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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 3 ans et 211 jours

Quelques conseils pour réussir des travaux de rénovation

Entreprendre des travaux de rénovation domiciliaire est passionnant, mais l’excitation peut être rapidement diminuée par des problèmes et des coûts imprévus. Heureusement, les chances de rencontrer des problèmes peuvent être minimisées, voire atténuées complètement, avec un peu de planification et de préparations minutieuses. Et pour vous assurer que votre projet se déroule sans complications, on vous a énuméré quelques préparations que vous devez connaître avant de vous engager dans une rénovation. Continuez à lire pour en savoir plus. Prévoir un budget réaliste pour le projet Il est indéniable que tout projet de rénovation de maison d’habitation nécessite un budget réaliste pour éviter que les coûts ne deviennent incontrôlables. Cependant, il n’est pas toujours facile de trouver le bon équilibre entre la vision du design et la somme que vous êtes prêt à dépenser pour y arriver. C’est justement pour cette raison que vous devez avoir une idée claire du prix, que ce soit pour la main-d’œuvre ou l’équipement et les matériaux dont vous avez besoin. Déterminer les travaux de bricolage À moins que vous ne disposiez de ressources financières illimitées pour travailler, vous voudrez probablement garder les coûts de votre projet au minimum. Les travaux risqués comme les travaux de plomberie et d’électricité devraient être confiés aux professionnels. C’est plus prudent. Par contre, il y a aussi des travaux que vous pouvez faire vous-même. À ce titre, vous devez déterminer quels travaux vous pouvez faire vous-même et lesquels laisser aux experts. De cette façon, vous pouvez choisir des tâches à bricoler et réduire les coûts de la rénovation sans compromettre le projet dans le processus. À cet effet, vous devez au moins avoir des outils de bricolage de base : à savoir un cutter, des pinces, des tournevis, une ponceuse, une paire de lunettes protectrice, une scie sauteuse, une clé à molette, un marteau, etc. Peu importe le travail de rénovation que vous allez effectuer, ces outils sont indispensables. Connaitre les personnes que vous embauchez Des entrepreneurs aux concepteurs, il est toujours utile de savoir qui sont les personnes que vous embauchez. Les recommandations et les références de la famille et des amis sont un bon début. Ce n’est jamais une mauvaise idée de vérifier vous-même sur Internet. Cela peut sembler être un petit détail, mais c’est quand même important d’embaucher des gens compétents et qui soignent leur travail et avec qui vous vous entendez. Ne jamais précipiter Les rénovations prennent du temps. Précipiter les travaux en espérant réduire les coûts est une mauvaise idée. Cela pourrait au contraire provoquer différents problèmes coûteux. Si vous prenez le temps de bien faire les choses, vous réduirez les risques d’erreurs. Ne précipitez donc jamais un projet de rénovation domiciliaire. Il est rare qu’une rénovation de maison se passe sans problème. Et si vous prenez les choses à la légère, il y a de fortes chances que le projet ne se déroule pas comme vous le souhaitez. Cependant, si vous gardez à l’esprit les conseils ci-dessus, non seulement, vous éviterez de rencontrer des problèmes graves en cours de route, mais vous serez beaucoup plus préparé à bien gérer au cas où des incidents se présenteraient.
Il y a 3 ans et 211 jours

Le Cerema et Villes de France s'engagent pour les territoires

Cette convention entre le Cerema et Villes de France permettra de mettre en place des synergies de collaboration entre l'établissement public et l'association d'élus pour accompagner les collectivités face aux enjeux de transition écologique.Grâce à la signature de cette convention, le Cerema et Villes de France pourront entreprendre des actions communes pour appuyer les collectivités dans la mise en œuvre de politiques publiques ciblées. Dans le cadre de leurs activités respectives, Villes de France pourra mobiliser l'expertise du Cerema, ce dernier pouvant également solliciter Villes de France et ses collectivités adhérentes.Le Cerema et les collectivités membres de Villes de France collaboreront sur des sujets tels que :la revitalisation des cœurs de ville (dans le cadre du programme Action Cœur de Ville),l'observation de l'habitat,les mobilités,l'adaptation au changement climatique, la résilience, la gestion des risques,la rénovation énergétique des bâtiments, etc.« La signature de cette convention entre Villes de France qui fédère les villes de 10 000 à 100.000 habitants et leurs intercommunalités, et le Cerema vient sceller une collaboration fructueuse de longue date entre nos deux organisations. Les maires des villes moyennes savent pouvoir bénéficier de l'expertise du Cerema dans le développement de leurs projets, notamment dans le cadre du déploiement du programme Action Cœur de Ville, mais également pour accompagner la transition écologique des territoires », déclare Caroline CAYEUX, présidente de Villes de France.« Les villes et agglomération moyennes déploient des projets et politiques publiques déterminants pour l'organisation de nos territoires, dont ils constituent un maillage indispensable. Le Cerema travaille ainsi très régulièrement aux côtés de ces collectivités et se félicite d'officialiser ce partenariat avec Villes de France, qui les représente avec beaucoup de dynamisme. », déclare Marie-Claude JARROT, présidente du conseil d'administration du Cerema.
Il y a 3 ans et 211 jours

ACBI rejoint le groupe FORTAL

C’est officiel, ACBI rejoint le groupe FORTAL ! Cela fait maintenant 30 ans que l’entreprise ACBI occupe le devant de la scène sur le marché de niche qu’est la sécurité du travail en hauteur. 30 années au cours desquelles l’entreprise a su étoffer son offre et progresser dans un secteur relativement fermé. En 2015, les efforts paient et ACBI se voit récompensée du trophée de l’innovation par l’organisme CRAMIF (caisse régionale de l’assurance maladie) pour son produit breveté : Modulogard. De nouvelles ouvertures se crées sur un nouveau marché et ACBI poursuit son ascension, tout en attirant l’attention. FORTAL, un groupe au savoir-faire reconnu. Avec près de 40 ans d’expérience dans la conception et la fabrication de moyens d’accès en hauteur sécurisés, le groupe FORTAL partage les mêmes valeurs qu’ACBI avec une vraie culture d’entreprise et le même attrait pour son métier. Cette entreprise familiale qui a démarré dans les mêmes années qu’ACBI s’appui sur une solide équipe de 160 personnes et sur un puissant outil de production. Située au cœur de l’Alsace, ce groupe « Made in France » transpire le dynamisme et insuffle un nouvel élan à l’industrie française. FORTAL c’est aussi 500 clients actifs dans 20 pays et 12 000 m² de surface de production. La fusion ACBI/FORTAL, une évidence ! Dans un marché dynamique en constante évolution et où les règlementations se montrent de plus en plus stricts, on assiste à un fort développement des produits et à une multiplication des offres. L’heure est aux rapprochements et une entreprise « seule » ne peut plus faire face à la puissance d’un groupe. La fusion des deux entités ACBI/FORTAL, était une évidence. La combinaison des savoir-faire de ces deux structures permettra d’optimiser l’accès au marché de la région parisienne. Les clients de FORTAL et ACBI pourront bénéficier d’une présence et d’une logistique renforcées s’appuyant sur les capacités de production des usines alsaciennes. La puissance d’un groupe : Quels avantages pour les clients ? Les gammes et le savoir-faire des deux entités se complètent à merveille. Avec un stock plus important et plus adapté, la réactivité du nouveau groupe s’affirmera très rapidement. Gains de temps conséquents, disponibilité immédiate, meilleur rayonnement sur le territoire, prix plus compétitifs, délais et tarifs de livraison plus avantageux. C’est un nouveau virage qu’entament ces deux sociétés pour un seul vainqueur : La sécurité.
Il y a 3 ans et 211 jours

GCC et Knauf signent un accord pour la gestion des déchets de démolition d’isolants en polystyrène expansé

Ce partenariat débute avec le chantier de réhabilitation de plus de 550 pavillons individuels, réalisé pour le maître d’ouvrage ICF La Sablière, dans le quartier de la cité Cheminote située dans les communes de Chelles et Brou-sur-Chantereine (77).Ce chantier pilote d’ampleur innove à bien des égards et constitue une première française. GCC, en charge des travaux, récupère les déchets de PSE issus de la dépose de l’isolation par l’extérieur, les sépare des impuretés (enduits, fixations…) avant de les compacter puis de les palettiser sur le site même. Ensuite, KNAUF IDF Ouest stockera ces palettes de déchets, effectuera les démarches réglementaires complexes de leur transfert transfrontalier avant de les faire acheminer jusqu’à l’usine de démonstration de la PolyStyreneLoop, située à Terneuzen aux Pays-Bas.Le projet européen Life PolystyreneLoop est mené par la coopérative du même nom qui rassemble plus de 70 membres dont l’Association Française de l’Isolation en Polystyrène Expansé dans le Bâtiment (AFIPEB) au sein de laquelle KNAUF est un adhérent majeur. Ce projet vise à démontrer la faisabilité technico-économique d’un procédé unique de traitement, basé sur la technologie CreaSolv®, permettant de séparer les composants dont l’ignifugeant HBCD. Celui-ci sera ensuite détruit, dans le respect de la réglementation, tout en récupérant le brome. Le polystyrène récupéré pourra ainsi être recyclé.Précurseurs, GCC et KNAUF, au travers de ce partenariat, permettront de réaliser une première livraison française, de plusieurs tonnes, à la PolyStyreneLoop.Pour Nicolas MINARD, Chef de Groupe GCC Réhabitat : « Nous sommes fiers de relever le défi de ce chantier atypique. Il illustre pour la première fois notre label "Objectif 100% valorisation" qui nous permet de démontrer notre savoir-faire en matière d’économie circulaire grâce au réemploi, à la réutilisation et au recyclage des matériaux récupérés directement sur les lieux mêmes des chantiers. »Pour Nicolas PERRIN, Président de KNAUF IDF Ouest : « Avec ce partenariat et ce chantier d’importance, nous faisons un grand pas en avant dans le recyclage des déchets de PSE issus de la démolition. Si à ce jour en France, peu de bâtiments isolés sont déconstruits, dans les prochaines décennies, les solutions de recyclage seront maîtrisées grâce au programme pilote PolyStyreneLoop, mais aussi à une mobilisation et une organisation éprouvée des acteurs en amont, comme GCC. KNAUF est un acteur majeur mais aussi local des isolants en PSE. Dans ce partenariat, nous apportons nos ressources logistiques de proximité, notre expérience du recyclage du PSE, acquise sur nos sites KNAUF Circular® dans la valorisation de chutes de chantiers neufs, et surtout notre engagement et notre conviction à mettre en œuvre une économie circulaire des PSE de construction. »
Il y a 3 ans et 212 jours

Équerre d'argent 2021 : assistez en direct à la cérémonie

Après audition des concepteurs des projets candidats à l'Equerre d'argent 2021 par le jury présidé par Christian de Portzamparc, l'annonce du palmarès et la remise des prix auront lieu lundi 22 novembre 2021, à Paris. L'année passée, la Toulouse School of Economics, conçue par Grafton Architects et Vigneu & Zilio, […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 212 jours

Séisme près du gisement gazier de Groningue aux Pays-Bas, le plus intense depuis 2019

Le séisme a été ressenti à 01H46 (00H46 GMT) dans le village de Garrelsweer, aux alentours et jusque dans la ville de Groningue, où se trouve le plus grand gisement de gaz naturel de l'Union européenne, dont la fermeture est prévue en 2022.L'Institut des dommages miniers de Groningue a indiqué à l'AFP avoir reçu 212 signalements de dégâts, 160 dans la zone touchée peu avant 16H00, heure locale (15H00 GMT). Huit d'entre eux faisaient état de dégâts "potentiellement sérieux". Habituellement, environ 80 signalements sont enregistrés quotidiennement.Les autorités locales ont commencé à inspecter les éventuels dégâts pouvant affecter les digues, écluses et autres barrages, et les résidents ont été invités à "être attentifs à toute irrégularité", a rapporté l'agence de presse ANP.Le séisme enregistré fait partie du "top 4 des séismes les plus intenses enregistrés dans la région du gisement de gaz de Groningue", a fait savoir le KNMI, et du séisme "le plus intense" dans la région depuis mai 2019 (3,4) à Westerwijdwerd (à l'ouest de Garrelsweer)".Garrelsweer avait déjà connu en 2011 un séisme majeur, d'une magnitude de 3,2. Le séisme d'une magnitude 3,6 enregistré en 2012 à Huizinge est le plus fort jamais enregistré dans la région. De faible magnitude mais proches de la surface, ces séismes dus aux poches de vide formées lors de l'extraction de gaz ont déjà provoqué de nombreux dégâts.L'organisme d'état de surveillance des mines (SodM) a déclaré que le nombre de séismes ressentis dans la région, supérieur aux prévisions, était "troublant". le SodM estime que de tels séismes pourraient être encore être ressentis durant des "décennies".Le gouvernement a décidé en 2020 d'anticiper à l'été 2022 la fin de l'extraction de gaz à Groningue, initialement prévue pour 2030.Au début du mois, dans un contexte européen de pénurie et flambée des prix du gaz, le ministre des Affaires économiques Stef Blok a averti qu'une augmentation du niveau d'extraction pourrait être "nécessaire" au moment où le gisement devrait fermer.M. Blok a accusé le retard pris lors de la pandémie dans la mise en place d'une nouvelle installation d'azote, devant jouer un rôle important dans la limitation de l'extraction de gaz à Groningue.Le gouvernement a en outre présenté mardi au Parlement les grandes lignes d'un plan de renforcement des habitations sur plusieurs années. Selon les estimations, environ la moitié des 27.000 habitations faisant partie du plan devront faire l'objet de travaux de consolidation.
Il y a 3 ans et 212 jours

Les trophées de la chaux 2021

Les Trophées de la Chaux organisés tous les deux ans par Ciments Calcia et Socli ont été décernés sur le Salon International du Patrimoine Culturel. Ouvert aux entreprises et artisans à travers un de leurs chantiers réalisé entre le 1er janvier 2019 et le 15 février 2021, dans les domaines de la restauration ou de l’éco-construction et effectué avec au moins un produit de la gamme chaux Socli ou Ciments Calcia, les Trophées de la chaux 2021 ont reçu une vingtaine de candidatures et retenu 10 dossiers. A l’issue d’un grand oral final, le jury a récompensé les auteurs de 3 chantiers d’exception, s’appuyant sur la mise en œuvre de solutions originales, l’emploi de méthodes innovantes et la prise en compte des conditions sécuritaires ou techniques de réalisation des travaux. Le premier prix a été attribué à Eric Constant, gérant de Terre et Matières, pour la restauration extérieure de la chapelle Sainte-Sigolène à Parisot (81). Si cet édifice du XIIème siècle avait déjà connu une phase de rénovation en 2017, il s’agissait ici de restaurer la tranche finale, à savoir le clocher, le porche ainsi que les murs nord et sud. A cette occasion, l’entreprise Terre et Matières a révélé tout son savoir-faire en décroutant les murs, sur une hauteur de 16 m, pour les mettre à nu (à l’origine, briques foraines recouvertes d’un enduit) avant de réaliser un rejointoiement exemplaire à la chaux blanche NHL 2 RENOCHAUX de Ciments Calcia, associée à du sable roux local. Cette même chaux a été utilisée pour la couche de finition du clocher qui avait auparavant bénéficié de l’application, en deux passes, d’une chaux grise NHL 3,5 CHAUX SOCLI. Second prix : Entreprise Paramelle. Déjà primé lors des Trophées de la chaux 2019, le jeune entrepreneur de 30 ans Fabien Paramelle confirme sa dextérité en restaurant à Figéac (46), au sein d’un secteur sauvegardé, un immeuble qui abritait une ancienne boulangerie avec fournil. Cette restauration s’est avérée des plus techniques car le bâtiment, composé de deux étages en colombage, présentait une structure en mauvais état : il a fallu, en effet, la renforcer et lier le colombage mécaniquement, car celui-ci n’était pas relié dans les angles. Belle surprise en phase de décroutage de la façade : deux ogives moyenâgeuses en partie basse ont fait surface, ce qui a induit une modification des plans afin de les restituer (remise en état des linteaux démolis et greffe de pierres sur les ogives). Fabien Paramelle a notamment réalisé une projection à la machine avec du liant traditionnel à la chaux CHAULYS BLANCHE HL2 de Socli sur une surface de 280 m², intérieur et extérieur confondus. Soulignons aussi la dépose de tout le sol en ciment remplacé par un béton de chaux réalisé avec la CHAUX RABOT NHL 5 de Socli, également utilisée pour la pose du dallage en pierre scellé, favorisant la respirabilité du support. Troisième prix : Entreprise Solé et fils. Claude Solé a concouru aux Trophées de la chaux 2021 avec une rénovation d’envergure, en cœur de ville : celle du bâtiment dit Château de Pollestres (66), réhabilité en centre culturel. Plusieurs étapes du projet ont été louées par le jury : la démolition/reconstruction d’une partie de la bâtisse en ossature béton/métal ; le traitement des façades avec application d’enduit à base de CHAULYS, finition à pierre vue et coloration naturelle au sable jaune ; la reprise des appuis de fenêtre par taille de cayroux in site ; le rehaussement de la corniche… Soulignons également l’implication environnementale de l’entreprise qui, en début d’opération, a pris soin de créer une ouverture dans un mur de clôture existant pour pouvoir effectuer le tri sélectif à l’aide de bennes à déchets. 7 autres finalistes à saluer BTMS Construction pour la rénovation d’une habitation de village à Olargues (34) Reconstruction d’un bâtiment en ruine, dans le respect de la tradition locale, avec les matériaux du site (pierres calcaires, lauzes, ardoises…) et création d’une extension : l’ensemble des maçonneries en pierres et les éléments de couverture ont été mis en œuvre à la chaux naturelle, la finition réalisée aux mortiers de chaux et sable local, conformément aux autres bâtis du hameau qui se trouve au cœur d’un parc naturel. Quant à l’enduit intérieur isolant chaux-chanvre projeté, avec finition taloché fin, il protège l’habitat et garantit un intérieur sain. FINS pour la restauration d’une bâtisse du 7ème siècle à Lectoure (32) Création d’ouvertures avec réutilisation des pierres du chantier, application d’enduits extérieurs et intérieurs, mise en place de béton de chaux, extension, réhabilitation d’un puits, transformation du poulailler en garage ont constitué autant d’étapes pour la réfection de ce bâtiment à l’abandon. JAM pour la restauration de la grotte de fraîcheur du château de Bonrepos-Riquet (31) Au cœur du parc d’un château classé monument historique, cette grotte artificielle a bénéficié d’un terrassement pour sa mise à nue, d’une réalisation de structure béton de protection, d’une dépose et reconstruction de la voûte avec reconstitution de la façade d’entrée. LATARCHE pour la restauration d’une grange foraine pyrénéenne à Artalens-Souin (65) Depuis la loi montagne en 1985, les bâtiments agricoles inutilisés peuvent être restaurés en tant que résidences secondaires, leur rénovation devant répondre à un cahier des charges strict. C’est le cas de cette grange foraine, partie intégrante du patrimoine des Hautes-Pyrénées, qui a été l’objet de travaux de démolition des façades et pignons, reconstruction des murs en moellons de réemploi hourdés au mortier chaux et réalisation de joints creux. Philippe GOLCBERG pour la restauration extérieure d’un bâtiment art nouveau néogothique à Montpellier (34) Les modénatures en pierres calcaires de Castries ont été reprises et un faux appareil traditionnel de briques 5X11X22 a été engravé à frais et peint à fresque en deux patines sur un enduit taloché fin. La reconstitution des appuis de fenêtres, du soubassement et des joints complète l’intervention. PINTO pour la restauration intérieure du château de Toulonjac (12) Inscrit au titre des monuments historiques en 1993 et classé en 1995, l’édifice a été restauré de l’intérieur avec, entre autres, la réalisation d’une correction thermique sur murs périphériques par application d’un enduit chaux-chanvre, la reprise des plafonds avec enduits à la chaux, la réalisation de chapes au sol à la chaux avec pose de tomettes de récupération à la barbotine… RYBICKI FAÇADES pour la restauration et Rénovation du château de Pouille à Gaillac (81) Cette réalisation a conjugué rénovation gros œuvre (maçonnerie générale), restauration des briquettes et finition avec enduits à la chaux naturelle. Le jury se composait de 5 membres : Marion Lecanu, Directrice de l’ECMH à Paris, José Granados, Délégué départemental, représentant de la Fondation du Patrimoine de l’Hérault et architecte, Romain Lelièvre, Architecte des Bâtiments de France à l’UDAP 11 , Christophe Possémé, Président de l’UMGO et Bernard Lechevalier, Rédacteur en chef et Directeur de la publication d’Atrium Patrimoine.
Il y a 3 ans et 212 jours

Le gouvernement reporte à 2023 l'application de la filière Rep dans le bâtiment

ANNONCE. Les pouvoirs publics annoncent le report au 1er janvier 2023 "au plus tard" de l'application de la filière de reprise des déchets du secteur du bâtiment.
Il y a 3 ans et 212 jours

Deux entreprises de rénovation énergétique sanctionnées pour démarchage téléphonique

La loi contre le démarchage téléphonique abusif, promulguée en juillet 2020, interdit toute prospection téléphonique pour les travaux de rénovation énergétique, secteur où des entreprises peu scrupuleuses ont profité des subventions publiques pour abuser des ménages.La sanction a été prononcée le 18 octobre par le directeur départemental de la protection des populations d'Ille-et-Vilaine, à l'issue d'une enquête de la DGCCRF, précise dans un communiqué l'organisme relevant du ministère de l'Economie.Almatys et Nrgie Conseil vendent toutes les deux des biens et prestations pour générer des économies d'énergies, comme des pompes à chaleur.Almatys aurait "démarché plusieurs centaines de milliers de consommateurs par voie téléphonique entre octobre et novembre 2020", tandis que Nrgie Conseil est accusée d'avoir "démarché plusieurs dizaines de milliers de consommateurs par voie téléphonique en janvier 2021".En 2020, la Répression des fraudes avait déjà sanctionné 108 démarcheurs pour "non-respect du dispositif d'opposition au démarchage téléphonique", pour un montant total d'amende de 4,3 millions d'euros. "Ce montant a doublé par rapport à l'année 2019 et devrait encore croître en 2021", précise-t-elle.La DGCCRF rappelle également que dans le secteur de la rénovation énergétique, seule une entreprise ayant une relation contractuelle "déjà en cours" avec un consommateur peut le contacter. Les consommateurs qui souhaitent signaler un comportement abusif peuvent le faire sur une plateforme dédiée, SignalConso.Pour les autres secteurs, la loi de juillet 2020 a relevé les sanctions pour démarchage abusif: les amendes administratives peuvent aller jusqu'à 75.000 euros pour les personnes physiques et 375.000 euros pour les entreprises.
Il y a 3 ans et 212 jours

Emmanuel Macron annonce 1,9 milliard d'euros supplémentaires pour la filière hydrogène

En annonçant à Béziers (Hérault) que 1,9 milliard d'euros supplémentaires allaient être consacrés à cette filière dans le cadre du plan d'investissement France 2030, le chef de l'Etat a estimé que le développement de l'hydrogène était "une bataille pour l'industrie, pour l'écologie et pour la souveraineté".Remplaçant le pétrole ou le charbon, l'hydrogène, en permettant à l'industrie lourde de réduire ses émissions de CO2, va "réconcilier l'aventure industrielle, la croissance, avec la décarbonation de nos économies. Le +en même temps+ est possible", a-t-il expliqué lors d'une visite de l'entreprise Genvia.La jeune société, née en mars 2021 et vue comme une "pépite d'avenir", est issue de la recherche publique (Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives) et du groupe para-pétrolier Schlumberger.Elle développe, avec une quarantaine de brevets déposés, des électrolyseurs haute température permettant de produire de l'hydrogène à partir de la molécule d'eau (H20), mais aussi de l'électricité à partir d'hydrogène, avec une efficacité supérieure à celle des procédés déjà existants.Lors de sa visite, le président a annoncé aux salariés que la société avait été sélectionnée par l'Union européenne dans le cadre de ses programmes IPCEI (Projet important d'intérêt européen commun), qui lui permettront de recevoir une aide spécifique de 200 millions d'euros."C'est un tout nouveau continent qui s'ouvre devant nous", a ajouté M. Macron, qui voit la France du milieu du XXIe siècle comme un pays de production d'hydrogène décarboné, une nouvelle source d'énergie qui remplacera le pétrole, notamment pour l'industrie lourde."Construire la souveraineté" énergétique"Si nous savons être des leaders de la production de l'hydrogène, alors nous construirons la souveraineté" énergétique, a insisté le chef de l'Etat. Il mise sur le nucléaire français, qui n'émet pas de CO2, pour y arriver, à la différence de l'Allemagne qui fait reposer son plan hydrogène sur l'importation d'électricité photovoltaïque depuis des pays chauds."Il n'y a jamais de fatalité. On ne répond jamais aux difficultés du temps en ayant la nostalgie d'un passé qui n'est plus, mais en redoublant de capacité à résister et à ne pas céder, à penser l'avenir dans ses dynamiques nouvelles. C'est exactement ce que la France doit faire aujourd'hui", a affirmé Emmanuel Macron.Le chef de l'Etat, qui n'a pas encore annoncé s'il était candidat ou non à un second mandat en 2022, cherche à se présenter comme le chef de file du camp progressiste face à des candidats qui affirment que la France est un pays en déclin.Il répond aussi à certains "décroissants" qui estiment que la crise écologique ne peut se résoudre que par l'abandon de certaines activités.Pour lui, la société de demain, "ce n'est pas moins consommer, ce n'est pas renoncer à des activités , ce n'est pas renoncer à des choses, c'est par l'innovation réussir à concilier les deux", a-t-il dit.Emmanuel Macron a été accueilli par le maire d'extrême droite de Béziers, Robert Ménard, qui l'a remercié pour le soutien apporté à Genvia, qui doit agrandir son site.Dans une région particulièrement touchée par le chômage, son discours sur l'industrie de demain porte aussi sur les "compétences", le président se disant attaché à ce que "les parents puissent se dire que leurs enfants ont un avenir dans l'industrie".
Il y a 3 ans et 212 jours

Où en est la construction hors-site en France ?

ÉTUDE. Plébiscitée par les pays anglo-saxons, la construction hors-site a encore une marge de progression importante en France. Un premier baromètre interrogeant des maîtres d'oeuvre, maîtres d'ouvrage et des fabricants permet d'appréhender la maturité du marché sur le territoire.
Il y a 3 ans et 212 jours

REP bâtiment : l'entrée en vigueur reportée

Textes en retard, effet inflationniste indésirable de l'éco-contribution... après consultation des acteurs du bâtiment, le gouvernement a annoncé un report de l'entrée en vigueur de la filière de responsabilité élargie du producteur pour les matériaux de construction au 1er janvier 2023 au plus tard.
Il y a 3 ans et 212 jours

PLF 2022 : Les professionnels du bâtiment demandent un effort supplémentaire au gouvernement

La FFB salue ainsi la prise en charge par l’État des exonérations de taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) dans le logement social et intermédiaire, comme suggéré par la Commission Rebsamen, et de la prolongation jusqu'à fin 2023 du prêt à taux zéro (PTZ) en faveur de la primo-accession, de l’éco-PTZ qui vise à financer des travaux de rénovation énergétique et du « Denormandie », qui accompagne la reconquête des centres de villes moyennes.Elle se réjouit aussi de la prorogation jusqu’en 2022 du « Censi-Bouvard », en faveur de l'investissement locatif des particuliers dans les résidences pour étudiants et personnes âgées ou handicapées.Par ailleurs, la FFB acte la poursuite, jusqu'à fin 2024, de l'expérimentation du « Pinel breton », mais regrette que toute extension à quelques territoires volontaires ait été refusée.En revanche, la FFB déplore qu’une nouvelle fois, on charge la barque sur les exigences en « Pinel ». De fait, pour être éligible au dispositif à taux plein en 2023 et 2024, en plus de nouveaux critères de « qualité d’usage » déjà annoncés (superficie minimale par type, présence d'un espace privatif extérieur et double exposition à partir des T3), il faudra que le logement anticipe l’étape 2025 de la RE2020. Cette annonce entre en totale contradiction avec les clauses de revoyure qui ont été prévues pour s’assurer de la soutenabilité de cette nouvelle réglementation. Et aucune étude d’impact sérieuse ne mesure aujourd’hui le surcoût associé à toutes ces exigences cumulées, donc la capacité à faire !La FFB s’inquiète également que le retour de l’individuel groupé dans le champ du Pinel, proposé par le député Mickaël NOGAL, ait été refusé. Il s’agit pourtant d’une solution économe en foncier pour loger des familles dans ou à proximité des villes moyennes, aujourd’hui très recherchées.Enfin, alors que la crise des matériaux se trouve réalimentée par celle de l’énergie, les artisans et entrepreneurs du bâtiment ne comprennent pas que leur demande pressante de versement immédiat des éventuelles créances de carry back générée par un exercice 2021-2022 déficitaire soit refusée par le gouvernement. Il ne s’agit que d’une mesure de trésorerie, mais elle constitue une indispensable planche de salut pour certaines structures prises dans une tourmente qui les dépasse.Olivier Salleron, le président de la FFB, rappelle « derrière l’aide aussi urgente qu’indispensable à la survie d’entreprises que constitue le carry back, se joue aussi la question de l’emploi. La construction s’avère le seul grand secteur à créer plus de 70.000 emplois nets depuis l’avant-crise ; casser cette dynamique aurait donc un impact bien plus large que pour le seul secteur ! Pour toutes ces raisons, la FFB continuera résolument à porter cette demande. »Quant à Grégory Monod, Président du Pôle Habitat FFB, il souligne que « nos promoteurs immobiliers, acteurs locaux et durables des territoires, peinent à comprendre les motivations à durcir à ce point les conditions d’éligibilité au dispositif "Pinel" en période de crise du logement collectif en zones tendues. Multiplier les exigences génère des surcoûts considérables au détriment du logement abordable et condamnerait l’offre nouvelle à un long hiver, tant en accession qu’à loyers maîtrisés. »
Il y a 3 ans et 212 jours

Hilti rachète la startup Fieldwire pour créer une plateforme de gestion de chantiers de construction

Cette acquisition stratégique permettra de combiner le meilleur produit de Fieldwire et la puissance de la marque Hilti et de sa portée commerciale, afin d’améliorer la productivité des entrepreneurs et sur chantier. Fieldwire fournit une plate-forme de pointe pour la gestion des chantiers qui alimente plus d'un million de chantiers dans le monde. Fondée en 2013, Fieldwire a bâti une forte présence en Amérique du Nord et a réussi à s’étendre internationalement en Europe et en Asie-Pacifique tout en construisant des fonctionnalités spécifiques au marché qui permettent aux clients d'améliorer la productivité sur le terrain. L'entreprise basée à San Francisco aide actuellement des milliers de clients à mieux gérer leurs chantiers digitalement en proposant une solution logicielle fiable, facile à utiliser, dotée d'un large éventail de fonctionnalités et également indépendante des appareils. Elle est utilisée par des entreprises générales et aux sous-traitants et est connue pour son approche de la productivité axée sur le terrain." L'acquisition de Fieldwire va accélérer la capacité d'Hilti à offrir de la productivité à ses clients grâce à des solutions logicielles. Depuis que la digitalisation est devenue l'un des principaux moteurs de la productivité dans le secteur de la construction, Hilti a investi dans des solutions numériques destinées aux professionnels de la construction. Cette acquisition renforcera notre portefeuille de logiciels et constitue une étape logique vers notre vision de devenir le principal partenaire de digitalisation pour nos clients. Nous avons l'intention de continuer à investir dans la plateforme pour créer le prochain leader du marché des logiciels de gestion de projets de construction ", a déclaré Christoph Loos, CEO du groupe Hilti.Avec le soutien d'Hilti, l'équipe de Fieldwire va accélérer le travail de construction de la solution numérique préférée des professionnels de la construction sur le marché. Non seulement tous les membres actuels de l'équipe Fieldwire seront invités à rester chez Hilti Fieldwire sous la direction continue des deux fondateurs, Yves Frinault et Javed Singha, mais des efforts supplémentaires seront également déployés pour développer l'équipe de manière significative."Nous avons lancé Fieldwire pour aider les professionnels du bâtiment à donner plus de moyens à leurs équipes, à stimuler la productivité sur le terrain et à créer des entreprises plus fortes et plus rentables. Avec Hilti, nous avons trouvé un partenaire qui partage réellement nos valeurs et qui nous permet en même temps d'accélérer le développement de nos produits pour nos clients sur les marchés nouveaux et existants. Nous sommes ravis de rejoindre le Groupe Hilti", a déclaré Yves Frinault, cofondateur et CEO de Fieldwire.En 2017, Hilti a participé au tour de financement de série B de Fieldwire. Depuis lors, elle a fourni des conseils continus alors que l'entreprise se développait rapidement. En tant qu'investisseur précoce, Hilti a déjà une relation de travail solide avec Fieldwire, et ensemble, les entreprises peuvent maintenant faire tout leur possible pour rendre les chantiers de construction du monde entier plus simples et plus productifs. L'acquisition devrait être conclue au quatrième trimestre 2021 et est soumise aux conditions de clôture habituelles, y compris les approbations réglementaires.
Il y a 3 ans et 212 jours

La taxe d'aménagement pour les serres de jardin rendue optionnelle par les députés

L'Assemblée a adopté, à l'occasion de l'examen en première lecture du projet de budget 2022, une série d'amendements de tous bords, soutenus par la commission des Finances, pour permettre aux collectivités territoriales d'exonérer de taxe d'aménagement les serres de jardin personnelles dont la superficie est égale ou inférieure à 20 m2.Il est "important que les habitants puissent se diriger vers ce type de construction pour réduire les déchets, récolter les fruits et légumes de leur production" et encourager un "circuit court plus vertueux écologiquement", a souligné la députée LR Véronique Louwagie."C'est inciter à participer à l'autonomie alimentaire de la France", a même avancé la députée LREM des Hautes-Alpes Pascale Boyer."Les grandes serres étaient exonérées mais pas la petite serre familiale. Nous allons mettre un terme à cette anomalie", s'est félicité Marc Le Fur (LR).Les particuliers désireux d'instaurer une serre de jardin découvrent souvent avec surprise que cette installation est soumise au respect du droit des sols et au paiement d'une taxe parfois équivalente au prix de la serre.Cette dernière doit donc faire l'objet d'une déclaration préalable au-delà d'une superficie de 5m³ et 1,80 mètres de hauteur (dans la limite de 20m³), et donne lieu par conséquence au paiement d'une taxe d'aménagement au profit de la collectivité locale compétente.Les députés ont donné à celles-ci la possibilité d'exonérer ou non les particuliers de cette taxe, et donc de favoriser une politique incitative au développement de ces installations.
Il y a 3 ans et 212 jours

Le Groupe Edouard Denis digitalise ses appels d’offres avec AOS

« Nous perdions beaucoup de temps auparavant : trop de mails, de tableaux Excel, de liens de téléchargement… sans parler du suivi des relances, de l’attente des réponses des entreprises ou de l'analyse des offres », se souvient Flavien Di Iorio, Directeur Technique, Annecy et Lyon, Groupe Edouard Denis.Sept responsables techniques de son équipe sont formés pour s’approprier la plateforme AOS en quelques heures. Plus de trente appels d’offres ont été lancés depuis. « Avec AOS plus besoin de classer les différentes offres reçues car toutes les entreprises retrouvent sur la plateforme un dossier complet du DCE ainsi que les contrats cadre pour les référencements chez nos partenaires », poursuit Flavien Di Iorio.Un véritable gain de productivité et de transparence dans l’analyse des offres. Tout est accessible et visible d’un seul coup d’œil : la réponse des partenaires, la conformité des offres par rapport au cahier des charges, la mise en lumière des prix (anormalement bas ou haut par rapport aux ratios et offres des autres concurrents).Constat similaire pour Gweltaz Roudaut, Directeur Technique, Nantes et Rennes, Groupe Edouard Denis. « Nous partagions un tableur Excel avec les équipes de maîtrise d’ouvrage. Nous perdions un temps précieux à attendre la réponse des entreprises et à les relancer. Sans compter les dossiers incomplets ou pièces manquantes, le suivi des entreprises, les problèmes de coordonnées, le retard dans la réception des offres ».En digitalisant ses appels d’offres, le Groupe Edouard Denis a non seulement gagné en temps, dans la gestion de ses chantiers, mais aussi en référencement. « Grâce à AOS, nous pouvons désormais conclure un appel d’offre en deux mois pour les premiers lots, au lieu de trois. Autre avantage, nous consultons quatre fois plus d’entreprises qu’avant. 1 entreprise sur 3 télécharge le DCE. 15 à 20% d'entre elles font une offre. Enfin, AOS nous a permis de développer notre réseau de partenaires plus rapidement. Dans des villes avoisinantes où nous étions absents comme Laval et Angers, 200 entreprises ont été consultées et nous connaissent désormais », s’enthousiasme Gweltaz Roudaut.Depuis 2018, AOS digitalise les appels d’offres des programmes immobiliers privés. À ce jour, plus de 450 donneurs d’ordres l’utilisent. Le contexte sanitaire a boosté la demande des maîtres d'ouvrage et accéléré la digitalisation de leurs process.« Notre ambition est de continuer d’aider les acteurs du BTP à se familiariser avec les outils digitaux car ils prennent de plus en plus de place dans leurs métiers et leur permettront de se démarquer de la concurrence en étant plus agiles et rapides », se félicite Thomas Cassou co-fondateur de AOS.
Il y a 3 ans et 212 jours

Équerre d'argent 2021: zoom sur les cinq nommés de la catégorie Lieux d'activité

  Découverte en détails des cinq réalisations en lice pour obtenir l'Équerre d'argent 2021, dans la catégorie Activités. Au total, vingt bâtiments et projets de paysage, regroupés en quatre catégories, sont dans la course. L'annonce du palmarès et la remise des prix se tiendront le 22 novembre […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 212 jours

Deux sociétés de rénovation énergétique sanctionnées par la DGCCRF

AMENDES. Deux sociétés opérant dans le secteur de la rénovation énergétique viennent d'être sanctionnées par le gendarme de la concurrence pour des manquements à la réglementation en vigueur.
Il y a 3 ans et 212 jours

En Egypte, une "nouvelle capitale" pharaonique sort des sables du désert

Alternant avec des portraits du raïs, des panneaux le long de la route indiquent la "nouvelle capitale": des chantiers à perte de vue en plein désert à 25 kilomètres à peine du Fifth Settlement, l'un des derniers nés des faubourgs selects du Caire.En 2019, M. Sissi avait inauguré une vaste mosquée -- nommée "al-Fattah al-Alim", un des noms de Dieu dans l'islam, mais aussi le prénom du président -- et une cathédrale copte, copie conforme de sa jumelle inaugurée il y a plus d'un demi-siècle au Caire.Le Parlement, des ministères ou des quartiers -- chics pour lesquels les promoteurs démarchent depuis des mois les Cairotes par téléphone, ou à loyer modéré dessinés par le ministère du Logement -- sortent de terre.Des facultés, des hôpitaux et des écoles sont encore en construction alors que l'inauguration prévue le 30 juin a été repoussée, notamment à cause de l'épidémie de Covid-19.Cette date est symbolique pour le pouvoir car ce jour-là, il y a huit ans, une foule immense donnait "mandat" à l'armée contre le président islamiste d'alors, Mohamed Morsi, renversé peu après par le maréchal Abdel Fattah al-Sissi."Enigme"L'inauguration dont la nouvelle date reste inconnue actera selon M. Sissi la "nouvelle République" lancée à sa première élection en 2014.Peu après, il avait annoncé vouloir une nouvelle capitale, en lieu et place du Caire, cité tentaculaire de plus de 20 millions d'habitants à l'immense richesse architecturale, comme en témoigne la mosquée Ibn Touloun, vieille de plus d'un millénaire.Mais pour Galila el-Kadi, urbaniste de l'Institut de recherche pour le développement basé en France, cette nouvelle capitale ne vient pas concurrencer Le Caire, comme Brasilia a pu le faire avec Rio de Janeiro et Sao Paulo, mais prolonger un peu plus une mégalopole déjà engorgée.La stratégie derrière cette nouvelle capitale est "une énigme", estime cette professeure d'université: "Avant même d'être habitée, elle touche déjà Le Caire. Dans quelques années, elle va s'agrandir et sera complètement absorbée et cela ne fera qu'ajouter aux problèmes de gestion d'une forte concentration de population dans un espace encore plus grand".M. Sissi a déjà été à l'initiative de villes nouvelles, comme à Mansoura (nord) ou Assouan (sud), mais celle qui est appelée pour le moment "la nouvelle capitale administrative" est "le plus grand projet de l'Etat", indique à l'AFP Khaled al-Husseini, porte-parole de l'entreprise publique chargée de sa construction.Le site de 730 kilomètres carrés (l'équivalent de sept fois Paris) doit être construit en trois étapes, dont "la première couvre 250 km2 qui pourront accueillir deux millions d'Egyptiens", détaille M. Husseini.La ville "offrira une vie meilleure avec des équipements modernes et écologiques et des caméras de surveillance", assure-t-il, évoquant panneaux solaires et énergies renouvelables.Des fonctionnaires viendront y travailler dès décembre et ils seront 100.000 en tout "d'ici trois ans", assure M. Husseini. Pour eux, "il a fallu créer un réseau routier et prévoir des moyens de transport", dont un train monorail à près de quatre milliards d'euros pour relier la nouvelle capitale au Caire, connue pour ses embouteillages monstres.Une débauche de moyens qui en exaspère plus d'un alors qu'un tiers des 102 millions d'Egyptiens vivent sous le seuil de pauvreté."Où sont les priorités?""C'est une certaine vision de la modernisation" à l'occidentale, déplore le politologue Moustafa Kamal al-Sayyed, qui s'interroge: moderniser l'Egypte ne passerait-il pas plutôt par "garantir une éducation de qualité" dans un pays où l'analphabétisme touche près d'un habitant sur trois.Récemment, note-t-il, le ministère de l'Education disait "manquer de 250.000 instituteurs". "Où sont les priorités?".En Egypte, souligne Mme Kadi, depuis l'époque pharaonique la construction de nouvelles capitales a eu comme motivation "de séparer le souverain du peuple", rappelle-t-elle.Pour M. Sayyed, "tous les présidents de l'Egypte moderne ont voulu imprimer leur nom dans l'Histoire comme Gamal Abdel Nasser avec le Haut barrage d'Assouan"."M. Sissi veut que l'histoire le retienne comme celui qui a déplacé le centre du pouvoir", assure-t-il à l'AFP: "Et ce, pour toujours".
Il y a 3 ans et 212 jours

Hilti acquiert la plateforme de gestion de chantier Fieldwire

Spécialiste de l'outillage électroportatif, Hilti vient de débourser 300 millions de dollars pour acheter la société américaine, Fieldwire.
Il y a 3 ans et 212 jours

Bouygues annonce un chiffre d'affaires sur neuf mois "à son niveau d'avant-crise"

Le chiffre d'affaires s'est élevé à 27,5 milliards d'euros sur la période, contre 27,6 mds EUR sur les neuf premiers de mois de 2019. Il s'affiche en progression de 10% par rapport à 2020.Le chiffre d'affaires des activités de construction est de 20,6 milliards d'euros sur les neuf premiers mois 2021, en hausse de 9% sur un an et tiré par la France (+16% sur un an), mais reste inférieur au niveau de 2019 (-5%).Le résultat opérationnel courant a atteint 1,141 milliard d'euros, en hausse de 23 millions d'euros par rapport aux neuf premiers mois 2019, "grâce à l'amélioration de la profitabilité de TF1 et Colas, et à la hausse des volumes" et des revenus chez Bouygues Telecom.La marge opérationnelle courante retrouve ainsi son niveau de fin septembre 2019 à 4,1%.Le bénéfice net à fin septembre a quant à lui atteint 807 millions d'euros, contre 848 millions d'euros sur les neuf premiers mois de 2019 (-4,8%). Il intègre une contribution d'Alstom de 219 millions d'euros.Par rapport aux neuf premiers mois de 2020, où il s'était élevé à 283 M EUR, il s'envole en revanche de 185%.Le niveau élevé du carnet de commandes "offre une bonne visibilité sur l'activité future", assure Bouygues.Avec ces résultats "en forte amélioration sur un an", le groupe a confirmé ses perspectives pour 2021, soit un chiffre d'affaires et un résultat opérationnel courant "très proches du niveau de 2019" et une marge opérationnelle courante "à son niveau d'avant-crise".Dans le détail, sur les neuf mois premiers mois de 2021, la contribution de Bouygues Telecom au bénéfice net part du groupe s'est élevé à 325 millions d'euros. Sur le mobile, l'opérateur compte désormais 14,6 millions de clients abonnés.Bouygues vient d'annoncer le rachat d'Equans, entité de services techniques dans l'énergie d'Engie, pour 7,1 milliard d'euros (sur la base d'une valeur d'entreprise de 6,7 milliards d'euros).Ce rachat changera le visage du groupe puisque la nouvelle entité combinée deviendrait son premier métier en termes de chiffre d'affaires et de salariés. La finalisation est attendue au deuxième semestre 2022.
Il y a 3 ans et 213 jours

Lauréat de la Première Œuvre 2021 : des ateliers auto-construits par ACTM, dans l'Ain

Les équipements de services publics à Neuvecelle (Haute-Savoie), conçus par Atelier PNG associé à l'Atelier Julien Boidot et Emilien Robin architecte, avec les paysagistes de l'Atelier des Cairns, remportent le prix de l'Équerre d'argent 2021. Quatre autres projets sont récompensés, respectivement dans les […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 213 jours

Équerre d'argent 2021: zoom sur les cinq nommés au prix de la Première Œuvre

  Découverte en détails des cinq réalisations en lice pour obtenir le prix de la Première Œuvre 2021. Vingt bâtiments et projets de paysage, regroupés en quatre catégories, sont également dans la course pour l'Équerre d'argent. L'annonce du palmarès et la remise des prix se tiendront le 22 […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 213 jours

Trois mois de concertation pour un projet controversé de télécabine à Lyon

Ce projet de "téléphérique urbain" entre la commune de Francheville et Lyon suscite l'opposition de municipalités limitrophes concernées par certains des quatre tracés définis par des études de faisabilité, telles que les mairies LR de La Mulatière ou Sainte-Foy-lès-Lyon, ainsi que de plusieurs collectifs d'habitants.Mais le Syndicat mixte des transports pour le Rhône et l'agglomération lyonnaise (Sytral) veut mettre en avant les atouts du projet, tels que la possibilité de franchir le Rhône, la Saône et le "relief contrasté" de l'ouest lyonnais pour désenclaver une voirie saturée par le trafic automobile.Le Sytral et son président Bruno Bernard, également président écologiste de la métropole de Lyon, jugent ce mode de transport électrique comme "le plus adapté" à répondre aux besoins de ces communes et aux impératifs d'apaisement et de transition écologique, même s'il reconnaît des "obstacles" tels que la présence d'imposants pylônes et un survol qui peut poser problème pour les riverains.A terme, ce transport par câble d'un coût de 150 à 165 millions d'euros est censé assurer 59.000 déplacements quotidiens entre Francheville et le sud de Lyon pour un temps de trajet de 25 à 30 minutes d'un bout à l'autre de la ligne.La concertation annoncée lundi prévoit jusqu'à mi-février 2022 de recueillir l'avis des citoyens sur l'opportunité du projet, les hypothèses de tracés, les différentes technologies envisagées, les principes d'insertion des stations et pylônes, mais aussi sur les alternatives éventuelles, tel que le bus à haut niveau de service (BHNS), aussi appelé trolleybus électrique.Devant la presse, M. Bernard a assuré lundi que sa "conviction que ce projet (de transport par câble) est le bon ne vaut pas décision", et que sa réalisation dépendrait des résultats de la concertation.Sur internet et en mairie, des registres ont été mis en place pour recueillir observations, avis ou contributions et des réunions publiques seront également organisées à Sainte-Foy-lès-Lyon, Francheville, La Mulatière, Lyon 2 et Lyon 7, précise le Sytral.Les résultats des échanges menés sous la surveillance de deux garants nommés par la Commission nationale du débat public (CNDP) seront ensuite transmis à l'Autorité organisatrice des mobilités des territoires Lyonnais (AOMTL), qui remplacera le Sytral au 1er janvier 2022. Celle-ci décidera au printemps de la suite du projet.
Il y a 3 ans et 213 jours

Après un repli au 3e trimestre, l’activité des matériaux de construction se maintient autour des niveaux de 2019

En effet, le léger rebond du mois de septembre suggère que l’atterrissage pourrait se poursuivre en douceur, les tendances ne s’éloignant guère des niveaux de production enregistrés avant le début de la pandémie. Au-delà des difficultés persistantes d’approvisionnement et des tensions sur les prix des matières premières, le climat des affaires reste très favorable dans le secteur du bâtiment et la demande ne faiblit pas. Du côté des travaux publics, l’activité a également marqué le pas au cours de l’été mais, en octobre, les professionnels se montrent plutôt confiants pour les mois à venir, même si un vrai rebond des prises de commandes se fait encore attendre.Septembre, meilleur que l’étéSelon les premiers résultats (provisoires) de l’enquête mensuelle de septembre, la production de matériaux aurait observé un rebond au regard du mois d’août (+1,1% pour les granulats et +6,5% pour le BPE, données CVS-CJO). Côté granulats, l’activité de septembre demeure toutefois un peu en dessous de celle de 2020 (-1,2%) mais aussi de 2019 (-1,4%). Sur les trois derniers mois connus (juillet à septembre), la production de granulats cède encore -3,1% au regard des trois mois précédents, “boostés” par la dynamique du premier semestre. Elle s’inscrit également en repli de -4% au regard de la même période de 2020, marquée par la sortie du premier confinement, et de -2,5% comparé aux trois mêmes mois de 2019. Au total, de janvier à septembre, l’activité des granulats se situe +13,3% au-dessus de ses niveaux d’il y a un an, mais reste proche de ceux de 2019 (-0,4%). Côté BPE, le rebond plus marqué a permis de ramener les volumes à leur niveau de septembre 2019 (+0,4%), les laissant toutefois encore un peu en-deçà de ceux de l’an dernier (-2,3%).Tout comme pour les granulats, la tendance sur les trois derniers mois demeure en repli au regard des trois mois précédents (-3,5%) mais aussi comparée aux trois mêmes mois de 2020 (-7,8%) en pleine reprise des chantiers en sortie de confinement. En cumul sur les neuf premiers mois de l’année, les livraisons de BPE se situent bien sûr nettement au-dessus de leur niveau de 2020 (+14,1%) sans trop s’éloigner de celui de 2019 (-0,9%). L’indicateur du marché des matériaux minéraux a observé le même repli d’activité au cours de l’été. En recul de -8,2% sur un an au troisième trimestre (données CJO), la tendance reste cependant très favorable puisque l’indicateur progresse de +12,5% sur les neuf premiers mois de 2021 par rapport à 2020, mais affiche aussi une hausse de +1,1% comparée à 2019.Bâtiment : les tensions persistentEn octobre, selon l’enquête menée par l’INSEE auprès des professionnels du bâtiment, le climat des affaires demeure favorable : bien qu’en léger retrait au regard des mois précédents, la confiance des chefs d’entreprise sur leur activité future se maintient bien au dessus de sa moyenne de long terme. Dans le gros œuvre, les carnets de commandes plafonnent à 9,7 mois, tandis que les tensions sont toujours aussi prégnantes. En effet, avec des capacités de production utilisées à un niveau quasi-maximal (93,1% contre 88% en moyenne sur longue période), plus de la moitié des entreprises du gros œuvre (58,9%) ne peuvent produire plus, et 71,8% d’entre elles éprouvent des difficultés à recruter. Dans le bâtiment, 15% des entreprises sont ainsi concernées par des difficultés d’approvisionnement (soit huit fois plus qu’en moyenne) et les difficultés d’offre affectent plus de la moitié d’entre elles. Cette situation impacte donc les délais de réalisation des chantiers ainsi que leurs coûts : en octobre, les chefs d’entreprise sont bien plus nombreux que les mois précédents à annoncer qu’ils vont augmenter leurs prix. Côté construction, il est vrai que l’activité reste soutenue dans le segment du résidentiel où les mises en chantier ont renoué avec leurs niveaux d’avant crise. A la fin septembre, en cumul sur douze mois, on dénombrait 387 600 logements commencés (387 800 à fin février 2020), avec une progression de +1,6% sur les trois derniers mois connus comparés aux trois mois précédents (CVSCJO), dont +0,8% pour l’individuel et +2,1% pour le collectif.Côté permis, les dépôts ont largement dépassé ceux précédant la pandémie avec un total de 464 000 unités sur douze mois à fin septembre (contre 458 200 à fin février 2020). La dynamique reste enclenchée puisque sur le troisième trimestre, les autorisations progressent encore de +1,3%, comparé au trimestre précédent, avec cette fois un segment de l’individuel plus vigoureux que le collectif (+2% et +0,8% respectivement). Il est vrai que le marché de l’individuel fait preuve d’une étonnante santé. Selon Markemétron, à fin septembre et sur douze mois, 140 300 maisons ont été vendues (+22,8% en glissement annuel), un volume bien supérieur à celui d’avant crise. Le bas niveau des taux d’intérêt, l’expérience du confinement et une offre de crédit bancaire adaptée au resserrement des critères d’octroi (apport, durée, etc.) ont soutenu la demande immobilière des ménages et primo-accédants. La perspective de la mise en œuvre de la RE2020 (dès 2022), couplée à une hausse des prix et de moins bonnes conditions de crédit qui se profilent, contribuent aussi à doper le marché. Ce contexte, conjugué aux récentes mesures inspirées du rapport Rebsamen et à la prolongation du Pinel et du PTZ annoncée début octobre, devrait inciter les promoteurs, acquéreurs privés et bailleurs sociaux à accélérer les demandes de permis, alimentant ainsi l’activité constructive pour 2022. En revanche, la construction non résidentielle demeure en retrait. La surface totale sur douze mois des locaux commencés à fin septembre atteint 25,2 millions de m², certes en hausse de +2% par rapport aux douze mois précédents, mais bien loin des niveaux d’avant crise (28,7 Mm² à fin février 2020). Même constat du côté des surfaces autorisées qui, avec 37,3 Mm² et une hausse de +4,8% sur la même période, se situent -9,3% en dessous des niveaux observés avant le premier confinement.Travaux publics : redressement graduel et tenduSelon les dernières enquêtes menées auprès des professionnels des travaux publics, l’activité aurait subi un net freinage au cours du troisième trimestre laissant le niveau des travaux réalisés bien en dessous de celui constaté au troisième trimestre 2019 (-12,4%, en volume CVS-CJO). En cumul sur les neuf mois de 2021, l’activité cède encore -2,9% par rapport à 2019 même si elle affiche une hausse de +13,5% au regard de 2020. Côté “prises de commandes”, le rebond se fait encore attendre. En septembre, les chefs d’entreprise se montrent plus optimistes sur leur activité future et jugent leurs carnets bien mieux garnis mais on est encore loin des niveaux d’avant crise tandis que, dans le même temps, les difficultés de recrutement et les coûts de production continuent de se tendre : 37% des entreprises sont confrontées à des besoins de main-d’œuvre et leurs coûts de production ont grimpé de +3,3% sur un an depuis janvier (indice TP01).
Il y a 3 ans et 213 jours

Transition écologique : Emmanuel Macron met l'accent sur l'hydrogène

INDUSTRIE. L'État consacrera 1,9 milliard d'euros d'investissements pour développer la filière hydrogène dans le cadre du plan France 2030, a rappelé le président de la République lors de la visite de l'entreprise Genvia, située à Béziers (Hérault) et spécialisée dans les électrolyseurs haute température. Cette technologie doit permettre de concilier les enjeux industriels, économiques et écologiques, selon le chef de l'État.
Il y a 3 ans et 213 jours

Saint-Gobain se densifie en Afrique et à Maurice

SITE DE PRODUCTION. Saint-Gobain se renforce en Afrique avec le rachat d'une usine de gypse au Kenya. Le groupe de matériaux de construction annonce aussi une acquisition à Maurice.
Il y a 3 ans et 213 jours

Renouvelables : des "conseillers techniques" recrutés pour accompagner les collectivités

TERRITOIRES. Le Gouvernement et l'Ademe ont annoncé les lauréats de l'appel à manifestation d'intérêt visant à recruter des conseillers techniques chargés d'accompagner les collectivités territoriales pour développer des projets de parcs éoliens et de centrales solaires en région. Animation de ces réseaux et formations seront proposées en début d'année prochaine.
Il y a 3 ans et 213 jours

Les critères du futur dispositif "Pinel+" dévoilés, avec un accent sur le confort des logements

Le dispositif Pinel, lancé en 2014, permet aux propriétaires de logements neufs dans les zones tendues, c'est-à-dire là où la demande est forte, de bénéficier d'une réduction d'impôts s'ils mettent leur bien en location en respectant le plafonnement des loyers.Il devait expirer fin 2021 mais va finalement commencer à subir une réduction des avantages fiscaux en 2023, avant de disparaître totalement en 2024, a expliqué le ministère, après une conférence de presse de la ministre Emmanuelle Wargon.Le "Pinel plus" prendra la suite et commencera en 2023, selon de nouveaux critères plus exigeants sur la qualité du logement.La surface minimale du logement devra être de 28 mètres carrés pour un appartement d'une pièce, de 45 mètres carrés pour un deux-pièces, de 62 mètres carrés pour un trois-pièces, de 79 mètres carrés pour un quatre-pièces, tandis que le cinq-pièces devra mesurer au minimum 96 mètres carrés.Les logements devront aussi avoir "un accès systématique à un espace extérieur", a indiqué la ministre, et à partir du trois-pièces, l'appartement devra même être traversant.En plus des critères de confort, les logements devront également répondre à un critère de qualité environnementale.D'ici à 2024, "les taux actuels du Pinel seront maintenus pour les opérations portant, d'une part, sur des logements situés dans un quartier prioritaire de la politique de la ville et, d'autre part, sur des logements qui respectent un haut niveau de qualité", a précisé le ministère dans un communiqué.Dans le détail, si les propriétaires respectent les critères et s'engagent à demander un loyer inférieur au marché, le dispositif fiscal "Pinel plus" leur permet une réduction de leur impôt sur le revenu de 12% du prix d'acquisition du bien s'ils louent pendant 6 ans, de 18% pour une location pendant 9 ans et de 21% si la location dure 12 ans.
Il y a 3 ans et 213 jours

Adoption du pacte de Glasgow pour le climat à la COP26 : une dynamique à poursuivre

Cette COP était particulièrement importante car, comme le rappelle le dernier rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) publié en août 2021, le monde n'est pas sur la bonne voie pour rester en dessous des 2 °C voire 1,5 °C de réchauffement global par rapport à l'ère préindustrielle, objectif à long terme de l'Accord de Paris. Les deux semaines de négociations ont permis d'aboutir le 13 novembre à l'adoption du « Pacte de Glasgow pour le climat », permettant notamment de finaliser les règles d'application de l'Accord de Paris, mais ne répondant pas totalement aux ambitions qui étaient fixées.Le Pacte de Glasgow pour le Climat a permis d'aboutir sur plusieurs points importants qui étaient en discussion :Finalisation de l'Accord de Paris, le rendant pleinement opérationnel, six ans après son adoption, par des règles robustes :Adoption de l'article 6, qui prévoit des mécanismes autorisant les Parties à échanger des réductions d'émissions afin d'atteindre leur CDN, sans double-comptage ;Adoption du cadre de transparence renforcée (article 13) : les Parties devront désormais rapporter leurs émissions de gaz à effet de serre de la manière la plus détaillée possible et de façon comparable.Atténuation : le Pacte de Glasgow pour le climat demande aux Parties de rehausser leur ambition dès 2022 dès lors que leur contribution déterminée au niveau national ne serait pas dans la trajectoire de l'Accord de Paris. L'ensemble des contributions nationales seront désormais transmises au secrétariat des Nations-Unies, et feront l'objet d'un rapport de synthèse annuel.Adaptation : création d'un programme de travail 2022-2023 visant à la mise en œuvre de l'objectif mondial d'adaptation. Les pays développés s'engagent à doubler la finance pour l'adaptation d'ici 2025 par rapport au niveau de 2019.Biodiversité : la contribution des écosystèmes en tant que puits et réservoirs de gaz à effet de serre et l'importance de les protéger pour atteindre l'objectif des 1,5° sont ancrées dans les décisions. La France regrette néanmoins que les « Solutions fondées sur la nature », qui permettent d'agir sur la lutte contre le changement climatique ou la gestion des risques naturels grâce aux écosystèmes, n'apparaissent pas dans le texte.Pour la première fois dans un document de la Convention climat, la réduction des énergies fossiles est mentionnée dans la déclaration finale. Néanmoins, la France regrette que le terme "disparition progressive" du charbon ait été remplacé in extremis par "diminution progressive".Malgré des avancées sur les pertes et les préjudices (notamment l'adoption des fonctions du Réseau de Santiago, qui visent à faciliter la mise en œuvre de mesures de soutiens, et l'accès aux mesures d'assistance), les pays les plus vulnérables jugent celles-ci insuffisantes. De nouvelles discussions sont déjà à l'ordre du jour de la COP27.La France s'est également engagée dans plusieurs coalitions pour accélérer sa lutte contre le changement climatique :Fin des financements à l'étranger de projets d'exploitation d'énergies fossiles d'ici fin 2022La France a rejoint l'accord mettant fin aux financements à l'étranger de projets d'exploitation d'énergies fossiles d'ici fin 2022. Cette déclaration concerne à la fois l'aide publique française au développement bilatérale et les financements à l'export. Elle fait écho à la dynamique initiée par la France à travers la coalition internationale Export Finance for Future (E3F).La France a également rejoint la coalition internationale Beyond Oil and Gas (BOGA). En créant une communauté internationale de pratiques, cette alliance aide les Gouvernements à respecter leur engagement en faveur d'une élimination progressive de la production de pétrole et de gaz.Réduction des émissions de méthane de 30% par rapport à 2020 d'ici 2030Plus de 100 pays ont rejoint le Gobal Methane Pledge, lancé par les États-Unis et l'Union européenne en septembre 2021. Cet engagement mondial, qui vise à réduire les émissions de méthane (2e gaz à effet de serre, après le CO2) de 30 % d'ici à 2030, par rapport aux niveaux de 2020, est le premier en la matière. « Si on réduit de 30% les émissions de méthane, d'ici 2030, c'est comme si on se débarrassait de tous les bateaux, de tous les avions, de tous les camions qui sont sur terre, en termes d'émissions » a précisé John Kerry.Soutien financier à la transition énergétique en Afrique du SudL'Afrique du Sud, la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni, les États-Unis et l'Union européenne ont annoncé le lancement d'un partenariat pour la transition énergétique juste en Afrique du Sud. L'Afrique du Sud s'engage à décarboner sa production d'électricité (fermeture des centrales à charbon) et à investir dans la mobilité électrique et l'hydrogène, tandis que les cinq partenaires promettent un soutien financier de 8,5 milliards de dollars sur les 3 à 5 prochaines années.Rehaussement de la contribution de la France pour la finance climat à hauteur de 7 milliards de dollars par anS'agissant de l'objectif des 100 milliards de dollars annuels pour les pays en développement, la France a rehaussé sa contribution à 7 milliards de dollars (6 Md€) par an, dont un tiers pour l'adaptation. Elle a aussi annoncé une contribution au Fonds pour les pays les moins avancés d'un montant de 20 millions d'euros.Soutien aux « Glasgow Breakthroughs » pour rendre l'innovation et les technologies propres abordables pour les pays en développement d'ici 203042 pays, dont la France, se sont engagés à soutenir les « Glasgow Breakthroughs » (avancées de Glasgow), visant à rendre l'innovation et les technologies propres abordables pour les pays en développement d'ici 2030. Les cinq secteurs d'activité les plus émissifs sont concernés : électricité, acier, hydrogène, véhicules, agriculture.Accélération des investissements et la coopération internationale pour les réseaux électriques vertsLe Royaume-Uni, l'Inde, la France, les États-Unis et l'Australie, en lien avec l'Alliance solaire internationale, ont lancé l'initiative Green Grids Initiative-One Sun One World One Grid afin d'accélérer les investissements et la coopération internationale pour les réseaux électriques verts.Arrêt de la déforestation et de la dégradation des terres d'ici 2030Une centaine de chefs d'États et de gouvernements ont adopté une déclaration sur les forêts et l'utilisation des terres. Les pays signataires, dont la France, s'engagent ainsi à stopper et inverser la déforestation et la dégradation des terres d'ici 2030. Un engagement financier collectif sur 2021-2025 de 12 milliards de dollars, le « Global Forest Finance Pledge », est publié (1 Md pour l'UE, 800 M pour la France).Parallèlement, 12 pays, dont la France, ont présenté un engagement pour la protection du bassin du Congo (2e forêt tropicale du monde) et ont annoncé un financement à hauteur de 1,5 milliards de dollars pour les 5 prochaines années.Réaffirmation du soutien à la Grande muraille verteLes chefs d'État et de Gouvernement de la Grande muraille verte ont réaffirmé leur soutien à l'initiative lancée lors du One Planet Summit de janvier 2021. Près de la moitié des 19 milliards de dollars promis pour la construction de la Grande muraille verte ont déjà été engagés.Troisième déclaration de l'initiative Because the Ocean pour accélérer les efforts visant à supprimer les émissions de gaz à effet de serre issues du transport maritime internationalL'initiative Because the Ocean (BTO), signée en 2015 à la COP21 par 23 pays, dont la France, a lancé sa troisième déclaration. Elle y réaffirme notamment que la protection de l'océan est indispensable à lutte contre le changement climatique et propose d'accélérer les efforts visant à supprimer les émissions de gaz à effet de serre issues du transport maritime international.Signature de la « Clydebank Declaration » pour soutenir la création de corridors verts entre deux portsLa France a signé la « Clydebank Declaration » visant à soutenir l'établissement de corridors verts (routes maritimes zéro émission) entre deux ports. Pour y parvenir, la déclaration s'appuie sur la collaboration internationale et la mise en place de partenariats entre les acteurs concernés : armateurs, ports, énergéticiens… L'objectif collectif des signataires est la mise en place d'au moins 6 corridors d'ici 2025.Ralliement à la coalition sur l'ambition climatique de l'aviation internationale, pour réduire les émissions du secteur aérienLa France a rejoint la nouvelle coalition sur l'ambition climatique de l'aviation internationale (International Aviation Climate Ambition Coalition) lancée le 10 novembre lors de la journée dédiée au transport, avec la signature d'une déclaration sur l'ambition climatique. Les signataires s'engagent notamment à promouvoir des mesures spécifiques pour réduire les émissions du secteur aérien (carburants durables, régime de compensation et de réduction de carbone pour l'aviation internationale, nouvelles technologies).Signature d'un appel à l'action sur les infrastructures de recharge pour véhicules électriques dans le but d'atteindre le zéro émission du transport routierLa France a signé le 10 novembre, avec d'autres États, des villes, régions, entreprises, un « Call to action » sur les infrastructures de recharge pour les véhicules électriques. S'inscrivant dans l'ambition commune d'atteindre le zéro émission du transport routier, cet Appel doit inciter les acteurs à déployer ces infrastructures.
Il y a 3 ans et 213 jours

Relance : Bercy renforce les prêts participatifs à destination des PME

ÉCONOMIE. Pour favoriser au maximum la reprise économique, Bercy vient de signer une convention octroyant la garantie de l'État à un fonds d'obligations estampillées France Relance, destinées aux PME et ETI de tous les secteurs d'activité souhaitant investir. En complément, le Gouvernement simplifie les critères d'éligibilité aux prêts participatifs du Plan de relance, qui peuvent se substituer aux PGE.
Il y a 3 ans et 213 jours

Modernité : Nancy, de la place royale à son Art nouveau

Le 15 septembre 2021, la place Stanislas de Nancy est désignée « Monument préféré des Français ». Pour une fois, je veux donner crédit aux sondeurs, oublier la liste proposée et ne retenir que le résultat ! C’est une leçon manifeste, il n’y a pas d’architecture sans commande d’architectures. La beauté n’est pas tombée du ciel, elle est […] L’article Modernité : Nancy, de la place royale à son Art nouveau est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 213 jours

Un observatoire de l'économie de l'architecture pour "combler les zones d'ombre"

ARCHITECTES. De quelle économie est faite la filière ? C'est la question à laquelle devra répondre l'Observatoire de l'économie de l'architecture, lancé le 16 novembre. Il aura notamment pour mission d'éclairer les zones d'ombre de la profession, en particulier concernant les architectes qui ne sont pas inscrits à l'Ordre mais qui exercent l'architecture ou des métiers "connexes".
Il y a 3 ans et 213 jours

Aldes renforce sa stratégie digitale et présente des produits conformes à la RE2020

STRATÉGIE. Les aides publiques à la rénovation font bondir la croissance du marché de la ventilation, se réjouit Aldes, spécialiste en solutions pour la qualité de l'air intérieur et le confort thermique. L'entreprise a, pour l'occasion, dévoilé de nouveaux produits.
Il y a 3 ans et 213 jours

Barbara Pompili et Bérangère Abba lancent le fonds d'amorçage du Label Bas-Carbone

Concrètement, des entreprises, acteurs publics ou citoyens peuvent financer des projets locaux de réduction d’émission de gaz à effet de serre ou de séquestration de CO2 avec des méthodologies fiables et reconnues qui font désormais référence. Le Label Bas-Carbone permettra notamment de financer des projets de boisement ou de reconstitution de forêts dégradées qui ont un impact positif sur la biodiversité.À l’occasion de son déplacement en Ardèche, le jeudi 26 août dernier, Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, avait annoncé son ambition de mobiliser des financements d’ici la fin de l’année 2021 auprès d’acteurs volontaires pour constituer un fonds d’amorçage d’1 MtCO2 évitées. Le 1er septembre 2021, Barbara Pompili a rencontré plusieurs entreprises ayant déjà financé des projets ou volontaires pour s’inscrire dans la démarche, afin leur présenter le dispositif et les inciter à s’engager ou à se réengager. L’objectif annoncé par la ministre est d’atteindre d’ici fin 2021 un volume d’au moins 1 MtCO2 évitées et ainsi développer et consolider une offre de projets pérennes.Ce fonds d’amorçage est désormais en place. Il est proposé à toute structure déterminée à s’engager dans les trois prochaines années à financer des projets labellisés, de remplir un manifeste d’engagement qui est disponible sur la page internet du Label Bas-Carbone. Cet engagement permettra à ces structures de recevoir des actualités sur les méthodes approuvées et les projets nouvellement labellisés et disponibles au financement, mais aussi d’être mises en relation avec des mandataires ou porteurs de projet dans les secteurs qui les intéressent, et enfin d’être valorisées dans la communication du Ministère de la Transition Ecologique.Les financements qui seront générés permettront d’accélérer le développement des projets labellisés Bas Carbone en France afin de répondre à plusieurs ambitions récentes fixées par la Loi Climat et Résilience dans le domaine de la compensation des activités émettrices de gaz à effet de serre.C’est particulièrement le cas de l’article 147 de cette même loi qui vise à donner un cadre robuste d’intégrité environnementale aux projets de compensation qui pourront être mobilisés par les compagnies aériennes pour remplir leurs obligations de réduction d’émissions. La loi prévoit de donner la priorité aux projets européens et français afin de générer un effet levier sur le développement de ces projets sur notre territoire. Il s’agit également d’orienter ces nouveaux financements pérennes vers des projets dans les secteurs agricole et forestier tout en incitant les compagnies aériennes à financer des projets favorables à la biodiversité.Le Ministère de la Transition Ecologique va initier dans les prochains jours, une concertation avec les acteurs de la filière en vue d’affiner la rédaction du décret en Conseil d’Etat permettant la mise en œuvre de cette obligation de compensation des émissions de gaz à effet de serre des vols aériens intérieurs introduite par l’article 147 de la loi Climat Résilience.L’ensemble des détails pratiques est à retrouver sur la page internet du Label Bas-Carbone.
Il y a 3 ans et 213 jours

Un chèque-inflation que l’architecte ne touchera pas

Dubois s’interroge sur la pertinence du logement social pour tous. Ethel Hazel, sa psy, tente de faire la part de ses émotions professionnelles et personnelles. L’inspecteur Nutello n’est, pour une fois, pas malheureux de décrypter le tueur à l’œuvre ; en plus il a un corps. *** « L’Unité d’Habitation crée un phénomène social productif dans […] L’article Un chèque-inflation que l’architecte ne touchera pas est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 213 jours

I-ROAD® : la nouveauté prêt-à-poser en béton armé autoportant en 3m d’un seul tenant

Après le succès du I-TRAX®, Hauraton France lance le dernier né de la gamme : le I-ROAD® doté d'une cornière enveloppante galvanisée en un seul tenant.Ce nouveau système XTREMFIX I-ROAD® vient compléter la gamme XTREMFIX par une solution autoportante en béton armé haute performance ultra-lisse et auto-plaçant (classe de charge maximale D400), assortie d'une armature métallique double nappe.Exclusivité : des caniveaux de 3 mètres d'un seul tenantConçu et fabriqué en France, ce système propose pour la première fois sur le marché une dimension de 3 mètres d'un seul tenant par un emboîtement à triple mâchoires, garantissant une bonne étanchéité.La présence des crochets artéon sur les côtés assurent une manutention rapide et sécurisée.Contrairement au type M, qui nécessite un cuvelage béton pour résister aux charges verticales et horizontales de service, ce nouveau type I ne nécessite ni fondation de pose ni épaulement béton.De même que le reste de la gamme, ce caniveau est circulable en phase chantier et répond aux normes EN1433, CE et PMR.Les avantages du type I autoportant – classe DCornière enveloppante galvanisée exclusive de 3m en un seul tenant et dotée d'un système anticorrosionCornières ancrées dans le béton par 14 points d'ancrageGrilles boulonnées sur cnx par vis M10 dans les douilles artéon pour une résistance optimale du produit et un assemblage pérenneSystème de levage exclusif par crochets artéonBéton armé BHP par armatures métalliques double-nappePose compatible avec le I-TRAX en F et I-ROAD en D
Il y a 3 ans et 213 jours

Coups de pouce pour l’éco-prêt à taux zéro

Un nouvel amendement propose plusieurs évolutions de l’éco-prêt à taux zéro afin d’accélérer la rénovation énergétique des bâtiments. Le dispositif est d’abord proprogé de deux ans soit jusqu’au 31 décembre…Cet article Coups de pouce pour l’éco-prêt à taux zéro est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 213 jours

Les isolants biosourcés, une réponse durable aux pénuries et à l’épuisement des ressources

Depuis quelques mois les tensions sont fortes sur le marché des produits de construction et des pénuries sont apparues pour de nombreux matériaux. Les maté riaux biosourcés sont une réponse fiable à cette problématique. Matières premières renouvelables, abondance de la biomasse, chaînes logistiques courtes et locales ou encore fort développement des capacités de production la […]
Il y a 3 ans et 213 jours

Une première pour un fabricant de laine de verre

Reconnu pour la transparence de ses produits, Knauf Insulation, est le premier fabricant de laine minérale européen à obtenir le label DECLARE « Red List Free » avec son offre…Cet article Une première pour un fabricant de laine de verre est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 213 jours

Deltamod livre 1.700 m² de bureaux modulaires reconditionnés en Ile de France

L’objectif de ce projet était de mettre en place une capacité d’accueil dans les meilleurs délais, avec une forte valeur ajoutée quant aux besoins d’usage et une approche constructive responsable. 1.700 m² issus du reconditionnement de 2 bâtiments modulairesPrécurseur sur ce métier émergent du réemploi immobilier, l’entreprise nantaise Deltamod, spécialiste du rachat, reconditionnement et transfert de bâtiments hors-site modulaire en France depuis 2013, s’appuie sur sa nouvelle usine de 3.000m², unique en France, parce que conçue et dédiée au reconditionnement de constructions industrialisées, et les 30.000 m² de surface de stockage pour accueillir des bâtiments modulaires disponibles afin de répondre immédiatement aux demandes des clients mais pas seulement.DELTAMOD assure un "sourcing" permanent des opportunités et disponibilités de bâtiments modulaires inexploités afin de proposer des solutions de valorisation à toutes les parties prenantes. C’est le cas de ce projet de reconditionnement pour lequel Deltamod a recensé 2 bâtiments modulaires disponibles auprès de deux grandes entreprises françaises, PSA (Peugeot, Citroën) et SANOFI."Ce projet reflète l’excellence et le savoir-faire de notre entreprise." évoque Pierre VISONNEAU, Directeur général de Deltamod, sourcing, valorisation, transformation autour de process constructifs hors site et une approche globale bas carbone. "Nous avons créé un seul et même bâtiment de 1 700 m² de surfaces à partir de 2 structures existantes que nous avons reconditionné sur site pour une grande partie intégrant toute la gestion de maîtrise d’ouvrage dans le but de répondre au nouvel usage de notre client. Nous avons ainsi diminué les coûts d’installation ainsi que l’impact carbone sans oublier le temps d’installation réduit à son maximum par rapport à du neuf" ajoute Pierre Visonneau.1.700 m² transférés, reconditionnés, achevés en 10 moisDeltamod a ainsi transféré du groupe PSA Sochaux (25), 1.270 m² de bureaux jusque-là utilisés au développement de la marque Citroën DS sur le nouveau site pour engager le reconditionnement et le nouvel agencement sous la direction des équipes Deltamod et l’assistance de partenaires/prestataires.En ce qui concerne les 430 m² suivants, Deltamod s’est tournée vers SANOFI (60) qui n’avait plus l’usage d’un bâtiment administratif. Ce programme a été entièrement "retrofité" dans l’usine de reconditionnement Deltamod avant de rejoindre le site final pour compléter les besoins en un seul corps.Résultat, deux sources distinctes mais un seul bâtiment final avec un niveau de finitions intérieures proche d’une opération neuve, sur 3 niveaux (R+2) en un temps record de 5 mois pour la partie opérationnelle et de 10 mois intégrant la période d’étude.L'économie circulaire et le hors-site ouvrent le champ des possiblesLes enjeux environnementaux font du réemploi une priorité et permet le développement d’un nouveau modèle, plus économique, plus vertueux parce que plus sobre. Le choix d’utiliser le reconditionné devient une marque d’engagement autant que d’être une opportunité économique. Il gagne désormais tous les secteurs d’activité (téléphonie, automobile) et la construction hors-site ouvre aussi le secteur immobilier et de la construction à ce potentiel.Tout le potentiel du réemploi immobilierUn bénéfice environnementalLes systèmes constructifs hors site ont la même durée de vie qu’une construction traditionnelle, c’est à dire environ 50 ans. Les systèmes modulaires parce qu’assemblables, démontables, transférables et transformables, représentent un potentiel unique de réemploi et d’économie de ressources naturelles. Modernisables, réalisés à partir de matériaux recyclables, ils accompagnent aussi l’approche bas carbone en devenant, comme toute construction, de moins en moins énergivore.A qualité égale, la construction hors-site est toujours plus rapideEn combinant les atouts de la construction hors site modulaire et le reconditionnement de cette typologie constructive, on arrive à des délais de mise en œuvre incomparables quand la réactivité devient clé.Économiser du temps, de l’argent et préserver l’avenirA usage comparable, la réponse constructive hors-site devient plus compétitive grâce à l’économie d’échelle industrielle et au gain de temps. Dans le secteur modulaire, la logique de réemploi accélère encore le champ des possibles et des délais ! Sans compter le bénéfice économique en valorisant une structure existante et l’économie environnementale par la préservation de ressources naturelles (matériaux de construction). Avec une durée de vie structurelle de 50 ans en moyenne, c’est 50 ans de valorisation immobilière possible parce que modifiable, optimisable, transformable.Deltamod, l'industrialisation d'un nouveau service immobilierA cette échelle programmatique et au regard des normes constructives en vigueur, Deltamod propose une solution globale à partir d’une organisation et des moyens industriels en phase. Ingénierie et transfert sont gérés par le bureau d’études intégré et le service logistique. La capacité à reconditionner près de 400 m² dans une unité industrielle dédiée montre la pertinence de l’offre technique et industrielle de Deltamod. C’est la prestation complète du projet qui apporte la cohérence finale à la solution de réemploi de la société Deltamod.Une gestion globale pour une maîtrise technique, économique et calendaireDeltamod assure la totalité des opérations du projet, du terrassement en passant par le transport jusqu’à la mise en service final des bâtiments reconditionnés sur-mesure."Maîtriser la chaîne globale du réemploi est notre force. Référent sur ce marché depuis 2013, nous avons bâti des relations de confiance avec des prestataires sur tous les domaines périphériques au reconditionnement du bâtiment modulaire hors-site. Nous sommes l’interlocuteur principal de notre client et nous gérons l’ensemble du chantier et des corps d’état nécessaires. Expertise, réactivité, maitrise, économie et développement durable sont donc au rendez-vous" conclut Pierre Visonneau.Des bâtiments modulaires réutilisés dans 6 ansSi l’utilisation du bâtiment modulaire est actée par notre client pour une durée de 6 ans, la vie du programme immobilier perdure… En effet, il est fort à parier que ces 1.700 m² de bureaux reconditionnés et modernisés seront disponibles à un nouvel usage sur un nouveau site, grâce à l’offre Deltamod.
Il y a 3 ans et 213 jours

Isolant durable

Étanche à l’humidité, insensible aux rongeurs et incompressible, l’isolant FOAMGLAS® conserve ses propriétés et son efficacité énergétique pendant toute la durée de vie du bâtiment. Les plaques FOAMGLAS® T3+, FOAMGLAS® READY T3+ et FOAMGLAS® FLOOR BOARD T3+ sont constituées de verre cellulaire dernière génération de qualité T3+. Elles permettent d’isoler thermiquement toutes les parois du bâtiment, du sol à la toiture, sur tous types de supports (sol stabilisé, béton, maçonnerie, bois, bac acier). La conductivité thermique du verre cellulaire T3+ est de 0,036W/m2.K. Par exemple, pour une épaisseur de 18 cm, sa résistance thermique Rth est de 5 m2.K/W et sa conductance thermique U est de 0,20 W/m2.K, garanties 25 ans.
Il y a 3 ans et 213 jours

Isolant durable

Étanche à l’humidité, insensible aux rongeurs et incompressible, l’isolant FOAMGLAS® conserve ses propriétés et son efficacité énergétique pendant toute la durée de vie du bâtiment. Les plaques FOAMGLAS® T3+, FOAMGLAS®…Cet article Isolant durable est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 213 jours

Sika achète le groupe allemand MBCC

Le chimiste du bâtiment suisse se renforce avec l’acquisition pour 5,2 Md€ de l’ancienne division de BASF spécialisée dans les systèmes et additifs pour la construction.