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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87525 résultats)
Il y a 4 ans et 294 jours

Les prêts immobiliers ne retrouvent pas leur rythme de croisière

CONJONCTURE. L'Observatoire Crédit logement fait état, dans son enquête mensuelle, d'une "chute brutale" de la production de crédits au deuxième trimestre, plus accentuée encore dans l'ancien que dans le neuf. Les taux continuent d'augmenter modérément en juin.
Il y a 4 ans et 294 jours

Autoroutes : B. Le Maire évoque une "sur-rentabilité" pour les concessionnaires

INFRASTRUCTURES. Le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, plaide pour un renforcement de la régulation des concessions autoroutières.
Il y a 4 ans et 294 jours

Colas Rail décroche son premier contrat à Singapour

La filiale ferroviaire de Colas a remporté la conception, la fourniture, l’installation, les essais et la mise en service des nouveaux systèmes d’alimentation électrique sur la ligne de métro de Bukit-Panjang. Un projet à 41 M€.
Il y a 4 ans et 294 jours

Transition énergétique : la Pac hybride, "produit du consensus" (Bavoux, GRDF)

MARCHÉ. Alors que le plan de relance du Gouvernement se prépare et que les professionnels du bâtiment comme les industriels de la construction appellent à mettre le paquet sur la transition énergétique, GRDF met en avant les atouts de la pompe à chaleur hybride pour le marché de la rénovation. Entretien.
Il y a 4 ans et 294 jours

Emploi, formation, entreprises : ce qui se dessine pour le plan de relance

CONJONCTURE. Le Premier ministre fraîchement nommé, Jean Castex, a donné lors de son discours de politique générale quelques précisions sur les mesures du futur plan de relance économique concernant l'emploi des jeunes et l'imposition des entreprises. Mais certains dossiers ne sont pas encore clairement tranchés.
Il y a 4 ans et 294 jours

Méthodes de traitement des sédiments

Retrouvez cet article dans le numéro 89 de Béton[s] le Magazine. I – Quelles sont les problématiques relatives à la gestion des sédiments ? Schématisation des interactions dans le cadre du principe 3R : Réduire, Réutiliser, Recycler. [©Chaire EcoSed] Chaque année, les nécessités de ciments en France sont de 16,9 Mt (données 2017). Et les besoins de matériaux granulaires pour le secteur du BTP sont proches de 400 Mt, dont 96 % sont d’origine naturelle. Il est donc nécessaire de trouver des solutions alternatives dites “durables” ou “éco-responsables”. Ceci, par la valorisation de sous-produits industriels (SPI), tels que les sédiments de dragage.  Un sédiment est constitué d’une réunion de particules plus ou moins grosses ou de matières précipitées ayant séparément subi un certain transport. En France, environ 56 Mm3 de sédiments sont Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 294 jours

Chute historique de l’activité dans l’artisanat du bâtiment au 2e trimestre

"La crise du Covid-19 a provoqué un choc inédit bien supérieur à celui de la crise de 2009. La violence de cette pandémie se chiffre en effet à 24% de perte d'activité", affirme Jean-Christophe Repon, président de la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb), cité dans un communiqué.Pour le second semestre, "les artisans se veulent optimistes et espèrent garder leurs salariés et maintenir toutes les compétences dans leurs entreprises", affirme M. Repon.Mais le scénario envisagé par la confédération "fait état d'une baisse d'activité sur l'année 2020 comprise entre 15 et 17%, soit une perte de 20.000 à 30.000 emplois", anticipe son président.Car si l'activité du secteur reprend, elle est toutefois ralentie "par des problèmes d'approvisionnement pour 31% des entreprises artisanales mais aussi par le refus d'une partie de la clientèle privée d'engager des travaux" et par la difficulté d'appliquer les préconisations sanitaires en vigueur pour les artisans du bâtiments.Entre avril et juin, la chute d'activité a concerné l'ensemble des corps de métiers, l'aménagement-décoration-plâtrerie en tête (-28 % par rapport à la même période l'an dernier).Cet impact a également été ressenti différemment sur le territoire, l'activité ayant moins baissé dans les zones rurales que dans les grandes villes, indique M. Repon.Les entreprises artisanales implantées en Ile-de-France accusent la plus forte baisse d'activité (-30%) suivies par celles des Hauts-de-France. La baisse d'activité est plus limitée sur la façade atlantique avec une baisse entre 21 et 22%, ainsi que dans le grand Est, en Bourgogne-France-Comté et en Occitanie.La construction neuve est, elle, "gravement touchée", avec une contraction de 22% sur ce deuxième trimestre s'ajoutant au recul de 14% au premier trimestre. Sur la période de douze mois achevée fin mai 2020, 409.600 logements ont été autorisés à la construction, soit 39.600 de moins que dans les douze mois précédents.Même tendance sur les bâtiments anciens avec un recul significatif de 25% en entretien-rénovation , après une baisse de 10,5% sur le premier trimestre.En juillet, la Capeb évalue le montant moyen des besoins de trésorerie à 23.000 euros contre 22.000 euros un an auparavant. "De nombreuses entreprises ont ainsi fait des demandes de Prêt garanti par l'État (PGE) durant cette période", souligne la Capeb.
Il y a 4 ans et 294 jours

Indépendance, écologie, solidarité et compétences : les quatre volets du plan de relance de 100 milliards d'euros

Souveraineté économique (40 milliards)"Notre industrie s'est affaiblie. (...) Nous sommes aujourd'hui trop dépendants de nos partenaires extérieurs et insuffisamment présents sur certains secteurs stratégiques. Nous consacrerons, dans le cadre du plan de relance, 40 milliards d'euros pour que cela change", a affirmé mercredi le Premier ministre Jean Castex dans sa déclaration de politique générale.Ce montant intègrera notamment la baisse des impôts de production qui pèsent sur les entreprises, annoncée de longue date par le précédent gouvernement.Mais il comprendra aussi le financement des mesures de soutien aux fonds propres des entreprises, mises en difficulté par la crise, ou encore des soutiens à l'investissement dans la transition numérique des entreprises, ou encore des aides à l'export, a-t-on détaillé à Bercy, précisant que rien n'est encore totalement finalisé à ce stade.Transition écologique (20 milliards)Le Premier ministre a par ailleurs annoncé 20 milliards d'euros pour la rénovation thermique des bâtiments et le développement de modes de production plus écologiques dans les transports, l'énergie ou l'alimentation.Sur ces 20 milliards, 7 milliards seront affectés à la rénovation thermique des bâtiments, et en particulier aux écoles et aux Ehpad, selon les priorités affichées mardi par le président de la République Emmanuel Macron, a précisé Matignon.Compétences (environ 20 milliards)La crise risque de priver de leur emploi de nombreux Français, avec des secteurs particulièrement touchés, mais aussi de rendre beaucoup plus difficile l'entrée des jeunes sur le marché du travail. Le gouvernement prévoit donc d'investir environ 20 milliards d'euros pour soutenir les compétences, selon Bercy.Cela intègrera notamment les mesures sur l'apprentissage, ainsi que celles en faveur des jeunes annoncées mardi par Emmanuel Macron: exonérations de cotisations, contrats d'insertion, places supplémentaires dans des formations qualifiantes supérieures, service civique étendu.Solidarité (environ 20 milliards)Des mesures de soutien aux plus défavorisés et au pouvoir d'achat constituent le dernier pilier de la relance, selon le gouvernement. Doté également d'environ 20 milliards d'euros, il regroupe par exemple les futures aides à la dépendance, aux territoires, ainsi que des mesures de stimulation de l'intéressement dans les entreprises.Surtout, il contient les 6 milliards d'euros "de soutien supplémentaire en investissement" dans le système de santé dévoilés mercredi par le chef du gouvernement -- lesquels s'ajoutent aux 8,1 milliards déjà annoncés pour améliorer la rémunération des personnels hospitaliers dans le cadre du "Ségur de la santé".
Il y a 4 ans et 294 jours

L'impression 3D, ressort "majeur" de l'innovation en Europe

"La croissance sur ces dernières années est vraiment impressionnante", affirme à l'AFP Yann Ménière, chef économiste de l'OEB. "Le développement majeur ces dernières années sur cette révolution industrielle, ce n'est pas seulement l'intelligence artificielle ou la 5G, c'est aussi l'impression 3D."De 2015 à 2018, le nombre de demandes de brevet liées à l'impression 3D a progressé de 36% par an en moyenne, un taux dix fois supérieur à la croissance annuelle moyenne du nombre de demandes déposées auprès de l'OEB sur la même période (3,5%).L'étude souligne la position dominante de l'Europe dans ce domaine, les entreprises européennes étant à l'origine de 47% de toutes les inventions déposées dans ce domaine à l'OEB depuis 2010.Parmi les poids lourds du secteur figurent le groupe d'optique franco-italien EssilorLuxottica et l'équipementier aéronautique et motoriste Safran.Également appelée fabrication additive, l'impression 3D permet de produire des objets tridimensionnels grâce à une technologie numérique, en superposant de fines couches de matériau, allant du plastique aux métaux en passant par des cellules vivantes.Les objets ainsi "imprimés" sont des répliques de modèles numériques, permettant d'obtenir des formes complexes et personnalisables par simple modification du modèle numérique."Ce n'est pas forcément la technologie la plus compétitive pour reproduire des millions de fois la même pièce", explique l'économiste de l'OEB. "Mais s'il faut produire des milliers de pièces chacune avec une petite différence, dans ce cas, c'est imbattable".La possibilité de "customiser" les pièces ainsi produites rend la fabrication additive particulièrement pertinente dans le domaine de la santé, où elle permet d'adapter des lunettes, prothèses ou organes à chaque patient.La santé représente le principal secteur d'innovation en la matière, avec 4.018 demandes déposées auprès de l'OEB depuis 2010, devant le secteur de l'énergie ou des transports. Un effort accru durant la crise du coronavirus, qui a selon Yann Ménière agi comme un "formidable révélateur, un démonstrateur du potentiel de cette technologie".De nombreuses petites entreprises se sont emparées de l'impression 3D pour créer des visières de protection ou des respirateurs. Mais cette technologie trouve des applications dans des secteurs toujours plus nombreux, comme l'électronique, la construction ou dans les produits de grande consommation, comme les chaussures.
Il y a 4 ans et 294 jours

Les promoteurs réclament un renforcement du Pinel

RELANCE. La Fédération des promoteurs immobiliers (FPI) a dévoilé ses 15 propositions pour "faire du logement neuf un levier de la reprise". Pour soutenir la demande, elle demande notamment une réduction d'impôts plus importante dans le cadre du dispositif Pinel.
Il y a 4 ans et 294 jours

Schöck assoit son expertise en construction passive avec toujours plus de références labélisées

Ce fervent défenseur de la Qualité de l'Enveloppe multiplie ainsi les références en constructions passives, dont l’isolation renforcée, le traitement des ponts thermiques et l’étanchéité à l’air constituent les impondérables pour prévenir de manière optimale les pertes de chaleur et d’énergie. Garantir en toutes saisons un haut niveau de confort aux habitants, tout en respectant l’environnement par des rejets de GES minimes grâce à la faible consommation d’énergie pour le chauffage et la climatisation (source également d’économie pour les ménages) : tel est le leitmotiv qui motive Schöck à plébisciter les labels passifs.Résidence Solatium à Vandœuvre-lès-Nancy (54) labellisée par la Fédération Française de la Construction Passive : 14 logements locatifs destinés à des personnes âgéesMise en œuvre des rupteurs Schöck Isokorb® KXT (pour les balcons en porte-à-faux) et QXT (pour les loggias sur appuis) Schöck est intervenu sur la réalisation de ce bâtiment regroupant deux programmes sociaux (25 studios pour l’Agence de Réinsertion Sociale - résidence Myosotis - et 14 logements pour séniors via Meurthe et Moselle Habitat - résidence Solatium -) et signé de l’atelier Rolf Matz Architecture, spécialisé dans l’architecture bioclimatique, les bâtiments passifs et l’éco-construction à haute performance énergétique. Comme le souligne Lionel Mahuet, Directeur général de Meurthe-et-Moselle Habitat, Maître d’ouvrage du projet, le choix d’une conception selon le standard européen de bâtiment passif, le label Passivhaus, se nourrit « d’une démarche environnementale très ambitieuse pour préserver les ressources naturelles mais aussi de la nécessité de réduire les charges de nos locataires, de jouer à la baisse sur leur facture énergétique et à la hausse sur leur pouvoir d’achat.»La particularité de cette réalisation s’avère avoir été modélisée au préalable en 3 D, présentant l’avantage selon l’architecte-ingénieur Rolf Matz de « mieux appréhender l’interaction des différents corps d’état et ainsi d’optimiser certains postes, comme l’a été celui des fluides par exemple ». A l’issue de cette étude 3D : un CCTP des plus détaillés qui a permis aux entreprises d’y répondre avec exactitude, pour atteindre la performance passive optimale visée. Si le projet prévoyait initialement balcons et coursives en structure métallique, Schöck, jouant son rôle de conseil, a préconisé l’usage du béton, finalement retenu. C’est ainsi qu’au niveau des liaisons mur-dalle loggia (20 au total), Schöck a mis en œuvre ses rupteurs structurels modèle Schöck Isokorb® QXT. Ils assurent la continuité de l’isolation du bâtiment là où celle-ci serait interrompue par une liaison structurelle entre la dalle intérieure et la dalle de loggia, tout en reprenant l’effort tranchant. Par ailleurs, 28 ml de balcons en porte-à-faux ont été traités avec des rupteurs Schöck Isokorb® KXT. Notons que, pour ces deux modèles de rupteurs, la gamme "XT" a été sélectionnée, disposant d’une épaisseur du corps isolant de 120 mm au lieu des 80 mm traditionnels : une référence déjà certifiée par le Passivhaus Institut en Allemagne. Ainsi, la pose de rupteurs, associée aux performances des menuiseries en pvc triple vitrage passives certifiées (avec occultation par brises soleil orientables) et d’une VMC double flux, induit un besoin de chauffage annuel de 7.47 kWh/m² (très inférieur donc à 15 kWh/m2 par an, premier critère pour obtenir le label Passivhaus). Le test d’étanchéité à l’air se révèle également exceptionnel avec pour le standard passif : 0.60 vol/h, soit 0.15 vol/h pour le bâtiment Solatium et 0,14 vol/h pour Myosotis. Caractéristiques techniques de la résidence Solatium, couplée à la résidence Myosotis Sources : Rolf Matz Architecture Surface de plancher : 1 900 m² Mode constructif : mur maçonné structure béton TTest d’étanchéité à l’air : 0.14 vol/h Consommation énergie de chauffage (selon PHPP) : 7.47 kWh/m²/an Bâtiments Certifiés passifs par la Fédération Française de la Construction Passive en janvier 2018Logements labellisés par Propassif à Colmar (68) : 48 en réhabilitation et 30 en construction, rue du Luxembourg, quartier de l’Europe Mise en œuvre des rupteurs Schöck Isokorb® KST (jonction acier-acier) et Schöck Isokorb® QS (liaison béton-acier) Les logements de la rue du Luxembourg à Colmar incarnent l’exemple parfait de la polyvalence des rupteurs Schöck, aussi efficaces en neuf qu’en rénovation, pour un traitement optimal des ponts thermiques en isolation thermique par l’extérieur. A l’origine, un bâtiment typique des années 60 se distinguant surtout par sa vétusté : « C‘était avant que le PHCCA et l’Agence d’architecture DeA architectes Mulhouse ne se décident pour une forme originale de rénovation-construction : la barre est scindée, une partie détruite pour laisser l’ensemble respirer, et le tout repensé entièrement pour laisser la place à l’un des plus grands ensemble Passivhaus en France » explique Propassif. Ainsi, dans la partie rénovée comme dans la partie neuve, plus de 180 rupteurs Schöck Isokorb® type KST, KST-ZST et KST-QST (reprenant, selon leurs dispositions, les efforts de traction, les efforts de compression et les efforts tranchants) ont été positionnés au niveau des balcons, en jonction entre la structure métallique porteuse et la dalle en béton. En effet, cette gamme de rupteurs Schöck, constitués d’éléments en acier inoxydable traversant un corps isolant en néopor, interrompt le flux de chaleur dans l’élément métallique : les supports, habituellement d’un seul tenant, sont désolidarisés et le rupteur mis en place dans l’espace intermédiaire assure la reprise des efforts structurels et la continuité de l’isolation thermique. Solution économique particulièrement facile à mettre en œuvre par simple liaison vissée, Schöck Isokorb® KST présente l’avantage d’éviter les pertes d’énergie et de chaleur tout en limitant également les risques liés à l’humidité et la condensation, à savoir l’apparition de moisissures. Le caractère “invisible” des rupteurs une fois posés (se substituant aux poteaux porteurs) séduit aussi par l’esthétique qu’il offre : des façades parfaitement isolées thermiquement qui demeurent élégantes ! Cet allègement visuel se double aussi d’une réduction des coûts globaux d’exploitation. Par ailleurs, une soixantaine de rupteurs Schöck Rutherma® Q a été utilisée pour les liaisons béton-béton dans certaines zones du bâtiment. Caractéristiques techniques du bâtiment rénové Sources : Propassif Superficie : 2 244 m² Mur extérieur : Béton 2100 W / (mK) 180 mm - Fibre de bois 0,040 W / (mK) 240 mm - Enduit 0,325 W / (mK) 10 mm // Valeur U = 0,179 W / (m² K) Test d’étanchéité à l’air : 0.34 vol/h Consommation énergie de chauffage (selon PHPP) : 11 kWh/m²/anCaractéristiques techniques du bâtiment neuf Sources : Propassif Superficie : 3 552 m² Mur extérieur : Béton 2100 W / (mK) 180 mm - Fibre de bois 0,040 W / (mK) 240 mm // Valeur U = 0,18 W / (m² K) Test d’étanchéité à l’air : 0.54 vol/h Consommation énergie de chauffage (selon PHPP) : 13 kWh/m²/an Ilot résidentiel labellisé par Propassif France à Thionville (57) : 18 logements en R+4 Mise en œuvre des rupteurs Schöck Isokorb® KST (jonction acier-acier) Autre référence labellisée par Propassif : l’ilot résidentiel de 18 logements à Thionville, conçu par ASP Architecture, agence reconnue pour son expertise en architecture à forte valeur ajoutée environnementale, avec pour maître d’ouvrage Batigère, acteur majeur du logement social dans la région Grand-Est.Là aussi, en vue d’éviter les déperditions thermiques, traiter les points de rosée et se conformer aux critères du label passif, l’ancrage de la structure métallique des balcons sur mur béton s’est opéré par l’intermédiaire des rupteurs Schöck Isokorb® KST. Ces derniers ont été fixés par des sabots métalliques : une simplicité et une rapidité de mise en œuvre très appréciées sur les chantiers. Concluons en valorisant le fait que pour toutes ces réalisations passives, l’enveloppe du bâtiment se doit d’être homogène, continue et sans ponts thermiques (induisant une désolidarisation des parties saillantes des bâtiments telles les loggias, balcons et acrotères). Schöck allie performance de ses solutions et excellence de ses services. Il propose ainsi non seulement des rupteurs possédant l’agrément de l’Institut Passivhaus, mais accompagne également les projets de leur conception à leur livraison pour garantir en toute confiance leur certification passive.
Il y a 4 ans et 294 jours

Les huit Génies de la construction sont…

Le palmarès de la 16e édition Les Génies de la Construction ! a été dévoilé. Ce concours permet de refléter la richesse et la diversité des métiers du bâtiment et des travaux publics mais aussi les grands enjeux que sont la transition numérique, technologique et environnementale.
Il y a 4 ans et 294 jours

Belenos, bientôt un géant du solaire tricolore ?

Deux ETI familiales spécialisées dans la production de panneaux photovoltaïques s’associent et créent Belenos afin de devenir un leader français du photovoltaïque avec une capacité de production d'électricité de 1GW par an.
Il y a 4 ans et 294 jours

Tekla BIM Awards France 2020 : Le vote du public est ouvert !

Le vote du public aux Tekla BIM Awards 2020 est ouvert. [©Trimble]Affiche de Tekla BIM Awards France 2020. Tous les deux ans, Trimble organise les Tekla BIM Awards France. Ces derniers récompensent les projets modélisés avec le logiciel Tekla Structures. L’édition 2020 propose 47 modèles de construction tous différents, qui rivalisent de complexité et d’originalité. Les projets présentés témoignent de la valeur et des avantages de la maquette numérique. Qui est au cœur du processus de construction, de la conception jusqu’à la réalisation sur chantier. Le vote du public est donc ouvert. Par ailleurs, une catégorie “Projets Etudiants” est aussi au programme. Elle valorise ainsi les établissements d’enseignement, qui permettent aux jeune de suivre une formation BIM. « Ce concours nous permet d’exprimer notre reconnaissance envers les utilisateurs Tekla Structures et de partager leurs réussites », peut-on lire dans un communiqué de presse. Voter ici
Il y a 4 ans et 294 jours

Accords et désaccords sur Notre-Dame de Paris

La flècheSymbole parmi les symboles, parce que sa chute fut l'image marquante de la soirée du 15 avril 2019, le devenir de la flèche de Notre-Dame a électrisé le débat pendant de longs mois. Au final, elle retrouvera la même forme, basée sur les plans de l'architecte Viollet-le-Duc."Cette flèche était complètement constitutive du paysage parisien, tous les spécialistes vous le disent et reconnaissent que c'est un chef d'oeuvre absolu", a argué le général Jean-Louis Georgelin, chargé de piloter la reconstruction de l'édifice, vendredi sur LCI, au lendemain de l'annonce du président Macron qu'il se ralliait à une reconstruction à l'identique.Certains comme l'architecte Jean-Michel Wilmotte ont toutefois déploré une occasion manquée de concevoir une flèche moderne, avec "un système d'éclairage exceptionnel", par exemple.La charpenteSurnommée "la forêt", la charpente de Notre-Dame, joyau de l'architecture médiévale qui a été dévorée par les flammes, sera finalement reconstruite en chêne et non en béton, comme la cathédrale de Reims, ou en métal comme le Parlement de Bretagne, deux options un temps avancées.Ce choix a fait débat au sein de la commission du patrimoine et d'architecture (CNPA) qui s'est réunie jeudi et a fini par choisir cette option, dans son avis suivi par le président Macron.Plusieurs questions ont été abordées: est-il judicieux de reconstruire la charpente en chêne, après un incendie qui a failli détruire totalement la cathédrale? Quelles mesures vont être prises pour éviter un nouveau drame ?Les défenseurs du bois, depuis le début, ont toujours fait valoir qu'une charpente à l'identique permettrait d'aller plus vite et de tenir les délais imposés par le président."Pour la charpente en chêne, nous avons demandé que le dessin soit étudié et précisé dans la future étude de diagnostic", a affirmé à l'AFP le sénateur Jean-Pierre Leleux à la tête de cette commission. Le résultat ne sera pas entièrement "à l'identique", a-t-il précisé: "on peut imaginer quelques changements avec des dispositifs incendie plus fiables".La couvertureQui dit reconstruction "dans le respect des matériaux d'origine", comme souhaitée par la CNPA, dit plomb pour la toiture de la cathédrale, ou "la couverture", constituée de 1.326 tables de 5 mm d'épaisseur pesant au total plus de 200 tonnes."Je m'attends à des combats assez difficiles" sur ce point, a admis le général Georgelin, alors que les risques de contamination liés aux particules de plomb qui s'étaient répandues dans l'atmosphère et au sol, après l'incendie du 15 avril, ont empoisonné le début des travaux, nécessitant des suspensions puis la mise en place de protocoles très stricts pour que les ouvriers reprennent le travail.Le calendrierDepuis l'incendie de la cathédrale, l'objectif du président Macron est le même: la rebâtir en cinq ans. "Nous rendrons la cathédrale au culte en 2024", a assuré le général Georgelin, mais "ça ne veut pas dire que tout sera terminé, peut-être que la flèche ne sera pas terminée".Après de multiples aléas, du plomb à la crise du coronavirus, le délicat démontage de l'échafaudage qui entoure Notre-Dame, déformé et soudé par la chaleur de l'incendie, devrait être achevé "au plus tard fin septembre". Il conditionne le démarrage des travaux de restauration à proprement parler. Une étude de diagnostic sera lancée dans les semaines qui viennent, pour "définir le programme précis de travaux permettant la réouverture au culte et à la visite", prévue en avril 2024. Rendu des travaux attendu cet automne.
Il y a 4 ans et 294 jours

Deux nouveaux membres au bureau du SNBPE

Le Syndicat national du béton prêt à l’emploi (SNBPE) vient de désigner deux nouveaux membres pour intégrer son bureau. Avec la nomination d’Ann Soucaret (Garandeau) et de Bruno Huvelin (Colas). Ann Soucaret rejoint le bureau du SNBPE. [©SNBPE] Diplômée de l’Ecole supérieure d’électricité (Supelec) et de l’Ecole spéciale de mécanique et d’électricité (ESME-Sudria), Ann Soucaret est responsable de toute l’activité BPE du groupe Garandeau. Elle entend mettre à profit sa désignation au bureau du SNBPE pour échanger avec ses confrères. Et ainsi participer à la promotion de la filière béton. « Je suis attentive aux sujets de sécurité, mais aussi à la recherche et au développement des produits », précise Ann Soucaret. Avant de rejoindre le groupe Garandeau, elle a passé 4 années (1997 à 2001), chez TAG Electronics Systems Ltd, à Woking, au Royaume-Uni, comme ingénieure. En 2003, Ann Soucaret devient responsable de l’activité BPE du groupe. Bruno Huvelin intègre le bureau du SNBPE. [©SNBPE] Quant à Bruno Huvelin, il est diplômé de l’Insa Rennes en 1990. Il a démarré sa carrière dans le domaine des travaux publics, au sein de la Société chimique et routière d’entreprise générale (Screg) comme ingénieur travaux. Puis, comme chargé de l’assistance technique des régions au laboratoire central du groupe. En 1998, il rejoint Cemex, puis en 2019, Colas. Depuis avril 2020, Bruno Huvelin est le directeur matériaux Colas, pour la France. « Je suis très enthousiaste à l’idée de participer aux réflexions sur les enjeux clefs du secteur », indique l’intéressé. 
Il y a 4 ans et 294 jours

Le spécialiste des entrepôts Argan confirme sa résistance face à la crise sanitaire

"Malgré les incertitudes qui persistent notamment quant aux conséquences économiques de cette crise, nous estimons être en bonne position pour y faire face et maintenons notre objectif de 140 millions d'euros de revenus locatifs pour l'exercice 2020", a déclaré Jean-Claude Le Lan, président d'Argan, dans un communiqué.Le groupe, l'un de seuls spécialistes des entrepôts dans le monde immobilier français, a détaillé l'ensemble de ses résultats semestriels, alors qu'il avait déjà fait état début juillet d'une forte augmentation de ses revenus sur la même période. A cette occasion, il s'était déjà dit en mesure de remplir ses objectifs.Son bénéfice net a, certes, chuté de plus de deux tiers (-68%) par rapport à l'année précédente, à 49,6 millions d'euros, mais cet indicateur n'est guère parlant pour une foncière, car il dépend des fluctuations de valeurs de ses actifs.Plus représentatif des performances, le bénéfice récurrent semestriel a bondi de 59% à 50,6 millions d'euros.Cette forte hausse est en partie due à une énorme acquisition l'an dernier, celle de plusieurs entrepôts détenu par le géant de la distribution Carrefour. Mais elle est aussi alimentée par les sites construits par le groupe lui-même.
Il y a 4 ans et 294 jours

Au deuxième trimestre 2020, l'activité des artisans chute de 24 %

La note trimestrielle de conjoncture de la Capeb, présentée par le nouveau président Jean-Christophe Repon, laisse entrevoir une situation incertaine pour l'artisanat en 2020.
Il y a 4 ans et 294 jours

« Nous lançons la première édition du concours Jeunes AFGC 2021 »

Gaël Le Bloa est président de la commission Jeunes de l’AFGC. [©AFGC] Comment vous est venue l’idée de faire un concours Jeunes au sein de l’AFGC ? Gaël Le Bloa : Déjà, les jeunes de moins de 35 ans sont les acteurs du génie civil de demain. Il était donc important pour l’AFGC de valoriser et d’accompagner leurs projets. Dès mars 2018, un groupe “Jeunes” a été initié. Formalisé en mars 2020 lors de l’assemblée générale de l’association. Et consolidé par la création d’une commission Jeunes, qui est entrée dans les statuts de l’AFGC. Ensuite, il était naturel de se projeter et de créer un concours. Nous souhaitons encourager aussi les vocations ! Le recrutement de forces vives dans le génie civil est estimé à plus de 200 000 personnes pour les 5 années à venir… C’est dire ! Comment se présente le concours ? Nous ciblons un public très large pour cette première édition. Qu’il soit étudiant en fin de cycle d’école supérieure ou encore jeune salarié dans l’ingénierie, du chantier ou de la recherche. Et bien sûr, être un jeune de moins de 35 ans ! Adhérents ou non de l’AFGC, chercheurs du secteur public ou privé. Ou encore jeunes salariés du milieu professionnel ou de l’administration. L’idée est de valoriser un sujet sur lequel le jeune aurait travaillé. Cela peut concerner, par exemple, une amélioration de méthode ou d’organisation sur un chantier. Une modélisation particulière en études, un projet de recherche…  Comment allez-vous sélectionner les dossiers ? Nous allons d’abord cibler les candidats, faire une pré-sélection. Depuis juin et jusqu’à octobre, ils peuvent envoyer un dossier de candidature, avec lettre de motivation, CV et résumé de leurs projets. Mi-octobre, la commission Jeunes se rassemblera pour établir la recevabilité des projets. Les candidats pré-sélectionnés pourront ensuite présenter sous la forme d’un article de 5 à 10 pages, d’une vidéo ou d’un poster leurs travaux. En mars 2021, il y aura la présentation orale, à Paris des candidats retenus par le jury. Ce dernier étant composé d’une dizaine de personnalités du domaine du génie civil : professionnels, scientifiques, enseignants… Les prix seront remis lors de la conférence génie civil 2021, organisée tous les deux ans par l’AFGC. Propos recueillis par Muriel Carbonnet Règlement disponible sur www.afgc.asso.fr
Il y a 4 ans et 294 jours

Eric Routier, à la présidence du CCCA-BTP

Eric Routier est le nouveau président du CCCA-BTP. [©CCCA-BTP] Eric Routier, 62 ans, a été élu à la présidence du Comité de concertation et de coordination de l’apprentissage du bâtiment et des travaux publics (CCCA-BTP). Il succède à Jean-Christophe Repon [lien nomination Capeb], qui était à la tête de l’association à gouvernance paritaire depuis 2016. Compagnon professionnel, Eric Routier a consacré sa carrière professionnelle au secteur du bâtiment et des travaux publics. Après une formation en menuiserie et le passage dans plusieurs entreprises de la filière, depuis 1984, il travaille au sein de la société Kaefer Wanner. Cette dernière est une spécialiste de l’isolation thermique, du montage d’échafaudages, du désamiantage et de la peinture en milieu industriel. « Dans un environnement de l’apprentissage en profonde mutation […], il est plus que jamais essentiel de former des jeunes à nos métiers du BTP par la voie de l’apprentissage. Et d’assurer la montée en compétences des salariés du secteur par la formation continue. C’est le cœur de la mission du CCCA-BTP que j’ai désormais l’honneur de présider. C’est aussi tout le sens de notre engagement et de notre action. A savoir, anticiper et répondre aux besoins en compétences des entreprises, les accompagner dans le recrutement de jeunes. Et assurer la réussite du parcours de formation et l’insertion professionnelle des apprentis. »
Il y a 4 ans et 294 jours

Construire autrement à l’heure du défi climatique

Le maître d’ouvrage franco-suisse Vidal Benchimol s’interroge sur le rôle du secteur de la construction et de l’aménagement dans... Cet article Construire autrement à l’heure du défi climatique est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 294 jours

ISH 2021 : Grohe renonce

La marque annonce qu'elle ne participera pas à la prochaine édition du rendez-vous de Francfort.
Il y a 4 ans et 294 jours

La gamme Monolith allie froid grande capacité et design

Imaginée en 2018 pour le marché américain, Monolith s’ouvre au marché français. Cette gamme de réfrigérateurs signée... Cet article La gamme Monolith allie froid grande capacité et design est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 294 jours

Plan de relance : 20 milliards d'euros pour la rénovation thermique et les technologies vertes

Le plan de relance économique consacrera 40 milliards d'euros à la reconstruction de l'industrie et 20 milliards d'euros à la rénovation thermique des bâtiments et aux technologies vertes.
Il y a 4 ans et 295 jours

Le gouvernement condamné à réduire la pollution de l'air, sous astreinte de 10 millions d'euros par semestre de retard

Le 12 juillet 2017[1], le Conseil d'État a enjoint au Gouvernement d'élaborer et de mettre en œuvre des plans relatifs à la qualité de l'air permettant de ramener – dans 13 zones du territoire et dans le délai le plus court possible – les concentrations de dioxyde d'azote (NO2) et de particules fines (PM10) en dessous des valeurs limites fixées par la directive européenne du 21 mai 2008 transposée dans le code de l'environnement.Plusieurs associations de défense de l'environnement ont demandé au Conseil d'État de constater que le Gouvernement n'avait pas mis en œuvre les mesures nécessaires et de prononcer, en conséquence, une astreinte pour le contraindre à exécuter cette décision.Dans 8 zones en France, les mesures prises par l'État sont insuffisantesLe Conseil d'État, réuni en Assemblée du contentieux (sa formation la plus solennelle), constate d'abord que les valeurs limites de pollution restent dépassées dans 9 zones[2] en 2019 (dernière année pour laquelle le Gouvernement a fourni au Conseil d'État des chiffres complets) : Vallée de l'Arve, Grenoble, Lyon, Marseille-Aix, Reims, Strasbourg et Toulouse pour le dioxyde d'azote, Fort-de-France pour les particules fines, et Paris pour le dioxyde d'azote et les particules fines.Le Conseil d'État relève que le plan élaboré en 2019 pour la vallée de l'Arve (Haute-Savoie) comporte des mesures précises, détaillées et crédibles pour réduire la pollution de l'air et assure un respect des valeurs limites d'ici 2022. En revanche, les « feuilles de route » élaborées par le Gouvernement pour les autres zones ne comportent ni estimation de l'amélioration de la qualité de l'air attendue, ni précision sur les délais de réalisation de ces objectifs. Enfin, s'agissant de l'Ile-de-France, le Conseil d'État relève que si le plan élaboré en 2018 comporte un ensemble de mesures crédibles, la date de 2025 qu'il retient pour assurer le respect des valeurs limites est, eu égard aux justifications apportées par le Gouvernement, trop éloignée dans le temps pour pouvoir être regardée comme assurant une correcte exécution de la décision de 2017.Le Conseil d'État en déduit que, hormis pour la vallée de l'Arve, l'État n'a pas pris des mesures suffisantes dans les 8 zones encore en dépassement pour que sa décision de juillet 2017 puisse être regardée comme pleinement exécutée.En conséquence, la plus haute juridiction administrative décide d'infliger à l'État une astreinte de 10 M€ par semestre tant qu'il n'aura pas pris les mesures qui lui ont été ordonnéesAfin d'assurer sur l'État une contrainte suffisante, le Conseil d'État décide de lui infliger une astreinte si celui-ci ne justifie pas avoir pris d'ici six mois les mesures demandées.Le Conseil d'État fixe cette astreinte à 10 millions d'euros par semestre, soit plus de 54.000 euros par jour, compte tenu du délai écoulé depuis sa première décision, de l'importance du respect du droit de l'Union européenne, de la gravité des conséquences en matière de santé publique et de l'urgence particulière qui en résulte.Il juge pour la première fois que, si l'État ne prenait pas les mesures nécessaires dans le délai imparti, cette somme pourrait être versée non seulement aux associations requérantes mais aussi à des personnes publiques disposant d'une autonomie suffisante à l'égard de l'État et dont les missions sont en rapport avec la qualité de l'air ou à des personnes privées à but non lucratif menant des actions d'intérêt général dans ce domaine.Il précise enfin que ce montant, le plus élevé jamais retenu par une juridiction administrative française à l'encontre de l'État, pourra être révisé par la suite, y compris à la hausse, si la décision de 2017 n'a toujours pas été pleinement exécutée.[1] Décision n° 394254 (communiqué de presse)[2] Zones administratives de surveillance (ZAS)
Il y a 4 ans et 295 jours

EPR de Flamanville : EDF doit séparer maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'oeuvre

NUCLÉAIRE. Dans un rapport consacré à la filière des réacteurs européens à eau pressurisée (EPR), la Cour des comptes épingle les "dérives de coûts et de délais considérables" du projet de Flamanville, dans la Manche. Et recommande à EDF, Framatome et aux pouvoirs publics de revoir la conduite des chantiers et de mieux préparer les futures décisions en la matière.
Il y a 4 ans et 295 jours

Travail en hauteur : Frénéhard et Michaux se développe

Le groupe industriel Frénéhard et Michaux, spécialiste de la quincaillerie de couverture et de l'accès et de la sécurité du travail en hauteur, a annoncé ce 7 juillet 2020, l'acquisition d'une participation majoritaire dans la société Gamesystem. Que représente le groupe aujourd'hui ?
Il y a 4 ans et 295 jours

Eurex 20 LW de Doka, le poids plume des étais

Eurex 20 LW pèse 20 % de moins qu’un étai standard en acier courant L’étai Eurex 20 LW de Doka mise sur des technologies de matériaux innovantes afin de répondre aux attentes des clients en termes de légèreté et d’ergonomie. L’utilisation d’aciers haute résistance permet de réduire le poids de ces étais de 20 % par rapport aux étais traditionnels de classe B/D selon la norme EN 1065. Une belle longévité du produit et sa résistance sont assurées grâce à une haute qualité de fabrication. La fiabilité est aussi garantie par des contrôles qualité complets ainsi que par une force portante certifiée par un organisme externe. La sécurité anti-écrasement et anti-déboîtement garantit une sécurité maximale pendant l’utilisation. Quant à la géométrie spéciale du filetage, elle permet un dévissage de l’écrou sans effort, et la numérotation gravée des trous de réglage facilite un réglage en hauteur rapide. L’Eurex 20 LW de Doka est disponible dès à présent en 2 tailles : – Eurex 20 LW 300 : longueur 173/300 cm, 11,3 Kg – Eurex 20 LW 350 : longueur 198/350 cm, 13,8 Kg
Il y a 4 ans et 295 jours

Benoît-Henri Koch nommé au comité stratégique de Cem’In’Eu

Benoît-Henri Koch va être nommé membre indépendant du comité stratégique de Cem’In’Eu. [©Cem’In’Eu] Lors de l’assemblée générale du 15 juillet prochain, Benoît-Henri Koch va être nommé membre indépendant du comité stratégique de Cem’In’Eu. Il succèdera à Richard Antony Hadley. La société « est ravie d’accueillir Benoît-Henri Koch au sein de son comité stratégique. Et de pouvoir bénéficier de son expérience de plus de 35 ans au cœur de l’industrie cimentière », peut-on lire dans un communiqué de presse. « Connaissant Vincent Lefebvre , le PDg et co-fondateur de Cem’In’Eu, depuis de nombreuses années, il m’offre la possibilité de participer au développement d’un nouveau “Business Model” cimentier, tant du point de vue de la production que du point de vue de l’approche proximité client. Passionnant ! », indique Benoît-Henri Koch. Ingénieur diplômé de l’Ecole polytechnique fédérale de Zürich, Benoît-Henri Koch a été membre du comité exécutif du groupe Holcim de 1991 à 2012. Il y a occupé de nombreuses fonctions stratégiques internationales. De 2013 à 2014, il a assisté Advent International dans leur offre de rachats d’actifs cimentiers. Puis, le groupe cimentier irlandais CRH jusqu’en 2017 pour l’intégration de nouveaux actifs ciments. « Nous sommes heureux de pouvoir compter sur l’homme d’expérience qu’est Benoît-Henri Koch pour les enjeux stratégiques présents et à venir de Cem’In’Eu », indique Vincent Lefebvre, son président.
Il y a 4 ans et 295 jours

Nos idées pour peindre votre intérieur

Quitte à laisser les murs sans tableaux et nus, autant les peindre comme il se doit. Il en va de l’esthétisme et du confort de chaque pièce de la maison. Vous devez bien évidemment engager des professionnels pour la réalisation des travaux afin d’en garantir la finition et la réussite. Ces derniers pourront également vous conseiller sur les idées de peintures à faire dans votre intérieur. Un mur de fond d’une couleur plus prononcée Afin de faire paraître votre pièce plus grande et apporter de la gaité à votre aménagement, il est conseillé de contraster les couleurs dans votre pièce principale. Pour ce faire, il faudra opter pour une couleur plus foncée et plus prononcée sur le mur du fond. La tendance vintage est toujours de rigueur. Vous avez donc plus de choix en matière de couleur pour repeindre esthétiquement votre salon ou votre pièce à vivre. Si vous êtes en quête d’originalité, vous pouvez utiliser entre autres le jaune, l’orange, le bleu ou le rose. Mais si vous recherchez un style plus classique et plus intemporel, on vous conseille le bleu canard, le gris métallisé, le vert foncé, etc. Le total look blanc : une bonne ou une mauvaise idée ? Si auparavant, le total look blanc était à bannir, ce n’est plus le cas de nos jours. Les magazines de décoration et les experts conseillent même ce style pour apporter un peu plus de lumière à votre aménagement. Mais attention, si vous vous laissez souvent aller en termes de nettoyage, c’est un style de décoration qui peut être déconseillé. Pour un total look blanc, il faudra une peinture de qualité, avec une finition brillante et une peinture à l’huile de préférence. La pose peut prendre du temps et nécessité un maximum de minutie. Il est toujours de mise de confier le chantier à des professionnels. En tous les cas, afin de donner un peu plus de convivialité à la pièce, il est possible de compenser la peinture très blanche avec des mobiliers d’une couleur plus douce. Le blanc se marie avec tout. Créer des motifs sur vos murs pour structurer Pour structurer votre intérieur, pourquoi pas des motifs sur le mur ? On ne parle pas de papier peint, mais de dessins géométriques simplement faits avec des peintures pour un rendu esthétique et naturel. Vous aurez besoin pour ce faire de plusieurs produits de différentes couleurs et de quelques bandes adhésives. Les artisans peintres peuvent vous proposer différentes formes : rectangles, triangles, ou bien d’autres. La peinture et les motifs peuvent s’étaler sur un seul mur ou sur plusieurs. Tout dépend de vos envies et de votre budget disponible. Le plus dur dans cette technique de peinture est de savoir marier les couleurs. Ce qui nécessite notamment l’œil d’un expert. En outre, pour avoir des formes bien précises et des traits nets sur les murs, il est important d’avoir le coup de main. Une bande pour séparer les différentes pièces Vous avez un appartement qui s’étale sur la longueur ou qui propose un seule grande pièce à vivre ? La peinture peut vous aider à créer des séparations sans pour autant mettre en péril la fonctionnalité et le confort de celle-ci. Une tendance actuellement serait aussi de créer une simple bande, qui traverse la pièce de part en part, du sol au plafond en passant par le mur. Il faudra pour ce faire utiliser une couleur de peinture qui dénote profondément avec le reste de la couleur de la pièce. Tendance, simple, originale et pratique : cette technique de peinture a de plus en plus le vent en poupe de nos jours. Elle s’invite d’ailleurs aussi bien dans les petits appartements que dans les résidences de luxe. En plus de ne coûter pas cher, elle vous permet de ne pas surcharger la pièce de meuble et de mettre en valeur, par la même occasion, votre hauteur sous plafond. Peindre aussi le plafond : une nouvelle tendance Atelier peintures et matières vous proposent aussi une nouvelle tendance en matière de travaux de peinture intérieure : donner des couleurs à votre plafond. Très prisée dans les résidences et appartements de luxe, cette technique a l’avantage d’apporter de l’originalité à votre aménagement. Vous avez l’embarras du choix en ce qui concerne la couleur à adopter : le gris, le jaune, le rose, le bleu, ou même le noir, etc. Mettre en valeur les poutres Aménagement sous comble ou simplement résidence avec poutre apparente ? Mettez en valeur les bois de votre maison pour donner de la structure et de la modernité à votre pièce. Il n’y a rien de tel que les travaux de peintures pour ce faire. Il est possible notamment de simplement accentuer la couleur naturelle marron du bois. Mais vous pouvez aussi opter pour des peintures pour bois plus prononcées comme le blanc, le rouge, etc.
Il y a 4 ans et 295 jours

Relance : 4 à 5 milliards d'euros seront consacrés au bâtiment

ANNONCE. Le Premier ministre a indiqué, le 15 juillet devant les députés, vouloir "mobiliser plus de 20 milliards d'euros" pour la transition écologique. La ministre déléguée au logement Emmanuelle Wargon a évoqué, quelques jours plus tôt dans les médias, quatre à cinq milliards pour le bâtiment et la rénovation énergétique.
Il y a 4 ans et 295 jours

L'Anah annonce une baisse immédiate des aides sur l'ITE pour stopper au plus vite les nombreuses fraudes

60.000 dossiers déposés et 100M€ de budget supplémentaireLancée en janvier 2020 pour financer les travaux de rénovation énergétique dans les logements, la nouvelle aide de l'État MaPrimeRénov' rencontre un véritable succès. Malgré le ralentissement induit par la crise sanitaire, plus de 60.000 dossiers ont été déposés depuis janvier auprès de l’Agence nationale pour l’amélioration de l’habitat (Anah), qui en a d’ores et déjà instruit plus de 45 000 depuis début avril. Les demandes d’aide concernent majoritairement des ménages très modestes qui souhaitent le plus souvent changer des équipements de chauffage (installation de pompes à chaleur ou de chauffage au bois notamment) ou isoler leur maison, et ainsi gagner en confort tout en réduisant leurs factures d’énergie.Afin d’accompagner cette forte dynamique de demandes, et avec le souci d’accélérer dans le même temps la reprise de l’activité du secteur du bâtiment, le Gouvernement a soutenu un amendement au projet de loi de finances rectificatif, adopté le 2 juillet dernier, augmentant de 100 M€ le budget alloué à MaPrimeRénov' pour l’année 2020. Cela permettra de soutenir environ 20.000 ménages modestes et très modestes supplémentaires dans leur démarche de travaux.Évolution des forfaits concernant les travaux d’isolation par l’extérieurParallèlement, concernant spécifiquement les devis et travaux d’isolation thermique par l'extérieur, l’Anah a observé une recrudescence de pratiques commerciales agressives et frauduleuses, ainsi qu’un début de dérive inflationniste (hausse injustifiée des devis). Aussi, pour stopper ce phénomène au plus vite et protéger les ménages, des contrôles exceptionnels ont été déclenchés.Il a également été décidé de procéder dès le 15 juillet à un ajustement des forfaits d’aide MaPrimeRénov' pour les travaux d’isolation thermique par l’extérieur. Ces forfaits seront portés à 60€/m² (resp. 75€/m²) pour les ménages modestes (resp. pour les ménages très modestes). De plus, la surface de murs isolés éligible à l’aide sera limitée à 100m², afin d’éviter les surfacturations. Les autres forfaits de MaPrimeRenov’ restent inchangés pour préserver la dynamique de travaux.Ce nouveau barème entrera en vigueur au 15 juillet. Les dossiers déposés avant cette date ne seront par conséquent pas concernés par ce changement. Compte-tenu des ajustements nécessaires des systèmes d’information, les nouveaux dossiers de demande de prime pour l'isolation thermique par l’extérieur pourront être déposés puis instruits à compter du 1er septembre prochain sur la plateforme MaPrimeRénov' (maprimerenov.gouv.fr). Dans cet intervalle (entre le 15 juillet et le 1er septembre), à titre dérogatoire, les ménages concernés par ce type de travaux pourront débuter leurs travaux avant le dépôt formel du dossier.Enfin, afin d’améliorer dès les prochains mois les pratiques commerciales et la qualité des travaux, une concertation spécifique sera conduite sur le sujet de l’isolation thermique par l'extérieur avec les acteurs de la filière.
Il y a 4 ans et 295 jours

Le gouvernement prévoit d'affecter entre 4 et 5 milliards d'euros pour la relance du bâtiment

"On sera autour de 4 à 5 milliards rien que pour le bâtiment et la rénovation", a indiqué Mme Wargon au micro d'Europe1/Les Echos/Cnews, soulignant que des discussions sur ces enveloppes étaient en cours "avec Bercy". Elle a rappelé que le secteur représentait "10% du produit intérieur brut français"."Il n'y a pas de contradiction entre l'écologie et l'économie", a souligné Mme Wargon, précisant que beaucoup d'investissements seraient consacrés aux bâtiments publics tels que "des universités, des écoles, des hôpitaux" mais aussi "du soutien aux ménages", dont les modalités restent à définir."Quand on rénove massivement les bâtiments publics (...), quand on aide les particuliers à faire des travaux chez eux, on soutient un secteur économique et on avance vers une économie plus verte", a-t-elle ajouté.Le président Emmanuel Macron a annoncé fin juin que 15 milliards d'euros supplémentaires sur deux ans seraient injectés pour la conversion écologique dans le plan de relance qu'il doit présenter le 14 juillet.Le plan de relance post-Covid doit être ciblé sur la transformation écologique et la préservation des emplois, a demandé jeudi le Conseil économique, social et environnemental (CESE) dans son rapport annuel.
Il y a 4 ans et 295 jours

Macron annonce un dispositif exceptionnel d'exonération de charges pour l’emploi des jeunes

Ce dispositif, destiné à faire de la jeunesse "la priorité de cette relance", est "exceptionnel parce qu'il durera un à deux ans, on va l'évaluer", a précisé le chef de l'État lors d'un entretien télévisé à l'occasion du 14 juillet.Pour aider les jeunes à s'insérer sur le marché de l'emploi après le choc de la crise sanitaire, M. Macron a également annoncé la création de 300.000 contrats d'insertion, pour ceux "qui n'ont pas réussi à trouver l'entreprise qui leur signe leur contrat d'apprentissage ou leur alternance", et de 100.000 places supplémentaires en service civique dans les six mois à venir. Il en existe 140.000 aujourd'hui.Enfin, le chef de l'État a évoqué l'ouverture de "200.000 places dans des formations qualifiantes supérieures, pour permettre aux jeunes de poursuivre un peu leurs études avec un accompagnement social".M. Macron a par ailleurs fustigé le comportement "irresponsable" de certaines grandes entreprises qui "préfèrent prendre des stagiaires et de la précarité" plutôt que d'embaucher des jeunes en "contrat pro" ou en alternance.Les détails de ces annonces doivent être précisés dans les jours à venir, a indiqué à l'AFP l'entourage de la nouvelle ministre du Travail, Élisabeth Borne. Ils pourront commencer à être évoqués lors d'une réunion prévue vendredi à Matignon avec les représentants des partenaires sociaux.L'emploi des jeunes sera "une priorité" pour Mme Borne, qui se fixe pour objectif: "aucun jeune sans solution à la rentrée", a dit son entourage."C'est à notre jeunesse qu'on a demandé le plus gros effort" pendant la crise sanitaire, a souligné à ce propos M. Macron mardi: "ne pas sortir, ne pas aller faire le fête, ne pas pouvoir passer ses examens", et "parfois devoir renoncer à sa première embauche".Environ 700.000 jeunes sont attendus sur le marché du travail à la rentrée.
Il y a 4 ans et 295 jours

Ministère du Logement : Emmanuelle Wargon et un ministère de tutelle

Le nouveau gouvernement conduit par le premier ministre Jean Castex a été annoncé. Emmanuelle Wargon, 49 ans, remplace Julien Denormandie à la tête du ministère du Logement.
Il y a 4 ans et 295 jours

Fort rebond des créations d'entreprises au mois de juin 2020

CONJONCTURE. Les créations d'entreprises enregistrent une belle remontée en ce début d'été 2020 : avec plus de 75.000 dossiers déposés en juin tous secteurs d'activité confondus, ce qui représente un bond de 38% par rapport à mai, la crise du coronavirus ne semble pas trop perturber les nouveaux entrepreneurs. Et la construction n'est pas en reste.
Il y a 4 ans et 295 jours

Eclisse France dévoile Eclisse 40, l'huisserie invisible et architecturale

A nouveau, ECLISSE montre sa capacité d'innovation en développant une porte au design inédit, mélange d'invisible et d'architecture. L'oeil des professionnels vient d'ailleurs de récompenser l'huisserie ECLISSE 40 dans la catégorie « Product Design » du Prix international RedDot 2020.ECLISSE 40, l'huisserie sous un autre angleFrancesco Valentini et Lorenzo Ponzelli, deux designers italiens, ont imaginé transformer pour la première fois l'élément invisible et structurel des huisseries ECLISSE en élément décoratif et design. « Tout a commencé avec le sentiment qu'il manquait quelque chose dans le monde de la porte. Quelque chose qui ferait évoluer le concept de la porte d'intérieur : faire de l'invisible, une visibilité subtile sans négliger la fonctionnalité et la praticité. L'inspiration émane de l'observation du passé : l'ébrasement de la fenêtre pour diffuser de la lumière. »ECLISSE 40 est née de cette idée, le cadre métallique en aluminium s'incline à 40°, créant un sentiment de profondeur sans précédent et sans équivoque. Pour la première fois, l'huisserie est apparente. Elle émerge du mur avec finesse et subtilité. Le cadre n'est plus seulement un élément technique et fonctionnel, mais un matériau de finition à part entière. Ainsi d'un côté, les lignes géométriques donnent de la profondeur. De l'autre, la porte affleurante se fait discrète et élégante. L'inclinaison particulière de la structure définit le volume du seuil, ce qui donne à la porte une présence unique et une force expressive.Avec cette innovation, ECLISSE crée une nouvelle façon d'imaginer la porte d'intérieur, tout en conservant l'aspect d'une porte à fleur de mur.Une collection inédite et révolutionnaire« Il y a six ans la collection Syntesis® était déjà avant-gardiste dans le domaine de la porte à galandage et de la porte battante. De nouveau, avec l'huisserie ECLISSE 40, ECLISSE révolutionne la conception des portes invisibles. La mise en avant du cadre en aluminium est une approche encore inexistante sur le marché français. ECLISSE 40 reflète le design italien et l'exigence française à tous points de vue et fait bouger les lignes de la porte d'intérieur. »- Olivier Guilliec, Directeur commercial d'ECLISSE FranceLes particularités d'ECLISSE 40 ? L'inclinaison de 40° crée un sentiment de profondeur. L'aluminium, résistant et élégant, permet un jeu de lumière et une apparence originale. L'huisserie visible et raffinée laisse son empreinte dans la pièce, tout en s'adaptant à son environnement : d'un côté la porte affleurante se fait élégante et discrète, de l'autre la profondeur invite à passer. ECLISSE 40 s'associe parfaitement avec la collection Syntesis®.Les caractéristiques d'ECLISSE 40Ouverture dans les 2 sens : porte à tirer ou à pousserLargeur de porte : 716 à 1 016 mmHauteur de porte standard : 2 040 mm (Hauteur sur-mesure possible : de 1 650 à 2 700 mm)Panneau de porte : 45 mmFinition de l'huisserie : brut avec primaire, bronze clair, bronze foncé ou bronze graphitePack complet : huisserie, panneau de porte (pré-peint, laqué blanc ou noir) et quincaillerie (hors poignée)Poignée 40+Uno : disponible avec ou sans serrure, également créée par les designers italiensCommercialisation : septembre 2020
Il y a 4 ans et 295 jours

Du bois Kebony complète un luxueux éco-hôtel sur la côte de Cornouailles

De l'installation d'un Centre Énergétique sur place, qui alimente l'hôtel, le spa et les différents types de chambres, au revêtement de l'ensemble de l'hôtel en bois Kebony, l'un des leaders mondiaux des bois modifiés durables, le propriétaire de cet hôtel avant-gardiste s'assure que l'engagement en faveur d'un mode de vie écologique transparaisse dans tous les aspects de ce centre de vacances côtier.Le domaine familial, situé à St Ives, un lieu de villégiature très prisé, assure également l'entretien de sa plage, de la vie marine, et des vastes environs naturels plus sauvages, avec une promenade faite uniquement de plastique recyclé provenant des océans, une véritable première mondiale. Le Centre Énergétique fournit l'énergie de l'ensemble du site, tout en exploitant la chaleur créée par la production d'électricité pour chauffer une réserve constante d'eau chaude qui circule sur le site et dans les piscines, permettant d'économiser environ 70 tonnes de carbone par an.Les architectes, The Bazeley Partnership, ont pris soin de sélectionner des matériaux de construction innovants qui contribueraient positivement à l'empreinte écologique de l'hôtel. Ça a d'ailleurs été un facteur important dans le récent succès de l'hôtel aux AA Hospitality Awards 2019, lors desquels le projet a remporté le prix de « Meilleur Éco-Hôtel ». Le bois Kebony a été choisi pour le revêtement de l'ensemble de l'hôtel, en partie en raison de sa réputation mondiale en tant que leader de la production de bois durable, mais également pour son esthétique unique qui voit le bois se patiner délicatement et se fondre dans la beauté unique des environs.Développée en Norvège, la technologie révolutionnaire Kebony est un procédé respectueux de l'environnement, qui modifie les résineux issus de sources durables en chauffant le bois avec de l'alcool furfurylique ; un sous-produit agricole. En polymérisant la paroi cellulaire du bois, les résineux adoptent en permanence les attributs du bois dur tropical, notamment une durabilité, une dureté et une stabilité dimensionnelle élevées. Ce processus n'améliore pas seulement significativement les propriétés physiques du bois, mais contribue également à l'apparence unique de celui-ci grâce à sa patine gris argent qui se développe au fil du temps.Le propriétaire du Carbis Bay Hotel, Stephen Baker, a commenté : « Nous sommes extrêmement fiers de cet hôtel et de son interaction avec le paysage environnant, qui a toujours été au centre de notre vision pour Carbis Bay. Nos installations écologiques sont de première qualité, et l'utilisation de matériaux durables tels que le bois Kebony témoignent de notre dévouement et de notre engagement envers l'environnement, maintenant et pour les années à venir. »Le Directeur International des Ventes Kebony, Adrian Pye, a ajouté : « L'hôtel Carbis Bay est un projet vraiment spécial, pionnier dans le domaine des hôtels de luxe au Royaume-Uni. Nous sommes incroyablement fiers d'avoir contribué à la construction de cet hôtel, qui établit un nouveau précédent pour les développements commerciaux respectueux de l'environnement. »* Technologie KebonyLa technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d'améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l'environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Il y a 4 ans et 295 jours

Fraudes à l'ITE : coup de rabot sur les aides, avec effet immédiat

MALFAÇONS. Du fait de l'augmentation significative des cas de malfaçons lourdes sur l'isolation thermique par l'extérieur, l'Agence nationale de l'habitat (Anah) vient de décider de diminuer les aides de MaPrimeRénov pour ce type d'opérations, à effet immédiat au 15 juillet.
Il y a 4 ans et 295 jours

Devant certaines malfaçons, il faut parfois prouver une faute de l'entreprise

Certains défauts, jugés peu graves, ne sont pas couverts par cette assurance automatique mais ne sont indemnisés que s'ils sont la conséquence d'une faute prouvée de l'entrepreneur.En l'espèce, après la construction d'une extension de bâtiment, le propriétaire avait constaté des fuites dans la toiture. Selon lui, il s'agissait d'un défaut de l'ouvrage, le rendant impropre à l'usage, et donc couvert par l'assureur de l'entrepreneur au titre de la garantie obligatoire de dix ans.Il s'agit d'un "dommage intermédiaire", a rectifié la Cour. Un dommage intermédiaire est une malfaçon qui n'est pas jugée suffisamment grave pour déclencher la garantie décennale car elle ne rend pas l'ouvrage impropre à sa destination, n'affectant pas sa solidité. C'est un dommage qui n'est pas non plus couvert par la garantie de "parfait achèvement" puisqu'il n'était pas visible à la réception des travaux, ni par la garantie de "bon fonctionnement", puisque celle-ci, due par l'entrepreneur durant deux ans, ne concerne que les objets astreints à des mouvements.En l'espèce, les fuites n'ont pas été jugées comme rendant le bâtiment impropre à l'usage et ont donc été classées comme "dommage intermédiaire". Le propriétaire qui se plaignait devait alors apporter la preuve que l'entrepreneur avait commis une faute, comme le non-respect d'une norme, par exemple. Pour ce propriétaire des lieux, il n'était dès lors plus certain que ce dommage, qui n'entre pas dans l'assurance obligatoire de l'entrepreneur, soit couvert par une assurance, durant les dix ans au cours desquels il peut être invoqué.(Cass. Civ 3, 16.1.2020, Y 18-22.748).
Il y a 4 ans et 295 jours

Pascal Malafosse, Dg de Sika France, prend les rênes de Parex France

Directeur général de Sika France, Pascal Malafosse devient aussi directeur général de Sika Automotive France et de Parex France. [©Sika] Directeur général de Sika France depuis 2016, Pascal Malafosse ajoute les fonctions de directeur général de Sika Automotive France et de Parex France. Il succède à Guillaume Latil, qui a participé à la croissance du groupe Parex. Ceci, pendant 5 années, avant son intégration au sein du groupe Sika à la suite de son acquisition. Depuis 32 ans chez Sika France, Pascal Malafosse a occupé diverses fonctions. Dont chef des ventes, directeur national adjoint du marché négoce de l’activité distribution… Depuis 2016, il est directeur général de Sika France. « Notre vision est d’anticiper et de relever les défis futurs. Ceci, en offrant des solutions fiables, novatrices, durables et à long terme dans les secteurs de la construction, du bâtiment et de l’industrie. Dans toutes nos réalisations, nous fournissons un label de qualité sur lequel nos collaborateurs, nos clients et toutes les parties prenantes peuvent compter. A savoir construire la confiance chaque jour. » A 54 ans, Pascal Malafosse est titulaire d’un diplôme en génie civil et d’un diplôme international de management obtenu à IMD Lausanne. Ainsi que d’un master en stratégie d’entreprise de HEC Paris.
Il y a 4 ans et 295 jours

Polieco France franchit de nouvelles étapes en matière d'économie circulaire

Après ce contexte inédit d'environ deux mois qui a menacé le marché européen du recyclage, l'entreprise renforce son engagement en matière d'environnement et affiche un nouvel objectif : n'utiliser que de la matière recyclée issue de la collecte sélective française (bouteilles de lait, bouteilles de shampoing et bidons de lessive…).La société Polieco continue à mettre en place des solutions durables, éco-conçues, à faible empreinte carbone, qui rejoignent son engagement pris depuis 2019 au travers de « la coalisation 100 % plastiques recyclés d'ici 2025 ».C'est dans cette logique que l'entreprise s'est engagée récemment dans différents projets et partenariats. Principalement elle a signé un accord avec PAPREC, leader du recyclage en France. Ce dernier lui fournit désormais, pour la fabrication des tubes et des drains, du polyéthylène recyclé, issu uniquement de la collecte sélective française.Ceci permet à Polieco de délivrer à la demande un certificat « équivalent bouteilles recyclées » permettant aux collectivités, mairies, bureaux d'études, entreprises de pose... de communiquer localement sur leur engagement dans la filière du recyclage lorsque des tubes fabriqués en PEHD recyclé ont été mis en œuvre au sein de leurs chantiers.« Grâce à notre certificat équivalent bouteilles recyclées, nous offrons à tous les acteurs des valeurs simples, compréhensibles et exploitables, mais surtout des chiffres parlant au grand public afin de les informer de la finalité de leurs gestes citoyens lorsque les bouteilles plastiques (PEHD) sont collectées, triées et recyclées, plutôt que d'être enfouies ou incinérées » ajoute NicolasVOLLERIN, responsable technique Produits Polieco France.
Il y a 4 ans et 295 jours

Crise du Covid-19 : une baisse moyenne de 36 % sur le secteur du patrimoine

Selon une étude publiée par le Ministère de la culture, l’impact de la crise du Covid-19 se traduira par une baisse moyenne de chiffre d’affaires de 36 % en 2020 par rapport à 2019 sur le secteur du patrimoine, de -25 % sur le secteur de la restauration  et – 28 % sur l’architecture. Le Gouvernement a mobilisé plus de 5 Md€ depuis le mois de mars afin de faire face à l’impact de la crise sur les secteurs de la culture et des médias. Outre 331 M€ mobilisés en faveur du secteur de l’architecture au titre des dispositifs transversaux de soutien, et 131 M€ en faveur des patrimoines, ainsi que de l’extension du bénéfice de ces dispositifs aux guides conférenciers, le secteur des patrimoines bénéficiera de la mobilisation de 15 M€ de dégel en faveur de l’édition 2020 du Loto du Patrimoine, ainsi que de l’élargissement du champ du label de la Fondation du Patrimoine pour les communes jusqu’à 20 000 habitants pour un coût de 6 M€. Les grands opérateurs nationaux du patrimoine seront également soutenus à hauteur de 42 M€ afin de faire face à l’effondrement de leurs recettes tirées de la fréquentation touristique, notamment internationale, dont 33 M€ inscrits en PLFR3 et 9 M€ par dégel de la réserve du programme 175 « Patrimoines ». Graphique : Évolution mensuelle du chiffre d’affaires de la restauration du patrimoine attendue pour l’année 2020 par rapport à 2019, tenant compte des effets de la crise du covid-19. Sources : INSEE, MCC, DGP, Entretiens, Questionnaire
Il y a 4 ans et 296 jours

Pourquoi entreprendre des travaux de ravalement de façade?

Le style de votre maison repose sur l’aspect de sa façade. C’est la raison pour laquelle il est primordial de la soigner. La façade occupe aussi un rôle essentiel sur le plan énergétique. Multiples sont les bonnes raisons d’entreprendre des travaux de ravalement de façade. D’ailleurs, ils apportent de nombreux avantages tant à la maison qu’à son propriétaire. Cet article vous informe à ce sujet. Rehausser la valeur de votre bien immobilier La réfection de la façade apportera une plus-value à votre bien immobilier, surtout si vous souhaitez vendre votre maison. Une habitation avec des murs tout neufs attire les acquéreurs. Il s’agit donc d’un investissement très profitable. Seulement, tâchez de bien choisir les matériaux pour décorer votre façade. Préférez ceux qui sont capables de faire face aux intempéries. Optimiser la performance énergétique Une fois endommagés, les murs provoquent d’énormes pertes d’énergie. Les travaux de ravalement de façade qui consistent à rétablir l’état de vos murs contribuent donc à la limitation de ces déperditions de chaleur. D’ailleurs, durant la réfection de la façade, vous pouvez demander à votre ravaleur de mettre en place un isolant pour optimiser la performance énergétique de votre maison. Ainsi, vos factures baisseront, car une bonne isolation réduit l’utilisation des chauffages. Éviter les dépenses supplémentaires Le ravalement de votre façade permet d’éviter les dépenses supplémentaires qui peuvent être onéreuses. Faisant partie des actions d’entretien, il contribue à la maximisation de la longévité de la structure. Il préserve également les murs des différents dommages, à condition d’être bien fait. Ainsi, il est important de faire appel aux services d’un ravaleur professionnel. Il saura matérialiser tous vos désirs. Lorsque vous refaites votre façade extérieure, choisissez des matériaux compacts, capables de résister aux variations climatiques. Baisser le taux d’humidité de votre habitation La façade rencontre souvent des problèmes d’humidité. Ceux-ci sont causés par la présence de l’eau dans le sol. Or, l’humidité provoque la dégradation des murs, son ramollissement, et l’apparition de mousses. Si elle n’est pas traitée à temps, votre mur risque de s’effondrer. Cependant, il est crucial de la détecter à temps afin d’intervenir au plus vite. Le recours à un ravaleur s’avère alors incontournable. Il vous proposera la solution adaptée pour remettre votre façade en bon état. D’ailleurs, les murs concernés par l’humidité doivent faire l’objet d’un traitement particulier. Embellir l’extérieur de la  maison Le ravalement de façade permet d’obtenir des murs extérieurs élégants. Afin d’y parvenir, il est vivement conseillé de changer les fenêtres et de peindre les portes. Vous pouvez également installer un revêtement qui donne illusion à des pierres naturelles en vous servant du stonepanel ou d’autres matières innovantes. Refaire la façade est un excellent moyen pour remettre à neuf l’état de vos mus extérieurs. En plus d’améliorer leur performance, le ravalement de façade contribue à l’amélioration de l’apparence de votre extérieur. Étant la partie la plus visible de votre bâtiment, la façade mérite d’être soignée. La personnalisation est envisageable. Pour ce faire, vous pouvez accéder à un large choix de matériaux, une palette de couleurs ainsi qu’une panoplie de formes. Toutefois, renseignez-vous sur les règles d’urbanisme de votre région afin de connaître les restrictions. L’idéal serait de demander directement auprès de votre ravaleur. Une façade originale permet de mettre votre maison en avant parmi les plusieurs autres bâtiments de votre quartier. Si vous souhaitez approfondir vos connaissances sur les travaux de ravalement de façade, veuillez-vous rendre sur ce blog https://www.blog-ravalement-peinture.fr/.