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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87527 résultats)
Il y a 4 ans et 310 jours

Qui sont les quatre nominés pour le Grand Prix de l'urbanisme ?

RÉCOMPENSE. Le Grand prix de l'urbanisme 2020 sera annoncé le 9 juillet. Le jury, qui s'est réuni mi-juin, a retenu quatre personnalités.
Il y a 4 ans et 310 jours

Les architectes appuient les propositions des citoyens de la Convention climat

Les propositions sont "dans la ligne de celles que le Conseil a porté auprès du gouvernement, lors du grand débat national, ou plus récemment auprès des maires", souligne-t-il dans un communiqué."Construire et rénover avec le meilleur bilan écologique est possible, que cela soit lors du chantier et pendant la vie du bâtiment, en utilisant des matériaux sains, biosourcés, et en circuit court", estime le conseil de la profession, alors que les besoins de logements restent toujours très importants en France.Les architectes se prononcent pour l'arrêt de "l'artificialisation des sols". La convention citoyenne, estiment-ils, "insiste à juste titre sur la nécessité de réinvestir les friches et les zones commerciales obsolètes des entrées de ville", soit "des centaines de milliers d'hectares artificialisés et mono-fonctionnels".Parmi ses propositions, remises au gouvernement, les 150 membres de la Convention citoyenne plaident notamment pour une rénovation énergétique obligatoire des bâtiments d'ici à 2040, avec un système progressif de prêts et subventions, remboursés par les économies réalisées. Le secteur du logement et du bâtiment représente de l'ordre de 20% des émissions de gaz à effet de serre en France.Aborder la question de la rénovation des bâtiments "uniquement par le volet énergétique est un frein", juge pour sa part le Conseil de l'Ordre des architectes, pour qui "la conception, en neuf comme en rénovation, doit prendre en compte tous les paramètres de la qualité d'usage, le fonctionnement, la valeur patrimoniale, l'adaptabilité de l'habitat aux transformations de la structure familiale et au choc climatique, et évidemment les volets santé et énergie".
Il y a 4 ans et 310 jours

L'État "indifférent" à la reconversion de Fessenheim selon un député LR

"L'enjeu politique pour le gouvernement, ce fut la fermeture de Fessenheim. Pour ce qui est de la suite, l'État est indifférent", a déploré le député devant la presse à Colmar, à l'issue d'une visite de la centrale par une délégation de cinq députés de la mission d'information qu'il préside.M. Schellenberger a pointé les "contradictions criantes" de l'État. Le préfet du Haut-Rhin, avec lequel la délégation s'est entretenue lundi, "trouve que pas assez de projets innovants viennent du territoire", or des élus rencontrés le même jour ont rappelé les "projets innovants" autour de l'hydrogène "dix fois présentés, et dix fois écartés", a fait valoir le député."Les collectivités locales, elles, ont fait ce qu'elles avaient à faire", a-t-il assuré.La mission d'information s'est rendue à Fessenheim à une semaine de l'arrêt définitif du second réacteur de la centrale, prévu le 30 juin, étape décisive avant une longue phase de démantèlement.Sa délégation n'a toutefois pas pu visiter les installations nucléaires proprement dites, la direction du site ayant fait valoir la "tension sociale et humaine" à l'approche de cette échéance, a rapporté M. Schellenberger. "Je le comprends", a-t-il réagi.Constituée en février dernier, la mission d'information de l'Assemblée nationale relative au suivi de la fermeture de la centrale est chargée pendant un an de mener des visites de terrain et des auditions de représentants d'EDF, de l'État, des syndicats ou encore des associations anti-nucléaires.Les auditions déjà conduites ont mis en évidence "un manque d'engagement et d'intérêt de l'État", a insisté M. Schellenberger dans un texte remis à la presse lundi.Le député a cité "le projet de technocentre (site-pilote pour le démantèlement de centrales nucléaires) désapprouvé puis finalement soutenu avec prudence par la ministre (de la Transition écologique) Elisabeth Borne", les questions fiscales longtemps en suspens, ou "le peu, 10 millions d'euros, dont bénéficie le territoire" au regard des 400 millions d'euros minimum d'indemnités versées à EDF.
Il y a 4 ans et 310 jours

Studio Briand & Berthereau : Galerie La Serre, espace pour l’art contemporain de l’Arbre Blanc

Le Studio Briand & Berthereau a aménagé l’espace, dessiné le mobilier et imaginé l’identité de la galerie La Serre, un lieu d’exposition installé au rez-de-chaussée de l’Arbre Blanc à Montpellier (34). Créé en 2011 par Joran Briand et Arnaud Berthereau, le Studio Briand & Berthereau s’est employé à concevoir un intérieur épuré et modulable pour accueillir la galerie La Serre, une galerie d’art dédiée à la création contemporaine. L’idée du studio était de créer un espace d’exposition, mais aussi un lieu de vie et de travail. Cet espace de 440 mètres carrés réparti sur deux niveaux a été spécialement aménagé pour entreposer et exposer des œuvres d’art, ainsi que servir de bureaux. Au rez-de-chaussée, se trouvent l’espace d’exposition et la pièce de consultation. À l’étage, se situent les bureaux, les salles de réunion et l’espace de workshops. Entièrement modulables, les espaces ont vocation à évoluer en fonction de la programmation. Une grille a en effet été placée sous le plafond de la galerie pour suspendre des spots, et des panneaux dessinés sur mesure sur lesquels accrocher des œuvres. Une scénographie spécifique peut ainsi être inventée à chaque exposition. Pour en savoir plus, visitez le site du Studio Briand & Berthereau. Photographies : © Studio Briand & BerthereauLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 310 jours

Transition écologique : Macron annonce 15 Mds € supplémentaires sur 2 ans

EXÉCUTIF. Emmanuel Macron s'est exprimé ce 29 juin 2020 devant les 150 citoyens de la Convention pour le climat pour leur annoncer qu'il était favorable à la quasi-totalité des mesures qu'ils ont proposé. Le chef de l'Etat a promis "un fonds de transformation écologique", destiné notamment au bâtiment.
Il y a 4 ans et 310 jours

Retour d'expérience sur l'utilisation de Rockfleece B Energy de Rockwool

Une alternative mêlant qualité et durabilité « Notre choix de passer sur un système soudable est basé sur la qualité et la durabilité dans le temps »Rockfleece B Energy est constitué d’un parement en voile de verre et permet de faire du soudé en plein. Utilisé en épaisseur de 140 mm sur ce chantier bâtiment neuf de 950 m2 à destination d’une enseigne de distribution de matériaux, le panneau isolant apporte, selon Hervé Soubeyrand, « une meilleure adhérence sur le complexe d’étanchéité final tout en limitant le nombre de fixations sur la toiture ». C’est justement pour ces raisons que Sleico, qui oriente son offre vers des solutions techniques durables et soudées en plein, a été curieuse d’essayer ce nouvel isolant.Conséquence : une diminution des poinçonnements avec l’usage ultérieur – tels que ceux résultant de la circulation sur les toitures – qui assure ainsi la pérennité de l’installation au fil du temps. Le produit est d’ailleurs assujetti à une garantie de 25 ans. « C'est un très bon rapport qualité prix et un bon système d'étanchéité »L’utilisation du soudé en plein permet également de se passer du recours à des systèmes renforcés généralement bien plus onéreux. Le produit présente donc un double avantage pour les étancheurs : tout en présentant un « retour dans le temps bien meilleur qu’un système bicouche basique » et donc une très bonne qualité du système d’étanchéité, ce panneau isolant garde le coût abordable d’un soudable. Des conditions de travail améliorées pour une meilleures productivitéBasé sur un voile de verre et non plus sur un bitume, Rockfleece B Energy facilite le travail des poseurs. En effet, cette nouvelle solution de soudé en plein rend la découpe du produit plus simple, d’autant qu’elle ne pollue pas les outils lors de la manipulation. Il en résulte une amélioration des conditions de travail sur les chantiers et, par extension, une amélioration notable de la productivité pour la société d’étanchéité. Elle apporte en plus une solution en lambda 0,036 pour les technologies soudées en plein ce qui réduit l’épaisseur et le poids des panneaux vis-à-vis des panneaux revêtus bitumes classiques.Découvrez le reportage sur le chantier et les explications de Michel Soria, chef de produit supports d'étanchéité et isolants bardage Rockwool en vidéo
Il y a 4 ans et 310 jours

Covid-19 : Cemex accompagne au mieux les acteurs du BTP grâce à son offre « Construire autrement »

Cette offre s'articule autour de trois volets : la protection des hommes, la relation clients et l'apport de solutions concrètes pour faire face aux nouvelles contraintes rencontrées par les entreprises de construction sur les chantiers, comme par exemple, limiter les manipulations, faciliter la distanciation physique ou encore rattraper les retards accumulés durant la période de confinement. « Maintenir l'activité de l'industrie de la construction est crucial, aussi bien pour l'économie française que pour la lutte sanitaire », indique Jean-Marie Modica, directeur matériaux France Sud. « Le secteur crée des infrastructures et des aménagements essentiels comme des établissements de santé ; CEMEX souhaite contribuer à cet effort en proposant des solutions facilitatrices à ses clients », ajoute-t-il.Protéger les hommesGrâce à l'élaboration de protocoles stricts de santé et sécurité spécifiques et à la sensibilisation de ses collaborateurs, CEMEX garantit la fourniture de matériaux de construction en toute sécurité, que ce soit lors de l'enlèvement des matériaux sur les sites CEMEX ou lors de la livraison et mise en œuvre des matériaux sur chantier. Par ailleurs, fort de son savoir-faire et de son dispositif industriel dédié à la fabrication d'adjuvants, CEMEX Admixtures a, dès le début de la crise sanitaire, adapté ses chaînes de production pour produire une solution hydroalcoolique que CEMEX commercialise à prix coûtant auprès de ses clients.Maintenir le lien à distance« Les équipes CEMEX se sont mobilisées pour analyser quelles solutions digitales pouvaient être mises en œuvre afin de faciliter les activités de nos clients en télétravail ou sur les chantiers sur lesquels la distanciation doit être assurée », indique Stéphanie Godicheau, responsable commerce digital. La plateforme digitale CEMEX Go est un outil pratique, rapide et sûr. Grâce à cette plateforme, les clients commandent leurs matériaux, suivent les livraisons, accèdent aux bons de livraison et factures depuis leur ordinateur ou téléphone, le tout à distance. Le contact physique est ainsi réduit au maximum.Améliorer la productivité des chantiersAvec son offre produits, CEMEX apporte un soutien précieux quant à la gestion des chantiers. La gamme evolution® des bétons autoplaçants diminue le nombre d'interventions humaines lors du coulage, les chapes fluides optimisent le temps de travail et les bétons fibrés suppriment la manipulation d'armatures. Hydratium® remplace les opérations habituelles de cure du béton tandis que les granulats en big bags limitent les manipulations et optimisent l'espace sur les chantiers. Les bétons Promptis®, CXB® Rapide et CXB® Accéléré permettent quant à eux de gagner en temps et en efficacité.Par ailleurs, la flotte des matériels de livraison CEMEX est adaptée aux contraintes inhérentes aux chantiers : accessibilité en hauteur, éloignement du point de coulage... En plus de la productivité, les pompes, malaxeurs-pompes et malaxeurs-tapis améliorent également la sécurité des équipes sur site et facilitent la mise en œuvre du béton.
Il y a 4 ans et 310 jours

Le lavoir parisien, aéré, séché et repassé par Atelier Confetti

Bâtiment du XIXe siècle situé dans le XIIe arrondissement de Paris, le Lavoir a été complètement réhabilité par Atelier Confetti et accueille désormais sur 550 m² les locaux de l’entreprise Gymglish, spécialiste des cours de langues en ligne. Communiqué. Ce lieu est l’un des derniers vestiges des 93 lavoirs municipaux construits dans Paris. Selon la […] L’article Le lavoir parisien, aéré, séché et repassé par Atelier Confetti est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 310 jours

L'esprit des lieux pour ressource: l'atelierPNG réhabilite le fort l'Ecluse

Décernée depuis 1983, le prix de l'Equerre d’argent a pour objectif de faire connaître le meilleur de la production architecturale réalisée sur le territoire français. Participez à la 38e édition en proposant votre réalisation avant le 11 septembre 2020 à minuit.   Qui succèdera à la […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 310 jours

Projet de PSE pour les 70 salariés d'une usine de mâts d'éoliennes en Picardie

Basée en Picardie depuis 2012, l'entreprise "a le regret d'annoncer qu'elle ne dispose pas de nouvelles commandes et de projets en vue pour le second semestre 2020", a-t-elle affirmé dans un communiqué."La demande de mâts en béton connait une baisse générale. En effet, la production de mâts en béton est essentiellement destinée aux éoliennes de grande hauteur dont le rythme de croissance escompté est en deçà des prévisions en France", a-t-elle ajouté.Wec Mâts Béton "se mobilise activement pour étudier les conditions de poursuite de ses activités, notamment par la recherche d'un repreneur, et trouver des solutions socialement responsables pour ses 70 employés".Le plan de sauvegarde de l'emploi, qui doit encore être homologué par la Direccte (Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi), a été ouvert le 18 juin, a précisé l'entreprise qui continue "d'honorer les commandes engagées".
Il y a 4 ans et 310 jours

Fiscalité du gazole: le gouvernement favorable à un report d'un an

Le gouvernement est favorable au report d'un an d'une mesure visant à supprimer un avantage fiscal sur le gazole non routier (GNR), carburant très utilisé par les secteurs du bâtiment et des travaux publics.
Il y a 4 ans et 310 jours

Les panneaux Rexolatte d'Unilin Insulation coiffent l'écosystème Darwin à Bordeaux

Partiellement réhabilitée sous l'impulsion d'un maître d'œuvre privé, cette zone de près de 20.000 m² est composée de bâtiments datant du XIXème siècle qui accueillent une multitude d'activités.Pour la rénovation complexe de la toiture d'un des bâtiments devant recevoir des bureaux en open-space à l'étage, les panneaux Rexolatte avec une sous-face acoustique noire perforée d'UNILIN Insulation ont été retenus pour leurs qualités thermiques, acoustiques et leur rapidité de pose.DARWIN, un écosystème où il fait bon travailler ou se détendreA la fois espace de travail et de détente, DARWIN est né sous l'impulsion d'un entrepreneur visionnaire, sur la friche de la caserne militaire Niel et des Magasins Généraux située sur les berges de la rive droite de Bordeaux. Cet écosystème unique, tourné vers l'entrepreneuriat responsable et la transition écologique, accueille des entreprises, des restaurants, une épicerie bio, des associations et un skatepark mais aussi des espaces dédiés au street-art.Rexolatte, des panneaux de toiture aux multiples avantages adaptés aux contraintes du chantierAfin de rénover la toiture de 2700 m² d'un des bâtiments de DARWIN déjà en exploitation au rez-de-chaussée et destiné à recevoir des bureaux en open-space à l'étage, l'entreprise de charpente MCE Perchalec a recommandé l'utilisation des panneaux Rexolatte. Composés de laine de roche à forte densité, ils bénéficient de qualités thermiques et acoustiques et leur mise en œuvre est simple et rapide.« Les murs étant en pierre de 60 cm d'épaisseur, les panneaux de toiture devaient bénéficier d'une résistance thermique élevée pour compenser l'absence d'isolation. Nous avons ainsi proposé Rexolatte avec une sous-face acoustique perforée en finition noire (Fibralux FR Black) teintée dans la masse, développée en partenariat avec UNILIN Panels pour ce chantier. Cette version décorative de la sous-face a tout de suite plu au client. Conformes aux exigences en matière d'incendie pour les ERP (classification B-s2-d0), les panneaux Rexolatte sont tout à fait adaptés à cette réhabilitation de bâtiment qui doit recevoir du public », explique Alexandre KATSELIS, conducteur de travaux de l'entreprise MCE Perchalec.Compte tenu des contraintes techniques du chantier, les panneaux Rexolatte de 4,60 m de long sont posés perpendiculairement au sens de la pente de la charpente métallique que souhaitait conserver le propriétaire.Permettant d'atteindre des portées importantes entre appui, ils reposent sur les fermes métalliques de la charpente. Au total, ce sont plus de 700 panneaux de 80 cm de large qui ont été mis en œuvre par 4 personnes sur le chantier.Entreprise de Charpente : MCE PERCHALEC, Blanquefort (33)
Il y a 4 ans et 310 jours

Communauté intentionnelle : l’exemple d’East Wind aux USA

La East Wind Community est cachée au plus profond des Ozarks du sud du Missouri et se définit comme une « communauté égalitaire et de partage des revenus ». Les 72 résidents de cet écovillage se partagent tout, des repas aux tâches ménagères et à l’espace de vie, en passant par le travail, les revenus, les responsabilités […]
Il y a 4 ans et 311 jours

Siège social d‘ANER, à Montreuil, de l’industrie aux bureaux par GSMA

Au sein d’un ancien îlot industriel de Montreuil (Seine-Saint-Denis), l’agence GSMA (Gaspard Saint-Macary Architecture) est parvenue à inscrire, sur 812 m² et pour un budget de 1,5 M€, le nouveau siège social d’ANER, une société spécialisée dans le nettoyage industriel. Livraison prévue : février 2021. Communiqué. Il s’agit de la reconversion d’une partie d’un îlot […] L’article Siège social d‘ANER, à Montreuil, de l’industrie aux bureaux par GSMA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 311 jours

Santé au travail : l'Assemblée vote une résolution symbolique, en attendant une loi

"Cette résolution est un préalable à une proposition de loi que nous souhaitons présenter d'ici la fin d'année", a redit la députée LREM Charlotte Lecocq, qui s'était déjà exprimée sur le sujet mi-juin.La ministre du Travail Muriel Pénicaud a souligné le lien avec l'épidémie du coronavirus, qui a donné une "acuité" et une "omniprésence inédite" à cet "enjeu de société"."Il faut améliorer la santé au travail significativement et installer au quotidien une culture de la prévention", a-t-elle insisté.Dans la résolution votée lundi, les marcheurs déplorent que "la santé au travail, tout comme la santé scolaire, soit encore l'un des parents pauvres des politiques de santé publique".Ils s'engagent à une réforme pour "doter la France d'un système d'acteurs de santé au travail plus efficace et tourné vers la prévention des risques professionnels".La députée du Nord Charlotte Lecocq (LREM) a assuré que la proposition de loi serait construite "en articulation étroite avec les négociations rouvertes" lundi dernier par "les partenaires sociaux". Les discussions sur ce sujet avaient échoué jusqu'ici.L'opposition a globalement jugé inutile la résolution, "des intentions, sans propositions concrètes", selon le LR Stéphane Viry, et une résolution "bavarde" et qui n'a "pas de plus-value", aux yeux du socialiste Alain David.La députée LFI Mathilde Panot a reproché à la majorité le rejet d'une proposition de loi LFI sur le burn-out en février 2018.Les partenaires sociaux ont repris lundi dernier les discussions. En février dernier, la reprise des négociations, six mois après un constat de désaccord, avait été interrompue par le confinement.La santé au travail a fait l'objet de deux rapports en 2018 et 2019 de Charlotte Lecocq.Sa proposition de confier la gestion des financements à l'Urssaf avait provoqué une levée de bouclier du Medef. Les partenaires sociaux craignaient une "étatisation" du système, avec la création préconisée d'une structure unique "France Santé Travail" sous tutelle des ministères du Travail et de la Santé.
Il y a 4 ans et 311 jours

Poullard : Un précurseur

Stéphane Poullard, gérant de la société éponyme : « Utiliser du béton recyclé à Chartres est presque devenu la norme ». [©ACPresse] Lancé le 23 novembre 2015, le granulat recyclé Granudem de Poullard a commencé à décoller. Ceci, avec la réalisation de chantiers pilotes. Comme la résidence Le Onze à Chartres, un ensemble de 12 logements livré en 2019 . La société possède plusieurs filiales dans le terrassement et la décontraction. Elle travaille en ce moment sur un chantier de démolition de 180 logements. Toujours à Chartres. Poullard produit 20 000 t de sables et de gravillons destinés au béton et 20 000 t pour le secteur routier. Sa centrale de BPE reste pour sa part anecdotique, avec environ 15 m³ fabriqués chaque jour. Avec un chiffre d’affaires en hausse de 20 % sur les deux dernières années, l’entreprise vient d’obtenir son brevet pour l’ensemble du process de fabrication de son béton 100 % recyclé. Elle vient aussi de recevoir la certification CE2+ de l’Afnor pour son granulat recyclé Granudem. Ce qui va lui permettre de fournir les centrales à béton. Et ce, avec un produit, qui rentrera dans la norme NF EN 206/CN. La grande majorité de ses granulats part aujourd’hui en vrac, pour alimenter les centrales locales Unibéton et Cemex. Le secret du Granudem ? « Pour réaliser un béton 100 % recyclé, il faut avoir travaillé sur un process pour sortir un sable et un gravillon de qualité, explique Stéphane Poullard, gérant de la société éponyme. Il faut en effet des granulats, qui ont une certaine résistance pour faire des bétons résistants. Toute la recette résidant dans le process de concassage, de criblage et de lavage des matériaux. » Le problème des stocks A partir de bétons de démolition, Poullard produit 20 000 t de sables et de gravillons destinés au béton et 20 000 t pour le secteur routier. [©ACPresse] D’ici la fin de l’année, Poullard espère commercialiser des blocs béton composé de sable 100 % recyclé et de gravillons de carrière. Intégrée au Plan Climat Air Energie territoriale (PCAET) de Chartres Métropole. Lequel outil pousse à l’utilisation de granulats recyclés dans la construction pour les bailleurs sociaux, l’entreprise s’installe aussi comme un acteur incontournable dans le tissu économique local. « Au départ, nous prêchions seuls dans le désert, mais la donne a changé, résume Stéphane Poullard. Désormais, utiliser du béton recyclé à Chartres est presque devenu la norme. Dans quelques mois, nous serons même en rupture de stocks de produits issus de la décontraction. Ce qui va nous contraindre à trouver de la matière première pour continuer de fournir nos clients. Nous cherchons surtout à vendre des granulats recyclés de très bonne qualité. Destinés au béton, plutôt que de les produire pour une mise en œuvre en grave routière. » Pour l’heure, le premier client reste la société Poullard elle-même. Qui, via sa filiale travaux, les utilise en travaux de terrassement et en VRD, avec des volumes en augmentation ces dernières années de 30 à 50 %. « La tendance s’est inversée. Ce qui nous oblige à chercher des chantiers de démolition pour maintenir nos stocks, poursuit Stéphane Poullard. Nous devons désormais alimenter les industriels situés autour de notre plate-forme de recyclage. Alors qu’auparavant, nous ne fournissions que nos propres chantiers. » Poullard qui songe déjà à se développer sur d’autres agglomérations étudie aussi la possibilité de valoriser d’autres produits, qui ne sont pas forcément issus de la déconstruction. Sans en révéler pour l’heure la teneur, secret industriel oblige. Non content d’être l’inventeur du premier béton 100 % recyclé. Poullard souhaite lancer dans les mois à venir un béton 100 % recyclé bas carbone. Une affaire à suivre…
Il y a 4 ans et 312 jours

T-PK ou la terrasse éphémère pour place de parking

Design for CollectiVe, un groupe de travail pluridisciplinaire qui vise à trouver des solutions concrètes pour un déconfinement, propose d’investir les places de stationnement au droit des restaurants et cafés avec T-PK, un dispositif construit réversible et économique garantissant la circulation des piétons sur les trottoirs et la sécurité des clients en terrasse. Communiqué. T-Pk […] L’article T-PK ou la terrasse éphémère pour place de parking est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 312 jours

Gymnote I, signé Reichen & Robert à Cergy-Pontoise

En juin 2020, quelques semaines après la sortie du confinement, GA Smart Building a livré le premier bâtiment de l’ensemble immobilier Gymnote à Cergy-Pontoise (Val-d’Oise). Communiqué du promoteur. Gymnote est un ensemble mixte de 11 000 m², composé d’un bâtiment de bureaux à destination de Ramsay Santé – l’un des leaders européens de l’hospitalisation privée […] L’article Gymnote I, signé Reichen & Robert à Cergy-Pontoise est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 312 jours

Une mère et ses deux enfants tués dans l'effondrement d'un bâtiment en Italie

La corniche, longue de près de 70 mètres, d'un ancien bâtiment industriel s'est effondrée soudainement sur la chaussée, ont indiqué ces agences.Une mère âgée de 38 ans se trouvait là avec deux de ses enfants de 15 mois et 5 ans, tous les trois ont été écrasés. La femme, d'origine marocaine, et son garçon de cinq ans sont morts sur le coup, tandis que le bébé, une petite fille, est morte peu après son évacuation à l'hôpital, a précisé l'agence Ansa.La scène s'est déroulée sous les yeux du frère aîné, âgé de neuf ans, qui se trouvait de l'autre côté de la route et a échappé à la chute de l'amas de briques et de pierres. Une passante de 42 ans a également été blessée.L'extraction des corps des victimes a pris plusieurs heures.L'incident a eu lieu dans la petite localité d'Albizzate, en périphérie nord-ouest de Milan en Lombardie. Le ministère public a ouvert une enquête pour meurtre et homicide involontaire.L'édifice concerné, sans étage, abritait autrefois une entreprise textile et accueille actuellement plusieurs commerces. Toute la zone a été bouclée et un bâtiment "jumeau", où se trouve un supermarché, a été fermé.
Il y a 4 ans et 312 jours

Nexity s’engage vis-à-vis de ses partenaires tpe/pme pour soutenir la reprise

Le Groupe Nexity se mobilise et prend des mesures concrètes pour accompagner la relance de l’activité immobilière en protégeant l’écosystème des entreprises les plus fragiles dans le contexte actuel. Il s’engage durablement auprès de ses partenaires TPE/PME du secteur du bâtiment en signant une charte autour de 4 axes : – donner aux entreprises une profondeur de carnet de commandes leur permettant d’anticiper leur activité ; – prendre en charge la part des surcoûts de chantiers directement liés à l’application des nouvelles normes sanitaires imputables au Covid ; – réduire les délais de paiements pour soutenir la trésorerie des TPE / PME ; – accompagner les TPE dans leur croissance par du mentorat et de la formation pour mieux maitriser les prix des fournitures. Plus spécifiquement, 1/ pour les petites et moyennes entreprises du secteur (moins de 250 salariés et un chiffre d’affaires annuel inférieur à 50 millions d’euro) : – Mettre en place une démarche partenariale pour trouver les solutions les plus équilibrées en matière de sécurisation du bilan et de la trésorerie de ces entreprises ; – Mettre au service des entreprises partenaires les conditions privilégiées négociées auprès des fournisseurs référencés pour maîtriser les prix des fournitures et les chaines d’approvisionnement ; – Prendre en charge tout ou partie des surcoûts de nettoyage et de désinfection des chantiers ; – S’engager à respecter des délais de paiement de 30 jours. 2/ pour les plus petites entreprises (moins de 10 salariés) – Désigner un interlocuteur privilégié dans le Groupe NEXITY pour les accompagner tout au long de nos relations ; – Faire bénéficier de formations dispensées à nos salariés aux salariés de ces entreprises lorsque cela est utile.
Il y a 4 ans et 313 jours

Un homme condamné à 2 ans de prison ferme dans l'affaire de l'attribution du marché du "Pentagone français"

Au centre du procès qui a eu lieu fin janvier: l'attribution en février 2011 de ce marché de plus de 3,5 milliards d'euros - un partenariat public-privé - à un consortium mené par Bouygues. L'enquête avait démarré en 2010 après un signalement anonyme.L'homme d'affaires Karim Aïssa a été condamné par le tribunal correctionnel de Paris à quatre ans de prison dont deux ans avec sursis, ainsi qu'à une amende de 50.000 euros. Le tribunal l'a de plus interdit de gérer une entreprise.Le parquet avait requis contre cet homme qualifié par le procureur de "professionnel de la corruption" une peine de quatre années d'emprisonnement et de 200.000 euros d'amende."C'est une rare photographie de la corruption", avait estimé le procureur. Karim Aïssa offrait notamment des places de spectacles, invitait à Roland-Garros, promettait rémunération, reconversion de carrière afin d'obtenir des informations sur des procédures d'appel d'offre, avait-il décrit. Son objectif était de négocier ces informations avec les candidats aux appels d'offre.Aux côtés de Karim Aïssa était jugé un ancien militaire, Fabrice Couderc, qui avait dérobé des documents confidentiels. Comparaissant pour "favoritisme" et "corruption passive", il a été condamné à trois ans de prison avec sursis et une interdiction d'exercer un emploi public pour cinq ans. Le parquet avait requis contre lui une peine de deux années d'emprisonnement dont un an avec sursis et 50.000 euros d'amende.Karim Aïssa était entré en contact avec Fabrice Couderc, capitaine de l'armée de terre, qui travaillait alors à la Direction mémoire patrimoine archives (DMPA), qui traitait de l'ensemble de l'immobilier de la Défense. Karim Aïssa lui aurait promis en échange de documents une somme d'environ 80.000 euros, mais aucune contrepartie financière n'a été versée.L'ancien militaire affirme de son côté avoir transmis seulement des informations et des documents d'ordre général, comme des brochures explicatives sur la finalité du projet.Le parquet national financier (PNF) avait demandé un procès pour un haut responsable de Bouygues, mais celui-ci avait bénéficié d'un non-lieu du juge d'instruction. Selon ce magistrat, "il n'a pas été possible d'établir un lien entre les informations contenues dans les documents détenus par Karim Aïssa et les améliorations apportées à Bouygues dans son offre finale".
Il y a 4 ans et 313 jours

Bricorama va fermer plusieurs magasins en France

FERMETURE. Lors de son rachat de l'enseigne Bricorama en 2018, le groupement Les Mousquetaires avait engagé une étude de la situation de chacun des points de vente intégrés. Deux ans après, ils estiment que plusieurs d'entre eux ont un modèle de gestion insuffisant. Explications.
Il y a 4 ans et 313 jours

Le secteur de la rénovation énergétique s'engage

Les partenaires s'engagent ainsi à :Poursuivre le développement de la plateforme Pass'Réno HabitatCréée en 2015 par l'ALEC-MVE elle met en relation les particuliers et le réseau de professionnels RGE locaux pour la réalisation de travaux énergétiques.Promouvoir et défendre le marché métropolitain de la rénovation énergétiqueUne coopération qui s'exprimera par des actions de communication communes (interventions conjointes lors d'événements, collaborations techniques ou partages d'expériences).« Le marché de la rénovation énergétique est une opportunité exceptionnelle de développement qui offre de véritables perspectives pour les nombreux métiers de la construction » souligne Jean-Luc Tuffier, Président de la FFB Grand Paris.« Le partenariat avec l'ALEC-MVE est une opportunité pour massifier les opérations de rénovation énergétique sur le territoire métropolitain. » ajoute Bertrand Demenois, Président de Rénovactif.« S'appuyer sur le partenariat de la FFB Grand Paris, permettra à Pass'Réno Habitat de mobiliser davantage de professionnels du bâtiment autour de la rénovation énergétique et favoriser ainsi une réelle dynamique locale entre les propriétaires prêts à s'engager et les entreprises » indique Mireille Alphonse, Présidente de l'ALEC-MVE.
Il y a 4 ans et 313 jours

Le confinement a-t-il donné des envies de travaux aux Français ?

ETUDE. Etre confiné pendant deux mois a mis le logement au coeur des préoccupations des Français. Mais sont-ils prêts à lancer des travaux ? Si oui lesquels ? Téléchargez l'étude de Little Worker réalisée par OpinionWay.
Il y a 4 ans et 313 jours

Comment créer une allée en graviers ?

Une allée en gravier ajoute de la valeur à la maison. Les graviers sont utilisés pour créer des allées simples et esthétiques. Il s’agit d’un matériau utilisé par de nombreux propriétaires, notamment pour son prix raisonnable. Le gravier représente une excellente alternative aux allées en béton. De plus, réaliser une allée en graviers est à la portée de tout bricoleur non professionnel. Ce dont vous avez besoin Piquets paysagers Ficelle Gants Brouette Pelle Râteau Houe Gravier En général, les allées de graviers sont composées avec 3 couches : de la roche concassée, des petits graviers intermédiaires et enfin le gravillon que tout le monde connaît. Evitez les pierres lisses et privilégiez les graviers rugueux voire anguleux pour créer une allée plus solide et plus stable. Les différentes étapes Etape 1 : Délimitez votre allée En utilisant des piquets et de la ficelle, tracez votre allée du départ à l’arrivée. Etape 2 : Désherbez la zone Cette étape est fastidieuse et nécessite parfois de la main-d’œuvre supplémentaire. Vous devez enlever toute la végétation présente sur votre allée. Si vous ne le faites pas correctement, vous risquez de voir de l’herbe pousser à travers vos graviers. Vous pouvez le faire à la main avec des produits adaptés ou faire appel à un professionnel qui dispose de matériel facilitant la tâche. Etape 3 : Calculez le mètre cube de gravier nécessaire Après avoir tracé un chemin pour l’allée en gravier, vous devez maintenant calculer le volume de graviers dont vous aurez besoin pour les trois couches. Commencez par mesurer la longueur et la largeur de l’allée que vous avez aménagée, puis multipliez ces deux nombres pour trouver la superficie en m2 de votre allée. Multipliez le nombre obtenu par la profondeur souhaitée de chaque couche pour obtenir le nombre de m3 de pierre dont vous aurez besoin pour chaque couche. Etape 4 : Nivelez le sol le long du chemin de l’allée Avant de mettre en œuvre la première couche de graviers, il est important de mettre à niveau votre terrain sur le chemin de l’allée. Selon la zone de votre entrée, vous pouvez effectuer ce travail avec vos propres outils ou en faisant appel à un professionnel avec une pelle rétro. Etape 5 : Etalez le gravier Nous vous recommandons de prévoir 3 livraisons différentes pour avoir le temps d’étaler comme il se doit les 3 couches de graviers. Les différentes couches de graviers doivent être traitées avec du mortier de scellement. Cela permet de lier les gravillons et de créer des allées solides et pérennes. Une fois que vous avez placé vos graviers et vous les avez traités, comptez 1 jour ou 2 avant d’étaler la couche supérieure. N’oubliez pas de tasser les couches pour créer une fondation solide. Utilisez votre voiture pour tasser les graviers. Pensez à réaliser un « sommet » de graviers au centre de l’allée pour permettre l’écoulement de l’eau pluviale. Si l’eau s’écoule mal, elle risque détériorer la qualité de l’allée et de perdre en stabilité.
Il y a 4 ans et 313 jours

Une filiale de Spie batignolles condamnée pour homicide involontaire

Le tribunal de Châlons-en-Champagne (Marne) a condamné l'entreprise Pieux Ouest à 15 000 euros d'amende pour homicide involontaire à la suite du décès accidentel en septembre 2013 de l'un de ses salariés sur le chantier d'une résidence châlonnaise.
Il y a 4 ans et 313 jours

Le Sénat présente 170 mesures pour relancer l'économie française

Le plan présenté par la commission des affaires économiques du Sénat se veut une « boîte à outils » concrète qui vise, au-delà de la préservation de l'activité, à renouer avec une croissance plus résiliente, plus compétitive et plus sobre en carbone.Ce plan de relance est décliné en sept volets sectoriels consacrés à l'agriculture, aux PME, au commerce et à l'artisanat, à l'industrie, au numérique, au tourisme et au logement, volets issus des sept cellules sectorielles de veille de contrôle et d'anticipation de la commission.« La France passe dans le vert pour ce qui est de la crise sanitaire, mais l'économie entre dans le rouge ; il faut réagir et changer de braquet, la France est plus impactée que les autres économies européennes. En Allemagne, la récession est beaucoup moins forte. Elle a mieux géré la crise et dispose d'une capacité de relance budgétaire plus importante » a souligné Sophie Primas, présidente de la commission des affaires économiques.Convaincue « que c'est en gagnant des marchés que les entreprises françaises créeront de l'emploi, que c'est en investissant dans la transition énergétique et numérique que nous préparerons l'avenir », elle a indiqué que l'objectif de ce plan est « non seulement d'éviter la catastrophe économique et sociale qui se profile, mais de moderniser l'économie française, de faire de cette sortie de crise une opportunité ».Ce plan se fixe quatre objectifs : approfondir la construction européenne pour peser dans la mondialisation, améliorer la compétitivité des entreprises françaises, diversifier les chaînes d'approvisionnement et relocaliser certains centres de production stratégiques, et faire de la transition énergétique le levier de la reprise.Ce plan de relance se distingue par sa méthode, aussi bien en ce qui concerne son élaboration, qui est issue des nombreux retours de terrain et d'une approche pluraliste associant toutes les sensibilités du Sénat, que par sa mise en œuvre, qui suppose une rupture avec le centralisme administratif et politique français et un approfondissement de la décentralisation.Sophie Primas a déclaré : « La période du confinement a été un moment d'hypercentralisation, nous appelons de nos vœux une relance partenariale avec l'Europe d'un côté et les collectivités territoriales de l'autre ; la relance, c'est aussi la relance de la construction européenne et de la décentralisation ».Les 170 mesures issues des plans sectoriels sont regroupées autour de dix orientations concrètes qui comportent aussi bien des mesures de relance de l'investissement que de la consommation ciblées sur les secteurs en difficulté, des propositions portant notamment sur la réforme des impôts de production, la participation, l'insertion des jeunes, la réforme de l'État et la simplification administrative.Ce plan de relance propose également des réformes ambitieuses des politiques de l'Union européenne, aussi bien en matière de politique commerciale que de politique industrielle, d'harmonisation fiscale et sociale avec notamment la promotion d'un mécanisme d'ajustement carbone aux frontières extérieures.Le rapport de la commission des affaires économiques du Sénat, qui comporte plus de 720 pages, se veut une contribution ambitieuse et lucide aux débats sur la relance de l'économie française dans le monde de l'après-crise. Pour aller plus loin : Voir les 170 mesures du plan de relance
Il y a 4 ans et 313 jours

Élection de 7 nouveaux administrateurs nationaux pour la CAPEB et départ de Patrick Liébus

Outre l'examen et l'adoption des questions statutaires, les délégations ont procédé aux votes des 9 postes d'administrateurs venant à échéance. Ainsi le Conseil d'administration national accueille 7 nouveaux administrateurs. Ce Conseil renouvelé se réunira les 2 et 3 juillet pour élire le président national. Patrick Liébus ne se représentant pas au poste d'administrateur national, il tenait ce jour sa dernière Assemblée générale, clôturant ainsi dix années à la présidence nationale. Jusqu'à la réunion du prochain Conseil d'administration de juillet, la présidence nationale sera assurée par intérim par le Premier Vice-Président Jean-Christophe Repon.Les 7 nouveaux élus au sein du Conseil d'administration de la CAPEB nationale :Thierry TOFFOLI :Élu administrateur national au titre de la présidence de l'Union Nationale Artisanale Maçonnerie-Carrelage pour un mandat de trois ans, il succède à Dominique Métayer. Son entreprise de carrelage située en Haute Garonne emploie 2 salariés. A l'assemblée générale de la CAPEB d'avril 2015, il avait été élu administrateur confédéral. Conseiller professionnel de l'UNA MC depuis 2000, il est membre de commissions de normalisation DTU et groupes spécialisés au CSTB, relatifs à la pose de revêtement céramique.Sylvain FORNES :Élu administrateur national au titre de la présidence de l'Union Nationale Artisanale Peinture Vitrerie Revêtement, il succède à Jean-Jacques Chatelain. A la tête de son EURL de trois personnes dans le Rhône, ce Maître Artisan propose en activité principale des travaux de peinture, plâtrerie, faux plafonds, ITE et ITI sont ses activités secondaires. Très investi, il a présidé la CAPEB Rhône et Grand Lyon pendant 9 ans et a été conseiller professionnel de l'UNA qu'il préside aujourd'hui.Jean Pierre RICHARD :Élu administrateur national au titre de la 7ème circonscription élective, il est artisan électricien depuis 2006 dans l'Yonne à Moneteau. Il a adhéré à la CAPEB de son département en 2007 dont il est élu président en 2013. Également administrateur de l'U2P de l'Yonne depuis 2013, il est élu à la Chambre de Métiers et de l'Artisanat de l'Yonne et de la région depuis 2010.Nathalie BERGERE :Élue administratrice nationale, elle est co-gérante d'une entreprise de plomberie-chauffage-électricité créée en 2010, employant 5 salariés. Adhérente de la CAPEB de la Mayenne, elle s'est rapidement engagée au bénéfice de la commission départementale puis nationale des femmes d'artisans, en qualité de conseillère de la présidente. Laure VIAL :Élue administratrice nationale, elle est gestionnaire d'une entreprise artisanale de plomberie-chauffage créée en 2003 et employant 2 salariés. Adhérente à la CAPEB des Alpes de Haute-Provence depuis cette date, elle est élue à la présidence de la CAPEB Alpes-Durance, regroupant les deux départements avec les Hautes Alpes. Membre de la Chambre de métiers de son département, elle est élue présidente de la CMA des Alpes de Haute Provence.Vincent DEJOIE :Élu administrateur national, il dirige une entreprise artisanale de peinture, créée en 1985, employant 31 salariés dans les côtes d'Armor. Adhérant à la CAPEB de son département en 1985, il est élu administrateur puis la préside de 2013 à 2019 avant d'être porté, tout récemment, à la présidence de la CAPEB Bretagne.Laurent MARMONIER :Élu administrateur national, il dirige une entreprise artisanale de maçonnerie tournée vers la restauration du bâti ancien et vers l'amélioration thermique, qui emploie 2 salariés. A la création de son entreprise, il adhère à la CAPEB de l'Isère en 1999. Engagé en faveur de la politique professionnelle, il est nommé conseiller professionnel de l'UNA MC en 2014Liste alphabétique complète du Conseil d'Administration :(Nom, prénom, département, commune d'implantation de l'entreprise, métier)En rouge : nouvellement élu / En bleu : rééluBASILI Sabine > Ain (01120 Thil)Conjointe associée : Plomberie-Chauffage-ClimatisationVice-Présidente confédéraleBEAUDONNAT Cécile > Puy-de-Dôme (63210 Vernines)Conjoint collaborateur : Charpente CouverturePrésidente de la CNFABELLANGER Christophe > Maine et Loire (49000 Angers)ÉlectricienPdt de l’UNA Équipement Électrique et ÉlectrodomotiqueBERGERE Nathalie > Mayenne (53320 Loiron Ruille)Co-gérante entreprise de plomberie-chauffage-électricitéBOUNHOL Patrick > Aveyron (12120 Arvieu)Couvreur-ZingueurBROCHU Michel > Loire-Atlantique (44810 Heric)Charpentier-MenuisierCHATRAS Gilles > Puy-de-Dôme (63830 Nohanent)Plâtrier Peintre DécorateurSecrétaire confédéral adjointDEJOIE Vincent > Côte d’Armor (22490 Pleslin Trigavou)PeintreDESMEDT Jean-Marc > Côte-d'Or (21200 Ste Marie la Blanche)MenuisierPrésident de l'UNA Charpente-Menuiserie-AgencementDUMON Michel > Gironde (33330 St Etienne de Lisse)Menuisier CharpentierTrésorier confédéral adjointFORNES Sylvain > Rhône (69250 Montanay)PeintrePdt de l’UNA Peinture-Vitrerie-RevêtementsGASPAR Dominique > Meuse (55800 Revigny-sur-Ornain)MenuisierHADJIPANAYOTOU Antony > Hauts-de-Seine (92140 Clamart)Plombier ChauffagisteLABAT Jean-Yves > Landes (40180 Saugnac et Cambran)Plâtrier Pdt de l'UNA Métiers et Techniques du Plâtre et de l'IsolationLE DEVEHAT Éric > Ille-et-Vilaine (35600 Redon)Tailleur de pierrePdt de l’UNA Métiers de la PierreMARMONIER Laurent > Isère (38140 Poliénas)MaçonMATHIEU Francis > Creuse (23300 St Agnant de Versillat)Couvreur Charpentier ZingueurMORALES David > Haute-Garonne (31160 Encausse les Thermes)Plaquiste PlâtrierOLIVET Gilbert > Hérault (34000 Montpellier)Serrurier MétallierPdt de l’UNA Serrurerie-MétalleriePOSTEL Corine > Yvelines (78270 Chaufour les Bonnières)Conjointe collaboratrice (Couvreur)Trésorière confédéraleQUÉNET Albert > Finistère (29710 Ploneis)PeintreRANCUREL Jean-Claude > Vaucluse (84150 Violes)Plombier-ChauffagistePrésident de l’UNA Couverture-Plomberie-ChauffageRAVON Thierry > Charente (16430 Balzac)CarreleurREPON Jean-Christophe > Var (83000 Toulon)Électricien1er Vice-Président confédéralRICHARD Jean-Pierre > Yonne (89470 Moneteau)ÉlectricienTOFFOLI Thierry > Haute-Garonne (31840 Aussonne)CarreleurPdt de l’UNA Maçonnerie-CarrelageVIAL Laure > Alpes de Haute-Provence (04870 Saint-Michel l’Observatoire)Gestionnaire entreprise de plomberie-chauffageVIALATTE Tony > Eure (27930 Brosville)Couvreur
Il y a 4 ans et 313 jours

L'Anah a subventionné plus de 155.000 rénovations de logements en 2019

RAPPORT D'ACTIVITÉ. L'Anah a publié, le 25 juin, ses chiffres définitifs pour 2019, qui font état de 970,2 millions d'euros d'aides distribués, dont la plus grande partie aux propriétaires occupants pour financer les travaux de rénovation énergétique, en forte augmentation.
Il y a 4 ans et 313 jours

Capremib à l’assaut des tours Duo

Capremib préfabrique les éléments en béton des Tours Duo de Jean Nouvel, construites à Paris. [©Caprémib] En construction dans le XIIIe arrondissement de Paris, les tours Duo ont été dessinées par l’architecte Jean Nouvel. Elles vont marquer le périphérique de la capitale, qu’elles surplombent. D’une hauteur respective de 180 m (39 étages) et 122 m (27 étages), elles sont toutes les deux désaxées, et semblent en équilibre. Tout comme pour la tour Alto à La Défense, c’est l’industriel Capremib, qui a été choisi pour la préfabrication des éléments en béton.  Pour le chantier des tours Duo, Capremib fournit un total de 1 110 poutres en béton armé C60/75. Dont 256 pour les sous-sols des deux tours. Et 854 poutres à béquet, d’une longueur unitaire de 9 m, pour la superstructure de la tour 1. Chacun des 38 niveaux de cette tour est ceinturé par ces poutres. Dont le retour extérieur (béquet) varie de 30 à 50 cm de largeur. La longueur des poutres d’infrastructure s’échelonne de 3 à 11 m, avec une largeur allant de 20 à 120 cm.  Les coffrages métal/bois des poutres ont été conçus et réalisés dans les ateliers de Capremib. Démarrée en septembre 2018, la fabrication des poutres se poursuivra jusqu’à l’été 2020, à raison de 6 à 7 unités/j. Le volume total de béton utilisé représente 2 800 m3, complété par 450 t d’acier.  Afin d’assurer une fluidité́ optimale, Capremib anticipe l’avancée du chantier, en produisant les éléments nécessaires pour 2 à 3 étages. Qui sont ensuite stockés dans l’enceinte de son usine et livrés à la demande. Début 2021, les tours Duo accueilleront 6 000 salariés de la banque Natixis. Ceci, sur près de 90 000 m2 de bureaux. Ainsi qu’un hôtel, un bar avec une vue panoramique et des commerces.
Il y a 4 ans et 313 jours

Le vélo progresse fortement en centre-ville mais baisse presque partout ailleurs

Ces derniers mois, les contraintes liées au coronavirus ont amené beaucoup de citadins à enfourcher une bicyclette pour aller au boulot.Et nombre de candidats aux municipales ont vanté les vertus environnementales de ce mode de transport. Sans "plan vélo", mâtiné d'"urbanisme tactique" depuis le déconfinement, impossible de faire campagne dans les grandes villes...Rejoindre son lieu de travail à coups de pédale reste un phénomène "très urbain": en 2015, à l'échelle nationale, il ne concernait que 1,9% des actifs ayant un emploi, selon l'Insee. Contre 6% à Lyon et de 12% à 16% à Bordeaux, Grenoble ou Strasbourg - agglomération la plus cyclable de France.La forte progression de la pratique en centre-ville est "un trompe-l'œil qui cache une baisse presque partout ailleurs ces dix dernières années", nuance une vaste étude sur les usages du vélo en France, publiée en avril sous l'égide de l'Ademe et de la Direction générale des entreprises.Cette "fracture territoriale majeure" en recoupe une autre, d'ordre social: "ceux qui refont du vélo, ce sont surtout les cadres et professions intermédiaires, alors qu'avant c'étaient les ouvriers et les employés", souligne Francis Papon, chercheur à l'Institut français des sciences et technologies des transports (Ifsttar).Des années 30 à l'après-guerre, on pouvait voir en effet des flots de cyclistes sortir chaque jour des usines, en région parisienne comme dans les grandes cités de province. Puis vint l'ère de la "bagnole".En 1958, le constructeur de camions Berliet, qui employait 12.000 personnes à Vénissieux, aux portes de Lyon, avait déjà réduit "des trois-quarts" ses abris à bicyclettes et son patron anticipait "une extension rapide et considérable des quatre roues". Il ne croyait pas si bien dire."Essaimer"Soixante ans plus tard, à quelques hectomètres de là, la Société d'équipement et d'aménagement du Rhône et de Lyon (SERL) réindustrialise une friche de 11 hectares, voisine de gros axes routiers mais très bien reliée aux transports en commun. L'occasion rêvée d'un site sans parking ?L'idée a séduit... tant que les entreprises accueillies fonctionnaient en mode start-up: leurs dirigeants venaient à vélo ou en trottinette électrique. "Mais il a fallu se rendre à l'évidence: en phase de production, leurs opérateurs viendraient de plus loin en voiture", raconte Audrey Delaloy, qui pilote le projet.Au-delà des périphériques, les aménagements cyclables font souvent défaut, surtout de banlieue à banlieue. Le nombre des adeptes s'en ressent: plus de 5.500 Lyonnais (soit 1,1% de la population) ont participé en 2019 au "Baromètre des villes cyclables", contre seulement une soixantaine de personnes à Vaulx-en-Velin (0,1%) par exemple.Dans cette commune, "des axes importants restent dépourvus de tout aménagement", constate Pierre Crepel, un militant du vélo qui y habite depuis 30 ans. "Des gens disent qu'ils s'y mettraient bien mais que c'est trop dangereux et qu'il y a trop de vols. Et que la voiture reste plus commode."Joseph d'Halluin, secrétaire général de la Fédération française des usagers de la bicyclette (FUB), veut croire que "ce n'est pas une fatalité: en faisant du vélo un sujet des municipales, on espère que ça va essaimer au-delà des coeurs de ville".L'assistance électrique permettant d'allonger les distances, "les marges de progression sont fabuleuses en première et deuxième couronnes", abonde Nicolas Frasie, administrateur de "La Ville à Vélo".Pour augmenter la part modale du cycle dans l'agglomération à 20% en 2030 - contre 3% en 2015 - cette association lyonnaise réclame notamment un "réseau express" reliant 30 communes de la Métropole et ses points névralgiques.Des structures proposent des séances de vélo-école en périphérie pour inciter à s'y mettre en selle. Comme Janus France, dont le local d'Oullins est installé dans un quartier enclavé par une voie rapide et le Rhône.De là, seul un pont surchargé de voitures, doté récemment d'un couloir malaisé pour les cyclistes, permet de rejoindre le centre de Lyon. "Alors qu'une passerelle dédiée donnerait beaucoup plus envie d'y aller à vélo", estime le fondateur de l'association, Rodrigue Yao Ogoubi.
Il y a 4 ans et 313 jours

Emploi : le Gouvernement envisage une exonération de charges pour les jeunes

COMPÉTITIVITÉ. Dans le cadre de son offensive pour préserver l'emploi face aux ravages de la crise du Covid, l'exécutif réfléchirait à un dispositif d'exonération des charges salariales sur plusieurs années pour soutenir l'embauche des jeunes mais aussi la trésorerie des entreprises. Détails.
Il y a 4 ans et 313 jours

Offre coup de pouce sur les thermostats 'intelligents' : l'arrêté est paru

CERTIFICATS D'ÉCONOMIE D'ÉNERGIE. L'arrêté instaurant les nouvelles offres coup de pouce sur les thermostats avec régulation performante est paru au Journal officiel du 24 juin 2020.
Il y a 4 ans et 313 jours

Rénovation : Acorus acquiert un acteur du second oeuvre

RACHAT. Spécialiste de la rénovation en sites occupés, Acorus, vient de racheter une entreprise spécialisée dans le second oeuvre.
Il y a 4 ans et 313 jours

Les valeurs sûres d'Alkern pour un aménagement extérieur assurément réussi

Outre la carte de l'esthétique, rappelons de plus que la pierre reconstituée s'avère le matériau le plus adapté à la réalisation de bassins aux formes compliquées notamment arrondies (à l'opposé des rectangles actuels), qu'elle ne gèle pas et se veut très facile d'entretien. Un segment rénovation de bassin qui se développe d'ailleurs très fortement actuellement et qu'ALKERN accompagne en proposant des références aux différentes formes, accompagnées de margelles coordonnées.Ghisa et Volcanik, la sélection ALKERN pour apporter à la maison un caractère exceptionnelGhisa, l'effet martelé d’inspiration industrielle : Très appréciée depuis son lancement, la gamme Ghisa s’inspire ouvertement de l’esprit industriel pour revêtir un effet martelé des plus modernes et raffinés. Disponible en dimensions 75 x 45 cm et épaisseurs de 2,5 ou 3,5 cm, la dalle en pierre reconstituée Ghisa s’avère ingélive, comme l’ensemble des références ALKERN et se veut aussi facile d’entretien. Elle est proposée en différentes finitions : le très chic et urbain métal, en traditionnel ton pierre ou encore en élégant gris nuancé. Précisons aussi que l'offre Ghisa se complète de solutions de margelles coordonnées aux dalles, pour pousser l’esprit urbain jusqu’au moindre détail au bord de la piscine et revendiquer une belle unité de style. Prix public indicatif à partir de 46 € HT du m² pour les dalles ton pierre.Volcanik, la dalle aspect pierre de lave polie grand format : Devant le succès de références régionales, ALKERN a décidé de proposer sur l'ensemble du territoire ses dalles Volcanik. D'un aspect pierre de lave polie, la dalle Volcanik complète judicieusement son offre de solutions grands formats ALKERN à l’aspect structuré et naturel. S'inscrivant parfaitement dans la tendance actuelle des grandes dimensions accentuant la sensation d'espace, Volcanik joue pourtant la carte du minimalisme et de la naturalité pour réussir assurément la création d'espaces aux ambiances pures et ressourçantes. Volcanik est déclinée en dimensions de 75 cm de long x 45 cm de large x 3,5 cm d'épaisseur et en deux coloris : Gris ou Sable. Prix public indicatif à partir de 44 € HT du m².Premier fabricant indépendant de produits préfabriqués en béton en France, ALKERN emploie environ 1.200 collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires d’environ 200 millions d’euros. Le Groupe s’appuie sur une cinquantaine de sites de production de produits béton avec une présence sur les secteurs du bâtiment, de l’aménagement extérieur et des travaux publics.
Il y a 4 ans et 313 jours

Les Smart Grids, accélérateurs de la transition énergétique

L’association Think Smartgrids a rédigé quatorze recommandations afin d’apporter sa contribution en faveur d’une relance verte par la transition énergétique. Les solutions numériques sont aujourd’hui matures pour le déploiement des réseaux intelligents.
Il y a 4 ans et 313 jours

Des techniques de pointe mises en œuvre pour la nouvelle centrale électrique de Landivisiau

En l'absence d'implantation de centrales nucléaires, la Bretagne est fortement dépendante des régions voisines pour couvrir sa consommation en électricité. Ainsi, la Bretagne importe plus de 80% de l'électricité qu'elle consomme.Rendre la Bretagne énergétiquement plus indépendanteUne centrale à cycle combiné au gaz naturel est une installation thermique produisant de l'électricité par la combinaison d'une turbine alimentée en gaz naturel et d'une turbine à vapeur. Cette technologie permet de répondre aux besoins de soutien du réseau électrique et correspond en matière de puissance nécessaire (422 MW) et de critères de disponibilité tels qu'identifiés par le Pacte électrique breton et la PPI (Programmation Pluriannuelle des Investissements de production d'électricité).Sous le contrôle de la Compagnie Electrique de Bretagne, propriétaire de la centrale, Siemens a la responsabilité de l'ingénierie, la fourniture et la construction de cette centrale électrique à cycle combiné ainsi que de son exploitation pendant 20 ans à compter de sa mise en service prévue pendant l'hiver 2021-2022.3 entités engagées avec des savoir-faire pluriels3 entités du groupe Spie batignolles réalisent cette opération divisée en deux projets distincts baptisés « Main Civil Work package » et « Design & Construct buildings package ».« Main Civil Work package », réalisé par Spie batignolles génie civil et Spie batignolles valérian, concerne tous les travaux de génie civil, de fondations, de terrassement, de VRD, de voiries, ainsi que la création d'un radier particulièrement technique.Spie batignolles valérian a notamment réalisé les terrassements pour les fondations d'ouvrages, les substitutions sous-fondations, les tranchées pour l'enfouissement des réseaux techniques, les assainissements et les chaussées.Les équipes de Spie batignolles disposent d'un délai court de 21 mois pour la réalisation de ce marché « Main Civil Work Package » portant sur un montant de 25 millions d'euros TTC.« Design & construct buildings package », confié aux équipes de Spie batignolles grand-ouest, correspond à un marché de conception/construction d'un bâtiment constitué de 3 parties.La livraison de ce bâtiment est prévue pour mars 2021 mais les équipes devront mettre à disposition de Siemens d'ici là des premiers espaces dans le cadre de livraisons intermédiaires.1.000 m3 de radier réalisés en moins de 24h avec des tests préalables sur le béton employéQuelques jours avant le début du confinement, les équipes de Spie batignolles génie civil et de Spie batignolles valérian ont réalisé un radier de près de 1.000 m3, correspondant au bétonnage de la partie inférieure du massif turbine.Le cahier des charges de Siemens imposait que le cœur de cet ouvrage ne dépasse pas la température de 65°C et conserve une température homogène dans son ensemble, avec un écart maximum de 20°C entre le cœur de l'ouvrage et sa surface. La température du béton frais devait être comprise entre 5 et 30°C.En effet, à sa mise en œuvre, un radier va naturellement réagir en se réchauffant. Les équipes avaient donc pour consigne de limiter cette prise de chauffe le plus possible, étant exempt de toute reprise de bétonnage.Spie batignolles génie civil a fait le choix d'un béton standard constitué de ciment de haut-fourneau (CEM III) affichant de lentes réactions. Avant d'être appliqué, les équipes ont procédé à un test sur un autre massif situé à proximité, pour s'assurer de la maîtrise d'élévation de la température du béton.Pour ce faire, le béton, provenant de la centrale à béton, a été coulé en une fois sur une seule journée dans un délai conforme aux mesures de rhéologie du béton. Les équipes disposaient d'un délai de 90 minutes pour la mise en place du béton et son compactage, incluant le temps de trajet. Il a été appliqué à l'aide de deux pompes à béton d'une capacité minimale de 60m3/h avec un coulage par couches de 40 cm d'épaisseur.La technique de coffrage de ce radier a également fait l'objet d'un essai préalable. Il s'agit de la solution FRAMAX de Doka. Tous les coffrages ont été habillés avec deux types d'isolants : avec des panneaux de 10 cm de polystyrène en périphérie et avec, simplement de la paille pour la partie supérieure. L'isolation permet d'éviter la déperdition de chaleur, la fuite de laitance et le maintien des températures lors des phases de réaction du béton.Cette technique, régulièrement usitée par Siemens sur d'autres centrales, était imposée dans le cahier des charges ; Spie batignolles restant décisionnaire du choix d'isolants à privilégier.La pose des coffrages a été réalisée avec une grue à tour encore jamais utilisée en France.Composée de câble en fibre, en lieu et place de l'acier, elle offre de vrais atouts comme celui de maximiser la sécurité des équipes sur place, de permettre une plus grande productivité, d'être peu énergivore et de nécessiter peu d'entretien.3 sondes de température ont été mises en place à différents niveaux de l'ouvrage, comportant respectivement 3 capteurs placés à 30 cm du haut, 30 cm du bas et au milieu.Un relevé de température a été effectué juste avant le confinement, dès que le radier a été coulé, puis jusqu'à 3 semaines après le coulage, signifiant une température maximale de 50 à 52°C.Les coffrages ont été laissés en place tout au long du confinement, avec un massif complètement isolé. Une surveillance a été nécessaire pendant toute la période du confinement pour s'assurer que la partie supérieure soit toujours humidifiée. Pour ce faire, les équipes ont installé 1 couche de géotextile entre chaque isolant puis ont réalisé une cure à l'eau de façon régulière pour y déposer une fine pellicule d'eau.Ces travaux ont nécessité l'intervention d'un chef de chantier, d'un géomètre, de conducteurs d'engins qualifiés, de coffreurs et manœuvres qualifiés.La géologie du site et les délais de réalisation mentionnés au cahier des charges du client ont constitué les autres enjeux de cette opération.Le terrain étant constitué de granits, les équipes ont employé des engins particuliers pour les travaux de terrassement.Réalisation du triptyque« Le triptyque » est le nom qui a été attribué par Siemens au bâtiment à réaliser dans le cadre du marché de conception/construction confié à Spie batignolles grand-ouest, pour un montant de près de 9 millions d'euros TTC. Spie batignolles, intervient sur les travaux de gros œuvre et de corps d'état.Le bâtiment accueille 3 espaces distincts : le bureau usine intégrant une salle de contrôle, un atelier ainsi qu'une zone technique avec notamment un laboratoire et une salle de traitement des eaux.Spie batignolles grand-ouest a dépêché une organisation spécifique sur ce projet, avec un responsable design et un responsable production, intégrés au sein d'une équipe dédiée de Siemens. Le principal enjeu de cette réalisation concerne la bonne intégration de la règlementation en vigueur en France dans la conception et la réalisation des bâtiments, ceux-ci ayant été initialement conçus selon des standards anglo-saxons internationaux.
Il y a 4 ans et 313 jours

Le CSTB lance sa nouvelle newsletters d'information gratuite : « Solutions & Performances »

Enjeux du marché, actualité sectorielle, tendances et innovations, éclairage technico-règlementaire, témoignages d'acteurs, etc., chaque mois, cette lettre proposera une information pédagogique sur un secteur en particulier. Pour le 1er numéro, à paraître le 2 juillet, c'est le très dynamique secteur des Menuiseries extérieures, et plus particulièrement des fenêtres, qui sera à l'honneur.La lettre « Solutions & Performances », nouvelle lettre d'information du CSTBRépondant toujours plus aux enjeux des transitions environnementale, énergétique et aux exigences en hausse des usagers, les produits et systèmes constructifs sont de plus en plus complexes et innovants. De nouvelles et nombreuses solutions sont ainsi développées et proposées sur le marché.Avec la lettre mensuelle « Solutions & Performances », pensée pour permettre à tous les corps de métiers de trouver le niveau d'information qui correspond à leurs attentes, le CSTB mettra en lumière ces tendances et nouveautés.Établissement public au service de l'innovation dans le bâtiment, fort de son expertise transversale et pluridisciplinaire, le CSTB souhaite, avec cette nouvelle lettre d'information, partager ses connaissances du marché, de la règlementation et valoriser la reconnaissance de la qualité des produits et des systèmes constructifs.Chaque mois, une partie d'ouvrage mise à l'honneurPour une lecture facilitée, chaque édition de la lettre « Solutions & Performances » sera dédiée à une partie d'ouvrage - avec un code couleur associé -, explorée à travers différentes rubriques :« Enjeux » dresse un état des lieux du marché pour les professionnels, mais aussi en termes d'attentes et de besoins des usagers ;« Actualités » fait un focus sur les nouveautés technico-règlementaires ;« Tendances » met en lumière une performance spécifique, avec une mise en avant des acteurs engagés sur ce sujet ;« Malfaçons », les malfaçons et écueils les plus souvent rencontrés et les solutions et méthodes pour les éviter ;À découvrir également, les rubriques « Parole d'expert », « Innovations », « Certificats », « Formations », etc.,Maîtrise d'ouvrage, maîtrise d'œuvre (entreprises, artisans, installateurs...), économistes, négoce, GSB, etc. : tous les acteurs de la construction pourront ainsi s'immerger dans l'univers de la partie d'ouvrage traitée, s'informer sur les tendances et nouveautés de ces marchés et approfondir leurs connaissances du secteur sur les plans technique, règlementaire et prospectif.Un 1er numéro dédié aux Menuiseries extérieuresDe plus en plus techniques, performantes et innovantes, maillon essentiel des performances demandées au bâtiment, notamment dans le domaine de la rénovation, les Menuiseries extérieures seront à l'honneur dans le 1er numéro de la lettre « Solutions & Performances », à paraître le 2 juillet.Au sommaire notamment :« Enjeux » : le marché des Fenêtres, les tendances, les innovations et les attentes des usagers ;« Actualités » : que va changer la règlementation environnementale pour le secteur des menuiseries extérieures ? ;« Malfaçons » : défauts de mise en œuvre des fenêtres ;« Tendances » : focus sur le recyclage des fenêtres PVC et témoignages d'acteurs du recyclage ;- Etc.Programmation à venir :Septembre : PlomberieOctobre : Revêtements de surfacesAvec « Solutions & Performances », newsletter mensuelle, le CSTB enrichit les informations qu'il partage avec les acteurs sur les tendances et les innovations des produits et systèmes constructifs, et complète ainsi sa communication éditoriale. Le CSTB diffuse également CONTACT, newsletter trimestrielle dédiée aux grands enjeux du secteur de la construction et de l'aménagement, dans une approche globale et pluridisciplinaire. Pour vous abonner à « Solutions & Performances », cliquez ici
Il y a 4 ans et 313 jours

Jean-Luc Guéry, nouveau Président d’INOHA, les Industriels du Nouvel Habitat

Après 6 ans à la tête d’INOHA, l’organisation professionnelle des Industriels du Nouvel Habitat, Jean-Eric RICHE passe le relai à Jean-Luc GUÉRY, président de la société agenaise OPTIMUM. Le Conseil d’Administration d’INOHA, représentant les Industriels du Nouvel Habitat, vient d’élire Jean-Luc Guéry à la présidence de l’organisation. Diplômé de l’Ecole Centrale de Lyon, Jean-Luc Guéry, 59 ans, préside depuis 2006 la société OPTIMUM, spécialiste de la fabrication de dressings, placards et solutions d’aménagement. L’engagement comme ADN Issu du monde agricole, Jean-Luc Guéry se construit et s’engage très tôt autour des valeurs humaines et du respect du travail. Depuis il s’est toujours impliqué dans de nombreuses missions tant au plan local que national. Aujourd’hui, Président du MEDEF Lot-et-Garonne, Administrateur de L’Ameublement Français, Président de l’Institut Technique FCBA (Forêt Cellulose Bois-construction Ameublement) et Président d’INOHA, Jean-Luc Guéry est sur tous les fronts pour défendre son territoire rural et les intérêts des industriels qu’il représente. Pour résumer ce qui anime ses engagements au quotidien, Jean-Luc Guéry aime à reprendre une citation de Winston Churchill qui lui est chère « On vit de ce que l’on obtient et on construit sa vie de ce que l’on donne ». Des ambitions fortes pour être acteur de l’évolution du secteur Convaincu que les industriels du secteur de l’habitat doivent apporter des réponses pertinentes pour s’adapter aux évolutions futures des modes de vie et de travail qui vont transformer l’habitat, Jean-Luc Guéry a déjà défini les prochains axes de développement de sa nouvelle fonction : . porter la parole des industriels auprès des distributeurs et arriver à travailler ensemble pour offrir des solutions aux particuliers, . continuer à favoriser les échanges avec les adhérents d’INOHA en étant au plus proche des délégations régionales grâce à l’utilisation d’outils numériques et les accompagner dans leur transformation digitale pour s’adapter au marché. « Pour mener à bien mes ambitions, j’ai la chance de pouvoir compter au sein d’Inoha sur une équipe Jean-Luc GUÉRY, nouveau Président d’INOHA, les Industriels du Nouvel habitat dynamique et engagée menée par Valérie Dequen, Déléguée Générale de l’Association, et dans un souci de continuité, j’ai également demandé aux membres du bureau de rester, ce qu’ils ont tous accepté. Enfin, j’ai souhaité que Jean-Eric Riche soit Président d’honneur et des missions lui seront confiées ». http://www.inoha.org
Il y a 4 ans et 313 jours

Le cimentier Vicat va transférer son siège social pour réduire ses coûts

Les équipes "corporate" seront installées au mois de septembre à L'Isle-d'Abeau, berceau de l'entreprise où se trouvait déjà son centre opérationnel, a précisé Vicat dans un communiqué.Selon la région Auvergne-Rhône-Alpes, qui soutient le projet, 35 personnes sont concernées.Cette mesure s'inscrit dans le cadre d'un plan "d'adaptation des structures de coûts du groupe", mis en place en fonction de la crise liée au Covid-19, et qui comprend une réduction des coûts opérationnels et le report d'investissements industriels non stratégiques.Le président de la région Laurent Wauquiez (LR), qui a dégagé une enveloppe de 10 millions d'euros pour faciliter la relocalisation d'entreprises en Auvergne-Rhône-Alpes, s'est félicité de la décision du groupe cimentier."Nous sommes le premier territoire industriel de France mais les sièges de grands groupes se concentrent essentiellement à Paris. C'est un paradoxe alors que nous habitons une région attractive et dotée d'une réelle qualité de vie", a noté M. Wauquiez dans un communiqué, en qualifiant de "fondatrice" la volonté de relocalisation de Vicat.Vicat présente également un point de situation dans le contexte de l'épidémie de Covid-19, qui indique que "l'activité du mois de mai 2020 est en très nette amélioration par rapport aux mois de mars et d'avril 2020" et que "l'ensemble des cimenteries du groupe sont ouvertes".Parmi les douze pays où opère le groupe, la France enregistre une activité "dynamique, avec une progression constante depuis le point bas de la mi-mars".Aux États-Unis, "depuis le début de la crise sanitaire, l'activité est restée bien orientée tant en terme de volumes que de prix de vente".Au Brésil, l'activité est aussi jugée "dynamique, tant en volumes qu'en prix de vente".
Il y a 4 ans et 313 jours

360SmartConnect : Tracer dans le temps

Retrouvez cet article dans le numéro 89 de Béton[s] le Magazine. Rolland Melet, Pdg de 360SmartConnect. [©360SmartConnect] Comment transmettre les informations constructives d’un bâtiment dans le temps ? Depuis sa création en 2017, 360SmartConnect s’emploie à répondre à cette question. « Les objets de la construction disposent tous d’informations et sont reliés entre eux, explique Rolland Melet, Pdg de 360SmartConnect. Notre rôle est de révéler ces informations et de les associer de façon durable au bâtiment. Le but étant d’être capable d’avoir un inventaire précis des matériaux pour le reconditionnement du bâtiment. Ou sa déconstruction et son recyclage. » Suivant le principe de traçabilité universelle, les solutions de 360SmartConnect s’adaptent à leur support et aux processus industriels. Sans application, ni logiciel spécifique et avec son smartphone, chacun peut avoir accès aux informations du produit (en fonction de son degré d’autorisation). Ceci, par le biais d’une puce connectée, ou même d’un simple QR-Code. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 314 jours

Vaucluse : « Vers une dématérialisation totale des marchés publics »

Entretien avec Cécile Lambert, directrice des affaires juridiques au conseil départemental de Vaucluse.
Il y a 4 ans et 314 jours

L'ESTP double la voie du cursus « ingé-archi »

Formation -
Il y a 4 ans et 314 jours

Quel est le profil idéal d’un couvreur professionnel ?

Si vous êtes à la recherche de couvreur confirmé, sachez que parmi les parcours de spécialisation existants, celui des Compagnies du Devoir fait partie des meilleurs. Les professionnels issus de leur cursus sont reconnus comme étant les plus réputés dans le métier. A la base, ils tiennent à transmettre auprès de leurs apprentis l’ensemble de leurs expériences ainsi que l’intégralité de leurs savoir-faire. Pour ce faire, ils leur proposent un accompagnement spécifique, notamment pour les catégories de moins de 25 ans, selon les moments clés de leur vie. Afin de vous aider dans votre choix, un aperçu des avantages particuliers de leur formation peut vous fournir quelques éclairages en plus. Un couvreur ayant reçu des formations spécifiques Pour avoir la certitude de réaliser vos travaux de toiture dans les respects de la norme, il est important en effet de travailler avec un couvreur bien formé comme : https://www.artisan-couvreur-eure.fr/ . Certains centres de formation proposent différents cursus en fonction de leurs besoins respectifs, à l’exemple des Compagnies du Devoir. Ils dispensent des parcours dédiés au moins de 25 ans en leur offrant 3 options, selon leur aptitude et leur situation personnelle, afin de garantir des formations spécifiques à leurs apprentis. La première catégorie permet également aux collégiens ou aux lycéens, après leur passage dans la classe de 3e, d’intégrer une spécialisation en vue de l’obtention d’un premier diplôme. A savoir, un CAP ou un Bac Pro au terme de 2 à 3 ans d’apprentissage. Autrement,ces jeunes peuvent également rejoindre ce circuit après avoir décroché leur bac technologique ou général, avec la perspective de pouvoir poursuivre leurs études jusqu’en Licence professionnelle. Dans le cas où ils ont déjà en poche des certifications justifiant leur première initiation dans le métier, ils ont encore la possibilité de rejoindre le système. Ainsi, ils auront l’opportunité d’approfondir leurs compétences et obtenir un diplôme supérieur. Un couvreur riche en expériences du métier Ce sont les compétences empiriques acquises au terme de nombreuses années d’exercice qui permettent en effet au couvreur de garantir d’excellente qualité de finition. Aussi, il est important de veiller à ces détails lorsque vous procédez à la vérification de son profil. Vous pouvez avoir l’assurance qu’ils ont à leur actif suffisamment d’expériences sur terrain, si vous sélectionnez entre autres des spécialistes issus des Compagnies du Devoir. A la base, le cursus proposé a la particularité d’intégrer une tour de France dans leur parcours d’initiation. De plus, cette optique leur offre la possibilité de changer de ville 1 à 2 fois au cours d’une année. C’est un voyage qui leur permet de partir à la découverte de différentes pratiques, un projet parfaitement initiatique tout en étant à la fois enrichissant. Une excellente manière d’apprendre de nouvelles techniques afin d’étoffer leurs savoir-faire. Cette démarche leur donne notamment l’opportunité d’enrichir leur réseau personnel et professionnel. Il est à noter qu’il a à l’occasion l’avantage de partir à l’étranger sur une période d’un an. En somme, c’est une façon parmi tant d’autres alternatives de perfectionner leur apprentissage. Bref, le meilleur moyen de garantir des travaux de toiture, exempts de vice et réalisés selon les règlementations en vigueur, est de vous appuyer sur les connaissances d’un expert. Alors, autant travailler avec ceux qui disposent de solide bagage et d’une grande expérience pour assurer la réussite de votre projet.