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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87535 résultats)
Il y a 4 ans et 280 jours

Procivis Nord absorbe Nacarat

ACQUISITION. Le groupe Rabot Dutilleul cède à Procivis Nord sa filiale de promotion Immobilière Nacarat.
Il y a 4 ans et 281 jours

Le Royaume-Uni va consacrer 705 millions de livres à ses frontières en vue du Brexit

Dans une tribune publiée dans le Sunday Telegraph, le ministre d'État Michael Gove a assuré que cette somme permettrait de s'assurer que les "nouvelles frontières" du pays soient prêtes dès que le Royaume-Uni "reprendra le contrôle".Interrogé sur Sky News dimanche matin, il a garanti que la frontière serait prête au 1er janvier 2021, après la fin de la période de transition instaurée pour permettre aux deux anciens partenaires de négocier leur relation après le Brexit, entré officiellement en vigueur le 31 janvier dernier.Cet investissement, qui inclut dépenses de personnel - recrutement d'environ 500 agents de la police aux frontières - et d'infrastructures, devrait faire de cette frontière "la plus efficace du monde d'ici à 2025", a ajouté M. Gove dans sa tribune.Que Londres et Bruxelles trouvent un accord sur leur relation post-Brexit ou non, "nous serons en dehors du marché commun et de l'union douanière quoi qu'il arrive", a souligné Michael Gove sur la BBC.Un nouvelle session de négociations doit se tenir la semaine du 20 juillet à Londres avec l'Union européenne.Sur la BBC, Michael Gove a évoqué "des progrès" malgré les "divisions" qui demeurent, expliquant qu'il se voulait "optimiste" sans être "enthousiaste à l'excès".Il s'est également efforcé de se montrer rassurant après la fuite cette semaine d'un mail dans lequel la ministre du Commerce international Liz Truss avertit que le plan adopté par le gouvernement risque de favoriser la contrebande et de porter préjudice au pays sur la scène internationale.Dans cette lettre adressée à M. Gove et au ministre des Finances Rishi Sunak, révélée par le site Business Insider, elle souligne que l'approche graduelle du gouvernement britannique, où les contrôles ne seraient pas mis en oeuvre immédiatement sur tous les bien importés depuis l'UE, serait "vulnérable" à des poursuites devant l'Organisation mondiale du commerce."Cela fait partie du processus naturel au sein d'un gouvernement qu'un ministre mette à l'épreuve les propositions" d'un autre, a estimé Michael Gove.Le gouvernement va également lancer une vaste campagne d'information à destination des entreprises et des particuliers et "saisir les opportunités" qui selon le gouvernement émergeront grâce à la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne, votée lors du référendum de juin 2016.
Il y a 4 ans et 281 jours

Travailleurs détachés : ce qui change au 30 juillet

La directive 2018/957 du 28 juin 2018, qui révise la première directive « Détachement » de 1996, entre en vigueur le 30 juillet. Le texte prévoit notamment l’application du principe « à travail égal, rémunération égale ».
Il y a 4 ans et 281 jours

L'ampleur du trou d'air de l'économie française au printemps sera dévoilée vendredi

Dans sa dernière prévision à la mi-juin, l'Institut national des statistiques évaluait le plongeon à 17% par rapport au trimestre précédent, tandis que la Banque de France l'a estimé début juillet à 14% sur la même période et que le consensus des analystes de l'agence Factset est de 15,3%.La raison principale de cet effondrement: six semaines de confinement en avril et mai, après deux en mars qui avaient déjà fait chuter le PIB de 5,3% au premier trimestre.Aujourd'hui encore, "c'est dur de jauger quelle sera exactement la perte d'activité parce qu'on est dans un climat très instable", explique Arno Fontaine, économiste France chez Natixis, qui prévoit un plongeon compris entre 15% et 16%.Quoi qu'il en soit, le chiffre de l'Insee restera dans ses annales comme un record absolu depuis que l'Institut a commencé à compiler cet indicateur de référence en 1949.Les deux plus fortes baisses trimestrielles du PIB avaient jusque-là été enregistrées au premier trimestre 2020 et au deuxième trimestre 1968, affecté à l'époque par la grève générale en mai, mais qui avait été suivi par un rebond de +8% à l'été.La remontée devrait cette fois être d'autant plus vigoureuse que la dégringolade fut abyssale: l'Insee prévoit +19% pour le troisième trimestre, Natixis +16% et la Banque de France +14%.Plusieurs indicateurs publiés la semaine dernière confortent l'idée d'une reprise dynamique.L'activité du secteur privé s'est ainsi nettement redressée en juillet, en particulier dans les services, selon un indicateur provisoire publié par le cabinet Markit.D'après le cabinet de conseil BCG, la France connaîtrait même la "reprise la plus forte d'Europe".Côté emplois, "le plus dur est devant nous"L'Insee a aussi fait état d'un regain de confiance en juillet des chefs d'entreprise, qui jugent bonnes les perspectives d'activité dans la plupart des secteurs."En mai et juin, c'est la consommation qui a fait rebondir l'activité, l'investissement pas du tout", relève de son côté Philippe Waechter, directeur de la recherche chez Ostrum Asset Management."Il y a une composante qui rebondit fortement, c'est la consommation des ménages", relève aussi M. Fontaine.Et pourtant, le moral de ces mêmes ménages, qui avait commencé à se redresser en juin suite au déconfinement, a de nouveau fléchi en juillet, a rapporté mercredi l'Insee.Et si la consommation a dans l'ensemble bien repris, le début des soldes a été "peu dynamique", a relevé la fédération Procos du commerce spécialisé.En conséquence, la part des Français qui estime qu'il est opportun d'épargner augmente pour le troisième mois consécutif, d'après l'Insee, et alors que la mobilisation des 100 milliards d'euros d'épargne supplémentaires prévus cette année jouera un rôle décisif dans la reprise.Côté entreprises, "il y a plus de difficultés bien sûr pour l'investissement", car "elles ont acquis énormément de dette pendant la période de confinement", note M. Fontaine."Les entreprises ont des niveaux d'activité qui sont très faibles et l'incertitude étant très forte, elles n'ont aucune envie d'investir", constate aussi M. Waechter."C'est ça l'élément-clé des prochains mois, et associé à cela, leur comportement sur l'emploi", souligne cet économiste."Je continue à estimer que le plus dur est devant nous" en matière d'emplois et de faillites, a déclaré pour sa part mardi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire devant la commission des Affaires économiques de l'Assemblée nationale.Aussi le gouvernement se refuse-t-il pour l'instant à revoir sa prévision de recul du PIB pour l'année 2020, qu'il chiffre à 11%, alors que l'Insee ne s'attend qu'à 9%.La situation sur le front de l'emploi s'annonce notamment compliquée avec l'arrivée de 700.000 jeunes sur le marché du travail à la rentrée et un risque de multiplications de faillites et de plans sociaux avec l'arrêt d'un certain de dispositifs d'aides, dont le chômage partiel pour la plupart des secteurs.
Il y a 4 ans et 281 jours

Grève aux Travaux du Midi : le chantier de l’Ikea de Nice a repris

Pour protester contre un plan de départs volontaires touchant 189 salariés de Travaux du Midi, une filiale de Vinci Construction France en Provence-Alpes-Côte d’Azur, une centaine de grévistes a bloqué pendant un jour et demi le chantier de construction du magasin Ikea à Nice.
Il y a 4 ans et 281 jours

12 monuments historiques de Nouvelle-Aquitaine en bande dessinée

Dans le cadre de la priorité gouvernementale donnée à l’éducation artistique et culturelle, la DRAC Nouvelle-Aquitaine a conçu, en partenariat avec la Cité internationale de la bande dessinée et de l’image, un programme de valorisation du patrimoine historique protégé dédié aux jeunes. La DRAC Nouvelle-Aquitaine avait choisi 12 monuments historiques, à raison d’un par département, représentatifs de la diversité du patrimoine protégé : une église monolithe, un bateau des années 1980, un canal aux moines, une tour médiévale, une grotte magdalénienne, une bourse du travail Art déco, un prieuré sur les chemins de Compostelle, un château Renaissance, une maison royale, des roches gravées, un château fort, un four à flammes. La Cité internationale de la bande dessinée et de l’image à Angoulême, à l’issue d’un appel à candidatures, a repéré 12 auteurs de bande dessinée pour un travail de création avec des jeunes d’école primaire, de collège, en centre social, en institut médico-éducatif, et en centre éducatif fermé. Les auteurs, Pierre Marty, Nicolas Gazeau, Pierre Maurel, Grégory Jarry, Troub’s, François Ayroles, Amélie Laval, Thomas Gosselin, Thierry Gioux, Otto T., Anne-Perrine Couët et Lenon ont animé des ateliers de pratique artistique d’une quinzaine d’heures, chacun avec un groupe de jeunes, à l’automne 2018. En 2019 l’exposition a été montrée dans plusieurs villes de la région, elle sera à nouveau présentée dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine les 19 et 20 septembre 2020. https://fr.calameo.com/books/0000232474b126e580b42  
Il y a 4 ans et 281 jours

La construction de logements redémarre fort en juin, mais la baisse des permis de construire inquiète

Au deuxième trimestre, le nombre de logements mis en chantier s'est établi à 74.700, soit un recul de 24,2% par rapport à un an plus tôt, selon le ministère de la Transition écologique, dont dépend le Logement.Ce chiffre est particulièrement élevé, ce qui est logique puisque le second trimestre couvre largement la période de strict confinement mis en place entre mi-mars et début mai contre le Covid-19. De nombreux chantiers ont été contraints à l'arrêt.Mais il faut mettre cet indicateur en regard d'un précédent chiffre, publié voici un mois, sur la période comprise entre mars et mai. Celui-là témoignait d'un effondrement de près de moitié des mises en chantier, toujours sur un an.Cela signifie donc que la construction de logements est très nettement repartie en juin, alors que le gouvernement avait fait de la reprise des chantiers un symbole du rebond économique.En revanche, le tableau est moins favorable pour les permis de construire. Leur évolution est cruciale, car elle donne une première idée du niveau à venir de la construction de logements.Or, au second trimestre, leur nombre a chuté de 43,6% - toujours par rapport à la même époque de 2019 -, un recul équivalent à celui annoncé pour la période comprise entre mars et mai.Au-delà du confinement, qui a gelé pendant plusieurs semaines l'examen par les autorités locales des demandes de construction, d'autres facteurs ont, selon les professionnels, ralenti les procédures.Ils citent notamment la timidité des élus locaux à l'approche des municipales, une situation classique mais prolongée par le report du second tour à fin juin, trois mois après la date initialement prévue.
Il y a 4 ans et 281 jours

Qui, de Marcel Rogemont ou d'Emmanuelle Cosse, prendra la tête de l'USH ?

LOGEMENT SOCIAL. L'ancienne ministre du Logement Emmanuelle Cosse aura face à elle le conseiller départemental d'Ille-et-Vilaine Marcel Rogemont, qui préside la Fédération des OPH dans la course à la présidence de l'Union sociale pour l'Habitat.
Il y a 4 ans et 281 jours

Le marché du logement ancien entame un été crucial

"L'activité sur juillet, août et septembre, ça va être crucial pour savoir si on est à même de gommer le retard pris sur l'ensemble du mois d'avril", a résumé à l'AFP Yann Jéhanno, président du réseau Laforêt.Comme tous les étés, les grands réseaux français - Orpi et ses 1.300 agences, Century 21 et ses 900 agences, Laforêt et ses 700 agences - font un bilan de l'année à mi-chemin, en matière de prix et de nombres de transactions. Ces chiffres sont très parcellaires, mais donnent une première idée du marché avant les indicateurs plus fiables des notaires, fin août.Seulement, cette année n'est comme aucune autre. Tel de nombreux autres secteurs, l'immobilier s'est largement arrêté pendant presque deux mois à cause du strict confinement décrété entre mi-mars et début mai en France contre la propagation du coronavirus.Le nombre de transactions a donc chuté, alors que le marché était en plein essor depuis des années. Sur tout le premier semestre, Century 21 et Laforêt font respectivement état d'un recul de 27% et environ 20% de leurs ventes, Orpi ne détaillant pas ce chiffre.Mais les réseaux s'accordent aussi à dire que le marché est reparti à toute vitesse depuis que les visites ont pu reprendre début mai. Les transactions se sont multipliées au-delà d'un simple rattrapage des projets interrompus."On avait vu venir le redémarrage de l'activité", a détaillé M. Jéhanno. "La surprise, c'est la proportion des nouveaux projets qui sont venus. Ca nous donne un peu d'optimisme."Ce rebond compensera-t-il la chute observée lors du confinement ? Le patron de Laforêt a beau estimer que le confinement a permis à de nombreux Français de "mûrir" leur projet et de passer ensuite à l'acte, il reste prudent."Si la dynamique se poursuit, oui, on pourra combler une très forte partie du retard accumulé", résume-t-il. "Si les obstacles se multiplient à partir de la rentrée, ça sera plus difficile."Les prix montentCette prudence est partagée par ses confrères qui évitent les prévisions trop avancées, à l'entame d'une crise économique probablement historique et bien plus vaste que le seul marché du logement."Il est trop tôt pour mesurer les conséquences qu'aura la crise de la Covid-19 sur les entreprises, le taux de chômage en France et par ricochet, sur l'immobilier", souligne dans un communiqué Laurent Vimont, président de Century 21.Il relativise au passage l'idée d'un bouleversement du marché à cause des envies nées du confinement.Ruée vers la province de Parisiens dégoûtés de leur enfermement dans la capitale ? "Marginal", répond M. Vimont."Les rêves exprimés en période de confinement ne se sont pas traduits dans la réalité", insiste-t-il.De même, le confinement n'a pas, dans l'immédiat, poussé ses clients à acheter des logements plus grands. Au contraire, la taille moyenne s'est encore réduite même si ce n'est pas franchement une affaire de préférence personnelle."Le principal obstacle à acquérir plus grand tient sans aucun doute au prix", admet M. Vimont.Car les prix, eux, ne se calment guère après déjà des années de hausse générale en France, malgré des situations contrastées entre grandes métropoles, comme Paris et son mètre carré à plus de 10.000 euros, et plus petites villes.Chez tous les grands réseaux, ils ont encore monté par rapport à un an plus tôt: +3,6% chez Orpi, +2,3% pour les maisons et +3,1% pour les appartements chez Century 21, +1,2% pour la seule capitale chez Laforêt qui ne détaille pas l'évolution hors Paris mais évoque une augmentation générale.Mais qu'en tirer comme conclusion ? Pas grand-chose dans l'immédiat, pour les professionnels."Les prix poursuivent leur ascension car l'offre est toujours inférieure à la demande, mais nous devons être prudents sur les projections", prévient dans un communiqué Christine Fumagalli, présidente d'Orpi."Ce sont des prix moyens sur un semestre qui a totalement été chamboulé dès mi-mars", conclut-elle. "En septembre, nous serons capables de donner une vision plus juste du marché"
Il y a 4 ans et 281 jours

Des propositions pour une relance par les territoires

COLLECTIVITES LOCALES. La délégation aux collectivités territoriales et à la décentralisation de l'Assemblée nationale a dévoilé 13 recommandations dans le but d'intégrer pleinement les territoires dans le plan de relance, et en faciliter l'application au plus près du terrain et des acteurs locaux. Des propositions dans lesquelles le secteur du BTP pourrait par ailleurs trouver quelques réponses à la crise sanitaire.
Il y a 4 ans et 281 jours

Nexity reste "profitable" au premier semestre

RÉSULTATS. Nexity, premier promoteur immobilier français, s'est maintenu dans le vert au premier semestre malgré une chute de ses bénéfices due à la crise du virus, sans s'avancer à des prévisions précises pour l'ensemble de l'année. Un comité exécutif a par ailleurs été désigné.
Il y a 4 ans et 281 jours

Haute-Saône : Une année de développement durable pour LD Contrôles

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Les équipes de LD Contrôles Bourgogne et Grand-Est. [©LD Contrôles] Réunis pour un repas de fin d’année entre les agences de Bourgogne et du Grand-Est, les collaborateurs de LD Contrôles se sont réjouis de leurs bons résultats. Et d’une nette tendance à la transition énergétique. « L’agence de Bourgogne a été créée le 1er janvier 2019 et montre déjà de très bons retours, souligne Guillaume Rebillard, directeur des deux agences. Nous avons aussi noté le développement des opérations liées aux énergies renouvelables. » Parcs éoliens (Les Coteaux, dans le Doubs et Sarry, dans l’Yonne), barrages hydro-électriques (Mathay, dans le Doubs et Vraincourt, dans la Haute-Marne), usine de méthanisation (Saint-Baraing, dans le Jura et Raze, en Haute-Saône), centrale solaire (Vadans, dans le Jura) ou encore de co-génération (Reichstett, dans le Bas-Rhin), les sujets ont été nombreux au cours de l’année. « Notre équipe étant constituée de jeunes et futurs parents, cette dynamique nous touche et nous conforte à enclencher une démarche responsable. Ce sont des sujets qui nous intéressent à la fois en termes de technicité, mais aussi d’impact sur l’avenir de nos enfants. » Des sujets nouveaux, mais des compétences déjà présentes dans les deux agences. « Ce sont des idées neuves à apporter, des techniques à étudier, mais au niveau du savoir-faire, nous étions déjà parés. » Des chantiers en droite ligne avec les ambitions de développement durable des deux agences. « Nous avons installé des bacs de décantation et des circuits de tri sélectif pour réduire au maximum notre empreinte environnementale. Nous utilisons aussi une rectifieuse, qui se substitue au surfaçage au soufre nocif pour l’environnement. Les échantillons testés sont ensuite concassés et valorisés en matériaux recyclés. Travailler sur ce type de chantiers est au cœur de nos ambitions personnelles. » C’est aussi un marché porteur pour l’avenir des agences.
Il y a 4 ans et 281 jours

L'ingénierie privée demande au gouvernement la suppression d'une disposition destructrice d'emploi

La Fédération CINOV et Syntec-Ingénierie, les deux organisations professionnelles représentatives de l'ingénierie privée, ont sollicité un entretien auprès du gouvernement pour connaître les motivations d'une telle décision et demander sa suppression.Un secteur stratégique fragilisé par la crise sanitaire…Le secteur de l'ingénierie privée représente un maillon dynamique et essentiel de l'économie des territoires. Ce sont ainsi 16.000 entreprises employant 265.000 collaborateurs qui fournissent des services fondamentaux et innovants aux collectivités territoriales dans de nombreux domaines (infrastructure, bâtiment, eau, énergie, acoustique, ergonomie, mobilité...). Composées en grande partie de PME et TPE, ces entreprises sont à la pointe de projet innovants pour les territoires.La crise du COVID-19 a placé ces acteurs en grave difficulté. Fortement dépendantes de la commande publique, les entreprises d'ingénierie ont subi des baisses d'activité de 30 à 40% (sources : enquête CINOV et Syntec-Ingénierie*…), dues au gel des contrats en cours, à la suspension des appels d'offres et au report des élections municipales. Malgré la reprise d'une partie de l'activité, elles resteront dans une situation financière précaire au second semestre 2020.…et par une concurrence déloyale du secteur publicDepuis plusieurs années, l'ingénierie publique et parapublique étend son périmètre d'intervention et ne cesse de conquérir des parts de marché au détriment de l'ingénierie privée et en particulier des TPE-PME qui composent majoritairement la filière construction. On estime que celles-ci ont perdu environ 7 milliards d'euros de chiffre d'affaires et plus de 10.000 emplois entre 2011 et 2017 (source : étude de l'OPIIEC sur les conséquences en termes d'emploi et de formation de la baisse des investissements sur l'activité d'ingénierie de la construction, 2017) et cela impacte directement la croissance et la création d'emplois dans les territoires. L'ingénierie privée de proximité est en effet un levier de croissance important pour de nombreux secteurs d'activité économique et un élément déterminant de l'attractivité économique des territoires.Décret du 18 juin : le cœur de métier de l'ingénierie attaquéLe décret du 18 juin 2020 n°2020-751, relatif à l'assistance technique fournie par les départements à certaines communes et à leurs groupements, est venu fragiliser encore davantage les entreprises d'ingénierie privée car il ouvre les missions de maîtrise d'œuvre, autrefois réservées aux entreprises d'ingénierie, au secteur public. Ce décret imposé sans aucune concertation avec les acteurs entraînera de façon certaine une baisse de la commande publique pour le secteur de l'ingénierie privée. Une telle politique met en danger l'activité d'entreprises locales et la préservation d'emplois hautement qualifiés dans les territoires, sans garantie aucune que l'ingénierie publique y supplée demain, faute de moyens et d'expertises. C'est l'avenir de l'ingénierie privée dans les territoires qui est en jeu donc des pans entiers de l'économie qui sont fragilisés en plein contexte de crise.C'est pourquoi, la Fédération CINOV et Syntec-Ingénierie demandent à ce que soit rétablie dans les meilleurs délais la disposition suivante prévue dans le décret n°2019-580 du 14 juin 2019 – « l'assistance technique ne comprend pas les missions de maîtrise d'œuvre telles que définies à l'article R. 2431-1 du code de la commande publique ».« Alors que le gouvernement sollicite l'ingénierie privée pour construire le plan de relance de l'économie, il attaque parallèlement ce secteur si stratégique pour l'emploi et l'attractivité des territoires en accentuant encore davantage la concurrence avec le secteur public » - Frédéric Lafage, Président de la Fédération CINOV.« La crise qui frappe la France est sans précédent et nos entreprises sont profondément touchées. Plus que jamais, l'heure doit être à la collaboration. Ingénierie publique et privée sont complémentaires. Mais pour qu'elles travaillent en bonne intelligence, il est crucial que chacun reste sur ses missions et champs d'expertises : pré-AMO, suivi de missions… pour l'ingénierie publique d'un côté ; AMO, conception et maîtrise d'œuvre pour l'ingénierie privée de l'autre. Une nouvelle disposition du décret n°2019-580 du 14 juin 2019 vient briser cet équilibre et créer une distorsion de concurrence. Elle doit être purement et simplement supprimée. »« Cette fois, à travers la maîtrise d'œuvre, c'est le cœur même du métier qui est visé et cela ne peut être envisagé sous peine de voir disparaitre progressivement l'ingénierie privée dans les territoires et d'accroître considérablement la fracture territoriale. On rappellera que depuis maintenant 5 ans, CINOV et Syntec-Ingénierie demandent aux pouvoirs publics, sans succès, une concertation pour délimiter l'action de l'ingénierie publique et créer les complémentarités nécessaires entre ingénierie publique et privée. »- Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie
Il y a 4 ans et 281 jours

Exposition : Christo et Jeanne-Claude. Paris !

Depuis le 1er juillet, le Centre Pompidou dédie une grande rétrospective au couple formé par Christo Vladimiroff Javacheff (1935-2020) et Jeanne-Claude Denat de Guillebon (1935-2009), mettant à l’honneur les œuvres les plus emblématiques de leur période parisienne. L’occasion de (re)découvrir la carrière, la démarche et le processus de création de ce couple, dont le travail a marqué les esprits !  « Mes projets sont des œuvres de site. » Voilà comment Christo définissait ses projets monumentaux, des empaquetages temporaires de monuments, tels l’empaquetage du Pont-Neuf à Paris (1985) et celui du Reichstag à Berlin (1995), aux interventions du duo dans le paysage comme le rideau de nylon orange reliant deux massifs dans le Colorado (1972), les îles encerclées de tissu rose fuchsia dans la baie de Biscayne en Floride (1983) ou encore le mastaba de barils installé sur le lac Serpentine au Royaume-Uni (2018). Loin de se limiter à la dimension spectaculaire de l’œuvre de Christo, l’exposition intitulée « Christo et Jeanne-Claude. Paris ! » au Centre Pompidou présente les œuvres parisiennes du couple dans un parcours dense, mais fluide. La commissaire Sophie Duplaix a choisi d’aborder la diversité des pratiques de Christo et Jeanne-Claude, en mettant l’accent sur leur période parisienne (1958-1964) et le projet The Pont-Neuf Wrapped (1975-1985). Réunissant près de 80 œuvres, la première partie de l’exposition retrace les débuts de Christo et Jeanne-Claude, de leur rencontre en 1958 à leur installation à New York en 1964. La deuxième section, quant à elle, rassemble un ensemble de 337 pièces – des dessins, des collages, des études, des documents d’archives, des objets, des photographies, une maquette – pour présenter la genèse de l’empaquetage du Pont-Neuf à Paris. Cette exposition didactique, centrée sur les années parisiennes de Christo, parvient à rendre compte assez justement de l’évolution du travail de ce couple iconique, et permet au public de comprendre la complexité de leur art. Un préambule à l’ambitieux empaquetage de l'Arc de Triomphe, prévu pour septembre 2021. Christo et Jeanne-Claude. Paris !, du 1er juillet au 19 octobre 2020, au Centre Pompidou (75004).Pour en savoir plus, visitez le site du Centre Pompidou. Visuels : 1) The Pont-Neuf Wrapped, Paris, 1975-1985 © Christo 1985, Photo © Wolfgang Volz2) Mur provisoire de tonneaux métalliques – Le Rideau de fer, rue Visconti, Paris, 27 juin 1962 © Christo 1962, Photo © Jean-Dominique Lajoux3) Portrait empaqueté de Jeanne-Claude, 1963, polyéthylène, cordeau, huile sur toile signée Javacheff, montés sur panneau de bois peint, 78,5 × 51,1 × 5,1 cm, Collection Museum of Contemporary Art San Diego © Christo 1963, Photo © Christian Baur, Basel4) Purple Store Front, 1964, bois, Plexiglas, métal, peinture émaillée, tissu, papier, lumière électrique235 × 220 × 35,5 cm, Collection de l’artiste © Christo 1964, Photo © Wolfgang Volz5) The Pont-Neuf Wrapped, Paris, 1975-1985 © Christo 1985, Photo © Wolfgang Volz6) The Arc de Triumph (Project for Paris, Place de l'Etoile – Charles de Gaulle) Wrapped © Christo 2018, Photo © André GrossmannLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 281 jours

Tout savoir pour gérer les câbles dans ses bureaux

Le management d’une entreprise ne concerne pas seulement les aspects comme l’organisation du travail, le rendement des employés, la gestion des ressources humaines ou même les budgets. Gérer les câbles électriques ou les câbles réseau du système informatique est un autre volet important du travail d’un dirigeant. La mise en place d’une bonne gestion des câbles est une obligation qui incombe à tout type d’entreprise. Les principaux avantages de cette politique sont : la longévité, la bonne organisation du travail et une meilleure fonctionnalité des équipements électriques et électroniques. Les atouts d’une bonne gestion des câbles De nombreuses raisons peuvent justifier la mise en place d’un bon management des câbles. Premièrement, il y a la sécurité. Travailler dans des bureaux exige de vous une bonne organisation des câbles qui s’y trouvent afin d’assurer la sécurité des occupants. Certains de ces câbles appartiennent au réseau électrique. C’est donc eux qui assurent l’alimentation des ordinateurs, des imprimantes, des photocopieurs, des appareils de chauffage, des projecteurs LED… Deuxièmement, il y a le gain de temps. Repérer le bon câble en fouillant dans un amas de câbles peut parfois s’avérer une tâche très ardue. Le gain de temps s’obtient au travers d’une solution permettant d’identifier chaque câble. C’est la mission dévolue aux étiquettes ou étiqueteuses. Ces deux produits facilitent l’identification des câbles et vous aident à vite les retrouver derrière votre ordinateur. Troisièmement, il y a l’économie. Un bon rangement des câbles offre en plus de la sécurité, une optimisation de leur fonctionnement. Piétinements et entortillements contribuent à détruire les câbles, au fil du temps. Le Neat Patch vous permet d’éviter ces désagréments. L’installation de ces systèmes de rangement vous permet d’économiser. Quatrièmement, il y a la propreté. Les câbles entassés ou emmêlés prennent trop de poussière. Comme cette poussière peut être source d’ennuis sur le plan sanitaire, nous vous conseillons l’achat d’un organisateur de câbles, en guise de solution. Grâce à cet accessoire, vous pouvez enrouler plus facilement le reste des câbles. Autre avantage, cela facilite le nettoyage des espaces de travail. Cinquièmement, il y a le professionnalisme. Un bureau bien rangé laisse généralement une impression positive aux usagers, clients et partenaires. À contrario, un espace désorganisé et mal rangé jettera l’anathème sur son occupant. L’utilisation des chemins de câbles est la solution que nous vous conseillons pour mettre un terme à ce désordre et à cet encombrement. Le commutateur PoE, une alternative aux câbles L’insuffisance ou l’inexistence des câbles ou d’un port réseau est le lot d’un grand nombre d’entreprises. Cela peut constituer un véritable handicap si vous souhaitez faire une installation comme la mise en place d’un système de communication unifié communément appelé téléphonie IP. La solution dans ce cas consiste à faire recours à un commutateur PoE. Pour ce faire, la présence d’un réseau dans la pièce où le dispositif sera installé est nécessaire. Une difficulté subsiste cependant. Le commutateur a besoin d’une alimentation électrique pour son fonctionnement. Autrement dit, si le circuit électrique est défectueux ou si une panne survient, aucun des appareils installés ne pourra fonctionner. Quoi qu’il en soit, cette situation n’est pas sans solution. En effet, les experts conseillent l’utilisation d’un commutateur dont l’alimentation se fait via une entrée PoE. Ce dernier doit en outre être liée à un commutateur principal. Ce type de port permet de connecter un maximum de quatre appareils. En dehors de celle issue du commutateur principal, aucune autre source d’alimentation ne sera requise. Dès lors, un service continu et ininterrompu dépendra de la source qui alimente le commutateur principal. D’autres équipements comme les systèmes de vidéosurveillance et les points d’accès Wi-Fi peuvent être connectés de la même façon. Il ne faut donc pas croire que l’absence de câbles puisse empêcher d’une quelconque façon la mise en place des systèmes de communication unifiée, tant s’en faut. Comment faire pour réussir une bonne gestion des câbles dans vos bureaux ? Il est difficile d’aimer la façon dont les câbles jonchent le sol et s’emmêlent. C’est pourquoi beaucoup font l’effort de les cacher ou de les rendre discrets autant que possible. Il n’est pas aisé de trouver la formule parfaite en matière de management des câbles, mais en suivant quelques pistes, vous parviendrez à un bon résultat. Tout commence par le choix d’un mobilier de bureau adapté à vos besoins. Table, chaise et meubles de rangement doivent être choisis avec soin pour leur qualité. Optez pour des modèles modulables en fonction des espaces et qui prennent peu de place. Cela facilite la configuration de vos lieux de travail. Vous pouvez y associer des accessoires décoratifs qui vous faciliteront la vie. Beaucoup parmi eux sont vendus sur le commerce et permettent de ramener la joie et la gaieté dans vos bureaux. D’autres ont pour but de maintenir le bureau en parfait état de propreté. Vous pouvez recourir aux attaches adhésives. Bien que leur pose soit délicate, leur rôle est de maintenir les câbles en bon ordre. Quelques astuces pour dissimuler les câbles dans vos bureaux Utilisez une boîte en forme d’usine pour la déco de votre bureau et le rangement des câbles. Ce type d’accessoire peut être acheté sur le commerce ou fabriqué par soi-même selon le concept « Do it yourself ». Accessoire décoratif, la multiprise se place à l’intérieur de la boîte et seuls les câbles en ressortent pour alimenter les différents appareils : smartphone, ordinateur, imprimante, etc. Vous pouvez aussi cacher votre multiprise en vous servant d’un boîtier ayant une dimension adaptée à ce dernier. Ce type d’accessoire peut se poser sur le sol ou sur la table du bureau. Muni d’un couvercle, ce boîtier est une solution à la fois discrète et très design pour le rangement des câbles et des multiprises. Les boîtiers de ce type existent aussi en formule murale. Les caractéristiques du boîtier mural sont l’esthétique et le design. Ils servent à dissimuler les prises murales ou les multiprises. Si vous avez beaucoup de câbles, le recours à un cache-câbles flexible peut s’avérer utile pour dissimuler les câbles qui relient votre ordinateur à l’unité centrale.
Il y a 4 ans et 281 jours

Une chute de l'activité "historique" dans les TP pendant le confinement

CONJONCTURE. La Fédération nationale des travaux publics a repris la publication de ces baromètres mensuels de l'activité, après une interruption durant la crise sanitaire. Les données pour le mois d'avril confirment ainsi un effondrement de tous les indicateurs.
Il y a 4 ans et 281 jours

Les Fondations Velux renouvellent leur soutien au développement de l'association Acta Vista jusqu'en 2025

LES FONDATIONS VELUX sont des fondations actionnaires à but non lucratif de droit danois. Villum Kann Rasmussen, le fondateur du Groupe VELUX (dont la vocation est d'améliorer le cadre de vie grâce à l'entrée de lumière naturelle et d'air frais par le toit), a créé ces fondations dans un double but : assurer l'indépendance et la pérennité de l'entreprise quel que soit le devenir des successions familiales, et restituer à la société une grande part des bénéfices de l'entreprise, afin de servir à des projets d'intérêt public. Depuis leur création en 1971, LES FONDATIONS VELUX ont apporté leur soutien à de nombreux projets au Danemark, en France et dans le monde, dans des domaines scientifiques, sociaux ou culturels, dont 178 millions d'euros en 2019. Un domaine d'intérêt particulier est celui d'améliorer la formation et l'enseignement professionnels des jeunes en Europe.L'association ACTA VISTA utilise le patrimoine historique comme levier d'inclusion et de pédagogie à destination de personnes éloignées de l'emploi. Plus de 500 personnes en difficulté entrent chaque année sur un parcours de formation qualifiant aux métiers de restauration du patrimoine bâti et d'accompagnement vers l'emploi. Les actions menées par l'association permettent à ces demandeurs d'emploi de se rebâtir un avenir tout en restaurant dans les règles de l'art des sites prestigieux.Forte de ses 20 ans d'expertise dans la restauration du patrimoine, ACTA VISTA développe désormais un nouveau pan d'activités consistant à ouvrir et animer des équipements culturels au sein des lieux qui lui ont été confiés, comme ce sera le cas dans les années à venir à La Citadelle de Marseille, sur le Vieux-Port.En juillet 2020, LES FONDATIONS VELUX renouvellent officiellement leur confiance pour la phase 2 du développement d'ACTA VISTA. Axé sur le triptyque inclusion professionnelle, transmission des savoir-faire, éducation culture et patrimoine, le soutien des FONDATIONS VELUX à 5 ans accompagnera :L'essaimage du projet ACTA VISTA dans de nouvelles régions françaises, via l'installation de pôles régionaux et d'équipes dédiées, à l'image du pôle pilote basé à la Citadelle de Marseille.Le développement d'une offre culturelle et pédagogique à la Citadelle de Marseille, qui ouvrira prochainement au public, complétant le modèle social d'ACTA VISTA par la restitution du patrimoine aux citoyens.L'impulsion d'une démarche internationale visant la mise en liens avec des projets similaires porteurs de bonnes pratiques, d'inspiration, de renforcement, voire de partenariats potentiels.La finalité à 5 ans : le changement d'échelle de ce projet à fort impact social, l'adéquation aux besoins d'éducation, d'emploi, de formation et de redynamisation du patrimoine sur les territoires d'implantation.
Il y a 4 ans et 281 jours

Téléchargez le guide complet pour digitaliser votre atelier Menuiserie, Store, Fermeture

Vous êtes Industriel Fabricant du secteur de la Menuiserie, du Store et de la Fermeture ? Digitalisez votre atelier en 6 étapes avec LE guide complet de la digitalisation d’atelier. La digitalisation des ateliers est au cœur de la transformation digitale des Industriels du secteur. Création du projet, organisation en interne, choix du bon outil ou encore accompagnement au changement : soyez le plus efficace et rapide possible dans la digitalisation de votre atelier ! Industriels, téléchargez gratuitement le guide pour digitaliser votre atelier Menuiserie, Store, Fermeture
Il y a 4 ans et 281 jours

Les matériels de BTP et manutention fortement impactés par la pandémie

Les entreprises de la mécanique et électronique anticipent une baisse d’activité de près de 14 % en 2020 et s’inquiètent pour 2021, notamment dans leurs activités B to B.
Il y a 4 ans et 281 jours

Icade perd 100 millions d'euros et va accélérer dans la santé

La crise du Covid-19 va amputer d'une centaine de millions d'euros les bénéfices du groupe immobilier français Icade cette année, qui accélére sa croissance dans les établissements de santé.
Il y a 4 ans et 281 jours

Eiffage en charge du remplacement de la signalisation sur la LGV Paris-Lyon

CONTRAT. Eiffage, en groupement avec Saferail et Systra, vient de remporter le marché dans le cadre du remplacement de la signalisation sur la LGV Paris-Lyon. Une opération qui s'inscrit dans le cadre du plan de transformation et de modernisation Réseau haute performance de SNCF Réseau.
Il y a 4 ans et 281 jours

EAS SOLUTIONS PRÉSENTE VICTORIA, UN LUMINAIRE LED À TRÈS HAUT RENDEMENT POUR L’ÉCLAIRAGE EXTÉRIEUR PROFESSIONNEL ET PUBLIC

EAS SOLUTIONS, spécialiste de l’éclairage LED professionnel, présente VICTORIA un nouveau luminaire LED à très haut rendement conçu par la société néerlandaise Innolumis. Ce luminaire « tête de candélabre » convient parfaitement à l’éclairage extérieur toutes hauteurs, professionnel et public. Il permet d’économiser jusqu’à 80% d’énergie. Conçu en aluminium (LM6), le luminaire LED VICTORIA est disponible en trois versions (mini, standard, maxi), une douzaine de puissances allant de 6W à 200W, trois optiques (étroite, médium, large) et plusieurs températures de couleur (3000K, 4000K, 5000K, Golden Orange, Bat Light). Son flux lumineux atteint 28 000 lm avec une efficacité lumineuse de 140 lm/W en 3000K. Il possède un angle d’inclinaison de -15° à +15°, un diamètre de mât de 48 à 76 mm,  un indice de protection IP66 et une température de fonctionnement comprise entre -40°C et +50°C. Il peut fonctionner sur variateur 1-10V standard et programmable. Sa durée de vie L80B10 est de 100 000 heures. Avec son disjoncteur intégré, le boîtier du luminaire LED VICTORIA peut être ouvert sans outils et il est possible d’intervenir immédiatement en toute sécurité dès son ouverture. Les sources lumineuses LED et le driver sont remplaçables. La tête du luminaire est modulable et réparable même après la période de garantie de 5 ans. Diverses solutions d’éclairage intelligent sont intégrables en option au luminaire LED VICTORIA conçu pour fonctionner par exemple avec les connecteurs Zhaga. Installé sur des mâts allant de 3 à 14 mètres, le luminaire LED VICTORIA convient aux installations d’éclairage extérieur, professionnel et public, dédiées à la sécurité des activités et des déplacements de personnes et de biens sur les routes, aires de parking ou de chargement, zones d’activités et sites professionnels. Application : Exemple d’installation de luminaires VICTORIA    EAS SOLUTIONS s’est vu confier début 2020, la rénovation de tous les éclairages des parkings de la base logistique EUROLOGISTIC à Villabé. En remplaçant 124 éclairages traditionnels au sodium 400W, énergivores et obsolètes, par 124 luminaires LED VICTORIA 175W, EAS SOLUTIONS améliore la qualité de l’éclairage, avec une température de couleur de 3000K conformément à la nouvelle législation de l’éclairage extérieur, et réduit d’environ 2/3 la consommation d’énergie. Instantanément, cette dernière passe de 59 520 kWh à 21 700 kWh par an. A propos d’EAS SOLUTIONS EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis plus de 10 ans, innove avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligent. EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 4 ans et 281 jours

Architectes et producteurs unis pour le développement des matériaux biosourcés

CONSTRUCTION. Le Comité de liaison des architectes, des agriculteurs et des producteurs de produits biosourcés de la région Ile-de-France lance huit propositions pour développer les matériaux biosourcés produits localement.
Il y a 4 ans et 281 jours

Planet, le premier sac de ciment qui offre une empreinte carbone neutre

S'y ajoute un emballage qui se désagrège dans la bétonnière pour une mise en œuvre facilitée et sans déchet!Doté de la notation 360Score A+, Planet est le sac de ciment le plus éco-responsable disponible sur le marché français, une nouvelle innovation issue de la démarche Lafarge 360 engagée en 2019 pour mener la transition écologique dans le secteur des matériaux de construction.Un sac de ciment qui rassemble les meilleurs savoir-faire environnementauxA l'écoute des acteurs du négoce et de la GSB, soucieux de répondre aux attentes de leurs clients pour des produits plus respectueux de l'environnement, LafargeHolcim a conçu une offre spécialement adaptée au format du sac de ciment qui se compose :Du ciment le plus optimisé en carbone de la gamme Lafarge, dont le poids CO² est réduit de -65% par rapport à un CEM I. Produit dans nos usines de la Malle (13) et du Havre (76), ce ciment est 100% français et comporte 66% de matériaux recyclés (laitier).D'un certificat de compensation volontaire neutralisant l'émission résiduelle du ciment. Les certificats d'économie de CO² sont certifiés par un organisme international.D'un emballage qui se désagrège dans la bétonnière au contact des granulats (technologie Mixopack), générant zéro déchet et facilitant la manipulation pour une moindre pénibilité au travail. Cette dernière préoccupation est renforcée par le choix d'un emballage unique de 25kgs pour éviter le port de charge lourde sur les chantiers.Disposant de la note 360Score A+, la plus élevée de l'échelle d'évaluation de la performance environnementale des produits LafargeHolcim, le sac PLANET sera disponible sur l'ensemble du territoire français.Contribuer à la construction durable, en France et à l'étranger Pour compenser les émissions de CO² résiduelles du ciment contenu dans le sac PLANET, LafargeHolcim sélectionne des éco-projets qui promeuvent des modes constructifs économes en CO² et qui facilitent l'accès à un habitat décent et abordable aux populations locales de pays en développement.Par ces innovations en matière de construction durable, LafargeHolcim et ses clients concourent à préserver les ressources naturelles tout en améliorant l'habitat. Les crédits carbones issus de ces éco-projets sélectionnés sont certifiés par des labels de qualité qui respectent des critères exigeants en matière environnementale et sociale.
Il y a 4 ans et 282 jours

Le siège de GA Smart Building en images

Bâti en 2014 à Toulouse, le siège social du constructeur et promoteur immobilier tertiaire GA Smart Building devait remplir deux objectifs : être un showroom des technologies de pointe dont il était équipé et montrer comment faire du bureau un lieu de vie agréable. Depuis, la gestion technique centralisée a fait ses preuves et les performances énergétiques sont exemplaires. L’aménagement lui aussi a séduit : luminosité, espaces ouverts, lieux de convivialité, etc. Autant de succès que l’entreprise a depuis intégré aux opérations de ses clients.
Il y a 4 ans et 282 jours

Quels outils pour les professionnels du BTP et de la rénovation ?

Par ses fonctions et ses usages, l’immobilier occupe bien une place de choix dans de nombreuses régions. Ce secteur propose divers offres et services pour procurer un réel bien-être et permettre de faire de bonnes opérations économiques. Par ailleurs, pour construire ou rénover, il est indispensable de faire appel à des professionnels de la construction. Ces professionnels ont une utilité capitale dans la réussite des différents projets. En tant que professionnel du BTP, il est donc essentiel d’avoir de bonnes compétences. Si vous offrez ces services, vous pourrez tirer un excellent profit des outils technologiques conçus pour cet usage. Des outils pour les services de construction Pour proposer des services liés à la construction, il est bien indispensable d’avoir de bonnes spécifications et un véritable savoir-faire. Toutefois, bien plus que ces bonnes compétences, les services de construction doivent également montrer une véritable compétitivité. En effet, sur ces marchés concurrentiels et pointus, il est nécessaire de pouvoir idéalement se distinguer de la masse. Dans le milieu de la construction immobilière, des outils numériques apportent aujourd’hui d’excellents atouts. Ces derniers peuvent être généralistes ou destinés à des activités spécifiques. Ainsi, vous pourriez notamment profiter de logiciels performants pour des professions comme la plomberie, la peinture, l’électricité, l’isolation ou encore la métallerie. Votre partenaire travaux Design 3D Renovation apporte notamment d’excellentes garanties. En effet, cette entreprise spécialisée et qualifiée propose des solutions sur mesure pour davantage de compétitivité. De plus, avec ces solutions numériques, vous êtes généralement en mesure de proposer des maquettes réalistes des services que vous comptez offrir. Ainsi, vous avez plus de facilités à convaincre vos potentiels clients. D’un autre côté, ces logiciels permettent dans certains cas d’assurer une meilleure gestion de tous les processus liés à la construction. En outre, avec ces derniers vous pourriez aussi bien avoir de meilleures dispositions notamment pour signer des contrats d’assurance construction bénéfiques. Un large éventail d’activités concernées Les outils professionnels pour les agences de construction immobilière sont d’une grande utilité. Ils concernent aussi bien la construction et la rénovation. De même, quel que soit le service offert pour des travaux de construction, il est généralement possible de s’équiper d’un logiciel réellement efficace. D’une part, pour la platerie et l’isolation, vous pourrez profiter d’une excellente assistance qui permet de réaliser de meilleurs travaux de ratissage, de bandage ou encore de pose de bandeau de plâtre. D’autre part, pour des installations électriques également, il est possible de s’équiper de certains outils servant à offrir de meilleurs services. De plus, en tant que spécialiste de plomberie, d’aménagement, de peinture ou de décoration, vous pourrez également faire de meilleures expériences. Elles se trouvent parfois à travers des logiciels dédiés à la tâche. De même, elles peuvent concerner d’autres dispositifs servant à avoir une meilleure gestion des clients, des commandes ou encore de la communication. En outre, selon son secteur d’activité, il faut préalablement bien s’équiper. Votre agence de construction professionnelle devrait notamment être en mesure de proposer d’excellentes prestations en isolation thermique, en salle de bain ou encore en dégâts des eaux.
Il y a 4 ans et 282 jours

La guerre des Malouins contre Airbnb

"On est en train de perdre notre ville. Tout est aseptisé, on ne s'y retrouve plus", se désole Véronique Deschamps, Malouine de 57 ans. "On n'a pas reconstruit Saint-Malo après la Guerre pour en faire un Disneyland", tonne-t-elle.Coiffeuse à domicile, installée dans la ville fortifiée depuis 1993, elle a été la première à monter au créneau dès 2018. "Nos voisins sont devenus des clients Airbnb qui nous bousculent avec leurs valises et ne daignent pas nous saluer", écrivait-elle dans une tribune.Nuisances sonores, dégradations et palier occupé par les valises ou les ballots de draps: Mme Deschamps décrit une "qualité de vie altérée" par la présence d'une location Airbnb dans sa vieille bâtisse divisée en appartements.Loin d'être isolé, le phénomène se repère aux boites à clés, qui fleurissent sur les murs de granit de la ville fortifiée. Ouvertes grâce à un digicode, ces boites permettent au touriste de passage de prendre possession de son appartement.En réaction, un collectif anti-Airbnb s'est monté, rassemblant 70 à 80 personnes, selon Franck Rolland, cofondateur avec Véronique Deschamps. "Notre collectif est contre les multipropriétaires qui en font un business. Pas contre les habitants qui louent une chambre pour arrondir leurs fins de mois", souligne M. Rolland.Désertification du centre ville, spéculation immobilière, disparition des commerces du quotidien... sont quelques uns des griefs relevés par le collectif."Des effets néfastes qui s'allient à des tendances qui étaient déjà là", note Thomas Aguilera, chercheur à Sciences Po Rennes, qui évoque aussi un "effet TGV" qui a mis Saint-Malo à 2 heures 15 de Paris.117.000 voyageurs accueillisLa vieille ville, assaillie de touristes dès les beaux jours venus, a perdu un quart de sa population entre 1999 et 2016 tandis que les prix de l'immobilier ont flambé de plus de 20% ces cinq dernières années à l'échelle communale. Des services publics comme La Poste ont fermé. "Et regardez la pharmacie, c'est devenu une biscuiterie", pointe Mme Deschamps, en traversant la rue principale."En moyenne saison, on entend les valises passer. Ils vont dans des appartements et nos hôtels sont vides", regrette aussi Patricia, patronne de l'Hôtel des Abers. "Dans notre rue, c'est une mafia d'Airbnb: il y a des immeubles entiers, c'est que des appartements à louer."Selon le site d'analyse de données AirDNA, 2.491 logements étaient référencés sur les plateformes Airbnb ou Abritel au 2e trimestre à Saint-Malo, après un pic à plus de 3.000 en 2019. Airbnb parle pour sa part de 117.000 voyageurs accueillis l'an dernier.La question est prise au sérieux par l'équipe municipale du nouveau maire (LR) Gilles Lurton. "Ça fait partie des premiers dossiers de la mandature", assure le 1er adjoint Jean-Virgile Crance, par ailleurs président du groupement national des chaînes hôtelières."On ne veut pas que Saint-Malo devienne un parc d'attraction", assure-t-il, en évoquant une possible restriction, dans la vieille ville, du nombre d'appartements à louer par propriétaire.Mais si les moyens de régulation existent, ils sont limités et peuvent souvent être détournés. "Les villes n'ont pas assez de poids pour décider de leur propre régulation, elles peuvent bricoler", remarque Thomas Aguilera. "Que peut faire une petite ville face au premier hébergeur au monde basé à San Francisco ?"Airbnb met en avant les 285.000 euros de taxes de séjour reversés à la ville chaque année et dénonce des critiques "pas fondées" et "totalement déconnectées de la réalité des hôtes à Saint-Malo".La plateforme a d'ailleurs monté un "club d'hôtes" pour défendre ses intérêts, argumentaires à l'appui. Son "animateur" Thierry Dorance-Houssay, retraité rennais de 65 ans, veut que les "hôtes" soient entendus par les pouvoirs publics. "Des gens font des investissements, il faut qu'ils aient une forme de rentabilité", plaide-t-il, en proposant une "charte du locataire".
Il y a 4 ans et 282 jours

Rabot Dutilleul cède Nacarat

Le groupe Procivis Nord devient l’actionnaire majoritaire de ce qui était jusqu’alors la filiale de promotion immobilière du groupe nordiste.
Il y a 4 ans et 282 jours

La crise sanitaire démultiplie les demandes de locations de logements

Le rush a démarré dès le déconfinementDès le début du déconfinement, la location a repris très rapidement sur PAP.fr : les recherches ont progressé de +50% au mois de mai. « Nous avons immédiatement constaté un afflux d'offres et de demandes, mais nous pensions qu'il s'agissait d'une conséquence d'un rattrapage des mois précédents pendant lesquels le marché locatif avait été complètement bloqué. » explique Corinne Jolly.Mais au fil des semaines, loin de se tasser, la hausse des recherches s'est amplifiée : +75% en moyenne en juin 2020*. « Là, il n'y a pas de doute, on est au-delà du rattrapage : c'est la saison estivale qui démarre en avance pour les locations. » poursuit la Présidente de PAP.fr.Les étudiants ont démarré leurs recherches dès le mois de Juin 2020, ils représentent aujourd'hui 29% des dossiers déposés sur PAP.fr, contre 21% en mai 2019. Mais ils sont fortement concurrencés par les travailleurs, qui veulent également déménager cet été et qui représentent encore 71% des dossiers*.* Résultat d'une étude menée par PAP.fr sur les recherches de location réalisées sur son site du 1er au 30 juin 2020 comparé au 1er au 30 juin 2019Un afflux d'offres, notamment en location meubléeDeuxième grande tendance, les offres de logements proposées à la location sont plus nombreuses : +39% d'annonces en juin 2020 *, par rapport à juin 2019.De nombreux logements ont été libérés plus tôt par les étudiants cette année, notamment lorsqu'il a été annoncé que les études supérieures se dérouleraient à distance jusqu'à la prochaine rentrée.D'autre part, on observe que les locations meublées représentent, en ce moment, 56% de l'offre des locations, alors qu'elle ne représentait que 47% de l'offre avant le confinement. Deux phénomènes peuvent l'expliquer :Les logements libérés en avance sont surtout des logements étudiants, et donc des logements meublés.Les propriétaires de logements en location vacances ont décidé de passer leur logement en location meublée, au moins le temps de voir comment évolue la situation.Les recherches évoluent aussi : + de demandes, + d'espaces verts + de maisonsComme pour l'achat, la tendance est à la recherche de biens avec espaces verts. Les recherches de maison progressent de 96%, tandis que les recherches d'appartement de 68%.Malgré cela, le phénomène est moins marqué et moins significatif que pour les acquisitions. En effet, les recherches de maison ne représentent encore que 15% des recherches de location.En Ile-de-France : Explosion des recherches de location surtout pour la Grande CouronneTous les départements d'Ile-de-France, comme pour l'achat, connaissent une forte hausse de recherches de biens à louer. La hausse de recherches de locations des départements de la Grande Couronne est également plus importante que celle de la petite Couronne et Paris a la progression la plus faible : + 63%.*La Seine-et-Marne connaît la plus forte hausse : +140%, suivie du Val d'Oise : +113%, des Yvelines : +110%, de l'Essonne : +104%.L'Oise, département limitrophe de l'Ile-de-France progresse également fortement avec +97%*.On constate donc également pour la location, une demande des franciliens de s'éloigner de la petite couronne pour bénéficier de logements avec plus de superficie, si possible d'espaces verts et de maisons. Les locataires cherchent, comme les propriétaires, plus de verdure et plus d'espace. Ces nouvelles recherches sont le résultat du confinement passé dans des appartements trop étroits sans extérieur. Les aspirations des franciliens évoluent même en location.En Province : Ruée vers les demandes de location : +117% à Grenoble, +101% à Rennes !En Province, ce phénomène d'éloignement des métropoles est moins visible, probablement car les prix Immobiliers permettent de mieux se loger tout en restant en ville. Mais toutes les grandes métropoles françaises voient leurs recherches de biens à louer exploser. Grenoble et Rennes sont à + de 100%, Poitiers, Bordeaux, Nantes, à + de 70%. Il va être dur de se loger cet été. Les familles avec enfants qui ont été mutées cet été, les jeunes travailleurs qui cherchent leur premier logement et les étudiants, vont devoir jouer des coudes pour trouver leur cocon.On constate cependant que la situation est très disparate selon les différentes villes. Ainsi, Toulouse enregistre la progression la plus faible, certainement en raison des difficultés liées au secteur aéronautique qui commencent à se faire sentir sur le marché Immobilier.* Résultat d'une étude menée par PAP.fr sur les recherches de location réalisées sur son site du 1er au 30 juin 2020 comparé au 1er au 30 juin 2019
Il y a 4 ans et 282 jours

Les salons et foires pourront se tenir à nouveau à partir du 1er septembre

EVENEMENTIEL. C'est un ouf de soulagement que les professionnels de l'événement ont poussé lundi 27 juillet. Franck Riester, ministre en charge du Commerce extérieur et de l'Attractivité, a annoncé la réouverture des foires et salons à partir du 1er septembre, sans jauge limite.
Il y a 4 ans et 282 jours

Frédéric Imbert : TRIBU

Sur une idée originale de la galeriste Jessica Barouch, l’architecte et designer français Frédéric Imbert a conçu les deux tables d’appoint de la collection « TRIBU ». Avec ces meubles sculptés à la main, Frédéric Imbert annonce le grand retour du béton. C’est en collaboration étroite avec la galeriste Jessica Barouch que Frédéric Imbert a dessiné, puis sculpté les deux tables d’appoint de la collection « TRIBU », où un équilibre parfait s’établit entre l’austérité du béton et la délicatesse du geste. À travers un subtil traitement de la matière, Frédéric Imbert a pour ambition de susciter une émotion. En révélant la finesse de ce matériau brut, le designer développe ainsi un langage poétique et explore toutes ses possibilités. Aujourd’hui, Jessica Barouch et Frédéric Imbert travaillent à une nouvelle série, qui sortira prochainement et comprendra notamment un banc et une table basse en béton, cette fois-ci associé à différents matériaux.Pour en savoir plus, visitez le site de Jessica Barouch, et celui de Frédéric Imbert. Visuels : Portrait © Pierre Edouard Vasseur / TRIBU © Vincent Leroux
Il y a 4 ans et 282 jours

Le budget de MaPrimeRénov' sera doublé l'an prochain pour accélérer la rénovation énergétique des logements

"On va commencer par augmenter massivement les aides aux propriétaires pour la rénovation", a déclaré la ministre du Logement Emmanuelle Wargon sur la chaîne CNews."L'enveloppe de la prime, MaPrimeRénov, on la multiplie par deux l'année prochaine et par plus de deux l'année d'après", a-t-elle détaillé.La rénovation énergétique des bâtiments, destinée à réduire leur consommation d'électricité ou de gaz, doit être l'un des grands axes d'un plan de relance économique consécutif à la crise économique et sanitaire du coronavirus. Il doit être présenté fin août.MaPrimeRénov' est, actuellement, la principale aide dédiée aux propriétaires pour rénover leur logement afin de réduire sa consommation d'énergie.La semaine dernière, Mme Wargon avait annoncé que tous les ménages redeviendraient éligibles à cette aide, alors que les plus riches en avaient été exclus.Elle avait aussi promis un budget supérieur l'an prochain aux 800 millions d'euros de cette année. Mais elle n'avait évoqué qu'une enveloppe supérieure à un milliard.Finalement, "on va passer à deux milliards donc on va vraiment augmenter beaucoup", a insisté mardi Mme Wargon.La ministre a, par ailleurs, mis en avant d'autres mesures déjà annoncées la veille par le gouvernement dans le prolongement des recommandations de la Convention citoyenne pour le Climat.Un prochain décret va ainsi préciser le seuil de consommation d'énergie au-delà duquel un logement n'est plus considéré comme "décent".Concrètement, à partir de 2023, un locataire pourra forcer son propriétaire à engager des travaux si le logement consomme plus de 500 kwh par an et par m². Cela concerne environ 120.000 logements.
Il y a 4 ans et 282 jours

« Nous avons travaillé sur la trésorerie des entreprises », Christian Mouchard, Partenord Habitat

Deux mois et demi après le déconfinement, Christian Mouchard, directeur du département Patrimoine chez Partenord Habitat (46 000 logements), détaille pour Le Moniteur les procédures mises en place et les surcoûts engendrés. Le bailleur social du département du Nord a choisi de prendre en charge la moitié des dépenses causées par les précautions sanitaires à respecter par les entreprises face au risque Covid-19 sur les chantiers.
Il y a 4 ans et 282 jours

Malgré la pandémie, le marché du crowdfunding immobilier poursuit sa progression

Principaux indicateurs184 millions d'euros collectés (+43% par rapport au S1 2019) pour financer 229 projets (+7%)76,6 millions d'euros remboursés (+82% par rapport au S1 2019) concernant 139 projets (+48%)9,4% de rendement annuel moyen, pour des investissements d'une durée de 21 mois en moyenneUne forte concentration des projets dans le résidentiel (86% des projets financés)Une polarisation régionale des investissements. L'Ile-de-France capte près de 50% de la collecte.Un taux de retard de moins de 6 mois de 9,48% (+ 3,07 points par rapport à l'année 2019) et un taux de retard de plus de 6 mois de 10,10% (+2,41 points par rapport à l'année 2019). Le taux de défaut reste quasi stable à 0,74% (+0,17 point).Un volume de collecte et de remboursement en forte hausse sur un anAvec 184 millions d'euros collectés sur les six premiers mois de l'année, le secteur du crowdfunding immobilier poursuit sa croissance continue (+43% par rapport à la même période l'an dernier). Même tendance du côté des remboursements, qui ont représenté 76,6 millions d'euros, contre 42 millions l'an passé (+82%).La répartition mensuelle de la collecte révèle une certaine stabilité du marché, avec près de 94M€ d'investissements au T1 contre plus de 90M€ au T2. Ces chiffres démontrent que malgré la crise sanitaire, le marché est resté particulièrement actif notamment grâce à la digitalisation du secteur ayant favorisé la continuité de l'activité.Une nette accélération de la collecte a été enregistrée sur la fin du mois de mai et le mois de juin, illustrant un retour des investisseurs sur les plateformes de crowdfunding immobilier.On remarque également que malgré la forte hausse des montants collectés, le nombre de projets financés est lui en légère progression (+7%), s'expliquant par une plus grande taille des opérations financées (803 570€ en moyenne, en hausse de +16,6% par rapport à l'année 2019). Un signal positif pour le marché, alors que 2019 avait déjà connu une progression de +27,8% du montant moyen des opérations, s'expliquant en partie par le relèvement du plafond de collecte pour les plateformes de crowdfunding à 8 millions d'euros au lieu de 2,5 millions par opération dans le cadre de la loi Pacte.Une forte polarisation régionale des investissementsIle-de-France (89,2M€), Auvergne-Rhône-Alpes (23,4M€), Région Sud (15M€). A elles seules, ces trois régions - qui constituaient déjà le TOP 3 régional du marché en 2019 - ont concentré près de 70% de la collecte totale du marché français du crowdfunding immobilier au premier semestre.Les autres régions particulièrement actives sur la période ont été la Nouvelle Aquitaine (14M€), l'Occitanie (11,7M€) et dans une moindre mesure les Pays de la Loire (8,7M€) et le Grand Est (6,6M€). Un rendement annuel moyen de 9,4%, la durée moyenne d'investissement en baisseIndicateur scruté par les investisseurs, le rendement annuel moyen proposé pour les opérations financées au premier semestre était de 9,4%. En légère hausse par rapport au rendement du premier semestre 2019 (+0,2 point), il devrait a minima se stabiliser sur l'année 2020. Alors que les promoteurs ont vu certains de leurs chantiers se prolonger en raison des mesures sanitaires, cela va de fait entraîner un blocage plus long de leurs fonds propres sur ces projets. Pour dégager de nouveaux fonds propres afin de se positionner sur d'autres opérations, ils pourraient être amenés à proposer des rendements plus élevés afin d'accélérer leurs levées de fonds.Si l'on se fie aux données communiquées par plusieurs plateformes, représentant 50% de la collecte totale du marché, les projets ont attiré en moyenne 490 investisseurs qui ont placé 1640€. Combiné au rendement et à la durée moyenne de placement, ces chiffres permettent de calculer un gain moyen de 270€ brut par projet dans lesquels les épargnants ont investi.Le résidentiel monte en puissance et représente la majorité des projets financésParmi les 229 opérations immobilières financées au premier semestre, 86% d'entre elles concernaient des opérations résidentielles. C'est nettement plus qu'au premier semestre 2019 (79%). Plusieurs explications à cette hausse, d'une part l'augmentation constante des projets marchands de biens sur le marché dont la proportion a quasi doublé par rapport à l'an dernier passant de 24 à 38% des projets. D'autre part, on constate depuis 2019 l'émergence de nouveaux projets de co-living, une diversification qui préfigure une évolution intéressante pour le marché. Le crowdfunding immobilier se démocratise également en tant qu'outil de financement de nouvelles formes d'habitats urbains, renforçant le lien social, en adéquation avec les aspirations des nouvelles générations notamment.Les autres classes d'actifs enregistrent toutes une légère baisse sur les 6 premiers mois de l'année par rapport à la même période l'an dernier.Le « projet moyen » financé durant le premier semestre était une opération résidentielle de 40 logements en Ile-de-France, réalisée par un opérateur réalisant un chiffre d'affaires de 11 millions d'euros. Les retards de remboursement en légère hausse, le taux de défaut moyen reste stableLe taux de retard moyen, qui prend en compte uniquement les dépassements de l'échéance contractuelle maximum depuis 2012, est en hausse de 3,07 points sur les retards de moins de 6 mois, et de 2,41 points pour les retards de plus de 6 mois par rapport à l'année 2019. Ils s'élèvent respectivement à 9,48% et 10,10%. Dans le détail, on remarque que seulement quelques acteurs concentrent des retards conséquents.Quant au taux de défaut moyen, calculé sur la base des projets ayant subi une perte en capital et/ou une perte des intérêts depuis 2012, est évalué à 0,74%, en hausse de 0,17 points. Dans une démarche de transparence, l'agrégateur de projets Hello Crowdfunding actualise tous les mois les données sur le déroulement des différents projets, permettant ainsi d'identifier les projets en retard.Etude réalisée auprès de 26 plateformes ouvertes ou ayant financé des projets immobiliers, et immatriculées auprès de l'AMF ou de l'ACPR (données analysées sur la période de janvier à juin 2020) : Anaxago, Beefordeal, Clubfunding, Euroraiser, Finple, Fundimmo, Gwenneg, Homunity, Immocratie, Immovesting, Inidev, Koregraf, La première brique, Look and fin, Lendopolis, Lymo, Monego, My Capital immo, October, Pret-up, Raizers, Upstone, Vatel Direct, Weeximmo, Wesharebonds, Wiseed.Analyse des résultatsPar Jérémie Benmoussa, Président du directoire de FUNDIMMOAprès un 1er trimestre très dynamique, nous pouvions nous interroger sur la réaction des épargnants et des promoteursaprès l'annonce du confinement, et nos activités ont repris un rythme soutenu. C'est un enseignement fort de la période compliquée que nous avons traversé, le crowdfunding immobilier est installé dans le paysage à la fois en tant que produit d'épargne et de financement pour les promoteurs. Sans préjuger de la suite, les chiffres globaux de ce 1er semestre qui atteignent de nouveaux records, nous rendent confiants pour les prochains mois.Du côté des promoteurs, les mesures sanitaires ont provoqué un arrêt ponctuel des chantiers qui ont aujourd'hui quasi-intégralement repris. Quelques retards administratifs ont également été enregistrés en lien avec le décalage des élections municipales, qui sont désormais derrière nous. Le résultat de ces dernières dans quelques grandes villes pourraient avoirdes effets à long terme sur la conception des opérations immobilières pour répondre à la volonté citoyenne d'une meilleure prise en compte des enjeux environnementaux. Pour autant ce serait plus une accentuation d'une tendance de fond qui préexistait bien avant les élections qu'un changement radical, ce mouvement est déjà en marche chez les opérateurs immobiliers. Qu'ils s'agissent d'immobiliers de bureaux ou de logements, la valeur verte a désormais un véritable sens, notamment pour les investisseurs.Ces ralentissements pourraient avoir deux principaux effets dans les mois à venir. D'une part, un retard de quelques mois des projets, durant lesquels, et c'est important de le souligner, les intérêts des investisseurs - définis contractuellement - continueront à courir. D'autre part, l'allongement des chantiers va bloquer les fonds propres des promoteurs sur les projets durant des périodes plus longues. Ces-derniers devront donc nécessairement trouver des leviers pour dégager de nouveaux fonds propres indispensables au lancement de toute nouvelle opération.In fine, cette situation peut constituer un levier de croissance additionnel pour le marché du crowdfunding immobilier, d'autant que le besoin important et rapide de liquidité pourrait inciter les promoteurs à mieux rémunérer les investissements. Reste également à analyser l'évolution des comportements des épargnants dans les prochains mois, eux qui auraient mis quelques 60 milliards d'euros de côté durant le confinement. Le succès des dernières levées de fonds réalisées depuis mi-mai, malgré un délai de collecte parfois un peu allongé, semble confirmer l'attrait des investisseurs vers ce produit désormais connu par plus d'1/3 des Français*.*Étude OpinionWay pour FUNDIMMO, Janvier 2020
Il y a 4 ans et 282 jours

Extension de Roissy : le projet doit être "revu en profondeur"

Le projet d'extension du terminal 4 de Roissy-Charles de Gaulle, doté d'une capacité de 40 millions de passagers, "doit être revu en profondeur" du fait de la crise liée au Covid-19, a estimé Jean-Baptiste Djebbari.
Il y a 4 ans et 282 jours

Artificialisation des sols en Île-de-France et habitat collectif neuf

A l'heure de la relance, il s'avère impératif de conjuguer les nouveaux besoins accentués par cette crise inédite et croissance verte. Pour accélérer l'émergence d'une ville durable et résiliente, il faut la (re)construire car, bien qu'indispensable, rénover le tissu existant ne pourra suffire. L'Île-de-France, figure d'excellence pour la faible artificialisation des solsDepuis le Plan biodiversité de 2018, le Gouvernement français s'est fixé l'objectif « Zéro artificialisation nette », également appelé « ZAN ». Il s'inscrit dans un objectif de neutralisation des impacts des villes sur la biodiversité et le changement climatique.Région dense par excellence, l'Île-de-France fait pourtant figure d'exception vertueuse en matière d'artificialisation des sols, comme en témoigne l'étude menée par l'Institut Paris Région* et publiée en janvier 2020. Ainsi, en Île-de-France, seulement 590 hectares nets ont été consommés en 2017, correspondant à 840 hectares brut artificialisés auxquels doivent être soustraits les 250 hectares renaturés. Il est important de noter que l'Île-de-France a la plus faible artificialisation de France au regard de l'activité accueillie : 133 m² étaient artificialisés par habitants et emploi en 2015 pour une moyenne nationale de 460 m² (hors Île-de-France). A contrario, la région Centre Val-de-Loire artificialisait 606 m² par habitant et emploi la même année. L'habitat collectif neuf, réduction de l'artificialisation des sols et accélération des transformations Toujours selon l'étude de l'Institut Paris Région, sur les 840 hectares artificialisés en 2017, seulement 3% étaient destinés à l'habitat collectif contre 42% destinés aux carrières, décharges et chantiers, 23% aux espaces ouverts artificialisés, 14% à l'activité et 10% à l'habitat individuel. Comment conjuguer la sobriété foncière, qui s'impose comme un impératif environnemental, et le besoin en logements considérable, tout particulièrement en Île-de-France, véritable locomotive économique et territoire le plus attractif de France voire d'Europe ? Outre les enjeux de préservation des sols et de la biodiversité, car elle est souvent en elle-même créatrice de jardins et facteur de renaturation, la construction neuve apporte également des réponses à de nombreux enjeux en étant facteur de cohésion et de durabilité. Les performances environnementales des logements neufs répondent à des standards très élevés qui se renforcent encore avec la future RE 2020. La construction d'aujourd'hui et de demain répondra aux besoins des ménages et accélérera la transition vers une société décarbonée. Construire dense, c'est aussi tendre vers une urbanisation plus sobre en consommation d'espace laissant ainsi plus de place à la nature, à l'extérieur et à l'intérieur de la Ville.Pour Marc VILLAND, Président de la FPI IDF : « Le débat autour de l'artificialisation des sols est tronqué. Il est urgent de dédiaboliser la ville et démystifier la densité. Un changement de paradigme s'impose pour faire avancer durablement notre société et apporter des réponses concrètes aux besoins des franciliens en matière de logement et d'urbanisme ». *Source : L'institut Paris Région 2020 - MOS 1982 à 2017, présenté à l'occasion des ateliers du ZAN
Il y a 4 ans et 282 jours

Coffrages spéciaux ou les formes du chantier

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Coffrages du chantier “Morland Mixité Capitale”, à Paris, fournis par CMC. [©CMC] Travail de l’ombre, la conception et la production de coffrages sur mesure donnent forme aux idées parfois surprenantes des architectes. Un savoir-faire qui allie précision, inventivité et adaptabilité. Portraits de quelques-uns des acteurs du marché. Dossier préparé par Yann Butillon Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr Cette iframe contient la logique nécessaire pour manipuler Gravity Forms avec Ajax. jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 4 ans et 282 jours

Ecoles, logements : les premières orientations de la nouvelle équipe municipale de Marseille

La Ville de Marseille a voté, ce lundi 27 juillet, des crédits de 50 millions d’euros pour mettre en sécurité les écoles et lutter contre l’habitat insalubre.
Il y a 4 ans et 282 jours

Rockwool innove pour accélérer le développement de la rénovation énergétique des logements

Signataire de la charte FAIRE, ROCKWOOL participe activement à débloquer les freins qui subsistent et contribue à réaliser les économies d'énergie nécessaires à l'atteinte des objectifs environnementaux nationaux. Dans ce contexte de massification de la rénovation énergétique et devant la complexité des dispositifs d'aides, ROCKWOOL propose aux professionnels et aux particuliers des solutions pour mieux comprendre la réglementation et les opportunités de financement. Un acteur industriel au service de la préservation de l'environnementLe parc immobilier français, résidentiel et tertiaire, contribue à lui seul à l'émission de 16% des émissions de gaz à effet de serre en France. Pour atteindre les objectifs gouvernementaux de neutralité carbone d'ici 2050, les émissions devraient être réduites par 10. Un défi ambitieux qui passe notamment par la rénovation de 500 000 logements par an jusqu'à 2050. En effet, 7 millions de logements sont encore mal isolés et un Français sur cinq se trouve en situation de précarité énergétique. Autre enjeu, offrir à chacun une meilleure compréhension des dispositifs d'aides au financement et des solutions disponibles. ROCKWOOL, présent en France depuis 40 ans et un des acteurs industriels incontournables de la rénovation énergétique, est pleinement engagé dans ce combat pour préserver de la planète.Garantissant l'efficacité et la pérennité des travaux engagés, leur durabilité et le confort des occupants, l'isolation thermique se présente comme l'investissement le plus rentable, à condition de choisir des matériaux de qualité. La laine de roche ROCKWOOL, ressource naturelle, inépuisable, résistante et recyclable à l'infini est l'une des solutions les plus efficaces et durables en matière d'isolation thermo-acoustique. Elle possède également d'excellentes propriétés en protection incendie et conserve ses performances pendant plus de 55 ans. Grâce à leur recyclabilité à l'infini, les produits ROCKWOOL sont respectueux de l'environnement.ROCKWOOL engagé dans l'innovation continue de ses produits pour réduire la consommation énergétiqueÀ travers la charte FAIRE, ROCKWOOL s'est engagé à soutenir le Plan de Rénovation énergétique des bâtiments qui vise à faire baisser la consommation énergétique et à éradiquer la précarité énergétique en 10 ans. Un engagement également basé sur une politique d'innovation continue de ses produits et son adhésion à des organismes collectifs français et internationaux tel le C40 Cities Climate Leadership Group qui regroupe les 96 des plus grandes villes du monde.« Lors du confinement, les Français ont redécouvert l'importance du confort thermique et pris conscience des enjeux environnementaux. C'est pourquoi les industriels comme ROCKWOOL se doivent de souscrire pleinement à une politique de rénovation énergétique efficace et pérenne qui prend aussi en compte la lutte contre la précarité énergétique de nombre de nos concitoyens. La rénovation énergétique des bâtiments doit permettre d'enrayer à termes le nombre de passoires énergétiques dans notre pays tout en réduisant les factures d'énergie et en améliorant le bien-être des foyers ».- Rafael Rodriguez, DG de ROCKWOOL FranceDes services et des solutions pour rendre encore plus accessibles les travaux de rénovation énergétiquePour accompagner au plus près ses clients et répondre aux besoins d'informations des particuliers comme des professionnels sur les dispositifs d'aides et sur le choix des produits, ROCKWOOL développe au quotidien des services et des solutions pour rendre encore plus accessibles les travaux de rénovation énergétique et participer ainsi au développement économique de la filière :Des outils de simulation en ligne et de visualisation 3D pour permettre aux particuliers comme aux professionnels d'évaluer leurs besoins. Grâce à son système de visualisation 3D, ROCKWOOL aide les particuliers à mieux comprendre la rénovation par l'isolation de façon très visuelle : l'outil 3D permet de visualiser toutes les applications possibles en maison individuelle pièce par pièce (certaines applications sont également valables pour les appartements, comme l'isolation des cloisons ou des murs par l'intérieur) et découvrir également les produits adaptés à chaque application.Un outil de calcul pour combles et toitures inclinées pour trouver la solution ROCKWOOL la plus adaptée à votre comble ou toiture inclinée.Des webinaires pour permettre aux artisans de mieux maîtriser les propriétés des produits et solutions.Des campus formation pour les artisans afin de les aider dans une mise en œuvre rapide et efficace des travaux.Des formations pour permettre aux professionnels de mieux comprendre la charte réglementaire et obtenir le label RGE, les accompagner dans les meilleures solutions en laine de roche.Des brochures accessibles à tous depuis le site pour découvrir les aides disponibles au financement de son projet
Il y a 4 ans et 282 jours

EAS Solutions présente Victoria, luminaire LED à très haut rendement pour l'éclairage professionnel et public

Conçu en aluminium (LM6), le luminaire LED VICTORIA est disponible en trois versions (mini, standard, maxi), une douzaine de puissances allant de 6W à 200W, trois optiques (étroite, médium, large) et plusieurs températures de couleur (3000K, 4000K, 5000K, Golden Orange, Bat Light). Son flux lumineux atteint 28 000 lm avec une efficacité lumineuse de 140 lm/W en 3000K. Il possède un angle d'inclinaison de -15° à +15°, un diamètre de mât de 48 à 76 mm, un indice de protection IP66 et une température de fonctionnement comprise entre -40°C et +50°C. Il peut fonctionner sur variateur 1-10V standard et programmable. Sa durée de vie L80B10 est de 100 000 heures.Avec son disjoncteur intégré, le boîtier du luminaire LED VICTORIA peut être ouvert sans outils et il est possible d'intervenir immédiatement en toute sécurité dès son ouverture. Les sources lumineuses LED et le driver sont remplaçables. La tête du luminaire est modulable et réparable même après la période de garantie de 5 ans.Diverses solutions d'éclairage intelligent sont intégrables en option au luminaire LED VICTORIA conçu pour fonctionner par exemple avec les connecteurs Zhaga. Installé sur des mâts allant de 3 à 14 mètres, le luminaire LED VICTORIA convient aux installations d'éclairage extérieur, professionnel et public, dédiées à la sécurité des activités et des déplacements de personnes et de biens sur les routes, aires de parking ou de chargement, zones d'activités et sites professionnels.Application : Exemple d'installation de luminaires VICTORIA EAS SOLUTIONS s'est vu confier début 2020, la rénovation de tous les éclairages des parkings de la base logistique EUROLOGISTIC à Villabé. En remplaçant 124 éclairages traditionnels au sodium 400W, énergivores et obsolètes, par 124 luminaires LED VICTORIA 175W, EAS SOLUTIONS améliore la qualité de l'éclairage, avec une température de couleur de 3000K conformément à la nouvelle législation de l'éclairage extérieur, et réduit d'environ 2/3 la consommation d'énergie. Instantanément, cette dernière passe de 59 520 kWh à 21 700 kWh par an.
Il y a 4 ans et 282 jours

Le pétrolier Repsol annonce une perte nette de 1,9 milliard d'euros au 2e trimestre due à la pandémie

Sur l'ensemble du premier semestre, la perte nette atteint près de 2,5 milliards d'euros, en raison de la révision à la baisse de la valeur des stocks, et de celle des actifs d'exploration et de production, explique Repsol dans un communiqué.Après avoir chuté à l'ouverture des échanges à la Bourse de Madrid, le titre se stabilisait vers 8H45 GMT, en petite hausse de 0,34% dans un marché stable.Le groupe rappelle avoir évolué "dans un contexte conditionné par la pandémie mondiale, l'effondrement des prix du brut et du gaz et la chute extraordinaire de la demande".Les ventes dans les stations-service en Espagne ont par exemple chuté de 48% au deuxième trimestre en raison du confinement de la population.Le groupe précise que son résultat net ajusté, qui reflète selon lui mieux son activité en ne tenant pas compte des stocks, atteint 189 millions d'euros au premier semestre.Au deuxième trimestre, la perte nette ajustée n'est que de 258 millions d'euros.La branche Exploration et production a enregistré une perte nette de 141 millions d'euros au deuxième trimestre, tandis que la branche Industrie (raffinage) voyait son bénéfice chuter de 95% à 8 millions d'euros.Face à l'étendue de la crise, Repsol prévoit désormais de réduire de 450 millions d'euros ses coûts opérationnels (contre 350 millions estimés fin avril) et de renoncer à de nombreux investissements, pour une valeur totale de 1,1 milliard d'euros.Le groupe affirme disposer de liquidités à hauteur de près de 10 milliards d'euros, et avoir levé 3 milliards d'euros via des émissions obligataires au cours du premier semestre.Malgré ces "résultats faibles (...) Repsol est une des entreprises multi-énergétiques avec les meilleures perspectives", notamment grâce à une "comptabilité saine" et "une présence toujours plus importante dans les énergies renouvelables", estiment dans une note les analystes de Bankinter.Repsol, qui s'est engagé à réduire à zéro ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050, a commencé depuis janvier la construction de deux parcs photovoltaïques dans le centre et le sud-ouest de l'Espagne, d'une capacité installée de respectivement 126 et 264 mégawatts, pour un investissement total de 300 millions d'euros.La société pétrolière prévoit de développer sept projets de production d'énergie renouvelable dans la péninsule ibérique, dont le premier à entrer en fonction, fin 2020, sera le parc éolien Delta, en Aragon (nord de l'Espagne), un investissement de 300 millions d'euros d'une capacité de 335 mégawatts.Repsol a également annoncé jeudi un investissement dans des projets éoliens et solaires au Chili, dont la capacité installée devrait atteindre 1.600 mégawatts en 2025. Le groupe ne précise pas le montant total de l'investissement, mais indique que pour mener ces projets à bien, il procédera à une augmentation de capital de 168 millions d'euros afin de créer une co-entreprise avec le groupe espagnol Ibereolica Renovables.
Il y a 4 ans et 282 jours

Le monde HLM reporte son congrès prévu en septembre à Bordeaux

Le monde HLM ne tiendra finalement pas son congrès à l'automne car sa tenue serait impossible face aux contraintes imposées contre la propagation du coronavirus, a annoncé sa confédération.
Il y a 4 ans et 282 jours

Parc départemental des Chanteraines : Une rénovation des voiries en circuit (presque) fermé

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Bétons avec incrustation de granulats de spilite. [©Cimbéton] Inauguré en 1978, le parc départemental des Chanteraines est un espace vert d’une centaine d’hectares, à cheval sur les communes de Gennevilliers et de Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine). Ce poumon vert est vécu comme un espace naturel, au cœur d’un secteur très urbanisé. Et fortement maillé par un réseau de routes, d’autoroutes et de voies ferrées. Il comprend deux étangs réalisés sur d’anciennes gravières, une ferme pédagogique, démontée et remontée pierre par pierre depuis le Vexin voisin. Le lieu est même devenu une réserve ornithologique de choix, avec la présence de 120 à 150 espèces d’oiseaux, migrateurs ou non. Dans cet environnement créé de toutes pièces, mais qui apparaît si naturel, le département des Hauts-de-Seine a décidé en 2018 de Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 282 jours

Chronologie et ambitions du projet de rénovation de la gare du Nord à Paris

2017-2020 : Les dates-clé du projetLe projet autorisé le 6 juillet 2020 a été déclaré d'intérêt général au terme d'un processus démocratique et en respectant toutes les obligations légales qui s'imposaient :Février 2017 : loi sur le Grand Paris. La loi autorise expressément SNCF Gares & Connexions à procéder à la rénovation de la Gare du Nord en faisant appel à un investisseur privé. Il est spécifié qu'il n'y aura pas de mobilisation d'argent public et que cet investisseur privé supportera seul le financement et les risques de l'opération qui mobilise des investissements à hauteur de 600 millions d'euros.Mai 2017 - Février 2019 : Lancement et déroulement d'un appel d'offres public européen. Au terme de cette procédure concurrentielle, qui est aujourd'hui définitive car elle n'a pas été contestée, SNCF Gares & Connexions a désigné Ceetrus comme co-investisseur pour créer la SA Gare du Nord 2024.Juin - Juillet 2017 : Déroulement de la première concertation publique, prévue par les dispositions applicables au projet.9 Juillet 2018 : Présentation à la presse du projet par SNCF, Ceetrus et la Ville de Paris.24 Octobre 2018 - 26 février 2019 : Ouverture de la procédure de droit d'initiative permettant de demander l'organisation d'une concertation préalable au titre du code de l'environnement par la commission nationale du débat publique.Mars - Avril 2019 : Seconde concertation publique organisée volontairement par la SA Gare du Nord 2024.Octobre 2019 : Avis favorable de la Commission Nationale d'Aménagement Commercial.Novembre 2019 à Janvier 2020 : Déroulement de l'enquête publique, au terme de laquelle la Commission d'enquête publique a rendu un avis favorable au projet le 25 février 2020.6 Juillet 2020 : Délivrance du permis de construire par le Préfet de la Région d'Ile-de-France Le dossier de permis de construire a donc reçu l'avis favorable de la commission d'enquête publique et des services instructeurs, des architectes des bâtiments de France, des responsables des monuments historiques mais aussi de la Préfecture de police de Paris.Une méthode concertée avec les parties prenantes dont la ville de ParisDès le lancement du projet en mai 2017, un comité de coordination partenarial a été mis en place, réunissant l'Etat, la Ville de Paris, la Mairie du 10ème arrondissement, Ile de France Mobilités et la RATP. Il a donc permis d'associer étroitement l'ensemble des acteurs à chacune des étapes du projet.La Ville de Paris, à l'instar des participants au comité partenarial a été consultée dans la définition du programme. Pendant la phase d'analyse des projets, plus de 200 réunions ont été organisées avec l'ensemble des services de la Ville. Elles ont abouti à plusieurs accords structurants.Un Projet Urbain Partenarial conclu le 9 mai 2019 entre la Ville de Paris et la SA Gare du Nord 2024 porte sur l'amélioration des espaces publics dans le quartier de la Gare du Nord et l'amélioration de la desserte de la gare. La SA Gare du Nord 2024 s'est engagée à financer à hauteur de 6.509.375 euros TTC (soit 75 % du coût total estimé des travaux, soit 8,7 millions d'euros) les équipements publics autour de la gare du Nord.Un protocole signé en juillet 2019 entre la Ville de Paris, la SA Gare du NORD 2024 et SNCF Gares & Connexions acte des accords stratégiques sur la solidarité, l'intermodalité (notamment la création de 2.000 places de stationnement pour vélos en plus du nombre équivalent de places créées directement par la Ville de Paris), la qualité de la programmation commerciale et culturelle, les dimensions du bâtiment ou encore sur les apports et innovations écologiques de la future Gare du Nord.La SA Gare du NORD 2024 a également pris l'engagement de mettre en place des modalités de concertation avec la mairie de Paris et la mairie du 10ème arrondissement et d'information transparente et régulière des riverains sur les avancées du projet. Dans une lettre transmise à SNCF Gares & Connexions le 7 mai 2020, la Ville de Paris a formulé le souhait de travailler autour des 5 chantiers suivants : « un calendrier phasé selon les priorités et contractualisé entre les parties prenantes » ;« l'abandon de la séparation des flux d'entrée et de sortie » ; « la dé-densification du projet » ; « une plus grande ouverture sur le quartier » ; « l'amélioration de l'intermodalité ».De nombreuses réunions organisées en mai et juin 2020 regroupant les services de la Ville de Paris, Ceetrus et SNCF Gares & Connexions ont débouché sur des propositions d'évolution saluées par l'ensemble des parties prenantes du projet lors d'une réunion tenue sous l'égide du Préfet de la Région d'Ile-de-France le 23 juin 2020 en présence des représentants de la Ville de Paris, de la mairie du 10ème arrondissement, de Ceetrus, de la SA Gare du Nord 2024 et de SNCF Gares & Connexions. La Ville de Paris n'a toutefois pas signé le protocole qui actait l'accord des parties.SNCF Gares & Connexions et la SA Gare du Nord 2024 souhaitent poursuivre le dialogue avec la Ville de Paris pour aboutir à un nouvel accord acceptable par toutes les parties.A l'issue de ce processus, le Préfet de la Région d'Ile-de-France, fort de la parfaite régularité du dossier et de son instruction, a délivré le permis de construire le 6 juillet 2020.Les points forts du projet de rénovationD'après les enquêtes clients menées par SNCF Gares & Connexions, les voyageurs comme les riverains font face à de sérieuses difficultés aussi bien à l'intérieur (inconfort de l'attente, manque de lisibilité des espaces) qu'à l'extérieur de la gare (insécurité, malpropreté, multiplication des trafics illicites).Le projet a pour objectif de placer la gare du Nord au niveau des autres grandes gares européennes, tant en termes d'équipements, d'accessibilité, d'intermodalité que de capacité. Et, ce avec une perspective d'une entrée en service pour les Jeux Olympiques de 2024.La modernisation de l'infrastructure ferroviaire : La Gare du Nord est une infrastructure vitale pour Paris, l'Île-de-France, les Hauts de France et le Nord de l'Europe. Rénovée en 2001 pour accueillir 500 000 visiteurs, elle se trouve être largement saturée aujourd'hui avec plus de 700 000 personnes la fréquentant chaque jour. Les estimations montrent que la fréquentation de la gare du Nord devrait progresser pour atteindre près de 900 000 personnes par jour en 2030 (en raison de l'augmentation annuelle de fréquentation des RER B et D, des reports attendus suite au prolongement du RER E vers l'Ouest, ainsi que de l'augmentation continue des déplacements par TGV, Eurostar et Thalys). Le projet va améliorer les liaisons entre la gare de surface TRANSILIEN et la gare souterraine banlieue. Il est vital pour le développement du transport ferroviaire en Ile-de-France comme vers l'Europe du Nord.Le renforcement de l'intermodalité : Le projet renforce la place accordée vélo (+ 2.000 places en plus de celles que la Ville de Paris s'est engagée à créer).Un modèle de développement durable : Le Projet entend s'affirmer comme un modèle de développement durable, ancré dans le souhait de relance verte des Français. Il a ainsi été conçu pour limiter au maximum son impact sur l'environnement et mettre en œuvre une démarche développement durable ambitieuse tout au long de sa vie.La SA Gare du Nord 2024 ambitionne une construction bas carbone, qui se traduira notamment par l'obtention de 4 certifications parmi les plus exigeantes : BREEAM Outstanding, Well Gold, Label Énergie Carbone (E+C-) niveau E3C1 et Biodiversity.Afin de réduire la consommation en ressources et en énergies, le projet aura recours à des panneaux photovoltaïques et à au nouveau système de récupération des eaux de pluie.Une fois rénovée, la gare offrira aux habitants du quartier un nouvel espace vert de 11.400 m² dont 6.000 m2 accessibles à tous. Ce parc paysager en toiture représentera un îlot de fraicheur au sein de la Gare et du quartier. Il permettra de créer une zone perméable et favorisera le retour de la biodiversité avec plus de 10.000 m² de végétaux, dont 150 arbres nouvellement plantés.Une nouvelle vie dans la gare pour les voyageurs et les habitants du quartier.En 2018, lors de la présentation du projet, la Ville de Paris indiquait que la gare du Nord « sera plus accueillante, plus verte, plus sûre, et mieux intégrée à son quartier ».A ce titre, la gare du Nord :améliorera l'accueil de tous les voyageurs, avec une priorité pour ceux atteints de handicaps, notamment grâce à la création de plus de 100 nouveaux ascenseurs et escalators ;comprendra une offre de services et de commerces de proximité de qualité, complémentaires de ceux existants dans le quartier ; par ailleurs, l'organisation de la gare du Nord facilitera l'accès aux services essentiels comme un cabinet médical, La poste, ou à ceux correspondant aux nouveaux besoins des voyageurs, comme un atelier de réparation de vélo ou encore des vestiaires ;comprendra des jeux pour les enfants, de terrains de sport et de tables de pique-nique, ainsi que des fontaines à eau ;offrira une programmation culturelle de qualité.Un projet permettant la création de 800 emplois pendant la phase des travaux et de plus de 2.000 emplois dans la phase d'exploitation de la gare du Nord rénovée.