Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87527 résultats)
Il y a 4 ans et 320 jours

Routes de France prévoit un recul de 18% du chiffre d'affaires des travaux routiers en 2020

Le syndicat qui fédère les industriels et entrepreneurs du secteur des infrastructures de mobilité et de l’aménagement urbain a profité de son assemblée générale le 17 juin pour alerter les pouvoirs publics et proposer des pistes de relance .
Il y a 4 ans et 321 jours

Le Covid-19 galvanise les territoires cyclables

Les 1300 km de pistes cyclables temporaires mises en place à l’occasion de la crise du Covid-19 galvanisent les promoteurs du vélo dans les collectivités. Organisatrice d’une série de webinaires sur ce sujet du 18 au 23 juin, l’association Vélo & Territoires relaye l’appel lancé par sa présidente Chrystelle Beurrier, 80 ans après celui du Général De Gaulle : « Quadrupler l’investissement vélo, pour que ce mode atteigne 12 % de part modale en 2030, et pour hisser la France au plus haut niveau des politiques cyclables à tous les étages ».
Il y a 4 ans et 321 jours

L'Anah lance deux nouveaux dispositifs pour les centres-villes

SUBVENTIONS. L'Agence nationale de l'habitat va aider les investisseurs institutionnels à acquérir, pour les rénover, des ensembles immobiliers pour l'accession sociale ou la location conventionnée. Objectif : accentuer notamment son soutien à Action coeur de ville. L'agence a par ailleurs instruit nettement moins de dossiers MaPrimeRénov qu'initialement prévu.
Il y a 4 ans et 321 jours

La rénovation thermique des logements, le miracle économique douteux de l'État

"Un plan de modernisation du pays autour de la rénovation thermique de nos bâtiments": c'est la promesse faite dimanche par le chef de l'État, Emmanuel Macron, dessinant les premiers axes d'un projet de relance pour sortir de la crise du coronavirus.L'idée est ancienne. Cela fait plus d'une décennie que s'enchaînent les plans en faveur d'une rénovation à grande échelle des bâtiments, notamment les logements, pour mieux les isoler et donc dépenser moins d'énergie.Début 2018, l'actuel gouvernement promettait déjà d'arriver à rénover 500.000 logements par an. Les derniers chiffres en date, fournis à l'AFP par le ministère du Logement, s'en rapprochent avec 380.000 rénovations dans les logements privés et 100.000 dans les HLM, en moyenne sur les dernières années.Cette politique s'inscrit dans un discours partagé bien au-delà de l'actuelle majorité, notamment chez les écologistes: la rénovation énergétique des logements serait une panacée qui permet à la fois de protéger l'environnement et de faire gagner de l'argent aux Français, en diminuant les factures de gaz et d'électricité.Ces dernières semaines, un autre argument a gagné de l'ampleur. La rénovation des bâtiments va créer "des centaines de milliers d'emplois", selon Elisabeth Borne, ministre de la Transition écologique, un argument crucial à l'entame d'une crise économique à l'ampleur sans précédent.Mais "le risque, c'est qu'on crée de la mauvaise rénovation énergétique par des emplois très peu qualifiés", prévient auprès de l'AFP l'économiste Matthieu Glachant, qui a travaillé sur l'évaluation des politiques publiques de rénovation des bâtiments."L'enjeu, c'est d'améliorer la qualité", insiste-t-il. "Et si on se met à faire de la relance là dessus, j'ai peur que ça rate un petit peu. Car ce que fait la relance, c'est améliorer la quantité."M. Glachant est enclin au scepticisme car il a évalué, à partir de données observées entre 2000 et 2013, les économies vraiment réalisées par les particuliers sur leur facture après des travaux de rénovation énergétique.La réalité est très décevante par rapport aux modèles promus par les pouvoirs publics. Une dépense d'un millier d'euros se traduit en moyenne par une économie annuelle de moins de 10 euros. Autrement dit, il faut plus d'un siècle pour rentabiliser son investissement.Politique injusteCes données remettent en cause le bien-fondé du système français d'incitations. Il est largement basé sur le principe d'une subvention octroyée en fonction des travaux réalisés et non des résultats observés ensuite."Les subventions, ça déresponsabilise les gens sur les résultats des travaux: moins il y a de reste à charge, moins vous faites des efforts pour trouver un bon artisan", avance M. Glachant.Ces résultats décevants ne sont par ailleurs pas spécifiques à la France. Aux Etats-Unis, aussi, plusieurs études montrent d'importants écarts entre prévisions et factures.Comment expliquer un décalage aussi systématique ? Les économistes interrogés par l'AFP avancent que les modélisations rendent difficilement compte des situations très variables selon les logements."Il peut y avoir aussi un effet rebond: vous allez augmenter le thermostat parce que ça coûte moins cher" après les travaux d'isolation, remarque Stefan Ambec, spécialiste de l'économie de l'environnement.L'inefficacité économique des subventions n'est en outre pas leur seul problème. Elles posent aussi un souci d'équité sociale car, en s'adressant aux propriétaires, elles gonflent le portefeuille de ménages généralement plus aisés."C'est le problème de la régressivité de cette politique: on fait des transferts de pauvres à riches", souligne M. Ambec, par ailleurs sceptique sur les ambitions du gouvernement en matière de créations d'emplois.Certes, l'exécutif a récemment exclu les ménages les plus aisés de l'actuelle prime, dite MaPrimeRenov'. Mais cela revient aussi à réduire la portée de cette aide, alors même qu'il se dit plus ambitieux que jamais en matière d'environnement."Il y a un arbitrage entre efficacité - combien de logements on va rénover - et équité", admet M. Ambec qui, comme de nombreux économistes, favorise plutôt une politique de taxation des dépenses d'énergie pour inciter à des travaux efficaces.
Il y a 4 ans et 321 jours

Séméio architecture livre une nouvelle résidence universitaire

Séméio architecture signe la nouvelle résidence étudiante de Saint-Martin-Le-Vinoux. Un bâtiment qui a pour vocation... Cet article Séméio architecture livre une nouvelle résidence universitaire est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 321 jours

FNTP : Bruno Cavagné embarque pour un dernier mandat "de combat"

Réélu pour la deuxième fois à la présidence de la Fédération nationale des travaux publics dans un contexte de crise, il militera pour l’adoption de deux plans de relance.
Il y a 4 ans et 321 jours

"Nous voulons être encore plus proches de nos utilisateurs", Fabemi

INTERVIEW. Fabemi, spécialiste des produits en béton, annonce un changement de stratégie de marque dont l'objectif est de capitaliser sur la force du groupe. Jérôme De Mauroy, directeur marketing et communication nous en dit plus.
Il y a 4 ans et 321 jours

Vinci voit dans la crise une opportunité pour réinventer ses offres

ENTREPRISE. Le groupe Vinci a tenu son assemblée générale le 18 juin. L'occasion de faire un point de situation sur la reprise de l'activité de l'ensemble de ses métiers, et sur les perspectives pour 2020.
Il y a 4 ans et 321 jours

Les promoteurs déjà fragilisés craignent les suites de la crise du Covid-19

Le marché du logement neuf a connu un mauvais début d'année avant même de subir la pleine mesure de la crise du coronavirus, ont rapporté les promoteurs, exprimant leurs craintes pour la suite.
Il y a 4 ans et 321 jours

L'AMF alerte sur l'augmentation des arnaques liées aux investissement dans les parkings

L'AMF indique avoir reçu "de nombreux signalements" de personnes ayant été escroquées et ayant versé de fortes sommes d'argent pour investir dans des places de parking, notamment "d'aéroports européens", en échange de la promesse fallacieuse d'un rendement élevé."Il n'y a en réalité aucune acquisition ni location de parkings derrière ces offres frauduleuses", affirme le gendarme boursier dans un communiqué.A chaque fois, la méthode utilisée est la même: les victimes sont démarchées par "téléphone ou mail", avant d'être redirigées vers une plateforme en ligne et de signer un faux contrat de location.Ces sites "usurpent les noms d'acteurs financiers ou de groupes cotés en bourse du secteur de la construction pour rendre leur offres plus crédibles", précise l'AMF.L'autorité cite l'exemple d'un retraité ayant perdu "ses économies" après avoir succombé à une offre venant soit-disant d'un "directeur d'une société immobilière ayant son siège en Allemagne" et envoyé 50.000 euros avec l'espoir d'un rendement de 4,5% sur un an.Elle appelle de nouveau à la vigilance sur "les informations données par les sociétés que cela soit à l'oral ou à l'écrit" et rappelle que ce n'est pas parce qu'une société n'a pas fait l'objet d'une mise en garde de la part de l'AMF qu'elle est autorisée à fournir des services financiers.Les publicités sur les réseaux sociaux sont particulièrement "les terrains de prédilection des escrocs pour hameçonner leurs futures victimes", souligne le régulateur.Le gendarme français des marchés n'a eu de cesse de mettre en garde ces derniers temps contre les nouvelles arnaques dans le vin, l'or et les cheptels de vaches.Parmi les autres placements particulièrement incriminés figurent ceux en diamant, cannabis, terres rares, cryptoactifs, grands crus ou devises internationales ("forex").Et avec la crise du coronavirus, l'AMF a récemment tiré la sonnette d'alarme devant des sites proposant d'investir dans la chloroquine, le whisky, ceux promettent un crédit en moins de 3 jours sans aucune condition ou de fausses cagnottes en ligne.Depuis le début de l'année, plus de 200 sites ou entités frauduleux sont venus gonfler les listes noires publiées sur le site Assurance Banque Épargne Info Service (ABEIS).
Il y a 4 ans et 321 jours

Vinci va construire le futur siège de Total à la Défense

Le groupe de BTP Vinci construira d'ici à 2025 et pour 850 millions d'euros le futur siège du géant de l'énergie Total à la Défense, ont annoncé les différents groupes impliqués dans l'opération.
Il y a 4 ans et 321 jours

Le gouvernement propose au BTP des mesures pour alléger les coûts liés à la crise

Après avoir lancé un cri d’alarme collectif, le secteur du BTP a pris connaissance des mesures de soutien annoncées par le gouvernement dont certaines inédites. Mais insuffisantes selon la FFB.
Il y a 4 ans et 321 jours

En avril 2020, le BTP européen a atteint son plus bas niveau depuis 1995

CONJONCTURE. A l'échelle de la Zone euro, le niveau de production du secteur de la construction a perdu 14,6% en avril 2020 comparé au mois précédent. Sur un an, la chute est même de 28,4%. Les statistiques européennes montrent en outre que la France occupe, une fois de plus, la première place des pertes d'activité.
Il y a 4 ans et 321 jours

Martel Groupe : Le choix pertinent du BPE

La centrale à béton SEBM de Genas (69) est la première à avoir été mise en place, dès 2013. [©Martel Groupe] Retrouvez l’article dans Béton[s] le Magazine n° 89. « La carrière, c’était un peu un rêve de gosse… » Ce rêve, Fabrice Martel, directeur général du groupe lyonnais éponyme, l’a réalisé en 2013, un peu par hasard. « Pour répondre à des besoins internes, nous avions commencé à monter une centrale à béton. Au même moment, nous avons eu l’opportunité d’acquérir une carrière, à proximité. » En fait de carrière, il s’agissait d’une autorisation d’exploitation en bonne et due forme, sur la commune de Saint-Bonnet-de-Mure, à deux pas de l’aéroport de Lyon – Saint-Exupéry !  Fabrice Martel, directeur général du groupe éponyme : « Nous sommes là pour résoudre les problèmes de nos clients ». [©Martel Groupe] Ce changement de périmètre a imposé de revoir la stratégie “BPE” du groupe. « Avoir des granulats à disposition pour alimenter notre centrale changeait la donne », confirme Fabrice Martel. Aussi, de centrale pour l’interne, l’unité de production en construction a été transformée en centrale de réseau. Elle devenait apte à répondre aux besoins du groupe en bétons spéciaux, comme aux attentes d’entreprises de BTP locales. « Nous avions confié à l’industriel Stimm la réalisation de cette centrale à béton. » Une unité bâtie autour d’un malaxeur Teka. Pour Stimm, ce chantier s’est vite avéré d’importance, puisque l’industriel a décroché, en parallèle, celui de l’équipement de la carrière. Sans compter l’augmentation de capacité de la centrale à béton.  « Les chauffeurs sont nos premiers commerciaux. »  SEBM possède aujourd’hui 22 toupies, Putzmeister sur porteurs Mercedes Benz pour l’essentiel. [©Martel Groupe] Sept ans plus tard, le BPE génère 24 % du chiffre d’affaires de Martel Groupe, qui a atteint Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 321 jours

Edifea et Finalcad signent un partenariat exclusif pour le suivi numérique des chantiers de construction

Forte d'une croissance très rapide, depuis sa création en 2009, la société EDIFEA s'est hissée parmi les principaux acteurs de Suisse romande du secteur de la construction avec des projets de toutes envergures. Grâce à sa taille humaine garante de proximité, de cycles de décision courts et d'une équipe dirigeante accessible et engagée, EDIFEA a construit son succès avec une équipe de professionnels maîtrisant à la fois parfaitement les métiers de la construction et l'utilisation des outils technologiques de pointe en la matière.Dès 2016, EDIFEA a utilisé la plateforme de collaboration Finalcad à toutes les phases d'un projet et en y associant ses clients. Au total, ce sont déjà une trentaine de chantiers qui en ont bénéficié, principalement lors des phases de réception, directement depuis une tablette. EDIFEA a décidé de capitaliser sur ces expériences concluantes de levée des retouches en phase de réception, en étendant le recours à la plateforme Finalcad dès la phase de gros œuvre de ses chantiers et s'est engagée dans un partenariat exclusif avec Finalcad, pionnier de la transformation numérique des entreprises du BTP. En connectant tous les interlocuteurs d'un projet, Finalcad améliore l'interaction des équipes, permet de capter l'ensemble des données d'un projet et accélère ainsi la prise de décision.« Nous sommes très attachés à livrer à nos clients une prestation irréprochable dans le respect du budget et du cahier des charges. Finalcad est la solution numérique de suivi de chantier qui doit améliorer nos processus : grâce à cet outil, le suivi de chantier se fait en temps réel et nous pouvons ainsi gagner en anticipation ou prendre les actions correctives nécessaires », déclare Bertrand Duckert, Directeur et administrateur d'EDIFEA.Cet accord confirme la position de Finalcad comme un partenaire stratégique de premier ordre pour accompagner les entreprises du BTP dans leur processus de transformation numérique du terrain au bureau. Avec une offre complète de produits couvrant tous les processus de gestion et suivi de projet, Finalcad permet à ses clients de faire travailler encore plus efficacement tous les talents de ses équipes pour délivrer un ouvrage de qualité.« Nous sommes fiers du travail accompli entre les équipes de Finalcad et d'EDIFEA depuis 2016 », se félicite Franck Le Tendre, PDG de Finalcad. « Nous partageons des valeurs communes avec les fondateurs d'EDIFEA, notamment le fait que la technologie doit remplir ce rôle de facilitateur pour la vie des équipes. Grâce à une prise en main intuitive et facile, notre plateforme numérique doit permettre à chaque talent, artisan et expert de livrer le meilleur de ses compétences pour construire le meilleur ouvrage. La solution Finalcad accessible en mobilité, permet de partager les informations et de travailler de façon collaborative de n'importe où, aussi bien sur site que dans les bureaux. »
Il y a 4 ans et 321 jours

EDF adapte la production d'énergie locale aux collectivités

Le producteur et fournisseur d’électricité français, EDF, accompagne les collectivités dans leurs transitions énergétiques en proposant des solutions d’énergies locales.Produire à l’échelle du territoire Le développement des énergies renouvelable a pour objectif de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre. Selon l’Ademe, en 2015, 80% des Français attendaient déjà un essor significatif des énergies vertes. Ils défendent les enjeux climatiques notamment grâce à la consommation des énergies locales.Le premier producteur d’énergie en France, EDF, propose directement aux collectivités de s’équiper en infrastructures adaptées à la production d’énergies locales. L’entreprise s'entoure de professionnels pour aménager les espaces en panneaux solaires et en éoliennes. Les bâtiments peuvent également fonctionner en circuit court grâce à la biomasse. En plus de soutenir les engagements écologiques des territoires, la production d’énergie locale offre une meilleure gestion économique des consommations énergétiques. L’ajustement des consommations en fonction des besoins d’un bâtiment réduit effectivement les frais extérieurs. Par ailleurs, les installations d’infrastructures spécifiques contribue à valoriser le territoire. Les collectivités ont intérêt à travailler avec des spécialistes locaux ce qui permet de redistribuer les richesses localement. Valoriser les ressources territorialesLes ressources locales génèrent des retombées locales directes notamment grâce au développement des professionnels locaux. Les collectivités cherchent de nouvelles compétences pour accompagner les nouvelles initiatives de consommation d’énergies décarbonées. Les bailleurs, les architectes, les urbanistes promoteurs ou encore les entreprises sont accompagnées par des coordinateurs pour réunissent les actions pour conserver une cohérence dans les projets. EDF propose le service de ses experts pour développer la stratégie énergétique des bâtiments. Leur expérience garantit le bon déroulement opérationnel des des circuits courts ou des réseaux de chaleur et de froid. Les spécialistes locaux aident également à identifier les solutions durables le plus adaptées aux besoins du bâtiment en fonction des ressources locales. Les productions d’énergies locales contribuent à lutter contre le réchauffement climatique tout en mettant en avant les ressources des territoires. Les collectivités doivent s’appuyer sur des spécialistes dont les compétences leur permet de mieux gérer leurs consommations énergétiques.
Il y a 4 ans et 321 jours

Retour à une activité presque normale sur les chantiers de Vinci

Vinci a retrouvé 90% de son activité normale mais reste soumis à des perspectives incertaines dans ses aéroports face à la crise du coronavirus, et anticipe un chiffre d'affaires annuel et des bénéfices affectés "de manière très significative".
Il y a 4 ans et 321 jours

Rénovation énergétique : l'Etat promet des "annonces fortes"

PLAN DE RELANCE. Le Gouvernement souhaite aller plus vite sur la rénovation énergétique des bâtiments, comme l'a confirmé la secrétaire d'État Agnès Pannier-RUnacher lors des questions au Gouvernement, au Sénat.
Il y a 4 ans et 321 jours

Confinement: l'arrêt du BTP français a été plus brutal qu'ailleurs selon Bouygues

Le monde français du BTP a connu un arrêt particulièrement brutal par rapport à d'autres pays à la suite des mesures de lutte contre le coronavirus, a estimé  Martin Bouygues,.
Il y a 4 ans et 321 jours

7,8 millions de salariés au chômage partiel fin mai

"Fin mai, 7,8 millions de Français ont été en chômage partiel, mais c'est moitié moins d'heures qu'en avril, la décrue est vraiment manifeste, c'est vrai dans le commerce et le bâtiment", a-t-elle détaillé."Au total, depuis le début, on a dépensé pas loin de 17 milliards d'euros" pour financer cette activité partielle, a-t-elle dit. 31 milliards d'euros ont été inscrits dans le dernier budget rectificatif pour payer la facture."En mai, dans le secteur privé, un salarié sur deux est allé travailler sur son lieu de travail, un sur quatre (était) en télétravail, un quart en chômage partiel, en garde d'enfant ou en arrêt maladie", a-t-elle détaillé."Un quart de la force de production en moins, c'est beaucoup dans un pays, cela a contribué à la récession", a-t-elle dit, estimant que "ça devient vraiment dangereux pour l'emploi si ça ne reprend pas plus massivement".Appelée à commenter une phrase d'Emmanuel Macron indiquant dimanche soir qu'il faudrait "travailler davantage", la ministre a répondu: "Aujourd'hui, notre enjeu, c'est de travailler tous".Selon les derniers chiffres de la Dares, le service statistiques du ministère, publiés mercredi, "en mai, 5% seulement des salariés étaient dans une entreprise dont l'activité s'était arrêtée, après 12% en avril et 19% en mars".Selon les estimations de la Dares, le nombre de salariés en chômage partiel a été de 8,7 millions en avril, et 7,2 millions en mars. Les entreprises, qui font une demande d'activité partielle pour un volume d'heures, ont un an pour faire leur demande d'indemnisation.Interrogées dans le cadre de l'enquête "Acemo" (activité et conditions d'emploi de la main-d'oeuvre pendant la crise sanitaire Covid-19), les entreprises voient comme "principales difficultés" de la reprise "la disponibilité limitée de certains salariés, l'organisation de l'activité de manière à respecter la distanciation sociale, et le manque de débouchés".S'agissant des mesures de protection individuelles liées à la crise sanitaire, "les entreprises qui estiment qu'elles diminuent la productivité ou augmentent les coûts représentent la moitié des salariés et celles qui pensent cet impact supérieur à 10% emploient un cinquième des salariés".
Il y a 4 ans et 321 jours

Flash Training du Campus Zehnder : des formations gratuites en ligne pour perfectionner les connaissances des professionnels

Pendant le confinement, le centre de formation Campus de Zehnder Group France a mis en place des formations courtes à distance pour les professionnels (installateurs, distributeurs, bureaux d’études…). Ces Flash-training, animés par un animateur en « live », ont permis à plus de 700 participants de se perfectionner sur des thématiques majeures dans l’univers du chauffage central, du chauffage électrique et de la ventilation double flux. Fort du succès rencontré, le Campus de Zehnder Group France poursuit son initiative jusqu’à mi-Juillet 2020 avec de nouveaux modules. Flash-training : 20 modules de formations distancielles gratuites Animés par un formateur du Campus Zehnder, les flash-training, formations gratuites en ligne, abordent des problématiques précises sur le chauffage et la ventilation double flux. Les participants peuvent poser leurs questions en direct au formateur. 20 modules différents sont aujourd’hui proposés aux professionnels et pour répondre à des problématiques spécifiques : • sur la ventilation double flux : . Covid et ventilation : le vrai du faux, . règles de dimensionnement d’un système de VMC double flux, . chiffrage et utilisation du logiciel Zehnder Comfoquote, … • sur le chauffage central : . différents types d’installation, . les systèmes basse température, . détermination des radiateurs en chauffage central, … • sur le chauffage électrique : . introduction au chauffage électrique, . les différents types de régulation, . les typologies de radiateurs et argumentaires de vente… Accessibles depuis les sites internet https://acova.fr/pro (pour les formations chauffage) et https://www.zehnder.fr (pour les formations ventilation double flux), les professionnels accèdent aux calendriers des formations et s’inscrivent facilement en ligne. Avec la mise en place de ces Flash-training, Zehnder Group France démontre sa volonté d’être au plus proche des professionnels, de les écouter et les former afin de développer leurs compétences pour assurer la qualité des installations.
Il y a 4 ans et 321 jours

HGCT et Bétonic développent une chape fluide bas carbone

Didier Airieau, Julien Blanchard et Hervé Charpentier lors de la signature de l’accord entre HGCT et Bétonic. [©HGCT] Début juin, Hoffman Green Cement Technologies (HGCT) a signé un partenariat avec Bétonic pour de futurs développements de produits. Filiale du groupe Charpentier, Bétonic est un producteur de béton, qui vient de fêter ses 25 ans. Et qui dispose de deux centrales de production en Vendée. Signé entre Julien Blanchard, président du directoire d’HGCT, Hervé Charpentier, président du groupe éponyme, et Didier Airieau, directeur général du groupe Charpentier, ce partenariat scelle une collaboration déjà engagée, autour des chapes fluides bas carbone. « Cette signature concrétise nos années de soutien technique à HGCT sur le développement des produits “chapes fluides”. Cet accord confirme une entente entre nos deux entreprises pour finaliser le développement de ce produit et le commercialiser au plus vite », commentent Hervé Charpentier et Didier Airieau. L’objectif est de combiner les savoir-faire d’HGCT en matière de ciment bas carbone et ceux de Bétonic en matière de chapes fluides. Ceci, afin de commercialiser une chape fluide bas carbone d’ici quelques mois. C’est HGCT qui devrait être porteur du projet et, a priori, détenteur de l’Avis technique qui sera rattachée au produit.  
Il y a 4 ans et 321 jours

Le Cluster Lumière renouvelle partiellement son Conseil d'Administration

Le 11 juin 2020, l’Assemblée Générale du Cluster Lumière a procédé au renouvellement partiel du Conseil d’Administration ; celui-ci a ensuite renouvelé sa confiance à son président, Philippe Badaroux, ainsi qu’aux membres du Bureau.
Il y a 4 ans et 321 jours

Putzmeister présente son nouveau Mixokret M 740

Le transporteur à chape Mixokret M 740 Stage V. Putzmeister devait présenter sa dernière génération de transporteurs de chape sur le salon EPF. Celui-ci ayant été annulé suite à l’épidémie de Covid-19. La marque allemande dévoile, dès à présent, le nouveau Mixokret M 740 Stage V. Ce dernier semble être assez similaire à son prédécesseur de par son aspect extérieur. Les plus grands changements ont été effectués sous le capot. Qui continue de s’ouvrir de manière centrale comme sur l’ancienne version. Le moteur turbo 3 cylindres de Deutz fonctionne désormais avec une puissance de 36,4 kW, soit environ 10 % de puissance de plus que son prédécesseur. Le compresseur de Rotocomp délivre une capacité d’air allant jusqu’à 4,35 m3/mn. Grâce au post-traitement sophistiqué des gaz d’échappement, avec un filtre à particules diesel, la machine répond à toutes les exigences de la norme d’émission “Stage V” sans utiliser d’AdBlue. 15 % d’économie de carburant Afin de pouvoir s’adapter de la manière la plus flexible possible aux conditions respectives de chaque chantier, la nouvelle gestion des performances permet de sélectionner cinq vitesses de transport différentes. Ceci permet de faire des économies de carburant allant jusqu’à 15 %, en pompant en mode “Eco”. Pour des distances de transport plus longues, l’augmentation de la vitesse en mode “Power” garantit une performance maximale. Sur ce nouveau modèle, le malaxeur est désormais à entraînement hydraulique, permettant à l’utilisateur de faire fonctionner l’arbre de malaxage en sens inverse pour “décoincer” le mélange si besoin. Enfin, plus jamais une batterie ne sera déchargée le lendemain matin, grâce à la fonction d’extinction automatique. En standard sur la machine, elle déconnecte automatiquement tous les consommateurs électriques, même si l’interrupteur principal n’est pas éteint en fin de journée. Il est en donc fini des temps d’arrêt inutiles dus aux batteries déchargées.
Il y a 4 ans et 321 jours

Weber lance une gamme de mastics

C'est ainsi qu'à l'issue d'une enquête de satisfaction, Weber a choisi de compléter son large panel de produits par un cœur de gamme de mastics : 8 solutions qui constituent, à elles seules, 80% des besoins du marché, et s'adressent tant aux professionnels qu'aux particuliers bricoleurs.Après avoir développé dans les négoces ses libres-services carrelage puis maçonnerie, enrichi son expertise en colles par une nouvelle gamme dédiée aux revêtements de sol souples, Weber diversifie encore ses offres, lui permettant d'être véritablement présent à toutes les étapes chantiers.Une gamme simple et pratique Partant du constat que le marché des mastics se révèle « sur-segmenté » (avec pléthore de produits aux formulations très proches mais multipliant les packagings pour occuper l'espace dans les points de vente), Weber a souhaité en prendre le contre-pied et favoriser la simplicité et l'efficacité, misant sur une compréhension immédiate de sa gamme. Les 8 solutions que la société a ainsi sélectionnées alimentent 80 % du marché des mastics.Ce cœur de gamme présente l'avantage d'une grande praticité pour les négoces qui regroupent leur commande multi-produits auprès d'un même fournisseur (d'autant que le capital confiance envers Weber est très élevé), véritable atout en termes de logistique et gain de temps.Toujours en vue de renforcer la notion de services, Weber a imaginé un format inédit de carton prêt-à-vendre pour chacune des 8 références : il suffit d'en découper le haut et placer directement la box où on le souhaite dans le point de vente, en dehors du rayon dédié pour jouer l'achat d'impulsion ou, au contraire, au sein d'une zone où l'achat sera facilité par la complémentarité (les mastics carrelage dans l'espace dédié au carrelage). Exit la fastidieuse étape de mise en rayon !8 produits essentielsWeber présente tout d'abord 3 silicones, tous en cartouche 300 ml : weberseal tile se destine au carrelage, weberseal sanitary aux sanitaires et weberseal construction au bâtiment en général. Neutre, weberseal tile peut être utilisé sur du carrelage (pour réaliser des joints de raccordement entre paroi et baignoire ou bac de douche, étancher les joints dans les pièces humides) mais également des surfaces béton et bois. Riche de 7 couleurs inaltérables très résistantes aux UV, il demeure insensible aux moisissures.Présentant les mêmes performances techniques, weberseal sanitary est un silicone acétique qui s'avère extrêmement malléable offrant une adhérence optimale aux supports sanitaires (pour étancher les joints entre murs et lavabos, entre sols et toilettes par exemple) et weberseal construction, disposant du label SNJF Façade 25E, se met en œuvre sur pratiquement tous les supports (joints de construction courants, vitrages et joints de raccordement, joints entre PVC, profilés en métal, bois traité et verre).Cette nouvelle gamme Weber intègre également une mousse expansive, destinée au remplissage des cavités et conduits, aux applications dans les joints statiques ou encore à l'installation et la réparation de tuiles faîtières. Disponible en cartouches de 500 ou 750 ml (manuelle et pistolable), weberfoam PU bénéficie d'un fort rendement de remplissage ainsi que d'une grande stabilité de forme (pas de retrait ou post-expansion). Il procure une excellente isolation thermique et acoustique.Enfin, au rang des divers mastics, se distingue weberseal MS, dont la formule se révèle particulièrement résistante aux intempéries et aux UV. Là où d'autres mastics requièrent de préparer le support en amont, weberseal MS peut s'appliquer directement sur tous supports, même légèrement humides. Ses usages sont multiples : étanchéité et collage dans les industries de la construction et de métal, collages structuraux dans des applications vibrantes, rejointoyage des joints de sol, joints de raccordement et de dilatation entre les profilés des fenêtres et le mur...weberseal PU40, disposant comme weberseal construction du label SNJF Façade 25E, est adapté aux collages et à la réalisation de joints d'étanchéité, adhérant à de très nombreux matériaux, sans risque de déchirures. Enfin, weberseal roof tile est une colle à tuile d'une grande élasticité et weberseal acrylic, labellisé SNJF Façade 12,5P, recouvrable après durcissement, offre une excellente adhérence à de nombreux matériaux poreux et à l'aluminium (joints aux appuis de fenêtres, entre plinthe et mur, entre maçonneries, etc.).
Il y a 4 ans et 321 jours

Vers les centrales solaires hybrides

Producteur indépendant d’énergie renouvelable, ZE Energy s’ancre dans le secteur des EnR (énergies renouvelables) avec sa solution de centrales solaires hybrides combinant photovoltaïque et stockage adaptées à l’Europe continentale. Le modèle a séduit les investisseurs DEMETER, HTGF, EverWatt et Ze Way Invest. La startup vient de lever 4 millions d’euros pour accélérer son développement.
Il y a 4 ans et 321 jours

Arcades et embruns, une capitainerie et une maison de pêcheurs par Oh!Som architectes

Après le béton, la brique et le bois, les éditions Phaidon ont choisi d’explorer la pierre en portant un regard nouveau sur la beauté, la diversité et la polyvalence de ses architectures. D’une grande richesse visuelle, l’ouvrage montre la fascination qu’exerce ce matériau incontournable à travers 170 réalisations des […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 321 jours

Des décrets à venir pour la reconnaissance du Covid-19 en maladie professionnelle

M. Pietraszewski a rappelé que la reconnaissance en maladie professionnelle pour les soignants, promise par le ministre de la Santé, Olivier Véran, était "un devoir" envers ces professions.Il répondait à une question du député (Génération.s) de la Loire Régis Juanico sur la reconnaissance en maladie professionnelle pour les métiers autres que soignants (caissiers, pompiers, postiers, agents de maintenance...), souvent désignés comme "deuxième ligne"."Pour les autres travailleurs que vous évoquez, qui ont pu être contaminés dans le cadre de leur activité professionnelle, nous allons aussi faire en sorte qu'ils puissent obtenir une indemnisation au titre de la maladie professionnelle", a-t-il dit."Je ne partage pas votre proposition de créer un fonds, je crois qu'il est logique d'inscrire cela dans le système de maladie professionnelle qui est déjà éprouvé, qui fonctionne bien et qui me paraît tout à fait adapté", a-t-il ajouté."Nous présenterons dans les jours qui viennent les décrets qui seront ensuite publiés très rapidement sur le sujet", a-t-il ajouté. Le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, avait jugé la semaine dernière "insupportable" de n'être toujours pas fixé de manière claire sur la reconnaissance comme maladie professionnelle du coronavirus.La CFDT souhaite la reconnaissance du Covid-19 comme maladie professionnelle pour tous les métiers, de même que d'autres organisations syndicales, et pas uniquement pour les soignants.Une liste des maladies professionnelles reconnues est établie dans des tableaux annexés au code de la sécurité sociale et au code rural.Si le salarié entre dans les critères (avec des durées d'exposition au risque), il n'a pas besoin de prouver le lien entre sa pathologie et son travail. Si tous les critères ne sont pas remplis, il faut apporter la preuve du lien entre son travail et la maladie et c'est donc bien plus compliqué.Par ailleurs, en dehors de ces tableaux, tout salarié estimant avoir contracté une maladie du fait de son travail peut faire un dossier auprès d'un comité régional de reconnaissance des maladies professionnelles. Le processus est alors très long, "un parcours du combattant" selon plusieurs sources
Il y a 4 ans et 321 jours

Un rapport du Sénat propose des mesures pour soutenir les PME fragilisée par la crise sanitaire

Ce rapport de la Commission des affaires économiques du Sénat rassemble 17 mesures qui visent notamment à "éviter une vague de faillites" parmi les PME et à "relancer le commerce de proximité", selon une synthèse consultée par l'AFP.Il s'agit de "donner un certain nombre d'idées à l'exécutif pour la mise en œuvre du plan de relance" qui sera dévoilé en septembre, a précisé à l'AFP Serge Babary, sénateur (LR) d'Indre-et-Loire, copilote de la cellule à l'origine du rapport."Il reste encore des professions en grande difficulté, certaines sont connues et structurées comme l'événementiel, mais on s'inquiète aussi de tous les professionnels en amont de ces activités", a-t-il ajouté, citant par exemple les traiteurs, photographes et fleuristes qui gravitent autour de l'industrie du mariage.Pour accélérer la reprise de l'activité, les sénateurs proposent par exemple de baisser la TVA "par exemple à 5,5%" pour les secteurs les plus touchés par la crise (commerce, hôtellerie, restauration, etc.) ce qui pourrait se traduire par "une baisse des prix améliorant le pouvoir d'achat des consommateurs" et par "une hausse des marges" des entreprises concernées.Le rapport suggère aussi de renforcer et de prolonger jusqu'à la fin de l'année certains dispositifs existants. Il préconise en particulier d'assouplir les conditions d'éligibilité au fonds de solidarité permettant aux très petites entreprises de toucher une aide financière.Il recommande également de renforcer les fonds propres des TPE et des PME avec des prêts participatifs ou des obligations convertibles afin de "rétablir leur capacité d'investissement".Les commerçants et les artisans, "frappés de plein fouet" par l'interdiction d'accueillir du public, étaient déjà fragilisés par plusieurs facteurs, souligne le rapport, comme une faible trésorerie, la désertification des centres-villes ou leur manque de numérisation.Ils doivent donc "être durablement accompagnés dans la transition numérique", estiment les sénateurs, qui proposent de "soutenir la formation des dirigeants et salariés" dans ce domaine et de les inciter "à améliorer leur visibilité sur internet", à l'aide notamment d'un crédit d'impôt.Le commerce de proximité "doit être revalorisé", insiste le rapport, qui plaide pour sa promotion dans une campagne nationale.Pour dynamiser ces filières, l'aide à l'embauche d'un apprenti doit être renforcée, estime également le document.
Il y a 4 ans et 322 jours

Les renouvelables, "levier essentiel" pour la reprise selon la profession

Les énergies renouvelables peuvent être "un levier essentiel du redémarrage de l'économie", ont souligné les responsables du syndicat de la profession (SER), en présentant leurs préconisations.
Il y a 4 ans et 322 jours

Les ESH et les OPH "en ordre de marche" pour négocier la relance

ENTRETIEN. Valérie Fournier, présidente de la Fédération des Entreprises sociales pour l'Habitat (ESH) et Marcel Rogemont, président de la FOPH (Fédération des offices publics de l'habitat), répondent aux questions de Batiactu quelques jours après la publication de leur "Manifeste pour une relance socialement juste".
Il y a 4 ans et 322 jours

Travaux ferroviaires : des opportunités à saisir dans les pays nordiques

Le Danemark, la Norvège et la Suède ont adopté des plans de soutien ambitieux pour le secteur et les projets d’infrastructures se multiplient.
Il y a 4 ans et 322 jours

Les artisans du bâtiment déçus par le projet de loi de finances, font 6 propositions au gouvernement pour relever le défi de la reprise

Ce plan n'est cependant pas à la hauteur de la situation d'urgence dans laquelle se trouvent les entreprises artisanales du bâtiment. Le Gouvernement occulte la question de la prise en charges des surcoûts liés aux précautions sanitaires et exclut les entreprises du BTP des mesures d'exonération de cotisations et contributions sociales. La CAPEB souhaite donc alerter les parlementaires et propose des mesures fortes, parfois déjà formulées lors du précédent projet de loi de finances pour 2020, qui permettront au secteur de se maintenir et de relever le défi de la reprise de l'activité économique. La CAPEB formule en outre six propositions au plus proche du terrain afin de déverrouiller certains obstacles à la reprise totale de l'activité.Patrick Liébus, Président de la CAPEB : « La crise qui frappe nos entreprises est un choc d'une ampleur inédite. La situation est grave : nous faisons face à de très fortes contraintes de trésorerie et nous devons nous organiser pour accroitre progressivement notre niveau d'activité, notamment en ce qui concerne les chantiers les plus complexes. N'oublions pas que notre secteur représente 6,4% de l'emploi et 5% de la valeur ajoutée en France et qu'il offre, au redémarrage de l'économie nationale, de puissants effets d'entraînement ! nous avons donc formulé des demandes concrètes et adaptées à la réalité du terrain, que les pouvoirs publics doivent prendre en compte pour relever le défi de la reprise de l'activité de l'artisanat du bâtiment. A situation exceptionnelle, nous voulons des mesures exceptionnelles. C'est le moment de prendre en considération certaines de nos propositions rejetées l'an passé, mais également d'en retenir de nouvelles. Nous demandons à nos CAPEB départementales de les porter à la connaissance de leurs parlementaires. »Des mesures gouvernementales à renforcerA l'occasion de l'examen du projet de loi de finances rectificatives qui sera examiné à l'Assemblé Nationale, la CAPEB souhaite interpeller les députés pour qu'ils alertent le Gouvernement sur la question de la prise en charge des surcoûts engendrés par la mise en place des précautions sanitaires. Pour la rénovation des logements, la CAPEB estime le surcoût des travaux sur site de l'ordre de 10 à 20%.Les postes les plus lourds concernent notamment la réorganisation des chantiers notamment en cas de co-activité entre plusieurs entreprises ou plusieurs équipes, le transport des salariés, la désinfection des surfaces, la gestion des déchets. Cela concerne également l'obligation de réaménagement des bases de vie, des vestiaires, des sanitaires sur site et bien évidemment de fournir aux travailleurs tous les équipements de protection nécessaires (gants, masque, etc.).La solution proposée par le Gouvernement réside dans la négociation ou la renégociation, et tout particulièrement en marché public. Or de quelle marge de manœuvre dispose une entreprise artisanale face à son client particulier ou encore face à son maitre d'ouvrage public. Cette mesure est, dans tous les cas, inopérante pour une petite structure.La CAPEB rappelle que ces coûts contribuent à augmenter les montants des devis et souhaite que l'État puisse prendre des dispositions compensatoires pour alléger les coûts des entreprises qui supporteront pour partie ces surcoûts.Le troisième projet de loi de finances rectificative prévoit par ailleurs d'accorder aux entreprises les plus touchées par la crise économique et sanitaire actuelle des mesures exceptionnelles d'exonération de cotisations et contributions sociales ainsi que des remises de dettes et des plans d'apurement. Ces mesures sont proposées aux secteurs d'activité les plus touchées notamment les secteurs du tourisme, de l'hôtellerie, de la restauration de la culture de l'événementiel du sport et du commerce de détail non alimentaire ainsi que les secteurs dont l'activité dépend de celles de ces secteurs. Elles ne concernent pas le secteur du Bâtiment pourtant lourdement touché par la crise économique actuelle, notamment en raison du temps nécessaires qu'il a fallu pour établir le guide officiel de recommandations sanitaires sur les chantiers et en raison des refus de la clientèle privée et des particuliers (87% de l'activité du secteur) de procéder aux chantiers.Compte tenu de son poids dans l'économie et de son importance pour l'activité dans les territoires, la CAPEB demande l'extension de ces mesures exceptionnelles d'exonération des cotisations et contributions ainsi que les remises de dettes, aux employeurs et travailleurs indépendants relevant du secteur du Bâtiment et des Travaux Publics.Projet de loi de finances rectificatives : l'occasion de revenir sur des erreurs du projet de loi de finances initialLe projet de loi de finances pour 2020 prévoyait d'exclure du CITE les 9° et 10° déciles qui représentent les ménages les plus « aisés ». Si l'on peut comprendre que le Gouvernement, au travers d'une mesure sociale, soutienne légitimement les ménages modestes et très modestes, pour autant en termes de massification des travaux et sur un plan environnemental, exclure les 9° et 10° déciles, qui réalisent actuellement près de 50% des travaux relevant du CITE, marque une incohérence et conduira inévitablement à une baisse du nombre de rénovations énergétiques des logements. Le projet de loi de finances rectificatives constitue une occasion de revenir sur cette mesure, en lien avec les objectifs fixés par le Président de la République qui souhaite mettre l'accent sur la rénovation énergétique.Le projet de loi de Finances 2020 supprimait en outre le CITE pour les ménages intermédiaires, concernant les chaudières gaz à très haute performance énergétique (THPE). Or, il est objectivement démontré que ces équipements ont vocation à remplacer le parc des chaudières fioul et gaz existant, en contribuant à la diminution des consommations énergétiques et des émissions de gaz à effet de serre. Une suppression brutale du CITE sur les chaudières gaz à très haute performance énergétique n'est donc pas concevable aujourd'hui.Enfin, la CAPEB plaide pour un retour de la TVA à un taux réduit de 5,5% pour l'ensemble des travaux de rénovation. Cette mesure représenterait une réponse concrète aux enjeux économiques et climatiques actuels.Six propositions simples et au plus proche du terrain pour soutenir l'activité du secteurLa CAPEB adresse par ailleurs aux pouvoirs publics des demandes adaptées au quotidien des entreprises artisanales. Tous les obstacles de terrain que peuvent rencontrer les entreprises artisanales et toutes les incohérences administratives qui minent le quotidien des entreprises artisanales doivent être levés afin que leur survie économique soit assurée.Afin de renforcer leur trésorerie pour éviter au maximum les défaillances d'entreprise, la CAPEB demande :Le paiement direct à l'entreprise de l'avance et du solde des aides aux travaux (MaPrimeRénov, Anah, Action Logement…)Anticiper le versement des primes CEE aux clients, notamment pour les chantiers engagés, afin d'accélérer les règlements envers les entreprisesPermettre aux collectivités territoriales de supprimer les « droits de trottoir » afin que ces entreprises puissent reprendre leur activité sur tout le territoire et le plus rapidement possibleLe droit au stationnement pour les véhicules professionnelsAutoriser durant les mois de l'été la mise en place d'échafaudages et/ou de bennesAccroître les rénovations par la possibilité de déroger au PLU, en favorisant un plus grand niveau de constructibilitéPatrick Liébus, Président de la CAPEB : « Pour conclure, et pour le moment, j'ai bien peur que ce que nous appelons « reprise » ne corresponde en fait qu'à l'exécution des devis et commandes d'avant Covid. Par conséquent, ce qui est très inquiétant pour les semaines et mois à venir, c'est l'éventuelle insuffisance des nouvelles commandes, qui constitueraient la « vraie » reprise. Mes deux craintes : un trou d'air en automne et encore trop peu de chantiers en activité totale et normale. Je rappelle que le dernière enquête des CERC fait apparaître que seulement 63% des chantiers repris fonctionnent à 100%. Malheureusement, un bon nombre d'entreprises artisanales sont amenées à supporter les surcoûts, notamment quand elles réalisent des travaux pour les particuliers, ce qui risque de les conduire à des situations de trésorerie très dégradées, voire de les conduire à la faillite. Enfin, sous peu, nous présenterons l'intégralité du plan de relance que la CAPEB propose pour le secteur, plan qui intégrera bien sûr ces quelques propositions »
Il y a 4 ans et 322 jours

93% des chantiers ont repris en France, selon Julien Denormandie

"Nous sommes à 93% de reprise des chantiers sur le territoire national", a déclaré M. Denormandie sur la chaîne BFM Business.De nombreux chantiers étaient tombés à l'arrêt au printemps, à la suite des mesures de confinement décidées contre la propagation du coronavirus. Même si ces chantiers n'étaient pas interdits, il s'est souvent révélé difficile de respecter les contraintes sanitaires, du moins dans un premier temps."Il y a à peu près 15 jours, nous étions à 70%, et il y a un mois, nous étions à à peine 50%", s'est félicité M. Denormandie. "La reprise est là et la dynamique est là."Pour autant, la reprise est plus lente que l'objectif qu'avait fixé le ministre. Il désirait, voici environ un mois, que l'intégralité des chantiers aient repris dès la fin mai.De plus, parmi les chantiers qui ont repris, certains restent en deçà de leur activité normale."Ils sont environ pour 70% d'entre eux repartis à pleine activité", a détaillé M. Denormandie. "Tous n'ont pas encore retrouvé leur régime de croisière."Confiant sur la reprise immédiate, le ministre craint surtout un "trou d'air" à l'automne, qui répercuterait les difficultés actuelles des entreprises à engranger des commandes.Le secteur craint que les mesures de relance prévues à l'automne par le gouvernement arrivent trop tard. Il regrette de ne pas faire l'objet, dès maintenant, d'un plan spécifique comme l'automobile, l'aéronautique et le tourisme."Notre objectif aujourd'hui, c'est de relancer la commande", a promis M. Denormandie, qui dit avoir mis la pression en ce sens sur les organismes dépendant directement de son ministère.Il a aussi rappelé que le gouvernement allait donner une enveloppe d'un milliard d'euros aux collectivités locales pour leurs investissements, bien que les fédérations du secteur jugent la mesure insuffisante en l'état.
Il y a 4 ans et 322 jours

Baisse de 30% des transactions immobilières sur toute la France mais un marché rééquilibré prêt à rebondir

Cette période a été l'occasion, pour de nombreux ménages, de repenser leur mode de vie et d'y adapter leur projet d'achat immobilier. Néanmoins, dans ce contexte, les conditions d'obtention d'un prêt se sont resserrées en raison notamment de la hausse des taux d'emprunt conjuguée à la baisse du taux d'usure [1]. Cette situation a engendré un effet ciseau [2] et pénalisé en premier lieu les ménages aux revenus les plus modestes.Afin de construire et de mener à bien sa demande de prêt, dans les conditions les plus avantageuses possibles et ce, quels que soient son profil ou sa situation financière, il est aujourd'hui plus que jamais nécessaire de se faire accompagner par un professionnel du crédit immobilier, tel que La Centrale de Financement. Les conditions d'emprunt sont d'ailleurs plus favorables au mois de Juin 2020 que sur le mois précédent ; après une remontée des taux des crédits immobiliers constatés au mois de Mai, ceux-ci ont finalement diminué sur l'ensemble des durées d'emprunt supérieures à 10 ans. À l'inverse, les taux ont confirmé leur tendance haussière sur les emprunts de courte durée (7 et 10 ans). Malgré le contexte de crise, les conditions d'emprunt restent donc toujours attractives et la pierre une valeur sûre !Une diminution du nombre de transactions profitable au marché du crédit immobilierAlors qu'en 2019 le nombre de transactions avait dépassé le million, le marché immobilier était au bord de la surchauffe sans avoir de véritables solutions pour le freiner et éviter le risque d'inflation. Avec la crise épidémique, la demande de crédit s'est fortement freinée permettant de rééquilibrer le marché du crédit immobilier, sans intervention du Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF).La Centrale de Financement a en effet constaté une diminution d'environ 30% de la demande de crédit, de janvier à Mai 2020 sur l'ensemble de la France, par rapport à 2019.« La diminution des demandes de prêt est légèrement moindre dans les zones les plus touchées par l'épidémie (-28,75%) en raison d'une volonté plus marquée des ménages installés en Ile-de-France de faire évoluer leur projet de vie vers des résidences situées à proximité d'espaces verts ou en bord de mer. », précise Sylvain Lefèvre, Président de La Centrale de Financement.Malgré les dommages induits par l'augmentation du chômage partiel en France, le marché du crédit immobilier devrait également être en mesure de rebondir.« Les pertes temporaires engendrées sur le marché par les emprunteurs (issus du secteur de la restauration, de l'hôtellerie etc.) ne pouvant plus honorer leurs échéances de prêts seront compensées par l'augmentation du pouvoir d'achat d'acquéreurs travaillant dans d'autres secteurs d'activité (santé, nouvelles technologies etc.). Le marché du crédit immobilier n'en est finalement que peu impacté. La Centrale de Financement reste donc très confiante sur l'avenir du crédit immobilier qui demeure l'un des investissements préférés des Français ! » déclare Sylvain Lefèvre.La Banque de France se veut également rassurante sur l'évolution du secteur, elle s'attend à un retour à la normale à partir de juillet. Pour elle, l'effet du confinement n'aura finalement eu qu'un impact « temporaire » sur le marché immobilier.Une période favorable au mûrissement des projets d'achat immobilierMalgré le confinement, les ménages français sont restés confiants et ont profité de cette période pour mûrir un projet d'achat ou le faire évoluer. Nombre d'entre eux ont notamment orienté leur réflexion vers l'acquisition d'une résidence secondaire.« Nous avons constaté une augmentation d'environ 10% des intentions d'achat pour les résidences secondaires, plus particulièrement dans l'Ouest (en Bretagne notamment) et dans le Sud, où les villes les plus attractives ont eu le vent en poupe (Nantes, Bordeaux, Montpellier, Avignon, etc.). Il s'agit, pour la plupart, de ménages parisiens qui souhaitent s'éloigner de la capitale tout en restant à proximité des grands axes TGV. » ajoute Sylvain Lefèvre.Si le marché du crédit immobilier peut s'appuyer sur de nombreux leviers pour repartir, la crise a néanmoins eu pour effet de pénaliser les emprunteurs les plus modestes. En cause : l'augmentation des taux d'emprunt conjuguée à la baisse du taux d'usure. Pour favoriser la reprise, il est donc nécessaire de proposer des solutions permettant aux ménages d'accéder à l'emprunt et ce, quels que soient leur situation financière ou leur profil.Favoriser la reprise en luttant contre l'effet pervers du taux d'usure, grâce à la délégation d'assurance !Fixé à la fin de chaque trimestre par la Banque de France, le taux d'usure protège l'emprunteur contre des taux supérieurs à ce taux plafond, dont le dépassement pourrait placer l'emprunteur dans une situation financière difficile. Mais, depuis le début de l'année, il baisse pour la deuxième fois et se rapproche des taux moyens pratiqués par les banques (qui ont augmenté pendant la crise), générant un effet ciseau. A ce jour, celui-ci laisse peu de marges aux emprunteurs modestes dont le dossier nécessite de négocier des intérêts plus élevés (banques et assurance de prêt compris) ...Afin de permettre aux ménages impactés par cet effet ciseau d'accéder à un crédit immobilier dans les meilleures conditions possibles, la Centrale de Financement, propose des solutions de financement sur-mesure et parvient à réduire significativement le coût de l'assurance, grâce à une délégation d'assurance adaptée.Le montant de l'assurance de prêt varie selon l'état de santé du contractant au prêt. Si ce dernier est atteint d'une ou plusieurs pathologies, le montant de l'assurance proposé par les Banques, généralement un contrat d'assurance groupe négocié en amont avec un assureur, peut être suffisamment important pour que son Taux Annuel Effectif Global (TAEG) atteigne rapidement le taux d'usure en vigueur. Le montant des assurances crédit proposées par les banques se base généralement sur le calcul d'un taux moyen établi selon le profil de l'emprunteur, et appliqué au montant total du capital emprunté.Or, avec une délégation d'assurance, l'emprunteur bénéficie de garanties d'assurance véritablement adaptées à son profil et ses capacités financières. Elle permet de bénéficier d'un remboursement évolutif et se base non pas sur le capital total à rembourser mais sur ce qui reste à rembourser par l'emprunteur. Ainsi, tout au long du remboursement du prêt, le montant de l'assurance diminue et engendre des mensualités moins importantes pour l'emprunteur, lui permettant de contracter un prêt immobilier dans les meilleures conditions.Juin 2020, un mois plus favorable à l'emprunt que le précédent !Après une hausse des taux généralement constatés sur le mois de Mai, ceux-ci ont finalement diminué sur les durées de prêt supérieures à 10 ans pour le mois de Juin 2020, améliorant les conditions d'emprunt sur 12, 15, 20 et 25 ans.Ainsi, avec les taux annoncés ce mois-ci, pour un emprunteur contractant un prêt d'un montant de 180 000 € sur 20 ans à 1,27%, la mensualité s'élèvera à 849,6 euros avec un coût total de crédit de 23 904 euros.Évolution des tauxLes taux immobiliers moyens de juin 2020 par durée d'empruntLes conditions de taux généralement constatées augmentent de 0,02% pour les prêts de courtes durées, à savoir sur 7 à 10 ans. En revanche, pour les emprunts d'une durée supérieure, les taux ont finalement diminué de 0,04% pour les prêts sur 12, 20 et 25 ans et de 0,03% pour les prêts contractés sur une durée de 15 ans. Les meilleurs taux immobiliers de juin 2020 par durée d'empruntLes meilleurs taux du mois de Juin restent stables par rapport à ceux du mois de Mai pour l'ensemble des durées d'emprunt. Un emprunteur bénéficiant d'un très bon dossier pourra donc solliciter un financement, avec un taux hors assurance, aussi avantageux que le mois précédent. Profil des emprunteurs ayant réalisé leur projet en mai 2020Usage du bien financé en mai 2020L'emprunteur type du mois de mai 2020[1]Le taux dit d'usure est celui au-dessus duquel les établissements de crédit n'ont pas le droit d'accorder de prêt. Il ne s'applique pas uniquement au taux d'emprunt proposé par la banque, mais au Taux Annuel Effectif Global (TAEG) qui inclut l'assurance emprunteur et les frais annexes.[2]Avec l'augmentation des taux pendant la crise, l'écart entre le TAEG et le taux d'usure s'est réduit : il s'agit de l'effet ciseau. Dans ces conditions, les futurs emprunteurs ont atteint plus rapidement le taux d'usure, entraînant ainsi le refus de leur prêt immobilier.[3]https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2020/03/26/les-seuils-de-l-usure-au-1er-avril-2020[4]Incluant les opérations de crédit destinées à regrouper des crédits antérieurs comprenant un ou des crédits mentionnés au 1° de l'article L. 313-1 du code de la consommation dont la part relative dépasse 60% du montant total de l'opération de regroupement de crédit.[5]S'agissant du taux de l'usure applicable aux crédits à taux fixe, fixation de seuils de l'usure par tranche de maturité: moins de 10 ans, 10 ans à moins de 20 ans, 20 ans et plus.[6]La délégation d'assurance, dans le cadre d'un crédit immobilier, permet aux emprunteurs de contracter une assurance emprunteur auprès d'une compagnie autre que l'organisme de crédit qui lui accorde le prêt (également appelée assurance de prêt « hors banque »)
Il y a 4 ans et 322 jours

Activité partielle : "Il faut vraiment que ça reparte", insiste Muriel Pénicaud

RELANCE. La ministre du Travail appelle les entreprises et les salariés à reprendre une activité normale pour éviter que l'emploi n'en pâtisse. Muriel Pénicaud a aussi fourni les derniers chiffres sur le chômage partiel et annoncé une évolution des guides de bonnes pratiques sanitaires.
Il y a 4 ans et 322 jours

"Un plan de soutien historique pour le BTP" - Antoine Sentis (groupe EBP)

Tribune d'Antoine Sentis, directeur de la communication du groupe EBP, au sujet du plan de soutien mis en place par le Gouvernement concernant le BTP. Il livre une analyse sur la manière dont les pouvoirs publics ont souhaité régler la question des surcoûts liés à la crise, la manière dont la reprise va s'opérer notamment par la commande publique. Enfin, les mesures liées à l'apprentissage. Autant de dispositions qui vont venir en aide à un secteur majeur de l'économie constitué en grande partie de TPE/PME et d'ETI.
Il y a 4 ans et 322 jours

bio'bric s'organise avec ses partenaires pour accompagner et faciliter la reprise du marché

« On a vécu et on vit encore une période exceptionnelle. Même si le marché connait une période d'incertitude, la société Bouyer Leroux est aujourd'hui pleinement opérationnelle pour y faire face auprès de l'ensemble de ses clients (professionnels de la distribution, entreprises de maçonnerie, plâtriers plaquistes, couvreurs, constructeurs et promoteurs) grâce à ses équipes techniques et commerciales qui se sont adaptées aux nouvelles contraintes » révèle Pierre-Alexandre Cheminel directeur marketing et commercial.Une écoute du marché renforcée pour ajuster la production sur les besoins des clientsIl y a encore une interrogation concernant le mois d'août qui traditionnellement est un mois plus faible en activité pour le bâtiment.« Les entreprises maintiendront-elles leur activité pour rattraper les retards dus aux mois de mars et avril ? Optimiseront-elles leurs chantiers avant d'entrer dans la saison d'hiver? Il y a encore des inconnues. Nous avons anticipé plusieurs scénarios pour faciliter cette reprise et d'ores et déjà, acquis de nouvelles manières de travailler » confie PierreAlexandre Cheminel.Un plan d'actions spécifique pour mieux s'adapterOptimisation du stock, souplesse de la production et réactivité des équipes techniques et commerciales bio'bric sont les trois conditions pour répondre aux contraintes liées à la gestion du Covid-19 sur les chantiers et pour aider ces derniers à repartir au plus vite et efficacement.« Le bon partenaire en temps de crise est celui qui sait être à l'écoute du marché et adapter sans cesse son organisation pour répondre aux besoins de ses clients » souligne Pierre-Alexandre Cheminel. « Pour nous assurer que nous serions bien en mesure de le faire, nous nous sommes attachés à lever au sein de nos processus l'ensemble des risques potentiels liés à la situation d'incertitude que nous vivons ».Un dispositif industriel flexible pour pouvoir approvisionner les chantiers sur l'ensemble du territoire et éviter toute rupture de produitsBouyer Leroux a aujourd'hui un stock qui permet de construire 9000 logements (5000 maisons, 4000 logements collectifs), soit l'équivalent d'une ville de 20000 habitants. Ce stock est en cours de renforcement, avec l'objectif de couvrir 3 mois de ventes à fin juillet. De plus, Bouyer Leroux a la capacité d'augmenter rapidement et significativement sa production dans l'hypothèse d'un rattrapage d'activité dans les prochains mois.Grâce à une chaine d'approvisionnement 100% locale et en propriété, la disponibilité de la matière première, l'argile, n'est pas un sujet pour la brique. Bouyer Leroux dispose en effet de plus de 30 années de réserves d'argile. Un volume équivalent à plus de 6 mois de fabrication est déjà extrait et prêt à l'emploi.Le dispositif industriel composé de 9 usines idéalement situées en France permet de pallier l'éventualité d'un isolement de certaines régions dans le cas d'une deuxième vague. Un plan de substitution est déjà prévu en ce sens. Enfin, le panel de transporteurs partenaires de Bouyer Leroux a été évalué et permettra ainsi de répondre à la demande.Accompagner les clientsDans ce contexte de profonde transformation, notamment digitale, la direction marketing et commerciale bio'bric a rapidement mis en place des solutions en modifiant l'organisation de ses équipes techniques et commerciales, et en les formant.Les maîtres mots : bonnes pratiques et adaptabilité Les équipes techniques et commerciales bio'bric, doivent aussi s'adapter pour continuer à être aux côtés de leurs clients et de leurs partenaires, et les accompagner aux mieux en leur proposant de nouveaux services :Développement du digital et de la visio-conférencePour accompagner le protocole sanitaire des clients qui demande de limiter au maximum les rendez-vous physiques, les commerciaux peuvent désormais entrer en contact avec eux par visio-conférence (100% des commerciaux sont équipés). Cela change la conduite des entretiens. Il faut en peu de temps être pertinent en proposant le service le mieux adapté au besoin du client. Pour accompagner ce changement dans les pratiques et le discours commercial, 600 heures de formation des commerciaux ont été programmées en mai.Des tutoriels ont été créés pour la mise en œuvre des produitsDifficile de se rendre sur tous les chantiers actuellement, c'est pourquoi plusieurs vidéos courtes et explicites sont mises à la disposition des équipes techniques et commerciales.Des supports de communication adaptés aux besoins actuels des entreprisesAinsi, une fiche montrant que la brique collée est un système compatible avec les gestes barrières a été mise à disposition des entreprises. Ces dernières peuvent intégrer ces préconisations dans leur propre protocole de reprise sanitaire.Une offre pertinente dans le contexte actuelCompte tenu des surcoûts liés à l'instauration des mesures sanitaires sur les chantiers face au coronavirus, les promoteurs et constructeurs de maisons individuelles sont, aujourd'hui, en recherche de produits compétitifs qui offrent les performances thermiques, acoustiques et mécaniques attendues.Les nouvelles solutions, telles que la colle fix'bric et la planelle supeRmax, commercialisées par Bouyer Leroux répondent à ces critères.En collectif : la solution brique répond parfaitement aux attentes du marchéAinsi, pour compenser une partie des frais générés par la mise en application des gestes barrières sur chantiers, la solution brique très économique présente un intérêt certain pour les promoteurs qui ne travaillent pas encore avec ce système constructif qui a fait ses preuves. Selon la dernière étude Batiétude, la brique détenait en effet 27% de parts de marché dans le collectif en 2018.Les promoteurs qui font déjà confiance à la brique sont confortés dans leur choix. Non seulement la solution brique est économique mais elle est aussi très pertinente thermiquement. Par exemple, l'association de la planelle supeRmax (résistance thermique de 1,7 m². K/W) et la brique bgv'costo th+ optimise la performance de l'enveloppe du bâtiment tout en maîtrisant les coûts. Plus largement, le Pack Collectif bio'bric, qui associe des briques isolantes à des accessoires pour traiter de manière optimale les ponts thermiques, permet aux promoteurs de proposer plus facilement à leurs clients des espaces extérieurs tels que les balcons et terrasses qui devraient être plébiscités après cette période de confinement.En maison individuelle, les constructeurs cherchent à raccourcir leur temps de chantiers pour rattraper les retards fix'bric, la colle prête à l'emploi pour la bgv20, est une solution qui permet de gagner jusqu'à 1h30 par jour et par chantier ! Elle remporte un franc succès auprès des constructeurs et maçons. Maison France Confort, membre du groupe Hexaom, vient de l'adopter sur la région Midi-Pyrénées et la déploie actuellement sur la région Île-de-France.
Il y a 4 ans et 322 jours

Le chantier d'une église controversée dans l'Ardèche, suspendu en partie pour une une expertise environnementale

Quelque 70 militaires ont mené à bien l'opération, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.Onze personnes qui occupaient une passerelle en cours de construction ont été amenées au commissariat le plus proche. Après vérification de leur identité, elles ont toutes été relâchées."Tout s'est passé dans le calme. Les occupants n'ont pas opposé de résistance", ont indiqué les forces de l'ordre.Des militants locaux et des membres du mouvement Extinction Rébellion voulaient dénoncer un projet ayant vu le jour "dans le secret" et aux "graves conséquences écologiques" et menaçaient de bloquer le chantier sur la durée.La rivière La Bourges qui borde la construction est un habitat de plusieurs espèces protégées, font-ils valoir.Le Parc naturel régional des Monts d'Ardèche s'est prononcé contre cette construction en début d'année.Suite à l'occupation, une plainte a été déposée par les propriétaires des terrains. Les entrepreneurs chargés du chantier évaluent, quant à eux, les dégâts suite à la mobilisation. Mais ils n'ont pour l'instant pas déposé plainte.La préfète de l'Ardèche Françoise Souliman a indiqué qu'elle restait ouverte à une rencontre avec les opposants au projet mais qu'elle ne laisserait pas une ZAD (une "zone à défendre", dans le vocabulaire des militants écologistes) s'installer.Une expertise environnementale pour calmer les tensionsLa préfète de l'Ardèche a proposé de suspendre les travaux de la passerelle d'une église controversée au cœur du parc régional des monts d'Ardèche, le temps de mener une expertise environnementale pour étudier son impact sur une rivière en contre-bas.Cette étude indépendante, qui pourrait être menée dans l'été, permettrait de "préciser définitivement l'impact du projet sur les espèces et leur habitat", indique la préfète Françoise Souliman dans un communiqué.Ce chantier, qui a débuté il y a un an dans le village de Saint-Pierre-de-Colombier, est porté par la congrégation catholique de la famille missionnaire de Notre-Dame. Il prévoit la construction d'une imposante église de 3.500 places, d'un parvis, de logements, d'un parking et d'une passerelle sur la rivière La Bourges.Mais cette rivière qui borde la construction est un habitat de plusieurs espèces protégées. Le Parc naturel régional des Monts d'Ardèche s'était prononcé contre cette construction en début d'année.Et des militants écologistes se sont montés en collectif et avaient commencé à occuper le site ce week-end, avant d'être délogés par les forces de l'ordre lundi.Mardi, la préfète a réuni tous les acteurs de ce conflit. La congrégation religieuse a accepté le principe d'une étude. Reste maintenant à savoir si le groupe des "Ami.e.s de la Bourges" y souscrira également.Si tout le monde s'accorde, les travaux de la passerelle seront suspendus jusqu'aux résultats de l'étude, mais le reste du chantier pourra continuer.
Il y a 4 ans et 322 jours

Le marché du Crowdfunding immobilier reprend progressivement sa marche en avant

Un produit d'épargne installé dans le paysageAprès un très bon 1er trimestre marqué par une collecte de 9,2 millions d'euros, quatre fois supérieure au premier trimestre 2019, et un triplement des remboursements (4,2 millions d'euros), l'entrée en vigueur des mesures de confinement a entrainé une suspension de quelques jours des collectes réalisées par Fundimmo pour analyser la situation en relation avec ses partenaires promoteurs et recalibrer ses opérations. Avec 12 projets financés depuis la réouverture de la plateforme le 14 avril dernier, représentant un montant de 12 millions d'euros, ce premier bilan post confinement témoigne d'un retour des investisseurs vers ce produit désormais connu par plus d'1/3 des Français*. Plusieurs nouvelles collectes sont prévues par Fundimmo pour des projets en attente d'un déblocage administratif, d'ici la tenue des élections municipales.« Le bilan marché du premier semestre devrait confirmer que le crowdfunding immobilier poursuit sa croissance malgré les difficultés que le secteur immobilier a dû affronter lors de cette crise » explique Jérémie Benmoussa, Président du Directoire de Fundimmo. « Les épargnants reviennent sur les plateformes, preuve de leur confiance renouvelée dans ce placement qui a offert un rendement moyen de 9,2% par an l'année dernière, et les promoteurs ont plus que jamais besoin de financement pour mener à bien leurs projets. Ils répondent toujours présents et maintenant que les chantiers reprennent progressivement et qu'une date est fixée pour les élections municipales, le marché maintient ce cap. Le recours au crowdfunding immobilier reste aujourd'hui un levier de croissance majeur pour les opérateurs immobiliers, aussi bien pour soulager leur trésorerie que pour obtenir rapidement les fonds propres nécessaires au refinancement ou au lancement des opérations. »Un placement toujours attractif pour les épargnantsAvec un record de collecte sur le T1 2020 (95 millions d'euros, en hausse de +106% par rapport au T1 2019), le marché devrait poursuivre sa progression ou a minima se stabiliser malgré la crise Covid-19. Il est en de même pour le rendement qui devrait conserver son attractivité et renforcer les positions de ce produit d'épargne en tant que placement de diversification à privilégier.Si la durée de réalisation des programmes immobiliers pourrait être rallongée suite aux retards pris sur les chantiers en raison de la crise sanitaire, cela ne constitue pas pour autant un signal d'alarme dans la mesure où les intérêts des particuliers continuent à courir lorsque des projets prennent du retard. Le retard moyen des projets qui seront effectivement en retard de remboursement devrait être d'environ 4 mois pour les projets qui devront être remboursés dans les 12 prochains mois.« L'immobilier de demain devra prendre encore davantage en compte les aléas extérieurs sur la réalisation des chantiers » précise Jérémie Benmoussa. « Cela conduira peut-être à un léger allongement des durées de financement dans les années à venir, mais les taux devraient dans l'immédiat peu évoluer. Le confinement a quoi qu'il en soit prouvé que le numérique a plus que jamais sa place dans l'univers des placements, a fortiori pour des plateformes comme Fundimmo qui peuvent accompagner à distance les épargnants et les opérateurs immobiliers, preuve de la résilience de ce modèle. Gageons que les pouvoirs publics permettent au secteur immobilier de poursuivre la reprise enclenchée dans les meilleures conditions, pour que ce marché en pleine croissance poursuive son développement sur des bases solides. »*Étude OpinionWay pour Fundimmo, janvier 2020
Il y a 4 ans et 322 jours

La politique énergétique doit être "profondément réorientée", selon les députés

TRANSITION ÉNERGÉTIQUE. Dans un rapport plutôt tranchant, la commission des finances de l'Assemblée nationale épingle la politique énergétique du Gouvernement, qui, "en dépit de son coût élevé", ne serait "pas efficace". Les députés appellent à soutenir massivement le logement, les transports et les énergies renouvelables en réorientant les financements publics.
Il y a 4 ans et 322 jours

S'appuyer sur les agences de l'eau pour relancer le secteur

RESEAUX. La FNTP, les Canalisateurs et l'UIE interpellent les pouvoirs publics "pour une relance qui ne tombe pas à l'eau", et un soutien des investissements dans ce domaine.
Il y a 4 ans et 323 jours

Un nouveau directeur général délégué pour Idex

CARNET-NOMINATION. Le groupe Idex spécialisé dans la transition énergétique annonce la nomination d'un directeur général délégué.
Il y a 4 ans et 323 jours

Infrastructure numérique: une étude et sept recommandations

EY et Tactis ont dévoilé lundi 15 juin l’étude d’impact de la Covid-19 sur la filière infrastructure numérique. Commanditaire de ces travaux, la fédération InfraNum s'appuie dessus pour proposer des mesures visant à poursuivre et accélérer le Plan THD comme le New Deal Mobile.