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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88092 résultats)
Il y a 3 ans et 222 jours

Hellio propose un Vrai / Faux sur les passoires thermiques et fait le point pour y voir plus clair

1/ En France, 4,8 millions de logements sont des passoires thermiques. VRAICette donnée a été publiée en 2020 par le ministère de la Transition écologique. Le Gouvernement a mis en place un plan massif de rénovation énergétique, notamment afin d'éradiquer les passoires thermiques, un fléau économique (factures exorbitantes), social (exclusion et problèmes sanitaires) et environnemental (émissions de CO2 et gaspillage des ressources pour chauffer).L'objectif ambitieux est de rénover 500.000 logements par an, dont 250.000 occupés par des ménages modestes (et près d'1/3 de logements sociaux afin de faire disparaître les passoires énergétiques du parc social).À cet effet, le budget de MaPrimeRénov' a été revu à la hausse en 2022 : 2 milliards d'euros. La cinquième période du dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie (CEE), de 2022 à 2025, consacre également plus d'importance aux opérations destinées aux ménages précaires ; en effet, il s'agit du public le plus représenté parmi les propriétaires ou locataires de passoires thermiques.2/ Les passoires thermiques sont des logements chauffés au fioul. FAUXLa désignation d'un logement en tant que passoire thermique (ou « passoire énergétique ») ne tient pas compte de l'énergie de chauffage – du moins directement. Il s'agit en fait des logements les plus mal classés sur l'étiquette énergie, soit F ou G, après un diagnostic de performance énergétique (DPE).Les deux critères qui déterminent la classe énergétique sont :La consommation énergétique primaireLes émissions de gaz à effet de serrePlus un logement consomme de l'énergie et rejette du CO2, plus sa lettre est dégradée. En 2021, la réforme du DPE impose de nouveaux seuils de classification :Lettre F : consommation au-delà de 330 kWh/m2.an ou émissions au-delà de 70 kg CO2eq/m2.an ;Lettre G : consommation au-delà de 420 kWh/m2.an ou émissions au-delà de 100 kg CO2eq/m2.an.Indirectement, des logements chauffés avec un combustible polluant – comme le fioul – rejettent plus de gaz à effet de serre, ce qui favorise un mauvais classement. Mais le seul fait d'utiliser le fioul n'entraîne pas l'attribution automatique de l'étiquette F ou G.3/ Je n'aurai plus le droit de louer mon logement si c'est une passoire dès 2028. VRAI et FAUXLe calendrier d'interdiction des passoires à la location est étalé sur plusieurs années, afin d'inciter progressivement les propriétaires à rénover leur logement énergivore et le rendre plus décent :1er janvier 2025 pour les logements classés G ;1er janvier 2028 pour les logements classés F ;1er janvier 2034 pour les logements classés E.À noter qu'avec la réforme du DPE en 2021, de nouveaux seuils s'appliquent, ainsi qu'une nouvelle forme unique d'étiquette énergie.4/ Je dois faire un DPE plutôt qu'un audit avant de vendre mon logement. FAUXPour rappel, l'audit énergétique est un bilan plus complet que le diagnostic de performance énergétique. Le DPE, quant à lui, détermine la classe énergétique d'un logement, entre A et G, en fonction de sa consommation d'énergie primaire et de ses émissions de gaz à effet de serre.Dans le cas général, tout logement mis en vente doit être accompagné des résultats du DPE, valide 10 ans. Si des travaux d'efficacité énergétique ont été réalisés depuis le dernier diagnostic, il est conseillé mais pas obligatoire d'en effectuer un nouveau, afin d'obtenir une meilleure lettre et valoriser le bien.Avec la loi Climat et résilience de 2021, les logements individuels les plus énergivores mis en vente doivent faire l'objet d'un audit énergétique préalable, plus poussé que le DPE. Cette obligation est répartie sur 3 échéances :2022 : audit imposé pour les passoires thermiques (lettre F ou G) ;2025 : audit imposé pour la classe E ;2034 : audit imposé pour la classe D.5/ Si je fais mon DPE maintenant, il risque d'être invalidé. FAUXLa nouvelle version du DPE, entrée en vigueur le 1er juillet 2021, a rapidement fait l'objet de critiques. En effet, de nombreux logements ont vu leur classe énergétique se dégrader à cause d'une « anomalie dans la méthode de calcul », notamment ceux construits avant 1975.Résultat : les DPE pour ce type de bâtiment ancien ont été suspendus provisoirement le 24 septembre 2021. Mais une nouvelle méthode est entrée en vigueur depuis le 1er novembre, pour corriger les défauts relevés.Comme l'indique le service public :Pour les logements construits avant 1975 et classés F ou G, les DPE seront réédités de manière automatique par les diagnostiqueurs, sans frais pour les propriétaires.Pour les logements construits avant 1975 et classés D ou E, les propriétaires pourront demander une réédition de leur DPE, sans frais supplémentaire.En revanche, pour les logements plus récents, le calcul mis en place le 1er juillet a continué de s'appliquer, sans aucune invalidation.
Il y a 3 ans et 222 jours

Un géant du sport s’installe à Strasbourg

Depuis mai 2021 la marque Puma a installé son nouveau siège français à Strasbourg. Un espace de 4200 m2 conçus par les équipes de DRLW architectes. L’ensemble repose sur 350 pieux avec des modes constructifs multiples comme des poutres, prédalles en béton armé, dalles… Le bâtiment tout en transparence  reflète un environnement empreint de culture et d’histoire. Sa façade vitrée se déploie selon un principe de double peau, maîtrisé par le fabricant-installateur Druet, partenaire de Schüco sur cette opération, elle lui confère une lumière naturelle abondante modulable. La double peau de verre enserre une lame d’air générant une ventilation naturelle. Dans ce même espace, entre le mur-rideau et la paroi en verre extérieur collé, se glisse un brise-soleil orientable (BSO) caché par un système de cassettes aluminium. Chaque nez de dalle est équipé de capteurs scolaires pour activer les éléments du BSO selon l’ensoleillement via la GTB ou via la tablette de chaque employé.  La combinaison de vitrages alliée au système d’ombrage mécanique permet une gestion énergétique et une isolation phonique et thermique améliorées pour le confort des usagers. Contrôlé par GTB et parcouru de capteurs de luminosité et température, l’immeuble vise la certification Breeam au niveau Very good.
Il y a 3 ans et 222 jours

Concours d’innovation de la forêt et du bois

A l’occasion de la seconde édition du Canopée Challenge, la filière forêt bois se mobilise pour faire émerger des solutions d’avenir. La filière se mobilise pour faire éclore des projets innovants. Le challenge récompensera 7 projets dans 3 catégories : Création, Développement et International avec une dotation globale de 60 000 €. De plus une dotation complémentaire de 10 000 € est également prévue à travers des prix « coups de coeur » qui pourront être décernés par des co-organisateurs comme l’ESB, Fibois France ou encore Xylofutur. Certains critères vont permettre de se démarquer comme l’innovation technologique ou l’impact social. Les présélection commenceront le 13 janvier 2022 afin de pouvoir participer à la grande finale qui aura lieu à Paris le 11 mai 2022. La filière forêt bois qui est forte de 440 000 emplois se trouve au carrefour des enjeux économique et environnementaux, le Canopée Challenge, est donc la pour favorisé les démarches de recherche et développement en consolidant les passerelles vers de nouveaux secteurs d’activité. L’objectif est de mettre en lumière et d’accompagner toutes les innovations proposées. Etudiants, chercheurs, startups et entreprises de tous secteurs, implantés en France mais aussi à l’étranger, peuvent proposer leurs idées en ligne, jusqu’au 12 décembre.
Il y a 3 ans et 222 jours

Une plateforme vient en aide aux jeunes en recherche d’emplois dans le BTP

Destination BTP est une solution pour les jeunes sans affectation scolaire ou en désaccord avec leur filière professionnelle. La plateforme propose de venir en aide aux jeunes dans leur recherche d’une formation en apprentissage ou d’une entreprise dans les métiers du BTP. Elle propose également de faciliter la rencontre entre le projet d’un professionnel d’un candidat et un besoin de recrutement d’une entreprise du BTP. Le suivi se fait à l’aide de 3 outils : définition du projet professionnel grâce à un test d’orientation, un renforcement du projet à l’aide de stage et la création du CV pour favoriser la mise en relation avec une entreprise qui souhaite recruter un apprenti.
Il y a 3 ans et 222 jours

Cession d'Equans par Engie : Bouygues rafle la mise

ACQUISITION. La décision était attendue et elle est tombée samedi 6 novembre. Exit Eiffage et le fonds américain Bain Capital ! Engie a porté son choix sur Bouygues pour la vente de sa filiale de services techniques dans l'énergie Equans. Retour sur l'opération et ses modalités.
Il y a 3 ans et 222 jours

Saint-Gobain va investir 400 millions de dollars aux États-Unis

Cet investissement, étalé sur quatre ans, concernera quatre "sites de production clés" en Californie et dans le sud-est du pays, qui produisent toitures, isolants et plaques de plâtre."Les investissements cumulés permettront de réduire les déchets de plus de 50% et les émissions de CO2 de plus de 20% par rapport aux technologies existantes", souligne Saint-Gobain.Ils s'inscrivent dans le cadre du nouveau plan stratégique "Grow & Impact" et "visent à la fois à renforcer le leadership du groupe en Amérique du nord et à accélérer sa croissance dans la région", en complétant la gamme de construction légère qui représente 45% des ventes de produits de construction en Amérique du nord.En mars, Saint-Gobain avait annoncé un accord d'achat d'énergie durable pour une période de 12 ans avec Invenergy aux Etats-Unis, visant à permettre au groupe d'atteindre son objectif de neutralité carbone d'ici à 2050.
Il y a 3 ans et 222 jours

Les tendances d'innovation du secteur du BTP décryptées dans un observatoire et un premier guide

Réalisé par l'OPPBTP, le CCCA-BTP et Impulse Partners, l'observatoire des tendances détaille plus de 40 champs d'innovation ainsi que leurs impacts sur les métiers, la sécurité, la prévention et la formation.
Il y a 3 ans et 222 jours

A Saclay, pôle sportif et résidence étudiante signés RMDM et Remingtonstyle

Les agences RMDM et Remingtonstyle Architectes sont lauréates en octobre 2021 pour un pôle sportif de quartier et un programme de logements étudiants sociaux au sein du Campus urbain de Paris-Saclay. Livraison prévue : 2025. Communiqué. L’EPA Paris-Saclay et Toit et Joie – Poste Habitat, désigné lauréat de la consultation de bailleurs et de gestionnaires pour […] L’article A Saclay, pôle sportif et résidence étudiante signés RMDM et Remingtonstyle est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 222 jours

Travail détaché : avec ses homologues européennes, l'Inspection du travail contrôle le BTP

RÉGLEMENTATION. Les inspecteurs français du travail ont réalisé trois séries de contrôles en collaboration avec leurs homologues bulgares, espagnols et italiens, auprès d'environ 70 entreprises de l'agriculture et de la construction. Ces secteurs d'activité sont connus pour recourir largement aux travailleurs en situation de détachement.
Il y a 3 ans et 222 jours

Le coût des sinistres climatiques en France pourrait doubler d'ici 2050

La facture totale des sinistres climatiques sur la période 2020-2050 pourrait doubler par rapport aux 30 années précédentes, a estimé la Fédération française des assurances (FFA).
Il y a 3 ans et 222 jours

Les petites villes réinventent l’habitat

Les Etats généraux de l’habitat placeront les lauréats du programme « Petites villes de demain » sur le devant de la scène de l’aménagement, les 25 et 26 novembre à l’école nationale supérieure d’architecture de Paris Val-de-Seine. Principal organisateur de l’événement, la fédération nationale des parcs naturels régionaux ambitionne la production d’un manifeste « qui donne tout son sens au mot habiter », annonce Nicolas Sanaa, chargé de mission Aménagement du territoire.
Il y a 3 ans et 222 jours

Chantier EPR de Flamanville : Bouygues condamné pour travail dissimulé

Bouygues TP doit payer plus de 2 millions d'euros au Trésor public à la suite d'une affaire de travail dissimulé sur le chantier du réacteur nucléaire EPR de Flamanville.
Il y a 3 ans et 222 jours

Paris alloue un budget de 100 millions d'euros pour effacer la frontière du périphérique porte de Montreuil

Ce chantier "en tiroirs", qui vient de débuter avec la destruction d'une station-service mais s'étalera principalement de 2023 à 2029, représente un "investissement majeur de la Ville" de Paris, a souligné le premier adjoint (PS) Emmanuel Grégoire en présentant ce projet jeudi à la presse.La mue de cette porte "horrible, laide et extrêmement dangereuse" en ce qui concerne la circulation, selon l'adjoint (EELV) à la transformation de l'espace public David Belliard, en esplanade végétalisée de 3,5 hectares, réservée aux piétons et cyclistes, coûtera à la ville 77 millions d'euros, selon M. Grégoire. Environ 400 arbres supplémentaires seront plantés, pour un peu moins de 200 conservés et autant d'abattus.La circulation automobile restera possible sur deux voies, autour de la place devenue rectangulaire. Une grande part du budget servira à "combler en dalle toute la partie aujourd'hui ajourée" au milieu du rond-point, situé juste au-dessus du périphérique, a expliqué M. Grégoire.Sur le côté nord de l'actuel rond-point, un immeuble de 5 ou 6 étages, comprenant un hôtel-restaurant et un incubateur d'entreprises, va être construit au-dessus du boulevard périphérique pour séparer la place de l'axe routier.Connu notamment des amateurs de fripes, le marché des puces de Montreuil, l'un des plus anciens de Paris, va quitter un vaste parking extérieur pour emménager en 2027 dans une double halle construite au même endroit, un rez-de-chaussée surmonté de 5 étages de bureaux.Pour cela, la mairie de Paris va racheter pour 26 millions d'euros ce lot au porteur de projet désigné en 2018, un groupement dans lequel figure Nexity et auquel le terrain aura été préalablement revendu.Si avec cette couverture, censé le rendre "plus attractif", le marché aux puces va perdre un tiers de ses emplacements - de 350 à 240 -, il sera en contrepartie ouvert "5 ou 6 jours sur 7" au lieu de 3 aujourd'hui, a souligné le maire du XXe arrondissement Eric Pliez, qui entend "garder le côté populaire des puces".
Il y a 3 ans et 222 jours

La Réunion : la nouvelle route du littoral cumule retard et surcoût

A la Réunion, la nouvelle route du littoral, chantier pharaonique censé désengorger l'île, sera livrée avec 7 ans de retard et un coût supplémentaire de 600 millions d'euros, selon le conseil régional.
Il y a 3 ans et 222 jours

Yann Lestrat : Une histoire de béton et de Japon

La sphère en béton de Yann Lestart tire son nom de l’immeuble d’habitation Akoya. [©DR] L’artiste plasticien Yann Lestrat réalise des sphères en béton, mais pas que…, s’intègrant dans le paysage urbain quotidien. Il vient de concevoir une œuvre en béton, qui va être incorporée à l’immeuble rennais d’habitation Akoya, porté par le constructeur Aiguillon. Cette version en béton, pleine et pesant 8 kg, est la petite sœur d’une sphère en polyester datant de 2011. Yann Lestrat a ainsi collaboré avec l’architecte du projet, afin de créer une pièce unique, qui s’adapte à l’environnement.  La sphère en béton tire son nom du bâtiment. Ainsi, Akoya fait référence aux perles de culture japonaise cultivées en mer de Chine. L’installation intègre  un niveau à bulle en son sein. L’occasion ici de faire le lien entre l’art et le monde de la construction. L’objet est donc par définition non fonctionnel. Par ailleurs, mettre un niveau sur un élément sphérique, qui, par son galbe, ne peut rester statique, lui apporte une dimension plus profonde.  Une installation dissimulée La sphère en béton et son implantation dans l’espace font aussi partie de l’œuvre elle-même. En effet, la pièce ne sera pas visible du tout, intégrée par un mur support constitué de boîtes aux lettres. Sa présence sera juste notifiée par une plaque explicative. La faire disparaître permet de jouer sur la frustration du spectateur. C’est une manière de mettre en avant l’absence d’intérêt pour l’art contemporain et de créer de la curiosité. L’œuvre est dissimulée à la vue de tous, placée dans un bloc béton. [©DR]L’œuvre est dissimulé à la vue de tous, placé dans un bloc béton. [©DR]L’artiste a créé pour le constructeur 7 modèle de sa création [©DR]Pour la commercialisation les sphères seront livrées dans un cartonnage avec une mousse spécialement conçue. [© Lendroit Editions] Dire que l’œuvre a été dissimulé permet de s’interroger sur le devenir du bâtiment. Si un jour, cet immeuble devait être détruit, qu’en sera-t-il de cette “chose”, comme la décrit Yann Lestrat ? Sera-t-elle toujours présente ? Et dans quel état ? Elle prendrait alors une dimension de capsule temporelle. Trace d’une existence passée. Sept exemplaires ont déjà été réalisés pour le constructeur. Trente autres, numérotés, seront produits, afin d’être commercialisés. Réalisées à la main, les pièces uniques recouvrant une ossature sphérique porteuse sont en béton fin. Un siphon font font… Une seconde réalisation sera présente dans le bâtiment d’habitation Akoya. Elle prendra la forme d’un miroir, avec en son centre un niveau à bulle. Aussi, a contrario, cette œuvre sera visible de chacun et permettra aux habitants de découvrir l’art contemporain à leur porte. Tout au long de sa carrière, l’artiste Yann Lestrat a expérimenté de nombreux médias. Allant de la peinture à la photographie. Il a notamment photographié un paysage naturel, dans lequel il a placé un siphon en son centre. Une métaphore de la capacité de l’homme de produire et d’évacuer de nombreux déchets dans la société et la nature même. 
Il y a 3 ans et 222 jours

Équerre d'argent 2021: Les nommés de la catégorie Lieux d'activité

Découvrez les vingt réalisations en lice pour le prix de l'Équerre d'argent 2021, et les cinq pour celui de la Première Œuvre 2021. Cette sélection a été réalisée par les rédactions du Moniteur et d'AMC, à partir de plus de 260 dossiers de candidature répartis en cinq catégories : Habitat, Lieux d’activités, Culture, jeunesse et sport, Espaces publics et paysagers, et Première œuvre. L'annonce du […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 222 jours

Appel à "tous les savoir-faire" des PME et TPE pour la restauration de Notre-Dame

"Entreprises, PME, TPE, artisans, participez au chantier de restauration de la cathédrale!", lance dans un communiqué le général Jean-Louis Georgelin qui préside l'établissement chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale.Cet appel s'adresse, ajoute-t-il, "aux artisans et aux entreprises ayant des compétences en monument historique" afin qu'ils se mobilisent et candidatent "pour rejoindre la communauté des bâtisseurs" qui oeuvrent "à la réouverture de la cathédrale au culte et à la visite en 2024, conformément à l'objectif fixé par le Président de la République".Charpente en bois, couverture en plomb, échafaudages complexes, taille de pierre de taille et maçonnerie, menuiserie, peinture, dorure, ferronnerie d'art, spécialistes des vitraux et des sculptures... après la phase de sécurisation de l'édifice, achevée officiellement en septembre, les entreprises ont jusqu'au 16 novembre pour répondre aux appels à candidatures relatifs à la restauration de la flèche et des transepts et jusqu'au 22 novembre pour ceux ouverts pour les restaurations intérieures.Afin de "réunir les meilleures compétences" et permettre l'accès au chantier de restauration "au plus grand nombre d'entreprises, dont les PME, les TPE et les artisans des métiers du patrimoine", l'établissement public a mis en place un "allotissement permettant autant que possible à des entreprises de toute taille de répondre, seules ou en groupement, aux différents appels d'offres et appels à candidatures".Le coût des travaux de sécurisation s'élève à 165 millions d'euros. Ils ont notamment permis le démontage de l'échafaudage qui était en place lors de l'incendie, la dépose des grandes orgues, des chantiers-tests de nettoyage dans deux chapelles, la pose de cintres en bois sous les arcs-boutants ou encore le déblaiement et le tri des vestiges et la sécurisation de la croisée du transept."Le budget de la phase de restauration sera précisé à l'issue de l'attribution de l'ensemble des lots du chantier de restauration", a précisé vendredi à l'AFP l'établissement public.
Il y a 3 ans et 222 jours

Tout comprendre du rachat d'Equans par Bouygues

A l'issue d'un conseil d'administration tenu vendredi 6 novembre au soir, Engie a préféré l'offre de Bouygues - "la mieux-disante" - à celles d'Eiffage et de l'attelage Bain Capital-Fimalac pour la cession de sa filiale spécialisée dans les services techniques dans l'énergie.
Il y a 3 ans et 224 jours

Quand faut-il entreprendre des travaux de rénovation de charpente?

La charpente constitue l’ossature d’une maison. Autrement dit, elle est l’élément structurel qui tient les murs et le toit. En ce sens, il est donc indispensable de procéder régulièrement à son inspection afin de vérifier son bon état. En cas de détection de problèmes au niveau de la charpente, il faut rapidement envisager de la rénover. Mais alors, pourquoi et quand faut-il entreprendre des travaux de rénovation de charpente ? Les éléments de réponses à travers ce billet. En quoi consiste la rénovation d’une charpente ? La rénovation d’une charpente regroupe l’ensemble des travaux réalisés sur toute ou une partie de la charpente dans le but de résoudre un problème qui a été constaté. En effet, il existe de nombreuses raisons qui peuvent amener à cette intervention, à l’instar du vieillissement naturel du bois, les intempéries et les infiltrations d’eau qui en découlent, les dégâts induits par la présence d’insectes xylophages, etc. La dégradation de la charpente provoquée par ces divers éléments se révèle dangereuse pour la stabilité de l’ossature de la maison et du toit. Ainsi, faire appel à un charpentier pour effectuer la rénovation de la charpente est la solution permettant de limiter les risques. Il faut toutefois noter que la rénovation de charpente n’est pas forcément liée à une problématique. Effectivement, elle peut être indispensable pour modifier l’aspect du logement, le style architectural de celui-ci, notamment pour l’ajout d’un étage ou l’aménagement de combles. À quel moment faut-il donc rénover une charpente ? En principe, il est recommandé de procéder à une rénovation de charpente tous les 20 à 30 ans. D’une manière générale, l’opération d’entretien est relativement légère dans le cas où la structure est saine et régulièrement contrôlée. Par contre, une rénovation peut être réalisée avant ce délai si l’un ou plusieurs des problématiques énumérés ci-dessus sont constatés. Bien évidemment, ce type d’intervention n’est pas obligatoire. Cependant, il est fortement indiqué afin d’éviter que les problèmes ne s’aggravent et induisent des travaux conséquents pour y remédier. En raison de la complexité des travaux à entreprendre au cours de la rénovation de charpente, le propriétaire est tenu de faire appel à un artisan charpentier comme sur ce site : https://www.charpentier-87.fr/ pour réaliser les travaux. Ce dernier sera plus qualifié pour observer la charpente et en évaluer les dégâts, de manière à établir un diagnostic complet et précis. Il peut être ingénieux de contacter plusieurs professionnels pour pouvoir comparer diagnostic, devis et offres. Le coût à prévoir pour des travaux de rénovation de charpente La charpente, tout comme la toiture, est essentielle pour la stabilité et la bonne santé de la maison. Elle protège celle-ci et aide à limiter la déperdition de chaleur. La rénovation de la charpente est une intervention complexe qui a un certain coût. Le charpentier facture en moyenne une heure de travail 40 à 60 euros HT, d’où l’utilité de ne pas attendre une problématique s’étendre. Pour venir à bout d’un problème d’humidité, il faut prévoir un traitement hydrofuge, pour un coût moyen de 20 à 30 euros le mètre carré. Dans le cas d’un problème de moisissures ou de champignons, il est indispensable de procéder à un traitement fongicide. Pour cela, il faut compter 15 à 30 euros le mètre carré. Enfin, pour un problème de nuisibles, tels que des insectes xylophages, un traitement insecticide est utile. Pour cela, il faut prévoir 20 à 50 euros le mètre carré.
Il y a 3 ans et 224 jours

Ecolodo : un habitat participatif convivial et écolo près d’Angers (FR-49) #BGT 18

Il est parfois des rencontres qui font chaud au cœur et vous donnent l’envie d’espérer un monde meilleur, dans un cadre idéal. Ce fut le cas lors de la visite d’Ecolodo dans notre Build Green Tour, un habitat participatif installé dans un écoquartier de Verrières en Anjou, dans la périphérie d’Angers (FR-49), qui comprend 7 […]
Il y a 3 ans et 225 jours

Le gouvernement annonce une rallonge budgétaire de 2 milliards pour France compétences

Pour répondre aux difficultés de cet organisme, l'État "prévoit de prendre ses responsabilités et de verser une subvention exceptionnelle de 2 milliards d'euros en 2021 dans le cadre du 2e projet de loi de finance rectificative, qui viennent s'ajouter aux 750 millions d'euros qui étaient prévus dans le cadre du plan de relance", a-t-elle affirmé.Instance de régulation de la formation professionnelle et de l'apprentissage créée par la loi Avenir professionnel de 2018, France compétences est d'une certaine manière victime de son succès."La crise sanitaire et ses conséquences économiques ont conduit à un déséquilibre des finances de l'opérateur, les recettes s'étant rétractées sous l'effet de la diminution de la masse salariale. Et à l'inverse les dépenses ont continué à augmenter, dans un contexte de succès exceptionnel de l'apprentissage et de mobilisation en très forte augmentation pour les actifs de leurs droits à la formation professionnelle au travers du CPF (Compte personnel de formation, NDLR)", a développé la ministre.Pour Mme Borne, il faudra cependant "que les partenaires sociaux puissent au cours de l'année 2022 réfléchir à une trajectoire soutenable pour France compétences".Mme Borne s'exprimait en réponse à un amendement de la députée Valérie Six, déposé dans le cadre de l'examen du projet de loi de finances 2022. L'amendement rappelle que tant la Caisse des dépôts et consignations que France compétences ont "tiré la sonnette d'alarme quant à la soutenabilité du dispositif au vu de cette croissance exponentielle" du CPF.
Il y a 3 ans et 225 jours

Socoda et Richardson créent AlliX

RELATION CLIENT. Socoda, réseau de distributeurs indépendants pour les secteurs du Bâtiment et de l'Industrie, et Richardson, spécialiste du négoce professionnel dans le sanitaire chauffage, ont décidé de créer ensemble AlliX, une alliance visant à améliorer leur relation client.
Il y a 3 ans et 225 jours

Nouveau contrat d'engagement de la filière de l'énergie pour décarboner et réindustrialiser la France

"L'objectif de ce nouveau contrat est de faire de la transition écologique un levier pour la reconquête industrielle", a expliqué Barbara Pompili, la ministre de la Transition écologique.Ce nouveau contrat fait suite à un premier contrat de 2019, qu'elle a signé aux côtés d'Agnès Pannier-Runacher, la ministre déléguée chargée de l'Industrie, des représentants du Comité stratégique de filière "Nouveaux systèmes énergétiques" et des syndicats du secteur.La filière rassemble l'ensemble des industriels de la transition énergétique (énergies renouvelables, hydrogène bas carbone et renouvelable, efficacité énergétique, réseaux et stockage énergétiques). Elle représente 40 milliards d'euros de chiffre d'affaires et 210.000 emplois en France."On a des besoins gigantesques, que ce soit sur le nucléaire ou le renouvelable, et c'est encore mieux que ces besoins soient servis par une industrie française à valeur ajoutée", a fait valoir Mme Pannier-Runacher.Concrètement, le texte réitère les objectifs de développement des énergies renouvelables compétitives et met l'accent sur l'éolien marin, l'énergie solaire, l'hydrogène, le biogaz et les capacités de stockage de l'énergie pour la période 2021-2023.Egalement présente à Bercy, la présidente du comité stratégique de filière et directrice générale adjointe d'Engie, Claire Waysand, s'est félicitée que les acteurs du secteur aient réussi à mettre en oeuvre 70% des mesures du dernier contrat signé en 2019, grâce à l'implication d'environ 600 contributeurs.Le contrat signé jeudi prévoit aussi le lancement d'une plateforme de mise en relation des acteurs de l'énergie décarbonée et des industriels."Notre enjeu est que les entreprises n'aillent pas taper à la porte d'offreurs de solutions étrangers alors qu'ils ont à côté de leur zone industrielle des gens qui peuvent leur apporter des solutions compétitives", a expliqué Mme Pannier-Runacher à l'AFP après la signature.Le contrat s'appuie sur le 4e programme d'investissement d'avenir annoncé par l'Etat en janvier 2021. Il doit notamment financer à hauteur de 515 millions d'euros la stratégie du gouvernement pour développer l'innovation et la pré-industrialisation dans les domaines du photovoltaïque, de l'éolien flottant et des réseaux énergétiques, a précisé Mme Pannier-Runacher.Le gouvernement et les industriels s'accordent sur la nécessité de développer la formation alors que de manière générale, l'industrie peine à recruter des salariés qualifiés, avec actuellement 73.000 postes vacants dans l'industrie et 225.000 intentions de recrutement futur.Ce contrat se renouvelle alors qu'Emmanuel Macron a annoncé fin octobre une série de mesures destinées à décarboner et relancer l'industrie grâce au plan France Relance. Le Président de la République envisage notamment la construction de deux usines d'électrolyseurs pour devenir "leader de l'hydrogène vert".
Il y a 3 ans et 225 jours

Béton, terre cuite : les stratégies des industriels pour tenir le choc de la RE2020

MODES CONSTRUCTIFS. Avec ses exigences en termes de carbone, la nouvelle réglementation environnementale questionne l'utilisation des matériaux dans la conception des bâtiments. Le Congrès des architectes, fin octobre, a été l'occasion, pour la filière béton et celle des tuiles et briques, de faire le point sur leur stratégie bas-carbone.
Il y a 3 ans et 225 jours

Demathieu Bard et Cycle Up annoncent leur partenariat

Photo d’une devanture d’un ancien garage à Lyon destiné à être déconstruit pour laisser place à des bureaux. [©Demathieu Bard] L’entreprise de BTP, Demathieu Bard, et Cycle Up, spécialisé dans le recyclage de matériaux de construction, ont signé un partenariat. Celui-ci se focalisera sur une stratégie de réduction de l’impact carbone des activités de Demathieu Bard. Il vise à favoriser le réemploi des produits issus des chantiers, notamment de la déconstruction et de la rénovation pour les intégrer dans des projets neufs. Lire aussi : Cemex et la LPO : un renouvellement pour la biodiversité En toute logique, ce partenariat s’inscrit dans la démarche d’innovation et de RSE du groupe de BTP. D’ailleurs, en 2020, ce dernier a crée une direction dédiée aux solutions techniques. Elle centre ses recherches sur l’efficacité énergétique, ainsi que sur l’évolution des modes constructifs et des matériaux. Une manière de contribuer à l’amélioration de ses pratiques en matière de construction et de promotion immobilière.  Une collaboration divisée en quatre missions Dans le cadre de cette collaboration, les deux sociétés ont axé leur stratégie autour de plusieurs missions. Parmi elles, la réalisation de diagnostics des ressources liées aux opérations de Demathieu Bard. L’application Diag It, développée par Cycle up s’occupera d’évaluer ces matériaux. Lire aussi : Capeb et Herige : Un partenariat environnemental Mais aussi, la création et la mise à disposition d’une base de données géolocalisées des produits analysés au préalable. Par la suite, l’ensemble de ces ressources seront regroupées et vendues sur le site de Cycle Up. Enfin, la dernière mission de ce partenariat a pour vocation d’accompagner l’entreprise de construction dans l’élaboration de sa stratégie d’économie circulaire.
Il y a 3 ans et 225 jours

Cemex et la LPO : un renouvellement pour la biodiversité

Michel André (à droite), directeur des activités matériaux de Cemex, et Allain Bougrain Dubourg (à gauche), président de la LPO, renouvellent leur partenariat pour la préservation de la biodiversité. [©Cemex] Cemex renforce son engagement pour la biodiversité. En effet, l’industriel a renouvelé son partenariat avec la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) pour la 18e année consécutive. La convention a été signée lors d’un évènement centré sur l’économie circulaire organisé par Cemex, le 21 octobre dernier. En place depuis 2003, cette collaboration est désormais repartie pour 3 années supplémentaires. « Nous sommes partenaires depuis 18 ans, souligne Michel André, directeur des activités matériaux de Cemex. Ainsi, cela illustre notre volonté de préserver la biodiversité et de maîtriser notre impact sur l’environnement. » Cet engagement permettra à la LPO d’accompagner Cemex dans son programme “Entreprises engagées pour la nature”. Ce dernier a été acté auprès du ministère de la Transition écologique et de l’Office français de la biodiversité.  Lire aussi : Cemex, mécène d’Odyssée La convention s’articule autour de deux volets. La partie “Accompagnement” permet aux deux collaborateurs de mettre en commun leurs compétences. Une façon pour Cemex de renforcer ses actions de préservation de la biodiversité sur ses sites. Puis, le “Mécénat”, porté par la LPO, soutient des programmes de conservation du patrimoine naturel. Cemex en faveur de la biodiversité Par ailleurs, Cemex et la LPO ont dévoilé leur démarche pour la sécurité animale. Dont, le plan d’action “Hirondelles de rivage” qui se poursuit. Initié en 2013, il vise à concilier l’exploitation de carrières et l’accueil des oiseaux au sein de ses sites. Après 9 ans d’analyse, les résultats ont été collectés et diffusés auprès des collaborateurs de Cemex pour encourager les bonnes pratiques. Lire aussi : Agir pour sauver la biodiversité et la planète Dans le cadre de leur partenariat, l’industriel et la LPO se focaliseront aussi sur la démarche “Cemex Bétons agit pour la biodiversité”. Entamé en 2012, ce projet veut contribuer à l’accueil de la nature en ville pour favoriser la biodiversité. En parallèle, Cemex soutient financièrement les programmes de la LPO. Ainsi, l’industriel se mobilise pour la sauvegarde du vison d’Europe en Charente et du moineau domestique de Paris.
Il y a 3 ans et 225 jours

Plan indépendants : le Sénat renforce les garanties des entrepreneurs

ENTREPRENEURIAT. Après examen du projet de loi relatif à l'activité professionnelle indépendante, la commission des lois du Sénat a adopté le texte du Gouvernement en y apportant cependant quelques modifications sur les garanties apportées aux travailleurs indépendants. Les dispositifs d'information sur les contrats d'assurance contre la perte d'emploi sont notamment concernés.
Il y a 3 ans et 225 jours

Évolution du marché de l'immobilier analysée par les notaires de France

La crise sanitaire a révélé de nouveaux comportements immobiliers, notamment des déplacements des grands centres métropolitains vers des communes de plus petite taille et cela jusque dans des départements limitrophes. Mais il n'y a pas d'« exode » urbain à ce jour. La tendance constatée ne concerne qu'une partie de la population en capacité de s'organiser, tant personnellement que professionnellement.Elle n'intéresse pas la majorité de la population française et, corrélativement, pas non plus celle des accédants à la propriété. Cette tendance, liée aux confinements, pourrait en fait n'impliquer qu'une population précise et limitée, sociologiquement définie (âge, profession…). En revanche, ce mouvement vers des communes plus petites où la pression foncière est moins forte pourrait concerner davantage de personnes, notamment celles qui n'ont désormais plus la capacité d'acquérir un bien dans les grands centres urbains, au regard de la tension foncière. Ces mouvements pourraient aussi faire écho à la fin de l'opportunité « offerte » par des taux bas ; la capacité à compenser en capital emprunté la hausse des prix pourrait ainsi avoir atteint sa limite. L'enjeu sur les prix est fort dès lors que le manque actuel de biens à vendre entraîne mécaniquement leur hausse.En tout état de cause, cette mobilité accentuée peut contribuer à expliquer le tassement des prix dans les grandes agglomérations et particulièrement à Paris, ainsi que le dynamisme des prix dans les villes moyennes. Toutes proportions gardées, les prix se rééquilibrent sur le territoire. Mais cette redistribution est un enjeu de taille au regard de l'aménagement et du développement du territoire. Cette envie de verdure, traduction d'une volonté de « déconnexion connectée », ne peut bénéficier aux petites villes et villes moyennes que si elles ont la capacité de proposer toutes les infrastructures et notamment des moyens de communication très performants, au risque de laisser subsister des zones blanches.En province, la hausse des prix des logements anciens se poursuitAu 2e trimestre 2021, les prix des logements anciens en province augmentent de 2,1%, après +1,5% au 1er trimestre 2021 et +2,4% au 4e trimestre 2020. Sur un an, la hausse des prix s'accentue encore avec +7% entre le 2e trimestre 2020 et le 2e trimestre 2021, après +6,4% entre le 1er trimestre 2020 et le 1er trimestre 2021. Comme au 1er trimestre 2021, la hausse des prix des maisons (+7,1% sur l'année au 2e trimestre 2021) est légèrement plus forte que celle des appartements (+6,7%), ce qui ne s'était pas produit depuis 2018.Les prix des logements anciens sont quasi stables en Île-de-FranceAu 2e trimestre 2021, les prix des logements anciens en Île-de-France sont quasi stables : +0,1% par rapport au 1er trimestre 2021, après +0,5% et +1,7%. Sur un an, les prix ralentissent avec +3,1% entre le 2e trimestre 2020 et le 2e trimestre 2021, après +4,8% au 1er trimestre 2021 et +6,3% au 4e trimestre 2020. Ce ralentissement concerne aussi bien les prix des maisons (+5,1% sur un an, après +7,3% au 1er trimestre 2021 et +6,8% au 4e trimestre 2020) que ceux des appartements (+2,1% sur un an, après +3,6% et +6,1%). Comme pour l'ensemble du territoire, depuis le 4e trimestre 2020, la hausse annuelle des prix des maisons en Île-de-France est ainsi davantage marquée que celle des appartements, ce qui ne s'était pas produit depuis 2016. À Paris, pour le deuxième trimestre consécutif, les prix des appartements sont en baisse : -0,6% entre le 1er et le 2e trimestre 2021, après -1,1% au trimestre précédent. Sur un an, les prix des appartements parisiens sont néanmoins quasi stables (-0,2%).Avant-contratsAu plan national, les projections des avant-contrats prévoient, jusqu'en novembre 2021, une poursuite de la hausse des prix. Les évolutions sur trois mois seraient comprises entre +1% et +2,5% en appartements anciens et entre +2% et +3,5% en maisons anciennes. Sur l'ensemble de la province, les évolutions des indices des prix des maisons anciennes suivent cette tendance nationale. Sur le marché des appartements anciens, comme c'est le cas depuis fin 2020, les évolutions restent plus fortes en province que sur l'ensemble de la France. À fin novembre, les hausses sur un an seraient environ de +6% en France contre près de +9% en province.Des conditions de crédit resserrées mais toujours avantageusesPar une décision du 14 septembre 2021, le Haut Conseil de stabilité financière (HCsf) a rendu contraignants les critères qu'il avait édictés en janvier. Ces mesures, qui ne sont donc plus simplement recommandées, deviendront applicables à compter du 1er janvier 2022. Le HCsf relève que la normalisation des conditions d'octroi a accru la sûreté du crédit immobilier pour les ménages, les sécurisant contre un surendettement sans toutefois entraver leur accès au prêt. Néanmoins, certains primo-accédants pourront être pénalisés de ces conditions resserrées.Stabilisation de tendance compatible avec cette période de l'annéeLe marché tient un rythme soutenu tant que ses fondamentaux ne sont pas remis en cause. La crise sanitaire a conforté beaucoup de candidats à l'acquisition en les recentrant sur leurs besoins essentiels, ce qui explique la forte résistance du marché immobilier.Il conviendra néanmoins d'être attentif dans les mois à venir, afin de détecter si ces forts volumes n'ont pas procédé d'une anticipation voire d'une accélération de certains projets. Ces volumes ne seraient-ils pas révélateurs de transactions qui ne se feront pas demain ? Le ratio actuel résultant de la division du nombre annuel de transactions dans l'ancien rapporté au parc global de logements ressort à 3,3%, alors qu'il était légèrement en deçà des 3% fin 2019. Si les taux bas et l'entrain collectif laissent augurer d'une fin d'année toujours haussière avec des volumes au-dessus du million, le marché immobilier pourrait reprendre ensuite le rythme observé avant la crise, avec un volume de transactions dans l'ancien oscillant autour du million.
Il y a 3 ans et 225 jours

Revaloriser des matériaux du Bâtiment et "Eviter de consommer de la matière à outrance"

DÉBAT. Plusieurs acteurs du secteur ont discuté du recyclage des matériaux et équipements du BTP pour leur donner une seconde vie. Une thématique qui n'est pas nouvelle mais qui continue, deux décennies plus tard, d'interroger les professionnels sur les bonnes pratiques à adopter.
Il y a 3 ans et 225 jours

79% des consommateurs estiment que les pays doivent unir leurs forces pour enrayer le changement climatique

Dans le contexte de la COP26, Dynata – la plus grande plateforme de données first-party et d’insights au monde – publie un nouveau rapport révélant que près de huit personnes sur dix dans le monde estiment que les gouvernements doivent agir et s’obliger les uns les autres à atteindre des objectifs communs en matière de changement climatique. En outre, les répondants sont d’avis qu’en unissant leurs forces pour lutter contre le changement climatique, les gouvernements, les entreprises et les particuliers verront leurs actions produire des effets plus tangibles. Pour la classe politique, les enjeux électoraux de la lutte contre le changement climatique ne cessent de s’amplifier. En effet, 54% des 12 000 personnes interrogées indiquent que la position d’un(e) candidat(e) à ce sujet figure dans le top 3 de leurs priorités à l’heure de passer aux urnes – et sept sur dix estiment que les élus joignent rarement le geste à la parole en matière de climat.Ces conclusions – et d’autres – sont présentées dans le rapport de Dynata, Tendances mondiales de consommation : la lutte urgente contre le changement climatique, qui se penche sur l’impératif qu’ont les gouvernements, les entreprises et les particuliers à agir ensemble sans tarder pour enrayer le dérèglement climatique. Celui-ci se veut également être une réflexion sur les mesures que peuvent prendre les gouvernements, les entreprises et les particuliers face à cette menace croissante. Le rapport met par ailleurs en exergue les points suivants :Forte conviction que le changement climatique est bien réel – 84% des personnes interrogées pensent que le changement climatique est réel, et 69% en sont « 100% sûres » ou « plutôt sûres ».Sentiment d’urgence à agir pour le climat, en progression ces cinq dernières années – Sept personnes sur 10 (69%) dans le monde sont d’avis qu’il est « extrêmement » ou « très » urgent d’agir pour le climat ; et 65% de celles-ci pensent que l’urgence s’est accélérée ces cinq dernières années.Les entreprises doivent agir, maintenant – Pour les convaincus du changement climatique, les entreprises devraient investir dans les énergies propres et renouvelables (60%) ; adopter des pratiques commerciales durables (59%) ; et s’engager envers un objectif zéro émission nette (53%). 35% des convaincus du changement climatique estiment que les entreprises devraient exiger des comptes du gouvernement en la matière.Les particuliers peuvent agir, à leur niveau – Les convaincus du changement climatique ont une idée bien précise des gestes que chacun devrait poser, notamment acheter plus « vert » (77%) et opter pour des moyens de transport plus respectueux de l’environnement (67%). Quatre personnes sur dix pensent que les consommateurs devraient agir pour influencer la politique climatique de leur gouvernement, et 24% prônent d’effectuer des dons ou du bénévolat au sein d’associations environnementales.« Le dérèglement climatique est l’un des enjeux les plus urgents et les plus pressants de notre époque, et l’attention accordée à la COP26 et à d’autres sommets sur le climat ne fait que prouver que l’heure tourne et qu’il est temps d’agir concrètement », a déclaré Gary S. Laben, PDG de Dynata. « Chacun d’entre nous a un rôle à jouer », et celui de Dynata, c’est d’utiliser le pouvoir de ses données et insights pour faire avancer le débat sur le changement climatique en y intégrant l’avis des consommateurs quant à l’urgence de l’enjeu. Cette approche, conjuguée à nos autres initiatives, dont le programme de reforestation que nous menons avec Ecosia Trees, souligne notre engagement à exploiter la force de nos données pour comprendre et relever les défis sociaux, économiques et politiques de la lutte contre le changement climatique. »Tendances mondiales de consommation : la lutte urgente contre le changement climatique, est disponible au téléchargement sur le site Internet de Dynata, et sera présenté lors d’un webinaire le 10 novembre – pour vous inscrire, cliquez ici.
Il y a 3 ans et 225 jours

Chiffre d'affaires en hausse pour Vicat au troisième trimestre 2021

RESULTATS. Vicat affiche un troisième trimestre en hausse de 13,9% porté par la sortie de crise progressive. Sur les 9 premiers mois de l'année, le chiffre d'affaires du cimentier est aussi en augmentation.
Il y a 3 ans et 225 jours

Jean Castex confirme un demi-milliard d'euros d'investissements dans la métropole de Montpellier

Le Premier ministre a notamment lancé officiellement le projet du Contournement ouest de Montpellier, sans péage et sans coût pour les collectivités, et annoncé une enveloppe de 250 M€ en faveur du CHU, la plus importante d’Occitanie.
Il y a 3 ans et 225 jours

Notre-Dame de Paris : le Bâtiment appelé à se mobiliser pour la reconstruction

PATRIMOINE. L'établissement public chargé de la conservation de la cathédrale Notre-Dame de Paris a publié plusieurs appels à candidatures relatifs à la reconstruction de la flèche et des transepts, courant jusqu'au 16 novembre. Un appel d'offres a également été ouvert pour la réalisation de restaurations intérieures jusqu'au 22 novembre. Les artisans, TPE et PME du bâtiment sont invités à se mobiliser pour ce chantier symbolique.
Il y a 3 ans et 225 jours

Une nouvelle étude met en évidence l'implication positive des acteurs de l'immobilier dans la COP26

Plus de la moitié (52%) des personnes interrogées déclare que la COP26 permettra de mettre davantage l’accent sur l’ESG tout au long du cycle de vie des biens immobiliers, de la conception à l’occupation. De plus, pour 48% des personnes interrogées, la rénovation ou la prise en compte de l’empreinte carbone des bâtiments anciens est une priorité. Enfin, 44% d’entre elles pensent que la COP26 encouragera davantage les propriétaires de patrimoines immobiliers à s’attaquer aux mauvaises performances de leurs bâtiments et à leur empreinte carbone, au moyen de stratégies environnementales complètes.D’une part, en raison de l’attention portée à ce secteur, 42% des personnes interrogées s’attendent à ce qu'un nombre croissant de bâtiments anciens soient rénovés pour améliorer leur empreinte carbone, plutôt que d'être démolis. D’autre part, 40% d’entre elles prévoient des réglementations plus sévères pour les nouvelles constructions afin de garantir une meilleure performance environnementale. Deepki explique donc qu’aujourd’hui, les promoteurs doivent s'assurer que les bâtiments ne sont pas seulement "conformes aux normes ESG", mais qu'ils peuvent résister à l'épreuve du temps, étant donné que les normes ESG deviennent plus strictes à long terme.Le net zéro carbone d'ici 2050 est-il un objectif réaliste ?En outre, 64% des participants pensent également que l'objectif du World Green Building Council (WGBC) d’atteindre le net zéro carbone pour tous les bâtiments d’ici 2050 est réalisable. Seul un tiers (34%) des participants pense que cet objectif n'est pas réaliste.Deepki, société de nouvelles technologies qui accompagne les acteurs de l’immobilier dans leur transition zéro carbone grâce à la data intelligence, a récemment annoncé son lancement au Royaume-Uni. Sa solution SaaS, basée sur l’exploitation des données de ses clients, permet d’améliorer la performance ESG (Environnementale, Sociale et de Gouvernance) de leur patrimoine et de réduire drastiquement leur empreinte environnementale. La plateforme SaaS collaborative de Deepki permet aux clients de collecter leurs données ESG, d'obtenir une vue d'ensemble de leur portefeuille, d'évaluer leur performance, d'établir un plan d'action, et de partager des rapports avec les principales parties prenantes, facilitant ainsi leur transition vers le zéro carbone tout en augmentant la valeur de leur patrimoine. La plateforme est accompagnée par une équipe d’experts en carbone et en ESG qui travaille avec les clients, de la collecte et l'analyse des données à la définition et la mise en oeuvre de leur stratégie ESG.Katie Whipp, Directrice de Deepki UK, déclare : “Notre étude montre que l'ESG s'avère être une force motrice pour le secteur de l'immobilier, qui répond de manière positive et proactive à l'objectif du net zéro carbone d’ici 2050. La COP26 est une étape cruciale de ce parcours, offrant au secteur l'occasion de collaborer et de tirer des leçons d’autres secteurs.”"La data intelligence, l'analyse et l'expertise de Deepki sont essentielles pour aider les propriétaires et les gestionnaires d'actifs à comprendre dans quelle mesure ils sont conformes aux normes ESG et à mettre en place une trajectoire net zéro carbone."
Il y a 3 ans et 225 jours

K-Ops, la plateforme collaborative qui optimise le suivi de chantier de construction arrive en France

Pour pallier ces contraintes, qui engendrent une augmentation notable des coûts, la startup Pharonyx cofondée par Hugo Brizard et Samuel Godbout, a lancé K-Ops, une solution collaborative de suivi de chan7er en temps réel qui facilite la gestion et l'exécution des projets.Après avoir développé le marché Nord Américain, K-Ops se lance aujourd’hui sur le marché Français de la construction. Désormais présent sur 3 continents, K-Ops c’est aujourd’hui plus de 1.700 projets gérés, et plus de 2.000 utilisateurs quotidiens.K-Ops, l’outil digital pour un meilleur suivi de chantierLancée en 2018 à Montréal, K-Ops est la solution digitale qui a été pensée et conçue pour faciliter le suivi de chantier. Constructeurs, architectes, artisans, ingénieurs, maîtres d’ouvrage, professionnels spécialisés du bâtiment... La solution simple et intuitive, répond aux différentes problématiques récurrentes rencontrées par tous les acteurs de la construction. Gestion et suivi des défauts, centralisation et accès à l’information, partage de documents, gestion des extras... sont autant de solutions apportées par la plateforme K-Ops.“Nous savons que les chantiers contiennent leurs lots de problèmes, qui représentent une perte de temps et d’argent colossale pour les entreprises de la construction. Équipes, chargés de projets ou inspecteurs..., sur les chantiers, tous prennent des photos, prennent des notes, qu’ils doivent ensuite retranscrire une fois de retour au bureau. La retranscription fait perdre plus d’une heure par jour par personne. C’est pourquoi nous avons conçu K-Ops, la solution qui permet de simplifier et d’optimiser le suivi de chantier et de maximiser la rentabilité.” ajoute Hugo Brizard, cofondateur de la solution K-Ops, société Pharonyx.Avec son application intuitive K-Ops, la startup Pharonyx vient moderniser les outils de suivi de chantier des professionnels bien souvent désuets...“Plusieurs dizaines de milliers d’euros gagnés / chantier” :Au bout de quelques mois d’utilisation, les bénéfices pour les professionnels se font déjà sentir. Outre l’économie de temps, la meilleure visualisation et uniformisation des projets et une meilleure communication, K-Ops permet de gagner, par projet, en moyenne 5 heures par semaine soit environ plus de 8.380€ (soit plus de 12.500$ CAD) par utilisateur. Aussi, plus il y a d'utilisateurs et de projets dans K-Ops, plus le gain est élevé.“L’objectif premier de K-Ops est de rendre le suivi de chantier simple, efficace et rentable. Par exemple, un rapport quotidien de chantier effectué manuellement peut prendre jusqu’à 1h. Un rapport doit être fait par projet, généralement de façon quotidienne, et ce pour chaque acteur concerné (maîtres d’oeuvres, inspecteurs...). En moyenne K-Ops permet d’économiser environ 70 euros par rapport/personne. Il faut bien sûr multiplier cela par le nombre de chantiers, de jours, et de ressources concernées par les rapports...” ajoute Hugo Brizard.Une application complète avec des fonctionnalités simple d’utilisation:Avec K-Ops, disponible à la fois sur mobile et desktop, les professionnels de la construction peuvent, à portée de main:Accéder à une vue d’ensemble en temps réel sur les projets et chantiers en cours via un tableau de bordTravailler de façon collaborative avec les différents tiers concernés (collaborateurs, ouvriers, fournisseurs, particuliers...) sur toutes les phases du projet en gérant et assignant des tâches et documentsCentraliser tous les documents liés au chantier (photos, plans, contrats), sans limite de taille et de les historiserAnnoter et approuver les documents directement en ligne en quelques clicsPartager des photos de chantier pour documenter et suivre l’évolution du chantierGérer les équipements du chantier et garder le contrôle sur leur mise en placeÊtre notifiés et peuvent alerter les défauts ou problèmes rencontrés (retards, produits manquants ou défectueux, non conformités...)Historiser les documents et actions du chantier et ainsi obtenir une protection en cas de litigeCréer et recevoir des rapports journaliers sur le suivi de chantierA noter qu’en plus d’une prise en main facile et rapide par tous les utilisateurs, K-Ops possède une API permettant son intégration avec toutes les applications existantes du marché.A date, la startup accompagne de grands noms sur le marché québécois comme la ville de Montréal, des commissions scolaires de grande envergure ou encore le promoteur immobilier Montréalais Prével. Après avoir fait ses preuves sur le marché Nord Américain, la société Pharonyx souhaite à présent développer sa solution K-Ops sur le marché Français et Européen.
Il y a 3 ans et 225 jours

Mise en frugalité pour le village des athlètes par Triptyque

Olivier Raffaelli et Guillaume Sibaud, de l’agence franco-brésilienne Triptyque Architecture, signent la conception d’un bâtiment de logements au sein de l’écoquartier Universeine, dans le futur Village des athlètes à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Surface totale : 9 740 m² SDP. Nombre de logements : 124. Date des débuts des travaux : 2ème trimestre 2021. Livraison : 2024 au […] L’article Mise en frugalité pour le village des athlètes par Triptyque est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 225 jours

Vicat engrange les bons résultats

Sur les 9 premiers mois de l'année, le cimentier français a réalisé un chiffre d'affaires de 2,35 milliards d'euros, en hausse de 19,7% par rapport à 2020.
Il y a 3 ans et 225 jours

District 2020, héritage durable et intelligent de l'Expo 2020 Dubai

Livrable d’ici octobre 2022, ce nouveau quartier sera un tout nouveau type d'expérience urbaine dans la région. Ce lieu a pour ambition d’être une communauté inclusive et diversifiée conçue autour de l'équilibre et du bien-être ; un lieu qui inspire de nouvelles idées, facilite une croissance durable, développe le potentiel humain.District 2020 : une ville intelligente résolument tournée vers l'avenir Dotée d’une infrastructure physique et numérique, District 2020 sera une communauté à usages multiples où les habitants pourront vivre, travailler et profiter d’un vrai cadre de vie avec des commerces. Ils pourront y vivre et y travailler en tout équilibre, en ayant accès aux dernières technologies (5G et IoT) tout en étant dans un environnement intégré et à usage mixte pour favoriser l’épanouissement de chacun. Héritant de l'infrastructure numérique et de technologies de communication avancées d'Expo, le District 2020 s’entoure de partenaires de choix pour façonner une ville intelligente : Siemens : le géant allemand était déjà partenaire officiel de numérisation des infrastructures de l'Expo 2020 Dubaï.Terminus Technologies : la société chinoise, leader dans l’intelligence artificielle et l’Internet of Things, y établira un centre de Recherche & Développement. Une collaboration issue de sa participation à l'Expo 2020 en tant que partenaire robotique officiel. Comme toute ville intelligente, District 2020 conjuguera la technologie à des pratiques durables intégrées. Des capteurs et compteurs intelligents fourniront des analyses précises de l'utilisation de l'eau et de l'énergie, pour contrôler et réduire leur consommation, et ainsi améliorer la vie de ses résidents et travailleurs.Une ville centrée sur l'humain Afin d'assurer le bien-être de sa population, District 2020 a accordé une attention particulière à la mobilité intelligente et à la réduction du temps de trajet. Des itinéraires de véhicules autonomes et des sentiers piétonniers interconnectés ont été pensés pour permettre aux usagers de se déplacer rapidement et en toute transparence, à pied, à vélo ou en voiture. Les personnes pourront également se déplacer plus facilement grâce aux transports en communs, la ville étant en lien direct avec le réseau de métro de Dubaï et trois grandes autoroutes. En intégrant des bâtiments emblématiques de l’exposition universelle comme l’Al Wasl Plaza ou le Centre des Expositions, les habitants du District 2020 pourront profiter d'événements sociaux, culturels et commerciaux.Un lieu unique pour permettre aux entreprises de se développerTPE, PME, ou grande entreprise, District 2020 propose des espaces de bureaux modernes, flexibles et locatifs, avec l’opportunité de travailler avec d'autres parties prenantes, de partager ses connaissances et de trouver de nouvelles façons de prospérer. Il fournira également aux entreprises un écosystème d’affaires centré sur l’innovation, la technologie et la transformation numérique pour développer leur croissance industrielle. Grâce à son laboratoire urbain, la ville permettra aux entreprises de participer à des projets pilotes répondant aux problématiques urbains, qui pourront bénéficier aux habitants du District 2020. Avec son infrastructure physique et numérique, Scale2Dubai, des entreprises internationales de toute taille pourront innover au sein d'industries intelligentes tout en collaborant avec des institutions gouvernementales, des accélérateurs de recherche, des incubateurs et les 500 plus grandes entreprises américaines du “Fortune 500”.
Il y a 3 ans et 225 jours

L'agriculteur doit scrupuleusement respecter son bail

La Cour a jugé ainsi alors que la difficulté concernait une parcelle de 5.000 mètres carrés sur un domaine de plus de 20 hectares, soit moins de 3% des surfaces louées.Cette parcelle est demeurée inexploitée, reprochait le propriétaire, puisque le fermier s'en est servi pour entreposer du bois de chauffage après avoir créé une activité secondaire de commerce de bois.Après trente ans d'exploitation des terres et prés, le fermier avait souhaité céder son bail à son fils qui avait toutes les compétences et autorisations requises. Le propriétaire s'y étant opposé, la demande avait été soumise au tribunal qui l'avait acceptée.Certes, disait le tribunal, cette activité forestière commerciale s'est exercée sans autorisation du propriétaire sur le domaine loué à usage agricole, mais elle n'a concerné qu'une surface très réduite et n'a pas mis en péril l'exploitation agricole. De plus, elle a été exercée au vu et au su de tous et le propriétaire l'a donc tacitement admise.Il n'empêche, a observé la Cour de cassation, qu'il s'agissait d'un manquement de ce fermier à son obligation d'exploiter tout le bien loué. Dès lors, il ne remplit pas la condition de "bonne foi" exigée pour bénéficier de la faculté exceptionnelle de céder son bail à un proche.Cette faculté est réservée par la loi au fermier qui s'est acquitté de toutes les obligations légales ou contenues dans son bail, a conclu la Cour, et l'exploitation d'un commerce de bois sur une parcelle louée en vue de sa mise en valeur agricole n'était pas conforme au bail.En juillet 2019, la Cour avait exclu qu'un fermier puisse céder son bail s'il y avait eu dans le passé - même très ancien - un litige avec le propriétaire.Cass. Civ 3, 30.6.2021, R 20-15.343.
Il y a 3 ans et 225 jours

Nouveau report pour le CDG Express, mais un scénario de travaux confirmé

GRAND PARIS. Le préfet de région a annoncé le 4 novembre 2021 au comité de pilotage du CDG Express la décision du Premier ministre de reporter d'un an l'ouverture de la ligne reliant l'aéroport Charles-De-Gaulle à Paris. Les travaux de modernisation du RER B ne seront pas dissociés du projet.
Il y a 3 ans et 225 jours

Vicat a réussi à compenser la hausse des coûts de l’énergie par l'augmentation de ses prix de vente

A 794 millions d'euros, le chiffre d'affaires réalisé sur la période juillet-septembre porte à 2,35 milliards celui sur les neuf premiers mois de 2021, soit une progression de 13,9% par rapport à la période comparable de 2020, a indiqué le cimentier dans un communiqué.Les chiffres publiés mercredi reflètent "le dynamisme" des marchés de Vicat "dans un contexte de sortie progressive de la crise sanitaire", a jugé son PDG Guy Sidos cité dans un communiqué. Le troisième trimestre est marqué par une base de comparaison "particulièrement défavorable en France, dans la zone Amérique et en Inde", puisque le 3e trimestre 2020 avait connu un effet de "rattrapage" après la crise Covid du début d'année.Sur neuf mois, les hausses les plus importantes de chiffre d'affaires sont enregistrées dans la zone Méditerrannée (+36,3% à 166 millions d'euros au 30 septembre 2021), et la zone Asie (+30,6% à 320 millions d'euros).En France, le chiffre d'affaires a progressé de 15,5% à 824 millions d'euros sur neuf mois, et en Afrique de 22,3% à 242 millions d'euros. Seule la zone Europe (hors France) recule de 4,8% à 301 millions d'euros, essentiellement en raison de la cession de l'activité de préfabrication Creabéton enregistrée le 30 juin 2021.Par activité en France, le chiffre d'affaires opérationnel de l'activité Ciment est en hausse de 10,8% à périmètre constant sur les neuf mois, malgré un recul de 9,3% au 3e trimestre, dû à la reprise "exceptionnelle" enregistrée l'an dernier à pareille époque. Les prix de vente et les volumes sont "en nette progression" sur les neuf mois.Idem pour l'activité Béton et granulats, où le chiffre d'affaires progresse de 19,5% à périmètre constant, avec des prix de vente en progression dans les granulats et stables dans le béton.Aux Etats-Unis comme au Brésil, "le secteur reste dynamique, facilitant notamment les hausses de prix".La construction d'une nouvelle ligne de cuisson de l'usine de Ragland en Alabama s'est poursuivie avec pour objectif une mise en service au premier trimestre 2022, a indiqué le groupe. Cette installation "permettra à la fois de répondre à la forte demande du marché en augmentant la capacité de l'usine, de réduire fortement les coûts de production, et contribuera à la baisse des émissions de CO2 du groupe".Sur l'ensemble de l'exercice 2021, dont les résultats seront annoncés le 15 février 2022, le groupe s'attend à une progression de son bénéfice d'exploitation Ebitda, ainsi qu'une "évolution favorable des prix de vente moyens".
Il y a 3 ans et 226 jours

Batibig devient big

Bâtiment - Le spécialiste francilien de la maintenance et de la rénovation des bâtiments absorbe l'accélération de sa croissance externe grâce à l'accompagnement du fonds Siparex ETI.
Il y a 3 ans et 226 jours

Le nombre de formations suivies dans le cadre du CPF a presque doublé entre 2019 et 2020

Alors que 517.000 formations ont été suivies dans le cadre du CPF en 2019, le nombre était de 984.000 en 2020, indique le service statistique du ministère du Travail, mettant en avant une "hausse sans précédent" des entrées en formation.Porté par le permis de conduire, le domaine des transports est en tête et représente plus d'un quart des formations réalisées (25,9%).Viennent ensuite les langues (17%), le développement des capacités d'orientation, d'insertion ou de réinsertion (15,2%) ou encore l'informatique (10,3%).La Dares souligne que la forte hausse des formations suivies s'explique par l'ouverture fin novembre 2019 du "parcours achat direct" (PAD), qui permet aux personnes de mobiliser leurs droits sans intermédiaire pour acheter une formation.Ce passage au PAD "est particulièrement favorable aux femmes, aux moins de 30 ans et aux plus de 60 ans, aux demandeurs d'emploi et aux salariés non cadres", indique l'étude. Les demandeurs d'emploi représentent notamment "36% des bénéficiaires du CPF en 2020, soit 4 points de plus que l'année précédente".Une autre étude de la Caisse des dépôts, qui gère le CPF, confirme une année 2020 "marquée par une explosion de la demande" et souligne que le dynamisme "se confirme en 2021, avec sur les six premiers mois un nombre de dossiers équivalent à celui de l'ensemble de l'année 2020".La CDC recense 4,6 millions de dossiers de formation financée par le CPF de 2015 à la fin du premier semestre 2021, dont 2,1 millions depuis l'ouverture de "Mon compte formation" en novembre 2019.Pour les seuls salariés du privé, le taux de recours au CPF est passé de 1,5% en 2018 et 2019, à 2,5% en 2020, indique une autre note de la CDC. Outre le passage au PAD, cela s'explique notamment par la crise du Covid-19 qui a aussi "libéré du temps, accru l'incertitude et accéléré les mutations dans certains secteurs".Les salariés de l'hébergement-restauration, souvent en activité partielle pendant la crise, présentent "une des plus fortes hausses du taux de recours" (de 0,7% en 2019 à 2,4% en 2020).
Il y a 3 ans et 226 jours

Le SER salue les mesures gouvernementales pour accélérer le développement du photovoltaïque

Avec près de 1 800 MW raccordés sur les douze derniers mois, portant la capacité totale à plus de 12 GW à ce jour, la filière solaire française a démontré son fort dynamisme et sa capacité à changer d'échelle pour être à la hauteur des enjeux liés à la décarbonation de l'économie et la lutte pour le climat.Afin de tenir les objectifs que la France s'est fixés, la puissance du parc solaire devra être multipliée par trois dans la prochaine décennie et par au moins sept d'ici à 2050.Pour respecter cette trajectoire, il était nécessaire d'améliorer l'accès au foncier et de simplifier les procédures administratives. Le plan d'actions qui vient d'être annoncé ce jour par la ministre de la transition écologique Barbara Pompili va dans le bon sens et doit être salué.Les besoins en foncier de la filière photovoltaïque pour atteindre les objectifs de la Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) sont estimés à moins de 30 000 hectares d'ici 2028, dans un pays qui en compte 55 millions. Paradoxalement, alors que la France est le plus grand territoire d'Europe, du fait des contraintes réglementaires qui s'imposent au solaire, il est difficile de trouver des terrains pour les centrales au sol : 51% du territoire est classé agricole, 40% est boisé et les développeurs doivent se concentrer exclusivement sur les 9% restants de sols artificiels qui par définition sont souvent occupés.Pour Xavier Daval, Vice-président du SER en charge de la filière solaire : « Les mesures présentées ce jour constituent un signal positif pour la filière. Nous soutenons en particulier les mesures de simplification administrative et celles qui permettront de valoriser les surfaces artificialisées ou dégradées. Mais nous devons aussi entamer une réflexion sur l'utilisation d'autres types de foncier, notamment agricole, afin d'atteindre les objectifs de la Programmation pluriannuelle de l'énergie ».