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Il y a 3 ans et 323 jours

Palmarès du concours Les Génies de la construction

Les équipes d’élèves et d’étudiants des collèges, lycées et établissements du supérieur, encadrées par leur professeur, étaient réparties en quatre catégories (collège, pro, lycée, supérieur), pour réaliser un projet collectif et collaboratif de construction ou d’aménagement projeté vers un futur des territoires intelligents, durables et connectés, au travers des thématiques suivantes : le logement, la mobilité au sein des territoires et les déplacements, les activités humaines (culture, industrie, éducation, santé, commerce, agriculture, loisirs), la préservation de l’environnement, y compris la gestion de l’eau et des déchets, les énergies locales et renouvelables. Autant de sujets sur lesquels les élèves et étudiants étaient invités à travailler.Le concours, qui a pour objectif de mieux refléter la richesse et la diversité des métiers du bâtiment et des travaux publics dans toutes leurs dimensions, incarne les enjeux auxquels les acteurs de la construction et de l’aménagement du territoire doivent répondre, notamment en termes de transition numérique, technologique et environnementale. « Les Génies de la Construction ! » répondent aussi aux priorités du ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports et des professionnels de la construction, pour favoriser la promotion des voies de formation générale et professionnelle, qui sont toutes les deux des voies d’excellence et de réussite, et ainsi contribuer à une meilleure orientation scolaire et professionnelles des jeunes, donner du sens et concrétiser les enseignements.Une 17e édition « phygitale »La 17e édition des « Génies de la Construction ! » s’est de nouveau adaptée avec agilité au contexte de crise sanitaire liée à la Covid-19, avec la mise en place d’un dispositif exceptionnel, pour permettre aux équipes inscrites dans le concours d’aller au bout de leur projet.Afin de remplacer l’habituelle soutenance des projets devant un jury, à l’occasion d’une finale organisée en présentiel, les équipes projets ont été invitées à réaliser une vidéo de présentation de leur projet. Les dossiers ont été déposés sur une plateforme dédiée, afin que les jurys des différentes catégories du concours puissent évaluer les travaux à distance et sélectionner parmi les projets les lauréats du concours. Pour la deuxième année consécutive, des open badges ont été attribués aux lauréats et participants des catégories « lycée » et « sup ». Ces images numériques, qui fournissent un système d’accréditation, permettent de reconnaître des réalisations et des compétences, formelles ou informelles, acquises à l’occasion d’un projet. Pour les organisateurs du concours, il était important de promouvoir et de reconnaître l’engagement des jeunes dans les projets qu’ils ont conduits. 3.000 élèves engagés dans le concoursPour cette 17e édition du concours et malgré un contexte de crise sanitaire, 22 académies ont participé. Au total, ce sont 3 000 élèves et étudiants concernés, avec 104 classes dans 57 collèges, 15 lycées, 9 SEGPA et 23 équipes dans le supérieur.Comme à chacune des éditions, les projets ont été appréciés sur leur créativité, leur faisabilité et l’interdisciplinarité, ainsi que sur leur capacité à se transposer sous une forme réalisable pour être appliqués concrètement et sur leur aptitude à répondre aux problématiques suscitées par l’évolution des territoires.Le palmarès : huit projets lauréatsPrix catégorie « Collège »Le mot du jury : « Les projets étaient particulièrement variés et aboutis. Certaines équipes ont travaillé à distance, malgré les contraintes matérielles liées à la réalisation de maquettes réelles. La richesse des projets présentés repose sur une interdisciplinarité remarquable, ainsi que sur l’intervention de professionnels du BTP. Ces derniers ont permis aux élèves d’avoir une meilleure connaissance des métiers et des solutions techniques mises en œuvre aujourd’hui. »1er prix : collège Capouchine (Nîmes, 30) | Académie de MontpellierProjet « La maison bioclimatique »Le projet a été mené à la suite de la visite d’un lieu de vie alternatif. Il présente l’optimisation de l’espace pour une maison, comprenant trois chambres et une grande pièce de vie, en l’adaptant au climat méditerranéen pour avoir un très faible besoin en énergie et en s’appuyant sur différents systèmes bioclimatiques. Les élèves ont fait appel à une élève architecte, au responsable d’Alter Éco et aux « petits débrouillards ». Le choix des solutions techniques et des matériaux mis en œuvre repose sur une démarche scientifique, qui a conduit à la réalisation d’une maquette en respectant les étapes de construction et à une modélisation 3D.2e prix : collège Pierre Hyacinthe Cazeaux (Morez, 39) | Académie de BesançonProjet « La restauration du château de Buclans »À partir d’une étude historique et littéraire du château de Buclans (Jura), détruit par un incendie, ce projet en prévoit la restauration et la réhabilitation des locaux, en vue d’en faire, notamment, un lieu d’accueil d’une colonie et un espace culturel. Charpente, agencement, accessibilité, conception d’un escalier automatisé, gestion de l’éclairage et modélisation 3D ont été appréhendés par les élèves, en partie grâce à l’intervention de professionnels du bâtiment. L’exposé des élèves a entièrement été traduit en langue anglaise.3e prix : collège Joseph Julien Souhait (Saint-Dié-des-Vosges, 88) | Académie de NancyProjet « Le plan incliné d’Arzviller »À partir d’une étude historique et géographique, le besoin sociétal d’un plan incliné a été défini, ainsi que les fonctions auxquelles l’objet technique doit répondre. L’étude scientifique et mathématique a débouché sur la réalisation d’une maquette automatisée, intelligente et pilotée à distance, prenant notamment en compte les contraintes de fonctionnement et de sécurité.Prix catégorie « Pro » (Élèves de SEGPA, d’EREA et de 3e prépa pro)Le mot du jury :« Dans tous les projets présentés, la dimension interdisciplinaire apparaît nettement. De nombreuses solutions techniques présentes dans le secteur du bâtiment et des travaux publics ont été exploitées et mises en œuvre. »1er prix : collège Lubet Barbon (Saint-Pierre-du-Mont, 40) | Académie de BordeauxProjet « Extension d’un studio en éco-matériaux »Un petit studio a été réalisé il y a plusieurs années avec des matériaux adaptés pour l’époque. Le projet consiste à réaliser une extension, en s’appuyant sur l’éco-construction. C’est aussi l’occasion pour les élèves d’analyser l’ancienne construction, d’en identifier les points faibles et de découvrir plusieurs métiers et activités du champ professionnel « habitat », tout en étant acteurs de la réalisation de cette extension. Différents matériaux sont utilisés à bon escient et de nombreuses technologies actuelles du bâtiment sont abordées.Mention des « Meilleures interdisciplinarités et pédagogies »Collège Jean Moulin (Marseille, 13) | Académie Aix-MarseilleProjet « Réalisation d’une cabine téléphonique anglaise »Mention des « Meilleures dimensions chantier et environnementales »Collège de Grazailles (Carcassonne, 11) | Académie de MontpellierProjet « Projet KOKODO pour état d'urgence en cas de séisme »Prix catégorie « Lycée »Le mot du jury :« Les différentes équipes ont présenté des projets et des études particulièrement abouties. La thématique des territoires intelligents durables et connectés, ainsi que les enjeux sociétaux et environnementaux qui s’y réfèrent ont été très bien pris en compte. »1er prix : lycée Livet (Nantes, 44) | Académie de NantesProjet « Résidence étudiante »Le projet s’appuie sur la construction d’une résidence universitaire à partir de « containers » maritimes recyclés. De l’étude du problème sociétal de logement des étudiants à l’identification du terrain, ce projet a débouché sur la conception architecturale, les calculs de structure, les choix de matériaux, des simulations (notamment thermiques), ainsi que sur la modélisation de l’ensemble du projet. Les maquettes et simulations dévoilées sont en cours de réalisation voire de finalisation. La dernière étape, qui consiste au prototypage et à l’expérimentation sera menée, par la suite.2e prix : lycée Gustave Eiffel (Armentières, 59) | Académie de LilleProjet « Réhabilitation d’un château d’eau »À partir d’une contextualisation historique, ce projet concerne la réhabilitation du château d’eau du lycée, reposant sur la préservation de la ressource en eau. Les solutions de captage, filtrage, stockage et gestion de l’eau ont été envisagées, pour aboutir à la réalisation d’une maquette didactique fonctionnelle pilotée à distance.3e prix : lycée Saint-Nicolas (Paris, 75) | Académie de ParisProjet « Incubateur rue du Lac »Ce projet concerne la création d’un incubateur ou espace de co-working. Cet espace, prévu dans un immeuble neuf, occupe les deux derniers étages débouchant sur un toit terrasse. La fonctionnalité des espaces, l’étude des façades, la simulation thermique, le choix des matériaux et les solutions pour l’éclairage ont permis la réalisation d’une maquette immotique.Mention de la « Meilleure démarche pédagogique »Lycée Aragon Picasso (Givors, 69) | Académie de LyonPrix catégorie « Sup »(Étudiants de l’enseignement supérieur : STS, IUT, université, écoles d’ingénieur, écoles d’architecture...)Le mot du jury : « Les trois projets primés répondent parfaitement aux attendus du concours : mixité, interdisciplinarité, prise en compte de problématiques environnementales liées aux enjeux de la construction et de l’aménagement des territoires. Chacune des équipes primées a su réaliser un travail collaboratif dans une approche professionnelle, avec l’utilisation d’outils numériques maîtrisés et mettant en jeux des compétences pluridisciplinaires, qui ont permis de justifier les solutions constructives proposées. »1er prix ex aequo : université Cergy (Cergy, 95) | Académie de VersaillesProjet « Bâtiment à usage aéronautique »Le projet est celui d’un bâtiment à usage aéronautique, dont la conception porte sur deux grands halls, l’un destiné au stockage de pièces, le second à l’assemblage d’avions légers, complétés par un étage de bureaux. La recherche architecturale originale a été traduite par une maquette numérique a donné lieu à une étude structurelle, complétée par un phasage des travaux détaillé ainsi qu’une simulation thermique dynamique. Le projet est articulé autour de deux axes principaux : le développement durable avec la contrainte d’auto-suffisance du bâtiment et l’innovation avec l’utilisation au maximum du BIM.1er prix ex aequo : université Technologie Compiègne (Compiègne, 60) | Académie d’AmiensProjet « Smart ville »Le projet s'appuie sur le déploiement du « Métrocâble » à Grenoble, intégrant la notion de durabilité, de connectivité et d’intelligence. Il comprend une gare avec un réaménagement des voies de circulation, dont la création d'une piste cyclable, des quais multimodaux pour bus et tramways, un parking relais, des bassins végétalisés, un mobilier urbain (installations sportives, aires de jeux, « MétroVélo box »). La recherche documentaire, l’étude géotechnique, la modélisation, l’étude des matériaux et l’analyse de leur comportement mécanique ont été particulièrement appréciées. 3e prix : IUT Chambéry (Le Bourget-du-Lac, 73) | Académie de GrenobleProjet « Le prieuré de Bourget-du-Lac »Le projet a pour objectif la rénovation d’une des trois ailes du bâtiment du Prieuré du Bourget du Lac qui fut construit au Moyen-Âge. À partir de la réalisation de scans 3D de l'intérieur du bâtiment et de l’assemblage des nuages de points, un modèle numérique a été obtenu. C’est à partir de ce modèle que les plans nécessaires au permis de construire ont été réalisés. L’étude structurelle a permis la détermination des charges et la prise en compte des actions climatiques. L’étude thermique a permis une analyse au regard de la RT 2012. L’accès aux PMR a été envisagé. Cet ensemble se complète par la production de documents exploitables dans la perspective de travaux futurs envisagés par la Municipalité.Mention de la « Meilleure implication de l’établissement »IUT Belfort Montbéliard (Belfort, 90) | Académie de Besançon* Le concours Les Génies de la Construction ! est organisé en partenariat entre le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, l’EFB (fondation École Française du Béton (EFB), la FFB (Fédération française du bâtiment), la FNTP (Fédération nationale des travaux publics), le CCCA-BTP (Comité de concertation et de coordination de l’apprentissage du bâtiment et des travaux publics) et en coopération avec l’ASCO-TP (Association pour la connaissance des travaux publics), ainsi qu’avec l’ASSETEC (Association nationale pour l’enseignement de la technologie), l’APMBTP (Association des professeurs des métiers du bâtiment et des travaux publics) et l’AUGC (Association universitaire de génie civil).
Il y a 3 ans et 324 jours

Pourquoi Macron pourrait revenir à la réforme des retraites

Un oui de principe"La question n'est pas si, mais quand", a récemment déclaré le chef de l'Etat en Conseil des ministres. Depuis plusieurs semaines, il prépare l'opinion. Début juin, dans le Lot, il a prévenu qu'il devrait prendre "des décisions difficiles" cet été pour que la dernière année du quinquennat soit "utile". "Une réforme des retraites est indispensable", a-t-il répété lundi devant des grands patrons.Pourquoi ?Argument économique : le système est déficitaire, avec un besoin de financement de 7 à 10 milliards d'euros par an. Argument systémique: il faut que les Français travaillent "progressivement plus longtemps", a répété l'ancien Premier ministre Edouard Philippe. Argument politique : si Emmanuel Macron parvenait à faire voter une réforme des retraites avant l'élection présidentielle de 2022, "il mettrait dans la nasse une partie de la droite qui a souhaité cette réforme" et "on pourra dire qu'il aura pris son risque", ajoute un cadre de la macronie.Quelle réforme ?Avant 2020, Emmanuel Macron prônait une refonte totale, avec un passage à un système à points, et s'opposait au simple relèvement de l'âge de départ. Cette fois, c'est plutôt le contraire. Une hausse de l'âge de départ, préconisée haut et fort par le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, est envisagée, possiblement à 64 ans, selon un conseiller de l'exécutif. Pour la rendre acceptable, elle pourrait être accompagnée d'un coup de pouce aux petites retraites, aux personnes ayant eu une carrière hachée, notamment les femmes, ou ayant commencé à travailler très jeunes. La suppression des régimes spéciaux, mesure qui selon l'exécutif fait consensus dans l'opinion, reste au programme.Le système à points, pourtant promesse de campagne, semble lui enterré. "Il était tellement juste que les grands gagnants n'y comprenaient rien et les grands perdants étaient déjà dans la rue", résume amèrement un proche du président.Avant 2022 ?Si à l'Eysée on indique que rien n'est tranché, de plus en plus de voix dans la majorité prennent position en faveur d'une action dès cette année. "Je crois que le président souhaite engager le pays dès maintenant dans l'après Covid", glisse un conseiller. Quelles annonces ?Le chef de l'Etat compte s'exprimer d'ici le 14 juillet, selon le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal. Mais ce dernier a aussi averti que toute réforme des retraites dépendrait de la situation épidémique, menacée par le variant Delta. Le chef de l'Etat pourrait donc choisir d'annoncer en juillet le principe et le cap d'une réforme, quitte à renvoyer à septembre pour ses modalités, le temps d'examiner l'évolution estivale des courbes du Covid, estime un conseiller.Quels obstacles ?Tous les syndicats, y compris la CFDT initialement favorable à une refonte du système, ont mis en garde l'exécutif contre l'adoption d'une telle réforme avant 2022, dans une économie encore convalescente. Même le Medef, partisan d'un relèvement de l'âge de départ à 64 ans, estime qu'il faut repousser son application après la présidentielle, de peur de déclencher des mouvements sociaux qui entraveraient la relance. "Pour faire cette réforme, il faut un capital politique", a déclaré son président Geoffroy Roux de Bézieux. Même avis chez certains responsables de la majorité, notamment la patron du MoDem François Bayrou ou encore le président de l'Assemblée Richard Ferrand qui souhaite "un débat présidentiel là-dessus" et pointe la précarité de la reprise. Quant à Jean Castex, favorable en privé à un relèvement de l'âge de départ, il ne serait selon plusieurs sources "guère allant" sur l'idée de précipiter le calendrier. Quel soutien des Français ? Interrogé sur le sujet, Gabriel Attal a fait valoir que "le constat de la nécessité d'une réforme est partagé, y compris par les partenaires sociaux", au vu des prévisions de déficit du système. Si un sondage Opinionway pour Les Echos paru mi-juin confirme ce sentiment (69% des personnes interrogées la juge nécesaire), 55% des Français estiment que ce gouvernement ne doit pas engager de mesures et attendre la présidentielle.
Il y a 3 ans et 325 jours

M Connect, vos échanges avec le Groupe Millet à portée de main

Conscient que le temps est précieux pour chacun et encore plus pour ses partenaires commerciaux, la société toujours en prise avec son époque, a lancé M Connect, une application pensée pour faciliter la vie de ses clients. Une solution utile, facile et globale pour leur permettre de piloter leur activité à chaque instant.Millet dans votre pocheÀ l’écoute de ses clients, le Groupe Millet réfléchit sans cesse à des solutions qui puissent faciliter la gestion de leur activité.Conscient que nous vivons aujourd’hui dans un monde où l’immédiateté de l’information est primordiale, le groupe a décidé de développer en interne un programme numérique qui permet à ses partenaires de suivre en temps réel leurs relations commerciales avec la société.C’est ainsi qu’est née M Connect, une application téléchargeable sur Android et iOS. Désormais, votre business avec le Groupe Millet se trouve à portée de main et de clic 24 h/24 et 7j/7. Plus besoin de téléphoner pour demander un devis, se renseigner de l’état d’avancement d’une commande, déclencher un SAV... Toutes ces informations sont disponibles en temps réel grâce à M Connect.M Connect : une application utile, facile, globaleM Connect, l’application UTILE.Grâce à elle, l’utilisateur pilote son business depuis son portable ou sa tablette, où il veut, quand il veut. Devis, factures, commandes, SAV, toute la relation d’une entreprise avec le Groupe Millet se retrouve compilée en une seule application. Renseignés en permanence sur les livraisons à venir, les professionnels de la menuiserie peuvent planifier leur activité, organiser leurs chantiers, rassurer leurs clients sur la progression de leur projet.M Connect, l’application FACILE.Pensée pour simplifier la vie de son utilisateur, M Connect possède une interface ergonomique. Ainsi il est possible d’accéder rapidement et aisément à l’information voulue via un module de recherche simple et intuitif. Le programme rappelle également aux professionnels les échéances en cours : livraison, devis en attente de signature, interventions...M Connect, l’application GLOBALE.M Connect est une solution complète qui au-delà de permettre de suivre l’état d’avancement d’une commande, d’un SAV, donne la faculté aux clients du Groupe Millet d’avoir une vision à 360° de sa relation avec l’entreprise. Ainsi l’utilisateur peut avoir un accès illimité et immédiat à tous les services du groupe, du commerce à la logistique en passant par la production. Il peut également obtenir d’autres informations précises sur l’ensemble de ses activités avec Millet : CA, encours clients, avoirs, taux de qualité, prélèvements à venir...Pour plus d'information, consultez le site du Groupe Millet
Il y a 3 ans et 325 jours

Enduit façade sans biocides

En développant une technologie basée sur des principes physiques et non plus chimiques,  Weber a imaginé un enduit de finition respectueux de l’environnement, facile d’application et durable. weber maxilin silco aquabalance offre une résistance accrue aux encrassements microbiologiques et ralentit notablement la croissance des algues et autres champignons, pour une esthétique des façades naturellement propre, préservée et pérenne, en excluant toutes substances biocides, traditionnellement présentes dans les solutions de protection avec base siloxane. C’est un produit en pâte prêt à l’emploi, pouvant être appliqué sur maçonneries enduites traditionnelles, et sur tous les systèmes d’isolation thermique weberthermen XM. Son grain est taloché et il offre un choix de 252 teintes du nuancier Weber éclat organique (y compris celles de la gamme Ultime Color destinées aux façades ensoleillées). Il est fabriqué en France à Servas (01).
Il y a 3 ans et 326 jours

Qualit'EnR fête ses 15 ans et dresse un bilan de la demande en énergies renouvelables dans le bâtiment

La crise sanitaire a profondément accéléré la demande des consommateurs en faveur des solutions à énergies renouvelables pour le chauffage, l’électricité et la production d’eau chaude. Alors que les acteurs de la filière et les consommateurs ont besoin de construire une relation fondée sur la confiance et le savoir-faire, Qualit’EnR publie une nouvelle version de son annuaire des installateurs qualifiés et œuvre pour améliorer les compétences du secteur en développant les référentiels des programmes de formation et en multipliant les audits des installations.15.600 installateurs qualifiés et une demande en forte croissanceDepuis 2 ans, Qualit’EnR enregistre une très forte augmentation des demandes de qualification de lapart des installateurs : +31 %. En 2020, l’organisme de qualification a traité plus de 27.000 demandes, recevant jusqu’à 880 dossiers par semaine.« L’explosion de la demande est notable même si Qualit’EnR enregistre des hausses successives depuis 8 ans. Aujourd’hui, alors que d’un point de vue général les demandes de qualification connaissent un certain recul, les qualifications RGE, et particulièrement celles spécifiques aux énergies renouvelables, se développent. Qualit’EnR est fier de porter une offre de qualité pour les professionnels RGE engagés dans le développement des EnR », explique Teddy Puaud, DéléguéGénéral de Qualit’EnR.Dans le détail, « L’évolution des demandes de qualification RGE suit naturellement l’évolution du marché et les clients favorisent les installations éligibles aux subventions. Nous suivons de près les attentes des consommateurs et les demandes de la filière. Pour cette raison, nous lançons 2nouvelles qualifications : Ventilation + en juin, dédiée aux installations de ventilation mécanique etRecharge Elec + en juillet, consacrée à l’installation d’infrastructures de recharge pour véhicules électriques hors-résidentiel », détaille Teddy Puaud.Aujourd’hui, Qualit’EnR fédère 15.600 installateurs qualifiés et compte plus de 26.000 qualifications actives, toutes certifiées RGE. « En termes de parts de marché, cette « communauté » positionneQualit'EnR comme le leader français des organismes de qualification sur les énergies renouvelables dans l’habitat », conclut Teddy Puaud.Qualit'EnR, engagé sur la qualité des installationsDepuis 15 ans, Qualit'EnR fait bouger les lignes de l’EnR et des critères RGE en élaborant, avec des experts de chaque filière, les référentiels de formation proposés aux installateurs via des organismes partenaires. À ce jour, près de 90.000 stagiaires ont été formés dans une logique de terrain et sur la base de référentiels spécifiques aux énergies renouvelables et au bâtiment, redéfinis tous les ans par l’association et son réseau d’experts.« Pour nous, c’est une grande fierté que ces stages puissent être proposés de façon uniforme partout en France car la formation constitue le point d’entrée d’une filière qui gagne en compétence », exprime Maxence Olivard, Ingénieur du pôle formation Qualit’EnR.En parallèle, Qualit'EnR a réalisé près de 50.000 audits d’installations via des organismes de contrôles partenaires. Depuis janvier 2021, la cadence s’est accélérée puisque le gouvernement et les professionnels ont défini 6 domaines de travaux dits « critiques » dans lesquels les contrôles des entreprises RGE sont désormais renforcés. En chiffres, Qualit’EnR devrait réaliser 9.000 audits d’installations en 2021 contre 5.400 en 2020. « Ces audits ont aussi une vocation pédagogique pourles installateurs qui souhaitent améliorer leurs pratiques. Avec eux, nous travaillons dans une logiquede partenariat depuis longtemps », détaille Thomas Fourmessol, Directeur technique chez Qualit’EnR.Un annuaire référence pour les consommateursL’annuaire recensant les installateurs qualifiés Qualit’EnR vient de faire peau neuve. Dédié à un usage grand public et pensé pour le consommateur qui souhaite trouver un professionnel de confiance près de chez lui en quelques clics, cet annuaire est accessible depuis le site internet deQualit’EnR.Simple, l’utilisateur est d’abord invité à renseigner le type de travaux qu’il veut effectuer (chaudière, PAC, eau chaude, installation électrique…). Il indique ensuite le numéro de son département et obtient instantanément la liste des installateurs qualifiés proches de chez lui répondant à son besoin.L’annuaire est également enrichi d’une photothèque des installations réalisées par les installateurs RGE qualifiés chez Qualit’EnR.
Il y a 3 ans et 326 jours

Prison avec sursis pour avoir loué des appartements dans un immeuble en péril

Le tribunal correctionnel a également prononcé contre Abdelfateh Benhalilou, 61 ans, une amende de 10.000 euros et une interdiction d'acheter un bien en vue de le louer pendant 5 ans.La SARL Marseille Molière, appartenant à M. Benhalilou et à ses proches, propriétaire de cet immeuble situé place de l'Opéra en plein centre-ville, a été condamnée à 150.000 euros d'amende, un montant retenu, a expliqué la présidente du tribunal Marie-Pierre Attali, au regard des 138.232 euros de loyers "perçus illégalement" de juillet 2017 à novembre 2019.Le tribunal a en revanche écarté la confiscation de cet immeuble, une mesure que la loi rend normalement obligatoire. Cette dérogation a été prise "en raison des travaux réalisés" qui avaient permis la levée du péril en mai.Dans l'immeuble, les appartements avaient été rénovés mais le risque d'effondrement de l'escalier avait conduit, en avril 2017, la mairie de Marseille à faire évacuer l'immeuble en urgence et à interdire toute occupation.Les appartements avaient été proposés sur une plateforme de location entre particuliers dès le mois de novembre 2017, après la mise en place d'étaiements et quelques travaux insuffisants. L'instruction avait estimé que 2.301 clients étaient passés dans cet immeuble, avec 1.213 nuitées réservées sur la plateforme de location. "C'est comme si pendant deux ans et demi, il avait joué à la roulette russe, à la roulette marseillaise", avait lancé le procureur Jean-Yves Lourgouilloux qui avait requis quatre mois de prison ferme à purger sous bracelet électronique et une amende de 80.000 euros contre la SARL.A l'audience, le 15 juin, Abdelfateh Benhalilou avait avoué avoir loué pour avoir les moyens de financer les travaux. "C'était pour le réhabiliter, pas pour aller au restaurant", s'était-il défendu, reconnaissant "un acte irrégulier sans en mesurer les conséquences".En dépit de l'effondrement, le 5 novembre 2018, de deux immeubles rue d'Aubagne, à quelques centaines de mètres, entraînant la mort de huit occupants, M. Benhaliou avait continué à louer jusqu'en novembre 2019, époque à laquelle le quotidien La Marseillaise avait révélé les faits.Condamné pour l'infraction d'"utilisation de mauvaise foi d'un local malgré une interdiction administrative", les deux prévenus ont été relaxés pour la mise en danger d'autrui, les deux infractions faisant double emploi, a précisé le tribunal.
Il y a 3 ans et 327 jours

Chronique du Geek – Les applications de juin 2021 : spécial voyage

En ce mois de juin, le Geek se détourne de l’architecture et passe en « mode estival » pour proposer à tous une sélection d’applications mobiles destinées à vous aider à passer de belles vacances.  L’addition partagée Splid Éditeur : Nicolas Jersch   Captures d’écrans   Description Gestion de partage de dépenses L’application mobile Split […] L’article Chronique du Geek – Les applications de juin 2021 : spécial voyage est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 327 jours

Otis dévoile une nouvelle génération d’ascenseurs connectés 100% digitalement intégrés

Otis lance mondialement les nouvelles solutions de mobilité Gen360 et Gen3. Elles embarquent nativement la solution IoT Otis ONETM, qui fournit en temps réel des informations sur l’état des équipements. Otis ONETM peut également apporter des scenarios prédictifs permettant une maintenance plus proactive – ainsi que la possibilité de réaliser des diagnostics et des interventions à distance.Otis Worldwide Corp. (NYSE:OTIS), leader mondial de la mobilité verticale, a annoncé aujourd’hui le lancement d’une nouvelle génération d’ascenseurs digitalement intégrés, à l’image du monde ultra-connecté d’aujourd’hui. Lors de l’évènement virtuel international Welcome to Tomorrow - qui a rassemblé clients, collaborateurs et acteurs de l’industrie de la mobilité, de plus d’une centaine de pays – Otis a ainsi présenté ses nouvelles solutions de mobilité Gen360TM et Gen3.En France, c’est l’écosystème Gen360 qui est proposé au marché. Il a été conçu pour répondre aux attentes actuelles et futures d’un monde de plus en plus connecté, celles des passagers, architectes, promoteurs immobiliers, en passant par les propriétaires et les gestionnaires de parcs.Il s’appuie sur les 20 ans d’expertise technologique et design développée sur de la gamme Gen2® à courroies plates pour amener de nouveaux standards en termes de sécurité, de performance et de confort.La solution IoT (Internet des Objets) Otis ONETM est nativement intégrée dans le Gen360TM. En collectant et en analysant les données transmises par les capteurs intelligents positionnées sur les ascenseurs, Otis ONE procure des données de performance en temps réel, un flux proactif d’informations et des aperçus prédictifs. La technologie Otis ONE permet également de résoudre de nombreux problèmes à distance et en toute sécurité. Grâce aux API (Application Programming Interface) intégrées au cloud, l’écosystème Gen360TM peut être connecté à d’autres systèmes de bâtiments intelligents, apportant ainsi une réelle valeur ajoutée aux gestionnaires de parcs et comme aux passagers.« L’ascenseur connecté représente l’avenir et incarne notre vision d’une mobilité urbaine intégrée et fluide » déclare Judy Marks, Présidente et CEO Monde d’Otis. « Il crée de la valeur pour nos clients en augmentant la disponibilité des équipements. Il améliore la productivité de nos propres équipes, et il s’intègre au cœur de l’écosystème de tout bâtiment intelligent. »Gen360 : l’ascenseur complètement réinventéL’écosystème Gen360, conçu autour d’une toute nouvelle architecture électronique, établit de nouveaux standards en matière d’expérience digitale et proactive. Ses technologies de pointe permettent d’améliorer le design, la sécurité, la maintenance, l’expérience et l’accompagnement.Avec l’écosystème Gen360, les architectes sont libres de concevoir des bâtiments avec des toits plats plus simples et plus attrayants, car il n’est plus nécessaire de prévoir d’édicule sur le toit ou d’espace refuge en haut de gaine. Une plateforme pliable, encastrée dans le plafond de la cabine, permet en effet d’effectuer la plupart des opérations de maintenance en toute sécurité depuis l’intérieur de la cabine et non plus sur le toit de celle-ci.De nombreux composants mécaniques de sécurité ont été remplacés par une technologie électronique « drive by wire », inspirée des industries automobile et aérospatiale, permettant une surveillance à distance 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Ceci permet d’augmenter la fiabilité globale de l’équipement et de libérer de l’espace dans la gaine pour accueillir des cabines plus grandes. La nouvelle architecture électronique réduit également de manière significative les risques d’immobilisation. Dans de nombreux cas, le nouveau système de sécurité électronique est capable de ramener en douceur la cabine à l’étage le plus proche.L’écosystème Gen360 utilise des capteurs sophistiqués pour détecter et prévenir les incidents potentiels, ce qui permet de réduire au minimum les temps d’immobilisation. Les experts d’Otis accèdent à une vue directe à 360° en gaine pour diagnostiquer visuellement et précisément et résoudre de nombreux problèmes à distance sans interrompre le service.L’écosystème Gen360 embarque également un nouvel écran eViewTM plus grand qui permet une connexion vidéo avec le centre d’assistance Otis Line (en plus de la connexion vocale). Il propose des ambiances sonores immersives exclusives qui agrandissent la perception de l’espace, des nouvelles signalisations palières primées et plus de 400 000 combinaisons de design intérieur – ainsi qu’une suite d’outils en ligne pour un accompagnement complet des projets, de la conception au service en passant par l’intégration d’API.Conçu pour les bâtiments résidentiels et commerciaux, neufs ou anciens, l’écosystème Gen360 est actuellement déjà en service dans six pays européens. Il est disponible en Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, France, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Royaume-Uni et Suisse. Gen3 est disponible en Amérique du Nord, en Australie, en Chine et dans d’autres régions d’Asie.
Il y a 3 ans et 327 jours

Les règles actuelles d'indemnisation de l'assurance chômage prolongées jusqu'à fin septembre

Le document, transmis jeudi soir aux partenaires sociaux, "a pour objet de tirer les conséquences de la décision" du Conseil d'Etat qui a suspendu mardi les dispositions "relatives aux nouvelles modalités de calcul de l'allocation d'aide au retour à l'emploi" dans le cadre de la réforme controversée de l'assurance chômage, indique le ministère du Travail."Afin de permettre le calcul de l'allocation des salariés privés d'emploi à compter du 1er juillet 2021, le décret maintient jusqu'au 30 septembre 2021 l'application des dispositions correspondantes de la convention d'assurance chômage du 14 avril 2017", indique le ministère dans la fiche de présentation du décret.Sitôt la décision du Conseil d'Etat annoncée, la ministre du Travail Elisabeth Borne avait fait savoir qu'elle comptait publier "en urgence" un tel décret pour que les règles actuelles puissent continuer à s'appliquer "au-delà du 1er juillet".Saisie par les syndicats, la plus haute juridiction administrative a jugé que "les incertitudes sur la situation économique ne permettent pas de mettre en place" les nouvelles règles prévues par la réforme, "qui sont censées favoriser la stabilité de l'emploi en rendant moins favorable l'indemnisation du chômage des salariés ayant alterné contrats courts et inactivité".Le ministère du Travail assure que "l'ambition du gouvernement reste inchangée", et fait valoir que le Conseil d'Etat ne "remet pas en cause le principe de la réforme", alors que les recours "au fond" des syndicats seront jugés "d'ici quelques mois", selon la juridiction administrative.Arguant que l'activité repart, Mme Borne a affirmé que le gouvernement compte s'efforcer de "rassurer davantage sur la situation économique sur le marché de l'emploi, et comment donc on peut répondre aux inquiétudes" du Conseil d'Etat et "chercher le meilleur chemin pour une mise en oeuvre rapide de la réforme". Le gouvernement a fait savoir qu'il préciserait prochainement "les modalités d'une mise en oeuvre rapide de la réforme", sans plus de précisions à ce stade."L'objectif, c'est qu'elle s'applique dans les prochains mois", "avant la fin de l'année", a affirmé mercredi sur BFM le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal.
Il y a 3 ans et 328 jours

RE2020 : vers une procédure Titre V systèmes inapplicable ?

La dernière version du projet de texte détaillant la procédure Titre V pour la RE2020 inquiète fortement les professionnels qui demandent à la Direction de l’habitat de l’urbanisme et des paysages une concertation en urgence. Rappelons que la procédure dite « Titre V » ouvre des possibilités d’agrément complémentaire afin d’intégrer les spécificités d’un système innovant dans les modes de calcul liés à la Réglementation environnementale.Afin de préparer la RE2020, un groupe dédié de quinze experts (le GE 14) s’était déjà penché sur le sujet de la prise en compte des innovations et, à partir des retours d’expérience de la RE2012, avait soulevé un certain nombre de critiques, mais surtout avait avancé des propositions dont le texte qui se profile ne tient pas compte.Un alourdissement procédural trop importantPremier sujet d’inquiétude la faisabilité de la nouvelle procédure. Le texte semble indiquer qu’il serait nécessaire de fournir une déclaration environnementale pour les innovations. S’il est évidemment essentiel de justifier de l’impact environnemental de l’ensemble d’une solution, en revanche l’exigence d’une déclaration environnementale ( PEP) pour chaque innovation reviendrait, de fait, à empêcher leur prise en compte dans la RE2020. Cela serait encore plus problématique pour les équipements (grands pourvoyeurs de Titre V), pour lesquels un grand nombre de PEP sont issus de démarches collective s concernant des produits types. Sur ce point, le groupe d’experts GE14 avait proposé plusieurs pistes dont le recours à des données environnementales par défaut.Des délais et des coûts supplémentaires considérablesAutre sujet d’inquiétude la nouvelle procédure ajoute par rapport à la RE2012 une exigence « d’au moins 10 projets de construction », soit 10 Titres V Opérations pour obtenir un Titre V Système. Cette exigence alourdit considérablement le processus en temps et en coûts, sans parler de sa discutable pertinence. En effet, la réalisation de 10 Titres V Opérations et leur exploitation prendraient au minimum 4 ans, à ajouter au délai de traitement du Titre V Système (en moyenne 15 mois selon le GE14). Ce risque est d’autant plus important qu’il est question d’instaurer un monopole de l’analyse et de la gestion des dossiers de demande de Titres V au profit d’un seul opérateur. Ce monopole ajouterait un risque de manque de réactivité et de transparence. Là encore, parmi les propositions du GE14 figuraient la reprise des Titres V de la RE2012 dans la RE2020, ainsi que la possibilité d’obtenir un Titre V a priori, à valider dans les mois suivant la mise en œuvre. Les huit organisations* signataires d’un courrier à la Direction de l’habitat de l’urbanisme et des paysages participent depuis toujours à l’élaboration des RT et accompagnent leur application sur le terrain. Elles ont très largement contribué à l’élaboration de la RE2020. Aujourd’hui, elles demandent expressément que le texte ne soit pas publié en l’état et qu’une concertation soit lancée sur la base des propositions du GE14.* AICVF ; AIMCC ; CINOV INGENIERIE ; Effinergie ; FIEEC ; IGNES ; SER ; Uniclima
Il y a 3 ans et 329 jours

Que faut-il savoir sur les travaux de charpente?

La charpente figure parmi les éléments fondamentaux d’une construction. Au même titre que la maçonnerie, elle assure la solidité de votre logement. Comme elle supporte la toiture, cet élément protège également la maison des aléas climatiques et météorologiques. Dans cet article, nous abordons les points à savoir sur l’importance des travaux de charpente. Qu’est-ce qu’une charpente de toiture? La charpente est la structure qui forme le squelette d’une toiture. L’ensemble des éléments qui composent celle-ci (couvertures, isolants, Velux, cheminée, etc.) reposent sur celle-ci. Traditionnellement, on utilise le bois pour la fabriquer. Aujourd’hui, d’autres matériaux comme le béton et le métal sont utilisés pour construire les charpentes. Par ailleurs, on distingue principalement trois sortes de charpentes. D’une part, il y a la charpente traditionnelle qui est la plus répandue. Elle est construite avec du bois massif, en l’occurrence du bois d’épicéa, de pin Douglas ou de châtaignier. Cette charpente est faite sur mesure. Elle est appréciée pour sa solidité et sa résistance au feu. Elle permet également l’aménagement des combles. D’autre part, il y a la charpente à fermettes ou charpente industrielle. Elle est conçue à partir de bois préfabriqués. Il s’agit d’une charpente standard dont l’assemblage se fait exclusivement en usine. Peu coûteuse, elle est prisée pour sa légèreté et la facilité de son montage. Malgré cela, sa mise en place empêche l’aménagement des combles. Enfin, il y a la charpente plate. Elle est dédiée aux toitures plates qui présentent une inclinaison de 2 ° à 15 °. Elle offre une esthétique particulière et permet l’aménagement d’une terrasse accessible. Pour choisir judicieusement votre charpente, vous pouvez vous fier aux conseils d’un professionnel. Quels sont les différents types de travaux de charpente ? Pour l’exécution de nos travaux de charpente, l’idéal est de faire appel à un professionnel comme cet artisan couvreur charpentier dans l’Yonne sur ce site . En effet, ils peuvent impliquer la réalisation d’opérations de différente nature. Les travaux de charpente peuvent se matérialiser par : L’installation de la charpente Il s’agit d’une opération délicate qui nécessite l’intervention de plusieurs professionnels. Elle doit être réalisée en respectant certaines normes. Pour permettre l’écoulement des eaux de pluie, il faut par exemple que la charpente soit suffisamment inclinée. La rénovation de la charpente Elle est entreprise lorsque la charpente vieillit ou lorsqu’elle se retrouve dans un état délabré. Les travaux de rénovation sont réalisés tous les 20 ou 30 ans. Ils impliquent soit le remplacement et/ou la réparation des pièces défectueuses de la charpente, soit le remplacement radical de cet élément. À cet effet, la rénovation peut être totale ou partielle. Le traitement de la charpente Avant son montage, la charpente en bois subit des traitements spécifiques pour la préserver de l’humidité et des insectes xylophages. Au bout d’un certain moment, les effets de ces traitements s’estompent. Pour éviter les dégâts que peuvent occasionner les insectes ravageurs, il importe de les renouveler. La modification de la charpente On peut recourir aux services d’un charpentier si l’on désire modifier notre charpente. Cette modification est entreprise généralement en cas d’aménagement des combles, de création d’une ouverture sur le toit ou de surélévation de toiture.
Il y a 3 ans et 331 jours

RE2020 dans le tertiaire : le SNFA en "gestion de crise aiguë" avec l'Etat

MODE CONSTRUCTIF EXCLU. Le syndicat national de la construction des fenêtres, façades et activités associées (SNFA) est en pourparlers intenses avec l'administration au sujet de l'application de la réglementation environnementale 2020 (RE2020) dans les bâtiments tertiaires.
Il y a 3 ans et 331 jours

Anoxa, le spécialiste des solutions d'accès sécurisés, devient le premier fabricant français certifié

Les échelles fixes doivent notamment être conçues, équipées et installées de manière à prévenir les chutes de hauteur. En pratique, cela suppose l'utilisation d'échelles fixes à crinoline.Le Code du Travail met aussi l'accent sur l'importance d'utiliser du matériel de qualité et un assemblage solide, permettant une utilisation adaptée de l'équipement d'un point de vue ergonomique (source).L'objectif est de permettre un accès en toute sécurité au personnel professionnel (maintenance d'exécution, exploitation) aux bâtiments industriels, installations industrielles, locaux et terrasses techniques, etc.Mais pour les industriels et les entreprises du BTP, il n'est pas toujours évident de faire le bon choix : comment s'assurer que l'équipement installé est réellement fiable à tous les niveaux (matériel utilisé, soudure, revêtement, protection contre la corrosion...) ? En théorie, les constructeurs de structures en acier doivent répondre à la norme EN 1090 mais en réalité peu d'entreprises sont conformes à cette obligation.Dans ce contexte et pour répondre aux légitimes exigences de qualité de ses clients, la PME normande ANOXA , spécialisée en fabrication d’accès en hauteur et matériels de chantier métalliques, devient le premier fabricant français à obtenir la certification NF EN 1090-2 pour ses échelles à crinoline en acier.Une garantie qui répond aux enjeux de sécurité du personnelEn France, les constructeurs de structures en acier doivent répondre à la norme EN 1090 mais peu d'entreprises sont conformes à cette obligation. Il s'agit d'une norme qui a pour but d’harmoniser les différentes règles en matière de fabrication et de commercialisation des constructions en acier et en aluminium entre les différents pays de l’UE.Dans le cadre de cette certification, ANOXA a également validé la norme EN ISO 3834 et obtenu 52 qualifications en soudure en intégrant la qualité dans son processus de soudage par fusion.Ces démarches ont nécessité des adaptations importantes dans l'entreprise pour chaque étape, de la conception à la livraison de ses échelles.Philippe FAUSSER, le Directeur, souligne : En dehors du respect de la réglementation, valider cette certification nous permet de rassurer nos clients, de structurer l'entreprise et nous ouvre l'accès à d'autres marchés tout en constituant un réel avantage concurrentiel. Nous entamons d'ailleurs aujourd'hui le même travail sur l'aluminium et l'inox.Un projet qui a impliqué l'ensemble des services de l'entrepriseLa démarche de certification a nécessité 1 an de travail et la mobilisation de toutes les équipes d'ANOXA.Pour coordonner ce projet ambitieux, il y a eu un comité de pilotage constitué de :Philippe, Directeur d'activité ;Sophie, Responsable qualité ;Yann, Responsable industriel ;Florian, Responsable supply chain ;Antoine, Ingénieur matériaux ;Philippe, Responsable atelier.De jeunes ingénieurs stagiaires ont également été associés à ce travail.L'échelle à crinoline : accéder sans risques à tous les lieux en hauteurLes échelles à crinoline peuvent être utilisées pour accéder aux toitures et aux terrasses par l'extérieur ou par une trappe intérieure, constituer un accès de secours (ex : accès pompiers), descendre dans les conduits et les cheminées, accéder aux machines/silos/cuves/ citernes, ou encore se rendre sur des passerelles, paliers et niveaux intermédiaires.ANOXA propose des modèles conformes au minimum aux normes NF E 85-016 et NF EN ISO 14122-4 qui offrent de réels avantages :4 matières au choixÉchelles à crinoline aluminium, acier galvanisé, inox 304L et inox 316L tenues en stock. La couleur de l'échelle à crinoline peut être personnalisée.Montage facile La notice de pose détaillée permet une mise en oeuvre rapide des éléments livrés en kit. Pré-montage en option.Made in NormandieLes échelles à crinoline aluminium, acier et inox d'ANOXA sont entièrement fabriquées dans ses ateliers.Devis et plan coté en quelques clicsANOXA dispose d'un configurateur qui permet à ses clients de créer leur échelle en crinoline sur mesure en quelques clics (dimensions, sorties, changement de volée et paliers...). Les clients reçoivent alors immédiatement leur devis détaillé, plan coté et plan 3D sur mesure. Le service commercial est également à leur écoute pour leur fournir un devis sous 24h.
Il y a 3 ans et 332 jours

Eqiom lance l’application DigiBéton

L’application mobile Digibéton est téléchargeable par les clients Eqiom depuis Android et Apple. [©Eqiom] Spécialiste des matériaux de construction, Eqiom conforte sa stratégie digitale et lance sa nouvelle application mobile DigiBéton. Destinée aux chefs de chantier et aux utilisateurs de béton, cette application offre une ergonomie optimale sur tous les écrans, smartphones et tablettes. Ceci, afin de faciliter l’expérience utilisateur sur le terrain. Outre la possibilité de commander en ligne, elle intègre de multiples fonctionnalités. Telles que la géolocalisation des camions en temps réel, la visualisation globale des chantiers en cours ou encore la collecte de données instantanée. Véritable outil performant pour le monde du BPE, l’application DigiBéton simplifie la gestion quotidienne des chantiers. Et optimise le résultat opérationnel de ses utilisateurs professionnels. Complétant l’interface web existante, l’application mobile DigiBéton est téléchargeable par les clients Eqiom depuis les plates-formes Android et Apple. Quelques clics suffisent pour s’authentifier et naviguer sur les différentes fonctionnalités. Chacun peut ainsi se concentrer sur son cœur de métier, tout en optimisant ses relations avec les équipes d’Eqiom Bétons. Lire aussi :Eqiom Bétons annonce la mise en ligne de DigiBéton
Il y a 3 ans et 332 jours

Métrologie, une science souvent inconnue, une véritable chance pour votre entreprise

Le bien-fondé de la métrologie dans la mise en place d’un management efficace de la mesureCertes, il s’agit d’une prise de conscience tardive, mais depuis quelque temps, nombreuses sont les entreprises qui intègrent le management de la mesure dans leur manuel des procédures. À cet effet, une maîtrise de la métrologie et la manière de piloter le système de gestion de la mesure peuvent influencer positivement l’efficacité d’une entreprise, et permettre une réduction des coûts.À contrario, une négligence de la quantité des mesures effectuées, une mauvaise estimation des incertitudes de mesure, la non-maîtrise des intervalles d’étalonnage et la production des mesures erronées et non traçables sont quelques dysfonctionnements qui peuvent être constatés. Ceux-ci constituent autant de menaces pouvant être à l’origine de pertes financières pour l’entreprise.Sont concernés par ces risques aussi bien les laboratoires internes des entreprises que les laboratoires de prestation des mesures. Les secteurs d’activité dans lesquels cette problématique occupe une place de choix sont les suivants : le BTP, l’automobile, la défense, la santé, l’environnement, l’agroalimentaire, l’aéronautique, le nucléaire, la pharmacie, etc.Un changement de perception adossé sur une kyrielle de raisonsIl y a quelques années, l’on percevait la métrologie non comme une source de profit, mais davantage comme une poche de dépenses. Mais en raison des récentes évolutions, de plus en plus d’entreprises ont révisé leur point de vue sur la question. Il apparaît en effet après analyse que si elle est bien gérée, la métrologie peut permettre à votre entreprise de se créer de nouvelles opportunités.En évoluant, les normes ISO 9001 et 17025 emmènent les entreprises à plus de responsabilité et de flexibilité en matière de choix. L’objectif de ces avancées, c’est la validation des résultats de la mesure et une amélioration permanente au plan qualitatif. Il s’agit dès lors de piloter la fonction métrologie et non de la subir.D’un autre côté, la gestion des instruments de mesure par les entreprises n’est plus la même qu’auparavant. La prise de conscience s’est faite de façon progressive. Désormais, les raccordements métrologiques tiennent compte de trois critères essentiels : le moment, le niveau et le coût. La considération accordée à chaque opération ou décision doit tenir compte non seulement de son impact sur le résultat de la mesure, mais aussi sur la qualité du produit.À quelles difficultés la fonction métrologie est-elle confrontée ?Le constat fait dans la plupart des entreprises, c’est que très souvent le responsable en charge des questions métrologiques ne jouit pas vraiment d’une formation académique dans ce domaine. Bien entendu, les entreprises doivent faire face à ce paradoxe. Leur ardent désir de mettre en place un service métrologique digne de ce nom se heurte à l’absence de cadres formés pouvant occuper des postes de responsabilité dans ce département.La difficulté de trouver une main-d’œuvre spécialisée dans cette discipline est surtout inhérente à l’absence d’un véritable parcours de formation lié à ce domaine dans l’enseignement supérieur. Pour combler ce manque, ce sont les profils apparentés qui bien souvent sont désignés pour occuper les postes disponibles pour les managers. Généralement, c’est le responsable QHSE qui cumule ces fonctions.Il peut aussi s’agir d’un technicien avancé en métrologie ou d’un responsable de laboratoire. Ce sont donc de véritables autodidactes, formés dans le tas, qui sont chargés de piloter la fonction métrologie, tout un challenge. Les conséquences de ces insuffisances sont multiples tant pour les responsables de la métrologie appelés à faire preuve de compétence que pour l’entreprise.La formation, clé de voûte d’une meilleure performance des entreprises et des managersLa formation est le meilleur moyen pour vous d’occuper le poste de responsable métrologie et acquérir les compétences y relatives. Outre la maîtrise des processus de mesure, vous serez en mesure de piloter de façon optimale le système de management de la mesure. Pour y parvenir, un certain nombre d’objectifs doivent être atteints.Premièrement, vous devez fiabiliser les résultats de vos mesures. Être conforme aux exigences de la norme ISO 10012 et améliorer la prise des décisions, ce sont les principales attentes des entreprises par rapport aux résultats des mesures. C’est pourquoi les mesures que vous produisez doivent être non seulement exploitables mais sans aucune ambigüité.Deuxièmement, vous devez vulgariser et veiller à l’application des bonnes pratiques concernant le management de la mesure dans votre entreprise. Dans le cas d’espèce, le terme « bonnes pratiques » fait référence à la maîtrise du sujet, à la rigueur, à la capacité de transmission et enfin, à la maîtrise des bases de la métrologie.
Il y a 3 ans et 332 jours

Le Conseil d'État suspend la réforme controversée de l'assurance chômage

Saisie par les syndicats, opposés depuis le départ à cette réforme qu'ils jugent pénalisante pour les demandeurs d'emploi, la juge des référés de la plus haute juridiction administrative a suspendu les règles de calcul du montant de l'allocation chômage qui devaient entrer en vigueur dans dix jours."Les incertitudes sur la situation économique ne permettent pas de mettre en place" au 1er juillet les nouvelles règles, "qui sont censées favoriser la stabilité de l'emploi en rendant moins favorable l'indemnisation du chômage des salariés ayant alterné contrats courts et inactivité. En revanche, la juge ne remet pas en cause le principe de la réforme elle-même", indique le Conseil d'Etat dans un communiqué."Après cette ordonnance rendue en urgence, les recours +au fond+ des syndicats contre le décret réformant l'assurance chômage seront jugés par le Conseil d'État d'ici quelques mois", précise la juridiction administrative.Pour la ministre du Travail Elisabeth Borne, "le Conseil d'Etat nous demande d'attendre encore un peu" et "censure uniquement la date d'entrée en vigueur" de la réforme."C'est donc la temporalité finalement qui est censurée", le Conseil "estimant qu'il faut avoir plus de visibilité sur la conjoncture économique", a-t-elle déclaré à l'AFP."On va regarder précisément comment on intègre les observations du Conseil d'Etat. On prend en compte tous les éléments qu'on peut avoir sur la conjoncture économique et le marché de l'emploi. A partir de là, on va agir pour permettre une application la plus rapide (possible) de la réforme", a-t-elle poursuivi.Interviewée sur RTL mardi soir, Mme Borne a précisé que son ministère prendrait dans les jours qui viennent un décret pour que les règles actuelles puissent continuer à s'appliquer "au-delà du 1er juillet".Décidée en juillet 2019 dans un marché de l'emploi alors dynamique, la réforme avait déjà été suspendue à plusieurs reprises par le gouvernement à l'aune de la crise du Covid-19 et a été amendée au vu du contexte."Camouflet"Toutes les grandes centrales - sauf la CFTC pour des motifs juridiques - avaient déposé en mai des recours contre le décret du 30 mars qui réforme les règles d'indemnisation des demandeurs d'emploi.Devant le Conseil d'Etat, le 10 juin, les syndicats avaient plaidé "des effets graves et immédiats" pour obtenir la suspension, lors d'une audience de plus de trois heures où le gouvernement s'était retrouvé souvent sur la défensive face à une juge des référés "dubitative".Sitôt la suspension annoncée, le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger a salué "une victoire pour les demandeurs d'emploi", qui "sonne comme un désaveu pour une réforme mal calibrée"."C'est un camouflet pour le gouvernement et pour Emmanuel Macron qui n'ont eu de cesse de saccager les droits des chômeurs", a estimé la CGT dans un communiqué, tandis que pour FO, Michel Beaugas y a vu "un nouveau revers pour le gouvernement". Solidaires a pointé "une défaite pour ce gouvernement antisocial".Même tonalité dans les rangs de la gauche où le PS et des élus LFI ont également évoqué "une victoire", tandis que Fabien Roussel (PCF) a appelé à mettre la réforme "définitivement à la poubelle".Les syndicats dénoncent principalement sa mesure phare: le nouveau mode de calcul du salaire journalier de référence (SJR), base de l'allocation, qui va pénaliser les demandeurs d'emploi alternant chômage et activité, "les permittents".L'exécutif défend un "enjeu d'équité", le système actuel étant plus favorable à ceux qui alternent contrats courts et inactivité qu'à ceux qui travaillent en continu.Selon une évaluation de l'Unédic réalisée au printemps, jusque 1,15 million de personnes ouvrant des droits dans l'année suivant le 1er juillet auraient touché une allocation mensuelle plus faible (de 17% en moyenne), avec dans le même temps une "durée théorique d'indemnisation" allongée (14 mois en moyenne contre 11 avant la réforme).
Il y a 3 ans et 334 jours

Une application web pour esquisser les projets de construction

GoBuild! Est une application web intuitive pour faciliter, accompagner et industrialiser la phase esquisse d’un projet de construction. Elle s’adresse aux professionnels de la construction de logements collectifs (bureaux d’études, architectes, promoteurs…). L’application promet d’apporter une précision et une méthodologie dans la modélisation des projets par leurs volumétries et de les modifier à l’infini. GoBuild! recalcule instantanément chaque changement de paramètre. L’utilisation de béta données et de l’intelligence artificielle permet autant de simulations souhaitées. Type de logement, nombre de sous-sols, nombre de niveaux, surface type par logement, adaptation au sol, livrable Poids Carbone… et une multitude d’autres critères disponibles. Elle contribue à la prise de décision en fonction des besoins et objectifs : coût, bilan promoteur, impact environnemental… Rapide, intuitive, ludique, précise, exhaustive, personnalisable, l’application a été pensée et réalisée par des techniciens experts utilisateurs.
Il y a 3 ans et 334 jours

Une application web pour esquisser les projets de construction

GoBuild! Est une application web intuitive pour faciliter, accompagner et industrialiser la phase esquisse d’un projet de construction. Elle s’adresse aux professionnels de la construction de logements collectifs (bureaux d’études,…Cet article Une application web pour esquisser les projets de construction est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 335 jours

Suppression du Gazole Non Routier (GnR) : la CAPEB dénonce une situation ubuesque

Après des mois de concertation et d’actions de la CNATP et de la CAPEB, le gouvernement s'était finalement engagé le 25 mai à reporter de 18 mois la suppression du Gazole Non Routier (GNR) afin notamment de tenir compte des conséquences de la crise sanitaire sur la situation des entreprises concernées, par ailleurs confrontées à des tensions sur le prix des matières premières et/ou de leur pénurie.Le projet de Loi de finances rectificative 2021 a été proposé en ce sens à l’Assemblée nationale le 2 juin, ce dont s’étaient félicitées la CAPEB et la CNATP. Le projet était, en effet, fidèle aux annonces faites, au travers de l’amendement n°479 du gouvernement qui indiquait bien un report au 1er janvier 2023.Dans le cadre de l'examen du projet de Loi de finances rectificative 2021, certains députés de la majorité ont pourtant pris l’initiative de réduire de 6 mois ce report. Un sous-amendement a ainsi été présenté au nom du groupe LREM et adopté le 11 juin.Ces députés LREM ont donc décidé de substituer la date du « 1er janvier 2023 » dans l’amendement présenté par le gouvernement par celle du « 1er juillet 2022 » avec pour argument : « Afin de répondre aux ambitions écologiques au cœur des préoccupations de nos concitoyens, il nous semble nécessaire d’être plus exigeant et de fixer au 1er juillet 2022 cette entrée en vigueur ».Il est intéressant de noter que, suite à la réaction commune CAPEB/CNATP, de nombreux parlementaires de la majorité (qui avaient donné leur pouvoir compte tenu de la situation sanitaire et n’étaient donc pas dans l’hémicycle) ont contesté ce sous-amendement et ont fait savoir leur total désaccord avec le coup de rabot de 6 mois.Pour la CAPEB et la CNATP, le combat pour des énergies plus propres est totalement légitime. Mais, lorsqu’il n’y a pas d’alternative à court terme, c’est incohérent !Rappelons, tout d’abord, que le remplacement du GNR par un gazole routier n’a rien d’écologique, il ne s’agit que d’une différence de coloration et surtout de taxe.Avancer de 6 mois la suppression du GNR n’a rien d’écologique non plus puisque cette suppression ne peut pas inciter les entreprises du BTP à utiliser une autre énergie plus propre dans la mesure où il n’y a aucune alternative opérationnelle !Rappelons également que ce délai de 18 mois est indispensable pour la mise en œuvre des deux engagements du gouvernement qui n’ont pu être tenus au 1er juillet 2021 : d’une part la mise à disposition partout en France d’un carburant spécifique BTP et d’autre part l’établissement de la liste des engins qui devront utiliser ce carburant.C’est également un délai nécessaire pour pouvoir disposer de carburants plus propres et permettre aux fabricants de proposer des alternatives en matière de véhicules et d’engins de chantier.La CAPEB et la CNATP demandent aux Sénateurs qui examineront ce PLFR à compter du 23 juin en Commission et les 1er et 2 juillet en séance publique de revenir sur ces dispositions.À cet effet, la CAPEB et la CNATP ont transmis aux Sénateurs un projet d’amendement concernant la disposition relative au GNR dans le PLFR 2021 proposant de revenir à la date initiale d’application de la mesure au 1er janvier 2023 telle qu’annoncée par le gouvernement.En tout état de cause, lorsque le PLFR reviendra à l’Assemblée nationale pour une seconde lecture, la CAPEB et la CNATP sensibiliseront à nouveau l’ensemble des Députés pour que le report de la suppression de l’exonération fiscale sur le GNR soit bien de 18 mois et non pas d’un an.
Il y a 3 ans et 335 jours

Le chauffe-eau fait peau neuve avec Malicio 3

Un chauffe-eau malinC’est ainsi, qu’a été conçu Malicio 3. Fruit d’un long travail de recherche, la gamme Malicio répond au besoin d’espace et d’esthétique sans pour autant se priver de performance.Un chauffe-eau qui fait gagner de la placeGrâce à son format extra-plat (2 fois moins profond qu’un chauffe-eau rond) ou compact (carré à faible hauteur), Malicio 3 se place malicieusement dans le placard d’un studio, d’une petite cuisine ou d’une salle de bain. Il offre ainsi un gain de place non négligeable avec ses dimensions inédites (entre 490 x 765 x 310 mm et 490 x 1210 x 516 mm pour les plus grands modèles) tout en s’intégrant la déco intérieure.Econome, ergonomique et connectéLe chauffe-eau Malicio 3 est connecté. Un atout qui permet le pilotage à distance de l’appareil via l’application Thermor Cozytouch*pour parer à toute éventualité :Un invité surprise ? La Fonction Boost permet d’augmenter rapidement la production d’eau chaudeDes vacances improvisées ? Il suffit de programmer simplement la période d’absence pour assurer une disponibilité d’eau chaude dès le retour de vacancesEt pour maitriser son budget ? L’application propose un suivi des consommations d’électricitéUne utilisation simplifiéeGrâce à ses commandes tactiles et ergonomiques, Malicio 3 permet une lecture facilitée de la quantité d’eau chaude disponible.Le chauffe-eau propose également 3 modes de consommation en fonction des besoins de chacun :Le mode ECO+ : Grâce à l’intelligence artificielle, il intègre les habitudes de l’utilisateur pour produire de l’eau chaude selon ses besoinsLe mode Manuel : Adapté aux consommations plus irrégulières, le réglage s’effectue via la commande de la quantité d’eau chaude souhaitéeLe mode Absence : Il permet de faire des économies en maintenant la température du chauffe-eau en hors-gel
Il y a 3 ans et 338 jours

Lean Construction : La FFB Grand Paris IDF accompagne les entreprises du bâtiment

Afin d'accompagner les entrepreneurs dans cet environnement complexe, la Fédération Française du Bâtiment Grand Paris Île-de-France lance sa 3ème session de formation/action sur le Lean Construction à destination de ses adhérents et poursuit son engagement pour l'amélioration de la productivité des entreprises.Après s'être développée dans le domaine de l'industrie, la démarche Lean se déploie dans le monde du Bâtiment pour accompagner les dirigeants d'entreprise et les salariés à optimiser la gestion de leurs chantiers de manière collaborative. Cette méthode vise à perfectionner le processus de production, par le biais de la chasse au gaspillage et permet entre autres un gain de productivité, une réduction des délais de chantier, une amélioration de la qualité des travaux... Durant les deux précédentes sessions, en 2019 et 2020, organisées par la FFB GP IDF, les TPE et PME, de 6 à 48 salariés, exerçant dans tous corps de métiers, ont pu se former à la démarche. Au cours de ces formations, les entreprises s'approprient les outils du Lean Construction afin de mettre en place des actions concrètes au sein de leur structure. Outre les bienfaits économiques, le Lean Construction contribue également au bien-être des collaborateurs et à la prévention des risques professionnels. A cet effet, l'OPPBTP a publié un guide en mars « Lean Construction : une démarche favorable à la prévention » pour souligner les bénéfices du Lean Construction à travers plusieurs chantiers expérimentaux.Le président Dominique Zaccagnino, en charge de la formation Lean Construction pour la FFB Grand Paris IDF déclare « Nous sommes convaincus des bienfaits du Lean Construction pour les entreprises du Bâtiment car cette méthode représente un véritable avantage concurrentiel pour le développement économique et managérial des entreprises. En outre, le Lean Construction, c'est aussi un process de réflexions et d'échanges en amont pour une plus grande efficience sur le terrain et au quotidien. C'est pour toutes ces raisons que nous avons souhaité renouveler cette offre de formation/action et proposer une nouvelle fois à nos adhérents cette démarche vertueuse. »Le témoignage de Monsieur OuvrardEric Ouvrard, directeur de l’Entreprise Ouvrard SAS et participant de la session Lean Construction en 2019, nous livre les raisons qui l’ont poussé à se former : « Notre entreprise répond essentiellement à des marchés à bons de commandes, on a des centaines d’intervention par mois. En 2018, on était dans une situation où on sentait que la machine allait exploser, il fallait trouver une solution. On avait de gros problèmes de gestion des flux. A cette période, la FFB Grand Paris Île de France a lancé de nouvelles formations sur le Lean Construction. Convaincus par les bienfaits du Lean pour notre entreprise, nous décidons de nous y former. » Avant de poursuivre sur l’application concrète en entreprise :« Les premiers mois ne sont pas simples, non seulement il faut la volonté de toutes les parties prenantes mais il faut aussi un investissement total. Pour les membres cadres, il a fallu accepter de ne plus fonctionner comme avant. Quand on développe le Lean, la solution ne vient pas d’en haut, c’est l’inverse, la solution vient du terrain. ». L’important investissement pour basculer vers le Lean a vite porté ses fruits pour l’Entreprise de 50 salariés : « Tout le monde s’est approprié la démarche, c’est devenu naturel. L’apport du Lean s’est fait sentir sur un chantier où au bout de 6 mois de démarrage nous avions déjà 4 mois de retard, alors nous avons mis en place le Last Planner System et la semaine prochaine nous allons livrer le chantier dans les délais. Le Lean s’applique aussi dans la gestion de l’entreprise. Durant le premier confinement, nous avons perdu le marché de l’un de nos plus gros clients. Grâce à la démarche Lean, nous avons pu répondre à de très nombreux appels d’offres, et nous les avons tous remportés ! »
Il y a 3 ans et 339 jours

Le centre de formation Sto certifié Qualiopi pour la qualité de ses formations

Avec quelques mois d’avance, Sto vient de recevoir la certification Qualiopi (CertificatN° FP 2021/0026-0) pour la qualité de ses formations dans le domaine de la façade (ITE, ravalement, bardage) dispensées dans son centre de Bezons (95).Situé au sein de son siège social à Bezons, le centre de formation de Stoentend soutenir ses partenaires en mettant à leur disposition toutes les clés pratiques et théoriques pour faire monter leurs équipes en compétences.La certification Qualiopi, gage de qualité des formationsObtenir la certification Qualiopi était un enjeu de taille puisque cette qualification permet aux clients Sto de faire financer leurs formations par lesOPCO (OPérateur de Compétences, organisme agréé par l'État chargé d’accompagner la formation professionnelle). Beaucoup de fonds de formations auxquels adhèrent ses clients favorisent déjà cette certification, avant même 2022.Pour obtenir la certification, d’une durée de validité de 3 ans, le référentie ldu centre de formation et son équipe pédagogique ont été passés à la loupe, selon sept critères :Information au public des formations proposéesIdentification précise des objectifsAdaptation aux publics bénéficiaires des prestations et modalités d’accueilAdéquation des moyens pédagogiques, techniques et d’encadrement Qualification des formateurs Investissement du prestataire dans son environnement professionnelLe centre a enfin été audité sur place pendant une journée.Un centre de formation boosté par la rénovation énergétiqueDepuis 2019, le centre de formation de Sto ne désemplit pas ! A l’image de la forte activité, les demandes en formations sont très nombreuses, surtout pour le marché de la maison individuelle. Il faut dire que le secteur de l’isolation thermique par l’extérieur bénéficie d’un contexte réglementaire actuel très porteur (plan de relance, MaPrimeRénov’, etc.).Toutefois, les travaux de façade nécessitent un savoir-faire pour livrer des projets de qualité, dans les règles de l’art. Qui dit pose de qualité, dit nécessité de se former ! Un sujet d’autant plus d’actualité pour faire face aux malfaçons constatées en 2020 qui ont donné lieu à une diminution des aides de MaPrimeRénov’ pour les travaux d’isolation thermique par l’extérieur en juillet 2020. L'acquisition et le rappel des bonnes pratiques s’avèrent plus que jamais nécessaires.En outre, la qualification RGE, obligatoire pour la réalisation de travaux d’ITE afin de pouvoir bénéficier des aides de l’État, demande, depuis 2021, des attestations de formations, comme celles délivrées par Sto.« Nos sessions de formations pour mai et juin sont déjà complètes, celles de juillet se remplissent très vite et nous avons déjà des demandes pour les mois de septembre à novembre ! », constate Laurent Girardey, responsable des Techniciens d'application et du Centre de formation et d'animation.Face à cette activité soutenue, Sto a décidé de renforcer son équipe avec le recrutement d’un deuxième concepteur / formateur. Le centre sera ainsi en capacité d’ouvrir de nouvelles sessions.Les formations au programme de 2021 / 2022 Au vu du contexte sanitaire actuel, les formations ont été adaptées et se déroulent selon un protocole strict : gestion des flux, distanciation sociale, masques obligatoires, effectifs limités, etc.Les formations en présentiel : Chantier école ITE enduit mince sur isolant et bardage ventiléFormation phare de son programme, le « Chantier école ITE enduit mince sur isolant » est dispensée sur 2 jours. Elle porte sur l’apprentissage de la pose dans les règles de l’art d’un système d’enduit mince sur isolant, jusqu’à l’application de l’enduit de finition, en passant par le traitement des points singuliers (encadrement de fenêtre).Autre module en présentiel, exercices pratiques obligent : le « Chantier école ITE bardage ventilé ». A l’issue de cette formation, les stagiaires professionnels seront en mesure de mettre en œuvre un projet de bardage ventilé avec le système à enduire StoVentec R.Ce parcours de 14 heures réparties sur 2 jours allie théorie et pratique, pour bien identifier les différents éléments d’un système de bardage, maîtriser les étapes d’un chantier et acquérir les bons gestes pour mettre en œuvre le système.Les formations mixtes présentiel / digital : entretiens et rénovations d’ITE et pathologies de façade et solutions en ravalementAu programme de la formation « Entretiens et rénovations d’ITE » à partir de juin 2021 : la compréhension des principales causes de désordres d’un enduit mince sur isolant, la connaissance des règles professionnelles pour l’entretien et la rénovation des systèmes, l’assimilation des différents procédés ainsi que leur mise en œuvre. A l’issue d’une ½ journée en e-learning et d’une journée en présentiel, les professionnels (architectes, maîtres d’œuvre, maîtres d’ouvrage, et entrepreneurs) sauront appliquer les bonnes pratiques pour les projets de rénovation d’ITE dans le respect de la réglementation.Une nouvelle formation sur les pathologies de façade et l'aide au diagnostic sera également proposée à partir de novembre 2021. Dispensée sur ½ journée en e-learning et sur une journée en présentiel, elle s’adresse aux techniciens et ingénieurs des maîtres d’ouvrage et des bureaux d’études, responsables chargés du suivi des travaux de rénovation des façades, commerciaux, conducteurs de travaux et dirigeants. A l’issue de la formation, les apprenants seront en mesure d’identifier les pathologies d‘une façade et d’y apporter la solution adaptée. Une formation 100 % digitale : la réglementation incendieEn parallèle des formations en présentiel, Sto a inauguré en novembre2020 une formation digitale : la formation Réglementation incendie (ITE, bardage et ravalement). Au programme : le rappel des fondamentaux, la préconisation des solutions Sto conformes à la réglementation incendie sur maçonnerie et béton, et la mise en œuvre des solutions constructives d’ITE avec isolants PSE.« Avec un contenu plutôt théorique sans nécessité de recourir à des travaux pratiques, cette formation se prête bien au format digital. Celle-ci se déroule en deux temps : un e-learning pour l’assimilation des prérequis, suivi de deux classes virtuelles de 2h réparties sur deux semaines pour ancrer les compétences, délivrer des conseils techniques et répondre aux questions. Nous privilégions les quiz, les jeux et les animations afin de rendre vivante cette classe virtuelle et faire participer au maximum les stagiaires », décrit Laurent Girardey.Des outils pédagogiques et une équipe dédiéeLe Centre de formation de Sto se caractérise par des outils pédagogiques et efficaces, pensés pour faciliter l’acquisition des savoirs et savoir-faire :une expertise métiers des formateurs qui sont tous des professionnels de la façade (les formations Chantier école sont dispensées par des techniciens d’application terrain ; les formations Techniques par des ingénieurs du service technique),une méthode éprouvée : exercices pratiques, quiz interactifs, études de cas et application concrètes,280 m² de plateforme pratique sur le site de Bezons.En contribuant à développer les compétences des hommes, compagnons et encadrants chez ses partenaires, Sto entend participer à un cercle vertueux. Des collaborateurs reconnus pour leur savoir-faire font la satisfaction des clients et s'épanouissent plus longtemps au sein de leur entreprise.Toutes les dates de formation et l’intégralité des parcours sont à retrouver sur sto.fr / Rubrique formation.
Il y a 3 ans et 339 jours

Plateformes type Airbnb: la mairie de Paris va réguler les mutations de commerces en meublés touristiques

Ce décret d'application d'un amendement de la loi du 27 décembre 2019 relative à l'engagement dans la vie locale et à la proximité de l'action publique, précise l'application de l'article 55, qui autorise "certaines communes à soumettre à autorisation la location en tant que meublés de tourisme de locaux commerciaux". L'objectif est de "protéger l'environnement urbain et de préserver l'équilibre entre emploi, habitat, commerces et services".Avec l'entrée en vigueur du décret au 1er juillet, "on pourra enfin limiter la transformation de locaux commerciaux en locaux touristiques", s'est réjoui auprès de l'AFP Ian Brossat, maire-adjoint PCF au logement."Il nous reste à définir les règles, à savoir quelles sont les conditions pour obtenir une autorisation", a déclaré l'élu communiste, qui se donne jusqu'à la fin de l'année 2021 pour mettre au point et faire voter une réglementation, opérationnelle début 2022.Contacté par l'AFP, Airbnb a déclaré souhaiter étudier le décret avant de le commenter.Si un propriétaire de logement parisien souhaite louer plus de 120 jours par an sur une plateforme comme Airbnb, Abritel ou HomeAway, il doit demander un changement d'usage de celui-ci, très contraignant. Il doit également compenser la perte de logement en transformant en habitation une surface équivalente - voire double dans certaines zones - ce qui n'est pas encore le cas pour les locaux commerciaux.Jusqu'ici, les propriétaires de ces derniers n'étaient soumis qu'à une déclaration, selon M. Brossat."Nous étions démunis face à ce phénomène", qui "change le paysage de la rue", estime M. Brossat. "Nous préférons des commerces de proximité à des Airbnb qui pullulent", a ajouté l'adjoint.En février, la Ville de Paris a remporté une importante victoire juridique face aux plateformes de location, la Cour de cassation ayant jugé sa réglementation conforme au droit européen, "proportionnée" et justifiée pour lutter contre la pénurie de logements destinés à la location.
Il y a 3 ans et 340 jours

Les crédits immobiliers bientôt soumis à de nouvelles règles plus contraignantes

Fin janvier, le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF), qui associe entre autres le ministère de l'Économie et la Banque de France, avait déjà "recommandé" aux banques de limiter le taux maximum d'endettement des emprunteurs à 35% des revenus (assurance comprises) contre 33% auparavant, tout en leur permettant d'étaler, sous certaines conditions, la durée maximum d'endettement jusqu'à 27 ans contre 25 ans auparavant.En outre, cette recommandation permettait aux établissements bancaires de déroger à ces règles sur une part de leur production de crédit pouvant aller jusqu'à 20%.Comme il l'avait déjà annoncé quelques mois plus tôt, le Haut Conseil entend désormais "traduire au cours de l'été cette recommandation en une norme juridiquement contraignante, après publication d'un bilan de l'application de la recommandation", a-t-il fait savoir mardi dans un communiqué.En cas de non respect de ces normes, les établissements bancaires s'exposeront à des sanctions."La production de crédit immobilier reste dynamique tout en reposant sur des bases plus saines. La production annuelle de nouveaux crédits immobiliers a atteint un niveau record en avril et les taux d'intérêt se situent à un plus bas historique", explique le Haut Conseil.Dans le même temps, "la part de crédits présentant des taux d'effort élevés ou des maturités longues a significativement baissé. Comme attendu, les pratiques d'octroi des établissements de crédit convergent vers les critères de la recommandation du 27 janvier 2021, sans que l'accès des ménages au crédit immobilier en soit affecté", ajoute-t-il.De façon plus générale, le Haut Cnseil a également procédé à un examen des risques et des vulnérabilités affectant le secteur financier français dans son ensemble."Il juge que si les risques pour la stabilité financière restent à un niveau élevé, les perspectives se sont améliorées depuis sa séance de mars" et "la situation financière des entreprises françaises a, là encore globalement, été moins affectée que la baisse de l'activité ne pouvait le laisser craindre", explique-t-il.Les autorités ont toutefois décidé de ne pas relever les exigences de fonds propres réglementaires imposées aux banques et n'anticipent pas de modifications en la matière "avant fin 2022 au plus tôt".
Il y a 3 ans et 340 jours

Les sculptures en béton de Joséphine Chevry sauvées par Alphi

En novembre dernier, Béton[s] le Magazine lançait un appel à mécénat pour sauver les œuvres en péril de Joséphine Chevy à La Grande Motte. Et le coffreur Alphi a répondu présent pour la moitié de son budget. Ce mécénat portera sur la rénovation des “Peignes”, sculptures en forme de “I” en béton. « Nous avons souhaité davantage participer à des évènements artistiques et culturels. Tout à commencer avec la photographe Lisa Ricciotti en janvier 2020. Avec la crise sanitaire, les choses ont été ralenties. Mais grâce à Béton[s] le Magazine, nous avons découvert le travail de Joséphine à La Grande Motte. Et nous avons adoré. Je connais d’autant plus cette ville balnéaire que j’ai effectué mes études d’ingénieur à Montpellier. J’ai toujours trouvé remarquable la réalisation architecturale de Jean Balladur, qui a pensé un mode de vie et un vivre ensemble de toutes pièces. Les sculptures de Joséphine sont liées à ce contexte. Elles font partie du visage de La Grande Motte et nous ne pouvions pas les laisser dépérir. Nous avons de plus avec elle un amour commun du béton », s’enthousiasme Alexandre Souvignet, le Pdg d’Alphi. Retour sur l’œuvre de Joséphine Chevry Il est des rencontres quasi-magiques, avec le béton comme élément fédérateur. Par un intermédiaire, je décroche mon téléphone. Pas moyen de se déplacer dans l’atelier-maison pour cause de Covid-19. J’appelle donc sur FaceTime la sculptrice Joséphine Chevry pour une interview. Et tout de suite, ça matche. Le courant passe avec cette dame élégante de 84 ans, à la voix rauque de fumeuse patentée. Là, elle me narre sa rencontre avec le béton. Avec Jean Balladur. Avec tant d’architectes. La Grande Motte (34) et son Jardin Minéral, qui dépérit sous les vents marins salés et corrosifs. Et qu’elle voudrait sauver… Mais commençons par le début de son aventure artistique. Les débuts Quand Joséphine Chevry, dite “Joséphine”, s’est-elle découverte une âme d’artiste ? « A 3 ans, je scarifiais les potirons du jardin de ma nounou. Ou j’arrosais avec une boîte de conserve trouée les cours poussiéreuses. Mes premières performances, si je puis dire… », explique Joséphine. A 16 ans, elle quitte la France pour Edinbourg, au Royaume-Uni, et s’y inscrit aux Beaux Arts. Puis, elle en revient, désirant devenir sculptrice. « Je voulais rentrer aux Beaux Arts de Paris. Maman qui était avant-gardiste, m’a dit “oui”… » Elle trouve déjà un soutien de l’Académie Charpentier, puis dans l’Atelier Marcel Gimond. Tous deux stimulent son travail aux Beaux Arts. C’est la rencontre avec l’architecte Jean Balladur qui l’encourage et lui donne confiance pour se présenter au Grand Prix de Rome, qu’elle décroche en 1966. Val d’Yerres (91), murs Cariatides et soutènement d’un parking, oeuvre réalisée avec l’architecte Jean Maneval. [©Fonds privé de l’artiste]Bernay (27), création de moules en polystyrène pour la réalisation d’une fontaine, oeuvre réalisée avec l’architecte Jean Balladur. [©Fonds privé de l’artiste]Evry (91), clôture des jardins privés du lotissement « les Epinettes », oeuvre rélisée avec l’architecte Jean Balladur. [©Fonds privé de l’artiste] Ses premières réalisations seront le fruit de sa fascination pour le béton. « Boue liquide qui, solidifiée, devient inaltérable », indique Joséphine, avec laquelle elle crée des ouvrages de grandes dimensions. « Joséphine Chevry va vers une matière modeste et primitive, mais moderne : le béton. C’est une boue liquide qui fait prise. Elle se prête avec complaisance à toutes les sollicitations du coffrage qui la contient. Elle utilise alors la souplesse et la force de cette matière contemporaine. La force, dont nous venons de parler, s’augmente par la grandeur que cette sculpture affectionne et qu’autorise la modicité de coût de ce produit. Peu de sculpteurs savent aussi bien qu’elle inscrire leur imaginaire dans la dimension qu’exige l’architecture et son environnement », expliquait alors l’architecte Jean Balladur. Le béton comme emblème Portrait de l’audacieuse Joséphine Chevry. [©Olivier Ramon] « Ma relation à l’objet est le poids, sa massivité. Je n’expose pas mes sculptures en galerie. J’aime voir les gens déambuler dans mon travail, martèle Joséphine. J’aime la proximité du corps. J’aime que chacun puisse toucher mes œuvres. J’aime descendre la sculpture de son socle pour la mettre dans la rue, les jardins, la confondre avec les architectures. Le béton m’a ainsi tendu les bras et répondait parfaitement à mes aspirations. » Les choses s’enchaînent. Au niveau de l’entrée des Beaux Arts de Dunkerque (59), elle réalise un drapé en béton de 6 m de haut. Puis, à la station de ski Puy-Saint-Vincent (05), elle sculpte toutes les coursives… Caen (14), les Mâts, éléments en béton préfabriqué, oeuvre réalisée avec l’architecte H. Ploquin. [©Fonds privé de l’artiste] Joséphine fait partie de ce mouvement de jeunes artistes de l’époque, qui vont se confronter à l’échelle du chantier architectural et urbain. Et apprendre à maîtriser ces outils et matériaux. Inventive, elle crée des moules légers en polystyrène en plusieurs morceaux, qui lui permettent de concevoir des formes par assemblage. La surface du matériau est aussi travaillée. Des empreintes sont gravées au fer de forge. Pour varier les textures et découper les blocs béton, elle utilise un fil chaud. Par contact, ce dernier fond le polystyrène et creuse le support, qui servira pour mouler le béton. Cette technique lui permet de concevoir des formes, dont le registre varie de l’arabesque à l’accident. Les coulées de béton épousent les parois des banches, qui libèrent une variété de concrétions monumentales en relief stratifiées, feuilletées, parfois drapées.  “Bétonner” La Grande Motte La Grande-Motte, 1968, une famille à la plage devant le Jardin Minéral en fond. [©Archives de la Mairie de la Grande Motte] Et nous arrivons à La Grande Motte, qui est son premier grand chantier, en 1968. Et ses œuvres monumentales. C’est Jean Balladur, encore et toujours lui, qui lui confie la réalisation de sculptures sur les dunes du Point Zéro. Il lui propose comme première page d’écriture, la plage de La Grande Motte, avec pour contrainte de fixer le sable. Car il n’y avait que marais et monceaux de sable assez “moches”. « Toute cette côte-là était sauvage dans les deux sens, le bon et le mauvais », se souvient Joséphine. A l’époque, elle arrive avec un seau de sable et des morceaux de carton. « A l’image de l’arbre ou de la concrétion du coquillage, la sculpture de Joséphine Chevry laisse affleurer à la surface de la matière le discours énigmatique du monde des choses », insistait Jean Balladur. Et ces deux-là, vont déambuler dans les dunes, parler art, parler de tout. « Une véritable symbiose. » Création du « Jardin Minéral » en 1968. Archive de la Mairie de La Grande Motte. [©Pierre Pillet paysagiste]Éléments du « Jardin Minéral » dans les dunes du Point Zéro créé par Joséphine Chevry en 1968 à La Grande Motte. [©Fabrice Duvert]Éléments du « Jardin Minéral » dans les dunes du Point Zéro créé par Joséphine Chevry en 1968 à La Grande Motte. [©Fonds privé de l’artiste]Éléments du « Jardin Minéral » dans les dunes du Point Zéro créé par Joséphine Chevry en 1968 à La Grande Motte. [©Fonds privé de l’artiste] Joséphine dessine alors sur le sable les premières formes d’écriture : des “I”, des “O” et des jambages. Elle propose ainsi un alphabet de formes simples en béton préfabriqué. Et un énorme chantier commence, de « folie le chantier ! » Moulés en béton brut, ces modules élémentaires sont préfabriqués en série, avant d’être fixés dans le sol que l’artiste a modelé en pentes douces. Le vent, la dune… Sur la dune, le béton… Joséphine a dessiné un jardin en béton, où l’on peut pique-niquer. Des formes derrière lesquelles se cacher des vents de sable, entre lesquelles courir et s’amuser à écouter les sons du souffle marin… Le Jardin Minéral devient emblématique du Point Zéro. Il figure même dans le label du Patrimoine du XXe siècle. Un jardin de sculptures en béton à sauver Création du « Jardin Minéral » en 1968. Archive de la Mairie de La Grande Motte. [©Pierre Pillet paysagiste] Après plusieurs tempêtes (notamment en 1989) et agressions climatiques, le béton des œuvres monumentales du Jardin Minéral de la Grande Motte a subi de graves lésions. De même que l’invasion de lichens et de mousse. Il est donc urgent de retrouver la “peau d’origine” des sculptures dégradées. En effet, le béton est soumis à l’épreuve du temps et du climat. Les facteurs environnementaux contribuent au développement de pathologies diverses : encrassement des surfaces, éclatement, eau douce (pluviale, acide sulfurique et nitrique) et eau de mer (sulfurique), provoquant dissolutions et décompositions du matériau. Il en est de même du cycle “gel-dégel”, qui entraîne des phénomènes d’écaillages, puis d’éclatement. Bref, il faut sauver ces œuvres en péril. A cette fin, Joséphine a créé l’association “Sous le vent_le béton”, afin d’envisager un chantier de restauration. Les travaux prévus portent sur le désensablage, la restauration des bétons après échantillonnage. Mais aussi sur la reconstitution des Peignes (formes en “I”) et le nettoyage et protection des bétons par hydro-gommage d’origine végétale, peiling et gommage. Enfin, l’étanchéité. La mairie de la Grande Motte soutient le projet et le coffreur Alphi a répondu présent pour le mécénat des Peignes, ce qui représente 50 % du budget de rénovation. C’est pourquoi nous appelons tous nos lecteurs cimentiers, bétonnières, industriels, entreprises générales… à soutenir cette initiative. A bon entendeur… Joséphine Chevry dans son atelier en 2018 en préparation de son exposition pour les 50 ans de La Grande Motte. [©Fonds privé de l’artiste] Association “Sous le vent_le béton”5 rue Marcel Pagnol – 34920 Le CresTél : +33 6 81 13 40 13 contactventbeton@gmail.comSite Internet Muriel Carbonnet 
Il y a 3 ans et 340 jours

IBAT lance sa nouvelle offre IBAT Achat ZEN pour les artisans, PME et TPE du BTP

Les artisans peuvent désormais, en quelques clics, passer leur commande à tous leurs fournisseurs depuis une seule et même application, puis piloter leurs achats. Ils gagnent ainsi beaucoup de temps dans leurs tâches administratives et maîtrisent en temps réel leurs dépenses. Ils peuvent alors se concentrer davantage sur leur cœur de métier.« Lorsque j'étais responsable d'un chantier, je passais mes soirées à vérifier mes factures mais ne savais jamais où j'en étais dans mes dépenses. Aucun outil n'était adapté à mes besoins spécifiques du BTP : je perdais énormément de temps. J'ai voulu créer un outil simple et efficace qui répond pleinement aux besoins des PME, TPE et artisans du BTP. » souligne Mélanie Lehoux, présidente d'IBAT.IBAT Achat ZEN, l'outil indispensable pour rendre plus simple et plus rapide la gestion des achats des PME, TPE et artisansIBAT confirme son engagement auprès des professionnels du BTP, afin de leur apporter toujours plus de services et d'accompagnement avec le lancement d'IBAT Achat ZEN.Grâce à un outil clé en main, simple d'utilisation, intuitif et accessible à tous, IBAT permet ainsi aux artisans de mieux gérer les documents administratifs liés aux dépenses de chantier, en particulier leurs achats auprès de leurs fournisseurs, et d'avoir un contrôle en direct de leur gestion d'entreprise via des reportings, suivi des dépenses...Par ailleurs, l'utilisateur peut géolocaliser les fournisseurs référencés autour de son chantier et passer directement commande en un clic, sans avoir à multiplier les appels téléphoniques pour valider une commande de matériaux ou de fournitures.« Nous sommes la plateforme qui rassemble l'entreprise du BTP et ses fournisseurs. Nous connaissons la valeur du service rendu par les fournisseurs pour une entreprise de bâtiment et leur rôle de conseil technique. C'est pour cela qu'IBAT digitalise les tâches administratives tout en conservant une place centrale à la relation humaine entre les professionnels du BTP et les fournisseurs. Nos partenaires fournisseurs sont les principaux acteurs du marché, ils peuvent se référencer directement sur l'outil et permettre ainsi à leurs clients de passer leurs commandes via l'application. Je précise que nous ne sommes pas une marketplace, nous ne prenons pas de commission sur les ventes et n'interférons pas dans la relation commerciale entre les fournisseurs et les entreprises », précise Mélanie Lehoux.500 000 références sont d'ores et déjà disponibles sur IBAT Achat ZEN dans les domaines d'application suivants :structure/gros œuvre : acier, profilé métallique...négoces matériaux gros œuvre et TP : maçonnerie, isolant, voirie, équipements routiers, bois, produits d'étanchéité, produits de carrière...matériel de chantier : manutention, stockage, matériel de carrière, matériels électriques de chantier...location matériels et véhicules de chantier…fournitures pour second œuvre : plomberie, fournitures électriques, menuiserie, revêtement de sols et murs, terrasse et jardin…outillage et quincaillerie : matériels et consommables électroportatifs, matériels de peinture, quincaillerie...produits chimiques du BTP : traitement des métaux, des joints, des bétons…Avec IBAT Achat ZEN, l’utilisateur peut :créer et personnaliser son espace entreprisechoisir ses articlesfaire une demande de devispasser sa commandesuivre son budget en temps réelAvec cette nouvelle application, la gestion et le suivi d’un chantier se fait en toute sérénité. Le gérant dispose de toutes les clés pour piloter simplement sa dépense et libère du temps pour son cœur de métier. “Avec IBAT Achat ZEN, nous avons tout simplement adapté ce qui existe dans votre vie de tous les jours, à l’activité des professionnels du secteur du bâtiment. Pour vos achats sur chantier, restez ZEN, IBAT s’occupe de tout ”, assure Mélanie Lehoux.
Il y a 3 ans et 341 jours

PROCAP® Plaque stabilisatrice pour graviers avec système de fixation intégré

Destinées à la finition et à la protection des toitures-terrasses, les plaques stabilisatrices pour graviers PROCAP® sont constituées d’alvéoles hexagonales très rigides, de 40 mm de hauteur, et d’un géotextile indissociable (60 g/m²), issu d’un procédé exclusif de soudure pendant la phase d’injection. Cette structure en nid d’abeilles permet aux graviers, d’une granulométrie de 8 à 16 mm, d’être parfaitement maintenus en place. Elle protège ainsi le revêtement d’étanchéité de la toiture-terrasse des aléas climatiques (UV, écarts de température, vent). PROCAP® dispose d’un système de fixation intégré permettant l’assemblage des plaques entre elles. Rapides à mettre en œuvre, ces plaques de 1150 x 800 mm (soit 0,92 m² de surface utile) sont facilement manipulables car légères. Elles s’installent après la pose du revêtement d’étanchéité. Composé de polypropylène 100 % recyclé, le nouveau revêtement PROCAP® résiste aux variations de température (- 30°C à + 60°C), au gel et aux UV. Fabriquées en France, les plaques stabilisatrices PROCAP® peuvent également remplacer les dalles béton de 2 m de large sur le pourtour des bâtiments en toiture-terrasse inaccessible.   – DESTINATION – › Toiture-terrasse inaccessible › Toiture-terrasse végétalisée et jardin › Toiture-terrasse accessible aux piétons Caractéristiques de la plaque stabilisatrice PROCAP® – Polypropylène 100 % recyclé – Dimensions utiles : 1150 x 800 x 40 mm – Surface utile : 0,92 m² – Poids : 2,3 kg – Type de graviers : granulométrie 8/16 – Résistance aux variations de température : – 30 °C à + 60 °C – Découpable   Avec la gamme OCAPE®, l’entreprise TMP CONVERT affirme sa stratégie innovante et réfléchit d’ores et déjà au développement de solutions capables de s’adapter à toutes les configurations de toitures-terrasses.
Il y a 3 ans et 341 jours

NOUVELLE STRATÉGIE DE MARQUE : SIPOREX devient la nouvelle marque forte multicanal dédiée aux projets d’aménagement et cloisons en carreaux béton cellulaire

Jusqu’alors, au sein du groupe Xella, l’offre de produits en béton cellulaire était disponible sous les marques SIPOREX et YTONG. Chacune d’entre-elles disposait de son propre réseau de distribution pour commercialiser des produits équivalents. SIPOREX, marque devenue générique très connue du grand public et distribuée exclusivement en Grandes Surfaces de Bricolage, est essentiellement utilisée pour l’aménagement intérieur et la décoration ainsi que la construction de cloisons dans la maison. Quant à l’offre YTONG, elle est commercialisée via les négoces de matériaux pour la construction et la rénovation de maisons, de logements collectifs, de bâtiments professionnels ainsi que la mise en oeuvre de murs coupefeu. Aujourd’hui, pour capitaliser sur la notoriété SIPOREX auprès des particuliers comme des professionnels et assurer une meilleure visibilité à YTONG, le groupe Xella a redéfini entièrement sa stratégie de marques. Il établit ainsi une nouvelle offre multicanal, plus claire avec des marques fortes, chacune ancrée dans leur univers : SIPOREX devient la marque dédiée au second oeuvre pour l’aménagement intérieur (cloison, meuble de rangement, habillage…) avec une offre de carreaux de 5, 7 et 10 cm disponibles en Grandes Surfaces de bricolage et en Négoces de matériaux. YTONG devient la marque dédiée au gros oeuvre pour la construction (murs coupe-feu, maisons individuelles, extension-surélévation, logements collectifs, bâtiments tertiaires…) avec des blocs de 15 à 42 cm désormais disponibles en Grandes Surfaces de bricolage et en Négoces de matériaux.   François CHARDON – Directeur Marketing et Prescription Xella « Nous avons choisi de repositionner nos marques SIPOREX et YTONG pour plusieurs raisons. Nous voulons mieux exploiter la notoriété de SIPOREX auprès des particuliers et des professionnels et offrir davantage de visibilité à la marque YTONG pour promouvoir les bénéfices des murs YTONG, notamment auprès du grand public, en lien avec notre communication YTONG Inside. Ensuite, il est essentiel d’avoir un discours en accord avec les avantages clés pour chaque application. Notre ambition est de créer des marques fortes pour chaque univers – SIPOREX pour le second oeuvre et YTONG pour le gros oeuvre – avec des moyens bien différenciés. Enfin, cette approche répond à l’évolution du marché et à la typologie des clients. Aujourd’hui, les particuliers comme les professionnels s’approvisionnent, pour leurs matériaux, dans tous les réseaux de distribution, en GSB comme en Négoces en matériaux. C’est pour toutes ces raisons, que nous avons entièrement redéfini notre stratégie en proposant une nouvelle offre multicanal pour les deux marques, afin d’en faire des marques fortes dans leur propre univers.»   Nouvelle gamme SIPOREX : une offre optimisée pour l’aménagement Idéale en rénovation, la nouvelle gamme SIPOREX a été optimisée pour répondre à tous les projets d’aménagement intérieur et extérieur : moduler des pièces avec des cloisons droites ou courbes, habiller des murs, créer des meubles de rangement, concevoir une cuisine extérieure… Complète, elle propose des carreaux en béton cellulaire et les accessoires de pose spécifiques : – Des carreaux droits (lisse ou emboîtement) : 5, 7 et 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 et 50 cm – Des carreaux courbes de 30 et 60° : 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 cm – Des linteaux armés : 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 cm / longueurs 125, 150 et 200 cm – Des accessoires de pose : mortier colle, colle prête à l’emploi, truelle.   Les carreaux SIPOREX Les carreaux, les carreaux courbes et les linteaux SIPOREX présentent des caractéristiques exceptionnelles pour tous les travaux d’aménagement. Résistant au choc et léger (22 à 55kg /m2), le béton cellulaire est un matériau plein qui peut recevoir des fixations lourdes. Imperméable, perspirant et hydrofuge, il peut s’utiliser dans toute la maison, même dans les pièces humides (cuisine, salle de bains). Incombustible et ininflammable, il est particulièrement adapté à l’habillage d’une cheminée. Pour le confort et le bien-être des occupants, c’est un matériau sain, écologique et classé A+, qui préserve l’air intérieur. Pratique, il convient pour de multiples applications. Par ailleurs, le carreau SIPOREX est simple à manipuler car il est compact et léger. Facile à mettre en oeuvre, il se découpe, se ponce et se façonne facilement pour offrir une grande liberté dans les projets. Pratique, il s’assemble par emboîtement ou par collage. De nombreuses finitions peuvent être posées sur les carreaux SIPOREX : enduits de finition, carrelage, peinture, toile de verre, résine…   Innovation : SIPOREX Easyfix Une colle prête à l’emploi pour simplifier la pose des carreaux SIPOREX Pour faciliter le montage des carreaux de béton cellulaire et réduire le temps de mise en oeuvre d’une cloison ou de réalisation d’un aménagement, SIPOREX lance une nouvelle colle vinylique : SIPOREX Easyfix. Classée A+ et labellisée EC1 Plus, cette colle est parfaitement adaptée aux travaux d’intérieur car sa formulation est saine et écologique. A très faible émission de COV, elle répond aux plus hautes exigences en matière d’environnement et de santé. Pratique et prête à l’emploi, SIPOREX Easyfix est une colle qui permet un montage à sec, rapide, sans préparation préalable, ni eau ni outillage ! Un véritable gain de temps. Ergonomique, le flacon à double embout (espacé de 4 cm) assure une bonne répartition de la colle sur la partie du carreau à encoller. Son temps d’ajustement est de 10 minutes, ce qui laisse le temps de bien positionner les carreaux. La bouteille d’1kg est adaptée pour un projet de 9 à 14 m2, et permet de coller 50 m linéaire de carreaux SIPOREX. Prix public conseillé : 17,50 euros HT / Points de vente : GSB, Négoces en matériaux   Une nouvelle communication orientée «projets utilisateurs» Les outils de communication (réseaux sociaux, site, guide de pose…) autour de la nouvelle gamme SIPOREX sont orientés sur les projets des utilisateurs. Ils veulent éveiller les envies d’aménagement à travers des visuels de projets finis, créatifs… et un discours simple « Avec des SI on peut tout faire ! » : PERFORMANT ! Un matériau résistant, léger, hydrofuge, coupe-feu, sain et écologique. FACILE ! Un matériau pour de multiples applications, mêmes les plus créatives grâce aux carreaux courbes, et rapide à poser avec la colle SIPOREX Easyfix. PRATIQUE ! Un matériau compact, facile à manipuler et à travailler, qui autorise plusieurs finitions. ECONOMIQUE ! Un matériau compétitif qui offre un gain de temps dans sa pose.   Un accompagnement soutenu des points de vente partenaires Pour accompagner le lancement de la nouvelle gamme SIPOREX, Xella met à la disposition des partenaires distributeurs un guide pratique à destination des utilisateurs. Concis et didactique, il présente les avantages des carreaux SIPOREX avec : – une approche projet « Avec des SI on peut tout faire ! » pour offrir la possibilité au lecteur de se projeter dans des réalisations concrètes, – un guide de choix, – les règles de montage pour les cloisons et les rangements. Des ILV et des offres promotionnelles sont aussi proposées. Avec ces outils, les points de vente peuvent orienter les particuliers et les professionnels dans leurs projets, et s’assurer une bonne rotation produits en magasin. Par ailleurs, pour parfaire les connaissances des points de vente partenaires, Xella va plus loin en proposant des sessions de formation en ligne et en organisant une journée de visite d’usine et de montage de produit. Enfin, Xella, partenaire du programme de fidélité VIPros, participe à l’opération « Série Illimité » pour promouvoir la nouvelle marque SIPOREX. Du 1er juin jusqu’au 30 octobre les artisans et professionnels du bâtiment ont la possibilité de gagner un véhicule utilitaire hybride Ford Transit Custom, ainsi que plusieurs lots offerts par les marques partenaires du programme VIPros.
Il y a 3 ans et 341 jours

SATURATEUR BARDAGES SX835 CECIL PROFESSIONNEL : La protection haute durabilité des bois verticaux

D’après la dernière étude* réalisée en 2019, le bois représentait 9,4 % du marché français des constructions de maisons individuelles et 27,5 % pour les surélévations et extensions. Et la mise en place de la future RE2020, visant à diminuer l’impact carbone et à limiter les dépenses énergétiques des bâtiments et des maisons neuves, semble présager une croissance durable pour ce matériau dans la construction. Quant au bardage bois, il connait également un bel engouement pour les maisons individuelles. Outre le fait d’être isolant, il offre un cachet contemporain et élégant au bâti. Pour préserver les constructions bois et bardages bois du grisaillement, des intempéries, des UV, des champignons et autres agressions extérieures, tout en conservant durablement la beauté naturelle et la teinte d’origine du bois, il est essentiel de nourrir en profondeur le support. Pour répondre aux attentes des utilisateurs, à la recherche de solutions efficaces, durables, faciles et rapides à appliquer, et qui nécessitent peu d’entretien, Cecil Professionnel propose le saturateur bardages SX835. Conçu et fabriqué en France, ce saturateur haute durabilité bénéficie des dernières technologies. Simple d’utilisation, il permet de réduire le temps de chantier grâce à une application sans essuyage et un entretien sans ponçage ! * Source Enquête Nationale de la construction bois 2019 Une formule renforcée en anti-UV pour une plus grande durabilité Destiné aux bois verticaux – bardages, brise-vues, abris de jardin, extensions en bois… – le saturateur bardages SX835 Cecil Professionnel bénéficie d’une formule renforcée en anti-UV haute durabilité. Non filmogène, il assure une protection très longue durée contre les UV et les intempéries, même en conditions extrêmes, en mer comme à la montagne. Le saturateur se fixe dans le bois pour une accroche parfaite sur toutes les essences, même le Mélèze, le Red cedar, le Douglas… Esthétique, son film mat permet de conserver l’aspect et le toucher naturel du bois brut. Sa palette de teintes effet bois brut ou métallisées offrent de nombreuses solutions décoratives contemporaines et homogénéisent l’effet grisé du bois. Que ce soient les teintes mélèze et naturel, ou gris métallisé et vieilli métallisé, le résultat reste dans l’air de temps. Classé A+, le saturateur SX835 a une texture anti-gouttes qui offre une excellente glisse sous le pinceau, tout en prévenant les risques de coulures, même à la verticale. Son application sans essuyage et son séchage rapide optimisent considérablement le temps de chantier. Il est disponible en 1 L, 5 L et 10 L. Consommation : 12 à 14 m2/L en 2 couches Teintes : naturel, mélèze, gris métallisé, vieilli métallisé Conditionnement : 1 L, 5 L, 10 L Prix de vente conseillé 5 L : 101,95 euros TTC Points de vente : Négoces en matériaux
Il y a 3 ans et 341 jours

La FFB Grand Paris Ile-de-France appelle à intensifier la concertation en faveur de la mobilité propre

La FFB Grand Paris Ile-de-France est en faveur de la transition vers une mobilité plus durable. Depuis plusieurs années, elle prend pleinement sa part pour accompagner tous les entrepreneurs dans cette voie. La Fédération informe régulièrement ses adhérents sur les nouvelles réglementations à travers des notes d'information, dossiers ou podcasts et assure une permanence téléphonique pour répondre aux différentes interrogations des entrepreneurs. Ce lien régulier est aussi l'occasion de leur rappeler les aides financières permettant l'acquisition de véhicule propre. Le syndicat professionnel, en contact direct et permanent avec les entreprises du Bâtiment, est donc un intermédiaire privilégié dans l'accompagnement des professionnels du secteur vers la mobilité propre. Le dialogue avec les pouvoirs publics doit se poursuivreCependant, la FFB Grand Paris IDF alerte les pouvoirs publics sur les nombreuses restrictions actuelles et à venir dans un contexte où l'offre de solutions de mobilité propre n'est pas en adéquation avec les besoins des entreprises de la filière (faible autonomie, capacité de chargement…). Pour 31% des professionnels du Bâtiment de la Métropole du Grand Paris, cette inadaptation de l'offre est le principal frein à la transition de leurs véhicules, devant même le prix. En outre, plus de la moitié de nos entreprises et artisans ont une faible connaissance des aides à l'achat de véhicules plus vertueux. En conséquence de ces besoins exprimés, la FFB Grand Paris Ile-de-France demande régulièrement à être en concertation avec les pouvoirs publics afin de défendre notamment : La mise en place d'un guichet unique à destination des professionnels pour améliorer la lisibilité des aides et leur harmonisation. L'harmonisation des dérogations sur la ZFE parisienne et métropolitaine. Une modification du calendrier ou la mise en place d'une période pédagogique de non-verbalisation spécialement pour les poids lourds, principalement Crit'air 3, qui seront interdits de circulation dès juillet 2022. Les Professionnels du Bâtiment sont disposés à s'engager résolument vers un modèle de mobilité plus vertueux, pour autant qu'ils disposent de solutions alternatives techniquement et économiquement viables. Les premiers échanges de cette concertation s'avèrent fructueux, notamment en faveur des entreprises fortement fragilisées par la crise sanitaire qui pourront déroger à l'application des règles de la ZFE métropolitaine sur les véhicules Crit'air 4, jusqu'au 30 juin 2022. Ces premières avancées encourageantes conforteront tous les acteurs dans la nécessité de poursuivre un dialogue constructif.
Il y a 3 ans et 341 jours

Les informations essentielles sur la peinture industrielle

La plupart des objets ou des infrastructures que l’on rencontre dans la vie courante sont couverts par différents types de revêtements, dont la peinture. Pour le cas de cette dernière, il existe plusieurs applications possibles. Cependant, on ne retrouvera pas les mêmes variétés sur les murs d’une maison ou pour envelopper la chaudière d’une usine par exemple. C’est pour cela qu’il faut savoir faire la différence entre revêtement normal et revêtement industriel. Ce dernier possède beaucoup plus de spécificités. Caractéristiques et usages de la peinture industrielle Techniquement, la peinture industrielle est un produit de revêtement qui sert à couvrir certaines surfaces spécifiques. Elle se présente souvent sous une forme plus ou moins liquide ou en pâte selon la variété. Certains types s’exploitent aussi en poudre. Le résultat des applications est souvent une couche protectrice ayant diverses épaisseurs et différentes textures après le processus de séchage ou de durcissement. Les techniques d’application doivent suivre des normes rigoureuses afin de garantir la qualité du travail final. C’est pour cela qu’il est toujours nécessaire de faire appel à une entreprise de peinture industrielle spécialiste en la matière. D’un côté, le but de son utilisation est bien sûr d’ordre décoratif. Outre l’aspect esthétique, la couverture par revêtement répond à des objectifs bien plus larges. En effet, elle sert aussi à conserver ou apporter une certaine protection à la surface des machines ou des objets fabriqués auprès de ces industries justement. La peinture industrielle est donc un bouclier pour faire face aux différentes agressions, pour éviter la corrosion par exemple ou les aléas climatiques. Certaines matières sont également faites pour la restauration, notamment pour combler les fissures et les trous. Selon ces différents objectifs d’usage, la composition de la peinture peut varier (pigments, diluants, additifs, polymères, etc. ). Les différents types de peintures industrielles La classification des peintures industrielles n’est pas simple à définir précisément. Les produits actuellement présents sur le marché sont extrêmement variés avec des compositions de plus en plus élaborées. Cependant, d’un point de vue général, il est possible d’y aller par couche. L’enduit est le premier revêtement en contact avec la surface à recouvrir. C’est souvent ce qui sert aux traitements anticorrosion. On a ensuite la peinture pour la couche intermédiaire qui joue le rôle d’épaississant à la structure. Sa composition diffère légèrement de l’enduit surtout au niveau du rapport pigment/liant. Enfin, la peinture de finition vient fermer la marche. Dans certains cas, on applique du vernis par-dessus. C’est un système pour donner de l’effet brillant ou simplement pour procurer plus de protection. L’autre mode pour catégoriser les peintures industrielles se base plutôt sur les matières composantes. Les revêtements à nitrocelluloses sont les types les plus utilisés et parmi les premiers à être vulgarisés dans le secteur industriel. D’autre part, on a les peintures dites synthétiques ou alkydes. Ces dernières ont été conçues dans le but d’augmenter la performance des produits utilisés en industrie. Enfin, toujours dans la catégorie des peintures les plus utilisées, on a la peinture époxy.
Il y a 3 ans et 341 jours

Exécutif et partenaires sociaux décidés à faire un peu de ménage dans les dispositifs de formation

Depuis avril, syndicats (à l'exception de la CGT) et patronat discutent de "la loi sur la liberté de choisir son avenir professionnel" de 2018 avec l'objectif de faire des propositions d'évolution début juillet. En les attendant, le gouvernement a commencé à les réunir parallèlement début juin.Le sujet le plus épineux sera celui du financement. L'organisme régulateur, France compétences, qui redistribue l'argent collecté auprès des entreprises, s'attend à un déficit de 2,5 milliards d'euros cette année.La faute un peu au Covid côté recettes mais surtout à la montée de trois grosses dépenses: l'apprentissage (6,1 milliards), le CPF (1,9 milliard) et la formation des chômeurs (PIC, 1,6 milliard)."Il y a des choses qui marchent mieux que prévu. Plus de 500.000 contrats d'apprentissage cette année, ça entraîne plus de dépenses que 340.000 en 2019. Il y a le CPF qui marche du feu de dieu. Évidemment nous souhaitons maintenir ces deux dispositifs à ces niveaux", souligne-t-on au ministère du Travail.Mais pour retrouver l'équilibre de France compétences, exigé par la loi pour 2022, l'équation sera complexe.Côté recettes, Michel Beaugas (FO) réclame une "hausse de la contribution des employeurs", une "ligne rouge" pour le président délégué du Medef Patrick Martin pour qui "ce n'est pas aux entreprises de financer les chômeurs".Côté dépenses, sur l'apprentissage, le gouvernement a prolongé les aides au recrutement (5.000 euros pour un mineur, 8.000 pour un majeur).Mais France compétences devrait réexaminer les niveaux de prise en charge de certaines formations, en veillant à ne pas fragiliser les ressources des CFA. Dans le supérieur, certaines écoles ont été aussi accusées de profiter d'effets d'aubaine en basculant dans l'apprentissage."Dévoiement du CPF"Côté CPF, le gouvernement exclut de remettre en cause l'alimentation du compte à hauteur de 500 euros par an (800 pour les peu qualifiés).Malgré le confinement, le nombre de formations demandées est passé de 630.000 en 2019, à 1,1 million en 2020 et 1,6 million en 2021. Cette montée en charge a été musclée par le lancement de l'application "Moncompteformation", téléchargée 2,6 millions de fois depuis son lancement fin 2019, qui permet de s'inscrire à une formation sans intermédiaire."Le CPF a l'énorme avantage de donner accès à la formation à tout le monde alors qu'historiquement ce sont les salariés qualifiés qui y accèdent. 73% des stagiaires sont employés ou ouvriers et 39% ont un niveau de formation bac ou infra", se réjouit le ministère.Mais, dans un document aux partenaires sociaux, le ministère reconnaît qu'il reste "des écueils à lever": "contrôle des organismes" présents sur la plateforme et des certifications délivrées, "évaluation de la pertinence des formations avec le marché de l'emploi" ou encore "les fraudes" avec un démarchage abusif des salariés.Il rejoint le constat des organisations syndicales et patronales, réticentes depuis le départ à la logique individuelle du CPF."Il y a eu un dévoiement du CPF. L'argent du CPF sert à tout, ce n'est pas forcément pour que les salariés puissent faire de la transition professionnelle ou augmenter leur niveau de qualification", regrette Michel Beaugas (FO).Les partenaires sociaux se demandent par exemple si c'est bien au CPF de financer le permis de conduire, première formation demandée, et voudraient contrôler l'offre foisonnante de formations "bilans de compétences" ou "création d'entreprises".Si l'abondement au CPF par les branches ou les entreprises est désormais possible, M. Martin veut "plus d'implication de l'entreprise dans le choix et le fléchage des formations"."En l'état l'adéquation entre les formations les plus choisies (comme les langues) et les besoins du marché n'est pas optimale", juge-t-il, avec pas suffisamment de formations sur le numérique et la transition écologique.Admettant un "enjeu" réel, le ministère souhaite se mettre d'accord avec les partenaires sociaux sur "une grille commune d'indicateurs" permettant d'évaluer l'utilité d'une formation.
Il y a 3 ans et 342 jours

La vis d’ancrage Multi-Monti-Plus de Heco version acier inoxydable

Heco fête les 25 ans de sa vis d’ancrage Multi-Monti-Plus avec une version inox A4. [©Heco] Le fabricant allemand de vis Heco fête les 25ans de la vis d’ancrage pour béton Multi-Monti-Plus. Il profite ainsi de l’occasion pour élargir sa gamme avec la version en acier inoxydable. Ce système de fixations permet de résister aux conditions climatiques très difficiles. Il se révèle être une solution sûre, que ce soit pour la fixation de balustrades, d’étais, de stores-bannes, de systèmes de panneaux solaires ou de conduits de cheminées extérieurs. L’application du modèle en acier inoxydable dans le béton fissuré ou non est validée par l’ETE 15/0784, option 1. La pointe fonctionnelle noire phosphatée extra-dure BlackCut de la vis offre un meilleur comportement au vissage. Et un faible couple de vissage, pour une contre-dépouille parfaite et un ancrage sûr. 
Il y a 3 ans et 345 jours

Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment : le point sur le zéro ressaut

À l'occasion de la troisième édition qui s'est tenue le 7 mai, le Mondial du Bâtiment a réalisé un sondage exclusif1 sur la perception du zéro ressaut par les acteurs professionnels de la filière.Des chiffres qui ont notamment pu être commentés lors du "Grand Dossier du Mondial du Bâtiment" dont le thème était « Accessibilité : en quoi le zéro ressaut en salles de bains impacte-t-il tout le bâtiment ? »Pour débattre autour de cette question et apporter un éclairage d'experts, étaient réunis autour de la table :André AUGST, Vice-président CEP-CICAT Ingénieur IPF expert en accessibilité.Claire LE QUELLEC, Présidente du Conseil Français des Architectes d'Intérieur.Hubert MAITRE, Secrétaire général de Afisb association des industries de la salle de bains.Julien SERRI, Délégué National aux Affaires Techniques du Pôle Habitat FFB.Le zéro ressaut vu par les installateursLes chiffres clés du sondage exclusif des rendez-vous du Mondial du BâtimentLe sondage réalisé à l'occasion de la table ronde par le Mondial du Bâtiment sur le zéro ressaut vu par les installateurs démontre qu'il reste encore beaucoup de choses à éclaircir. En effet, alors que la règlementation impose une zone de douche avec un accès sans ressaut depuis le 1er janvier 2021, 63,2% des personnes ayant répondu au sondage déclarent ne pas le savoir.Ils sont par ailleurs 64,7% à ignorer si l'offre des fournisseurs est suffisante pour répondre à cette obligation et 25,6% à penser qu'elle est insuffisante.Ces chiffres, mais aussi toutes les questions relatives à cette règlementation, ont été longuement débattus par les quatre intervenants du "Grand Dossier du Mondial du Bâtiment".Ce qu'il s'est dit lors du grand débat…Durant 45 minutes, les quatre intervenants ont débattu autour du sujet du zéro ressaut. L'occasion pour eux de revenir sur les aspects positifs de cette réglementation mais aussi sur les points qui restent à éclaircir.Une évolution globalement saluée« Il s'agit d'une évolution naturelle et souhaitable, souligne Hubert Maitre. Aujourd'hui, il y a 9% de personnes handicapés en France et 9 français sur 10 aimeraient pouvoir adapter son logement. Nous devons donc répondre à ces besoins et à ses demandes. »Claire Le Quellec ajoute : « Le logement doit aujourd'hui être évolutif et fonctionnel. En tant qu'architecte, je travaille sur toute l'ergonomie du logement, pas uniquement de la salle de bains. Mais celle-ci représente un défi notamment par ses dimensions souvent restreintes. ».Et pour André Augst : « Il est important de ne pas faire des salles de bains identiques pour tous. La salle de bains doit avant tout rester un lieu agréable à vivre et à regarder, pour toute la famille. »Mais des points à préciser« Les fabricants n'ont pas été impliqués dès le départ des concertations. Aujourd'hui, ils manquent d'éléments concrets pour répondre à ces évolutions, notamment en ce qui concerne les dimensions qui leurs sont demandées pour les produits. », déplore Hubert Maitre rejoint par André Augst : « Il y a un véritable problème au sujet des dimensions demandées car il n'est pas précisé s'il s'agit de dimensions carrelage terminé ou à poser. Et il n'existe pas de bac à douche de 122 cm ! »Pour Julien Serri : « Les chiffres qui concernent la méconnaissance des installateurs sont frappants, mais ce qu'il est aussi important de noter et que nous avons pu constater, c'est que la règlementation est sujette à différentes interprétations. ». De son côté André Augst précise : « Ce qu'il est intéressant de noter, c'est que la loi date en fait de 2005. Elle évolue, certes, mais ne change pas fondamentalement. Et depuis l'origine, l'objectif est d'arriver à la généralisation du zéro ressaut. »Les quatre intervenants déplorent tous par ailleurs les surcoûts qui vont découler de l'application de ce décret et qu'ils estiment à 4 000 € par logement.Des professionnels mobilisés« Les fabricants ont la capacité à créer de nouveaux produits et à s'adapter à de nouveaux modes de fabrication. Ils sont réactifs et à l'écoute. », indique Hubert Maitre.Quant à Julien Serri, il précise : « Nous avons constitué des groupes de travail pour récolter les avis de tous les métiers concernés par ces évolutions. Car il est difficile de faire cohabiter toutes les contraintes des différents métiers. Nous avons donc élaboré un guide qui sera disponible dès septembre pour décrypter ce sujet complexe. »Arrêté « Douche zéro ressaut »Depuis le 1er janvier 2021, dans les logements situés en rez-de-chaussée (pour les permis de construire déposés depuis cette date) ou dans les étages desservis par ascenseur (pour les dépôts à compter du 1er juillet), au moins une salle d'eau, située au niveau d'accès au logement, doit être équipée d'une zone de douche dont l'accès se fait sans ressaut, ou d'une baignoire, laquelle pourra être réaménagée en douche sans intervention sur le gros oeuvre, ni modification du volume de la salle d'eau hormis l'installation de toilettes. Les maisons individuelles (sauf celles construites pour leurs propres propriétaires), ainsi que les logements des bâtiments d'habitation collectifs sont concernés. La surface, rectangulaire, de la zone de douche doit être au minimum de 90 × 120 cm, et la hauteur minimale de 180 cm.L'arrêté du 17 septembre 2020 modifie un précédent texte, datant de 2015 qui imposait seulement que le ressaut de la douche soit « limité afin de permettre son accès en toute sécurité ».Les prochains « Rendez-vous du Mondial du Bâtiment » auront lieu le vendredi 2 juillet.Le Grand Dossier abordera le thème : Quelles solutions pour réduire l'empreinte carbone des chantiers ?
Il y a 3 ans et 345 jours

Les industriels des produits minéraux de la construction créent un éco-organisme pour valoriser les déchets inertes du bâtiment

Afin de répondre à cette nouvelle orientation, les entreprises membres des syndicats et fédérations professionnelles représentant les industries de la pierre de construction, du béton, prêt à l’emploi ou préfabriqué, du granulat et du ciment, ainsi que des enrobés (FIB, Routes de France, SFIC, SNBPE, SNROC, UNICEM, UNPG), se sont coordonnées afin d’étudier la création d’un éco-organisme pour les produits de construction minéraux générant des déchets inertes.Plus de 20 entreprises adhérentes de ces syndicats mènent des actions pour créer cet éco-organisme chargé de financer le traitement des déchets inertes issus des produits minéraux de la construction et de la déconstruction, et d’améliorer les performances de la filière de recyclage. Son actionnariat sera ouvert à l’ensemble des entreprises de la filière minérale. Dans une perspective d’optimisation continue de l’économie circulaire, des entreprises d’autres secteurs pourront également rejoindre cette démarche.Un objectif clair : recycler plus et partout Les déchets inertes issus des produits minéraux de la construction du secteur du bâtiment représentent chaque année 33 millions de tonnes. Avec un taux de performance de 76%, cette filière de valorisation est la plus performante après celle des métaux. Le futur éco-organisme a pour ambition de porter ce taux de performance à 90% d’ici 2028. Pour y parvenir, il s’appuiera sur le maillage du réseau existant de 1 500 sites (déchèterie privée, plateforme de tri ou de recyclage) implantés sur l’ensemble du territoire et auxquels s’ajoutent 500 usines d’enrobés qui recyclent des matériaux récupérés sur les chantiers routiers ou de VRD (voiries et réseaux divers). Ce réseau privé et dédié aux déchets inertes des professionnels du bâtiment est en outre complété par un réseau de 4 000 déchèteries publiques qui réceptionnent les déchets inertes des particuliers.Il s’agira de soutenir financièrement : Les maîtres d’ouvrage exemplaires dont le tri des déchets inertes sur leurs chantiers répond aux standards de collecte séparée permettant leur réemploi ou recyclage. Les collectivités territoriales leur permettant une reprise sans frais des déchets inertes provenant des particuliers, sur les points d’apport volontaire qu’elles exploitent. La mise en place d’un système de traçabilité permettant de soutenir la lutte contre les dépôts sauvages et de distinguer les matériaux destinés au secteur du Bâtiment (soumis à la REP) des matériaux destinés au secteur des Travaux Publics (non soumis à la REP). Cette traçabilité devra s’appuyer sur la transparence de l’éco-contribution pour éviter toute mutualisation des coûts de fonctionnement de la filière REP avec les activités de Travaux Publics explicitement hors du champ d’application de la REP.Les modalités d’organisation et de fonctionnement de l’éco-organisme sont, en lien avec les pouvoirs publics, en cours de définition et seront précisées au début du mois de juillet.
Il y a 3 ans et 345 jours

Concours de design BetteAir

Bette fait appel à tous les esprits créatifs pour concevoir une salle de bain-douche Walk-in avec BetteAir, première dalle de douche au monde. Les architectes, les concepteurs de salles de bains et même les étudiants peuvent laisser libre cours à leur créativité dans ce concours de design BetteAir. Ils pourront gagner une présentation personnelle sur les réseaux sociaux de l'entreprise familiale devant un public exclusif, mais aussi une dalle de douche BetteAir.
Il y a 3 ans et 347 jours

L’OPPBTP édite un nouveau guide pour réduire l’exposition des salariés aux poussières de bois

Les engagements pris prévoyaient, notamment, la réalisation d'une étude (PROPOBOIS) visant à aider les entreprises à réduire l'exposition des salariés aux poussières de bois dans le secteur du bois-construction et de l'ameublement. Cette étude menée durant 18 mois a permis d'élaborer le guide « Poussières de bois : évaluez le risque d'exposition dans votre atelier » qui propose une série de solutions et de recommandations pratiques à mettre en place pour améliorer les conditions de travail.Un guide pédagogique pour une meilleure préventionLe guide « Poussières de bois : évaluez le risque d'exposition dans votre atelier » élaboré conjointement par l'OPPBTP et FCBA a pour ambition d'accompagner les chefs d'entreprise dans l'évaluation de la situation de leur entreprise par rapport au risque poussières de bois et surtout d'identifier les points majeurs d'amélioration et les actions concrètes à mener.La méthode décrite dans cet ouvrage de 71 pages propose un moyen pratique de mieux cerner les enjeux propres à chaque entreprise. Elle s'applique pas à pas et est étayée par un outil établi sur Excel facilitant la saisie des données et les calculs, et grâce auquel il est possible, en toute autonomie :d'identifier les zones de risque majeur d'exposition aux poussières de bois au sein de l'atelier ;de déterminer et de hiérarchiser les actions à mettre en oeuvre ;de participer à la définition des groupes d'exposition similaire dans le cadre du contrôle réglementaire de la valeur limite d'exposition professionnelle (VLEP).Au sommaire de ce guide :Les enjeux d'une bonne maîtrise de l'exposition : des informations relatives aux effets des poussières de bois et l'importance des bonnes pratiques minimales à mettre en oeuvre afin de fixer le cadre pour les entreprises.Les étapes de l'autodiagnostic : ce chapitre traite, étape par étape, de la méthode d'évaluation pour déterminer de manière autonome la situation face au risque de poussières de bois.Les actions correctives après l'autodiagnostic : cette partie aborde l'analyse des résultats de l'autodiagnostic et propose des pistes d'actions correctives pouvant être mises en place afin de réduire le niveau d'exposition des salariés.Annexe 1 : Les appareils de protection respiratoire.Annexe 2 : Quiz d'auto-évaluation des bonnes pratiques.Annexe 3 : Exemples de cas d'application de la méthode.Tout au long de l'élaboration de ce guide, ces éléments ont été validés avec le Copil « Poussières de bois » comprenant des organisations professionnelles de la seconde transformation du bois (l'Ameublement français, CAPEB, UMB de la FFB, UFME, UIPC, UICB SCOP BTP).Le guide est disponible sur les sites de l'OPPBTP et du FCBALes poussières de bois, un enjeu majeur pour la filièreEnviron 444 200 salariés déclarent être exposés aux poussières de bois dans le cadre de leur travail (selon l'enquête SUMER 2010). Or, ces particules peuvent être à l'origine de problèmes de santé allant de la simple atteinte cutanée au développement de cancers des sinus ou des fosses nasales.Réduire l'exposition des salariés aux poussières de bois est donc un enjeu majeur que l'OPPBTP et l'institut FCBA ont souhaité traiter à travers la mise en place d'actions concrètes.La collaboration entre l'OPPBTP et FCBA a été initiée dans le cadre de la convention « Poussières de bois » (2012/2015) signée avec le Ministère du travail, l'INRS, la CNAMTS et les organisations professionnelles des secteurs bois et ameublement. Elle s'est prolongée en 2017 par la réalisation d'une étude (PROPOBOIS) afin de définir une démarche de diagnostic, facilement applicable par les entreprises, pour la détermination des « Groupes d'Exposition Similaire » (GES).Cette étude, menée durant 18 mois auprès de 8 entreprises volontaires du secteur bois-construction et ameublement représentatives de la profession, a permis d'analyser différentes situations d'exposition des salariés en lien avec la nature des procédés mis en oeuvre et à élaborer une série de solutions qui sont aujourd'hui détaillées dans le guide « Poussières de bois : évaluez le risque d'exposition dans votre atelier ».Webinaire (en replay) : prévenir les risques d'exposition aux poussières de bois du Mercredi 19 maiFCBA, avec l'OPPBTP, a organisé un webinaire à destination des entreprises de la filière autour de la méthodologie d'autoévaluation pour prévenir les risques d'exposition aux poussières de bois.Vincent Quint, Responsable Environnement Industriel (FCBA) et Isabelle Monnerais, Responsable de domaine – Risque chimique – Services aux entreprises (OPPBTP) donneront les clés pour réussir son auto-évaluation et présenteront les bénéfices pour les entreprises.Programme de la matinée :Exposition aux poussières de bois et réglementation,Présentation de la méthode d'autoévaluation,Comprendre et maitriser l'exposition des salariés : comment définir un plan d'amélioration ?Questions / Réponses.Pour voir ou revoir ce webinaire, cliquez ici
Il y a 3 ans et 347 jours

Le nouveau siège social d’Orange révèle tout le potentiel du bambou MOSO®

Aucune parcelle architecturale du nouveau siège social d’Orange n’échappe aux solutions bambou de MOSO® International. Installées du sol au plafond en passant par les murs, la prééminence du bambou caractérise ce chantier d’envergure situé à Issy-les-Moulineaux. Idéalement placé dans la ville, le bâtiment est prêt à accueillir 3000 salariés de l’un des principaux opérateurs de télécommunication dans le monde. Ce projet aussi ambitieux que novateur est signé par l’agence VIGUIER, promu par Altarea Cogedim. Un bâtiment marqué par une identité architecturale forte mixant le minéral et le végétal Étendu sur 56 000 m², le nouveau siège d’Orange appelé « Bridge » peut difficilement passer inaperçu à Issy-les-Moulineaux. Son emplacement stratégique, à la fois proche du centre-ville, bien desservi par les transports et en bord de Seine offre une promesse de confort aux futurs occupants des lieux. Pour ce projet fortement symbolique, le cabinet d’architecture VIGUIER a tenu à sélectionner un faible nombre de matériaux afin d’aboutir à un ensemble harmonieux et cohérent entre l’architecture extérieure et intérieure. Le choix du bambou, du métal et du minéral a ainsi permis d’atteindre le résultat attendu, c’est-à-dire un ensemble unifié et clair. Le projet d’architecture d’intérieur a consisté à revêtir de bambou les zones largement ouvertes au public et aux événements, le rez-de-chaussée ou encore les lieux de passage. Découlant de ces zones prédéfinies qui constituent le cœur du projet, le cabinet a assuré une continuité du revêtement en bambou à travers les ascenseurs, leurs paliers, les sanitaires et les terrasses intérieures situées dans les étages. Dans la même logique, cette démarche a été déclinée sur les espaces paysagers extérieurs, c’est-à-dire sur la terrasse du toit, sur les balcons et le parvis. Un accompagnement sur-mesure opéré par un partenaire de confiance Le choix du matériau végétal ne s’est pas porté immédiatement sur le bambou, et ne devait concerner au départ que le parquet. L’architecte prônait initialement le chêne dont l’option semblait pertinente au vu du déploiement prévu sur des espaces larges, variés et particulièrement sollicités par les passages. Le promoteur investisseur était surtout soucieux de la pérennité que pouvait offrir le matériau choisi, considéré comme le point essentiel du projet. En premier lieu, le bambou a séduit par ses qualités techniques. Ce matériau remplissait toutes les contraintes en matière de résistance au poinçonnement, et il présentait de forts atouts en matière de durabilité et de flexibilité. Ainsi, sa souplesse autorisait toutes les audaces créatives. Il restait toutefois un dernier point à satisfaire : la tonalité du bambou devrait se rapprocher de celle du chêne. Soucieux de répondre à cette exigence esthétique, MOSO® a su faire preuve d’écoute et d’adaptabilité. La société a mobilisé les équipes de son site de production, situé en Chine, pour contretyper la teinte du revêtement sol jusqu’à l’obtention de la finition souhaitée. Convaincue, l’agence d’architecture décide alors de décliner le bambou non seulement sur les sols, mais également sur les murs et plafonds. Possibilités illimitées avec les solutions MOSO® Bambou Le bambou est un matériau flexible offrant des possibilités illimitées en termes d’application. Selon le mode de fabrication, il peut tout aussi bien être installé à l’intérieur qu’à l’extérieur. Les architectes en charge du projet Bridge Pont d’Issy l’ont bien compris ; le matériau est décliné sous plusieurs formes, ajoutant dans chaque espace une touche naturelle, qualitative et chaleureuse. Des sols en bambou– intérieur et extérieur Au total, 8 600 m2 de sol BambooPlex sont installés à l’intérieur de l’édifice, dans des zones de passage et des marches d’escalier. Le sol BambooPlex, muni d’une couche d’usure en bambou Density® de 4,5 mm d’épaisseur, assure une résistance au trafic intense. MOSO® BambooPlex dispose d’une haute stabilité permettant également une installation sur sol chauffant. Enfin, il a été livré avec une certification FSC afin de répondre aux exigences environnementales du projet. En extérieur, 1 200 m2 de terrasse Bamboo X-treme® habillent le toit et les balcons, créant une continuité entre l’intérieur et l’extérieur du bâtiment. MOSO® Bamboo X-treme® est une lame de terrasse combinant un thermo-traitement avec une compression à haute densité des lamelles de bambou. Grâce à ce procédé, la solution bénéficie de la plus haute durabilité. Elle est certifiée Classe 1 en termes de durabilité biologique (selon EN 350 / CEN/TS 15083-2, test de bois enterrés Classe 1 EN 350 / CEN/TS 15083-1) et une classe d’usage Classe 4 (selon EN 335). Panneaux, placages et carrelets en bambou L’auditorium est revêtu en extérieur et intérieur de placages en bambou et de rouleaux flexibles Flexbamboo s’adaptant parfaitement aux courbes de cet espace. Pour répondre aux exigences de performances acoustiques, le placage en bambou est appliqué sur des panneaux acoustiques. Les dossiers et tablettes des assises sont également recouverts de placage en bambou. Les carrelets MOSO® Bambou ornent les faux plafond et mur rideaux. Les industriels ont eux-mêmes opéré le travail de finition dans le même esprit que la réalisation du parquet, à partir des solutions MOSO® fournies à l’état brut. Ainsi, les teintes ont subi la variation de couleurs attendue à chaque itération. Les panneaux massifs MOSO® Bambou permettent de créer d’élégantes mains courantes, portes et huisseries. Les 3 atouts majeurs des produits MOSO® Bambou La dureté favorise la pérennité des revêtements Les produits MOSO® Bambou offrent de nombreux avantages, tels qu’une dureté exceptionnelle, grâce à un procédé de compression à haute densité des lamelles de bambou.  Celui-ci permet d’obtenir une résistance Brinell supérieure à 9.5kg/mm2 selon la norme EN1534 pour les solutions Density® et Bamboo X-treme®. Les solutions sont déclinables sans fin Les produits MOSO® Bambou se démarquent également par leur stabilité dimensionnelle considérable avec des coefficients de dilatation très faibles, comparés à toutes les essences de bois. Ils sont ainsi tout à fait adaptés à des environnements à fortes contraintes et à fort trafic. Il répond à de nombreuses applications, telles que les sols, murs, extérieurs couverts, bardage…. Le bambou possède des caractéristiques mécaniques proches des bois tropicaux, ce qui favorise sa dureté et sa résistance, y compris au feu. La durabilité en faveur des enjeux environnementaux Le bambou MOSO® est un matériau durable. Ce n’est pas un bois, mais une graminée. Cette plante présente la croissance la plus rapide au monde, pouvant aller jusqu’à 1 mètre par jour. Grâce à son système de rhizomes permettant un renouvellement des cannes de bambou très élevé, sa production n’occasionne pas de déforestation. Cet aspect essentiel participe à réduire l’impact environnemental. Les produits MOSO® Bambou permettent d’obtenir de nombreux crédits de différents écolabels comme HQE, BREEAM et LEED. L’analyse du cycle de vie des produits MOSO® Bambou, réalisée de manière indépendante par l’Université de Delft aux Pays-Bas, démontre l’empreinte carbone neutre des produits MOSO®. Plus récemment, MOSO® offre la possibilité de calculer les émissions carbone retenues dans un projet selon les produits employés. L’étroite collaboration avec MOSO® International a permis de répondre aux attentes techniques et esthétiques de ce projet architectural ambitieux. La présence du bambou a finalement donné du contraste à la tonalité blanche de l’architecture et a apporté une note chaleureuse à l’ensemble. Détails du projet Orange – Siège social Lieu : Issy-les-Moulineaux (92) Architecte : Agence VIGUIER Promoteur investisseur : Altarea Cogedim. Applications en bambou : 8600m2 sol BambooPlex Density® Naturel, certifié FSC installation sur sol chauffant (produit sur-mesure conçu pour le projet) ; Installateur : INTERSOL 3000m2 placages fins vertical pour panneaux acoustiques ; Industriel : Topakoustic ; Installateur : BOISTECH 80m3 carrelets vertical (section 20X55mm) pour plafonds acoustiques ; Industriel : Laudescher Installateur : CERTAC 20m3 carrelets Bamboo N-Finity pour murs rideaux ; Industriel et installateur : DAUBIGNEY (pour Goyer) — Panneaux massifs (Vertical Caramel) et mains courantes et portes ; Industriel et installateur : DAUBIGNEY (pour Goyer) — Placage fin (Vertical Caramel) pour portes ; Industriel et installateur : BOISTECH 1200m2 Terrasse Bamboo X-treme® (toit terrasse) ; Installateur : SPORTS ET PAYSAGES Légende photo : Daniel Osso et MOSO® Bambou  À propos de Moso Avec une expérience de plus de 20 ans, MOSO® international est le pionnier des solutions innovatrices en bambou pour l’intérieur comme l’extérieur et le seul producteur de bambou à intervenir mondialement. Basé aux Pays-Bas, MOSO® international possède des bureaux en Espagne, en Italie, en Afrique du Sud, en Chine, aux Etats-Unis et aux Emirats Arabes Unis et compte 75 collaborateurs au total. www.moso-bamboo.com/fr/
Il y a 3 ans et 347 jours

LES GAMMES JOY ET CONCA RÉCOMPENSÉES PAR DEUX PRIX INTERNATIONAUX DE DESIGN PRESTIGIEUX

Les mitigeurs Joy et le lavabo Conca, deux gammes d’Atelier Collections d’Ideal Standard, ont été récompensés par les iF DESIGN AWARDS et les Red Dot Design Awards, deux prix prestigieux de renommée internationale. Les produits Atelier Collections sont le résultat du partenariat exclusif d’Ideal Standard avec le célèbre studio de design italien Palomba Serafini Associati et représentent l’engagement de la marque à façonner l’avenir de la vie moderne à travers le design. Co-fondateur de PS+A, Roberto Palomba, qui a été reconduit dans ses fonctions de Chief Design Officer d’Ideal Standard, s’est inspiré du riche héritage du fabricant pour développer les collections, notamment la robinetterie Joy et le lavabo en céramique Conca, visant à réunir innovation et beauté pour un résultat intemporel. Esthétiquement, Joy s’inspire de greffes botaniques, avec une conception en fonte unique assurant une pièce à la silhouette élancée et moderne, facile à nettoyer et disponible en quatre finitions saisissantes : chrome, gris orage, or brossé et gris magnétique. La simplicité pure de Joy le rend extrêmement polyvalent, complétant à la fois les céramiques carrées et rondes et s’adaptant à une variété de styles de salle de bain. Joy participe également à la réduction de la consommation d’eau à 5 L/min, tandis que la cartouche à disque en céramique FirmaFlow d’Ideal Standard offre les réglages de température les plus fins pour une expérience utilisateur plus confortable. La gamme de produits céramiques Conca fait partie de la collection plus large Conca, qui comprend également de la robinetterie, des meubles et une baignoire. Les courbes organiques et les détails sensuels sont au cœur de Conca, avec des technologies de pointe permettant non seulement de nouveaux niveaux de pureté dans la conception grâce aux lignes fines du lavabo, mais aussi une utilisation optimisée et respectueuse des matières premières. Bien qu’il soit conçu pour la vie contemporaine, Conca est également enraciné dans la riche histoire du design d’Ideal Standard, s’inspirant de la collection classique de la marque du même nom, conçue par Paolo Tilche en 1972. Ce sont les approches de conception uniques et innovantes de ces deux produits qui ont séduit et convaincu les jury indépendants du iF DESIGN AWARD et du Red Dot Award. Roberto Palomba, co-fondateur de PS+A et directeur de la conception chez Ideal Standard, a déclaré : « Nous sommes ravis d’avoir remporté ces deux prix très importants, qui reconnaissent le travail acharné et le dévouement qui ont permis de consolider la position d’Ideal Standard en tant que chef de file du design. Ces prix nous encouragent à continuer dans cette voie ». Pour plus d’informations sur Joy et Conca, visitez : https://www.idealstandard.fr/produits/collections/conca et https://www.idealstandard.fr/produits/collections/joy Pour plus d’informations sur les gammes Atelier Collections, visitez : https://www.idealstandard.fr/produits/atelier À propos du iF DESIGN AWARD Depuis 67 ans, le iF DESIGN AWARD est reconnu comme un arbitre de qualité pour un design d’exception. Le label iF est réputé dans le monde entier pour ses services de design exceptionnels, et le iF DESIGN AWARD est l’un des prix de design les plus importants au monde. Les soumissions sont décernées dans les disciplines suivantes : conception de produits, d’emballages, de communication et de services, architecture et architecture d’intérieur ainsi que concept professionnel, expérience utilisateur (UX) et interface utilisateur (UI). Toutes les candidatures récompensées sont présentées dans le iF WORLD DESIGN GUIDE et dans l’application iF design. À propos du Red Dot Design Award Afin d’apprécier la diversité dans le domaine du design de manière professionnelle, le Red Dot Design Award se décompose en trois disciplines du Red Dot Award : Product Design, Red Dot Award : Brands & Communication Design et Red Dot Award : Design Concept . Avec plus de 18 000 candidatures, le Red Dot Award est l’un des plus grands concours de design au monde. En 1955, un jury s’est réuni pour la première fois pour évaluer les meilleurs designs de l’époque. Dans les années 1990, le Dr Peter Zec, PDG de Red Dot, a développé le nom et la marque du prix. Depuis lors, la distinction recherchée «Red Dot» est le sceau international vénéré d’une qualité de conception exceptionnelle. Les lauréats sont présentés dans les annuaires, les musées et en ligne. Plus d’informations sont disponibles sur www.red-dot.de. A propos d’Ideal Standard International Ideal Standard International est l’un des principaux fabricants mondiaux de solutions de salle de bains résidentielles, commerciales et médicales de haute qualité. Basée à Bruxelles, en Belgique, l’entreprise privée emploie près de 9 500 personnes et exploite 17 sites de fabrication, desservant plus de 60 pays à travers l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique. En utilisant les dernières technologies et en travaillant avec des designers de classe mondiale, la société se concentre sur le développement de solutions de salle de bain innovantes dans plusieurs catégories de produits, notamment la céramique de salle de bain, les robinets et les raccords, le bain et le bien-être et les meubles et accessoires. Ses produits sont vendus sous de fortes marques internationales et locales telles que Ideal Standard, Armitage Shanks (Royaume-Uni), Porcher (France), Ceramica Dolomite (Italie) et Vidima (Europe de l’Est). https://www.idealstandard.fr/
Il y a 3 ans et 347 jours

Projet de recherche « Odyssée des matériaux en feu extrême »

L'un des objectifs est d'élaborer des matériaux et des assemblages de matériaux possédant une faible inflammabilité, protégeant des substrats variés et limitant la propagation du feu. Il s'agira également de comprendre les effets de la microgravité sur le comportement au feu de polymères FR en plus des hauts flux de chaleur.Ses travaux s'inscrivent dans la continuité du projet « FireBar-Concept » pour lequel le Professeur Bourbigot avait obtenu une bourse de l'ERC (European Research Council) en 2015 et qui visait à élaborer des matériaux et des assemblages de matériaux ayant une faible inflammabilité, protégeant les substrats et limitant la propagation de l'incendie.De l'UMET à l'IUF : 30 années de recherche consacrées à accroître la résistance au feu des matériauxLes travaux sur le feu et la résistance des matériaux de Serge Bourbigot font référence depuis de nombreuses années. Sa nomination à l'IUF en octobre 2020 vient distinguer l'excellence scientifique et académique de ses activités de recherche en chimie et matériaux.Avec les 15 chercheurs de son équipe (enseignant-chercheurs, chercheurs, ingénieurs, doctorants et postdoctorants), il concentre ses travaux actuels sur la résistance et la réaction au feu des matériaux polymères, sa volonté étant d'élaborer de nouveaux matériaux qui ne s'enflamment pas en cas de stress et de développer les propriétés d'ignifugation de matériaux existants. Il travaille aussi à la modélisation des comportements des matériaux et du feu dans un environnement agressif et complexe, et au développement de méthodes de caractérisation et de mesures originales. Ses travaux se déclinent autour de deux axes : (i) Procédés d'élaboration de matériaux additivés et de revêtements (synergie et formulation, extrusion réactive, nanocomposite, spectrochimie) et (ii) Similitude et modélisation (réduction d'échelle et analyse dimensionnelle, analyse cinétique, modèle de pyrolyse).Pour cela, le Professeur Bourbigot exploite le potentiel offert par les nouvelles techniques de simulation numérique qui permettent de toucher du doigt les limites de certaines idées et d'explorer d'autres champs d'investigation. En conceptualisant les protections au feu par des assemblages numériques et par la simulation, il peut définir et optimiser de nouveaux designs de multi-matériaux. Il aborde les aspects de similitude pour créer des scénarios 'feu' à échelle réduite. Cela lui apporte une grande flexibilité dans ses expériences et de la rapidité dans le développement de nouveaux matériaux performants.Trois domaines plus particulèrement investis en 2021En termes de domaines d'application, Serge Bourbigot et son équipe travaillent sur :le secteur du nucléaire - par exemple, pour contribuer à la longévité des centrales, ce qui requiert l'installation de systèmes et équipements spécifiques à base de matériaux adaptés au feu (clapets anti-feu, chatières, câbles ...) ;les batteries électriques telles celles installées dans les voitures ou les avions et qui nécessitent des protections spécifiques pour parer ou retarder le déclenchement de l'incendie en cas de prise de feu ;les milieux confinés où les charges thermiques croissent très vite et ont un très grand rayon d'action, sur des sites spécifiques type plateformes pétrolières ou raffineries où le feu se propage sous forme de jets, ou encore dans des espaces en microgravité comme au sein des fusées et de la station spatiale internationale.Sur ce point, un projet multi-partenarial est en cours, mobilisant des équipes de Centrale Lille, de Sorbonne Université et de Aix-Marseille Université. Déposé auprès du CNES, il regarde comment se comportent des polymères retardés à la flamme agissant en phase gaz (libération de radicaux libres phosphorés) ou en phase condensée (phénomènes d'intumescence physique et chimique).Diplômé de l'ENSCL (promotion 1990), Serge Bourbigot est docteur en spectrochimie, et habilité à diriger des recherches depuis 1993. Maître de conférences à l'ENSCL de 1995 à 1999, il devient professeur des universités en 1999 et rejoint l'ENSAIT de 1999 à 2003, avant de revenir à l'ENSCL en 2003 et depuis 2020 à Centrale Lille.Rattaché à l'UMET (Unité Matériaux et Transformation, CNRS UMR 8207), il est responsable de l'axe de recherche dédié à l'ingénierie des systèmes polymères et pilote l'équipe sur la réaction et la résistance au feu des matériaux.Il a participé au dépôt d'une dizaine de brevets.Le 1er octobre 2020, il a été a été nommé membre Senior de l'IUF (Institut universitaire de France) pour 5 ans.
Il y a 3 ans et 347 jours

Euro 2021 : BRZ F rance reprend la parole avec une nouvel le campagne décalée

Après avoir créé le premier concours de fantasy foot à l’occasion Batimat 2019, BRZ France lance une nouvelle campagne de communication vers les professionnels du bâtiment à l’occasion de l’Euro 2021. Spécialiste européen de l’organisation et de la gestion informatique pour les entreprises du BTP, BRZ propose son propre jeu de pronostiques Pronos – Euro 2021. Seule particularité : le jeu se joue en équipe de 2 personnes et l’un des joueurs doit être un professionnel du BTP ! Le jeu concours de BRZ se joue en ligne sur la plateforme , imaginée par Martin Jaglin, le créateur de l’application MPG (Mon PetitGazon). Le jeu Pronos – Euro 2021 sera animé et commenté quotidiennement par Arthur Ray, le youtubeur spécialiste du football. Grâce à une campagne décalée et interactive, BRZ souhaite parler directement à tous les professionnels du bâtiment, quel que soit leur spécialisation, leur structure ou leur âge. Le jeu Pronos – Euro 2021 permet de créer une communauté autour du jeu et du football, sans distinction et sans hiérarchie, seul le pronostique compte ! Plus qu’une image de marque, cette campagne est l’occasion d’apporter un peu de convivialité dans une période où les relations humaines sont moins fréquentes. Les joueurs devront en effet faire équipe en binôme, s’accorder sur les pronostics et affronter d’autres professionnels du bâtiment pour gagner ensemble ! En lien avec les solutions BRZ qui favorisent le travail collaboratif (ERP) et permettent une bonne organisation des ressources humaines, cette initiative porte les valeurs humaines et conviviales de l’entreprise. Sans oublier l’originalité pour fédérer les professionnels à travers toute la France. Le jeu est disponible en ligne sur www.monpetitprono.com ou sur application gratuite MonPetitProno, durant toute la durée de l’Euro 2021 (du 11 juin au 11 juillet 2021). Les joueurs les mieux classés seront récompensés en fin de Championnat par des chèques-cadeaux (de 30 à 500 €).
Il y a 3 ans et 347 jours

La nouvelle application web InSite Construction de Peri

Les capteurs permettent d’envoyer les données vers l’unité principale, puis vers l’application. Ceci, pour les analyser ensuite depuis n’importe quel lieu. [©Peri] La nouvelle application web Peri InSite Construction est lancée. Elle permet aux utilisateurs de maîtriser leur béton à tout moment et depuis n’importe quel lieu ! L’ensemble Peri InSite Construction se compose d’une valise technique contenant une unité principale, des câbles de sondes thermocouples et plusieurs capteurs béton. Ces derniers permettent de collecter de nombreuses données de température ou de résistance pour les intégrer dans l’application web. L’objectif est de les analyser ensuite depuis n’importe quel lieu. Il suffit ainsi de préparer le câble de sondes thermocouples et de le connecter au boîtier des capteurs béton. L’ensemble Peri InSite Construction L’application web InSite donne un aperçu de l’ensemble du processus de bétonnage. L’accès est possible depuis différents appareils (ordinateur, tablette, smartphone). L’interface intuitive affiche en temps réel des informations sur le processus de bétonnage et sur la résistance du béton. Plusieurs tableaux de bord peuvent être configurés pour chaque projet. Des fonctions de notification et de blog facilitent la communication au sein de l’équipe projet. Enfin, la réception d’une notification est instantanée quand une valeur-cible définie est atteinte. 
Il y a 3 ans et 347 jours

Les propositions de la Fédération CINOV pour les élections régionales

Actrices essentielles des mutations en cours, les professions de la branche BETIC (bureaux d'études techniques, cabinets d'ingénieurs-conseils et sociétés de conseils) se tiennent à disposition des futurs exécutifs régionaux pour les accompagner dans la mise en oeuvre de projets innovants, susceptibles de faire rayonner les régions et qui bénéficieront en premier lieu au tissu économique local et aux habitants desdits territoires.Les métiers de la prestation de services intellectuels, acteurs essentiels du développement régionalA travers ses propositions, la Fédération CINOV tient d'abord à rappeler le rôle de premier plan joué par les professions de la prestation de services intellectuels du Conseil, de l'Ingénierie et du Numérique dans le développement économique à tous les niveaux : communal, intercommunal, départemental, régional, national et européen.Cela se vérifie particulièrement à l'échelon régional – les leviers de compétence de ces collectivités étant complémentaires des expertises, des domaines d'action et des processus décisionnels propres aux métiers de la branche. Selon Frédéric LAFAGE, Président de CINOV, « les professions [représentées par la Fédération] sont aujourd'hui connues de tous : pas un hôpital, un lycée, une route, un immeuble, une voie ferroviaire, une organisation d'entreprise, une application logicielle, une transition numérique, ne se réalise sans le recours à nos métiers ».Des propositions pour une relance économique réussie et une sortie de crise maîtriséePour répondre aux enjeux auxquels seront confrontés les futurs exécutifs régionaux, la Fédération CINOV leur tend la main et les invite à faire appel à son expertise et à son savoir-faire dans l'élaboration et la mise en oeuvre de leurs programmes politiques, notamment dans les domaines du développement économique, de la commande publique, de la transition numérique et de la formation professionnelle.Pour favoriser le développement économique des territoires, CINOV appelle d'abord les futurs présidents de régions et leurs équipes à simplifier et à numériser les démarches administratives d'accès au financement public, en créant un interlocuteur unique pour le dépôt des dossiers de financement des TPME, mutualisant l'ensemble des ressources disponibles (aides du plan de relance, subventions régionales, prêts bancaires, fonds européens…).« Nous appelons également à faciliter la reprise des secteurs culturel et touristique, à éviter la concurrence déloyale de l'ingénierie publique, à faciliter l'accès des TPME à la commande publique et à la rendre plus responsable, en intégrant à chaque contrat des mesures de performance réelle », précise Frédéric LAFAGE, Président de la Fédération.Priorité doit être donnée à la transition numérique et à la formation professionnelle !La Fédération CINOV considère par ailleurs que la réussite économique des territoires à moyen terme passera essentiellement par la réussite de leur transition numérique. « Nous appelons donc les futurs exécutifs régionaux à accélérer la transition numérique des collectivités dont ils auront la charge, et à poursuivre le soutien et la participation active des Régions à la transition numérique des TPME », déclare Frédéric LAFAGE.A cet effet, CINOV propose par exemple d'intégrer le numérique dans les concours et le parcours obligatoire de formation – initiale et continue – de l'ensemble des fonctionnaires, notamment territoriaux. La Fédération propose également d'affecter les dépenses numériques en section d'investissement, et non de fonctionnement, ce qui permettrait d'en augmenter les financements. Enfin, l'une des pistes complémentaires envisagées par CINOV pourrait être de créer, à l'initiative des Régions, des ateliers de la transition écologique et numérique.Outre les enjeux de relance économique, de commande publique et de transition numérique, la Fédération CINOV invite les futurs exécutifs régionaux, à travers la Stratégie Régionale pour l'Enseignement Supérieur, la Recherche et l'Innovation (SRESRI), à adapter l'offre de formation et d'apprentissage aux besoins réels des écosystèmes locaux. En effet, rappelle Frédéric LAFAGE, « seule une collaboration active et approfondie entre les services régionaux, les universités et acteurs de l'enseignement supérieur et les représentants de l'écosystème local permettra de faire gagner en visibilité tout un panel de métiers aujourd'hui méconnus, et de mieux répondre aux besoins du marché de l'emploi dans ces écosystèmes. »Les 8 propositions structurantes de la Fédération CINOV pour les élections régionales des 20 et 27 juin 2021 :Simplifier et numériser les démarches administratives d'accès au financement public ;Faciliter la reprise des secteurs culturel et touristique ;Eviter une concurrence déloyale de l'ingénierie publique ;Faciliter l'accès des TPME à la commande publique ;Développer une commande publique responsable en intégrant, à chaque contrat, des mesures de performance réelle ;Accélérer la transformation numérique de la collectivité ;Poursuivre le soutien et à la participation active de la Région à la transition numérique des TPME ;Adapter l'offre de formation et d'apprentissage aux besoins réels de l'écosystème local.
Il y a 3 ans et 349 jours

Veolia et les élèves de l'École des Ingénieurs de la Ville de Paris repensent la ville d'après la Covid-19

La semaine s’est achevée avec une remise de prix aux projets étudiants qui pourraient voir le jour et redessiner la ville après la Covid-19 :1er prix, WELL C' HOME : Un projet d'onboarding game facilitant l'intégration des nouvelles et nouveaux salarié·es impacté.es par le télétravail.2ème prix, MASK HAS BIN : projet d’expérimentation, sur le parvis de la Défense, d’une collecte intelligente de masques dans un conteneur intégrant un processus de désinfection en vue d’une revalorisation. Sensibilisation du public aux enjeux environnementaux liés aux masques jetables dans un lieu comptabilisant jusqu’à 5000 passages par heure : aller au-delà de la simple collecte pour encourager la revalorisation. La bin contiendrait un système de désinfection des masques et, via une application, encouragerait le dépôt des masques via un système de points attribués à chaque usager.et deux coups de cœur : PROX'EAT : application collaborative permettant de commander un repas « maison » chez son voisin ou de de vendre ses petits plats à ses voisins NEIGH BEEZ' : application géolocalisée destinée à faciliter le rapprochement entre voisins via l’échange de servicesLes défis de la COVID 19 ont rendu indispensable l’émergence d’une ville plus résiliente et écologique, moins exposée aux risques sanitaires. Pendant une semaine, les élèves de deuxième année de l’EIVP se sont appuyées sur l’expérience de professionnels de la transformation écologique et sur leurs acquis pour mettre en œuvre le Design Sprint : une méthodologie qui vise à répondre à une problématique d’ingénierie à partir d’un prototype testé auprès d’utilisateurs.À l'issue de la semaine, 16 équipes d’étudiants ont présenté leurs projets devant un jury d’experts, au cours d’une cérémonie de clôture qui a récompensé les deux meilleurs projets et a décerné deux prix coup de cœur du jury. Pour Franck Jung, Directeur de l’EIVP, il est « primordial, dans un monde urbain en profonde redéfinition suite à la crise sanitaire en cours, d’intégrer au cursus d’ingénieur, qui plus est en génie urbain, les bons outils pour faire émerger des solutions via des projets de start-ups, d’association ou d’entreprises sociales et solidaires en les initiant, par exemple, au Design Thinking : partir des usages et des besoins des usagers avant d’envisager la conception. Cette semaine de l’innovation s’intègre ainsi parfaitement à notre récente réforme du cycle ingénieur·e qui vise à développer ce type d’approche ».Jean-Marie Lambert, Directeur Général des ressources humaines de Veolia déclare : « L’innovation permanente représente un levier pour que la transformation écologique devienne une réalité. Chez Veolia, nous concevons nos solutions avec comme objectif l’impact maximal qu’elles peuvent apporter à l’ensemble des parties prenantes : c’est cet esprit que nous voulons transmettre aux étudiants ».L’EIVP : L’École des Ingénieurs de la Ville de Paris (EIVP), située dans le 19ème arrondissement de Paris, est la Grande Ecole d’Ingénieur·e·s du Génie Urbain. Elle est la référence en matière d’enseignement et de recherche sur les thématiques d’aménagement et de management durable des villes. En 2020, elle a cofondé, avec l’EAVT, l’ENSG, l’ESIEE, l’IFSTTAR et l’UPEM, l’Université Gustave Eiffel. Chaque année, l’EIVP diplôme plus de 150 professionnels dont 110 ingénieur·e·s qui feront les villes de demain avec une approche transversale des projets urbains.