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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88076 résultats)
Il y a 3 ans et 63 jours

Crise des matériaux : les architectes en difficulté, le Cnoa appelle au dialogue

CONJONCTURE. Pénuries et hausses de matières premières se prolongent, au point d'inquiéter l'Ordre des architectes. Ce dernier a commandé une note de conjoncture qui fait le point sur la situation des professionnels face à cette crise inédite.
Il y a 3 ans et 63 jours

Quant l'union fait la force en matière de maintenance de matériels ferroviaires

ENTREPRISES. Issu du rapprochement entre Sifel, filiale de TSO (groupe NGE) et de Novium, un groupement d'intérêt économique baptisé Ferelis vient de voir le jour dans le domaine de la maintenance ferroviaire.
Il y a 3 ans et 63 jours

Inquiétudes sur le marché du logement neuf en Île-de-France

Sur la base de cette analyse chiffrée couvrant la période comprenant 2019 à 2021, cinq tendances traduisent le contexte actuel du marché du logement neuf en Ile-de-France :Tout d’abord, le marché de l’immobilier neuf n’a pas fait preuve de la même résilience que le marché de l’ancien. En effet, après de premiers signes d’essoufflement en 2018, particulièrement au niveau des commercialisations, 2019 avait été marquée par une stagnation des ventes et surtout un net recul des mises en vente (-22%) dans la région Ile-de-France. En 2020, la conjoncture immobilière neuve s’est effondrée, notamment à cause des périodes de confinement. Cette étude permet ainsi d’entrevoir les impacts qu’ont pu avoir la crise sanitaire sur les désirs des acheteurs d’un côté et l’adaptation des promoteurs de l’autre, sachant que la durée entre la prospection foncière et le lancement de la commercialisation s’établit en moyenne entre un an et un an et demi.Quant aux commercialisations, elles progressent mais à un niveau encore beaucoup trop faible par rapport à la demande. A contrario, malgré un rattrapage constaté entre 2020 et 2021, le niveau des transactions en 2021 s’est affaissé de 12% en collectif et de 23% en individuel par rapport à 2019.Autre information apportée par l’Observatoire de l’Agence Départementale d’Information sur le Logement de Paris (ADIL 75), un regain d’intérêt peut être constaté pour les communes périurbaines qui reste à confirmer en 2022.Aussi, le logement individuel en neuf ne semble pas connaître un regain d’intérêt chez les acheteurs notamment face à des volumes considérablement supérieurs dans l’ancien.Enfin, sur la base de cette étude, le prix moyen dans l’immobilier neuf ne devrait cesser d’augmenter en 2022 sur l’ensemble de l’Ile-de-France.Pour Hélène LE GALL, directrice des ADIL de Paris et du Val-de-Marne : "2022 ne s’annonce pas comme une année de franche reprise étant donné les incertitudes qui pèsent sur le contexte économique. Les taux bancaires remontent sous l’effet conjugué de l’inflation et de la croissance des taux d’emprunt de l’État. Or la facilité d’accès au crédit est primordial sur les marchés du logement, d’autant plus dans le neuf où les dispositifs d’incitation fiscale tendent à se resserrer. Par ailleurs, la forte augmentation des cours des matières premières aura très rapidement un effet sur le coût de la construction alors que les prix écartent déjà une grande partie des ménages qui souhaitent accéder à la propriété. A terme, qui pourra devenir propriétaire dans l’immobilier neuf en Ile-de-France ? Aucune solution ne pourra être apporté sans un travail concerté entre l’Etat, la Métropole du Grand Paris et la Région Ile-de-France face à ce défi majeur pour l’attractivité de la première région d’Europe."
Il y a 3 ans et 63 jours

Face à l'augmentation du prix du gaz naturel, le bouclier tarifaire est étendu à l'habitat collectif résidentiel

Le bouclier tarifaire avait été mis en place fin 2021 pour protéger les consommateurs résidentiels individuels de gaz contre la hausse des prix. Grâce à ce décret, le prix du gaz acquitté pour la saison de chauffe 2021-2022 sera ramené au tarif réglementé du mois d’octobre 2021, pour plus de 5 millions de foyers supplémentaires, en particulier en logement social et copropriété, ainsi que pour les résidences sociales et structures d’hébergement d’urgence et d’insertion.A la suite de l’annonce de l’extension du bouclier tarifaire, des réunions ont été organisées par les services de l’Etat avec les fournisseurs d’énergie et exploitants de chaufferies et réseaux de chaleur, et les acteurs du secteur du logement, pour concevoir un dispositif opérationnel permettant de répliquer le principe du bouclier tarifaire déjà existant pour les consommateurs individuels.Le décret créant ce dispositif a été signé par la ministre de la Transition écologique, le ministre chargé de l’Economie, des Finances et de la Relance, la ministre déléguée chargée du Logement et le ministre délégué chargé des comptes publics. Il a été publié le 10 avril.Ce décret permet ainsi la mise en place d’une aide visant à ramener le prix du gaz acquitté pour la saison de chauffe 2021-2022 au tarif réglementé du mois d’octobre 2021, pour plus de 5 millions de foyers supplémentaires, en particulier en logement social et copropriété, ainsi que pour les résidences sociales et structures d’hébergement d’urgence et d’insertion.L’aide sera versée par l’Etat aux fournisseurs d’énergie, qui devront en faire la demande et la répercuter à leurs clients. Une première demande d’aide, couvrant les mois de novembre 2021 à février 2022, pourra être faite avant le 1er mai, ou à défaut au plus tard avant le 1er juin si l’échéance du 1er mai ne peut être tenue. Une seconde demande, intégrale ou complémentaire et couvrant les mois de novembre 2021 à juin 2022 (déduction faite de la première aide déjà demandée le cas échéant), pourra être faite avant le 1er octobre 2022. L’aide sera versée par l’Etat dans les 30 jours suivant la demande faite par les fournisseurs. Ceux-ci devront la reverser intégralement à leurs clients au plus tard 30 jours après l’avoir reçue.
Il y a 3 ans et 63 jours

Un nouvel établissement médico-social durable à Béziers

CEMEX fournit du béton bas carbone pour ce nouveau bâtiment dont la conception respecte de nombreux critères de durabilité.Un emplacement qui a du sensCe nouvel établissement de 4 500 m² remplacera l’actuelle maison d’accueil spécialisée « Château Saint Pierre » située à Mont-Blanc. L’architecture de cette dernière ne répondait plus aux normes d’accessibilité nécessaires aux résidents, tandis que sa vétusté et sa surface disproportionnée étaient génératrices de coût de maintenance trop élevés. APF France handicap a choisi d’implanter le nouveau pôle médico-social « Résidence Belles Terres » dans la ZAC de Mazéran ayant pour vocation de regrouper des entreprises de pointe, notamment dans le secteur de la santé et du para-médical. Ce technoparc bénéficie par ailleurs d’une proximité avec les grands axes de transport facilitant ainsi l’accès au futur centre socio-médical pour le personnel et les visiteurs.Sous le signe de la concertationLa durabilité est un enjeu prégnant du projet. L’aspect social a été soutenu dès le début puisque les résidents et le personnel ont été consultés très en amont, durant les phases de programmation et de conception, au côté d’APF France handicap. L’intégration à proximité d’un domaine viticole, la forte attente d’un environnement paysager de qualité, le besoin de créer un lieu de vie ou l’on soigne et non pas l’inverse, ont également été pris en considération ainsi que la volonté de favoriser des matériaux de construction locaux et recyclés, d’optimiser la performance énergétique et de réduire les nuisances vis-à-vis des entreprises riveraines durant le chantier. Au total, CEMEX aura ainsi fourni 5 000 m3 de béton bas carbone Vertua® classic et 200 m3 de béton architectonique matricé effet pierre à l’entreprise Olacia en charge des travaux de gros œuvre. Ces livraisons se sont effectuées depuis les unités de production voisines de Béziers et Lignan. Les bétons Vertua®, commercialisés par CEMEX dès 2018, sont largement plébiscités par les maîtres d’ouvrage et d’œuvre car ils permettent de diminuer le bilan carbone du béton au-delà de 60% et, optionnellement, de compenser les émissions restantes.Béton bas carbone et outils respectueux de l’environnementEn plus de la qualité du béton bas carbone et des livraisons sur chantier, l’entreprise Olacia a apprécié la disponibilité des équipes CEMEX quant à leur présence sur le terrain, leur écoute et la cadence des livraisons depuis le début du chantier démarré en juin 2021, ainsi que la digitalisation du parcours client via l’outil CEMEX Go qui facilite la vie des acteurs de la construction - commandes de matériaux, suivi des livraisons en temps réel, gestion documentaire, … - le tout sans papier. Les équipes du secteur Occitanie Est sont fières de contribuer à ce projet socio-économique vertueux qui a par ailleurs été reconnu « Bâtiment Durable Occitanie, niveau argent » pour sa phase conception. Les travaux de gros œuvre sont prévus d’être terminés en juin prochain.
Il y a 3 ans et 63 jours

Le numéro d'avril d'AMC est paru

Au sommaire du numéro d'AMC qui vient de paraître (n°304-avril 2022) et disponible en format numérique: un événement sur le langage de l'architecture environnementale, un dossier sur le calcul du bilan carbone d'un bâtiment, des détails "pilotis" et une matériauthèque consacrée à la maquette […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 63 jours

Les solutions bancaires simplifiées pour la rénovation énergétique

Le ministère de la Transition Ecologique annonce une simplification de l'éco-PTZ et le déploiement du prêt avance rénovation le 11 avril 2022.
Il y a 3 ans et 63 jours

Spie batignolles génie civil, Ferrovial et Spie batignolles valérian remportent la partie souterraine ouest de la ligne 18 du Grand Paris express

Ce nouveau marché, d’un montant de 438 M€, correspond aux travaux de creusement de 6,7 km de tunnel entre la gare de Saint-Quentin Est et Versailles Chantiers, du génie civil de trois gares et huit ouvrages de service. La durée totale du marché est de 104 mois.Les travaux mobiliseront près de 350 personnes en pointe et le groupement s’engage à réserver au bénéfice des personnes, aujourd’hui éloignées de l’emploi, un volume d’heures de travail d’au moins 10% du nombre d’heures prévues. Ces mesures importantes d’accueil de futurs salariés, représenteront une quarantaine de personnes accompagnées sur la durée du projet et bénéficieront principalement au territoire des Yvelines.Le creusement des 6.7 km du tunnel s’effectuera avec un tunnelier à densité variable pour assurer le passage dans les sables de Fontainebleau, et à l’approche des lignes SNCF de Versailles Chantiers. Le groupement s’est fixé des objectifs ambitieux de valorisation des déblais et notamment de ces sables. Les structures des gares seront réalisées par talutage ou en parois moulées en fonction de leur profondeur. Sur les huit ouvrages annexes, quatre puits seront forés dans de grandes profondeurs allant de 50 à 62 m du fait du relief accidenté de la vallée de la Bièvre.Déjà engagé sur de nombreux chantiers du Grand Paris Express (ligne 14, ligne 15 et ligne 18), Spie batignolles génie civil renforce ainsi sa position d’acteur incontournable sur les projets d’infrastructures majeurs du territoire.Pour Benoît Moncade, Directeur général de Spie batignolles génie civil : « Nous nous félicitons de l’attribution de ce nouveau contrat, qui représente à ce jour notre plus gros marché en tant que mandataire sur le Grand Paris Express et marque un peu plus notre présence significative au cœur de ce programme majeur. C’est une belle reconnaissance du savoir-faire et de la maîtrise technique de nos équipes génie civil et terrassement mobilisées depuis 6 ans sur les chantiers du Grand Paris Express. »Pour Ignacio Gastón, CEO de Ferrovial Construction : « Nous sommes ravis de participer à ce projet majeur qu’est le Grand Paris Express car il s'agit d'une reconnaissance de notre grande expérience internationale dans la conception et la construction de ce type d'infrastructures urbaines dans des villes telles que Londres, Sydney et Madrid. »
Il y a 3 ans et 63 jours

Dossier détails : containers habités

    Pour les concepteurs intéressés par l'architecture modulaire, le recours aux containers maritimes constitue une gageure. Normalisés par le transport, les modules ne se déclinent qu'en 20 et 40 pieds de long (environ 6 et 12 m), pour une largeur de 2,44 m. L'économie de moyens que le principe engendre va de pair avec la rapidité de […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 63 jours

Le FILMM édite une nouvelle brochure : "RE 2020 vs RT 2012, ce qui change"

La Réglementation Environnementale - RE 2020 - est entrée en vigueur pour les logements neufs au 1er janvier 2022. Elle s'appliquera aux bâtiments de bureaux et d'enseignement au 1er juillet 2022 et aux autres bâtiments tertiaires un peu plus tard. Plus exigeante pour les bâtiments neufs pour lutter contre le changement climatique, elle met notamment l'accent sur l'isolation thermique des logements renforçant l'indicateur Bbio et introduit la notion d'analyse de cycle de vie.Sobriété énergétiqueLes besoins en énergie (indicateur Bbio) sont toujours calculés à l'aide d'une méthode de calcul au pas horaire mais les scénarios d'occupation ont été ajustés et les fichiers météorologiques actualisés. Le Bbio dépend de l'orientation du bâtiment (apports solaires), de sa forme (compacité), de l'étanchéité à l'air de son enveloppe et du niveau d'isolation. En repère, la brochure précise juridiquement dans un tableau, l'évolution des résistances thermiques en m², K/W à mettre en œuvre, entre les deux réglementations.Consommations d'énergiePour bien saisir les évolutions notables en matière de consommation d'énergie, la brochure fait le point sur les facteurs du calcul du Cep max. Le FILMM rappelle que dans la RT 2012, le calcul de la consommation des bâtiments inclut le chauffage, le refroidissement, l'eau chaude sanitaire, l'éclairage et les auxiliaires (pompes, ventilateurs, etc...). Alors que désormais, la RE 2020 y ajoute l'éclairage des parties communes, les consommations des parkings (éclairage et ventilation) ainsi que les consommations liées aux déplacements dans le bâtiment (ascenseurs, escaliers roulants).La RE 2020 a également ajouté un seuil pour les consommations d'énergie non renouvelables (Cep nr max) en KWhep/(m².an) et le calcul d'un nouvel indicateur sur l'impact des émissions de gaz à effet de serre de l'énergie consommée en kg CO² eq/(m².an).Confort d'étéC'est là le 3ème aspect de la brochure qui explique que la RE 2020 a complètement revu l'indicateur, devenu le nombre de degrés heures d'inconfort (DH), exprimé en heures. Il faut désormais identifier le nombre d'heures pendant lesquelles la température maximale de confort est dépassée, multiplié par l'écart de température (entre la température mesurée et la température maximale dite de confort). Cela prend donc en compte la durée de l'inconfort et l'intensité de l'inconfort et ce, sur l'ensemble de l'année.Changement climatiqueCe dernier volet explique le calcul de l'indicateur "IC Construction", une nouvelle notion intégrée à la RE 2020 même si, comme le rappelle le FILMM, la meilleure façon de lutter contre le changement climatique, c'est de consommer moins d'énergie.L'impact carbone des produits et équipements de la construction, "IC Construction", prend en compte l'ensemble des produits et équipements de la construction constituant le bâtiment ainsi que l'aménagement de la parcelle sur laquelle il est construit. À cela sont ajoutées les consommations liées au chantier (énergie et eau).Ce calcul se fait à partir des quantités de produit mises en œuvre et des déclarations environnementales de ces produits (FDES) que les membres du FILMM mettent largement à disposition dans la base INIES. La RE 2020 a fixé des seuils à ne pas dépasser sur ces 2 indicateurs et à déjà prévu leur renforcement tous les 3 ans (2025, 2028 et 2031).
Il y a 3 ans et 63 jours

Recyclage et la valorisation des déchets inertes du BTP – La CAPEB Normandie et l’UNICEM Normandie signent une convention de partenariat

 Mercredi 6 avril 2022 – Dans le cadre de la conférence économique CERC Normandie.  Dans le cadre des ambitions du gouvernement en matière d’économie circulaire et afin d’améliorer encore le niveau de valorisation des déchets du bâtiment en Normandie, l’UNICEM Normandie et la CAPEB Normandie s’engagent et signent une convention de partenariat.  Les actions menées […]
Il y a 3 ans et 63 jours

PLACO et MATHIS présentent le système de plancher préfabriqué AZURTEC et PLACO

  UNE INNOVATION POUR RELEVER LES DÉFIS DE LA CONSTRUCTION BOIS  Placo® ambitionne de devenir un industriel partenaire des nouveaux modes constructifs durables, en s’associant aux compétences d’autres acteurs majeurs de l’écosystème du bâtiment. Le pré-assemblage hors-site permet d’imaginer des systèmes innovants. Sa collaboration avec Mathis, constructeur leader d’ouvrages en bois, illustre sa volonté forte d’accompagner […]
Il y a 3 ans et 63 jours

Économie d’énergie : les thermostats intelligents Resideo, une solution pour maîtriser sa consommation

Paris, le 11 avril 2022 – Depuis de nombreux mois en France et en Europe, les prix de l’énergie sont en hausse. Cette inflation constante pousse les consommateurs à chercher différentes alternatives pour réduire leurs coûts et par la même occasion, diminuer leur empreinte carbone. Aujourd’hui une habitation avec des objets connectés répond à une […]
Il y a 3 ans et 63 jours

Façade de coursives pour 65 logements sur l'île de Nantes, par Berranger et Vincent

    Pour les concepteurs intéressés par l'architecture modulaire, le recours aux containers maritimes constitue une gageure. Normalisés par le transport, les modules ne se déclinent qu'en 20 et 40 pieds de long (environ 6 et 12 m), pour une largeur de 2,44 m. L'économie de moyens que le principe engendre va de pair avec la rapidité de […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 64 jours

Articonnex met les bouchées doubles

Economie circulaire -
Il y a 3 ans et 64 jours

Macron, visite vendredi 15 avril, en président, le chantier de Notre-Dame

"Cette visite sera l'occasion pour le chef de l'Etat de faire le point sur l'avancée du chantier et d'échanger avec les compagnons et les entreprises" qui s'emploient à la reconstruction du monument, a précisé l'Elysée.Pour le président-candidat, ce sera aussi l'occasion de montrer le travail entrepris à l'aune de sa promesse, lancée comme un défi juste après l'incendie, de reconstruire le monument en cinq ans.Depuis, l'objectif a été un peu revu à la baisse. Le chantier ne sera pas achevé en cinq ans mais le monument doit être rendu au culte pour le 16 avril 2024, jour où doit être de nouveau célébrée une première messe dans la nef.Campagne oblige, depuis trois semaines, l'agenda présidentiel officiel était quasiment vide. Il s'agira du premier déplacement d'Emmanuel Macron en tant que président de la République depuis le sommet de Bruxelles des 24 et 25 mars.Il s'était déjà rendu sur le toit de Notre-Dame en travaux il y a un an, le 15 avril 2021, pour les deux ans du chantier.
Il y a 3 ans et 64 jours

Loi Climat et Résilience : publication de l’ordonnance encadrant l’aménagement des territoires littoraux exposés au recul du trait de côte

Ce changement est certain et le simple endiguement ne permettra pas de le combattre dans la durée.Le recul du trait de côte impose la recomposition des territoires littoraux concernés en anticipant la relocalisation progressive des habitations et des activités affectées par l’érosion. A cet effet, dans le prolongement des premières dispositions votées dans la loi Climat et Résilience, des mesures complémentaires sont introduites par voie d’ordonnance, présentée en conseil des ministres ce mercredi 6 avril 2022.Pour sécuriser et encadrer les conditions d’acquisition par la puissance publique de biens exposés au recul du trait de côte, l’ordonnance définit tout d’abord une méthode à privilégier pour évaluer la valeur de ces biens, à horizon de 30 ans. La valeur d’un bien immobilier est en priorité déterminée par comparaison avec des biens similaires situés dans la même zone d’exposition à l’érosion. En l’absence de telles références, une décote proportionnelle à la durée de vie résiduelle prévisible peut être appliquée à la valeur d’un bien similaire situé hors zone d’exposition au recul du trait de côte.En outre, un nouveau type de bail réel est créé. Le bail réel d’adaptation à l’érosion côtière pourra être conclu entre un bailleur public et un preneur sur des ouvrages et bâtiments dans les zones exposées au recul du trait de côte, pour une durée comprise entre 12 et 99 ans. Cet outil comprend un mécanisme de résiliation anticipée, en fonction de l’évolution de l’érosion, si la sécurité des personnes et des biens ne peut plus être assurée. Afin de prendre en compte les conditions d’acquisition du bien et de pouvoir financer les opérations de renaturation à terme, le preneur s’acquitte d’un prix à la signature du bail et d’une redevance pendant sa durée. Le prix de cession du bail est par ailleurs encadré pour prévenir des situations où les droits réels seraient cédés à une valeur disproportionnée au regard de la durée de vie résiduelle du bien.Enfin, l’ordonnance ouvre la possibilité de déroger à certaines dispositions de la loi littoral, notamment l’obligation de construire en continuité de l’urbanisation existante, lorsque ces dispositions empêchent la mise en œuvre d’une opération de relocalisation de biens ou d’activités menacés dans des espaces moins soumis au recul du trait de côte.Ces dérogations ne peuvent intervenir que dans le cadre d’un contrat de projet partenarial d’aménagement (PPA) ayant pour objet la recomposition spatiale du territoire d’une commune exposée au recul du trait de côte. Elles sont uniquement mobilisables lorsque les constructions, ouvrages ou installations menacés par l’évolution du trait de côte ne peuvent pas être relocalisés au sein ou en continuité de l’urbanisation existante, après accord du représentant de l’Etat dans le département ou du ministre chargé de l’urbanisme, et après avis de la commission départementale de la nature, des paysages et des sites. Ces dérogations ne peuvent pas être accordées en cas d’atteinte excessive à l’environnement ou aux paysages.Ces contrats de PPA sont d’ores et déjà expérimentés sur trois territoires pilotes (Lacanau, Gouville-sur-mer, et Saint-Jean-de-Luz), qui bénéficient de 10M€ de France Relance.Quelques chiffres :20.000 km de littoral français dont 22% des zones côtières soumises à un phénomène d’érosion. Aucune région côtière française n’est épargnée par le phénomène du recul du trait de côte650 km de littoral en recul, dont 270 km à une vitesse moyenne de 50 cm par anUne densité de population sur les côtés actuellement 2,5 fois plus élevée que la moyenne nationale, avec une tendance d’évolution prévue à la hausse
Il y a 3 ans et 64 jours

Les énergies renouvelables se taillent la part du lion des ajouts de capacité dans le monde en 2021

De nouvelles données publiées par l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) montrent que les énergies renouvelables ont poursuivi leur progression et gagné du terrain malgré un contexte mondial difficile. À la fin 2021, la capacité mondiale de production d'énergies renouvelables s'élevait à 3 064 gigawatts (GW), soit une augmentation du stock de ces énergies de 9,1%.Bien que l'énergie hydroélectrique ait représenté la plus grande part de la capacité de production renouvelable totale dans le monde avec 1 230 GW, le rapport Renewable Capacity Statistics 2022 de l'IRENA montre que le solaire et l'éolien ont continué à dominer les nouvelles capacités de production. Ensemble, ces deux technologies ont contribué pour 88 % à la part de toutes les nouvelles capacités renouvelables en 2021. La capacité solaire est en tête avec une augmentation de 19%, suivie par l'énergie éolienne, qui a renforcé sa capacité de production de 13%. « Cette progression soutenue est un nouveau témoignage de la résilience des énergies renouvelables. Les excellentes performances enregistrées l'année dernière offrent aux pays la possibilité de bénéficier dans une encore plus large mesure des nombreux avantages socio-économiques des énergies renouvelables. Toutefois, malgré cette tendance mondiale encourageante, notre nouvelle publication Perspectives pour les transitions énergétiques mondiales montre que la transition énergétique est loin d'être suffisamment rapide ou généralisée pour éviter les conséquences désastreuses des changements climatiques », déclare Francesco La Camera, Directeur général de l'IRENA « La crise énergétique que nous traversons actuellement vient confirmer que le monde ne peut plus compter sur les combustibles fossiles pour répondre à sa demande énergétique. Les fonds versés dans les centrales électriques à combustibles fossiles produisent des résultats indésirables, tant pour la survie d'une nation que pour celle de la planète. Les énergies renouvelables devraient devenir la norme dans le monde entier. Nous devons mobiliser la volonté politique pour accélérer le Scenario 1,5 °C. » Pour atteindre les objectifs climatiques, les énergies renouvelables doivent croître à un rythme plus rapide que la demande énergétique. Or, malgré une augmentation significative de l'utilisation des énergies renouvelables pour la production d'électricité, de nombreux pays n'ont pas encore atteint ce stade.En 2021, 60 % des nouvelles capacités ont été ajoutées en Asie, portant le total des capacités renouvelables à 1,46 térawatt (TW). La Chine a été le principal contributeur, avec un ajout de 121 GW à la nouvelle capacité du continent. L'Europe et l'Amérique du Nord, les États-Unis d'Amérique en tête, occupent respectivement la deuxième et la troisième place, avec un ajout de 39 GW pour la première et 38 GW pour la seconde. La capacité d'énergie renouvelable a augmenté de 3,9 % en Afrique et de 3,3 % en Amérique centrale et dans les Caraïbes. Malgré une croissance régulière, le rythme observé dans ces deux régions est beaucoup plus lent que la moyenne mondiale, ce qui souligne le besoin de renforcer la coopération internationale en vue d'optimiser les marchés de l'électricité et de stimuler les investissements massifs dans ces régions.Principales tendances par technologie :Énergie hydroélectrique : sa croissance a augmenté de façon continue en 2021, la mise en service de plusieurs grands projets ayant été reportée à cette année.Énergie éolienne : en 2021, son expansion s'est poursuivie, mais à un rythme plus lent qu'en 2020. (+93 GW contre +111 GW l'année précédente).Énergie solaire : avec l'augmentation des nouvelles capacités dans toutes les grandes régions du monde au cours des années précédentes, la capacité solaire mondiale totale dépasse aujourd'hui l'énergie éolienne.Bioénergie : l'expansion nette des capacités s'est accélérée en 2021 (+10,3 GW contre +9,1 GW en 2020).Énergie géothermique : la capacité géothermique a enregistré une croissance exceptionnelle en 2021, avec un ajout de 1,6 GW.Électricité hors réseau : la capacité hors réseau a augmenté de 466 MW en 2021 (+4 %) pour atteindre 11,2 GW.
Il y a 3 ans et 64 jours

Simpson Strong-Tie a acquis ETANCO

Simpson Strong-Tie, leader de l’industrie des connecteurs structurels et des solutions d’assemblage, a annoncé le succès de son acquisition du groupe ETANCO, concepteur et fabricant de premier plan de fixations et systèmes pour l’enveloppe du bâtiment pour le marché européen de la construction. « Notre objectif est de combiner les entreprises de manière à tirer parti de nos forces respectives sur le marché, au service de nos clients », a déclaré Michael Andersen, vice-président des opérations européennes de Simpson Strong-Tie. « Les clients du groupe ETANCO et de Simpson Strong-Tie peuvent s’attendre au même niveau de qualité de produits et de services qu’ils ont reçu par le passé. »
Il y a 3 ans et 64 jours

Un récif artificiel en impression 3D béton signé XtreeE

XtreeE a contribué à l’élaboration d’un récif artificiel fabriqué avec l’impression 3D en béton. [©Greg Lecoeur / DEEU] Octobre 2021, baie de Monaco. Un récif artificiel fabriqué en béton imprimé 3D vient d’être immergé. XtreeE est à l’origine de la fabrication de cet habitat pour la faune sous-marine. Mais revenons à la genèse du projet. Tout a commencé au printemps 2021. Le Prince Albert II de Monaco a fait appel à son ami Pierre Frolla, recordman du monde d’apnée et défenseur de la biodiversité. Il lui a demandé de réfléchir à la création d’un récif artificiel en hommage à l’océanaute Albert Falco, second du commandant Jacques-Yves Cousteau. Pierre Frolla a alors réalisé  des esquisses de récifs en forme pyramidale. Des éléments qui mesureraient environ 3 m de côté pour 3 m de haut. Puis, la Direction de l’environnement de la principauté, maître d’ouvrage de l’opération, s’est mise en quête d’une solution technique capable de respecter la date de mise à l’eau prévue pour octobre 2021. Le choix s’est alors tourné vers l’industriel spécialiste en impression 3D, XtreeE. XtreeE comme solution « Nous avons déjà partagé une expérience avec XtreeE, souligne Raphaël Simonet, chef de division du patrimoine naturel à la Direction de l’environnement de Monaco. En 2020, nous avions réalisé une vingtaine de panneaux de béton imprimé en 3D. » Avant de lancer la fabrication du récif, XtreeE et la Direction de l’environnement ont décidé de le séparer en sept modules indépendants. Lire aussi : L’incontournable XTreeE Cela, pour faciliter le transport et éviter la mobilisation d’un coûteux convoi exceptionnel. « Une fois les esquisses saisies, nous les avons retranscrites en modèles géométriques, indique Victor De Bono, ingénieur-architecte chez XtreeE. Après quelques allers-retours avec Pierre Frolla, nous avons traduit ces modules en parcours pour le robot d’impression. » La fabrication a été lancée en septembre 2021. Le système d’impression 3D a permis de concevoir jusqu’à deux modules par jour. Les avantages de l’impression 3D en béton La technologie XtreeE offre de nombreux avantages, en termes de rapidité de fabrication et de réduction des coûts. Mais elle assure aussi la protection de la faune sous-marine. En effet, le béton ne produit aucune interaction chimique ou physique avec son environnement. « Il s’agit d’un matériau spécialement formulé pour l’impression 3D par Lafarge France, » ajoute Victor De Bono. Non poreux, il reste aussi imperméable à l’eau, aucun échange n’intervient avec le milieu marin. L’utilisation de l’impression en béton revient ainsi à contrôler la rhéologie1 de la matière. C’est-à-dire sa capacité à couler, mais aussi à s’assembler de manière homogène avec la couche précédente. De plus, la rugosité du béton imprimé 3D permet aux micro-organismes et aux algues, entre autres, de s’installer. Déclenchant ainsi un cycle biologique. Enfin, grâce au procédé XtreeE, la liberté est totale pour créer des structures adaptées aux diverses espèces. Le récif offre alors un nombre important de cavités de tailles et de profondeurs différentes. Dont une petite grotte de 1,60 m de haut et 0,60 m de large pour accueillir des céphalopodes ou encore des crustacés. 1L’étude de l’écoulement de liquides ou de matériaux visqueux.
Il y a 3 ans et 64 jours

Village des athlètes : le secteur E, vitrine pour Eiffage et Nexity

JEUX OLYMPIQUES. Les équipes d'Eiffage ont organisé une visite du secteur E du futur Village des athlètes, à Saint-Ouen (93), qui doit être une vitrine pour le constructeur promoteur, associé à Nexity pour cette opération.
Il y a 3 ans et 64 jours

Claude Le Quéré, nouvelle présidente de l’AFGC

Claude Le Quéré, nouvelle présidente de l’AFGC. [©AFGC] Le 5 avril dernier, le conseil d’administration de l’AFGC a nommé Claude Le Quéré à la présidence de l’association. Ainsi, elle succède à Bruno Godart, en poste depuis 8 ans, qui a souhaité passer le relai. Avec ses nouvelles fonctions, Claude Le Quéré souhaite faire valoir les compétences des ingénieurs et des constructeurs français au niveau international. Ella a aussi pour ambition d’accroître la visibilité de l’AFGC auprès des jeunes. « Passionnée de génie civil et de belles structures, je regrette que le grand public et nos jeunes connaissent aussi peu la beauté de cet art et la variété des métiers qu’il permet d’exercer », témoigne Claude Le Quéré. Par ailleurs, l’AFGC a su traverser la crise et garder son ancrage territorial. Ainsi, rester proche des délégations régionales lui permet d’organiser chaque année de nombreuses manifestations. Cela contribue à créer une relation durable avec les membres et à nouer des contacts professionnels pérennes. Son parcours Ancienne élève de l’Ecole polytechnique et de l’Ecole des ponts et chaussées, Claude Le Quéré a commencé sa carrière, en 2006, au Setra (aujourd’hui, le Cerema). Elle a ensuite rejoint Egis en 2010 où elle est actuellement directrice des ouvrages d’art. Membre de l’AFGC depuis le début de sa carrière, Claude Le Quéré a été tout d’abord élue au Conseil scientifique et technique. Puis, membre d’un groupe de travail, de la Délégation Ile-de-France. Et enfin, au conseil d’administration.
Il y a 3 ans et 64 jours

Le documentaire “Solving Zero” met à l’honneur Ecocem

Présentation du documentaire “Solving zero” à l’ambassade d’Irlande par Conor O’Riain, directeur général Europe et France d’Ecocem. [©Ecocem] En 2021, Ecocem, spécialiste européen des solutions liants bas carbone, avait annoncé la finalisation d’un investissement de 22,5 M€ réalisé par Breakthrough Energy Ventures (BEV) et Breakthrough Energy Ventures-Europe (BEV-E). Deux fonds créés par Bill Gates, qui ont ainsi rejoint le conseil d’administration du groupe industriel. « Ces fonds ont passé beaucoup de temps à vérifier notre travail. Des experts des industries cimentaires se sont déplacés pour nous “auditer” », se souvient Conor O’Riain, directeur général Europe et France d’Ecocem. Efforts de décarbonation Lorsque la plate-forme Wondrium a eu le projet de réaliser une série documentaire inspirée du best-seller de Bill Gates, “Solving Zero”, elle s’est rapporchée d’Ecocem comme représentant du secteur de la construction. « Une reconnaissance internationale pour nous ! Ecocem est très honoré d’être présent dans ce documentaire très pédagogique et engagé. Et de voir les solutions du groupe plébiscitées. Après l’eau, le ciment est la substance la plus utilisée dans le monde. Et cette série démontre le rôle dynamique mené par son industrie en vue de limiter son impact environnemental », déclareConor O’Riain. Dans ce contexte, Ecocem est le seul représentant de la construction pour illustrer les efforts de décarbonation, aux côtés d’acteurs de l’agro-alimentaire, de l’alimentaire, de l’énergie et du transport. « Cela prouve l’importance de notre entreprise pionnière et leader sur le marché des liants bas carbone à base de laitier moulu. » R&D : 15 % de l’effectif d’Ecocem Ecocem est le seul représentant de la construction pour illustrer les efforts de décarbonation, aux côtés d’acteurs de l’agro-alimentaire, de l’alimentaire, de l’énergie et du transport. [©Ecocem] « Nous avons passé 3 j avec l’équipe de Wondrium à Dunkerque et sur plusieurs chantiers du Grand Paris où sont utilisées nos solutions. Et une journée, au laboratoire “Matériaux cimentaires éco-efficaces” (MC²E), qui est commun à l’Ens Paris-Saclay, au CNRS et à notre groupe. Ce laboratoire apparaît dans le documentaire. Nous sommes aussi partenaires de l’Insa de Toulouse et du LMDC. Nous possédons un “Centre d’excellence”, un laboratoire 100 % Ecocem Group, basé à Champlan, au Sud de Paris. Sur ces 3 sites de Saclay, de Toulouse et de Champlan, 24 personnes sont dédiées à la R&D, dont 21 doctorants. Elles représentent 15 % de notre effectif groupe », détaille Conor O’Riain. Pour un large public La série prévoit un numéro pilote et dix épisodes, qui recueilleront les réflexions et les pistes possibles émises par des scientifiques. Ainsi que les propositions d’industriels pour atteindre ou s’approcher du zéro carbone. « Ces projets mettent en évidence des solutions intéressantes, qui, je l’espère, inciteront les gens à réfléchir à la question et à ce que chacun d’entre nous peut apporter pour lutter contre les changements climatiques », déclare Bill Gates. L’épisode pilote aborde les enjeux majeurs de la construction et explique les incidences des solutions Ecocem. Ceci, en termes de diminution d’empreinte carbone, au travers des exemples concrets. Tels que le Grand Paris ou le village olympique 2024. « Réinventer l’usage des matériaux traditionnels, tels que le ciment, est un des objectifs majeurs du groupe impliqué depuis une vingtaine d’années dans cette démarche, conclut Conor O’Riain. Ce documentaire s’adresse à tout le monde. Il va permettre à un plus large public de prendre conscience de la nécessité de la décarbonation du secteur. » Lien de la plate-forme de diffusion ici 
Il y a 3 ans et 64 jours

L’académie Testo obtient la certification QUALIOPI

Créée en 2006, et reconnue par les professionnels pour la pertinence de ses formations en thermographie infrarouge, prise de mesure, analyse de combustion…, l’Académie Testo vient d’obtenir la certification QUALIOPI par ICPF. Elle atteste de la qualité des prestations proposées par l’entreprise, leader des appareils de mesure, et permet aux stagiaires de bénéficier de la prise en charge de leur formation par les OPCO (Opérateurs de Compétences). L’Académie Testo : des formations techniques certifiantes La mesure en combustion, l’aéraulique et la thermographique sont des spécialités qui nécessitent un savoir-faire pour optimiser l’utilisation des appareils de mesure. Basé à Forbach, le centre de formation L’Académie Testo est destiné aux professionnels (bureaux d’études, installateurs chauffagistes et frigoristes, techniciens de maintenance, exploitants, …) souhaitant acquérir des compétences techniques nouvelles dans ces domaines. Alliant théorie et pratique, les sessions intra-entreprises, d’une durée d’un jour, sont structurées et organisées par spécialités : • Thermographie infrarouge appliquée au bâtiment, • Thermographie infrarouge appliquée à l’industrie, • Analyse de combustion afin d’acquérir les protocoles de prises de mesure et analyser les résultats, • Mesure aéraulique, • Mesure d’émission pour comprendre le fonctionnement d’un analyseur de combustion, • Minimiser le risque de propagation de la COVID. Les professionnels peuvent découvrir l’ensemble des offres de formation de l’Académie Testo sur le site https://www.testo.com/
Il y a 3 ans et 64 jours

De nombreux jeunes architectes partent travailler à l'étranger, selon l'Insa Strasbourg

TRAVAIL. L'école d'architecture Insa Starsbourg a interrogé, comme tous les cinq ans, ses anciens étudiants sur leur vie professionnelle. Le parcours des diplômés de ces dernières promotions laisse apparaître une évolution du métier. A peine plus de la moitié sont en CDI.
Il y a 3 ans et 64 jours

Le projet “K6” d’Eqiom et Air Liquide reçoit 150 M€

K6 vise à capter près de 8 Mt de CO2 sur les dix premières années d’exploitation de la cimenterie Eqiom de Lumbres, “nouvelle version”, grâce à la mise en œuvre de technologies innovantes. [©Eqiom] Eqiom et Air Liquide se sont associés dans le cadre du projet baptisé “K6”. Son objectif : transformer la cimenterie Eqiom de Lumbres, en l’une des premières unités d’Europe neutres en carbone. Ce projet a été sélectionné par le Fonds européen d’innovation, qui finance les plus grands programmes mondiaux de promotion des technologies innovantes bas carbone. K6 est l’un des sept projets de dimension industrielle à avoir été sélectionné pour un financement par la Commission européenne dans le cadre de l’édition 2021 de son fonds. Et ce, parmi plus de 300 candidatures à subventions. L’obtention d’un financement de 150 M€ marque une étape essentielle pour la mise en œuvre de ce projet. K6 doit aussi faire l’objet de fonds publics additionnels, d’approbations réglementaires et d’évaluations de faisabilité internes avant son lancement. Qu’est-ce que K6 ? K6 vise à capter près de 8 Mt de CO2 sur les dix premières années d’exploitation de la cimenterie Eqiom de Lumbres, “nouvelle version”, grâce à la mise en œuvre de technologies innovantes. Il doit voir la mise en place d’un four à oxy-combustion, le premier de son genre, en grande partie alimenté par des combustibles alternatifs. Air Liquide fournit pour sa part de l’oxygène pour alimenter le processus de production. Par ailleurs, le spécialiste français des gaz industriels s’appuie sur sa technologie propriétaire Cryocap Oxy pour capter, puis liquéfier les émissions de CO2. Une fois purifié et liquéfié, le CO2 capté à la cimenterie de Lumbres pourrait être transporté par bateau vers des sites de stockage permanent actuellement en cours de développement en mer du Nord. Ou serait utilisé dans des matériaux de construction. La réalisation de ce projet à proximité immédiate du port de Dunkerque pourrait aussi contribuer au développement d’un nouvel éco-système de captage et de stockage du CO2 (CCS) en Europe. En effet, le projet K6 constitue une étape clef dans le développement du PCI (Projet d’intérêt commun) D’Artagnan de Dunkerque. Ce dernier va permettre de créer une plate-forme multimodale d’exportation de CO2 à partir du bassin industriel de Dunkerque et de sa zone élargie.
Il y a 3 ans et 64 jours

L’artisanat du bâtiment en danger selon une enquête de la CAPEB en région

C’est le triste constat qui résulte de l’enquête flash conduite par les CAPEB d’Auvergne-Rhône-Alpes auprès de leurs adhérents et c’est pourquoi la CAPEB est plus que jamais mobilisée pour demander des solutions d’urgence concrètes pour sauver l’artisanat.Des remontées inquiétantes du terrainLes entreprises artisanales du Bâtiment sont confrontées depuis la crise sanitaire à des augmentations de prix ininterrompues et imprévisibles et se heurtent à des difficultés d’approvisionnement depuis un an et demi et qui s’aggravent. S’y est ajoutée la hausse des prix de l’énergie depuis la fin 2021 qui s’accentue considérablement avec la guerre en Ukraine. Désormais, un certain nombre d’enseignes et d’industriels se refusent à s’engager sur les prix et les délais de livraison. Une situation brutale et particulièrement anxiogène pour les entreprises artisanales du Bâtiment qui se vérifient dans leurs réponses à l’enquête flash qu’ont conduite les CAPEB départementales auprès de leurs adhérents. C’est particulièrement le cas pour les plus petites entreprises :31% des entreprises ne pourront pas faire face aux difficultés engendrées par le contexte économique et géopolitique au-delà d’un an.18% seulement des entreprises sans salariés et 17% des entreprises entre 1 et 5 salariés pensent pouvoir résister 2 ans et plus.56% des artisans voient leur moral impacté contre 27% des entreprises de plus de 20 salariés.Des mesures insuffisantes du gouvernement – Les solutions de la CAPEBLe Ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, s’était engagé à intégrer le Bâtiment dans le plan de résilience du gouvernement. La CAPEB a pu constater que ce n’était pas le cas.Même si certaines mesures vont dans le bon sens, comme appeler une nouvelle fois les acheteurs publics à faire jouer la clause de l’imprévisibilité dans les contrats et à ne pas appliquer les pénalités de retard pour un chantier du fait de difficultés d’approvisionnement liées à la guerre en Ukraine, elles sont loin d’être suffisantes.En effet, les marchés publics ne représentent que 17 % des marchés des entreprises artisanales et faire jouer la clause d’imprévisibilité est tout sauf simple. Enfin, aucune disposition n’est prévue pour les marchés signés avec les particuliers qui représentent l’essentiel des marchés des entreprises artisanales du bâtiment.La CAPEB propose 8 mesures très concrètesVeiller à ce que les industriels et les négoces ou distributeurs participent activement au comité de crise du BTP mis en place par le gouvernement, intègrent dans leurs prix le juste coût de la décarbonation et assument les risques d’augmentation des prix avec la filière dans le cadre d’une charte de solidarité ;Exiger des fournisseurs qu’ils préviennent au moins 3 mois à l’avance les entreprises du Bâtiment de toute augmentation des prix et qu’ils garantissent leur stabilité durant au minimum trois mois. En effet, les tendances pratiquées actuellement imposent parfois un paiement au comptant et des validités des prix de 24h ou 48h alors que le délai de rétractation des clients est de 14 jours ;Rembourser, comme pour le secteur agricole et le secteur des Travaux Publics, une partie de la TICPE pour les carburants utilisés pour des véhicules professionnels ;Imposer aux banques et aux assureurs crédits qu’ils ne dégradent pas la cotation des entreprises dès lors qu’elles décident de reporter le remboursement de leur PGE ;Accélérer la refonte du calcul des différents index BT et leurs publications dans des délais rapides au regard de la crise actuelle ;Appliquer une TVA à taux réduit de 5,5% pour l’ensemble des travaux de rénovation ;Marchés publics. Rendre enfin systématique, au profit des entreprises, l’application de pénalités en cas de retard de paiement du maître d’ouvrage ;Mettre en place un mécanisme de bouclier tarifaire du coût de l’énergie aux niveaux européen et français pour disposer d’une production industrielle à prix maîtrisé et permettre la continuité des politiques publiques de rénovation énergétique et environnementale, directement menacées par la flambée des coûts des matériaux. Quelques-unes de ces propositions ont d’ores et déjà été entendues. Ainsi, le communiqué de presse du ministère de l’Economie du 29 mars prévoit notamment la révision accélérée des index à partir de mai 2022, la mise en place d’une aide temporaire pour les entreprises de TP, l’organisation d’un comité de crise BTP départemental et la publication d’une circulaire aux maîtres d’ouvrage publics sur la révision des prix.Ces mesures restent cependant insuffisantes au regard de la situation et la CAPEB poursuit donc sa mobilisation.La CAPEB mobiliséePartout en France, les CAPEB départementales et régionales sollicitent leur préfet pour qu’il organise une table ronde avec l’ensemble des acteurs du Bâtiment, industriels et négociants, afin de rechercher les termes d’une « solidarité économique » permettant de limiter les hausses de prix et d’éliminer les comportements anormaux. Des rendez-vous sont également pris avec leurs députés et sénateurs.De nombreuses communications auprès des médias (presse, radio et TV) sont également organisées aussi bien au niveau national que dans les départements. C’est particulièrement le cas dans notre région.La mobilisation de la CAPEB commence à porter ses fruits. L’enseigne de distribution Saint-Gobain s’est récemment engagée par écrit auprès du Président national de la CAPEB pour encadrer la hausse des prix avec des propositions concrètes comme celle de l’autoriser seulement le premier de chaque mois. A destination des entreprises, les CAPEB départementales leur apporte tout l’accompagnement et le soutien dont elles ont besoin au quotidien. Une fiche pratique a été élaborée à cet effet pour les aider à mieux résister à la crise.Pour Dominique Guiseppin, Chef d’entreprise artisanale de peinture (Savoie), Président de la CAPEB Auvergne-Rhône-Alpes : « La situation est particulièrement inquiétante pour nos entreprises, c’est leur rentabilité et à terme la pérennité de l’artisanat qui est en jeu. Si l’activité ne manque pas pour l’instant, nous souffrons d’un manque de lisibilité sur nos approvisionnements qui ralentit considérablement nos chantiers et perturbe grandement leur organisation, sans compter l’augmentation des coûts qui a un impact très lourd sur nos marges. L’enquête flash que nous avons conduite avec les CAPEB départementales le montre bien, seulement 18 % des entreprises artisanales répercutent la hausse des prix sur leurs clients.À l’heure des élections présidentielle et législatives, il est grand temps que nos dirigeants entendent enfin la voix des entreprises artisanales et leur proposent des mesures adaptées. »
Il y a 3 ans et 64 jours

La gamme Usystem Roof s’élargit avec deux nouveaux panneaux de toiture en fibre de bois pour une isolation éco-responsable

Alors que le secteur du bâtiment est grand consommateur de matières premières et d’énergie et à l’heure de sa décarbonation imposée par la RE2020, la fibre de bois, matériau renouvelable, est plébiscitée par les professionnels pour les chantiers d’isolation éco-responsables. Pour qu’isolation thermique, confort d’été et construction durable ne fassent qu’un, Unilin Insulation étoffe sa gamme de panneaux de toiture Usystem Roof avec de la fibre de bois. Deux nouveaux produits voient ainsi le jour : Usystem Roof OS Comfort Natural et Usystem Roof DS Natural Wool.Des matériaux durables au service de l’efficacité     Les nouveaux panneaux Usystem Roof d’Unilin Insulation conviennent particulièrement à l’isolation par l’extérieur des rampants de toiture en bio-construction, en neuf comme en rénovation. Ils offrent tous les avantages de deux matériaux durables (fibre de bois et polyuréthane pour Usystem Roof OS Comfort Natural et fibre de bois pour Usystem Roof DS Natural Wool) caractérisés par des cycles de vie étendus et une réduction des émissions de gaz à effet de serre des bâtiments. USYSTEM Roof OS Comfort Natural Usystem Roof OS Comfort Natural est un panneau de toiture bi-matière 3 en 1 assurant à la fois le support de couverture, l’isolation thermique et la finition intérieure du plafond. Il permet de traiter toutes les configurations de manière traditionnelle : découpes noues et arêtiers, débords de toiture, fenêtres de toit, passage de cheminées, … Composé de mousse de polyuréthane, de fibre de bois (60 mm) et d’un écran de sous-toiture HPV intégré, Usystem Roof OS Comfort Natural offre une isolation thermique performante, tout en préservant le toit des risques d’humidité, pour un confort en toute saison : gain de chaleur en hiver et maintien de la fraîcheur en été ! L’écran de sous-toiture permet un jointement parfait sans bande ni manipulation complémentaire grâce aux recouvrements adhésifs intégrés pour un temps de pose réduit et une sécurité optimale des couvreurs. USYSTEM Roof DS Natural Wool Panneau sandwich chevronné à base de fibre de bois (densité de 50 kg/m3) et pare-vapeur intégré, Usystem Roof DS Natural Wool est une solution constructive bio-sourcée assurant l’isolation thermique et acoustique, le confort d’été et la ventilation du bâtiment. Autorisant de grands entraxes entre pannes, il convient à toutes les formes de toiture en pente et il est aussi facile à mettre en œuvre que le caisson chevronné Usystem Roof OS Comfort Natural. Il existe en version non lattée pour la pose parallèle à l’égout. Des finitions intérieures pour tous les goûts Pour répondre à toutes les envies en matière de décoration intérieure, les solutions Usystem Roof avec fibre de bois d’Unilin Insulation sont proposées dans une large gamme de finitions pour les plafonds, de la finition semi-finie à la finition complète : • jusqu’à 12 finitions semi-finies personnalisables, • 2 décors synthétiques texturés pour une esthétique contemporaine (Deco White et Deco Beige), • 4 finitions bois véritable, brut, flotté, cérusé pour un intérieur authentique. Moins carbonés, les nouveaux panneaux de toiture avec fibre de bois Usystem Roof répondent aux exigences de la réglementation RE2020, contribuant à la réduction des émissions sur le cycle de vie du bâtiment. Ils sont par ailleurs éligibles à MaPrimeRénov’. Enfin, ils sont certifiés ACERMI, gage de qualité. http://www.unilininsulation.fr/
Il y a 3 ans et 64 jours

Présidentielle : l'U2P salue le bilan de Macron et s'inquiète du programme de Le Pen

"À l'heure du choix, on ne pourra omettre l'importance et la pertinence des mesures prises sous le quinquennat d'Emmanuel Macron pour accompagner les entreprises dans la crise sanitaire", affirme dans un communiqué la troisième organisation patronale représentative, citant notamment les mesures d'urgence comme les prêts garantis par l'Etat (PGE) et le fonds de solidarité.Elle salue également le plan pour les indépendants adopté par la majorité en place, qui a notamment élargi la protection du patrimoine personnel du chef d'entreprise en cas de défaillance.Pour la candidate du Rassemblement national, l'U2P, qui rassemble 3 millions d'adhérents, salue "la place accordée (...) aux plus petites entreprises dans son programme". Mais elle prévient : "il y a lieu de s'inquiéter quant au sérieux budgétaire" de son programme "et des risques encourus par l'économie française".L'organisation appelle surtout ses adhérents à "faire valoir leurs priorités de chefs d'entreprise" dans leur vote du 24 avril, et a demandé en ce sens aux deux candidats de "préciser leurs engagements en direction des petites entreprises".Au moment où le président-candidat entend relancer une réforme des retraites, il doit exprimer "une position claire quand à sa reconnaissance du rôle des partenaires sociaux et de la démocratie sociale", estime notamment l'U2P.L'organisation patronale souhaite en particulier que les petites entreprises soient mieux représentées dans les branches professionnelles, via une réforme du calcul de cette représentativité, et la poursuite du soutien à l'apprentissage.
Il y a 3 ans et 64 jours

Comment Sonergia adapte sa stratégie au marché baissier des CEE

STRATÉGIE. Comment un délégataire en certificat d'économie d'énergie (CEE) pourrait-il continuer à financer de nombreux travaux, dans un contexte de début de cinquième période atone ? Franck Annamayer, président de Sonergia, détaille auprès de Batiactu la stratégie pour laquelle il a opté.
Il y a 3 ans et 64 jours

Vinci bientôt actionnaire majoritaire de la société du Pont de la Confédération au Canada

Vinci Highways, filiale de Vinci Concessions va porter sa participation dans StraitCrossingDevelopmentInc (SCDI), la société concessionnaire du Pont de la Confédération au Canada jusqu’en 2032, à 85%.
Il y a 3 ans et 64 jours

L’ÉCLAIRAGE LED INTELLIGENT D’EAS SOLUTIONS ENCORE PLUS RENTABLE FACE A LA FLAMBÉE DES PRIX DE L’ÉLECTRICITÉ !

Avec la flambée des prix de l’électricité, il est crucial pour les entreprises de baisser drastiquement leur consommation d’énergie. La rénovation d’un ancien éclairage énergivore par de nouvelles solutions d’éclairage LED intelligent est un moyen sûr, rapide et efficace d’y parvenir. Instantanément, l’éclairage LED connecté permet d’économiser entre 75 et 95 % sur les dépenses énergétiques et apporte une meilleure efficacité lumineuse ainsi qu’un confort visuel accru. Comme l’explique Didier Petit-Brisson, CEO d’EAS SOLUTIONS, « l’éclairage représente la solution la plus directe à mettre en place pour économiser immédiatement l’énergie. Concernant l’industrie et la logistique par exemple, c’est l’un des seuls postes dont l’optimisation n’a pas d’incidences sur la fabrication et le stockage. Chaque luminaire LED est entièrement paramétrable et modifiable une fois installé. Doté d’intelligence embarquée avec des capteurs de mouvements et de luminosité, il éclaire à bon escient, uniquement où cela est nécessaire. Si un luminaire fonctionne 90% du temps à 10% de sa puissance, on arrive à une consommation extrêmement basse, de l’ordre de 5W à 15W par luminaire ». Les possibilités sont infinies. L’éclairage intelligent contribue à augmenter l’efficacité, la productivité et la sécurité du site, sans oublier le bien-être de ses occupants en asservissant la solution à la lumière naturelle. Il prolonge également la durée de vie du luminaire à plus de 200.000 heures, permettant à EAS Solutions d’offrir des garanties commerciales allant de 5 à 10 ans. Depuis 13 ans, EAS SOLUTIONS a déjà permis à plus de 1000 clients d’économiser 395 millions de kWh et d’éviter le rejet dans l’atmosphère de 141 410 tonnes de C02. L’OFFRE LOCATIVE, UNE SOLUTION ADAPTÉE :  Face à la hausse du prix du kWh, EAS SOLUTIONS propose de « dématérialiser » l’éclairage avec des solutions locatives innovantes d’éclairage LED intelligent. L’offre locative jusqu’à 60 mois « Solution Lumière Nouvelle Génération » d’EAS SOLUTIONS porte majoritairement sur des solutions d’éclairage garanties 10 ans avec des durées de vie de plus 200.000 heures. Pour l’entreprise, les avantages sont immédiats comme le démontre l’étude de cas ci-dessous : Relamping d’un entrepôt logistique d’une superficie de 45 000 m2 avec l’offre locative 60 mois d’EAS SOLUTIONS : L’entrepôt logistique est en activité 6 jours par semaine et 24h/24, toute l’année. Initialement, il était équipé de 542 luminaires Sodium 460 W y compris le Ballast (soit une puissance totale de 249,32 kW) qui nécessitaient une maintenance dont le coût était de 6.500 € H.T /an. Le relamping de l’entrepôt qui améliore considérablement la qualité de l’éclairage, comprend 542 luminaires LED intelligents 147 W dont le coût total s’élève à 287.000 € H.T. L’installation de la nouvelle solution d’éclairage LED intelligent avec capteurs de présence et de luminosité, génère instantanément de très importantes économies qui se traduisent par : –             une diminution de la facture d’électricité de 270.345 €/an, en se basant sur un prix du kWh de 0,15 €, soit une économie de 22.529 € H.T/mois. –             la suppression de la maintenance annuelle de 6.500 € H.T /an. Avec l’offre locative sur 60 mois « Solution Lumière Nouvelle Génération » d’EAS SOLUTIONS, les mensualités du relamping s’élèvent à 5.370,73 € H.T, entraînant une économie nette de 17.158, 27€ H.T/mois sur la consommation et de 542 € H.T/mois sur la maintenance. EAS Solutions donne la possibilité pour une mensualité supplémentaire à la fin du contrat de location de devenir propriétaire de l’installation qui est encore garantie 5 ans. Sur 5 ans, l’économie globale réalisée s’élève à 1.056.655 € H.T et, sur 10 ans, l’économie globale réalisée (économies d’énergie et de maintenance) atteint 2.440.880 € H.T. Sans l’offre locative, l’investissement de cette nouvelle installation serait amorti en 13 mois.   A propos d’EAS SOLUTIONS EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis 2009, innove auprès de grands groupes de l’industrie, du tertiaire, de la distribution et de l’agroalimentaire avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligents. Pour répondre aux besoins de sa clientèle, EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 3 ans et 64 jours

Le groupement Actibaie affiche de bonnes performances, mais les incertitudes persistent

La croissance du chiffre d’affaires et les carnets de commande bien remplis rassurent les adhérents du groupement, qui ont réalisé une bonne année 2021. Et malgré une conjoncture incertaine, Actibaie prédit une bonne activité du secteur en 2022, et fait valoir ses projets.
Il y a 3 ans et 64 jours

Trois ans après l'incendie, Notre-Dame de Paris retrouve progressivement sa beauté

"Le dépoussiérage et le nettoyage intérieurs des voûtes, des murs et du sol" qui devrait s'achever sous peu, tout comme la préparation des voûtes à leur reconstruction, "ont redonné à la cathédrale sa blancheur originelle", se félicite l'établissement public chargé du chantier de restauration, à quelques jours du 3e anniversaire de l'incendie qui aura lieu vendredi.Avant l'incendie, la cathédrale accueillait près de 12 millions de visiteurs, 2.400 offices et 150 concerts par an.Le 15 avril 2019, un gigantesque incendie a ravagé ce chef d’œuvre de l'art gothique, provoquant l'effondrement de sa charpente, de sa fameuse flèche, de son horloge et d'une partie de sa voûte, ravagées par les flammes, sous le regard médusé de millions de personnes à travers le monde.Le trou béant laissé dans l'édifice a fait place à une forêt d'échafaudages qui recouvrent aussi ses flancs.Le chantier titanesque a commencé dès avril 2019 par la "sécurisation" de l'édifice (cintrage des 28 arcs-boutants, démontage de l'échafaudage qui entourait la flèche, déblaiement des gravats, dépollution des 450 tonnes de plomb partiellement vaporisé dans l'atmosphère...). Une "étape majeure" sous haute sécurité qui s'est achevée à l'été 2021, pour un coût global de 151 millions d'euros.La catastrophe avait suscité un élan de générosité sans précédent, avec près de 844 millions d'euros de dons recueillis auprès de 340.000 donateurs de 150 pays à ce jour, selon l'établissement public chargé du chantier de restauration.Parallèlement aux travaux en cours dans la cathédrale, des travaux de restauration se poursuivent dans des ateliers de métiers d'art partout en France.Surprises archéologiquesLe grand orgue, datant de 1733 et le plus grand de France, a été épargné par le feu mais recouvert de poussière de plomb. Il a été démonté à l'instar des vitraux, et est en cours de nettoyage comme 22 tableaux grand format des XVII et XVIIIe siècles, tandis que plusieurs statues, déjà restaurées, sont exposées à la cité de l'architecture et du patrimoine à Paris.Il faudra encore attendre un peu pour le lancement des travaux de reconstruction de la charpente médiévale de la nef et du chœur et de la flèche de Viollet-le-Duc, à l'ossature en bois de chêne massif, qui devrait poindre dans le ciel de Paris à partir du printemps 2023, selon l'établissement public.Un millier de chênes issus de forêts publiques et privées ont déjà été sciés en prévision.Une autre étape clé du chantier doit démarrer mercredi : l'extraction des pierres qui permettront de reconstruire les voûtes détruites ou endommagées.Deux chantiers tests ont été menés entre septembre 2020 et avril 2021 dans les chapelles intérieures de la cathédrale, 24 en tout, pour définir les techniques qui permettront de leur redonner leurs couleurs d'origine.Début mars, des fouilles préventives ont réservé une surprise de taille au cœur du chantier: la découverte d'un sarcophage de plomb et les vestiges de l'ancien jubé de la cathédrale datant du XIVe siècle, une tribune en pierre qui séparait le chœur liturgique de la nef et des fidèles.Le diocèse entend profiter de la restauration de Notre-Dame pour offrir une nouvelle jeunesse à son aménagement intérieur en intégrant de l'art contemporain aux maîtres anciens tels les frères Le Nain ou Charles Le Brun, de la lumière à hauteur de visage, des bancs mobiles pour remplacer les chaises séculaires et des phrases bibliques projetées sur les murs.La crypte, située sous la cathédrale, doit aussi servir d'espace de stockage avec un accès facilité par l'installation d'un élévateur.Lorsqu'ils retrouveront la célèbre cathédrale en 2024, touristes et fidèles entreront désormais par la grande porte centrale et non plus par les portes latérales. Ils bénéficieront d'un parcours épuré autour d'un axe central allant de la nef au chœur.
Il y a 3 ans et 64 jours

Le secteur du BTP fait pour la première fois l'objet d'un guide anti-corruption

RISQUES. Le secteur du bâtiment et des travaux publics est le premier à faire l'objet d'un guide d'accompagnement et de prévention des risques de corruption et de trafic d'influence. Si le document s'adresse aux entreprises employant plus de 500 salariés et dont le chiffre d'affaires dépasse les 100 millions d'euros, les structures de plus petite taille peuvent tout de même s'y référer pour prendre connaissance des bonnes pratiques en la matière.
Il y a 3 ans et 64 jours

CAP sur la croissance – Xella accélère sa capacité de production de 15 %

Dans un contexte actuel compliqué pour de nombreux industriels de la construction, Xella augmente sa capacité de production de plus de 15 % en France pour répondre à une forte demande, notamment dans la construction de logements résidentiels neufs, et l’entrée en vigueur de la nouvelle réglementation RE2020, qui favorise les solutions constructives décarbonées.  Pour […]
Il y a 3 ans et 64 jours

L'ascenseur intelligent : la colonne vertébrale du bâtiment de demain

Qu'est-ce qu'un ascenseur intelligent ?Un ascenseur intelligent est un ascenseur « amélioré » : en plus de fonctions que l'on attend d'un ascenseur classique, il est équipé de capteurs permettant de compter le nombre de trajets effectués, le nombre d'occupants, mais aussi d'une IA capable de détecter les signes avant-coureurs d'usure ou de défaillance permettant de prévoir plus vite et plus facilement une maintenance. Un ascenseur intelligent permet donc un gain de sécurité, un gain d'énergie et un gain en termes d'efficacité.Il peut aussi être équipé de fonctionnalités utiles au quotidien des utilisateurs comme l'appel de l'ascenseur sans contact via un smartphone, l'affichage d'informations relatives à la vie du bâtiment, à la conciergerie ou même de divertissements comme de la musique personnalisée pour une expérience de trajet inégalable.Une valeur ajoutée pour tous les acteurs du bâtimentL'ascenseur est un indispensable pour les bâtiments et est même obligatoire à partir du 3ème étage au-dessus du rez-de-chaussée en France. Il représente le bâtiment entier de par son rôle de transport entre les différents étages et il ne faut donc pas le négliger. Pour 96% des Français, il est important de remplacer les ascenseurs vétustes selon un sondage Ipsos réalisé pour la Fédération des Ascenseurs, montrant bien la nécessité d'innover dans ce domaine pour sortir des ascenseurs sombres et oppressants.Les ascenseurs intelligents permettent également un design plus moderne et en adéquation avec le reste du bâtiment via leurs salles des machines très discrètes voire intégrées à la cabine, facilitant le travail de l'architecte en amont de la construction et celui de la maintenance en aval grâce à des systèmes de maintenance et de surveillance du fonctionnement à distance par exemple.Avoir un ascenseur intelligent est donc un excellent moyen de se différencier et d'accroître pour l'investisseur la valeur de l'immeuble dans lequel l'ascenseur est installé.Une capacité d'adaptation sans limites aux besoins des utilisateursSelon l'étude Ipsos menée pour la Fédération des Ascenseurs, un tiers des français souhaitent profiter des dernières technologies numériques dans leur ascenseur, avec par exemple une commande vocale pour sélectionner son étage et ouvrir les portes et 37% désirent profiter d'une musique d’ambiance pendant le trajet, démontrant l'intérêt des utilisateurs pour les possibilités multiples de personnaliser la cabine de l'ascenseur et l'expérience des passagers.Du design sobre et épuré au design ultra moderne, en passant par le choix des couleurs et des matériaux ou de l'éclairage, qu'il soit diffus, direct ou indirect, les acteurs de la mobilité comme KONE ont prévu tout le nécessaire afin que chaque ascenseur intelligent s'ajuste parfaitement aux besoins et aux contraintes de chaque projet, avec par exemple la modélisation 3D de la cabine via des modèles CAD et BIM pour faciliter la visualisation de la future réalisation.
Il y a 3 ans et 64 jours

NOUVEAU VITRIFICATEUR INVISIBLE VX302i Cecil Professionnel : La protection qui préserve la beauté naturelle des parquets

Le vitrificateur est de très loin l’une des finitions les plus utilisées pour assurer au parquet une protection durable et esthétique contre les taches, les salissures et les agressions. De plus, il offre une très grande résistance au trafic, aux chocs, aux rayures et à l’abrasion. Ces dernières années, le parquet aspect bois brut a le vent en poupe. À la fois moderne et intemporel, authentique et chic, il s’adapte à tous les aménagements intérieurs et contribue à offrir une ambiance cosy et chaleureuse aux pièces à vivre. Pour répondre aux attentes des utilisateurs qui souhaitent protéger leur parquet, sans le réchauffer ni le jaunir, Cecil Professionnel retravaille sa gamme avec une nouvelle référence, le vitrificateur VX302i. Innovante, sa formulation haute performance valorise les bois bruts et apporte au parquet une protection parfaitement invisible ! Conçu et fabriqué en France, le nouveau vitrificateur VX302i, mis au point par le service Recherche & Développement, allie haute technicité et confort d’utilisation tout en conservant l’aspect brut du parquet et le toucher bois. Ce nouveau vitrificateur répond totalement à la tendance du marché qui est de conserver la beauté naturelle des parquets. Une finition « effet bois brut » bluffante Le nouveau vitrificateur invisible VX302i Cecil Professionnel protège le parquet, tout en préservant la beauté naturelle du bois. Il offre un beau rendu pour les intérieurs tendance et contemporains en gardant un aspect brut invisible, sans jaunir ou réchauffer le bois ce qui est généralement le cas d’un vitrificateur classique incolore lors de l’application. Compatible avec toutes les essences de bois (sauf les bois foncés ou exotiques), il s’applique  sur tous les supports bois intérieurs (parquets, boiseries, plinthes…) neufs ou anciens et est idéal pour les chambres et les pièces à vivre. Haute performance, sa formulation en phase aqueuse lui permet d’être aussi résistant aux chocs qu’un vitrificateur polyuréthane. Elle offre une finition durable avec une excellente résistance aux chocs, aux taches, à l’abrasion et aux rayures. Son aspect mat profond ne réchauffe pas le bois. L’effet invisible sur les chênes et les essences claires est bluffant et son toucher brut est très agréable. Classé A+ et disposant de fiche FDES, le vitrificateur VX302i est d’un grand confort d’utilisation. Monocomposant, il est prêt à l’emploi et sèche très rapidement, ce qui permet une application de 2 à 3 couches en une journée.
Il y a 3 ans et 64 jours

Le Groupement Actibaie prévoit une activité soutenue pour les filières stores, volets, portes et portails en 2022

Pour maintenir cette croissance, le Groupement Actibaie fait le point sur les chantiers majeurs pour 2022 : emplois, approvisionnement en matières premières et composants électroniques, économie circulaire et RE2020.2021, une année recordPour les filières représentées par le Groupement Actibaie, l’année 2021 aura été une année de croissance, plus élevée que la moyenne du secteur du bâtiment, qui malgré une hausse d’activité de 12,2 %, n’a pas encore retrouvé son niveau d’avant crise.Pour Hervé Lamy, délégué général du Groupement Actibaie : « Les carnets de commandes sont pleins et ce malgré les problématiques conjoncturelles, qui ont pourtant augmenté les tarifs comme les délais de livraison. Cette accélération est une conséquence directe de l’explosion de la demande en rénovation : suite aux confinements successifs, les Français ont désiré améliorer leur habitat. Une dynamique que l’on retrouve également dans la construction neuve. »Attirer de nouveaux talents par la formationPour les différentes filières, la hausse d’activité s’est accompagnée de recrutements sur 2021 : un exercice qui s’avère encore problématique sur certains métiers. En 2022, la FFB projette des besoins sur 25 000 postes. Pour adresser ce manque de main-d’œuvre, le Groupement Actibaie investit dans la formation initiale et continue, qui s’adresse à tous, notamment aux personnes en reconversion ou éloigné de l’emploi. C’est le cas de la formation Installateurs de stores et volets, lancé en janvier dernier.« Il s’agit d’un contrat de professionnalisation d’un an en alternance organisé en partenariat avec le GIEQ Ile de France (Groupement d’Employeurs pour l’Insertion et la Qualification). Ce type de formation permet aux entreprises partenaires de former en alternance à leurs méthodes de nouveaux profils, avec une embauche à la clé pour l’alternant. » précise le délégué général. A la fin de la formation, les stagiaires passent un examen pour obtenir un CQP « Installateur de stores et volets ».Limiter la hausse des prix et les délais d’approvisionnementGrâce à la dynamique de l’individuel, la FFB prévoit une hausse du logement neuf, les permis de vente ayant progressé entre 2019 et 2021. En effet, 398 000 logements seront commencés en 2022. Une perspective qui réjouit le Groupement Actibaie. « La RE2020, qui intègre en outre l’installation de protections solaires, va dynamiser grandement l’activité du neuf pour les filières stores et volets. »Néanmoins, il va pour cela falloir aux professionnels faire face à la hausse du prix des matières premières, qui se maintient sans perspective d’évolution.Pour Yannick Michon, président du Groupement Actibaie : « Les fabricants ont déjà dû répercuter la hausse des prix sur leurs tarifs, en moyenne de +10 % sur l’exercice 2021, impactant ainsi l’ensemble de la chaîne, du fabricant à l’installateur. Le client final est obligé d’absorber une partie de cette hausse. »Autre enjeu, la pénurie des semi-conducteurs, utilisés dans la motorisation et l’automatisation des stores et volets. Pour Pascal Cros, vice-président du Groupement Actibaie et représentant des métiers Volet, le problème est d’autant plus critique car le marché est détenu majoritairement par un acteur. « SOMFY ayant des difficultés d’approvisionnement, c’est l’intégralité de la chaîne de valeur qui se voit impactée. En neuf, la motorisation est quasiment systématique : difficile donc sans aucune visibilité sur cette sortie de crise de savoir quel impact cela aura sur le long terme. »Économie circulaire et REP BâtimentD’ici 2050, la Stratégie Nationale Bas carbone (SNBC) prévoit la décarbonisation quasi-complète du secteur du bâtiment, représentant à lui seul 30 % des émissions annuelles nationales. En effet, le secteur produit chaque année 42 millions de tonnes de déchets, soit l’équivalent de la quantité annuelle produite par les ménages. Afin de développer la collecte et la valorisation de ces déchets générés lors des opérations de déconstruction et de rénovation des bâtiments, la responsabilité élargie des producteurs (REP) pour les produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment entrera en vigueur au plus tard le 1er janvier 2023.Pour Hervé Lamy, délégué général du Groupement Actibaie : « L’un des dossiers majeurs pour le Groupement Actibaie cette année, sera de travailler conjointement avec les éco-organismes et les autres syndicats à la définition du barème d’écocontribution. La difficulté sera de simplifier au maximum les calculs tout en prenant en compte les problématiques liés à chaque matériau. Ce barème devrait être finalisé avant la fin de l’année. »Embarquer les professionnels dans une filière plus vertueusePour accompagner l’entrée en vigueur de la RE2020 et de la REP des produits de construction, le Groupement Actibaie a élaboré une Charte d’Engagements pour la Préservation de l’Environnement (CEPE), à destination de ses adhérents, afin d’adopter une approche plus écologique. À ce jour, 46 entreprises sont signataires et se sont ainsi engagées à faire évoluer leurs pratiques à tous les niveaux : conception des produits, approvisionnement, process de production et recyclabilité des produits. « Nous espérons à terme que ces bonnes pratiques soient partagées et mises en place par l’ensemble de nos adhérents industriels. » conclut le président Yannick Michon.
Il y a 3 ans et 64 jours

Val-de-Marne : la construction du nouveau rectorat de l’académie de Créteil est lancée

Le futur bâtiment devant accueillir le rectorat de l’académie de Créteil sera livré en 2024.
Il y a 3 ans et 64 jours

À Bruxelles, Central et NP2F transforment un entrepôt industriel en centre d'art et de création

L'édition 2022 du concours Acier, ouvert aux étudiants des écoles d'architecture et d'ingénieur de France, est lancée. Au programme : réinventer l'habitat ! Envoi des projets avant le 17 avril 2022. Pour l'édition 2022 du concours Acier, ConstruirAcier propose aux étudiants des écoles […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 64 jours

Une brochure pour comprendre la RE 2020

Le syndicat national des Fabricants d’Isolants en Laines Minérales Manufacturées (FILMM) édite une nouvelle brochure « RE 2020 vs RT 2012, ce qui change ». La RE 2020 est entrée en vigueur pour les logements neufs au 1er janvier 2022. Elle s’appliquera aux bâtiments de bureaux et d’enseignement au 1er juillet 2022 et aux autres bâtiments tertiaires un peu plus tard. Plus exigeante pour les bâtiments neufs pour lutter contre le changement climatique, elle met notamment l’accent sur l’isolation thermique des logements renforçant l’indicateur Bbio et introduit la notion d’analyse de cycle de vie. Cette brochure présente de manière concise et claire les 4 grands piliers qui structurent la nouvelle réglementation des bâtiments neufs. www.filmm.org/re-2020-vs-rt-2012-ce-qui-change   Cet article Une brochure pour comprendre la RE 2020 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 64 jours

A quand une licorne française de la contech ?

Pour Antoine Auberton, le CEO d'Enlaps, start-up spécialisée dans la capture et l'analyse d'images des chantiers, le secteur français de la construction tarde toujours à prendre le tournant du numérique.
Il y a 3 ans et 64 jours

PlanRadar augmente sa solution avec PlanRadar Connect pour accélérer la numérisation du secteur du bâtiment

Elaborée en collaboration avec le leader des plateformes d'automatisation pour les entreprises, Workato, ‘PlanRadar Connect’ vise à améliorer l’interopérabilité des systèmes technologiques associées les unes aux autres, permettant ainsi aux utilisateurs de PlanRadar de synchroniser facilement leurs données avec d’autres applications.Ces améliorations apportent une plus grande souplesse aux clients de PlanRadar, en leur offrant la possibilité de fusionner leurs logiciels déjà existants avec le processus de traitement des tâches dans PlanRadar. Cette fonctionnalité permet ainsi de gagner du temps, mais aussi d’améliorer le rendement et la précision des tâches tout en évitant la superposition des données qui nuisent à la performance de l’entreprise.PlanRadar s’est appuyé sur sa récente levée de fonds de 69 millions de dollars (série B) pour accélérer en matière de R&D. En finançant un nouveau pôle technologique et une équipe dédiée à l’innovation de ses produits, l’entreprise a priorisé une interopérabilité plus rapide et plus fluide des données avec d’autres logiciels et programmes.Pour Ibrahim Imam, cofondateur et Directeur général adjoint de PlanRadar : "Alors que le secteur de la construction poursuit son évolution dans l’ère numérique, il est devenu essentiel de trouver des moyens efficaces d’automatiser les processus d'exécution des tâches pour améliorer la concrétisation des projets et les résultats commerciaux. Cette ambition a joué un rôle de catalyseur pour ‘PlanRadar Connect’. Nous souhaitons améliorer l’interopérabilité, supprimer les barrières d’incompatibilité qui proviennent de l’utilisation de nombreux systèmes technologiques différents, source d’incohérences dans les données et d’une multiplication des tâches supplémentaires lors du processus de duplication. En créant un moyen facile à combiner avec la technologie existante, les entreprises peuvent travailler de manière plus intelligente et atteindre un plus haut niveau de précision lorsqu’il s’agit d’exploiter les données. C’est une approche plus décloisonnée et l’ensemble du secteur devrait y aspirer."La nouvelle fonctionnalité complète l’interface de programmation (API) existante du logiciel, pour la rendre plus rapide et plus facile à intégrer grâce à plus de 200 connecteurs prêts à l’emploi, comprenant notamment Outlook, Dropbox, Jira, SAP ou Microsoft Dynamics.Dans un contexte où le partage d’informations est désormais essentiel à la réussite des projets, ‘PlanRadar Connect’ permet également d’atteindre d’excellents niveaux de communication et de collaboration entre les équipes, garantissant en même temps la livraison d’audits fiables nécessaires au processus de prise de décision.Pour Gautham Viswanathan, Directeur produits chez Workato : "Alors que le secteur de la construction cherche à optimiser son efficacité, nous constatons une demande croissante d’automatisation rapide des processus de traitement des tâches en mettant en relation les équipes dans les bureaux et sur le terrain, à toutes les étapes du cycle de vie d’un projet de construction. ‘PlanRadar Connect’ est un exemple parfait de la capacité de Workato à fournir une plateforme fiable nécessitant peu ou pas de codage (low-code/no-code). L’utilisateur peut créer, de manière intuitive et autonome, des processus personnalisés facilitant l’échange d’informations et le traitement des tâches critiques de projets entre PlanRadar et plus de 200 autres applications utilisées par les entreprises."Pour Ibrahim Imam, cofondateur et Directeur général adjoint de PlanRadar : "Pour s’atteler à sa transformation numérique, le secteur de la construction doit réussir à s'uniformiser son flux d’information. Il doit pour cela s’emparer de la question de la compatibilité technologique, qui entrave actuellement ce processus. ‘PlanRadar Connect’ représente l’ultime étape du développement constant de nos solutions, qui sont déjà utilisées au quotidien par plus de 100.000 professionnels dans plus de 60 pays. Nous attendons un retour d’expérience positif de la part de nos clients une fois qu’ils auront pris en main ‘PlanRadar Connect’ avec leurs propres solutions logicielles existantes."