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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87527 résultats)
Il y a 4 ans et 315 jours

Partenariat FFB et Action Logement pour la gestion des chantiers en période de crise sanitaire

Dans un contexte où seul un dialogue local constructif permet de réussir la reprise des activités, les engagements du groupe Action Logement, fort d'un patrimoine d'un million de logements, jouent un rôle important sur l'ensemble des territoires.Au-delà des préconisations du guide de l'OPPBTP en matière de sécurité sanitaire, ce dialogue, entamé sur tous les territoires par les différentes filiales immobilières du groupe Action Logement, vise en effet à aborder toutes les questions relatives aux surcoûts, aux nouvelles obligations générées et aux mesures indispensables pour protéger ceux qui interviennent sur les chantiers.La FFB estime, à ce stade des obligations imposées, les surcoûts entre 5 et 15%. Ils correspondent aux frais liés à prise en compte du risque sanitaire (distanciation physique, achat de masques, de gants, rotations supplémentaires des camionnettes, etc.) et ceux consécutifs à la réorganisation des chantiers (mobilisations supplémentaires de personnels et de matériels, hausse du coût des matières, prolongation des frais financiers …).Même si les bailleurs sociaux, les entreprises et certains autres acteurs de la filière prennent leur part, un soutien des pouvoirs publics paraît indispensable pour faire face à de tels surcoûts. À défaut, la casse s'avèrera inévitable et lourde sur l'ensemble du secteur.
Il y a 4 ans et 315 jours

Engie Solutions signe les chartes « Coup de pouce »

Engie Solutions est désormais signataire des deux chartes d’engagement « Coup de pouce Chauffage des bâtiments tertiaires » et « Coup de pouce Chaufferie fioul dans le cadre d’une rénovation performante de bâtiment résidentiel collectif » proposées par le ministère de la Transition écologique.
Il y a 4 ans et 315 jours

Déménagement d’entreprise : Comment le réussir ?

Comment réussir son déménagement d’entreprise ? Le déménagement d’entreprise a toujours été une opération compliquée. Il nécessite assez de temps et une organisation rigoureuse pour que la réussite soit au rendez-vous. C’est un véritable défi parce qu’il ne se fait pas de la même façon qu’un déménagement personnel. Le changement de siège implique souvent l’implication de tous les maillons de l’entreprise et il faudra maitriser le sujet pour y parvenir efficacement. Si vous prévoyez de déplacer vos bureaux vers un nouveau local, découvrez quelques astuces et conseils pour réussir son déménagement d’entreprise. Dans quelles conditions un déménagement d’entreprise peut se faire correctement ? Dans la plupart des cas, le déménagement d’entreprise ne se prévoit pas vraiment. Par la force des choses, certains entrepreneurs sont obligés de faire déplacer leur siège social. Cela peut arriver après un préavis donné par le propriétaire de vider les lieux, après des contraintes naturelles endommageant le fonctionnement de la structure ou suite à une décision technique visant à agrandir l’espace de travail. Si vous êtes dans le cas actuellement, vous pourrez trouver sur nextories.com, les formules pouvant vous permettre de bien planifier une telle opération. Pour que le déplacement de vos bureaux soit une réussite, il faudra vous y mettre le plus tôt. Un déménagement d’entreprise nécessite assez de temps et de moyens logistiques. Pour sa réussite, il faut bien s’organiser. Le mieux serait même de commencer la planification dans les trois mois avant l’opération. Après avoir trouvé le nouveau local, il faut d’abord commencer par informer vos collaborateurs afin qu’aucun d’entre eux ne soit en déphasage avec le projet. Il faudra ensuite évaluer le coût de l’opération. Vous pourrez obtenir votre devis rapidement, sur Internet. Au préalable, choisissez de la meilleure des façons, un prestataire professionnel qui pourra s’occuper dans tous les détails possibles, de votre déménagement d’entreprise. Pour réussir son déménagement d’entreprise, Internet est aujourd’hui un moyen très rapide. Il faut juste connaître le mécanisme de sélection en ligne sur une plateforme digne de confiance. Choisissez pour ce fait, un site de déménagement dont l’image n’est pas liée qu’au web mais dont les spots publicitaires passent également sur d’autres médias. Ainsi, vous êtes sûr de confier vos meubles de bureaux et documents administratifs à une structure responsable et sérieuse. Sur une telle plateforme, vous serez certainement mis en contact avec un conseiller qui pourra mieux se renseigner auprès de vous et proposer trois ou quatre devis de déménagement d’entreprise. Cela vous permettra de faire une comparaison, en prenant en compte vos critères personnels avant de faire la sélection finale. Quelles sont les étapes indispensables pour réussir son déménagement d’entreprise ? Pour réussir son déménagement d’entreprise, il est important de partir sur une bonne base. Après avoir connu et compris les raisons qui vous imposent un changement d’adresse, recherchez un nouveau local répondant à vos besoins et exigences en matière de budget, localisation et superficie. Définissez ensuite les objectifs à atteindre et établissez un plan d’action structuré, de commun accord avec vos collaborateurs. Vous pouvez, si la taille de votre entreprise le permet, choisir pour votre déménagement d’entreprise, un collaborateur capable de coordonner cette opération du début jusqu’à la fin. Il doit avoir de réelles capacités pour gérer tous les aspects de ce projet. Si vous avez de la disponibilité, vous pouvez prendre vous-même les commandes pour que tout se passe dans des conditions optimales et que vous puissiez respecter les différents deadlines des propriétaires de locaux. Réussir son déménagement d’entreprise n’est pas chose aisée. Mais avec l’aide de véritables connaisseurs du domaine, vous pourrez atteindre facilement vos objectifs. Choisissez une bonne plateforme à cet effet et le tour est joué pour votre déménagement d’entreprise. Demandez si possible, plusieurs devis afin d’élargir votre champ pour le choix du prestataire idéal. Par ailleurs, il serait encore mieux pour vous de choisir un déménageur capable de faire le transfert dans les moindres détails. Il doit être en mesure de faire transférer tous vos contrats en cours (assurance, internet, électricité, téléphone…). Pour réussir son déménagement d’entreprise, la sélection du prestataire est une étape importante. En choisissant de faire votre déménagement d’entreprise en ligne, vous gagnerez forcément en temps, en argent et en efficacité.
Il y a 4 ans et 315 jours

Batigest Connect de Sage, une nouvelle génération de solutions pour les entreprises du bâtiment

La numérisation des acteurs du bâtiment est une tendance qui progresse à mesure que les années passent. Les résultats de la 3ème édition du baromètre national 2017 sur les artisans et le numérique* identifiaient déjà le numérique comme l’un des 4 leviers de croissance du secteur. Dans le cadre de cette numérisation, Batigest Connect permet à l’entreprise de gagner en efficacité en interagissant plus facilement avec son écosystème (collaborateurs, clients, tiers).« Je suis très heureuse que nos clients et prospects puissent enfin découvrir Sage Batigest Connect. En effet, Sage a beaucoup investi dans le développement de cette nouvelle offre afin de répondre aux besoins des artisans et décideurs du bâtiment et moderniser sa solution. Avec cette solution, Sage pose les bases d’un développement vers une offre cloud et SaaS. Nous souhaitons que nos clients équipés de Batigest puissent facilement accéder à une offre connectée et prochainement, pour ceux qui le souhaitent, à une offre SaaS. » Émilie Batista-Fernandes, Product Marketing Manager Bâtiment chez SageModernité, continuité et stabilité de la base de donnéesEn plus de la connectivité, toutes les fonctionnalités de la solution Batigest i7 seront disponibles dans Batigest Connect : parmi lesquelles la réalisation de devis et factures, le contrôle et l’analyse de chantier, la facturation règlementaire ou encore le traitement des appels d’offre.Même avec une ergonomie repensée et un nouveau design, les artisans et PME du bâtiment devraient reconnaitre la solution de référence déjà éprouvée. De plus, les entreprises déjà clientes de Sage Batigest i7 pourront migrer facilement vers Batigest Connect avec la certitude de conserver toutes leurs données, en plus d’avoir une plus grande capacité de stockage à disposition.Connectivité et évolutivité au cœur de la solutionVia Sage Online Access, Batigest Connect permet le travail en mobilité. Ce service est inclus dans la solution et permet aux artisans en déplacement de pouvoir accéder à leurs données et travailler à distance « comme au bureau » pour la réalisation des devis par exemple.Toujours dans l’esprit d’offrir plus de connectivité, la solution a été conçue de façon à permettre l’ajout rapide d’applications complémentaires de mobilité et de nouvelles fonctionnalités. Elle s’adapte à la taille de l’entreprise et peut accueillir jusqu’à 50 utilisateurs, et donc être utilisée par les PME.Fruit d’une collaboration avec les partenairesLes partenaires continuent de jouer un rôle clé dans la stratégie de développement de l’éditeur. Ils ont ainsi été impliqués en amont dans la construction de l’offre commerciale et le découpage fonctionnel de la solution. En contribuant à la roadmap produit, ils ont par ailleurs été sollicités dans la phase de tests en réel sur leurs clients. « J’ai réalisé plusieurs Beta Tests, et je souhaite souligner la très bonne qualité de la version Beta de Batigest délivrée, qui répondra précisément à ce que les entreprises attendent aujourd’hui en termes de solutions de gestion. », précise Eric Monier, gérant de Utopia Informatique.* Étude publiée en mai 2017 et réalisée en partenariat avec Batiweb.
Il y a 4 ans et 315 jours

Le monde d’après selon les architectes

La Cité de l’architecture et du patrimoine lance une série de débats consacrés aux défis d’aujourd’hui et de demain dans les domaines du logement, de la santé, de l’écologie et du climat. L’enjeu de ces discussions, qui seront animées par des architectes et des journalistes, est d’analyser et de décrypter les maux qui affectent l’habitat et les grandes métropoles, mis en exergue pendant le confinement imposé par la pandémie mondiale de Covid-19. Cette réflexion collective...
Il y a 4 ans et 316 jours

Les professionnels de l'ingénierie et du numérique proposent de créer une « task force » pour sauver le BTP

Outre des mesures pour l'emploi, la trésorerie des entreprises et le redémarrage du secteur, CINOV appelle à la création immédiate d'une « task force » représentative de la filière. Cette dernière permettra d'accompagner les métiers du BTP dans leur transformation numérique, environnementale et sociétale.Alors que l'arrêt brutal et imprévu de tous les chantiers – puis leur reprise aménagée pour répondre aux règles sanitaires – ont provoqué d'importants surcoûts pour le secteur du BTP, CINOV alerte sur le risque de disparition de nombreux bureaux d'études qu'elle représente (maîtrise d'œuvre, AMO). Ces dernières, qui sont principalement des TPE-PME, se retrouvent en effet particulièrement exposées et la Fédération CINOV appelle le gouvernement à prendre les mesures qui s'imposent pour sauver ces entreprises, acteurs clés de la vie économique dans les territoires. Pour cela, elle propose de créer un fonds afin d'aider les entreprises et les collectivités territoriales à faire appel à des prestations de services intellectuels pour les accompagner dans leurs transformations. CINOV insiste néanmoins sur le fait que la création de ce fonds ne suffira pas : il faudra aussi – et surtout – accompagner ces investissements pour qu'ils puissent être rentables.Le secteur du BTP est en effet au cœur des transitions environnementale, énergétique, sociétale et numérique qui rendent inconcevable un retour à la situation antérieure à la crise sanitaire. CINOV appelle donc à la mise en place dès que possible d'une « task force » représentative dont l'objectif serait de faire adhérer et de mobiliser tous les acteurs de la filière autour d'un projet commun et, in fine, de faciliter la prise de décision puis d'accompagner la mise en œuvre des différentes mesures.« Avec cette task force représentative de la filière, nous pourrons mettre en œuvre plusieurs grandes idées ambitieuses autour des impacts sociaux et environnementaux du bâtiment et des infrastructures », affirme Frédéric LAFAGE, président de la Fédération CINOV. « Nous souhaitons notamment définir et mettre en place un agenda de la transition écologique du secteur, recourir massivement à la finance responsable, investir dans les infrastructures durables et concevoir un aménagement urbain durable et désirable pour penser le logement autrement et réussir, enfin, sa rénovation. »Les principales propositions de la Fédération CINOV pour une relance économique et durable du secteur :Créer immédiatement une « task force » représentative de la filièreRéussir la transition écologique du secteur :En appliquant progressivement et avec pédagogie les nouvelles réglementations, dont la future RE2020 ;En complétant la réglementation et les référentiels existants pour mettre en place une approche multicritères et des obligations de résultats pour tous les bâtiments ;En accompagnant la maîtrise d'ouvrage publique par un vaste plan de sensibilisation et de formation aux enjeux environnementaux ;En recourant massivement à la finance responsable (développer les labels Greenfin ou ISR, moduler les financements en fonction de leur impact sociétal et environnemental).Investir dans les infrastructures durables :En lançant un vaste programme quinquennal de renouvellement des réseaux d'eau et d'assainissement, de maintenance et d'entretien des infrastructures routières ;En priorisant les investissements dans les infrastructures vers des projets à forte performance environnementale avec une évaluation régulière de cette performance.Penser le logement autrement et réussir, enfin, sa rénovationEn conditionnant 100% des aides (primes et baisse de taxes foncières sur la durée de l'amortissement) à la réalisation de rénovation globale et performante, en une fois, des copropriétés ;En définissant un dispositif « Ma Prime Rénov' Copro » visant à rendre attractive la rénovation globale et copropriété.Concevoir un aménagement urbain durable et désirableEn créant un plan de mobilité douce, à intégrer au PLU, en mettant l'accent sur les accès aux lieux de vie (espaces publics, loisirs, lieux culturels, écoles, commerces…) ;En faisant du bruit, de la qualité de l'air et de la biodiversité des priorités nationales, à intégrer à travers des objectifs ambitieux, concrets et mesurables dans tous les projets urbains ;En développant des référentiels, des méthodes et des outils adaptés à des aménagements urbains durables et désirables, facilement utilisables par les différents acteurs (collectivités, aménageurs, promoteurs, AMO/MOE, entreprises…).
Il y a 4 ans et 316 jours

Le salon Équipbaie-Métalexpo reporté à 2021

La récente épidémie de COVID-19 et ses conséquences sur l'activité économique à la fois des fabricants, des installateurs menuisiers et des métalliers ont incité les organisateurs du salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO à reporter l'édition 2020, initialement prévue du 17 au 20 novembre.Malgré les signes encourageants de recul de la pandémie en France, les organisateurs, après discussion avec les exposants inscrits au salon et les organisations partenaires, ont conclu que la combinaison d'une situation sanitaire incertaine et de la récession économique actuelle n'étaient pas propices à la tenue du salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO en novembre prochain. En effet, les industriels vont consacrer le reste de l'année 2020 à remettre leur production en ordre de marche, et les entrepreneurs de bâtiment à remplir leurs carnets de commande pour assurer la continuité de leur activité.Afin d'assurer son rôle d'animateur de sa filière, le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO va cependant continuer à déployer des initiatives, comme la publication de l'étude sur la digitalisation des installateurs (ici), et accompagner les entreprises du secteur en attendant la tenue du prochain ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO. Notamment au travers de nouveaux services digitaux sur lesquels les équipes d'organisation et les partenaires du Pôle Fenêtre sont d'ores et déjà mobilisés.« La décision a été difficile à prendre, mais ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO est le rendez-vous de la filière, et maintenir l'édition 2020 aurait été trop contraignant pour les industriels et les entreprises de bâtiment. »- Guillaume Loizeaud, directeur du salonLes dates définitives de la prochaine édition d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 seront définitivement arrêtées et communiquées en juillet.« Face aux incertitudes sanitaires et économiques, le report du salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO est une décision qui s'impose. La fraternité et la convivialité sont au cœur de nos salons et plus généralement des valeurs fortes du bâtiment. Nous sommes impatients de vous accueillir en 2021. »- Franck Perraud, Président de la FFB Métallerie« C'est une sage décision que vient de prendre Reed Expositions France de reporter à 2021 le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO. Réussir un salon est un travail de longue haleine, le maintenir en 2020 aurait fait prendre un risque important à ce rassemblement. La profession a besoin d'un salon national fort, ce sera ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021. »- Bruno Cadudal, Président de l'UFME« 2020 était l'année d'un nouveau positionnement prometteur pour ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, « le rendez-vous des pros », objet de beaucoup de travail en commun entre Reed Expositions France et le Pôle Fenêtre FFB. Son report est donc très frustrant, mais c'est une décision qui s'impose. Notre détermination à réussir et notre envie de surprendre restent intacts. Rendez-vous en 2021. »- Bruno Léger, Président du SNFA
Il y a 4 ans et 316 jours

L'AIE appelle à faire de l'efficacité énergétique une priorité post-coronavirus

ÉNERGIE. C'est à un plan de relance mondiale que l'Agence internationale de l'énergie a apporté sa contribution, en présentant notamment 10 propositions axées sur l'efficacité énergétique. Si les sommes à investir s'avèreraient gigantesques, leur retour sur investissement et leurs nombreux débouchés positifs seraient tout aussi importants.
Il y a 4 ans et 316 jours

TSO frappe fort à l’international : près de 143 M$ de contrats

La filiale ferroviaire de NGE a décroché un nouveau contrat en Egypte et deux en Amérique centrale.
Il y a 4 ans et 316 jours

Rénovation : le ministre défend l'axe "incitatif puis coercitif"

OBLIGATION DE TRAVAUX. Le ministre de la Ville et du Logement, Julien Denormandie, est revenu au Sénat sur les propositions de la convention citoyenne pour le climat en matière de rénovation énergétique. Il salue le travail effectué et assure qu'il va dans le sens des projets gouvernementaux.
Il y a 4 ans et 316 jours

Hitachi affiche ses ambitions pour 2020 malgré la crise sanitaire

RESULTATS. Le groupe Johnson Controls - Hitachi dévoile ses résultats pour 2019 et affiche de fortes ambitions pour 2020 malgré un marché dégradé en raison du coronavirus.
Il y a 4 ans et 316 jours

Reprise des chantiers : FFB et Action Logement signent une charte

SURCOÛTS. La fédération du bâtiment et l'organisme paritaire de logement social ont signé, le 23 juin, un partenariat déclinant les "bonnes pratiques à mettre en place sur les chantiers", et notamment la gestion des surcoûts.
Il y a 4 ans et 316 jours

Critères de choix des crochets d’ardoise

Pour la réalisation de vos travaux de toiture, les crochets d’ardoise jouent un rôle important, afin de garantir l’aspect esthétique et la longévité de votre charpente. Compte tenu des enjeux, vous ne pouvez pas vous résoudre à sélectionner ces accessoires au hasard. Donc, il est essentiel de miser sur des produits de bonne qualité. Pour ce faire, demander conseil auprès d’un couvreur et réussir ainsi à discerner les caractéristiques à retenir. Selon la configuration de votre chantier, le choix des matières est également un facteur primordial. Dans cette optique, un professionnel vous informera que les conditions de pose sont notamment déterminantes. Caractéristiques spécifiques des crochets d’ardoise A la base, les crochets d’ardoise sont conçus pour répondre à vos différents besoins, notamment en fonction de votre architecture ou du climat dans votre région. Dans ce sens, vous avez la possibilité de sélectionner entre des matières telles que l’inox, la cuivre… Pour déterminer le choix des meilleurs modèles, un expert se fiera aux critères qui les caractérisent particulièrement. A savoir, le mode d’arrimage de votre accessoire, pour lequel vous pouvez opter pour une pointe à planter ou bien une agrafe. Si vos toitures sont faites d’ardoises en fibrociment, la forme de la tige peut être droite ou bosselée. Par contre, si vos revêtements sont en ardoises naturelles avec une inclinaison assez faible, un professionnel vous conseillera d’autres types de crochets. Autrement, pour la fixation de vos tuiles, votre entrepreneur devrait s’équiper d’une pince. Il vérifiera par la suite à partir de l’épaisseur du liteau l’écartement de l’agrafe. Tandis que l’écartement de la pince sera calculé selon l’épaisseur des couvertures. Et pour soigner la finition, il ne manquera pas de prendre en compte de la longueur de la griffe et de la pointe. En tout cas, c’est l’ensemble de toutes ces spécificités qui vous permettra d’arrêter vos préférences sur une référence précise. Tri sélectif des crochets d’ardoise Pour ce faire, un couvreur basera essentiellement son choix en fonction des critères inhérents à votre environnement. A savoir, la sélection d’une gamme inox pour une résidence située dans une zone rurale non polluée. Certes, il est suffisamment résistant mécaniquement. Toutefois, il n’est pas recommandé si vous vous trouvez en bord de mer ou non loin d’un lotissement industriel. Dans ce cas, il faut opter pour un autre type d’inox plus résistant à l’attaque de dioxyde de soufre dans l’atmosphère. Un alliage destiné particulièrement pour les travaux en zone urbaine, industrielle et même dans une localité respirant l’air marin. Autrement, le professionnel orientera votre choix, selon les conditions de pose de vos couvertures. Les cuivres leur donneront un bel aspect esthétique tout en les valorisant. De plus, elles offrent l’avantage de combattre efficacement l’apparition des mousses sur votre toit. Autrement, leur composition est faite d’un mélange d’inox avec une résine couleur anthracite ou noire, pour résister aux ultraviolets et rester discret. En d’autres termes, si vous souhaitez miser sur la longévité et la qualité de vos charpentes, l’intervention d’un expert tel que ce couvreur qui se trouve dans la Marne est indispensable. Il dispose en effet des compétences essentielles, afin de vous vous aider à trouver les accessoires adaptés à votre structure et vous fournir de belles prestations. Donc, autant prendre l’assurance que votre projet sera mené à bien, grâce au concours d’un spécialiste, avec des matériaux d’excellente facture.
Il y a 4 ans et 316 jours

Digitalisation du BTP : Arkance se renforce en Europe

RACHAT. Arkance, filiale du groupe Monnoyeur, continue de se renforcer dans la digitalisation de la construction. Elle vient de faire une nouvelle acquisition aux Pays-Bas.
Il y a 4 ans et 316 jours

"Des espaces de travail de proximité sur chaque îlot d'Euromed 2" (H.Parant)

ENTRETIEN. Hugues Parant, directeur général d'Euroméditerranée, détaille pour Batiactu comment l'établissement public d'aménagement peut participer à la relance du secteur, notamment sur l'extension de l'OIN, où les promoteurs sont priés de prévoir des espaces de vie collective en pieds d'immeubles.
Il y a 4 ans et 316 jours

Réemploi des matériaux sur les chantiers de la Fabrique de Bordeaux Métropole

Missionné par la Fabrique de Bordeaux Métropole pour travailler sur le réemploi des matériaux de démolition, le collectif Cancan entre dans la troisième phase de sa mission, dans le cadre du projet « Réemploi et Valorisation expérimentale » (R&Ve). Démarrée en 2017, avec la réalisation d’une étude stratégique, suivie de la phase opérationnelle en 2019 avec des chantiers expérimentaux, la mission porte aujourd’hui sur la duplication de la démarche. L’objectif final étant de structurer une filière de récupération et connecter les chantiers menés par la Fab.
Il y a 4 ans et 316 jours

Le confinement, accélérateur de la transformation numérique du secteur immobilier

La crise sanitaire a poussé de nombreux agents immobiliers à s'intéresser à de nouveaux outils pour poursuivre leur activité et maintenir le lien avec leur clientèle jusqu'au déconfinement. Pour autant, la « démocratisation » engagée du numérique - loin d'être absolue - traduit des réalités différentes correspondant à des niveaux de maturité variés selon la taille des agences ou leur statut (indépendant ou appartenance à un réseau).Du B.a.-ba du numérique...A l'heure du tout-numérique, rares sont les agences immobilières à ne pas faire rimer leur stratégie commerciale avec optimisation de leur visibilité sur internet : avec 98% d'agence équipées d'un site web ou en passe de l'être et 96% d'un compte sur les réseaux sociaux, assurer une vitrine performante et attractive en ligne est devenu un prérequis incontournable pour les professionnels.D'autres évolutions technologiques ont progressivement convaincu les professionnels, tels que :La dématérialisation des documents liés à la gestion des biens, considérée aujourd'hui par plus de 8 agences sur 10 (83%) comme indispensable.Le développement de la signature électronique est une avancée majeure pour 87% des agents immobiliers, leur permettant de réaliser plus d'actes à distance, et donc de gagner en rapidité et en efficacité. Un point sur lequel l'État a montré une certaine réactivité, en autorisant par décret début avril la réalisation d'actes notariés à distance, dérogeant ainsi temporairement à la règle exigeant la présence physique des parties.La visioconférence a démontré son intérêt pour près de 7 agences sur 10 (69%) pour maintenir le lien avec les collaborateurs, les clients actifs ou potentiels. Durant le confinement, le numérique a représenté une alternative essentielle, pour poursuivre un certain niveau d'activité.... à l'hétérogénéité de l'adoption des outils numériquesUne partie des agents immobiliers se sont aussi adaptés aux attentes et aux nouveaux usages des particuliers.Les visites virtuelles ont démontré leur pertinence pour 58% des agents immobiliers, en permettant à des potentiels acheteurs de découvrir des biens en toute sécurité depuis leur domicile.D'autres outils ont également fait une percée en raison des contraintes de distances, de façon plus mesurée, comme la réalisation d'état des lieux à distance, intéressante pour près d'1 agence sur 2 (47%).Si ces nouvelles solutions devraient s'imposer dans le secteur pour devenir la norme dans les prochaines années, du fait de leurs nombreux avantages (gain de temps, d'économies, etc.), pour autant, ce phénomène de numérisation recouvre des réalités différentes. L'écart entre les plus petites agences (moins de 5 collaborateurs) et celles de plus de 10 collaborateurs est particulièrement important concernant l'adhésion à l'état des lieux numérique (36% des petites contre 74% des grosses). Dans une moindre mesure, la différence est sensible entre les agences indépendantes et celles membres de réseaux (42% vs 51%). Même constat sur l'estimation gratuite à distance, pratiquée par 45% des petites agences contre 78% pour les plus de 10 collaborateurs (50% des indépendants contre 60% des réseaux).« Le marché de l'immobilier a été très touché avec la fermeture brutale des agences dès l'annonce du confinement, l'impossibilité d'organiser des visites ou de signer des actes courant mars » observe Jean-David Lépineux, fondateur d'Opinion System. « Pour autant, la plupart des agents immobiliers ont su réagir et s'adapter dans un contexte compliqué, notamment en adoptant des outils numériques qui correspondaient déjà à des attentes fortes chez les particuliers. Cette crise sanitaire aura été un accélérateur de cette tendance numérique que l'on observe depuis peu au sein de la profession. Les petites agences ont également besoin de suivre ce mouvement, elles sont les plus impactées aujourd'hui et auront besoin de ces outils pour se renforcer. »*Note méthodologique : enquête réalisée entre avril et mai 2020 auprès de 223 agences immobilières partenaires d'Opinion System.
Il y a 4 ans et 316 jours

Professionnels, tout savoir sur les masques FFP2

Dans le contexte de crise sanitaire actuel, la demande de masque augmente de jour en jour. Cependant, tous les masques disponibles sur le marché sont très variés dans leur composition et n’offrent pas le même niveau de protection. Les masques FFP2 représentent l’une des options les plus efficaces pour se protéger contre les maladies, et notamment, contre le coronavirus. Depuis le 11 mai, le port du masque est vivement conseillé et deviendra même obligatoire dans certaines situations comme dans les transports publics. Il est donc grand temps de vous informer sur le sujet, que vous soyez professionnels du bâtiment, de tout autre secteur et même à titre particulier. Le masque FFP2 de A à Z, et bien plus encore, toutes nos explications dans la suite de cet article. Qu’est qu’un masque FFP2 et quels sont ses caractéristiques ? Les masques FFP (Filtering Facepiece particles ou pièce faciale filtrante) sont des masques dits de protection respiratoire qui couvrent à la fois la bouche et le nez. Leur caractéristique principale est de protéger leur utilisateur contre l’inhalation de gouttelettes ou de suspensions virales présentes dans l’air qui pourraient être contagieuses. On retrouve 3 types masques FFP : Les masques FFP1, qui ont la capacité de filtrer au moins 80 % des aérosols. Les masques FFP2, qui ont la capacité de filtrer au moins 94 % des aérosols. Les masques FFP3, qui ont la capacité de filtrer au moins 99 % des aérosols. Le masque FFP2, qui nous intéresse ici, est donc un masque très performant lorsqu’il est utilisé de la bonne manière. Ce n’est en revanche pas le plus efficace, puisque ce titre revient au masque FFP3. Concernant les masques FFP, plusieurs formats existent sur le marché, à savoir : des masques coques, des masques 2 plis ou 3 plis, ou encore les masques becs de canard, entre autres. Quels sont les autres types de masques ? Les masques FFP2 sont aujourd’hui très difficiles à trouver et la majorité des stocks sont réservés au personnel de santé et aux agents du service public. Toutefois, il existe des alternatives pour se protéger. Attention, celles-ci ne sont pas aussi efficaces que les masques FFP. Il s’agit : Des masques chirurgicaux qui constituent davantage un complément aux gestes barrières (lavages de main, distanciation sociale …), et dont l’utilisation se limite à 4 heures maximum. Des masques « grand public » ou « alternatifs » à usage non-sanitaire. Il s’agit de masques également destinés à compléter les gestes barrières et qui sont pour la plupart lavables et réutilisables. Ces deux types de masques sont aujourd’hui ceux que l’on trouve le plus facilement en pharmacie, dans les grandes surfaces ou dans les autres enseignes autorisées à en vendre. Certaines communes prennent également l’initiative d’en distribuer gratuitement à leurs habitants. Enfin, il est possible de fabriquer soi-même son propre masque en tissu. Pour cela, des patrons et tutoriels validés par l’Afnor (l’Association française de normalisation) sont disponibles sur le web. Quelle protection offre un masque FFP2 contre le coronavirus ? Le masque FFP2 offre un bon niveau de protection contre le coronavirus, mais pour cela, il doit être utilisé de façon optimale, c’est-à-dire, correctement positionné pour éviter les zones d’infiltration. Cette catégorie de masque filtre l’air inspiré, mais aussi l’air expiré. Il protège donc d’une contamination par inhalation. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est actuellement principalement réservé au personnel médical. Le port du masque FFP2 permet aussi d’empêcher les projections de postillons chargés d’agents infectieux d’une personne malade vers une autre. Cela limite donc fortement les risques de contamination de personne à personne. Toutefois, même en mettant parfaitement son masque FFP2, le risque zéro n’existe pas. En effet, les risques de contamination indirecte sont toujours présents puisque le coronavirus peut également nous contaminer en s’infiltrant par les yeux. Ainsi, si l’on touche une surface contaminée puis que l’on se frotte les yeux, il est possible de contracter le coronavirus. C’est pourquoi le respect des gestes barrières et notamment du lavage de main restent primordiaux. En complément du port du masque, comment se protéger au mieux face au coronavirus ? Si l’on dispose d’un masque FFP2, il est important d’adopter certaines bonnes pratiques permettant de se protéger au mieux face aux virus comme le Covid-19. Ces pratiques sont les mêmes pour tous les autres types de masque. La première consiste à respecter la durée d’utilisation. En effet, aucun masque n’est à durée illimitée et concernant le FFP2, celle-ci varie entre 3 et 8 heures selon les modèles. Ensuite, le lavage régulier des mains est indispensable. Pour cela, on utilise une solution hydroalcoolique si l’on est à l’extérieur, ou de l’eau et du savon si l’on est chez soi. Il faut notamment se laver les mains avant de mettre son masque et après l’avoir retiré. Parallèlement, on se lave les mains toutes les 2 heures environ et chaque fois que l’on touche une surface potentiellement contaminée chez soi ou en dehors du foyer. Il faut également éviter de se toucher le visage. Même si cela reste très compliqué, c’est une règle à adopter. Enfin, le masque FFP2 doit être changé dès lors que l’on a mangé ou bu, ou s’il est humide. Finalement, dernière règle à respecter lorsque l’on retire son masque : le faire toujours par les lanières sans toucher le masque en lui-même qui pourrait être contaminé. Ensuite, on le place dans un plastique que l’on ferme et que l’on jette immédiatement. Où se procurer un masque FFP2 et à quel prix ? À l’heure actuelle tous les masques FFP2 sont réservés au personnel médical ainsi qu’à certaines professions à risque plus exposées au risque de contamination. Le grand public n’a donc pas la possibilité de s’en procurer. Seuls les masques chirurgicaux et les masques grand public en tissu sont disponibles dans plusieurs points de vente : pharmacie, bureaux de tabac, et en grande surface, notamment. À noter que : Le prix des masques grand public en tissu varie entre 2 et 5 euros suivant leur durée de vie. Le prix des masques chirurgicaux est plafonné à 0.95 centimes l’unité.
Il y a 4 ans et 316 jours

Un ouvrier tué dans un éboulement sur le chantier du centre d'entraînement de l'AS Monaco à La Turbie

"C'est un éboulement de falaise. Il y a un chantier avec des engins dans une partie rocailleuse et un rocher est tombé", a indiqué le service départemental d'incendie et de secours (SDIS). L'accident a également fait un blessé léger.La victime décédée, qui conduisait une pelleteuse, était âgé de 56 ans, selon la gendarmerie qui a ouvert une enquête à la suite de cet accident du travail: "un rocher s'est détaché, on n'a pas encore d'explication".Des travaux sont effectués au centre d'entraînement de l'ASM.Par ailleurs un nouveau centre de formation est en contruction à Monaco, près du stade Louis II. D'un coût de 50 millions d'euros initial, il doit en principe être livré au deuxième semestre 2021.
Il y a 4 ans et 316 jours

Wayzz : L’expansion à tous les niveaux

Béton Sync’ permet le suivi en temps réel de flottes. Aujourd’hui 2 000 camions sont équipés des technologies Wayzz. [©Wayzz] Créé en 2015, Wayzz se consacre au monde du béton en proposant aux acteurs du secteur des solutions digitales clefs en main. A l’image de Béton Sync’, qui permet le suivi en temps réel de flottes ou encore de dématérialiser des documents de livraison. Avec plus de 4 ans d’expérience dans le secteur, l’entreprise est en pleine expansion. Elle connaît une croissance fulgurante et passe de 325 000 € de chiffre d’affaires en 2018 à 1,3 M€ en 2019. « Nous continuons à bien avancer, explique Jérôme Braga, co-fondateur de Wayzz. En 2018, nous comptions plus de 1 000 véhicules équipés de nos solutions. Nous avons atteint les 2 000 en 2019 et visons 3 000 à la fin de l’année. » Les technologies de Wayzz s’enrichissent et se diversifient. « Nous avons intégré une fonction de gestion de données sociales ou encore un débitmètre connecté qui nous fournit une sortie nous permettant de récupérer une impulsion pour chaque litre d’eau consommé. » Vers la conquête du marché espagnole Jérôme Braga, co-fondateur de Wayzz. [©Wayzz] Créé en 2015, Wayzz se consacre au monde du béton en proposant aux acteurs du secteur des solutions digitales clefs en main. A l’image de Béton Sync’, qui permet le suivi en temps réel de flottes ou encore de dématérialiser des documents de livraison. Avec plus de 4 ans d’expérience dans le secteur, l’entreprise est en pleine expansion. Elle connaît une croissance fulgurante et passe de 325 000 € de chiffre d’affaires en 2018 à 1,3 M€ en 2019. « Nous continuons à bien avancer, explique Jérôme Braga, co-fondateur de Wayzz. En 2018, nous comptions plus de 1 000 véhicules équipés de nos solutions. Nous avons atteint les 2 000 en 2019 et visons 3 000 à la fin de l’année. » Les technologies de Wayzz s’enrichissent et se diversifient. « Nous avons intégré une fonction de gestion de données sociales ou encore un débitmètre connecté qui nous fournit une sortie nous permettant de récupérer une impulsion pour chaque litre d’eau consommé. »
Il y a 4 ans et 316 jours

Infrastructures de l’eau : les Agences de l’eau doivent pouvoir agir

Les acteurs du domaine de l'eau veulent que les Agences de l’eau assurent la relance du secteur et de la mise à niveau des infrastructures.
Il y a 4 ans et 316 jours

Plan de relance, RE2020, Pac hybride, "Ma prime rénov" : le gaz monte au créneau

ÉCONOMIE. Souhaitant apporter sa pierre au plan de relance que le Gouvernement devrait présenter en septembre prochain, GRDF a dévoilé une dizaine de propositions visant à placer le gaz au centre de la reprise économique et, bien sûr, de la transition énergétique. Méthanisation, construction/rénovation, mobilité et sécurité constituent les quatre axes de cette batterie de mesures.
Il y a 4 ans et 316 jours

Une étude pointe les "inégalités de destin" des familles modestes selon les régions

Plutôt qu'une opposition - couramment évoquée - entre territoires ruraux et urbains, ou entre centres-villes et "France périphérique", cette étude réalisée par France Stratégie met en évidence des "inégalités de destin" entre régions."Avoir grandi dans une zone rurale ou périurbaine ne réduit pas les perspectives de niveau de vie des enfants d'origine modeste", concluent les auteurs, Clément Dherbécourt et Gustave Kenedi.En revanche, "les territoires à faibles perspectives de niveau de vie sont concentrés dans le Nord et au Sud du pays: anciennes régions Languedoc-Roussillon et Nord-Pas-de-Calais, Corse, départements de l'Aisne, des Ardennes, du Var et du Vaucluse", détaillent-ils.Pour répondre à la question "dans quelle mesure le niveau de vie d'une personne dépend-il du lieu où elle a grandi ?", les deux économistes ont étudié des données statistiques concernant 80.000 personnes, enfant d'ouvriers ou d'employés, nés entre 1970 et 1988. Ils ont croisé le niveau de vie actuel de ces personnes avec le lieu où elles ont passé leur adolescence - qu'elles y habitent toujours ou pas.Résultat: les "perspectives de revenus à l'âge adulte augmentent avec le niveau de richesse du territoire d'origine". Ainsi, les personnes d'origine modeste ayant grandi en Ile-de-France ont un niveau de vie médian à l'âge adulte de 1.730 euros, contre 1.474 euros pour ceux ayant grandi dans le Nord-Pas-de-Calais.Cela s'explique par les différences de richesse entre régions et aussi par le fait que, partout, les ménages modestes sont nettement moins mobiles que les familles aisées.Or, "ce qui distingue vraiment les régions à faibles perspectives de niveau de vie des autres, c'est le niveau de vie très faible des non-diplômés du supérieur qui n'ont pas émigré" dans d'autres régions, observent les auteurs.Pour tenter de résorber ces disparités, les pouvoirs publics devraient donc réfléchir à des "incitations à la mobilité" pour aider certains ménages à "rejoindre des régions à meilleure perspective d'emploi", suggèrent-ils.Cependant, cela ne doit pas être selon eux la seule piste d'action car changer de région peut avoir un "coût important sur le bien-être des individus".Pour les économistes, il convient donc également d'envisager dans ces territoires les plus défavorisés des "incitations socio-fiscales à la relocalisation de postes de travail de qualité", mais aussi d'y développer des emplois publics.
Il y a 4 ans et 316 jours

Rencontre avec : Studio Élémentaires

Depuis la création de leur studio en 2013, Apolline Couverchel et Gauthier Haziza signent des installations poétiques et se lancent dans des projets fous. Rencontre avec ce duo qui force l’admiration. Muuuz : Quel est votre parcours respectif, et pourquoi avez-vous décidé de vous associer pour fonder Studio Élémentaires en 2013 ?Apolline Couverchel : Après mon baccalauréat, j’ai étudié deux ans à l’École Duperré, puis la scénographie à l’École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre de Lyon. Ensuite, j’ai travaillé pour des studios de design et de scénographie à Paris. Gauthier et moi nous sommes rencontrés à l'ENSATT, et avons rapidement souhaité travailler ensemble. C’est d’ailleurs à l’ENSATT que nous avons appris à raconter des histoires avec la lumière et l’espace.Gauthier Haziza : J’ai étudié l’histoire de l’art, options études théâtrales, à l’université, la conception lumière à l’ENSATT, et le marketing et la communication à l’université Panthéon Assas. En 2013, nous avons fondé notre propre studio et nous avons commencé à travailler sur divers projets. La même année, le chef cuisinier français Paul Pairet nous a invités à collaborer avec lui pour réaliser une installation dans le cadre de l’exposition Cookbook, l’art et le processus culinaire aux Beaux-Arts de Paris. En 2015, nous sommes partis à Shanghai pour participer à une résidence artistique organisée par le groupe Swatch. À cette occasion, nous avons travaillé pendant quatre mois au Swatch Art Peace Hotel et avons créé in situ notre Ciel-volant, un cerf-volant aux couleurs du ciel qui a été remarqué par Shang Xia, une marque chinoise créée par Hermès, avec laquelle nous avons ensuite collaboré. Aujourd’hui, nous vivons à Bruxelles et travaillons aux Zaventem Ateliers. Comment êtes-vous arrivés à la conception d'installations cinétiques immersives ? Pourquoi avez-vous choisi de vous éloigner du théâtre pour vous concentrer sur l’art contemporain et le design ?AC : Le théâtre a beaucoup nourri notre imaginaire, mais nous avons aussi découvert ses limites. Nous avons donc souhaité nous détacher du texte, car au théâtre tout est mis au service du langage. Aujourd’hui, nous travaillons la lumière, le mouvement et l’espace, sans faire du théâtre, mais nous nous en inspirons constamment. GH : La lumière, la temporalité, le mouvement et la narration amènent finalement cette notion d’art vivant qui est caractéristique du théâtre. Il y a toujours une narration derrière nos objets. Par exemple, dans Silo, nous avons investi l’abbaye Notre-Dame de Bernay et créé une installation faisant écho à l’histoire du lieu. Au centre de l’édifice, nous avons érigé un silo agricole de huit mètres de haut rempli de popcorn, car l’église fut transformée en une halle aux blés en 1814. En termes de matériaux, couleurs et technologies, qu'est-ce qui constitue vos installations ? AC : Dans nos créations, les sources de lumière sont simples et variées. Nous utilisons des filtres colorés, des filtres lumières, des matières brutes. Le mouvement est notre point de départ. Nous cherchons à associer la beauté de la matière à la beauté de la technologie afin de créer un mouvement dans l’espace. Les nouvelles technologies confèrent à nos installation poésie et magie.GH : Nous nous renouvelons beaucoup, donc nous ne nous enfermons pas dans un style. Avec notre lampe mobile Hypnos, nous nous sommes concentrés sur le rapport entre le sable et la lumière pour façonner l’objet. Nous aimons les choses simples mais derrière l’apparente simplicité de nos objets se cache une grande complexité technique. Que questionnez-vous dans vos créations ? AC : Avec nos installations, nous nous intéressons à la magie, à la poésie et à la narration, et nous cherchons à surprendre le regardeur. GH : La question n’est pas arrêtée. Nous sommes très curieux, et nous puisons nos inspirations dans divers domaines. Quand nous collaborons avec un lieu, nous pouvons nous inspirer de l’histoire du site. Quand nous concevons nos propres objets, nous questionnons l’essence de notre travail. Comment voir ? Comment représenter ? Comment surpendre ? Créer c’est aussi raconter. Comment jouez-vous avec la perception ? AC : Nos objets plongent les spectateurs dans une sorte d’expérience du regard. Nous nous approprions des artifices du théâtre pour créer des effets. Dans notre installation Dichrofield réalisé pour le Jam Hôtel de Bruxelles, le mécanisme est visible. Dans certaines de nos créations, la technique est très belle, et nous souhaitais la monter. Dans d'autres, nous préférons garder une part de mystère. Comme au théâtre, nous avons appris à fabriquer des illusions, des leurres.GH : Nous jouons avec la perception grâce à des artifices, qui sont inspirés de la magie et du théâtre. Quand nous présentons nos installations, les regardeurs cherchent souvent le trucage. À Bernay, le directeur du théâtre Le Piaf nous a commandé une servante de théâtre. Nous avons fabriqué nos Ghost lamps en montant des ampoules sur une structure en acier. À la nuit tombée, ces lampes se mettent à s’allumer et à bouger comme par magie, et résonnent alors avec les fresques murales de l'artiste Elliott Causse.  Pourriez-vous me parler de Umbra, votre dernière sculpture en mouvement inspirée par le phénomène de l'éclipse totale ?AC : À la dernière foire Collectible, quand nous avons exposé Umbra, les visiteurs s’arrêtaient pour contempler la lampe. Dans un monde régi par l’efficacité, se retrouver face à des objets au fonctionnement mystérieux déroute. Umbra est doté d’un moteur qui permet de faire tourner le disque de la lampe très lentement. Lorsque la lumière est allumée, le disque tourne selon un temps aléatoire, défini en fonction de la durée des éclipses solaires totales du XXIème siècle. GH : Umbra est une lampe légère et suspendue qui a son propre cycle de vie. Avec Appoline nous réfléchissons souvent sur les phénomènes naturels. Récemment, nous nous sommes lancés dans un travail de recherche sur l’éclipse, et avons étudié les mouvements les plus élémentaires de ce phénomène naturel spectaculaire.  Quelles sont vos autres projets et collaborations prévus prochainement ? AC : Nous allons collaborer avec une maison d’édition pour présenter notre création Umbra. GH : Nous travaillons sur notre installation System, qui sera exposée dans le hall d’accueil d’un espace de coworking avenue Louise à Bruxelles. Nous nous concentrons également sur de nouvelles créations autoproduites. Quel serait votre installation rêvée ? AC : Nous voudrions nous inspirer de la tradition japonaise du Hannabi, une version minimaliste du feu d’artifices qui reprend le cycle de floraison d’une fleur.GH : En effet, nous aimerions beaucoup travailler sur le feu d’artifices, car cela associe l’espace, la lumière, la couleur, la représentation. Pour en savoir plus, visitez le site du Studio Élémentaires.Photographies : © Studio ÉlémentairesLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 316 jours

Une ville des métiers compatible avec la vie en collectivité ?

La ville désindustrialisée et transformée en produit immobilier monofonctionnel se révèle anxiogène. Pour autant, quels espaces concevoir quand nul ne sait ce que sera l’industrie demain sinon que les espaces de travail et de production seront atomisés ? Tribune. Le travail des architectes consiste à dessiner aujourd’hui des espaces qui seront destinés à abriter les activités […] L’article Une ville des métiers compatible avec la vie en collectivité ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 316 jours

La "Silicon Wadi", projet israélien controversé à Jérusalem-Est

Dans une vidéo, la municipalité de Jérusalem vante la centralité et le "potentiel" du quartier palestinien de Wadi al-Joz, situé en contrebas de la Vieille ville et ceinturé par de grands axes routiers.Environ 250.000 m² seront alloués à des entreprises de la high-tech, 50.000 à des commerces en tout genre et 50.000 de plus à des hôtels, pour un coût total de 2,1 milliards de shekels (538 millions d'euros), explique la municipalité.Comme si Dubaï était transplanté dans les faubourgs palestiniens de la Ville sainte.Pour réaliser cette vision futuriste, les autorités de Jérusalem doivent relocaliser 200 commerces, ateliers et boutiques.Ce projet pourrait signifier la mort du garage familial de Fathi al-Kurd, 77 ans, qui a pignon sur rue depuis 1966 à Wadi al-Joz."Nous ne pouvons pas faire face à ce gouvernement, mais nous souhaitons au moins qu'il nous offre une alternative", confie M. Al-Kurd à l'AFP. "Mon fils a quatre enfants, s'il ne travaille pas une semaine, lui et les siens auront faim.""Un employé municipal est déjà venu nous voir l'été dernier pour nous dire que l'expulsion se préparait", dit son fils, Mohannad.En Israël, pays qui se surnomme la "start-up nation", le secteur des hautes technologies compte pour 10% des emplois et près de 50% des exportations. Et la mairie de Jérusalem espère transformer Wadi al-Joz, qui concentre de nombreux garagistes, mécaniciens et carrossiers, en "nouveau centre high-tech de Jérusalem-Est".Sous occupation de l'État hébreu depuis 1967, Jérusalem-Est est le foyer de 300.000 Palestiniens et 200.000 colons juifs.Les terrains destinés à la "Silicon Wadi" ("wadi" signifie vallée en arabe, en référence à la "Silicon Valley" américaine) restent la propriété de familles palestiniennes.Parmi elles, celle de Nayef Al-Kiswani assure posséder 3.000 m² dans le secteur. Chemise bleue, assis devant sa quincaillerie, il affirme qu'il y a bien eu des pourparlers avec la municipalité sur ce projet.Mais lui aussi veut sa part du gâteau. "Je veux obtenir une indemnisation financière et obtenir des licences pour construire des magasins, des bureaux et des appartements", espère-t-il."Ce projet des forces d'occupation existe et notre opposition n'y changera rien, mais il ne faut pas tout perdre non plus", dit-il, mi-résigné, mi-stratège.Pour l'économiste Mohammed Qirsh, si les propriétaires sont expulsés sans contrepartie, les pertes financières leur seront "désastreuses". Ceux qui ont reçu un avis d'expulsion envisagent de former un comité pour contester la décision."Judaïsation"?Devant l'entrée de sa carrosserie, Khalil al-Hawash estime que le projet de "Silicon Wadi", dont le slogan est "les rêves deviennent réalité", a pour but de "vider la ville de ses habitants palestiniens".Lui aussi se demande si la mairie va lui donner une compensation ou l'aider à se réinstaller ailleurs. "C'est comme s'ils nous lâchaient au milieu de nulle part et nous disaient 'débrouillez-vous'", se désole ce père de quatre enfants.Selon la mairie, le projet doit au contraire permettre de réduire les inégalités économiques à Jérusalem-Est, grâce à la création de 10.000 emplois.Il "augmentera le taux d'emploi des femmes de Jérusalem-Est" et "accroîtra la confiance entre les habitants de cette partie de la ville, la mairie et le gouvernement", promet la mairie.Kamal Obeidat, le président de la Chambre de commerce palestinienne de Jérusalem fustige un projet qui ambitionne selon lui d'"effacer" certains secteurs de la ville pour les "judaïser".Khalil al-Tufakji, chercheur à l'Association des études arabes de Jérusalem, abonde aussi dans ce sens. Sous couvert d'investissements, la "Silicon Wadi" fait la promotion d'une vision "politique", juge-t-il. Et celle-ci s'incarne dans le développement d'un Jérusalem-Est sans ses commerçants palestiniens.
Il y a 4 ans et 316 jours

Lydos Hybrid : Le chauffe-eau hybride innovant et économique

Une innovation qui fait faire des économiesSa fonction I Memory gère automatiquement les sources d'énergie et optimise leur utilisation, jusqu'à 50 d'économies sur la facture d'eau chaude On compte en effet 50 d'économies d'énergie en plus par jour par rapport à un chauffe eau électrique standard de classe B.Un chauffe eau intelligent pour répondre à différents types de besoinsModèle idéal pour un foyer allant d'une à trois personne, le Lydos Hybrid a été conçu avec une intelligence hybride. Ce chauffe eau analyse automatiquement les habitudes de consommation d'eau chaude du foyer, afin de délivrer seulement le volume nécessaire, en fonction des besoins. Disponible également en volume 100 litres, son alimentation en eau chaude est rapide.Une installation en toute simplicitéLe Lydos Hybrid a été créé dans l'objectif de s'adapter parfaitement aux exigences d'un chauffe eau standard. Ainsi, ce chauffe eau hybride ne nécessite aucun perçage pour les gaines d'air et pas de modification du tableau électrique. Une installation en toute simplicité.
Il y a 4 ans et 316 jours

Les architectes au défi du "monde d'après" - Débats à la Cité de l'archi

Pour penser le "monde d'après", l'architecte doit relever les défis qui s'imposent à lui aujourd'hui. Son métier, son rapport à l'écologie et à la conception de la ville et du logement, autant de sujets que la crise sanitaire a ébranlé. La Cité de l'architecture et du patrimoine […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 316 jours

Activité presque normale sur les chantiers de Vinci, mais incertitude dans les aéroports

Sur les chantiers, "l'activité se situe actuellement à près de 90% de son niveau normal estimé en moyenne", a détaillé Vinci dans un communiqué quelques heures avant son assemblée générale.Le groupe, qui avait déjà renoncé à ses objectifs, n'a pas donné de prévision chiffrée sur l'impact de la crise sur ses comptes. Il a seulement prévenu que son chiffre d'affaires et ses bénéfices seraient affectés "de manière très significative" cette année.La crise du coronavirus a conduit de nombreux pays, dont la France, à prendre de strictes mesures de confinement qui ont, de fait, mis à l'arrêt momentané beaucoup de chantiers pour des raisons sanitaires."En France, où le groupe réalise environ la moitié de son chiffre d'affaires, l'activité a été très faible dans le bâtiment et les travaux publics pendant environ un mois à compter de l'entrée en confinement" à la mi-mars, a précisé Vinci."Dans de nombreux autres pays, elle s'est, en revanche, maintenue à des niveaux proches de la normale", a-t-il tempéré.Si la situation retrouve une relative normalité dans les chantiers, Vinci fait face à des perspectives toujours incertaines dans les aéroports, un secteur dans lequel il s'est massivement développé ces dernières années.Face à une restriction quasiment généralisée des voyages à travers le monde, l'activité de ses aéroports a été presque nulle en avril et mai."En juin, une reprise progressive de l'activité s'est amorcée pour les vols domestiques - notamment en France, au Japon et aux États-Unis - et les vols à l'intérieur de l'espace Schengen", a expliqué Vinci."Elle devrait être suivie, à partir du 1er juillet, d'une reprise progressive des liaisons internationales, la trajectoire de celle-ci restant, à ce stade, plus incertaine", a conclu le groupe, qui n'a pas non plus retrouvé un trafic normal sur ses autoroutes.
Il y a 4 ans et 316 jours

Husqvarna Construction Products France : une nouvelle stratégie ambitieuse pour devenir le partenaire privilégié des sociétés spécialisées dans le béton

Husqvarna Construction Products France, une histoire en béton Né il y a 330 ans en Suède, le groupe mondial Husqvarna se compose de 3 divisions : • Husqvarna, leader des produits d’extérieurs motorisés (tronçonneuses, robots tondeuses, …), • Gardena, spécialiste des solutions d’arrosage, • Husqvarna Construction Products, acteur incontournable de machines et d’outils diamantés pour l’industrie du béton. Présent dans le monde au travers de 9 usines et 4 centres de Recherche & Développement (Suède, Belgique, Bulgarie, Chine, Etats-Unis, …), le groupe a pour moteur l’innovation. Avec un chiffre d’affaires de 4 milliards d’euros en 2019, il compte 13 000 collaborateurs. La division Husqvarna Construction Products emploie quant à elle 2000 personnes et a réalisé en 2019 un chiffre d’affaires de 573 millions d’euros. Riche de cette histoire industrielle familiale ancestrale, Husqvarna Construction Products France fait vivre la marque sur le territoire national auprès de ses clients (distributeurs, loueurs, scieurs, foreurs, démolisseurs, grands groupes et entreprises générales du BTP). Elle leur propose une gamme complète de machines et d’outils diamantés de très grande qualité pour la préparation, la pose, la mise en place, la coupe, le forage, le polissage et la démolition du béton, à l’horizontale comme à la verticale. Dirigée par Olivier Touzé, Husqvarna Construction Products France compte deux sites en France, basés à Bezons (95) et Blois (41), 65 collaborateurs et a réalisé en 2019 un chiffre d’affaires de 33 millions d’euros (+ 17 %). Représentant 32% du marché français des ventes de scies murales, 41% des découpeuses et 34% des ponceuses de sol grand diamètre avec ses marques Husqvarna et HTC, l’entreprise est devenue leader sur son marché. S’inscrivant dans la stratégie disruptive de développement du groupe, et malgré le contexte actuel, Husqvarna Construction Products France s’est fixé de nouveaux objectifs, à atteindre d’ici 2025, orientés sur l’expérience client. Husqvarna, l’expérience béton 360° « Pour devenir le partenaire privilégié des clients les plus exigeants, Husqvarna Construction Products France souhaite passer d’une offre produits à une offre globale intégrant toutes les gammes et les services dont ils ont besoin » explique Olivier Touzé, Directeur Général. Outre renforcer son efficacité dans la vente d’outils diamantés, Husqvarna Construction Products France a défini des leviers de croissance clés, parmi lesquels : • séduire ses clients foreurs, scieurs et démolisseurs et en fidéliser de nouveaux grâce à sa nouvelle gamme de foreuse (DM 400), ses solutions d’aspiration performantes conformes aux nouvelles obligations européennes liées à la silice cristalline ; • continuer à accompagner les grands distributeurs et loueurs historiques français en leur proposant des produits solides, ergonomiques et durables ; • développer un réseau de 15 à 20 partenaires distributeurs réparateurs agréés d’ici fin 2020 qui bénéficieront d’un programme de formation technique pour pouvoir maintenir et dépanner toutes les machines Husqvarna Construction en quelques jours, sur l’ensemble de la France ; • travailler avec les majors du BTP. L’ensemble de ces objectifs s’accompagne de services associés tels que : • les solutions complètes de financement (crédit-bail, location) ; • le développement de l’offre TotalCare comprenant le financement, la maintenance, la réparation et le Fleet Management (solution de gestion du parc machines grâce à l’internet de l‘objet) ; • et toujours, l’accompagnement technique des clients pour résoudre leurs problématiques béton. « Avec d’ores et déjà deux centres services Husqvarna à Bezons et Blois, puis l’installation des ateliers des partenaires agréés sur l’ensemble du territoire français, le service après-vente doit devenir ainsi notre avantage concurrentiel », conclut Olivier Touzé. Répondant aux problématiques rencontrées par les professionnels, la volonté d’Husqvarna Construction Products France d’améliorer l’expérience client se traduit par une nouvelle signature de marque « Husqvarna, l’expérience béton 360° » déclinée dans une campagne de communication. http://www.husqvarnacp.com/fr
Il y a 4 ans et 316 jours

Elections municipales... Vos textes officiels du mardi 23 juin 2020

La rédaction du "Moniteur" vous propose une sélection quotidienne des textes officiels intéressant le secteur. Le concept : du lundi au vendredi, un article d'alerte par jour, avec les textes BTP-centrés, résumés en quelques lignes. Au menu : droit de la construction, urbanisme, commande publique et privée, réglementation technique, logement, social…
Il y a 4 ans et 316 jours

Frans Bonhomme accompagne la reprise d'activité du BTP

Leader de la distribution en France et en Espagne, sur les marchés de Travaux Publics, Aménagement Extérieur, Assainissement Non Collectif et Bâtiment, le Groupe Frans Bonhomme se positionne pour soutenir la reprise des chantiers.Selon Pierre Fleck, Président du Groupe, « Alors que notre secteur, notamment les Travaux Publics, a été un des plus touchés par la crise, nous sentons depuis quelques semaines une forte reprise aussi bien en France qu'en Espagne. Nous continuons à rouvrir nos points de vente, notre site e-commerce connaît une très forte progression des commandes et dès aujourd'hui nos équipes commerciales repartent au contact de nos clients et prospects. Aussi bien sur nos sites qu'en télétravail nos collaborateurs sont extrêmement mobilisés au service des acteurs des Travaux Publics et du Bâtiment. C'est grâce à leur engagement et à leur expertise que Frans Bonhomme va retrouver progressivement les voies du retour à un niveau d'activité proche de l'avant-crise. »Cette reprise d'activité du groupe se poursuit parallèlement aux pourparlers avancés avec ses actionnaires et ses prêteurs afin d'apporter de nouveaux moyens financiers pour renouer avec la dynamique de gains de parts de marché qui a été accélérée par l'acquisition de DMTP fin 2019.
Il y a 4 ans et 316 jours

Prêts pour la transformation numérique !

L’utilisation du BIM est essentielle à la transformation digitale du secteur du BTP. Néanmoins, l’adoption du BIM est inégale dans le monde.
Il y a 4 ans et 316 jours

Generative design, l'architecture nouvelle génération

Technologie issue de l'industrie aéronautique, le generative design fait son apparition dans le secteur du bâtiment. Il devrait renouveler le management de la conception de projets architecturaux complexes.
Il y a 4 ans et 317 jours

La Convention citoyenne pour le climat rejette les 28 heures de travail par semaine

Il s'agit de la première des quelques 150 mesures soumises à l'adoption des membres à être rejetée. Beaucoup d'intervenants se sont notamment inquiétés des conséquences économiques de la mesure et de l'image qu'une adoption donnerait de leurs travaux."C'est totalement déconnecté de la réalité et c'est indéfendable dans le contexte actuel. Et cette mesure discrédite totalement la convention, c'est donner le bâton pour se faire battre. Si c'est proposé, ça sera rejeté et ça aura juste discrédité notre travail," jugeait ainsi Mélanie (en séance, les membres de la convention ne sont mentionnés que par leurs prénoms)."Le partage c'est beau mais avec la crise actuelle c'est pas possible. J'ai travaillé toute ma vie 50 heures par semaine en élevant seule deux enfants. C'est toujours les mêmes qui travaillent moins, toujours les mêmes qui travaillent plus et pour des salaires minables," lançait de son côté Marie-Hélène en refusant la mesure."C'est hors mandat par rapport à la diminution des gaz à effet de serre", jugeait de son côté Lionel, tandis que d'autres abondait: "Il faudrait une convention citoyenne séparée sur le travail"."Le télétravail avant c'était un ovni, personne n'imaginait ça. Mais l'application de cette mesure ça n'est pas dans six mois, c'est dans dix ans, il faut se projeter et réfléchir", répondait Sylvie pour défendre la mesure."On peut être d'accord ou ne pas être d'accord, mais ça n'est pas à vous de dire qu'on va avoir l'air de guignols", lançait Annie. "On a voulu dire que le modèle et le système ne nous conviennent pas, alors osons".
Il y a 4 ans et 317 jours

L'organisation patronale des professions libérales veut mobiliser l'épargne des particuliers

Plaidant que les petites entreprises de ces secteurs ont été "encore davantage impactées par la crise sanitaire que les autres entreprises", l'UNAPL propose de "faire en sorte que les aides financières accordées à des TPE (exploitées en nom propre ou en société) sous la forme de prêts à échéance de cinq ans puissent bénéficier des mesures d'incitation fiscale actuellement prévues pour les seules prises de participation dans des sociétés".Ces entreprises vont encore faire face "à d'importants besoins de financement durant la période qui s'ouvre devant nous", affirme encore l'UNAPL, pour qui "tout doit être mis à contribution pour satisfaire ces besoins".L'UNAPL, organisation patronale qui fédère 67 organisations syndicales des professions de la Santé, du Droit, du Cadre de vie et technique, indique avoir fait la démarche "avec le soutien de l'U2P", l'Union des entreprises de proximité.
Il y a 4 ans et 317 jours

Relations entre grands groupes et start-up : où en est-on ?

ETUDE. Il est désormais acquis que les grands groupes et les start-up collaborent ensemble sur de nombreux projets. Quels sont les avantages et les freins qui persistent ? Téléchargez le 4ème Baromètre - Le Village by CA, écosystème unique où startups et grands groupes réalisé en collaboration avec Capgemini.
Il y a 4 ans et 317 jours

Feuille de route en 3 axes pour l'Agence nationale de cohésion des territoires

COLLECTIVITÉS LOCALES. Lors de son conseil d'administration, le 17 juin, la présidente de l'ANCT Caroline Cayeux a présenté le socle sur lequel s'appuiera l'agence, pour soutenir les projets des territoires dans un contexte de relance de l'économie.
Il y a 4 ans et 317 jours

Rénovation : réactions contrastées sur les propositions de la convention climat

OBLIGATION. Les réactions n'ont pas tardé à pleuvoir après la présentation des propositions de la Convention citoyenne pour le climat portant, notamment, sur la rénovation énergétique. Parmi les acteurs du secteur, plusieurs associations ont trouvé un écho à leurs demandes de longue date.
Il y a 4 ans et 317 jours

Le Sénat présente dix-sept mesures pour sauver et relancer les PME, le commerce et l'artisanat

Élaborées en coordination avec le bureau de la Délégation aux entreprises, présidée par Élisabeth Lamure, ces mesures poursuivent deux objectifs principaux :à court-terme, sauvegarder le tissu commercial et artisanal français, en évitant une vague de faillites dont l'impact économique, social et sur le dynamisme de nos territoires serait dramatique ;préparer l'avenir et relancer durablement ces secteurs, en renforçant leur situation financière, en accélérant la numérisation des PME-TPE et en soutenant le commerce de proximité.Pour Serge Babary, « nombre de commerçants et d'artisans sont dans une situation critique, et ne bénéficieront pourtant pas du prolongement des aides annoncé par le Gouvernement. Ce dernier obéit à une logique sectorielle (restauration, culture, événementiel), ce qui le conduit à oublier les entreprises, souvent des PME, qui dépendent fortement de ces secteurs sans pour autant bénéficier de la même visibilité médiatique. L'approche doit au contraire être fondée sur les difficultés économiques concrètes, et inclure les entreprises tout au long de la chaîne d'approvisionnement ou de production ».En conséquence, les sénateurs préconisent de maintenir le Fonds de solidarité jusqu'au 31 décembre, non pas uniquement pour les entreprises de certains secteurs, mais pour toutes celles qui continuent d'enregistrer une baisse de 50% de leur activité. De la même façon, ils appellent à une prolongation de l'activité partielle et de sa prise en charge à 100% par l'État pour les entreprises qui continuent d'enregistrer de lourdes pertes d'exploitation. Une baisse du taux de TVA pour les secteurs les plus touchés est également proposée : elle présente l'avantage soit de bénéficier aux consommateurs, si elle est répercutée dans les prix, soit de permettre aux entreprises de reconstituer leur trésorerie, ce dont elles ont un besoin urgent.En outre, si les prêts garantis par l'État et les reports de charges se sont révélés être des solutions efficaces à très court terme, ils augmentent fortement l'endettement des PME et érigent un mur de la dette qu'elles risquent de ne pas pouvoir franchir, au détriment de leurs capacités d'investissement et de développement. Pour y faire face, les sénateurs appellent à renforcer les fonds propres des TPE-PME via des prêts participatifs ou des obligations convertibles, en lien avec les régions.Par ailleurs, la crise a mis en lumière les conséquences d'une des fragilités majeures des PME françaises : leur insuffisante numérisation, qui se traduit pour les commerçants par un faible recours aux ventes en ligne.Comme le rappelle Élisabeth Lamure, présidente de la Délégation aux entreprises, « face à l'interdiction d'accueil du public, les seules entreprises qui ont pu compenser – légèrement ‑ leurs pertes de chiffre d'affaires sont celles qui ont procédé à des ventes en ligne, soit via une livraison directe, soit sous la forme de click & collect ou de drives, à hauteur environ de 20 à 25% de leur chiffre d'affaires habituel. Or si 70% des consommateurs achètent et paient en ligne, seule une PME sur huit fait usage de solutions de vente en ligne, ainsi que le notait l'an dernier un rapport de la Délégation ».Par conséquent, les sénateurs proposent la mise en place d'un crédit d'impôt à la numérisation des PME, à destination des chefs d'entreprise et des salariés, qui couvrirait notamment une partie des dépenses de formation, d'équipement, et de services annexes. Ils préconisent également le déploiement à l'échelle nationale d'une plateforme publique, qui permettrait le référencement des commerçants et artisans qui le souhaitent, la publicité de leur catalogue de produits et services et de procéder à des ventes en ligne. Cet outil pourrait être la généralisation de la plateforme « Achatville », initiative bienvenue du réseau des chambres de commerce et d'industrie, aujourd'hui circonscrite à 29 départements.La relance de ces secteurs passe également, bien entendu, par celle du commerce de proximité. Pour Anne Chain-Larché, « le commerce de proximité, loin de se réduire à une activité de vente ou de prestation de services, joue avant tout un rôle social fondamental, alliant contacts humains, conseils au client, valorisation et maintien de savoir-faire précieux, animation des principaux lieux de vie et de socialisation. La relance du commerce de proximité est donc certes un enjeu économique, mais c'est aussi une nécessité vitale d'un point de vue sociétal, un atout fondamental de l'aménagement du territoire ».Il est ainsi proposé de préserver le FISAC (Fonds d'intervention pour la sauvegarde de l'artisanat et du commerce), d'augmenter fortement ses fonds et de mieux associer les élus locaux à ses décisions. Par ailleurs, un vaste plan de communication nationale afin de sensibiliser les consommateurs à l'importance du commerce de proximité et à ses difficultés pourrait être lancé.Enfin, l'apprentissage, pierre angulaire de l'artisanat, risque de connaître une « année noire » en 2020 si les carnets de commande restent peu remplis et que les employeurs n'embauchent pas d'apprentis. Ainsi que le note Fabien Gay, « cette situation est particulièrement grave : il ne s'agit pas seulement d'une hausse du chômage, qui à elle seule est déjà une conséquence dramatique de la crise. Il s'agit également d'une fragilisation de la capacité de la France à se redresser. En effet, les contrats non signés en 2020 représentent autant de compétences en moins pour les années à venir ».Si les mesures de soutien à l'artisanat annoncées par le Gouvernement le 4 juin vont dans le bon sens (notamment l'aide à l'embauche), les sénateurs proposent de les compléter et de revenir sur une inégalité de traitement qu'elles induisent entre jeunes. En effet, l'aide n'est versée que pour les formations au-dessous du niveau « licence pro ». Cette inégalité de traitement est difficilement compréhensible : une entreprise qui embauche un jeune en master peut également faire face à une chute drastique de son activité.« Surtout, un jeune en master a tout autant besoin d'être embauché à l'issue de sa formation qu'un jeune en bac pro, par exemple. Nous proposons donc d'octroyer cette aide quel que soit le niveau de diplôme préparé », explique Fabien Gay.Pour Sophie Primas, présidente de la Commission des affaires économiques, « les commerçants et artisans affrontent là une troisième crise en deux ans, après avoir perdu 30% de leur activité pendant la crise des gilets jaune et subi une baisse de fréquentation en décembre 2019 du fait des mouvements sociaux. Leur survie est en jeu, de même que celle de leurs fournisseurs. Il est absolument fondamental que le plan de relance qui leur est destiné ne se limite pas aux secteurs encore interdits d'accueil du public. Ces dix-sept recommandations prennent la mesure de cette urgence ». Pour lire l'étude : cliquez ici
Il y a 4 ans et 317 jours

L’école en restanque de MDR en surplomb de la plaine de Nîmes

Le pôle éducatif Jean d’Ormesson, livré en février 2020 à Nîmes (Gard) par l’agence montpelliéraine MDR (Sancie Matte-Devaux, Frédéric Devaux et Arnaud Rousseau) regroupe médiathèque et groupe scolaire sur un site très en pente juste avant les pinèdes et les collines. Depuis ce point dominant, le projet se développe en restanque, avec des vues extraordinaires […] L’article L’école en restanque de MDR en surplomb de la plaine de Nîmes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 317 jours

La relance "verte" à la recherche du PIB de demain

Les PIB "verts"Dès 1972, les économistes William Nordhaus et James Tobin proposent un calcul de la croissance qui prendrait également en compte notamment le travail non rémunéré, le temps de loisir et les effets négatifs de l'urbanisation sur l'environnement ("disamenities of urbanisation") dans un indicateur qu'ils nomment Mesure du bien-être économique (MBE).En 2006, la Banque mondiale conçoit le principe de l'"épargne nette ajustée". Calculée pour 120 pays et régulièrement mise à jour, elle ajoute à l'épargne nette nationale les dépenses en éducation et lui soustrait l'épuisement en énergie, en minéraux et en ressources forestières, et les dommages causés par le dioxyde de carbone et les émissions de particules.L'ONU a proposé au Sommet de Rio en 2012, son "Indicateur global de richesses" (IGR), qui cumule capital économique, social et naturel.Pour Richard Black, directeur du groupe de réflexion Energy and Climate Intelligence Unit, "l'un des problèmes avec tous les indicateurs alternatifs, c'est qu'il y en a tellement"."Le PIB est un concept très simple", estime l'analyste. "Mais à partir du moment où on dit qu'il doit inclure les émissions de carbone, quelqu'un d'autre peut estimer qu'il devrait d'abord inclure les ressources naturelles. Rapidement, ça devient une conversation très académique. Il y a toujours quelque chose en plus qu'il faudrait pouvoir prendre en compte".Tableau de bordEn France, une commission présidée par le Prix Nobel d'économie Joseph Stiglitz planche en 2008 pour "déterminer les limites du PIB en tant qu'indicateur des performances économiques et du progrès social"."La Commission a fait valoir que ce serait une erreur d'essayer d'avoir une mesure unique qui englobe tout, rappelle M. Stiglitz. Nous avons plaidé pour un tableau de bord".Le rapport reproche notamment aux PIB "verts" de permettre de compenser par exemple des émissions de CO² par le fait d'investir dans des machines qui en produisent davantage. Il préconise l'utilisation d'un indicateur monétaire relatif à la soutenabilité économique, flanqué de diverses mesures physiques de l'impact environnemental.Emissions carboneParmi ces mesures, les émissions de carbone constituent un facteur important.Elles présentent cependant le risque de minimiser les dégâts sur l'environnement, selon l'économiste spécialiste des indicateurs Florence Jany-Catrice, puisqu'un pays peut être bien classé "en exportant par exemple une partie de sa pollution dans d'autres pays. C'est le cas de la France: on est bons en termes d'émissions mais pas en termes d'empreinte".Pour empêcher cela, estime pour sa part John Ferguson, analyste à l'Economist intelligence Unit, "nous avons besoin de beaucoup plus de données sur les émissions de carbone, en particulier tout au long de la chaîne d'approvisionnement".La difficulté de tels outils réside dans leur aspect prédictif. "La statistique économique habituelle, c'est mesurer le présent", explique Didier Blanchet, directeur des études et synthèses économiques de l'Insee. "Quand on parle des dommages futurs de la tonne de CO2 émise, c'est monstrueux, on ne peut que construire des hypothèses".A l'Insee, les indicateurs physiques liés à la soutenabilité ont été "bien renforcés" durant la décennie qui a suivi le rapport, poursuit Didier Blanchet, "mais on bute toujours sur la question de la conversion en équivalent monétaire qu'on pourrait +brancher+ sur les chiffres de la comptabilité nationale". C'est-à-dire sur l'incontournable PIB, qui mesure la richesse créée en l'espace d'une année.Dette climatiqueInstrument prédictif aussi mais moins complexe, l'idée de dette climatique étudiée par l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) par rapport aux ambitions des Accords de Paris."On s'est engagés à respecter zéro émission nette en 2050", développe Didier Blanchet. "Compte tenu de l'état des connaissances et de ce qu'on sait des coûts et techniques de décarbonation, on peut chiffrer que respecter cet objectif va nous coûter en cumulé une année de PIB environ".Empreinte écologiqueExplicitement fondé sur la notion de soutenabilité et vulgarisé aujourd'hui par le WWF, le concept d'empreinte écologique mesure la surface nécessaire pour produire ce que nous consommons et absorber nos déchets.Il permet également de calculer le jour du dépassement, celui à partir duquel toute la ressource environnementale est consommée. Cette date, qui était tombée le 29 juillet en 2019, sera repoussée de trois semaines cette année grâce au confinement."Malgré ses problèmes méthodologiques, c'est un instrument pédagogique absolument essentiel", estime Florence Jany-Catrice, co-fondatrice du Forum pour d'autres indicateurs de richesse (FAIR). Pour elle, l'un des enjeux majeurs est celui des "irréversibilités", des points de non-retour dans la destruction de l'environnement."Il n'y a pas d'indicateur magique qui va permettre de régler cette question", avertit-elle.
Il y a 4 ans et 317 jours

Ameublement : qui se trouve derrière l'offre de reprise d'Habitat ?

RACHAT. Fin septembre 2019, Cafom maison-mère de l'enseigne d'ameublement Habitat lançait une procédure de cession de sa filiale. Une offre de reprise vient d'être dévoilée. Détails.
Il y a 4 ans et 317 jours

Olivier Salleron prend les rênes de la Fédération française du Bâtiment

Olivier Salleron, élu président de la Fédération Française du Bâtiment (FFB) le 20 mars dernier, a constitué son équipe et annonce le lancement d’Etats généraux de la Construction.