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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88057 résultats)
Il y a 3 ans et 207 jours

Chargeurs connaît une reprise inégale au 3e trimestre, les masques s'effondrent, les films s'envolent

De juillet à septembre, Chargeurs a réalisé un chiffre d'affaires de 172,9 millions d'euros, en hausse de 1,9%, selon un communiqué du groupe publié il y a quelques jours.Les ventes de films destinés à protéger vitres, plaques d'inox, ameublement ou électroménager ont fait un bond de 28% à 86 millions d'euros, qui reflète "le boom du bâtiment partout dans le monde".Le chiffre d'affaires textile s'est aussi envolé, avec la réouverture des commerces et la fin de l'écoulement des stocks.Chargeurs est l'un des deux leaders mondiaux des textiles techniques et de l'entoilage (renforcement technique des tissus qui donne sa structure aux vêtements pour les cols de chemise ou vêtements de sports par exemple), avec l'Allemand Freudenberg.Le chiffre d'affaires de la division "technologies de la mode" a ainsi progressé de 19% à 39 millions d'euros. Celui de "la division "matériaux de luxe" (laine haut de gamme notamment) de 125% à 22 millions d'euros.En revanche, la division "solutions de santé" a vu son chiffre d'affaires plonger de 76% à 11 millions d'euros avec les chutes de vente de masques, textiles ou chirurgicaux.Le groupe maintient néanmoins ses capacités de production pour "être en mesure de fournir des masques en cas de demande ou de nouvelle épidémie", a commenté un responsable auprès de l'AFP.Pendant la pandémie, Chargeurs a ouvert des lignes de masques textiles dans le nord et en Alsace en faisant pivoter ses outils industriels de production liés à la mode et au textile.Il a aussi investi, avec l'aide de subventions publiques, dans la production de "meltblown", le matériau filtrant des masques chirurgicaux, et dont le pays manquait l'an dernier au moment du début de l'épidémie.Les ventes de la division "solutions muséales", centrée sur l'aménagement intérieur et la scénographie des expositions et musées, ont progressé de 7,6% à 14 millions d'euros."Nous avons un carnet de commandes épais, mais les facturations ont pris du retard en raison de l'empêchement de certains chantiers dû aux restrictions de voyages ou de travail sur les sites", a dit un responsable.Chargeurs a notamment remporté un projet de musée en plein air sur plusieurs hectares en Arabie Saoudite, et le réaménagement d'une aile du musée de l'air et de l'espace de Washington aux Etats-Unis.Dans ce domaine, le groupe a annoncé son intention d'acquérir "100% du britannique Event Communications", spécialiste de design et planification de projets muséaux.Au total, le groupe prévoit un chiffre d'affaires "supérieur à 700 millions d'euros" pour 2021.A la Bourse de Paris, le titre progressait de 3,42% mercredi en fin de matinée, à 27,8 euros.
Il y a 3 ans et 207 jours

20 ans de l'Observatoire de la Qualité de l'Air Intérieur (OQAI) : participez au colloque 100% digital

Un rendez-vous programmé le 2 décembre 2021 pour partager avec le plus grand nombre les résultats des travaux de l'Observatoire, dans le cadre d'une journée intégralement dédiée à la qualité de l'air intérieur, thématique majeure de santé publique. Présentation des résultats et avancées de l'OQAI en lien avec les campagnes nationales de mesure de la qualité de l'air menées dans les principaux lieux de vie, retours d'expérience de professionnels de la santé et du bâtiment, mise en perspective avec les travaux européens, etc., découvrez ou redécouvrez les projets et actions significatives qui ont fait avancer les connaissances et ont jalonné les 20 années de travaux de l'observatoire. Cet événement permettra de dresser un vaste état des lieux des connaissances actuelles en matière de qualité de l'air intérieur, de mieux comprendre comment ces connaissances éclairent les décisions publiques, les développements technologiques, etc., et d'échanger autour des enjeux d'aujourd'hui et de demain. Proposé intégralement en distanciel, ce rendez-vous verra la participation de nombreux acteurs français et européens, il sera organisé autour de plusieurs tables rondes thématiques : Le logement, un déterminant de notre santé Apprendre dans un environnement sain et confortable Travailler dans un environnement de qualité Habiter dans des bâtiments sobres et performants en énergie La qualité de l'air intérieur, un critère déterminant au cœur des projets La qualité de l'air intérieur, une filière source d'innovations, de métiers et d'opportunités économiques Qualité de l'air intérieur : quel chemin parcouru depuis 20 ans ? L'OQAI face aux défis du futur L'Observatoire de la Qualité de l'Air Intérieur (OQAI) a été créé par les Pouvoirs Publics en 2001 pour déterminer l'exposition des populations à la pollution de l'air intérieur et ainsi, proposer des actions de prévention et d'amélioration de la qualité des lieux de vie. En savoir plus : S'inscrire au colloque « Les 20 ans de l'OQAI » Site web de l'OQAI
Il y a 3 ans et 207 jours

Michel André, premier président d’Ecominéro

Le directeur général de Cemex Matériaux Europe de l'Ouest vient de prendre la présidence de l'éco-organisme, créé le 14 octobre 2021 à l'initiative de la filière des produits et matériaux de construction d'origine minérale.
Il y a 3 ans et 207 jours

Loftnets: Concepteur de filets d’habitation

Combler un vide, aménager un espace lecture ou un espace de jeu, habiller un garde-corps, sécuriser une mezzanine, délimiter deux… Cet article Loftnets: Concepteur de filets d’habitation est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 207 jours

Immobel France rachète le site Tati Barbès

Le site parisien de l'ancienne enseigne à vichy rose est composé d'un complexe immobilier regroupant neuf immeubles, détenus en pleine propriété, pour une superficie de près de 6.500 mètres carré.La vente comprend les numéros 4 à 20 du boulevard de Rochechouart ainsi que les 1 et 3 rue Belhomme et des locaux commerciaux au 26/28 boulevard de Rochechouart.Le promoteur immobilier, qui a remporté un appel à projet, prévoit des logements, des commerces - dont un hôtel - et des bureaux.Parmi la trentaine de logements familiaux prévus, pour une surface de 2.400 mètres carré, un tiers sera réservé au logement social, via la Régie immobilière de la ville de Paris (RIVP), et les deux autres tiers à l'accession à la propriété, avait précisé la mairie à l'AFP en septembre.L'emblématique magasin Tati, dont le vichy rose égayait le quartier populaire de Barbès depuis 1948, avait été repris en 2017 par le groupe GPG. Ce dernier avait annoncé en juillet 2020 sa fermeture, la fréquentation ayant été fortement affectée par la crise sanitaire.
Il y a 3 ans et 207 jours

Enrichi par la vente d'Equans, Engie investit dans les énergies vertes

Credit Agricole Assurances et Engie ont racheté le groupe d'énergie solaire et éolienne Eolia Renovables, l'un des plus grands producteurs d'énergie renouvelable en Espagne.
Il y a 3 ans et 207 jours

Toujours des inquiétudes dans le secteur des travaux publics, selon la FNTP

Le secteur des Travaux publics s'est relevé en 2021 sans retrouver son niveau d'avant-crise et des inquiétudes persistent en raison des problèmes de recrutement et des hausses de prix.
Il y a 3 ans et 207 jours

Rugby, nouveau laboratoire, climatisation tertiaire : dernières nouvelles de Mitsubishi Electric

Mitsubishi Electric soutient la Coupe du Monde de Rugby en France en 2023, aménage un laboratoire de recherche près de Paris et dispose, enfin, d’une vraie solution de climatisation en grand tertiaire
Il y a 3 ans et 207 jours

Le Conseil de Paris s'oppose symboliquement à la construction de la Tour Triangle

« Plus rien ne justifie ce projet ». Cette phrase maintes fois répétée par la députée MoDem Maud Gatel n'arrêtera pas le projet de construction de la tour de 180 mètres financée par l'assureur Axa. Le ton est cependant donné pour la Ville de Paris : les élus ne veulent pas voir ce type de projet « anachronique » sur leur territoire.Ne disposant pas de moyens juridiques d'empêcher la construction, les élus ont tenu à montrer leur désapprobation avec un vote symbolique de trois vœux non contraignants pour demander l'abandon du chantier.Les vœux des groupes LR et MoDem, demandant de différer le départ de la construction dans l'attente du PLU bioclimatique de 2024, ont été adoptés sans majorité absolue, le groupe Les Verts souhaitant un barrage plus ferme.Cette opposition, dont le manque de solidarité montre bien le clivage crée par le projet de la Tour Triangle, cherche surtout à montrer la désapprobation symbolique des élus mais certains comme Emile Meunier du groupe EELV attendent des mesures plus concrètes de Mme Hidalgo, comme déposer « une délibération au prochain conseil pour annuler cette aberration écologique ».Si la conseillère Fatoumata Koné assure que « la mobilisation va continuer », notamment avec une action prévue devant le siège d'Axa qui finance le projet, le bailleur URW annonce de son côté que le chantier démarrerait d'ici janvier 2022 pour s'achever à l'horizon 2026.
Il y a 3 ans et 207 jours

Au Clos Lucé, dans une halle réhabilitée par Chaix et Morel, l'esprit de Leonard de Vinci toujours bien vivant

Parce qu'ils offrent une visibilité certaine aux architectes qu'ils distinguent, les prix de l'Équerre d'argent et de la Première Œuvre participent de la reconnaissance de la place des femmes dans la profession. La rédaction d'AMC a dépouillé au filtre du genre les dossiers candidats en 2021, afin de prendre la mesure […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 209 jours

Au Japon, une ancienne maison close restaurée pour sa beauté

Et pourtant, ce complexe richement décoré datant de l'ère Taisho (1912-1926) est l'âme historique du quartier: il était à l'origine une luxueuse maison close."La majeure partie de l'architecture japonaise d'il y a un siècle ou plus a brûlé durant les bombardements de la Seconde Guerre mondiale ou dans des incendies", souligne Shinya Hashizume, professeur d'histoire de l'architecture à l'université du département d'Osaka."Les anciens bâtiments de maisons closes ont très rarement survécu", ajoute M. Hashizume lors d'une visite sur place avec l'AFP. Aussi ce lieu "est important car il est resté pratiquement intact".Depuis des décennies, le bâtiment à deux niveaux de près de 400 m2 héberge un restaurant appelé Taiyoshi Hyakuban. Il comprend des dizaines de salles de style japonais comme occidental autour d'une cour intérieure accueillant un jardin japonais traditionnel, avec une passerelle rouge en demi-lune, une mare et des rochers.Deux imposantes pierres se dressent dans la cour, une référence au yin et au yang, aux pôles féminin et masculin.Les plafonds et les portes coulissantes de nombreuses chambres sont décorées de fresques peintes pleines de raffinement: fleurs, oiseaux, rivière avec le Mont Fuji, déesses dansant ou jouant de la musique...Financement participatifLa nuit, les façades du bâtiment ont encore fière allure, avec son élégante balustrade à l'étage, doucement éclairée par des lanternes rouges suspendues.Mais la lumière du jour révèle crûment les affres du temps, le bois qui se fissure, les peintures qui s'écaillent.Le site est classé de longue date comme un "bien culturel matériel", mais cette reconnaissance officielle de son importance historique n'a pas été accompagnée de fonds publics pour le sauvegarder.Le propriétaire du restaurant prévoyait depuis longtemps des travaux de rénovation, mais ses finances ont été durement affectées par la pandémie, comme tout le secteur de l'hôtellerie-restauration au Japon.Aussi un collectif d'agents immobiliers et d'urbanistes locaux a lancé une campagne de financement participatif en ligne pour lever 15 millions de yens (plus de 113.000 euros)."On craignait que la rénovation devienne impossible si on attendait et laissait encore le bâtiment se détériorer pendant dix années supplémentaires", explique à l'AFP Keisuke Yotsui, l'un des membres du collectif.Contre l'oubliLe quartier de Tobita-Shinchi, où est situé le restaurant Taiyoshi Hyakuban, est un quartier de prostitution historique d'Osaka, qui comptait des centaines de maisons closes il y a un siècle.Quand la prostitution a été interdite au Japon à la fin des années 1950, beaucoup de ces maisons ont poursuivi leur activité en contournant la loi, par exemple en faisant payer aux clients la chambre au lieu de la passe.Et la pratique perdure: "Hé monsieur, pourquoi ne t'arrêterais-tu pas?" lance une vieille maquerelle dans la nuit, à côté d'une jeune femme prenant la pose à deux pas du restaurant.L'appel aux dons pour un établissement autrefois malfamé a indigné certains internautes, notamment des femmes, raconte M. Yotsui."Ce quartier vit avec une histoire sinistre" mais il ne s'agit pas de l'édulcorer ni de l'oublier, estime le professeur Hashizume.La campagne de financement participatif a finalement dépassé son objectif initial en récoltant cet été près de 19 millions de yens (144.000 euros), et les travaux de rénovation viennent de commencer.Le quartier de Tobita-Shinchi pourrait bientôt s'embourgeoiser: un immense hôtel de luxe doit notamment ouvrir ses portes au printemps prochain à proximité.Si le bâtiment historique du Taiyoshi Hyakuban disparaissait, "nous n'aurions plus aucun moyen de nous rappeler et d'apprendre à quoi cet endroit ressemblait autrefois", souligne M. Yotsui.Le site internet de la campagne pour sa sauvegarde propose une remarquable visite virtuelle du site en 3D (https://micro-heritage.jp/hyakuban).
Il y a 3 ans et 209 jours

Claude Lefrançois et l’habitat de demain : « tirons parti de ce qui existe ! » #BGT 019

Quelle est la vision d’un des référents français en matière d’éco-construction, Claude Lefrançois, sur l’habitat de demain ? Réponse en interview vidéo lors du Build Green Tour 2021. Lors de mon séjour chez Claude Lefrançois dans l’Allier (FR-03), nous avons abordé précédemment sa formation d’habitologue et son dernier livre sur « les clés du confort thermique écologique ». […]
Il y a 3 ans et 210 jours

L'ex-adjoint d'Hidalgo à l'urbanisme de la mairie de Paris démissionne d'une mission pour Novaxia

M. Missika, adjoint à l'innovation lors du deuxième mandat de Bertrand Delanoë (2008-2014), puis à l'urbanisme lors du premier mandat d'Anne Hidalgo (2014-2020), a démissionné en raison d'un "problème déontologique majeur, un conflit d'intérêt pouvant le cas échéant devenir un problème pénal", a déclaré jeudi à l'AFP le président de la commission Yves Charpenel.La commission, qui a rendu son avis les 3 et 5 novembre, avait été saisie "toute fin octobre" par Anne Hidalgo "à la suite d'informations parues", a indiqué M. Charpenel.L'opposante LFI Danielle Simonnet avait dénoncé dans un communiqué le "pantouflage" - action, pour un fonctionnaire, de quitter le service public pour le privé - du "rédacteur du programme d'Anne Hidalgo" en 2014 et 2020, et "artisan de la braderie d'un tiers de hôpital Hôtel-Dieu au profit de cette entreprise de l'immobilier Novaxia".Une fois l'avis rendu, M. Charpenel s'est entretenu avec M. Missika qui "a immédiatement démissionné, avant de prendre ses fonctions" et donc d'être rémunéré.Pour l'ancien premier avocat général près la cour de Cassation, il s'agissait d'un "conflit d'intérêt évident" puisque M. Missika "avait participé lui-même à des délibérations sur ces sujets-là et notamment à l'égard de la société Novaxia".Le "droit de suite" prévu par la loi oblige tout agent public, pendant les trois années qui suivent la fin de ses fonctions, à "indiquer ses projets professionnels pour vérifier qu'ils ne sont pas en contradiction avec les principes déontologiques qui régissent la vie publique", rappelle M. Charpenel.Contacté par l'AFP, l'ancien élu dit se sentir "sali", reconnaissant avoir commis "une erreur" dans une "zone grise" mais pas de "faute" sur le plan légal."Un comité de mission, c'est une structure totalement indépendante de l'entreprise, chargée de surveiller que cette entreprise remplit bien les missions d'intérêt général qu'elle s'est fixées, donc on est à des années-lumière du marché de l'immobilier. C'est la raison pour laquelle j'ai pensé que cela ne posait pas de problème", a-t-il expliqué"J'ai eu tort, j'aurais dû consulter la commission de déontologie et je me suis retiré instantanément de ce comité", a encore fait valoir l'ancien adjoint, qui devait pour cette activité recevoir "une indemnité de quelques centaines d'euros".
Il y a 3 ans et 210 jours

Confort, sécurité et nature : les besoins des Français en termes de logement décryptés

IMMOBILIER. Un long sondage d'OpinionWay pour l'Observatoire national du cadre de vie montre les attentes des Français concernant leur lieu d'habitation. Habiter dans un logement calme fait partie de leurs priorités, tout comme avoir accès rapidement au cabinet d'un médecin généraliste.
Il y a 3 ans et 210 jours

L'Observatoire national du Cadre de Vie dévoile les résultats de son tout premier Baromètre annuel

L’Ordre des géomètres-experts, le Conseil national des architectes, l’OPQU, l’UNAM, l’Association des Interprofessionnelle des écologues, et la Fédération des SCOT accueillent les acteurs des collectivités ce 17 novembre pour leur présenter les résultats de cette vaste enquête réalisée par l’institut OpinionWay. En 2019, déjà, l’ONCV avait réalisé une première enquête pour comprendre comment les Français percevaient leur cadre de vie et quels étaient leurs principaux facteurs de satisfaction chez eux ou au travail. Deux ans plus tard, et à l’aune de la pandémie, la première édition du « Baromètre annuel du Cadre de Vie »* vient donner de nouveaux indicateurs sur les attentes et les souhaits des Français en la matière. Réalisée auprès d’un échantillon de plus de 1.000 personnes, représentatif de la population, cette enquête permet de suivre le rapport des Français à leur cadre de vie en fonction de leur région, leur lieu d’habitation(agglomérations, villes moyennes et communes rurales), leur âge et leur catégorie socio-professionnelle. Le Baromètre est segmenté en 3 parties : « le cadre de vie actuel », « le souhait de changer de cadre de vie » et « les avantages et les inconvénients perçus de vivre en centre-ville ou en périphérie ». Ainsi, le Baromètre révèle qu’un Français sur quatre compte déménager dans les cinq ans. Un résultat impressionnant qui concerne principalement les actifs (40%) et les habitants d’Ile-de-France (45%). L’échéancier est par ailleurs très court, alors que deux tiers de ces personnes prêtes à passer à l’acte estiment qu’un accès au télétravail pourrait même accélérer leur projet de déménagement. Au total, 41% des personnes interrogées indiquent vouloir s’installer à la campagne, 41% en périphérie des villes et 27% vers du centre-ville ; les actifs sont les plus nombreux à souhaiter partir en zone rurale, surtout chez les jeunes adultes (47% chez les 25-34 ans). Les résultats montrent également une volonté de passer directement du centre-ville à la ruralité, sans passer comme auparavant par la couronne d’une grande ville.En matière d’éléments qui font la qualité du cadre de vie, les enjeux de surface d’habitation sont étonnamment largement dépassés par le bruit, la pollution et l’accès à la nature. La proximité avec des services et des commerces et la volonté de réduire les temps de trajets sont également des facteurs avancés par les personnes interrogées. Enfin, 85% des personnes qui souhaitent déménager indiquent ne pas faire de leur lieu de travail un critère déterminant et 92% des Français envisageant de devenir néoruraux déclarent ne pas avoir peur de s’intégrer.Bruno Jeanbart, Vice-Président d’OpinionWay, a présenté ces résultats sur le stand de l’Ordre des géomètres-experts : « Sans doute faut-il attendre de voir si ces projets de déménagement seront mis à exécution, mais l’appétence pour un meilleur accès à des espaces de nature est indéniable ».
Il y a 3 ans et 210 jours

Production de tuiles : "Le problème majeur, ce sont nos coûts de gaz et d'électricité"

COUVERTURE. L'usine Edilians de Phalempin, dans le Nord, bénéficie du plan de modernisation de plus de 3,5 millions d'euros mis en place par le groupe spécialisé dans la fabrication de tuiles pour mettre aux normes son outil de production. Olivier Lafore, le directeur marketing, communication et service après-vente d'Edilians revient avec Batiactu sur ces investissements mais aussi sur les problématiques de hausse des prix - particulièrement ceux de l'énergie - et de difficultés de recrutement.
Il y a 3 ans et 210 jours

Ligno Trend: Bois lamellé-croisé configurable

Des constructions saines et durables en bois lamellé-croisé LIGNO® Économie d’énergie, préservation des ressources fossiles, qualité élevée et constante :… Cet article Ligno Trend: Bois lamellé-croisé configurable est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 210 jours

Les travaux publics franciliens retrouvent le chemin de la croissance

CONJONCTURE. La Fédération régionale des travaux publics d'Ile-de-France a tenu son assemblée générale le 17 novembre 2021. Après une année de récession, 2021 signera le retour à la croissance.
Il y a 3 ans et 210 jours

Face à l'urgence climatique, 73% des Français prêts à soutenir des mesures écoénergétiques obligatoires

Ce rapport inclut un sondage réalisé par OnePoll auprès de 14.000 personnes dans sept pays en Europe (Danemark, France, Pologne, l’Allemagne, Italie, Royaume-Uni) et aux Etats-Unis*. Ce dernier témoigne d’un consensus international sur la question de la rénovation énergétique. Tous s’accordent sur la nécessité de passer à l’action.Le PDG du Groupe ROCKWOOL, Jens Birgersson, déclare : « C’est peut-être un cliché mais c’est aussi une vérité : l’énergie la moins chère, la plus propre et la plus sûre est celle que nous n’utilisons pas. Les leaders mondiaux doivent se rappeler que les idées sont bon marché mais que l’énergie est chère. Si nous priorisons la rénovation, nous envoyons un message clair : nous investissons dans l’avenir des personnes et de notre planète. Et c’est une formule gagnante sur laquelle nous pouvons agir maintenant. »Consensus international sur la nécessité de la rénovation énergétique des bâtimentsSous conditions de bénéficier d’un accompagnement et de conseils appropriés, 79% des personnes interrogées (vs. 70% en France) procéderaient à la rénovation de leur logement.Par ailleurs, une large proportion des sondés (73% au niveau global et 75% en France) estime que l’amélioration énergétique des bâtiments devrait être obligatoire à condition qu’un soutien financier et administratif soit disponible.A qui revient la facture de la rénovation énergétique ?62% (vs. 64% en France) des personnes sondées considèrent que la responsabilité sociale de rendre les logements plus respectueux de l’environnement incombe aux individus, à condition que les gouvernements facilitent davantage l’accès aux financements déjà disponibles pour les propriétaires de logements. 51% d’entre eux (vs. 47% en France) citent le budget comme le principal obstacle à la rénovation et 53% (vs.51% en France) pensent que les gouvernements doivent soutenir la rénovation des logements avec des subventions ou des prêts.A noter qu’en France des dispositifs d’aides de l’Etat, dont la principale MaPrimeRénov’, proposent un accompagnement financier. Preuve que la France est en avance en offrant d’ores et déjà des mesures adaptées pour les particuliers, en fonction de leurs revenus.Jens Birgersson poursuit : « L’argent n’est pas le problème. Même s’il y aura toujours un débat sur les coûts de l’action climatique – et, espérons-le également, sur les coûts de l’inaction - le fait est qu’il y a suffisamment d’argent pour les rénovations de bâtiments et d’autres investissements verts. Et la rénovation, en soi, ne relève pas de la recherche fondamentale. Elle nécessite l’utilisation de matériaux et de pratiques de construction bien connus. C’est un grand avantage. La question est de connecter sources de financement et projets de terrain et de s’assurer de disposer de la main-d'œuvre qualifiée ».Le manque d’information, ennemi de la transition énergétiqueAlors même qu’ils estiment que le prix est le principal frein à rénovation énergétique de leur logement, 30% des Français ne sont toujours pas conscients des avantages financiers liés à l'amélioration de l'efficacité énergétique de leur logement. Seulement 11% des Français se déclarent suffisamment informés sur la façon de demander une aide financière, où trouver des conseils et des artisans qualifiés. En outre, certains éprouvent un sentiment de crainte face à des artisans non qualifiés (25%) ou à une installation insuffisante (21%).Bien conscient de ces freins, ROCKWOOL a développé des outils tels que le système de visualisation 3D qui aide les particuliers à mieux comprendre la rénovation ou encore une plateforme interactive de conseil qui permet aux particuliers d’être mis en relation avec des artisans RGE recommandés. Face aux besoins et aux craintes exprimés, il faut aller plus loin. ROCKWOOL et Cambridge Econometrics encouragent les décideurs politiques à développer les programmes de rénovation à long terme pour accompagner les fabricants dans la planification de leur production et la formation des installateurs, mais également pour inciter la collaboration avec les banques pour allier subventions publiques et prêts à faible taux d'intérêt afin de faciliter les démarches des ménages.Jon Stenning, Associate Director chez Cambridge Econometrics, déclare : « La rénovation de l’environnement bâti est un défi clé sur la route de la décarbonation de nos économies. L’enquête menée auprès des consommateurs pour ce rapport montre leur fort appétit envers la rénovation mais aussi la nécessité d'en faire beaucoup plus pour connecter financement et projets de rénovation. Une politique bien conçue peut jouer un rôle majeur en rassemblant l’ensemble de la chaîne de valeur, en assurant le ciblage des ressources et en contribuant à renforcer la capacité et l’intérêt au niveau local afin de garantir les avantages liés à la rénovation énergétique ».*Sondage OnePoll, réalisé du 16 au 27 septembre 2021, dans 7 pays. Panel représentatif France : 2000.
Il y a 3 ans et 210 jours

Framery One: connectée, durable, conçue pour les espaces de travail de demain

Des solutions fonctionnelles, à la pointe de la technologie acoustique et en phase avec des valeurs de durabilité – voilà… Cet article Framery One: connectée, durable, conçue pour les espaces de travail de demain est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 210 jours

Le logement collectif reste à l’écart de la reprise économique selon les promoteurs

Au T3, les ventes de logements neufs marquent le pasDepuis le début de l’année 2021, les ventes étaient favorables en tendance par rapport à une année 2020 très faible, mais elles étaient préoccupantes en niveau, car toujours nettement inférieures aux années antérieures. Au T3 2021, cet effet mécanique de rattrapage ne joue pas, et les ventes sont de nouveau en baisse par rapport à 2020, de -3%.Pourtant, les fondamentaux de la demande restent bons : le revenu des ménages progresse, les conditions de l’accès au crédit restent favorables et le logement neuf est plus attractif que jamais. Les raisons de la faiblesse de la reprise dans notre secteur ne sont pas à rechercher du côté de la demande, mais du côté de l’offre, trop contrainte.Pour Pascal Boulanger, Président de la FPI France : « Les clients sont bien là, mais les difficultés que nous rencontrons pour lancer les programmes attendus par les ménages pèsent sur les ventes. La France se prive ainsi d’un puissant levier de croissance économique ; elle se prive également d’un accélérateur de la transformation des villes, vers un modèle plus vert, plus agréable et plus abordable. »Le besoin de renouer avec l’ambition d’une France « pays bâtisseur »Le bon indicateur de la dynamique de production de la promotion immobilière, ce sont les mises en vente, qui alimentent le marché. Or comme les ventes, elles ont fortement baissé entre 2019 et 2020, puis mécaniquement connu un rebond au S1 2021, avant de baisser de nouveau au T3 2021 (-5%) : le coup d’arrêt de la reprise est donc net. La faiblesse de la production s’explique d’abord par celle des autorisations : en rythme annuel, les maires autorisent aujourd’hui 50 000 logements collectifs de moins qu’en 2017. Si la reprise nous échappe, c’est donc le résultat d’un choix collectif implicite et subi, celui de la rareté du neuf dans les villes attractives.Pour Pascal Boulanger, Président de la FPI France : « Il ne faudrait pas faire aujourd’hui un mauvais procès au logement collectif neuf. Dans les faits, il est vertueux sur le plan environnemental car sobre en foncier ; il améliore la qualité de vie des urbains et contribue à contenir la hausse des prix. Les promoteurs de la FPI travaillent chaque jour à adapter leurs logements à l’évolution de la demande des ménages et aux attentes des élus locaux. La reprise ne sera pas possible sans l’appui des pouvoirs publics pour redonner au logement neuf toute sa place. La Commission Rebsamen est un premier pas dans la bonne direction, mais beaucoup reste à faire pour relancer une industrie qui, entièrement domestique, n’a pas besoin de "relocalisation" ! ».
Il y a 3 ans et 210 jours

CONSTRUCTION HORS SITE

Véritable opportunité pour le secteur de la construction, l'approche hors site s'inscrit pleinement dans la logique de performance recherchée par la RE2020. Et c'est aussi un univers qui se porte bien !
Il y a 3 ans et 210 jours

L’envers du béton

“L’envers du béton”, un documentaire à voir sur France 5, le dimanche 5 décembre, à 20 h 55.[©France Télévisions] Le béton est-il aussi pérenne que l’on l’imagine ? Dimanche 5 décembre prochain, à 20 h 55, France 5 diffuse “L’envers du béton”, un documentaire signé Frédéric Biamonti et Alain Duval, qui pose cette question. L’effondrement du pont Morandi, à Gênes, le 14 août 2018, en constitue le point de départ. La catastrophe a fait 43 victimes. Quelle en est la cause ? Est-ce intrinsèquement la qualité du béton ou plutôt une quasi-absence d’entretien qui a conduit à la ruine de l’ouvrage ? Christian Tridon, président du Strres1, indique, dans une interview accordée à Béton[s] le Magazine2, que : « Cet ouvrage était très particulier dans sa conception et demandait un suivi très précis et poussé, qui, visiblement, n’avait pas été mis en place ». Lire aussi : Strres : « Il faut mettre en place un carnet de maintenance des ponts » Oui, le béton armé n’est ni éternel ni immuable. “L’envers du béton” le rappelle très bien et à juste titre. Même si, à une certaine époque, des architectes, des maîtres d’ouvrage, des politiques ont pu le croire. Un jugement qui a sans doute conduit à négliger la nécessité de l’entretien des ouvrages en béton armé. Mais ce constat est tout aussi vrai, quel que soit le matériau utilisé…  L’argent manque pour l’entretien La commune d’Avril-sur-Loire, dans la Nièvre, est accessible par un unique pont… [©France Télévisions] L’acier est le constituant secondaire du béton. Il donne son nom au matériau final qu’est le béton armé. Il est à la fois l’élément qui permet d’en tirer la quintessence, tout en étant le point faible du béton. Car mis en contact avec l’eau ou l’humidité de l’air, l’acier se corrode. Cette réaction crée une expansion qui aboutit à l’éclatement du béton et à la ruine de l’ouvrage, si rien n’est fait. C’est une réaction en chaîne.  On en revient donc toujours au même constat : le béton armé doit être entretenu, réparé, protégé de l’humidité, des intempéries pour empêcher l’acier qui constitue son armature de rouiller. Mais cette action a un coût et, visiblement, l’argent manque. Qu’il s’agisse des deniers de l’Etat, des fonds municipaux et des revenus des particuliers propriétaires de leur logement… “L’envers du béton” interroge aussi sur le devenir du béton. S’il a été le matériau du XXe siècle, sera-t-il celui du XXIe siècle ? D’une manière parfois abusive, le béton est accusé de tous les maux. En particulier d’épuiser les ressources en sable. Mais en est-il l’unique consommateur ?  Entre raréfaction des ressources et empreinte carbone A Marseille, cette tour d’habitations est très dégradée, faute d’entretien… [©France Télévisions] Une rapide recherche sur Internet suffit pour se rendre compte que le champ d’emploi du sable ressemble à une liste à la Prévert. Il est présent dans l’électronique pour fabriquer les micro-processeurs, en fonderie de métaux pour réaliser des moules. Il est la matière première du verre. On l’emploie pour filtrer les liquides, les gaz ou l’air. C’est un formidable abrasif industriel. L’effet délavé des jeans est le fait d’un sablage haute pression. Certains sables peuvent aussi être utilisés en amendement de terres agricoles…  Lire aussi : Strres & IMGC : Un inventaire des ponts à la Prévert Et l’industrie cimentière dans tout ça ? Le processus de fabrication est abordé dans le documentaire, avec une conclusion, implacable : “la production de 1 t de ciment génère 1 t de CO2”. Un résultat un peu trop arrondi, car augmentant le poids émis de près de 25 % par rapport aux valeurs constatées aujourd’hui en France. De la même manière que certains, dans le passé, considéraient le béton comme éternel, d’autres de nos jours estiment le ciment plus polluant qu’il ne l’est. D’autant que l’industrie cimentière s’est engagée depuis les années 1990 dans une démarche de réduction de son empreinte carbone3. Avec pour objectif, la neutralité en 2050. Cet aspect n’est hélas pas expliqué dans le film, alors qu’il fait aussi partie de l’envers du béton !  “Le bon matériau au bon endroit” Le béton armé a donc bel et bien fini son temps ? Entrons-nous dans l’ère du bois ? Pourquoi pas ! Ce matériau n’est pas nouveau. Les anciens l’ont utilisé durant des siècles pour construire des maisons, des ponts, des édifices. Un mur en bois lamellé-collé est aussi solide qu’un mur en béton banché. Lire aussi : Le Strres alerte aussi sur l’état des ponts de France Mais là doit se poser la question de la durabilité. Si le bois n’est pas protégé de l’humidité et des champignons, il ne risque certes pas de rouiller, mais il va pourrir. S’il ne bénéficie pas d’un traitement insecticide, il fera le régal des mérules, termites et autres capricornes. Et qu’en est-il de la sécurité au feu ? Jusqu’à preuve du contraire, le bois brûle. L’incendie de la charpente de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris nous l’a rappelé d’une manière aussi spectaculaire et tragique que l’effondrement du pont Morandi.  Trop longtemps, les matériaux ont été opposés les uns aux autres. “Après moi, le déluge” doit désormais appartenir au passé. Aux acteurs de la construction de prôner aujourd’hui la politique du “bon matériau au bon endroit”, au-delà des effets de mode. Frédéric Gluzicki 1Syndicat national des entrepreneurs spécialistes de travaux de réparation et de renforcement des structures.2Lire Béton[s] le Magazine n° 97 – Novembre/Décembre 2021, p. 23.3Lire Béton[s] le Magazine n° 96 – Septembre/Octobre 2021, p. 26.
Il y a 3 ans et 210 jours

3 bonnes raisons de faire un ravalement de façade

Le ravalement de façades est un entretien obligatoire à faire. Mais en plus, il s’agit également d’une rénovation afin de raviver la beauté extérieure de votre maison. Faire des travaux de ravalement de façades fait partie des travaux de rénovation indispensables pour une maison. En revanche, il y a encore de nombreux propriétaires qui se demandent sur les éléments qui doivent leur pousser à ravaler la partie extérieure de leur maison. On peut aussi remarquer que la plupart se reculent face aux dépenses que cela pourrait engendrer. Mais si la réalisation des travaux de ravalement de façades demande un certain budget, il faut aussi savoir qu’un tel chantier peut bénéficier d’aides financières. Découvrez les 3 bonnes raisons qui motivent les propriétaires à faire un ravalement de façade. Les murs extérieurs de la maison se détériorent ou sont moins esthétiques L’aspect esthétique est généralement la raison principale qui pousse les propriétaires à faire des travaux de ravalement de façade. Pour cela, ils font appel à un artisan façadier expérimenté pour réaliser les opérations. Mais au fil des années, il arrive que les murs extérieurs s’altèrent malgré les conditions météorologiques ainsi que l’usure liée au temps. À cause des salissures, des fissures, de la mousse ou des autres types de défauts, les façades extérieures peuvent se dégrader. Un ravalement de façade peut vous aider à redonner de l’esthétique ainsi qu’un coup de jeune à votre façade dégradée. En fonction de l’alternative choisie, vous allez pouvoir choisir l’aspect, la texture ainsi que la couleur idéale et adaptée à votre goût afin d’avoir la finition recherchée. En tout cas, ce type de travaux vous sera bénéfique surtout si vous avez un projet de revente de votre bien plus tard. Bien évidemment, une maison bien entretenue est toujours plus attirante et plus intéressante. En revanche, avec un ravalement de façades détérioré, votre chance de conclure la vente de votre bien sera moindre. Ravaler la façade pour rénover l’isolation de sa maison L’isolation thermique de votre maison peut également être une raison valable pour procéder à des travaux de ravalement de vos façades. De plus, c’est l’occasion parfaite pour rénover votre isolation thermique. Par la même occasion, vous pouvez opter pour une nouvelle isolation thermique par l’extérieur en effectuant la pose de matériaux isolants sur vos façades. Il ne faut pas non plus oublier que la pose d’une ITE pendant un ravalement de façade vous aidera à économiser en matière d’énergie et donc, en économies financières. Ces épargnes sont variables selon la technique que vous avez sélectionnée. Optimiser la longévité de sa maison Réaliser des travaux de ravalement de façade peut également vous aider à faire une réparation ou une rénovation de toutes les imperfections pouvant être dangereuses pour votre maison. Vous pourrez par exemple vous occuper des fissures actives qui peuvent détériorer encore plus vos façades. D’ailleurs, cela vous permettra également d’éviter toutes les infiltrations d’eau qui vont fragiliser votre maison et ainsi menacer la partie intérieure de votre habitation. Décider de faire des travaux de ravalement au bon moment sera également un moyen d’éviter de grands travaux pour plus tard. Il faut dire qu’un ravalement de façade de façon régulière peut s’avérer être une assurance d’une meilleure durée de vie pour votre maison.
Il y a 3 ans et 210 jours

De plus en plus d’avantages pour le logement intermédiaire, de plus en plus de contraintes sur le logement social

Il ne s’agit pas de remettre en cause l’utilité du logement intermédiaire comme l’a rappelé à la tribune du congrès HLM Marcel Rogemont, président de la FOPH mais seulement de comparer les avantages des uns et des autres.Rappelons que le logement intermédiaire échappe à la RLS (réduction de loyer de solidarité qui pèse lourdement sur les bailleurs sociaux) et au contrôle de la surcompensation des aides d’État aux organismes HLM qui entraînera un prélèvement supplémentaire sur les bailleurs. En outre, il y a lieu de craindre l’éviction du logement social de certains territoires au bénéfice du LLI avec la suppression de la contrainte d’intégrer au moins 25% de LLS dans chaque ensemble immobilier comprenant des logements intermédiaires, amendement adopté par l’Assemblée nationale le 10 novembre 2021. Enfin, soulignons que les loyers du LLI sont deux fois supérieurs à ceux du PLUS.Le Gouvernement, par la voix du Premier ministre lors du congrès HLM, a annoncé vouloir transformer l’exonération de 20 ans de la TFPB à la charge des collectivités locales en crédit d’impôt équivalent à la charge de l’État. Alors même que l’État accepte de baisser ses rentrées fiscales pour dynamiser la production de logements intermédiaires, pourquoi refuse-t-il de baisser ses rentrées fiscales pour favoriser la construction de logements sociaux en revenant à une TVA à 5,5% sur le PLUS, voire le PLS, lorsque nous comptons plus de 2 millions de personnes en attente d’un logement HLM en France.« Pourquoi les aides de l’État au LLI sont-elles supérieures à celles du PLUS alors que les loyers y sont deux fois supérieurs ? Que doit-on en conclure sur la politique actuelle ? Le logement HLM est-il toujours une priorité ? Il est permis d’en douter fortement » s’interroge Marcel Rogemont, président de la Fédération des Offices Publics de l’Habitat.
Il y a 3 ans et 210 jours

Antoine Dupont devient l’ambassadeur du groupe Sika France

Antoine Dupont, la nouvelle star du rugby français, devient l’ambassadeur de Sika France. [©Sika] Spécialiste dans le secteur de la construction, Sika France vient de signer un partenariat avec Antoine Dupont. Vous ne rêvez pas, le demi de mêlée du Stade Toulousain devient l’ambassadeur de la marque et de Parexlanko. Du haut de ses 25 ans, le joueur français s’inscrit pleinement dans les ambitions de l’industriel. « Nous l’avons choisi pour les valeurs qu’il prône et que nous partageons, affirme Pascal Malafosse, directeur général de Sika France. Il incarne l’excellence, la créativité, l’esprit d’équipe, le leadership. Nous appelons cela le “Sika Spirit”. »  Lire aussi : Sika acquiert MBCC Group (ex-BASF CC) pour un montant de 5,2 Md€ En tant qu’ambassadeur, Antoine Dupont sera présent aux côtés du groupe jusqu’au 31 décembre 2023. D’ailleurs, la nouvelle étoile montante du rugby ne cache pas son plaisir de rejoindre le groupe. « C’est un grand honneur pour moi de devenir l’ambassadeur de Sika et de ses marques, déclare Antoine Dupont. J’ai été séduit par ce projet en raison de nos valeurs communes. » 
Il y a 3 ans et 210 jours

Le hors-site avance doucement mais sûrement

Selon un baromètre sur le hors site publié par Batimat, Campus Hors-Site, avec le soutien du PIA, et TBC Innovations, le hors-site poursuit son développement en France mais reste encore loin des performances enregistrées dans les principaux pays européens.
Il y a 3 ans et 210 jours

Clermont-Ferrand : 12 projets lauréats pour la deuxième édition du budget participatif

Les habitants de Clermont-Ferrand ont sélectionné 12 projets qui seront par la suite financés dans le cadre du budget participatif.
Il y a 3 ans et 210 jours

Pas de durcissement des règles du télétravail en vue à ce stade assure le gouvernement

"Nous n'envisageons pas aujourd'hui de renforcer les règles sur le télétravail", a fait savoir le ministère, arguant que "la situation n'est pas la même qu'au printemps dernier", avec "aujourd'hui 90% des adultes qui sont vaccinés".Le ministère met aussi en avant le "protocole sanitaire strict qui s'applique en entreprise, avec le port du masque obligatoire dans tous les espaces de travail clos et partagés ainsi que le respect des gestes barrières".Dans une interview à l'Opinion.fr, la ministre du Travail, Elisabeth Borne, a évoqué jeudi un protocole "exigeant", déplorant "un certain relâchement ces derniers mois notamment sur le port du masque". "Il faut que chacun se remobilise", a-t-elle insisté, ajoutant que les contrôles de l'inspection du travail seraient renforcés sur le respect du protocole.Depuis septembre, ce document de référence pour assurer la santé et la sécurité des salariés et la poursuite de l'activité économique face au Covid-19 ne prévoit plus de jour minimal de télétravail. Il prévoit que "les employeurs fixent, dans le cadre du dialogue social de proximité, les modalités de recours" au télétravail.Aménagé à plusieurs reprises, le protocole avait notamment imposé pendant plusieurs mois le télétravail comme une règle à compter d'octobre 2020 précisant qu'il devait être "porté à 100% pour les salariés qui peuvent effectuer l'ensemble de leurs tâches à distance".Selon les dernières données de la Dares, 21% des salariés ont été au moins un jour en télétravail au cours du mois de septembre. Les salariés concernés par le télétravail ne sont plus que 8% à avoir télétravaillé tous les jours de la semaine (soit 2% de l'ensemble des salariés). Les entreprises qui imposent au moins un jour de télétravail par semaine ne représentent plus que 10% de salariés (après 19% fin août).
Il y a 3 ans et 210 jours

Leborgne dévoile son nouvel huileur Nanovib

Leborgne dévoile son nouvel huileur de banches de la gamme Nanovib. [©Leborgne] Leborgne poursuit son engagement pour ses clients. Le spécialiste des outils pour professionnels élargit sa gamme Nanovib. L’industriel propose un nouvel huileur de banches à manche télescopique. Cet outil est destiné à améliorer les conditions de travail des compagnons. Sa conception s’appuie sur la méthode “Design Centré Utilisateur”, qui place les professionnels au centre du développement du produit. Pour ce faire, Leborgne a sollicité les conseils d’experts de la prévention, de l’OPPBTP, et de la SIST-BTP, entre autres. Un huileur plus pratique Par cette démarche, l’industriel a voulu se démarquer des produits traditionnels. En effet, l’huileur propose des caractéristiques plus pratiques. En premier lieu, sa largeur de 55 cm et sa portée allant jusqu’à 5 m permettent une répartition égale de l’huile de décoffrage sur les banches. Lire aussi : Leborgne : Burineur 30 % plus léger Cette dernière est appliquée sans surdosage. L’uniformisation de l’huilage offre une finition propre, lisse et homogène du béton. De plus, le manche léger et résistant de 2 à 3,50 m de long permet au professionnel de garder une bonne posture. Limitant ainsi les potentiels troubles musculo-squelettiques de l’épaule. Désormais, le recours aux plates-formes individuelles roulantes ne fait plus partie des projets de Leborgne…
Il y a 3 ans et 210 jours

PLF 2022 : la FFB relève du bon… et du moins bon

Au sortir de sa première lecture à l’Assemblée nationale, le projet de loi de finances pour 2022 affiche d’indéniables avancées pour le logement et la relance de la construction. La FFB salue la prise en charge par l’État des exonérations de taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) dans le logement social et intermédiaire, comme suggéré par la Commission Rebsamen, et de la prolongation jusqu’à fin 2023 du prêt à taux zéro (PTZ) en faveur de la primo-accession, de l’éco-PTZ qui vise à financer des travaux de rénovation énergétique et du « Denormandie », qui accompagne la reconquête des centres de villes moyennes. Elle se réjouit aussi de la prorogation jusqu’en 2022 du « Censi-Bouvard », en faveur de l’investissement locatif des particuliers dans les résidences pour étudiants et personnes âgées ou handicapées. Par ailleurs, la FFB acte la poursuite, jusqu’à fin 2024, de l’expérimentation du « Pinel breton », mais regrette que toute extension à quelques territoires volontaires ait été refusée. En revanche, la FFB déplore qu’une nouvelle fois, on « charge la barque » sur les exigences en « Pinel ». De fait, pour être éligible au dispositif à taux plein en 2023 et 2024, en plus de nouveaux critères de « qualité d’usage » déjà annoncés (superficie minimale par type, présence d’un espace privatif extérieur et double exposition à partir des T3), il faudra que le logement anticipe l’étape 2025 de la RE2020. Cette annonce entre en totale contradiction avec les clauses de revoyure qui ont été prévues pour s’assurer de la soutenabilité de cette nouvelle réglementation. Et aucune étude d’impact sérieuse ne mesure aujourd’hui le surcoût associé à toutes ces exigences cumulées, donc la capacité à faire. La FFB s’inquiète également que le retour de l’individuel groupé dans le champ du Pinel, proposé par le député Mickaël NOGAL, ait été refusé. Il s’agit pourtant d’une solution économe en foncier pour loger des familles dans ou à proximité des villes moyennes, aujourd’hui très recherchées. Enfin, alors que la crise des matériaux se trouve réalimentée par celle de l’énergie, les artisans et entrepreneurs du bâtiment ne comprennent pas que leur demande pressante de versement immédiat des éventuelles créances de carry back générée par un exercice 2021-2022 déficitaire soit refusée par le gouvernement. Il ne s’agit que d’une mesure de trésorerie, mais elle constitue une indispensable planche de salut pour certaines structures prises dans une tourmente qui les dépasse. Source : FFB  
Il y a 3 ans et 210 jours

PLF 2022 : la FFB relève du bon… et du moins bon

Au sortir de sa première lecture à l’Assemblée nationale, le projet de loi de finances pour 2022 affiche d’indéniables avancées pour le logement et la relance de la construction. La…Cet article PLF 2022 : la FFB relève du bon… et du moins bon est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 210 jours

Une offre globale pour augmenter la durée de vie des ouvrages béton

Le Centre d’Études et de Recherches de l’Industrie du Béton (Cerib) possède plus de 170 collaborateurs et un haut niveau d’expertise. Ses équipements d’essais des produits et matériaux du BTP se déploient sur 15 000 m2 de laboratoires. Le Centre exerce son activité entre essais et évaluations, études et recherches, normalisation et certification, appui technique et transfert de connaissances, et dispose d’un centre de formation. Le Cerib vient de lancer un nouveau service : Kairos. Le maintien de la continuité de service des ouvrages est un enjeu de taille pour tous les gestionnaires du patrimoine des bâtiments et des infrastructures. Diagnostic, prédiction et anticipation sont les trois impératifs requis pour assurer avec efficience leur gestion à long terme. L’offre globale de services KAIROS s’appuie sur un outil indispensable d’aide à la décision pour évaluer la durée de vie résiduelle des ouvrages et de leurs composants. À destination des maîtres d’ouvrage mais aussi des bureaux d’études et de contrôles, cette offre s’inscrit résolument en rupture avec les approches « réactives » traditionnelles de gestion des ouvrages, car basée sur des opérations de réparation mieux anticipées et donc économiquement plus maitrisées.
Il y a 3 ans et 210 jours

Le CCCA-BTP lance les Trophées de l’innovation du Winlab’

Le CCCA-BTP lance la première édition des Trophées de l’innovation du WinLab’. [©CCCA-BTP] Le Comité de concertation et de coordination de l’apprentissage du bâtiment et des travaux publics (CCCA-BTP) lance les Trophées de l’innovation du WinLab’1. Sous la responsabilité de Carine Seiler, haut commissaire au ministère du Travail, le concours est dédié à la formation professionnelle par l’apprentissage dans les métiers du BTP. Il a pour objectif de reconnaître, collecter, diffuser et répliquer les pratiques les plus innovantes développées en 2020 et 2021. L’évènement est ouvert à l’ensemble des organismes de formation et aux apprentis du BTP, ainsi qu’aux entreprises formatrices.  Le concours divisé en quatre catégories Les Trophées de l’innovation WinLab’ se déroulent en trois étapes, entre novembre 2021 et mars 2022. Chaque candidat peut présenter son projet sous la forme d’une courte vidéo avant le 31 décembre 2021. Lire aussi : CCCA-BTP : L’innovation au coeur de la formation Les participants peuvent s’inscrire dans l’une des quatre catégories du concours. A savoir : “Imaginer le CFA de demain”, “Développer l’attractivité des CFA”. Mais aussi “Anticiper l’évolution des métiers du BTP” ou “Décloisonner pour innover”.  L’innovation au cœur du BTP A l’heure où le secteur du bâtiment doit répondre aux nouveaux enjeux de la rénovation énergétique, de la décarbonation ou de la digitalisation, l’acquisition de nouvelles compétences est indispensable. Lire aussi : La FNTP et le CCCA-BTP unis pour la formation C’est pourquoi le concours vise à explorer les innovations issues des organismes des formations aux métiers du BTP. Il se focalise aussi sur la valorisation des solutions locales duplicables au niveau national. Enfin, le CCCA-BTP souhaite promouvoir les expérimentations menées par les organismes du BTP pour accroître l’efficience des parcours de formation. 1 Au sein du CCCA-BTP, le WinLab’ est un incubateur et un laboratoire d’innovations. Il a été créé dès 2017, suite à un concours d’idéations.
Il y a 3 ans et 210 jours

"Pas question" de délocaliser définitivement l'activité d'Ascoval en Allemagne, prévient Le Maire

"Je me suis battu avec beaucoup d'énergie, avec les syndicats, avec les ouvriers, pour sauver cette usine" et "il n'est pas question de délocaliser définitivement l'activité en Allemagne", a assuré M. Le Maire sur RMC.Des représentants des syndicats CGT et CFDT ont averti mercredi que l'aciérie Ascoval de Saint-Saulve (Nord) projetait de délocaliser temporairement 40% de sa production sur des sites allemands, à cause du prix de l'énergie.Sans confirmer, la direction de Saarstahl, propriétaire d'Ascoval depuis quatre mois, a fait état de l'explosion des prix de l'énergie, et admis qu'elle étudiait des "options temporaires" pour "limiter les effets négatifs" de ces hausses."Nous serons extrêmement vigilants à ce qu'Ascoval soit le moins impacté possible par la conjoncture", a réagi mercredi soir le ministère de l'Economie, précisant que des discussions étaient en cours avec l'entreprise."Nous travaillons à des solutions", a confirmé jeudi Bruno Le Maire, assurant qu'"Ascoval restera française" et qu'"il n'est pas question de la laisser tomber"."Ascoval est une magnifique usine, qui est le symbole de ce que peut être une aciérie décarbonée en Europe, donc il n'est pas question de la laisser tomber", a-t-il insisté.Un peu plus tôt, la ministre chargée de l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher, avait jugé "absurdes" les menaces de délocalisation vers des sites plus polluants, pour "une question ponctuelle de prix de l'électricité"."Le contrat qui lie l'aciérie d'Ascoval avec EDF va changer au 1er janvier, c'est-à-dire qu'il va être sur un coût d'électricité qui est stabilisé et donc ça va permettre de travailler", a souligné Agnès Pannier-Runacher sur Franceinfo.Elle a aussi fait valoir qu'Ascoval allait bénéficier d'aides publiques venant tout juste d'être votées dans le projet de loi de finances pour compenser la hausse de l'électricité aux entreprises très consommatrices, et "faire en sorte que le prix de la compensation carbone soit plus important cette année". "Plutôt que de rembourser la tonne de carbone (non émis, NDR) sur le prix 2020, on se base sur la réalité de la tonne carbone aujourd'hui", a-t-elle dit.Une réunion à Bercy jeudi soir avec SaarstahlDes responsables du sidérurgiste allemand Saarstahl vont participer jeudi soir à Bercy à une réunion de travail "afin que le maximum de production reste à l'usine Ascoval" de Saint-Saulve (Nord), dont l'activité est "temporairement" menacée par la hausse des coûts de l'électricité, a indiqué le ministère de l'Industrie."Nous recevons Saarstahl à Bercy pour une réunion de travail (...) l'état d'esprit est constructif" a indiqué une source au cabinet de la ministre chargée de l'Industrie Agnès Pannier Runacher.La direction de Saarstahl, propriétaire d'Ascoval depuis quatre mois, a admis mercredi qu'elle étudiait des "options temporaires" pour "limiter les effets négatifs" de l'explosion des coûts de l'énergie sur son activité.Selon la CGT et la CFDT, Ascoval, dont l'aciérie fonctionne à l'électricité et n'émet pas de CO2, projetterait dans ce cadre de délocaliser temporairement 40% de sa production vers des sites allemands, qui eux fonctionnent au charbon ou minerai de fer bien moins cher, et donc d'une meilleure compétitivité, même s'ils sont très émetteurs de CO2.Une telle décision, si elle était confirmée, aurait un impact sur "la majorité de l'effectif" d'Ascoval, qui serait forcé à de l'activité partielle au moins temporairement, admet-on à Bercy.
Il y a 3 ans et 210 jours

Un nouveau plateau TV Bati-Journal au salon BePositive 2021

À l’occasion du salon BePositive, qui se tiendra à Lyon du 14 au 16 décembre prochain, les équipes de Bati-Journal proposent une nouvelle édition de son plateau TV. Cet événement…Cet article Un nouveau plateau TV Bati-Journal au salon BePositive 2021 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 210 jours

Tout savoir sur les métiers du négoce des matériaux de construction

La Fédération des Distributeurs de Matériaux de Construction représente les distributeurs de matériaux et représente 1 200 adhérents, répartis sur 5 500 points de vente pour un chiffre d’affaires de 19 milliards d’euros. Elle lance le site internet de l’Observatoire des métiers du Négoce des matériaux de construction qui permet d’accéder en quelques clics à l’ensemble des ressources et travaux réalisés par l’Observatoire : fiches-métiers, certifications professionnelles, statistiques, études prospectives et actualités de la branche… Accueil
Il y a 3 ans et 210 jours

Tout savoir sur les métiers du négoce des matériaux de construction

La Fédération des Distributeurs de Matériaux de Construction représente les distributeurs de matériaux et représente 1 200 adhérents, répartis sur 5 500 points de vente pour un chiffre d’affaires de…Cet article Tout savoir sur les métiers du négoce des matériaux de construction est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 210 jours

Unilin reprend Panneaux de Corrèze

La société française Panneaux de Corrèze est reprise par Unilin Group. Entre croissance stratégique et implantation sur le marché français, le rachat permet d’augmenter la capacité de production de panneaux MDF du groupe international. Panneaux de Corrèze s’est récemment illustré par la sortie d’un panneau MDF utilisant une technologie biosourcée et brevetée de résine végétale et une fibre de bois 100% naturelle : Next. L’entreprise produit environ 150 000 m3 de panneaux MDF bruts et compte 110 collaborateurs. Unilin est connu à travers les marques : Quick-Step, Moduleo, Utherm, Pergo, Evola, Xtratherm ou ClicWall et fait partie de Mohawk Industries, la plus grande entreprise de revêtements de sol au monde, qui emploie 41 600 personnes, avec un chiffre d’affaires de 10 milliards de dollars.
Il y a 3 ans et 210 jours

Unilin reprend Panneaux de Corrèze

La société française Panneaux de Corrèze est reprise par Unilin Group. Entre croissance stratégique et implantation sur le marché français, le rachat permet d’augmenter la capacité de production de panneaux…Cet article Unilin reprend Panneaux de Corrèze est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 210 jours

Altarea annonce une augmentation de capital de 350 millions d'euros notamment pour l'acquisition de Primonial

L'acquisition de Primonial pour 1,9 milliard d'euros de valeur d'entreprise avait été officialisée en juillet.Altarea a confirmé jeudi dans un communiqué son intention de racheter le groupe en deux temps: "acquisition d'un bloc de contrôle de 60% au 1er trimestre 2022 et acquisition des 40% restants au plus tard à la fin du 1er trimestre 2024".L'augmentation de capital, avec maintien de droit préférentiel, se fera au prix de 143,75 euros par action nouvelle, soit une décote de 19,8% par rapport au cours de clôture de l'action mardi.L'opération doit débuter vendredi et se clôturera le 30 septembre, a précisé le groupe, ajoutant que les engagements de souscription reçus en couvraient déjà 83,6%, soit environ 292,6 millions d'euros."Mon groupe familial s'est engagé à participer à hauteur d'environ 169 millions d'euros", soit environ 48% de l'offre, a déclaré Alain Taravella, président fondateur d'Altarea, cité dans le communiqué.L'acquisition de Primonial "permettra de créer un leader indépendant de l'investissement et du développement immobilier en Europe", a-t-il ajouté.Groupe diversifié présent à la fois dans les commerces, les bureaux et le logement, Altarea a vu sa place grandir ses dernières années dans le paysage immobilier français, où il est désormais au coude à coude avec son concurrent Nexity."La croissance de notre groupe sera soutenue à la fois par la dynamique du marché de la transformation urbaine, où Altarea occupe déjà une position de leader, et par celle du marché de l'épargne immobilière, dont Primonial est l'un des plus importants et l'un des plus performants acteurs européens", a encore dit M. Taravella.Le groupe a par ailleurs annoncé jeudi son intention de proposer à son assemblée générale le versement d'un dividende de 9,75 euros par action (contre 9,50 euros en 2020) qui s'appliquera aux actions nouvelles émises.
Il y a 3 ans et 210 jours

Ouvêo devient Estémi et affirme ses ambitions de croissance externe

Le groupe fondé et dirigé par Jean-Luc Nouveau atteindra en 2021 63 M€ de chiffre d’affaires. Attaché à l’ancrage territorial de sa production, il vise des acquisitions stratégiques, en particulier en Rhône-Alpes.
Il y a 3 ans et 210 jours

Le financement de la LGV Bordeaux-Toulouse, doit être bouclé avant fin 2021

"Du côté des collectivités de la région Occitanie, les choses sont bouclées, pour la Nouvelle Aquitaine, les discussions se poursuivent ardemment car on est dans un calendrier serré", a déclaré mercredi à des journalistes le préfet coordinateur du projet et préfet de la région Occitanie Étienne Guyot.Le chantier d'environ 10 milliards d'euros sera financé à hauteur de 40% par l'État, 40% par les régions, communautés urbaines, départements d'Occitanie et de Nouvelle Aquitaine et 20% par l'Europe.La très grande majorité des collectivités se sont engagées à régler leur quote-part, mais le conseil départemental du Lot-et-Garonne traîne des pieds, bien qu'Agen figure parmi les villes desservies par le TGV.Le temps presse, souligne le préfet, car "l'ordonnance qui permettra de créer la société de financement doit être prise d'ici avril 2022, avec un plan de financement bouclé", et un passage préalable devant le Conseil d'État.Le maire écologiste de Bordeaux Pierre Hurmic, opposé à cette nouvelle LGV, a récemment fait bondir la présidente d'Occitanie Carole Delga. "C'est facile, quand on est maire de Bordeaux, qu'on est à deux heures de Paris, d'expliquer aux autres qu'ils n'ont pas besoin d'être proches de la capitale", avait-elle réagi.L'avis des écologistes n'étant pas majoritaire à l'assemblée de Bordeaux Métropole, leur opposition devrait rester sans effet.Lors de la construction de la LGV Bordeaux-Tours, l'ex-région Midi-Pyrénées avait contribué à hauteur de 300 millions d'euros. Actuellement, le Paris-Bordeaux (550 km) en TGV se fait en deux heures environ, et le trajet Bordeaux-Toulouse (240 km) dure également deux heures. Ce dernier serait divisé par deux avec la prolongation de la LGV.La deuxième phase du Grand projet du Sud-Ouest (GPSO) prévoit une extension de la ligne LGV du sud de la Gironde vers Dax, dans les Landes.Le préfet coordinateur a souligné que la mise en service de la ligne allait permettre d'éviter chaque année 4,3 millions de déplacements en voitures, d'accueillir 7 millions de voyageurs supplémentaires dans les TGV et de réduire la part de l'aérien de 20%.La création d'une ligne dédiée aux TGV permettra également de libérer des voies pour le fret et de doubler le nombre de trains de marchandises. Outre les effets pour l'environnement, l'État estime que la LGV Bordeaux-Toulouse, génèrera 4.000 emplois directs, 4.000 indirects et 2.000 induits.A partir du 1er janvier 2023, particuliers et entreprises des deux régions seront soumis à une Taxe spéciale d'équipement, qui "représente par tête quelques euros par an" pour les personnes vivant à moins d'une heure d'une gare TGV, selon le préfet.Le Conseil d'État a levé en septembre le dernier obstacle juridique au projet déclaré d'utilité publique, en rejetant le recours d'un collectif d'opposants.
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