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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 3 ans et 199 jours

Les loyers de 35% des annonces de location de logements à Paris dépassent le plafond légal

Ce "premier baromètre sur l'application de l'encadrement des loyers" s'appuie sur l'analyse de 15.000 annonces, recensées entre août 2020 et août 2021.Il apparaît qu'entre ces deux dates "35% des logements dépassaient les plafonds de loyer légalement fixés". Ce taux est "stable au cours de la période étudiée" et correspondant à d'autres estimations de professionnels du secteur.L'étude précise qu'une annonce qui dépasse les plafonds autorisés "n'est pas forcément dans l'illégalité", du fait d'une possible différence avec le bail effectivement signé, ou des caractéristiques particulières du logement.Les annonces au dessus des plafonds "proposent un loyer moyen hors charges de 1.229 EUR par mois, qui inclut un dépassement moyen des plafonds de loyer de 196 EUR par mois", soit une "ponction annuelle de près de 2.400 EUR par an pour les locataires qui les subissent"."Les dépassements les plus importants sont constatés dans les arrondissements les plus riches (1er, 7e, 9e, 16e), alors que les dépassements moins élevés sont le fait des 14e, 19e et 20e arrondissements", ajoute le document.L'encadrement des loyers interdit aux propriétaires de demander aux locataires un montant supérieur à une somme donnée, celle-ci variant selon les quartiers en fonction de l'état du marché. Il s'applique dans des zones de plus de 50.000 habitants "où il existe un déséquilibre marqué entre l'offre et la demande de logements".Prévu par la loi Elan de 2018, le plafonnement des loyers ne concernait jusqu'au 1er juin que Paris et Lille. Il a été étendu à cette date à neuf villes de Seine-Saint-Denis en banlieue parisienne, et début septembre aux métropoles de Bordeaux, Montpellier et Lyon.
Il y a 3 ans et 199 jours

Pour le Bâtiment, l'habitat sera au "centre des débats" pour la présidentielle

LOGEMENT. Réuni en séminaire technique à Lisbonne, au Portugal, Pôle Habitat - FFB espère que le logement sera – enfin – au coeur des débats de la présidentielle de 2022. En raison, notamment, des conséquences de la crise sanitaire, mais aussi des craintes sur le pouvoir d'achat.
Il y a 3 ans et 199 jours

Patrimoine routier : une prise de conscience lente mais réelle de la dégradation du réseau

ÉTUDE. Le 5e Observatoire national de la route, piloté par l'Idrrim, confirme certaines tendances : les investissements continuent une lente progression, ce qui n'empêche pas le patrimoine de continuer à se dégrader.
Il y a 3 ans et 199 jours

Notre-Dame veut rajeunir et ouvrir sur le monde son décor et sa liturgie

Au programme de cette "modernisation": lumière à hauteur de visage, bancs à roulettes dotés de lumignons pour remplacer les vieilles chaises séculaires qui descendront dans la crypte, art contemporain et phrases bibliques projetées dans plusieurs langues sur les murs, explique à l'AFP le père Gilles Drouin.Le projet, mûri "depuis deux ans et demi", lui a été confié par l'archevêque de Paris Mgr Michel Aupetit. Il sera présenté le 9 décembre à la Commission nationale du patrimoine et de l'architecture (CNPA), chargée de donner son avis.De quoi alimenter l'inquiétude des défenseurs de l'histoire de France et du patrimoine ainsi que les moqueries de la presse étrangère qui l'a qualifié de nouveau "Disneyland politiquement correct" (The Telegraph)."L'Eglise peut se montrer moderne en faisant entrer une lumière plus spirituelle plutôt qu'une lumière rasante sur les visages", commente auprès de l'AFP l'animateur Stéphane Bern, chargé par Emmanuel Macron d'une mission pour la sauvegarde du patrimoine.Pour lui, "le vrai enjeu" sont "les abords de Notre-Dame". "Il faut, dit-il, faire un musée de l'histoire de France pour le monde entier avec les trésors de Notre-Dame", déplorant le sort de l'Hôtel-Dieu, plus vieil hôpital de Paris situé juste à côté de la cathédrale. Il aurait pu, selon lui, abriter ce musée mais doit céder un tiers de sa surface à un promoteur immobilier.Le père Drouin, directeur de l'Institut supérieur de liturgie, défend son projet. Il dément toute tentative de transformation radicale: l'objectif, dit-il est de conserver Notre-Dame comme "lieu de culte" et de "mieux accueillir" et informer le public qui "n'a pas toujours de culture chrétienne".Lorsqu'ils retrouveront Notre-Dame en 2024, selon le calendrier des travaux prévu à ce jour, les fidèles et visiteurs du monde entier devraient entrer par la grande porte centrale et non plus par les portes latérales, et bénéficier d'un parcours aéré autour de l'axe central allant de la nef au choeur.L'autel restera au même endroit. Un tabernacle (meuble qui abrite hosties et ciboire) qui "était mal placé" sera installé au fond du choeur et un nouveau baptistère (petit édifice servant traditionnellement aux baptêmes), dans l'entrée de la nef. Seuls "quatre des confessionnaux" seront conservés. Les "six ou sept autres seront remontés au premier étage de la cathédrale", détaille-t-il.La Nativité expliquée aux ChinoisPour faciliter encore plus la circulation en cas d'affluence, les chaises en paille séculaires descendront à la cave ou crypte Soufflot située sous la cathédrale et qui sera utilisée "comme espace de stockage" rendu plus accessible grâce à un "monte-charge".Quant aux chapelles latérales de l'édifice, elles étaient "dans un état épouvantable" avant l'incendie et seront complètement rénovées au profit de la mise en valeur d'oeuvres d'art: "des tableaux anciens des XVIe et XVIIIe siècles qui dialogueront avec des objets d'art contemporains"."Un cycle de tapisseries" notamment, dit l'ecclésiastique sans laisser filtrer de nom. "La cathédrale s'est toujours ouverte à l'art de son époque jusqu'à la grande croix dorée du sculpteur Marc Couturier installée par le cardinal Lustiger en 1994", souligne-t-il.Pour illuminer le tout, le diocèse souhaite "des lumières plus douces à hauteur de visage d'homme" qui donneront une ambiance plus intimiste aux 2.400 messes et 150 concerts annuels. Il a confié ce travail à un collectif d'artistes parmi lesquels le sculpteur de lumière Patrick Rimoux.Enfin, pour une meilleure compréhension de l'histoire du christianisme, il souhaite projeter sur les murs "des phrases bibliques ou de tradition spirituelle chrétienne" dans plusieurs langues dont le choix n'est pas encore arrêté."Un Chinois par exemple ne comprend pas forcément la Nativité de la Vierge. Or, depuis qu'il y a des caractères chinois inscrits sur des bannières dans la chapelle de Saint-Paul Cheng (martyr chinois) dans la cathédrale, les visiteurs de l'Empire du Milieu s'arrêtent et allument des bougies", relève-t-il.
Il y a 3 ans et 199 jours

Révision des tarifs solaires : la filière saisit le Conseil d'État pour des "illégalités"

RÉGLEMENTATION. Trois organisations représentatives de la filière photovoltaïque viennent de déposer un recours en référé devant le Conseil d'État. La procédure vise à suspendre et annuler le décret et l'arrêté du 26 octobre dernier, qui mettent en oeuvre la fameuse réduction tarifaire des contrats solaires signés entre 2006 et 2010.
Il y a 3 ans et 199 jours

Les copropriétés privées dégradées au cœur des enjeux de la rénovation urbaine

110.000 copropriétés en difficulté110.000, c'est le nombre de copropriétés qu'on estime fragilisées par des problèmes financiers, techniques et sociaux en France métropolitaine, soit 1,2 million de logements.Certaines habitations présentent des dégradations du bâti - parfois jusqu'à l'effondrement - menaçant la santé et la sécurité de leurs occupants et des riverains.En 2018, l'effondrement de deux immeubles insalubres du centre de Marseille avait provoqué la mort de huit personnes.A Epinay-sur-Seine, en Seine-Saint-Denis, une tour de 32 étages fait l'objet d'une procédure d'expulsion pour risque d'effondrement des balcons et ses occupants doivent quitter leur logement avant le 8 décembre.C'est l'Ile-de-France qui concentre plus de 50% des copropriétés dégradées, selon les chiffres de l'Agence nationale de l'habitat (Anah) qui a ciblé 14 sites sur le territoire.Plan initiative copropriétéLancé en 2018 par le gouvernement et piloté par l'Anah et l'Agence nationale pour la rénovation urbaine, ce plan vise à coordonner une stratégie nationale de traitement des copropriétés. Il est doté d'une enveloppe de 2,7 milliards d'euros sur 10 ans.Ses trois axes sont:Démolition: quand le bâtiment est trop dégradé, l'Etat rachète l'ensemble des logements, qui sont par la suite démolis ou revendus à un bailleur social pour être rénovés et transformés en logements sociaux.Redressement: quelques logements sont rachetés puis réhabilités avant d'être mis en location. En parallèle, l'établissement public CDC habitat assiste la copropriété dans l'assainissement de ses finances puis dans la rénovation des parties communes. Une fois l'attractivité de la résidence rétablie, les logements sont remis à la vente.Prévention: le registre national des copropriétés permet aux collectivités locales de mettre en place des actions comme le versement d'une prime aux travaux pour que les copropriétés qui présentent un profil de fragilité ne se dégradent pas.Sauvetage de Grigny 2 et du Chêne PointuIl a servi de décor pour le film "Les Misérables" de Ladj Ly: le quartier du Chêne Pointu à Clichy-sous-Bois a été longtemps laissé à l'abandon par l'Etat qui n'avait aucun levier d'action.En 2015, le quartier fait l'objet de la première "opération de requalification des copropriétés dégradées (ORCOD) d'intérêt national". Ainsi, l'Etat rachète les appartements (700 environ à ce jour) aux habitants et certains sont relogés dans des logements sociaux.L'opération est estimée à 500 millions d'euros et durera au moins jusqu'en 2030. A terme, toutes les barres seront démolies.A Grigny 2, l'une des plus grandes copropriétés d'Europe, gangrénée par des logements insalubres, l'Etat va racheter par l'intermédiaire de l'établissement foncier d'Ile-de-France (Epfif) 1.320 logements sur les 5.000. Parmi eux, 920 seront détruits (neuf bâtiments sur les 104) et 400 transformés en HLM.Il s'agit de la plus grande opération de redressement d'une copropriété en France.Dans les deux cas, la paupérisation a fait sombrer les copropriétaires qui se sont retrouvés écrasés par le poids conjugué du remboursement du crédit et des charges élevées.Le rachat des appartements fait débat parmi les propriétaires. Beaucoup reprochent des offres à des "prix cassés", entre 900 et 600 euros du m2."Nous sommes conscients que c'est socialement délicat mais ces logements ne valent plus rien", confie un proche du dossier.
Il y a 3 ans et 199 jours

Les victimes de l'amiante espèrent la tenue d'un procès en 2023

JUSTICE. L'une des principales associations de victimes de l'amiante a déposé une citation directe au tribunal de Paris. L'espoir de voir un jour des responsables nationaux condamnés perdure depuis plus de vingt ans.
Il y a 3 ans et 199 jours

Les principales mesures de la réforme controversée de l'assurance chômage

Nouveau calcul de l'allocation chômageEntrée en vigueur le 1er octobre après plusieurs reports, la modification du calcul du salaire journalier de référence (SJR, base de l'allocation) est la mesure phare de la réforme et la plus contestée par les syndicats.Le nouveau mode de calcul (qui ne concerne pas les demandeurs d'emploi déjà en cours d'indemnisation) va pénaliser les demandeurs d'emploi alternant chômage et activité, "les permittents".L'exécutif défend notamment une volonté d'"encourager le travail" car les règles précédentes pouvaient rendre parfois plus rémunératrice cette "permittence" qu'une activité continue à mi-temps par exemple.L'indemnisation était auparavant calculée en divisant les revenus par les seuls jours travaillés pendant la période de référence.La réforme initiale prévoyait que le SJR soit calculé en divisant les salaires perçus au cours des 24 mois précédant la situation de chômage, par l'ensemble des jours - travaillés ou non - entre le premier et le dernier jour d'emploi de cette période de 24 mois.Mécaniquement, cela aurait baissé fortement le montant de l'allocation de ceux, souvent précaires, qui alternent contrats courts et chômage. Pour corriger le dispositif, un plancher garantissant une allocation minimale a été introduit.Selon une évaluation de l'Unédic réalisée au printemps, et pas caduque d'après l'organisme paritaire, jusque 1,15 million de personnes ouvrant des droits dans l'année suivant l'entrée en vigueur de la réforme toucheraient une allocation mensuelle plus faible (de 17% en moyenne), avec dans le même temps une "durée théorique d'indemnisation" allongée (14 mois en moyenne contre 11 avant la réforme).Le ministère du Travail conteste ce chiffrage qui, selon lui, ne tient pas compte de l'amélioration de la conjoncture ni "des effets de comportement" espérés de la réforme.Bonus-malusPour lutter contre l'abus de contrats précaires, l'exécutif table sur l'instauration d'un "bonus-malus" sur la cotisation d'assurance chômage payée par les entreprises de plus de 11 salariés dans sept secteurs grands consommateurs de contrats courts (hébergement-restauration, agroalimentaire, transports...).Depuis le 1er juillet, le comportement de 21.000 entreprises est ainsi sous observation et le bonus-malus sera appliqué à partir de septembre 2022.Pour ces entreprises, on calculera sur une année leur taux de séparation, soit le nombre de fins de contrats - CDI, CDD ou intérim - divisé par leur effectif. En fonction de la comparaison avec le taux médian du secteur, l'entreprise verra l'année suivante sa cotisation varier entre 3 et 5,05% de sa masse salariale, contre un taux de 4,05% jusqu'alors.Certains secteurs particulièrement touchés par la crise, comme l'hôtellerie-restauration, sont dans un premier temps exemptés.Les syndicats craignent que le bonus-malus ne survive pas à une renégociation de la convention d'assurance chômage qui devra être lancée dès l'automne 2022.Conditions pour ouvrir des droitsA compter du 1er décembre, pour bénéficier d'une allocation chômage, il faudra avoir travaillé 6 mois et non plus 4 mois au cours des derniers 24 mois (36 mois pour les plus de 53 ans), avec une période de neutralisation liée aux confinements pouvant aller jusqu'à 11 mois.Cette mesure de durcissement était soumise à une clause de "retour à meilleure fortune".Concrètement, il fallait à la fois une baisse du nombre de demandeurs d'emploi en catégorie A de 130.000 sur six mois et 2,7 millions d'embauches de plus d'un mois en cumul sur quatre mois.Un arrêté du 18 novembre a acté la réalisation de ces deux objectifs.Dégressivité pour les cadresConformément à la même clause de "retour à meilleure fortune", la dégressivité des allocations est durcie pour les salariés de moins de 57 ans qui avaient un revenu du travail supérieur à 4.500 euros brut par mois - soit environ 3.500 euros net.Depuis le 1er juillet, la dégressivité de -30% des allocations s'appliquait à partir du 9e mois. Elle s'applique à partir du 1er décembre au bout du 7e mois.
Il y a 3 ans et 199 jours

Etude habitat 2021 : quel impact de la crise sanitaire sur le désir d’habitat ?

Dans le cadre des Inohadays, journée de réflexion stratégique organisée pour ses adhérents, consacrée cette année à l’Habitat de Demain, Inoha, l’Association des Industriels du Nouvel Habitat, a mené en partenariat avec la régie du Groupe Reworld Media et l’Institut d’Etudes Harris Interactive la reconduction d’une étude* réalisée en 2018. Cette dernière a pour but de mettre en évidence, trois ans après, les évolutions notables et l’impact de la crise sanitaire dans le désir des Français envers leur habitat. Depuis le début de la crise sanitaire, pour 44% des Français, l’habitat a pris encore plus d’importance qu’auparavant. 69% ont le sentiment de s’être davantage occupé de leur intérieur et/ou de leur jardin. Pour être bien chez soi, ils aspirent aujourd’hui à un habitat plus sûr (+10 points), plus sain (+ 8 points), plus confortable (+ 7 points), plus éco-responsable (+ 5 points). Mais plus encore, ils souhaitent bénéficier d’un extérieur, élément ayant le plus progressé en 3 ans dans les critères jugés essentiels par les Français (+ 3 rangs). Etat des lieux du logement des Français âgés de 25 – 64 ans Comme le révélait déjà l’étude en 2018, la majorité des Français interrogés dispose d’un cadre de vie confortable. Environ 6 sur 10 d’entre-eux vivent en maison, sont propriétaires de leur logement et bénéficient, pour la plupart, d’un grand espace de vie. Fait nouveau, l’étude 2021 révèle que 16% déclarent posséder une résidence secondaire. Ces heureux propriétaires ont un profil plus jeune (25 à 34 ans), sont franciliens et font partie des CSP+. Ils sont, pour près de la moitié d’entre-eux, des télétravailleurs réguliers. 2018 – 2021 : l’Habitat, un sujet qui mobilise toujours autant les Français Les Français aiment toujours autant leur habitat. 95% s’y sentent bien et adorent y passer du temps. 84% apprécient de l’équiper et de l’améliorer. Toutes tranches d’âge confondues, si 89% sont satisfaits de leur intérieur, la période de confinement a accéléré leurs attentes. Certaines se sont d’ailleurs fortement accrues en 3 ans. Parmi celles-ci, citons la sécurité du logement (45%), le confort (44%), une bonne connexion internet (39%), l’extérieur (28%). Habiter un logement plus sain (36%) et respectueux de l’environnement (26%) est également un critère en hausse. Le rapport des Français à l’habitat bousculé par la crise sanitaire Les confinements successifs et le développement du télétravail ont bousculé le rapport des Français à l’habitat. Pour plus de 4 sur 10, âgés de 25 à 64 ans (44%), la crise sanitaire a rendu leur logement plus important qu’avant. 69% ont le sentiment de s’être davantage occupé de leur intérieur et/ou de leur jardin dans lesquels ils ont d’ailleurs réalisé de nombreux travaux. 90% ont effectué au moins un achat de décoration, bricolage, mobilier et/ou jardinage au cours des 2 dernières années. 72% d’entre-eux ont entrepris un projet d’aménagement depuis le début de la crise sanitaire, au premier rang desquels des petits travaux (peinture, …) et l’organisation d’un espace de télétravail (50%). Ces changements de comportement ne semblent pas prêts de s’arrêter. En effet, 85% des propriétaires ont un projet de rénovation ou d’aménagement dans les 2 ans à venir. Peinture, décoration et jardin constituent le top 3 de ces projets qui seront réalisés en majeure partie par eux-mêmes. Des bricoleurs de plus en plus experts Cette période a également été propice pour la majorité de ces personnes (59%) de monter en compétences dans les domaines du bricolage et du jardinage. Des Français aux comportements de plus en plus éco-responsables dans l’habitat L’étude 2021 met en évidence un intérêt toujours plus grand des Français pour l’éco-responsabilité de l’habitat qui s’accompagne de réflexes et pratiques positifs, notamment en terme de consommation d’eau, d’électricité et de gestion de l’arrosage. 43% des personnes interrogées (+ 5 points) envisagent, d’ailleurs, l’installation d’un arrosage automatique de type goutte à goutte dans leur jardin. Cette démarche s’explique, en premier lieu, par la perspective d’économies. L’amélioration du bien-être et le respect de l’environnement sont également des motivations clés et en progression par rapport à 2018. En revanche, le prix reste un frein pour 9 Français sur 10. Enfin, 75% des Français (+7 points) font confiance aux professionnels pour réaliser des travaux afin d’améliorer l’éco-responsabilité de leur habitat, même si 63% n’hésitent pas à les effectuer eux-mêmes. Les travaux de plus grande envergure tels que l’installation de panneaux solaires ou photovoltaïques (28% ; + 6 points), le changement de fenêtres (27% ; +4 points) sont largement envisagés. Objets connectés et domotique : un taux d’équipement encore limité mais en progression Signe d’un marché qui murit, l’étude relève davantage d’adeptes de la domotique qu’il y a 3 ans. Bien qu’en progression de 6%, le nombre de Français dont l’habitat est équipé d’au moins un objet connecté (17%) et de ceux se déclarant très intéressés (35%) reste encore minoritaire. Près d’un Français sur 2, disposant d’un jardin ou d’un balcon, accorde de l’importance à la mise en place de la domotique pour leur extérieur ; un score en progression de 10 points depuis 2018. Autant un levier qu’un frein, le budget demeure l’argument clé du développement du marché de la domotique et des objets connectés en France. Néanmoins, 4 Français sur 10 envisageraient d’y consacrer un budget important soit une hausse de 10 points en 3 ans. Enfin, si les retraités interrogés semblent globalement en retrait par rapport à cet univers, le maintien à domicile pourrait à terme devenir un marché à fort potentiel de développement. Les jeunes, un véritable levier pour le secteur 92% des 25/34 ans ont un projet d’aménagement dans les deux prochaines années (vs 85% de l’ensemble des Français). De plus, 23% d’entre eux possèdent une résidence secondaire (vs 16% de l’ensemble). 52% d’entre-eux font du télétravail (vs 38% de l’ensemble de la population). Ce sont les jeunes (25% vs 17% de l’ensemble) qui sont le plus équipés d’objets connectés. Enfin, ils sont également plus sensibles et s’investissent davantage que le reste de la population en faveur de l’éco-responsabilité de leur logement (80% vs 76% de la population). « Cette étude, que nous avons révélé à nos adhérents lors des Inohadays, prouve que l’engouement des Français pour leur habitat continue. Elle est porteuse de signes positifs pour les industriels et l’avenir de la filière. Les Français vont entreprendre plus de travaux dans les deux ans à venir ; une tendance qui confirme que l’habitat est devenu une valeur refuge. Il est également intéressant de souligner que les jeunes sont un véritable levier pour le développement de notre secteur », conclut Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha. *Etude menée auprès d’un panel de plus de 1000 Français de 25 ans et plus http://www.inoha.org/
Il y a 3 ans et 199 jours

COP 26 : la Fédération Cinov appelle à ce que les objectifs fixés restent fidèles à l’Accord de Paris

Face à l’urgence de la situation, la Commission Développement Durable de Cinov émet le vœu que l’ensemble des décisionnaires – au premier rang desquels les États – accélèrent et renforcent les progrès engagés d’ici la COP 27 qui aura lieu dans un an en Égypte, pour que les objectifs fixés restent fidèles à ceux figurant dans l’Accord de Paris.Présent à Glasgow pour la COP 26 cette année, Idriss Kathrada, président de la Commission Développement Durable de la Fédération Cinov, a pu assister aux échanges et participer à certaines tables-rondes pour exprimer le point de vue de la branche BETIC sur les questions liées au changement climatique et à la nécessaire accélération de la transition écologique.Un constat alarmant partagé par la Fédération CinovS’appuyant sur le discours inaugural d’Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, dont elle partage les grandes orientations, la Fédération Cinov considère qu’une augmentation de 2,7 degrés – telle qu’estimée par le dernier rapport sur les plans nationaux de réduction des émissions de gaz à effet de serre – serait catastrophique pour la planète.A rebours de ces estimations alarmantes, qui doivent pousser l’ensemble des décisionnaires à agir rapidement, Cinov rappelle son attachement aux ambitions qui figuraient en 2015 dans l’Accord de Paris. Selon Idriss Kathrada, « les scénarii du secrétaire général de l’ONU sont terrifiants. Il nous faut d’urgence nous recentrer sur nos objectifs initiaux, tels qu’ils figuraient dans l’Accord de Paris sur le Climat, et qui fixaient le seuil de réchauffement en deçà de 2 degrés Celsius, de préférence à 1,5 degré. » Et de rappeler « qu’il en va de notre avenir et de notre survie collective : il faut donc urgemment nous donner les moyens de cette ambition. »Des avancées notables qu’il conviendra d’accélérer et de renforcerSi la Fédération Cinov regrette le bilan en demi-teinte de la COP 26, elle salue toutefois de réelles avancées, notamment en ce qui concerne l’engagement des États – à travers leurs Contributions Nationales Déterminées (CDN) – de passer de +3,2° à +2,7° puis, avec les déclarations complémentaires concernant le méthane, la reforestation et la diminution de la place du charbon, à +2,4°, bien que ce chiffre demeure trop élevé.Le respect et le relèvement du niveau de financement de l’adaptation par plusieurs pays sont également très importants pour mieux reconnaître et répondre aux effets du changement climatique. Aussi, la Fédération Cinov salue le partenariat noué entre la France, l’Allemagne, les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Union Européenne pour aider l’Afrique du Sud à sortir du charbon. Cité en exemple le 13 novembre par le Commissaire européen à l’Action climatique et vice-président de la Commission Européenne Frans Timmermans, ce partenariat pourrait préfigurer d’autres accords de ce type pour accélérer la transition énergétique dans des pays tiers.Enfin, Cinov se réjouit que les Solutions fondées sur la Nature (SfN), en relation avec la biodiversité, soient pleinement reconnues comme mobilisables pour l’atténuation et l’adaptation au changement climatique. La Fédération considère en effet que la lutte contre les conséquences du changement climatique est indispensable, mais qu’il est aussi essentiel de travailler sur l’adaptation audit changement. Pour cela, Cinov plaide pour l’investissement dans les SfN (forêts, sols, agroécologie, mangrove…), le développement des capacités d’extraction de dioxyde de carbone de l’atmosphère et le renforcement des mécanismes d’échanges de droits carbone, notamment pour pallier leurs limites physiques.2022-2030 : plus que huit ans pour inverser la tendanceLa Fédération Cinov partage les ambitions de la COP 26 qui insistent sur la nécessité d’une décarbonation de près de 50% à l’échelle mondiale d’ici 2030 – une date devenue aussi importante que 2050, a fortiori si l’on souhaite conserver l’objectif de l’Accord de Paris d’un seuil de réchauffement inférieur à 2°C.En sa qualité d’acteur du secteur privé, Cinov soutient pleinement l’agenda de l’année à venir afin de rehausser le niveau d’ambition et de déploiement dans la « course au zéro carbone », tant en France que dans le reste du monde. « En France, cela se traduit par exemple par l’engagement pour le déploiement de la RE2020 dans le secteur du bâtiment, le Contrat de Relance de Transition Écologique dans les territoires, et le bilan GES avec des objectifs fondés sur la SNBC ou sur la science, dans le prolongement de la dernière version de la norme ISO 14064-1 pour les entreprises et collectivités » détaille Idriss Kathrada, président de la Commission Développement Durable de la Fédération Cinov.« Dans le reste du monde, ce soutien s’appuie notamment sur les initiatives de la Global Alliance for Buildings and Construction (GABC) et de Construction 21, qui accompagnent le relèvement du niveau d’exigence et la diffusion des bonnes pratiques » explique M. Kathrada. Le soutien de la Fédération Cinov passe également par la promotion de la Charte sur le Climat de la Fédération internationale des ingénieurs-conseils (FIDIC) – dont est membre Cinov aux côtés de 100 associations nationales et régionales d’ingénierie.
Il y a 3 ans et 199 jours

La jeunesse porte l’espoir de l’habitat rural

Du logement à l’aménagement des territoires, les Etats généraux de l’habitat ont répondu aux attentes des parcs naturels régionaux et du programme des Petites villes de demain. Les deux réseaux ont posé les jalons d’un réenchantement du monde rural, au cours des journées d’échanges accueillies par l’Ecole nationale supérieure d’architecture de Paris Val-de-Seine, les 25 et 26 novembre.
Il y a 3 ans et 199 jours

Palmarès de l’édition 2021 des Trophées Inoha

Lors de la 6ème édition de LA NUIT by Inoha, organisée par l’Association des Industriels du Nouvel Habitat le 25 novembre dernier au Musée des Arts Forains, quatre trophées ont été décernés à des sociétés adhérentes pour leur démarche engagée et novatrice dans l’une des 3 catégories du concours : Innovation, Communication, et R.S.E. / Responsabilité Sociétale des Entreprises. Le jury*, composé d’acteurs de la filière et de journalistes, a souhaité récompenser les sociétés suivantes : Recticel Insulation avec le Trophée de l’Innovation, Brunel Chimie Dérivés et sa marque Starwax avec le Trophée Communication, PPG et sa marque Ripolin avec le Trophée R.S.E. Un Coup de Cœur du Jury a également été décerné à l’entreprise Swap-Europe du Groupe Builder pour son service de reconditionnement. Les lauréats des Trophées Inoha 2021 Lors d’une soirée conviviale rassemblant plus de 300 invités issus des secteurs de l’industrie et de la distribution, la 6ème édition de LA NUIT by Inoha a été l’occasion pour Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha, de dévoiler les 4 lauréats du palmarès des Trophées 2021. Trophée de l’Innovation : Recticel Insulation pour SIMFOCOR SIMFOCOR est une solution innovante établissant de nouveaux standards dans le secteur de l’isolation acoustique. Inédit, SIMFOCOR est un panneau d’isolation acoustique facile à installer dans les cloisons distributives standards, de type rails métalliques et recouverts d’une plaque de plâtre de 12,5 mm pour répondre aux exigences de sécurité incendie. Certifié, SIMFOCOR réduit les bruits aériens perçus dans l’habitat (gain d’affaiblissement ΔRw = 8 dB.) et crée ainsi un espace de vie paisible. Conçu à partir de 70% de mousses de Polyuréthane recyclées issues de matelas usagés (70%), SIMFOCOR limite l’impact environnemental et préserve les ressources naturelles. Légers, les panneaux semi-rigides SIMFOCOR sont faciles à manipuler. Ils ne se tassent pas et conviennent tout particulièrement aux travaux en neuf ou en rénovation. « Au-delà du facteur émotionnel, nous avons pris en compte les critères d’innovation, d’écologie, de design et d’usage afin de faire ressortir le projet le plus abouti, le plus responsable et le plus porteur de cette image que l’innovation doit véhiculer à un moment où les besoins de confiance, de qualité et de mobilisation autour de notre environnement sont essentiels. Recticel a su cocher le plus grand nombre de cases sur le processus de réutilisation des matières isolantes qui sont reconditionnées pour donner une nouvelle vie à un produit très innovant, une boucle vertueuse et tellement responsable » déclare le membre du Jury Philippe BERNA, Responsable du Pôle Innovation & Numérique de la Médiation des Entreprises. Trophée Communication : Brunel Chimie Dérivés pour la campagne menée pour sa marque STARWAX STARWAX, marque de l’entreprise française Brunel Chimie Dérivés, spécialiste des produits d’entretien pour la maison, est récompensée pour sa campagne de communication à 360° « AUSSI MANIAQUE QUE VOUS ». La marque STARWAX jouissait d’une excellente réputation de qualité et d’efficacité. Cependant, sa notoriété restait faible car elle était distribuée via les Grandes Surfaces de Bricolage, circuit peu naturel pour acheter des produits d’entretien. Dans un contexte extrêmement concurrentiel, STARWAX se devait d’émerger face à des marques multinationales et avait pour objectif de faire savoir à ses consommateurs cibles qu’elle disposait de solutions spécifiques pour résoudre les problématiques d’entretien de la maison. STARWAX a ainsi lancé une campagne de communication en 4 étapes successives : . une étude auprès de ses clients consommateurs pour cerner leurs profils, phase essentielle du processus de réécriture du positionnement de marque, . la création d’une nouvelle plateforme de communication réalisée par l’agence Buzzman, réputée pour ses idées innovantes et disruptives. Une nouvelle signature de marque a ainsi vu le jour : « AUSSI MANIAQUE QUE VOUS » faisant écho à la cible des consommateurs de STARWAX, . un plan média national d’affichage et de parutions presse, . un relais sur les réseaux sociaux de deux vidéos tutorielles réalisées avec Jessica Venancio, Ambassadrice de la marque. « Le Jury a décidé de récompenser Starwax pour sa capacité à répondre aux attentes des consommateurs en leur proposant une campagne de communication osée, assumée et innovante » commente le membre du Jury Etienne Bodin, Délégué Général des Jardineries et Animaleries de France. Trophée R.S.E / Responsabilité Sociétale des Entreprises : PPG pour sa marque Ripolin Afin de se positionner comme un acteur du changement au travers d’actions responsables et innovantes sur le marché de la peinture, PPG s’engage depuis 2009, au travers de sa marque à forte notoriété Ripolin, en faveur de l’Environnement et de la Santé tout en préservant la performance, la qualité et l’accessibilité de ses produits. Depuis 2020, la société a accéléré les initiatives concrètes pour : . réduire l’impact de ses produits et de ses sites de production français certifiés ISO 14001, avec notamment le lancement de sa gamme Ripolin O’Pur, peinture à base de résines biosourcées à 97% réduisant de 25% ses émissions de CO2. 96% de la gamme Ripolin est fabriquée en France sur des sites de production certifiés ISO 14001. . baisser son empreinte carbone en choisissant le plastique recyclé pour ses emballages, . sensibiliser les consommateurs en mettant à leur disposition, sur son site internet, un calculateur afin qu’ils achètent la juste quantité de peinture et une carte des déchetteries les plus proches de leur domicile. Ce projet s’accompagne également d’actions sociales et environnementales comme le reboisement lancé en 2021 en Corrèze avec son partenaire Reforest’Action (2000 arbres plantés). « Le jury a tout particulièrement apprécié la prise en compte de l’ensemble des problématiques dans la démarche R.S.E de PPG au travers de sa marque Ripolin, allant du calculateur pour acheter la juste quantité jusqu’à proposer une carte avec les déchetteries les plus proches du domicile des consommateurs » explique Laure Empereur, membre du Conseil d’Administration d’Inoha, qui a remis ce prix à l’entreprise. Coup de Cœur du Jury : Swap-Europe, filiale du Groupe Builder Systems, pour son service de reconditionnement Comment réduire son impact sur l’environnement tout en proposant des outils abordables pour tous ? Comment consommer mieux ? Builder Systems, fabricant d’outils de bricolage et de jardinage, met tout son savoir-faire pour offrir une nouvelle vie aux produits tout en réduisant les déchets et en recyclant les matières plastiques. Au travers de sa filiale Swap-Europe, spécialiste de la pièce détachée et engagée dans l’économie circulaire, Builder Systems a créé une filière de reconditionnement. Unique sur le marché, Swap Reused propose aux enseignes de la GSB et du e-commerce, depuis 2021, la collecte et le reconditionnement d’outils de jardin et de bricolage. Avec ce nouveau service, Swap-Europe leur permet de bénéficier d’une solution nationale, centralisée et gratuite, s’inscrivant dans leurs démarches RSE. La seconde main étant de plus en plus sollicitée, Swap-Europe met également à disposition des consommateurs une offre adaptée à leurs attentes. Tous les produits sont reconditionnés en France et Swap-Europe a pour objectif de créer des partenariats avec des organismes de l’économie sociale et solidaire afin de favoriser la réinsertion. « Le Jury a eu un véritable coup de coeur pour cette solution car elle est à la fois innovante et apporte une réponse à la problématique de la fin de vie des produits. Cette initiative s’inscrit dans la démarche d’économie circulaire couplée à nos ambitions RSE » conclut Jean-Luc GUÉRY, Président d’Inoha. *Membres du Jury : Jean-Luc Guéry, Président Inoha – Caroline Hupin, Déléguée Générale de la FMB – Etienne Bodin, Délégué Général des Jardineries et Animaleries de France – Philippe Berna, Responsable du Pôle Innovation et Numérique de la Médiation des Entreprises – Céline Chahi, Rédactrice en Chef de Maison & Travaux, Directrice Pôle Maison de Reworld Media – Guillaume Fédèle, journaliste au magazine Négoce. http://www.inoha.org/  
Il y a 3 ans et 199 jours

2ème Edition de Tiny Houses, un concours bien doté

Le concours Tiny Houses, organisé par la Fondation Huttopia, offre aux lauréats les moyens techniques et financiers de construire leur prototype et à tous les candidats l’opportunité de faire connaître leur travail. Jusqu’au 15 janvier 2022. Longtemps confidentiel, l’intérêt pour les Tiny Houses s’est accentué avec la prise de conscience environnementale de nos sociétés. Ce […] L’article 2ème Edition de Tiny Houses, un concours bien doté est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 199 jours

Rennes : inauguration du Quadri dans le quartier du Blosne

Le Quadri, un bâtiment long de 83 m, a été officiellement inauguré en novembre 2021.
Il y a 3 ans et 199 jours

Dispositif des CEE : la DGCCRF mène une enquête sur les relations commerciales

CONTRÔLE. La direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) vient de publier les résultats d'une enquête réalisée au sujet des relations commerciales dans le secteur des CEE.
Il y a 3 ans et 199 jours

Hoppe à architect@work Bordeaux

HOPPE, fabricant de poignées de porte et de fenêtre en aluminium, inox, laiton et polyamide y participera et présentera sur son stand 123 des solutions répondants aux besoins et demandes du marché de la construction et de la rénovation d'E.R.P, de bâtiments tertiaires et résidentiels avec :DesignLes poignées pour porte intérieure avec mini-rosaces personnalisablesAvec leur taille réduite, les mini-rosaces sont à peine perceptibles sur la porte et mettent en scène les poignées de manière inédite. Avec sa gamme étendue de poignées sur mini-rosaces, HOPPE propose également de personnaliser la finition de la poignée et de la mini-rosace, permettant ainsi de configurer une poignée unique parmi des finitions tendances : anthracite, blanc et noire ou encore les teintes laitonnée et cuivrée.HygièneLes poignées de porte et de fenêtre antimicrobiennes SecuSan®SecuSan® est un revêtement antimicrobien et antibactérien qui réduit jusqu'à 99% la croissance des microbes et bactéries sur la poignée. Cette solution permet ainsi de mettre en place des normes d'hygiène élevées et conserve son efficacité sans entretien particulier.Le revêtement SecuSan® développé par HOPPE est disponible sur 6 lignes phares de la marque allemande, sur les poignées pour porte intérieure (rosaces et plaques) sur les poignées de fenêtre et également sur des poignées battantes et des sets pour porte coulissantes.Design et techniqueLigne Toulon, un même design de poignée pour équiper toutes les menuiseries d'une maison ou d'un bâtimentAu plus près des besoins du marché et fort de son savoir-faire et de ses innovations, HOPPE est le seul fabricant à proposer avec un même design de poignées, une ligne complète et adaptée à l'ensemble des menuiseries intérieures et extérieures d'un bâtiment ou d'une maison (porte d'entrée, porte intérieure, fenêtre, baie vitrée, menuiserie alu,…).
Il y a 3 ans et 199 jours

Paris: mesures renforcées contre la précarité énergétique

Le Conseil de Paris a adopté un plan de lutte contre la précarité énergétique, qui touche 77.000 personnes, prévoyant un fonds d'aide aux travaux légers ou petits équipements pour réduire les factures.
Il y a 3 ans et 199 jours

Le projet d'un pont ou d'un tunnel entre la Grande-Bretagne et l'Irlande du Nord, rêve de Boris Johnson, est enterré

Cela fait de nombreuses années que circule l'idée de relier par un pont l'Irlande du Nord au reste du Royaume-Uni, notamment l'Ecosse, séparés par la mer, mais celle-ci a pris de l'ampleur sous la houlette de Boris Johnson.Le dirigeant conservateur avait demandé en 2020 à une équipe d'experts de se pencher sur la faisabilité du projet, dans le cadre d'une étude, publiée vendredi, sur les infrastructures de transport au Royaume-Uni."Des technologies de pointe du XXIe siècle en matière d'ingénierie civile permettraient de construire un pont ou un tunnel entre la Grande-Bretagne et l'Irlande du Nord", ont conclu ces experts. Pour des raisons techniques et de sûreté, un tunnel serait toutefois limité à un usage ferroviaire.Le pont ou le tunnel seraient "les plus longs" jamais construits à ce jour, compte tenu des défis techniques posés par la mer, ont-ils ajouté, avec une estimation de coût de respectivement 335 milliards et 209 milliards de livres (395 et 247 milliards d'euros). Et de la conception du projet à son approbation et à la construction, il faudrait "près de 30 ans" pour qu'une telle traversée devienne opérationnelle."Pour le moment, les bénéfices ne sauraient être supérieurs aux coûts pour les deniers publics", ont-ils souligné, recommandant de ne pas poursuivre avec ce projet.Dans la province nord-irlandaise, le projet était soutenu par certains responsables politiques pro-britanniques, qui y voyaient un moyen de renforcer les liens mis à rude épreuve par le Brexit.Boris Johnson a déjà un passif tristement célèbre en matière de ponts: lorsqu'il était maire de Londres, le conservateur avait lancé un grand projet de "pont-jardin" au-dessus de la Tamise, qui avait finalement été abandonné après avoir coûté 53,5 millions de livres (63 millions d'euros).
Il y a 3 ans et 199 jours

A Aubervilliers, Centre des colloques du Campus Condorcet par K Architectures

L’agence K Architectures (Karine Herman et Jérôme Sigwalt) a livré en 2020 à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) le Centre des colloques du Campus Condorcet Paris. L’ouvrage de 3 944m² (budget 15 M€ TTC) est composé de deux auditoriums de 250 et 150 places respectivement, de deux salles de conférences et de dix salles de séminaires. Communiqué. Le […] L’article A Aubervilliers, Centre des colloques du Campus Condorcet par K Architectures est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 199 jours

Altarea participe au lancement d’un programme de recherche sur l’empreinte biodiversité des projets immobiliers

À l'initiative de Gecina et coordonné par l'Observatoire de l'Immobilier Durable, BIG vise à développer un référentiel commun d'indicateurs et d'outils de mesure pour définir et améliorer l'empreinte biodiversité des projets immobiliers, éclairer le choix des maîtres d'ouvrage et des investisseurs et mieux concilier les fonctions urbaines et écologiques des territoires.Face au constat sans appel d'une érosion massive de la biodiversité, 16 entreprises s'unissent pour transformer les pratiques vers un modèle plus respectueux du vivant :Aire Nouvelle, Altarea, Amundi, BNP Paribas Real Estate, Bouygues Immobilier, Covea Immobilier, Crédit Agricole Immobilier, Gecina, Groupama Immobilier, Korian, Linkcity, LVMH, Nexity, Perial Asset Management, Groupe RATP, Schneider Electric.BIG se développera autour de trois axes pour construire un référentiel commun sur l'enjeu de biodiversité avec :L'élaboration d'outils de mesure des “bénéfices“ de la biodiversité à l'échelle d'un projet immobilier (mesure de l'impact carbone, santé ou encore fraîcheur en ville).Le développement d'une plateforme de cartographie des contributions locales à la biodiversité (monitoring de la biodiversité, visualisation de la densification du bâti…).La mise en place de dispositifs d'appropriation de ces outils par les acteurs du secteur immobilier (animation d'une communauté d'échange, publication de guides et référentiels pour accompagner la montée en compétences des équipes internes).L'objectif est de mesurer les impacts liés à la biodiversité d'un bâtiment pour piloter les progrès. Cette démarche permettra d'éclairer les stratégies des investisseurs et participer ainsi à la convergence de la performance économique et financière avec la performance socio-environnementale des acteurs économiques. Ces travaux associeront notamment aménageurs, grands donneurs d'ordre, agences et institutions publiques, associations professionnelles et experts mobilisés sur le sujet de la biodiversité.Pour Sabine Desnault, Directrice exécutive R&D, innovation et RSE de Gecina : « Je suis très heureuse et honorée de la large mobilisation des partenaires fondateurs de BIG (Biodiversity Impulsion Group) face à l'urgence à préserver la biodiversité. Cela traduit leur engagement à ce que collectivement nous fassions évoluer le secteur immobilier en développant des outils de mesure et de visualisation communs. Convaincue que notre force réside dans notre capacité à coopérer, j'invite ceux qui le désirent à rejoindre l'initiative. ».Pour Loïs Moulas, Directeur Général de l'OID : « Accélérer la transition écologique dans le secteur immobilier a toujours été l'ADN de l'OID. Ainsi, BIG s'inscrit en droite ligne avec notre raison d'être : fédérer les acteurs, encourager le partage d'expériences et faciliter le passage à l'acte, en toute indépendance et transparence dans un objectif d'intérêt général ». Pour Nathalie Bardin, Directrice Exécutive Marketing stratégique, RSE et Innovation d'Altarea : « C'est une formidable initiative de place à laquelle Altarea est heureux de participer. Pour nous, la biodiversité et le climat participent du même combat : celui de protéger et de reconquérir le vivant. Et il y a urgence car la biodiversité s'effondre et nous pouvons inverser cette tendance. Si l'on sait mesurer l'empreinte carbone d'une opération, nous n'avons pas encore d'outil de mesure de la biodiversité. Avec BIG, nous allons ensemble pouvoir tester sur des opérations pilotes des indicateurs qui nous permettront d'avoir un référentiel commun et de progresser ».
Il y a 3 ans et 200 jours

Le marché des logements neufs collectifs reste en berne

Le marché du logement neuf ne réussit toujours pas à surmonter les effets de la crise sanitaire notamment en raison de la baisse des permis de construire accordés, a rapporté la FPI.
Il y a 3 ans et 200 jours

Quand Caracas était la capitale de l'architecture des années 1950

En une décennie magique, la capitale vénézuélienne a vu naître des joyaux : l'Université centrale du Venezuela, classé au Patrimoine mondial, "l'oeuvre totale" de la Villa Planchart du designer italien Gio Ponti, ou encore l'hôtel Humboldt, bijou Bauhaus.A l'époque, le pétrole et l'argent coulent à flots. Surfant sur un budget florissant, le dictateur Marcos Perez Jimenez (1953-1958) lance le pays dans une politique de grands travaux, construisant ponts, autoroutes, ministères, logements..."Indépendamment des critiques légitimes qu'on peut lui faire" sur les droits humains et la démocratie, "Perez Jimenez était un excellent gestionnaire de travaux publics", explique à l'AFP l'architecte et professeur Oscar Rodriguez Barradas. "Il y avait aussi une dimension nationaliste avec +Nous on peut le faire+".La période coïncide aussi "avec l'arrivée d'immigrés européens et d'une main d'oeuvre très qualifiée capable de mener à terme les projets", souligne-t-il.NuagesA tout seigneur, tout honneur : l'hôtel Humboldt, "notre Corcovado" s'enthousiasme M. Rodriguez, domine Caracas à 2.150 mètres d'altitude, sur la ligne de crête de l'Avila, le massif séparant Caracas de la mer.Il a été construit en 1956 pour des raisons inavouables : Perez Jimenez voulait un téléphérique pouvant transporter "800 militaires par heure" du port jusqu'au centre en cas de troubles, rappelle Carlos Salas, le directeur de l'hôtel.On décide alors d'un "espace de détente" au sommet pour justifier le téléphérique et le dictateur passe commande à un jeune architecte à la mode, Tomas Sanabria.Elève du fondateur du Bauhaus, Walter Gropius, à l'université d'Harvard, Sanabria réussit un des plus beaux bâtiments de ce style du continent.Encore aujourd'hui, l'hôtel n'est accessible que par téléphérique ou par une piste réservée aux 4X4. De la ville, seule sa tour est visible mais à l'approche, c'est sa base qui impressionne avec ses lignes pures et ses voûtes ressemblant à des vagues."L'hôtel flotte entre les nuages", résume le directeur. L'intérieur du bâtiment, parfaitement restauré par l'Etat vénézuélien après des années d'abandon, est composé de grands espaces lumineux que les nuages, poussés par des vents puissants, semblent traverser. Rouvert à une clientèle huppée (340 dollars la nuit), l'hôtel espère devenir Patrimoine mondial en 2022.L'héritage de Perez Jimenez s'observe aussi au coeur de la ville avec notamment le Centre Simon Bolivar (1954): deux tours jumelles et de longs bâtiments ministériels, signés par l'architecte vénézuélien Cipriano Dominguez et qui témoignent d'"un langage à la Le Corbusier avec des aspirations qui vont au-delà de leur fonction" de bureaux pour canaliser l'activité du centre ville, souligne Oscar Rodriguez.Avec ses immenses parkings et "cascades d'escaliers", il était aussi l'expression de la civilisation de l'automobile, alors signe de modernité et de richesse.PapillonLe Vénézuélien Armando Planchart fait justement fortune avec ses concessions de voitures américaines vendues à une classe moyenne émergente.Son épouse Anala le convainc de faire construire une maison sur les hauteurs de Caracas. Abonné à la prestigieuse revue Domus du designer et architecte italien Gio Ponti, ils décident de l'embaucher : ce sera la Villa Planchart (1957).Les Planchart donnent carte blanche à Ponti qui ébauche la maison de ses rêves pour créer ce "papillon sur la colline", selon son expression."Ponti n'a presque pas eu de limites quant aux ressources et aux volontés des commanditaires", souligne leur nièce Carolina Figueredo, qui gère la fondation Planchart.Inondée de lumière par un patio intérieur et des fenêtres "traversantes", la maison ne comprend presque aucune porte, mais des séparations claires entre les espaces. Ponti a pratiquement tout dessiné : charnières, poignées de portes, vaisselle, lampes, chaises.... C'est "+l'oeuvre totale+ parce qu'en plus de l'architecture et du design, il a prévu le placement des collections ou des oeuvres" signées Calder, Leger, Buffet, Cabré ou Reveron, explique Carolina.Ponti a positionné les fenêtres qui fonctionnent comme des tableaux pour offrir des vues sur l'Avila.Seul désaccord, la bibliothèque où le propriétaire veut exposer ses trophées de chasse africains peu appréciés par le designer. Ponti résout le problème avec une coquetterie : un mur tournant digne d'un James Bond, qui permet d'occulter ou d'exhiber les têtes de buffles et d'antilopes !"Ponti était enchanté par le résultat, mais aussi par Caracas" pour laquelle il a dessiné un vaste projet urbain qui n'a jamais vu le jour, explique Carolina Figueredo.AirLe grand architecte vénézuélien de l'époque est sans aucun doute Carlos Raul Villanueva, qui a excellé dans les rares maisons d'habitation qu'il a dessinées, mais surtout comme architecte de bâtiments publics.Son chef-d'oeuvre reste l'Université centrale du Venezuela (UCV)."C'est une utopie construite", résume sa fille Paulina Villanueva, architecte. Au total, une quarantaine de bâtiments, dont un hôpital, des salles de cours, de conférence, des bibliothèques, des esplanades.S'y promener est un émerveillement avec des édifices différents mais qui forment une unité. Les espaces intérieur et extérieur s'entremêlent. Les passages couverts, avec des toits paraissant suspendus dans l'air, sont une des trouvailles de l'architecte."Ce sont des lieux de vie et d'échange, tu te promènes sans jamais perdre le contact avec l'extérieur, l'air, la lumière", détaille Paulina Villanueva. "Mon père pensait que l'architecture était la construction du lieu de vie de l'homme. Le lieu ne s'impose pas, mais accompagne, stimule", explique-t-elle.Véritable "chef d'orchestre", Villanueva y a intégré des oeuvres d'artistes de renom, Vasarely, Arp, Lam, Leger ou Narvaez.Point d'orgue : la "Aula magna", vaste auditorium orné des "Nuages" d'Alexander Calder.Mais avec la crise économique sans pareille qui frappe le Venezuela depuis 2013, l'université se dégrade. Trous dans les murs et les plafonds, fresques abimées, fenêtres cassées, végétation et infiltrations d'eau... En 2020, un pan d'un passage couvert s'est écroulé."Nous parlons de 25 ans d'abandon. Ca fait mal ! Les professeurs ne gagnent pas 10 dollars par mois. Il n'y a pas d'ampoules, les étudiants en achètent et les enlèvent quand ils partent pour pas qu'on les vole", s'écrie Paulina, tantôt les larmes aux yeux, tantôt en colère."Pour mon père l'université était sa seconde maison, son oeuvre la plus chère, il n'aurait pas compris son état actuel", dit-elle.A l'image de l'UCV, de nombreux bâtiments de cette époque dorée sont en mauvais état. D'autres ont été dévoyés comme "L'Hélicoide" (1958), centre commercial transformé en prison, ou tout simplement rasés (Villa Diamantina de Ponti)."C'était une génération d'architectes, d'intellectuels qui avaient une vision d'avenir", résume Paulina Villanueva. "Ils pensaient que cet avenir était possible. Malheureusement, cela ne l'a pas été".
Il y a 3 ans et 202 jours

Les secteurs de l'industrie et de la distribution récompensent des démarches innovantes

TROPHÉES. L'association professionnelle des industriels du nouvel habitat, Inoha, a décerné 4 trophées afin de récompenser des entreprises engagées dans des démarches novatrices et responsables. Découvrez le palmarès.
Il y a 3 ans et 202 jours

Le Groupe Lorillard se pare d’un nouveau site. Illustration digitale d’une expertise plurielle.

A l’aune de ses 85 ans le Groupe Lorillard est loin d’être une entreprise vieillissante et, bien au contraire, dynamise sa présence digitale avec la refonte totale de son site Internet. L’entreprise octogénaire qui cumule aussi les marques et les sites de production – forte d’une présence nationale et pluriactivités – a choisi de remanier la conception globale de son site afin de permettre une visibilité à 360°du Groupe. Ainsi, les différentes activités du Groupe, les valeurs, les 12 marques commerciales et l’identité de chacune ont été mises en lumière autour d’une arborescence agile, plus complète et de contenus enrichis. CONSIDÉRER LE GROUPE La première étape de la construction de ce nouveau site Internet a été de considérer digitalement le Groupe. Fort de 12 marques et d’autant de publics cibles, allant du particulier aux bailleurs sociaux en passant par les artisans, le Groupe Lorillard a choisi de donner plus de visibilité et de force à l’ensemble des entités. Pour ce faire, une arborescence plus structurée a été créée, le design tendance des pages et la sémantique ont été adaptés. Ainsi le nouveau site s’adresse en grande partie aux professionnels : artisans, architectes, bureaux d’études, bailleurs sociaux, collectivités et institutionnels, promoteurs, copropriétaires, etc. Les 12 marques du Groupe sont mises en lumière et accessibles via l’onglet «Toutes nos Marques». La notion de Groupe a inspiré toute la conception du site, son design, sa sémantique. Un formulaire de contact a notamment été créé pour qualifier chaque typologie de client. Il permet de diriger précisément les demandes afin qu’elles soient traitées plus rapidement par le service concerné. La notion de visibilité a été particulièrement étudiée pour bien différencier chaque marque et chaque site de production. Cette différenciation a trouvé sa solution avec la création d’une page dédiée pour chacun. Directement accessibles depuis le menu principal, ces pages sont des écosystèmes propres à chaque entité avec différents types de contenus qui peuvent leur être rattachés, comme des réalisations, des actualités, le détail de leurs activités ou des offres d’emplois. Cette arborescence permet également au Groupe de travailler avec plus de pertinence son référencement naturel à l’aide de requêtes locales et thématiques. Un formulaire de contact a été créé pour qualifier chaque typologie de client.   DES CONTENUS ENRICHIS Les contenus ont été travaillés de manière à répondre aux besoins spécifiques de chaque cible. Une réflexion a été menée pour apporter toutes les informations nécessaires de façon claire et structurée pour que les utilisateurs puissent avoir une vision complète des métiers et expertises du Groupe. Les contenus du nouveau site ont été rassemblés sous 6 grandes thématiques : la découverte du Groupe, les marques, les expertises, les produits, les réalisations et le recrutement. Les contenus ont été travaillés de manière à répondre aux besoins spécifiques de chaque cible, et apporter toutes les informations de façon claire et structurée.   Les pages sur l’histoire du Groupe, les valeurs, les sites de production ont particulièrement été travaillées pour souligner la notion de « Groupe ». Identiquement, les divers savoir-faire ont été catégorisés en 4 grandes expertises : Pose de menuiserie-Conduite de projet, Fabrication de menuiserie sur mesure et fourniture seule, Rénovation-Isolation des façades, Désamiantage-Déplombage des menuiseries. Deux autres rubriques à forte valeur ajoutée ont été pensées pour mettre en évidence le savoir-faire, la notion de sur-mesure et la capacité d’adaptation du Groupe aux contraintes et natures des divers chantiers. Ainsi, la rubrique dédiée aux réalisations du Groupe fera la part belle aux chantiers des différentes entités et mettra en exergue les expertises développées. La rubrique des dossiers conseils offrira quant à elle, des articles de fond, à la manière d’un blog, pour aider les utilisateurs sur diverses problématiques qu’ils peuvent rencontrer. La rubrique présentant les réalisations du Groupe fait la part belle aux chantiers des différentes entités et met en exergue les expertises développées. Ce nouveau site web, en accord avec les valeurs et l’identité du Groupe lui offre une présence digitale optimisée. Les contenus enrichis, l’expérience utilisateur perfectionnée avec une navigation simplifiée et l’arborescence retravaillée en font un site optimisé, sur mobile également ! La stratégie SEO, les actions marketing et digitales, les vidéos implémentées, les billets du blog vont offrir des contenus plus riches et de qualité permettant d’informer les utilisateurs, d’améliorer la visibilité et la notoriété du Groupe et de ses marques. Partager la publication « Le Groupe Lorillard se pare d’un nouveau site. Illustration digitale d’une expertise plurielle. »
Il y a 3 ans et 202 jours

Vers des hausses modérées des tarifs d'assurances auto et habitation en 2022

Facts & Figures, cabinet de conseil indépendant, spécialiste de l'assurance, a fait une hypothèse de hausse de 0,5% à 1% des tarifs de l'assurance auto dans son baromètre 2021 des assurances dommages."On parie plutôt sur une stabilisation des prix en automobile, marché très concurrentiel", affirme quant à lui Olivier Moustacakis, co-fondateur d'Assurland, leader de la comparaison d'assurance en ligne."Ce n'est pas la vache à lait des assureurs, c'est un produit d'appel, avec lequel ils font l'acquisition de nouveaux clients, donc la bataille est assez rude sur l'automobile", rappelle-t-il.La Maif a annoncé dès juin le gel de ses tarifs d'assurance auto pour 2022 pour la deuxième année consécutive, "malgré une hausse de la sinistralité et des coûts de réparation auto", avait-elle indiqué dans un communiqué.En assurance habitation, la Maif souhaite contenir l'augmentation de ses tarifs à 2,5% en moyenne, à l'exception des contrats habitation jeunes, également gelés.Du côté de l'assureur mutualiste Covéa, qui comprend les marques MMA, MAAF et GMF, le directeur général adjoint Paul Esmein a mentionné une tendance à l'"augmentation plus conséquente en habitation qu'en auto" devant des journalistes.Les évolutions tarifaires d'Allianz France "sont encore en discussion" et ont habituellement lieu en avril ou mai, a affirmé l'assureur de son côté. AXA France a également fait savoir qu'il était encore prématuré pour dégager une tendance. La Macif n'a quant à elle pas souhaité répondre aux sollicitations de l'AFP."Les assureurs sont aujourd'hui très discrets, mais ils ont fait des économies de sinistralité automobile grâce au troisième confinement. Annoncer des hausses de tarifs dans ce contexte là, ça fait débat", assure Cyrille Chartier-Kastler, président et fondateur de Facts & Figures.En comparaison avec l'année 2019 -l'année 2020 ayant été trop atypique en matière de sinistralité avec les deux confinements- le nombre de personnes décédées sur les routes depuis janvier est en recul de 15% et le nombre de blessés de 7%, selon l'observatoire national interministériel de la sécurité routière.Accélération en 2023En parallèle, le prix des pièces détachées a explosé (+4,4% en 2020, après une hausse de 6% en 2019, selon Facts & Figures), en raison de l'intégration croissante d'électronique. Concrètement, s'il y a moins d'accidents de voitures, les réparations coûtent plus cher.Facts & Figures évoque d'ailleurs dans son baromètre un probable retour, à compter de l'échéance 2023, d'une dynamique annuelle de hausse des tarifs de l'assurance automobile de l'ordre de 2 à 3%, pour absorber la dérive des coûts de la réparation automobile.Mais pour 2022, les facteurs inflationnistes se compensent encore avec "l'économie réalisée avec le troisième confinement et la baisse de fréquence de sinistres", indique M. Chartier-Kastler.Il évoque également un "contexte très schizophrénique" à l'approche de l'élection présidentielle de 2022. "Il y a beaucoup de débats sur le pouvoir d'achat des Français, le gouvernement fait pression pour éviter une hausse de tarif [de l'assurance]. Tous ceux qui voudraient annoncer des hausses seront très discrets."Pour Assurland, la stabilité des prix pour les assurances habitation devrait se poursuivre. Facts & Figures prévoit quant à lui une hausse des tarifs "assez raisonnable", de 1 à 1,5%, proche de l'inflation."La sinistralité a un peu baissé avec la mise en place de jours de télétravail", observe Olivier Moustacakis. Les Français étant plus présents à leur domicile, le risque de cambriolage a été réduit et les dégâts des eaux ou potentiels incendies ont été détectés plus tôt, causant ainsi des dommages moins importants, donc moins coûteux.Cyrille Chartier-Kastler met cependant en garde sur la dérive du risque climatique, facteur d'augmentation des prix pour les années à venir.
Il y a 3 ans et 202 jours

Procès des dépôts sauvages : décision prévue le 14 décembre prochain

JUGEMENT. Les réquisitions sont connues pour le procès d'un réseau de trafic de déchets du bâtiment, mené à Draguignan. La décision est attendue pour le 14 décembre 2021.
Il y a 3 ans et 202 jours

Forte concentration de la propriété de logements en France, selon l'Insee

Les seuls propriétaires de trois logements ou plus, qui représentent 11% du total, détiennent eux près de la moitié (46%) des 28,4 millions maisons ou appartements possédés par les ménages en nom propre ou via une société civile immobilière.Les logements loués appartiennent pour leur part encore davantage à de grands propriétaires, puisque ceux qui en possèdent au moins cinq détiennent la moitié du parc locatif appartenant à des particuliers, alors qu'ils ne représentent que 3,5% des ménages."Cette concentration de la propriété de logements en location reflète une logique d'accumulation patrimoniale, qui s'appuie notamment sur le recours aux SCI", relève l'Institut national des statistiques dans son Portrait social de la France.De plus, la part des logements possédés par les propriétaires de cinq logements et plus augmente dans les centres des grandes agglomérations, là où les appartements sont les plus chers.Cette part est ainsi comprise entre 10% et 25% dans les communes de la proche banlieue parisienne mais s'élève entre 45% à 50% dans les arrondissements du centre de Paris, selon l'étude.Une répartition géographique similaire se retrouve aussi dans les les autres grandes métropoles françaises, notamment à Lyon, Marseille, Toulouse et Lille, rapporte encore l'Insee.Les ménages multipropriétaires, c'est-à-dire qui possèdent au moins deux logements, ont plus de 40 ans dans neuf cas sur dix et la moitié d'entre eux ont entre 50 et 69 ans.Enfin, au sein des couples hétérosexuels, les hommes sont plus souvent propriétaires de logements que les femmes, avec 79% des premiers qui ont un droit de propriété sur le ou les logements possédés par les ménages contre 71% des femmes.De plus, cet écart augmente avec le nombre de logements possédés. Pour les propriétaires de 20 logements ou plus, 72% des hommes ont un droit de propriété, contre seulement 50% des femmes.
Il y a 3 ans et 202 jours

Le CCCA-BTP et l’OPPBTP veulent inscrire la santé et la sécurité au travail comme une compétence professionnelle essentielle

La prévention des risques, porteuse d’innovation et de performance pour les acteurs du bâtiment et des travaux publics L’évolution des missions du CCCA-BTP induit par la réforme de la formation professionnelle de 2018 et les nouvelles orientations stratégiques de l’OPPBTP à l’horizon 2025 ont conduit les deux partenaires à définir un nouveau cadre de réalisation de leurs actions communes, en faveur de la prévention des risques professionnels dans la formation aux métiers du BTP.Cette nouvelle coopération repose sur les valeurs partagées des deux organismes qui, partenaires depuis 2005, ont la conviction que la prévention des risques professionnels, porteuse d’innovation et de performance globale des entreprises du BTP, est une composante indissociable de la compétence professionnelle. À ce titre, la prévention des risques professionnels doit être pleinement intégrée aux axes de développement de tous les organismes de formation aux métiers du BTP, dans leur ingénierie de formation et dans leurs modalités pédagogiques d’apprentissage. Sa dimension santé et sécurité au travail doit ainsi être inscrite au cœur des enseignements et portée par l’engagement des personnels de direction et des équipes pédagogiques, dont les formateurs. Sept thématiques prioritaires pour inscrire la prévention au cœur de la formationOrientation pédagogique de l’apprentissage BTP, intégrant la dimension santé et sécurité au travail Le CCCA-BTP et l’OPPBTP s’engagent à valoriser et intégrer la prévention des risques au sein des enseignements aux métiers du bâtiment et des travaux publics, par l’élaboration commune de guides d’accompagnement, la mise en œuvre de nouveaux de diplômes, la publication conjointe d’articles liés aux orientations pédagogiques, ou encore la promotion de la qualité de la formation par l’intégration de la santé et sécurité au travail. Appui à la mission de contrôle de l’apprentissage des CPREF (Commissions paritaires régionales de l'emploi et de la formation conjointe du bâtiment et des travaux publics) et des rectorats Le CCCA-BTP s’engage à élaborer les critères de performances attendus pour le contrôle de la qualité de la formation en apprentissage et l’OPPBTP apporte son expertise pour la prévention des risques, pour produire in fine en commun un référentiel d’audit des critères de performances des organismes de formation aux métiers du BTP. Organisation d’appels à projets et appels à candidatures intégrant la dimension santé et sécurité au travailLe CCCA-BTP, qui organise de nombreux appels à projets et appels à candidatures, notamment pour soutenir les expérimentations et les innovations des organismes de formation aux métiers du BTP, la valorisation des métiers du BTP ou assurer le développement de la qualité de l’apprentissage BTP, définira avec l’OPPBTP des sujets intégrant la dimension santé et sécurité au travail et des démarches pédagogiques, comme Zoom Chantiers, BTP-BTP (Bien dans ta peau, bien dans ton poste), Prév’enQuiz, ateliers pédagogiques en prévention, etc. Le CCCA-BTP proposera un accompagnement financier et opérationnel pour le déploiement des projets sélectionnés et l’OPPBTP s’appuiera sur ses ressources humaines pour accompagner leur déploiement, notamment par l’animation d’ateliers de sensibilisation, l’audit des locaux de formation des enseignants à l’utilisation des outils…Promotion et déploiement conjoint des produits existants auprès de l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP Les deux partenaires répondront conjointement aux demandes d’accompagnement dans la mise en place de démarches de prévention des risques professionnels des organismes de formation aux métiers du BTP, en leur proposant les outils existants dans leurs offres de services respectives, en particulier les ressources et moyens relatifs à la promotion de la dimension santé et sécurité au travail. Construction et diffusion conjointe de ressources pédagogiques, notamment immersivesLe CCCA-BTP élaborera et diffusera des ressources pédagogiques, comprenant notamment des modalités immersives et l’OPPBTP mobilisera ses équipes pour contribuer à la scénarisation des modules de formation intégrant la santé et la sécurité au travail. Les deux partenaires utiliseront leurs canaux de diffusion respectifs, ainsi que ceux de leurs partenaires, pour en assurer la promotion. Montée en compétence des formateurs et des personnels de direction des centres de formationL’OPPBTP proposera et animera des actions de formation (ateliers pédagogiques, classes virtuelles, etc.) et le CCCA-BTP des communautés apprenantes à l’attention des formateurs, pour favoriser leur montée en compétences. La dimension santé et sécurité sera intégrée aux thématiques développées et pourra bénéficier de l’intervention des experts de l’OPPBTP. Les deux partenaires s’engagent également à développer ensemble un dispositif d’accompagnement et à concevoir le diagnostic de culture de la sécurité, ainsi qu’un parcours de formation des personnels de direction des organismes de formation aux métiers du BTP, puis à coanimer des sessions d’information et de formation. Le CCCA-BTP assurera la promotion de ces actions et l’OPPBTP proposera des plans d’action adaptés au diagnostic réalisé et accompagnera les établissements concernés dans leur mise en œuvre et leur suivi. Engagement conjoint dans le développement de l’accélérateur Santé-Prévention dans le BTPLe CCCA-BTP et l’OPPBTP coopèrent pour favoriser la diffusion des innovations et expérimentations menées dans le cadre de l’accélérateur Santé-Prévention du BTP, qu’ils ont créé en 2018 avec PRO BTP et la Fondation Excellence SMA, notamment à travers des webinaires, conférences, ou encore publications, pour accompagner les entreprises de la construction dans leurs démarches novatrices de prévention.Le mot d’Éric Routier, président du CCCA-BTP : « En mutualisant les expertises pédagogiques et éducatives de notre association à gouvernance paritaire à celles de l’OPPBTP en termes de prévention, cette nouvelle coopération vise à intensifier l’intégration de la prévention des risques professionnels au cœur de la formation aux métiers du BTP. Dans ce cadre, nous aurons à cœur de soutenir et d’accompagner toutes les expérimentations et innovations des organismes de formation aux métiers du BTP, intégrant et valorisant la dimension santé et sécurité au travail, et d’animer avec l’OPPBTP de nombreuses actions pour favoriser la montée en compétences de leurs équipes pédagogiques. »
Il y a 3 ans et 202 jours

Les exportations de grumes "continuent de se dégrader", les industriels s'impatientent

FILIÈRE BOIS. Les exportations de grumes de chênes en direction de la Chine, et la crise d'approvisionnement qu'il engendre sur le territoire français, déstabilisent toujours plus la filière. Les industriels haussent le ton face à l'absence de mesures nationales mais aussi européennes.
Il y a 3 ans et 202 jours

Saint-Gobain prévoit d'embaucher 7.500 personnes en France en 2022

EMPLOI. Le géant français des matériaux de construction a présenté son plan d'embauches pour l'année 2022. Au menu, le recrutement de 36.000 collaborateurs au niveau mondial, dont 3.500 jeunes en France.
Il y a 3 ans et 202 jours

Premier feu vert des députés pour un changement possible de l'assurance emprunteur à tout moment

Une proposition de loi "pour un accès plus juste, plus simple et plus transparent au marché de l'assurance emprunteur", portée par la députée Patricia Lemoine (groupe Agir) a été adoptée en première lecture à la quasi-unanimité (61 voix contre une et deux abstentions).Le texte, qui doit maintenant être examiné au Sénat, vise une entrée en vigueur dans les prochains moins, avant la fin de la législature.Le marché de l'assurance emprunteur est évalué à près de 10 milliards d'euros de cotisations par an, et concerne près de 7 millions de propriétaires ayant un crédit en cours.L'objectif est d'introduire davantage de concurrence dans le secteur bancaire, en position de force dans ce domaine (88% de part de marché), et celui des assurances, afin de faire baisser le coût de ces assurances.Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a exprimé mercredi son soutien à cette réforme favorable au "pouvoir d'achat des Français"."Aujourd'hui votre assurance emprunteur vous ne pouvez la modifier que la première année et ensuite à une date anniversaire. (...) Là, ça va être plus simple, plus rapide et à tout moment vous pourrez modifier votre assurance emprunteur, votre assurance crédit, si vous estimez que vous pouvez trouver mieux et moins cher ailleurs", a expliqué le ministre.Mme Lemoine a, durant les débats dans l'hémicycle, estimé que cette nouvelle disposition pouvait permettre "des économies pouvant aller en moyenne de 5.000 à 15.000 euros environ sur la durée totale du contrat".Cette réforme renforçant le "respect du droit du consommateur" est aussi "une mesure de pouvoir d'achat, qui ne coûte pas un euro à l'État", a ajouté la députée de Seine-et-Marne.L'assurance emprunteur couvre divers risques comme le décès, la maladie ou l'invalidité, protégeant à la fois les emprunteurs et les banques contre un éventuel défaut de remboursement.
Il y a 3 ans et 202 jours

Regards croisés autour de l’architecture en béton

Eglise Saint-François d’Assise, à Belo Horizonte, au Brésil, œuvre d’Oscar Niemeyer. [©Andreborgeslopes] A vos agendas. “Regards croisés France/Brésil : restauration et gestion des bâtiments en béton dans le site patrimoine mondial” : tel est l’intitulé du webinaire du YouTube le 1er décembre prochain à partir de 13 h 00 (9 h 00, heure de Brasilia). Ce rendez-vous inédit est organisé par Sinduscon-DF (Syndicat brésilien de l’industrie de la construction civile – District fédéral) et Icomos (Conseil international des monuments et des sites) Brasil France.  Il présentera des cas pratiques de restauration de bâtiments et abordera la gestion des sites historiques patrimoine mondial de l’Unesco. Ceci, aussi bien en Europe, qu’en Amérique latine et, en particulier, au Brésil. De quoi ravir les passionnés de patrimoine et de construction en béton. A l’occasion de ce webinaire sera conclu un accord de coopération entre Icomos-BR et Sinduscon-DF. Le Corbusier et Niemeyer au programme Le programme des “Regards croisés France/Brésil” est riche et débutera par une présentation des Journées scientifiques 2022, organisées à Brasilia. S’en suivra un focus sur la restauration en site “patrimoine mondial”. Ceci, à travers deux exemples marquants : le couvent de Sainte-Marie de La Tourette, à Evreux, signé Le Corbusier, et l’église Saint-François d’Assise, à Belo Horizonte, au Brésil, œuvre d’Oscar Niemeyer.  Enfin, “Modernité et patrimoine mondial” permettra de mettre en avant deux cas pratiques. D’une part, la maison du docteur Curutchet, à La Plata, en Argentine. Il s’agit de l’un des deux seuls bâtiments de Le Corbusier construit sur le continent américain. Et, d’autre part, la cité industrielle d’Ivrée, en Italie, berceau de la société Olivetti, construite entre 1930 et 1960, à l’initiative et pour les besoins de la société Olivetti. La diffusion du webinaire doit s’achever à 16 h 00, heure de Paris, soit une durée totale de 3 h. Les inscriptions sont déjà ouvertes. Il suffit de suivre ce lien pour en savoir plus. 
Il y a 3 ans et 202 jours

10 premiers lauréats pour l'appel à projets pour l'industrialisation de la construction bois

La ministre déléguée au Logement, Emmanuelle Wargon et sa collègue chargée de l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher, ont présenté le 26 novembre les lauréats de la première vague de l'appel à projets « Industrialisation de Produits et Systèmes Constructifs bois et autres biosourcés ». Les dix projets sélectionnés font l’objet d’une décision d’octroi d’aide, pour un montant global de près de 16 millions d’euros.
Il y a 3 ans et 202 jours

Système Proteplan®, câble chauffant antigel pour la protection des vignes

Depuis toujours, les vignes subissent les aléas météorologiques, et notamment, l’impact des températures négatives, de la neige, de la glace, ou encore des gelées du printemps. L’année 2021 a été particulièrement dévastatrice avec de nombreux vignobles touchés partout en France, notamment dans le Val de Loire, la Bourgogne, le Bordelais, et même l’Hérault ou le Gard. Pour les protéger et éviter la perte de leur récolte, les vignerons ont jusqu’à présent eu recours à plusieurs techniques, comme les bougies aux pieds des vignes, l’aspersion ou encore l’hélicoptère : des systèmes particulièrement polluants, onéreux et nécessitant plus de main d’œuvre. Des images spectaculaires nous ont frappées, parce que les solutions utilisées sont difficiles à mettre en œuvre pour les vignerons, très contraignantes et extrêmement néfastes pour l’environnement. Avec PROTEPLAN ®, solution de protection des plants de vignes face aux évènements climatiques développée par Prysmian Group, la donne a changé depuis son lancement en septembre 2020. Prysmian a fourni pour le vignoble chablisien plus de 300 Km de câbles basse tension 500 V PROTEPLAN®, un câble chauffant à la gaine résistante aux intempéries, aux UV et aux traitements chimiques. Fixé tout au long du fil de palissage, le câble est relié grâce à un système de raccordement à une armoire étanche de distribution. Le vigneron n’a plus qu’à déclencher le système lorsque les températures chutent (efficace jusqu’à -10°C) qui maintient au contact des baguettes, une élévation de température homogène de 15 °C.   Après ces premières installations aux résultats déjà très positifs, Prysmian Group a souhaité étendre l’offre Proteplan à l’ensemble des vignobles de l’hexagone. Afin de faciliter la promotion ainsi que la distribution de cette innovation sur le marché de la viticulture, Prysmian Group s’est associé à Soufflet Vigne, apporteur reconnu de solutions techniques innovantes sur ce marché. Ce partenariat sera officiellement signé sur le stand de Soufflet Vigne lors du SITEVI le mardi 30 décembre 2021 (Stand A3 B008) entre de Monsieur Thierry Berger, Directeur Général de Soufflet Vigne et Monsieur Jean-Pierre Bignaud, CCO France & Belgique du Groupe Prysmian. Le câble Proteplan sera présenté en fonctionnement sur un rang de vigne sur le salon. Quels avantages pour nos cultures avec la solution PROTEPLAN ® ? Cette technologie présente différents avantages pour les vignerons : efficace et pérenne, elle est simple d’installation et d’utilisation. Plus encore, elle présente des avantages écologiques non négligeables par rapport aux bougies dont on a pu voir de nombreuses images. Ces bougies doivent en effet être installées dans toutes les vignes, sur des hectares entiers. Elles vont brûler en dégageant des fumées parfois toxiques, et dangereuses pour l’environnement. Elles réduisent par ailleurs la visibilité sur les routes au petit matin. Sur les vignobles déjà équipés du système, les câbles PROTEPLAN ® ont été très utiles sur 2021, année particulièrement rude. Leur température, élevée à 16° environ, a sans aucun doute permis d’éviter le gel des nombreux bourgeons déjà apparus sur les vignobles Chablisiens lors des fortes gelées et de garantir des futures récoltes plus généreuses dont nous verrons les premiers résultats prochainement avec la période des vendanges. D’un point de vue économique, le retour sur investissement est très rapide en raison de coûts d’exploitation bien moindres que tous les autres systèmes. « La technologie PROTEPLAN ® est une solution efficace et d’avenir alors que le réchauffement climatique menace chaque année un peu plus les vignes au moment du printemps. Et elle est respectueuse de la nature et de l’environnement. », a conclu M. Fabien Queffelec, Responsable Industrie & Spécialités Prysmian Group France. Les câbles sont en outre 100% français, fabriqués dans l’Yonne (89) sur le site de production Prysmian Group de Paron, spécialisé dans les câbles basse tension.
Il y a 3 ans et 202 jours

Le Telescopic JCB 525-60 E-Tech élu produit de location de l’année

Lancé l'année dernière, le 525-60 E-TECH est le premier modèle de chariot télescopique JCB entièrement électrique. Le jury des ERA Awards a déclaré à propos de cette machine : "JCB répond à la demande du marché de la location pour des équipements propres et zéro émission sur le lieu d’utilisation. Le nouveau TELESCOPIC électrique JCB - en plus d'être une machine efficace et productive - est également une importante déclaration d'intention." Conçue pour offrir les mêmes performances que son homologue conventionnel alimenté au diesel, la 525-60 E-TECH offre une solution de manutention de charges zéro émission. Un autre avantage des matériels électriques est une réduction significative des niveaux de bruit et poussières, ce qui rend le TELESCOPIC adapté à une utilisation prolongée sur des chantiers urbains sensibles. Les dimensions extérieures sont identiques à celles de son homologue diesel. Il offre le même rayon de braquage extérieur de 3,7 mètres. Sa capacité de levage maximale est de 2 500 kg, avec une charge maximale de 2.000 kg à la hauteur de levage maximale de six mètres. La machine a été conçue pour offrir des temps de cycle hydraulique similaires à ceux de son homologue diesel, sans perte de performances.
Il y a 3 ans et 202 jours

Webdoc, Ép. 3 : En route vers la transition environnementale du secteur du bâtiment

WEBDOC 3/10. Pour fêter ses 20 ans, Batiactu vous propose un webdocumentaire exclusif : "20 ans pour construire l'avenir." Découvrez le troisième épisode, consacré à la transition environnementale du secteur, principale révolution de ces décennies. "Du vert au durable."
Il y a 3 ans et 202 jours

Isia, filiale du Groupe Elcia, inaugure ses nouveaux locaux

Un nouveau bâtiment de 1500 m² pensé pour le bien-être au travail« C'est un bâtiment qui a été pensé pour le bien-être de nos collaborateurs ». Voici comment Hélène Corman, Directrice administrative et financière chez ISIA, présente fièrement les nouveaux locaux aux invités de l'inauguration ce vendredi 19 novembre. Parmi ces invités, les élus locaux, les voisins de la Zone Tertiaire Pyrene Aéro-Pole, les partenaires ISIA et les artisans locaux ayant travaillé sur le chantier.Hélène Corman les a remerciés un par un : « Ce bâtiment est aussi le vôtre » et a mis l'accent sur l'importance de travailler avec des artisans locaux. Le bâtiment ISIA a été conçu pour offrir à ses collaborateurs un cadre agréable et convivial. La cohésion d'équipe a d'ailleurs été le sujet n°1 au coeur de l'aménagement de ce nouveau bâtiment : de grands espaces de travail, des espaces de coworking, une salle détente avec un balcon vu sur les Pyrénées, un baby-foot ou encore un boulodrome. Après la 5ème labellisation HappyAtWork d'ISIA, c'est un nouvel argument de taille autour du bien-être au travail que l'éditeur compte bien mettre en avant pour attirer de nouveaux collaborateurs.Poussée par sa croissance, ISIA recrute !Cette inauguration a aussi été l'occasion de rassembler plusieurs acteurs économiques du territoire et de souligner la belle réussite d'ISIA, qui a été créé dans une ancienne ferme en 1989, puis a déménagé dans les locaux de la Communauté d'Agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées, pour maintenant être propriétaire de son bâtiment de 1500m². « Aujourd'hui ISIA c'est 7 millions de chiffre d'affaires et 68 collaborateurs » rappelle Laurent Haristoy, Directeur des Opérations.Et ISIA ne compte pas s'arrêter là et a déjà prévu une extension de bâtiment qui sera mise en route en fonction du nombre de recrutements. Désormais bien installé depuis juin 2021 dans ses locaux, ISIA se projette vers l'avenir et est toujours en quête de nouveaux talents pour agrandir son équipe.Toutes les offres d'emploi disponibles sont ici : www.elcia.com/carriere
Il y a 3 ans et 202 jours

Découvrez la certification Bois des Alpes pour construire « local »

Afin de découvrir le projet Bois des Alpes, de la conception à la réalisation, Fibois AuRA et Fibois 38, invitent les acteurs de la construction, maîtres d’oeuvre, entreprises et maîtres d’ouvrage le vendredi 10 décembre 2021 à partir de 13h45 dans le Trièves, à la scierie Barthalay (Tréminis). La visite de l’établissement sera suivie par celle d’un bâtiment (distillerie du Domaine des Hautes-Glaces) à Cornillon-en-Trièves. La certification Bois des Alpes, créée en 2008, a pour objet de valoriser les bois issus des forêts alpines par une traçabilité de la forêt jusqu’aux produits finis tout en garantissant une gestion durable des forêts. Avec une Dotation d’Equipement des Territoires Ruraux bonifiée, Bois des Alpes est devenue la marque locale de prédilection des élus. Les 65 entreprises certifiées proposent une gamme de produits diversifiée et innovante. Inscription
Il y a 3 ans et 202 jours

L’ESB ouvre ses portes

Samedi 27 novembre, de 9h à 17h, à Nantes, l’ESB ouvre ses portes aux lycéens, étudiants et à leurs parents, dans le cadre d’une journée de découverte de ses cinq niveaux de formation (BTS, Bachelor, Licences professionnelles, Ingénieur, Mastère spécialisé). L’ESB forme dans 3 grands domaines métier : les sciences du bois et la valorisation de la ressource forestière, le génie industriel (industrie 4.0) et la construction bas carbone. Parmi les nombreux débouchés qu’offrent les formations de l’école, le domaine de la construction fait figure de partenaire privilégié : il est à l’origine de 60% des embauches des ingénieurs diplômés en 2021 à l’ESB. Le bois et les matériaux biosourcés s’illustrent également dans de nombreux secteurs d’activité : le transport et la logistique, l’emballage, l’énergie, le nautisme, le transport… ESB – 7 rue Christian Pauc – 44 000 Nantes
Il y a 3 ans et 202 jours

Travaux publics en Occitanie: acteurs pour la planète

La FRTP d’Occitanie organisait ses Assises, le 24 novembre, à La Grande-Motte (Hérault). L’occasion de prendre le pouls du secteur et d’échanger sur la transition écologique, thème de l’édition 2021.
Il y a 3 ans et 203 jours

La métropole de Bordeaux vote sa participation au financement de la LGV Sud-Ouest

Les élus socialistes, communistes, LREM et LR ont quasiment tous voté une participation de 354 millions d'euros au financement de ce projet qui prévoit la création de deux nouvelles lignes à grande vitesse.Elles doivent permettre de gagner une heure de trajet entre Bordeaux et Toulouse et 20 minutes entre Bordeaux et Dax, et, selon la SNCF, de faire transiter davantage de fret sur les lignes classiques.La métropole bordelaise a décidé que sa participation serait "fléchée" vers l'aménagement de 12 km de lignes ferroviaires au sud de Bordeaux, une composante du projet qui servirait aussi à la création d'un RER local.Pour le président PS de la métropole Alain Anziani, les nouvelles voies permettront de "faire sauter" un bouchon ferroviaire au sud de Bordeaux, comme pour le nord de la ville à l'arrivée de la LGV Paris-Bordeaux en 2017.Les écologistes, qui veulent privilégier les voies existantes et dénoncent les "coûts exorbitants" du projet, y sont très hostiles.Le maire EELV de Bordeaux Pierre Hurmic a ainsi fustigé jeudi un plan de financement "approximatif". Pour le maire EELV de Bègles, Clément Rossignol-Puech, "l'histoire récente en France nous montre que plus il y a de LGV, moins il y a de fret et de trains du quotidien".Au total, le projet est estimé à 14,3 milliards d'euros, dont 40% pris en charge par l'État (qui débloquera 4,1 milliards pour la ligne Bordeaux-Toulouse mais ne s'est pas encore engagé sur Bordeaux-Dax), 40% par les collectivités locales des régions Nouvelle-Aquitaine et Occitanie, et 20% par l'Union européenne.L'Occitanie a bouclé son financement (16 collectivités contributrices) mais pas la Nouvelle-Aquitaine (11 collectivités).Les départements du Lot-et-Garonne et de la Gironde ont déjà acté leur refus de participer au financement, ce dernier préférant investir dans une amélioration du réseau ferroviaire local.La région Nouvelle-Aquitaine, les départements des Pyrénées-Atlantiques, des Landes et les agglomérations du Pays-basque, de Pau, d'Agen, de Dax et de Mont-de-Marsan, se prononcent d'ici fin décembre.Parmi elles, à ce jour, seules la région et les collectivités landaises sont favorables au projet.
Il y a 3 ans et 203 jours

Comment Saint-Gobain va doubler ses capacités de production de "float" en Argentine

En mars 2022 sera inaugurée une usine XXL co-exploitée avec le japonais NSG-Pilkington, qui fournira le marché du "Cône sud" (Argentine, Chili, Uruguay).
Il y a 3 ans et 203 jours

Demathieu Bard et Cycle Up s'unissent

Economie circulaire -
Il y a 3 ans et 203 jours

Les trottinettes limitées à 10 km/h dans tout Paris avant Noël

Dans toutes les "rues adjacentes", les trottinettes seront bridées automatiquement à 10 km/h, tandis que les axes majeurs, notamment ceux disposant de pistes cyclables sécurisées, conserveront leur limitation à 20 km/h, a indiqué à l'AFP l'écologiste David Belliard, adjoint à la maire Anne Hidalgo (PS) en charge notamment des mobilités.Outre les pistes cyclables, les voies "structurantes inter-quartiers" seront également exemptées de limitation, tout comme les rues où la circulation automobile reste autorisée à 50 km/h, et les voies de bus où les vélos sont autorisés.Cette "commande" a été passée mercredi par la Ville aux trois opérateurs présents dans la capitale, qui avaient annoncé il y a quelques jours la mise en place dans 700 zones de limitation de la vitesse à Paris.Pour M. Belliard, un tel zonage ne serait pas satisfaisant car il crée "un Paris dalmatien", et serait difficilement compréhensible des usagers de trottinettes.Concernant les trottinettes personnelles, David Belliard a souligné lors d'une conférence de presse que la mairie n'avait "pas de moyens coercitifs d'agir" puisqu'elles n'étaient pas régies par les opérateurs.En simplifiant les règles, la mairie souhaite assurer une "meilleure régulation de l'espace public", décrit par les élus comme "tendu".Les trottinettes ont été responsables de 298 accidents depuis le début de l'année, causant deux décès et 329 blessés. 375 accidents avaient été recensés en 2020, dont un mortel.Fin juin, après la mort d'une Italienne de 32 ans, percutée par une trottinette électrique sur une allée piétonne, la mairie de Paris avait menacé les trois opérateurs privés autorisés de ne pas renouveler leur contrat s'ils ne faisaient pas des progrès sur la limitation de la vitesse et le stationnement.A ce jour, M. Belliard confirme la prolongation "de cinq mois" de ces contrats.Réguler les scooters aussiLa "promesse de liberté totale" des usagers des trottinettes en libre-service "n'est pas tenable", souligne David Belliard qui affirme sa volonté "d'apaiser" le partage de l'espace public à l'approche des fêtes de fin d'année, où les rues de la capitale s'emplissent.Les Parisiens rencontrés jeudi par l'AFP sont partagés. "Cela ne suffit toujours pas", déplore une retraitée, qui estime que les trottinettes sont "hyper dangereuses" pour les piétons, "les rues sont déjà remplies, avec les vélos et les voitures électriques silencieuses".Marjorie, employée d'une maison de luxe, estime quant à elle que cette décision est "une bonne nouvelle pour la sécurité des piétons".Côté opposition municipale, le maire LR du XVe arrondissement, Philippe Goujon, salue auprès de l'AFP la mise en place de cette nouvelle limitation, qu'il affirme avoir proposé il y a plusieurs semaines. "Je ne souhaitais pas découper le XVe en tronçons", explique l'élu.Il souhaite néanmoins aller plus loin, "que la Ville travaille avec les opérateurs", à la création notamment d'un "Code de la rue, ou code du piéton" et que ces derniers, particulièrement vulnérables, "soient protégés".Dans cette même volonté de réguler les moyens de transport en libre-service, la Mairie a également annoncé réaliser un appel à concurrence auprès des opérateurs de deux-roues motorisés, à partir du 13 décembre. L'idée est d'"anticiper", avant que la situation ne devienne ingérable, comme elle l'a été pour les trottinettes.Cinq opérateurs sont actuellement présents dans la capitale, mais l'appel d'offres n'en retiendra que deux ou trois. Les lauréats seront annoncés en juin, pour un début de contrat en septembre.Les critères de sélection seront divers, et liés "aux types d'engins, au respect de leurs critères environnementaux", à la qualité des services, leur capacité à se déployer "et à assurer le service", résume M. Belliard, tout en précisant le souhait de la municipalité de travailler avec des entreprises suivant une démarche "d'amélioration sociale" du cadre de travail de ses salariés.Ce modèle a déjà été suivi en 2020, pour réduire le nombre d'opérateurs de trottinettes à trois dans la capitale (Dott, Lime et Tier).