Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87527 résultats)
Il y a 4 ans et 363 jours

Progression record du chiffre d’affaire pour NGE

Antoine Metzger, président du groupe NGE. [©NGE] Groupe français de BTP, NGE a réalisé en 2019 un chiffre d’affaires record, 100 % organique. Et ce, pour la quatrième année consécutive. Ainsi, le groupe de construction a atteint 2,5 Md€, soit une progression de + 23,2 % par rapport à 2018. Le résultat opérationnel sur l’activité s’établit à 68,4 M€, alors que le carnet de commande, au 1er janvier 2020, affichait 4,1 Md€ de prévision. Cette performance est le résultat d’un modèle historiquement basé sur trois piliers : le multi-métiers, l’expertise et la proximité́. Pour soutenir son développement, NGE a recruté́ plus de 4 000 nouveaux collaborateurs en 2019. Une année tirée par le Grand Paris Express « Ce fut une année intense et exceptionnelle en termes de volume d’activité, explique Antoine Metzger, président de NGE. Les régions ont enregistré une bonne année à la faveur de la période préélectorale, avec une progression de + 17 %. Les grands projets que nous menons en France ont presque doublé, atteignant une progression de 96 %.  Ils concernent aussi bien le Grand Paris Express, que le déploiement de la fibre optique ou la construction d’ouvrages majeurs. A l’international, l’année 2019 a été marquée par le démarrage de deux grands chantiers. D’une part au Cameroun. Et, d’autre part, en Uruguay avec un projet ferroviaire pour lequel intervient aussi notre activité Concessions. »
Il y a 4 ans et 363 jours

Avec la gamme Granum, Rheinzink met à l'honneur les zinc mats

Le résultat d’une technologie sophistiquéeLes propriétés des zincs Skygrey et Basalte ont évolué et ont été optimisés pour une plus grande stabilité de l’aspect et de meilleures aptitudes au profilage. La surface mate, obtenue par un traitement de haute technicité, laisse transparaitre, de façon pérenne, la veinure typique du zinc. Un atout esthétique et technique adapté aussi bien en rénovation qu’en constructions neuves. La gamme ne nécessite aucun entretien et constitue une solution durable pour tous les domaines d’application. RHEINZINK, premier fabricant mondial de zinc-titane pour le bâtiment, complète son offre d’aspects de surface de zinc, avec GRANUM, une gamme dédiée aux zincs mats.Des domaines d’application largesLes applications des zincs de GRANUM sont multiples : en couverture, en bardage, en détails architecturaux ou en évacuation des eaux pluviales. Les petites surfaces sont renforcées par ces nouvelles teintes et se démarquent clairement. Combinées avec d’autres matériaux comme la pierre naturelle, le bois ou le verre, elles produisent ainsi un net contraste artistique et architectural harmonisant design et tradition.Deux nuances subtilesNouvelle gamme d’aspect de surface proposée par RHEINZINK, GRANUM réunit les deux teintes subtiles répondant aux tendances architecturales actuelles :La teinte Skygrey présente un aspect gris mat traditionnel semblable à la patine formée par le temps dans la nature par le zinc naturel.La teinte Basalte, gris-foncé à la limite du noir, quant à elle, suit la tendance actuelle de l’architecture de surfaces.GRANUM complète l’offre d’aspects de surface proposée par RHEINZINK :CLASSIC : la forme la plus originelle des variantes du matériau. Sous l'influence des conditions climatiques, une patine typique gris-bleu se forme au fil du temps sur sa surface métallique brillante.prePATINA : les seules surfaces réellement prépatinées au monde. Seul RHEINZINK dispose du procédé de « prépatinage » qui permet d'obtenir, dès la sortie d'usine, la teinte gris-bleu ou gris-ardoise d'une patine naturelle sans recourir à une phosphatation, à un revêtement ou à un laquage.
Il y a 4 ans et 363 jours

En reprise d’activité commerciale, EDILTECO® France reste inflexible sur l’accompagnement de ses clients

EDILTECO® France n’a pas suspendu son activité industrielle le 16 mars dernier. « Nous avons décidé de maintenir une activité partielle en mode « dégradé » c’est-à-dire que l’on tourne à 38 % des volumes habituels » témoigne Laurent Mainy, Directeur EDILTECO® France. Deux raisons majeures ont incité EDILTECO® France à maintenir son activité. La première, aboutie suite à une réflexion menée sur l’anticipation de la reprise, a poussé EDILTECO® France à maintenir une activité partielle mais suffisante pour se préparer à la levée du confinement. La deuxième, étant les commandes des clients : « Depuis quelques semaines, les commandes commencent à se débloquer et les clients réouvrent doucement. Pour le moment, ce sont encore beaucoup de commandes de réapprovisionnement. La quasi-totalité de nos clients sont réouverts en mode drive. » explique Laurent Mainy. L’entreprise maintient donc un niveau d’activité lui permettant d’être en adéquation avec la cadence des commandes clients afin de répondre aux besoins des 3 marchés : Chape, Façade et BPE. « Nous fabriquons prioritairement les commandes des clients et dans le même temps nous nous constituons un stock conséquent pour la reprise, qui inévitablement va engendrer un flux de commandes important. Nos stocks sont pleins. » précise Laurent Mainy. EDILTECO® France ne déroge pas à son éthique : « la gestion se fait en bon père de famille », pour ainsi dire l’entreprise se veut active mais prudente, attentive et soucieuse de ses salariés et de ses clients. L’activité de l’entreprise se maintient et les projets en cours n’ont pas été stoppés. Un nouvel expanseur automatique discontinu, de dernière génération, va notamment être implanté en complément des 2 autres. Il sera opérationnel dès la mi-mai pour une expansion optimisée des billes de PSE.   L’ ACCOMPAGNEMENT DU CLIENT De leur côté, les commerciaux ont repris il y a 3 semaines en télétravail. EDILTECO® France qui entretient ses étroites relations avec les acteurs de la distribution du BTP, a maintenu une permanence commerciale depuis le début du confinement. Depuis 3 semaines, les commerciaux sont désormais disponibles de 10h 30 à 12h 00 mais aucun d’entre eux ne retournera sur le terrain avant le mois de juin. « A défaut d’être à proximité, nos commerciaux accompagnent les professionnels par la disponibilité, le conseil, l’information, l’assistance et le service ». Toutes les commandes seront donc gérées par téléphone. « Nous sommes dans une démarche d’accompagnement et nous sommes prêts à faire les efforts nécessaires pour aider au mieux nos clients. Pour ce faire, l’équipe commerciale a la latitude d’ajuster tarifs et franco, sans quantité d’approvisionnement minimale, afin de répondre aux besoins des clients et leur éviter du stock. C’est la force de notre PME : maintenir un niveau de service élevé » conclu Laurent Mainy. L’accompagnement et la satisfaction ont toujours été les piliers de l’engagement d’EDILTECO® France auprès de ses clients. Le souci de bien faire, de concevoir et produire sur le territoire français, de placer la qualité et la confiance au coeur des partenariats qui se nouent ; aujourd’hui plus que jamais, EDILTECO® en témoigne en continuant d’offrir un haut niveau de service et d’accompagnement.
Il y a 4 ans et 363 jours

Interface : la tendance printemps-été 2020 sera aux teintes pastel

Interface explore les teintes pastel pour la saison printemps-été 2020, afin d’égayer les espaces de travail après une période difficile... Cet article Interface : la tendance printemps-été 2020 sera aux teintes pastel est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 363 jours

Crise, reprise, surcoûts : le ministre Bruno Le Maire répond à Batiactu

ENTRETIEN EXCLUSIF. Alors que le gouvernement souhaite accélérer la reprise de l'activité du BTP, Batiactu a interrogé le ministre de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire, sur les leviers à actionner pour soutenir le secteur.
Il y a 4 ans et 363 jours

Altarea a résisté au 1er trimestre et anticipe des perspectives post-coronavirus "élevées"

"Il est trop tôt pour évaluer les conséquences de cette crise sur nos résultats 2020, lesquels seront significativement impactés par le confinement d'une part et la reprise probablement lente d'autre part", indique dans un communiqué le président fondateur Alain Taravella. "Une reprise forte est néanmoins possible"."Les perspectives de nos marchés restent élevées, notamment en logement avec des attentes renforcées en matière de mixité urbaine, proximité, confort d'usage, modularité, sobriété énergétique", précise-t-il.Au premier trimestre, Altarea Cogedim a réalisé un chiffre d'affaires de 566,2 millions d'euros. Le recul est mesuré "malgré 15 jours de confinement", précise le promoteur.La branche Commerce, qui centralise notamment les revenus locatifs, a ainsi progressé (+10,6% à 61,6 millions d'euros), tout comme l'Immobilier d'entreprises (+15,4% à 117,8 millions d'euros), qui a pu s'appuyer sur la contribution en début d'années de grosses opérations réalisées au préalable.En revanche, le Logement (-11% à 368,9 millions d'euros) a connu un sérieux contrecoup et pâti de l'arrêt des chantiers imposés par le confinement.Altarea indique toutefois que sa situation avant la crise sanitaire était "saine" et assure que "la sortie de crise se précise" avec la réouverture de la majorité des centres commerciaux après le 11 mai et la reprise de 95% de ses chantiers à la mi-mai.Au 5 mai, le groupe bénéficie également de 2,67 milliards d'euros de liquidités.
Il y a 4 ans et 363 jours

TENDANCE BÉTON : PBM dévoile une nouvelle gamme d’escaliers dédiée à la maison individuelle

Catalogue TENDANCE BETON Gamme escaliers A la fois élégant et intemporel, l’escalier en béton donne une allure moderne à chaque intérieur. Il s’impose comme une solution design et confortable pour toute rénovation ou construction immobilière. Dans le catalogue “Tendance Béton”, PBM met en valeur son savoir-unique, en proposant une large gamme d’escaliers en béton. Le catalogue décline ainsi des formes variées d’escaliers : droit, quart tournant ou hélicoïdal, des escaliers mixtes béton / métal et des escaliers en kit. Ce catalogue regroupe 3 gammes d’escaliers :1- Gamme SoLoftDes escaliers mixtes en métal et en béton. Ce mariage équilibré confère à la fois confort et solidité extrême aux escaliers SoLoft.2- Gamme bétonDes escaliers monoblocs en béton. Cette gamme s’adapte à tous les intérieurs grâce à la variété des formes proposées et à l’élégance du béton.3- Gamme modulaireDes escaliers en béton, livrés en kit. Facile à assembler, cette gamme se monte marche par marche et s’intègre partout avec élégance.
Il y a 4 ans et 363 jours

Covid-19 : VM fait le point sur son dispositif de reprise

Un groupe de travail* dédié s'est penché sur la mise en place d'un nouveau parcours client. Expérimenté en interne sur le point de vente de VM La Roche-sur-Yon (85), il sera généralisé sur l'ensemble des 82 points de vente et salles d'exposition dès la phase de déconfinement. En complément de ce dispositif, l'enseigne a aussi misé sur ses outils digitaux tels que « Facil'VM » et le « Rendez-vous en ligne » pour simplifier le quotidien de ses clients.Une implantation réadaptée et approuvéeLe site de VM La Roche-sur-Yon a servi de support d'expérimentation pour déterminer un parcours client adapté et sécurisé. Les nouvelles règles de circulation ont été testées grandeur nature en point de vente et sur le parc, pour fluidifier les transactions. Ces règles sont en cours de déploiement sur tous les sites VM et LNTP.Les actions mises en œuvre s'organisent autour du circuit client, de la PLV et des accès au site :une bâche générique, positionnée sur le portail d'entrée, rappelle les gestes barrières et informe du nouveau plan de circulation,des barrières gèrent les flux d'entrée et de sortie des clients professionnels,des distributeurs de gel en accès libre et un panneau des gestes barrières sont installés à l'accueil,des vitres en plexiglas sont disposées sur l'ensemble des comptoirs qui sont entièrement rangés pour simplifier l'entretien régulier. Les bons sont signés par le client avec son propre stylo pour garantir la distanciation et l'absence de contact,un marquage au sol, respectant 1 m de distance de sécurité, dirige le client sur deux pôles différents, vers le drive ou pour passer une commande. Les comptoirs sont ainsi déplacés,les espaces Libre-Service peuvent, soit être fermés au client (les produits seront mis dans un carton en vente afin que le client ne les touche pas), soit être en accès ouvert avec un circuit type déterminé par des bandes de distanciation pour éviter les allers-retours dans les allées,le retrait des marchandises se réalise dans la cour avec une zone d'attente où le client doit patienter dans son véhicule. Processus identique pour les fournisseurs.Quand les outils en ligne prennent tout leur sensVM s'est appuyé sur ses outils digitaux développés ces dernières années pour faciliter le quotidien du client professionnel. En témoigne l'efficacité de Facil'VM. Durant le confinement, l'artisan pouvait se fournir pour ses chantiers en passant commande en amont via son espace privé. Disponible 7j/7 et 24h/24, cet outil permet de demander un devis, chiffrer ses travaux à partir de son tarif personnalisé, géolocaliser plus de 10 000 produits et commander. Pratique en cette période de crise sanitaire pour gérer son temps. Une fois la commande validée, le point de vente lui communiquait un horaire de retrait de la marchandise, sans accès à l'intérieur du point de vente. La livraison était également opérationnelle, pour les professionnels ainsi que les particuliers possédant un compte VM, qui avaient passé commande en amont (par téléphone ou par mail).Le drive restera privilégié à partir du 11 mai. Le système de « Rendez-vous en ligne » sera généralisé. Accessible sur le site www.vm-materiaux.fr, il optimisera le flux de clients en point de vente pour les choix de carrelage, menuiserie… Pour les commandes par téléphone, un message d'attente téléphonique rappelant les gestes barrières a été réalisé.Engagement et solidarité« Les valeurs qui animent VM ont, plus que jamais, été au cœur de notre démarche. Nos collaborateurs ont fait preuve d'une immense implication sur le terrain. Leur esprit d'équipe s'est doublé d'un dévouement remarquable. Alors que la distanciation sociale est une obligation, le sens de la proximité et de l'entraide de chacun(e) s'est révélé. Pour ne citer que quelques exemples, des magasiniers n'ont pas hésité à se déplacer sur d'autres sites pour prêter mains fortes à leurs collègues ou encore des directeurs de points de vente ont assuré le rôle de magasinier. Je tiens à nouveau à les remercier et à les féliciter pour leur implication. Je suis fier de mes équipes. », explique Éric ROUET, Directeur Général de VM.* Composé du Directeur Général, de deux Directeurs Commerciaux Réseaux VM et LNTP, de la Directrice Projets, du Directeur de point de vente de VM La Roche-sur-Yon, du service marketing clients, du service prévention sécurité et d'un membre du CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail).
Il y a 4 ans et 363 jours

Permis de construire accordés pour deux tours de logements à énergie positive

Le BE Elithis et l’investisseur allemand CRIM ont annoncé le 28 avril le lancement de deux projets de tours de logements collectifs BEPOS à Saint-Etienne et à Dijon
Il y a 4 ans et 363 jours

Avenier Cornejo architectes: "Face aux épidémies et au réchauffement climatique, quels espaces pouvons-nous proposer à l’humanité?"

Télétravail, chômage partiel, poursuite des études, reprise ou arrêt des chantiers. L'organisation des architectes est mise à rude épreuve par le travail à distance imposé pour lutter contre l'épidémie de coronavirus. Pourtant, dans les agences -ou plutôt hors les agences-, les […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 363 jours

Pénicaud espère "un palier" du chômage partiel, à 12,1 millions de salariés

"Ce matin on a des demandes de près d'un million d'entreprises, 998.000 concernant 12,1 millions salariés, donc effectivement (...) j'espère bien qu'on est proche du palier et qu'on va assister à une décrue du chômage partiel en même temps qu'on aura une croissance de ceux qui vont retourner au travail", a indiqué Mme Pénicaud.La ministre a confirmé que les parents qui ne souhaitent pas envoyer leurs enfants à l'école pourront continuer de bénéficier du chômage partiel au mois de mai."Les écoles vont rouvrir progressivement, et pour que les parents soient sereins, au mois de mai, si un parent déclare qu'il ne peut pas reprendre son travail parce que l'école n'est pas rouverte, ou pas rouverte tous les jours, ou qu'il ne souhaite pas mettre son enfant à l'école, il pourra continuer à bénéficier du chômage partiel", a indiqué la ministre.Un point sera fait avec le Premier ministre pour le mois de juin, a-t-elle précisé. "Pour la rentrée, il n'y a pas d'inquiétude à avoir, pas de stress pour les parents, ils ont le choix de repartir au travail ou pas dans cette période où on va un peu jongler sur l'organisation familiale, on en est bien conscient."Mme Pénicaud a également salué le travail des Centres de formation des apprentis (CFA) pour mettre en place des formations à distance, dont bénéficient "neuf apprentis sur dix", et a précisé qu'elle annoncerait "dans quelques jours" la date de réouverture "très rapide" des CFA. Un guide spécial leur précisera les conditions sanitaires à mettre en œuvre.Concernant les intermittents du spectacle, Muriel Pénicaud a renvoyé aux annonces du président de la République attendues mercredi dans la journée. Elle a souligné que l'accompagnement personnalisé des intermittents par Pôle Emploi, qui propose deux jours de coaching et bilans de compétence dans les deux premiers mois "a beaucoup d'effet"."Pôle emploi rouvre ses agences à partir du 18 mai et cet accompagnement renforcé va être la priorité de Pôle Emploi dans les prochaines semaines", a-t-elle conclu.
Il y a 4 ans et 363 jours

Covid-19 : l'Italien Boeri prédit "une nouvelle ère" pour l'urbanisme

Dans un entretien sur Facebook avec des journalistes étrangers, le président de la Triennale de Milan, grande institution d'architecture, de design et d'art, affirme que la capitale de la Lombardie, région italienne la plus touchée avec près de la moitié des morts enregistrées dans la péninsule, devra changer."Revenir à la normalité serait très grave", met-il en garde. "La normalité est une des causes de ce désastre", insiste l'urbaniste, connu pour ses projets innovants de gratte-ciel recouverts de végétation où se combinent écologie et développement durable."C'est le moment de prendre des décisions courageuses et pragmatiques", estime l'architecte, dont l'architecture plus sociale et plus verte a inspiré nombre de ses confrères dans le monde, de la Chine au Mexique.Avec un groupe de sociologues, d'anthropologues, d'urbanistes et d'artistes, il réfléchit aux modalités d'instauration du "mur biologique" que le coronavirus impose désormais entre les personnes, ainsi qu'à l'introduction d'un nouveau mode de vie."Dans le cas contraire, les villes se transformeront en bombes de contamination", estime Stefano Boeri, professeur à l'école polytechnique de Milan.Alors que les autorités italiennes s'apprêtent à assouplir les mesures de confinement et à relancer la machine économique le 4 mai, Stefano Boeri lance une série de propositions qui pourraient changer l'avenir de la péninsule et servir de modèle à de nombreux pays."Retour aux villages""Il s'agit d'un projet national. L'Italie compte 5.800 villages de moins de 5.000 habitants, dont 2.300 quasiment à l'abandon. Si les 14 métropoles du pays +adoptent+ ces petits centres historiques inhabités, en leur donnant des avantages fiscaux, des moyens de transport, etc... ce serait une porte de sortie. C'est ça l'avenir", s'est enthousiasmé l'urbaniste dans les colonnes du quotidien La Repubblica.Cette proposition semble répondre aux problèmes posés par la situation actuelle, où la pandémie oblige la population à respecter une distanciation d'au moins un mètre entre les individus, ce qui est difficile dans des villes surpeuplées, notamment dans les transports publics bondés et les bureaux aux surfaces réduites."Nous avons compris qu'on peut faire du télétravail et que nous passerons plus de temps à la maison. Il faut maîtriser cette évolution. La campagne facilite cela, parce qu'il faut libérer de l'espace dans les zones urbaines", explique-t-il.Selon les sociologues, à cause du virus, beaucoup de gens souhaitent abandonner les grandes villes pour passer davantage de temps à la campagne.Et l'homme qui a converti des immeubles en forêts, qui a conçu une ville-forêt en Chine avec des maisons, écoles et bureaux recouverts d'un million de végétaux sur 140 hectares, est convaincu que Rome est la ville idéale pour accueillir ce projet."Rome est la ville du futur, elle a tout: des monuments uniques et beaucoup d'espaces verts grâce à ses parcs, et en plus une série de villages dans ses alentours".L'idée de Boeri coïncide avec le thème de la prochaine Biennale d'architecture de Venise, qui a reporté à fin août son ouverture, prévue initialement en mai : "Comment vivrons-nous ensemble?"La question posée par le commissaire de la Biennale, Hashim Sarkis, architecte libanais qui enseigne au Massachusetts Institute of Technology (MIT), oblige paradoxalement le monde de l'architecture à désinvestir l'espace public et à en retirer les activités collectives."Il faudra modifier les horaires des administrations publiques pour qu'ils ne coïncident pas avec ceux des écoles, que les grands flux dans les transports (...) Nous devrons reprendre de l'espace aux voitures et nous concentrer sur le vert"."C'est ce qui est arrivé à New York au milieu du XIXème siècle: la population avait quadruplé, et il n'y avait plus d'espace, la densité était énorme. L'architecte paysagiste Olmsted a ainsi créé Central Park, un parc gigantesque qui est né d'une préoccupation d'hygiène", rappelle-t-il.
Il y a 4 ans et 363 jours

Hôpital Paris-Saclay, le CREM pour Eiffage

Eiffage Construction vient de signer en groupement le contrat pour la conception, la réalisation et l’entretien-maintenance de l’hôpital Paris-Saclay pour le compte du Groupe Hospitalier Nord-Essonne, pour un montant de 141 millions d’euros.
Il y a 4 ans et 363 jours

La reprise se fait sentir dans le bâtiment, un préfet nommé pour la dynamiser

CONJONCTURE. Plus des deux tiers des entreprises du bâtiment ont repris une activité partielle durant l'avant-dernière semaine du mois d'avril, d'après une enquête menée par la Fédération française du bâtiment auprès de ses adhérents. Mais les adaptations sont nombreuses dans le contexte de crise sanitaire, et la situation varie suivant les régions. Détails.
Il y a 4 ans et 364 jours

En Bretagne, les chantiers de la région redémarrent

Des 31 chantiers de la Sembreizh, opérateur régional d’économie mixte, 26 ont redémarré dont celui du lycée de Liffré, en vue d’une rentrée partielle en septembre.
Il y a 4 ans et 364 jours

A travers le programme Vipros, des industriels veulent aider les artisans

INITIATIVE. Afin de soutenir les artisans du Bâtiment touchés par la chute de l'activité liée au coronavirus, des industriels se sont associés via le programme de fidélité Vipros. Au programme : des lots de produits gratuits et des réductions. Explications.
Il y a 4 ans et 364 jours

Spie Batignolles : Disparition d’Olivier Cantrel

Olivier Cantrel, directeur général adjoint en charge du logement résidentiel de Spie Batignolles Immobilier, est décédé à l’âge de 48 ans. [©Spie Batignolles] « C’est avec une grande tristesse que nous avons appris la disparition brutale d’Olivier Cantrel. Il était le directeur général adjoint en charge du logement résidentiel de Spie Batignolles Immobilier. Il était âgé de 48 ans », peut-on lire dans un communiqué de presse. « Olivier était très estimé pour son talent professionnel, ses qualités humaines et son énergie sans faille. Il a contribué au développement de Spie Batignolles Immobilier sur le marché résidentiel commente François Maillard, président de Spie Batignolles Immobilier. Il faisait partie de ces personnalités de l’immobilier, qui ont à cœur d’innover dans des projets au service du mieux vivre ensemble et du bien-être des habitants. Nous présentons nos plus sincères condoléances à sa famille, ainsi qu’à ses proches »,  Olivier Cantrel avait rejoint Spie Batignolles en 2017. Ceci, après que le groupe ait acquis une participation majoritaire au sein de la société Kalelithos Grand Paris, dont il était le co-fondateur.
Il y a 4 ans et 364 jours

Les entreprises du BTP qui tardent à passer au numérique sont-elles moins rentables ?

Finalcad, éditeur de logiciels dans le secteur de la construction, a publié les résultats d'une étude menée auprès de 400 dirigeants de la construction en France, en Espagne, à Singapour et au Japon afin d'étudier la transformation numérique dans ce secteur.L'étude a déterminé que la marge bénéficiaire moyenne d'un projet de construction est d'à peine 2% dans ces quatre pays. Elle révèle également que l'absence de transformation numérique rend dépendant le travail de nombreuses entreprises au papier, à une époque où le ralentissement dû à la pandémie mondiale de COVID-19 montre l'importance de numériser les activités et de recourir au télétravail.De surcroît, l'absence de numérisation entrave grandement la capacité des sociétés à collaborer et a une incidence directe sur leur chiffre d'affaires. En effet, 62% des personnes interrogées citent le manque de collaboration comme cause principale des retards des projets de construction.L'étude a également analysé la façon dont certaines missions sont réalisées comme la gestion des défauts et les inspections de santé et sécurité. Ses conclusions montrent que les entreprises ont mis en place une variété de méthodes et de processus : plus de la moitié d'entre elles (51%) utilisent plusieurs moyens de communication face à face, téléphone, e-mail et/ou papier pour informer la personne chargée des réparations dans le cadre de la démarche qualité.Fait inquiétant, 53% des sociétés utilisent un outil non fiable tel que les messages texte, les SMS ou la messagerie instantanée de type WhatsApp pour renseigner un incident ou un danger. Ce manque de cohérence en matière de saisie et de partage d'informations importantes présente une marge d'erreur et d'incompréhension considérable, qui peut entraîner un accroissement des risques de sécurité, des retards et des dépassements de budget.« La dépendance du secteur de la construction à des processus obsolètes, dans les bureaux ou sur site, constitue une source d'inefficacité importante. Ces pratiques ne sont pas durables dans un secteur où les faibles marges représentent un problème persistant », explique Frank Le Tendre, PDG de Finalcad. « Le BTP a pris du retard face à d'autres secteurs tels que la finance et la distribution en termes de numérisation, mais cette étude nous montre que de nombreux processus quotidiens présents dans tous les projets sont des cibles importantes en termes de transformation. Du contrôle des défauts à la sécurité, aucun domaine ne peut échapper à une amélioration grâce à l'optimisation des opérations. Par ailleurs, lorsque les pays sortiront de la récession causée par la pandémie de COVID-19, celles qui auront effectué leur transition numérique pourront agir rapidement pour reprendre le cours normal de leurs activités. »La non-numérisation entraîne d'autres conséquences pour les entreprises, notamment des difficultés pour obtenir des informations et récupérer les données permettant d'établir des factures non réglées lorsqu'un entrepreneur ne peut pas prouver qu'il a réalisé une mission : une majorité de répondants (90%) affirment que le « travail gratuit » est un problème habituel.De plus, les sociétés de construction souffrent de devoir « réinventer la roue » à chaque nouveau projet : 59% des personnes interrogées affirment créer parfois, souvent ou la plupart du temps de nouveaux modèles de documents pourtant déjà existants : un réel gaspillage de temps et de ressources.Ces deux résultats devraient représenter un facteur majeur de transformation numérique pour les responsables, les dirigeants et les promoteurs des entreprises de construction : un process numérique centralisé permet de s'améliorer continuellement et facilite considérablement la saisie des travaux supplémentaires ainsi que la création de modèles duplicables.« À l'instar d'autres domaines, la construction devra affronter une période difficile à court terme en raison de l'impact du COVID-19 sur les économies mondiales », poursuit Franck Le Tendre. « Cependant, sur le long terme, la construction présente un énorme potentiel de croissance. Les Nations Unies prévoient que les deux tiers de la population mondiale vivront dans les villes d'ici 2050, avec une accélération de la tendance des villes intelligentes. [1] Les entreprises de construction désirant saisir ces occasions doivent passer au numérique dès maintenant. La transformation numérique supprime les silos existants et simplifie la difficulté qu'elles rencontrent, à savoir jongler avec le personnel, les plans, les compétences et les matériaux pour répondre à un calendrier changeant, tout en améliorant leur rentabilité et la satisfaction des clients finaux. » L'étude Finalcad 2020 : La transformation digitale globale dans la construction est la première des deux parties d'une série visant à analyser la numérisation de la construction. Le second rapport sera publié à l'automne 2020.Consultez les résultats complets et téléchargez l'étude, ici.*L'étude a été menée en février et mars 2020, commandée par Finalcad et réalisée par Coleman Parks, une société indépendante d'études de marché. L'échantillon total englobe 400 personnes, dont 200 responsables de site/directeurs gérant en moyenne 10 sites, et 200 responsables/directeurs de siège. Les personnes interrogées ont été les chefs de projet sur sites et les directeurs d'unité opérationnelle chargés de la construction aux sièges qui travaillent dans des entreprises de construction commerciale et résidentielle au chiffre d'affaires supérieur à 51 millions de dollars par an en France, en Espagne, à Singapour et au Japon.Pour plus de détails, consultez la section Informations démographiques.[1]Les Nations Unies : Les prévisions indiquent que 68% de la population mondiale vivra dans les zones urbaines d'ici 2050, selon l'ONU, 16 mai 2018
Il y a 4 ans et 364 jours

Estelle Reveillard rejoint l’Alliance HQE – GBC

Estelle Reveillard est la nouvelle directrice de l’Alliance HQE – GBC. [©ACPresse] Estelle Reveillard vient de prendre les fonctions de directrice de l’Alliance HQE – GBC. Jusqu’à peu, elle était directrice de la communication et des relations publiques du Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic).  A la tête de l’équipe permanente, Estelle Reveillard est épaulée par Nadège Oury et Nathalie Sement, toutes deux chargées de mission. Et par Malik Belhocine, chargé d’études.  L’Alliance HQE – GBC est l’union des professionnels pour un cadre de vie durable. Elle réunit syndicats, fédérations professionnels, entreprises, collectivités et professionnels à titre individuel. Par les démarches volontaires qu’elle suscite, l’Alliance HQE – GBC agit dans l’intérêt général. Ceci, pour innover, améliorer les connaissances, diffuser les bonnes pratiques et représenter le secteur du cadre de vie durable. A ce titre, elle est le membre français du World Green Building Council (World GBC). Cette association mondiale regroupe des professionnels engagés dans la construction durable dans plus de 74 pays.
Il y a 4 ans et 364 jours

Les producteurs de matériaux planchent sur la relance

L’Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (Unicem) a publié des propositions pour une relance "résiliente" de l’activité.
Il y a 4 ans et 364 jours

L'Unicem souhaite une relance résiliente

DECRYPTAGE. L'organisation professionnelle a publié il y a quelques jours son guide de bonnes pratiques, validé par le gouvernement, pour accompagner les entreprises dans la reprise de l'activité. Elle vient également d'avancer ses propositions pour un plan de relance national, insistant sur l'importance d'une production locale, au coeur des territoires.
Il y a 4 ans et 364 jours

Covid-19 : entre combativité et inquiétude, les agents immobiliers préparent la reprise

Depuis mi-mars les réactions sont contrastées, certains agents ont opté pour une fermeture jusqu'à nouvel ordre, d'autres tentent d'assurer une continuité d'activité et de rester au contact des clients notamment grâce aux outils numériques.Alors que la profession prépare la reprise complète de son activité à compter du 11 mai prochain, Opinion System, fort de son positionnement unique sur le marché avec plus de 6.000 agences adhérentes, a souhaité les interroger pour prendre le pouls de la situation économique et avoir une vision au plus proche des réalités terrain tant sur l'impact de la crise sanitaire sur leur quotidien que sur leur perception de l'avenir.Impact du Covid-19 : assurer le maintien de l'activité... dans le brouillardLa fermeture des agences immobilières et l'interdiction de l'accueil du public dans les structures ont poussé les professionnels du secteur à s'adapter et revoir leur façon de travailler. Si la digitalisation est un moyen d'assurer une certaine continuité dans la gestion des dossiers en cours, entre la dématérialisation des actes authentiques, les visites virtuelles et les signatures électroniques, dans les faits, seules 2 agences sur 10 ont pu mettre en place le télétravail. 61% ont ainsi été contraintes de réduire la voilure en ayant recours au chômage partiel pour tout ou partie de leurs collaborateurs, 19% ayant décidé de suspendre temporairement leur activité.Si plus d'1 agent immobilier sur 2 (53%) fait part de ses craintes concernant sa capacité à rebondir, force est de constater que l'appartenance à un réseau est perçue comme un facteur de soutien et de protection supplémentaire face aux aléas de marché : 61% des agences indépendantes se déclarent inquiètes quant à leurs perspectives de développement et au maintien des emplois au sein de leur structure, contre 46% pour les franchisées. Une situation qui s'explique par la capacité des grandes têtes de réseaux à se mobiliser pour pérenniser les intérêts de leurs adhérents à l'image d'ORPI, par exemple, qui vient d'annoncer la création d'un fonds de solidarité de 10 millions d'euros.En manque de visibilité sur l'évolution de la situation économique, les agents immobiliers se montrent prudents et relativement attentistes face aux évènements : également optimistes et pessimistes (42%) sur les perspectives économiques d'une façon générale et le marché immobilier en particulier, ils sont par ailleurs 16% à ne pouvoir se prononcer sur la question. Là encore, les franchisés se distinguent par leur lecture plus positive de la situation (47%), quand les indépendants se montrent eux davantage alarmistes (48%).A l'écoute des signaux du marché, la profession prépare la repriseSelon de récentes études, plus de la moitié des acheteurs comptent reprendre leurs recherches dès la fin du confinement*, pourtant les agents immobiliers semblent divisés concernant l'impact de la crise sur la confiance des acheteurs/vendeurs, 46% d'entre-eux anticipant un durcissement du marché. De même, alors qu'1 futur acheteur sur 2 table sur une baisse progressive des prix*, la profession s'inquiète de leur stabilité à 45%.Parmi les grandes préoccupations soulevées par les professionnels, la réaction du marché bancaire occupe une place prépondérante : 70% des agents immobiliers sont inquiets de l'impact de la crise sur les conditions d'accès des Français au crédit immobilier et la remontée des taux immobiliers questionne plus d'1 agent immobilier sur 3 (39%).Malgré les difficultés occasionnées par la crise actuelle, les agents immobiliers restent mobilisés et préparent « l’après » : 96% rappellent leurs clients pour assurer le suivi des dossiers, 83% rattrapent leur retard sur des dossiers administratifs, 78% réactualisent leur base de données, 61% rappellent d’anciens clients pour prendre des nouvelles et 48% se penchent sur l’analyse des canaux ayant généré le plus de ventes au sein de leur agence.« Le marché de l'immobilier vit une situation sans précédent et il est encore impossible de mesurer avec précision l'impact de la crise sanitaire. De nombreuses incertitudes pèsent sur le moral des agents immobiliers qui s'inquiètent pour la survie de leurs agences et le maintien des emplois », observe Jean-David Lépineux, fondateur d'Opinion System. « Pour autant, dans ce contexte exceptionnel, assurer la continuité de l'activité est l'une de leurs priorités et ils sont une grande majorité à s'être organisés pour poursuivre une partie de leur mission auprès de leurs clients, grâce aux outils numériques notamment. Très attentive à l'impact psychologique du Coronavirus sur le comportement des vendeurs et des acheteurs, et au-delà sur celui des établissements bancaires, la profession reste mobilisée pour s'assurer les meilleures conditions de la reprise ».*Source : SeLoger
Il y a 4 ans et 364 jours

Les Acteurs du logement d'insertion réclament un engagement fort de l'État

La crise sanitaire, que nous vivons, devient une crise sociale et économique car les personnes déjà en difficulté se retrouvent dans une situation encore plus précaire.Dans ce contexte, l'action des associations du logement d'insertion est précieuse : le logement est un droit, il est protecteur, il est l'élément indispensable à l'insertion. Face à ces constats, les Acteurs du logement d'insertion demandent la mise en place d'un soutien spécifique pour permettre aux personnes de se maintenir dans leur logement et à aux associations de poursuivre leur mission. Les Acteurs du logement d'insertion formulent deux demandes.1/ Aider les ménages à payer leur loyer et les charges / les résidents à payer leur redevanceFace à une augmentation conséquente des impayés de loyers et de charges (entre +15 et +30% d'incidents de paiement), l'État, les collectivités territoriales et l'ensemble des intervenants du logement doivent renforcer les outils de sécurisation existants :les FSL en premier lieu ;les aides aux salariés ;les garanties et assurances multiples, dont VISALE.Ils doivent aussi développer de nouveaux outils en renfort, comme un fonds national d'aide au paiement de la quittance.Ces outils de sécurisation doivent prendre en compte l'ensemble du secteur du logement d'insertion.2/ Soutenir les efforts des Acteurs du logement d'insertionSi les Acteurs du logement d'insertion sont mobilisés auprès des personnes logées durant la crise, ils rencontrent des difficultés opérationnelles qui les obligent à proposer de nouvelles formes d'accompagnement et attendent que les pouvoirs publics et l'État tiennent leurs engagements.Les subventions en attente doivent être débloquées rapidement. L'État doit montrer l'exemple aux collectivités qui soutiennent les associations locales. Les retards de versements de subventions sont, comme pour l'hébergement d'insertion et d'urgence, préjudiciables aux associations : ces retards, qui pèsent déjà sur leur trésorerie, menacent désormais un équilibre fragilisé (impayés, vacances, surcoûts divers). Faire peser les retards de paiement de subventions sur les prêts de trésorerie disponible n'est pas acceptable.L'État doit s'engager clairement sur le maintien de ces subventions et l'affirmer auprès de chaque service territorial. Le maintien des subventions, notamment d'accompagnement social, est essentiel. Les équipes restent aux cotés des personnes accompagnées tout au long de cette période de confinement : par téléphone, avec des astreintes parfois même de nuit. Les Acteurs du logement d'insertion demandent que l'ensemble des subventions prévues soit versé aux associations. Tant l'intermédiation locative, l'accompagnement social que le travail des hôtes de pensions de famille sont concernés.L'État doit mobiliser à plein les crédits d'AGLS 2020, pour soutenir le logement d'insertion.La mobilisation des crédits d'aide à la gestion locative sociale est toujours d'actualité. Or, chaque année, une part de cette subvention, est redéployée pour financer l'hébergement d'urgence. On peut craindre en cette période que cette enveloppe fasse l'objet de déploiements encore plus importants.Le logement d'insertion prend sa pleine part de la politique du Logement d'Abord : elle a montré ses réussites et cela commence à porter ses fruits. La crise ne doit pas enrayer un mouvement de fond, qui permet à des milliers de personnes de quitter d'hébergement d'urgence, ou d'insertion, ou la rue !
Il y a 4 ans et 364 jours

Covid-19 : annulation des charges sociales des petites entreprises de moins de 10 salariés !

Le gouvernement a annoncé, lundi 4 mai 2020, la mise en place de l’exonération des charges sociales pour les entreprises de moins de dix salariés qui ont dû fermer... Cet article Covid-19 : annulation des charges sociales des petites entreprises de moins de 10 salariés ! est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 364 jours

Vicat maintient son chiffre d’affaires, malgré la crise

Guy Sidos, Pdg du groupe Vicat : « Au premier trimestre 2020, la performance du groupe Vicat a été solide, en dépit du très fort ralentissement lié à la pandémie de Covid-19 ». [©Vicat] Pour le premier trimestre 2020, Vicat annonce un chiffre d’affaires de 615 M€, en progression de 0,2 % à périmètre et changes constants. L’activité cimentière en représente plus de la moitié, avec 319 M€ (+ 3,7 %). Béton et granulats comptent pour 228 M€ (- 2,1 %). Les autres activités atteignent 69 M€ (- 7,2 %). « Au premier trimestre 2020, la performance du groupe Vicat a été solide, en dépit d’un très fort ralentissement en fin de période en France, en Italie et en Inde, indique Guy Sidos, Pdg du groupe. Face à la crise sanitaire, Vicat a montré sa flexibilité et sa réactivité,en prenant très tôt des dispositions de protection de ses employés, de ses clients et de ses fournisseurs. Et en initiant des mesures fortes de réduction des coûts et de contrôle du besoin en fonds de roulement. Sans oublier la réduction des dépenses d’investissement à la hauteur de la situation. » Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr Cette iframe contient la logique nécessaire pour manipuler Gravity Forms avec Ajax. jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 4 ans et 364 jours

Votez pour des courts métrages sur les métiers et formations du patrimoine

Les métiers et les formations de la restauration du patrimoine sont mis à l’honneur dans le FESTIVAL PARCOURSMÉTIERS AWARDS – 2020, qui bat son plein sur la toile pendant huit semaines, jour et nuit, avec 841 films de 3mn en compétition. Filmées par les jeunes et pour les jeunes, les réalisations présentent des professionnels et des apprentis qui oeuvrent au quotidien à la préservation du patrimoine français. 18 films sont en compétition dans cette thématique, pendant 3 jours. Des films réalisés entre le 1er septembre 2019 et le 30 mars 2020 par des jeunes, avec leur propre regard, et enseignants de l’enseignement supérieur, du lycée, du collège, d’associations… mais aussi d’adultes en centre de formation, permettront de découvrir plus d’une dizaine de métiers. Jusqu’au 8 mai, les internautes peuvent visionner et voter pour les meilleurs films de cette thématique. https://www.parcoursmetiers.tv/page/45-en-ce-moment
Il y a 4 ans et 364 jours

Covid-19 : guide des recommandations sanitaires pour l'industrie du béton

Afin d'adapter la mise en œuvre des mesures de précaution aux spécificités des activités de l'Industrie du Béton, la FIB a participé, dans le cadre de la branche Industries et Carrières et Matériaux de la Construction, à l'élaboration du Guide des bonnes pratiques pour assurer la santé et la sécurité des salariés de l'Industrie du Béton.Ce guide, qui vient d'être agréé par les autorités publiques, et notamment les ministères du Travail et de l'Environnement, présente un « tronc commun » généraliste des recommandations sanitaires à appliquer pendant la période de l'épidémie, complété par des recommandations spécifiques au secteur de l'Industrie du Béton. Avec l'appui du Cerib, le document à destination de toutes les entreprises de l'Industrie du Béton, vise à assurer, dans les meilleures conditions sanitaires et sécuritaires, la continuité ou la reprise des activités pendant l'épidémie. Ces recommandations ont pour vocation à présenter au sein d'un même document, et sans prétendre à l'exhaustivité, les informations sanitaires diffusées par les autorités publiques, en l'état des connaissances scientifiques actuelles, afin d'aider les entreprises de l'Industrie du Béton dans la mise en place de mesures d'hygiène et de distanciation sociale, dites « barrières », visant à limiter la propagation de l'épidémie sur les lieux de travail.Le Guide est téléchargeable sur le site de la FIB
Il y a 4 ans et 364 jours

L'impact des aléas climatique et sanitaire sur la conception de bâtiments résilients

Le Plan Bâtiment Durable, l’Ademe, le CSTB et l’Observatoire de l’Immobilier Durable (OID) se préoccupent des bâtiments de demain, de manière différente.
Il y a 4 ans et 364 jours

L'hôtel 25hours Terminus Nord se dote d'une installation de génie climatique Daikin

Compte-tenu de la vétusté des précédents locaux, lesquels ne répondaient plus aux normes de sécurité les plus actuels notamment en termes de PMR, et des mauvaises performances énergétiques générées par des équipements obsolètes, le groupe 25hours a entrepris une opération de réhabilitation de grande envergure.Dans cette perspective, un volet important de ces travaux a concerné l'installation de VRV 3 tubes à récupération d'énergie pour fournir à la fois le chauffage et le rafraîchissement des chambres et espaces de vie de l'hôtel. L'installation a été confiée à l'entreprise Derichebourg.Installation de 25 VRV IV connectés à 262 unités intérieures Des solutions Daikin équipaient l'hôtel de l'enseigne initiale au moyen de solutions VRV d'une précédente génération. Celles-ci proposaient uniquement la fonction rafraîchissement, le chauffage étant assuré dans les chambres par des radiateurs à eau alimentés par une chaudière.Le nouveau propriétaire de l'hôtel s'est donc tourné vers les préconisations du bureau d'études et de Daikin, qui a ont su prendre en compte ses exigences, pour l'installation d'un système capable de fournir simultanément chauffage et rafraîchissement, au design contemporain et discret et aux performances énergétiques significatives.Au terme de 26 mois de rénovation pour une opération menée en TCE (tout corps d'état), le groupe hôtelier parvient à créer un établissement refait à neuf et parfaitement isolé sur une surface totale de 10 800 m² offrant 236 chambres. Une phase importante de gros œuvre a été nécessaire pour créer notamment le grand patio de 5 m de hauteur dans l'entrée de l'immeuble, positionné exactement en face de l'entrée de la Gare du Nord.L'installation Daikin mise en œuvre pour l'équipement des chambres et des pièces de vie collective telles que l'espace bar, le restaurant et les salles de réunion a concerné la pose de :22 VRV IV 3 tubes REYQ-T : 3 de taille 10, 5 de taille 12 et 14 de taille 8.3 VRV IV RXYQ-T sans chauffage continu : 2 de taille 12 et 1 de taille 8237 gainables à faible pression,24 gainables à moyenne pression8 cassettes extraplates FXSQ239 boîtiers de sélection (permettant la simultanéité de chauffage et de rafraîchissement)Les groupes VRV sont positionnés en toiture, à l'abri des immeubles voisins.Un équipement qui s'intègre parfaitement dans le design cosmopolite de l'hôtel Sous l'influence du célèbre architecte et designer Axel Shoenert, le décor de l'hôtel Terminus Nord a trouvé son inspiration dans les cultures africaines et indiennes. Les lieux de vie aménagés façon melting-pot mêlent différents courants artistiques et font la part belle au vintage, au cinéma d'antan et à l'économie circulaire avec l'intégration d'objets créés sur la base de produits recyclés, tels que des porte-valises réalisés à l'aide d'anciens pneus. Le design des solutions Daikin et le travail de pose de la société Derichebourg ont permis la parfaite adéquation de l'équipement à l'environnement hôtelier si particulier.Quelle que soit la température extérieure, le confort intérieur est assuré dans toutes les pièces, malgré des superficies variables. Pour répondre aux besoins des clients venus de tous horizons, les VRV 3 tubes à récupération d'énergie permettent de fournir simultanément chauffage et rafraîchissement.L'ensemble des unités intérieures équipant les chambres d'hôtel a été dissimulé en faux-plafonds, pour une discrétion totale du système de chauffage et climatisation, laissant uniquement apparaître une simple grille de soufflage.L'installation est régulée par le système I-Touch Manager. Celui-ci offre à la direction une gestion simple de la température ambiante de l'hôtel.Une réduction de la consommation notable : un premier constat plus que concluant 25 hours s'est fixé un programme d'économies d'énergie pour toutes ses références hôtelières, conduisant la direction technique à adopter un système Daikin. Au terme d'une pleine année d'exploitation du nouvel hôtel 25hours, le constat est sans appel : les économies d'énergie sont bien réelles. On note une nette réduction de la consommation de CPCU, laquelle a été divisée par 2, entre l'ancienne installation de chaudière et les pompes à chaleur, ainsi que d'électricité du fait de l'amélioration de l'isolation, et ce malgré le fonctionnement des PAC et l'augmentation du nombre de points lumineux.La direction technique prévoit de réaliser un bilan énergétique plus précis afin d'optimiser encore davantage ses consommations.
Il y a 4 ans et 364 jours

L’ÉCLAIRAGE LED INTELLIGENT, UN ALLIÉ EFFICACE POUR LUTTER CONTRE LE COVID-19 DANS LES BATIMENTS PROFESSIONNELS

EAS SOLUTIONS, spécialiste français de l’éclairage LED intelligent, développe des solutions d’éclairage connectées à des systèmes de supervision qui fournissent de précieuses données aux professionnels pour lutter contre Covid-19 au sein de leur établissement. Positionnés en hauteur, les projecteurs LED connectés sont munis de capteurs, luxmètre et détecteurs de présence qui, en plus d’éclairer efficacement, collectent en permanence des données sur la fréquentation et l’activité du site. Ce système communiquant par le maillage radio des luminaires LED, constitue un réseau indépendant et parallèle qui ne perturbe pas les réseaux en place. Avec les systèmes de gestion Light Rules et SiteWorx de Digital Lumens (division du groupe Osram avec laquelle travaille EAS SOLUTIONS depuis 2011), ces données, sauvegardées dans le Cloud ou sur les serveurs de l’entreprise, sont analysées en temps réel et utilisées habituellement pour améliorer la productivité et l’efficacité énergétique du site avec des réductions jusqu’à 90% des coûts en énergie. En période de Covid-19, ces données fournissent de précieuses informations sur les zones de fréquentation et les taux d’occupation des sites, montrant heure par heure et secteur par secteur, les endroits les plus fréquentés qui nécessitent une vigilance accrue pour garantir le respect de la distanciation sociale et la décontamination des lieux. Les données transmises par les luminaires LED connectés contribuent à attribuer les ressources de nettoyage et de décontamination prioritairement au bon endroit. Actualisées en temps réel, elles permettent d’organiser au mieux les tournées des équipes avec une vision précise des points de rassemblements, des circuits empruntés et des manipulations de marchandises. Il est même possible avec SiteWorx, d’avoir une cinématique sur la journée qui constitue un bon indicateur pour planifier les actions du lendemain. Comme le montrent les schémas ci-dessous, les fonctionnalités « Area » des systèmes de gestion qui sont incluses dans les offres standard Lightrules et SiteWorx assurent l’enregistrement des données de fréquentation sous les luminaires LED connectés et constituent ainsi le suivi d’une cartographie d’occupation. Afin que les professionnels exploitent au mieux pendant la pandémie ces données de fréquentation et de taux d’occupation, transmises par les systèmes de gestion de l’éclairage LED connecté, EAS SOLUTIONS se mobilise auprès de ses clients pour leur fournir une aide à distance en visio ou sur site dans le respect des mesures barrière de protection. A propos d’EAS SOLUTIONS EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels, innove avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligent. EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 4 ans et 364 jours

Le fabricant WILO gère les données de ses objets BIM à la volée depuis son catalogue produits PIM grâce à la technologie PIM2BIM de BIM&CO

Leader sur le marché international de la gestion des flux hydrauliques et aérauliques, WILO propose désormais ses produits en BIM. Pionnier dans l’usage du PIM (Product Information Management) et la diffusion de ses données vers son catalogue BIM, WILO a été fidèle à sa devise : Pioneering for you. Disposer d’un PIM représente pour le fabricant un incontournable : une source fiable et unique pour toutes les données techniques de ses produits. Diffuser ces données aux jumeaux numériques de ses produits, les objets BIM, était donc un impératif pour garantir leur pertinence. Ralph Huysers, International Business Developer de WILO, explique : « chez WILO, nous disposons d’un PIM stocké via un partenaire externe, avec des données dynamiques. Si nous avions publié nos objets BIM sur bimandco.com de manière classique, nous aurions diffusé des données qui auraient nécessité par la suite une modification en ligne sur la plateforme, ce qui est bien, mais n’était pas suffisant pour nous. Le PIM est la base de nos données produits, donc notre source d’informations. Il fallait que toute modification de données aussi petite soit-elle puisse être impactée en temps réel aux objets. » Les équipes de WILO ont donc été convaincues par la technologie PIM2BIM de BIM&CO qui permet de connecter n’importe quel PIM à bimandco.com. Pour appliquer ce processus aux produits WILO, BIM&CO a commencé par créer des objets BIM génériques basés sur les modèles ETIM MC. ETIM MC est une norme internationale ouverte permettant de standardiser la classification des produits électriques ou de génie climatique et qui indique par produit l’ensemble des caractéristiques à respecter et lier à un plan 2D. Ces objets ont ensuite été enrichis : les APIs de BIM&CO ont communiqué avec le PIM de WILO pour en récupérer les données, puis celles-ci ont été traduites vers le standard BIM&CO grâce à une technologie de mapping. « Grâce à notre technologie et aux modèles génériques ETIM MC, les objets BIM WILO stockés sur notre plateforme sont directement enrichis via le PIM de WILO ce qui permet de générer automatiquement un objet fabricant complet et fiable, sans aucune intervention humaine. Le fabricant peut modifier à tout moment sa base de données : les informations seront automatiquement mises à jour dans les objets de notre plateforme et dans les espaces Onfly de nos clients » précise Bertrand Beudot, Chef de Projets chez BIM&CO. Une avancée remarquable dans le monde de la gestion de données BIM : outre le fait que le fabricant a la garantie de proposer en permanence des produits à jour à ses utilisateurs, cette méthode s’avère être un réel gain de temps pour la gestion des objets BIM de l’entreprise. « Aborder la géométrie distinctement de la donnée permet une gestion poussée de la data. Grâce à notre OPMS (Open Property Management System), les données techniques des équipements répondent aux exigences de chaque phase du cycle de vie du bâtiment. Le fabricant s’assure ainsi d’offrir des produits adaptés à chaque besoin métier » conclut Muriel Bourgeay, CEO Spain, à l’origine du projet. Les objets BIM de la marque WILO sont disponibles sous ce lien.
Il y a 4 ans et 364 jours

Les revenus de Gecina progressent au 1er trimestre, pas de prévisions sur le coronavirus

Entre janvier et mars, Gecina a enregistré 168,1 millions d'euros de revenus, soit une hausse de 2,6% par rapport à la même époque de l'an dernier, selon un communiqué.Le groupe, qui explique cette hausse par des choix avisés d'implantation concentrés sur Paris et ses abords immédiats, s'abstient pour autant de toute prévision annuelle, en pleine crise économique du coronavirus."Les incertitudes actuelles ne permettent pas à ce stade d'appréhender avec précision les conséquences de cette crise", reconnaît Gecina, qui avait suspendu fin mars ses précédentes prévisions.Le groupe a, par ailleurs, annulé trois mois de loyers auprès de ses plus petites entreprises locataires, comme l'a demandé le gouvernement aux principales entreprises immobilières.Il précise que ces locataires représentent moins de 2% des loyers qu'il tire des bureaux, son activité essentielle à côté d'un petit parc de logements.
Il y a 4 ans et 364 jours

Altarea Cogedim confiant malgré une "baisse limitée" au premier trimestre

RÉSULTATS. Impacté par le confinement, le promoteur immobilier enregistre un recul de son chiffre d'affaires au premier trimestre 2020. Il affiche néanmoins des perspectives "élevées", sans pouvoir chiffrer l'impact de la crise du coronavirus.
Il y a 4 ans et 364 jours

Vicat solide jusqu'à la crise

Le COVID 19 a eu un impact limité sur le chiffre d'affaires consolidé du cimentier sur l’ensemble du trimestre (+2,6%), mais il a été sensible sur la France, l’Italie et l’Inde en fin de période.
Il y a 4 ans et 364 jours

"Il est illusoire de croire que l'on va continuer comme avant" (SNCF Immobilier)

ENTRETIEN. Les chantiers de SNCF Immobilier connaîtront des retards allant de quelques semaines à quelques mois, explique Benoît Quignon, sont directeur général, pour qui la filiale dédiée aux projets urbains, Espaces ferroviaires, a un cahier des charges lui permettant de construire des quartiers "post-covid".
Il y a 4 ans et 364 jours

Sika présente sa nouvelle chape autonivelante ViscoChape P4s

En France, chaque bâtiment d’habitation, commercial ou public est classé en fonction des sollicitations auxquelles il est susceptible d’être soumis au cours d’activités usuelles.Basé sur le Cahier 3509 du CSTB, ce classement s’appuie sur 4 facteurs (lettres) : l’usure (U), le poinçonnement (P), la présence d’eau (E), la résistance aux agents chimiques (C).La lettre P traduit principalement les actions mécaniques du mobilier et des engins roulants de manutention et d'entretien et les chutes d'objets (chocs).
Il y a 4 ans et 364 jours

Herige: fort recul de son chiffre d'affaires sur le T1

La société vendéenne enregistre un retrait de -14,6 % de son chiffre d’affaires à 132,8 M€. Le groupe qui avait repris son activité de manière partielle le 24 mars, anticipe « un second trimestre très affecté. »
Il y a 4 ans et 364 jours

Une école topographique signée LA architectures, à Paris

Télétravail, chômage partiel, poursuite des études, reprise ou arrêt des chantiers. L'organisation des architectes est mise à rude épreuve par le travail à distance imposé pour lutter contre l'épidémie de coronavirus. Pourtant, dans les agences -ou plutôt hors les agences-, les […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 364 jours

Une plateforme de mise en relation avec les travailleurs indépendants

Un groupe d’entrepreneurs néerlandais et belges a créé la plateforme RedFix qui permet de mettre rapidement en relation les travailleurs indépendants, les entrepreneurs indépendants et les employeurs en Europe. De…Cet article Une plateforme de mise en relation avec les travailleurs indépendants est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 364 jours

La digitalisation pour améliorer la collaboration des équipes

L’éditeur de logiciels Finalcad a publié les résultats d’une étude menée auprès de 400 dirigeants de la construction en France, en Espagne, à Singapour et au Japon afin d’étudier la…Cet article La digitalisation pour améliorer la collaboration des équipes est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 364 jours

Covid-19 : Avec le déconfinement, le télétravail appelé à jouer les prolongations

"Le télétravail doit se poursuivre", a répété le Premier ministre Édouard Philippe lundi au Sénat. Il est "raisonnable de dire" qu'il restera massif jusqu'à l'été, a prévenu Muriel Pénicaud, la ministre du Travail.De quoi parle-t-on ?Facilité par internet, les ordinateurs et les téléphones portables, le télétravail permet de pratiquer son activité professionnelle à distance, régulièrement ou occasionnellement, chez soi ou dans n'importe quel lieu différent de l'endroit ordinaire de travail, comme des espaces de coworking.Depuis 2017, un simple accord écrit ou oral entre le salarié et son employeur suffit pour télétravailler. Mais un accord d'entreprise négocié avec les représentants du personnel ou une charte élaborée par l'employeur peuvent préciser les conditions d'exercice.Et sauf événement exceptionnel, comme l'épidémie de Covid-19 en cours, un employeur ne peut pas imposer le télétravail à un salarié.Combien de télétravailleurs confinés ?"Il y a aujourd'hui 5 millions de Français" qui télétravaillent, a précisé lundi Mme Pénicaud. "Certains le faisaient déjà un peu" avant l'épidémie; "pour beaucoup" d'autres, "c'est une expérience nouvelle", a-t-elle relevé.Ils sont salariés d'entreprises privées, publiques ou encore fonctionnaires.Tous ne télétravaillent pas à plein temps. Certains alternent avec une présence sur leur site habituel de travail. Chez Renault, depuis début avril, "une très grande majorité des cols blancs" partagent leur temps entre télétravail et chômage partiel, indique une porte-parole du constructeur automobile.Un télétravail dégradé ?Le brusque passage à la mi-mars à un télétravail de masse, imposé, non-stop, avec les contraintes du confinement, le stress de la pandémie, pendant des semaines, a brouillé les cartes du télétravail classique."Le télétravail en confinement n'est pas une situation de télétravail normale", résume le cabinet Secafi. Dans des entreprises, tous les salariés, "le manager lui-même", se retrouvent jusqu'à "cinq jours" par semaine en télétravail, après sa mise en oeuvre "précipitée", "subie", parfois "improvisée", sans matériel adapté, énumère ce cabinet qui conseille les représentants du personnel.Le télétravail normal est au contraire voulu, préparé, exercé généralement un ou deux jours par semaine, sans s'isoler durablement des collègues.Autre impact du confinement: la frontière entre vie professionnelle et vie personnelle devient très poreuse. Des télétravailleurs doivent s'occuper des enfants et du suivi scolaire, partager espace de travail et accès à internet. Leurs conditions de télétravail peuvent être dégradées."On n'est pas dans une situation véritable de télétravail", "le télétravail, c'est travailler à la maison sans avoir des enfants à s'occuper", souligne le leader de la CGT, Philippe Martinez.Quid du moral des salariés ?Selon un sondage BVA paru lundi, une grande majorité des télétravailleurs s'accommodent de ce scénario inédit: près de sept sur dix jugent "facile" de travailler chez eux et d'y veiller sur leurs enfants.Mais OpinionWay a livré la semaine dernière un sondage bien plus sombre, avec deux télétravailleurs sur dix "en détresse psychologique élevée".Dans une enquête de la fédération de cadres Ugict-CGT publiée mardi, deux tiers des télétravailleurs "se plaignent d'une anxiété inhabituelle".Quelles règles demain ?Syndicats et gouvernement sont d'accord: il faut encadrer le télétravail pour éviter les dérives.Dans les entreprises "où il y a eu des accords de télétravail, ça se passe bien; dans toutes les autres boîtes, ça pose beaucoup de questions", avait rapporté la semaine dernière le président de la CFTC, Cyril Chabanier. Ces prochains jours, les partenaires sociaux vont plancher sur des "consignes fortes, pour parer aux problématiques urgentes", avait-il ajouté.Définir "les bonnes pratiques" est nécessaire, avait confirmé le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger.Quant à la ministre du Travail, elle a approuvé lundi une telle négociation entre partenaires sociaux, en prônant une issue rapide, avec un résultat "opérationnel" pour le déconfinement.
Il y a 4 ans et 364 jours

Covid-19 : Le chômage partiel maintenu "à taux plein" après le 1er juin dans certains secteurs

Plus d'un salarié du privé (11,7 millions à ce jour) bénéficie de cette garantie de 84% du salaire net (100% au niveau du Smic), que l'État et l'assurance-chômage remboursent intégralement aux employeurs dans la limite de 4,5 Smic.Mais le gouvernement entend réduire sa participation à compter de juin, afin d'inciter à la reprise d'activité dans le cadre du plan de déconfinement.A quelques exceptions près: "Tout ce qui est hôtellerie, restauration, bars, événementiel, une bonne partie du secteur culturel... Tous les secteurs qui ne peuvent pas opérer par décision administrative continueront à pouvoir bénéficier du chômage partiel pour leurs salariés à taux plein", a déclaré Mme Pénicaud sur BFMTV.Le taux sera en revanche bien réduit pour les autres entreprises, qui devront assumer "une petite partie" des salaires de leurs employés qui resteront en chômage partiel."On est en train de discuter de proportions, mais qui seront raisonnables", a-t-elle assuré.
Il y a 4 ans et 364 jours

Les entreprises du secteur de la terre cuite relancent leur production

FILIÈRE. En amont des chantiers, le secteur des tuiles et briques reprend lui aussi sa production de manière progressive. Un guide de bonnes pratiques a également vu le jour pour accompagner les entreprises dans l'après-confinement.
Il y a 4 ans et 364 jours

Rencontre avec : Pascale Risbourg

Styliste de formation, Pascale Risbourg délaisse rapidement la mode pour devenir créatrice de papiers peints, puis céramiste. Elle explore depuis plus de vingt ans la création et ne cesse de se renouveller. Aujourd’hui, elle vit et travaille en Belgique. Au détour d'une visite dans son pays d'adoption, la rédaction de Muuuz a eu l'occasion de s'entretenir avec cette artiste dans l'âme. Retour sur une rencontre audacieuse. Vous venez de la mode, pourquoi avez-vous finalement choisi l’artisanat ?La mode est ma première formation. J’étais certaine de faire quelque chose d’artistique. Je me suis inscrite à ESMOD, mais je me suis vite rendue compte que ce secteur était trop restreint pour moi. Je m’en suis donc éloignée. Je faisais des vêtements très ludiques, spectaculaires. Après mon diplôme, j’ai gagné plusieurs concours mais toujours en prenant le plus de distances possibles avec le vêtement. Mes créations les plus remarquées sont les plus artistiques, notamment celles de la transformation de l’objet en vêtement, ou du vêtement en objet, comme un sac convertible en robe ou une jupe qui se transforme en parasol. J’ai réalisé que, ce qui m'intéressait réellement, c'était surtout à la dimension performative de l'habit. J’ai créé des costumes pour des évènements, des publicités, des shoots. Dans chaque projet, j’aime l’idée de susciter des émotions. Quand je crée, je me demande toujours ce que je peux apporter. Je préfère provoquer une réaction. Je réalise des créations décalées, qui surprennent. Je suis inclassable. On peut me trouver là où on ne s’y attend pas. Quel est l’intérêt de faire ce que l’on a déjà fait ? C’est plus stimulant de trouver de nouvelles idées. Par exemple, avec mes robes-sacs, j’ai audacieusement bouleversé les codes de la mode. De même, avec ma Toile de Jouy érotique. C’est d’ailleurs grâce à celle-ci que j’ai commencé à m’éloigner du vêtement pour me diriger vers la création de papiers peints, d’œuvres murales. Quelles histoires se cachent derrière vos créations de papiers peints et de céramiques ?Quand je crée des papiers peints, je pense à la céramique, et inversement. J’attache toujours beaucoup d’importance à l'équilibre des formes et des couleurs. Je cherche à apporter un regard nouveau. Quand je suis allée au musée de la Toile de Jouy à Jouy-en-Josas dans les Yvelines, j’ai tout de suite été interpellée par les dessins et j’ai pensé à les revisiter avec humour. L’idée de ma première collection de papiers peints est née ainsi. J’essaie surtout de me renouveler et de ne pas suivre les tendances. Quand je crée un nouveau papier peint, je fais un travail d’assemblage. J’envisage l’ensemble comme une scénographie, puis je réfléchis aux choix des formes et des couleurs. Plus j’avance dans la réalisation d’une œuvre murale, plus je me concentre sur les détails. Lorsque je réalise des céramiques, c’est différent. Je réfléchis à la décoration sans m’imposer de cahier des charges. Contrairement à mes papiers peints, je ne suis pas dans une démarche de commercialisation. Toutes mes céramiques se situent entre art et design. Ce sont des objets qui se contemplent. L’aspect esthétique prend le dessus sur le fonctionnel. Où puisez-vous votre inspiration ?Je suis inspirée par mon environnement car il met en éveil mes sens. De la gastronomie aux nouvelles technologies, en passant par l’architecture, je puise mon inspiration partout. J’analyse constamment ce qui m’entoure, et j’essaie ensuite de donner un sens à mes observations pour les traduire dans un langage artistique qui m’est propre. « Je réalise des créations décalées, qui surprennent. Je suis inclassable. » Dans vos céramiques, quel est votre processus de création ?C’est un travail d’improvisation. J’utilise des moules en plâtre. Je compose avec ces formes prédéfinies jusqu’à me surprendre. Si je ne suis pas surprise, je retravaille ma pièce encore et encore pour obtenir une création surprenante. Je souhaite que mes pièces soient sincères. En ce moment, je surélève mes céramiques. Elles semblent être en équilibre. Ce rapport entre masse et fragilité m’intéresse, car je m’y retrouve. Comment construisez-vous votre univers ?Je suis un électron libre, mais je mène mes projets avec beaucoup de rigueur. Je suis obligée de me canaliser pour trouver une cohérence. Je cherche toujours à m’éloigner de ce que l’on peut attendre de moi. Vous utilisez la réalité augmentée pour animer les motifs de vos papiers peints et assiettes en porcelaine Erotic Toile de Jouy. Pourquoi souhaitez-vous intégrer les nouvelles technologies aux arts décoratifs ?C’est une recette de la créativité d’associer deux univers qui n’ont rien à voir. En exploitant la réalité augmentée pour donner vie aux saynètes suggestives de mes Toiles de Joy érotiques, je surprends le public. J’étais d’ailleurs très contente de voir sourire les visiteurs quand ils observaient mes papiers peints s’animer à l’édition 2019 de la COLLECTIBLE à Bruxelles, puis à l’occasion du parcours design « La Promenade du Collectionneur II » organisé par les galeries Gosserez et Maison Parisienne au Meurice en parallèle du PAD. Depuis mars 2019, vous travaillez aux Ateliers Zaventem, le foyer créatif conçu par Lionel Jadot, et participez donc à la vie des ateliers. Qu’apporte cette résidence à votre création ?C’est très stimulant de travailler là-bas. Il y a une effervescence créative. L’année dernière, j’ai eu la chance d’exposer mes créations à COLLECTIBLE aux côtés de tous les résidents volontaires des Ateliers Zaventem. Bruxelles est une véritable pépinière de talents. C’est une ville qui me convient très bien, car je peux m’exprimer avec intégrité sans être mise dans une case. Quelles sont vos prochains projets ?J’ai envie de raconter de nouvelles histoires. Je souhaiterais collaborer avec des galeries, des maisons d’éditions, et éventuellement partir en résidence à l’étranger. Avez-vous envie d’apprendre un nouvel art décoratif ?Cela ne serait pas sage [rires]. Je souhaiterais plutôt associer ma céramique avec le savoir-faire d’un autre artisan. Puis, j’aimerais aussi me perfectionner, notamment maîtriser les techniques de l’émail. Comment imaginez-vous le design de demain ?Avant d’être un objet, le design de demain est une réflexion. Selon moi, le design de demain sera un design écologique, un design de la récupération. On commence à voir des nouvelles formes, des formes marshmallow, et des nouveaux matériaux. L'upcycling se développe et séduit les jeunes créateurs. Je pense que la nouvelle génération de designers travaille sur des projets très intéressants. Je suis très contente que les jeunes talents, les étudiants, les jeunes pousses bouleversent les codes et envisagent un futur différent. La nouvelle génération de designers ne se donne pas de limite, et n’a pas peur de la critique. Les créations des jeunes designers ne sont pas forcément au point techniquement, mais au niveau artistique elles le sont. Et c’est l’essentiel. J’appellerai donc le design de demain le design marshmallow, un design hyper ludique aux frontières du surréalisme. Pour en savoir plus, visitez le site de Pascale Risbourg. Photographies : Portrait © Laetizia Bazzoni, Céramiques et papiers peints © Kaatje VerschorenLéa Pagnier