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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 4 ans et 286 jours

Contrat de 220 millions d'euros à Vinci pour la réalisation des puits de ventilation du tunnel de la ligne Lyon-Turin

Les travaux prévus pour durer 36 mois emploieront jusqu'à 250 personnes, ouvriers et personnel d'encadrement compris, précise Tunnel Euralpin Lyon Turin (TELT) dans un communiqué.Le contrat porte sur la réalisation de quatre puits verticaux excavés depuis le pied de la descenderie de Villarodin-Bourget-Modane.D'une profondeur de 500 mètres et avec un diamètre de 5,2 mètres, ils seront réalisés avec des tunneliers de type Raise Boring Machine, une technologie développée par l'industrie minière pour l'excavation verticale de petits diamètres.Cette technique est particulièrement efficace pour la sécurité des travailleurs et permet de minimiser l'impact sur le territoire grâce à une zone de travaux réduite en surface, explique TELT.Les matériaux d'excavation seront acheminés vers l'extérieur par la descenderie existante.Le marché prévoit également la réalisation de tous les ouvrages nécessaires pour le bon fonctionnement des puits avec notamment l'excavation de sept cavernes mesurant jusqu'à 22 mètres de haut et 23 de large, qui permettront, par la suite, de monter les tunneliers qui perceront le tunnel de base en direction de l'Italie.En parallèle, les activités se poursuivent sur les six chantiers de l'ouvrage actifs, ajoute TELT.Le groupement d'entreprises est composé de Vinci Construction Grands Projets, Dodin Campenon Bernard, Vinci Construction France, filiales de Vinci Construction (65 %), ainsi que de Webuild (33 %) et de Bergteamet (2%).La future ligne ferroviaire entre Lyon et Turin a pour objectif de réduire le transport de marchandises par camions à travers les Alpes au profit du rail et de diviser par deux le temps de trajet pour les passagers, en mettant la capitale piémontaise à deux heures de Lyon. La date de sa mise en service a été fixée à 2030.
Il y a 4 ans et 286 jours

Le Maire souhaite renforcer la régulation des concessions autoroutières

Bruno Le Maire, a plaidé pour un renforcement de la régulation des concessions autoroutières, en souhaitant des contrats plus courts et des rendez-vous réguliers pour réévaluer leur rentabilité.
Il y a 4 ans et 286 jours

AOS fête ses 3 ans d'existence

Grâce à son logiciel de gestion très simple d'utilisation, les équipes d'AOS fluidifient les échanges d'informations et permettent aux acteurs du BTP de se focaliser sur leur cœur de métier. En trois ans l'entreprise est devenue un acteur incontournable du secteur, avec plus de 10 milliards d'euros de travaux commandés par ses 400 clients depuis son lancement.La digitalisation est un enjeu majeur pour les acteurs du bâtiment, que l'on soit Maître d'Ouvrage, Maître d'Oeuvre, Entreprise Générale ou encore Entreprise du bâtiment. Et après ce que nous avons vécu avec le confinement en ce début d'année, le digital a une réelle place à prendre pour aider cette industrie et soutenir l'économie en raccourcissant les délais de décision.Le processus d'Appel d'Offres fait partie des missions longues et fastidieuses du métier de Donneur d'Ordres (Maître d'Ouvrage, Maître d'OEuvre, Entreprise Générale). C'est pourtant un moment crucial pour qu'une opération puisse voir le jour. C'est le moment où l'on va confronter le chiffrage d'un chantier à la réalité du marché. AOS digitalise ce processus en automatisant les tâches telles que le lancement, le suivi et l'analyse comparative des offres. Et depuis Mai 2020, AOS propose une offre de signature électronique, diminuant ainsi le temps de travail et le risque d'erreur permettant aux acteurs du BTP de se concentrer sur leur coeur de métier : construire.L'entreprise s'est rapidement imposée comme une référence et est aujourd'hui le leader de la digitalisation des consultations d'Entreprises dans le BTP. Depuis trois ans, AOS collabore avec de nombreux clients prestigieux dans l'hexagone, les Dom Tom, la Belgique mais aussi le Luxembourg, parmi lesquels : NEXITY, ICADE, BNP, SOGEPROM, LIDL, GIFI... En deux ans de commercialisation, AOS a ainsi lancé plus de 2.000 projets immobiliers, représentant plus de 10 Milliards d'euros de travaux sur sa plateforme et a dépassé le seuil de 400 clients, 15 000 Entreprises B2B et plus de 40 000 utilisateurs.La scale-up a également signé un partenariat stratégique avec deux acteurs majeurs du monde de l'immobilier : Attestation Légale et KaIiti, leaders respectivement dans la gestion de conformité fournisseurs et suivi de chantier et de livraison. Au quotidien, les trois entreprises travaillent en synergie.Évolution du nombre de commandes passées :2017 : création d'AOS2018 : 360 millions d'euros2019 : 4 034 millions d'euros2020 (janvier à juin) : 10 320 millions d'euros« Nous sommes fiers du chemin parcouru. Dans les années à venir, AOS va continuer d'asseoir sa position de leader, pour devenir un pure player de l'industrie du BTP. Nous ne souhaitons pas nous étendre à d'autres industries mais plutôt capitaliser sur notre expertise dans ce secteur. Nous avons à coeur d'accompagner nos clients de bout en bout, du lancement d'un projet en consultation jusqu'à la signature des marchés et la capitalisation des ratios de construction. Et je suis d'autant plus fier de pouvoir assurer un développement Tech 100% AOS et made in France ! »- Alexandre Brochot, Président Cofondateur d'AOSEn trois ans, l'entreprise est passée de 2 associés à 70 collaborateurs. D'ici 2021, elle compte doubler ses effectifs, pour accélérer son développement tant en France qu'à l'international. Depuis sa création, AOS a levé plus de 4 millions d'euros, auprès d'investisseurs et de partenaires bancaires, dont BPI France.
Il y a 4 ans et 286 jours

Le port obligatoire d’ÉPI pour assurer la protection de vos ouvriers

Chutes de hauteur ou manutention d’outils et d’engins, tels sont les principaux risques susceptibles d’engendrer des accidents de travail dans le monde du BTP, certains étant même des accidents mortels. Dans la lutte pour la prévention des risques encourus par les ouvriers, les mesures de protection collective sont légions mais pour une efficacité renforcée, il faut les coupler avec des mesures de protection individuelle. La responsabilité du maître d’ouvrage Les risques professionnels sur un chantier sont avant tout la responsabilité du maître d’ouvrage. En effet, ce dernier a la responsabilité de la protection chantier, et donc de l’entretien des engins et machines utilisés par les ouvriers. Il doit donc s’assurer que chacun puisse exécuter ses tâches en toute sécurité. Un principe général vaut : il est plus facile de prévenir les risques liés aux accidents de chantier que de gérer les conséquences d’un tel accident. Il est donc essentiel pour un entrepreneur de procéder à une évaluation des risques propres à chaque chantier (risques mécaniques, risques physiques, risques électriques) et mettre en œuvre toutes les mesures de protection nécessaires. La sécurité individuelle de chaque travailleur passe avant tout par des mesures collectives. Par exemple, autant que possible éviter les travaux en hauteur et privilégier le travail au sol et installer des dispositifs de protection anti-chute (filet, barrière ou autre). Et en complément de ces installations prévoir des équipements de protection individuelle (EPI), par exemple un casque et un harnais. Les EPI pour accroitre la protection sur votre chantier Pour garantir la protection chantier, le maître d’ouvrage est tenu de dresser une liste de ces EPI qui sont obligatoires suivant les différents postes de travail. En effet, outre les risques généraux du chantier, chaque poste présente des risques spécifiques à l’exercice de cette profession que ce soit en raison de l’utilisation d’une machine particulière ou en raison des matériaux et produits utilisés. Si les EPI doivent être portés en permanence sur un chantier, elles peuvent entraîner une certaine gêne pour l’ouvrier qui le porte. Il est donc important de penser au confort du matériel de protection afin d’éviter qu’il ne soit tenté de les retirer. Les équipements de sécurité sont divisés en trois catégories : Les EPI contre les risques mineurs ou les agressions superficielles tels que des petits chocs ou des vibrations (chaussures de sécurité, bouchons d’oreille) ; Les EPI contre les agressions graves susceptibles d’entrainer des lésions irréversibles (casques, masques…) ; Les EPI protégeant des risques les plus graves et des dangers de mort (harnais, cordes…) Vous en saurez plus chez Acet Protection. Un équipement adapté à chaque partie du corps L’équipement porté par chacun dépendra des risques inhérents à son poste. Le marché propose de nombreux produits pour vous aider dans la protection chantier. A commencer par tous les dispositifs de sécurité qui se portent sur la tête et qui ont différents buts : La protection de la tête à proprement parler : protéger en cas de chutes de hauteur ou en cas de chute d’objets, attention néanmoins à en choisir un qui respecte les normes européennes. La protection des yeux : protéger contre les projections de produits chimiques ou les vapeurs (lunettes de protection) ou encore pour les ouvriers réalisant des travaux de soudure. La protection auditive : les nuisances auditives sur un chantier sont multiples et de différentes intensités, suivant les machines utilisées ou les travaux réalisés, dans un environnement calme les bouchons d’oreilles suffiront mais sinon opter pour des casques anti bruit. La protection des voies respiratoires : l’inhalation de poussières, de matières irritantes ou de vapeurs potentiellement dangereuses doivent être évitées en faisant porter des masques. Puis il y a les autres équipements parmi lesquels on retrouve les vêtements de travail, les gants de protection et chaussures de sécurité. Le choix des modèles dépendra également des risques encourus.
Il y a 4 ans et 286 jours

Puy-de-Dôme : Coffrabat et Spac/Segec, même combat

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. Coffrabat a réalisé le coffrage de la corniche lors de la réfection d’un pont à Nohant-Vic [©Coffrabat] Filiale de Colas, Spac/Segec est un double spécialiste des réseaux pour les travaux publics et du génie civil. A Montgivray (36), elle dispose d’une usine de préfabrication dédiée à ses propres travaux. « Nous avons à la fois des savoir-faire dans tout ce qui concerne la production pour faciliter les réseaux électriques ou d’assainissement, explique Olivier Dallot, conducteur de travaux. Mais aussi en matière d’ouvrages d’art. »  Des chantiers qui voient Spac/Segec collaborer très souvent avec Coffrabat. « Ses équipes possèdent des compétences dans la conception et la production de coffrages en bois et en polystyrène. » Les deux industriels ont travaillé ensemble l’été dernier à Nohant-Vic, où la réfection d’un pont nécessitait des négatifs pour la base du tablier et un coffrage pour la corniche. « Coffrabat nous a apporté à la fois leurs conseils et leur savoir-faire dans la construction des éléments. » De même qu’à Issy-les-Moulineaux, à la rentrée 2019, pour un chantier de Colas, où les deux entreprises ont produit un mur de soutènement en béton noir. « Il y avait de nombreux arrêts de coffrage, avec des formes et surtout des angles différents. Coffrabat les a formés en polystyrène, permettant à nos équipes d’avoir des véritables kits, prêts à être mis en œuvre.».
Il y a 4 ans et 286 jours

Haute-Loire : Nouvelle usine pour nouveau producteur Air’Bloc

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. Inauguration de l’usine rénovée de Pomel Béton. [©Pomel Béton] Entreprise du groupe Gedimat depuis 2010, Pomel Béton est spécialisée dans la fabrication d’éléments en béton pour la construction. Elle vient de faire évoluer son usine, afin de pouvoir produire l’Air’Bloc du GIE Perin. « Fin 2018, nous avons souhaité renouveler l’outil de production pour suivre l’évolution du marché, confie Christophe Foucault, directeur administratif et financier de Pomel Béton. Nous nous sommes équipés d’une presse de marque Quadra et d’une rectifieuse. Nous avons complété cette chaîne de fabrication d’un mousseur pour remplir les alvéoles des blocs béton d’un produit isolant. Un concept développé par le GIE Perin. » Ainsi à Vergongheon, Pomel Béton va continuer à fabriquer des blocs classiques, mais aussi, des blocs rectifiés et des blocs isolants Air’Bloc. Tous les matériaux composant ces nouveaux produits sont issus de carrières situées dans un rayon de 20 km autour de l’usine de Vergongheon. Afin de limiter l’impact carbone dans le process de fabrication.  L’industriel intervient dans le Cantal, la Haute-Loire et le Puy-de-Dôme. « L’inauguration de cette nouvelle usine était aussi l’occasion de présenter tous nos nouveaux produits, poursuit Christophe Foucault. D’abord, l’Air’Bloc, exploité sous licence, et les longrines pour les fondations de bâtiments. Enfin, les blocs Titan XL à emboîtement pour murs de soutènement. Nous sommes fiers de présenter ces nouveaux savoir-faire aux élus, à tous nos clients et fournisseurs, et aux acteurs du bâtiment de la région. »
Il y a 4 ans et 286 jours

NOUVELLES PEINTURES TECHNIQUES EN AÉROSOL POUR MÉTAUX CECIL PROFESSIONNEL : PA 650 ET PA GALVA

Des peintures haute performance pour des applications exigeantes Les peintures techniques utilisent des technologies spécifiques pour répondre à des besoins précis pour des chantiers, des applications industrielles… CECIL PRO, marque référente en négoce sur le marché de la peinture depuis 2011, propose dans sa nouvelle offre d’aérosols deux nouvelles références haute performance : PA 650, pour recouvrir des supports soumis à des températures extrêmes, et PA GALVA, pour une protection élevée contre la corrosion des pièces métalliques soudées ou découpées. Leurs formulations pointues et de qualité professionnelle, offrent une excellente adhérence et un haut pouvoir couvrant.   PEINTURE HAUTES TEMPÉRATURES 650° C PA 650 La résistance aux températures extrêmes Thermorésistante, la nouvelle peinture en aérosol PA 650 CECIL PRO est idéale pour repeindre des surfaces exposées à des températures très élevées jusqu’à 650° C. Sa formulation convient à tous les métaux (acier non revêtu, sablé, surfaces rouillées…) pour des installations industrielles, des canalisations, des chauffe-eaux, des poêles à bois, des radiateurs, des moteurs, des barbecues… Son action antirouille et sa bonne résistance aux intempéries rend son utilisation aussi performante en intérieur comme en extérieur. De plus, la PA 650 offre une excellente adhérence sur tous les supports, un haut pouvoir couvrant et prévient l’apparition de fissures, d’écaillage ou de cloques liée à la chaleur. Sa bombe ergonomique est très facile et agréable à utiliser. La peinture aérosol PA 650 est disponible en aluminium mat et noir mat. Conditionnement : 400 ml Prix de vente conseillé : 12,90 euros TTC Points de vente : Négoces en matériaux Retrouvez la liste des distributeurs sur www.cecil.fr rubrique «points de vente».   PEINTURE DE GALVANISATION À FROID PA GALVA La barrière anti-corrosion Sur des pièces en métal, les parties découpées, soudées ou filetées sont des points sensibles en termes de corrosion et d’étanchéité. Pour rétablir une haute protection anticorrosion et antirouille au niveau des points de découpe ou pour renforcer des soudures, la nouvelle peinture aérosol PA GALVA CECIL PRO est idéale. Sa formule contient des particules de zinc ultrafines qui forment une barrière non poreuse, extrêmement étanche contre la corrosion. La PA GALVA adhère parfaitement sur tous les métaux (zinc, fer, aluminium…) des constructions métalliques, tuyauteries… et sèche rapidement. Utilisable en intérieur comme en extérieur, elle constitue une protection durable. Par ailleurs, elle offre un bon pouvoir couvrant, une très bonne accroche sur l’acier nu ou sur les peintures existantes, et peut également être utilisée comme sous couche avant la peinture PA RAL CECIL PRO afin de renforcer l’effet anticorrosion. La PA GALVA est disponible en zinc mat (98% de zinc) et zinc brillant (66% de zinc). Conditionnement : 400 ml Prix de vente conseillé : 11,90 euros TTC Points de vente : Négoces en matériaux Retrouvez la liste des distributeurs sur www.cecil.fr rubrique «points de vente».
Il y a 4 ans et 286 jours

Silver Lake en passe de prendre le contrôle du courtier Meilleurtaux

"Le fonds West Street Capital Partners VII, géré par Goldman Sachs Merchant Banking Division, et les dirigeants actionnaires" de Meilleurtaux "ont reçu de nombreuses marques d'intérêt (...) et ont choisi de conclure avec le fonds Silver Lake, qui est entré en négociations exclusives pour l'acquisition d'une majorité de capital du groupe Meilleurtaux", est-il indiqué dans un communiqué."La prise de participation majoritaire par Silver Lake est prévue pour se réaliser au dernier trimestre 2020, sous réserve de l'avis des autorités de la concurrence et de la consultation des instances sociales", est-il précisé.Le montant de la transaction n'est pas communiqué.Goldman Sachs était devenu actionnaire majoritaire en 2017, prenant la suite du fonds d'investissement Equistone Partners Europe qui avait lui-même acheté Meilleurtaux au groupe bancaire BPCE en avril 2013.Le groupe Meilleurtaux souligne avoir "enregistré plus de 90 millions de visites sur ses sites web en 2019" et "intermédié près de 10 milliards d'euros de crédits immobiliers en 2019".
Il y a 4 ans et 286 jours

Eiffage, Saferail et Systra assureront la nouvelle signalisation de la LGV Paris-Lyon

Le contrat d'un montant de 52,5 millions d’euros décroché par le groupement mené par Eiffage Energie Systèmes porte sur le marché d’études, de travaux et de vérifications techniques pour le remplacement de la signalisation sur plus de 500 kilomètres de voies de la ligne dans le cadre de la modernisation et de la fiabilisation de l’infrastructure.
Il y a 4 ans et 286 jours

Les grands groupes restent les principaux bénéficiaires des marchés autoroutiers

TRAVAUX PUBLICS. L'Autorité de régulation des transports (ART) a rendu public son 5e rapport sur les marchés passés par les sociétés concessionnaires d'autoroutes et les travaux réalisés en 2019. Des travaux qui permettent de faire le point sur la conduite du plan de relance autoroutier, l'évolution des marchés et des entreprises à qui ils profitent.
Il y a 4 ans et 286 jours

Nouvelle VMC simple flux Styl'Air Qai avec bouches de ventilation design

AUTOGYRE, spécialiste de la ventilation et du traitement de l'air depuis plus de 60 ans, oeuvre pour le développement de solutions visant à améliorer la qualité de l'air intérieur dans un souci de bien-être, de confort et de santé dans l'habitat.Dans sa nouvelle gamme de VMC simple flux (SF), AUTOGYRE a développé la VMC STYL'AIR QAI.Fabriquée en France, cette VMC SF filtre l'air entrant et assainit l'air intérieur, grâce à des modules électroniques de détection, de contrôle et d'évacuation performants. Son système QUICK'AIR STOP© (brevet AUTOGYRE) rend son installation très facile.Cette année, AUTOGYRE dote la VMC STYL'AIR QAI de nouvelles façades de bouches design, compatibles avec toutes les manchettes existantes.Qualité de l'Air Intérieur (QAI ) STYL'AIR QAICertifiée NF électricité, la VMC SF autoréglable STYL'AIR QAI d'AUTOGYRE est idéale en rénovation pour un logement de 2 à 7 pièces principales, avec une cuisine et jusqu'à 4 sanitaires.Les débits de l'air extrait et insufflé sont constants et automatiques quel que soit le nombre d'occupant.Une VMC SF dédiée à un air sain 24h/24La VMC SF STYL'AIR QAI se distingue par de nombreux atouts. Elle réalise de bonnes perfor- mances sonores avec un niveau de pression acoustique à la bouche de la cuisine de seulement 21 dB(A). D'un design ergonomique, elle permet de :Filtrer l'air entrant :Les entrées d'air sont équipées d'un filtre qui capte la pollution extérieure et délivre un air sain.Détecter les polluants et l'humidité :Les modules électroniques (sondes) QAI et 2 HR Control présents dans le caisson détectent l'humidité et les polluants (H2O, CO2 et COV).Assainir l'air intérieur :Grâce à son caisson à 2 vitesses et à ses sondes électroniques, en cuisine ou salle de bains, capables de détecter les détériorations de l'air intérieur (humidité, fumées, mauvaises odeurs, COV...), la VMC passe automatiquement en grande vitesse (GV) pour évacuer les polluants. Une fois l'air assainit, elle repasse en petite vitesse (PV).La grande vitesse peut être également activée manuellement via un commutateur installé en cuisine. Après 30 minutes, la petite vitesse se réenclenche.Une installation facile avec le système QUICK'AIR STOP©Le caisson STYL'AIR QAI est équipé de piquages amovibles QUICK'AIR STOP©, une innovation brevetée, qui simplifie les raccordements des gaines sans ruban adhésif, ni collier de serrage. De plus, ce système garantit une parfaite étanchéité entre les gaines et chaque bouche du caisson.Une nouvelle façade de bouche design et personnalisable !AUTOGYRE propose de nouvelles façades de bouches de ventilation design et compatibles avec toutes les manchettes existantes (ø 80, 100 et 125 mm).Extra-plates (< 20 mm) et faciles à poser à l'aide de clips, ces nouvelles façades peuvent, en insufflation, orienter le flux d'air. Il suffit d'insérer 1 ou 2 lamelles sur la face intérieure. L'orientation du flux d'air permet de conserver des murs propres et d'éviter toute sensation de courant d'air.Composition du kit VMC STYL'AIR QAI1 caisson STYL'AIR QAI1 bouche Design cuisine Ø 125 mm2 bouches Design sanitaires Ø 80 mm2 entrées d'air acoustique + 4 filtres1 bouton poussoir temporisé 30 mn Puissance électrique 22,5 W en GV / 9 W en PVConso électrique moyenne 9,6 W-Th-CNiveau sonore 21 dB (A)Garantie 5 ansPrix de vente conseillé 329 euros T.T.CPoints de vente Grandes Surfaces de Bricolage, Négoces en matériaux
Il y a 4 ans et 286 jours

Nouveau nom chez Saint-Gobain

Glassolutions, l’enseigne de transformation et de distribution du groupe Saint-Gobain vient d&rsquo;être renommée Saint-Gobain Vitrage Bâtiment dans toutes les régions de France, pour afficher de manière plus claire son expertise, son savoir-faire et son rôle d’acteur de référence pour l’Habitat. Les 46 sites concernés vont revêtir sous peu leurs nouvelles couleurs, sans rien changer à leurs activités. Ce nouveau nom incarne plus directement la force et la capacité d’innovation du groupe, pour être sûr de toujours bénéficier des dernières avancées en termes de sécurité, d’environnement et de confort (isolation, contrôle solaire&#8230;), grâce à l’offre la plus complète du marché. Un nouveau nom comme une invitation à devenir partenaire d’une aventure technologique fondée en 1665, qui continue d’inventer les verres de demain.
Il y a 4 ans et 286 jours

Une crèche à la façade recyclée dans le 20e arrondissement de Paris

C’est sous la direction artistique de l’architecte Jean Bocabeille du cabinet BFV Architectes que les équipes de Spie batignolles boyer sont arrivées au terme d’un chantier singulier, inscrit dans les exigences du Plan Climat de la Ville de Paris. Les enjeux relatifs à cette opération ont été nombreux pour l’ensemble des parties prenantes de cette opération, parmi lesquels le constructeur Spie batignolles boyer, et ont permis de véritables prouesses en matière d’économie circulaire, notamment au travers de la réutilisation de matériaux. Les équipes de Spie batignolles boyer ont réalisé un bâtiment béton à l’aide d’éléments préfabriqués de type prémurs isolés (isolant intégré dans les prémurs pour une conformité thermique garantie) en façade, en conservant son effet brut d’origine via une lasure gris béton sur la façade extérieure et un bouche pore incolore en intérieur. Les dalles ont été coulées sur place. Ce sont ces prémurs qui assurent la portance de l’ensemble du bâti et permettent de s’affranchir de la pose de nombreux éléments porteurs dans les différentes pièces pour gagner en espace de vie. La réflexion des différentes parties-prenantes engagées dans cette opération s’est appuyée sur la théorie de Pareto selon laquelle 80 % des conséquences sont le résultat de 20 % des causes, ou autrement dit « faire le plus avec le moins ». Les matériaux utilisés pour la construction du bâtiment témoignent de la pugnacité des différents acteurs à inscrire le projet dans un modèle d’économie circulaire locale notable et dans un cadre budgétaire réduit. Ainsi, la réutilisation de matériaux a été privilégiée, notamment pour la conception de la façade bois issue de la transformation de 600 portes palières en chêne massif, lesquelles étaient à l’origine installées dans les immeubles de logement de la RIVP en rénovation dans le même quartier et destinées à être détruites. Conçue telle une vêture en forme de V, celle-ci vient recouvrir la première enveloppe du bâtiment réalisée en béton donnant sur rue et sur la résidence Paris Habitat pour apporter une touche de chaleur et de nature à l’ensemble. Elle a également vocation à préserver l’intimité des enfants de l’extérieur et à apporter un confort l’été en servant de brise-soleil. Les panneaux bois viennent prendre appui sur une ossature en acier galvanisé constituée de montants verticaux et de traverses horizontales. Tous les étages disposent de balcons filants aménagés, les uns sous les autres, entre la structure même du bâtiment et la vêture en bois. Un filet en maille inox faisant office de garde-corps a été disposé derrière les balcons, pour garantir la sécurité des enfants. L’angle du bâtiment reçoit un grand escalier balancé desservant l’ensemble des étages, aménagé pour répondre aux normes de sécurité de l’immeuble. Maître d’ouvrage : Direction des Constructions Publiques et de l’Architecture de la Ville de Paris Photo : Bocabeille
Il y a 4 ans et 286 jours

Muller Van Severen, du design flamand à la villa Cavrois - Exposition

La construction passive permet aujourd&rsquo;hui de faire co&iuml;ncider les besoins de confort, de qualit&eacute; d&rsquo;air, de qualit&eacute; de vie et de r&eacute;duction des d&eacute;penses &eacute;nerg&eacute;tiques. Cet ouvrage synth&eacute;tise les besoins et recommandations pour concevoir ou r&eacute;habiliter en passif. L&rsquo;ouvrage Maisons individuelles passives pr&eacute;sente 56&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 4 ans et 287 jours

Travaux publics - Charier voit plus grand en restant économe

Ancré depuis plus d'un siècle à côté de Saint-Nazaire, le groupe a déménagé son siège près de Nantes, dans un bâtiment vitrine à énergie passive.
Il y a 4 ans et 287 jours

Installer un portail coulissant : comment prendre les mesures ?

Pour sécuriser les terrains de leurs maisons, les particuliers décident d’installer une clôture avec portail. A ce stade, les menuisiers proposent plusieurs types de portails et systèmes d’ouverture, dont le portail coulissant s’avère être un des modèles les plus pratiques pour gagner de la place. Dans cet article, vous allez découvrir comment prendre les mesure en vue d’installation de votre portail et comment choisir la hauteur optimale. Comment les règles d’urbanisme peuvent impacter l’installation de votre portail ? La plupart des travaux importants que vous envisagez de réaliser à l’extérieur de votre maison, notamment au niveau de la façade, de la clôture u du portail, doivent être préparés en tenant compte du Plan Local d&rsquo;Urbanisme. Il s’agit de plusieurs règles au sujets des travaux d’agencement extérieur, qui risquent de vous imposer des contraintes dans certains cas. Ainsi, un portail de peut pas avoir plus de 3,20 m dans les grandes villes et 2,60 m dans les petites villes. Si vous souhaitez avoir des informations précises en ce qui concerne votre ville, mieux vaut vous renseigner directement auprès de la Mairie. Les enjeux de l’installation d’un portail coulissant La plupart des particuliers qui décident de poser un portail coulissant le font pour sécuriser leur maison. Ils privilégient les modèles les plus adaptés à la configuration de leurs terrains, de manière à pouvoir entrer et sortir leur voiture facilement. Si vous avez besoin d’une solution ergonomique, qui vous permette de gagner du temps chaque jour, les professionnels de la menuiserie vous recommandent les modèles motorisés. En plus de l’aspect pratique et de protection, le portail coulissant représente également un choix de décoration extérieure. Ainsi, il convient d’opter pour un modèle et une couleur qui correspondent au style architecturale de votre maison. De nombreux propriétaires de maisons optent pour un portail de minimum 2 mètres haut pour avoir plus d’intimité dans leurs jardins et se protéger des regards des passants. En revanche, si vous voulez mettre en valeur l’architecture de votre maison et les plantes de votre jardin, mieux vaut opter pour un portail plutôt bas. Comment vous assurer d’avoir pris les mesures correctement ? De nombreux particuliers ont peur de se tromper dans la prise de mesures, ce qui est normal si la configuration de votre terrain est complexe. Pour éviter ce piège, il est conseillé de prendre les mesures deux ou trois fois, éventuellement le faire avec un ami ou quelqu’un de votre famille. Notez les dimensions sur un bloc-notes, de préférence en millimètres. Mesurez ainsi la distance entre les deux piliers en haut, en bas et au milieu, afin de retenir la largeur la plus importante. Si vous avez opté pour un portail coulissant, celui-ci va glisser le long de la clôture lorsqu’il est ouvert. Il est donc important de mesure également l’espace disponible le long de la clôture. Cela vous aidera à choisir le côté le plus adapté pour la pose des rails et le sens d’ouverture. Si vous n’avez pas encore de piliers, il va falloir prendre les mesures en tenant compte de leur futur emplacement. Dans tous les cas, il est important de travailler avec un professionnel, qui vous aidera dans toutes les démarches et vous recommandera la solution la plus adaptée par rapport à vos critères.
Il y a 4 ans et 287 jours

Castex annonce un plan à 6,5 milliards pour "mettre le paquet" sur l'emploi des jeunes

"Le gouvernement a décidé de mettre le paquet sur l'emploi des jeunes parce que nous savons qu'en temps de crise ce sont ceux qui +morflent+ les premiers", a souligné le Premier ministre en présentant ce plan "un jeune, une solution" depuis Besançon.Pour aider les entreprises qui hésitent à embaucher en ce moment, le gouvernement, comme annoncé par Emmanuel Macron le 14 juillet, instaure une prime pour tout jeune de moins de 25 ans recruté entre août et janvier sur un contrat d'au moins trois mois.Cette "compensation de cotisations" sera de 1.000 euros chaque trimestre pendant un an maximum.Si le patronat a obtenu que l'aide soit versée jusqu'à un salaire de 2 Smic, au lieu de 1,6 initialement, pour intégrer les plus diplômés, il a cependant répété que les embauches étaient d'abord liées à l'activité."Si vous n'avez pas d'activité, même si vous avez des aides, vous n'aurez pas d'embauches", a prévenu François Asselin (CPME), pour qui beaucoup dépendra de l'efficacité du plan de relance attendu fin août.Les syndicats avaient eux mis en garde contre "les effets d'aubaine" et plaidé pour que l'aide soit réservée aux embauches en contrats longs.Le plan reprend aussi les aides, déjà en vigueur depuis le 1er juillet, pour les embauches de jeunes en alternance d'ici fin février: 5.000 euros pour un apprenti ou un contrat de professionnalisation de moins de 18 ans, 8.000 euros pour un majeur.Pour Jean Castex, qui a visité dans la matinée un centre de formation d'apprentis où il a pu échanger avec de nombreux jeunes, l'apprentissage est "au coeur des contradictions françaises". "On sait que ça marche et pourtant ça reste encore quand on n'a pas réussi. Il faut impérativement le valoriser", a-t-il martelé.Retour des contrats aidésOutre 100.000 places supplémentaires en service civique, ce plan prévoit 300.000 "parcours d'insertion" pour les jeunes les plus éloignés de l'emploi et 200.000 places supplémentaires en formation.Pour les jeunes en échec dans l'enseignement supérieur, 100.000 nouvelles formations qualifiantes ou pré-qualifiantes seront ainsi proposées "dans les métiers d'avenir" (transition écologique, santé, numérique, secteurs prioritaires du plan de relance). Par ailleurs, le plan marque le retour des "contrats aidés" dans le secteur marchand, qui avaient été supprimés en 2017 par la nouvelle majorité (sauf en outremer), mais en les ciblant sur les jeunes les plus éloignés de l'emploi.Sont ainsi prévus 60.000 "contrats initiative emploi" (CIE) pour des jeunes rencontrant des difficultés particulières d'insertion, dont une partie du salaire est financée par l'Etat.Dans le secteur associatif ou public, les contrats aidés ("Parcours emplois compétences", au nombre de 94.000 en 2019) seront augmentés de 60.000 en 2021."Peut-être que par le passé, les contrats aidés, on a été un peu dans le traitement statistique du chômage. Là on sera très attentifs à la qualité de l'accompagnement", a promis la ministre du Travail, Elisabeth Borne.Le plan prévoit aussi 50.000 entrées supplémentaires en 2021 en Garantie jeunes, un dispositif d'insertion géré par les Missions locales pour les jeunes sans emploi ni formation avec un accompagnement renforcé pendant un an et une allocation mensuelle de 497 euros.Cependant, "nous fixer les objectifs, dégager des moyens substantiels, c'est bien, mais si nous ne nous préoccupons pas de leur mise en oeuvre, nous n'atteindrons pas le résultat escompté", a prévenu Jean Castex. "Et pour cela, il n'y a pas trente-six méthodes: la première, c'est celle du dialogue social", a-t-il ajouté en souhaitant qu'il soit déployé au niveau "des territoires".Dans chaque région, le conseil régional, l'Etat et les partenaires sociaux définiront ainsi, avec les acteurs économiques, les secteurs prioritaires vers lesquels faire porter l'effort de formation.
Il y a 4 ans et 287 jours

Les exploitations agricoles, meilleur tremplin au développement des renouvelables ?

ÉNERGIE. Le monde agricole aurait entre ses mains le développement des énergies renouvelables, si l'on en croit un rapport de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques. Dans le contexte de la reprise post-Covid, le document appelle à intensifier l'effort de recherche dans ce domaine et formule des propositions par filière.
Il y a 4 ans et 287 jours

Quelles sont les attentes des Franciliens en matière de logement en 2020 ?

ETUDE. Le confinement a changé le rapport des Français au logement. Le promoteur Quanim a demandé à Ipsos de réaliser une étude afin de connaître les priorités des Franciliens en matière de travaux, espace de vie, et urbanisme. Téléchargez l'enquête.
Il y a 4 ans et 287 jours

ITE et risque incendie : un an après la sortie des textes, les acteurs s'adaptent

ENQUÊTE. Il y a un an, paraissaient les textes renforçant la sécurité incendie dans les immeubles de quatrième famille, désormais rebaptisés "immeubles de moyenne hauteur" (IMH). Deux sinistres récents, ayant eu lieu sur des tours d'habitation HLM, ont rappelé le risque planant sur de nombreux bâtiments munis d'un système ITE obsolète. Batiactu fait le point avec le ministère du Logement, l'Union sociale pour l'habitat, Immobilière 3F et les industriels du polystyrène et du bois.
Il y a 4 ans et 287 jours

La Ville de Paris préempte le Lavoir moderne

La Ville de Paris a annoncé, le 21 juillet, qu'elle préemptait le Lavoir moderne parisien, ancien lavoir décrit par Zola et aujourd'hui théâtre pour la jeune création, dans le quartier populaire de la Goutte d'Or (18e arrondissement). Des logements doivent y être créés.
Il y a 4 ans et 287 jours

Vehicle to Home : Hager Group et AUDI AG, pionniers de la recharge bidirectionnelle

Réduire la facture énergétique, renforcer la stabilité du réseau électrique, lutter contre le réchauffement climatique : tels sont les objectifs de Hager Group et AUDI AG dans le cadre d’un projet de recherche innovant. Au cours du premier semestre 2020, les énergies renouvelables ont représenté pour la première fois plus de 50 % de la production électrique totale en Allemagne. Mais cette part croissante des énergies vertes s’accompagnent néanmoins d’un dilemme fondamental : elles ne fournissent pas toujours de l’électricité quand celle-ci est nécessaire. À l’inverse, lors de journées ensoleillées ou de phases de vents forts, les capacités de stockage de l’énergie produite font souvent défaut. Hager Group et AUDI AG ont défini une stratégie de recherche qui devrait jouer un rôle déterminant dans la résolution de cette problématique : la recharge bidirectionnelle du véhicule vers la maison, aussi appelée Vehicle to Home (V2H). Le concept est aussi simple qu’il est génial : la batterie haute tension d’une voiture électrique peut être rechargée au moyen du réseau électrique domestique, mais celle-ci peut également être utilisée comme dispositif de stockage décentralisé pour ce même réseau. « Une batterie de véhicule électrique peut stocker une quantité d’énergie pratiquement équivalente aux besoins d’un ménage moyen pour une semaine », explique ainsi Ulrich Reiner, expert en électromobilité chez Hager Group. Cela signifie qu’en principe, toute batterie haute-tension de véhicule électrique pourra à l’avenir être rechargée à domicile à l’aide de cette nouvelle infrastructure de recharge, mais aussi devenir source d’énergie pour le réseau électrique. Les propriétaires qui produisent de l’énergie solaire sur leur toit peuvent alors la stocker localement dans leur véhicule, pour la restituer au bâtiment en cas de besoin. Ce processus de recharge bidirectionnelle domestique est baptisé Vehicle to Home (V2H). Selon Ulrich Reiner, « Le V2H présente un fort potentiel d’économies pour la facture énergétique des propriétaires immobiliers. Il permet en outre de renforcer la stabilité du réseau électrique et d’offrir une alimentation de secours dans l’éventualité d’une panne générale ». Il ajoute : « L’idée d’utiliser la batterie de milliers de véhicules électriques de façon à lutter contre le réchauffement climatique nous a motivé dès le début du projet. ». Une prouesse technique Si le concept paraît simple en théorie, il nécessite en pratique une forte expertise technologique et une orchestration très précise de divers composants techniques. La collaboration entre Hager Group et AUDI AG s’est nouée sur cette maîtrise essentielle. Hager Group fournit le savoir-faire technique au cœur de l’infrastructure de recharge, qui permet l’usage V2H de la batterie du prototype développé pour le modèle Audi e-tron. Grâce à la filiale E3/DC du groupe Hager, dont la centrale photovoltaïque domestique séduit le marché depuis de nombreuses années, la batterie peut en effet servir d’accumulateur d’énergie. Le bon fonctionnement d’un système de recharge bidirectionnelle au quotidien implique néanmoins d’autres éléments essentiels, tels qu’un dispositif de gestion intelligente de l’énergie, afin d’assurer la commutation entre le véhicule et la maison en fonction de l’ensoleillement et des besoins, et enfin une borne de charge. Là aussi, le portefeuille de produits de Hager Group a prouvé sa valeur. La société américaine IoTecha a par ailleurs contribué au projet en vue d’assurer sa conformité à la norme de recharge CCS. Objectif : fonctionnalité au quotidien La fonctionnalité du système au quotidien a constitué un critère clé pour les concepteurs dès la phase de développement. « L’accès à la mobilité prime sur tout le reste. La recharge bidirectionnelle ne doit en aucun cas représenter une contrainte pour le client. », affirme ainsi Martin Dehm, Chef de projet technique pour le recharge bidirectionnelle chez Audi. « Le système intelligent de gestion de la charge contrôle l’utilisation optimale de la batterie et maximise ainsi l’efficacité économique de l’ensemble du dispositif. Pour le client, le fonctionnement est extrêmement simple : il suffit de raccorder le véhicule, et le reste se fait automatiquement. », conclut-il. Un grand pas pour la transition énergétique Selon Ulrich Reiner, la pertinence du projet ne fait aucun doute : « À l’avenir, de plus en plus de propriétaires disposeront d’une batterie dans leur cave, dans leur garage ou à l’extérieur de leur maison. Ils pourront y stocker, par exemple, l’énergie produite par les panneaux photovoltaïques de leur maison ». En combinant installation photovoltaïque avec le système de stockage domestique et la batterie du véhicule, les ménages accéderont à une autosuffisance énergétique de plusieurs jours, tout en soulageant le réseau électrique. Ils contribueront ainsi de manière déterminante à la transition énergétique.
Il y a 4 ans et 287 jours

Dette, soutien aux secteurs sinistrés et aux jeunes : ce qu'il faut retenir du nouveau budget

Récession et detteCe nouveau projet de loi de finances rectificative (PLFR 3) table sur un recul de 11% du PIB en 2020, au lieu de 8% auparavant, soit la plus forte récession en France depuis 1945.Avec les dépenses supplémentaires pour soutenir l'économie et cette récession record, le gouvernement anticipe un creusement du déficit public à -11,5% du PIB environ, contre 3% l'an dernier.La dette publique devrait augmenter de plus de 250 milliards d'euros et s'envoler à 121% du PIB, alors qu'elle avait atteint 98,1% l'an dernier. La France figure ainsi parmi les pays européens les plus endettés.45 milliards pour les secteurs sinistrésLe gouvernement va débloquer environ 45 milliards d'euros pour soutenir les secteurs les plus touchés par la crise.Ce montant recouvre des mesures budgétaires et un soutien à la trésorerie des entreprises.Le tourisme bénéficiera de 18 milliards d'euros. Cette somme englobe les mesures de chômage partiel, les prêts garantis par l'État, près de 3 milliards d'euros d'exonérations sociales ou encore les reports d'impôts. Mais l'Umih, principal syndicat de l'hôtellerie-restauration, a dit jeudi sa déception "au regard des objectifs affichés au départ par le gouvernement".L'industrie automobile profitera de 8 milliards. Outre l'aide au chômage partiel et les emprunts garantis, ce montant inclut un milliard d'euros pour soutenir la demande de véhicules et un milliard afin d'encourager les investissements pour produire les voitures hybrides et électriques en France.L'État consacrera 15 milliards d'euros à l'industrie aéronautique et au transport aérien, dont 7 milliards de prêts accordés à Air France-KLM.En échange de ces mesures de soutien, les députés ont voté une disposition LREM réclamant des engagement écologiques "forts" des grandes entreprises, via la publication annuelle d'un rapport sur le sujet. L'opposition de gauche y voit du simple "greenwashing" et un "leurre", faute de vraies contreparties.Le gouvernement va aussi dédier 600 millions d'euros supplémentaires aux start-up technologiques, en créant notamment un fonds d'investissement. Des mesures sont aussi prévues pour les secteurs de la culture et du BTP.Le texte entérine en outre une aide de 4,5 milliards d'euros aux collectivités.Embauche des jeunesCe PLFR3 intègre des mesures du plan jeunes dévoilées par le gouvernement. Parmi elles, une prime maximum de 4.000 euros accordée aux entreprises pour l'embauche jusqu'en janvier 2021 d'un jeune, jusqu'à un salaire de deux Smic, au lieu de 1,6 Smic initialement.Cette "compensation de cotisations", versée trimestriellement par tranche de 1.000 euros, pourra être touchée pour l'embauche d'un jeune de moins de 25 ans en CDI ou en CDD d'au moins trois mois. Le gouvernement espère 450.000 embauches.Ce nouveau budget prévoit aussi 744 millions d'euros en autorisations d'engagement pour l'aide exceptionnelle à l'apprentissage, et 50 millions d'euros pour le financement du repas à un euro pour les étudiants boursiers.Transports franciliensLes parlementaires ont rajouté 180 millions d'euros aux 425 millions d'acompte prévus en 2020 pour la société de gestion des transports franciliens Ile-de-France Mobilités, selon le rapporteur Laurent Saint-Martin (LREM). Le renflouement des transports franciliens, durement touchés par la crise du coronavirus, fait l'objet d'un bras de fer entre la majorité et la présidente (ex-LR) de la région Ile-de-France Valérie Pécresse.Au niveau national cette fois, le texte prévoit 250 millions supplémentaires pour l'agence de financement des infrastructures de transports de France (AFITF). A cause du confinement, cette agence va subir une nette baisse de ses ressources, notamment de la fraction de la taxe de solidarité sur les billets d'avion qui lui est attribuée, ou des amendes des radars routiers.Quelque 75 millions d'euros sont par ailleurs prévus pour renouveler et "verdir" la flotte de véhicules de police et gendarmerie.IndustrieLe gouvernement a rajouté durant la discussion parlementaire une enveloppe maximum de 490 millions d'euros, dont 50 millions mobilisables à court terme, pour décarboner l'industrie, financer l'industrie du futur ou des projets de relocalisation industrielle. Le but est de "lancer un appel à projets très vite" sur ces trois sujets, a souligné le ministre délégué aux Comptes publics Olivier Dussopt.
Il y a 4 ans et 287 jours

Au premier semestre 2020, Sika limite la casse

RESULTATS. Le spécialiste de la chimie suisse, Sika, annonce des résultats en recul au premier semestre 2020, en raison de la crise sanitaire. Néanmoins, le groupe a su contenir la chute de ses derniers.
Il y a 4 ans et 287 jours

L'Etat veut "inciter les particuliers à faire appel aux artisans pour rénover", A. Griset

ENTRETIEN EXCLUSIF. Suite à un déplacement en Seine-Saint-Denis pour rencontrer des entreprises du BTP, le ministre délégué aux PME, Alain Griset, s'est entretenu avec Batiactu sur le décret relevant le seuil de passation des marchés publics à 70.000 €. Il est également revenu sur les mesures en faveur de la rénovation énergétique sur lesquelles planche actuellement le Gouvernement en vue du plan de relance.
Il y a 4 ans et 287 jours

Le gouvernement simplifie la passation des marchés publics de travaux pour accélérer la relance

Un décret "visant à faciliter temporairement la conclusion de marchés publics" dans les secteurs "prioritaires" est ainsi paru au Journal officiel (JO) jeudi."Il vise à créer ou maintenir des emplois en facilitant l'accès aux entreprises à des marchés publics dans nos territoires", a commenté le ministre de l'Économie, Bruno le Maire, cité dans le communiqué.Le seuil au-dessous duquel sont supprimées toute une série de formalités (publication et mise en concurrence formelle, notamment) passe pour un an de 40.000 à 70.000 euros hors taxes pour les marchés publics de travaux.Le décret permet ainsi "aux acheteurs de contracter directement et donc rapidement avec des entreprises, et d'accélérer ainsi la reprise économique dans ce secteur qui mobilise une main d'œuvre nombreuse", souligne le communiqué.Un message fort de soutien au BTPSon entrée en vigueur "est un message fort de soutien au secteur du BTP principalement composé de PME et TPE", a souligné le ministre délégué aux petites et moyennes entreprises (PME), Alain Griset. Ces entreprises "pourront se positionner sur des chantiers d'envergure notamment dans le cadre du plan massif de rénovation énergétique des bâtiments".Le décret facilite également pendant cinq mois l'achat - pour un montant jusqu'à 100.000 euros - des denrées alimentaires produites et stockées pendant la crise sanitaire et qui seront livrées avant le 10 décembre.L'objectif est à la fois de lutter contre le gaspillage alimentaire et de soutenir les producteurs agricoles, durement affectés par le confinement."Cette simplification des procédures des marchés publics" va permettre "d'écouler les stocks créés lors de la crise Covid, tout en facilitant le fonctionnement de la restauration collective publique", a précisé le ministre de l'Agriculture, Julien Denormandie.
Il y a 4 ans et 287 jours

Le carnet d'information du logement entrera en vigueur en 2022

RÉGLEMENTATION. Le carnet numérique du logement, qui devait entrer en vigueur au 1er janvier 2020, est transformé, dans le projet de loi de ratification de l'ordonnance modifiant le code de la construction et de l'habitation, présenté en conseil des ministres, en carnet d'information du logement.
Il y a 4 ans et 287 jours

MaPrimeRenov : ce qui change en matière d’isolation thermique par l’extérieur

L&rsquo;Agence nationale pour l&rsquo;am&eacute;lioration de l&rsquo;habitat annonce une &eacute;volution du forfait des travaux sur l&rsquo;ITE face &agrave; la recrudescence de pratiques commerciales agressives.
Il y a 4 ans et 287 jours

Le retour aux règles antérieures de l'assurance chômage ne sera pas rétroactif

Le texte met en application la suspension jusqu'au 1er janvier de la réforme de l'assurance chômage, y compris de la première partie en vigueur depuis le 1er novembre sur le durcissement de l'ouverture des droits. Ce report avait été annoncé vendredi par Jean Castex aux syndicats, à leur grande satisfaction.Depuis le 1er novembre, il fallait avoir travaillé au moins six mois sur les 24 derniers pour ouvrir des droits, au lieu de quatre mois sur les 28 derniers.Mais ce retour aux règles antérieures ne s'appliquera que pour les "travailleurs privés d'emploi dont la fin du contrat de travail intervient entre le 1er août et le 31 décembre 2020", selon le projet de décret révélé par l'agence AEF.Il ne concernera donc pas les personnes ayant perdu leur emploi entre novembre et août, ce qui aurait contraint Pôle emploi à recalculer leurs droits.En outre, le retour aux quatre mois sera calculé sur les 24 derniers mois et non 28.Enfin le seuil permettant un rechargement des droits, lorsqu'on travaille pendant sa période de chômage, restera aligné sur les conditions d'affiliation et sera donc de quatre mois (au lieux de six) alors qu'il n'était que d'un mois avant le 1er novembre."Le décret ne correspond pas aux annonces sur le retour aux règles antérieures. On ne peut être que surpris, c'est un petit accroc", a réagi Eric Courpotin (CFTC) auprès de l'AFP. "Cela pose la question de la parole du Premier ministre", a renchéri Michel Beaugas (FO).Au ministère du Travail, on explique "avoir pris la décision qui se rapproche le plus possible des règles antérieures et qui soit techniquement faisable par Pôle emploi pour être le plus rapidement opérationnel pour les demandeurs d'emploi".Avec la suspension de la réforme, "on a accédé à une demande forte des syndicats", rappelle-t-on.Le projet de décret acte aussi le report de la dégressivité au bout de six mois pour les hauts revenus et de la modification du calcul de l'indemnisation.Celle-ci, qui devait intervenir le 1er septembre et aurait pénalisé ceux qui alternent contrats courts et chômage, pourra être revue lors d'une concertation à la rentrée.
Il y a 4 ans et 287 jours

Plus de moyens dédiés à l'écologie en 2021

FINANCES PUBLIQUES. Le 23 juillet, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire et le ministre délégué chargé des comptes publics Olivier Dussopt ont lancé le débat d'orientation des finances publiques pour 2021 au Parlement. De quoi poser les premiers jalons du futur budget.
Il y a 4 ans et 287 jours

LafargeHolcim enrichit son ciment bas carbone Galaxim Planet

LafargeHolcim France enrichit sa gamme Galaxim Planet, avec un CEM II/B-LL 42,5 R. [©Willy Berré] LafargeHolcim France enrichit sa gamme Galaxim Planet, avec un nouveau ciment à l’empreinte carbone réduite de 25 %. Ce ciment est destiné aux professionnels du BPE. L’industriel a développé ce CEM II/B-LL 42,5 R sur ses sites de Port La Nouvelle (11) et de Sète (34). En direction de la région Languedoc-Roussillon, cette nouvelle offre est issue d’une production 100 % locale. Et devrait atteindre 100 000 t/an de ciment dès 2021. Une innovation issue de la démarche “Lafarge 360”, qui vise à rendre plus responsable le secteur de la construction. Un ciment moins carboné, mais tout aussi performant Les caractéristiques de ce ciment ? L’augmentation de la part de calcaire à hauteur de 23 % (contre 12 % dans le CEM II/A-LL 42,5 R). Ceci est rendu possible grâce au broyage séparé du clinker et du calcaire. De plus, une plus grande proportion de clinker est remplacée par un composant local et pérenne, dont la production sans cuisson génère peu de CO2. Ainsi, le CEM II/B-LL 42,5 R garantit aux professionnels du BPE des qualités de résistance, de rhéologie et de temps de prise. Similaires aux ciments classiques. De plus, ce nouveau ciment bas carbone a été conçu pour répondre aux nouvelles exigences de performance environnementale. Les différentes simulations démontrent que le CEM II/B-LL 42,5 R permet d’atteindre les exigences du référentiel E+C&#8211;.
Il y a 4 ans et 287 jours

AIA Life Designers et AWMountassir remportent le concours international d'architecture pour le nouveau Centre Hospitalier Universitaire de Rabat

Une tour jardin bioclimatique pour accueillir le nouveau CHUD'une surface totale de 130.293 m², le futur CHU sera composé de l'hôpital général d'une capacité de 916 lits, de l'Institut de la Ligue cardiovasculaire avec 90 lits, d'un centre d'enseignement et de conférence et d'un internat.Imaginé par les architectes et ingénieurs d'AIA Life Designers et d'AWMountassir, le projet se structure autour d'une tour jardin bioclimatique de 140 mètres de haut et de son socle s'ouvrant sur un parc de 6,5 hectares. Cette tour jardin s'annonce comme un symbole de la modernité, de la qualité des soins et de l'engagement écologique du Maroc.Un projet qui répond aux enjeux environnementaux et climatiquesLe projet s'inscrit dans les engagements du groupe AIA Life Designers de développer des projets architecturaux au service des populations à la conception environnementale exemplaire.La qualité et la cohérence globale du projet en termes d'énergie, de confort et de biodiversité, répond ainsi aux enjeux de la crise écologique.Des dispositifs sont mis en œuvre pour lutter efficacement contre l'effet d'îlot de chaleur. Le projet met l'accent sur la performance de l'enveloppe, la diminution de l'albedo1 et l'optimisation du phénomène d'évapotranspiration grâce aux parcs, aux jardins suspendus, aux patios et aux toitures végétalisées.La conception bioclimatique passe d'abord par une réduction des besoins énergétiques en mettant à profit l'orientation nord-ouest pour les chambres qui bénéficient ainsi de ventilation naturelle et de protection solaire. Vient ensuite la récupération d'énergie grâce à des systèmes à très haute efficacité. Le projet est aussi producteur d'énergie renouvelable grâce à 3.000 m² de panneaux photovoltaïques sur la toiture du hall, et de panneaux solaires thermiques au sommet de la tour.L'humain et la nature au cœur du projet : signature des engagements du groupe AIA Life DesignersLa composition architecturale du futur hôpital IBN SINA met la santé de l'homme au cœur du projet et trouve une harmonie avec son environnement.Pour Olivier de La Barre, Président de AIA Life Designers : « la santé ne se limite pas à prodiguer des soins mais passe aussi par le bien-être et l'harmonie avec la nature. Nous défendons une architecture de la santé, qui prend soin des patients et de l'environnement ».Le projet multiplie les lieux de détente et de respiration verte avec de nombreux espaces extérieurs et intérieurs au bénéfice des patients, du personnel et des visiteurs.Des terrasses végétalisées s'installent dans une faille verticale ciselée à l'angle nord de la tour, à l'abri du soleil et du vent. Cet « angle actif » relie des jardins suspendus extérieurs grimpant jusqu'au sommet de la tour où une cafétéria offre une vue panoramique sur le parc, la ville et l'océan.Le hall d'accueil, à la croisée de la ville et des unités médicales, intègre le parc en son sein. C'est une place publique, à la fois extérieure et intérieure, protégée sous la canopée de lames métalliques et naturellement ventilée.Les contextes urbains, paysager et climatique guident la conceptionEntre ville et océan, le long d'un axe urbain majeur, le projet est un nouveau repère dans la capitale, visible de loin grâce à sa tour aux reflets vibrants. L'espace qu'elle libère au sol devient un vaste parc qui s'inscrit dans le prolongement de la coulée verte parcourant Rabat. Cet environnement naturel fait le lien entre l'hôpital et la ville à travers une longue séquence paysagère jalonnée de bassins et parcourue de cheminements doux. L'hôpital s'installe à l'extrémité de ce continuum d'espaces verts qui pénètre à l'intérieur du hall d'accueil, puis prolifère sur la toiture et grimpe le long d'une faille jusqu'au sommet de la tour. Les émergences du projet, que sont la tour hospitalière et l'institut de la ligue cardiovasculaire, se tournent vers l'Atlantique afin d'optimiser les vues sur l'océan et profiter du vent marin qui irrigue de ventilation naturelle le hall d'entrée et les chambres.Pour s'adapter à la course du soleil, le projet se pare d'une enveloppe composée de lames de métal perforé. Tantôt façade, tantôt verrière, cette peau protège et génère de l'énergie tout en unifiant les éléments du projet en prenant une forme comme sculptée par le vent.Fiche technique du projet :Maîtrise d'Ouvrage : Ministère de la Santé Royaume du Maroc.Maîtrise d'œuvre :Architectes : AIA Architectes + AWMountassirIngénierie : AIA Ingénierie + TPFI (structure) + A2MO + 8'18Environnement : AIA EnvironnementPaysage : AIA TerritoiresAcoustique : Tisseyre + Partners (Rabat)Programme : Hôpital général (916 lits), Institut de la ligue cardiovasculaire (90 lits), Centre d'enseignement et de conférences, Internat.Surface : 130 293 m² SDOCalendrier : Concours : 2019, livraison prévue : 20231 L'albedo : pouvoir réfléchissant d'une surface
Il y a 4 ans et 287 jours

Cemex restructure Vertua, son offre de bétons bas carbone

Restructurée, la nouvelle gamme Vertua se compose toujours de trois produits. Mais a évolué en proposant des réductions de carbone plus élevées. [©Cemex] En 2018, répondant aux attentes de développer les bâtiments économes en énergie et à faible empreinte carbone, Cemex France lançait Vertua, sa gamme de bétons bas carbone. Aujourd&rsquo;hui, Vertua présente des évolutions menant au lancement d&rsquo;une nouvelle gamme de produits. Diminuer de manière significative les émissions de carbone est un enjeu majeur. Pour ce faire, Cemex s’engage à les réduire jusqu’à 60 %. Et même d’atteindre la neutralité carbone, grâce à la compensation des émissions produites par le béton. Vertua ultra zero, le plus innovant de la gamme L’industriel tient compte des distances réelles d&rsquo;approvisionnement, se différenciant ainsi des acteurs de l&rsquo;industrie, qui s&rsquo;appuient sur des distances moyennes. Il met à disposition des fiches de déclaration environnementale et sanitaire (Fdes), nécessaires au calcul de l&#8217;empreinte carbone du bâtiment. Celles-ci issues du logiciel de calcul BETie, développé par le SNBPE et certifié par l&rsquo;Afnor. Le béton Vertua ultra zero est, quant à lui, le produit le plus innovant de la gamme, puisqu&rsquo;il ne comporte pas de clinker dans sa formulation. Vertua offre un autre atout, celui de compenser le carbone restant et de rendre ces bétons “CarbonNeutral”. Jusqu’à ce que la neutralité carbone soit atteinte par la production de bétons, l’un des développements majeurs de Vertua est la compensation carbone, grâce à un partenariat avec Natural Capital Partners. Ce dernier est le principal expert en matière de neutralité carbone et de finance climatique. A travers le protocole CarbonNeutral, les clients peuvent compenser les émissions produites par le béton par l’achat de crédits carbone issus de projets de plantation d’arbres ou de protection contre la déforestation. Un certificat atteste que le produit acquis est “CarbonNeutral”. Et permet ensuite aux clients d’appliquer cette compensation à leurs projets de construction. Ce service est optionnel pour les bétons Vertua classic et plus. Mais déjà inclus pour le Vertua ultra zéro.
Il y a 4 ans et 287 jours

Plombé par la crise dans les hôtels, Covivo réduit fortement ses objectifs

"L'hôtellerie est clairement impactée par la crise, c'est une année noire et historique pour ce secteur", a noté auprès de l'AFP Christophe Kullmann, directeur général du groupe, à l'occasion des résultats semestriels.Ces derniers s'inscrivent en nette baisse. Par rapport à la même période de l'an dernier, les revenus reculent de 7,5% à 302 millions d'euros et le bénéfice récurrent, indicateur de référence du secteur, de 12,4% à 192 millions.Covivio, qui n'avait pas redonné de prévisions depuis l'arrivée du coronavirus, s'attend donc désormais à une nette baisse de son bénéfice en 2020.Il table sur 380 millions d'euros, soit une centaine de millions en moins que ses précédents objectifs. Ce serait un recul de plus de 15% par rapport à 2019, alors qu'il prévoyait à l'origine une hausse.Covivio souffre principalement de sa présence dans les hôtels. C'est l'un des grands secteurs du groupe, qui détient également des bureaux et des logements à travers plusieurs grandes villes européennes.Or, la crise sanitaire a été catastrophique pour le secteur du tourisme. De nombreux pays ont fermé leurs frontières pendant plusieurs semaines au printemps et, parallèlement, interdit à beaucoup d'établissements d'accueillir du public.C'est surtout au Royaume-Uni que Covivio a été affecté par la fermeture obligatoire des hôtels jusqu'à juillet.Pour autant, tout en soulignant que les hôtels ne représentent qu'un sixième de son portefeuille, le groupe ne compte pas réduire son exposition à ce secteur."On est persuadé que ça reprendra" car les hôtels répondent au "besoin primaire" de se déplacer, a assuré M. Kullmann, prévoyant néanmoins une année 2021 toujours difficile dans ce secteur.Le groupe signe des résultats nettement plus favorables dans les bureaux et les logements, avec une progression de ses revenus semestriels dans les deux cas et un taux très faible d'impayés face à la crise.Dans les bureaux, "les seuls impayés importants que l'on a, ce sont les entreprises qui travaillent dans l'événementiel", a remarqué M. Kullmann, soulignant que les locataires de Covivio sont généralement de grands groupes.
Il y a 4 ans et 287 jours

Plombé par la crise dans les hôtels, Covivio réduit fortement ses objectifs

"L'hôtellerie est clairement impactée par la crise, c'est une année noire et historique pour ce secteur", a noté auprès de l'AFP Christophe Kullmann, directeur général du groupe, à l'occasion des résultats semestriels.Ces derniers s'inscrivent en nette baisse. Par rapport à la même période de l'an dernier, les revenus reculent de 7,5% à 302 millions d'euros et le bénéfice récurrent, indicateur de référence du secteur, de 12,4% à 192 millions.Covivio, qui n'avait pas redonné de prévisions depuis l'arrivée du coronavirus, s'attend donc désormais à une nette baisse de son bénéfice en 2020.Il table sur 380 millions d'euros, soit une centaine de millions en moins que ses précédents objectifs. Ce serait un recul de plus de 15% par rapport à 2019, alors qu'il prévoyait à l'origine une hausse.Covivio souffre principalement de sa présence dans les hôtels. C'est l'un des grands secteurs du groupe, qui détient également des bureaux et des logements à travers plusieurs grandes villes européennes.Or, la crise sanitaire a été catastrophique pour le secteur du tourisme. De nombreux pays ont fermé leurs frontières pendant plusieurs semaines au printemps et, parallèlement, interdit à beaucoup d'établissements d'accueillir du public.C'est surtout au Royaume-Uni que Covivio a été affecté par la fermeture obligatoire des hôtels jusqu'à juillet.Pour autant, tout en soulignant que les hôtels ne représentent qu'un sixième de son portefeuille, le groupe ne compte pas réduire son exposition à ce secteur."On est persuadé que ça reprendra" car les hôtels répondent au "besoin primaire" de se déplacer, a assuré M. Kullmann, prévoyant néanmoins une année 2021 toujours difficile dans ce secteur.Le groupe signe des résultats nettement plus favorables dans les bureaux et les logements, avec une progression de ses revenus semestriels dans les deux cas et un taux très faible d'impayés face à la crise.Dans les bureaux, "les seuls impayés importants que l'on a, ce sont les entreprises qui travaillent dans l'événementiel", a remarqué M. Kullmann, soulignant que les locataires de Covivio sont généralement de grands groupes.
Il y a 4 ans et 287 jours

Photovoltaïque : les nombreux avantages de l’autoconsommation en Tertiaire

L&rsquo;autoconsommation photovolta&iuml;que est particuli&egrave;rement int&eacute;ressante en tertiaire, mais entrav&eacute;e par des r&egrave;gles administratives tatillonnes et des l&eacute;gislations contradictoires. Photo d&rsquo;ouverture &copy;IBC-Solar-AG
Il y a 4 ans et 287 jours

Saint-Gobain Ecophon France, mécène du Groupe Hospitalo-Universitaire AP-HP.Sorbonne Université

Fruit d'une initiative solidaire des équipes de Saint-Gobain Ecophon France face à la crise sanitaire du COVID-19, cette opération a pour objectif, à travers le don de plafonds acoustiques, de soutenir le personnel hospitalier et les patients en leur apportant plus de confort et de bien-être au quotidien.Ainsi, l'entreprise s'engage à fournir différents produits de sa gamme Ecophon Hygiene™ (solutions acoustiques et bio-nettoyables répondant aux plus hautes exigences d'hygiène) à plusieurs hôpitaux du Groupe AP-HP Sorbonne Université : l'Hôpital de la Pitié Salpêtrière AP-HP (cardiologie, laboratoire de Neuropathologie, chambres de Neurochirurgie, crèche…), l'Hôpital Tenon AP-HP (zone de lavage de la stérilisation, zone scanner et d'une zone de détente) ainsi que l'Hôpital Saint Antoine AP-HP.De par leurs performances, ces solutions apportent d'importants bénéfices en termes de confort acoustique, qui se traduisent par une réduction des réveils nocturnes des patients, du besoin de médicaments supplémentaires, et de durée d'hospitalisation. Par ailleurs elles permettent d'améliorer la communication et le confort de travail du personnel soignant, notamment dans certains secteurs comme les urgences, où 83% de la communication se fait à l'oral. Par cette convention et grâce à son expertise combinant acoustique et hygiène pour les établissements de santé, Saint-Gobain Ecophon France s'engage de façon forte et pérenne auprès du personnel hospitalier fortement éprouvé par la récente pandémie.
Il y a 4 ans et 288 jours

Les essentiels à connaître sur le métier d’un façadier

Un façadier est le professionnel dont le domaine d’activités est orienté vers le ravalement de façade. Il a suivi une formation dans le secteur. Il a suivi une formation spécifique qui lui a permis de maîtriser ce métier. Ainsi, c’est un véritable expert dans les travaux portant sur la réfection des murs extérieurs. Si vous envisagez un tel type d’intervention, le recours à ce genre de spécialiste est fortement conseillé. Celui-ci est doté des compétences requises pour mener à bien votre projet. Œuvrant dans ce secteur, il dispose forcément de tous les outils indispensables au chantier. Il a également l’habitude de les manipuler donc il est déjà habile. Ce métier vous intéresse ? Focus sur la profession d’un façadier. Comment devenir façadier ? Quel que soit le métier que vous choisissez, vous devez tout d’abord en être passionné. Viennent ensuite les autres conditions, dont les qualités requises et les diplômes exigés. Pour occuper le poste d’un façadier, vous devez être en bonne santé, car vous serez amené à intervenir tout le temps sur le terrain. Un sens pointu de l’organisation est également nécessaire, vu qu’il s’agit d’un travail d’équipe. Pour la même raison, disposer d’une bonne aisance relationnelle serait un très grand atout. Puis, étant un technicien, une connaissance aisée sur la façade est primordiale. La maîtrise des différentes stratégies y afférentes sont aussi d’une importance capitale. Pour acquérir ces compétences, suivre des études ou des formations professionnalisantes est obligatoire. Quelles sont les fonctions d’un façadier de façade ? Il est à noter qu’un façadier comme ce façadier en Essonne (91) a pour principale mission de travailler vos murs extérieurs afin qu’ils puissent retrouver une nouvelle apparence. Ainsi, il s’occupe de l’intervention proprement dite ainsi que des démarches administratives relatives à l’exécution des travaux. Il prend donc en main l’intégralité du projet de ravalement de façade que son client lui confie à commencer par le calcul des dépenses nécessaires. Pour cela, il établit un devis clair et précis incluant les achats à réaliser, l’étendue des travaux, le coût de la main-d’œuvre et les frais de déplacement. Le total à payer équivaut au budget alloué. Durant tout le processus, il peut répondre à toutes les questions. Il est également là pour donner des conseils en cas de besoin. Bien choisir son façadier professionnel : les critères à prendre en compte Un façadier est décrit comme étant bon lorsqu’il est capable d’effectuer des travaux de ravalement selon les normes en vigueur. Pour ce faire, il doit donc savoir manipuler les outils indispensables à la réalisation des travaux. Par ailleurs, il doit être en mesure de vous offrir des services de qualité pour aboutir à un rendu répondant à vos attentes. Pour vous en assurer, portez votre attention à ses années d’expérience. Demandez également des références sur les derniers travaux qu’il a réalisés. Faites un tour sur son site internet. Prenez le temps de lire les feedbacks des précédents clients. Regardez également les notes qu’ils lui ont attribuées. Toutes ces informations vous permettront d’avoir un aperçu sur l’efficacité de votre artisan. Aussi, il est prudent de demander si le professionnel a souscrit une assurance décennale. Celle-ci couvre les éventuels incidents pouvant survenir durant son intervention. Les risques sont donc couverts par l’assurance, ce qui est bénéfique pour vous.
Il y a 4 ans et 288 jours

Amende pour un militant contre le mal-logement

Kevin Vacher, membre du Collectif du 5 Novembre, un mouvement né dans le sillage du drame de la rue d'Aubagne et de la mort de huit personnes dans l'effondrement de deux immeubles le 5 novembre 2018, était initialement poursuivi pour violences volontaires en réunion avec préméditation, soit un délit. Mais les faits ont été requalifiés en "violence" lors de l'audience mardi, soit une simple contravention.La ville de Marseille avait porté plainte contre ce sociologue, cheville ouvrière du Collectif du 5 novembre, après son irruption, avec d'autres manifestants, en septembre 2019, dans les locaux de Marseille Habitat, qui avait expulsé les habitants d'un logement insalubre la veille. Lors de cette intervention, une employée de ce bailleur social avait été très légèrement blessée à un pouce."Nous contestons toujours les faits sur le fond et nous nous gardons la possibilité de faire appel", a précisé Kevin Vacher à l'AFP, en regrettant "la volonté de l'ancienne majorité municipale et du parquet de politiser cette affaire": "Dix mois de procédure judiciaire, deux procès renvoyés, tout ça pour une ecchymose et une porte que j'aurais maintenue ouverte".Tout au long de cette procédure, le collectif avait dénoncé une "tentative d'intimidation et de criminalisation (des) luttes", affirmant que cela ne faisait "que renforcer (sa) détermination à continuer son action pour la justice et au service des délogés".
Il y a 4 ans et 288 jours

L'aide à l'embauche des jeunes sera accordée jusqu'à un salaire de 2 Smic selon des syndicats

Initialement, elle devait se limiter aux salaires de 1,6 Smic mais le Medef avait jugé que cela exclurait les jeunes les plus qualifiés dont les salaires d'embauche peuvent être supérieurs.Cette aide - techniquement "une compensation de cotisations" - sera versée trimestriellement par tranches de 1.000 euros et pourra être touchée pour l'embauche d'un jeune de moins de 25 ans en CDI ou en CDD d'au moins trois mois, selon ces sources. Avec ce seuil relevé, elle devrait concerner la très grande majorité des jeunes embauchés.Elle durera au maximum un an, soit 4.000 euros pour un CDI ou un CDD d'au moins un an.Elle concernera toutes les embauches qui auront lieu dans les six mois après l'entrée en vigueur du dispositif, probablement en septembre.Selon ces sources, le ministère a évoqué un budget d'1,2 milliard d'euros pour l'opération et tablerait sur 600.000 embauches.Interrogé, le ministère du Travail n'a pas voulu confirmer ces informations mais a indiqué qu'elles seraient dévoilées dans la présentation du plan jeunes, "au plus tard jeudi".
Il y a 4 ans et 288 jours

Une trentaine de "maîtres d'ouvrage exemplaires" déjà sélectionnés par Démoclès et l'Ademe

ECONOMIE CIRCULAIRE. Lancé en mars dernier, quelques jours avant le confinement, l'appel à projets "Maîtres d'ouvrage exemplaires" porté par la plateforme collaborative Démoclès et l'Ademe a déjà sélectionné 26 lauréats. Objectif : montrer les bonnes pratiques en matière de gestion et de valorisation des déchets.
Il y a 4 ans et 288 jours

Vicat se muscle dans le Grand-Est

ACQUISITION. Le cimentier Vicat annonce avoir fait l'acquisition d'une entreprise spécialisée dans les granulats implantée dans la région Grand-Est.
Il y a 4 ans et 288 jours

La précarité énergétique plus sévère pour les locataires du parc privé que du social

A l’occasion de la fin de la trêve hivernale prolongée, l’Observatoire National de la Précarité Energétique a publié deux études sur la précarité énergétique des ménages dans les parcs locatifs privé et social. L’ONPE s’est intéressé aux locataires pauvres et à revenus modestes des parcs social et privé qui connaissent des difficultés à régler leurs factures d’énergie et qui souffrent d’inconfort dans leurs logements. Si le nombre de personnes concernées est identique dans chaque secteur, il touche un ménage sur trois dans le parc social et un sur quatre dans le parc privé. 37% des locataires du parc social sont concernés par le phénomène de précarité énergétique, soit 1,59 million de ménages en France. Si ces ménages ont de façon significative des dépenses énergétiques annuelles plus élevées que celles de l’ensemble du parc social (1480 € vs 1295 €), elles sont aussi plus importantes que les locataires en précarité énergétique du parc privé. Ils sont aussi plus nombreux à se plaindre du froid (43% des ménages concernés, contre 37% du parc privé), même s’ils dépendent majoritairement d’une chaudière collective (gaz à 59%). Dans le parc privé, 26% des locataires sont en précarité énergétique, soit 1,5 million de ménages. Ils se distinguent de ceux du parc social par la qualité des logements et leur fourniture d’énergie qui les pénalisent. 48% des logements occupés par ces ménages ont été construits avant la réglementation thermique de 1948 (contre 9% dans le parc social) et sont pour plus d’un tiers, équipés de convecteurs électriques (10% dans le parc social) dont une partie estime l’installation insuffisante. Au regard du budget consacré à leurs factures d’énergie (1403€ par an) sensiblement moins élevé que dans le parc social (1480€), on peut penser qu’une partie d’entre eux se prive de chauffage d’autant que leurs charges liées au logement (8354€ par logement par an vs 6984€ dans le parc social) pèsent très fortement sur leur reste à vivre. Graphique : Les raisons du froid dans le logement &#8211; Observatoire National de la Précarité Energétique
Il y a 4 ans et 288 jours

BePOSITIVE 2021 : concrétiser l’accélération de la transition énergétique

BePOSITIVE, le seul salon français dédié exclusivement aux enjeux et aux solutions de la transition énergétique, qui rassemble tous les acteurs des filières bâtiment et énergies, se déroulera à Eurexpo-Lyon du 2 au 4 mars 2021. Véritable rendez-vous fédérateur de ceux qui construisent le monde décarboné de demain, il offre un tremplin à l’innovation. Il s’organisera autour de 4 secteurs d’exposition : les nouveaux systèmes énergétiques ; l’énergie dans le bâtiment ; le bâtiment durable, et le bois énergie. A 8 mois de l’ouverture, sa directrice Florence Mompo voit l&rsquo;occasion de partager sa vision des conséquences de la crise que nous vivons, et des perspectives pour les secteurs de la transition énergétique : « Cette crise sanitaire, qui se transforme en crise économique et sociale, a évidemment été un choc par sa soudaineté et la remise en question globale de nos façons de vivre, de consommer, de travailler&#8230; L’incertitude qu’elle engendre pèse sur la reprise économique, et si nous voyons déjà ses conséquences immédiates : tensions internationales, récession et hausse du chômage, grandes difficultés pour de nombreux secteurs, il y a aussi des effets positifs. Après une période de privation, on assiste à une reprise de l’activité et de la consommation stimulée par des plans d’investissement massifs. On voit des engagements de bons sens autour du local, des enjeux de l’économie circulaire et du réemploi, ou tout simplement de la place de l’individu dans notre développement. Le confinement a mis en lumière la nécessité de privilégier la santé, le confort, le bien-être des gens, par exemple, dans la conception des logements et des bâtiments tertiaires. »