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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88062 résultats)
Il y a 3 ans et 203 jours

Le CCCA-BTP lance "Destination BTP"

Destination BTP est une nouvelle solution qui vise à accompagner les jeunes en recherche d’une formation à un métier du bâtiment et des travaux publics en apprentissage et les jeunes diplômés dans leur insertion professionnelle au sein des entreprises du secteur. Il s’agit aussi, plus largement, d’accompagner et de conseiller celles et ceux qui ont un projet professionnel dans le secteur du BTP, y compris les personnes en reconversion professionnelle. Avec Destination BTP, la nouvelle solution proposée par le CCCA-BTP vise aussi à :accompagner les jeunes sans affectation scolaire (collégiens, lycéens et étudiants), ou en désaccord avec la filière professionnelle qu’il leur est proposée, dans leurs démarches pour trouver une solution via la voie de l’apprentissage BTP ;faciliter la rencontre entre le projet professionnel d’un candidat et un besoin de recrutement d’une entreprise du BTP.Trois outils pour un parcours d’accompagnement intuitif et personnaliséQu’ils aient besoin d’un accompagnement dans la définition de leur orientation, de conforter leur projet professionnel dans le secteur du BTP, de découvrir un métier du bâtiment ou des travaux publics, de dynamiser leur recherche d’une entreprise formatrice par la rédaction d’un CV, ou encore d’accéder à des offres d’emploi sur l’ensemble du territoire à l’issue de leur formation, Destination BTP propose aux jeunes et, plus généralement, aux personnes ayant un projet professionnel dans le secteur du BTP, un parcours d’accompagnement et des solutions sur mesure pour répondre concrètement à leurs besoins. 1. Définis ton projet professionnelAvec « Ton parcours de découverte », un test d’orientation est proposé aux jeunes pour leur faire découvrir les métiers du BTP. Intuitif, simple et personnalisé aux besoins de chacun, les jeunes sont guidés par un compagnon numérique, conçu avec la solution Avenria, qui permet de leur donner toutes les cartes pour trouver leur voie dans un métier du BTP, révéler leurs talents et préparer leur avenir. Cette solution aide ainsi les jeunes à identifier leurs compétences d’une manière générale, et pas seulement au niveau scolaire. Le compagnon numérique accompagne les jeunes pas à pas pour sélectionner le métier et la formation qui leur correspond vraiment, répond à leurs questions, les conseille et les oriente.2. Conforte ton projet professionnelLa solution MyFuture BTP propose des « lives métiers » sur les métiers du BTP, au cours desquels les jeunes peuvent échanger avec des professionnels du secteur et bénéficier de visites virtuelles d’entreprises ou de centres de formation. Des stages de découverte au sein d’entreprises, pour permettre aux jeunes de conforter leur projet professionnel, peuvent également être proposés. 3. Crée ton CVAfin de favoriser et faciliter la mise en relation directe d’un jeune avec une entreprise qui souhaite recruter un apprenti ou par l’intermédiaire d’un centre de formation, Destination BTP propose, avec la solution Hellowork, un outil simple et facile de rédaction de CV. La solution permet aussi aux jeunes formés à un métier du BTP, en entrée ou en sortie de formation, mais aussi à toute personne en recherche d’emploi ou en reconversion professionnelle d’accéder à des offres d’emploi dans le secteur. Plus de 156 300 offres d’emploi dans le BTP sont déjà proposées, en contrat d’apprentissage ou professionnalisation, en CDD et CDI.Accompagner les organismes de formation aux métiers du BTP pour favoriser l’adéquation besoin en compétences de l’entreprise et projet du jeuneDestination BTP s’inscrit aussi dans l’offre de services que le CCCA-BTP propose aux organismes de formation aux métiers du BTP, pour les accompagner dans la mise en place de solutions favorisant la montée en compétences des jeunes, avant leur intégration en entreprise et contribuer ainsi à réduire le nombre d’abandons de jeunes en cours de formation.Dans ce cadre, le CCCA-BTP organise un appel à candidatures à l’attention des organismes de formation aux métiers du BTP, pour les faire bénéficier de conseils et d’un service sur mesure dédié à l’accompagnement des jeunes.Ce sont déjà 40 organismes de formation qui bénéficient de ce dispositif inédit, avec un financement de 20 K€, pour la mise en place d’animations en face à face ou à distance avec des jeunes sur les thématiques de la rédaction de CV, de la lettre de motivation, de la recherche d’entreprise, mais aussi avec l’organisation d’ateliers, comme la simulation d’entretiens de recrutement, etc.Pour en savoir plus : https://www.destination-cap-btp.fr/
Il y a 3 ans et 203 jours

Un partenariat pour considérer la santé-sécurité au travail comme compétence "essentielle"

FORMATION PROFESSIONNELLE. Des représentants de l'Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics (OPPBTP) et du Comité de concertation et de coordination de l'apprentissage du BTP (CCCA-BTP) ont signé le 24 novembre une convention de partenariat d'une durée de quatre ans. Son objet : inscrire les questions de santé et sécurité au travail comme compétence professionnelle "essentielle".
Il y a 3 ans et 203 jours

Des matériaux recyclés pour des canalisations d'assainissement durables

Photo : CSTBL'emploi de canalisations d'assainissement en polymères intégrant des matériaux recyclés est encouragé par la réglementation. Pour évaluer leur durée de vie, le CSTB crée une méthode d'essai adaptée à ces matériaux spécifiques. La réglementation impose à présent d'introduire dans les ouvrages de construction un certain pourcentage de matériaux recyclés. Le secteur de l'assainissement n'échappe pas à cette contrainte et les industriels du secteur s'emploient depuis plusieurs années à augmenter la proportion de matières premières recyclées dans leurs produits. Cette part peut aller jusqu'à 30 % dans les canalisations d'assainissement. Mais encore faut-il s'assurer que ces produits présentent les mêmes caractéristiques que les produits à base de matières vierges. Aujourd'hui, ils ne peuvent pas accéder à l'Avis Technique et restent en dehors des règles de l'art, faute de justification de leurs performances, notamment de leur durée de vie. Problématique à laquelle le CSTB souhaite contribuer aux côtés des territoires et collectivités. Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020.
Il y a 3 ans et 204 jours

Vinci chiffre la décarbonation des autoroutes

La filiale de concessions autoroutières du groupe de BTP dévoile un rapport évaluant les moyens et les investissements nécessaires pour proposer, dans les plus brefs délais, un réseau capable de relever les principaux défis écologiques à horizon 2030-2035.
Il y a 3 ans et 204 jours

La Loi climat fait-elle peser un risque sur le parc locatif ?

C'est ce qui ressort d'une enquête exclusive menée par PAP.fr auprès de 6.177 propriétaires-bailleurs entre le 15 et le 22 novembre 2021. Sur l'ensemble des personnes sondées, 31,8% des propriétaires interrogés envisagent de se retirer progressivement de l'investissement locatif au regard de ce qu'ils estiment être une multiplication des contraintes pesant sur la location ! Et si 43,5% envisagent de continuer à louer, c'est en s'abstenant de faire de nouvelles acquisitions...Près d'un propriétaire sur trois ne connaît pas la Loi climat et ses dispositions !30,5% des propriétaires interrogés déclarent ne pas savoir que la Loi climat et résilience adoptée en 2021 rendra indécent les logements classés G en 2025 puis F en 2028. Ils sont même 40% à ignorer que les logements classés E seront concernés à partir du 1er janvier 2034. Ces résultats témoignent d'une méconnaissance des dispositions et du calendrier qui n'ont rien d'anecdotiques...Et près d'un propriétaire sur trois ne sait pas s'il est concerné par l'interdiction à la location en 2025 ou 2028 !A la question, êtes-vous propriétaire d'un logement classé F ou G, 31,1% des personnes interrogées répondent n'en avoir aucune idée... 38,5% déclarent ne pas être concernés et 30,4% savent qu'ils possèdent un ou plusieurs logement(s) classé(s) F ou G. Plus généralement, les propriétaires-bailleurs semblent de plus en plus démotivés...31,8% des propriétaires interrogés envisagent de se retirer progressivement de l'investissement locatif considérant que le calendrier et les contraintes qui y sont associés sont la goutte d'eau qui fait déborder le vase, a fortiori chez les propriétaires de biens dans des zones soumises à l'encadrement des loyers. A ce stade, il ne s'agit que d'une intention mais si les propriétaires passaient effectivement à l'acte, il n'y aurait pas loin d'un tiers de biens mis en location qui pourraient se retrouver sur le marché de la vente à court ou moyen terme avec une inconnue sur le stock de biens locatifs disponibles à long terme...Parmi ceux qui souhaitent continuer à louer, ils sont 43,5% à déclarer qu’ils n’envisagent donc pas de nouvelles acquisitions et préfèrent s’en tenir au parc de logements qu’ils possèdent déjà.Mais, malgré tout, conscients de la nécessité d'éradiquer les passoires thermiques...Lorsqu'on les interroge sur les contraintes qui leur paraissent indispensables du point de vue de l'intérêt général (plusieurs réponses possibles), ils citent prioritairement l'interdiction progressive de louer des passoires thermiques avec un taux de citation de 51,3%, loin devant l'encadrement des loyers dans certaines agglomérations qui ne recueille que 28,6%. Les impératifs climatiques sont donc mieux compris et acceptés qu'on aurait pu le penser.
Il y a 3 ans et 204 jours

Un service pour mieux mesurer l'impact territorial des organismes HLM

UTILITÉ TERRITORIALE. L'Union sociale pour l'habitat (USH) vient de mettre à disposition des acteurs du secteur un outil destiné à mieux évaluer leur "création de valeur locale".
Il y a 3 ans et 204 jours

Intensifier le maillage des points de collecte des menuiseries

Le maillage territorial des points de collecte et de démantèlement FERVAM (Filière Engagée pour le Recyclage et la VAlorisation des Menuiseries) s’élargit au fil des mois. En un an, l’UFME en compte déjà 84. Alors, elle met en place des actions ciblées sur les régions à développer afin de garantir plus de proximité et de pérenniser son action. L’indicateur de traçabilité en lien avec la Charte FERVAM, affiche au 1er semestre 2021, une augmentation forte des volumes de menuiseries déposées, des entrées de déchets ainsi que des sorties de matières recyclées. L’objectif pour 2022 est de maintenir cette croissance quasi exponentielle de la quantité des volumes collectés et démantelés.
Il y a 3 ans et 204 jours

Au Mapic de Cannes, l'immobilier commercial met le lien social au centre de sa stratégie

Le rendez-vous revient en version physique après une édition 2020 exclusivement numérique, confinement oblige. 4.000 participants de 42 pays sont attendus au Palais des festivals et des congrès - soit un peu moins de la moitié de l'édition 2019 - et les conférences pourront aussi être suivies en ligne.Pendant trois jours, 1.000 représentants d'enseignes et de marques rencontreront des promoteurs immobiliers et investisseurs et se pencheront sur les tendances du secteur grâce au programme de conférences.Elles s'articuleront autour du thème "People and places: a new chapter" ("Personnes et lieux: un nouveau chapitre")."Le besoin de socialiser, de vivre une émotion, n'a jamais été plus fort que depuis qu'on a vécu ce moment difficile des confinements", analyse Nathalie Depetro, directrice du Mapic, auprès de l'AFP.Les commerces physiques doivent donc selon elle appuyer sur cette dimension de lien social, difficile à retrouver en achetant devant un écran, pour attirer à nouveau du public. "Et qui dit lien social dit loisirs, restauration et événementiel", ajoute Mme Depetro.La pandémie a ainsi renforcé une tendance déjà existante: celle de mélanger le commerce avec ces activités, en créant par exemple des installations sportives ou des espaces jeux et en augmentant la surface occupée par les restaurants.Cette année, la moitié de la surface d'exposition du salon sera dédiée à des enseignes de loisirs, de restauration ou de culture, désireuses de s'installer dans des espaces commerciaux.Se réinventer pour retrouver les clients"Revisiter la façon dont a été imaginé l'aménagement des lieux commerciaux, c'est obligatoire, sinon il n'y aura pas de trafic", estime Mme Depetro.En effet, avec la crise sanitaire, le commerce spécialisé a perdu 10% de son activité en magasins entre les dix premiers mois de 2021 et la même période en 2019, selon les chiffres de la fédération Procos. La fréquentation peine à reprendre, en particulier dans les centres commerciaux, qui ont dû fermer entre février et mai et imposer le passe sanitaire dans certaines zones en fonction du risque épidémique.Certains secteurs comme la beauté ou l'habillement ont plus souffert que les autres. "Tous les promoteurs s'accordent à dire qu'il faut limiter la part du textile", explique à l'AFP Gontran Thuring, délégué général du Comité national des centres commerciaux (CNCC).Pour reconquérir les clients, les professionnels de l'immobilier commercial n'ont qu'un mot à la bouche: "l'omnicanalité", le fait de pouvoir vendre et communiquer de manière à la fois physique et numérique.Plutôt que de voir le numérique comme l'ennemi à abattre, ils tentent d'en faire un outil complémentaire, en s'aidant par exemple des réseaux sociaux et des données collectées en ligne pour mieux connaître les clients, et personnaliser l'expérience d'achat."Un des enjeux très importants, c'est la capacité des enseignes et des lieux de commerce d'échanger ces données", assure Mme Depetero.Ce passage au e-commerce permet aussi aux enseignes de réduire la taille de leurs magasins, pour en faire des vitrines de la marque ou des boutiques éphémères, dans lesquelles on peut aussi récupérer des articles en "click and collect".Mais au-delà de la "complémentarité" affichée entre vente en magasins et vente en ligne, quelques rivalités subsistent. Les professionnels de l'immobilier commercial n'ont notamment pas tous digéré l'interdiction dans la loi Climat de construire de centres commerciaux de plus de 10.000 mètres carrés pour limiter l'artificialisation des sols, alors que les entrepôts de e-commerce y ont échappé.
Il y a 3 ans et 204 jours

Nouvelle application mobile Jouplast® pour réaliser son projet de terrasse en quelques clics

Après avoir guidé l’utilisateur dans la définition de son projet, l’application gratuite JOUPLAST® pour Smartphones iOs, tablettes ou PC, fournit une liste complète de matériaux (dalles, lames bois ou composite, lambourdes, vis…) et de produits JOUPLAST® (plots, cales, fixations invisibles, support d’habillage…) nécessaires à sa réalisation. De plus, un dessin 2D, un dessin 3D et un dessin de pose renseignent l’utilisateur avec un maximum de réalisme.Facile à utiliser et très ergonomique, la nouvelle application JOUPLAST® permet de mieux appréhender la conception de sa terrasse et de concevoir en quelques clics un projet abouti.Un outil complet toujours à dispositionNomade et accessible partout, l'application JOUPLAST® est destinée aux particuliers comme aux artisans et aux distributeurs. Elle permet à ces derniers d'avoir constamment sous la main un outil performant d'aide à la vente. L'application mobile JOUPLAST® simplifie l'estimation des produits nécessaires à la réalisation de la terrasse, et facilite la prise de décision finale. Avec cette application, une multitude de fonctions sont à la disposition de l'utilisateur. Celui-ci peut choisir la forme, la taille et l'emplacement de sa terrasse, les matériaux (dalles, lames bois ou composite), configurer une pente, intégrer des éléments (jardinières, piscines…), faire des interruptions – pour contourner un poteau par exemple – définir le type et le sens de pose, ajouter un support d'habillage latéral, sauvegarder son projet…Les étapes pour définir son ouvrageLa configuration du projet de terrasse tient compte de plusieurs paramètres : type de sol (plan régulier ou irrégulier), forme de base (carrée, rectangulaire, en L…), avec la possibilité d'additionner plusieurs espaces de terrasse de formes différentes, pente et hauteur, présence d'une piscine, de jardinières, de poteaux… L'utilisateur peut également intégrer une maison, pour un rendu encore plus réaliste.Vient ensuite le choix du revêtement – dalles, lames, lames composites – et des dimensions. Le type de pose – droite ou décalée – et le sens de pose sont alors déterminés.L’intérêt de l’application JOUPLAST® réside également dans le fait que, pour une terrasse en dalles, l’utilisateur a la possibilité de définir le point de calepinage en cliquant sur le schéma. Ainsi, il peut modifier avec précision la position du point de calepinage et obtenir un projet idéal qui limite les coupes de dalles. De plus, le calculateur adapte en temps réel le dessin et la liste de course.Les dernières étapes consistent à définir les dimensions des lambourdes, dans le cas d’une terrasse en lames, les finitions et l’habillage latéral. À l’issue de toutes ces opérations, apparaissent une liste de courses, un dessin 2 D, un dessin 3 D et un dessin de pose avec indication de la position des plots. Le projet ainsi défini peut alors être téléchargé, sauvegardé ou partagé via un code.À noter que, pour chaque phase du projet, des alertes sont prévues si les dimensions fournies ne sont pas correctes.Pendant les étapes de la configuration, l’utilisateur de l’application JOUPLAST® peut également avoir accès à des vidéos, par exemple sur le système de fixation des plots JOUPLAST® 100 % invisible pour lames de terrasse en bois.
Il y a 3 ans et 204 jours

Comment réduire la facture énergétique des bâtiments grâce à une isolation performante ?

Et les pronostics ne sont pas optimistes : le dérèglement climatique, la volonté de diminuer la compétitivité des énergies fossiles, la baisse de disponibilité du parc nucléaire autant de raisons qui laissent croire que les prix de l’énergie vont continuer leur ascension. Or, ces augmentations à répétition entraînent des répercussions directes sur les dépenses d’énergie des pays, poussant le gouvernement à intensifier la rénovation énergétique des passoires thermiques à travers un nouveau plan de relance de l’État baptisé France Rénov. Pour la construction neuve, la RE2020 et un futur label vont, quant à eux, fixer de nouveaux seuils énergie-carbone. Des enjeux au cœur des discussions d'Enerj-meeting, qui s'est tenu à lyon, le 24 novembre.ROCKWOOL, leader mondial des solutions en laine de roche, a participé à cet événement qui a mobilisé les acteurs de la construction pour intégrer durablement les enjeux de l’efficacité énergétique dans les pratiques professionnelles. Car, pour diminuer la consommation énergétique des bâtiments, une isolation efficace est incontournable. Une meilleure isolation pour une réduction des dépenses énergétiques durablePour réduire la consommation d’énergie de façon durable, l’isolation thermique des bâtiments s’avère indispensable. Certains matériaux techniques, comme la laine de roche, représentent une solution extrêmement flexible et efficace qui fonctionne dans tous les espaces comme un tampon contre les variations de température. Une technologie qui permet d’économiser jusqu'à 70% de l’énergie nécessaire au chauffage et à la climatisation tout en créant des espaces de vie plus saines et plus confortables.
Il y a 3 ans et 204 jours

NGE installera l'intégralité des équipements ferroviaires de la ligne 16

GRAND PARIS EXPRESS. Déjà en charge de la partie ferroviaire du lot 16-1, TSO, filiale de NGE, s'est vu confier le marché comprenant voies, caténaires et équipements en tunnel concernant le reste de la ligne, pour les lots 2 et 3. Il intervient ainsi sur l'intégralité de cette infrastructure mais aussi sur une partie de la ligne 17.
Il y a 3 ans et 204 jours

Nouvelle application mobile JOUPLAST pour réaliser son projet de terrasse en quelques clics !

Acteur majeur sur le marché des plots de terrasse, JOUPLAST®, marque de la société française TMP CONVERT, propose une nouvelle application de conception de terrasse simple et intuitive. Après avoir guidé l’utilisateur dans la définition de son projet, l’application gratuite JOUPLAST® pour Smartphones iOs, tablettes ou PC, fournit une liste complète de matériaux (dalles, lames bois ou composite, lambourdes, vis…) et de produits JOUPLAST® (plots, cales, fixations invisibles, support d’habillage…) nécessaires à sa réalisation. De plus, un dessin 2 D, un dessin 3 D et un dessin de pose renseignent l’utilisateur avec un maximum de réalisme. Facile à utiliser et très ergonomique, la nouvelle application JOUPLAST® permet de mieux appréhender la conception de sa terrasse et de concevoir en quelques clics un projet abouti.   Un outil complet toujours à disposition Nomade et accessible partout, l’application JOUPLAST® est destinée aux particuliers comme aux artisans et aux distributeurs. Elle permet à ces derniers d’avoir constamment sous la main un outil performant d’aide à la vente. L’application mobile JOUPLAST® simplifie l’estimation des produits nécessaires à la réalisation de la terrasse, et facilite la prise de décision finale. Avec cette application, une multitude de fonctions sont à la disposition de l’utilisateur. Celui-ci peut choisir la forme, la taille et l’emplacement de sa terrasse, les matériaux (dalles, lames bois ou composite), configurer une pente, intégrer des éléments (jardinières, piscines…), faire des interruptions – pour contourner un poteau par exemple – définir le type et le sens de pose, ajouter un support d’habillage latéral, sauvegarder son projet… Les étapes pour définir son ouvrage La configuration du projet de terrasse tient compte de plusieurs paramètres : type de sol (plan régulier ou irrégulier), forme de base (carrée, rectangulaire, en L…), avec la possibilité d’additionner plusieurs espaces de terrasse de formes différentes, pente et hauteur, présence d’une piscine, de jardinières, de poteaux… L’utilisateur peut également intégrer une maison, pour un rendu encore plus réaliste. Vient ensuite le choix du revêtement – dalles, lames, lames composites – et des dimensions. Le type de pose – droite ou décalée – et le sens de pose sont alors déterminés. L’intérêt de l’application JOUPLAST® réside également dans le fait que, pour une terrasse en dalles, l’utilisateur a la possibilité de définir le point de calepinage en cliquant sur le schéma. Ainsi, il peut modifier avec précision la position du point de calepinage et obtenir un projet idéal qui limite les coupes de dalles. De plus, le calculateur adapte en temps réel le dessin et la liste de course. Les dernières étapes consistent à définir les dimensions des lambourdes, dans le cas d’une terrasse en lames, les finitions et l’habillage latéral. À l’issue de toutes ces opérations, apparaissent une liste de courses, un dessin 2 D, un dessin 3 D et un dessin de pose avec indication de la position des plots. Le projet ainsi défini peut alors être téléchargé, sauvegardé ou partagé via un code. À noter que, pour chaque phase du projet, des alertes sont prévues si les dimensions fournies ne sont pas correctes. Pendant les étapes de la configuration, l’utilisateur de l’application JOUPLAST® peut également avoir accès à des vidéos, par exemple sur le système de fixation des plots JOUPLAST® 100 % invisible pour lames de terrasse en bois.
Il y a 3 ans et 204 jours

Les différents types de revêtements de toiture

La toiture est l’une des parties de la maison dans lesquelles on doit beaucoup investir. Elle a, essentiellement deux fonctions, celle de protéger la maison des intempéries diverses et d’optimiser la performance thermique de celle-ci. Il est important alors de savoir choisir convenablement tant la structure, mais aussi le matériau pour la toiture. Cela nécessite bien évidemment une bonne connaissance des couvertures et des dernières tendances. Pour les néophytes, ci-dessous par conséquent un guide complet des différentes solutions en matière de toiture. Les tuiles : indémodables et esthétique Les tuiles redeviennent sur le devant du podium. Elles remontent petit à petit la pente et deviennent des alternatives intéressantes par rapport aux classiques feuilles de zinc. Dans beaucoup de communes d’ailleurs, une toiture en tuile ce n’est pas un choix, mais une obligation. Il est à noter toutefois que la tuile faite à base de terre cuite est la plus couramment utilisée par les Européens et les Français bien que l’on en trouve diverses variantes, notamment en termes de couleurs et de structure. En effet, il existe des tuiles plates ou au contraire en forme de demi-cylindre. À noter que la forme n’a aucun impact sur la qualité du toit. Par contre, on constate une réelle nuance au niveau de l’esthétisme. Pour obtenir l’effet désiré, mieux vaut faire appel à un couvreur expérimenté. Celui-ci accélérera les travaux notamment s’ils sont faits en urgence. Les feuilles de zinc : minimalistes et faciles à poser Ces quelque 30 dernières années, on a vu que les métaux laminés en feuilles de zinc ont supplanté de plus en plus les tuiles. Cela vient surtout des entreprises industrielles qui souhaitent construire rapidement des bâtiments en guise de local. Les tôles sont quasiment immédiatement accessibles. Elles sont moins coûteuses que les tuiles. Il est aussi facile de les produire en chaîne et en très grande quantité. Une seule feuille couvre une très grande partie du toit. Cela rend également plus rapide la pose. Cependant, le plus gros avantage de ce matériau réside dans son poids. Il n’est pas obligatoire de construire une charpente complexe et en bois massif pour le poser. Le seul bémol avec le zinc est sa longévité qui ne dépasse pas les 12 ans. L’ardoise : pour un style original Il existe une troisième alternative à la tuile et la feuille de zinc ondulée, l’ardoise. Ce matériau est surtout populaire dans le nord de l’Hexagone, zone dans laquelle il abonde. L’ardoise est en général utilisée comme alternatives à la tuile pour la couverture de monuments importants comme les églises. Sauf qu’elle est beaucoup plus difficile à fabriquer. Son atout réside dans sa solidité à toute épreuve. Il est possible qu’elle garde son uniformité et sa solidité jusqu’à 30 ans. Néanmoins, du fait de sa rareté, elle n’est pas très abordable. Il est nécessaire dans ce cas de disposer d’un important budget pour s’en procurer. La pose est également une tout autre histoire. Il est nécessaire d’édifier des combles aménageables.  
Il y a 3 ans et 204 jours

Cemex a choisi Case comme fournisseur de machines de construction

Cemex a choisi Case comme fournisseur de machines de construction. [©Case] Le fabricant de machines, Case a été choisi comme fournisseur d’équipements par Cemex. Cet accord permet au cimentier de renforcer la coopération entre les deux marques à l’échelle européenne. La France a déjà reçu la première série de machines. Case a ainsi fourni deux bouteurs 1650M ou encore deux chargeuses-pelleteuses 580ST. D’ailleurs, ces véhicules offrent une faible consommation de carburant. Limitant ainsi les émissions de carbone.  Lire aussi : Cemex et la LPO : un renouvellement pour la biodiversité « Les véhicules que nous utilisons dans le cadre de notre travail sont un élément clef, déclare Craig Hooper, responsable des équipements mobiles pour Cemex. Ce contrat avec la société américaine apportera un avantage significatif en matière de durabilité aux opérations européennes de Cemex. Ces équipements intègrent une technologie avancée et une consommation de carburant réduite grâce à un meilleur rapport poids/puissance. » Et Andrea Rapali, directeur des grands comptes pour l’Europe chez Case, de poursuivre : « Cemex est une entreprise mondiale qui construit un avenir meilleur grâce à des produits et des solutions durables. Nous sommes heureux qu’ils aient choisi Case et nous nous réjouissons de travailler en collaboration avec eux ».
Il y a 3 ans et 204 jours

Nouvelle édition de "Profession Architecte" aux éditions Eyrolles

Mutations actuelles et avancées du droit de l'environnement sont au sommaire de ce volume actualisé et enrichi. Un manuel de synthèse et de référence, pour accompagner formation et entrée dans le métier.Pour répondre aux questions que se posent sur le métier d'architecte tous ceux qui sont concernés par le vaste secteur de la construction, Isabelle Chesneau a réuni 38 professionnels exerçant leur activité dans ce domaine, et qui pour la plupart contribuent à former les futurs architectes, notamment au sein de l'École nationale supérieure d'architecture de Paris-Malaquais.De l'insertion des diplômés dans le secteur de la maîtrise d'œuvre à la réception de l'ouvrage en passant par les règles de la profession libérale, les pratiques contractuelles, l'influence de l'environnement réglementaire, les enjeux économiques du projet, de l'agence et de la direction de chantier, les différentes facettes théoriques et pratiques de l'exercice du métier y sont précisément décrites, documentées et illustrées de témoignages. C'est tout l'écosystème professionnel auquel appartient l'architecte qui est ainsi reconstitué. Sans exclure les apports de l'histoire, de la philosophie, de la sociologie, du droit, de l'économie et des sciences politiques, savoirs et savoir-faire complexes - patiemment analysés - sont ici directement accessibles.De fait, l'architecte dispose d'une importante marge de manœuvre dans l'exercice de son métier, à condition d'en bien connaître le périmètre et d'en maîtriser les fondements théoriques. On prendra enfin toute la mesure d'une notion centrale, la responsabilité, corollaire de la liberté des architectes qui bâtissent.publics : étudiants des écoles d'architecture, candidats à l'habilitation à la maîtrise d'œuvre en son nom propre, futurs diplômés des filières de formation aux métiers de la construction, professionnels de la construction et de l'urbanisme collaborant avec les architectes.Au sommaire :L'insertion dans le secteur de la maîtrise d'œuvre architecturale et urbaineL'exercice de la profession d'architecteLes pratiques contractuellesL'environnement réglementaireL'économie du projet et de l'agence d'architectureL'organisation et le suivi de chantier
Il y a 3 ans et 204 jours

Florence Boutmy nommée DG Matériaux Nord de Cemex France

Florence Boutmy devient la nouvelle directrice générale Matériaux Nord de Cemex France. [©Cemex] Le 18 novembre 2021, Cemex France annonçait la nomination de Florence Boutmy au poste de directrice générale Matériaux Nord. Cette dernière succède ainsi à Alain Plantier, en fonction depuis 2018, qui a fait valoir ses droits à la retraite. Celui-ci restera tout de même président de l’Union nationale des producteurs de granulats (UNPG) jusqu’à fin 2023. « J’ai conscience de prendre mon poste de directrice générale Matériaux Nord de CEMEX France dans un contexte particulièrement riche en défis pour notre secteur d’activité, et donc pour CEMEX, déclare Florence Boutmy. Je citerais en premier lieu la transition écologique qui nous motive à poursuivre nos actions visant à réduire l’empreinte carbone de nos activités et à économiser les ressources minérales. Pour ce faire, nous continuons de miser sur l’innovation et l’éco-conception afin de désigner des produits et des solutions respectueux de l’humain et de l’environnement. » Lire aussi : Cemex, mécène d’Odyssée Diplômée de l’EDHEC en 1991, Florence Boutmy a occupé plusieurs postes au sein de Fret SNCF, notamment celui de directrice de l’agence BTP. Elle a ensuite rejoint Cemex en 2007 en tant que directrice logistique granulats. Puis, entre 2011 et 2015, elle a dirigé l’agence bétons Nord-Pas-de-Calais. Et a pris successivement la direction performance BPE, commerciale, marketing et digitale. Avant sa nouvelle prise de poste, Florence Boutmy était directrice Cemex Matériaux Ile-de-France depuis 2019. Suite à cette nomination, Samuel Béchu, directeur produits et qualité matériaux Nord, est désigné directeur Matériaux Ile-de-France. Ces prises de postes sont effectives depuis le 1er novembre 2021.
Il y a 3 ans et 204 jours

Batistep, l’entre-banche pour le BTP signée Audinnov

L’entre-banche Batistep d’Audinnov est une plate-forme individuelle roulante, à accès simple [©Audinnov] De fabrication française, l’entre-banche Batistep d’Audinnov est une plate-forme individuelle roulante, à accès simple. Etudiée pour répondre aux exigences du BTP, elle est robuste et légère, et composée d’aluminium cintré. Elle se décline en version 3, 4 ou 5 marches, larges de 18 cm et anti-dérapantes. Dotée de 4 grosses roues multi-directionnelles, cette entre-banche est très maniable et sûre. En effet, 2 systèmes de freinage sont proposés. A savoir, roues freinées indépendantes ou roues mécanisées escamotables par une seule manette interdisant la montée. Des stabilisateurs latéraux renforcent la sécurité lors de l’utilisation des versions 4 et 5 marches. Batistep offre une plate-forme de travail longue, sécurisée par un portillon à retour automatique. Côté fonctionnalité et ergonomie, l’arche du châssis facilite le passage des armatures en attente. Et permet d’enjamber les obstacles. Par ailleurs, le garde-corps peut être escamoté dans 3 configurations différentes en fonction du type d’interventions à faire. Cela permet, entre autres, de passer les encadrements de porte de 2 m de haut. Ses dimensions de 60 x 120 cm facilitent le travail entre banches serrées avec une grande aisance de mouvement. Enfin, un anneau de grutage permet un gain de temps et d’énergie lors du déplacement de l’équipement.
Il y a 3 ans et 204 jours

Ecominéro nomme Michel André à sa présidence

Michel André, directeur général de Cemex Matériaux, est nommé président d’Ecominéro. [©Ecominéro] Le 18 novembre dernier, les membres fondateurs d’Ecominéro ont nommé à sa présidence Michel André, directeur général de Cemex Matériaux. Diplômé de l’Edhec en 1993, il débute sa carrière comme auditeur-conseil chez PwC. Par la suite, il intègre Lafarge en 1999 en tant que contrôleur financier. Après différents postes chez l’industriel, Michel André rejoint Cemex en 2005 et exerce la fonction de directeur administratif et financier. Il prend ensuite la tête du secteur BPE en 2008. Au fur et à mesure, il occupe une place plus importante au sein de Cemex. Jusqu’à devenir le directeur général Matériaux Europe de l’Ouest en 2019. Répondre à la Rep Ecominéro a été créé par et pour les fabricants de matériaux de construction. Il a pour objectif de répondre aux nouvelles obligations de la responsabilité élargie des producteurs (Rep). Ecominéro s’engage donc dans le développement de l’économie circulaire et dans la préservation des ressources naturelles. Lire aussi : Ecominéro : Une marque pour valoriser les déchets inertes du bâtiment Et ce, en accompagnant les acteurs de la construction dans la collecte, le recyclage et la valorisation des déchets du bâtiment. « Cet acte nous engage ainsi à déployer les moyens nécessaires pour atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés, explique Michel André. Dans un contexte d’accélération des transitions pour bâtir durable, il est essentiel de favoriser le développement de l’économie circulaire. Et de contribuer à la préservation des ressources naturelles ».
Il y a 3 ans et 204 jours

Le sculpteur Michel Charpentier a besoin de vous !

Michel Charpentier dans son bois de Vallangoujard, en 1998. [©Clovis Prévost] Né en 1927 à Auvers-sur-Oise, Grand Prix de Rome 1951 et pensionnaire à la Villa Médicis de 1951 à 1955, Michel Charpentier s’empare du ciment, dès ses premières créations, pour faire de la sculpture. Ce médium trouvé auprès des maçons romains lui laisse assez de temps et de liberté avant de prendre. Et lui permet de modeler homme, femme, cantatrice, enfant, nain, cheval, chien… Ce répertoire unique de formes humaines, animales ou végétales, quelquefois hybrides et menaçantes, au sein duquel le monstrueux côtoie parfois le sublime, le différencie des artistes de son temps. Et en fait un personnage singulier dans l’histoire de l’art du XXe siècle.  Pionnier de la sculpture en béton, Michel Charpentier a bâti une œuvre sans équivalent. Et s’impose comme l’un des artistes majeurs dans ce domaine. Au terme de sa carrière, cette œuvre puissante et vivante, longtemps demeurée dans le secret de sa maison-atelier d’Auvers, fait l’objet d’un vaste mouvement de mise en valeur par de multiples acteurs, institutions, collectionneurs, municipalités, chercheurs… Le chantre du béton Les Cantatrices (1981) et leur « corps opératique » forment un groupe, un chœur de six, mais chacune d’elles fonctionne aussi en solo. [©Clovis Prévost] Dans la rubrique “Esprit Béton” du n° 88 de Béton[s] le Magazine, nous avions consacré deux pages à Michel Charpentier et vous avions fait découvrir son travail tout en béton et proche de la nature. Lire aussi : Michel Charpentier : A la fois bestiaire et corps refigurés La monographie en cours entend mettre en lumière quelque soixante-dix années de création vues à travers le regard d’un photographe de renom, Clovis Prévost, qui embrasse l’ensemble de l’œuvre. Et saisit sur le vif tant le geste du sculpteur que sa pratique du béton. Un récit de la romancière et journaliste Pascale Charpentier, sa fille, nous entraîne sur les pas du créateur. Et situe l’œuvre dans l’histoire de la sculpture contemporaine. Le soutien de Béton[s]le Magazine Version en ciment de La Dame de Bercy (1989). La version en bronze de cette sculpture est installée au ministère de l’Economie et des Finances. Dans les douves du ministère qui sont conçues comme une galerie de sculptures modernes et contemporaines, avec des œuvres de Bourdelle, César… [©Clovis Prévost] Cet ouvrage, par son envergure, totalise quelques 300 pages et 300 photographies. S’il a bénéficié, d’ores et déjà, du soutien de 10 000 € de la Région Ile-de-France, il reste à rassembler la somme de 40 000 €. Le coût étant à la hauteur de ce projet ambitieux, Béton[s] le Magazine sollicite l’ensemble de ses lecteur(ice)s, afin d’aider à cette belle réalisation. Un coût que justifient la haute qualité des reproductions et l’ampleur du projet. « Afin de pouvoir conserver la subvention obtenue de la Région Ile-de-France, nous devons engager les premières dépenses liées au livre. Et ce, avant le 1er avril 2022. » Une situation qui préoccupe tous les acteurs de ce livre d’art qui promet une belle (re)découverte. Ce projet en l’honneur du sculpteur Michel Charpentier a besoin de votre appui, cher(e)s lecteur(ice)s. Soutenez-le ! Contact : editionsnorma@gmail.com
Il y a 3 ans et 204 jours

Le futur CHU de Nantes sera construit sur une île, un choix contesté

"Les travaux sont loin d'être très très avancés", indique Bernard Le Mével, ancien directeur du Centre régional de lutte contre le cancer de Nantes, mais le permis de construire a été délivré en juillet 2019 et la direction du CHU annonce la pose d'une première pierre "fin novembre, début décembre"."Le choix du site va entraîner des surcoûts absolument incroyables, qui pourraient être consacrés à l'achat de matériel", regrette M. Le Mével, membre du "Collectif Stop Transfert", un groupe hétérogène d'anciens médecins, de représentants de la CGT, d'Attac ou encore d'élus LR et LFI.En juillet, ils ont publié une tribune "Nous accusons!", dans laquelle ils dénoncent l'implantation du CHU sur l'île de Nantes, au détriment de Laënnec, un site plus spacieux, à une dizaine de km au nord du centre-ville. Ils assurent que l'hôpital sera "saturé dès le départ, interdisant toute possibilité d'expansion", ou encore que le budget du projet "est largement sous-estimé".Le manque de parkings, les risques d'inondations, les nuisances sonores des avions atterrissant à l'aéroport Nantes Atlantique, ou encore la découverte de bombes non explosées de la Seconde guerre mondiale lors du terrassement, figurent aussi parmi leurs griefs.Toutes ces inquiétudes "se sont exprimées au moment de l'enquête publique, au moment de l'élaboration du permis de construire. C'est derrière nous, le permis de construire est signé, il n'y a pas eu de recours (...) le projet va se faire", tranche de son côté Jean-Jacques Coiplet, directeur général de l'Agence régionale de santé des Pays de la Loire."Tout a été prévu""Il n'y a aucun risque", abonde Philippe El Saïr, directeur général du CHU, où travaillent quelque 12.000 salariés."Toutes les réponses ont été apportées (...) les installations techniques de l'hôpital, par exemple, ne seront pas en sous-sol, seront à des niveaux supérieurs, même si une crue millénaire se produit, tout a été prévu", poursuit-il.Ce projet "a du sens, parce que ce projet va améliorer les conditions de travail des soignants, parce que ce projet va permettre de continuer à avoir des médecins de grande qualité", explique pour sa part la maire PS de la ville, Johanna Rolland.Selon les porteurs du projet, l'installation en centre-ville sera un facteur d'attractivité pour ce "quartier de la santé", qui réunira au même endroit plusieurs sites de l'actuel CHU vieillissant et sera constitué de l'hôpital, d'un pôle d'enseignement, d'instituts de recherche et d'entreprises.Le projet "a maturé dès 2006", insiste M. Coiplet, soulignant que s'il fallait "repartir à zéro, alors là, on se retrouve dans 30 ans!".Mais les rebondissements se multiplient, montrant selon les opposants, que le projet est mal engagé.L'Etat a augmenté sa participation de 175 millions d'euros l'hiver dernier, portant son financement à 400 millions pour ce projet désormais chiffré à 1,2 milliard d'euros, et plusieurs surcoûts sont liés au choix du terrain, estiment les opposants."Il faut revoir toutes les lignes de tramway parce qu'en voiture, c'est très compliqué de circuler parce que vous êtes sur une île tout simplement, et du fait des caractéristiques du sous-sol, on est obligés de mettre des pieux à trente mètres de profondeur pour soutenir" le bâtiment, explique Laurence Garnier, sénatrice et chef de file de l'opposition LR au conseil municipal.Le triple vitrage pour limiter le bruit des avions, ou encore la dépollution liée aux bombes non explosées sont aussi citées en exemple de coûts supplémentaires.Par ailleurs, contrairement à ce qui avait été annoncé, la totalité des activités ne seront pas sur l'île de Nantes, mais un "pôle de longévité" sera créé à Laënnec. Enfin, il y a quelques semaines, le quotidien Presse Océan révélait que le contrat de maîtrise d'oeuvre du futur CHU avait été résilié en mars, faisant craindre aux opposants des retards de livraison.
Il y a 3 ans et 204 jours

Travail freelance : Artelink lance une plateforme d’intermédiation pour l’ingénierie de la construction

Artelia a annoncé, le 24 novembre, le lancement de la start-up Artelink. Détenue à 80 % par l’ingénieriste et à 20 % par Charrette.club, la société propose une connexion entre travailleurs freelances et employeurs à la recherche de ressources dans les métiers du bâtiment, de l’énergie, de l’industrie ou encore de l’eau et de l’environnement.
Il y a 3 ans et 204 jours

La pérennisation des coronapistes à Paris, un chantier au long cours

Entre les célèbres places de la Bastille et de la Nation, la rue du faubourg Saint-Antoine flambant neuve compte désormais une large (2 m) piste cyclable de chaque côté, séparée du reste de la chaussée par une bordure en pierre.Le calme qui en découle est un "bonheur absolu" pour Douchka, 39 ans, serveuse du Café Pierre qui a souffert des travaux. Mi-septembre, alors que les terrasses étaient pleines ailleurs, le bruit des marteaux-piqueurs lui donnait "l'impression d'avoir un aéroport dans la tête", et le bistro perdait "pas mal de monde".Sur l'autre trottoir, le Bidule n'a souffert du bruit "que quelques jours en septembre", dit Vincent, son responsable. "Mais après, c'est nous qui allons morfler", craint-il en désignant la rue perpendiculaire dans laquelle les blocs de béton, synonymes de piste cyclable provisoire, laissent deviner un futur chantier."Montée en puissance"Avenue de la République, les travaux ont débuté et ceux de l'axe gare Saint-Lazare - Porte de Saint-Ouen ne devraient pas tarder: avec les 80 millions d'euros provisionnés par David Belliard, l'adjoint (EELV) à la transformation de l'espace public, pour la pérennisation des pistes provisoires, "on va avoir beaucoup de chantiers vélo en même temps d'ici 2024", anticipe Jacques Baudrier (PCF), son collègue chargé de la construction publique."La montée en puissance des chantiers, c'est en ce moment, début 2022 ils seront beaucoup plus importants", insiste l'élu communiste en réponse aux associations de cyclistes qui auraient aimé, comme Jean-Sébastien Catier, président de Paris en selle, "que ça embraye un peu plus rapidement après l'élection" municipale de juin 2020.C'est à cette période que les coronapistes, créées dès le début de la crise sanitaire pour désengorger les transports en commun, surgissaient presque du jour au lendemain dans la capitale. Depuis, "il ne s'est pas passé grand-chose en termes de travaux", déplore M. Catier.M. Baudrier rétorque que "les pistes provisoires ont été installées jusqu'à fin 2020" et 2021 a servi à attribuer les appels d'offre avec "des lots beaucoup plus importants" pour les entreprises retenues. Et que l'augmentation en moyens humains de la mission aménagement cyclable (Macy), forte d'une dizaine d'agents, permet déjà d'aller plus vite."Pour se mettre au vélo, les Parisiens n'attendaient que la création d'aménagements sécurisés", estime la mairie. David Belliard présentera jeudi en conseil municipal le plan vélo pour la mandature (2021-2026), doté de 250 millions d'euros, soit bien plus que le précédent (environ 150 millions), pour faire de la capitale "une ville 100% cyclable".En 1995, 5 petits kilomètresSelon la mairie, l'Ile-de-France compte actuellement environ 800.000 déplacements cyclistes par jour, et la part des déplacements à vélo dans la capitale s'élève désormais à 5,6%, quand celle de la voiture individuelle ne représente plus qu'environ 9%.Et dans un rapport d'avril 2020, l'Ademe prévoit une explosion de la pratique entre 20 et 28% à l'horizon 2030... une révolution en l'espace d'un quart de siècle, au cours duquel la Ville Lumière est passée de 5 km de voies cyclables à près de 1.100!Comme la grève de 1995, lorsque "les gens se sont mis à faire du vélo" faute de transports en commun, la crise sanitaire a donné "un coup d'accélérateur" à cette "tendance de fond", souligne Patricia Pelloux, directrice adjointe de l'Apur, l'agence d'urbanisme sur laquelle s'appuie la Ville.Les coronapistes ne font pas que des heureux. Ainsi, le maire (LR) du XVe arrondissement, Philippe Goujon, estime que depuis l'aménagement d'une piste "au mois d'août sans prévenir les habitants", la rue Vaugirard "vit un enfer", avec des "conflits d'usage à tous les carrefours".Alexis Frémeaux, président de l'association Mieux se déplacer à bicyclette, relativise: si "ces coronapistes ont été très utiles, elles ont été faites rapidement et on voit bien qu'elles ont certains défauts". Pour ce cycliste, "la pérennisation va permettre d'améliorer la visibilité et le confort pour tous les usagers, cyclistes et autres".
Il y a 3 ans et 204 jours

Suite aux ratés du nouveau DPE, les diagnostiqueurs immobiliers demandent une indemnisation

Grâce à un travail de fond mené ensemble sur les coûts de revient des rééditions (coûts directs pour la vérification, la 2e visite sur certains biens, la saisie-réédition / coûts indirects de pédagogie, d’explications, de réponses aux clients, et de surcharge de travail), les fédérations CDI-FNAIM, FIDI et LDI ont obtenu pour la profession une indemnisation globale de réédition d’un montant de 60 € (montant non assujetti à TVA). Cette indemnité prend en compte la réédition ainsi que les points vus au paragraphe précédent, dont la revisite d’un certain nombre de biens, estimé entre 25 et 30 %.Cette réparation doit permettre de rééditer les DPE selon la procédure communiquée par le ministère du Travail et accessible de nouveau ici.
Il y a 3 ans et 204 jours

Le nouvel office de tourisme de Versailles, "trait d'union" entre classicisme et modernité

PROJET. Le nouvel office de tourisme de la préfecture des Yvelines se fixe deux objectifs : renforcer l'axe stratégique reliant le Nord au Sud de la ville, en valorisant notamment l'arrivée des touristes, mais également rappeler aux visiteurs que le château du Roi-Soleil n'est peut-être pas la seule attraction, et que la cité qui l'environne mérite aussi un détour.
Il y a 3 ans et 204 jours

Potentiel du recyclage et du réemploi

Alexandra Lebert - Photo : Raphaël DautignyL'ambition du CSTB est de montrer le potentiel du recyclage et du réemploi et d'être un facilitateur. Il s'agit, par exemple, de permettre aux collectivités d'anticiper les flux de déchets à venir et les filières à accompagner, d'aider à lever les freins sur la contractualisation pour les aménageurs, de diffuser des guides de bonnes pratiques et des outils numériques pour optimiser la phase de déconstruction, qui a un rôle pivot dans la valorisation des déchets. Toujours en tant qu'évaluateur, nous devons sécuriser les pratiques : que ce soit à l'étape du diagnostic dans le bâtiment en fin de vie en vue du réemploi de ses constituants, en centre de reconditionnement avant la remise sur le marché, ou en permettant une plus forte intégration de matières recyclées dans les nouveaux produits. Et, en tant qu'accompagnateur de l'innovation, nous devons jouer un rôle de tiers de confiance dans la caractérisation des performances dans l'écoconception, aider à l'identification de débouchés pour les gisements de matières recyclées, accompagner les filières de réemploi dans l'identification des performances à justifier et des moyens de le faire. Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020.
Il y a 3 ans et 204 jours

BTP et transition écologique : deux maîtres-mots, transversalité et industrialisation

DÉBATS. La transition environnementale dans le secteur du BTP sera à l'origine d'évolutions de tous ordres, au sein du secteur. Divers acteurs ont échangé sur ce thème lors des Rencontres de la construction, organisées le 23 novembre 2021 par Entreprises générales de France (EGF.BTP).
Il y a 3 ans et 205 jours

Grand Paris Express : la SGP opte pour la co-promotion systématique sur son foncier

DÉVELOPPEMENT URBAIN. La stratégie urbaine de la Société du Grand Paris, dévoilée le 24 novembre, implique de garder autant que possible la maîtrise du million de mètres carrés de projets immobiliers qui doivent être réalisés sur le foncier qu'elle détient. Une filiale va être créée pour monter, projet par projet, des opérations de co-promotion. Le budget pour 2022 de l'établissement public a par ailleurs été adopté.
Il y a 3 ans et 205 jours

Le changement de contrat d'assurance emprunteur bientôt possible à tout moment ?

"Je suis favorable à la proposition de loi de (la députée) Patricia Lemoine (Agir ensemble), parce que je pense que c'est une proposition juste et là aussi protectrice du pouvoir d'achat des Français", a affirmé Bruno Le Maire sur Franceinfo.Il faut "mettre de la concurrence pour réduire les coûts", a-t-il justifié."Aujourd'hui votre assurance emprunteur vous ne pouvez la modifier que la première année et ensuite à une date anniversaire. (...) Là, ça va être plus simple, plus rapide et à tout moment vous pourrez modifier votre assurance emprunteur, votre assurance crédit, si vous estimez que vous pouvez trouver mieux et moins cher ailleurs", a expliqué le ministre.L'assurance emprunteur couvre divers risques comme le décès, la maladie ou l'invalidité, protégeant à la fois les emprunteurs et les banques contre un éventuel défaut de remboursement.Répondre aux inquiétudes sur le pouvoir d'achatSelon une évaluation de Bercy, pour un primo-accédant qui a emprunté 250.000 euros à 35 ans pour acheter son premier logement, une telle mesure "pourra lui faire économiser sur la durée de son prêt sur 25 ans, près de 4.000 euros", a détaillé Bruno Le Maire.La proposition sera examinée en première lecture au Palais Bourbon dans le cadre d'une journée réservée au groupe Agir ensemble, composante de la majorité.Elle bénéficie d'une procédure dite "simplifiée" permettant un examen plus rapide par les deux chambres, avec pour objectif une entrée en vigueur dans les prochains moins, avant la fin de la législature. Ses clauses seront valables pour les contrats à venir et en cours.Des dispositions similaires déjà examinées par les parlementaires ces dernières années n'avaient pu aboutir face aux réserves du gouvernement et à l'hostilité des banques, qui détiennent 88% du marché de l'assurance emprunteur et accusées de faire obstruction.Ces dernières sont en position privilégiée pour proposer leurs propres assurances emprunteur à leurs clients, une situation dénoncée par les assureurs et les associations de consommateurs.Mais face aux inquiétudes actuelles des Français sur le pouvoir d'achat, "le gouvernement a acquis l'intime conviction que c'est le bon moment" pour procéder à cette réforme, a déclaré Mme Lemoine lors d'une conférence de presse de son groupe.Le marché de l'assurance emprunteur est évalué à près de 10 milliards de cotisations par an, et concerne près de 7 millions de propriétaires ayant un crédit en cours.M. Le Maire s'est dit aussi favorable à une autre mesure de cette proposition de loi, qui prévoit "l'ouverture d'un travail avec les banques et assureurs sur les discriminations d'accès à l'assurance emprunteur quand on a été malade"."Ca aussi c'est une question de justice fondamentale", a souligné le ministre, ajoutant souhaiter que le droit à l'oubli sur les antécédents de cancer, actuellement de dix ans, soit raccourci.
Il y a 3 ans et 205 jours

Vendenheim : une plateforme logistique internationale en activité pour Hager Group

Inauguration de la plateforme de Vendenheim mardi 23 novembre 2021 Pour soutenir ses ambitions de croissance en Europe et se rapprocher de ses clients à travers le monde, Hager Group fait évoluer son modèle logistique à grande échelle. La nouvelle plateforme logistique de 27 500m² à Vendenheim (67) assure désormais la livraison des commandes vers l’export et réapprovisionne les autres entrepôts européens du groupe. Deux ans après le début de sa construction (2019), la plus grande plateforme du groupe industriel voit désormais son activité se développer progressivement. Dès le mois de mai 2021 l’activité avait démarré avec la mise en place d’un nouveau WMS (Warehouse Management System) et le lancement de l’activité manuelle pour les produits hors gabarit. Aujourd’hui, la seconde et dernière phase de démarrage correspond à la mise en activité du système automatisé de préparation de commandes. « Nous passons concrètement d’une configuration ‘proche de l’usine’ à une logique ‘proche du client’ avec l’accélération des flux pour répondre au plus vite, souvent dans les 24h, à nos clients. Nous transformons notre modèle logistique qui sera pleinement opérationnel d’ici la fin de l’année 2023. » explique Ralph Fürderer, Chief Technical Officer, membre du directoire de Hager Group et supervisant la construction du réseau logistique. Cet entrepôt permet de stocker des produits multi références des différentes marques du groupe. Alliant travail automatisé pour les produits modulaires (disjoncteurs, interrupteurs, …) et travail manuel pour les produits hors gabarit (goulottes, grandes armoires, …) le bâtiment intègre des technologies dernier cri. Un shuttle (ou système automatisé de préparation de commande) permet de préparer des cartons complets sans intervention humaine en parallèle d’une préparation de commandes au détail via des stations ergonomiques. A l’occasion du lancement officiel de l’activité du nouvel entrepôt en présence des élus et acteurs économiques locaux le mardi 23 novembre 2021, Daniel Hager, Président du directoire de Hager Group, complète « Depuis plus de 60 ans, nous nous développons et nous investissons en Alsace, au coeur de l’Europe. Cet investissement de 40 millions d’euros fait partie d’une stratégie de développement globale au service de notre avenir mais aussi de nos clients ». Cet investissement en Alsace sera suivi par d’autres, toujours dans la logistique, en France et en Allemagne. Ces deux nouveaux centres de distribution locaux assureront la distribution pour les deux plus grands marchés du groupe ainsi que pour l’Autriche et les Pays-Bas. Ils seront également approvisionnés par la plateforme logistique de Vendenheim. Chiffres clés plateforme logistique de Vendenheim : • 27 500m² donc 1 500m² de bureaux • 100 salariés sur site • 1 000 points de livraison à travers le monde • 60 camions/jour • 30 quais • 900 à 1 000 palettes expédiées quotidiennement • Un million de lignes de commandes par an • 30 000 références stockées
Il y a 3 ans et 205 jours

Le Together World Tour d’Ideal Standard atterrit à Dubai : l’occasion de mettre en avant Intellemix et Conca

Ideal Standard s’est rendu à Dubaï pour le dernier rendez-vous de l’année de sa série unique d’événements, le Together World Tour. Mettant l’accent sur l’innovation en matière de design, l’événement du 22 novembre a été inspiré par la dynamique « ville du futur » et a été l’occasion de mettre l’accent sur le robinet intelligent sans contact Intellimix et la collection de céramiques, meubles, robinetteries et baignoires Conca. Le Together World Tour, la série d’événements cinématographiques d’Ideal Standard, s’est récemment arrêté à Dubaï pour le cinquième des six événements qui se déroulent à travers le monde. Fusion innovante de contenus numériques, ce voyage vise à inspirer la communauté internationale de l’architecture et du design en présentant le meilleur de la culture du design de chacune de ces six villes. Après le succès des événements précédents ayant pris place à travers 4 grandes villes d’Europe, l’avant- dernier événement de la série – intitulé Un moment d’innovation – s’est tourné vers l’avenir de l’architecture et du design, en utilisant l’une des destinations les plus modernes au monde comme toile de fond pour partager les tous derniers développements produits d’Ideal Standard. Le co-Directeur Général d’Ideal Standard, Jan Peter Tewes, a déclaré : « Dubaï est une ville qui symbolise la transformation, le progrès et un avenir radieux. C’est un endroit où le passé est encore visible, mais qui est devenu célèbre pour son développement urbain rapide, son paysage de gratte-ciel et ses centres culturels emblématiques. C’est un incroyable exemple de comment combiner une vision moderne avec le patrimoine et la culture. Cette ville nous montre que l’impossible est possible grâce à un design, une architecture et une ingénierie innovants. En ce sens, Ideal Standard a des similitudes avec Dubaï. Nous travaillons depuis plus de 100 ans avec les maîtres designers de leur époque et nous réinventons maintenant certains de nos designs les plus emblématiques du passé en utilisant les dernières technologies et matériaux de fabrication pour créer des collections qui répondent aux besoins de la vie moderne. » L’événement s’articulait autour de 3 temps forts : • la découverte de la culture et du patrimoine via la visite des quartiers historiques de la ville, avec un coup de projecteur sur la nouvelle collection primée d’Ideal Standard, Conca, qui s’inspire de la collection originelle du même nom, conçue en 1972, et qui inclut de la céramique, de la robinetterie, des meubles et des baignoires. Intégrant Atelier Collections, les produits contemporains sont le résultat du partenariat exclusif d’Ideal Standard avec le célèbre studio de design italien Palomba Serafini Associati et représentent l’engagement de la marque à façonner l’avenir de la vie moderne à travers le design, • des entretiens exclusifs avec certains des plus grands esprits de l’architecture et du design, dont Janus Rostock et Ahmed Al Salami, • la visite de l’Expo 2020, exposition universelle qui se déroule à Dubaï du 1/10/2021 au 31/03/2022 et qui présente des solutions innovantes aux problèmes mondiaux et encourage la collaboration pour assurer un avenir meilleur. Toujours sur le thème de l’innovation, le Chief Design Officer d’Ideal Standard, Roberto Palomba, a présenté Intellimix, le produit pionnier d’Ideal Standard. Intellimix est un robinet intelligent sans contact qui permet une hygiène supérieure sans effort avec une distribution programmée d’eau et de savon à partir du même appareil. Son cycle de lavage optimisé réduit la propagation des bactéries et virus nocifs ainsi que la consommation d’eau. En parlant d’Intellimix, Roberto a déclaré : « Les événements de l’année dernière ont renforcé l’importance de l’hygiène à travers le monde, ce qui a non seulement un impact sur le comportement humain, mais a également modifié de manière permanente les exigences en matière de conception des sanitaires collectifs. Il est plus important que jamais que ces espaces partagés et la technologie qu’ils contiennent soient conçus en tenant compte de la santé et de la protection de l’utilisateur final. Intellimix a été introduit pour répondre à ces exigences en améliorant l’hygiène et en garantissant plus que jamais que le lavage des mains soit réalisé efficacement et facilement par tous les utilisateurs d’un bâtiment. Cela contribue également à atteindre les objectifs de développement durable, tout en aidant les entreprises à réduire leurs coûts de maintenance et de fonctionnement. » Rappelons que depuis son lancement en avril, le Together World Tour a visité Milan, Berlin, Londres, Paris et maintenant Dubaï, plongeant dans la culture dynamique de chaque ville et explorant leur impact sur le monde de la conception de salles de bain. Jan Peter Tewes a conclu : « Le Together World Tour vise à faire voyager nos clients et partenaires dans le monde du design et de l’architecture. Chacune des villes a été sélectionnée précisément car elle reflète des philosophies similaires aux perspectives de conception d’Ideal Standard, y compris les qualités trouvées dans nos gammes de produits. Ce voyage a été un grand succès jusqu’à présent, mais il ne touche pas encore à sa fin. Nous avons un dernier arrêt prévu pour 2022 dans un endroit magnifique – alors restez à l’écoute pour plus d’informations. » Pour vous inscrire à l’événement final, revoir les précédents et accéder à du contenu supplémentaire exclusif : visitez https://www.togetherworldtour.com/fr/ https://www.idealstandard.fr/
Il y a 3 ans et 205 jours

FDMC : « surchauffe » du négoce et incertitudes autour de la REP

La Fédération des distributeurs de matériaux de construction (FDMC) a organisé son déjeuner annuel en présence de 250 personnes. Conjoncture et REP étaient au menu.
Il y a 3 ans et 205 jours

Elisabeth Borne va rencontrer les partenaires sociaux jeudi matin pour un point sur la situation épidémique

"L'idée est que chacun puisse se positionner sur l'évolution de la situation épidémique et qu'on ait un même appel à la responsabilité sur l'application du protocole en entreprise, le port du masque obligatoire, le respect des gestes barrières, etc", a-ton indiqué.Cette réunion aura lieu de 9H30 à 11H, avant la conférence de presse du ministre de la Santé Olivier Véran, et entraîne le report d'une autre réunion prévue avec les partenaires sociaux sur le thème de "la sortie de crise"."Aucune modification du protocole n'est sur la table", a-t-on ajouté, en réponse à une question sur les règles du télétravail.Depuis septembre, le protocole, document de référence pour assurer la santé et la sécurité des salariés et la poursuite de l'activité économique face au Covid-19, ne prévoit plus un nombre de jour minimal de télétravail. Il prévoit que "les employeurs fixent, dans le cadre du dialogue social de proximité, les modalités de recours" au télétravail.Aménagé à plusieurs reprises, le protocole avait notamment imposé pendant plusieurs mois le télétravail comme une règle à compter d'octobre 2020. Il avait été "porté à 100% pour les salariés qui peuvent effectuer l'ensemble de leurs tâches à distance".
Il y a 3 ans et 205 jours

PPI : la Métropole de Montpellier flèche 2,5 milliards d’euros pour les investissements à venir

Le conseil métropolitain du 23 novembre 2021 a adopté le premier Plan pluriannuel d’investissement de son histoire. Doté d’un budget sans précédent, cette PPI 2021-2026 a pour fil rouge, la transition écologique.
Il y a 3 ans et 205 jours

Travail dissimulé : les micro-entrepreneurs dans le viseur de l'administration

ÉCONOMIE. Tous secteurs confondus, la pratique du travail dissimulé chez les micro-entrepreneurs représenterait un manque à gagner frôlant le milliard d'euros pour les caisses de l'État. Les chiffres sont moins importants chez les travailleurs indépendants dits classiques. Le taux de salariés dissimulés dans la construction est pour sa part estimé à 8%.
Il y a 3 ans et 205 jours

La logistique s'installe en ville, et promet de se mettre au vert

A première vue, difficile d'imaginer un entrepôt ici, au milieu des bus et des piétons pressés de la porte de Pantin. Mais en s'approchant des grandes baies vitrées, on aperçoit les livreurs s'activer autour des cartons de marchandises."On a vraiment voulu un lieu ouvert, pour permettre de redécouvrir la réalité matérielle derrière le fonctionnement des livraisons à Paris", indique Achille Bourdon, architecte de l'entrepôt développé par le promoteur Sogaris et exploité par la société Ecolotrans, spécialisée dans la livraison dite "du dernier kilomètre".A l'intérieur, la température se situe entre 2 et 4 degrés, car on y conserve des denrées alimentaires. Arrivées par camion, elles sont placées dans des vélos cargo ou des camionnettes électriques pour être livrées de manière "décarbonée" à des restaurants ou à des particuliers qui commandent à domicile leurs courses auprès de Carrefour, Naturalia ou encore Biocoop.L'objectif est ainsi de mutualiser les commandes, pour limiter les transports polluants et sources de nuisances dans la capitale.Lancé en novembre 2020, le petit entrepôt de 1.000 mètres carrés est présenté comme "pionnier" par l'association Afilog, qui regroupe les acteurs de la logistique. Avec le soutien de l'État et de l'organisation France Logistique, elle a lancé jeudi, et jusqu'à samedi, une Semaine de la Logistique pour ouvrir les portes de 40 entrepôts, dont P4, au grand public.De grands projets, gourmands en terres"Il est important que nous ayons une communication beaucoup plus offensive, beaucoup plus positive", a expliqué jeudi Claude Samson, président d'Afilog.A travers cette semaine, le secteur veut appuyer sur son engagement environnemental, après la signature en juillet d'une charte d'engagements réciproques avec le gouvernement pour réduire son empreinte carbone.Avec l'entrepôt P4 sont mis en avant des projets récents comme la plateforme "carbone neutre" de Monoprix à Moissy-Cramayel, ou le centre de distribution d'Ikea et Leroy Merlin à Gennevilliers, construit sur deux étages pour limiter la surface au sol."Aujourd'hui, c'est encore très difficile d'avoir des entrepôts en hauteur pour des raisons d'urbanisme et de sécurité, mais la charte doit favoriser ce type de constructions", explique à l'AFP Diana Diziain, directrice déléguée d'Afilog.L'artificialisation des sols est en effet un sujet sensible pour la logistique, qui repose sur des entrepôts de plusieurs milliers de mètres carrés. Sans compter la pollution liée aux transports de marchandises, jusqu'au consommateur final.Au moment du vote de la loi Climat, le secteur a ainsi échappé à un moratoire sur la construction des entrepôts du e-commerce, demandé par la Convention citoyenne. Au grand dam des promoteurs de centres commerciaux, dont les constructions de plus de 10.000 mètres carrés ont été interdites.Si les grands projets suscitent la critique, le secteur met en avant leur importance pour l'économie française, en particulier pour la réindustrialisation du pays. La Semaine de la Logistique a ainsi été organisée à quelques jours seulement de la Semaine de l'Industrie."La compétitivité de la logistique, c'est un combat", a confirmé Geoffroy Cailloux, directeur services marchands à la direction générale des entreprises, rattachée au ministère de l'Economie.Le gouvernement a ainsi lancé en décembre un plan d'action de 1,7 milliard d'euros pour la logistique, dans le cadre du plan de relance, qui promet de soutenir à la fois de l'attractivité de la France dans ce domaine, et la décarbonation du secteur.
Il y a 3 ans et 205 jours

Démarchage téléphonique: deux entreprises de rénovation énergétique sanctionnées

Les sociétés de rénovation énergétique Almatys et Nrgie Conseil ont été condamnées à des amendes de 460.000 et 65.000 euros pour démarchage téléphonique, a annoncé la DGCCRF.
Il y a 3 ans et 205 jours

Alkern : Entre performance et durabilité

Christophe Lagrange, directeur de l’offre d’Alkern. [©Alkern] Dossier : Systèmes constructifs et isolants Interview - Ytong : Le béton cellulaire a sa carte à jouer Rencontre - Bio’bric : En pole position Interview - L’Etics, un marché important pour Edilteco Réalisation - Des produits et une usine bas carbone Savoir - Monomur : Comment isoler…sans isolant Pratique - Comment réaliser un mur en blocs béton isolants ? Il existe plusieurs solutions qui revêtent la double casquette de système constructif et isolant. Et à l’aube de la nouvelle réglementation environnementale, chacun n’hésite pas à mettre en avant ses avantages. Construire et isoler en même temps, c’est la promesse que fait Ytong avec ses solutions en béton cellulaire. Un matériau qui a une carte à jouer dans la future réglementation environnementale. A travers sa marque Bio’bric, le groupe Bouyer Leroux s’est bien implanté sur le marché de la maison individuelle et du logement collectif. L’industriel propose des solutions en briques de terre cuite pour le mur et la cloison. Depuis 20 ans, Edilteco France propose différentes solutions constructives avec notamment des Etics, des systèmes complets d’isolation thermique par l’extérieur. A Fontenay-le-Comte, Soriba a investi dans la création d’une usine pour son offre d’escaliers bas carbone. L’industriel a fait le choix de réaliser un outil industriel en adéquation avec sa solution responsable. Le principe du Monomur est ancien. Dès la fin des années 1970, plusieurs fabricants de briques commercialisent déjà des produits alvéolaires de forte épaisseur. Il faudra pourtant attendre le début des années 2000, pour que le Momomur, dans sa définition actuelle, connaisse une vraie notoriété. Pour à la fois réaliser la construction d’un bâtiment et éliminer les ponts thermiques sans ajouts d’isolants extérieurs, les blocs isolants sont souvent choisis par les promoteurs, architectes ou bailleurs sociaux. Selon leur composition, les méthodes de mise en œuvre divergent et ne nécessitent pas les mêmes attentions pour les points singuliers. Tour d’horizon avec Eric Agostini, directeur de Cogetherm. Avec ses 55 usines (53 en France et 2 en Belgique), Alkern mise sur la proximité avec ses clients. Mais pas que… Spécialisé dans la préfabrication de blocs béton, et notamment de blocs béton isolants, l’industriel développe des solutions en adéquation avec les enjeux actuels de la performance thermique, du bas carbone et de l’économie circulaire. « Notre “base line” est : Innover durablement ensemble », déclare Christophe Lagrange, directeur de l’offre d’Alkern. Avec près de 1 000 collaborateurs et 200 M€ de chiffre d’affaires, la société se focalise sur la construction verticale et horizontale (mobiliers urbains, assainissement…). « Notre chiffre d’affaires se répartit à 40 % sur le bâtiment et particulièrement la maison individuelle, à 30 % sur l’aménagement extérieur et moins de 30 % sur les travaux. » Avec ses blocs béton isolants, l’industriel estime avoir une carte à jouer en réponse à la RE 2020. « La nouvelle réglementation aura deux impacts majeurs pour nous. Elle implique une augmentation de la performance du Bbio et la prise en compte de l’impact carbone dans les calculs. Il y a différents leviers pour atteindre ces objectifs et les blocs béton sont des solutions qui permettent de traiter la performance thermique du bâtiment et qui sont par essence bas carbone. » Un bloc béton rectifié plus responsable En effet, la gamme de produits d’Alkern couvre des R allant de 0,3 à 2,11 m2.K/W, sachant que le R = 1 m2.K/W est le plus courant au niveau de la paroi. Puis, ces produits sont composés de 50 à 60 % d’air, un argument non négligeable dans la quête du bas carbone. Lire aussi : R+MuR d’Alkern : La solution de parois complète « Les blocs béton demandent peu de matière et la préfabrication permet de l’optimiser. Leur bilan carbone est alors quatre fois moins élevé qu’un mur en béton. Ils ont pratiquement le même bilan que le bois. De façon générale, les blocs maçonnés assemblés sur chantier avec une couche de mortier disposent d’un bilan carbone de 14 kg/CO2/m2. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 205 jours

Profils Systèmes investit 13,5 millions € pour se doter d'une deuxième presse d'extrusion

La première tranche de 8 millions d'euros, lancée fin 2018, a servi à la construction d'un nouveau bâtiment de 5 000m2 et à l'installation d'une nouvelle chaîne de laquage vertical mise en route en février 2020, entrainant la création de 40 emplois sur site.Cette nouvelle tranche de 13,5 millions d'euros sera consacrée à l'extension du bâtiment industriel pour 5 000m2 supplémentaires, portant la surface totale à plus de 53 000 m2, et à l'installation d'une deuxième presse d'extrusion pour ses profilés aluminium, toujours sur son site de Baillargues.Au total, ce sont près de 22 millions d'euros investis sur 3 ans pour accompagner la croissance de Profils Systèmes, qui vise +25% en volume sur l'année 2021, portée par un marché dynamique d'amélioration de l'habitat post pandémie et l'utilisation croissante du matériau Aluminium dans la construction architecturale pour l'ensemble de ses qualités environnementales dont son recyclage à l'infini.Ces investissements permettent d'augmenter l'ensemble des capacités de production d'extrusion et de laquage des profilés pour ses gammes de produits destinés aux marchés de l'habitat résidentiel et tertiaire, d'améliorer la satisfaction de ses clients et engendrer la création de plus de 60 emplois supplémentaires.Profils Systèmes se félicite de cette excellente nouvelle à plusieurs titres :Bénéficiant du Label « Fabrication Française depuis 2013, membre de la French Fab depuis 2017, l'excellence française industrielle est à nouveau à l'honneur avec à la clé : la création d'emplois en France. L'investissement dans les dernières générations d'outils de production va renforcer les performances bas carbones de ses profilés – à noter que Profils Systèmes satisfait à la démarche Alu+C- pour ses produits aluminiumPour rappel l'entreprise a obtenu sur l'année 2021 de nombreuses certifications : Qualité ISO 9001, Sécurité ISO 45001, Environnementale ISO 14001. Et dernièrement Cradle to Cradle® - C2C - Bronze, pour ses gammes de profilés fenêtres et coulissants Cuzco® et murs-rideaux Tanagra®. Cette certification vérifie l'impact des produits sur l'économie circulaire.Grâce à ses produits en aluminium, Profils Systèmes contribue à réduire l'empreinte environnementale de l'industrie de la construction et anticipe les exigences environnementales futures.
Il y a 3 ans et 205 jours

Quid de l’appropriation du BIM et du numérique en 2021

Le plan BIM 2022 publie sa deuxième enquête annuelle* sur l’appropriation du BIM et du numérique des acteurs de la filière et le niveau de maturité des professionnels. Il en ressort que le potentiel du BIM est important et qu’avec la crise sanitaire l’utilisation d’outils numériques d’échanges de fichiers, de visio-conférences etc… a connu une nette progression.
Il y a 3 ans et 205 jours

Rénovation et FLJ : efficacité d’une simulation

Le site de la société PL Maître héberge 70 collaborateurs, tous œuvrant dans l'étude et la production de structures métalliques pour la rénovation, ou entrant dans la conception des bâtiments de demain. Aujourd'hui, en fonction depuis un bon nombre d'années, le site vosgien lui-même est sujet à des mises en conformité. En octobre 2019, c'est d'ailleurs dans l'optique d'une rénovation des appareils de toiture qu'il a été fait appel aux services de Bluetek, via notre client et partenaire ; l'agence travaux Soprema Nancy.Les produits aujourd'huiLes appareils posés pour la première phase des travaux, aujourd'hui finalisés, sont :4 Bluevoûte Therm de 3 m X 12 m remplissage en polycarbonate épaisseur 16 mm intégrant la technologie de microbilles en verre Pearl Inside.17 Bluevoûte identiques dimensions 3 m X 9 m.Ces lanterneaux filants sont dotés de 30 modules de désenfumage Exuplus Pneu, soit des DENFC pneumatiques dont chaque unité est associé à un vérin électrique course 500 mm permettant l'aération quotidienne du bâtiment. Les appareils remplacent d'anciennes voûtes en polyester.Même si le fait d'utiliser les trémies existantes n'a pas suffit à homogénéiser l'éclairage naturel intérieur de façon optimale, et donc de répondre à 100% aux différents critères de la norme EN 17037, les lanterneaux apportent aujourd'hui sécurité et confort de travail aux utilisateurs. Précisons qu'une construction neuve aurait permis un autre choix en dimensions d'appareils et une implantation différente.En attendant, le résultat est là et cohérent. L'implantation, telle qu'elle est réalisée aujourd'hui, apporte 300 lux pendant 50% du temps de travail (tranche horaire 8/18 heures), soit un éclairement de qualité sur l'intégralité du temps d'occupation du bâtiment.Respect des normes et du bon sens Cette rénovation répond donc à une conformité du désenfumage en cas d'incendie du bâtiment par le biais de la conformité des DENFC à la norme EN 12101-2 (les lanterneaux filants répondent à la norme NF EN 14963).Le bon sens a tenu dans le choix du polycarbonate entrant dans la composition des lanterneaux filants. En effet, les voûtes sont toutes équipées d'un PCA alvéolaire 16 mm Pearl Inside. Ce remplissage permet une amélioration de l'isolationphonique, thermique, du facteur solaire et une diffusion de la lumièredujour homogène à l'intérieur du bâtiment. Il permet aussi un meilleur confort visuel aux utilisateurs car il limite les risques d'éblouissements.Ce choix rejoint donc aussi la norme RE2020 dans 3 de ses exigences de résultats, soitLa limitation de la consommation d'énergie primaire.La limitation de l'impact sur le changement climatique associé à ces consommations.La limitation des situations d'inconfort dans le bâtiment en période estivale d'été.Au centre du propos : l'outil lumière naturelle Au-delà d'un constat réglementaire, cette rénovation de bâtiment a été un très bon sujet d'étude pour la Direction Technique Bluetek. Le service a pu confirmer l'efficacité de son outil de calcul en lumière naturelle.Le résultat au FLJ-mètre Daniele Mariotti, Ingénieur Recherche et Innovation Bluetek, a été amené à réaliser différents essais afin d'assurer la cohérence de l'outil lumière naturelle Bluetek avec la réalité du terrain. C'est donc au bureau et sur site qu'il a effectué cette étude.Il a réalisé les mesures FLJ (Facteur Lumière du Jour) selon les prérogatives de la norme EN 17037. Sur une surface de 360 m², 40 points de lumière ont été relevés de 3 X 3 m.Après travaux de rénovation, le résultat est un FLJ moyen de 1,4%.La simulation Archiwizard "avant / après"Commençons par préciser que les simulations standards ne tiennent pas compte de l'encombrement du volume (charpente, pont roulant, poste de travail, écrans ce cantonnement, etc.).Sur le site PL Maître, les calculs ont été réalisés en tenant compte de facteurs de réflexion les plus en adéquation possible avec la réalité du terrain (soit du bardage gris en toiture et en façade), à savoir 0,4 pour la toiture et 0,4 pour la façade. Normativement, ce ratio est respectivement de 0,7 et 0,5. Sur le terrain ou normativement, il est de 0,2 pour les sols.Le résultat de cette simulation est un FLJ moyen de 0,6%.(Résultat simulation Archiwizard avant rénovation) Le résultat de cette simulation est un FLJ moyen de 1,5%.(Résultat simulation Archiwizard après rénovation)En conclusionPassant de 0,6% à 1,4% en résultat réel, le Facteur Lumière du Jour a plus que doublé.Avec un résultat de 1,5%, la simulation Archiwizard, soit notre outil lumière naturelle, est cohérente.Même si elle reste bien sûr perfectible, cette méthode, grâce à notre outil de simulation, est donc une aide précieuse dans le cadre d'études pour tous projets, que ce soit en neuf ou pour la rénovation.Ici, la synergie Bluetek/Soprema a permis encore une fois de concrétiser sur le terrain les résultats des simulations.PL Maître : une suite à venirCes travaux en lumière naturelle ont été réalisés sur la première tranche de cette rénovation. Les actions à suivre sont l'optimisation de l'association en lumière naturelle et artificielle, la ventilation et la possibilité de rafraîchissement des bâtiments par solution adiabatique Bluetek.
Il y a 3 ans et 205 jours

Humidité : l’église Notre-Dame de la Chaussée traitée

L’église Notre-Dame de La Chaussée dans la Vienne a fait l’objet de plusieurs campagnes de travaux : les façades et la structure du clocher ont été restaurées et un drainage partiel a été réalisé en 2000, les maçonneries du clocher et la couverture de la nef en 2002 et la mise en accessibilité pour les personnes à mobilité réduite a été réalisée avec la modification de la porte sud en 2014. La dernière campagne de restauration, engagée en 2018, concerne la restauration des deux premières travées de la nef. Une campagne de sondages réalisée en 2016, par Brice Mouliniers – restaurateur, a révélé des décors datant du XIIIe siècle dans celle-ci. Le fort encaissement de l’église a généré d’importants problèmes d’humidité et notamment le décollement des enduits et le développement de micro-organismes sur les murs et le sol. Le traitement de l’humidité est devenu urgent pour préserver ces décors gothiques exceptionnels. Un programme de travaux a été élaboré par M. Quintrie-Lamothe – architecte du patrimoine, prévoyant la réalisation en 3 phases : assainissement extérieur de l’église avec la création d’un drainage,  restauration du porche d’entrée et dégagement et restauration des décors peints intérieurs. Le suivi de chantier, dans le cadre du contrôle scientifique et technique a été assuré par la Conservation régionale des monuments historiques (Poitiers). Cette campagne de travaux a été programmée avec un budget de 92 787,20 € HT. La part État – ministère de la Culture de 37 114,88 € représente 40 % du montant des travaux, soutien financier du Fonds incitatif et partenarial pour les petites communes.
Il y a 3 ans et 205 jours

TotalEnergies se renforce en Libye

Ces contrats ont été signés lors du "Libya Energy & Economy Summit, la première conférence économique organisée depuis 10 ans en Libye à l'initiative du gouvernement d'unité nationale", est-il indiqué.Ils "visent à développer des projets solaires pour apporter de l'électricité aux populations de Libye et à investir dans des projets de réduction du brûlage du gaz sur les champs pétroliers pour alimenter en gaz des centrales électriques ainsi qu'à contribuer à l'objectif national de restaurer la production de pétrole du pays pour atteindre 2 millions de barils par jour et alimenter les marchés mondiaux", a précisé le géant français.Un protocole d'accord a ainsi été signé entre TotalEnergies et la compagnie nationale d'électricité du pays, "portant sur le développement de projets solaires photovoltaïques d'une capacité totale de 500 MW, afin d'alimenter le réseau d'électricité libyen"."En outre, le conseil des ministres du gouvernement d'unité nationale a approuvé l'acquisition conjointe par TotalEnergies et ConocoPhillips de la participation de 8,16% détenue par Hess dans les concessions" pétrolières de la compagnie Waha, "ce qui portera la part de TotalEnergies dans ces concessions de 16,33% à 20,41%", indique le communiqué.Lors de la conférence, TotalEnergies a également précisé avoir "confirmé sa volonté de développer les capacités de production des concessions de Waha, notamment le projet de North Gialo" et d'"investir dans des projets de collecte du gaz pour réduire le brûlage et alimenter les centrales électriques de la région et d'utilisation de l'énergie solaire pour alimenter des installations industrielles de Waha"."Ces accords traduisent la volonté de TotalEnergies de renforcer ses investissements dans le secteur de l'énergie en Libye. Nous avons pour ambition d'aider le pays à bâtir un avenir plus durable par une meilleure utilisation de ses ressources naturelles, notamment l'énergie solaire, avec pour effet direct de faciliter l'accès de la population à une électricité plus propre, plus fiable et plus abordable", a déclaré Patrick Pouyanné, PDG de TotalEnergies, cité dans le communiqué.Le groupe "tire ainsi parti de sa position de leader dans cette région où sont produits les hydrocarbures les moins coûteux, pour poursuivre son développement dans l'électricité renouvelable", met en avant le PDG.Le groupe français est présent en Libye depuis 1954. Il indique qu'en 2020, sa production s'élevait à 43.000 barils équivalent-pétrole (bep/j).
Il y a 3 ans et 205 jours

Hydrogène vert: Engie accélère le rythme

Engie accélère le rythme dans l'hydrogène "vert", où il compte se positionner comme un acteur majeur de la décarbonation de l'industrie et des transports lourds, avant de voir plus loin en Europe.
Il y a 3 ans et 205 jours

Gaz à effet de serre... Vos textes officiels du mercredi 24 novembre 2021

La rédaction du "Moniteur" vous propose une sélection quotidienne des textes officiels intéressant le secteur. Au menu : droit de la construction, urbanisme, commande publique et privée, réglementation technique, logement, social…