentation des coûts de transport et de logistique devrait continuer à affecter l'augmentation des coûts de transport et de logistique tout au long de l'année 2022", a relevé Vestas dans son rapport.Sur les années à venir, la demande pour l'éolien terrestre, où le groupe est numéro un, devrait rester à un niveau élevé.Pour l'offshore, dans lequel le fleuron danois entend rattraper son retard notamment face à Siemens Gamesa, l'activité devrait être forte l'an prochain d'après le carnet de commandes mais reculer légèrement à l'horizon 2025 et nécessiter de nouveaux investissements.A la Bourse de Copenhague, le titre reculait de près de 4% peu avant 10h00 GMT dans un marché en légère baisse (-0,58%).Fin 2021, Vestas employait quelque 29.000 personnes dans le monde, dont 6.000 au Danemark.
Il y a 3 ans et 70 jours

L'Ifremer alerte sur l'extraction sous-marine de granulats

L'extraction de granulats en mer "n'est pas sans conséquences pour le milieu" marin avec notamment une possible modification de la nature des fonds et une destruction de la faune selon l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer.
Il y a 3 ans et 70 jours

Le chantier Combo : une résidence en béton bas carbone ECOPact à Bordeaux

Combo : une résidence en béton bas carbone ECOPactLe projet Combo, une résidence de 35 appartements sur 5 niveaux a démarré en mai 2021 à Bordeaux, avec à la manœuvre le maître d’ouvrage Aquitanis, le cabinet d’architectes Leibar&Segneurin, le constructeur Ramery Bâtiment et l’Agence Lafarge Bétons Aquitaine.La volonté du cabinet d’architecture pour ce chantier était de réaliser des voiles architecturaux légèrement colorés et surtout à faible impact carbone.Pour le cabinet Leibar&Segneurin : « Dans un souci de responsabilité sociétale, et le regard que nous portons vis à vis des enjeux environnementaux à l’œuvre dans nos vies et dans la construction, le béton nous est apparu comme un matériau en cohérence avec le territoire dans lequel s’inscrit la résidence Combo, quai de Brazza à Bordeaux. Sa production locale, dans les carrières aux alentours de Bordeaux, diminue son empreinte environnementale et permet à ce matériau de relever les enjeux de demain. De plus, sa plasticité et sa grande pérennité, alliées à une mise en œuvre exigeante et soignée, en font « une véritable pierre coulée». La maîtrise de son économie ainsi que le recul dont on dispose sur son comportement dans le temps, sont également des facteurs qui plaident en sa faveur. La rencontre de ce matériau avec la géométrie singulière du projet en font une véritable réussite. »C’est ainsi que l’Agence Lafarge Bétons Aquitaine entre en jeu avec son offre de bétons bas carbone ECOPact. L’expertise de l’Agence, la réactivité de l’équipe qualité et la disponibilité du responsable technique ont été mis à disposition pour que chantier deviennent une référence locale.Pour Charles Descatoire, Chargé de Développements de Produits Spéciaux : « Ce chantier a été pour nous l’opportunité de tester notre gamme de béton bas carbone ECOPact en une application verticale. Cela nous a permis entre autres de mesurer la qualité de notre béton ainsi que d’éventuelles différences sur sa mise en œuvre. Le retour d’expérience est très positif et cela nous donne bon espoir pour l’avenir. Nos équipes qualité et commerciales sont désormais formées à répondre aux demandes de nos clients, de façon pertinente et précise. Le challenge a été relevé et nous sommes fier de cela.»Accompagnement et collaboration, clés de la réussiteAvant de couler le premier M3 de bétons, il y a eu différents échanges avec le cabinet d’’architectes et l’entreprise Ramery Bâtiment et des tests techniques pour obtenir le meilleur résultat possible :Des tests sur échantillons pour valider la teinte ;Des tests pour valider la méthode de coulage du béton pour garantir un parement parfait ;L’intervention du service qualité pour ajuster les formules ;Le suivi commercial et technique tout au long du chantier.Pour Anthony Rodrigues, Directeur Travaux chez Ramery Bâtiment : « Les conseils, les tests et le suivi des équipes Lafarge ont été précieux, nous avons travaillé ensemble à la réussite esthétique du projet. Nous avons été rassurés par le fait que ces bétons bas carbone ne changent pas la qualité et la mise en œuvre. L’utilisation de ces produits sera adaptée à la RE2020. »C’est ainsi que 1600m3 de bétons dont 1000M3 de bétons bas carbone ECOPact ont été coulés pour le chantier Combo, permettant de réduire l’impact carbone d’environ 100 tonnes.Pour Denis Garant, Directeur du Développement des Bétons Responsables : « Nous poursuivons le développement des bétons ECOPact partout en France et c’est très motivant lorsqu’on le voit des chantiers sortir de terre, comme c’est le cas à Bordeaux. Il est évident qu’avec la RE2020, nous verrons de plus en plus le béton bas carbone s’imposer pour le bien de l’environnement. »
Il y a 3 ans et 70 jours

"Nous sommes hostiles à une révision généralisée des prix", Marianne Louis (USH)

Les bailleurs sociaux ne seraient pas soumis à l'obligation de conclure des contrats à prix révisables ou actualisables, estime l'Union sociale pour l'habitat en s'appuyant sur une note juridique.
Il y a 3 ans et 70 jours

"L’impact de la certification MASE sur la performance d’entreprise " : un très haut niveau de satisfaction des entreprises du BTP

La certification MASE valide la mise en place et le bon fonctionnement d’un système d’amélioration continue des performances Sécurité, Santé et Environnement. Le plus souvent, la première motivation des entreprises pour engager une telle démarche est de répondre à la demande d’un donneur d’ordre, généralement industriel. Cependant, l’enquête réalisée par l’OPPBTP et Mase montre que les entreprises retirent un intérêt fort de la certification MASE et font état de bénéfices pour la performance de l’entreprise qui vont bien au-delà de leurs attentes premières, exprimant un très haut niveau de satisfaction.« Au regard des résultats de cette enquête, la certification MASE représente indéniablement un outil au service de la performance, dont les bénéfices collatéraux se font ressentir à la fois sur l’image que l’entreprise renvoie à ses clients et partenaires, sur sa performance en prévention des risques, sur sa santé économique et la performance de son organisation mais également sur les équipes et la qualité de leur travail. Les difficultés exprimées par certains chefs d’entreprise à faire adhérer l’ensemble de leur personnel à cette démarche confirment par ailleurs la nécessité, en matière de culture de prévention, d’encourager la participation et l’expression des collaborateurs à tous les niveaux de l’entreprise, dès le début de la démarche, pour favoriser l’adhésion de tous. » analyse Virginie Renard, Directrice Prévention et Performance et Culture de prévention au sein de l'OPPBTP.Un niveau de satisfaction très élevé de la part des entreprises du BTP L’étude met en lumière une appréciation très positive de la part des dirigeants certifiés MASE, puisque 96% des entreprises interrogées déclarent que les efforts engagés pour la mise en place de la certification MASE en valaient la peine. En effet, la certification MASE rend les dirigeants plus confiants en l’avenir de leur entreprise (88% des entreprises interrogées). Cette confiance s’exprime par un sentiment de maîtrise des risques professionnels (84% des répondants - près d’un répondant sur deux donne cette raison en premier) et des situations du quotidien en général (69% des répondants).De plus, alors que 80% des entreprises ont entrepris une démarche de certification MASE afin de travailler avec certains donneurs d’ordre (pour 43% des entreprises interrogées, il s’agissait de leur première motivation), les bénéfices observés par les entreprises sont multiples et dépassent largement cet aspect marché. Un outil de consolidation de l’entreprise sur son marchéPremièrement, il apparaît que la certification MASE a un impact très positif sur l’un des aspects majeurs de la performance de l’entreprise : sa consolidation sur ses marchés.61% des dirigeants ont vu leur chiffre d’affaires progresser ou se maintenir grâce à la certification, et ce en particulier au sein des entreprises de moins de 20 salariés.Par ailleurs, la quasi-totalité des dirigeants (97%) souligne que la certification améliore nettement l’image de l’entreprise auprès de ses clients et partenaires. 81 % estiment qu’elle participe à améliorer leurs relations avec leurs partenaires et prestataires, et 80 % pensent qu’elle permet de fidéliser davantage leur clientèle. Enfin, la certification est également une source d’opportunités commerciales pour plus de 7 dirigeants sur 10.Un impact positif sur le travailUne très large majorité des dirigeants affirme que la certification améliore la qualité du travail (83%), et permet d’innover dans la manière de travailler au quotidien (80%).En revanche, l’appréciation est plus nuancée quant au gain de productivité que la certification peut leur apporter : 4 dirigeants sur 10 (42%) estiment que la certification a un impact positif sur la productivité.Des perceptions positives mais plus modérées concernant l’impact de la certification MASE au sein des équipes et du managementL’étude souligne également des résultats satisfaisants, concernant l’impact de la certification MASE au sein des équipes.66% des dirigeants estiment que la certification a amélioré la performance de leurs salariés, et 65% pensent qu’elle permet de les rendre plus autonomes sur le terrain. De plus, 62% estiment que la certification a eu un impact positif sur l’ambiance générale au sein de l’entreprise. Néanmoins, les résultats sont moins tranchés que pour les autres indicateurs, avec une part de réponse « Oui, tout à fait » plus faible.L’adhésion de l’interne, principal enjeu pour les chefs d’entreprisePar ailleurs, parmi les entreprises ayant estimé que la mise en place de la certification MASE avait été difficile (48%), 50% ont répondu spontanément que le plus difficile a été de faire adhérer le personnel à la démarche en faisant comprendre son utilité, les bénéfices pour tous et en partageant une vision. Or, l’adhésion des équipes est un critère important de la satisfaction des entreprises vis-à-vis de la certification MASE : plus les dirigeants perçoivent des bénéfices sur l’interne, plus la satisfaction est élevée. Cela pose donc la question de la présentation de la démarche MASE au sein de l’entreprise, puis de sa « traduction » en éléments concrets, compris et acceptés pour une application au quotidien. Les systèmes de management révèlent en effet toute leur efficacité lorsque l’ensemble de l’entreprise est embarqué, et que la culture prévention évolue à tous les niveaux.« MASE compte plus de 25 ans de retour d’expérience sur la réduction des accidents du travail grâce à la mise en place de notre système. Pour arriver à ces résultats et rester en phase avec les besoins d’aujourd’hui et de demain de nos adhérents, nous avons dû faire évoluer notre référentiel à plusieurs reprises. Même si nous en étions convaincus, cette enquête a permis de confirmer factuellement que notre système a non seulement un impact positif au niveau SSE, mais aussi sur la performance globale des entreprises du BTP. Et pour ceux qui penseraient que la sécurité coûte cher, détrompez-vous : seuls 9% des chefs d’entreprises interrogés pointent le coût lié à la démarche comme une difficulté. » commente Didier Méné, Président de MASE.« Cette enquête démontre tous les bénéfices qu’il y a à déployer une organisation d’entreprise sur la base d’un référentiel qui a fait ses preuves, et ce par la voix des personnes les mieux placées pour en témoigner. Nous sommes persuadés que ces systèmes doivent être promus et généralisés car ils représentent des opportunités de progresser de façon pérenne en prévention, en brisant le plancher de verre que tous déplorent aujourd’hui dans la diminution de la sinistralité. En effet, lorsque ces systèmes sont mis en oeuvre avec conviction et en partageant une vision mutuelle, alors ils sont incontestablement efficaces, tant en prévention que pour la performance globale des entreprises et de la société. » conclut Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP.Retrouvez les principaux résultats de l’enquête et des témoignages de chefs d’entreprise sur preventionbtp.fr.