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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88055 résultats)
Il y a 3 ans et 175 jours

Presles-en-Brie : une seconde vie pour le bâtiment de l’ancienne Poste

D’ici 2023, l’ancien bâtiment des services de la Poste de Presles-en-Brie sera entièrement reconstruit
Il y a 3 ans et 175 jours

Rubis rachète le producteur d'énergie photovoltaïque Photosol

Rubis va racheter 80% du capital de Photosol pour 376 millions d'euros auprès des fondateurs et dirigeants de la société qui conserveront une part minoritaire, indique un communiqué de Rubis.A la suite de cette opération, qui devrait être finalisée au cours du premier trimestre 2022, Rubis créera une nouvelle division intitulée "Rubis Renouvelables". Elle devrait atteindre plus d'un gigawatt (GW) de capacité installée en 2025 et plus de 2,5 GW d'ici 2030.Photosol, qui possède 313 mégawatts (MW) de capacité opérationnelle et 101 MW en construction, contribuera à hauteur de 25 millions d'euros à l'excédent brut d'exploitation de Rubis en 2022.Grâce à cette acquisition, "Rubis franchit une étape stratégique vers la transition dans les énergies renouvelables", a commenté Jacques Riou, dirigeant du groupe, cité dans le communiqué."Le savoir-faire de Rubis combiné avec l'expertise des équipes de Photosol nous permettra de développer de nouveaux projets et de devenir un leader en France dans les centrales solaires installées au sol ou en toiture", a ajouté Clarisse Gobin-Swiecznik, directrice générale déléguée de Rubis.Rubis a entamé sa diversification vers des énergies plus propres en juin 2021, en prenant une participation dans Hydrogène de France, société spécialisée dans les infrastructures de production d'électricité à partir d'hydrogène issu d'énergies renouvelables.
Il y a 3 ans et 176 jours

Les gares font de la place pour l'arrivée de la concurrence

Le gestionnaire des gares doit trouver des mètres carrés dans ses bâtiments pour caser des guichets, des automates, des locaux techniques et des espaces de repos pour les employés. Il faut aussi adapter la signalétique.En l'occurrence, Trenitalia va installer, comme en Italie, des petits kiosques mobiles où les clients peuvent acheter des billets. Gare de Lyon à Paris, la compagnie italienne garde la petite boutique qu'avait Thello (sa filiale française, rebaptisée depuis Trenitalia France) du temps des trains de nuit.L'information des voyageurs doit aussi être adaptée. "En situation perturbée, on va parler en italien. On a dû former des agents", relève la patronne des gares."Ils paient le même péage que les autres, puisque le Document de référence des gares est le même pour tous les transporteurs ferroviaires", insiste Mme Dolveck."C'est le même prix au mètre carré. On n'a pas le droit de favoriser un opérateur au détriment d'un autre, et on est contrôlés par le régulateur", ajoute-t-elle, notant que la SNCF "paie, et beaucoup plus cher" pour ses vastes espaces Gare de Lyon."Le sujet dans la durée, ça va être l'espace. Si on se projette dans dix ans, avec plusieurs transporteurs, est-ce qu'il ne faudra pas mutualiser les espaces de vente, comme dans les aéroports?", s'interroge-t-elle.Après Trenitalia, d'autres compagnies ont annoncé leur intention de défier la SNCF sur les rails français ces prochaines années, comme la coopérative Railcoop, Midnight Trains, des trains de nuit haut de gamme, ou l'espagnole Renfe.Le retour en vogue des trains de nuit, aussi, devrait amener les gares à s'adapter. En installant des douches comme à Paris-Austerlitz, ou prosaïquement en s'arrangeant pour offrir des services de restauration disponibles aux heures de départ des trains."Nos services devront être adaptés", insiste Mme Dolveck."Bienvenue aux nouveaux opérateurs", a lancé mercredi au Sénat le PDG de la SNCF Jean-Pierre Farandou, dont la "double casquette" comprend à la fois la tutelle de la compagnie ferroviaire désormais défiée (SNCF Voyageurs) et celle de SNCF Réseaux et Gares & Connexions, dont le rôle est d'accueillir tout le monde."Je dois veiller à ce qu'ils soient accueillis avec la plus grande équité. Ils doivent avoir accès au réseau et accès aux gares de la même manière que la SNCF-transporteur a accès à ces facilités essentielles. J'y fais très attention, et on y arrive", a-t-il dit.
Il y a 3 ans et 176 jours

L’impact de la sécheresse sur les bâtiments en forte augmentation avec un coût de 14 milliards d’euros en 30 ans

Leur coût annuel moyen a quadruplé entre la période 2001-2015 et 2016-2020 et ils représentent sur les 30 dernières années plus du tiers des sinistres tous périls. Le cabinet d’expertise Saretec livre une radiographie inédite de ce phénomène reposant sur l’analyse de plusieurs milliers de rapports et de déclarations de sinistres.Ces dernières années, la France a connu plusieurs épisodes exceptionnels de sécheresse avec des périodes estivales capitalisant des déficits de précipitation et de fortes chaleurs. L’alternance de ces périodes très sèches en été et de réhydratation des sols le reste de l’année entraine des phénomènes de retrait-gonflement des argiles (RGA) jusqu’à 1,5 mètre de profondeur. Le manque d’eau induit le retrait des argiles et cette perte de volume provoque des mouvements différentiels entrainant des affaissements de sol sous les fondations et les dallages des bâtiments. De nombreux désordres apparaissent, avec notamment des fissures sur les murs et sur les sols, ou encore des affaissements de dallage. D’autres dommages indirects peuvent également apparaitre à la suite de ruptures de canalisations enterrées.Des sinistres coûteux et croissants, amplifiés pour le réchauffement climatiqueDeuxième poste d’indemnisation après les inondations, ces phénomènes sont passés d’un coût annuel moyen de 231 millions d’euros sur la période 2001-2015 à 885 millions d’euros sur la période 2016-2020. En cumulé, sur la période allant de 1982 à 2019, 8.000 communes françaises ont été reconnues au moins une fois en état de catastrophe naturelle pour le phénomène de sécheresse, pour un coût représentant 13,8 milliards d’euros, soit 36% des sinistres tous périls.Les données de Saretec font ressortir que, sur ces 5 dernières années, les arrétés sécheresses ont majoritairement touché les territoires centraux (Puy-de-Dôme, Cher) et l’est de la France (Moselle, Meurthe-et-Moselle). En 2016 et 2017, les sinistres ont par contre majoritairement été localisés dans le sud (pourtour méditerranéen, Gironde, Dordogne).85% des désordres non imputables à la sécheresseLes désordres liés à la sécheresse sont majoritairement des fissures et des affaissements. Selon les données de Saretec, ces désordres apparaissent principalement sur les façades (à 45%) à l’extérieur d’un bâtiment et sur les murs (34%) et sols (24%) à l’intérieur. Les façades est et sud, plus exposées au soleil et aux variations de températures, sont également les plus touchées. Les fissures en escalier ou en forme de sifflet sont les plus symptomatiques d’un retrait-gonflement des argiles.Ces désordres peuvent néanmoins être provoqués par d’autres phénomènes non garantis : des fortes chaleurs provoquant des déformations des matériaux de construction (ossatures métalliques ou charpentes en bois par exemple), des fuites de canalisation provoquant un mouvement de tassement différentiel non imputable à la sécheresse, une transformation du bâtiment impliquant de nouvelles charges mal supportées par la structure… Ainsi, 85% des fissures ou affaissements ne sont pas imputables à la sécheresses et ne relèvent pas du régime d’indemnisation des catastrophes naturelles.Pour les missions garanties, les fissures sont traitées dans 54% des cas, dans 23% il y a réparation des fondations ou des structures aériennes et dans 21% des cas des fondations spéciales sont créées pour stabiliser les sols.Les maisons individuelles principalement concernéesReprésentant 56 % des résidences principales françaises, les maisons sont sur- représentées selon les données de Saretec. 90 % des bâtiments concernés par la sécheresse sont en effet des logements individuels. Les désordres observés sur ce type d’habitation nécessitent entre 4.000 et 5.000 € de réparation et de mise en place de mesures conservatoires, loin derrière les corps de ferme et granges représentant un coût moyen de 12.000 €.Par ailleurs, dans plus de la moitié des cas de sécheresse (55%), les désordres provoqués par le phénomène de retrait-gonflement des argiles sont observables dans le voisinage immédiat ou plus lointain.
Il y a 3 ans et 176 jours

La Banque de France à peine moins optimiste pour l'économie française, malgré la 5e vague et Omicron

L'institution a dévoilé dimanche ses projections macroéconomiques à horizon 2024, dans lesquelles elle abaisse très légèrement (de 0,1 point) sa prévision de croissance pour 2022, anticipant désormais une hausse du Produit intérieur brut (PIB) de 3,6%, après 6,7% en 2021.Un chiffre plus prudent que les 4% encore avancés par le gouvernement, mais loin du coup de tonnerre adressé en Allemagne par la Bundesbank qui a abaissé d'un point à 4,2% sa prévision de croissance pour l'économie allemande."Nous prévoyons un léger ralentissement début 2022 lié à la nouvelle vague Covid, mais ensuite la croissance reprendrait", a déclaré aux Echos le gouverneur de la banque centrale, François Villeroy de Galhau.Une croissance qui restera "très solide", a estimé Olivier Garnier, le directeur général de l'institution, lors d'une conférence de presse.Et ce qui n'aura pas été gagné l'an prochain sera rattrapé l'année suivante, anticipe la banque centrale française, puisqu'elle a relevé de 0,3 point, à 2,2%, sa prévision de croissance pour 2023.Avec une progression du PIB prévue de 1,4% en 2024, "on rejoint progressivement la tendance de croissance qui était celle d'avant-crise", ce qui n'avait pas été le cas après la crise financière de 2008, a souligné Olivier Garnier.Pas de "cicatrice"Cela signifie que "la crise n'a pas laissé de cicatrice en terme de niveau de production et de production potentielle", grâce notamment au plan de relance et au plan d'investissement France 2030, ainsi qu'au "dynamisme du marché du travail".Mais ce serait insuffisant pour amorcer le désendettement du pays, prévient M. Garnier: en 2024, le déficit public resterait encore proche de 3,5% du PIB et la dette stable autour de 115% du PIB, malgré l'arrêt des dépenses liées à l'épidémie.Pour avoir plus de croissance sur le long terme, il faut augmenter "l'offre de travail" et "les compétences disponibles pour les entreprises" qui "devront faire une meilleure place aux seniors", selon M. Villeroy de Galhau, qui appelle aussi à "aller plus loin sur l'apprentissage".En attendant, le retour à la trajectoire de croissance d'avant-crise sera porté par une consommation "plus soutenue", les ménages commençant à puiser dans le surplus d'épargne de 170 milliards d'euros engrangé pendant la crise, selon la Banque de France, qui estime qu'ils devraient en avoir dépensé un cinquième d'ici 2024.Les entreprises devraient aussi maintenir un niveau d'investissement élevé grâce à des marges préservées pendant la pandémie.A l'inverse, la contribution du commerce extérieur, toujours à la traîne dans certains secteurs, "ne se redresserait pas en 2022".Nouveau régime d'inflationLa croissance se traduirait également par une hausse de l'emploi, avec un taux de chômage autour de 7,9% en 2022, ainsi qu'une progression du pouvoir d'achat, soutenu par des hausses de salaires.La Banque de France souligne toutefois l'incertitude liée à l'évolution de la situation sanitaire. Elle présente d'ailleurs un scénario alternatif, en cas d'imposition de restrictions supplémentaires au premier semestre 2022, qui conduirait à une croissance plus faible l'an prochain en France (environ +2,2%), mais qui se rattraperait en 2023 (+3,5%).Les difficultés d'approvisionnement et de recrutement pourraient également ternir la trajectoire si elles durent plus longtemps qu'anticipé.Quant à l'inflation, dont la poussée ces derniers mois est devenue la "première préoccupation" du ministre de l'Economie Bruno Le Maire, et contre laquelle le gouvernement a multiplié les gestes à destination des ménages, en particulier modestes (chèque énergie supplémentaire, indemnité inflation, gel du prix du gaz, etc.), la Banque de France voit deux phases se succéder.Après un pic à 3,5% fin 2021 du taux harmonisé d'inflation (utilisé pour permettre des comparaisons européennes, et intégrant davantage les prix de l'énergie que l'indice publié par l'Insee en France), l'inflation resterait à un niveau supérieur à 2% une grande partie de 2022, avant un reflux autour de 1,5% en 2024, soit un niveau supérieur à celui d'avant-crise et plutôt identique à celui observé avant la crise financière de 2008.
Il y a 3 ans et 176 jours

Richard Rogers, co-créateur du centre Pompidou, s'est éteint

DISPARITION. Le co-créateur du centre Pompidou Paris est décédé à l'âge de 88 ans. Il laisse derrière lui de nombreux ouvrages emblématiques, tel que le bâtiment de la Cour européenne des droits de l'Homme à Strasbourg.
Il y a 3 ans et 176 jours

Comment maîtriser le coût de l'assurance habitation ?

Surface et lieu de résidenceLe prix d’une assurance habitation est directement corrélé à la surface du logement. Un facteur pouvant creuser de manière significative les écarts de prix entre les régions. La dernière étude de l’UFC-Que choisir révèle ainsi une différence de prix qui frôle les 200 euros pour un logement de 5 pièces. L'Île-de-France et l’Occitanie font généralement partie des régions où la moyenne des primes est la plus chère, alors que la Bretagne affiche les prix les plus attractifs. En cause, l'occurrence des sinistres couverts qui diffèrent à travers le territoire.Nature du risqueLes sinistres couramment indemnisés par les assureurs sont liés aux risques climatiques et aux cambriolages. Deux dangers inégalement répartis sur le territoire. Les habitations situées dans les communes de l'Hérault sont ainsi régulièrement exposées au risque d'inondations, tandis que l’Île-de-France et l'Occitanie enregistrent des probabilités de cambriolages importantes. Autant de circonstances pouvant faire grimper ou baisser le montant de la prime en dehors de toute considération sur le profil du bénéficiaire.Statut du bénéficiaire et biens assurésLe contrat d’assurance habitation est obligatoire pour les locataires et recommandé pour les propriétaires qui ne sont pas soumis à l'obligation légale de souscription. Le statut du bénéficiaire peut faire varier les prix selon les assureurs. L’assurance du locataire couvre essentiellement les dommages causés par un incendie, un dégât des eaux ou une explosion. Les propriétaires tendent à couvrir l’ensemble de leurs biens de valeur avec des contrats multirisques habitation (MRH), également ouverts aux locataires.Comment agir sur le prix de son assurance habitation ?Pour maîtriser le montant de sa prime d’assurance, le bénéficiaire dispose d’une marge de manœuvre serrée. Ses principaux leviers consistent à comparer les assureurs et les offres avant la souscription et à faire le tri dans les garanties afin de ne conserver que celles visant des risques réels dans sa région. Attention également aux doublons, notamment pour l'assurance des biens de valeurs, pouvant être pris en charge par d’autres garanties.
Il y a 3 ans et 176 jours

Minima sous le Smic depuis janvier : environ "un tiers" des branches désormais en conformité

Sur la quarantaine de branches qui avaient des minima en dessous du Smic avant la revalorisation automatique du 1er octobre et appelées par le gouvernement à négocier, "environ un tiers" ont des minima conventionnels "au moins égaux au Smic", a indiqué Mme Borne, à l'issue d'une réunion avec les représentants de ces branches."Il faut saluer les branches qui ont conclu des accords dans des délais qui sont contraints", a-t-elle ajouté, citant notamment l'esthétique ou l'intérim ainsi que l'accord ouvert à la signature jeudi dans les hôtels-cafés-restaurants, avec des hausses mises sur la table qui "ne sont pas négligeables".La ministre a ajouté qu'"une grosse moitié" des branches étaient encore en train de négocier, indiquant que leurs discussions continueraient à être suivies "de près".Elle a aussi cité "trois branches dans lesquels le dialogue social apparaît clairement défaillant": la coiffure (106.000 salariés), les grands magasins (36.900) et le bois négoce (7.200), invitant les partenaires sociaux à "faire preuve de responsabilité" et prévoyant un "suivi rapproché".L'enjeu, a-t-elle souligné, "c'est l'attractivité des métiers dans un contexte par ailleurs marqué par des tensions de recrutement importantes".Les hausses successives du Smic ont pour effet de "tasser" les grilles salariales. Si le minimum conventionnel est inférieur au Smic, l'employeur doit combler l'écart. Mais lorsque les minima de branches sont rattrapés par le Smic, cela génère souvent une concentration accrue de salariés dont le salaire devient ancré sur le Smic. Autrement dit, même avec l'ancienneté, le salarié reste au salaire minimum.Avec la revalorisation automatique du Smic intervenue au 1er octobre, 89 branches se sont ajoutées aux branches non conformes. Et avec la nouvelle hausse automatique prévue au 1er janvier (+0,9%), 22 nouvelles branches vont s'ajouter à celles ayant un coefficient inférieur au Smic, a précisé le ministère du Travail.In fine, à ce jour, 63 branches, soit 36,8% des 171 branches suivies (4,7 millions de salariés) disposent d'une grille intégralement conforme.A l'inverse, 108 branches, soit 63,2% (près de 6,6 millions de salariés) ont une grille comportant au moins un coefficient inférieur au Smic, selon le bilan du ministère.
Il y a 3 ans et 176 jours

LGV Sud-Ouest: le plan de financement du GPSO est bouclé à 94%

Le préfet d’Occitanie, Etienne Guyot, coordonnateur du Grand Projet Sud-Ouest, la ligne à grande vitesse vers Toulouse et Dax, a annoncé qu’au 18 décembre, les collectivités d’Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine avaient délibéré et que le plan de financement était quasiment bouclé.
Il y a 3 ans et 176 jours

L’application Matterport Capture est désormais disponible gratuitement pour les appareils Android

Matterport, Inc., l’entreprise de données spatiales à la tête de la transformation digitale du monde bâti, a annoncé aujourd'hui que Matterport for Mobile permet désormais aux utilisateurs d'Android du monde entier de créer instantanément le jumeau numérique précis d’un bâtiment ou d'un espace, seulement avec leur smartphone. Désormais disponible dans 175 pays sur Google Play store, l'application Matterport Capture, révolutionnaire en matière de capture 3D, passe à l’échelle supérieure. Avec à ce jour plus de 6 milliards de smartphones actifs dans le monde, Matterport vise à accélérer fortement sa progression dans la numérisation du monde bâti. « L'avenir du monde bâti est littéralement entre nos mains. Matterport for Mobile apporte une grande performance dans un petit format, augmentant la productivité avec chaque espace que nous numérisons », a déclaré RJ Pittman, président et PDG de Matterport. « Il suffit de télécharger l’app et c’est parti. Notre abonnement gratuit permet à chacun de numériser une maison, un bureau ou un hôtel avec n'importe quel appareil Android ou iOS compatible et de bénéficier de Matterport à 100 %, totalement gratuitement. Rien de plus simple pour démarrer ! »3D Capture pour tous : Les clients de divers secteurs d'activité utilisent Matterport pour mesurer, documenter, gérer et promouvoir leurs biens en ligne. En voici quelques exemples : Les propriétaires peuvent créer une évaluation numérique précise et complète de leur propriété et de tout ce qu'elle contient à des fins d'assurance, d'aménagement de l'espace ou tout simplement de tranquillité d'esprit.Les constructeurs peuvent planifier et gérer un projet de construction en ligne et collaborer à l'intérieur du jumeau numérique avec les concepteurs, les entrepreneurs et leur clientèle.Les agents immobiliers et les gestionnaires de biens locatifs peuvent rapidement capturer et publier en ligne une visite virtuelle en 3D époustouflante et la partager sur des sites Web et des réseaux professionnels et sociaux.Satisfaction immédiate Une fois l'application installée, un jumeau numérique peut être créé en quelques minutes seulement. L'installation est rapide et des tutoriels sont disponibles à chaque étape du processus. Le logiciel de capture de précision de Matterport, renforcé par l'IA, est conçu pour rendre la capture 3D rapide, facile et fiable pour tous.Mobiliser son équipe Les petites et grandes entreprises du monde entier peuvent instantanément découvrir la puissance de Matterport grâce à cette offre gratuite et complète qui est la meilleure du secteur. Les équipes peuvent créer un ensemble de jumeaux numériques pour plusieurs propriétés, simplement en téléchargeant l'application sur l'appareil de chaque membre de l'équipe. Il n'a jamais été aussi facile et rentable de capturer plusieurs espaces avec la commodité de Matterport for Mobile.Pour Japjit Tusli, CTO de Matterport : « Nous sommes ravis de présenter la puissance de Matterport aux utilisateurs d'Android à travers le monde, et de fournir à nos clients une alternative pour mettre leurs propriétés en ligne avec les appareils qu'ils possèdent déjà. Dès aujourd'hui, ils peuvent l'essayer gratuitement avec leurs équipes et augmenter instantanément leur capacité de numérisation 3D. » Matterport for Mobile accélère l'expansion internationale de l'entreprise en Asie-Pacifique, en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique, où la part de marché d'Android est particulièrement concentrée. Comme la version iOS, la nouvelle application Android de la société prend en charge la capture 3D à l'aide de toutes les autres options de caméra compatibles, notamment la caméra performante 3D Matterport Pro2, la caméra Lidar Leica BLK360 et six caméras 360 différentes d'Insta360 et de Ricoh.
Il y a 3 ans et 176 jours

Elcia 86ème plus important éditeur de logiciels en France au classement Top250 2021

Top250 2021 : le Groupe ELCIA 86ème plus important éditeur de logiciels françaisQuelques mois après la publication du classement Truffle100, c’est au tour de EY et Numeum (fusion entre Syntec Numérique et Tech in France) de publier leur étude annuelle du secteur des éditeurs de logiciels en France. 86ème du classement général, ELCIA gagne 6 places en un an et confirme sa progression parmi les meilleurs éditeurs logiciels du pays ! Une tendance qui se confirme également au niveau sectoriel, dans lequel ELCIA glane 9 places supplémentaires pour se classer 48ème.Autre confirmation : cette année encore, la stratégie du Groupe ELCIA s’inscrit dans la tendance des plus grands éditeurs de logiciels français, faisant la part belle au modèle SaaS, l’investissement en R&D (22% du CA des éditeurs y est consacré), l’ouverture aux marchés internationaux (59% du CA des éditeurs réalisé à l’international) et à la croissance externe (18% des éditeurs français ont réalisé une opération de croissance externe en 2020).Les éditeurs de logiciels français du top250 2021 en croissance malgré la criseOutre le classement, l’étude menée par EY et Numeum dans le cadre Top250 2021 permet de dresser le panorama complet du secteur de l’édition logicielle en France sur l’année 2020. Premier constat, le secteur a été épargné par la crise sanitaire et économique. Avec une croissance de +9% (contre +7% en 2019), il confirme une année encore sa bonne santé. Une dynamique qui devrait annoncer une année 2021 record en termes de croissance, puisque plus d’un éditeur de logiciels sur deux envisage de réaliser une croissance de son chiffre d’affaires supérieure à 10%.Un secteur dynamique qui recrute en 2021 !Autre thématique au cœur des préoccupations des éditeurs de logiciels français : le recrutement ! Les effectifs des entreprises françaises d’édition logiciels ont augmenté de +8% en 2020 (plus de 214 000 emplois dans le secteur). Une tendance en légère baisse par rapport à 2019 (+12%) qui s’explique par une année 2020 marquée par le COVID (même si le secteur fait parti de ceux les plus épargnés) mais aussi par les difficultés de recrutement. 83% des éditeurs français déclarent en effet avoir des difficultés à recruter (contre 72% en 2020) en particulier sur des profils techniques.Poussé par sa bonne santé et son besoin de recruter de nouveaux talents pour toujours plus innover, le secteur s’attend à une forte accélération des recrutements ! Le recrutement en sera même l’un des maitres mots puisque 85% des éditeurs prévoient d’embaucher et d’augmenter leur effectif sur l’année à venir.Pour découvrir l’étude complète Top250, c’est ICI
Il y a 3 ans et 176 jours

Mort de l'architecte britannique Richard Rogers, co-créateur du centre Pompidou à Paris

Agé de 88 ans, lauréat du prix Pritzker en 2007, Richard Rogers "est décédé paisiblement", a déclaré Matthew Freud, président et fondateur de l'agence de communication Freuds, à l'agence de presse britannique PA. Selon le New York Times, son fils Roo Rogers a confirmé son décès, dont la cause n'a pas été précisée."Très émus d'apprendre la disparition de Richard Rogers, architecte de génie de notre bâtiment avec son complice Renzo Piano", a réagi sur Twitter le centre Pompidou."Immense tristesse", a quant à elle tweeté la maire de Paris Anne Hidalgo, "Richard Rogers était un visionnaire, un architecte, un artiste talentueux , libre et inspirant. Il aimait Paris. À sa famille, à ses proches j'adresse toutes mes condoléances".Le critique d'architecture américain Paul Goldberger a déploré une "nouvelle perte immense pour l'architecture en 2021" et salué sur la réseau social "un homme courtois et un talent formidable".Né à Florence en 1933 avant de fuir avec sa famille l'Italie de Mussolini pour s'installer à Londres, Richard Rogers est l'un des pionniers du mouvement "high-tech", qui se distingue par ses structures de verre et d'acier et ses tuyauteries apparentes.Outre le centre Pompidou dans le coeur de Paris, qu'il a créé en 1971 avec son ami Renzo Piano, il a dessiné le siège de la compagnie d'assurances des Lloyd's, un ovni architectural inauguré en 1986 dans la City de Londres.Il a également créé le bâtiment de la Cour européenne des droits de l'Homme à Strasbourg, les bureaux à Berlin sur la Potsdamer Platz, un terminal de l'aéroport international de Barajas à Madrid, le "Three World Trade Center" à New York, ainsi que le "Dôme du millénaire" à Londres, curiosité des festivités de l'an 2000 qui lui valut les foudres du Prince Charles.Devenu Lord Rogers of Riverside, l'architecte a siégé à partir de 1996 à la chambre des Lords, la chambre haute du Parlement britannique, dans les rangs travaillistes.
Il y a 3 ans et 176 jours

Monoprix veut verdir sa logistique avec un nouvel entrepôt géant

Ce bâtiment de 100.000 m2 a été réalisé avec le promoteur américain Prologis sur un ancien site industriel de PSA à Moissy-Cramayel en région parisienne.Il accueillera progressivement quelque 400 salariés auparavant répartis sur trois autres sites, également en Seine-et-Marne, pour livrer des produits non alimentaires aux magasins du groupe et à des particuliers.Dans l'immobilier logistique, réputé très polluant, Monoprix n'est pas le seul à viser la neutralité carbone. La société de transports DHL avance par exemple un objectif similaire d'ici 2050 pour son nouveau site de Tremblay-en-France.L'entrepôt de Monoprix sera le premier au monde à être certifié par l'ONG International Living Future Institute mais, selon un avis de l'Agence de la transition écologique (Ademe) datant d'avril, la neutralité carbone "ne peut être définie qu'à l'échelle de la planète ou d'un État"."C'est une goutte d'eau, et on le sait, à l'échelle du défi environnemental mondial", a déclaré à l'AFP Jean-Paul Mochet, président de Franprix et Monoprix, filiales de Casino.Pour obtenir cette certification, il a fallu construire de manière moins polluante, en réutilisant par exemple des matériaux issus de la démolition du précédent site. L'immense charpente est, elle, en bois, provenant de forêts en gestion durable.D'après Monoprix et Prologis, la construction a émis 40.000 tonnes de CO2 de moins que pour un entrepôt classique.La surface au sol est aussi moins importante grâce à un rangement tout en hauteur, approvisionné par des robots.Les machines, semblables à de gros aspirateurs autonomes, ont chacune leur petit nom écrit à l'avant: "Baba", "Toxi", ou encore "Loga", se rechargent toutes seules en se branchant à un chargeur rapide et grâce à leurs mouvements en descente.Transport encore polluantAu-dessus des centaines de cartons remplis de fers à repasser ou de paniers en osier, le toit est aussi recouvert de 36.000 m2 de panneaux solaires, qui approvisionnent le site en électricité, et le chauffage se fait par géothermie."On consomme moins et ça devrait nous revenir moins cher à terme", assure Jean-Paul Mochet.Le transport reste néanmoins polluant, car la plupart des camions de Monoprix fonctionnent encore au diesel. Une dimension non négligeable quand on sait que plus de 45 millions de colis doivent être envoyés depuis l'entrepôt.D'ici 2024, l'entreprise vise 50% de véhicules au gaz naturel.En dépit des efforts réalisés, il reste pour le promoteur environ 35.000 tonnes d'émissions de CO2 à compenser pour arriver à son objectif de "neutralité carbone" sur une période d'exploitation de 50 ans.Il promet pour cela un grand programme de plantation d'arbres, une méthode contestée par certains défenseurs de l'environnement qui estiment qu'elle serait au mieux insuffisante, et au pire perturberait l'équilibre des sols.Plus inattendu, Prologis s'est engagé à favoriser la biodiversité sur le site en créant un verger et en installant des ruches. Le miel sera d'ailleurs analysé tous les mois pour "évaluer la qualité de la biodiversité".Au total, le site a coûté 60 millions d'euros à Prologis et 3 millions à Monoprix, et représente "un surcoût d'environ 15%" par rapport à un entrepôt classique, selon Sébastien Laizet, directeur général de Samada, la filiale logistique de Monoprix.La chaîne de magasins l'exploitera pour au moins douze ans.Prologis fait partie de la trentaine d'acteurs de l'immobilier logistique qui ont signé en août une charte d'engagement volontaire avec le gouvernement pour faire des entrepôts plus verts.Présent lors de l'inauguration, le ministre délégué aux PME, Alain Griset, a assuré que la question du développement des entrepôts serait abordée lors des Assises du commerce, prévues en novembre.
Il y a 3 ans et 177 jours

PLASTOR : 12ème édition Trophée de la Vitrification

Mettre en lumière le savoir-faire, la qualité du travail réalisé et les méthodes utilisées par les parqueteurs, tel est l'objectif des Trophées de la Vitrification Plastor. À travers cette récompense, Plastor distingue, parmi les chantiers réalisés en cours d'année, les plus remarquables en termes de finition à la fois sur le plan technique et décoratif. Cette 12ème édition permet de valoriser le savoir-faire de ces professionnels et la qualité du travail accompli avec les produits Plastor.
Il y a 3 ans et 177 jours

FOAMGLAS prend de la hauteur sur la Tour WATT

La Tour WATT, propriété d'ICF Habitat Novedis, fait l'objet d'une restructuration et d'une surélévation de 4 étages conçue et menée par le Groupement A&B Architectes, Vincent Lavergne Architecture et Urbanisme et Eiffage Construction, mandataire du Groupement.
Il y a 3 ans et 177 jours

Fabemi, un acteur engagé dans l'écologie industrielle et les territoires

En accord avec les directives de la Réglementation environnementale (RE) 2020 sur la réduction des émissions de CO2 dans le bâtiment, le Groupe Fabemi a intensifié la décarbonation de sa production. La démarche consiste à combiner fabrication de blocs béton bas carbone, économie circulaire et savoir-faire industriel du Groupe. Les blocs béton isolants Fabtherm® sont l'exemple même de l'engagement de l'entreprise dans l'écologie industrielle Made in France, et du développement d'innovations produits orientées clients, capables de répondre aux enjeux d'aujourd'hui et surtout de demain.
Il y a 3 ans et 177 jours

Bosch Professional - Nouvelle gamme d'accessoires EXPERT

La gamme d'accessoires EXPERT : Des performances Optimales Les professionnels du bâtiment obtiennent de meilleurs résultats lorsqu'ils associent des outils performants à des accessoires innovants. Mais de nombreux utilisateurs ne savent pas toujours à quel point ils peuvent augmenter leur productivité grâce aux accessoires qu'ils choisissent. Les nouveaux accessoires Bosch de la gamme EXPERT offrent aux professionnels des performances maximales, quels que soient leurs travaux, et durent plus longtemps. Bénéficiant des dernières technologies avancées, ils garantissent le meilleur, même pour des applications difficiles. Parmi les dernières nouveautés, Bosch lance le foret Expert HEX-9 HardCeramic pour les carrelages durs, la lame de scie sabre Expert Thick Tough Metal pour la découpe de métal épais, la lame de scie sauteuse Expert Hardwood fast pour le travail du bois et le disque à tronçonner X-Lock Expert Diamond Metal Wheel pour la coupe de métal.
Il y a 3 ans et 179 jours

Logement, nature et vie de quartier, priorités du futur PLU de Paris

Ce PLU "bioclimatique" doit remplacer le PLU actuel datant de 2006, lors du premier mandat de Bertrand Delanoë, devenu "obsolète", a déclaré Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la maire socialiste Anne Hidalgo, en présentant mardi les grands objectifs de ce document, à la fois stratégique et réglementaire."En 2040, 90% du Paris existant sera toujours là", a-t-il résumé en esquissant un futur "PLU de transformation, plus qu'un PLU de production".Les 6.000 contributions de la concertation publique effectuée entre avril et juin ont fait émerger comme priorités "la préservation et le développement des espaces verts" et la quête de "logements à prix abordable", souligne l'adjoint à l'urbanisme.Les six grandes orientations portées par l'exécutif parisien placeront la transition écologique "au coeur" du PLU, avec notamment "la nécessité d'adapter Paris au changement climatique"."L'effort de désartificialisation des sols doit s'intensifier", a ajouté M. Grégoire, pour qui seuls 30 hectares ont été artificialisés depuis 2006, contre 70 hectares d'espaces verts créés.Sur l'habitat, l'exécutif entrevoit avec ce PLU "la possibilité d'offrir un logement de qualité à chacun" afin de "défendre le modèle de mixité sociale à Paris, unique au monde".Le futur PLU devra aussi "protéger les locaux commerciaux", a assuré M. Grégoire, soulignant que "depuis 2015, 1/8e des commerces de Paris Centre ont été transformés en meublés touristiques".Concrètement, le promoteur devra démontrer que son projet "contribue à rendre Paris plus viable et plus résiliente" à travers une grille d'évaluation remplie par la Ville, préalable à la délivrance du permis de construire.Si un promoteur n'arrive pas à montrer les effets vertueux de son futur bâti sur une parcelle, il pourra par exemple "s'engager en parallèle à cofinancer la rénovation thermique d'un bâtiment", a illustré M. Grégoire.A partir de juillet 2022 et en attendant l'entrée en vigueur du futur PLU début 2024, "délai le plus exigeant" pour M. Grégoire, la Ville va faire valoir un sursis à statuer "sur les plus gros projets" immobiliers, a-t-il aussi annoncé.Interrogé sur le projet controversé de la Tour Triangle, dont le chantier doit débuter d'ici à la fin de l'année, M. Grégoire a assuré "qu'il n'y aura pas de proposition supplémentaire d'immeuble de grande hauteur" dans la capitale.
Il y a 3 ans et 179 jours

Passoires thermiques : l'audit énergétique entrera en vigueur en septembre 2022

LOGEMENT. Le gouvernement a annoncé la nouvelle date d'application de l'audit énergétique lors de la vente de passoires thermiques. Pour le ministère de la Transition écologique, le report de l'entrée en vigueur permettra aux professionnels de se préparer correctement.
Il y a 3 ans et 179 jours

En 2022, le marché de l'immobilier devrait connaître des prix en hausse

IMMOBILIER. L'association Les Prix Immobiliers, qui compte une douzaine d'acteurs majeurs du secteur, tire le bilan de cette année et montre de légères augmentations de prix dans l'ancien et dans le neuf. Dans certaines régions, les prix ont explosé. Des hausses qui devraient se poursuivre en 2022.
Il y a 3 ans et 179 jours

Infrastructures : un budget en hausse grâce aux crédits du plan de relance

LOI DE FINANCES 2022. Le budget de l'Agence de financement des infrastructures de transports (Afit) de France pour 2022 a été validé en conseil d'administration le 15 décembre 2021. Entre dotations complémentaires et plan de relance, il s'inscrit en légère hausse. Une orientation confirmée également dans le vote définitif du projet de loi de finances pour 2022.
Il y a 3 ans et 179 jours

L'audit énergétique pour la vente de logements entrera en vigueur le 1er septembre

La mesure, initialement prévue au 1er janvier, doit rendre obligatoire l'audit énergétique en cas de vente d'une maison classée G ou F - dites "passoires énergétiques" - après un diagnostic de performance énergétique (DPE)."La ministre a décidé de reporter l'entrée en vigueur de la mesure au 1er septembre 2022, laissant ainsi le temps nécessaire à la filière pour se préparer, garantir la qualité de la réalisation des audits énergétiques et éviter de ralentir des ventes de logements", a expliqué le ministère dans un communiqué.Les vendeurs de biens diagnostiqués F et G n'auront donc pas à produire d'audit pour les actes signés avant cette date.Les logiciels et les formations nécessaires pour les professionnels devant réaliser ces audits seront déployés "au cours du deuxième trimestre 2022", ajoute le ministère.Le report doit notamment permettre d'établir une cohérence entre l'audit en cas de vente de passoires énergétiques et le nouveau DPE, dont la version définitive n'a été mise en place qu'à partir de novembre, après quelques péripéties liées à des anomalies dans la méthode de calcul, avait expliqué le ministère à l'AFP la semaine dernière, lorsque l'entourage de la ministre Emmanuelle Wargon avait confirmé l'ajournement révélé par Les Echos, sans plus de détail sur la nouvelle date."A compter du 1er septembre 2022, les acquéreurs de maisons ou de bâtiments classés F ou G disposeront en complément de leur diagnostic de performance énergétique, d'un détail précis des travaux nécessaires pour conduire une rénovation performante par étape et une rénovation permettant d'atteindre directement la classe B", a souligné le ministère dans son communiqué vendredi.
Il y a 3 ans et 179 jours

Loi de finances 2022 : un budget inédit pour la rénovation énergétique

Malgré la possible saisine du Conseil Constitutionnel par les groupes d'opposition, elle devrait très probablement être promulguée d'ici le 28 décembre. Pour rappel, la loi de finances détermine pour l'année civile à venir, soit pour 2022, la nature, le montant et l'affectation des ressources (impôts et taxes) et des charges publiques. Alors que la rénovation énergétique s'est transformée ces cinq dernières années et a été désignée comme stratégique par le gouvernement depuis le début de la crise sanitaire, Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, analyse les éléments phares du budget 2022 pour le secteur.“Cette dernière loi de finances consacre cinq années de mandature et un budget inédit alloué à la rénovation énergétique. Tant pour les administrations dédiées à la transition écologique, et notamment pour le logement, que pour les incitations financières versées aux ménages à faire des travaux. Les entreprises ont pris part à cet effort, notamment pendant la crise du Covid en continuant à former, investir, se projeter sans avoir de visibilité sur les années à venir. Pour que la dynamique soit durable en résultats en 2022 et 2023, des problèmes structurels dans la filière sont à résoudre : le développement de modèles de financement pour les rénovations globales lourdes notamment des copropriétés, le manque de prévisibilité des aides financières, des réglementations à venir, des difficultés de recrutement, le choix de matériaux plus locaux pour plus de résilience… Outre le plan d'investissement annoncé par le gouvernement censé y répondre, un plan pluriannuel des investissements publics dédiés à la rénovation énergétique sur le moyen terme permettrait aux professionnels et aux consommateurs de s'engager sur la durée”, réagit Marina Offel, responsable des affaires publiques et juridiques Hellio.L'accès à MaPrimeRénov' pérennisé en 2022 et l'Anah confortée dans ses missions pour les particuliersDans le cadre du Plan de relance, le programme Ecologie” de la loi de finances contribue à la transition écologique, et par ricochet à la rénovation énergétique des bâtiments aussi bien privés que publics, tertiaires et sociaux. La pérennisation des fonds alloués à MaPrimeRénov' distribuée par l'Agence Nationale de l'Habitat (Anah) est confirmée à hauteur de 1,7 milliard d'euros complétés par 300 millions d'euros issus du Plan de relance, soit 2 milliards d'euros au total.Compte tenu de ces nouvelles missions, le plafond d'emplois de l'Anah a été porté en 2021 à 174 emplois temps plein et sera rehaussé à 207 en 2022.En effet, en parallèle de la loi de finances, rappelons que le Gouvernement prévoit de :Fusionner les aides MaPrimeRénov' et Habiter Mieux Sérénité au 1er janvier 2022, permettant un meilleur financement de la rénovation globale pour les ménages précaires. Les modalités exactes d'instruction de cette aide fusionnée restent encore imprécises à ce jour.Lancer au 1er janvier 2022 un guichet unique appelé FranceRénov' pour traiter les demandes relatives aux rénovations énergétiques des bâtiments. Ce nouveau service intégrera les conseillers et guichets FAIRE pilotés par l'ADEME et ceux de l'Anah pour simplifier l'accès à l'information et au conseil pour engager des travaux. L'augmentation du plafond du dispositif Éco-prêt à taux zéroLe député Anthony Cellier a vu son amendement adopté au sujet du dispositif de l'Éco-prêt à taux zéro (éco-PTZ). Pour rappel, celui-ci prévoit un crédit d'impôt au bénéfice des établissements de crédit et sociétés de financement au titre des prêts à taux zéro que ces organismes consentent à des particuliers ou des copropriétés en vue de financer des travaux de rénovation énergétique des logements.Ainsi, la loi de finances 2022 permet notamment pour encourager les rénovations globales des logements plus coûteuses :Un rehaussement du plafond de l'Éco-PTZ “performance énergétique globale” à 50.000 € ( jusqu'ici de 30 000€) ;D'augmenter corrélativement la durée possible de son remboursement à 20 ans (jusqu'ici à 15 ans) ;De simplifier la constitution des dossiers d'Éco-PTZ (pour les bénéficiaires) et leur instruction (pour les établissements de crédits) dans le cas d'un cumul de l'éco-PTZ avec le dispositif MaPrimeRénov' (MPR), afin de faciliter la mobilisation combinée des deux dispositifs ;S'ajoute aux offres bancaires de financement de la rénovation énergétique globale proposées aux ménages, le prêt avance rénovation créé par la Loi Climat et résilience de 2021 et associé à un fonds de garantie publique, devant être déployé en 2022. Son succès dépendra notamment de l'engagement des banques à l'octroyer : des solutions de tiers financement, en complément des solutions bancaires avancées, se sont déployées pour financer le reste à charge', indique Marina Offel.Fin du crédit d'impôt pour la rénovation énergétique des bâtiments des TPE/PMELe Projet de loi de finances pour 2021 avait mis en place, dans le cadre du Plan de relance, un crédit d'impôt à destination des TPE/PME pour les inciter à engager des travaux de rénovation énergétique de leurs locaux. Ce dispositif, budgété par le gouvernement à hauteur de 105 millions d'euros pour l'année 2021, n'était prévu que pour une année. La proposition de proroger ce dispositif pour deux ans a été rejetée par les députés.“Il aurait été pertinent de reconduire cette aide et la transformer sous forme de prime forfaitaire versée à la fin des travaux, à l'image de MaPrimeRénov'. C'est une proposition qu'il faut défendre pour la prochaine mandature. En effet, le crédit d'impôt était une première incitation à destination des entreprises pour leur permettre de s'engager dans une démarche de rénovation énergétique de leurs locaux. Néanmoins, le format de crédit d'impôt est difficilement mobilisable car la récupération de l'avantage intervient tardivement par rapport à la dépense engagée. La prime forfaitaire est aujourd'hui la meilleure formule pour les TPE/PME pour deux raisons essentielles : leurs trésoreries sont mises à rude épreuve par la crise sanitaire et économique. Elles sont moins sensibilisées aux enjeux de la rénovation énergétique des bâtiments que les plus grandes entreprises”, regrette Marina Offel.Hausse des prix des énergies : des crédits supplémentaires pour le chèque énergie, précision sur le bouclier tarifaireLa hausse des prix de l'énergie, et notamment du gaz, depuis le début de l'année 2021 a poussé le gouvernement, dès le mois de septembre, à annoncer des mesures à destination des ménages qui pourraient être fortement impactés avec l'arrivée de l'hiver.En 2021, environ 5,8 millions de ménages ont bénéficié du chèque énergie. Les crédits prévus en 2022 comprennent près d'un milliard d'euros. Ces enveloppes se fondent sur une hypothèse d'augmentation du nombre de bénéficiaires à 6,2 millions (auxquels s'ajoutent 70 000 bénéficiaires en résidences sociales) au vu des conséquences possibles de la crise sanitaire sur le revenu.Par ailleurs, un amendement du Gouvernement adopté le 10 décembre vient préciser la mise en œuvre du “bouclier tarifaire pour l'électricité”, face à la forte hausse du prix des énergies au niveau mondial, complétant ainsi l'accompagnement prévu pour les fournisseurs de gaz. Il permet au Gouvernement de fixer, exceptionnellement au cours de l'année 2022, un niveau de tarifs réglementés inférieur à celui résultant de l'article L.337-6 du code de l'énergie.Un budget maintenu pour assurer des contrôles sur les chantiers financés par des Certificats d'Économies d'Énergie (CEE)Pour rappel, une ligne budgétaire finance le dispositif de contrôle des Certificats d'Économies d'Énergie (CEE), renforcé à la suite de la publication du rapport annuel de la cellule Tracfin de septembre 2017.Elle est maintenue pour 2022 à hauteur de 7,1 millions d'euros.“Ces moyens financiers dédiés aux contrôles après réalisation des travaux correspondent au marché passé par le Pôle national des Certificats d'Économies d'Énergie (PNCEE), confié à des organismes accrédités, visant à contrôler l'existence des travaux et le respect des exigences techniques de certaines opérations ayant donné lieu à la génération de CEE”, précise Marina Offel.
Il y a 3 ans et 179 jours

Le groupe Estémi rachète Loubat Fermetures

Quelques semaines après avoir exprimé sa volonté de croissance externe, le groupe Estémi (ex-Ouvéo) annonce le rachat d'un site industriel dans le Lot-et-Garonne.
Il y a 3 ans et 179 jours

Financement de la LGV Sud-Ouest: Agen, Pau et les Pyrénées-Atlantiques ont dit "oui"

Les différents conseils étaient réunis jeudi 16 décembre au soir pour approuver leur participation financière, objet depuis des semaines d'âpres négociations, au projet de cette ligne à grande vitesse relancé cette année par le gouvernement.
Il y a 3 ans et 179 jours

3 Français sur 4 estiment que l'habitat senior devrait être un enjeu majeur des présidentielles

Alors que plusieurs grands thèmes commencent à s'imposer dans le débat public entre les différents prétendants à la présidentielle, Les Maisons de Marianne ont sollicité l'institut OpinionWay pour sonder les Français sur l'importance de la prise en compte, par les futurs candidats, des problématiques de dépendance et de perte d'autonomie dans le domaine de l'habitat.Les résultats sont édifiants : 76% des répondants souhaitent que les politiques s'emparent des enjeux de l'adaptation des logements aux personnes âgées, en perte d'autonomie (75%) et en situation de handicap (74%). Une préoccupation partagée par un grand nombre d'élus locaux, réunis au sein de l'Union nationale des centres communaux d'action sociale (Unccas) regroupant près de 8.800 communes, qui s'alarment de l'abandon de la loi Grand âge et autonomie et appellent à la mobilisation pour développer des solutions alternatives permettant de favoriser le maintien à domicile.Le logement social et les politiques locales de l'habitat, au cœur des enjeux de la dépendanceLe vieillissement de la population française s'accélère : en 2030, les personnes de 65 ans et plus représenteront près d'un quart de la population, contre 20% aujourd'hui. Cette accélération est renforcée par l'allongement continu de l'espérance de vie.Un vieillissement de la population qui représente l'un des défis majeurs de la société actuelle pour 88% des Français, notamment sur le plan économique. Les structures de prise en charge de la perte d'autonomie, comme les EHPAD, ont une capacité limitée et un coût moyen élevé de 2.200 euros par mois, alors que la pension de retraite moyenne nette en France est de 1.393 euros. De plus, moins d'un Français sur cinq s'estime en capacité de pouvoir aider financièrement un proche en situation de dépendance. Pourtant, selon la DREES, avec le vieillissement démographique, un actif sur quatre sera un « aidant » dans les dix ans... Des chiffres qui soulignent l'importance de favoriser le maintien à domicile. Et pour 77% des personnes interrogées, la perte d'autonomie est un sujet qui doit être supporté par la collectivité. Presque unanimes à considérer que l'accès au logement est un cristalliseur d'inégalités pour les personnes en perte d'autonomie (92%) ou en situation de handicap (91%), les Français comptent notamment sur leurs élus locaux ainsi que sur les bailleurs sociaux pour agir. Ainsi, pour encourager le maintien à domicile, l'adaptation de tous les logements sociaux à la perte d'autonomie (90%) et au handicap (89%) est un vœu très largement partagé. Et les attentes sont fortes : seuls 45% des répondants estiment que les besoins des familles touchées par ces problématiques sont bien pris en compte par les pouvoirs publics et les collectivités territoriales.Pour Éric Vialatel, Président des Maisons de Marianne : « De plus en plus de Français seront confrontés, à un moment de leur vie, à la dépendance d'un proche. Cette étude souligne l'existence d'une prise de conscience collective de l'importance des enjeux liés au vieillissement, et tout particulièrement dans l'habitat, alors que seuls 6% des logements sont actuellement adaptés à la perte d'autonomie. Il est indispensable d'innover pour proposer des solutions accessibles, avec un environnement de vie qualitatif permettant de repousser, le plus longtemps possible, la survenue de la dépendance. C'est la raison d'être des Maisons de Marianne. »Pour Raphaëlle Gilaber, Directrice générale : « Depuis 12 ans, en collaboration avec les collectivités, les promoteurs et les bailleurs sociaux, les Maisons et Villages de Marianne proposent une solution pour le logement favorisant le maintien à domicile et le lien social. Nos résidences intergénérationnelles proposent des logements abordables et une animation du vivre ensemble qui contribue à lutter contre la solitude des aînés, un facteur avéré d'accélération de la perte d'autonomie. Dans un environnement où la demande d'habitat social accessible et adapté explose, les besoins sont immenses, sur l'ensemble du territoire. »
Il y a 3 ans et 179 jours

Pour le ministère du Logement, le CSCEE fonctionne "normalement"

Ces douze derniers mois, le Conseil supérieur de la construction et de l’efficacité énergétique (CSCEE) qui rend des avis consultatifs sur les projets de loi et de textes réglementaires concernant le secteur du bâtiment a fait l’objet de nombreuses critiques. Le ministère du Logement le défend.
Il y a 3 ans et 179 jours

Milliken & Company annonce une neutralité carbone pour l'ensemble de ses gammes de revêtement de sols

Le fabricant mondial Milliken & Company franchit une nouvelle étape en matière de responsabilité environnementale. L’ensemble des dalles textiles, des dalles vinyles « LVT » et des solutions d’entrée produites par Milliken, sont désormais neutres en carbone, compensant les émissions de carbone des matières premières et l'empreinte carbone de production [1] grâce aux compensations carbones certifiées Verified Carbon Standard. Cette annonce, qui s'inscrit dans le cadre du programme M/PACT de la division Floor covering, souligne l’engagement du fabricant en matière de développement durable, à travers ses actions de réduction des émissions carbones, dans le but de poursuivre la lutte contre le dérèglement climatique.« Afin d’assurer un avenir durable, nous devons nous fixer des objectifs ambitieux et développer une expertise de niveau mondial.», affirme Halsey Cook, président et CEO de Milliken & Company. « En utilisant notre expertise scientifique à travers plusieurs industries, nous pouvons développer des produits durables. Nous pouvons également nous assurer de faire le maximum pour fabriquer ces produits de manière responsable. Ce sont les collaborations et les efforts collectifs qui nous permettront d’avancer vers un futur durable. »Dans son programme M/PACT, une initiative de neutralité carbone menée par la division Milliken Floor covering l'entreprise s'engage à réduire ses émissions de carbone et la production de déchets. "Nous nous efforçons toujours d'éliminer les matériaux non essentiels de nos produits, d'utiliser des matériaux recyclés et de réduire notre dépendance au pétrole", explique Jim McCallum, président de Milliken Flooring et vice- président exécutif de Milliken & Company. "Nos revêtements de sols présentent une traçabilité intégrale des matériaux. Nous privilégions l'approvisionnement régional des matériaux et nous fabriquons nos produits localement afin d’optimiser le transport en limitant les distances." Milliken espère développer des partenariats à long terme avec des architectes, des designers, des entreprises et autres clients à travers le monde partageant l’engagement environnemental de l’entreprise. Ces dernières années, les revêtements de sols Milliken ont séduit la communauté des architectes d'intérieur par l’esthétique et les performances techniques des gammes de produits. Un beau design renvoie également à la notion de durabilité du produit."Notre programme M/PACT prouve que les revêtements de sol peuvent satisfaire les attentes de design et de performance tout en prenant en compte les enjeux environnementaux", ajoute M. McCallum. "chacun d’entre nous peut agir, et nous avons hâte de poursuivre le travail et le dialogue autour du changement climatique à travers notre progamme M/PACT."Les clients peuvent consulter la gamme complète de revêtements de sol neutres en carbone de Milliken ici : https://floors.milliken.com/floors/en- gb/sustainability/carbon-neutral-mpact[1] conformément aux normes ISO 14025/ISO14040, selon analyse de cycle de vie du produit et d’après la publication des fiches DEP / FDES par des organismes tiers
Il y a 3 ans et 179 jours

Lien "hautement improbable" entre éoliennes de Nozay et troubles dans les élevages, selon l'Anses

Saisie par les ministères de la Transition écologique et de l'Agriculture en 2019 pour émettre un avis scientifique sur la mystérieuse mortalité des vaches de deux élevages, l'Anses "considère comme hautement improbable, voire exclue" la responsabilité des éoliennes.Depuis la construction en 2012 du parc des "Quatre Seigneurs", trois éleveurs de deux exploitations rapportent une mortalité accrue de leurs bovins ainsi que des troubles du comportement et une baisse de leur production laitière, qu'ils attribuent à l'installation des éoliennes à 700 et 1.500 mètres de leurs fermes."Les troubles dont les éleveurs se plaignent sont réels", reconnaît Matthieu Schuler, directeur général délégué du pôle "sciences pour l'expertise" de l'Anses.Ceux-ci ne sont toutefois pas imputables aux "agents physiques" générés par les éoliennes, à savoir les ondes sonores, les vibrations au niveau du sol et les champs électromagnétiques, conclut l'Anses.Concernant la diminution de la quantité et de la qualité du lait, les troubles de la reproduction et la mortalité, le rapport estime que "la chronologie des troubles est incompatible avec les périodes de construction et de mise en service du parc éolien".Pour les autres troubles, "les niveaux d'exposition à la plupart des agents physiques sont faibles et ne diffèrent pas de ceux rencontrés habituellement dans un élevage", ajoute l'étude."On a également interrogé l'ensemble de nos agences homologues à travers l'Europe. Aujourd'hui aucun trouble équivalent n'a été rapporté (...) dans une vingtaine de pays d'Europe", précise Matthieu Schuler.Selon l'Anses, les troubles rapportés par les éleveurs pourraient avoir "d'autres causes non étudiées", notamment "un niveau d'exposition aux courants parasites inhabituel dans les bâtiments des deux élevages". Un courant parasite, auquel les bovins sont particulièrement sensibles, est un courant de faible voltage dont la circulation n'est ni souhaitée ni maitrisée.En 2019, des experts dans les domaines vétérinaire, électrique, électromagnétique et géobiologique dépéchés à Nozay n'avaient établi aucun "lien direct" entre les troubles rapportés par les éleveurs et les éoliennes.Plusieurs actions en justice ont cependant été intentées par les éleveurs concernés.Fin novembre, le tribunal judiciaire de Nantes a ordonné une expertise des câbles électriques du site, qui doit être rendue au plus tard le 31 juillet 2022.
Il y a 3 ans et 179 jours

Naissance de Sidiane, nouvelle organisation professionnelle pour la filière du diagnostic

Huit entreprises du secteur se regroupent pour créer ce Syndicat Interprofessionnel du Diagnostic Immobilier, de l’Analyse et de la Numérisation de l’Existant. Objectif : structurer, représenter et défendre la filière pour mieux répondre collectivement aux exigences de la transition énergétique et de la lutte contre les pollutions dans les bâtiments.
Il y a 3 ans et 179 jours

SPIE signe un accord pour l’acquisition de NexoTechen Pologne

Avec l’acquisition de NexoTech, SPIE entre sur le marché polonais des infrastructures de télécommunication et renforce sa position de « pure-player » pour les services multi-techniques dans ce pays. En tant que fournisseur de premier plan pour les réseaux à haut débit en cuivre et en fibre optique, NexoTech bénéficie de la forte croissance du déploiement du FttX en Pologne. L’entreprise a une forte présence dans l'ouest et le sud de la Pologne et a son siège à Lubon, à côté de Poznan. Elle emploie environ 950 collaborateurs hautement qualifiés et a réalisé un chiffre d’affaires de 25 millions d'euros en 2020.Markus Holzke, directeur général de SPIE Deutschland & Zentraleuropa, a déclaré : « avec NexoTech, nous intégrons une équipe de premier plan avec une grande expertise dans le développement des réseaux numériques à haut débit. Nous nous réjouissons de poursuivre notre expansion sur le marché à forte croissance du FttX avec l'équipe de direction existante et les 950 collaborateurs. Nous franchissons une étape importante dans le renforcement de notre positionnement en tant que partenaire de confiance pour les services multi-techniques en Pologne. Nous sommes convaincus que nos clients bénéficieront de l'élargissement de notre gamme de services. »Filip Reichelt, directeur général de NexoTech : « grâce aux compétences de ses collaborateurs, NexoTech a établi une position de leader sur le marché polonais. Nous attendons avec impatience cet avenir commun avec SPIE et les opportunités de développement de l'activité en Pologne. Nous sommes convaincus d'apporter une grande contribution. »Prévue pour fin janvier 2022, la signature de la transaction ne dépend plus que de l’approbation des autorités de la concurrence.
Il y a 3 ans et 179 jours

Point sur le projet Morlaàs 2030

Le projet Morlaàs 2030 est divisé en cinq axes : l’habitat, l’économie, la mobilité, le cadre de vie et les services publics.
Il y a 3 ans et 179 jours

Elisabeth Bardet prend la tête de la Direction de la Business Unit Isolation France & Export de Rockwool France

Innovation, digitalisation, déploiement des services, comme l’offre de recyclage RockCycle ou encore la plateforme RockCommerce, participeront de sa dynamique d’accompagnement des acteurs du marché. Une mission stratégique à l’heure où la transition énergétique devient cruciale et qui témoigne de la volonté pour ROCKWOOL de consolider son engagement en faveur du développement durable.Diplômée de l’ESPCI à Paris, Elisabeth Bardet enregistre plus de quinze années d’expériences de direction d’organisation, dans des sociétés de renommée internationale. Elle a occupé successivement différentes fonctions marketing stratégique et commerciales, puis direction de filiale dans les Matériaux de Construction et le Génie Climatique.Depuis octobre 2021, Elisabeth a pris la tête de la Business Unit Isolation de ROCKWOOL France où elle a pour mission de consolider et poursuivre le déploiement commercial en France et à l’export. Elle rapporte à Rafael Rodriguez, Directeur Général de ROCKWOOL France et Europe du sud.Cette nomination intervient à un moment clé pour le groupe. A l’heure où les enjeux climatiques mettent en lumière l’importance de la rénovation énergétique des bâtiments. La France compte encore 4,8 millions de logements considérés comme trop énergivores. Ces passoires thermiques représentent 45% des consommations d’énergie du pays et sont responsables de 25% des émissions de gaz à effet de serre de la France.Face à une demande de plus en plus forte du marché boostée par les politiques publiques d’incitation à la rénovation, le groupe ROCKWOOL réaffirme ses priorités vers une croissance durable pour accompagner le chantier de la rénovation énergétique en France. ROCKWOOL mise d’une part, sur l’innovation, avec des produits énergétiquement plus performants, et d’autre part, sur le conseil avec des services adaptés et digitalisés pour guider tant les particuliers, entreprises et artisans que les distributeurs dans cette transition. A cette dynamique de rénovation, s’ajoute une volonté de mener une stratégie de décarbonation ambitieuse, comme en témoigne les évolutions technologiques sur notre site de Saint-Eloy les Mines et plus récemment le projet d’usine à Soissons"Nous nous réjouissons d'accueillir d’Elisabeth Bardet au sein des équipes ROCKWOOL ! Son excellente connaissance des secteurs de l’industrie et de la construction va nous permettre de renforcer notre leadership sur le marché français et notre investissement fort dans la transition énergétique et le développement durable", déclare Rafael Rodriguez, Directeur général de ROCKWOOL Europe du sud.Elisabeth Bardet, directrice de la Business Unit Isolation France & Export de Rockwool France : "Je suis ravie de retrouver le Groupe ROCKWOOL après 10 ans d'une étape de carrière riche d'expériences et de réalisations. Après quelques semaines, je trouve ROCKWOOL encore plus centré sur sa mission et déterminé sur ses priorités. La démarche de responsabilité toujours au cœur de la culture d'entreprise est plus que jamais partagée par les équipes en France, au siège à Paris et à l'usine à Saint-Eloy les Mines. C'est assurément ce qui nous distingue comme un industriel de valeur, pilier de la qualité de notre relation client et de nos échanges avec le marché."
Il y a 3 ans et 180 jours

Grand Lyon : Plateforme des acteurs métropolitains du BTP

Le BTP emploie 37 000 personnes sur le territoire du Grand Lyon. La plateforme traite de trois sujets : l’économie de la ressource, la biodiversité et l’approche en coût global…  Avec : Emeline Baume, Vice-présidente chargée de l’économie – Métropole de Lyon Béatrice Vessiller, Vice-présidente chargée de l’urbanisme – Métropole de Lyon Cet article Grand Lyon : Plateforme des acteurs métropolitains du BTP est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 180 jours

Près de 2 Français sur 3 baissent le chauffage pour réduire leur facture

LeLynx.fr, comparateur en ligne d’offres énergie, a interrogé les consommateurs et décrypte les éco-gestes les plus couramment adoptés.62% des Français limitent la température du chauffage pour payer moins cherDans une étude réalisée par YouGov, LeLynx.fr s’intéresse aux comportements des Français pour réduire leurs dépenses d’énergie à leur domicile. L’étude révèle que la grande majorité des ménages ont adopté des éco-gestes concrets pour faire des économies d’énergie. Seuls 4% d’entre eux déclarent ne rien faire pour réduire leur consommation. A l’heure où le froid hivernal s’installe à l’extérieur, près de 2 Français sur 3 (62%) reconnaissent baisser la température du chauffage pour réduire le montant de leur facture. Un geste auquel ont davantage recours les habitants des zones rurales (63%) et des petites et moyennes villes (65%). Dans les grandes villes, c’est 1 habitant sur 2 (55%) qui réduit la température des radiateurs pour économiser sur sa facture de chauffage. D’autres éco-gestes font désormais aussi partie du quotidien des Français. 65% d’entre eux ont déjà remplacé leurs ampoules par des LED, plus économes et 64% affirment privilégier les douches aux bains. Certains réflexes font également leur apparition : 38% des consommateurs pensent à comparer les étiquettes énergie quand ils achètent un appareil électrique et 23% utilisent l’application mobile de leur fournisseur d’énergie pour contrôler leur consommation. Près d’un quart d’entre eux (27%) ont d’ailleurs souscrit à une offre énergie plus avantageuse auprès de leur fournisseur d’énergie, comme une option heures creuses.Pour Itzal Arbide, Directrice générale de LeLynx.fr : « Les Français ont bien compris que changer quelques gestes au quotidien peut réduire la facture d’énergie : en passant le chauffage de son logement de 20° à 19°, un foyer peut réduire sa consommation de près de 7%. Privilégier les heures creuses pour faire fonctionner ses appareils électriques permet également de bénéficier d’un tarif réduit de 40%. »En revanche, seuls 16% des Français déclarent avoir entrepris des travaux de rénovation pour réduire la consommation énergétique de leur logement.Le chauffage représente 71% de la consommation d’énergie des Français Selon le Centre d’Etudes et de Recherches Économiques sur l’Énergie (CEREN), 71% de la consommation énergétique annuelle des ménages français sont dévolus au chauffage, toutes énergies confondues. Viennent ensuite les appareils électriques (17%), l’eau chaude sanitaire et la cuisson, à égalité à 6%. Dans le palmarès des appareils électriques qui consomment le plus, le combiné réfrigérateur/congélateur arrive en tête (346 kWh/an), talonné par le sèche-linge (301 kWh/an) et le congélateur (288 kWh/an). La télévision est au pied du podium (187 kWh/an), suivi du réfrigérateur (166 kWh/an) et du lave-vaisselle (162 kWh/an). Surprise du classement : la console de jeux vidéos consomme 103 kWh/an en moyenne, soit presque autant d’une machine à laver !
Il y a 3 ans et 180 jours

Construction 21 : retours d’expériences greensolutions awards

Construction 21 présente les Green Solutions Awards.  Ce concours donne à voir, à la fois au plan national et mondial, des solutions réelles déjà mises en œuvre dans des bâtiments, quartiers et infrastructures exemplaires pour la transition écologique. Sur le plateau de Bati-Journal sur Bepositive, Max Maurel et Bruno Dehan présentation des opérations exemplaires. Avec : Christian Brodhag, Président Construction21 France et international Bruno Dehan, Dirigeant fondateur de Sequoia Ingénierie et président du Cluster Eco-Bâtiment Max Maurel, fondateur et directeur du bureau d’études thermiques MAYA Toutes les vidéos de BePositive 2021
Il y a 3 ans et 180 jours

Construction 21 : retours d’expériences greensolutions awards

Construction 21 présente les Green Solutions Awards.  Ce concours donne à voir, à la fois au plan national et mondial, des solutions réelles déjà mises en œuvre dans des bâtiments, quartiers et infrastructures exemplaires pour la transition écologique. Sur le plateau de Bati-Journal sur Bepositive, Max Maurel et Bruno Dehan présentent des opérations exemplaires.  Avec : Christian Brodhag, Président Construction21 France et international Bruno Dehan, Dirigeant fondateur de Sequoia Ingénierie et président du Cluster Eco-Bâtiment Max Maurel, fondateur et directeur du bureau d’études thermiques MAYA Cet article Construction 21 : retours d’expériences greensolutions awards est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 180 jours

Comment concilier sobriété foncière et habitat individuel ?

RAPPORT. Le groupe de travail sur l'avenir de l'habitat individuel a rendu son rapport au Gouvernement. Une série de mesures y sont préconisées, entre encouragement des particuliers à la densification des parcelles et contrôle des stratégies des collectivités pour contourner les objectifs de densité.
Il y a 3 ans et 180 jours

Les acteurs du cadre de vie présentent leur rapport "Pour une vision renouvelée de l’habitat individuel"

Cette démarche collective réunissant les principaux acteurs du secteur : Fédération des SCoT, Union Nationale des Aménageurs, Conseil National de l'Ordre des Architectes, Office Professionnel de Qualification des Urbanistes, Pôle Habitat de la Fédération Française du Bâtiment, Fédération des Promoteurs Immobiliers, Fédération Française des Constructeurs de Maisons Individuelles, a abouti ce 16 décembre, à la remise à Emmanuelle WARGON, Ministre déléguée auprès de la Ministre de la Transition écologique, chargée du Logement, d’un rapport inédit compilant diagnostics et propositions afin de repenser puis faire évoluer l’habitat individuel. La Ministre a accueilli les propositions formulées avec la plus grande attention.Un groupe de travail pluridisciplinaire pour une approche à 360°Autour de l’Ordre des géomètres-experts, l’objectif du groupe de travail était de concilier trois impératifs : la trajectoire de sobriété foncière souhaitée par le Gouvernement pour répondre aux enjeux environnementaux, les besoins en matière de logements face à une tension croissante sur le marché résidentiel, et le souhait des Français voulant très majoritairement résider dans des logements individuels.Le rapport qui résulte des travaux, disponible via ce lien, articule un diagnostic de la production neuve d’habitat individuel, du parc existant et des aspirations résidentielles des Français, ainsi que des propositions portant autant sur l’intensification urbaine douce que sur le développement d’une offre nouvelle intégrant les enjeux de sobriété foncière.Vers une vision renouvelée du cadre de vieLes crises se succèdent mais les besoins fondamentaux de nos concitoyens restent. Les modes de fabrication des espaces urbains et des territoires doivent être renouvelés pour inventer de nouveaux modèles de développement.Les métropoles portent une vision de la croissance et de la densité, qui ne saurait obérer le choix de vivre dans des villes petites ou moyennes, ni le choix de s'installer dans les communes les moins denses qui occupent les trois-quarts du territoire.Enfin la complémentarité des typologies d’habitat (collectif, individuel, groupé, maisons de villes) des modes de financements (accession et locatif, libre et social), des services, des emplois et des équipements souligne toujours plus le besoin d’une vision transversale et prospective.Dans un contexte de doute sur le modèle dominant, de graves crises de production du logement, et de crises énergétiques et environnementales, les professions réunies rappellent comment ils peuvent, avec des outils de production du logement renouvelés, concourir à faire émerger des solutions politiques, économiques et environnementales. Avec ce rapport, ils flèchent vers des réformes possibles et souhaitables.Conjuguer intensification du tissu existant et développement d’une offre nouvelle plus sobre en foncier : des solutions sont possiblesLes professions réunies font le constat que l’habitat individuel, par sa souplesse d'organisation spatiale, permet d'utiliser des emprises foncières de petite taille ou de configuration complexe et représente une réponse pertinente pour fabriquer une densité de proximité heureuse, traiter les discontinuités urbaines et territoriales, et recycler les friches urbaines et périurbaines des bourgs, petites villes et villes moyennes qui maillent notre territoire.Il constitue également un moyen de conforter la place des pôles urbains secondaires et tertiaires, à l’heure où la réduction des déplacements pendulaires doit être une priorité pour lutter contre les émissions de gaz à effet de serre.Pour le tissu d’habitat individuel existant, une double opportunité d’amélioration et d’intensification ressort dès lors qu’il peut proposer des formes urbaines adaptées plus économes en foncier. Trois axes de travail porteurs de solutions ont ainsi été identifiés :Améliorer la qualité de l’existant avec des approches mutualisées à l’échelle du territoire ou du quartierLever les freins, notamment réglementaires, à la densification et créer une incitation fiscaleRenforcer l’approche opérationnelle et professionnelle de la densification, en favorisant l’innovation et acculturant les collectivités à un urbanisme de projetEn complément, et pour répondre notamment à l’attractivité renouvelée de territoires jusqu’alors détendus, le groupe de travail a également identifié trois champs d’intervention prioritaires pour le développement d’une offre nouvelle d’habitat individuel sobre en foncier :Agir sur la fiscalité pour lutter contre la rétention foncière et encourager le développement de l’offre nouvelle à proximité des bassins d’emplois, de services et de transports et en secteur urbain constituéPromouvoir le développement de formes plus denses, en redéfinissant la notion d’habitat individuel, groupé ou organiséRenforcer la qualité de la planification et des documents d’urbanisme, et lutter contre les règles contraires à l’objectif de sobriété foncièreLa nécessité de bien prendre en compte les diversités des habitats, des besoins et des territoires« Ce qu’il faut retenir, c’est un écueil, celui qui voudrait nous voir mettre en concurrence l’habitat individuel face à l’habitat collectif. » Joseph Pascual, Président du Conseil supérieur de l’Ordre des géomètres-experts, l’a rappelé lors de la présentation du rapport : « Un parcours résidentiel serein et répondant aux besoins des Français ne peut se bâtir qu’en intégrant la diversité des typologies d’habitat proposées : on n’habite pas de la même façon pendant ses études, à l’arrivée du 3ème enfant, ou en vieillissant lorsque l’on devient moins mobile. Toutes les offres résidentielles doivent être adaptées, contextualisées au regard des attentes des Français et des besoins spécifiques des territoires. Cette territorialisation de la trajectoire nationale de sobriété foncière sera nécessairement accompagnée par les experts du foncier que sont les géomètres-experts, les acteurs de l’aménagement, de la construction et du cadre de vie. »
Il y a 3 ans et 180 jours

L'exécutif veut faciliter le développement des biosourcés et des systèmes énergétiques

INDUSTRIE. Plusieurs ministres ont annoncé le déblocage de 420 millions d'euros pour développer les biotechnologies industrielles ainsi que les matériaux biosourcés. Un appel à projets a aussi été lancé pour soutenir l'innovation dans les filières des systèmes énergétiques et du traitement de l'air dans les bâtiments.
Il y a 3 ans et 180 jours

Amélioration du confort thermique, acoustique et de la qualité d’air intérieur

La santé et le bien-être des usagers et habitants des bâtiments est une préoccupation essentielle. La qualité de l’air intérieur est un sujet très médiatisé qui n’éclipse pas les autres : confort thermique, acoustique, lumière, champs électromagnétiques…    Avec : Marie-Soriya Ao, Déléguée Générale – Cluster Eco-Bâtiment Claire-Sophie Coeudevez, Directrice – Medieco   Cet article Amélioration du confort thermique, acoustique et de la qualité d’air intérieur est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 180 jours

Assurance chômage : victoire finale de l'exécutif contre les syndicats

"Il n'y a pas lieu de statuer sur les conclusions des requêtes dirigées contre les dispositions du décret du 30 mars 2021" qui modifiait le calcul de l'allocation, conclut le Conseil d'Etat dans sa décision.C'est la fin d'une longue bataille menée par les syndicats contre cette réforme présentée en juillet 2019 par Edouard Philippe et Muriel Pénicaud, dont l'application avait été reportée plusieurs fois du fait de la crise du Covid et de rebondissements judiciaires.Pour Michel Beaugas (FO), ce rejet est "une déception car la réforme est mauvaise et, contrairement à ce que dit le gouvernement, ne favorisera pas le recours à moins de contrats courts".L'Unsa y voit "un coup dur pour les demandeurs d'emploi", dans un communiqué.Les juges ont suivi l'avis de la rapporteure publique Marie Sirinelli qui avait rejeté un à un lors de l'audience les arguments des syndicats.Au centre du contentieux, le nouveau mode de calcul du salaire journalier de référence (SJR), base de l'allocation chômage, qui va pénaliser l'indemnisation des demandeurs d'emploi alternant périodes de travail et d'inactivité.Dans un contexte de baisse du chômage et de difficultés de recrutement, Emmanuel Macron a répété que cette réforme était "indispensable (...) pour rendre la reprise du travail plus attractive dans tous les cas", les règles précédentes pouvant rendre parfois plus rémunératrice cette "permittence" qu'une activité continue à mi-temps par exemple.Pour y remédier, la réforme de 2019 prévoyait que le SJR soit calculé en divisant les salaires perçus au cours des 24 mois avant le chômage par l'ensemble des jours - et non plus les seuls jours travaillés - entre le premier et le dernier jour d'emploi.Mécaniquement, cela baisse fortement le montant de l'allocation (puisqu'on divise le même salaire par plus de jours) de ceux qui ne travaillent pas en continu."Revirement"Le Conseil d'Etat avait d'ailleurs invalidé en novembre 2020 cette mesure au motif qu'elle entraînait "une différence de traitement manifestement disproportionnée" entre chômeurs.Au terme d'une concertation avec les partenaires sociaux, l'exécutif avait pris un nouveau décret fin mars - celui sur lequel le Conseil d'Etat s'est prononcé mercredi - qui plafonne le nombre de jours non travaillés pris en compte dans le calcul.Selon l'Unédic, plusieurs centaines de milliers de demandeurs ouvrant des droits dans l'année suivant l'application de la réforme toucheront cependant une allocation mensuelle plus faible (de 17% en moyenne).Mais pour les juges, ces différences de traitement relevées par l'Unédic "bénéficient aux personnes dont les périodes d'emploi sont les plus rapprochées" et ne sont pas "manifestement disproportionnées" grâce au plafonnement.Dans un communiqué, la CGT s'interroge sur ce "revirement du Conseil d'Etat". "La campagne présidentielle a-t-elle impliqué des pressions sur la plus haute juridiction administrative ?", se demande-t-elle.Les syndicats déploraient aussi le décalage entre l'entrée en vigueur du nouveau mode de calcul le 1er octobre et celle du bonus-malus sur les entreprises (dans sept grands secteurs consommateurs de contrats courts) qui n'aura d'effet sur les cotisations chômage qu'en septembre 2022 et que pour deux mois... les règles devant déjà être renégociées pour novembre 2022.L'exécutif, qui compte sur cette mesure pour lutter contre l'abus de contrats précaires, répond que la période d'observation des entreprises pour calculer cette modulation a démarré dès juillet 2021.Les économies attendues par la réforme (1,9 milliard en 2022 dont 800 millions liés au SJR, selon l'Unédic) vont au-delà de celles fixées initialement par le gouvernement (entre 1 et 1,3 milliard).Le reste de la réforme contestée est aussi appliqué depuis le 1er décembre.Il faut désormais avoir travaillé six mois au lieu de quatre pour bénéficier d'une allocation chômage.La dégressivité de 30% (pour les chômeurs de moins de 57 ans ayant perdu une rémunération supérieure à 4.500 euros brut) s'applique au 7e mois et non plus au 9e.Une commission de suivi des effets de la réforme, associant les partenaires sociaux, doit être instaurée début 2022.
Il y a 3 ans et 180 jours

Quatrième baromètre sur l’Immobilier Responsable : les critères environnementaux incontournables

L’Observatoire de l’Immobilier Durable (OID) a publié le Baromètre 2021 de l’Immobilier Responsable. Il consacre l’importance des critères ESG dans les décisions de gestion et d’investissement.
Il y a 3 ans et 180 jours

Actualités marchés / RE 2020

La RE2020 est une réglementation évolutive : « Au début ça va aller assez doucement et puis ça va s’accélérer au fur et à mesure. Il y aura des impacts sur une bonne dizaine d’années »…    Avec : Simon Barret, Responsable agence de Lyon – Tribu Energie Thomas Perrissin, Co-Directeur – ÖkoFEN France Cet article Actualités marchés / RE 2020 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.