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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87530 résultats)
Il y a 4 ans et 288 jours

SWISS KRONO s’équipe d’une pelliculeuse pour garantir la qualité de ses panneaux décoratifs

Fin 2018, SWISS KRONO, acteur majeur sur le marché des matériaux à base de bois, dotait son outil de production de Sully-sur-Loire d’une nouvelle presse à mélaminer pour renforcer sa présence sur le marché des panneaux décoratifs. Plaçant la qualité au cœur de ses préoccupations, SWISS KRONO poursuit sa politique d’investissement en s’équipant d’une pelliculeuse. Représentant un investissement de 800 KE, la nouvelle pelliculeuse appose un film usinable sur les panneaux décoratifs mélaminés One World pour préserver leur qualité. A toutes les étapes, les panneaux mélaminés SWISS KRONO, réputés pour leur résistance et leur durabilité dans le temps, sont ainsi protégés des rayures en usine lors de leur manipulation, durant leur livraison et lors de l’usinage réalisé par les professionnels, clients de SWISS KRONO (négoces, industriels, menuisiers, architectes, …). Collection One World, une multitude de décors SWISS KRONO commercialise de nombreux décors tendances et originaux sous la Collection One World déclinée sur toutes ses gammes de panneaux décoratifs mélaminés, stratifiés et bandes de chants destinées à l’aménagement d’intérieur et à l’agencement.   https://www.swisskrono.fr/
Il y a 4 ans et 288 jours

Glassolutions devient Saint-Gobain Vitrage Bâtiment

À compter du 20 juillet 2020, Glassolutions, l’enseigne de transformation et de distribution du groupe Saint-Gobain devient Saint-Gobain Vitrage Bâtiment dans toutes les régions de France, pour afficher de manière plus claire son expertise, son savoir-faire et son rôle d’acteur de référence pour l’Habitat. Les 46 sites concernés revêtiront très prochainement leurs nouvelles couleurs, sans rien changer à leurs activités.
Il y a 4 ans et 288 jours

Commerce en ligne : Pompili propose un moratoire sur les projets de nouveaux entrepôts

La proposition portée par Mme Pompili, qui avait signé une tribune en ce sens il y a quelques semaines avant de prendre ses fonctions, n'a pas été tranchée encore au niveau gouvernemental, précise-t-on, confirmant une information de RTL.Dans son discours de politique générale mercredi, le Premier ministre Jean Castex a promis la mise en place d'un moratoire pour l'installation de nouveaux centres commerciaux dans les zones périurbaines, "pour lutter contre l'artificialisation des sols".La proposition de Mme Pompili, qui ne se veut "pas anti e-commerce" dit-on au ministère, est liée à des raisons de "cohérence des politiques publiques", afin de lutter contre cet étalement urbain et revitaliser les centres-bourgs.La nouvelle ministre suggère le lancement d'une mission parlementaire, "en lien avec Bercy", pour dresser un état des lieux de l'impact économique et environnemental de l'essor des entrepôts logistiques en France. Un moratoire sur les installations nouvelles, dont la durée reste à préciser, serait imposé en attendant ses résultats.Interrogé par l'AFP, Amazon a indiqué vendredi ne pas avoir "d'information spécifique sur un potentiel moratoire" concernant ces dépôts et n'a pas souhaité commenter.Le géant américain défend son rôle en matière d'emploi (30.000 emplois directs et indirects en France, dont 9.300 directs sur les 200.000 du commerce en ligne, selon une porte-parole).Le Syndicat des indépendants (SDI), qui représente notamment les commerçants de proximité, a pour sa part "accueilli favorablement" cette proposition qui permettrait "un rééquilibrage" entre commerces de centre-ville, grandes surfaces de périphérie et commerce en ligne."Cette proposition, si elle est appuyée par le gouvernement, permettra de revitaliser les centres-villes et de soutenir la relance des commerces de proximité. Ces derniers ont été durement touchés par la crise sanitaire et les mouvements sociaux qui ont précédé, et ils sont aujourd'hui dans une détresse économique qui les laisse sans armes face à la concurrence des acteurs du e-commerce", a commenté Marc Sanchez, secrétaire général du SDI.Pour les Amis de la Terre, "l'annonce de Barbara Pompili crée de l'espoir mais la bataille au gouvernement est loin d'être gagnée".Pour l'ONG, "une différence de traitement" entre les entrepôts de commerce en ligne et les zones commerciales serait "injustifiée d'un point de vue juridique, économique et environnemental".
Il y a 4 ans et 288 jours

CSTB’Lab : A la recherche des bâtiments de demain

Retrouvez cet article dans le n° 89 de Béton[s] le Magazine. Rémi Bouchié a pris la direction du CSTB’Lab au mois d’avril dernier. [©CSTB] Fondé il y a 3 ans, en partenariat avec Impulse Partners, le CSTB’Lab s’intéresse aux start-up qui s’inscrivent dans l’exploration du bâtiment durable, responsable et connecté. En bref, le bâtiment de demain. Une thématique qui colle parfaitement à la feuille de route du CSTB. « Le Centre oriente ses travaux de recherche autour des enjeux stratégiques que sont notamment l’économie circulaire, le bas carbone, ou encore le réemploi ou la qualité de l’air intérieur », explique Rémi Bouchié, directeur du CSTB’Lab. C’est donc de façon naturelle que le CSTB accompagne les innovations dans ces domaines. « Depuis 2017, nous avons accueilli environ une trentaine de start-up. Nous proposons 3 à 4 sujets thématiques par an. » Une fois les grands thèmes dessinés, le CSTB’Lab, grâce à sa veille, repère les start-up susceptibles d’être accompagnées par son accélérateur. « Les entreprises peuvent aussi candidater de manière spontanée, notamment via notre site Internet ou les réseaux sociaux. » Un accès aux connaissances techniques et scientifiques du CSTB Les start-up disposent des locaux de l’incubateur du CSTB à Paris dans le XVIe arrondissement. [©CSTB] La sélection des start-up est réalisée sur dossier par un jury de professionnels du CSTB. Le but n’étant pas de retenir un nombre de start-up précis, mais de s’assurer que la collaboration soit bénéfique pour les deux parties. « Nous auditons une dizaine d’entreprises. Nous regardons le côté disruptif de leur projet et ce que le CSTB peut apporter. » Le CSTB’Lab se positionne entre la phase de prototypage et la phase industrielle et commerciale. « Nous visons l’accélération avant la massification. » Les start-up disposent des locaux de l’incubateur du CSTB à Paris dans le XVIe arrondissement. Rémi Bouchié réalise un entretien personnel avec chacune d’elles, afin de spécifier quel est son objectif, de prioriser les axes d’accompagnement et enfin de désigner un parrain. « Pendant un an, elles disposent d’un parrain issu des équipes de chercheurs du CSTB. » Son rôle consiste à informer, conseiller, mais aussi mettre en relation les start-up et les interlocuteurs adéquats à l’évolution de leur projet. C’est aussi à travers ce parrain que les entreprises ont accès aux connaissances scientifiques et techniques du CSTB. Si les projets de digitalisation et de traitement des datas sont bien représentés, le CSTB’Lab accueille aussi des solutions constructives concrètes. « Nous souhaitons co-construire et co-développer avec les start-up que nous accueillons. L’objectif à l’issue de l’accompagnement est d’aboutir à des partenariats et à des collaborations sur le long terme et d’explorer de nouveaux sujets de recherches », conclut Rémi Bouchié. En ce moment, 18 start-up bénéficient de l’accélérateur. Juillet 2020
Il y a 4 ans et 288 jours

Les chaudiéristes biomasse, inquiets, demandent un plan de relance pour le bois-énergie

FILIÈRE BOIS. L'activité des entreprises du bois-énergie, qui était bien partie en début d'année, a été impactée de plein fouet par la crise du Covid-19. Le Syndicat français des chaudiéristes biomasse a adressée une lettre au gouvernement de Jean Castex pour lui demander un plan de relance dédié, articulé autour de la communication, de la formation et de l'incitation.
Il y a 4 ans et 288 jours

Plan de relance français: entre 4 et 5 milliards d'euros pour le bâtiment

Entre 4 et 5 milliards d'euros seront affectés au secteur du bâtiment dans le cadre du futur plan de relance, a annoncé Emmanuelle Wargon, ministre déléguée  chargée du logement.
Il y a 4 ans et 288 jours

Equilibrio, sèche-serviettes et sèche-peignoir électrique en acier inoxydable

Alimenté par énergie électrique à bas voltage, selon les principes d’économie énergétique de la production CEA, EQUILIBRIO s’adapte très facilement à toute ambiance domestique et publique, en trouvant la correcte modularité selon les espaces et les exigences du projet. Le design pure et linéaire rend EQUILIBRIO transversale : le corps à encastrer, universel et libre, détermine la modularité et/ou répétabilité. Un produit qui peut combiner de manière exemplaire fonctionnalité, durabilité et design. EQUILIBRIO est disponible dans les finitions standards satinée et polie et aussi dans toutes les finitions spéciales CEA (Black Diamond, Bronze, Cuivre et Light Gold) écologiques et biocompatibles.
Il y a 4 ans et 288 jours

Nouveau marché en Asie pour Colas Rail

CONTRAT. La filiale ferroviaire du groupe Colas renforce sa présence à l'international, et plus particulièrement en Asie, en remportant son premier marché sur le sol de Singapour.
Il y a 4 ans et 288 jours

Pollution de l’air : le Conseil d’État met l'Etat à l'amende

Le gouvernement n’agit pas contre la pollution atmosphérique ? Le Conseil d’État lui impose une astreinte de 10 millions d’Euros par semestre de retard
Il y a 4 ans et 288 jours

Vicat renforce sa présence en Moselle

Pour renforcer sa présence dans la région Grand-Est, le groupe Vicat a fait l’acquisition de la société Sablières Dier, entreprise familiale, présente sur le territoire Mosellan depuis 1956. Cette acquisition garantit sur le long terme une consolidation des activités granulats et de leur développement en local et participe à renforcer la proximité de Vicat dans ses territoires d’implantation.
Il y a 4 ans et 288 jours

Tunnel Lyon-Turin: 4 puits à 220 Millions d'euros pour le groupement Vinci

Le promoteur public chargé de l'opération a attribué la réalisation de quatre puits de ventilation du tunnel de base à un groupement d'entreprises piloté par Vinci pour un montant de 220 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 288 jours

Le groupe Icade, reflet de l'immobilier face à la crise

La crise "fait un trou d'air en 2020 mais l'effet dans le temps sera assez limité", a assuré à l'AFP Olivier Wigniolle, directeur général d'Icade, à l'occasion des résultats semestriels mardi.Son bénéfice net semestriel a chuté de 89%, par rapport à un an plus tôt, à cinq millions d'euros. Le "cash-flow net courant", plus représentatif des performances, a reculé de 7,8% à 161,3 millions d'euros, et les revenus de 8,3% à 622 millions.Sur toute l'année, Icade estime que la crise privera ses résultats d'une centaine de millions d'euros, mais espère en récupérer presque la moitié en 2021.Ces chiffres dressent des perspectives pour l'ensemble du secteur immobilier au-delà de la seule situation du groupe, au capital dominé par le public via la Caisse des dépôts.En effet, Icade joue sur de multiples tableaux. Il fait construire des logements, loue des bureaux et possède des établissements de santé, essentiellement des cliniques et maisons de retraite.Le groupe accélère depuis plusieurs années dans cette dernière activité."On ne savait évidemment pas que le Covid allait arriver", a souligné M. Wigniolle. "Mais à rebours, ça valide cette stratégie. L'immobilier de santé, on va en avoir plus besoin demain qu'hier."Le patron d'Icade évoque notamment le "Ségur de la santé". Lancées en pleine épidémie, ces négociations entre gouvernement et monde de la santé viennent d'aboutir à la promesse de vastes investissements.Signe qu'Icade croit toujours beaucoup à la santé, et pas seulement en France, le groupe a annoncé mardi l'achat pour 145 millions d'euros de maisons de retraite, largement situées en Allemagne, au groupe Orpéa qui continuera à les exploiter.Sur le même modèle, "peut-être verrons-nous les hôpitaux publics externaliser (vendre) une partie de leurs murs, même s'il est trop tôt pour le dire", a avancé M. Wigniolle.Le logement rebonditL'immobilier de santé, est une niche, mais les résultats d'Icade donnent d'autres indications sur un univers beaucoup plus vaste, le logement. Elles sont plutôt rassurantes, dans la lignée de chiffres déjà donnés par un grand concurrent, le promoteur Kaufman & Broad, début juillet.Les revenus ont certes chuté face à l'interruption de nombreux chantiers lors du strict confinement contre le virus au printemps. Mais les réservations, gage de futures rentrées d'argent, ont fortement rebondi dès le déconfinement."Objectivement, ce n'était pas le pronostic que nous faisions", s'est félicité M. Wigniolle, estimant que le confinement fait émerger une "aspiration à un logement de meilleure qualité".Néanmoins, plus que les particuliers, ce sont les grands investisseurs qui ont soutenu les ventes et les dominent désormais. Leurs réservations ont doublé par rapport à un an plus tôt."C'est une classe d'actifs qui leur semble assez intéressante dans le contexte actuel", a remarqué M. Wigniolle, évoquant un "niveau de risque extrêmement limité".A ce titre, Icade a annoncé une énorme vente - 1.000 logements - à la filiale de logements de la Caisse des dépôts, CDC Habitat.Certes, la transaction se fait en famille, vu les liens entre Icade et la Caisse, mais elle n'est pas isolée. Kaufman & Broad avait aussi souligné l'immense appétit de CDC Habitat qui a promis de financer des dizaines de milliers de nouveaux logements face à la crise.Reste le cas des bureaux. La crise va-t-elle se traduire par la faillite de multiples locataires, entraînant une déprime générale de l'immobilier d'entreprise ?Icade n'observe pas de défaillances en série, mais a renoncé à percevoir plusieurs mois de loyers auprès des plus petites entreprises, de l'argent qu'il ne récupérera jamais.Quant aux bureaux eux-mêmes, vont-ils devoir changer de visage alors qu'entreprises et employés se sont - parfois difficilement - habitués au travail à domicile ?"Je ne sais pas si le travail dans les immeubles de bureaux va être très affecté par la crise", a éludé M. Wigniolle. "On n'en est pas encore là."
Il y a 4 ans et 288 jours

Logement social : quels moyens pour la France après l'accord sur le plan de relance européen ?

Le plan de relance européen de 750 Mds € adopté mardi 21 juillet au terme d’un sommet "historique" entre les chefs d’État de l’Union ouvre de nouvelles voies de financement aux bailleurs sociaux français. Tour d’horizon avec la mission Europe de l’USH.
Il y a 4 ans et 289 jours

Réouverture à Rouen de l'Aître Saint-Maclou, édifice médiéval rare

"Des centaines de compagnons (menuisiers, peintres, restaurateurs, etc)", ont participé à ce chantier de 14 millions d'euros, précise la collectivité propriétaire des lieux. La région Normandie et l'État ont participé à hauteur de respectivement 4 et 2,2 millions d'euros.L'édifice du XIVe siècle se compose d'une cour fermée, entourée de galeries à pans de bois ornées d'éléments de décoration en pierre ou boisés.L'élément le plus saillant de la restauration est la réouverture d'une galerie entre les deux rues qui encadrent le monument historique.L'aître sera ouvert du lundi au dimanche en accès libre et gratuit. Des visites guidées sont également proposées pour expliquer par exemple le crâne à triple faces sculpté de la façade ou la cloche de la cour.Une galerie installée dans les ailes nord de l'aître et abritant des expositions ouvrira au public le 8 août.Selon Alain Bardin, coordinateur du projet de réhabilitation, "Rouen est la seule ville d'Europe à posséder un décor de danse macabre sculptée au sein d'une cour carrée".Avant rénovation, l'Aître attirait en moyenne plus de 300.000 visiteurs par an.Jusqu'en 2014, le monument était occupé par l'école des Beaux-Arts de Rouen.
Il y a 4 ans et 289 jours

Concessions d'autoroutes : le Conseil d'État rejette la requête d'un militant écologiste

Raymond Avrillier, 72 ans, espérait l'annulation d'un accord qui prévoyait une hausse des tarifs autoroutiers chaque année entre 2019 et 2023 pour compenser le gel des tarifs décidé en 2015 sous la pression de Ségolène Royal, alors ministre des Transports et de la transition énergétique.Cet ancien élu à la ville de Grenoble réclamait également l'annulation, pour "excès de pouvoir", de plusieurs clauses de ce même protocole d'accord, conclu le 9 avril 2015, qui accordaient aux sociétés autoroutières un allongement de leurs concessions en échange des travaux à réaliser.Dans sa décision, dont l'AFP a obtenu copie, le Conseil d'État a notamment estimé que la requête de M. Avrillier était "entachée d'une irrecevabilité manifeste" car "l'intéressé", qui "se prévaut de sa qualité de contribuable", ne "peut (...) être regardé comme un tiers susceptible d'être lésé dans ses intérêts de façon suffisamment directe et certaine"."Les clauses du protocole relatives (...) à la mise en œuvre du protocole dont M. Avrillier demande l'annulation sont dépourvues de caractère réglementaire", a ajouté le Conseil d'État, précisant que la seconde requête de l'ancien élu n'est pour cette raison "pas non plus recevable".Le 18 mars 2019, le Conseil d'État avait enjoint Bercy de communiquer à M. Avrillier - à l'origine de plusieurs affaires judiciaires embarrassant Nicolas Sarkozy et d'un scandale impliquant l'ancien maire de Grenoble Alain Carignon - les documents relatifs à cet accord après plusieurs refus du ministère.La haute juridiction avait estimé que "le protocole transactionnel" signé par les deux ministres compétents à l'époque - Emmanuel Macron pour l'Économie et Ségolène Royal pour les Transports - "constitue un contrat administratif et présente le caractère d'un document administratif communicable".
Il y a 4 ans et 289 jours

Cupa Pizarras devient une entreprise neutre en carbone

CUPA PIZARRAS  est désormais une entreprise neutre en émissions de carbone, selon le standard ‘Carbon Trust’ qui reconnaît les organisations qui suivent les meilleures pratiques pour mesurer, gérer et réduire leur impact environnemental. Cupa Pizarras  a compensé ses propres émissions de dioxyde de carbone (CO2) par le financement de projets en faveur de l’environnement. En effet, un accord avait été mis en place avec ‘Carbon Footprint’ pour planter des arbres au Royaume-Uni et pour protéger l’Amazonie de la déforestation. Belén Díaz López, responsable de la gestion de qualité et l’environnement, explique : « Nous sommes très fiers de cette certification, fruit d’un travail mené depuis plusieurs mois. L’objectif de la neutralité fait partie d’un ambitieux plan qui intègre plus d’actions en matière de durabilité, l’économie circulaire et la lutte contre le changement climatique. » L’entreprise  a choisi deux projets pour compenser ses émissions : Le premier programme, situé au Royaume-Uni, prévoit que pour chaque tonne émise en 2019, un arbre sera planté en milieu scolaire. Le deuxième projet contribue à réduire la déforestation et préserver la biodiversité en Amazonie, poumon de notre planète, qui abrite pas moins de 10% des espèces, dont certaines en voie de disparition. Les deux programmes compensent les émissions de Cupa Pizarras  en 2019. Afin de poursuivre sur cette voie, les émissions carbones de l’entreprise  seront réduites de 5% supplémentaires en 2020 et 2021. Belén Díaz López, responsable de la gestion de qualité et l’environnement, confie : « En tant que leader de l´ardoise, nous tenons à tenir notre position par la mise en œuvre de politiques audacieuses dans la lutte contre le phénomène global du changement climatique. » L’objectif de l’Union Européenne est d’atteindre la neutralité carbone dès 2050. Cela engage à parvenir à un équilibre entre les émissions anthropiques par les sources et les absorptions anthropiques par les puits de gaz à effet de serre. L’engament de Cupa Pizarras est atteindre cet objectif avec deux décennies d’avance. La protection de l’environnement est présente à chaque étape de la production de l’ardoise, matériau naturel et non polluant. Les analyses de cycle de vie confirment qu’est l’option la plus écologique pour l’enveloppe du bâti. www.cupapizarras.com
Il y a 4 ans et 289 jours

La beauté du patrimoine d’Outre-mer

Les 12 régions et collectivités plurielles qui forment l’Outre-mer sont dotées d’un patrimoine riche et diversifié. On y retrouve de magnifiques paysages et une architecture hors-du-commun. Découvre certains de ses édifices portés par les projets du Loto du patrimoine  sélectionnés lors de la Mission Stéphane Bern.   L’habitation Zévallos au roule  ©Fondation du patrimoine Construite en 1850, cette maison réunit des codes des bâtisses des Cajuns de Louisiane avec sa structure en brique et en fer. Aujourd’hui, elle est au cœur d’un vaste projet de développement et de valorisation : les savoir-faire ancestraux seront employés pour sa restauration mais l’objectif est également d’y édifier un musée et d’y organiser des spectacles. Projet emblématique de la Guadeloupe pour cette année, l’habitation Zévalos retrouvera son aspect d’origine une fois le chantier achevé. Découvrir le projet >             Le Pont suspendu de la rivière de l’Est ©Fondation du patrimoine Perdu au milieu de la végétation, ce pont suspendu date de 1893. L’objectif était alors de relier la région Est à celle du Nord et de développer l’industrie sucrière par le transport des cannes. Aujourd’hui, ce patrimoine aux airs de décor de cinéma est dans un état préoccupant. Projet emblématique de La Réunion, sa restauration permettra de le rendre de nouveau accessible au public mais également d’en faire un pôle d’attractivité touristique et économique favorisant le commerce d’artisanat et de produits locaux. Découvrir le projet >               L’église du Sacré-Cœur de Balata ©Fondation du patrimoine Le projet retenu pour la Martinique est l’église du Sacré-Cœur de Balata. L’architecture de l’édifice évoque le monument éponyme parisien tout en proposant une adaptation tropicale du style romano-byzantin. Il s’agit d’un lieu de culte mais également d’un site touristique ouvert au public au sein duquel sont organisés des concerts et des spectacles. La restauration de l’église permettra de la sauvegarder et de lui permettre de résister au climat local et aux infiltrations. Découvrir le projet >             L’église Saint-joseph d’Iracoubo  ©Fondation du patrimoine En Guyane, l’église Saint-Joseph d’Iracoubo est le témoin d’une mobilisation des habitants. En effet, les travaux débutent en 1887 grâce aux dons des villageois. Elle conserve entre ses murs un décor peint réalisé par le bagnard Pierre Huguet, entre 1892 et 1898, ce qui ajoute au caractère exceptionnel des lieux. Les affres du temps et notamment l’humidité fragilisent cette église qui a désormais besoin d’une restauration. Les abords seront également mis en valeur. Découvrir le projet >             Soutenez d’autres projets sur : le site internet
Il y a 4 ans et 289 jours

Plan de relance européen : ce qui concerne les régions, les infrastructures et le climat

COMMUNAUTÉ. Après des négociations houleuses, les 27 Etats-membres de l'Union européenne ont fini par s'accorder sur un plan de relance commun d'un montant de 750 milliards d'euros. Bien que les postes budgétaires demeurent vagues, certaines pistes se dessinent pour la cohésion des territoires et le développement des infrastructures, mais le climat et l'environnement sont les grands oubliés.
Il y a 4 ans et 289 jours

Les étapes de construction d’une véranda

Une véranda ou une terrasse couverte a une fonction importante dans votre jardin. Elle offre une protection contre le soleil, le froid, la pluie et les chutes de feuilles. Cependant la planification d’une véranda peut être perçue comme un processus difficile. Pour tirer le meilleur parti de votre rénovation extérieure, vous devez vous assurer que vous avez une bonne vision des résultats du projet et du budget nécessaire pour atteindre vos objectifs.   Utilisation Dans un premier temps, vous devez trancher sur l’utilité qu’aura votre véranda : aménager un salon ou une cuisine, prendre le repas, couvrir une piscine, etc. Par ailleurs, il faut prendre en compte les éléments suivants : intimité, flux de circulation, lumière et ombre, emplacement et connexion aux sorties du logement, intégration au jardin. Ce ne sont là que quelques-uns des éléments pour obtenir un espace réussi. Décidez donc de ceux qui sont le plus importants en fonction du budget.   Conception Le fait de cocher les options de conception, y compris les matériaux, déterminera l’orientation des résultats et des coûts. Elle peut être en bois ou en aluminium, être ouverte sur tout le pourtour ou avoir des murs partiellement fermés. Elle peut avoir un toit fermé en métal ou être faite de panneaux de polycarbonate transparents ou translucides, dans les deux cas avec des dispositifs de drainage. A savoir que le toit doit avoir une hauteur d’au moins 2,2 mètres, et que vous devez également tenir compte de la hauteur du cadre et, si nécessaire, de l’ouverture et de la fermeture des portes de la maison. Une fois que vous avez décidé des options que vous préférez, faites préparer un plan conceptuel pour visualiser et développer votre espace afin de vous assurer que le résultat final concorde avec votre concept.   Planification Comme pour tout autre bâtiment, faites préparer des plans que vous ou votre constructeur pouvez chiffrer de manière réaliste et assurez-vous que le résultat prévu sera atteint.   Budgétisation Disposez d’un budget réaliste pour réaliser l’ensemble de votre projet. Si le processus de planification ci-dessus est suivi, cela garantira que les constructeurs proposent tous le même résultat de projet, y compris les matériaux. Si vous vous assurez que votre budget est raisonnable, vous vous retrouverez à faire des économies sur la conception, les matériaux, la finition et le constructeur.   Construction Entreprendre un projet en tant que « constructeur maison » est certainement une option si vous avez les connaissances, le temps, les fournitures et les contacts. Si ce n’est pas le cas, et que vous n’êtes pas en mesure d’assurer la réalisation, la meilleure option pour vous est de choisir un constructeur expérimenté ayant fait ses preuves. Choisir un constructeur ayant de l’expérience dans votre type de projet est une décision judicieuse pour garantir le meilleur résultat. Ne faites pas votre choix uniquement en fonction du prix.   Programmation Prévoyez suffisamment de temps pour planifier, sélectionner le constructeur, obtenir l’autorisation et enfin construire. Le délai minimum pour réaliser le processus ci-dessus sera de 3 à 4 mois si aucune planification ou approbation du conseil n’est requise du début à la fin. Commencez donc à planifier votre projet dès le début pour éviter toute déception.
Il y a 4 ans et 289 jours

Monaco : Trois jours pour tout changer

Retrouvez cet article dans le numéro 89 de Béton[s] le Magazine. A Monaco, EMT vient de mettre en route le logiciel CP de Command Alkon. [©EMT] L’Entreprise Monégasque de Travaux (EMT) possède la seule centrale à béton de la Principauté. L’installation est conçue autour de deux malaxeurs. Mais cela impliquait de gérer un planning des commandes chargé. Une situation pas toujours simple, notamment quand il faut changer le logiciel des automates de la centrale. « Nous étions équipés du logiciel CE2 de Command Alkon, qui arrivait au bout de ses possibilités. Nous venons de passer sur leur nouveau logiciel CP, avec quelques adaptations dues à la configuration particulière de notre unité de production, indique Franck Carles, directeur d’exploitation d’EMT. L’opération devait être bien réglée en amont, puisqu’elle a débuté un vendredi après-midi et que le lundi matin, nous avions déjà à répondre à une commande de 1 000 m3de béton. Mais tout a bien fonctionné ! » Les équipes de Command Alkon ont d’autant plus préparé cette intervention, qu’elles déployaient le nouveau CP, dans le cadre du remplacement de CE2, seulement pour la deuxième fois. « Le logiciel CE2 s’arrêtera en 2024. Nous commençons à faire migrer nos clients vers son successeur, le CP,reprend Gaël L’Hopital, directeur opérationnel de Command Alkon. Nous avions déjà fait un pilote avec Eqiom. Cette intervention était la seconde de ce type. Avoir seulement trois jours pour agir était un défi, comme le fait d’avoir deux malaxeurs dans la centrale. Mais nous avions réalisé des simulations en amont. Et le jour J, tout a été réalisé tout de suite. Nous avons même pu faire des tests toute la journée du dimanche. » EMT peut à présent envisager avec confiance les migrations vers son nouveau logiciel, qui vont se généraliser. 
Il y a 4 ans et 289 jours

Aperçu sur les différents travaux d’aménagement publics

Pour développer le tourisme dans un pays ou une ville, il est indispensable d’aménager ou de créer un certain nombre d’infrastructures. L’objectif est d’attirer un maximum de visiteurs tous les ans pour booster l’économie de la région ou du pays en question. Pour concrétiser un projet de ce genre, il est préférable de recourir à l’expertise d’une entreprise spécialisée en travaux d’aménagement public. Le terrassement : une branche des travaux d’aménagement publics Pour des projets de construction ou d’extension, par exemple, les travaux de terrassement s’imposent. Il s’agit d’une opération qui consiste à préparer un terrain destiné à l’édification d’une structure. Et donc, pour mener à bien les travaux, il faut se munir d’un parc de matériel conséquent et d’une main-d’œuvre qualifiée. À noter qu’il existe deux types de terrassements : le remblai et le déblai. Le premier consiste à déplacer des terres prélevées sur le terrain à construire afin d’uniformiser la surface, tandis que le déblai permet d’enlever des terres pour rabaisser le niveau de terrain, puis de l’aplanir. Ensuite, il va falloir charger les terres enlevées dans un véhicule afin de les déplacer pour le déblai. Terrasser signifie également préparer le sol en déplaçant des quantités importantes de terres ou de roches pour mettre le sol à niveau. Ainsi, on pourra réaliser certains ouvrages tels qu’une habitation ou une route. Avant de lancer le chantier, le terrassier effectue en amont un diagnostic. Le prestataire peut également s’occuper de la réalisation de bordures esthétiques en fonction des attentes des clients. Concernant le coût, tout dépend du type de sol du terrain, de son emplacement, de sa longueur, de la difficulté d’accès, etc. La création des réseaux divers Les travaux publics englobent également les travaux liés aux besoins primaires des consommateurs en matière d’hygiène. Cela concerne aussi bien le milieu urbain que le milieu rural. On parle ici des opérations d’assainissement et d’épuration des eaux usées. Concrètement, elles consistent à faire évacuer ces dernières ainsi que les eaux domestiques de chaque foyer par un réseau d’assainissement collectif. On cherche à dépolluer les eaux et les sols grâce à un système d’évacuation. Cette étape des travaux peut de même consister à la mise en œuvre d’un réseau d’approvisionnement en eau. Il s’agit ici de construire des structures facilitant l’acheminement de l’eau potable dans des zones, comme le quartier, la région, la ville, voire un pays entier. Certaines entreprises s’occupent de la pose de graviers pour créer des allées piétonnes, par exemple. Aussi, elles sont spécialisées dans la pose d’enrobé en vue de créer des chaussées ou une piste d’aviation. D’autres proposent leur savoir-faire dans des travaux de génie civil. Il s’agit des travaux de construction de tout type de bâtiment, allant des petits édifices aux gratte-ciels. Cela concerne également la réhabilitation et la rénovation d’une structure déjà existante. Ces travaux sont divisés en 4 parties, à savoir la construction d’infrastructures de transport, la construction de barrages, la construction d’infrastructures urbaines et de structures industrielles. Pour la concrétisation des travaux, il est recommandé de demander plusieurs devis auprès de plusieurs sociétés de construction.
Il y a 4 ans et 289 jours

Les dirigeants du BTP combatifs et prêts à faire évoluer leur organisation pour la reprise

Si des inquiétudes pointent quant à leur trésorerie ou leur carnet de commande, les dirigeants se disent prêts à « réentreprendre », quitte à sacrifier leurs vacances cet été. L'étude rappelle aussi que les dirigeants du secteur sont des travailleurs particulièrement débordés.Patrick Miliotis, directeur général de la Fondation MMA des Entrepreneurs du Futur : « La Fondation interroge chaque année depuis 6 ans les dirigeants français sur leur état de santé physique et psychique. Il nous paraissait incontournable de prendre leur pouls suite à la crise sanitaire et surtout à l'heure de la relance. Cette enquête nous montre que la combativité des entrepreneurs, leur aptitude à s'adapter, à résoudre des problèmes, à saisir des opportunités sont plutôt exacerbées par la crise avec une capacité de résilience en augmentation. Notre mission est d'accompagner ces entrepreneurs à chaque étape de la reprise pour les aider à réentreprendre sans s'épuiser. »Dans le secteur du BTP / Industrie, près d'un entrepreneur sur deux va sacrifier ses congés d'étéA l'heure de la relance, les dirigeants d'entreprises de BTP / Industrie sont en première ligne pour assurer la reprise des chantiers, organiser le retour des équipes sur le terrain, relancer la chaîne d'approvisionnement en matériaux… Pour nombre d'entre eux, la perspective de s'éloigner de l'entreprise n'est tout simplement plus d'actualité. 47% des dirigeants du secteur prévoient ainsi d'écourter, annuler ou reporter leurs congés d'été. Un taux supérieur à la moyenne globale de 44%.Des dirigeants combatifs et agiles, dont les business modèles semblent avoir bien résisté à la criseInterrogés sur leur état d'esprit vis-à-vis de la relance, les chefs d'entreprises français révèlent un très fort sentiment de combativité (92%). Sentiment partagé par 90% des sondés du secteur BTP/Industrie.Pourtant prêts à s'adapter, les dirigeants du secteur sont 76% à se dire ouverts aux opportunités professionnelles. Plus d'un chef d'entreprise du secteur sur deux (59%) prévoit également de mettre en place une nouvelle organisation du travail au sein de sa structure.En bonne forme physique, les entrepreneurs BTP / Industrie se sentent en revanche débordésInterrogés sur leur forme physique, les dirigeants du secteur BTP / Industrie affirment dans leur grande majorité se sentir en bonne forme (81%). Une situation comparable aux chiffres généraux (85%).Pour autant, ils se disent bien souvent stressés (45%) et confient se sentir beaucoup plus débordés que la moyenne (63% vs. 54% au global).Les entrepreneurs du secteur moins inquiets que la moyenne, la trésorerie et le carnet de commande restent les premières sources d'inquiétudeDans ce contexte économique complexe et incertain, 40% des dirigeants du secteur se disent inquiets, un taux remarquablement inférieur à celui du commerce (54%), beaucoup plus durement impacté par la crise.Au global, les sources d'inquiétudes sont logiquement fléchées sur la trésorerie, citée par 82% des personnes interrogées et le carnet de commande, évoqué à 72%.Des chefs d'entreprises particulièrement confiants pour l'avenir de leur activitéPortés par leur volonté d'agir et de « ré entreprendre », les femmes et hommes interrogés ont fait part d'une grande confiance en l'avenir.A l'échelle du secteur, les sondés sont 82% à se dire confiants pour leur vie personnelle ; 78% pour leur situation professionnelle et 73% pour la situation financière du foyer.Les dirigeants du BTP / Industrie dénotent une fois de plus par leur confiance plus marquée que la moyenne pour l'avenir de leur activité : 79% vs. 74% au global.Soutenus par leurs proches dans la reprise, les dirigeants entendent désormais mieux profiter de leur familleAlors que le déséquilibre vie privée et vie professionnelle a longtemps été vu comme une fatalité pour les entrepreneurs, la préservation de la vie de famille est aujourd'hui unanimement considérée comme une priorité.Pour 63% des chefs d'entreprises du secteur, le confinement leur a permis de mieux profiter de leurs proches. Ils ressortent de cette période avec le sentiment d'être soutenus par leurs proches (80%) pour aborder la reprise. Un taux toutefois inférieur à la moyenne globale de 88%.Ces femmes et ces hommes dirigeants entendent aujourd'hui mieux préserver cet équilibre. Ils sont ainsi unanimement décidés (93%) à mieux profiter de leur famille tout au long de l'année et 91% à déclarer vouloir continuer à pratiquer une activité sportive pour se maintenir en forme.Un cycle de webinaires et un guide inédit pour aborder les enjeux santé pour l'entrepreneur face à la relanceTout au long de ces prochaines semaines, la Fondation MMA des Entrepreneurs du Futur déploie un dispositif spécial pour aborder les problématiques de la santé et de la prévention face aux risques d'épuisement pour les entrepreneurs.Un cycle de 3 webinaires « Comment ré entreprendre sans s'épuiser » se déroule du 6 au 8 juillet en partenariat avec les CCI. Il est complété par la sortie du guide inédit « L'Entrepreneur en forme », réalisé sous la direction du médecin psychothérapeute Gérard Ostermann avec le regard de nombreux experts et des témoignages d'entrepreneurs.Méthodologie :Étude réalisée par l'institut OpinionWay pour la Fondation MMA des Entrepreneurs du Futur auprès d'un échantillon de 802 dirigeants d'entreprises représentatif des TPE, PME et ETI françaises (1 à 4999 salariés), dont 191 entreprises du secteur BTP/Industrie.L'échantillon a été interrogé du 12 au 22 juin 2020 par téléphone. La représentativité de l'échantillon est assurée par un redressement sur les critères de taille d'entreprise et de secteur d'activité, après stratification par région de résidence.
Il y a 4 ans et 289 jours

L'agriculture doit contribuer plus à la production d'énergies

Le rôle de ce secteur, qu'il s'agisse de produire de l'électricité, du gaz ou des carburants, "est un sujet majeur aux implications multiples pour l'environnement et le climat, pour ses conséquences en matière d'aménagement des territoires, d'organisation des filières et des exploitations agricoles", relève l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST).Parmi les propositions, destinées à orienter le plan de relance économique du gouvernement attendu fin août, le rapport appelle à "développer de manière prioritaire la méthanisation" qui permet de produire du biogaz à partir de déchets organiques.Les rapporteurs de la mission, le député (LREM) Jean-Luc Fugit et le sénateur (PS) Roland Courteau, "déplorent les ambitions trop modestes" de la Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE).Alors que la loi a fixé en 2015 "un objectif ambitieux de 10%" de biogaz dans la consommation de gaz en 2030 (soit 39 à 42 TWh), la PPE de 2016 visait 8 TWh injectés dans le réseau en 2023, ramenés à 6 TWh en 2020, regrette le rapport, soulignant au passage que la définition de la feuille de route énergétique de la France devrait incomber au Parlement, non au gouvernement.Parmi leurs autres propositions: doter d'un volet agricole la recherche sur les énergies, renforcer le conseil auprès du monde agricole et intégrer ces projets dans les politiques d'aménagement des territoires.Les pouvoirs publics devraient "encourager l'appropriation des infrastructures de production d'énergie par les agriculteurs plutôt que par les énergéticiens seuls ou des opérateurs tiers", ajoutent les parlementaires.Dans l'éolien et le photovoltaïque, "les agriculteurs se contentent souvent de mettre à disposition des ressources foncières", notent-ils, relevant que leur appropriation "permettrait aussi de faire évoluer les regards sur ces filières" parfois difficilement acceptées.Enfin il faudrait soutenir l'agrivoltaïsme, des panneaux solaires mobiles qui, installés au-dessus des plantations, évitent d'utiliser du foncier supplémentaire, notent les auteurs.Selon le rapport, le secteur agricole, avec au moins 50.000 exploitations concernées, assure déjà 20% de la production d'énergies renouvelables (soit 3,5% de la production nationale d'énergie), dont 96% de la production nationale de biocarburants, 26% du biogaz, et via son foncier 83% de l'éolien, 13% du solaire photovoltaïque.
Il y a 4 ans et 289 jours

Un contrat routier de 183 M€ pour Vinci au Canada

Le ministère des Transports de la province de l’Alberta a retenu, pour la réalisation du segment sud du périphérique de Calgary, le groupement d’entreprises composé de filiales de Vinci (65 %) - Carmacks, filiale d'Eurovia, mandataire du groupement, et Vinci Construction Terrassement - et de la société canadienne Graham (35 %).
Il y a 4 ans et 289 jours

Vers une trajectoire verte en béton

La filière béton est plus que jamais consciente des enjeux du CO2 et du développement durable. Entre bas carbone, biosourcés, recyclés… le point sur les développements en cours.
Il y a 4 ans et 289 jours

Roadshow nouvelle gamme de volets extérieurs : SOPROFEN se met en route !

En cette période inédite marquée par le report de nombreux salons professionnels, les industriels doivent rivaliser d’ingéniosité pour dévoiler malgré tout leurs nouveautés. Souhaitant vivement trouver une alternative, SOPROFEN part ainsi sillonner les routes de France et de Belgique, du 2 septembre au 30 octobre 2020, pour présenter une innovation exclusive qui rend sa gamme de volets roulants extérieurs encore plus performante.   Pour ce roadshow de 15 étapes, le concepteur gammiste de volets roulants et acteur majeur de la fermeture invite ses partenaires revendeurs et fabricants à vivre une expérience unique. Après une première escale parisienne dans le mythique Olympia le mercredi 2 septembre 2020, le roadshow s’arrêtera dans des lieux insolites ou symboliques :   en France, • Paris : le mercredi 2 septembre • Rennes : le jeudi 10 septembre • Nantes : le vendredi 11 septembre • Toulouse : le jeudi 17 septembre • Bordeaux : le vendredi 18 septembre • Montpellier : le jeudi 24 septembre • Marseille : le vendredi 25 septembre • Grenoble : le jeudi 1er octobre • Lyon : le vendredi 2 octobre • Besançon : le jeudi 8 octobre • Strasbourg : le vendredi 9 octobre • Rouen : le jeudi 15 octobre • Le Mans : le vendredi 16 octobre   ainsi qu’en Belgique, • le jeudi 29 octobre à Namur • le vendredi 30 octobre à Gent.   A l’issue du tour de France, un webinar sera organisé afin de permettre à tous les partenaires qui n’auraient pu être présents sur le roadshow, ainsi qu’aux prospects, de découvrir la nouvelle gamme de volets extérieurs de SOPROFEN.   En allant à la rencontre de plusieurs centaines de professionnels de la menuiserie, SOPROFEN se démarque une nouvelle fois par sa volonté de conserver, en toutes circonstances, une relation de proximité avec ses clients.   Plus d’informations et inscription sur le site internet www.soprofen.fr
Il y a 4 ans et 289 jours

Lancement du 3ème Challenge Start-ups Construction Tech

Le Challenge Start-ups Construction Tech® est un concours qui a pour but de soutenir des start-ups déjà présentes dans la filière Construction / Bâtiment / Immobilier mais également de faire émerger toutes les start-ups qui souhaiteraient proposer leurs solutions dans ces secteurs.Le coup d'envoi de la troisième édition du Challenge Construction Tech® est dès à présent donné ! Les start-ups ont jusqu'au 30 octobre 2020 pour proposer leurs candidatures qui seront étudiées par un jury d'experts courant décembre 2020. Les lauréats seront annoncés officiellement à l'issue de ce jury.Ce jury choisira les lauréats, ainsi que le Grand Lauréat, en fonction de plusieurs critères dont la pertinence et la maturité de la solution ou du produit présentés, dans des domaines aussi variés que :Sécurité des personnes & équipement de protection individuelleSmart home, Smart building & IoTSmart citiesBIM, 3D & réalité virtuelleSolution constructive et matériauxÉnergie, efficacité énergétique & ENRPlateforme d'intermédiationData, IA & blockchainGestion de chantierÉconomie circulaireVégétalisation.Challenge Construction Tech® : une vitrine pour les start-upsConstruction Tech® mettra à disposition des lauréats de nombreux outils pour valoriser leurs innovations.Dès leur inscription au Challenge Start-ups Construction Tech®, les lauréats seront valorisés à travers des campagnes sur les réseaux sociaux, des e-mailings, et une communication spécifique menés par BATIMAT. Ils pourront aussi bénéficier de l'enregistrement d'un podcast dans « La start-up de la semaine » sur BATIRADIO.Nouveauté pour cette édition, le Grand Lauréat aura la possibilité de prendre la parole sur le salon Pollutec (Lyon, 1-4 novembre 2020).En janvier 2021, tous les lauréats se verront proposer de venir « pitcher » lors d'une conférence de presse Construction Tech® et de présenter leurs solutions devant les journalistes. Pour se préparer, ils recevront l'aide d'un des membres du jury, invités à parrainer la start-up de leur choix.En novembre 2021, le Grand Lauréat aura la possibilité d'être présent sur le secteur Construction Tech® de BATIMAT, lui apportant une forte visibilité auprès du secteur du bâtiment, et la possibilité de rencontres avec les industriels et les décideurs du secteur.Les start-ups inscrites au 3ème Challenge seront également invitées à intégrer l'Annuaire numérique des Start-Ups Construction Tech®, un outil exclusif développé par BATIMAT pour faciliter la mise en relation entre les start-ups et les autres acteurs du Bâtiment et de l'Immobilier.
Il y a 4 ans et 289 jours

Rénovation : "les marchés seront là, il faut après que chacun aille les chercher" (Griset)

CONJONCTURE. Les nouveaux reports de charges dont pourront bénéficier les petites entreprises ont été confirmés par le ministre délégué aux PME, qui a aussi indiqué les pistes d'évolution des PGE envisagées par Bercy. Alain Griset a en outre appelé les artisans du bâtiment à "aller chercher les marchés" de la rénovation énergétique.
Il y a 4 ans et 289 jours

Le prolongement au nord de Paris de la ligne de métro 14 ouvrira en décembre

Ce chantier, qui prolonge cette ligne de métro entièrement automatisée au delà de la gare Saint-Lazare, avec quatre nouvelles stations jusqu'à Mairie de Saint-Ouen, a été ralenti d'abord par le confinement puis par les nouvelles règles sanitaires applicables sur les chantiers."Grâce aux essais concluants de circulation de trains (...) réalisés le week-end des 4 et 5 juillet, la RATP vise une mise en service du prolongement de la ligne 14 au nord pour mi-décembre 2020 avec l'ouverture de trois nouvelles stations (Pont Cardinet, Saint-Ouen, Mairie de Saint-Ouen) et une ouverture de la station Porte de Clichy en janvier 2021", a indiqué la RATP, dans un communiqué.La régie des transports franciliens estime que "le maintien d'une ouverture quasi-totale en 2020 (par rapport au calendrier précédent qui prévoyait une mise en service mi-septembre) résulte à la fois des efforts déployés par la RATP, les équipes de la maitrise d'oeuvre et l'ensemble des entreprises mobilisées"."La station Porte de Clichy, plus étendue que les trois autres stations (...) sera achevée avec un léger décalage et sera maintenue fermée en décembre", précise la RATP.Elle souligne aussi que le nouveau calendrier prévisionnel "reste lié au bon déroulement des prochaines étapes du chantier et de la fourniture des automatismes et matériels roulants, ainsi, bien sûr, qu'à l'évolution de la crise sanitaire".
Il y a 4 ans et 289 jours

Kaufman & Broad victime d'une "tentative de prise de contrôle rampante"

ACTIONNARIAT. Après que le promoteur Promogim a déclaré détenir 13,41% des actions de son concurrent Kaufman & Broad, celui-ci dénonce une "tentative de prise de contrôle rampante" et déclenche son programme de rachat d'actions.
Il y a 4 ans et 289 jours

Nomination de Marc Bellair au sein de Bluetek

Un parcours internationalMarc BELLAIR débute sa carrière dans le bâtiment en 1991 au sein de l'entreprise thaïlandaise Sodap Taïland Ltd, filiale du groupe Lafarge, en qualité de manager technique de production. Il y a assuré la direction de l'usine de production et la gestion des grands comptes clients internationaux.Durant 6 ans (1991-1997), Marc BELLAIR a également apporté son concours à travers diverses missions de support auprès d'unités du groupe au Pakistan, à Taïwan ou encore à Hongkong. En 1997, Marc BELLAIR intègre la filiale Lafarge Refractories, du groupe éponyme, spécialisée dans la fabrication des bétons réfractaires pour l'industrie de l'aluminium. Jusqu'en 2002, Marc BELLAIR a eu pour mission de développer le marché international des matériaux réfractaires avec un périmètre d'action couvrant pas moins de 20 pays.Fort de ces expériences, Marc BELLAIR occupera le poste de la Direction Nationale des Ventes Façade et Prescription chez Wienerberger auprès des maîtres d'œuvre, des architectes et des bureaux d'études tout en participant à la stratégie commerciale de cette branche d'activité de Wienerberger.Un nouveau challenge dans la gestion des énergies dans le bâtimentL'arrivée de Marc BELLAIR, depuis le 1er juin 2020, témoigne de la volonté d'ADEXSI de renforcer la prescription de sa filiale Bluetek en restructurant cette cellule autour des compétences et des services du groupe ADEXSI et de l'offre GENATIS, solution globale pour la gestion des énergies naturelles des bâtiments.Cette nouvelle organisation de la prescription de BLUETEK aura pour vocation d'apporter des solutions clés en mains aux maitres d'œuvres et d'ouvrage ainsi qu'aux architectes.Genatis : une solution globaleGENATIS est une marque transversale d'ADEXSI qui regroupe les produits et savoir-faire de l'ensemble de ses filiales – BLUETEK, ESSERTEC, SOUCHIER-BOULLET, TELLIER BRISE-SOLEIL, SIA – en vue de proposer une solution globale de gestion des énergies naturelles dans les bâtiments.Destinée à tous les professionnels de la construction (architectures, aux maîtres d'œuvre, aux maîtres d'ouvrage, etc.), l'offre GENATIS, est une solution avant-gardiste qui répond aux nombreux défis de la rénovation énergétique des bâtiments ainsi qu'à la future réglementation environnementale de 2020.Une offre de services spécifiquesLa solution GENATIS se complète d'une offre de services dédiés en complément des produits des filiales d'ADEXSI. Parmi ces services, GENATIS assure la gestion du rafraichissement des bâtiments grâce à des automates programmables pilotables pas les gestionnaires permettant notamment d'obtenir un confort optimisé par la gestion de la gradation de l'éclairage artificiel, l'ombrage des façades et des lanterneaux présents en toiture, la ventilation, le rafraichissement par évaporation ou la façade bioclimatique. Enfin, GENATIS propose également un service « Diagnostic ».Cette prestation fait partie des leviers clés de l'offre GENATIS qui permettront à Marc BELLAIR de professionnaliser d'avantage la prescription de BLUETEK en apportant une étude complète des bâtiments pour mieux comprendre leurs pathologies. Ceci afin de mieux appréhender les solutions - et leurs installations - les plus adaptées. Ce service, traité par le bureau d'étude d'ADEXSI, comprend l'étude d'optimisation, les travaux, l'accompagnement et la garantie de performances sur l'ensemble des solutions GENATIS.
Il y a 4 ans et 289 jours

Crossrail : le dépôt ferroviaire de Plumstead a été livré

INTERNATIONAL. TSO, filiale de NGE, vient de terminer les travaux du dépôt de maintenance de Plumstead, dans le cadre du chantier de la future ligne de RER à Londres.
Il y a 4 ans et 289 jours

Bruno Le Maire souhaite renforcer la régulation des concessions autoroutières

"Le modèle de délégation de service public à des entreprises privées a apporté la preuve de son efficacité mais la condition, c'est que la régulation soit améliorée", a déclaré le ministre devant la commission d'enquête du Sénat sur les concessions autoroutières.M. Le Maire, qui était directeur de cabinet du Premier ministre Dominique de Villepin, de 2006 à 2007, au moment de la privatisation des sociétés d'autoroutes, a jugé que cette opération avait été "réussie"."L'Etat n'a pas vocation à gérer des autoroutes", a-t-il affirmé, estimant que les gestionnaires privés étaient "mieux à même, mieux équipés" pour cela. Mais il a souligné que l'Etat restait propriétaire des infrastructures, n'ayant fait que céder ses parts dans les sociétés gestionnaires.Il a estimé que l'Etat en avait tiré "le meilleur prix", avec 14,8 milliards d'euros de recettes.Selon le ministre, la qualité de service a été au rendez-vous, grâce notamment à 22 milliards d'euros d'investissements réalisés par les sociétés concessionnaires. "Nous avons un des meilleurs réseaux autoroutiers au monde", a déclaré M. Le Maire.Reconnaissant que les tarifs étaient "chers" pour beaucoup d'usagers, il a assuré qu'ils ne s'étaient pas envolés et avaient "augmenté en suivant un rythme proche de celui de l'inflation et conforme aux règles prévues dans les contrats".Mais il a reconnu qu'il y avait "matière à amélioration" sur la régulation des concessions."Les hypothèses sous-jacentes aux contrats ne prévoyaient pas la baisse très forte des taux d'intérêt qui a permis aux sociétés concessionnaires de réduire leurs frais financiers, en refinançant leurs dettes à des conditions plus favorables. C'est un point fondamental", a-t-il dit.M. Le Maire a jugé "impératif pour les prochaines concessions de pouvoir réévaluer" ce coût de financement "pour que le concessionnaire ne bénéficie pas d'une sur-rentabilité".Il a notamment proposé de réduire la durée des contrats à 15 ans pour des infrastructures "qui ne nécessitent pas d'investissement massif dans les années à venir" et d'instaurer une "clause de rendez-vous tous les cinq ans qui permet de réévaluer les taux de retour sur investissements cibles"."Je ne crois absolument pas à l'opportunité d'une renationalisation de ces autoroutes", a-t-il dit, estimant qu'elle aurait un coût "considérable pour les finances publics, compris entre 45 et 50 milliards d'euros" et "serait un très mauvais investissement".
Il y a 4 ans et 289 jours

La Cour des Comptes fait le point sur la filière des centrales nucléaires EPR

Multiplication du coût de construction par 3,3 et du délai de mise en service par 3,5 au moins : l’EPR de Flamanville est mal parti, mais EDF propose déjà l'EPR2
Il y a 4 ans et 290 jours

Comment optimiser les espaces de votre maison ?

La construction ou la rénovation d’une maison est une étape cruciale dans la vie d’un propriétaire. Ainsi, les choix faits durant la conception auront des conséquences considérables sur son mode de vie future. Lors de l’aménagement des espaces de la maison, il va falloir prendre en compte ses habitudes, celles de sa famille, pour que tout le monde puisse s’y sentir bien. L’optimisation de l’entrée L’entrée se présente comme étant un espace important dans une maison. En effet, c’est elle qui va donner la première impression. Entrée indépendante ou ouverte sur la cuisine ou le salon, il est important qu’elle soit aménagée de sorte à ce qu’elle soit fonctionnelle et pratique pour tous les occupants de la maison. Afin d’optimiser plus d’espace, lors d’un projet d’aménagement d’intérieur, il est nécessaire de penser à d’autres aménagements intéressants sur la porte d’entrée comme des meubles à chaussures, des casiers nominatifs pour accessoires, une penderie avec porte-manteaux ou encore des espaces pour le vide-poche. Le rangement de la salle de bains La salle de bain n’a pas besoin d’une surface importante pour être agréable. Il suffit seulement qu’elle soit bien rangée, avec des aménagements bien pensés. D’ailleurs, il existe sur le marché plusieurs accessoires et équipements au design original et ergonomique pour les petits espaces. Ainsi, vous pouvez privilégier des plans suspendus à tiroir pour ranger les serviettes, ou encore s’équiper avec une baignoire d’étagères pour gagner encore plus de surface. Les étagères murales sont également idéales pour dégager de la place au sol tout en donnant l’impression d’avoir une espace plus importante. Comment aménager le salon ? Le salon est une pièce principale. Rien que pour cette considération, il doit avoir plusieurs usages selon les habitudes de la famille. Il peut ainsi être un lieu de passage ou un lieu de détente. Le salon doit être facilement accessible, où la circulation sera fluide. Pour apporter une meilleure optimisation à cet espace, l’éclairage et la lumière naturelle sont des facteurs très importants. Comment faire entrer de la lumière dans une pièce sombre ? Lors d’une rénovation, c’est le moment pour apporter de la lumière naturelle dans une pièce jusque là sombre. En effet, le manque de lumière impacte directement sur le moral et la santé des occupants du logement : mauvaise humeur à répétition, baisse de motivation ou encore fatigue permanente. Heureusement qu’il existe des astuces pour faire entrer de la lumière naturelle dans la pièce. Force est de constater que plus de lumière apporte une sensation d’espace ainsi qu’une atmosphère chaleureuse dans la maison. Les pièces qui ont le plus besoin de lumière sont la cuisine, le salon ainsi que la salle de bains. Il existe quelques astuces pour profiter au maximum de l’éclairage naturel sans recours aux luminaires. Cela est à la fois pratique et économique. Capter la lumière avec un réflecteur de lumière Le principe est simple : la lumière naturelle tombe à la verticale, et elle passe devant les fenêtres sans forcément entrer dans la pièce. Ainsi, le réflecteur de lumière va faire en sorte que la pièce bénéficie de la lumière du jour, une fois qu’il est posé sur le bord d’une fenêtre ou sur un balcon. Grâce à cette solution ingénieuse, le manque de luminosité dans les habitations au rez-de-chaussée ou dans les appartements mal orienté sera pallié. Désencombrer le bord des fenêtres On a tendance à placer des meubles à proximité de nos ouvertures ou sur le bord de nos fenêtres. Avant d’optimiser plus d’espace, il est nécessaire de dégager les meubles autour des ouvertures pour faire plus de lumière, dans un rayon de 40 cm. Optez pour des meubles suspendus, qui sont à la fois pratiques et décoratifs. Privilégier deux tons pour les murs Les tons d’une pièce permettent également de donner une impression d’optimisation d’espace. Dans une pièce sombre et donc, plus petit, donner de la couleur aux murs est une excellente idée. Préférez des tons chauds, pour éviter l’atmosphère froide. Vous pouvez également choisir une palette à deux tons, comme jaune et gris ou bleu et blanc. Bien organiser les chambres pour plus d’espace Suite parentale, chambre d’enfant, chambre d’adolescent ou chambre d’amis, chacun de ces pièces a sa spécificité. L’essentiel est pourtant de bien s’y sentir. En effet, une chambre est un espace personnel, un cocon confortable où se blottir pendant les mauvais jours. Ainsi, pour une chambre d’enfants on priorise les rangements pratiques et accessibles. Il faut également disposer des espaces ludiques pour développer leur créativité. Quant aux chambres d’adolescents, elle doit regrouper plusieurs options : un espace de bureau, un espace détente et un espace lit, pour recevoir des amis. Enfin, la suite parentale, l’aménagement tendance nous est importé d’Asie avec les influences du Feng Shui. Cette méthode permet de privilégier le sommeil profond et un bien-être intense.
Il y a 4 ans et 290 jours

Le Sénat vote une prime à l'embauche plus large

Le premier dispositif, évalué à 400 millions d'euros, propose aux entreprises de moins de 250 salariés une prime à l'embauche pour tout CDI ou CDD de plus de six mois, d'un montant de 4.000 euros maximum sur deux ans. Avec une majoration de 50% pour l'embauche de jeunes de moins de 26 ans en sortie de formation initiale, soit 6.000 euros.Hormis pour les jeunes, pour lesquels il n'y aurait pas de plafond, le bénéfice d'une telle prime serait limité aux embauches de salariés jusqu'à 1,6 SMIC.Le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt a contesté une prime "trop large", attribuée "quel que soit l'âge" et a appelé les sénateurs à "se rallier à l'amendement" du gouvernement sur l'emploi des jeunes.Présenté dimanche, cet amendement a été rejeté par le Sénat, le rapporteur général Albéric de Montgolfier (LR) jugeant que le dispositif adopté par la chambre haute dans la nuit "satisfait pleinement l'intention du gouvernement".Le gouvernement proposait une enveloppe d'un milliard d'euros pour tirer "les conséquences budgétaires" de l'annonce du président de la République le 14 juillet "de mettre en place un dispositif exceptionnel de réduction du coût du travail, à hauteur de 4.000 euros par an pour les jeunes".Le porte-parole du groupe LREM au Sénat Julien Bargeton a défendu "un geste significatif", qui "témoigne de la riposte" du gouvernement face à l'urgence de la situation économique et sociale.Le Sénat a en revanche voté deux amendements du gouvernement en faveur de l'apprentissage. Le premier ouvre 744 millions d'euros de crédits en autorisations d'engagement pour le financement de la mesure incluant les contrats de professionnalisation dans l'aide exceptionnelle à l'apprentissage.Le second prévoit le financement à hauteur de 7 millions d'euros de la protection sociale des jeunes qui auront commencé une formation en CFA entre le ler août et le 31 décembre 2020 et qui n'auront pas signé de contrat d'apprentissage entre 3 et 6 mois après le début de leur formation.Dans la nuit de samedi à dimanche, le Sénat a également voté une mesure de bons d'achat ou de chèques loisirs de 400 euros pour 6 millions de foyers modestes, dans leurs activités culturelles et touristiques, y compris pour des prestations hôtelières ou dans la restauration.Le Sénat a voté ce dispositif de 2,4 milliards d'euros contre l'avis du gouvernement."Pour les ménages les plus modestes, nous avons clairement préféré affecter les moyens dont nous disposons au financement de l'activité partielle et du fonds de solidarité avec l'objectif de préserver l'emploi et les compétences d'un maximum de Français", a réagi le ministre Olivier Dussopt, opposé à cet amendement.
Il y a 4 ans et 290 jours

La fibre optique pourvoie aussi les emplois

Les infrastructures numériques très haut débit, et en particulier la fibre optique, ont pris bonne part dans la résilience de la France pendant la crise COVID. La transition numérique des entreprises et des collectivités, ainsi que l’accompagnement des citoyens, font partie des priorités du gouvernement à travers le plan France très haut débit et l’accélération des déploiements de fibre optique. Les métiers de la fibre optique représentent plus que jamais une opportunité pour l’emploi en France. Le volume d’emplois mobilisables d’ici 2022 est en hausse de près de 30% par rapport aux projections établies en 2017 pour déployer le très haut débit sur l’ensemble du territoire français. Le nombre d’emplois nécessaires au déploiement1 de la fibre optique en France devrait mobiliser 27 000 personnes pour atteindre un pic d’emplois en 2022, et une demande qui reste forte jusqu’en 2024. L’évaluation conduite en 2017 annonçait 22 000 emplois pour un pic en 2021. Source : dernière étude menée dans le cadre de l’Engagement pour le Développement de l’Emploi et des Compétences (EDEC) « Fibre Optique » signé entre le Ministère du Travail, l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires, les branches (FFB, FNTP, UIMM, HumApp), les fédérations professionnelles membres d’Objectif Fibre (FFIE, FFTélécoms, FIEEC, InfraNum, SERCE) et les OPCO (Constructys, OPCO2i et AKTO).
Il y a 4 ans et 290 jours

Erosion côtière : le sénat vote l'indemnisation des propriétaires du "Signal"

Cet amendement, défendu par le gouvernement, "précise le cadre juridique permettant d'utiliser les crédits de 7 millions d'euros du programme prévention des risques, dédié à l'indemnisation de propriétaires de biens dans des immeubles rendus inhabitables par l'érosion côtière", a expliqué Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée auprès du ministre de l'Économie.Le texte prévoit une indemnisation des propriétaires des lots de l'immeuble Le "Signal" de Soulac à hauteur de 70% de la valeur vénale estimée, sans que ne soit pris en compte le risque d'effondrement, a-t-elle précisé.Le versement de l'indemnité qui doit être demandé avant le 31 décembre 2021 est conditionné à deux points:"Le transfert de la propriété du bien à une personne publique identifiée en accord avec le représentant de l'Etat dans le département" et "la renonciation de la part des propriétaires à toute demande indemnitaire faisant l'objet d'un contentieux en cours ou futur".Les propriétaires des 78 appartements - surtout des résidences de vacances - avaient été évacués en 2014 par arrêté préfectoral, à la suite d'un recul marqué du trait de côte, du fait des fortes tempêtes de l'hiver 2013-2014.Ils ont mené sans succès une longue bataille judiciaire pour faire reconnaître l'érosion dunaire au titre des risques naturels donnant droit à indemnisation, comme la submersion marine ou les mouvements de terrain."C'est l'occasion de clore une histoire de six ans, faite de rebondissements, d'atermoiements, où des gens ont perdu du jour au lendemain leur lieu d'habitation et vont de procédure en procédure avec toutes les angoisses et les inquiétudes que cela suscite", a expliqué la sénatrice LREM de Gironde Françoise Cartron."Ce sont des familles modestes qui parfois ont dû être relogées à la va-vite dans des caravanes, leur appartement étant rendu inhabitable du jour au lendemain. Cet amendement va aussi permettre à la ville de Soulac de tourner la page et de concevoir un projet d'aménagement et d'embellissement de ce lieu qui aujourd'hui est occupé par une ruine", a-t-elle ajouté.Pour la sénatrice PS de Seine-Maritime Nelly Tocqueville, ce dossier doit alerter la représentation nationale sur "la problématique de l'érosion de nos littoraux"."La situation du Signal risque de se reproduire de façon bien plus systématique qu'on ne le croit dans les années à venir", a-t-elle mis en garde.
Il y a 4 ans et 290 jours

Castex donne des gages aux partenaires sociaux sur les retraites et l'assurance chômage

"En détendant les calendriers, cela permet d'éviter les sujets qui fâchent", a commenté le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux, au sortir de cette "conférence du dialogue social" qui succède à des rencontres bilatérales la semaine dernière.Première satisfaction pour les syndicats et le patronat qui avaient tous repoussé l'idée de reparler rapidement du dossier des retraites: les concertations sur ce thème sont repoussées "au moins jusqu'à la fin de l'année".Comme réclamé par le Medef notamment, M. Castex a annoncé aux participants qu'il saisirait de nouveau le Conseil d'orientation des retraites (COR) à la rentrée afin d'évaluer la situation financière des régimes actuels en distinguant la partie liée à la crise en cours du déficit structurel.Selon une estimation provisoire du COR dévoilée en juin, le déficit pourrait approcher les 30 milliards d'euros cette année, un chiffre mis en avant par l'exécutif pour justifier la nécessité de prendre des mesures."Nous continuons de croire qu'un système universel est plus juste mais la priorité n'est pas celle-ci aujourd'hui", a redit le patron de la CFDT Laurent Berger qui veut se concentrer sur "la lutte contre le chômage, le maintien de l'emploi, la lutte contre la paupérisation" et a vu "une vraie sincérité du Premier ministre dans sa conviction du dialogue social".Autre satisfaction: le report jusqu'au début 2021 de la totalité de la réforme de l'assurance chômage, y compris les mesures déjà entrées en vigueur le 1er novembre qui durcissent les conditions d'ouverture de droits (avoir travaillé six mois pendant une période de 24 mois, au lieu de 4 mois sur 28) et de leur rechargement.Jean Castex s'était dit prêt, la semaine dernière, à "décaler" cette réforme dont les syndicats réclament l'abandon pur et simple alors que l'Unédic pronostique la destruction de 900.000 emplois d'ici à la fin de l'année."En train de changer"Le Premier ministre, arrivé à Matignon avec une réputation de négociateur, a salué "le sens des responsabilités des partenaires sociaux" et "la qualité du dialogue", alors que ceux-ci s'étaient sentis largement marginalisés pendant les trois premières années du quinquennat."Tout cela ne préjuge pas d'un accord global. Il y aura, on le sait, des divergences (...) mais il faut d'abord savoir nous parler, nous respecter, et fixer des voies et des chemins pour l'avenir", a-t-il plaidé, promettant sur les retraites "une nouvelle méthode"."Il semble que quelque chose soit en train de changer dans la méthode du gouvernement", a même lancé le président de la CFE-CGC François Hommeril, qui a habituellement la dent très dure envers l'exécutif. "C'est un discours de gaulliste social qui rompt avec Macron, c'est déstabilisant", a commenté le numéro un de FO, Yves Veyrier, auprès de l'AFP.Le Premier ministre a garanti un "calendrier extrêmement exigeant", d'abord sur l'emploi et également "pour arrêter et finaliser le plan de relance" auquel les partenaires sociaux seront étroitement associés.Des concertations auront lieu dès la semaine prochaine au ministère du Travail sur l'emploi des jeunes, dont 700.000 sont attendus sur le marché du travail à la rentrée.Il s'agit de fixer les modalités de la réduction annoncée du coût du travail de 4.000 euros par an (prime ou exonération de cotisations) qui doit concerner chaque jeune de moins de 25 ans employé par une entreprise. Le Medef a demandé que cette mesure ne soit pas limitée à 1,6 Smic, une question en suspens. Les syndicats sont hostiles par principe aux exonérations qui affaiblissent le financement de la Sécurité sociale, et craignent des effets d'aubaine.Pour les nombreuses concertations à venir (financement de la protection sociale, dépendance, assurance chômage, travailleurs détachés, partage de la valeur, etc), dont certaines seront déclinées territorialement (plan de relance, transition écologique), un agenda sera envoyé aux partenaires sociaux en début de semaine prochaine.La CGT, qui avait annoncé dès la semaine dernière une journée de mobilisation et de grève le 17 septembre, a dans un communiqué, fait rare, "pris acte avec satisfaction des engagements" du Premier ministre sur les retraites et l'assurance chômage, notant "un changement de méthode et une meilleure considération des organisations syndicales".
Il y a 4 ans et 290 jours

BTP : comment le monde construit sa relance

Grande-Bretagne, Italie, Grèce, Corée du sud, Brésil : 5 pays touchés à des degrés divers par le coronavirus, 5 pays qui misent sur la construction pour redresser leur économie, 5 stratégies différentes. La rédaction du Moniteur et ses correspondants à l'étranger vous proposent un tour d'horizon.
Il y a 4 ans et 290 jours

Quels types de revêtements de sols ont eu du succès en 2019 ?

TENDANCE. Groupement de distributeurs indépendants de revêtements de sols, Udirev, dévoile ses résultats pour le marché français en 2019. Parquets, moquettes, LVT... découvrez les revêtements de sols plébiscités.
Il y a 4 ans et 290 jours

Report des charges : "Nous le ferons de manière simple et automatique", assure Le Maire

BUDGET. Le ministre de l'Economie et de la Relance a détaillé le dispositif de prise en charge du nouveau report de charges pour les TPE-PME, ainsi que les modalités exactes de la baisse d'impôts de production. Bruno Le Maire a également prévenu que la crise économique et sociale risquait de s'amplifier en fin d'année.
Il y a 4 ans et 290 jours

Picard Serrures fait sa rentrée sur les ondes de RMC

Après une première campagne d’envergure au Printemps, soutenue par le parrainage du Super Moscato Show, l’une des émissions phare de la station, Picard Serrures annonce le lancement d’une deuxième vague de communication sur RMC dès la rentrée. Dès le 1er Septembre et pendant trois mois, Picard Serrures va s’adresser aux 3,91 millions d’auditeurs quotidiens de la 5ème radio de France représentant 7,2% d’Audience Cumulée*. Grâce à un spot de 10 secondes, simple et efficace, Picard Serrures rappelle l’importance de sécuriser son domicile et « d’exiger la qualité ». En détail, 261 spots vont être diffusés jusqu’au 30 Novembre à raison de 4 passages par jour entre 12h00 et 22h00. Outre un clin d’œil à son 300ème anniversaire, l’entreprise met également l’accent dans son message, sur la fabrication française de ses portes blindées certifiées, avant de conclure sur la signature « Picard Serrures, ça rassure ! », désormais connue du fidèle public de cette radio généraliste. Rappelons que lors de la 1ère campagne radio diffusée sur les ondes de RMC de Février à Avril, Picard Serrures a sponsorisé, via un spot de 8 secondes, l’émission de Vincent Moscato. Diffusée du lundi au vendredi, de 16h00 à 18h00, et en simultané sur RMC Sport News, ce show de divertissement consacré au sport réunit pas moins d’1 million d’auditeurs chaque jour. Pour écouter le spot, cliquez sur le lien suivant : Spot radio RMC 2020 classique   *pourcentage du nombre de personnes ayant écouté au moins une fois la radio en journée http://www.picard-serrures.com
Il y a 4 ans et 290 jours

La FNTP perçoit une "lueur d'espoir" dans les propos de Jean Castex

TRAVAUX PUBLICS. L'organisation professionnelle a accueilli "favorablement" le discours de politique générale du Premier ministre, Jean Castex, devant le Parlement. Si le chef du gouvernement a promis de soutenir l'investissement public local, la FNTP reste cependant sur ses gardes et attend la concrétisation des paroles en actes.