Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87527 résultats)
Il y a 4 ans et 364 jours

Covid-19 : où en est la filière Terre Cuite ?

La production repart progressivement, les stocks ont toujours permis de répondre à la demandeAprès l’arrêt progressif de la majorité des lignes de production à partir du 17 mars, les stocks constitués avant le confinement ont permis de répondre à la demande croissante des négoces et à la reprise progressive des chantiers. Pour la semaine 18 (semaine du 27 avril), les livraisons s’établissent ainsi à environ 65% de leur niveau de la même période en 2019. Depuis le 2 avril, les lignes de production redémarrent progressivement venant ainsi réapprovisionner les stocks existants. Un guide édité par la FFTB accompagne les acteurs de la filière dans la mise en place de bonnes pratiques dans le contexte Covid-19Élaboré conjointement avec les organisations syndicales représentatives et cosigné par la CFDT, ce Guide de Bonnes Pratiques édité par la FFTB est destiné à ses adhérents Il vise à assurer la santé et la sécurité des salariés dans le contexte de l’épidémie de Coronavirus (COVID-19) en tenant compte des particularités des environnements, des métiers, des postes de travail et des organisations de travail de la filière.Validé le 26 avril 2020 par le Directeur Général du Travail au Ministère du Travail, le guide est disponible sur demande auprès de la FFTB.
Il y a 4 ans et 364 jours

Alliance "inédite" entre notaires, architectes, promoteurs et agents immobiliers

GRAND PARIS. C'est pour proposer les "modalités de relance de la dynamique du Grand Paris, en matière de logement, d'aménagement et de transition écologique" que différents acteurs du monde de l'immobilier et de l'architecture lancent l'Alliance des professionnels de l'urbanisme et de l'immobilier du Grand Paris (Apui-GP). Ils réclament notamment, dans l'immédiat, la dématérialisation accélérée de l'instruction des demandes d'urbanisme par les collectivités.
Il y a 4 ans et 364 jours

Rénovation énergétique : et si la crise du Covid-19 relançait l'ambition ?

LOGEMENT. L'Initiative Rénovons !, soutenue par de nombreux acteurs publics et privés du logement, de l'environnement et de l'efficacité énergétique, a dévoilé les grandes lignes de ses scénarios visant à mettre les bouchées doubles par rapport au rythme de rénovation actuel. Les gains seraient non seulement financiers mais aussi sanitaires.
Il y a 4 ans et 364 jours

Les meilleures sources d’information dans le domaine du BTP et du bâtiment

Chaque jour qui passe, les entreprises font face à une concurrence de plus en plus féroce. C’est notamment le cas dans le secteur du bâtiment et des travaux publics. Si vous êtes le dirigeant d’une société œuvrant dans ce domaine, vous devez en permanence vous montrer performant et bien informé des évolutions de votre secteur d’activité. Dans ce cadre, il est utile de chercher des sources fiables qui vous permettent de recueillir un maximum d’informations de qualité. Nous vous présentons donc quelques sites que nous estimons fiables et qui constituent des sources de qualité. Il s’agit de Batirama, de Batiweb et de Batiactu. Les médias préférés des acteurs du BTP, Obat en tête ! Si vous gérez une entreprise dans le secteur du bâtiment et du BTP, vous avez certainement besoin de disposer d’outils et de matériels performants afin de mieux satisfaire vos clients. Oui, mais que choisir ? Il faut alors vous tourner vers des sources d’informations fiables pour faire les meilleurs choix, telles que le blog d’Obat, visible sur https://www.obat.fr/blog/, expert en conseils BTP. On y trouve notamment des articles sur le choix du meilleur logiciel de facturation et de devis, sur la valeur juridique d’un devis, etc. Vous cherchez des infos intéressantes sur l’affacturage ? Obat pourra vous renseigner ! Les débutants pourront également trouver des infos intéressantes pour se lancer dans le milieu du bâtiment. Faire connaître son entreprise en ligne est par exemple essentiel à ce jour pour percer dans le milieu du bâtiment. Ce blog BTP vous aiguillonnera pour trouver des informations sur la marche à suivre afin d’être visible sur internet. Des informations variées dans le domaine du BTP Bref, en plus de proposer un logiciel de devis et de facturation, le site Obat propose ainsi un blog aussi complet qu’intéressant, permettant aux artisans du BTP de trouver des réponses rapides à leurs interrogations. Les informations y sont aussi diverses que variées, allant du flocage d’un camion utilitaire pour professionnel à des questions juridiques, en passant par des infos sur la TVA des entreprises. Des informations sur la Fédération Française du Bâtiment vous seront également communiquées, afin que vous possédiez vraiment toutes les informations dont vous avez besoin avant de vous lancer dans le BTP, ou pour vous aider à solutionner des soucis durant l’exercice de vos travaux. Secteur du BTP : Batirama, un site web pour en apprendre davantage Batirama fait partie des sites web de référence pour s’informer sur le secteur BTP. Vous y trouverez de nombreuses informations utiles afin de défier la concurrence et améliorer votre entreprise. Produits et innovations Le site https://www.batirama.com/ présente, par exemple, le calendrier des manifestations susceptibles d’intéresser une entreprise du BTP. Vous pouvez encore y découvrir une rubrique présentant différents produits comme la protection des planches à rives, le plancher léger thermo-acoustique, le micro-béton pour revêtement de bassins ou encore le relais de contrôle de niveaux. Si vous êtes à la recherche de matériel de transport pour votre entreprise, vous pouvez découvrir dans une rubrique spécifique des articles qui traitent les différents véhicules adaptés pour votre métier. Batirama vous donne également la possibilité d’en apprendre davantage sur les indices et les index du bâtiment. Comme vous avez besoin d’être à l’affût des innovations et des nouveautés techniques dans votre secteur d’activité, vous pouvez y lire un article parlant, par exemple, du gant bionique. Celui-ci est conçu pour prévenir les troubles musculo-squelettiques des travailleurs et améliore leur endurance. Vous y trouverez d’autres publications comme celle qui vous donne de plus amples renseignements sur les outils pratiques censés aider les entreprises du secteur BTP à gérer les crises. Vous y trouverez également d’autres articles intéressants pour en savoir plus sur la plateforme d’entraide mise en place par l’OPPBTP, par exemple. Normes et techniques dans le secteur du bâtiment Dans le domaine du BTP plus que dans les autres secteurs d’activité, les normes ont une importance capitale. Grâce à Batirama, vous avez désormais la possibilité d’en savoir plus sur les normes à appliquer dans certains domaines. Par ailleurs, vous serez certainement intéressé de connaître ce qui change en matière de baux privés et commerciaux avec les mesures d’urgence. Ou encore, à propos de la responsabilité engagée quand la solidité de l’ouvrage que vous construisez est compromise. Il est également possible de recueillir des informations sur différentes techniques qui peuvent vous être utiles. Cela concerne, par exemple, les solutions pour isoler l’extérieur des logements et qui peuvent être utilisés sur les toitures, ou comment choisir les produits adaptés pour isoler les combles perdus. Batiweb, un site de référence pour se renseigner Nous vous invitons également à vous connecter sur le site de Batiweb si vous souhaitez obtenir des renseignements qui vous permettent d’avoir une longueur d’avance sur vos concurrents. Vous trouverez sur https://www.batiweb.com/ un grand nombre d’articles classés dans différentes catégories et qui sont susceptibles de vous intéresser. Actualités et produits Batiweb est un site intéressant qui vous informe sur toutes les actualités concernant le secteur BTP. Cela peut être la législation et la réglementation qui touchent votre métier, les événements du bâtiment, les nouveaux produits du BTP, la RT2012, l’éco-construction, le droit social, la vie des sociétés, les collectivités territoriales, etc. Il est également possible d’y découvrir des articles intéressants qui présentent les produits utilisés dans votre métier. Il peut s’agir d’électricité et de génie climatique, de construction industrialisée, de gros-œuvre, de matériel, d’aménagement extérieur, de second œuvre, de logiciel, d’éco-construction ou de menuiserie-fermeture. Architecture et divers Véritable mine d’informations pour les entreprises du BTP, Batiweb présente dans sa rubrique « Autres » les différentes formations, des dossiers spéciaux, des vidéos ainsi que diverses thématiques. Le portail de Batiweb propose encore une large palette d’articles axés sur de nombreux sujets. La rubrique « Architecture » présente également un certain intérêt pour les acteurs du bâtiment et des travaux publics, notamment les architectes. En effet, les différentes innovations dans ce domaine y sont affichées. Batiactu, le meilleur site pour s’informer sur votre secteur d’activité En tant que chef d’entreprise, vous devez rester informé en permanence sur votre secteur d’activité. Batiactu vous donne l’opportunité de le faire. Il est vrai que le site https://www.batiactu.com/ est agencé de manière à permettre aux internautes de découvrir facilement les renseignements dont ils ont besoin dans le domaine du BTP. Il présente 8 rubriques différentes afin de vous permettre de trouver l’article qui vous intéresse. Il s’agit de l’immobilier, de l’énergie, de BTP Chantiers, de négoce industriel, de stratégie, d’architecture conception, d’État et collectivités, et d’une Tribune d’experts. Vous pouvez également découvrir sur cette plateforme spécialisée des articles concernant le chiffrage, les marchés, la formation, l’emploi BTP, les événements du secteur, le réseau, etc. Il est encore possible de trouver sur Batiactu une liste de fabricants et de prestataires œuvrant dans le domaine du bâtiment. Pour mieux vous informer sur le secteur BTP, le blog Obat reste également un site web de référence. Il s’agit d’une source fiable qui s’adresse aux professionnels du bâtiment. Ces derniers peuvent donc y découvrir des articles pertinents qui les aident à mieux gérer leur entreprise et à se développer par la suite.
Il y a 5 ans et 0 jours

Malgré la crise du Covid-19, Thermador achève une acquisition

RACHAT. Le distributeur en gros d'articles de robinetterie Thermador Group a réalisé une acquisition dans un contexte de crise sanitaire. Néanmoins, pas de nouveau rachat devrait intervenir avant deux ans, a indiqué le groupe. Détails.
Il y a 5 ans et 0 jours

Passoires thermiques : le collectif Rénovons remet le couvert

135 milliards d’euros pour amener en 2040 les 6,7 millions de passoires thermiques aux normes des bâtiments à basse consommation : le collectif Rénovons a publié et commenté le 5 mai sa seconde étude sur la rénovation énergétique du logement, réalisée avec le cabinet conseil Siapartners.
Il y a 5 ans et 0 jours

Un mois d'avril "catastrophique" dans les travaux publics

ETUDE. Afin de suivre l'impact de l'épidémie de covid19 sur l'activité du secteur, la FNTP a de nouveau interrogé ses adhérents entre le 28 avril et le 4 mai. En pleine crise sanitaire, leur niveau d'activité est bien à la peine. Des points positifs sont tout de même à relever.
Il y a 5 ans et 0 jours

Relance de l'activité : les attentes de la Filière Béton

PROPOSITIONS. La Filière Béton, qui regroupe les acteurs de l'approvisionnement en matériaux (FIB, SFIC, SNBPE, UNICEM et UNPG), interpelle les pouvoirs publics ce mardi 5 mai, en leur présentant les trois mesures attendues pour une relance dynamique du secteur face à la crise.
Il y a 5 ans et 0 jours

Résultats de la 6e édition du Baromètre ARTI Santé

Comme chaque année depuis 2014, la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (CAPEB), la Chambre Nationale de l'Artisanat des Travaux Publics et du Paysage (CNATP), et le pôle d'innovation IRIS-ST dévoilent les résultats de la nouvelle édition du baromètre ARTI Santé BTP, enquête nationale de référence sur les conditions de travail et la santé des chefs d'entreprise artisanale du BTP.Pour la première fois, l'étude révèle une diminution de leur rythme de travail. Ils étaient ainsi davantage en 2019 à prendre des congés au-delà de deux semaines par an et à réduire leur temps de travail hebdomadaire. Cependant, la part des dirigeants qui déclarent leur métier très exigeant physiquement mais aussi mentalement est en hausse avec respectivement +5 et +3 points par rapport à la précédente édition et la difficile déconnexion avec le travail s'accentue. Face au rythme soutenu de leur activité, les répondants sont toujours autant soumis à des problèmes de santé (stress, burn-out) et ont de plus en plus le sentiment d'être isolés (+4 points). La CAPEB, consciente de toutes ces données et difficultés, fait le bilan des 6 éditions passées du baromètre et propose un partenariat, alliant synergie et compétence, avec le réseau du Centre d'Information sur la Prévention des difficultés des entreprises (CIP) qui s'avère d'autant plus nécessaire du fait de la crise sanitaire actuelle.Pour la première fois, une légère diminution du rythme de travail mais une activité davantage exigeante mentalement et physiquementL'étude menée auprès de 2053 répondants entre novembre et décembre 2019 révèle une baisse du rythme de travail des dirigeants d'entreprise artisanale du BTP et du paysage. En 6 ans, les congés des dirigeants sont en effet de plus longue durée. Ainsi, le nombre de dirigeants s'octroyant plus que deux semaines de congés est en augmentation. Ils sont également de moins en moins nombreux à travailler de 6 à 7 jours par semaine (54% en 2019 contre 59% en 2018). De plus, la proportion du nombre de dirigeants travaillant plus de 60 heures par semaine est également en baisse (21% en 2019 contre 26% un an auparavant).L'intensité du rythme de travail hebdomadaire des dirigeants varie en fonction de la taille de l'entreprise. Ainsi, les répondants employant 11 à 15 salariés sont plus susceptibles de travailler plus de 60 heures par semaine par rapport aux artisans travaillant seuls (38% contre 14%), quand bien même les employeurs ayant répondu déclarent prendre plus de congés. Un rythme soutenu pour l'ensemble des répondants qui s'explique en partie par la lourdeur des tâches administratives qui représentent pour près de la moitié des chefs d'entreprise 25% de leur temps de travail. Si le rythme de travail opère pour la première fois une légère baisse, il reste cependant très soutenu. Comme les années précédentes, les chefs d'entreprise artisanale peinent à trouver le bon équilibre entre vie familiale et vie professionnelle : 87% des répondants ont toujours le sentiment que leur vie professionnelle empiète sur leur vie privée et 75% d'entre eux considèrent qu'ils ne sont pas suffisamment disponibles pour leur entourage.En cause : le rythme soutenu mais également la difficulté pour ces dirigeants d'opérer une réelle coupure avec leur activité. Travailler pendant les jours de repos est une pratique en augmentation chez les chefs d'entreprise artisanale du BTP et du paysage : ils sont ainsi 51% à consulter leurs mails tous les jours ou tous les deux jours pendant leurs congés. Pour 34% d'entre eux, il s'agit en effet de rester disponible auprès de leurs clients.Le nombre de chefs d'entreprise qui considèrent leur travail très exigeant ne cesse d'augmenter : +5 points (83% en 2019 – 78% en 2018) pour l'exigence physique et +3 points (91% en 2019 – 88% en 2018) pour l'exigence mentale. L'accroissement de l'exigence physique peut s'expliquer, au-delà du fait qu'il s'agisse de métiers manuels, de l'évolution de certains matériaux et équipements et les contraintes liées aux chantiers. Bien que ce soit l'exigence physique qui augmente le plus, l'exigence mentale reste toujours plus importante. Elle s'explique entre autres par le poids des responsabilités et de la multitude de tâches qui incombent aux chefs d'entreprise. Une situation qui n'est pas sans risque pour la santé mentale et physique de ces artisans.Une activité qui continue de peser sur la santé physique et mentale des chefs d'entrepriseDepuis six ans, les résultats du baromètre alertent sur l'état de stress des dirigeants des entreprises artisanales du BTP et du paysage. Si la proportion des répondants qui se déclarent stressés reste stable à 58%, son intensité quant à elle augmente.Le poids des démarches administratives, la charge de travail, les contraintes de délais et la nécessité de devoir être de plus en plus réactif sont notamment en cause. 84% des chefs d'entreprise artisanale du BTP et du paysage déclarent ainsi travailler dans l'urgence. Cet état émotionnel influence fortement la qualité du sommeil et les expose à un risque accru d'épuisement professionnel voire de burn-out. Un syndrome qui concerne davantage de répondants cette année : 6% contre 5% en 2018.Il est à craindre que cette situation déjà préoccupante se détériore considérablement cette année avec la gestion de la crise sanitaire à laquelle sont confrontés tous les chefs d'entreprise.Les chefs d'entreprise artisanale sont également 58% à affirmer se sentir très fatigués (contre 59% en 2018, 58% en 2017 et 56% en 2016) et 47% déclarent se réveiller au milieu de la nuit et avoir du mal à se rendormir. Ce manque de sommeil a des répercussions concrètes sur l'activité professionnelle pour 70% des répondants. 51% des répondants se disent ainsi davantage irritables (contre 32% en 2018) et 64% en manque d'énergie et en permanence fatigués.La lourde charge de travail ainsi que les troubles émotionnels dont les répondants sont victimes sont des facteurs qui favorisent le sentiment d'isolement des chefs d'entreprise. En effet, 40% des sondés éprouvent ce sentiment (+ 4 points par rapport à l'année dernière) et 46% souhaitent être davantage soutenus. Pour répondre à ce besoin, les réseaux professionnels arrivent pour la première fois en première position (64% des répondants), suivis par les institutions telles que les assurances et les banques.Malgré cette situation inquiétante, le baromètre met en avant un regain d'optimisme chez les répondants. 54% sont plutôt optimistes concernant l'activité de leur entreprise (contre 40% en 2018) et 65% sont totalement épanouis dans leur métier. L'étude porte néanmoins un point d'attention sur les entreprises dont la pérennité est menacée. En effet, seulement 21% des dirigeants en difficultés financières se font aider et uniquement 26% savent vers qui se tourner dans une telle situation. Ces résultats attestent de l'importance de continuer à informer les chefs d'entreprise sur les structures existantes qui permettent de les aider en cas de difficultés.Un suivi médical en lien avec leur activité professionnelle qui intéresse les chefs d'entrepriseDepuis plusieurs années, le baromètre fait le constat d'un faible suivi médical des chefs d'entreprise de l'artisanat du bâtiment. En 2019, seulement 45% consultent leur médecin régulièrement ou de temps en temps. Plus inquiétant encore, pour 48% des répondants, leur état de santé nécessiterait un arrêt de travail qu'ils n'ont pas pris. La première raison évoquée est le maintien à tout prix de l'activité de l'entreprise. Ce constat alarmant montre la nécessité de continuer à sensibiliser les artisans du bâtiment sur les risques liés à leur activité. De plus, l'étude révèle que 68% les dirigeants seraient intéressés par un suivi médical en lien avec leur activité professionnelle avec leur médecin généraliste ou un autre professionnel.« L'état de santé des chefs d'entreprise est une question cruciale dont nous suivons scrupuleusement l'évolution chaque année grâce à notre baromètre. Le secteur de l'artisanat du bâtiment est un secteur particulièrement exigeant en termes de délais,de contraintes de chantiers et de contraintes clients. Les chefs d'entreprise, motivés par la satisfaction client et le maintien de l'activité, se donnent généralement à 100% en fermant parfois les yeux sur leur fatigue ou sur des signes cliniques cachant des pathologies plus graves, pouvant représenter un risque pour leur santé physique ou mentale. Notre devoir est de tirer la sonnette d'alarme et de continuer à sensibiliser les dirigeants des entreprises sur les risques liés à leur activité, afin de les informer au mieux et de les accompgner. Je perçois cette année une réelle prise de conscience de ces chefs d'entreprise qui expriment le besoin d'être médicalement suivis en lien avec leur activité. C'est une demande que nous entendons et que nous défendrons pour qu'elle trouve rapidement son application ! » - Patrick Liébus, Président de la CAPEB« Si être chef d'entreprise c'est être libre et autonome, c'est aussi vivre une vie qui n'est pas de tout repos. Si la passion est la motivation de l'artisan, gérer les problèmes du quotidien, anticiper le moyen terme et se fixer des objectifs sur le long terme peuvent s'avérer très stressant. Durant longtemps, la conjointe, aux côtés du chefs d'entreprise, partageait souvent cette charge mentale et libérait l'artisan d'une partie de ce stress. Aujourd'hui, ce schéma traditionnel n'est plus forcément la norme et le chef d'entreprise a fréquemment le sentiment d'être seul, isolé devant toutes ses implications et cet environnement toujours plus administratif et procédurier. Il est important d'évoquer ce sentiment ordinaire chez les artisans, d'en parler et que le chef d'entreprise prenne conscience que sa santé physique et mentale est primordiale, qu'il doive en prendre grand soin. La crise sanitaire que nous traversons n'aura pas épargné notre stress d'entrepreneur entre nos responsabilités d'assurer la sécurité de nos salariés et la pression de faire vivre notre entreprise.»- Françoise Despret, Présidente de la Chambre nationale de l'artisanat, des travaux publics et paysagistes (CNATP)Un Bilan sur 6 ansDepuis 2014, le baromètre ARTISANTE BTP édité par la CAPEB et la CNATP en partenariat avec l'IRIS-ST étudie les conditions de travail et la santé des chefs d'entreprise artisanale. Cette évaluation annuelle de l'état de santé et de stress perçu par les artisans a permis à la CAPEB et à la CNATP de dégager les enjeux du secteur. Ils se proposent maintenant d'en déterminer les actions à mettre en place pour inverser les tendances inquiétantes.Les principales tendances observées au cours de ces 5 dernières années sont invariables voire se dégradent : un rythme de travail intense, une exigence mentale en constante augmentation, un stress présent et des cas d'épuisement professionnels recensés et en augmentation, un suivi médical quasi inexistant car non obligatoire, des difficultés économiques spécifiques aux très petites entreprises.Une synergie de compétences pour une politique préventiveLe Baromètre fait état depuis plusieurs années du lien qui existe entre la santé du chef d'entreprise et celle de son entreprise, c'est pourquoi une collaboration forte a été mise en place entre la CAPEB, la CNATP, l'IRIS-ST et le CIP pour venir en aide aux chefs d'entreprise devant faire face à des difficultés financières au sein de leur entreprise. Une collaboration basée sur le maillage des réseaux de chaque partie sur le territoire. Une action concrète en réponse à une problématique soulevée par le Baromètre.Le Centre d'Information sur la Prévention des difficultés des entreprises (CIP National) met à la disposition des adhérents de la CAPEB et de la CNATP sa plate-forme d'accueil et d'écoute. Sur l'ensemble du territoire national, les CIP territoriaux sont en capacité de recevoir et d'orienter les chefs d'entreprise vers les dispositifs légaux, publics et privés leur permettant de résoudre tout ou partie de leurs difficultés économiques et financières.A leur disposition, un trio d'experts qui les reçoit individuellement, de manière confidentielle, anonyme et gratuite. Expert-comptable ou commissaire aux comptes, avocat, ancien juge du Tribunal de commerce et parfois un conseiller CCI et/ou CMA échangeront avec les chefs d'entreprise entre 30 et 60 minutes.« En cette période de crise sanitaire totalement exceptionnelle, je suis particulièrement inquiet pour tous les chefs d'entreprise artisanale et de TPE dans la mesure où depuis des années, nos études et baromètres nous enseignent qu'il existe un lien direct entre la santé du chef d'entreprise et celle de son entreprise. Je souhaite que nous sachions faire face collectivement pour aider et accompagner les chefs d'entreprise qui seraient en détresse. Ce partenariat, fondé sur le maillage de nos réseaux territoriaux respectifs, constitue une action concrète pour répondre à cette problématique et un des éléments de l'accompagnement que nous nous devons d'apporter aux entreprises. »- Patrick Liébus, Président de la CAPEBLes grandes évolutions a retenirLes points alarmants :Une activité de plus en plus exigeante : la part des dirigeants déclarent leur métier « très » exigeant physiquement et mentalement est en hausse : respectivement +4 et +9 points par rapport à 2018Un équilibre vie familiale et vie professionnelle difficile à trouver : 87% des répondants ont le sentiment que leur vie professionnelle empiète sur leur vie privéeRenforcement du sentiment d'isolement : 40% des artisans ont le sentiment d'être isolés : un chiffre en augmentation de + 4 points par rapport à 2018Les cas de burn-out en hausse : une maladie qui concerne davantage de répondants cette année : 6% contre 5% en 2018.Les points positifs :Un rythme de travail en légère baisse : la proportion de dirigeants travaillant plus de 60 heures par semaine est de 21% en 2019 contre 26% en 2018Un regain d'optimisme : 54% des répondants sont plutôt optimistes concernant l'activité de leur entreprise et 65% des artisans sont épanouis dans leur métier.Un suivi médical qui intéresse : 68% les dirigeants seraient intéressés par un suivi médical
Il y a 5 ans et 0 jours

Les taux des crédits immobiliers remontent légèrement en avril

Le mois dernier, les taux des crédits immobiliers accordés par le secteur concurrentiel se sont en moyenne établis à 1,17%, détaille dans un communiqué l'observatoire Crédit Logement/CSA, qui associe les principales banques françaises à un institut d'études de marché.C'est une petite progression par rapport au taux enregistré pour mars - 1,15% -, mais cela reste proche du plancher historique atteint l'an dernier, le record à battre restant 1,12% en novembre."Au lieu de la remontée rapide et brutale que certains ont si souvent annoncée, le taux moyen n'a en fait grappillé que 1 à 2 points de base chaque mois depuis décembre 2019", souligne l'observatoire.Au début du confinement décrété mi-mars en France, pour lutter contre la propagation du coronavirus, plusieurs courtiers en crédit avaient rapporté que les banques françaises durcissaient nettement les conditions d'emprunt, notamment pour faire face aux risques liés à la crise.Auparavant, les acteurs du marché immobilier s'inquiétaient déjà de la volonté des autorités financières de plus encadrer les prêts dans le secteur. Elles avaient demandé fin 2019 aux banques d'être un peu plus restrictives.En tout état de cause, le confinement a un effet indiscutable: le nombre des nouveaux emprunts immobiliers, qui baissaient déjà en mars, a chuté en avril.Sur les trois mois écoulés à la fin avril, leur nombre a reculé d'un quart par rapport au niveau observé un an plus tôt.
Il y a 5 ans et 0 jours

Crédits : la hausse attendue n'a pas eu lieu en avril

PRÊTS IMMOBILIERS. Contrairement à ce qu'attendaient certains acteurs du marché immobilier, les taux des crédits accordés par les banques en avril n'ont pas augmenté de manière significative, d'après l'observatoire Crédit Logement/CSA.
Il y a 5 ans et 0 jours

TÉNORD Huguenot d’Edilians : la seule tuile petit moule certifiée NF Faible Pente

Leader français de la tuile terre cuite, EDILIANS dispose déjà d’une large gamme de tuiles fortement et faiblement galbées aptes à être utilisées sur des couvertures Faible Pente. Aujourd’hui, le spécialiste de l’enveloppe du bâtiment complète son offre et présente la TÉNORD Huguenot, la première tuile petit moule certifiée NF Faible Pente.   L’unique modèle petit moule du marché certifié NF FP Dernière née de la gamme des tuiles petits moules à relief d’EDILIANS, la TÉNORD Huguenot est une tuile à emboîtement produite dans le site de Wardrecques au cœur de l’Audomarois, dans les Hauts de France. Caractéristique des toitures de la région Nord, elle est la première et la seule tuile petit moule du marché à bénéficier de la certification NF Faible Pente et s’ajoute aux 12 modèles déjà certifiés d’EDILIANS. Sans aucune modification des pureaux de pose, la TÉNORD Huguenot peut être mise en œuvre jusqu’à 19% de pente ce qui autorise son installation sur des toitures plus plates, un atout pour répondre aux exigences des projets architecturaux plus contemporains.   Une esthétique traditionnelle Grâce à un procédé de fabrication innovant sur moule en plâtre, la TÉNORD Huguenot offre un aspect de surface parfaitement lisse et une haute qualité de finition. Avec son nez fin, son cornet étroit et ses demi-lunes, son design respecte les codes traditionnels des toitures du Nord. S’inscrivant résolument dans le patrimoine historique de sa région, la TÉNORD Huguenot se décline dans une palette de 4 teintes brillantes (Flammé Rustique, Rouge, Anthracite, Terre d’Amarante) qui apportent une touche de modernité.   Un jeu double et une pose simple Aux performances techniques élevées, la tuile TÉNORD Huguenot possède un double jeu de pose inédit de 20 mm longitudinal, au niveau du pureau, et de 4 mm latéral. Cette qualité de conception garantit une flexibilité de pose optimale ainsi qu’une simplicité d’installation en rénovation comme en neuf. En construction, son pureau maximum de 270 mm fait de la TÉNORD Huguenot la plus économique des tuiles du Nord (jusqu’à 18,7 tuiles au m2). Dotée d’un système de double emboîtement et recouvrement au service d’une étanchéité irréprochable, la tuile TÉNORD Huguenot peut être associée aux autres solutions pour la toiture et l’éco-habitat d’EDILIANS, telles que les accessoires (rive, plain plan, faîtage) et les écrans de sous-toiture. http://www.edilians.com
Il y a 5 ans et 0 jours

Le gouvernement élargit la prise en charge des loyers aux TPE sans salarié

Le gouvernement, les régions et les assureurs contribuent actuellement à un fonds de solidarité pour les très petites entreprises. Il doit notamment prendre en charge leurs loyers, mais cette disposition était jusqu'à maintenant réservées aux entreprises avec salariés."Nous avons décidé que tous les indépendants, tous les entrepreneurs qui n'ont pas de salarié, qui se sont vu refuser un prêt garanti par l'État et qui ne peuvent pas payer leur loyer pourront avoir accès au deuxième étage de ce fonds de solidarité", a déclaré M. Le Maire au micro de France Inter.Il a ajouté que les très petites entreprises pourront donc bénéficier de "jusqu'à 5.000 euros pour payer leur loyer". Bercy a précisé à l'AFP que cette mesure était réservée aux entreprises fermées sur décision administrative.Le "premier étage" du fonds est constitué d'une aide pouvant aller jusqu'à 1.500 euros par mois pour les entreprises dont le chiffre d'affaires a chuté d'au moins 50% durant le confinement, le "deuxième étage" étant réservé aux entreprises menacées de faillite.Bruno Le Maire a rappelé que "les grandes foncières se sont engagées à annuler les loyers sur trois mois pour toutes les très petites entreprises de moins de dix salariés".Le ministère de l'Économie a par ailleurs indiqué que le fonds de solidarité serait désormais ouvert aux entrepreneurs qui cumulent une petite retraite avec leur activité, jusqu'à concurrence de 1.500 euros mensuels pour l'ensemble de leurs revenus.Bruno Le Maire a confirmé que le fonds ne s'arrêterait pas au 11 mai, mais au 31 mai, et qu'il serait prolongé en juin pour les entreprises dont les activités seraient encore à l'arrêt comme les cafés, les restaurants ou l'évènementiel."Le 11 mai, tous les commerces doivent reprendre leur activité et ils continueront à bénéficier d'un soutien financier de l'État", a assuré M. Le Maire, qui a reconnu qu'il "y aura des faillites" dans les commerces et les très petites entreprises malgré les aides publiques.
Il y a 5 ans et 0 jours

Covid-19 : Le gouvernement élargit la prise en charge des loyers aux TPE sans salarié

Le gouvernement, les régions et les assureurs contribuent actuellement à un fonds de solidarité pour les très petites entreprises. Il doit notamment prendre en charge leurs loyers, mais cette disposition était jusqu'à maintenant réservées aux entreprises avec salariés."Nous avons décidé que tous les indépendants, tous les entrepreneurs qui n'ont pas de salarié, qui se sont vu refuser un prêt garanti par l'État et qui ne peuvent pas payer leur loyer pourront avoir accès au deuxième étage de ce fonds de solidarité", a déclaré M. Le Maire au micro de France Inter.Il a ajouté que les très petites entreprises pourront donc bénéficier de "jusqu'à 5.000 euros pour payer leur loyer". Bercy a précisé à l'AFP que cette mesure était réservée aux entreprises fermées sur décision administrative.Le "premier étage" du fonds est constitué d'une aide pouvant aller jusqu'à 1.500 euros par mois pour les entreprises dont le chiffre d'affaires a chuté d'au moins 50% durant le confinement, le "deuxième étage" étant réservé aux entreprises menacées de faillite.Bruno Le Maire a rappelé que "les grandes foncières se sont engagées à annuler les loyers sur trois mois pour toutes les très petites entreprises de moins de dix salariés".Le ministère de l'Économie a par ailleurs indiqué que le fonds de solidarité serait désormais ouvert aux entrepreneurs qui cumulent une petite retraite avec leur activité, jusqu'à concurrence de 1.500 euros mensuels pour l'ensemble de leurs revenus.Bruno Le Maire a confirmé que le fonds ne s'arrêterait pas au 11 mai, mais au 31 mai, et qu'il serait prolongé en juin pour les entreprises dont les activités seraient encore à l'arrêt comme les cafés, les restaurants ou l'évènementiel."Le 11 mai, tous les commerces doivent reprendre leur activité et ils continueront à bénéficier d'un soutien financier de l'État", a assuré M. Le Maire, qui a reconnu qu'il "y aura des faillites" dans les commerces et les très petites entreprises malgré les aides publiques.
Il y a 5 ans et 0 jours

Le contournement de Strasbourg doit reprendre son cours le 11 mai

Vinci a programmé lundi 11 mai la relance du chantier autoroutier de plus de 500 millions d’euros, au stade où il s’était arrêté il y a près de deux mois. Il consacre les prochains jours à la finalisation des mesures de protection.
Il y a 5 ans et 0 jours

SPIE réalise l'infrastructure électrotechnique de la nouvelle usine d'Harmonic Drive SE

L'acteur européen indépendant des services multi-techniques dans les domaines de l'énergie et des communications a ainsi réalisé en 18 mois l'installation complète de l'ensemble des systèmes énergétiques et électriques, des dispositifs de protection incendie et des systèmes d'éclairage. SPIE a équipé l'usine sans interrompre l'activité grâce à des solutions provisoires, permettant d'assurer la continuité de la production.Des services complets dans le domaine du génie électriqueFace à la situation du marché et à l'augmentation des ventes, l'extension de ce site de production était devenue une nécessité pour Harmonic Drive SE. Pour des raisons de temps, l'entreprise a décidé de rénover un bâtiment existant. Thorsten Schunk, responsable de l'équipe génie électrique chez SPIE Pulte, l'unité chargée de la mise en œuvre et de l'exécution du projet, explique : « Les exigences techniques pour cet environnement de production étaient donc très strictes et devaient garantir la fabrication de précision des réducteurs et servomoteurs de notre client. »Sur les 6.000 m² environ de l'usine, SPIE a installé un nouveau système haute tension, un système d'alarme anti-intrusion et incendie, un système complet de rails d'alimentation électrique, un poste basse tension, de nouveaux transformateurs et un poste moyenne tension. Par ailleurs, l'installation de brise-soleil orientables était particulièrement importante pour éviter la pénétration de chaleur dans l'usine. Thorsten Schunk précise : « Lors de la fabrication de réducteurs et de servomoteurs, il faut éviter les variations de température pour prévenir les écarts de qualité. Les systèmes à lames et les brise-soleils automatiques que nous avons installés permettent de limiter le rayonnement solaire et viennent ainsi compléter le système de climatisation des locaux pour garantir une température optimale et constante dans l'atelier de production. »Une plus grande efficacité énergétiqueLe fournisseur de services multi-techniques a également installé un système d'éclairage LED économe en énergie dans l'atelier de production. « Aujourd'hui, la basse consommation fait partie des critères de qualité d'un système d'éclairage. L'utilisation de lampes LED a considérablement amélioré l'efficacité de l'éclairage. De fait, les lampes LED consomment cinq fois moins d'électricité que les systèmes d'éclairage classiques, pour une durée de vie nettement plus longue », souligne Thorsten Schunk. Des concepts d'éclairage complets comprenant différents groupes de commutateurs réglables et contrôlables indépendamment les uns des autres, et un usage intelligent de la lumière naturelle favorise une consommation d'énergie responsable.Hautes performances et collaboration fluideAutre défi pour le fournisseur de services multi-techniques : réaliser les travaux d'installation sans interrompre l'activité de production. Une planification et une gestion de projet rigoureuses ont été des facteurs décisifs dans la réussite des opérations. Pour permettre à Harmonic Drive SE de poursuivre sa production sans perturbation, SPIE a conçu des solutions provisoires complètes qui ont permis d'alimenter les différentes zones d'installation. « Grâce à une étroite collaboration avec les planificateurs et Harmonic Drive SE, SPIE a respecté le calendrier. La production a ainsi pu investir les nouveaux locaux à la date prévue », explique Björn Kempf, chef de projet chez Harmonic Drive SE. « La fluidité de notre collaboration avec SPIE, avec qui nous avions déjà travaillé sur un projet de modernisation des installations électriques de notre première usine, et son expertise technique ont contribué au succès de cette nouvelle collaboration. Nous sommes heureux de pouvoir compter sur SPIE comme un partenaire de confiance. »
Il y a 5 ans et 0 jours

"La crise actuelle peut être une opportunité pour rénover le parc public"

ENTRETIEN. Philippe Pelletier, président du Plan bâtiment durable, explique à Batiactu de quelle manière la crise que traverse le secteur peut constituer une opportunité pour la rénovation énergétique du parc public.
Il y a 5 ans et 0 jours

"80 à 84 % des chantiers réactivés d’ici fin mai", Jean-Charles Robin, président de Spie batignolles

Alors que le reprise d'activité dans le BTP se précise en ce mois de mai, le président de Spie batignolles, Jean-Charles Robin, explore les freins qui restent encore à lever et appelle de ses voeux un plan de relance ambitieux.
Il y a 5 ans et 0 jours

Blocs isolants bas carbone : une réponse au label E+C- et à la RE 2020

Sachant que le grand changement, par rapport à la Réglementation Thermique (RT) 2012, porte sur la prise en compte des émissions carbone du bâtiment durant tout son cycle de vie.Pour la filière béton, comme pour les autres matériaux, l’enjeu est donc d’intégrer une nouvelle exigence réglementaire liée à l’empreinte carbone des bâtiments, tout en veillant à l’application des autres réglementations auxquelles un projet doit répondre. Les blocs isolants FABTHERM® du Groupe Fabemi, acteur majeur du marché des produits béton, sont 100% naturels et recyclables. Ils contribuent à réduire l’empreinte carbone des bâtiments (de 4 à 8 % par rapport aux autres solutions constructives), permettant ainsi de réaliser des ouvrages E+C-, et anticipent les exigences de la prochaine RE 2020.L'objectif étant également de combiner béton bas carbone et économie circulaire, les 450 mises en chantiers effectuées depuis le lancement des blocs isolants FABTHERM® (résidentiel, ERP et bâtiments industriels), soit environ 250 000 m² de blocs, ont été réalisées dans le Grand Sud-Est, à proximité des usines de production du Groupe Fabemi.Construire E+C- avec du béton bas carboneLes trois principaux axes de recherche Fabemi – réduire l’impact environnemental de ses blocs, apporter une réponse à une réglementation thermique de plus en plus exigeante et assurer une meilleure isolation des parois – ont débouché sur le développement des blocs béton FABTHERM®. Traditionnellement fabriqués sans cuisson et produits localement, ce qui permet de réduire leur impact environnemental, les blocs FABTHERM® AIR 0.6, 1.1 et 1.8 et FABTHERM® ÉCO sont 100 % naturels et recyclables. Ils revendiquent de hautes performances thermiques, tout en affichant un impact environnemental des plus faibles dans leur catégorie. En lançant ces produits, Fabemi démontre sa capacité d’innovation et son engagement dans une démarche d’éco-conception et d’écologie industrielle.De la fabrication à la fin de vie, l’empreinte carbone des blocs Fabemi est réduite grâce à une production locale (impact du transport très faible) et à un procédé de fabricationsans cuisson. Les blocs sont produits avec des agrégats provenant de carrières situées à proximité des usines Fabemi, séchés naturellement, et utilisés sur des chantiers proches des unités de production.De plus, les blocs isolants FABTHERM® Fabemi, 100% recyclables, n’ont pas besoin d’être triés à l’issue de la déconstruction, les déchets gravats n’appelant aucune manipulation particulière. Après la démolition des bâtiments, ils deviennent ainsi des déchets « inertes ».Enfin, les blocs isolants FABTHERM® disposent de Fiches de Déclarations Environnementales et Sanitaires (FDES). Des données vérifiées et disponibles sur INIES, qui permettent de calculer la contribution des produits à l’impact environnemental du bâtiment à construire.Blocs isolants bas carbone FABTHERM® AIR FabemiDeux à huit fois plus isolants que des blocs traditionnels, les blocs de 20 cm de large FABTHERM® AIR 0.6, 1.1 et 1.8, à base d’agrégats légers ou courants, intègrent une âme en mousse 100% minérale AIRiumTM qui renforce leurs capacités isolantes. Ils affichent ainsi des résistances thermiques exceptionnelles pour cette largeur de bloc qui permettent de répondre à tous les besoins (logements collectifs, maisons individuelles et bâtiments tertiaires) et au cahier des charges des murs isolants hautement performants. Cette mousse minérale isolante permet de construire et d’isoler en même temps sans impacter le poids carbone de la façade, ce qui procure un gain de temps sur le chantier et un gain de surface habitable. Les blocs FABTHERM® AIR Fabemi profitent de nombreuses qualités (performances acoustiques, essais feu et sismique), de fiches FDES vérifiées (base INIES) et d’un Avis technique (FABTHERM® AIR 1.1 et 1.8) pour répondre à toutes les exigeances techniques des opérations de construction.• Sous Avis Technique (N° 16/19-773_V1), le bloc isolant à coller FABTHERM® AIR 1.1 Fabemi affiche une résistance thermique de R = 1,12 m².K/W. Cinq fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 1.1 conjugue résistance mécanique, au feu, et performances acoustiques et environnementales. Il est idéal pour les logements collectifs jusqu’à R+4.Les +FDES vérifiée (base INIES) : 15,6 kg eq. CO2/m²100 % naturel et recyclableConforme Eurocode 8 – toutes zones sismiquesRésistance au feu REI : 120 min avec un doublage collé traditionnelJusqu’à R+4Fabrication française• Sous Avis technique (N° 16/19-772_V1), le bloc isolant à coller FABTHERM® AIR 1.8 Fabemi présente une résistance thermique de R = 1,77 m².K/W. Huit fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 1.8 permet de réduire l’épaisseur des doublages intérieurs et de maîtriser l’impact environnemental de la façade. Il est idéal pour le petit collectif jusqu’à R+3.Les + FDES vérifiée (base INIES) : 23,6 kg eq. CO2/m²100 % naturel et recyclableConforme Eurocode 8 – toutes zones sismiquesRésistance au feu REI : 90 min avec un doublage collé traditionnelJusqu’à R+3Fabrication française• Innovation brevetée Fabemi, le bloc isolant à maçonner FABTHERM® AIR 0.6 présente une résistance thermique de R = 0,58 m².K/W. Deux fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 0.6 est le seul bloc isolant 100 % minéral à poser maçonné. Il est idéal pour le petit collectif jusqu’à R+2.Les + Mode de pose mortier / maçonnerFDES vérifiée (base INIES) : 15,6 kg eq. CO2/m²100 % naturel et recyclableConforme Eurocode 8 – toutes zones sismiquesRésistance au feu REI : 120 minJusqu’à R+2 Fabrication françaiseBloc isolant bas carbone FABTHERM® ÉCO FabemiLe bloc creux isolant à coller FABTHERM® ÉCO Fabemi présente une résistance thermique de R = 0,51 m².K/W. Deux fois plus isolant qu’un bloc traditionnel grâce à sa géométrie, le FABTHERM® ÉCO répond aux besoins architecturaux, thermiques et économiques du marché de la construction. Idéal pour les maisons individuelles groupées ou le petit collectif jusqu’à R+2, ses performances thermiques permettent de conserver un mode constructif traditionnel béton.Les + FDES vérifiée (base INIES) : 11,7 kg eq. CO2/m²100 % naturel et recyclableConforme Eurocode 8 – toutes zones sismiquesRésistance au feu REI : 120 minJusqu’à R+2Fabrication françaisePour en savoir plus :https://www.fabemi-structures.com/
Il y a 5 ans et 0 jours

LCA-FFB se renforce sur l'aménagement foncier en recrutant Yann Le Corfec

Âgé de 45 ans, Yann Le Corfec était depuis 2016 Directeur Juridique de l'Union Nationale des Aménageurs (UNAM, ex-SNAL dont il était le responsable juridique depuis 2004), qu'il représentait auprès des pouvoirs publics et de nombreuses instances du secteur, en particulier le Réseau National des Aménageurs.Diplômé de deux masters juridiques (urbanisme et construction, droit public économique) et du certificat d'aptitude à la profession d'avocat, le nouveau Délégué à l'Aménagement et au Foncier de LCA-FFB a débuté sa carrière en cabinet d'avocats. Depuis plus de 10 ans, il enseigne le droit de l'urbanisme et l'aménagement opérationnel à l'École Supérieure des Professions Immobilières.« Nous sommes très heureux d'accueillir Yann Le Corfec, une personnalité reconnue dans notre secteur. Son haut niveau d'expertise constituera un atout indéniable pour notre Union et nos adhérents, qui sont nombreux à développer une activité d'aménagement foncier, en propre ou en complément de leurs activités immobilières. Constructeurs, promoteurs, aménageurs, tous nos adhérents sont concernés par les problématiques transversales liées au foncier, à l'aménagement et à l'urbanisme. Ce recrutement confirme notre ambition de peser encore davantage sur ces sujets stratégiques et renforce notre vocation à rassembler, accompagner et représenter l'ensemble des acteurs de la maîtrise d'ouvrage privée du logement et de l'habitat », se réjouit Grégory Monod, Président de LCA-FFB.
Il y a 5 ans et 0 jours

Carmen Mariscal : Chez Nous

Le 12 mars, l’artiste mexicaine Carmen Marisca installait son œuvre « Chez Nous » place du Palais-Royal à Paris (1er arrondissement). Comment pouvait-elle prédire que, cinq jours après, la France entière serait, elle aussi, condamnée à rester « chez elle » ? Retour sur une œuvre prémonitoire dont le sens a évolué avec son temps. Dressée dans l’espace public, une maison de trois mètres de haut offre une seconde vie aux grilles du pont de l’Archevêché, connu pour accueillir les cadenas gravés des touristes amoureux. Une œuvre poétique qui invitait au départ à la réflexion sur les liens entre amour et foyer. Aujourd’hui campant dans le paysage désert de la capitale, l’installation monumentale prend un tout nouveau sens et devient, malgré elle, le symbole d’un confinement national inédit.Pensée il y a six ans pour prendre place en plein coeur de Paris et être admirée par la foule de gens qui s’y pressent, « Chez Nous » vit dans les faits à un tout autre rythme. Celui d’une capitale plus lente, mais aussi plus contemplative. Point de touristes croisant rapidement la maison sur le chemin du Louvre, mais des Parisiens heureux de leur marche quotidienne et ravis de pouvoir réfléchir un instant sur le travail de la plasticienne mexicaine. Mais si la demeure fictive est devenue un des symboles du confinement, son message premier reste malheureusement d’actualité. « Quand ils ont annoncé le confinement, je me suis dit que ça allait être encore plus catastrophique pour toutes ces femmes et ces enfants qui sont enfermés avec leurs bourreaux » confie l’artiste. Car si le fait de rester chez soi apparaît comme une pause bienvenue pour un grand nombre d’entre nous, ne pas pouvoir s’échapper d’un environnement violent reste une réalité à ne pas négliger. Un combat cher à l’artiste qui a d’ailleurs lancé une campagne d’appel au dons pour soutenir deux associations, Aurore – une organisation française –, et Espacio Mujeres – une structure mexicaine.Une œuvre plus complexe qu’il n’y paraît.Pour en savoir plus, visitez le site de Carmen MarsicaPhotographies : DR Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 0 jours

Covid-19, ventilation et climatisation, quels sont les risques ?

Avant la reprise du travail le 11 Mai, voici une approche rationnelle des installations de ventilation et de climatisations tertiaires face au risque de propagation du virus du Covid-19.
Il y a 5 ans et 0 jours

Testo partage son expertise dans son nouveau webinar : « contrôle d’accès aux sites industriels et aux ERP, quels sont les bons outils de mesure de température pour garantir la sécurité de vos employés ? »

La crise du Covid-19 a métamorphosé l’organisation de toutes les entreprises françaises. Elles doivent dès aujourd’hui anticiper la sortie de confinement et préparer leur Plan de Reprise d’Activité tout en garantissant la sécurité de leurs salariés. Avec son nouveau webinar gratuit consacré à la présentation des outils de mesure de température des personnes, Testo, spécialiste des appareils de mesure, met son expertise technique au service de toutes les entreprises. L’objectif : les informer et les aider à mettre en place les solutions de mesure infrarouge les plus pertinentes pour contrôler les accès aux sites industriels et aux ERP et détecter les personnes fiévreuses. Webinar testo : 30 minutes d’informations et d’échanges en ligne Animé deux fois par semaine par Philippe Guérin, expert de la thermographie infrarouge Testo, le webinar gratuit dédié aux outils de mesure de température des personnes s’adresse aux responsables sécurité des entreprises de tous secteurs (industrie, agro-alimentaire, restauration, BTP, gestionnaires, …). S’appuyant sur une présentation extrêmement didactique, il aborde en 30 minutes : • Le principe du rayonnement infrarouge : tous les corps émettent un rayonnement, les outils de mesure tels que les thermomètres infrarouge et les caméras thermiques analysent ces rayonnements. • Les différences de fonctionnement entre les thermomètres infrarouge et les caméras thermiques : Le thermomètre infrarouge réceptionne le rayonnement du corps qu’il a en face de lui. Il focalise les ondes infrarouge qu’il perçoit et les oriente vers un capteur qui transforme cette énergie en signal électrique. Celui-ci est ensuite converti en valeur de température. La qualité d’un thermomètre infrarouge est liée à l’optique qui permet d’obtenir des indications de rapport de cible exprimant une moyenne de température sur une surface. Plus le rapport est élevé, plus la cible de mesure est petite. Plus on s’éloigne de la cible, plus la surface de mesure est grande et moins elle est précise. La mesure de température doit donc être effectuée au niveau du front de la personne, sans lunette, à une distance de 50 cm par un agent de sécurité muni d’équipements de protection. La caméra thermique est munie de capteurs qui réceptionnent les rayonnements du corps et les convertissent en valeur électrique et ensuite en valeur de température. Chaque pixel correspond à une moyenne de température mesurée. La résolution de l’image et donc la précision de la caméra dépendent du nombre de pixels. La mesure de la température s’effectue au creux de l’œil, surface où l’échange thermique est le plus intéressant à prendre en compte. Grâce à ces caractéristiques, la caméra thermique permet de faire des mesures plus précises, de contrôler simultanément un plus grand nombre de personnes, et à une plus grande distance que le thermomètre infrarouge. La détection d’une personne fiévreuse est donc plus facile à constater. Selon les modèles de caméras thermiques, comme par exemple la testo 890, une alarme est déclenchée automatiquement si la valeur de température détectée est supérieure à la consigne enregistrée. L’image peut être déportée sur un écran d’ordinateur ou une tablette afin de sécuriser encore plus l’agent de contrôle. • La présentation de ses différentes gammes de thermomètres infrarouge comme testo 830 et les caméras thermiques telles que testo 872 et testo 890 ayant la particularité de signaler les personnes fiévreuses par bip sonore. Le webinar se conclut par un tchat de questions/ réponses. Un module de formation en ligne pour en savoir plus En complément de ce webinar, Testo propose une formation en ligne pour tous les opérateurs et utilisateurs qui souhaitent approfondir leurs connaissances techniques sur ce sujet. D’une durée de 2 heures, il fait le point sur les techniques utilisées, détaille les consignes d’utilisation afin de ne pas commettre d’erreurs d’interprétation et met en avant les préconisations d’utilisation d’un thermomètre infrarouge et d’une caméra thermique destinés à la mesure de la température corporelle. A l’issue de la formation, un guide de bonne pratique est adressé à chaque participant. L’inscription à ce module se fait sur le site internet de testo : www.testo.fr Webinar et module de formation en ligne, testo reste au plus proche des entreprises pour les aider à assurer la sécurité de leurs salariés et réussir la reprise de leur activité avec des outils de mesure fiables et de qualité. http://www.testo.fr
Il y a 5 ans et 0 jours

Covid : Nexity perd son directeur général et modifie sa gouvernance

Le Directeur général de Nexity, Jean-Philippe Ruggieri (photo), est décédé du Covid-19, a annoncé le groupe immobilier. Alain Dinin occupera les postes de président et de directeur général de la société.
Il y a 5 ans et 0 jours

Thermador finalise une acquisition malgré la crise sanitaire

Le montant de la transaction s'élève à 7 millions d'euros, payés "cash" et financés par emprunt bancaire "à un taux fixe très compétitif", selon un communiqué publié jeudi.Basé à Saint-James (Manche), Thermacome emploie 32 salariés et a réalisé l'an dernier 19,4 millions d'euros de ventes.Son activité est complémentaire de PBtub, une des filiales de Thermador, avec lequel des synergies commerciales et opérationnelles vont être mises en place "dans un délai raisonnable".C'était jusqu'alors une filiale du producteur coopératif de câbles Acome, avec lequel un partenariat industriel va être maintenu.
Il y a 5 ans et 0 jours

Relance : de nouveaux bailleurs s'engagent à construire

LOGEMENT SOCIAL. Après CDC Habitat et In'li, plusieurs bailleurs ont annoncé, fin avril, vouloir "participer à la relance" de l'économie, en lançant la construiction de logements supplémentaires. Il s'agit de l'office public Hauts-de-Seine Habitat et du groupement d'ESH Habitat en Régions.
Il y a 5 ans et 0 jours

Le risque de burn-out guette les artisans du BTP

D’après la sixième édition du baromètre Arti santé BTP, 6 % des artisans du secteur étaient concernés par le burn-out en 2019, contre 5 % en 2018. Dans un contexte de crise sanitaire, et compte tenu du lien entre la santé du dirigeant et celle de son entreprise, la Capeb propose un partenariat de soutien avec le réseau du Centre d’information sur la prévention des difficultés des entreprises (CIP).
Il y a 5 ans et 0 jours

Covid-19 : les syndicats vont travailler sur des consignes pour encadrer le télétravail

Lors de cet échange de près de deux heures et demie entre Édouard Philippe et les partenaires sociaux, "on a été nombreux à demander qu'il y ait une discussion et quelques clarifications sur le télétravail"."Le Premier ministre l'a reconnu aussi, parce que dans les endroits où il y a eu des accords de télétravail ça se passe bien, dans toutes les autres boîtes, ça pose beaucoup de questions. L'application et la mise en place du télétravail interroge beaucoup", a-t-il ajouté."L'idée qui a été retenue aujourd'hui - on va voir la réponse de la ministre du Travail mardi (lors d'une visioconférence, NDLR) - c'est dans un premier temps, dans un délai de 15 jours, sortir des clarifications, ou des grandes lignes, ou des consignes fortes, pour parer aux problématiques urgentes", a-t-il détaillé."Dans un deuxième temps, les partenaires sociaux vont peut-être continuer sur des négociations pour arriver à un accord interprofessionnel", a-t-il ajouté.Comme on lui demandait si tous les partenaires sociaux étaient sur la même ligne, il a répondu: "Il n'y a pas eu de réactions négatives".De son côté, Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT, a estimé nécessaire ce travail sur "les bonnes pratiques sur le télétravail".Interrogé par l'AFP sur les modalités de la réflexion, il a répondu : "on n'a pas défini encore".En outre, il a assuré avoir eu une réponse positive de la part de Muriel Pénicaud lors de cette réunion sur la mise en place d'un "comité d'experts en sciences sociales", qui plancherait notamment sur les problématiques psychologiques liées au confinement. La composition de ce comité pourrait être annoncée "la semaine prochaine", "ce serait une bonne chose", a-t-il ajouté.Cette semaine, les numéros un de FO et de la CFE-CGC avaient également appelé à des règles plus claires entourant le télétravail."Ce que l'on a fait depuis six semaines, ce n'est pas du télétravail, c'est la continuation de l'activité à domicile, une organisation volontairement dégradée face à la crise", a expliqué lundi dans l'Humanité François Hommeril, le président de la CFE-CGC."Le télétravail est codifié, ses conditions de mise en place sont précises. Se retrouver avec son ordinateur dans la cuisine, avec les enfants qui couinent, ce n'est pas du télétravail", a-t-il ajouté.Yves Veyrier, le secrétaire général de FO, avait dit mercredi sur l'émission en ligne Ecorama que "le télétravail tel qu'il a été mis en place n'a pas été du tout préparé, négocié". "On avait de longue date demandé une négociation au niveau interprofessionnel sur le télétravail, y compris en y intégrant le droit à la déconnexion", a-t-il ajouté.Jeudi sur BFMTV, Philippe Martinez est allé dans le même sens."On n'est pas dans une situation véritable de télétravail", a-t-il estimé. "Le télétravail c'est travailler à la maison sans avoir des enfants à s'occuper", a relevé le leader de la CGT."Cela nécessite des réponses, sur le droit à la déconnexion, sur qui prend en charge les surcoûts quand il n'y a pas d'accord d'entreprise", a ajouté Philippe Martinez.
Il y a 5 ans et 0 jours

Covid-19 : La chute du PIB "alerte" sur la "violence du choc économique" selon Bruno Le Maire

"Le plus dur est devant nous", a prévenu le ministre lors d'une audition par les commissions des affaires économiques et du développement durable de l'Assemblée nationale, avertissant qu'à partir du déconfinement le 11 mai, une période s'ouvrait "où nous verrions des faillites et des destructions d'emplois"."Nous avons eu un premier temps de cette crise où nous avons amorti le choc (...). Il y a un deuxième temps de la crise: celui dans lequel nous allons rentrer à partir du 11 mai est un temps de transition", a-t-il ajouté.Durant ce temps, "nous allons voir des entreprises (...) confrontées à des problèmes de solvabilité. C'est une période où nous verrons des faillites et des destructions d'emplois et je préfère le dire avec beaucoup de clarté", a encore estimé le ministre.Selon l'Institut national de la statistique, l'économie française s'est contractée de 5,8% au premier trimestre, pénalisée par le début du confinement le 17 mars pour endiguer l'épidémie de Covid-19.Le gouvernement table sur un recul du PIB de 8% sur l'ensemble de l'année.Mercredi, Bruno Le Maire avait déjà appelé un "maximum de Français" à reprendre le travail, "dans les meilleures conditions possibles" de sécurité pour les salariés à partir du 11 mai afin de faire repartir l'économie.Un "troisième temps" viendra ensuite, dans lequel la France devra définir un nouveau modèle économique, a indiqué M. Le Maire devant les députés, défendant notamment une "accélération" de la transition écologique pour que la France soit "la première économie décarbonée en Europe".
Il y a 5 ans et 0 jours

Dans l'incertitude, Geberit se refuse à des prévisions 2020

RESULTATS. Le groupe suisse spécialisé dans les sanitaires, Geberit, a annoncé qu'il ne se risquerait pas à des prévisions pour l'année 2020 en raison de la crise sanitaire du covid-19. Concernant le premier trimestre 2020, il a livré ses résultats. Détails.
Il y a 5 ans et 0 jours

Arcade lance la suite logicielle Massia

Logiciel Arcade Massia-Laboratoire et application Massia Labo Mobilité sur Android. [©Arcade] S’il est un secteur qui évolue à vitesse grand V, c’est bien celui de l’informatique. La loi de Moore – du nom du fondateur de la société Intel – dit d’ailleurs que la capacité des microprocesseurs voit leur capacité doubler tous les 18 mois environ… Alice Ladet est responsable commerciale international d’Arcade. [©Arcade] Basée à Saint-Thibéry, dans l’Hérault, la société Arcade est éditrice de progiciels, depuis sa création par Guillaume Cordel. Wil et Icare constituent les deux solutions historiques de la marque et qui ont fait son succès. Il n’en demeure pas moins que les progrès de l’informatique sont passés par là. Et l’éditeur se devait de changer de modèle en refondant l’existant. De ce cahier des charges est né Massia, une solution web modulable et évolutive destinée aux professionnels de la production, de la mise en œuvre et du traitement des matériaux de construction. En même temps, la notion de suite logicielle a fait son entrée. « Massia est beaucoup plus intuitive et ergonomique que nos solutions historiques. Et très simple à prendre en main, explique Alice Ladet, responsable commerciale international d’Arcade. Surtout, son paramétrage peut être poussé beaucoup plus loin. Son évolutivité est aussi garantie dans le temps. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 0 jours

Une lente réouverture des chantiers

INFOGRAPHIE. BTP consultants a publié le 2 mai la 5e édition de sa météo hebdomadaire des chantiers, qui permet de mesurer l'évolution de la relance dans le BTP. La relance se poursuit, toujours à petits pas.
Il y a 5 ans et 0 jours

Le Gouvernement prolonge le report des charges sociales et fiscales pour mai

ÉCONOMIE. Les ministres de Bercy ont indiqué que le report du paiement des charges sociales sera prolongé en mai. En outre, le fonds de solidarité devrait prochainement prendre en charge les loyers des indépendants n'ayant pas de salariés et n'étant pas éligibles aux Prêts garantis par l'Etat.
Il y a 5 ans et 0 jours

Les règles du déconfinement se précisent pour les entreprises

Selon un "protocole national de déconfinement", basé sur des critères "universels" et diffusé dimanche par le ministère du Travail, confirmant une information du JDD, les mesures imposées "nécessitent un travail de réflexion préalable, conduit dans un cadre concerté afin de garantir leur faisabilité".Si les entreprises, commerces et établissements accueillant du public veulent faire revenir leurs salariés à partir du 11 mai, ils doivent en premier lieu prévoir l'instauration d'un espace minimum de 4 m2 par salarié, avec une gestion des flux et des sens de circulation pour éviter les croisements.Cette règle s'applique également aux espaces communs, dont les ascenseurs, où ne pourront donc pas monter plus d'un ou deux salariés à la fois."Lorsque, et seulement lorsque, certaines situations (en principe réduites au maximum par application des mesures collectives) comportent un risque non maitrisable de rupture accidentelle de cette distanciation (...), des mesures complémentaires comme le port du masque +grand public+ sont à mettre en place", précise le ministère.Les locaux et poignées de portes devront être désinfectés quotidiennement, voire plusieurs fois par jour. Les portillons de sécurité seront condamnés ou du gel hydroalcoolique proposé à proximité, les marquages au sol pour organiser la circulation sont recommandés.Les locaux fermés doivent être aérés 15 minutes trois fois par jour.La prise de température, jugée trop intrusive, ne pourra en revanche pas être imposée aux salariés. Même chose pour les campagnes de dépistage du coronavirus, qui ne pourront pas être obligatoires, selon le ministère.En cas de non respect de ces mesures, communes à toutes les entreprises et associations, quels que soient leur taille, leur lieu d'implantation et leur secteur d'activité, les employeurs engageront leur responsabilité civile et pénale."Nous devons accompagner toutes les entreprises pour que l'activité reprenne dans des conditions garantissant la santé et la sécurité des salariés", a déclaré la ministre du Travail, Muriel Pénicaud dimanche dans un communiqué.Ces règles viennent "en complément" des guides déjà disponibles sur le site du ministère, qui détaillent les mesures d'hygiène et de distanciation sociale "métier par métier", a rappelé le ministère."Clarifications"L'annonce de ces mesures intervient alors que les organisations patronales ont multiplié ces derniers jours les appels à la "clarification" sur les conditions du redémarrage, mettant en garde contre "l'insécurité juridique" qui pèse sur les entreprises.Dans un courrier commun adressé ce week-end à Mme Pénicaud, le Medef, la CPME, l'U2P et la FNSEA se sont ainsi dits prêts "à assumer l'obligation de moyens qui est la leur" tout en mettant en garde contre d'"éventuelles dérives"."Il est impératif de limiter et clarifier le périmètre de cette obligation pour éviter d'éventuelles mises en cause de la responsabilité civile et pénale de l'employeur qui a fait diligence", ont insisté les syndicats patronaux.Reconnaissant que l'entreprise devait "faire tout son possible pour limiter la contagion", ils se sont inquiété que "le cadre ordinaire de l'obligation de sécurité" soit "manifestement inadapté".En présentant mardi son plan de déconfinement, le Premier ministre Édouard Philippe a appelé "avec insistance" toutes les entreprises à maintenir autant que possible le télétravail pour leurs salariés, "au moins dans les trois prochaines semaines".Il doit "être la règle chaque fois qu'il peut être mis en œuvre", insiste le ministère dimanche dans son protocole.Le chef du gouvernement avait appelé pour les autres au dialogue social, "une condition impérative" pour "permettre le retour au travail dans un cadre qui garantit la sécurité"."La reprise, tout le monde y aspire: les salariés, les chefs d'entreprise. La question, c'est de le faire dans des conditions de sécurité optimales", a jugé dimanche sur BFMTV le vice-président du Medef Fabrice Le Saché, plaidant pour une approche au "cas par cas".Les syndicats ont déjà prévenu qu'ils seraient particulièrement attentifs aux mesures sanitaires mises en place par les employeurs, évoquant le cas échéant de possibles droits de retrait individuels de salariés, voire des appels à la grève.
Il y a 5 ans et 1 jours

"Achitecte élu local" appelle à la création d'une commission sur le logement

PENSER L'APRÈS-COVID 19. L'association "Architecte élu local" appelle dans un communiqué à la création d'une commission nationale représentative de tous les acteurs du logement pour penser l'après-crise, alors que le confinement a fait éclater au grand jour les inégalités et besoins du secteur.
Il y a 5 ans et 1 jours

La reprise des chantiers est-elle vraiment plus lente en France qu'ailleurs ?

ANALYSE. Le gouvernement français souhaite que la reprise des chantiers de BTP accélère, expliquant qu'ailleurs en Europe, la relance est beaucoup plus rapide. Dans les faits, la situation est très hétérogène à travers le continent, comme le souligne une enquête de la FNTP, mise à jour le 30 avril.
Il y a 5 ans et 1 jours

Comment le chantier du Campus Sud des métiers reprend du service

A Nice, l’activité reprend progressivement dans la Plaine du Var où, depuis le 20 avril, quarante-cinq ouvriers ont réinvesti le chantier du Campus Sud des métiers selon des procédures et mesures sanitaires mises en place par Fayat Bâtiment.
Il y a 5 ans et 1 jours

LCA-FFB recrute un Délégué National à l'Aménagement et au Foncier

CARNET-NOMINATION. LCA-FFB a annoncé ce lundi 4 mai renforcer son expertise et ses services sur l'aménagement foncier, avec le recrutement d'une personnalité de premier plan dans le secteur, au poste de Délégué National à l'Aménagement et au Foncier.
Il y a 5 ans et 1 jours

Covid-19 : réussir et conforter la reprise d'activité dans Le Bâtiment et les Travaux Publics

Dans toute la France, les chantiers reprennent progressivement. Avec l'ensemble de la filière, il est désormais essentiel de lever les derniers freins logistiques et de rechercher ensemble les solutions économiques favorables à une reprise plus durable. Depuis plusieurs semaines, la reprise s'organise. Le guide de l'OPPBTP a permis de mettre au point les protocoles sanitaires nécessaires à la réouverture en sécurité des chantiers et la concertation entre la maitrise d'ouvrage, la maitrise d'œuvre et les entreprises pour permettre de relancer progressivement l'activité. Cependant, des freins à une reprise plus large subsistent.Lever les derniers freins logistiques sur l'amont et l'aval de la filièreD'un point de vue logistique, l'approvisionnement en masques demeure encore problématique même si la situation s'améliore grâce à la mobilisation de l'outil de production local et à des initiatives comme celle du Conseil Régional avec une dotation de 100.000 masques destinée aux entreprises du BTP de moins de 20 salariés. Les lieux de distribution seront les Fédérations Départementales du BTP, les CAPEB départementales et la Fédération Régionale des Travaux Publics. L'approvisionnement, les raccordements provisoires de chantiers, l'ouverture des déchetteries restent également des points sur lesquels la filière se mobilise. Renforcer la concertation et la solidarité économiqueLes Organisations Professionnelles du Bâtiment et des Travaux Publics appellent également à la solidarité de la maitrise d'ouvrage pour faire face aux surcoûts de chantiers liés aux nouvelles contraintes imposées par la crise sanitaire. Devant être chiffrées au cas par cas, ces augmentations correspondant au respect des nouvelles préconisations sanitaires et à la réorganisation des chantiers (distanciation sociale, nettoyage des bases vie, achat de masques, de gants, rotations des camionnettes et VUL, mobilisation supplémentaire de personnels, prolongation des frais financiers, baisse de la productivité, etc.). Les entreprises ne pourront pas les absorber seules. Il est indispensable de renforcer cette solidarité, dont font preuve nombre de maitres d'ouvrage depuis la période de confinement, à l'image notamment de la Région Auvergne-Rhône-Alpes qui a annoncé une enveloppe de 15 millions d'euros dédiée aux surcoûts sanitaires de ses chantiers en cours.Soutenir la commande publique localeEnfin, concernant les freins administratifs, deux modifications de l'ordonnance qui prévoyait un gel des autorisations d'urbanisme à l'issue de la période de confinement ont été obtenues ; mais cette évolution demeurerait insuffisante si aucune consigne n'était donnée aux services instructeurs en vue d'accélérer les délais d'instruction. La situation appelle également à la levée des arrêtés municipaux interdisant les travaux pendant la période de confinement, comme il en est apparu dans notre région. Les Organisations Professionnelles appellent au soutien des EPCI et des collectivités et à la bienveillance des citoyens afin d'éviter un retard qui pénaliserait la reprise d'activité et l'emploi local.La crainte d'un essoufflement de la commande publique locale est en effet bien réelle et pourrait se produire au plus mauvais moment. Il est nécessaire de lancer de nouveaux projets pour éviter un « trou d'air », dès la fin de l'été, qui pourrait avoir de lourdes conséquences sur la santé économique de la filière.De ce fait, les Organisations Professionnelles souhaitent que dans les communes qui ont pu élire l'ensemble de leurs conseillers municipaux, l'installation et le fonctionnement des nouveaux Conseils (élection du Maire, désignation des commissions d'appels d'offre et travaux notamment, élection des délégués communautaires) puissent très rapidement être engagés afin de permettre les décisions de travaux nécessaires aux équipements publics. Dans le même objectif, une réflexion doit rapidement s'ouvrir sur le soutien de l'Etat à l'investissement des collectivités locales.Réactiver la commande privéeLa sécurité est une priorité pour les Organisations professionnelles et les entreprises du Bâtiment et des Travaux Publics. Celles qui le pouvaient ont pris les mesures urgentes et spécifiques pour assurer les conditions sanitaires nécessaires à la reprise des travaux. Les Organisations Professionnelles demandent donc aux particuliers qui ne sont pas à risques et aux entreprises d'ouvrir leur porte aux artisans et entreprises du BTP afin qu'ils terminent les travaux initiés ou qu'ils en engagent d'autres... Il en va de la santé économique du BTP et de ses emplois.
Il y a 5 ans et 1 jours

Thermador finalise le rachat de Thermacome

Le fabricant de matériel de plomberie vient d’acquérir pour 7 M€ la société Thermacom. Par ailleurs, il a annoncé à ses actionnaires une baisse de son activité au premier trimestre en raison de la crise sanitaire.
Il y a 5 ans et 1 jours

Augmentation des APL et baisse de la TVA : la relance selon la FOPH

LOGEMENT SOCIAL. La Fédération des offices publics de l'habitat (FOPH) entend participer à la relance de l'économie, pour peu que l'État mette la main à la poche. Les bailleurs pensent, dans ce cas, pouvoir augmenter massivement constructions et rénovations et ainsi, "contribuer à préserver les PME du bâtiment".
Il y a 5 ans et 1 jours

Le SERCE propose trois mesures pour réussir la transition énergétique du parc tertiaire

Parmi les recommandations et mesures concrètes déclinées dans cette étude, le SERCE considère que trois leviers sont particulièrement pertinents pour atteindre les objectifs de transition énergétique et climatique portés par la PPE et la SNBC, notamment en lien avec l'amélioration de la performance énergétique des bâtiments tertiaires.Ces leviers d'actions issus des retours d'expérience collectés auprès de ses adhérents depuis plusieurs années visent à permettre une déclinaison opérationnelle de la politique française à la hauteur de ses enjeux.1. Mesurer pour comprendre et maîtriser sa consommation énergétiqueL'étude recommande d'intégrer une obligation minimale d'équipement de suivi des consommations énergétiques qui offrira aux décideurs des outils fiables et pérennes de monitoring énergétique.Le SERCE estime que le sous-comptage des consommations énergétiques offre la possibilité d'auditer en continu les différents postes de consommation afin d'adopter une démarche d'efficacité énergétique personnalisée, agile et tangible.En associant un service d'Energy Management au matériel déployé, de nouveaux projets énergétiques verront le jour en lien avec le niveau de maturité du maître d'ouvrage sur le sujet : cartographie énergétique, qualification des actions de performance énergétique, plan d'actions…2. Proposer des démarches de rénovation énergétique assorties de garanties de performanceLa promotion du Contrat de Performance Énergétique (CPE) est plébiscitée par l'ensemble des acteurs de la filière électrique pour favoriser son recours, en particulier dans la mise en oeuvre du décret sur la rénovation des bâtiments tertiaires.En s'appuyant sur les solutions de comptage, les opérations d'amélioration de la performance énergétique des bâtiments peuvent intégrer un engagement réel et mesurable dans la durée, sous la forme d'un CPE qui peut favoriser la limitation de l'investissement initial.D'après le retour d'expérience de l'OCPE, les CPE “Travaux sur les systèmes” permettent d'atteindre en moyenne 20% d'économie d'énergie (jusqu'à 45% selon les cas) pour des montants d'investissements inférieurs à 200 € HT/m².Le SERCE appelle à la généralisation de ce type d'approche qui peut allier des garanties de performance environnementales portant notamment sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre.3. Accélérer la décentralisation du système électrique afin de pouvoir intégrer massivement les énergies renouvelables et gagner en efficacité.Si l'étude estime qu'il faut “Faciliter l'installation de solutions d'autoconsommation et de pilotage/stockage de l'énergie en levant les freins administratifs et réglementaires”, en annexe, la fiche thématique intitulée “Combiner production locale d'énergie et nouvelles mobilités” va plus loin en affirmant qu'il faut “réévaluer le seuil entre guichet et appel d'offres en cohérence avec les objectifs de la PPE afin de faciliter le déploiement de l'autoconsommation individuelle”.Très concrètement le SERCE demande l'augmentation du seuil de participation au guichet ouvert pour les installations photovoltaïques en autoconsommation en le passant de 100 à 500 kW, ce qui leur permettrait notamment de bénéficier d'un tarif d'achat pérenne sans passer par la procédure complexe des appels d'offres.En effet, les appels d'offres sont des procédures incertaines qui nécessitent d'avoir une année minimum de délai entre la phase de conception et celle de réalisation, ce qui est peu compatible avec les projets de rénovation énergétique réalisés par les entreprises du SERCE.
Il y a 5 ans et 1 jours

Décès d'Olivier Cantrel, DGA de Spie batignolles immobilier

DISPARITION. Le directeur général adjoint en charge du résidentiel de Spie batignolles immobilier, Olivier Cantrel, est décédé, annonce le groupe ce lundi.
Il y a 5 ans et 1 jours

Ironhand, le gant bionique de Bioservo pour assister les opérateurs

L’innovation booste la prévention en apportant des solutions pour améliorer la santé et sécurité au travail. Ce gant robotisé augmente l'endurance des compagnons et prévient les troubles musculo-squelettiques.