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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 3 ans et 180 jours

Amélioration du confort thermique, acoustique et de la qualité d’air intérieur

La santé et le bien-être des usagers et habitants des bâtiments est une préoccupation essentielle. La qualité de l’air intérieur est un sujet très médiatisé qui n’éclipse pas les autres : confort thermique, acoustique, lumière, champs électromagnétiques…    Avec : Marie-Soriya Ao, Déléguée Générale – Cluster Eco-Bâtiment Claire-Sophie Coeudevez, Directrice – Medieco   Cet article Amélioration du confort thermique, acoustique et de la qualité d’air intérieur est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 180 jours

Assurance chômage : victoire finale de l'exécutif contre les syndicats

"Il n'y a pas lieu de statuer sur les conclusions des requêtes dirigées contre les dispositions du décret du 30 mars 2021" qui modifiait le calcul de l'allocation, conclut le Conseil d'Etat dans sa décision.C'est la fin d'une longue bataille menée par les syndicats contre cette réforme présentée en juillet 2019 par Edouard Philippe et Muriel Pénicaud, dont l'application avait été reportée plusieurs fois du fait de la crise du Covid et de rebondissements judiciaires.Pour Michel Beaugas (FO), ce rejet est "une déception car la réforme est mauvaise et, contrairement à ce que dit le gouvernement, ne favorisera pas le recours à moins de contrats courts".L'Unsa y voit "un coup dur pour les demandeurs d'emploi", dans un communiqué.Les juges ont suivi l'avis de la rapporteure publique Marie Sirinelli qui avait rejeté un à un lors de l'audience les arguments des syndicats.Au centre du contentieux, le nouveau mode de calcul du salaire journalier de référence (SJR), base de l'allocation chômage, qui va pénaliser l'indemnisation des demandeurs d'emploi alternant périodes de travail et d'inactivité.Dans un contexte de baisse du chômage et de difficultés de recrutement, Emmanuel Macron a répété que cette réforme était "indispensable (...) pour rendre la reprise du travail plus attractive dans tous les cas", les règles précédentes pouvant rendre parfois plus rémunératrice cette "permittence" qu'une activité continue à mi-temps par exemple.Pour y remédier, la réforme de 2019 prévoyait que le SJR soit calculé en divisant les salaires perçus au cours des 24 mois avant le chômage par l'ensemble des jours - et non plus les seuls jours travaillés - entre le premier et le dernier jour d'emploi.Mécaniquement, cela baisse fortement le montant de l'allocation (puisqu'on divise le même salaire par plus de jours) de ceux qui ne travaillent pas en continu."Revirement"Le Conseil d'Etat avait d'ailleurs invalidé en novembre 2020 cette mesure au motif qu'elle entraînait "une différence de traitement manifestement disproportionnée" entre chômeurs.Au terme d'une concertation avec les partenaires sociaux, l'exécutif avait pris un nouveau décret fin mars - celui sur lequel le Conseil d'Etat s'est prononcé mercredi - qui plafonne le nombre de jours non travaillés pris en compte dans le calcul.Selon l'Unédic, plusieurs centaines de milliers de demandeurs ouvrant des droits dans l'année suivant l'application de la réforme toucheront cependant une allocation mensuelle plus faible (de 17% en moyenne).Mais pour les juges, ces différences de traitement relevées par l'Unédic "bénéficient aux personnes dont les périodes d'emploi sont les plus rapprochées" et ne sont pas "manifestement disproportionnées" grâce au plafonnement.Dans un communiqué, la CGT s'interroge sur ce "revirement du Conseil d'Etat". "La campagne présidentielle a-t-elle impliqué des pressions sur la plus haute juridiction administrative ?", se demande-t-elle.Les syndicats déploraient aussi le décalage entre l'entrée en vigueur du nouveau mode de calcul le 1er octobre et celle du bonus-malus sur les entreprises (dans sept grands secteurs consommateurs de contrats courts) qui n'aura d'effet sur les cotisations chômage qu'en septembre 2022 et que pour deux mois... les règles devant déjà être renégociées pour novembre 2022.L'exécutif, qui compte sur cette mesure pour lutter contre l'abus de contrats précaires, répond que la période d'observation des entreprises pour calculer cette modulation a démarré dès juillet 2021.Les économies attendues par la réforme (1,9 milliard en 2022 dont 800 millions liés au SJR, selon l'Unédic) vont au-delà de celles fixées initialement par le gouvernement (entre 1 et 1,3 milliard).Le reste de la réforme contestée est aussi appliqué depuis le 1er décembre.Il faut désormais avoir travaillé six mois au lieu de quatre pour bénéficier d'une allocation chômage.La dégressivité de 30% (pour les chômeurs de moins de 57 ans ayant perdu une rémunération supérieure à 4.500 euros brut) s'applique au 7e mois et non plus au 9e.Une commission de suivi des effets de la réforme, associant les partenaires sociaux, doit être instaurée début 2022.
Il y a 3 ans et 180 jours

Quatrième baromètre sur l’Immobilier Responsable : les critères environnementaux incontournables

L’Observatoire de l’Immobilier Durable (OID) a publié le Baromètre 2021 de l’Immobilier Responsable. Il consacre l’importance des critères ESG dans les décisions de gestion et d’investissement.
Il y a 3 ans et 180 jours

Actualités marchés / RE 2020

La RE2020 est une réglementation évolutive : « Au début ça va aller assez doucement et puis ça va s’accélérer au fur et à mesure. Il y aura des impacts sur une bonne dizaine d’années »…    Avec : Simon Barret, Responsable agence de Lyon – Tribu Energie Thomas Perrissin, Co-Directeur – ÖkoFEN France Cet article Actualités marchés / RE 2020 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 180 jours

L’emploi & la formation / L’innovation par la formation

Aujourd’hui, on va dans les métiers du bâtiment par choix. C’est un secteur technique, performant, innovant, engageant. On est sûr de ne jamais faire deux chantiers identiques…   Avec : François Meyer, Responsable Technique et Formation – KNX France Damien Michaud, Chargé de mission formation continue – Réseau des GRETA Jacques Olivier Hénon, Directeur des politiques de Formation et de l’innovation pédagogique – CCCA-BTP Toutes les vidéos de BePositive 2021
Il y a 3 ans et 180 jours

L’emploi & la formation / L’innovation par la formation

Aujourd’hui, on va dans les métiers du bâtiment par choix. C’est un secteur technique, performant, innovant, engageant. On est sûr de ne jamais faire deux chantiers identiques…    Avec : François Meyer, Responsable Technique et Formation – KNX France Damien Michaud, Chargé de mission formation continue – Réseau des GRETA Jacques Olivier Hénon, Directeur des politiques de Formation et de l’innovation pédagogique – CCCA-BTP Cet article L’emploi & la formation / L’innovation par la formation est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 180 jours

2021 : L’année des adjuvants

Le 11 novembre dernier, Sika annonçait l’intégration de MBCC Group. [©Sika] Rachat, cession, changement d’identité… sont autant d’évènements qui rythment la vie des entreprises. Mais parfois, les choses s’accélèrent, convergent dans une même direction. A ce titre, l’année 2021 constituera sans doute un cas d’école, du côté de l’adjuvantation pour les bétons et les mortiers. C’est Technique Béton qui a ouvert le bal, informant début février, de l’adoption d’une nouvelle appellation. Disons plutôt que la filiale du groupe international DSI s’est intégrée dans une nouvelle entité, spécifique à la France, baptisée Tam Groupe. Les marques Artéon (fixations), Mandelli-Setra (accessoires pour la construction) et Ideaplast (accessoires plastiques pour le béton) ont suivi la même démarche. L’objectif était de regrouper les forces et les produits de chacune de ces sociétés : plus qu’un seul interlocuteur pour l’ensemble de l’offre… Saint-Gobain s’offre Chryso et Sika absorbe MBCC Group Benoit Bazin, Dg de Saint-Gobain, expliquant l’acquisition de GCP Applied Technologies, le 6 décembre dernier. [©Saint-Gobain] Mais le premier véritable coup de tonnerre est venu de Saint-Gobain. Courant mai, le groupe annonçait l’acquisition de Chryso, pour une valeur d’entreprise de 1,02 Md€. Cette transaction a été finalisée au tout début du mois d’octobre, faisant de Saint-Gobain un nouvel acteur de l’adjuvantation. La réponse ne s’est pas faite attendre trop longtemps et elle vient de Suisse, cette fois-ci. Sika – dont on se rappelle encore la bataille rangée contre Saint-Gobain, qui souhaitait absorber l’industriel, à partir de 2015 – a réuni une conférence de presse le 11 novembre (eh oui !) pour dévoiler le rachat de MBCC Group. Pour les moins experts, MBCC Group n’est autre que le nouveau nom mis en place fin 2020 de l’ex-division “chimie de la construction” de BASF. Les marques comme Master Builders Solutions ou PCI en font partie. La somme mise sur la table par Sika pour intégrer MBCC Group est tout simplement stratosphérique : 5,2 Md€ ! Ceci, alors même que Lone Star Funds avait déboursé “seulement” 3,17 Md€ pour reprendre le même groupe, deux ans plus tôt…  Ce qui est certain, en revanche, c’est que cette acquisition fait de Sika le n° 1 mondial de l’adjuvantation pour bétons, avec un chiffre d’affaires attendu – toutes activités confondues – de 12,3 Md€ dès 2023. GCP Applied Technologies comme cadeau pour la Saint-Nicolas Le dernier acte de cette chronique revient à Saint-Gobain, une nouvelle fois. En effet, le rachat de Chryso ne représentait que la première étape d’un programme bien réfléchi… « Quand nous avons fait l’acquisition de Chryso, nous avions déjà à l’esprit cette seconde étape stratégique », indiquait d’ailleurs Benoit Bazin, Dg de Saint-Gobain, à propos de l’intégration de CGP Applied Technologies. L’information est tombée le 6 décembre, jour de la Saint-Nicolas. Le groupe français s’est donc fait un très joli cadeau, d’une valeur d’entreprise de 2 Md€. L’intégration finale de l’entreprise doit aboutir d’ici la fin de l’année 2022. Ceci, sous la marque Chryso, pour ce qui est de l’activité “adjuvants pour bétons et additifs pour ciment”. Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, Chryso a profité de la période pour dévoiler, en toute discrétion pour le moment sa nouvelle identité visuelle…  Début décembre, Saint-Gobain a dévoilé le nouveau logo de Chryso. A gauche, l’ancienne identité visuelle. [©Saint-Gobain]
Il y a 3 ans et 180 jours

S'amuser pour mieux acheter, le nouveau crédo des centres commerciaux

La volonté de mettre du loisir au milieu des commerces n'est pas complètement nouvelle: déjà en 2019, la société Reed Midem, qui organise le Mapic, avait annoncé que le salon serait désormais couplé avec un autre événement nommé LeisurUp, dédié aux loisirs."Le Covid est passé par là et ça a été un moteur d'accélération de cette tendance", indique à l'AFP Nathalie Depetro, directrice du Mapic.Avec les confinements, de nombreux Français ont en effet pris le pli des achats en ligne et ne voient plus l'intérêt de se déplacer jusqu'au centre commercial, sauf pour pouvoir y faire autre chose que leurs achats habituels."On est passé d'un commerce de besoin, à un commerce dit d'envie", estime Christian Dubois, expert en distribution au sein du cabinet de conseil Cushman & Wakefield.Cette année, 50% de la zone d'exposition du Mapic est ainsi dédiée aux opérateurs de loisirs. Au milieu des stands où s'échangent cartes de visite et promesses de contrats, les promoteurs et investisseurs en costume peuvent ainsi se lancer dans une partie de jeux vidéo. Certains envoient des ballons sur un mur où est représentée une cage de football ou tirent autour d'eux avec un fusil en plastique, lunettes de réalité virtuelle sur les yeux.Malgré la pandémie, qui a beaucoup pesé sur les activités de loisirs, "on sent vraiment un engouement des centres commerciaux pour nos installations", commente Peggy Parisot, responsable marketing et communication de la société NeoXperience, qui crée des "arènes" de jeux vidéo."Les clients cherchent une solution clé en main", pour remplir des espaces vides, ajoute-t-elle. Et plus les installations sont faciles à installer et à désinstaller, plus le centre commercial peut créer un sentiment de surprise pour le consommateur.
Il y a 3 ans et 180 jours

Bâtiment durable, Construisons l’avenir / Traitement de l’air et de l’eau

La santé des populations serait influencée à 70 % par des facteurs liés au cadre de vie : mode de vie, paramètres environnementaux…  Avec : Marc Allenbach, Directeur Général – Helios ventilateurs Julien Paris, Co-fondateur – Bativ’Air Santé Simon Davies, Directeur Environnement – fondation AIA Cet article Bâtiment durable, Construisons l’avenir / Traitement de l’air et de l’eau est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 180 jours

Le campus cyber de la Défense lancé mi-février

"Nous pensons que nous ouvrirons le campus le 15 février", a-t-il déclaré dans une conférence de presse en compagnie notamment de Guillaume Poupard, le directeur général de l'Anssi, l'agence nationale pour la sécurité des systèmes d'information.Voulu par Emmanuel Macron, le campus cyber rassemblera des représentants d'entreprises de cybesécurité de toute taille, de la start-up aux géants, des services de l'État, d'institut de recherche comme l'Inria et d'écoles spécialisées.Le but est de créer un environnement favorable pour l'innovation technologique et le rayonnement de la filière cyber française.A terme, entre 1.600 et 1.700 personnes travailleront sur le campus, dont 30% représentant des grandes entreprises et 25% des services de l'État (Agence nationale de la sécurité informatique, gendarmerie, police ou services de renseignements, militaires du Comcyber), selon les chiffres présentés par Michel Van Den Berghe.L'espace dans la tour sera réparti entre espaces privatifs pour les grands acteurs et espaces partagés pour les autres. L'Anssi en particulier bénéficiera de l'un des treize étages de la tour, avec un effectif d'environ 80 personnes, selon Guillaume Poupard.Les entreprises non-européennes qui voudront disposer de leurs propres locaux auront leur propre étage."C'est vraiment un point sur lequel on travaille aujourd'hui", a expliqué mardi Michel Van Den Berghe."On cherche à voir comment faire venir de grands acteurs du numérique international".Le campus cyber disposera également d'un incubateur pour les start-up.Le but est d'arriver à travailler sur "20 à 30 projets" de jeunes pousses par an, pour parvenir à en lancer effectivement une dizaine sur la même période, a indiqué Christophe Dumoulin, qui pilotera l'incubateur.Un fonds doté de "8 à 10 millions d'euros" a été créé pour contribuer à hauteur de 300.000 euros aux jeunes pousses, a-t-il indiqué.Plusieurs groupes de travail thématiques associant plusieurs résidents du campus ont déjà commencer à fonctionner.Ces groupes travaillent notamment sur l'utilisation de l'intelligence artificielle en cybersécurité, ou bien sur une plateforme d'échange d'informations sur les attaques en cours, selon le campus cyber.
Il y a 3 ans et 180 jours

Chantonnay : la résidence Le Relais a été inaugurée

La nouvelle résidence Le Relais propose 33 logements en réponse à la problématique de logements pour les jeunes actifs ou en formation.
Il y a 3 ans et 180 jours

ZW France équipe l'Association de la Vallée de l'Hérault avec ZW3D

Composée d'une Entreprise Adaptée et d'un Établissement de Service d'Aide par le Travail, l'Association de la Vallée de l'Hérault possède une activité industrielle qui la rend dynamique (4,8M€ de CA en 2019) avec notamment un partenariat avec le groupe ALTRAD, sponsors officiel du XV de France.L'association a pu bénéficier de licence ZW3D, alternative à Solidworks/Rhino à prix réduit pour pouvoir digitaliser son activitéDécouvrez l’article sur l'association et l'utilisation de ZW3D avec l'interview de Mr Pueyo.En savoir plus sur ZW3D.
Il y a 3 ans et 180 jours

Les logiques managériales, aux portes des agences d'architecture

Le 16 novembre 2021 à la Cité de l'architecture, le ministère de la Culture ressuscitait « l'Observatoire de l'économie de l'architecture », organisme de statistiques dont on n'avait plus entendu parler depuis les années 2000. S'il faut se réjouir que l'État se préoccupe d'une […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 180 jours

"Une nouvelle donne électrique se dessine", pour Barbara Pompili

ÉNERGIES. La ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, a annoncé lors du congrès de l'Union française de l'électricité (UFE) l'engagement d'une "nouvelle donne électrique", qui touchera l'ensemble des usages de l'énergie.
Il y a 3 ans et 180 jours

VIPros, 4 ans après : bilan et perspectives

Avec l’aide de quelques industriels précurseurs, VIPros a initié un dispositif unique en France, capable :D’identifier les entreprises artisanales susceptibles d’acheter leurs produits (les industriels s’arrêtaient jusqu’à lors aux seuls contacts distributeurs),D’être en capacité de dialoguer directement avec elles pour prescrire les produits-services les plus adaptés à leurs besoins et les amener à un meilleur usage,De s’appuyer sur un collectif de marques complémentaires pour les fidéliser, avec à la clé, un programme animé et généreux,De capitaliser sur le retour d’expérience partagé avec l’ensemble des marques pour identifier des besoins, anticiper des renouvellements, faire des offres ciblées et donc plus intéressantes pour les artisans.En 4 ans, le programme VIPros a :Enregistré une base qualifiée de 11.000 entreprises artisanales, représentant selon les classifications de l’Insee, entre 45.000 et 85.000 utilisateurs professionnels,Développé l'un des outils les plus élaborés pour gérer une relation permanente avec ces entreprises,Créé un dispositif inédit d’animation commerciale, via 3 leviers promotionnels : VIPointscashback (plus performant et porteur d’image que les classiques offres de remboursement)réductions immédiates (B.R.I. unique en France, en cours de déploiement pour des 1ers tests physiques et en ligne),Initié un programme de recherche en Data Science, validé par l’Etat, pour optimiser l’animation des communautés VIPros (marques, artisans, distributeurs).Tous ces investissements sont mutualisés et constituent le 1er R.O.I. des industriels partenaires.Mais l’aventure ne va pas s’arrêter là , VIPros va amplifier ses efforts et ses investissements pour :Valoriser le programme au travers d’actions collectives financées par le socle commun nouvellement acté : marketing direct, offres promotionnelles à forte attractivité, exposition et animations lors des prochains salons Batimat-Interclima-Idéobain,Accélérer le déploiement des leviers « Cashback »et « Réduction Immédiate » chez les distributeurs physiques et en ligne,Apporter des réponses pertinentes et des offres ciblées aux artisans VIPros, grâce à l’analyse de leurs besoins.Un objectif de 50 partenaires industriels et 40.000 entreprises artisanales à l’horizon 2023 pour le seul secteur du Bâtiment Français… De quoi conforter la position de VIPros sur le marché et rendre ses liens toujours plus forts avec ses différents acteurs…
Il y a 3 ans et 180 jours

Lancement de “La Construction. Demain s’invente avec nous”

Affiche promotionnelle du CCA-BTP pour “La Construction. Demain s’invente avec nous”. [©CCA-BTP] Les professionnels de la construction partent en campagne auprès des jeunes, en lançant “La Construction. Demain s’invente avec nous”. Ceci, pour promouvoir la richesse et la diversité́ des métiers du BTP, et l’apprentissage pour s’y former. Pilotée par le CCCA-BTP, cette campagne se déploiera jusqu’au mois de juin 2022. Son but ? Susciter de nouvelles vocations auprès des jeunes en quête d’orientation, « futures forces vives du secteur de la construction ». Un casting de jeunes pour partager la fierté de leurs métiers Venus de toute la France, six jeunes professionnels du bâtiment et des travaux publics ont été retenus parmi les 200 candidats ayant participé à l’appel à candidatures de “La Construction. Demain s’invente avec nous” pour être les ambassadeurs de la campagne : Antoine : couvreur, apprenti, formé à BTP CFA Gironde, Benjamin : maçon, salarié, formé chez les Compagnons du devoir et du Tour de France,Callum : monteur de réseaux électriques, salarié, formé au CFCTP d’Egletons, Dinis : menuisier aluminium-verre, apprenti, formé à BTP CFA Gironde, Justine : carreleuse-mosaïste, salariée, formée à BTP CFA Vendée,Sébastien : installateur thermique, chef d’entreprise, formé à BTP CFA Antibes. Tous ont moins de 30 ans. Leur point commun : l’envie de partager la passion et la fierté d’exercer leur métier au quotidien et d’en montrer toute la diversité ! Six films publicitaires, mais pas que… La campagne s’appuie aussi sur six films promotionnels, d’une durée de 30 s, qui mettent chacun en scène un métier. Trois vagues de deux semaines sont organisées pour leur diffusion en télévision sur les chaînes 6ter, C8, CStar, L’Equipe, NRJ12, TFX et W9. Le dispositif est complété par un plan média digital sur les moteurs de recherche et les réseaux sociaux. De plus, le site Internet “laconstruction.fr” propose de nombreux contenus. Avec, en particulier un moteur de recherche des formations en apprentissage aux métiers du BTP sur l’ensemble du territoire. Et un formulaire d’inscription, en lien avec l’opération de recrutement du CCCA-BTP “Boost apprentissage BTP”, des fiches métiers. Ou encore des vidéos de témoignages de professionnels. Par ailleurs, Construction City est disponible sur site. C’est un quizz qui fait découvrir la diversité des métiers aux jeunes de façon interactive et ludique.   Enfin, un kit de communication de tous les supports de la campagne (affiches, flyer, fiches métiers, bannières Internet…) est de plus mis à disposition de tous les organismes de formation aux métiers du BTP et prescripteurs de l’orientation et de l’emploi. Et ce, pour relayer les informations.
Il y a 3 ans et 180 jours

Bostik complète sa gamme One Flooring Range de deux nouveaux produits

Après le lancement d’une colle inédite sur le marché, la STIX A600, Bostik complète sa gamme de deux nouveaux produits :Le mastic de fixation MSP 108 RENOFIXIdéal pour tous collages exigeants, le MSP 108 Renofix offre un tack initial puissant à la verticale qui permet un maintien immédiat, sans étayage (effet ventouse). Résistant aux intempéries et aux UV, le MSP 108 Renofix bénéficie d’une excellente adhérence, y compris sur les supports humides. Polyvalent, il est adapté à tous types d’applications de collage en rénovation, travaux d’agencement et décoration et compatible avec un vaste panel de matériaux : de la brique au béton en passant par le fer, l’acier, l’aluminium, le zinc, les matières synthétiques, le bois, l’aggloméré, le liège, la céramique et le PVC. Fabriqué en France, sans solvant ni isocyanate, ce produit est certifié A+. Gage d’une emprunte carbone réduite.L’enduit de dressage renforcé SL C740 FIBER MAXILe SL C740 Fibermaxi est un enduit de ragréage autolissant fibré forte épaisseur. Armé par une forte densité de fibres synthétiques spécifiques, l’application peut se faire manuellement ou à la pompe. Idéal pour les professionnels grâce à une excellente finition de surface sans remontées de fibres, le SL C740 Fibermaxi permet un gain de temps non négligeable grâce à un temps de ponçage réduit. Compatible avec tous types de planchers chauffants, réversibles et PRE (Plancher Rayonnant Électrique), il est également applicable en extérieur si celui-ci est recouvert de carrelage. Aussi, le SL C740 Fibermaxi est classé P4 à partir de 3 et jusqu’à 40 mm, en fonction de la nature des supports. Il permet une ouverture à la marche en 3h. Classé A+ en matière d’émissions en polluants volatils, cet enduit est, à l’image de la gamme One Flooring Range, un produit non polluant.
Il y a 3 ans et 180 jours

Bostik complète sa gamme One Flooring Range avec deux nouveaux produits

Après le lancement d’une colle inédite sur le marché, la STIX A600, Bostik complète sa gamme de deux nouveaux produits :Le mastic de fixation MSP 108 RENOFIXIdéal pour tous collages exigeants, le MSP 108 Renofix offre un tack initial puissant à la verticale qui permet un maintien immédiat, sans étayage (effet ventouse). Résistant aux intempéries et aux UV, le MSP 108 Renofix bénéficie d’une excellente adhérence, y compris sur les supports humides. Polyvalent, il est adapté à tous types d’applications de collage en rénovation, travaux d’agencement et décoration et compatible avec un vaste panel de matériaux : de la brique au béton en passant par le fer, l’acier, l’aluminium, le zinc, les matières synthétiques, le bois, l’aggloméré, le liège, la céramique et le PVC. Fabriqué en France, sans solvant ni isocyanate, ce produit est certifié A+. Gage d’une emprunte carbone réduite.L’enduit de dressage renforcé SL C740 FIBER MAXILe SL C740 Fibermaxi est un enduit de ragréage autolissant fibré forte épaisseur. Armé par une forte densité de fibres synthétiques spécifiques, l’application peut se faire manuellement ou à la pompe. Idéal pour les professionnels grâce à une excellente finition de surface sans remontées de fibres, le SL C740 Fibermaxi permet un gain de temps non négligeable grâce à un temps de ponçage réduit. Compatible avec tous types de planchers chauffants, réversibles et PRE (Plancher Rayonnant Électrique), il est également applicable en extérieur si celui-ci est recouvert de carrelage. Aussi, le SL C740 Fibermaxi est classé P4 à partir de 3 et jusqu’à 40 mm, en fonction de la nature des supports. Il permet une ouverture à la marche en 3h. Classé A+ en matière d’émissions en polluants volatils, cet enduit est, à l’image de la gamme One Flooring Range, un produit non polluant.
Il y a 3 ans et 181 jours

Habitat écologique : notre sélection de livres pour Noël 2021

Si les fêtes de Noël sont le prétexte à une consommation effrénée de produits souvent inutiles, autant rendre ce moment festif profitable avec des livres nécessaires pour transformer votre quotidien dans un habitat sain, sobre et résilient. Voici notre sélection de 7 livres, best-seller dans leur domaine : Maison écologique : construire ou rénover ? […]
Il y a 3 ans et 181 jours

Comme s’ils avaient toujours été là, deux hôtels et une résidence étudiante à Bordeaux, par COSA

Le 15 novembre 2021, l'Académie des beaux-arts a attribué son grand prix d’architecture à l’architecte Henri Ciriani pour l’ensemble de son parcours. À cette occasion, elle présente l’exposition « Henri Ciriani, dessins d'architecte », à voir à Paris jusqu’au 9 janvier 2022. Le grand prix […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 181 jours

Constructions légères, enjeux pesants

Au Pavillon de l’Arsenal, l’exposition « Construire léger et décarboné » met à l’honneur trente-cinq projets dont le faible impact carbone est une réponse constructive et architecturale aux nouvelles contraintes réglementaires. Fruit du travail de Philippe Rizzotti, et en collaboration avec plusieurs écoles d’architectures (ETH Zürich, ENSAP Lille, ENSA Nancy), elle interroge le rapport entre le poids des constructions et la quantité du carbone dégagé lors de son exécution....
Il y a 3 ans et 181 jours

Course à l’efficacité : comment bien exploiter l’énergie produite ?

L’énergie la plus efficace sera celle qui n’est pas consommée… Une première analyse des comportements permet de réduire la consommation… Au niveau juridique, lors du montage d’une opération de production d’énergie renouvelable, les contraintes administratives varient selon la taille du projet… Avec :Benoît Denis, Avocat de LLC & AssociésDavid Lawson, Directeur Marketing de SMA France Cet article Course à l’efficacité : comment bien exploiter l’énergie produite ? est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 181 jours

Transition vers une économie bas carbone, circulaire et durable

Pour envisager la réduction de l’empreinte carbone du bâtiment, il faut garder à l’esprit que le bâtiment est le premier émetteur de carbone en France et que les émissions de carbone ont aussi lieu pendant l’acte de construire… Avec :François Deroche, Président de l’AFPACBernard Aulagne, Président de CoenoveHélène Genin, Déléguée Générale de l’Association BBCA Cet article Transition vers une économie bas carbone, circulaire et durable est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 181 jours

Paris choisit Engie et la RATP pour tripler son réseau de froid

Un chiffre d'affaires prévisionnel de 2,4 milliards d'euros est annoncé pour la durée du contrat.Cette concession couvrira la production, le stockage, le transport et la distribution d'énergie frigorifique.Le réseau sera en outre étendu de 158 km et à tous les arrondissements, offrant "une alternative durable à la climatisation traditionnelle", dans le cadre de la démarche de décarbonation et d'adaptation au changement climatique de Paris, souligne le communiqué.Premier réseau de froid d'Europe, il fournit aujourd'hui près de 440 gigawatts-heure (GWh) par an de froid à plus de 780 bâtiments via 93 kilomètres de réseaux. En vingt ans, il passera de 10 à 30 centrales de production, et de 4 à 14 installations de stockage.Opéré depuis 1991 par Climespace, filiale à 100% d'Engie, l'équipement était destiné initialement à climatiser des bâtiments tertiaires (sites culturels, surfaces commerciales).Les nouvelles infrastructures rafraîchiront également hôpitaux, crèches, écoles, EHPAD, etc., soit plus de 300 bâtiments supplémentaires à vocation sanitaire, afin de protéger "les populations les plus fragiles, dans un contexte de réchauffement climatique".Le service s'adressera également aux commerces de proximité, aux établissements recevant du public et à quelques logements.Le réseau de froid de la Ville de Paris est alimenté avec 100% d'électricité renouvelable depuis 2013 et neutre en carbone depuis 2018, indique-t-on de même source.Sur ces vingt ans, les signataires prévoient toujours 100% d'électricité renouvelable, produite en France dont près de 70% par quatre nouveaux parcs solaires dédiés.Selon eux, cette solution représente 20% de consommation énergétique en moins par rapport à de la climatisation traditionnelle et une efficacité accrue via "des processus innovants" : utilisation renforcée de l'eau de la Seine en hiver, intelligence artificielle, matériaux et fluides frigorigènes plus vertueux pour l'environnement.Quelque 130.000 mètres cubes d'eau seront en outre économisés chaque année avec la collecte des eaux d'infiltration.Engie, qui se présente comme le premier opérateur de réseaux de froid dans le monde, s'associe au groupe RATP via sa filiale RATP Solutions Ville, experte en réseaux souterrains, qui permettra de transformer certains espaces en centrales de production et de stockage de froid.
Il y a 3 ans et 181 jours

Conception évolutive d’un bâti pour une modularité des espaces et des besoins

Aujourd’hui, la modularité a plusieurs enjeux sociétaux (taille des logements), économiques (de plus en plus de locaux sont non adaptés aux besoins) et environnementaux  (RE2020, durée de vie des bâtiments)…   Avec : Julien Herbert, Responsable de projet prévention construction à l’AQC Nicolas Emin, Chargé de mission « Ville et Aménagement durable » Cet article Conception évolutive d’un bâti pour une modularité des espaces et des besoins est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 181 jours

L’emploi & la formation / Nouveaux métiers du bâtiment intelligent et de la transition énergétique

De nouveaux métiers techniques de la transition font leur apparition au fil des années, cependant certaines filières ont des difficultés à remplir les classes par méconnaissance des métiers. A titre d’exemple, le nombre d’employés dans le domaine des pompes à chaleur en France est de 20 000, l’objectif est de doubler ce chiffre dans les 10 prochaines années… Avec : Rémi Christin, Directeur de IET Lyon Olivier Dekens, Pilote GT Attractivité Métiers à l’AFPAC Toutes les vidéos de BePositive 2021
Il y a 3 ans et 181 jours

Les nouveaux systèmes énergétiques / Mobilités propres

Entre 2019 et 2020, les achats de véhicules électriques ont augmenté de 180 %. Une étude montre  l’amélioration économique des infrastructures de recharge automatique grâce au photovoltaïque. L’utilisation du solaire pourrait permettre des économies de 80% dans les villes équipées… Avec : Daniela Touzé, Chargée du développement commercial chez CRMT Richard Loyen, Délégué Général d’ENERPLAN Rémi Driat, Chef de projet Smart Grids chez Enedis Toutes les vidéos de BePositive 2021
Il y a 3 ans et 181 jours

Le numérique au service de la transition énergétique : mise en place des outils

La mise en place d’outils numériques est répartie sur   deux nouveaux services : d’abord, avant les travaux avec des diagnostics qui vont apporter plus de fiabilité, donc plus de possibilités d’investissements en diminuant les risques… ensuite, pendant la phase d’exploitation, les outils vont permettre le suivi de performances, la  réduction de la consommation énergétique grâce à une meilleure modélisation… Avec : Jérôme Morville, Responsable du cadre économique au Syndicat des Energies Renouvelables (SER) / Raphaël Meyer, Président co-fondateur de LANCEY Energy Storage Toutes les vidéos de BePositive 2021
Il y a 3 ans et 181 jours

Dans le métavers, le marché immobilier a la cote

Cette semaine, l'entreprise Republic Realm, basée à New York, a annoncé avoir dépensé la somme record de 4,3 millions de dollars pour l'achat d'un terrain sur The Sandbox, une plateforme donnant accès à un monde virtuel où les participants peuvent discuter, jouer et même participer à des concerts.Sur le site concurrent Decentraland, la société canadienne Tokens.com, spécialisée dans les cryptomonnaies, avait déboursé 2,4 millions de dollars en novembre pour un achat immobilier.Quelques jours auparavant, la Barbade, un petit pays des Caraïbes, avait dit vouloir établir une ambassade dans le métavers, ce réseau d'espaces virtuels interconnectés, parfois décrit comme l'avenir d'internet.L'intérêt pour le métavers (contraction de méta et univers) a grimpé en flèche depuis octobre après la décision de Facebook de faire de cette idée son nouveau projet d'entreprise, le groupe allant jusqu'à renommer sa maison mère "Meta".Ce tournant stratégique a "fait découvrir le terme à des millions de gens bien plus rapidement que j'aurais pu l'imaginer", reconnaît Cathy Hackl, consultante tech pour des entreprises souhaitant entrer dans le métavers.Selon la base de données sur les cryptomonnaies Dapp, plus de 100 millions de dollars ont été dépensés lors de la semaine écoulée pour des achats immobiliers sur les quatre principaux sites du métavers que sont The Sandbox, Decentraland, CryptoVoxels et Somnium Space.Pour Mme Hackl, l'explosion du marché, qui fait interagir propriétaires, locataires et développeurs fonciers, n'est pas une surprise."On essaye de traduire dans le monde virtuel ce qu'on sait faire avec les biens physiques", indique-t-elle à l'AFP."5e Avenue" du métaversS'il faudra du temps avant que ces sites ne soient de vrais métavers, permettant aux utilisateurs d'explorer des mondes parallèles via des casques de réalité virtuelle, les terrains numériques fonctionnent déjà comme des actifs financiers, à l'instar de biens fonciers, explique Mme Hackl."On peut construire dessus, les louer ou les vendre", affirme-t-elle.Tokens.com a acquis une parcelle de choix sur Decentraland dans le quartier de Fashion Street que la plateforme veut transformer en destination pour les magasins virtuels des groupes de luxe."Si je n'avais pas fait de recherches et compris qu'il s'agit de propriétés de grande valeur, ça paraîtrait complètement fou", admet le patron de Tokens.com, Andrew Kiguel.Kiguel a travaillé pendant 20 ans comme banquier d'investissement dans le secteur de l'immobilier. Selon lui, les terrains virtuels représentent une opportunité semblable aux biens du monde réel: ils se situent dans un quartier en vogue très fréquenté."Ce sont des lieux pour la publicité et les événements où les gens vont se rassembler", explique-t-il, mentionnant un récent festival musical qui a attiré 50.000 visiteurs sur Decentraland.Les marques de luxe s'aventurent déjà dans le métavers: un sac à main Gucci s'est vendu sur la plateforme Roblox plus cher que sa version physique. M. Kiguel espère que Fashion Street deviendra l'équivalent de la 5e Avenue à New York.Quant à savoir comment dégager des revenus, "ça peut être aussi simple que de posséder un panneau publicitaire ou aussi complexe que d'avoir une boutique avec un vrai salarié", explique-t-il."On pourrait rentrer avec son avatar, regarder des modèles en 3D d'une chaussure qu'on pourrait tenir entre ses mains et poser des questions."Second Life 2.0Dès 2006, une promotrice immobilière avait fait parler d'elle après avoir vendu un terrain pour 1 million de dollars dans le monde virtuel de Second Life, site précurseur du métavers.Second Life est toujours en activité, mais les partisans de ses rivaux plus récents soulignent une différence majeure.Sur Decentraland, tous les achats, qu'il s'agisse d'immobilier ou d'oeuvres d'art virtuelles, se font via des jetons non fongibles (NFT).Certains internautes ont dépensé des dizaines de milliers de dollars pour ces objets numériques, le concept suscitant enthousiasme et scepticisme.M. Kiguel pense que la propriété numérique va devenir courante dans les prochaines années grâce à la technologie de la chaîne de blocs ("blockchain"), qui garantit la sécurité et la transparence des transactions."Je peux voir l'historique des propriétaires, ce que ça a coûté et comment c'est passé d'une personne à une autre", détaille-t-il.L'investissement comporte toutefois des risques, à commencer par la volatilité des cryptomonnaies utilisées pour acheter les NFT.Par ailleurs, si les concerts virtuels sur Roblox ou Fortnite ont attiré des dizaines de millions de curieux, la rareté des données sur le métavers suggère que la fréquentation de sites comme Decentraland est loin derrière celui de réseaux sociaux établis comme Facebook ou Instagram.La valeur des investissements immobiliers dans le métavers dépendra du nombre de personnes se rendant sur ces plateformes."Je sais que ça a l'air un peu absurde", reconnaît M. Kiguel. "Mais il y a une vision derrière tout ça."
Il y a 3 ans et 181 jours

Matériaux biosourcés / Structuration des filières pour répondre à la demande

Aujourd’hui, les filières du biosourcés ne sont pas toutes structurées. Des normes sont actuellement mises en place pour faire progresser ce marché. Avec une demande croissante, ne pas pouvoir fournir les quantités nécessaires de matériaux biosourcés est un risque à ne pas négliger. Avec : Guillaume Delannoy, Adjoint Responsable Développement Industriel et Étude chez CODEM / Mariangel Sanchez, Ingénieure suivi des innovations à l’AQC / Anne Daubresse, Responsable Laboratoire Innovation de Parexlanko / Laurent Marmonier, Président de la CAPEB Isère Toutes les vidéos de BePositive 2021    
Il y a 3 ans et 181 jours

Les défaillances d'entreprises toujours en chute dans le BTP

CONJONCTURE. Les défaillances d'entreprises enregistrent une forte chute dans le secteur de la construction, d'après une récente note de la Banque de France.
Il y a 3 ans et 181 jours

Innovation et R&D / Focus sur les startups de la transition énergétique

À l’heure où l’innovation et la recherche et développement dans la transition énergétique sont importantes. Bati Journal s’est intéressé à des startups proposant de solutions innovantes afin de simplifier et d’accompagner le travail des professionnels du secteur. Avec : Diana Gonzalez, CEO de Construtech-club / Fabien Font, CEO de Teamoty / Clément Rouch  CEO de Marmelade /  Anthony Lambert, Co-gérant de Defibim Toutes les vidéos de BePositive 2021
Il y a 3 ans et 181 jours

La métropole de Lyon débloque plus de 2,3 millions d'euros pour la Guillotière

TRAVAUX. Alors qu'une concertation a été lancée au premier semestre 2021 pour améliorer les espaces publics du quartier de la Guillotière, la métropole de Lyon annonce débloquer 2,3 millions d'euros pour les premiers travaux qui devraient intervenir en 2022.
Il y a 3 ans et 181 jours

EDF se prépare au bras de fer nucléaire européen

Attention à la « myopie climatique » européenne ! A la veille de la présidence française de l’Union, le conseiller du président d’EDF chargé des affaires européennes Erkki Maillard formule cet avertissement : en plaçant les émissions de gaz à effet de serre derrière la priorité à la production d’énergies renouvelables, Bruxelles risque de passer à côté de l’objectif de neutralité carbone.
Il y a 3 ans et 181 jours

Comment le bâtiment se projette-t-il dans les années 2030 ?

ÉCONOMIE. Face aux nombreux et passionnants enjeux qui s'imposent déjà à lui, de la transition écologique à la révolution numérique, le secteur du bâtiment tente, à l'image du reste de l'économie, de se projeter à horizon 2030. Dans un exercice de prospective inédit, la Fédération française du bâtiment livre cinq scénarios où l'État, les entreprises de la filière mais également la société civile jouent des rôles différents. Tour d'horizon.
Il y a 3 ans et 181 jours

Crise des matières premières : Le gouvernement annonce de nouvelles mesures

Le gouvernement présente de nouvelles mesures face à la crise des matières premières. [©ACPresse] La crise des matières premières et des approvisionnements persiste… Après avoir réuni les différents représentants de filières industrielles, dont celle du bâtiment, Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, Elisabeth Borne, ministre du Travail, et Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l’Industrie annoncent de nouvelles mesures. « La reprise économique est forte et puissante. C’est la raison pour laquelle aujourd’hui nos entreprises industrielles font face à des difficultés d’approvisionnement. Notamment de matières premières et de composants électroniques. Nous apportons à ces entreprises une réponse de court terme. En particulier avec le lancement du prêt pour l’industrie, qui sera un prêt de long terme pouvant être remboursé sur 10 ans au maximum », explique Bruno Le Maire. Lire aussi :Le Synad alerte à nouveau sur les pénuries de matières premières Et de poursuivre : « Mais nous nous attachons aussi, avec le président de la République, à apporter une réponse de long terme. Cette réponse, c’est la construction de notre indépendance. C’est l’investissement massif dans les technologies d’avenir. C’est la localisation de nouvelles chaînes de valeur en France et en Europe. C’est enfin, la consolidation de nos filières industrielles traditionnelles comme le bois. » Lire aussi :Les matériaux biosourcés : Une alternative durable aux pénuries De plus, le gouvernement prévoit la prolongation de l’octroi du Prêt garanti par l’Etat, de fin décembre 2021 à fin juin 2022. Mais aussi, du dispositif des avances remboursables et de prêts à taux bonifiés (jusqu’à juin 2022) et un assouplissement de ses conditions d’octroi. L’Etat rappelle le renforcement de l’accompagnement des entreprises et les missions de conseils déployées par BPI France. Prolongation du prêt garanti par l’Etat et activité partielle Par ailleurs, les entreprises concernées peuvent demander auprès de leur service gestionnaire, des facilités de paiement. L’activité partielle est de nouveau mise sur la table. « J’invite toutes les entreprises, dont l’activité est ralentie par les tensions sur les approvisionnements à se tourner vers l’activité partielle de longue durée. Cela permet d’en bénéficier avec un reste à charge de 15 %. Près de 14 000 entreprises ont, d’ores et déjà, conclu des accords de ce type. Protégeant ainsi plus de 1,3 M de salariés. Ce dispositif permet aux entreprises de faire face à une baisse conjoncturelle de leur activité pendant deux ans, tout en conservant leurs salariés », déclare Elisabeth Borne. Lire aussi :Economie : Quand la reprise se heurte à la crise des matières premières Et Agnès Pannier-Runacher, de conclure : « Les tensions qui affectent l’industrie démontrent l’importance du travail que nous menons main dans la main avec France industrie, depuis le début de l’année 2021. Et avec aussi l’ensemble des filières industrielles. Leurs remontées de terrain sont primordiales pour détecter les signaux faibles et répondre à chaque situation. Ce travail collectif s’est matérialisé par des cellules de crise par type d’approvisionnement. Aux côtés des industriels, l’Etat a activé tous les leviers à sa disposition pour fluidifier la circulation des biens. Dans le prolongement de ces travaux, nous adaptons les mesures d’accompagnement pour protéger l’emploi et répondre aux difficultés de trésorerie des entreprises. »
Il y a 3 ans et 181 jours

Unicem : Un espoir dans la crise

« Il y a un rebond dans le logement individuel, mais le collectif pâtit de tensions », explique l’Unicem. [©ACPresse] Le secteur de la construction reprend du service. Ainsi, Alain Boisselon, président de l’Unicem, et Carole Deneuve, responsable du service économique, viennent de dresser le bilan de 2021 et les prévisions pour 2022. Après une année 2020 « atypique », 2021 le fut tout autant. « Nous sommes dans une situation consensuelle, avec une tendance positive, détaille Carole Deneuve. De manière générale, nos activités ont progressé de + 1 % par rapport à 2019. Il y a un effet post-crise sanitaire, mais pas que. La conjoncture est bien orientée. » Fin décembre, la production de granulats devrait augmenter de + 12,3 % (soit 360 Mt en global) par rapport à l’année passée. De même pour le BPE qui enregistre une hausse de + 13 ,1 % (40,7 Mm3 attendus sur l’année). Et malgré les tensions et les pénuries sur les matières premières, la profession semble avoir assuré les chaînes d’approvisionnement de ses clients sur les chantiers. Lire aussi :Unicem Campus : le nouveau nom du CFA Unicem « Il y a du caillou et du BPE partout, explique Alain Boisselon. Ils sont comme les tireuses à bières… Ils ne s’arrêtent jamais ! L’Unicem se bat pour conserver son maillage de proximité, en prônant une exploitation rationnelle et respectueuse de l’environnement. La France a un besoin structurel d’infrastructures et de logements, nous devons y répondre. » Mais si les permis de construire sont à la hausse, l’Unicem reste prudente. « Il y a un rebond dans le logement individuel, mais le collectif pâtit de tensions, reprend Carole Deneuve. Le non résidentiel est à la traîne et les travaux publics sont en train de se réveiller. Toutefois, nous sommes loin de retrouver une activité d’avant-crise. » Le BTP : Une année en demi-teinte De plus, les professionnels du BTP sont soumis aux tensions actuelles liées aux difficultés de recrutement et aux hausses des coûts de production. Cependant, grâce aux projets du Plan de relance, aux appels d’offres des municipalités ou encore au maintien de l’activité dans le logement, l’année 2022 reste synonyme d’espoir. « En production, le BPE et le granulat devraient être proches de 2021, poursuit Alain Boisselon. Nous avons compris que 2022 serait l’année de la stabilisation. Cela va nous permettre de nous concentrer sur d’autres sujets. » Lire aussi : L’Unicem Entreprises Engagées se mobilise pour la RSE En effet, l’Unicem met en avant des défis majeurs à venir : la Rep, la RE 2020, l’emploi et le label RSE sectoriel. « Nous avons pour objectif le recyclage de 90 % de nos matériaux, en 2028. C’est bien, mais insuffisant pour répondre aux futurs besoins de la construction. Les matériaux recyclés ne subviendront qu’à 30 % des nouveaux besoins à venir. Il y aura alors deux sources : les matériaux secondaires et les primaires. » Enfin, pour l’Unicem, le recrutement est un sujet très important. « Nous voulons attirer les jeunes talents et les femmes… »
Il y a 3 ans et 181 jours

Les accidents graves dans le collimateur du nouveau plan Santé au travail

La feuille de route « santé au travail » du gouvernement pour les quatre prochaines années fait de la lutte contre les accidents graves et mortels un axe prioritaire et transversal. Dans sa ligne de mire, le risque de chutes et le risque routier.
Il y a 3 ans et 181 jours

Xella étoffe son équipe commerciale

Dominique Granseigne, nouveau directeur commercial et marketing du marché français et espagnol de Xella. [©Xella] Dans l’objectif de répondre à la demande en béton cellulaire, Xella a étoffé, depuis plusieurs mois, ses équipes commerciales. Ainsi, l’industriel a nommé Dominique Granseigne au poste de directeur commercial et marketing. Il sera en charge des marchés français et espagnol, mais aussi du développement des produits. Arrivé en 2019 au sein de Xella, Dominique Granseigne était auparavant directeur commercial France. Il a eu la charge de fusionner les forces de ventes de Ytong et de Cellumat. En 2020, il prend la direction commerciale du marché espagnol, tout en gardant son poste précédent. Aujourd’hui, Dominique Granseigne élargit ses prérogatives, en prenant la direction marketing sous son aile. De plus, il sera en charge du développement des produits des marques : Hebel, Multipor, Siporex, Silka et Ytong.  Son parcours Dominique Granseigne est diplômé de la Néoma Business School, en 1995. Et d’un certificat en direction marketing et commerciale d’HEC, en 2013. Il débute sa carrière dans le monde de l’électroportatif en tant que commercial chez Hilti puis Bosch et enfin, Metabo. En 2006, il intègre Isoroy, spécialiste de la maison ossature bois, en tant que chef de ventes France. Il évoluera dans cette entreprise et en deviendra directeur régional Sud. Après 8 ans chez Isoroy, Dominique Granseigne prend la direction régionale Ile-de-France de Geoxia. En parallèle, il est élu président de Domexpo, association qui regroupe les constructeurs de maisons individuelles autour de villages Expo. 
Il y a 3 ans et 181 jours

L'Anah veut distribuer 685.000 MaPrimeRénov' en 2022

RÉNOVATION ENERGETIQUE. L'Agence nationale de l'habitat (Anah) verra ses moyens et ses objectifs en matière de rénovation du parc privé augmentés en 2022.
Il y a 3 ans et 181 jours

Près de 9 français sur 10 considèrent le DPE comme un critère important dans la décision d’achat

L’envie des Français d’investir dans la pierre reste inchangée depuis le début de l’année. Les primo-accédants et les investisseurs ont toujours envie de se lancer dans un projet immobilier, et les propriétaires souhaitant vendre pour acheter un nouveau bien immobilier, retrouvent le désir de renouer avec leur projet. Quant au DPE, qui a fait l’objet d’une refonte importante récemment, il constitue un critère de choix décisif dans la prise de décision lors d’un achat immobilier. Ce sont là quelques-uns des enseignements de la 9e vague de l’indicateur DRIMKI, spécialiste de l’estimation immobilière, et BVA, société d’études et de conseils, réalisée fin novembre auprès des Français, afin de connaître leurs projets immobiliers dans les 12 prochains mois.1 Français sur 6 engagé dans un projet immobilierLa part des Français engagés dans un projet immobilier reste stable, puisque 16% d’entre eux déclarent avoir un projet immobilier dans les 12 prochains mois. Une décision toujours plus marquée chez les cadres (31%) et les moins de 35 ans, qui sont un tiers à se projeter dans une telle démarche dans les 12 prochains mois (32%). Les Franciliens, sont toujours autant à déclarer avoir un projet immobilier dans l’année à venir (21%).La volonté d’acquérir un premier logement et celle d’acheter un nouveau logement sont au coude à coudeLe souhait des Français de devenir primo-accédants connaît une baisse de 6 points par rapport à août. En effet, 36% des répondants ayant un projet immobilier dans les 12 prochains mois ont pour motivation l’achat d’un premier logement. Parmi ceux qui envisagent l’achat d’un premier logement, 68% ont entre 25 et 34 ans, 37% habitent en province et 52% ont des revenus inférieurs à 2500€.À l’inverse, parmi les personnes ayant un projet immobilier, 36% indiquent vouloir vendre leur logement pour en acheter un autre (+6 points par rapport à août dernier). Près de la moitié des répondants qui souhaitent acheter un nouveau logement ont entre 35 et 49 ans et 47% ont un revenu net mensuel supérieur à 3000€. Les franciliens et les provinciaux sont 35% et 36% à vouloir vendre leur logement pour en acheter un nouveau.Certains projets, qui avaient été peut-être retardés par la crise sanitaire, sont donc potentiellement à nouveau à l’ordre du jour parmi les propriétaires, ce qui expliquerait que l’envie de vendre pour acheter un nouveau logement devienne aussi importante que l’intention d’achat d’un premier logement.Investissement et achat d’une résidence secondaire en hausseL’envie d’investir continue de progresser puisque 18% des répondants souhaitent acheter un bien dans une optique d’investissement (+1 point par rapport à août). Quant au désir d’acheter une résidence secondaire, il avait connu une forte baisse en septembre mais il progresse de nouveau légèrement en novembre (7% ; +2 points).La performance énergétique, un critère importantPrès de 9 français ayant un projet immobilier sur 10 considèrent le DPE (Diagnostic de Performance Énergétique) comme un critère de choix important et plus d’un tiers (34%) pensent qu’il constitue un élément primordial dans leur décision d’achat. Seuls 10% en font un élément secondaire dans leur prise de décision.Parmi les français qui considèrent le DPE comme un critère primordial dans la décision d’achat d’un bien immobilier, 39% ont entre 25 et 34 ans. Plus de la moitié (53%) des interrogés qui estiment que la performance énergétique d’un logement est un critère important mais pas primordial ont un revenu inférieur à 2500€ net par mois et 58% habitent en Ile-de-France.Pour Olivier Colcombet, Président de Digit RE Group et porte-parole de DRIMKI : “ Tout au long de l’année 2021, le désir des Français pour la pierre n’a pas faibli. Cette ambition est toujours partagée par les plus jeunes qui continuent d’avoir l’envie de se lancer dans un projet immobilier mais également par les français déjà propriétaires qui souhaitent vendre pour acheter un nouveau logement. La crise sanitaire avait sûrement dû freiner les projets de ces derniers et c’est d’ailleurs la première fois depuis février 2020 que les intentions d'achat d'un nouveau logement progressent et deviennent aussi importantes que les intentions d'achat d'un premier logement. De plus, les nouvelles normes mises en place pour renforcer le DPE depuis juillet 2021 semblent faire écho à un souhait prononcé des Français de tenir compte de ce diagnostic dans leurs achats immobiliers puisque pour 87% des français ayant un projet immobilier, la performance énergétique d’un logement est un critère primordial ou important dans la décision d’achat.”*Étude réalisée par BVA pour DRIMKI (disponible sur demande), du 24 au 25 novembre 2021 sur un échantillon de 901 personnes âgées de 25 ans et plus, issues d'un échantillon global de 1003 personnes représentatif de la population française.
Il y a 3 ans et 181 jours

Les députés offrent aux collectivités le pouvoir de sanction pour faire respecter l'encadrement des loyers

Dans le cadre de l'examen du projet de loi dit "3DS" relatif à la décentralisation et à la différenciation, l'Assemblée a voté mardi soir des amendements de la majorité pour déléguer ce pouvoir de sanction actuellement entre les mains de l'Etat via les préfets.Il est "cohérent" que les collectivités qui se sont saisies de ce nouvel outil soient "en capacité de faire respecter elles-mêmes les règles", a appuyé la ministre du Logement, Emmanuelle Wargon."Pour que ça marche, il faut qu'il puisse y avoir des sanctions" et que cela soit décidé "au plus près du terrain", a abondé le communiste Stéphane Peu qui avait défendu un amendement quasi-similaire."Pour nous, c'est une urgence capitale", a souligné la députée socialiste Lamia El Aaraje rappelant les chiffres de l'Observatoire de l'encadrement des loyers à Paris, évalués par la Fondation Abbé Pierre avec le soutien de la Ville.Ils ont révélé en novembre qu'entre 2020 et 2021, 35% des logements parisiens proposés à la location dépassaient les plafonds prévus par la loi.La compétence de sanction n'est "pas suffisamment appliquée", a poursuivi la députée parisienne.Le co-rapporteur du projet de loi 3DS Mickaël Nogal a précisé que 10 amendes administratives avaient été dressées depuis 2019 par la préfecture d'Ile-de-France, saisie de 98 dossiers."La grande majorité a été classée du fait de la conciliation" entre propriétaires et locataires via la commission départementale, a-t-il précisé.Les députés ont souligné l'importance d'un meilleur accompagnement des citoyens "pour permettre de favoriser cet accès au droit".Saluant cette nouvelle délégation de compétences, Mme El Aaraje a regretté qu'elle ne s'accompagne pas "de compensations financières" puisque si la collectivité mettra l'amende et les moyens afférents, c'est l'Etat qui en récupèrera le montant.L'amendement voté permettra de "sortir de cette situation d'impunité dans laquelle un bon tiers des propriétaires se permet de dépasser l'encadrement des loyers sans que rien ne leur arrive", a réagi auprès de l'AFP Ian Brossat, adjoint au logement de la maire PS de Paris Anne Hidalgo. Pour l'élu communiste, les dépassements représentent en moyenne "environ 200 euros par mois, c'est considérable".Se félicitant d'une "très belle avancée", M. Brossat souligne le peu d'amendes dressées. Selon lui "pour que la peur du gendarme fonctionne, il faut quand même quelques amendes".Une fois la procédure législative achevée, le maire adjoint entend faire voter "en 2022 une délibération qui permettra de récupérer cette compétence et dans la foulée de mettre en place des équipes chargées d'effectuer ces contrôles".
Il y a 3 ans et 181 jours

La génération 50-70 ans et le logement senior : des attentes fortes mais des choix tardifs et mal éclairés

Cette nouvelle étude démontre que la demande des seniors à l’égard du logement se structure autour de quatre attentes majeures : un besoin d’autonomie, une préoccupation pour la santé et le bien-être, un environnement à taille humaine ainsi que l’importance du lien social. Et si des solutions adaptées de logement existent pour les seniors, peu s’en préoccupent à temps.Stéphane Martin, Associé Conseil Immobilier, Deloitte France : « Il est frappant de constater que les attentes de deux populations qu’une génération sépare convergent en matière de logement. Comme les 20-30 ans, les 50-70 ans recherchent une dimension humaine, dans des villes de taille moyenne, et plébiscitent la mixité intergénérationnelle et sociale. Tout comme les jeunes, les seniors doivent encore trop souvent renoncer, faute d’offre, à une partie de leurs souhaits ; un défi pour les professionnels de l’immobilier. »Subis, des choix tardifs et mal éclairésL’étude révèle que le choix de logement senior est souvent précipité et mal éclairé. En moyenne, seulement quatre mois séparent la prise de décision de l’arrivée en résidence seniors. Ce chiffre s’explique par le caractère soudain des événements qui conduisent à la prise de décision (perte d’autonomie, décès du conjoint ou maladie) et par la méconnaissance de l’offre.42% des répondants estiment ne pas avoir une bonne connaissance des différentes solutions de logement à destination des seniors et des aides financières auxquelles ils peuvent avoir accès.Le rêve du maintien à domicile est confronté aux réalités du vieillissement (santé, dépendance) : seuls 12% se projettent dans une résidence seniors et 23% envisagent de déménager dans un logement plus adapté quand 62% souhaitent rester chez eux en apportant des aménagements.Une demande de logement senior qui évolue autour de quatre attentes majeuresLes seniors interrogés pour l’étude placent la question du maintien de l’autonomie comme un enjeu majeur. Ils souhaitent massivement rester dans un logement ordinaire et sans service, que ce soit le leur (62%) ou un autre logement plus adapté (23%).Ils estiment par ailleurs que la solution de logement doit répondre aux problématiques de santé et aux fragilités liées au vieillissement. La proximité avec les services de santé est ainsi un critère majeur dans le choix du logement aux côtés de celui de la proximité avec les commerces de centre-ville et celui de la proximité avec la famille. La disponibilité de services médicaux est considérée comme un critère pertinent dans le choix de résidence seniors.Les seniors interrogés plébiscitent également des environnements à taille humaine. Ils privilégient les villes petites ou moyennes mais ne souhaitent pas pour autant vivre dans un village, par peur d’être isolés et éloignés des commerces et des services médicaux. De plus, ceux qui souhaitent se tourner vers des structures de logement collectif choisissent des résidences de petite capacité.Enfin, l’importance du lien social est un enjeu majeur pour les seniors. La majorité des répondants souhaite vivre en communauté. Ils sont même plus nombreux à privilégier l’appartement en copropriété plutôt que la maison isolée. Ce critère a été renforcé par la crise Covid-19 qui a aggravé la fragilité du lien social.Des solutions de logements neufs adaptées aux besoins spécifiques des seniorsPour répondre aux enjeux du vieillissement de la société, les promoteurs immobiliers se projettent dans une offre neuve adaptée aux besoins et aspirations des seniors. Afin de satisfaire le besoin d’autonomie, les logements neufs doivent être évolutifs pour pouvoir s’accorder à tous les âges de la vie (modification de la répartition des espaces facilitée, conception de rangements accessibles à tous, installation d’équipements utiles aux seniors).Par ailleurs, pour garantir le maintien du lien social, il est essentiel que le logement senior soit situé en ville et accessible (ascenseurs, accès sans marches ni ressauts, etc.). Le maintien du lien social passe aussi par la mise à disposition d’un espace commun afin d’organiser la vie sociale de la résidence ou de la copropriété. Les structures proposant mixité et échanges entre les générations sont également envisagées comme un levier pour maintenir le lien social, et garantir un modèle économique viable. A ce titre, 55% des seniors interrogés sont favorables à une formule de logement intergénérationnel.Pascal Boulanger, président de la FPI : « Les promoteurs immobiliers se saisissent de l’enjeu lié au vieillissement de la population française. Ils pensent la production de logement senior à travers le prisme de la fragilité liée à l’âge. Dans cette optique, l’offre de résidences de services pour les seniors est un levier pertinent qui permet un bon compromis entre intimité et partage et entre autonomie et accompagnement. »
Il y a 3 ans et 181 jours

Agréments de logements sociaux : les OPH dénoncent "un protocole pour rien"

PRODUCTION. A mi-chemin du "défi" lancé par Emmanuelle Wargon, ministre du Logement, pour la production, en deux ans, de 250.000 HLM, les offices publics de l'habitat, qui n'ont pas signé le protocole d'accord le mettant en oeuvre, font le constat que le secteur est loin du compte.