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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Divers

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Il y a 4 ans et 18 jours

Karinne Bidaud, première femme franchisée de FHV, traverse la crise sanitaire

Portrait de Karinne Bidaud, première femme franchisée de FHVDe formation commerciale, Karinne a travaillé pendant de longues années dans le commerce, en grande distribution puis dans le secteur de l’animalerie. Elle a toujours été attirée par les métiers du bâtiment, un secteur qui ne compte que 12,4% de femmes selon les chiffres de 2019 de la Fédération Française du Bâtiment.Élue à la CCI et membre d’une association de chefs d’entreprise, Karinne décide de se lancer. Pour elle, le choix de la ventilation, un métier peu connu, s’est imposé comme une évidence : « Au cours de ma carrière, j'ai été amenée à réfléchir sur la démarche RSE des entreprises, sur leur impact écologique, sur le bien-être au travail et sur les problématiques liées aux économies d’énergie ».Séduite par le professionnalisme de l’enseigne et les valeurs de son fondateur, Karine se forme au siège de FHV et ouvre l’agence de Niort en 2020.Une agence de proximité dynamiqueTenace, organisée et enthousiaste, Karinne a mis les bouchées doubles pour démarrer son activité en pleine crise sanitaire. Elle s’est entourée d’opérateurs pouvant intervenir seuls ou en binôme dans les Deux-Sèvres et la Vienne.L’agence compte déjà de nombreux clients : des restaurateurs, industriels, collectivités, syndics de copropriété, petites et grandes entreprises de tous secteurs d’activité. Ainsi que des particuliers, qui font de plus en plus appel à FHV pour purifier leur air intérieur. L’agence FHV de Niort est située au 451, avenue de Paris.La surveillance de la qualité d’air intérieur : focus sur les nouveaux services de FHVEn 2013, les ministères de l’Environnement et de la Santé ont lancé le Plan d’actions sur la qualité de l’air intérieur. FHV accompagne les ERP dans l’application de ce plan qui vise à améliorer la qualité de l’air dans les espaces clos avec ses nouveaux services de surveillance de la qualité de l’air intérieur.Les agences de France Hygiène Ventilation ont ainsi mis en place un service d’accompagnement en trois étapes :Évaluation des moyens d’aération. Le technicien FHV vérifie les installations de ventilation naturelle et mécanique en prenant en compte la date de construction du bâtiment, les travaux de rénovation effectués et les caractéristiques des ouvrants.Remise d’un rapport détaillé. Après la visite, l’intervenant remet un rapport détaillé au chef d’établissement, en lui expliquant les diverses données recueillies et ses observations. Il présente ensuite une série d’actions à mettre en place pour mettre l’établissement en conformité avec la loi Grenelle II. Ces actions peuvent être, par exemple, l’application de gestes quotidiens, le remplacement des produits d’entretien ou le nettoyage complet des systèmes de VMC.Formation au guide pratique et aux fiches d’autodiagnostic. FHV met à la disposition de ses clients un guide et des fiches qui facilitent l’application du Plan d’actions sur la qualité de l’air intérieur. Pour orienter ses clients, FHV propose un accompagnement sur mesure à l’utilisation de ces documents essentiels.Les équipes de FHV peuvent en outre effectuer un suivi personnalisé grâce à des capteurs connectés, développés par FHV, qui mesurent le taux de pollution dans l’air intérieur de l’établissement. Une fois le mois d’audit écoulé, elles remettent un rapport détaillé et proposent des conseils et des solutions pour améliorer la qualité de l’air.La purification de l’air intérieur, une priorité sanitaireLes équipes de FHV assurent également un service d’assainissement de l’air intérieur qui participe activement à l’élimination des composés organiques volatils, bactéries, germes, moisissures, odeurs et particules.FHV propose des purificateurs d’air nouvelle génération ultra-performants qui purifient naturellement l’air ambiant et évitent la propagation de micro-organisme. Les agences offrent un service clé en main qui comprend la mise en service de l’appareil et sa maintenance tout au long de l’année.
Il y a 4 ans et 18 jours

LOC8 : l’innovation Leica Geosystems pour sécuriser les instruments topographiques

Avec l’essor des appareils topographiques de haute précision, comme les stations totales robotisées, les vols de matériels se sont multipliés, tant sur les chantiers que dans les bureaux ou les véhicules des opérateurs. Ce phénomène impacte fortement la rentabilité des chantiers et le quotidien des professionnels. Pour répondre à cette problématique, Leica Geosystems a conçu LOC8 dès 2019. Cette fonctionnalité innovante adaptée aux stations totales robotisées de dernière génération (modèles TS13, TS16, MS60, TS60 et TM60) permet aux professionnels de suivre, localiser et verrouiller leurs stations totales à distance. Via une application smartphone, tablette ou ordinateur, LOC8 permet aux opérateurs de savoir à tout moment où se situent leurs instruments, pour plus de sérénité et d’efficacité. Grâce à une fonction GPS, A-GPS et WLAN, l’appareil peut être localisé avec précision (moins de 5 m avec le GPS) à l’intérieur comme à l’extérieur, et en temps réel. Leica LOC8 permet en outre de définir des zones géographiques prédéfinies, autour du bureau ou du chantier. La création de ces barrières virtuelles permet de recevoir une alerte dès qu’un instrument sort de ces zones. Véritable outil de gestion de flotte mais aussi de dissuasion contre le vol, Leica LOC8 offre la possibilité de verrouiller et de déverrouiller à distance les stations totales d’un simple clic via l’application ou la plateforme web, même lorsque la station n’est pas sous tension. Lorsque le verrouillage à distance est activé, l’appareil est immédiatement détecté lorsqu’il est allumé, et inutilisable. 
Il y a 4 ans et 19 jours

Une isolation extérieure au triple bénéfice pour une résidence à Montrouge

Les 48 familles locataires de la résidence de la Vanne, à Montrouge (Hauts-de-Seine), apprécient la nouvelle image de leur immeuble ainsi que le confort apporté par les travaux réalisés en 2019. Cet immeuble de neuf étages situé au 46 ter rue de la Vanne a été construit au tournant de la décennie 1970. Après une consultation des habitants en 2017, CDC Habitat Social lance un projet global de rénovation énergétique du bâtiment : l'isolation complète des façades, l'isolation de la toiture terrasse, l'installation d'un système performant de ventilation mécanique contrôlée (VMC), le remplacement de la ventilation des parties communes en tirage naturel par un dispositif sous asservissement et le remplacement des fenêtres et portes-fenêtres, ainsi que la rénovation des parties communes et l'aménagement des espaces extérieurs.Objectif label BBC Effinergie rénovationAvant travaux, la consommation énergétique du bâtiment calculée par le bureau d'études thermiques ATPS est de 212 kWh/m².an. « Notre objectif est d'atteindre après travaux le niveau de performance du label BBC Effinergie rénovation, soit une consommation d'énergie primaire de 104 kWh/m².an », avance Raphaël Athané, responsable de programmes au sein de Grand Paris Habitat, GIE maîtrise d'ouvrage de CDC Habitat.Pour les façades, c'est l'isolation thermique par l'extérieur (ITE) qui s'impose comme la solution la plus efficace pour atteindre cet objectif ambitieux puisqu'elle constitue une véritable enveloppe du bâtiment. En outre, elle présente l'avantage de ne pas réduire la surface habitable et d'être mise en œuvre sans entrer dans les logements. « Ce bâtiment du début des années 1970 se prêtait bien à une telle réhabilitation thermique, observe Raphaël Athané. Sa forme parallélépipédique sans décrochements, compacte, était particulièrement adaptée à une isolation par l'extérieur ».Isolant incombustibleMais l'incendie de la tour Grenfell reste dans toutes les mémoires. Survenu en juin 2017 dans un immeuble de logements sociaux de 24 étages à Londres, il a fait près de 80 morts. Le feu serait parti d'un studio du quatrième étage et se serait propagé par une fenêtre ouverte vers les étages supérieurs par le bardage et un isolant inflammable posés lors d'une récente rénovation.Depuis ce drame, la réglementation est plus exigeante, demandant dans certains cas de vérifier la masse combustible mobilisable en cas d'incendie. Aussi les professionnels se montrent-ils prudents dans le choix des isolants.Pour la résidence de la Vanne, le maître d'œuvre Eric Roumilhac choisit la sécurité en prescrivant sur l'ensemble de la façade la mise en œuvre d'un système d'isolation extérieure avec isolant incombustible constitué de panneaux de laine de roche. « Avec une épaisseur de 160 mm de laine de roche, nous améliorons même grandement le niveau de sécurité de l'existant vis-à-vis du risque de propagation d'un incendie par la façade car les portes-fenêtres superposées sont ici très proches et ne sont pas séparées par des dalles de balcons », argumente Eric Roumilhac.Préparation du supportSuite à l'appel d'offres, c'est la société Isovéo qui est sélectionnée pour réaliser les travaux d'isolation de façade. Créée en 2014 par Adam Saadana, cette jeune entreprise en pleine croissance compte aujourd'hui une quinzaine de salariés et réalise des chantiers de ravalement et d'ITE dans toute l'Île de France.Six compagnons œuvreront en 2019 sur le chantier pendant huit mois, en se coordonnant avec l'entreprise chargée du remplacement des menuiseries, pour venir à bout des quelque 1 400 m² d'ITE. « Les façades d'origine en béton ne présentent aucune pathologie particulière, constate le dirigeant de l'entreprise, si ce n'est un encrassement naturel dû à la pollution et aux intempéries. »Une fois les trois nacelles installées sur la façade, les compagnons réalisent un sondage général et le piochage des quelques parties de béton non adhérentes (cloquage/ parties soufflées). Après un lavage de toute la surface avec ajout d'un décontaminant anticryptogamique, les fers apparents sont dérouillés et passivés par l'application d'un anti rouille puis les éclats de béton réparés. La pose de l'ITE peut alors commencer.Une façade lissée« Sur ce premier gros chantier que nous réalisions avec des produits Sto, un conseiller technique s'est rendu sur le site pour réaliser la préconisation technique, se souvient Adam Saadana. Il nous a guidés dans le choix des produits et nous a apporté des conseils de mise en œuvre ». Les panneaux de laine de roche de 160 mm d'épaisseur sont calés et chevillés sur le support. Les nez de dalles saillants du bâtiment d'origine, sources de ponts thermiques, sont enveloppés dans l'isolant. Les compagnons doivent ainsi jouer avec les différences d'épaisseurs pour lisser la façade dont l'aspect se trouve modernisé. Quant aux encadrements de fenêtres, ils sont isolés avec 40 mm de laine de roche.Une couche de base armée d'un treillis d'armature en fibre de verre est ensuite posée sur l'isolant. Il s'agit du même mortier-colle (StoLevell Uni) qui a servi à coller celui-ci sur la façade.Enfin, l'enduit de parement Stolit K taloché d'aspect mat vient assurer la finition du système d'ITE. Il a été choisi dans une teinte lumineuse : un blanc légèrement teinté de gris (RAL 9001).Les appuis de fenêtre sont habillés de tôle d'aluminium 20/10e prélaqué formant goutte d'eau, comme les couvertines des acrotères.L'objectif de performance thermique est atteint et même dépassé puisque la consommation énergétique est désormais de 101 kWhep/m².an. Et la résidence a gagné une image modernisée.Fiche technique Type de bâtiment : isolation par l'extérieur d'un immeuble de logementsLocalisation : 46 ter rue de la Vanne, 92120 MontrougeSurface de façade traitée : 1 400 m² Maître d'ouvrage : CDC Habitat Social – GIE Grand Paris HabitatArchitecte : David GoiMaître d'œuvre d'exécution : Eric Roumilhac, économiste de la constructionEntreprise applicatrice : IsoveoDate de livraison : 2020Solutions utilisées : ITE StoTherm Minéral avec isolant laine de roche et enduit de finition Stolit K 1,5
Il y a 4 ans et 22 jours

RESISTO de Sylvania : une gamme complète de luminaires étanches tout simplement irrésistible

Dans les parkings, zones de stockage, entrepôts et sites industriels, les solutions d’éclairage sont soumises à rude épreuve de par leur exposition aux chocs et à la poussière. Pour s’adapter à ces environnements, Sylvania lance RESISTO, une gamme complète de luminaires étanches développée en Allemagne. Riche de plus de 45 références, elle allie hautes performances et facilité d’installation. RESISTO, une offre irrésistiblement riche Avec plus de 45 références, la gamme RESISTO se décline dans de nombreuses versions pour répondre à tous les besoins : • trois dimensions (600, 1200 et 1500 mm), • trois températures de couleur (3000, 4000 et 6500 K) dont l’une (3000 K) permet d’être en conformité avec l’arrêté du 27 décembre 2018 relatif à la prévention, à la réduction et à la limitation des nuisances lumineuses dans les applications de type parkings semi-couverts, • une offre de flux lumineux allant de 1.600 à 9.700 lm, • et toujours la possibilité de proposer un produit sur-mesure adapté à une demande spécifique. RESISTO, à chaque besoin une solution de gestion d’éclairage Pour une performance énergétique optimale, et s’adapter à toutes les exigences, Sylvania propose les luminaires étanches RESISTO avec 3 systèmes de gestion d’éclairage, de la solution la plus simple à la plus avancée : . avec détection à hyperfréquence, RESISTO MW s’allume uniquement lorsqu’il détecte un mouvement. Il peut également prendre en compte le niveau d’éclairage naturel pour ne s’allumer que si ce dernier est insuffisant. Autre atout, grâce à une installation possible en « maître – esclave », un luminaire équipé du capteur MW peut en contrôler jusqu’à 2 autres sans capteur. . en version SylSmart Standalone pour une gestion complète en Bluetooth via une application mobile dédiée (création de groupes de luminaires, temporisations, horaires d’allumage, niveaux d’intensité …). . en version SylSmart Standalone PIR à laquelle s’ajoute, en plus de tous les avantages offerts par SylSmart Standalone, la détection de mouvement et la prise en compte de la lumière naturelle. De quoi garantir un éclairage fiable et éco-énergétique en toutes circonstances ! RESISTO, des luminaires irrésistiblement faciles à poser La platine LED et la vasque sont fixées ensemble et permettent ainsi un accès rapide et direct au système de connexion. Grâce à des étriers inox coulissants, des clips de fixations et un connecteur rapide et repiquable LiLo (Loop-in Loop-out), l’installation est simple et facile, assurant ainsi un véritable gain de temps sur les chantiers. RESISTO, une gamme irrésistiblement performante Spécialement développés en Allemagne par le centre R&D de Sylvania d’Erlangen, les luminaires LED étanches de la gamme RESISTO bénéficient d’une conception d’une grande robustesse. Leur corps en polycarbonate et leur diffuseur en polycarbonate traité anti-UV leur confèrent une protection IP66 et IK08. Pouvant fonctionner sur des plages de température entre -20° et +40°C, RESISTO offre une durée de vie de 69.000 heures (L80B20). Dans sa version haute performance, il atteint une efficacité lumineuse jusqu’à 161 lm/W pour fournir un éclairage agréable et homogène (SDCM
Il y a 4 ans et 22 jours

Les machines à sertir intelligentes « Pressgun 6 Plus » et « Pressgun Picco 6 Plus » de Viega

Des machines à sertir de qualité sont indispensables pour mettre en oeuvre, dans les règles de l'art, des installations sanitaires et de chauffage ou encore des systèmes de tuyauteries dans des installations industrielles. Désormais équipées de fonctions intelligentes, les nouvelles machines à sertir de Viega « Pressgun 6 Plus » et « Pressgun Picco 6 Plus » garantissent toujours la sécurité de sertissage, mais offrent aussi des avantages supplémentaires. L'application Viega sur smartphone permet de personnaliser ces outils par Bluetooth pour une utilisation efficace.
Il y a 4 ans et 23 jours

Ideal Standard inspire les salles de bains du futur avec le 1er événement à Milan du Together World Tour et dévoile, en avant 1ère, la nouvelle collection Linda-X

Ideal Standard International a lancé le premier d’une série unique d’événements théâtraux, mêlant le design, l’art et l’architecture. Adoptant une approche créative et stimulante, l’événement à Milan qui a eu lieu le 21 avril a encouragé les participants à réfléchir à l’impact du design d’intérieur sur la vie moderne. Le Together World Tour, créé par Ideal Standard, est une série d’événements liés à six villes emblématiques. Chaque destination offre un cadre visuel et culturel unique pour le lancement d’une nouvelle collection de produits de la marque. Grâce à un format numérique cinématographique intrigant, chaque événement de la série adopte une approche unique pour combiner tendances culturelles et style de vie avec l’architecture et le design. Présentant l’événement Together World Tour, Torsten Türling, PDG d’Ideal Standard, a déclaré : « Nous voulions créer une expérience immersive pour nos clients afin de démontrer la façon dont nous pensons à la conception de la salle de bain. Nous sommes fiers d’avoir un long héritage dans l’innovation de conception dans l’industrie de la salle de bain et le Together World Tour prend un format théâtral unique pour donner vie à certaines de nos dernières gammes. Ces nouvelles lignes combinent des principes de design modernes avec l’inspiration de certaines de nos pièces les plus emblématiques, pour créer des produits ambitieux qui contribuent à façonner les salles de bains du futur. » Dans une approche créative et stimulante, l’événement de Milan du 21 avril dernier, a marqué le début de la tournée. L’événement a fait découvrir l’identité de Milan et son énergie culturelle en explorant certains des bâtiments les plus emblématiques de la ville, mettant en évidence le lien inné entre le design, l’architecture et la culture. Depuis les années 50, Ideal Standard est ancré dans l’héritage du design milanais, et cela se reflète dans ses relations privilégiées avec des maîtres architectes tels que Gio Ponti et Achille Castiglioni. Après une immersion dans l’empreinte culturelle de la ville, l’événement a donné la parole à des personnalités telles que Roberto Palomba, Directeur Artistique d’Ideal Standard, qui ont exprimé leur point de vue sur le design moderne et le futur du design de salle de bain. Enfin, la nouvelle collection d’Ideal Standard, Linda-X, a été dévoilée en avant-première. Hommage à la collection Linda créée en 1977 par A. Castiglioni, la nouvelle collection Linda-X, dessinée par Ludovica + Roberto Palomba, s’inspire fièrement de la pièce originale, célébrant l’héritage culturel de la marque, tout en incorporant des influences modernes pour créer une collection contemporaine qui reflète le futur du design de salle de bain. « Cette collection découle du désir de rendre hommage à l’ADN d’Ideal Standard avec un regard tourné vers l’avenir » a déclaré Roberto Palomba. « Pour nous, cela signifiait étudier la collection historique et repenser le design avec une vision actualisée. Lorsque vous choisissez un modèle pour vous inspirer, vous prenez également les valeurs qu’il représente, pas seulement la conception physique. Nous croyons fermement que la base d’un design intemporel repose sur des valeurs plutôt que sur des tendances, et cela a été une considération importante pour nous en ce qui concerne Linda-X. » L’architecture, le design et la technologie sont les principes directeurs de cette collection. Composée d’une gamme de vasques, de lavabos et d’une élégante baignoire, la collection Linda-X se distingue par son design très fin, minimaliste et épuré, qui ne laisse pas indifférent. L’élément visuel marquant de cette collection se trouve dans les bords ultra- minces des lavabos et vasques. Linda-X est fabriqué à partir d’un mélange de céramique unique, le Diamatec®, qui non seulement donne une céramique très fine, mais garantit également une certaine durabilité dans le temps grâce à la robustesse du matériau. La réduction de matières premières dans sa production en fait un produit éco-conçu. Le résultat est une pièce qui répond aux attentes du design moderne : durabilité, éco-conception et beauté. La plate-forme sur laquelle repose le lavabo est un élément clé de sa conception : D’un point de vue visuel, le lavabo semble être presque en apesanteur et « flottant » tout en créant une solution soucieuse de l’espace pour les besoins des modes de vie modernes. Ainsi, le lavabo peut reposer sur des meubles étroits. La collection Linda-X se compose de 3 modèles de lavabos et 2 modèles de vasques, disponibles en 5 tailles (45 à 75 cm) et 2 finitions (blanc brillant et Soie blanche). La collection Joy, robinetterie de salle de bain, également conçue par Ludovica + Roberto Palomba, s’accorde parfaitement avec Linda-X. Le design de la robinetterie Joy découle du désir de créer une surface lisse et continue, résultant en une pièce unique de laiton sans aspérité ni raccord. Ce produit s’accorde à la fois aux céramiques carrées ou rondes. C’est une pièce qui s’adapte parfaitement à différents environnements et styles de salle de bain. Ses quatre finitions (chrome, gris orage, or brossé et gris magnétique) mettent en avant la forme du miti- geur. La conception soignée est complétée par une fonction d’économie d’eau, avec la présence d’un réducteur de débit Eco Flow, qui réduit la consommation d’eau à 5 L / min. La prochaine étape du « Together World Tour » est Berlin le 16 juin 2021. Etape qui sera suivie de Londres, Paris, Dubaï et Shanghai. Chaque événement, traduit en quatre langues, sera diffusé sur la plate-forme numérique www.togetherworldtour.com, où il est possible de regarder les événements passés, de s’inscrire aux événements à venir et d’accéder à un contenu exclusif et inspirant autour de chaque destination et nouvelle collection présentée. http://www.idealstandard.fr
Il y a 4 ans et 23 jours

APPLICATION PV ARCHELIOS™ PRO : TRACE SOFTWARE POUSSE ENCORE PLUS LOIN LA CONCEPTION PHOTOVOLTAÏQUE

Saint-Romain de Colbosc (76), le 28 avril 2021 – Trace Software International et sa filiale solaire Cythelia Energy ont le plaisir d’annoncer la sortie de la toute dernière version de la gamme de logiciels photovoltaïques archelios PRO. Application de la solution PV archelios Suite, archelios PRO permet de dimensionner tout type de projet solaire, de quelques kWc à plusieurs dizaines de MWc, sur toiture, en ombrière ou au sol. Une gamme complète pour les professionnels du PV Comme les professionnels du PV n’ont pas tous les mêmes besoins en matière de conception, Trace Software a choisi de lancer en juin 2020 une nouvelle offre archelios PRO élargie et adaptée à la taille de leurs projets et à leur activité (bureaux d’études, installateurs, développeurs …) : archelios PRO Free : conception de projets jusqu’à 36 kWc sans 3D archelios PRO Silver : conception d’installations jusqu’à 100 kWc archelios PRO Gold : dimensionnement de projets d’une puissance maximale d’1 MWc archelios PRO Platinum : dimensionnement de projets complexes illimités Selon la version choisie, conception rapide, puissance de calcul, précision dans la simulation de production, environnement 3D, optimisation des installations ou encore outils 3D pour la conception, sont autant de fonctionnalités qui dotent les utilisateurs d’un outil puissant et unique sur le marché des logiciels PV. Plus de possibilités de calcul et de modélisation sur la version 2021. Parmi toutes les évolutions apportées sur la version 2021, les utilisateurs pourront bénéficier de plus de possibilités pour la prise en compte de paramètres règlementaires, tels que la limitation de la puissance injectée ou encore les seuils de production, mais aussi pour l’optimisation de projets de centrales solaires de grande envergure. Optimisations pour les grandes centrales Pour les concepteurs de centrales solaires, la capacité et les performances de calcul ont été largement optimisées afin de permettre la gestion de projets plus importants (jusqu’à 100 MWc soit un gain d’un facteur 10 par rapport à la version précédente). De plus l’export et la synchronisation entre SketchUp et archelios PRO sont plus rapides et la sauvegarde des projets n’est plus bloquante pour travailler pendant la sauvegarde. Limitation de la puissance injectée  Les utilisateurs pourront dorénavant répondre simplement aux exigences imposées sur certains projets. La prise en compte de la limitation de la puissance injectée est intégrée et affichée sur les rapports. Les pertes de production qui en découlent pourront être aussi visualisées. Seuils de production – adaptation à l’arrêté tarifaire 2021 Le logiciel intègre la prise en compte de l’évolution des tarifs par seuil de production (nouvel arrêté tarifaire français 2021 en attente de publication). Evolutions sur la fonctionnalité 3D Map  Les utilisateurs de la version archelios PRO Platinum bénéficient d’une utilisation illimitée* du module 3D Map. Ils disposent ainsi d’une plus grande flexibilité de modélisation 3D de l’environnement sur les projets, avec l’assurance d’un crédit 3D Map toujours disponible. Dans la version 2021 d’archelios PRO, les terrains issus de 3D Map sont modélisés avec une texture pour un rendu au plus proche de la réalité et pour une visualisation réaliste de l’environnement. Le concepteur peut prendre en compte les paramètres de terrain sans contraintes de déplacement pour les sites les plus éloignés. Cette fonctionnalité permet aussi aux donneurs d’ordre de se projeter avec un projet personnalisé qui peut faire la différence lors la prise de décision finale. * en illimité sur la version Platinum uniquement, sur la base d’une utilisation standard jusqu’à 100 Km2 Mise à jour des bases de données météo Les bases de données météo par défaut (MétéoNorm) ont été actualisées afin d’intégrer des données plus récentes et fiables. Lors de la création du projet, le logiciel propose automatiquement la station météo la plus récente. Export de données Des modèles de rapport d’étude archelios PRO au format XLSX (générés à partir du rapport CSV) sont disponibles afin de guider le concepteur dans la représentation des données de son installation. Grâce aux développements permanents réalisés sur le logiciel archelios PRO, Trace Software et Cythelia  Energy dotent les professionnels du photovoltaïque d’un outil qui va au-delà de la conception PV standard. Le logiciel se positionne non seulement comme un réel outil de management de projet mais aussi comme un support marketing. À propos de Trace Software International et Cythelia Energy Depuis plus de 30 ans, Trace Software édite des solutions logicielles pour la conception et l’exploitation d’installations électriques et solaires, pour les professionnels du bâtiment et de l’énergie. Les solutions de Trace Software couvrent les besoins de la conception jusqu’à l’exploitation, en passant par le dimensionnement des réseaux. La société dispose d’une présence à l’international via des filiales en Allemagne, Espagne, Maroc et Chine, et des distributeurs agréés. Depuis plus de 20 ans Cythelia Energy accompagne ses clients sur leurs projets solaires photovoltaïques et smart grids. Leurs missions couvrent l’ensemble du cycle de vie des projets, depuis l’aide à la décision jusqu’à la mise en œuvre des solutions et leur suivi dans le temps. Le centre R&D de Cythelia Energy, développe la suite logicielle archelios commercialisée dans le monde entier. Cythelia Energy et Trace Software appartiennent au Groupe Trace, expert dans les solutions pour la conception électrique, le bâtiment, le BIM et l’énergie. Contact presse Trace Software International : Karine Pinson – kpinson@trace-software.com
Il y a 4 ans et 23 jours

Découvrez les nouveautés Massia-Laboratoire

Pour ceux qui ne le connaissent pas encore, Massia-Laboratoire est le nouveau logiciel d’Arcade pour le contrôle qualité des matériaux de construction et de leur mise en œuvre. Il se décline en plusieurs métiers : bétons, granulats, enrobés, TP, Terrassement, … Vous l’ajustez au plus proche de votre activité, en choisissant de n’en prendre qu’un ou d’en concilier plusieurs. Il est entièrement paramétrable et modulable ce qui apporte une force d’adaptation et d’évolution.  Massia-Laboratoire propose aussi des fonctionnalités transverses, telles que : la métrologie : gestion des appareils de mesure ; suivi de leurs interventions d’entretien et de maintenance ; lien avec les essais réalisé,les calendriers : planification de la réalisation des essais, des interventions métrologiques et de toute autre tâche ; actualisation automatique avec ce qui a été fait : en lien avec des journées travaillées, des jours ou des volumes de production,les certifications et accréditations : gestion des accréditations et certifications sites (ISO 9001 par exemple), produits (marque NF, marquage CE par exemple), essais (COFRAQ par exemple) ; mise en évidence des éléments certifiés ou accrédités. Afin de faciliter et fiabiliser l’insertion des données, Massia-Laboratoire, s’interface avec différents appareils de mesure et outils de production. Sans oublier Massia-Labo Mobilité, l’application mobile pour saisir depuis votre smartphone ou tablette vos prélèvements et les retrouver automatiquement dans Massia.  Enfin, dernière nouveauté, après les métiers granulats et bétons, c’est le métier enrobés qui entre en matière ! Présent, aujourd’hui chez une trentaine de clients, l’éditeur de logiciel projette que d’ici la fin de l’année, Massia-Laboratoire équipera plus de 200 sites.  Pour plus d’informations, n’hésitez pas à contacter Arcade. Pour cela plusieurs canaux possibles : En visitant le site web d’Arcade où vous retrouverez des informations sur les logiciels ainsi qu’un formulaire de contact : https://www.arcade.fr/.En contactant directement le service commercial : par e-mail a.ladet@arcade ou par téléphone 04 67 77 52 50. Pensez à suivre la page LinkedIn d’Arcade afin d’être tenu au courant des actualités de l’entreprise.
Il y a 4 ans et 23 jours

PORTALP RS : la nouvelle génération de portes automatiques piétonnes connectées

Passant presque inaperçues, les portes automatiques piétonnes équipent une grande diversité d’établissements recevant du public (commerces, administrations, centres hospitaliers…). Elles jouent pourtant un rôle essentiel en matière d’accessibilité, de sécurité, et de performance énergétique des bâtiments. Dans le contexte sanitaire actuel, elles contribuent plus que jamais à limiter la propagation des virus. Acteur français reconnu dans ce domaine, Portalp innove avec Portalp RS, une nouvelle génération de portes automatiques piétonnes connectées, polyvalentes et personnalisables pour répondre à tous les usages. Esthétique et modulaire Fabriquée sur-mesure en France, la gamme Portalp RS se distingue par le design compact et épuré de son caisson, d’une hauteur de 120 mm, aux lignes douces et contemporaines. Autorisant des largeurs de passage étroites (à partir de 700 mm) ou très larges (jusqu’à 4500 mm), elle offre une grande liberté de personnalisation pour répondre à toutes les contraintes d’espaces et d’installation grâce à : • 4 solutions de caissons répondant à la configuration et au poids des vantaux (standard 120 x 197 mm, renforcé 120 x 236 mm, télescopique 2 vantaux 120 x 296 mm, télescopique 3 vantaux 120 x 357 mm), • plusieurs configurations d’ouverture (coulissante simple ou double, télescopique à 2 ou 3 vantaux, antipanique), • différents types de vitrages (simple, isolant double ou triple, anti-effraction…), jusqu’à 26 mm d’épaisseur, • un large choix de coloris, finitions et accessoires. Installée en applique, entre-murs ou sur poteaux, la nouvelle génération de portes automatiques connectées piétonnes Portalp RS s’adapte à tous les projets, en neuf comme en rénovation. Une solution connectée Dotée d’une nouvelle technologie, la gamme Portalp RS intègre un module radio. Ce dernier permet à l’installateur comme à l’utilisateur (propriétaire d’un petit commerce, gestionnaire de bâtiment, responsable sécurité…) de paramétrer et contrôler ses portes à distance sur leur smartphone, via une connexion Bluetooth faible consommation (Bluetooth Low Energy). À l’interface graphique intuitive et multilingue, s’ajoutent deux applications mobiles sécurisées, téléchargeables sur plateforme Android, iOS et/ou AppGallery : • Autodoor Master dédiée aux poseurs et techniciens de maintenance. Elle les guide méthodiquement dans toutes les étapes de paramétrage de la porte jusqu’à sa mise en route grâce à la détection automatique des périphériques ou encore le diagnostic de défauts éventuels (uniquement sous Android), • Autodoor Pilot pour les utilisateurs et exploitants. Elle permet de créer des clés virtuelles pour paramétrer jusqu’à 32 utilisateurs par porte ; chacun ayant un profil pour piloter la porte (4 fonctions de commande). Outre le mode verrouillage/déverrouillage, ouverture prioritaire, ouverture automatique, l’application propose un sélecteur 6 modes (ouvert, fermé, automatique, entrée, sortie, libre). Intelligente, elle récolte également l’ensemble des données relatives au fonctionnement de la porte (compteur de cycles, état de la porte, historique des défauts…) ce qui permet, si nécessaire, de notifier une défaillance en temps réel au support technique de Portalp pour une intervention rapide. Innovante et fonctionnelle grâce à cette intelligence embarquée, la gamme Portalp RS est conçue pour s’adapter à chaque application et faciliter l’expérience utilisateur. Une installation rapide et une maintenance facilitée La nouvelle génération de portes automatiques piétonnes connectées Portalp RS est dotée d’une combinaison inédite de technologies au service d’une grande adaptabilité : • une alimentation à découpage (100-230 V) pour une faible consommation. Universelle, elle permet de couvrir tous les territoires avec une mise en œuvre quelle que soit la tension d’entrée, • une motorisation brushless associée à un chemin de roulement garantissant dans le temps un déplacement fluide et silencieux des vantaux, • 2 BUS CAN dissociés pour faciliter le câblage et l’installation des périphériques (détecteur par exemple), la communication de la porte avec l’application et l’identification des défauts, • une batterie de secours qui prend le relais en cas de coupure de courant. Conforme aux normes en vigueur et notamment la EN16005, la gamme Portalp RS inclut enfin un dispositif d’issue de secours intégré, de sécurité usagers sur passage et à l’ouverture. Elle bénéficie d’une garantie 2 ans, étendue à 5 ans en cas de souscription d’un contrat de maintenance auprès de Portalp. http://www.portalp.com
Il y a 4 ans et 23 jours

Diffuver transforme les façades

Aujourd’hui dans le cercle très fermé des dix plus importants acteurs français de transformation du verre, l’entreprise lyonnaise part à l’assaut de tous les défis.Créée il y a 35 ans par Philippe Melon, Diffuver s’est spécialisée depuis une quinzaine d’années dans le vitrage isolant technique dédié à la façade prenant au fur et à mesure des parts de marché, pour devenir aujourd’hui leader dans sa région Rhône-Alpes. Avec deux sites, à Marclopt (42), Lyon (69) et deux filiales en Ardèche et dans la Drôme, Diffuver s’affiche comme poids lourd de la façade en même temps que s’étirent à l’extrême les dimensions du verre... et les références emblématiques de son savoir-faire. Auprès des professionnels – architectes, maîtres d’œuvre, entreprises générales du bâtiment, aluminiers, métalliers... – l’entrepreneur poursuit au quotidien son objectif : investir au service de sa spécialisation et de la performance. Autour d’un axe «simple» : « savoir construire et livrer en conséquence », résume Philippe Melon, président de Diffuver. Pour le transformateur, qui s’est illustré auprès d’impressionnants édifices, avec pas moins d’un kilomètre de murs-rideaux pour Framatome Lyon ou plus de 7 000 m² de vitrage pour le chantier de Steel, Active Shopping Resort à Saint-Etienne parmi les plus récents en 2020, « les prévisions de chantiers pour cette année invitent à l’optimisme. 1 500 m² de nos vitrages isolants seront notamment mis en place sur les façades du plus grand centre commercial d’Europe continentale pour lesquelles notre atelier de Vaulx-en-Velin aura collé des centaines de motifs en autant de carrés se détachant sur les verres ! ». Une stupéfiante réalisation à découvrir avant l’été 2021, qui vient s’adjoindre aux signatures architecturales uniques avec lesquelles Diffuver s’est construit une solide réputation ; à l’instar des 2.000 m² de verres isolants fabriqués sur son site en Loire pour Le Cube Vert, siège d’Euronews à Lyon, conçue par les architectes Jakob + MacFarlane, adeptes des géométries mouvementées et des ouvrages à contre-courant.Savoir-verre Avec une quarantaine de salariés sur l’ensemble de ses sites et une production annuelle de 100.000 m² de double vitrage, Diffuver transforme constamment son outil pour gagner en productivité, service et qualité…sa marque de fabrique. Preuve par l’exemple, depuis trois ans, sous l’impulsion de Rémi Maximin, nouvel associé et par ailleurs président de Glassalia et vice-président de CEKAL, la société a entamé un programme d’investissement de 3 M€ pour satisfaire le marché en fort développement des verres grande dimension.Dans son usine de Marclopt, Diffuver a ainsi repoussé les murs de 600 m² supplémentaires pour accueillir une table de coupe pour verre feuilleté avec pont de 6 m, deux centres d’usinage et une ligne de vitrage isolant Jumbo dernière génération, issus du fabricant autrichien Lisec.« Ce monstre de 56 m concentre une technologie qui a nécessité 1 mois d’assemblage et de déploiement dans notre atelier », renseigne Rémi Maximin, également directeur du site. Opérationnelle depuis fin février 2021, cette ligne unique en France embarque un scanner de détection des défauts, un retourneur, une presse tandem et un robot d’enduction dernière génération. Elle est capable de supporter jusqu’à 2 tonnes de verre et 350 kg par mètre linéaire et des verres isolants de 6000 x 3210 mm. « Cette installation hyper performante, sans équivalence en France, va nous permettre de répondre aux demandes les plus exigeantes en matière de vitrages isolants XXL et de rentrer dans le top 5 des fabricants capables d’industrialiser ce type de vitrage », se réjouit Philippe Melon. « Nous avons également investi dans deux camions porteurs avec remorque et grue de 42 tonnes pour accompagner au mieux nos clients dans la livraison de ces verres ».Le VEC, du haut des façadesLa haute technicité de Diffuver distingue également son atelier de collage dédié à tous chantiers VEC (Vitrage Extérieur Collé). Une expertise « de plus en plus sollicitée par nos confrères et piste d’avenir », pointe le dirigeant ; « la façade VEC, qui utilise des vitrages collés sur des cadres aluminium ouvrants ou fixes, peut intégrer de nombreux vitrages, tels que verres feuilletés de sécurité ou verres trempés, montés sur des double ou triple vitrage isolant. Outre son esthétisme épuré et homogène particulièrement apprécié par les architectes et prescripteurs, le mur-rideau VEC, de par sa fixation, absorbe parallèlement les vibrations et les contraintes extérieures (neige, vent, forte température, mouvements sismiques...).L’intérêt de ces façades, dont le type de montage relève d’une grande maîtrise technique, rejoint parfaitement les enjeux de la transition énergétiques et des bâtiments durables (HQE, BBC, etc.). Proactif déterminé à faire évoluer la fabrication du vitrage et ses applications, le transformateur se félicite de sa situation géographique, au centre de l’Hexagone, composant avec une proximité et des appels d’offres locaux jusqu’aux contreforts suisses et de l’Ile-de-France, remportant de plus en plus de marchés parisiens, tout en ménageant l’impact du transport sur l’environnement.« Nous participons ainsi au développement du modèle économique actuel, plus vertueux et soucieux de nos répercussions écologiques, à titre industriel et entité morale ».
Il y a 4 ans et 24 jours

Un nouveau centre aquatique à l’étude à Étampes

Une étude de faisabilité concernant le projet de centre aquatique sur l’île de loisirs d’Étampes va être lancée. Le projet est soutenu par la Région Île-de-France et le Département de l’Essonne.
Il y a 4 ans et 25 jours

L’architecture sans cliché, par des intimes

La photographie en général, la photographie d’architecture en particulier, est-elle un langage, le « plus littéraire des arts graphiques » pour citer Evans Walker dans son ouvrage “Photography” (1978) ? Si c’est le cas, en connaît-on des dialectes ? Comme le note Erieta Attali, qui tient chroniques-photos dans Chroniques, dans un environnement de sursaturation des informations, au […] L’article L’architecture sans cliché, par des intimes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 25 jours

Dialecte photographique de l’impermanence ? Erieta Attali

La photographie est souvent assimilée à un langage visuel. Le « plus littéraire des arts graphiques »* est après tout un système formel avec une structure communément acceptée et des motifs reconnaissables. Croissance parallèle d’un dialecte ? Chroniques-Photos. Ezra Stoller, en utilisant l’analogie de la « photographie comme langage », a placé le photographe d’architecture entre […] L’article Dialecte photographique de l’impermanence ? Erieta Attali est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 25 jours

Hager et Comelit associent leur expertise du logement connecté

Hager et Comelit associent leur savoir-faire sur le marché français pour déployer une solution intégrée et connectée, simple à mettre en oeuvre, répondant aux attentes des promoteurs et des bailleurs sociaux de faire bénéficier aux futurs résidents de logements collectifs de solutions connectées enrichies. Ce partenariat s’appuie sur les solutions éprouvées des deux marques : le contrôleur domotique connecté coviva de Hager et le vidéophone Maxi avec Android de Comelit. Une expérience de connectivité enrichie La solution proposée permet d’intégrer nativement l’application coviva de Hager dans le moniteur Maxi de Comelit, généralement installé à l’entrée d’un logement. Cette intégration centralise ainsi toutes les fonctionnalités connectées du logement sur un écran ergonomique de 7’’ tactile au design moderne, facilitant leur usage par les résidents, avec un passage intuitif d’une fonction à une autre. Depuis la même dalle tactile, l’utilisateur pilote avec coviva, son éclairage, ses volets et stores électriques, son chauffage et son système d’alarme, son assistant vocal, et avec la platine d’appel extérieur Switch, son système de vidéophonie. Moniteur Maxi 7’ de Comelit intégrant l’application coviva de Hager   L’éco-système coviva Pour accompagner le marché de la maison connectée en pleine croissance, Hager a créé, en 2016, la gamme coviva : une solution radio (sans fils) dotée d’une application mobile. Le contrôleur coviva a depuis vu grandir son éco-système et poursuit son ouverture, avec l’intégration de nombreuses fonctionnalités et de nouvelles solutions de fabricants1. Sa technologie radio sans fil permet une mise en oeuvre très simple, sans travaux, en proposant une solution connectée, en neuf comme en rénovation. Un marché porteur Avec une croissance estimée à 70 % entre 2019 et 20222, le marché du logement connecté est un marché porteur. Dans le secteur du logement collectif, la tendance est aussi à la connectivité, avec des programmes immobiliers incluant de plus en plus régulièrement des offres connectées pour les futurs résidents. Ainsi, en mai 2019, 76% des acquéreurs d’un logement 3 souhaitaient, ou appréciaient, que le promoteur propose une solution connectée en standard et/ou en option. Un partenariat, des valeurs communes Le partenariat entre la marque franco-allemande Hager et la marque italienne Comelit s’est construit autour de valeurs communes. Les deux entreprises familiales et indépendantes disposent toutes deux d’une forte expertise dans les solutions connectées, avec des offres complémentaires sur le marché résidentiel individuel ou collectif.   1 En 2021, Hager et Bubendorff ont lancé Link, une clé pour connecter et piloter facilement la plupart des volets radio Bubendorff avec le contrôleur domotique connecté coviva de Hager. 2 Etude smarthome GFK2017.
Il y a 4 ans et 25 jours

Alezio S Hybrid Gaz : La nouvelle solution flexible et innovante De Dietrich

Combinant les performances d’une pompe à chaleur Alezio S de 4 à 8 kW et d’une chaudière murale gaz à condensation Vivadens de 24 à 28 kW, Alezio S Hybrid Gaz est totalement adaptée aux projets en neuf ou en rénovation. Sa production d’eau chaude sanitaire est assurée par la chaudière murale gaz à condensation offrant un débit de 14 litres/minute. Simple et rapide à installer, cette solution intelligente peut être connectée au thermostat SMART TC° de De Dietrich compatible avec différents appareils tels que le Google Home ou Alexa d’Amazon.Alezio S Hybrid Gaz, un ensemble performant et économiqueAlezio S Hybrid Gaz combine les avantages d’une chaudière murale gaz à condensation à la performance d’une pompe à chaleur. Ainsi, l’utilisation de la pompe à chaleur permet de réaliser des économies significatives sur la facture d’énergie avec un COP élevé de 5,11 tout en profitant d’une eau chaude sanitaire à volonté assurée par la chaudière gaz à condensation. Le basculement de la régulation entre chaudière et pompe à chaleur s’effectue par paramétrage au choix quand, par exemple, la pompe à chaleur ne peut pas assurer à elle seule le chauffage de l'eau.Discrète et silencieuse, Alezio S Hybrid Gaz offre ainsi un haut niveau de confort en chauffage et de l’eau chaude sanitaire à volonté. Réversible, elle permet de rafraîchir l’habitat pendant les saisons chaudes. De plus, grâce à une consommation d’énergie propre et renouvelable à 100 %, Alezio S Hybrid Gaz est une solution respectant l’environnement et proposant des performances élevées conformes à l’eco-conception.Alezio S Hybrid Gaz intègre la chaudière murale gaz à condensation Vivadens De DietrichLa PAC Alezio S se couple idéalement avec une chaudière gaz à condensation Vivadens offrant un débit en eau chaude sanitaire de 14 litres/minute. La gamme Vivadens allie économies d'énergie, eau chaude à volonté, compacité et prix attractif. Pour cela, elle est équipée d’un corps de chauffe principal en inox pour une plus grande résistance à la corrosion et aux variations de température ainsi que d’un brûleur en inox, à prémélange total et à faibles rejets en NOx et CO. Vivadens bénéficie des 3 étoiles ECS Performance eau chaudeLa solution Alezio S Hybrid Gaz est équipée de l’interface connectée E-Pilot, innovation développée par De Dietrich. Tableau de commande intuitif offrant un accès simplifié à tous les modes de fonctionnement, E-Pilot s’adapte parfaitement au style de vie de chacun (sécurité enfants, fonction vacances, alertes anomalies…). L’information est présentée en texte clair, lisible et structurée. E-Pilot est également doté d’une fonction Bluetooth avec une application iOS/Android pour l’accompagnement à la mise en service, pour réaliser le bon paramétrage lors de l’installation par le professionnel. Enfin, les thermostats connectables Smart TC° (filaire) et Smart TC° RF (non filaire), peuvent être connectés avec Amazon Alexa, Google Assistant et IFTTT pour une gestion à distance de l’installation.
Il y a 4 ans et 26 jours

Géoamiante, une application gratuite qui géolocalise le risque amiante

Pour savoir si le lieu où vous vous trouvez présente un risque amiante, il suffit d'entrer l'adresse précise dans l’application, ou vous géolocaliser. Le résultat apparaît en quelques secondes...Comment ça fonctionne ? Le système de Géoamiante public s’appuie sur la date de délivrance des permis de construire pour définir le risque potentiel. Vert, le risque est faible, orange, il est modéré. Rouge, le risque est élevé. Toutes constructions (immeubles, maisons individuelles) réalisées avant 1997 présentent unrisque amiante élevé. En cas de travaux, elles doivent faire l’objet d’un repérage amiante avant travaux (RAT).L’application recense près de 4 millions de biens : 81% sont concernés par le risque amiante élevé.Repérage amiante, que dit la loi ?L’obligation de réaliser un repérage amiante avant travaux (RAT) s’applique à tous, aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels. Cette obligation a été fixée par un arrêté du 16 juillet 2019.En cas d’absence de RAT, la loi prévoit la suspension immédiate du chantier, une amende administrative pouvant atteindre 9000 euros et la mise en cause de la responsabilité pénale du donneur d’ordre (propriétaire ou maître d’ouvrage).L’amiante, en chiffre c’est ?2 millions de travailleurs sont susceptibles d’être exposés à l’amiante lors d’interventions courantes de couverture, plomberie, électricité, chauffage.2.000 morts par an.100.000 victimes par an.20.000 opération de désamiantage réalisées chaque années en France.
Il y a 4 ans et 26 jours

Oduc+ du Cérib passe en version 4.0

Logiciel de dimensionnement 4.0 du Cérib. [©Cérib] Le 16 avril dernier, le Cérib a lancé la version 4.0 d’Oduc+, son logiciel de dimensionnement des ouvrages de stockage des eaux pluviales en béton. Cet outil est accompagné des principales évolutions introduites par le memento technique “Conception et dimensionnement des systèmes de gestion des eaux pluviales et de collecte des eaux usées”. Un document édité par l’Association scientifique et technique pour l’eau et l’environnement (Astee).  Une version 4.0 d’Oduc+ Elaboré avec la Fédération de l’industrie du béton (Fib), le logiciel Oduc+ du Cérib accompagne tous les professionnels de l’assainissement. Dans la conception et le dimensionnement hydraulique mécanique des réseaux d’assainissement. Il permet aussi l’évaluation de leur impact environnemental et de leurs coûts de mise en œuvre. Cette nouvelle version 4.0 évalue du volume de stockage d’un bassin d’infiltration ou de rétention pour une restitution à débit contrôlé. Ceci, pour les différents niveaux de service et en utilisant les données de pluies réelles ou à défaut forfaitaires. En se servant des aides proposées par le logiciel. Cette application ergonomique et interactive pré-dimensionne des ouvrages de stockage des eaux pluviales. Et de choisir les revêtements perméables destinés à la collecte en amont des eaux pluviales. Pour en savoir plus
Il y a 4 ans et 29 jours

Webinaires sur les menuiseries extérieures

FCBA propose un cycle de 3 webinaires sur les menuiseries extérieures. Le premier, « La RE2020 et les baies vitrées : quels impacts ? », aura lieu le 11 mai 2021 à 11h. La sortie de la RE2020 a été décalée au 1er janvier 2022 mais ses objectifs restent inchangés : diminuer l’impact carbone des bâtiments, poursuivre l’amélioration de leur performance énergétique et en garantir la fraicheur pendant les étés caniculaires. A travers ce webinaire, des experts avec le soutien du CODIFAB, vous présenteront les impacts de tels objectifs sur les baies vitrées, qui devront être toujours plus performantes : Contexte et enjeux, aspects énergétiques et environnementaux de la RE2020, configurateur des FDES collectives : DE-bois, eco-conception, fin de vie des fenêtres : valorisation et recyclage… Ce 1er webinaire sera suivi dès le 1er juin à 11h d’un webinaire sur la thématique de la durabilité et la vérification d’essence de bois à l’aide de l’application XYLORIX Inspector des menuiseries extérieures. Le 6 juillet, un troisième présentera les solutions performantes de finition sur les menuiseries extérieures.
Il y a 4 ans et 31 jours

Rénovation énergétique : colère de l’artisanat du bâtiment après la publication du rapport Sichel

Si l’objectif poursuivi par ce Rapport est louable, et la CAPEB partage notamment l’ambition de multiplier les travaux de rénovation énergétique, elle considère que privilégier seulement les rénovations globales serait irréaliste. La CAPEB considère qu’il ne faut donc pas opposer les deux manières de faire (rénovation globale / rénovation par étapes) mais au contraire booster ces deux manières de rénover, tout en s’assurant d’un même niveau de qualité et de performances.Jean-Christophe REPON, Président de la CAPEB : « Ce rapport nous a étonnés, il entend trouver des solutions au marché de la rénovation énergétique qui ne décollerait pas assez vite, sans prendre en compte le comportement des ménages et de leurs contraintes, en cherchant simplement à organiser et uniformiser l’offre ! Nous attendons plus d’objectivité de la part des pouvoirs publics. A ce stade, nous espérons que les sénateurs qui, après l’Assemblée nationale, aborderont à leur tour ce sujet, auront en mémoire nos propositions »Changer d’échelleLa CAPEB partage l’objectif de réaliser des travaux de rénovation énergétique en masse, avec un changement d’échelle par rapport à aujourd’hui sans pour autant que cela se fasse au détriment de la qualité des travaux. Or, la réalité économique et les pratiques notamment des clients conduisent l’immense majorité des rénovations actuelles à se faire de façon étalée dans le temps du fait de difficultés techniques liées essentiellement aux interventions en site occupé, du coût important que représente une rénovation globale et de la priorisation des particuliers sur les travaux à effectuer.Pour arriver à changer d’échelle, il faut donc à la fois augmenter le nombre de rénovations énergétiques globales et le nombre de rénovations énergétiques par étape.Accompagnateurs pour les clients, facilitateurs pour les entreprisesLa création des accompagnateurs de la rénovation énergétique est une bonne idée car les dispositifs d’aide sont effectivement très complexes. Si le rapport reconnait la complexité et la difficulté à assimiler tous les dispositifs, alors il doit le reconnaitre aussi pour les entreprises. C’est pourquoi la CAPEB continue de demander, en symétrie, pour les entreprises la mise en place de facilitateurs pour les accompagner au quotidien dans le traitement de leur dossier de qualification RGE ou de demandes de CEE et/ou de MaPrimeRénov.Quels contours de missions pour ces accompagnateurs ?Mais la CAPEB s’interroge sur plusieurs points laissés dans l’ombre du rapport. Comment seront financés les accompagnateurs de la rénovation énergétique ? Ces accompagnateurs de la rénovation énergétique seront-ils en nombre suffisant pour accompagner tous les particuliers ? Quelles seront leurs compétences ? Quel sera leur statut ? La vision de « l’accompagnateur Rénov » qui apparait comme un nouveau métier dans le rapport et dont le recours serait obligatoire pour les ménages qui voudraient s’engager dans une rénovation globale comptant au moins 5 000 euros de travaux n’est pas acceptable.Son champ de compétences ne doit pas, en effet, empiéter sur celui des maîtres d’œuvre et entreprises du bâtiment qui jouent au quotidien un rôle d’information et de conseil auprès de leurs clients.Quelle réelle nouveauté en matière de financement ?Enfin, en ce qui concerne le financement des travaux de rénovation, la CAPEB ne voit pas dans le rapport Sichel de propositions de nature à réellement booster le nombre de travaux de rénovation énergétique réalisés.Plan d’actions : 7 propositions et demandes de la CAPEBC’est pourquoi la CAPEB formule ses propositions et demandes pour qu’un véritable débat constructif s’opère entre l’État et la filière.La CAPEB rappelle que les missions des accompagnateurs de la rénovation énergétique ne doivent pas empiéter sur celles des professionnels qui interviennent déjà et notamment que ce soient les maîtres d’œuvre ou les entreprises. Au contraire, ils doivent s’appuyer dessus.La CAPEB rappelle qu’elle est totalement opposée à ce que ces accompagnateurs de la rénovation énergétique préconisent des travaux ou sélectionnent des entreprises.Compte tenu du flou sur la nature et le contenu des missions des accompagnateurs de la rénovation énergétique, la CAPEB demande impérativement à être associée étroitement à l’élaboration du ou des décrets d’application qui préciseront les modalités de mise en œuvre de ces accompagnateurs de la rénovation énergétique.La CAPEB souhaite que la lutte contre la fraude et les Eco délinquants soit intensifiée. Pour la CAPEB, il faut distinguer la lutte contre la fraude et la question des non-qualités. La CAPEB rappelle que la grande majorité des entreprises RGE font correctement leur travail. C’est pourquoi, cela ne sert à rien de d’augmenter le nombre des contrôles pour toutes les entreprises sans discernement.Pour s’assurer de la qualité des travaux, la CAPEB propose de fixer, pour toutes les entreprises, un même pourcentage de contrôle à réaliser sur les chantiers réalisés. Et non, comme c’est le cas actuellement, un nombre fixe de chantiers contrôlés quel que soit le niveau d’activité de l’entreprise. La CAPEB propose également de faire varier ce pourcentage de contrôle applicable à une entreprise en fonction des résultats constatés sur le terrain lors des contrôle chantier réalisés précédemment pour cette même entreprise : allégement du taux de contrôle si les résultats sont satisfaisants ou renforcement dans le cas contraire. La CAPEB propose enfin de largement diffuser auprès des entreprises RGE l’ensemble des fiches d’auto-contrôle élaborées dans le cadre du programme PROFEEL qui seront disponibles début mai ainsi que les fiches pour aider à une bonne réalisation des réceptions de travaux avec les particuliers.La CAPEB rappelle sa proposition que tout particulier puisse, à l’occasion de la réalisation d’un premier geste, bénéficier gratuitement d’un audit énergétique pour bâtir un plan de travaux de rénovation énergétique de son logement étalés dans le temps pour ce qui reste à faire. Ce point est essentiel pour inciter les particuliers à poursuivre dans le sens d’une rénovation énergétique complète et performante de leur logement.Pour contribuer à l’amélioration de la qualité des travaux réalisés, et notamment en rénovation globale, la CAPEB rappelle sa proposition de revoir les obligations qui pèsent aujourd’hui sur les entreprises qui interviennent dans le cadre d’un GME.Il est, en effet, essentiel que les entreprises de corps d’état différents apprennent à travailler ensemble pour gérer au mieux l’organisation des travaux et les interfaces entre travaux, avec des responsabilités strictement limitées à leur champ d’intervention.Double nécessité : disposer d’une vision à moyen long terme et d’une analyse économique exhaustiveEn conclusion, la CAPEB, au nom de ses 57.000 entreprises adhérentes, réaffirme que les entreprises artisanales sont prêtes à relever de défi de la généralisation des travaux de rénovation énergétique, mais qu’elles ont besoin d’une vision de moyen terme s’appuyant sur des mesures stables et co-construites avec les pouvoirs publics et les acteurs de la filière.Au lieu de stigmatiser systématiquement l’offre, et notamment les entreprises, la CAPEB considère qu’il serait nécessaire d’approfondir, par une étude spécifique, la connaissance des réels comportements et attentes des clients en matière de rénovation énergétique permettant de comprendre les raisons profondes de la faiblesse de la demande et à la suite d’en déduire un plan d’actions opérationnel.
Il y a 4 ans et 31 jours

JO-2024 de Paris : mobilisation pour sauver des parcelles des jardins ouvriers d'Aubervilliers

Potager ambulant, escargot géant, couronnes de lauriers sur les têtes... les manifestants ont fait preuve d'originalité pour "alerter sur le saccage de la Seine-Saint-Denis au nom des JO".Pour Ginette, 83 ans, "le jardin permet de s'aérer, de se détendre". Elle possède depuis 35 ans un lopin de terre qui lui permet de "faire pousser des fruits et des légumes". Chapeau de paille sur la tête et masque vénitien sur le visage, cette élégante "jardinière en lutte", estime qu'il n'y a déjà "pas assez d'espace vert". Les 2,5 hectares (25.000m2) de jardins ouvriers des Vertus d'Aubervilliers, situés à moins de 4 km au nord de Paris, constituent une enclave de verdure.Ces jardins seront amputés de près de 4.000 m2 dans quelques semaines pour la construction du futur centre aquatique, utilisé comme centre d'entraînement pour les JO, mais aussi pour la création d'un solarium et d'autres équipements de loisirs."On veut des pommes et pas un solarium", s'insurge Dolores Mijatovic du Collectifs des jardins ouvriers d'Aubervilliers qui a déposé un recours contre le plan local d'urbanisme."On a besoin d'une piscine mais on pouvait la construire autrement, pas à la place des jardins", estime Julie, habitante d'Aubervilliers.Aux banderoles "Destruction" et "Non aux JO Paris-2024", se mêlaient des drapeaux LFI, EELV ou encore Générations.Le député LFI de Seine-Saint-Denis Bastien Lachaud ainsi que d'autres personnalités politiques de gauche et écologistes sont venus apporter leur soutien.Le rassemblement qui a débuté devant la mairie d'Aubervilliers s'est achevé avec une chaîne humaine autour des jardins ouvriers puis d'un pique-nique géant.
Il y a 4 ans et 32 jours

Perception de la RE2020 par la filière Bâtiment : un réel besoin d’information

Pour cette première, le "Grand Dossier du Mondial du Bâtiment", avait pour thème : "En quoi la RE2020 va-telle permettre de construire durable ?". À cette occasion, le Mondial du Bâtiment a organisé un sondage exclusif[1] sur la perception de la RE2020 par les acteurs professionnels de la filière.Les résultats du sondage font ressortir une certaine confusion chez les professionnels du bâtiment. Ainsi, à la question de savoir ce que signifie RE2020, seulement un peu plus d’un tiers des répondants ont choisi Réglementation Environnementale (36,5%). 28,5% pensent que cela désigne une Réglementation Énergétique, 20% qu’il s’agit de Rénovation Énergétique et 15% des répondants ne connaissent pas la signification du terme.Sans surprise, ils sont ainsi 74,9% à déclarer ne pas être suffisamment informés au sujet de cette réglementation.En revanche, et le point est également un reflet du dynamisme de la filière, ils sont 41,3% à estimer que la RE2020 est un moteur pour le développement de leur activité. Ainsi, seuls 14,1% des sondés pensent que la RE2020 est un frein au développement de leur activité. Ce chiffre est cependant à modérer puisque 44,6% déclarent ignorer quel impact, négatif ou positif, cela peut avoir.La RE2020 pendant le Mondial du BâtimentLe Mondial du Bâtiment et les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA se tiendront du 3 au 6 octobre 2022 à la Porte de Versailles.À cette occasion, la RE2020 sera la thématique de nombreux temps forts et animations :Des émissions dédiées seront organisées sur « Les rendez-vous du Mondial du Bâtiment » qui se déclineront en version physique durant les 4 jours des salons ;Des conférences permettront de faire le point sur la mise en application de la RE2020 depuis plusieurs mois ;Des parcours thématiques seront proposés aux visiteurs.Les prochains « Rendez-vous du Mondial du Bâtiment » auront lieu le vendredi 7 mai. Le Grand Dossier abordera le thème : « REP : quels enjeux pour le secteur du bâtiment ? »[1] Sondage réalisé entre le 18 et le 31 mars auprès des visiteurs et exposants du Mondial du Bâtiment 2019 – 383 répondants
Il y a 4 ans et 32 jours

La pénurie de matériels inquiète le Seimat

Le Seimat est inquiet quant à la hausse des prix des matériels. [©ACPresse] Menée en avril dernier auprès de ses adhérents, une enquête exclusive du Seimat1 souligne l’allongement des délais de livraison de 10, voire 20 semaines supplémentaires. Ceci, pour de nombreuses catégories de matériels.  Ces délais accrus peuvent entraîner des pertes de marché. Et sont liés à la pénurie de matières premières et composants due à une flambée des coûts et au rendement diminué dans les usines. Les fautifs s’appellent “pandémie du Covid” et dysfonctionnement du fret maritime. Outre une pénurie généralisée, ils génèrent des hausses spectaculaires de coûts de transport. Cette situation ne laisse aucune alternative viable au plan économique. Aussi bien aux constructeurs qu’aux importateurs de matériels de construction. En conséquence, ces derniers affirment devoir appliquer des hausses tarifaires dans les mois à venir. Pour 53 % d’entre eux, elle entrera en application au cours du 2etrimestre 2021. Pour 30 %, au cours du second semestre 2021. Et pour les 17 % restants, les hausses seront visibles à partir du début d’année 2022. Les professionnels concernés se disent prêts à appliquer ces évolutions tarifaires en deux fois pour en lisser l’impact. Et pour maintenir de bonnes relations économiques avec les industriels du secteur… Deux plans d’action pour sauver le matériel En conséquence, le Seimat, avec le soutien de Ficime2, souhaite mettre en place deux plans d’action. Tout d’abord, informer les partenaires économiques de cette situation exceptionnelle. Ceci, pour inviter l’ensemble des acteurs à pouvoir maintenir, en bonne intelligence, les relations existantes. Et de faire preuve de solidarité, afin de sauvegarder un secteur économique commun. D’autant plus que celui-ci a déjà impacté par le contexte lié au Covid. Ensuite, le Syndicat veut solliciter le ministre de l’Economie et des Finances pour que les pénalités de retard soient suspendues pendant la durée de cette situation. Une démarche de solidarité à appliquer dans les marchés publics. Seimat comme Ficime restent mobilisés sur ce sujet, dans l’intérêt commun de leurs adhérents et partenaires économiques. 1Syndicat des entreprises internationales des matériels de travaux publics, mines et carrières, bâtiment et levage.2Fédération des entreprises internationales de la mécanique et de l’électronique.
Il y a 4 ans et 32 jours

Une appli pour optimiser les découpes de treillis soudés

Optimiz Construction a lancé une application d’optimisation des découpes de treillis soudés standards. Grâce à son algorithme d’optimisation, elle permet à ses utilisateurs d’économiser jusqu’à 15% de panneaux neufs à…Cet article Une appli pour optimiser les découpes de treillis soudés est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 33 jours

Le gouvernement affine sa stratégie pour la forêt et le bois

Dans l’avenant au contrat stratégique de la filière bois signé le 19 avril, le temps long de la forêt croise les objectifs immédiats du plan de relance et les arbitrages en cours sur l’application de la réglementation environnementale 2020. Aux côtés de nombreux professionnels, Agnès Pannier-Runnacher, ministre de l’Industrie, a présidé la cérémonie de signature, entourée par ses collègues représentant l’amont et l’aval : Julien Denormandie, ministre de l’Agriculture et de la Forêt, et Emmanuelle Wargon, ministre du Logement.
Il y a 4 ans et 33 jours

Strohm Teka, entreprise spécialisée dans les solutions globales pour la salle de bain, fait confiance à BIM&CO

Strohm Teka, marque axée sur des solutions intégrales pour les salles de bains,  fait confiance à BIM&CO pour la modélisation, diffusion et publication de ses objets sur la plateforme publique BIM&CO. L’entreprise souhaitait que ses différentes parties prenantes aient la possibilité de collaborer de manière plus efficace. Accompagner les parties prenantes dès le début du processus Aussi agréables à vivre que propices à la détente, les salles de bain de la marque transforment les routines d’hygiène quotidiennes en moments privilégiés, et ses collections de salles de bain s’adaptent aux différents styles de vie de ses clients. Ayant ainsi pour valeur la bienveillance de ses clients, Strohm Teka cherche également à faciliter le travail d’équipe de ses collaborateurs internes et parties prenantes. Sachant que l’interaction de toutes les parties impliquées dans les différentes phases du projet minimise le risque de conflits entre les différentes phases d’exécution, c’est pour cela que l’entreprise a fait appel à BIM&CO. Juan José Rodríguez, architecte de Strohm Teka et responsable du canal Construction, commente : “En tant que fabricant, nous voulions donc faire partie, et nous le faisons, de cette solution à l’origine du processus, en accompagnant toutes les personnes impliquées et en leur apportant un soutien lorsqu’elles en ont besoin.” Un partenariat au déroulement rythmé BIM&CO a marqué le rythme de ce partenariat avec des réunions hebdomadaires,  permettant à Strohm Teka de comprendre ce que signifie un objet BIM et l’enjeu de structurer leur équipe en interne pour avancer plus vite et construire leur patrimoine de données. Les deux entreprises ont défini au préalable la liste des produits prioritaires à modéliser en fonction de la demande des clients et de la stratégie commerciale de Strohm Teka. En ce sens, cette première phase de projet se constitue de 76 objets qui correspondent à 153 références différentes. Prochainement, Strohm Teka a l’intention d’agrandir cette bibliothèque et ainsi de continuer son pari digital. C’est par le biais du groupe privé sur la plateforme publique que BIM&CO a pu échanger de manière collaborative avec Strohm Teka, qui a pu suivre l’évolution et la définition de sa bibliothèque. Grâce au viewer en ligne, Strohm Teka avait accès à la géométrie de l’objet sans passer par un logiciel natif, et pouvait également consulter en ligne l’ensemble des paramètres et valeurs associées à chaque objet. Tri d’objets et mise en relation des parties prenantes : les défis rencontrés Le principal obstacle rencontré en ajoutant ses objets sur bimandco.com a été pour Strohm Teka de comprendre quelles sont les informations essentielles et nécessaires, utiles pour toute phase de projets ou pendant l’exécution des travaux. Le fait de devoir rassembler toutes ces informations et de « dire » ce que sont leurs produits s’est alors donc être un défi. D’autre part, il n’était pas évident au premier abord de comprendre comment mettre en relation les différents départements et leurs besoins dans le cadre de cette méthodologie. Au-delà d’identifier et de définir les paramètres nécessaires pour la bibliothèque de Strohm Teka, une des problématiques et difficultés du projet a été de compiler l’ensemble de l’information 3d et 2d pour lancer les objets en modélisation. C’est là ou Strohm Teka a pris l’initiative de lancer en parallèle son projet PIM (Product Information Management), pour faire l’inventaire de l’ensemble de la data et nourrir les objets BIM. D’ailleurs aujourd’hui, il est difficile de dire quel projet a été moteur de l’autre : en effet, les objets BIM ont permis aussi de dicter les informations utiles à recenser dans le PIM. Une expérience positive pour les deux entreprises Au cours de ce projet, Strohm Teka a appris que le processus de numérisation est essentiel pour appartenir à un groupe de travail spécialisé et hautement professionnel. Pour l’entreprise, cette méthodologie est désormais devenue une nécessité, et leur équipe a appris à l’adopter rapidement et efficacement. Pour Strohm Teka et BIM&CO, la simplification des projets grâce à la plateforme fait de ce partenariat un succès : “Comme tout projet, il y a des phases plus complexes dans lesquelles le soutien de spécialistes comme chez BIM&CO est nécessaire, qui permettent d’avancer et de tout terminer à temps. L’expérience a été positive et nous allons continuer à aller de l’avant.”, dit Juan José Rodríguez. Quant au choix de BIM&CO, Juan José ajoute : “Plus qu’une solution, nous avons opté pour une équipe qui nous a dit que ce projet était aussi important pour elle que pour nous, qui s’est impliquée et a veillé à ce que nos besoins soient couverts…”. Un dernier conseil pour les autres fabricants Lorsque Juan José souhaite conseiller les autres fabricants qui ont pris la décision de faire le saut numérique, il est préférable de ne pas attendre : “Tout saut ou changement dans un processus de production implique un effort et un dévouement total, mais il est surtout important d’établir un planning raisonnable et réaliste et une communication constante, une feuille de route qui nécessitera cette numérisation, mais le conseil est que le plus tôt sera le mieux.” Si vous êtes fabricants et voulez vivre la même expérience que Strohm Teka, cliquez ici pour en savoir plus sur la digitalisation de votre catalogue produits avec des outils et services intégrés.
Il y a 4 ans et 36 jours

Le gouvernement prêt à revoir sa copie sur l'assurance-chômage, les syndicats toujours remontés

Décidée en juillet 2019 dans un marché de l'emploi alors dynamique, la réforme avait été suspendue à l'aune de la crise du Covid-19. Elle doit désormais entrer en vigueur à compter du 1er juillet dans une version amendée.Si le durcissement d'une partie des règles, notamment sur l'ouverture des droits, est désormais soumis à une clause de "retour à meilleure fortune", la disposition la plus contestée par les syndicats entrera bien en vigueur cet été. Il s'agit du nouveau mode de calcul des allocations, moins favorable aux demandeurs d'emploi qui alternent régulièrement périodes de chômage et d'activité.L'exécutif défend un "enjeu d'équité", le système actuel étant plus favorable à ceux qui alternent contrats courts et inactivité qu'à ceux qui travaillent en continu.Selon les calculs de l'Unédic, 1,15 million de personnes qui ouvriront des droits à l'assurance-chômage dans l'année suivant le 1er juillet devraient ainsi toucher une allocation mensuelle plus faible qu'avec les règles actuelles (de 17% en moyenne) avec dans le même temps une "durée théorique d'indemnisation" allongée (14 mois en moyenne contre 11 avant la réforme).A la demande de Force ouvrière, l'organisme paritaire a aussi effectué des simulations montrant qu'avec les mêmes périodes d'emploi et des rémunérations égales, les salariés ayant été en chômage partiel, en congé maladie ou maternité, seraient moins bien indemnisés que les autres. Les cas-types montrent un écart d'environ un tiers dans l'allocation mensuelle.C'est sur ce point que le gouvernement s'est dit prêt à corriger des "effets non voulus"."Dès que j'ai eu connaissance de cette étude de l'Unédic, qu'on a reçu un petit peu tard, quelques jours avant la publication du décret (fin mars, NDLR), j'ai demandé à mes services de prendre contact avec l'Unédic pour qu'on règle ce problème et c'est ce qu'on va faire", a déclaré jeudi la ministre du Travail Elisabeth Borne."Il n'y a aucune raison d'être pénalisé dans son allocation chômage si on a été en congé maternité ou placé en activité partielle", a-t-elle insisté."S'il faut un nouveau décret pour effectuer ces ajustements, on le fera", a indiqué dans la foulée le ministère du Travail à l'AFP.Les syndicats toujours remontésLes syndicats, qui s'opposent frontalement depuis le départ à cette réforme qu'ils jugent pénalisante pour les demandeurs d'emploi, notamment les plus précaires, affirment de leur côté avoir alerté de longue date le gouvernement sur cette problématique."Le ministère découvre (la situation) alors que ça fait six mois qu'on lui dit que dans les pénalisés il y en aura encore plus, notamment les femmes en congé maternité et ceux qui sont en arrêt maladie", a déclaré le numéro un de la CGT Philippe Martinez mercredi soir sur France info. "Donc c'est une réforme super injuste", a-t-il ajouté, rappelant que son syndicat appelle à une journée d'action le 23 avril.Son homologue de la CFDT Laurent Berger a aussi assuré jeudi avoir "alerté le ministère". "A vouloir réformer à tout prix, complètement de façon anachronique parce qu'on est en pleine crise (...) le gouvernement a fait une politique du doigt mouillé. C'est n'importe quoi!", a-t-il tempêté.Il a annoncé que la CFDT allait, comme les autres centrales, déposer prochainement un recours devant le Conseil d'État contre le décret d'application de la réforme.Pour Michel Beaugas (FO), les annonces du gouvernement constituent "une première victoire" mais "ne règlent pas le fond du problème" du nouveau mode de calcul. "Nous sommes toujours déterminés à le faire annuler par le Conseil d'Etat", a-t-il indiqué à l'AFP.Pour Cyril Chabanier (CFTC), les corrections annoncées sont "une bonne chose", mais il pointe d'autres dispositions à corriger, tandis que Jean-François Foucard (CFE-CGC) grince que le gouvernement a "du mal à faire bien du premier coup" et devrait "écouter un peu plus".Les syndicats ont jusqu'à fin mai pour déposer leurs recours devant l'instance, qui aura un mois pour statuer.
Il y a 4 ans et 37 jours

Réaménagement du rez-de chaussée de la Tour Cristal à Paris

Dans cette nouvelle configuration de l'espace d'accueil, largement ouvert et qui gagne en luminosité, Agent M propose deux gestes architecturaux qui apportent une identité esthétique forte. Le premier, un très bel ouvrage de ferronnerie, avec l'escalier à double révolution autoportante et d'un seul tenant. La deuxième pièce maitresse étant le bas-relief lumineux, une large fresque réalisée tout en staff, qui revisite ici le concept du lustre dans un hall d'accueil.Le lustre sous forme de bas-relief lumineux est réalisé à partir de différentes lames de staff juxtaposées les unes aux autres. Les différentes lames sont individuellement moulées en plusieurs pièces et rejointées sur place lors de la mise en place finale.Un dispositif électrique complexe est installé à l'arrière des plaques pour une diffusion uniforme de la lumière. Ce bas-relief de 15 m de long par 3m de haut, grand fond lumineux en arrière-plan de la façade, sera visible de l'autre côté de la seine.Le rez-de-chaussée est complété par la création d'un espace en mezzanine et de différents espaces de bureaux, vitrés et isolés, conçus et équipés selon une approche envisageant différentes postures de travail.Le projet concernant la modernisation et la remise au standard de la Tour Cristal, bâtiment emblématique des années 90 sur les quais de Grenelle, est traité à la fois par le rebranding architectural et une nouvelle identité visuelle. La conception du logo pour cet immeuble de bureau haut de gamme, rebaptisé Cristal Paris, s'inspire de la forme architecturale de la Tour, monolithe à facettes qui devient le monogramme de la nouvelle identité.La trame graphique est déclinée à plusieurs niveaux et ces éléments se retrouvent aussi dans différents détails de l'architecture intérieure du bâtiment. On retrouve ces détails dans le calepinage du sol en pierre marbrière, ou sur la trame des parois en verre de la nouvelle façade. La colorimétrie se décline sur le minéral, le cristallin et le cuivre, harmonisée à l'ensemble des supports, dont l'application smartphone dédiée à la réservation de services et accès aux différents espaces. Un mur numérique au centre du hall d'entrée présente les différents services et occupants de la Tour.
Il y a 4 ans et 37 jours

Réaménagement du rez-de chaussée de la Tour Cristal

Dans cette nouvelle configuration de l'espace d'accueil, largement ouvert et qui gagne en luminosité, Agent M propose deux gestes architecturaux qui apportent une identité esthétique forte. Le premier, un très bel ouvrage de ferronnerie, avec l'escalier à double révolution autoportante et d'un seul tenant. La deuxième pièce maitresse étant le bas-relief lumineux, une large fresque réalisée tout en staff, qui revisite ici le concept du lustre dans un hall d'accueil.Le lustre sous forme de bas-relief lumineux est réalisé à partir de différentes lames de staff juxtaposées les unes aux autres. Les différentes lames sont individuellement moulées en plusieurs pièces et rejointées sur place lors de la mise en place finale.Un dispositif électrique complexe est installé à l'arrière des plaques pour une diffusion uniforme de la lumière. Ce bas-relief de 15 m de long par 3m de haut, grand fond lumineux en arrière-plan de la façade, sera visible de l'autre côté de la seine.Le rez-de-chaussée est complété par la création d'un espace en mezzanine et de différents espaces de bureaux, vitrés et isolés, conçus et équipés selon une approche envisageant différentes postures de travail.Le projet concernant la modernisation et la remise au standard de la Tour Cristal, bâtiment emblématique des années 90 sur les quais de Grenelle, est traité à la fois par le rebranding architectural et une nouvelle identité visuelle. La conception du logo pour cet immeuble de bureau haut de gamme, rebaptisé Cristal Paris, s'inspire de la forme architecturale de la Tour, monolithe à facettes qui devient le monogramme de la nouvelle identité.La trame graphique est déclinée à plusieurs niveaux et ces éléments se retrouvent aussi dans différents détails de l'architecture intérieure du bâtiment. On retrouve ces détails dans le calepinage du sol en pierre marbrière, ou sur la trame des parois en verre de la nouvelle façade. La colorimétrie se décline sur le minéral, le cristallin et le cuivre, harmonisée à l'ensemble des supports, dont l'application smartphone dédiée à la réservation de services et accès aux différents espaces. Un mur numérique au centre du hall d'entrée présente les différents services et occupants de la Tour.
Il y a 4 ans et 39 jours

TEC7 propose son catalogue de produits pour les professionnels

Reconnue à l’international pour la qualité de ses produits de collage et d’étanchéité dans la construction, TEC7 propose désormais ses produits de haute qualité en France. Lancée il y a une trentaine d’années par l’entreprise familiale belge Novatech International, la marque TEC7 a développé des produits uniques permettant de remplacer par un seul polymère toute une série de mastics et de colles. TEC7 est un acteur majeur sur le plan international grâce à son procédé basé sur la technologie MS polymère Hybride permettant une adhérence renforcée et une résistance à la traction élevée. TEC7 propose aujourd’hui une gamme complète pour tous les travaux de collage, d’étanchéité, de lubrification, de nettoyage et de dégraissage. La mission de TEC7 est de simplifier le quotidien des professionnels du BTP sur le terrain. Les produits TEC7 sont conçus pour minimiser leurs impacts sur l’environnement, avec toujours autant de performance. Tous les produits TEC7 sont certifiés A+ et les composés à partir de MS polymère Hybride ne contiennent aucun solvant et aucun isocyanate, aucune substance nocive pour l’homme comme pour l’environnement. Les polymères MS Hybrides répondent aux exigences de qualité et de sécurité les plus élevées du secteur. Grâce à la qualité et au large domaine d’application des produits, TEC7 propose une gamme restreinte avec l’essentiel des solutions : les 3  produits phares TEC7, X-SEAL et X-TACK répondent à 90 % des applications de collage, d’étanchéité et de montages puissants. Les polymères MS Hybrides assurent une résistance unique pour assembler le bois, le polyester, le polystyrène, la brique, le béton, et même le béton cellulaire. Sans trace, les colles TEC7 conviennent également pour les pierres naturelles, les miroirs…. Pour les montages qui nécessitent une excellente adhérence initiale, TEC7 possède dans sa gamme la colle de montage la plus puissante du marché : X-TACK ! Déjà puissante avant durcissement (600kg/m²), elle assure une résistance à la traction incomparable de 26 kg/cm². Sa résistance chimique est également excellente contre l’eau, même salée, les solvants aliphatiques, les huiles, les acides anorganiques dilués et les alkalis.
Il y a 4 ans et 39 jours

La CAPEB développe le 1er Contrat de Construction d’une Maison Individuelle 100% digital et intelligent

Cet outil inédit développé en collaboration avec la société ImmoSign est une étape supplémentaire pour accompagner les petites entreprises artisanales du bâtiment vers une transition numérique adaptée aux besoins du métier. A noter que les 300 premiers contrats seront offerts par la CAPEB à ses adhérents concernés.Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Dans le contexte sanitaire que nous connaissons, il n’a jamais été aussi urgent d’accélérer la digitalisation du secteur de l’artisanat du bâtiment. C’est pourquoi, dans le cadre de la mise à jour du Contrat de Construction d’une Maison individuelle (CCMI), la CAPEB a souhaité innover en développant un outil inédit 100% digital et intelligent, le premier et le seul sur le marché ! Cet outil va faire gagner du temps aux entreprises et permettra de les engager durablement dans la transition numérique. C’est également un pas de plus vers la RSE puisque le contrat ainsi rédigé sera plus intelligible et transparent pour le client. En outre, les entreprises qui le souhaitent pourront également choisir d’intégrer une clause précisant qu’elles s’efforceront de participer à l’économie locale en recourant à une main-d’œuvre proche des chantiers et des matériaux régionaux. »Un contrat intelligent avec assistance en ligne pour faciliter les démarches des artisansCe dispositif permet aux utilisateurs de renseigner le contrat de construction d’une maison individuelle, rendu obligatoire par la loi de 1990, en ligne de façon totalement personnalisée et adaptée à l’ouvrage à construire. La digitalisation de ce dispositif permet à l’artisan d’être guidé tout au long de sa démarche grâce à une assistance en ligne qui aide l’artisan à renseigner les clauses. Concrètement, des éléments d’information sont fournis à chaque étape du formulaire par l’artisan afin de permettre la rédaction automatique et intelligente de son contrat au plus près des réalités du terrain (ex : L’étude géotechnique est-elle obligatoire selon la zone géographique ? Si oui, quelles démarches et comment s’y prendre ?), ce qui représente un gain de temps significatif pour les entrepreneurs du bâtiment. De plus, le contrat tel que rédigé par la CAPEB et ImmoSign, est compréhensible pour tous non-juristes, artisans ou clients.Les artisans seront informés du fonctionnement de ce nouvel outil début mai 2021 grâce à des webinaires dédiés organisés avec les CAPEB départementales en partenariat avec les collaborateurs d’ImmoSign présents sur le territoire. Celles-ci pourront gérer les ouvertures et les fermetures de compte au profit de leurs adhérents (ou des entreprises non adhérentes si elles le souhaitent, selon les conditions qu’elles définiront) et expliquer aux entreprises comment utiliser facilement cet outil. Une hotline, basée à Caen, est également prévue pour accompagner les utilisateurs en cas de besoin. Une fois le compte de l’utilisateur ouvert, le chef d’entreprise pourra se servir de cet outil sans limitation de temps ni du nombre d’utilisations.Irwin Baron, Directeur juridique d’ImmoSign : « Depuis longtemps, le juridique est considéré comme « quelque chose qui empêche », qui contraint les affaires. C’est ainsi que nous rencontrons ces pages noircies de clauses dont personne ne connaît ni ne lit plus le contenu. Les choses changent grâce au numérique ! Aujourd’hui, les LegalTech contribuent à rendre intuitive la rédaction juridique et l’application du droit au quotidien. D’une contrainte chronophage, le juridique devient un élément moteur pour l’entreprise. Il contribue à sa bonne administration, à une relation apaisée avec le client, et même à ouvrir à de nouveaux marchés. Encore convient-il que ces outils se démocratisent et soient à accessibles à toutes les entreprises. C’est notre raison d’exister, à ImmoSign : proposer des outils performants quelle que soit la taille de l’entreprise comme nous le faisons aujourd’hui pour les artisans et petites entreprises de la CAPEB. Ce CCMI intelligent permettra l’ouverture du marché règlementé de la construction de maisons, de rassurer quant à la bonne gestion juridique des chantiers et de sécuriser les entrepreneurs comme leurs clients. De quoi, nous l’espérons, renverser la tendance et offrir au juridique l’opportunité de devenir une chance pour tous. »
Il y a 4 ans et 39 jours

Scania : “Caps” sur la préparation des camions

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Le Caps assure l’adaptation des véhicules aux carrosseries qu’ils doivent recevoir. [©ACPresse] Qu’est-ce que le Centre d’adaptation et de préparation Scania, dit “Caps”, ouvert au sein de l’usine d’Angers ?« Nous construisons des centaines de poids lourds sur nos lignes d’assemblage. Pour certains, des configurations particulières sont nécessaires. C’est de cet aspect que se charge le Caps », résume Philippe Rousseau, chef de produit camions chez Scania. A vrai dire, ce service existait déjà, mais était réalisé dans des locaux loués à proximité.  L’innovation est donc l’intégration du Caps au cœur d’un bâtiment partagé, d’une surface totale de 5 100 m2, dont 3 400 m2d’ateliers. Un investissement de 6 M€.Le Caps a pour mission d’assurer la préparation des camions avant leur livraison. Cela va de l’inspection à l’activation du chronotachygraphe, en passant par le déplacement de certains composants ou la pose d’accessoires. L’installation d’éléments de carrosserie fait aussi partie des interventions. L’atelier vient d’être certifié ISO 9001:2005. 3 j ou 3 semaines d’intervention en moins Les porteurs “béton” sont particulièrement intéressés pour un passage au sein du Caps, car nécessitant de nombreuses adaptations. « Pour permettre le montage d’une cuve de malaxage, 3 j de travail sont nécessaires », souligne Patrice Roger, responsable du Caps. Et de poursuivre : « Pour accueillir un équipement de pompage, nous passons à 3 semaines d’intervention… »En d’autres termes, Scania fait gagner 3 j ou 3 semaines au carrossier. Un délai loin d’être négligeable, quand un client souhaite voir la livraison de son véhicule “pour hier”. Depuis la création du Caps, quelque 883 camions ont été préparés, dont 73 porte-toupies et quelques porte-pompes. Grâce à son nouveau bâtiment, Scania a déjà battu ce record avec 850 véhicules traités entre janvier et août 2020… Ce qui montre que les nouvelles installations assurent l’essor de cette structure. Ainsi, le Caps est en mesure de traiter un volume de plus de 6 000 véhicules par an. Aujourd’hui, le rythme annuel est d’environ 4 400 véhicules, soit 20 par j. Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 39 jours

Juridique : La gestion environnementale des chantiers

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine. Les produits destinés au réemploi ne prennent pas le statut de déchet… [©ACPresse] La Loi Agec a réformé les diagnostics “déchets des bâtiments”, en créant le diagnostic Produits Matériaux Déchets (PMD). Selon cette loi,“les produits et équipements destinés au réemploi ne prennent pas le statut de déchet1”. A cette fin, le diagnostic PMD doit être établi avant tout chantier de destruction ou de réhabilitation significative. Et ce, afin de maximiser le taux de réemploi. Il doit fournir la nature, la quantité et la localisation des matériaux, produits de construction et équipements. Ainsi qu’une estimation de leur état et les possibilités de réemploi sur le site de l’opération ou sur un autre site. Déjà applicable, le diagnostic PMD ne sera obligatoire qu’à compter du 1er juillet 2021. Evacuation et élimination des déchets Si le maître d’ouvrage est responsable à titre principal des déchets générés, une obligation de nettoyage et de remise en état des lieux pèse sur le maître d’œuvre. Ceci, en raison de son obligation de livraison en parfait état. Ce qui suppose l’évacuation des déchets générés. Mais les déchets, même non dangereux, ne s’abandonnent pas simplement dans la nature. Leur transport et leur élimination, voire leur valorisation et leur gestion, sont très encadrés. Le producteur des déchets est tenu d’en faire assurer leur élimination dans des conditions sans effets néfastes pour l’homme ou la nature2. Et leur collecte comme leur transport ne peuvent être assurés que par une entreprise y ayant été autorisée par l’administration3. Bien entendu, ceci n’est le cas qu’à défaut de réemploi. En tout état de cause, des registres doivent être tenus, comme le bordereau de suivi des déchets. Enfin, le déboisement ou l’exploitation de carrières peut être soumis à des autorisations environnementales de la direction régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (Dreal). Celles-ci font en général partie de l’obtention de permis de travaux. Et sont parfois couplées à des obligations de compensation (reforestation, capture et déplacement des animaux concernés, réintroduction d’espèces protégées…). Performances du bien livré Les intervenants à l’acte de construire ont une obligation de résultat qui englobe la mise en conformité aux exigences réglementaires environnementales. [©ACPresse] Il est exigé du maître de l’ouvrage qu’il justifie, lors de la réalisation d’un bâtiment neuf, de la satisfaction aux performances énergétiques et environnementales déterminées par la réglementation thermique. L’application de la RE 2020, qui a vocation à remplacer la RT 2012, a été reportée au 1er janvier 2022. Cette nouvelle réglementation ne contrôle plus seulement la consommation énergétique des bâtiments neufs, mais aussi leur bilan carbone. Tout en incluant l’analyse du cycle de vie des matériaux et des équipements employés. La RT Existant4, globale ou par élément en fonction de l’ampleur des travaux, est son équivalent pour les opérations de rénovation.Une performance énergétique supérieure aux prescriptions est, quant à elle, récompensée par l’octroi d’un bonus de Coefficient d’occupation des sols (COS)5.Enfin, il existe toute une gamme de labels réglementaires (HQE…) et d’engagements environnementaux volontaires, qui sont intégrés dans les documents contractuels et lient ainsi leurs parties. Le fondement des actions en responsabilité avant réception pour non-respect des exigences réglementaires, tout comme des engagements contractuels environnementaux, est la responsabilité contractuelle de droit commun. En effet, les intervenants matériels comme intellectuels à l’acte de construire sont tenus, avant réception, d’une obligation de résultat qui englobe la mise en conformité du projet constructif aux exigences réglementaires environnementales. Pierre LacoinAvocat à la CourCabinet 1792 Avocats 1L. 541-4-4 Code de la construction et de l’habitation. 2L. 541-2 Code de l’environnement.3L. 541-8 Code de l’environnement.4R. 131-25 et s. Code de la construction et de l’habitation.5R. 111-21 Code de la construction et de l’habitation. Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 39 jours

Groupe JPS Granulats : Le bas carbone comme leitmotiv

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Olivier Stocker, président du groupe JPS Granulats : « Dans le béton, c’est le clinker qui est émetteur de CO2, pas l’eau, ni les granulats ». [©ACPresse] Président du groupe JPS Granulats, Olivier Stocker est quelqu’un qui aime faire bouger les lignes. Déjà en 2017, il a fait modifier le référentiel de certification NF Liants hydrauliques1(NF 002). Ceci, pour le mettre en phase avec les Modalités d’application du marquage CE Ciments (CE 002). Une initiative qui a ouvert la porte à la fabrication de ciments en usines de mélange en France.  Par voie de conséquence, Ciments 2170, filiale de JPS Granulats, a pu lancer une production de CEM II/B-LL 42,5 N CE NF et 32,5 R CE NF. Le premier intègre 25 % de fillers calcaire micronisés Adca, fabriqués par JPS Granulats, et 75 % de clinker, fourni par Vicat. Quant au 32,5 R, le taux de substitution grimpe à 30 %. « Notre objectif pour 2022 est de passer 100 % de notre production en CEM II/B-LL 32,5 R », explique Olivier Stocker. Et de poursuivre : « Dans le cadre de notre R&D, nous avons même formulé un ciment avec 40 % de fillers calcaire et réalisé des bétons affichant tous les critères de durabilité et de résistance qu’on doit attendre d’eux ».  L’étape suivante dans le développement de l’offre ciments s’appelle CEM II/C 42,5 et CEM VI. Des solutions bas carbone, toujours réalisées par mélange, mais ternaires. Outre le clinker et le filler micronisé, ils intègrent du laitier. Toutefois, pas de haut fourneau. « En local, nous avons identifié un industriel intervenant dans le recyclage de l’acier,reprend Olivier Stocker. Ce dernier est en mesure de nous fournir un laitier dit de recyclage, apte à la production de ciment». Mais là se pose une nouvelle fois un problème de normalisation, qui n’a pas prévu la possibilité d’utiliser du laitier de recyclage. Il faudra donc faire bouger les lignes, puisque la ressource est là… Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 4 ans et 40 jours

Quali Parts & Services : « Nous avons l’exclusivité de distribution de la marque sud-coréenne Dy »

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Nelson Morgado est le président de Quali Parts & Services. [©Michel Roche] Dossier : Le portrait du pompage du béton en France Le Top Dix du pompage Cemex : « Le pompage est un service que le BPE se doit d’offrir » Les nouveaux entrants de la pompe Quali Parts & Services : « Nous avons l’exclusivité de distribution de la marque sud-coréenne Dy » Les pompes nouvelles sont arrivées SoPump veut digitaliser le pompage du béton Le pompage en France, c’est une centaine de sociétés présentes sur l’ensemble du territoire. Ce sont quelque 1 800 machines en service. C’est la mise en place de 25 % du BPE transporté. Et c’est le travail en sécurité comme leitmotiv. Le pompage du béton est un métier de proximité. Si quatre entreprises agissent à l’échelle nationale, l’essentiel des prestations intervient à un niveau plus local. Mais qui occupe le Top Dix du pompage ? Le pompage du béton fait pleinement partie des services proposés par le producteur de BPE Cemex. Une offre présente sur l’ensemble de la zone d’influence de l’industriel. Sur un marché pesant tout juste 70 machines pour l’année 2020, les acteurs de la pompe à béton se bousculent. Aux marques iconiques et historiques viennent s’ajouter de nouveaux entrants A partir de sa base toulousaine, Quali Parts & Services rayonne sur l’ensemble du territoire, proposant ses services d’entretien et de réparation. Mais surtout, l’entreprise assure la distribution exclusive des pompes sud-coréennes Dy. Explications avec Nelson Morgado, président de QPS. La crise sanitaire a, certes, ralenti l’activité, mais pas bridé l’innovation. Le secteur du pompage du béton en profite bien, avec une large offre de nouveautés qui arrivent sur le marché ou ont été lancées il y a peu de temps. Pour ainsi dire, il n’est pas d’industriel qui ne présente pas au moins une nouvelle machine en ce début d’année 2021. SoPump est la petite application qui monte dans le domaine du pompage du béton. La start-up est en action depuis une année maintenant. Qui est Quali Parts & Services (QPS) ? Quels sont ses domaines de compétence ? Nelson Morgado :Au départ, QPS a été créé pour les besoins internes de Quali Pompage. Son rôle était d’assurer l’entretien et les réparations courantes de nos pompes à béton. Un service que nous avons élargi à d’autres sociétés possédant du matériel de pompage et ayant les mêmes besoins. Chez QPS, nous sommes tous des techniciens du pompage, avec une excellente connaissance des matériels et des problématiques de pompage. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 40 jours

LafargeHolcim promeut son offre routière

Mise en œuvre du béton routier compacté au rouleau Rolltec de LafargeHolcim. [©LafargeHolcim] Rolltec : tel est le nom donné à la gamme des bétons compactés au rouleau (BCR) de LafargeHolcim. L’appellation a surtout été mise en place pour l’export, car ce n’est pas la France qui brille le plus par l’utilisation du béton pour construire ses chaussées. « C’est un nom générique qui couvre toutes les variantes possibles du produit,souligne Philippe Girault, prescripteur de l’offre route chez LafargeHolcim. Ainsi, nous savons adapter ces bétons à tous les types d’utilisations et de sollicitations. » Avec les moyens des routiers C’est donc d’une remise au goût du jour qu’il s’agit. En effet, le BCR sait répondre à des contraintes spécifiques, quand l’enrobé atteint ses limites.« Rolltec résiste sans broncher au poinçonnement, au cisaillement et à l’orniérage », confirme Philippe Girault. Mais son plus gros avantage intéresse les entreprises routières : ce béton à consistance de terre mouillée se met en œuvre avec leurs équipements traditionnels. Il est livré en semi-benne, mis en place au finisseur et compacté au rouleau vibrant. C’est-à-dire comme un enrobé classique, la chaleur en moins. Petite contrainte toutefois, l’application d’un produit de cure est obligatoire. Tout comme la création de joints de fractionnement, pour canaliser les remontées de micro-fissures.
Il y a 4 ans et 40 jours

Le marché des matériaux de construction retrouve une certaine dynamique

Portées par un contexte conjoncturel plutôt bien orienté côté bâtiment, les productions de béton alimentent des chantiers de gros œuvre dont le stock reste soutenu par des retards et délais de réalisation allongés du fait du contexte sanitaire ; quant aux granulats, l'activité bénéficie pour le moment d'un effet de rattrapage des anciens chantiers TP, dans l'attente de carnets de commandes plus garnis, notamment avec la mise en œuvre des mesures du Plan de relance. Dans un cas comme dans l'autre, la demande de matériaux vit actuellement de ses acquis et reste tributaire du rythme d'exécution des carnets en cours, côté bâtiment, et du timing d'arrivée des nouveaux appels d'offre, côté TP.Un mois de février dans la moyenneSelon les premières estimations pour le mois de février, l'activité des matériaux aurait décroché par rapport à janvier mais aussi au regard de l'an passé. Toutefois, cette évolution est à relativiser en raison du niveau élevé observé début 2020. Ainsi, dans les granulats, la production aurait reculé de -6,5% par rapport à janvier (données CVSCJO provisoires) et de -7,5% par rapport à février 2020 mais se situe exactement dans la moyenne des dix dernières années. Pour autant, grâce à un bon mois de janvier, les volumes se sont maintenus sur les trois derniers mois comparés aux trois mois précédents (+0,5%) mais s'affichent en recul au regard de la même période de l'an passé (-2,6%), par un effet de base assez logique. En cumul sur les deux premiers mois de 2021, les productions de granulats cèdent -4,3% comparé à l'an passé tandis qu'en cumul sur douze mois glissants, la baisse atteint -8,5%. Du côté du BPE, les livraisons se sont contractées de -6,5% par rapport à janvier et de -6,2% sur un an mais surplombent de 2% la production moyenne d'un mois de mars sur ces vingt dernières années. En dépit d'un bon mois de janvier là aussi, l'activité sur le dernier trimestre a reculé par rapport à septembre-novembre (-2,2%) mais aussi, bien sûr, par rapport à la même période de l'an passé (-1,7%).En cumul sur deux mois,la production de BPE s'inscrit en repli de -4,2% sur un an et de -9,9% en cumul sur douze mois.A partir du mois de mars, toutes les évolutions en glissement annuel seront « dopées » par un effet de base devenu très favorable mais pour l'heure, l'indicateur matériaux, provisoire pour février, se replie de -4,2% sur un an (CJO) après une baisse de -6,4% sur l'ensemble de l'année 2020.Le bâtiment « vit sur ses carnets » encore bien garnisUne fois n'est pas coutume, les entrepreneurs du bâtiment, interrogés en mars par l'INSEE, ont confirmé leur optimisme pour les prochains mois, anticipant même une amélioration de l'activité. Leurs carnets de commandes, toujours rivés à plus de 9 mois dans le gros œuvre, sont même jugés mieux garnis qu'en février et les perspectives d'embauche mieux orientées. L'activité du secteur semble donc pour le moment alimentée par un stock important de chantiers en cours ou à réaliser, héritage d'un rebond des permis enregistré avant l'arrivée de la crise sanitaire. Côté construction pourtant, les derniers chiffres des mises en chantier, bien que souvent révisés, témoignent d'un recul sensible, de -3,1% au cours des trois derniers mois, à fin février, comparé au trimestre précédent. En cumul sur un an, on dénombre ainsi 351 900 logements commencés (-9,5% sur un an). Côté permis, le redressement amorcé ces derniers mois semble s'essouffler (+0,5% en glissement trimestriel à fin février contre +16,8% à fin janvier) et la tendance sur un an demeure fortement baissière (-17,4% avec 377 000 autorisations), le segment du collectif étant plus impacté que celui de l'individuel diffus (-25,4% contre -9,5%). Enfin, s'agissant du secteur non résidentiel, la situation reste préoccupante : les surfaces autorisées (32,6 millions de m² en cumul annuel à fin février) continuent de se dégrader, reculant de -20,6% sur un an, un rythme qui semble s'accélérer sur les trois derniers mois (-21,5%), les bâtiments publics ou commerciaux affichant même des baisses proches de -25%. Quant aux surfaces commencées, elles s'enfoncent de -19,5% sur un an au cours des trois derniers mois et de -21,2% sur douze mois, les chiffres par types d'ouvrage étant souvent perturbés par des effets de retards de collecte et d'enregistrement de gros chantiers. Fragilisée par les conséquences économiques de la crise sanitaire sur les ménages et les entreprises, la construction de logements (et de locaux), semble également freinée par les blocages politiques et réglementaires.Dans bon nombre de collectivités, la délivrance des permis apparaît ralentie voire grippée, occasionnant parfois un allongement important entre les autorisations et le début des travaux (pouvant aller jusqu'à 24 mois dans le collectif). Par ailleurs, dans le cadre de la Loi Climat et résilience, l'objectif de lutte contre « l'artificialisation des sols » semble désormais dicter la politique foncière des donneurs d'ordre en dépit des besoins économiques et sociaux des différents territoires ; et ce, dans un contexte où les besoins en logements demeurent prégnants, où les conditions d'accès au crédit sont appelées à se durcir (application des critères HCSF à l'été 2021) et où les prix immobiliers du neuf continuent de se tendre (+7,1% pour les maisons depuis fin 2019 et +4,9% pour les appartements). Et cette inflation immobilière pourrait s'accélérer sous l'effet conjugué d'une raréfaction de l'offre des promoteurs, des nouvelles règlementations constructives (RE2020) et des tensions actuelles sur les prix des matériaux (acier, plastiques, métaux non ferreux, bois d'œuvre…). Cette actualité souligne l'enjeu du choix des matériaux dans le mode constructif. Le béton, disponible immédiatement, produit localement et peu soumis aux tensions du marché international, répond ainsi aux exigences de maitrise des délais d'approvisionnement et des coûts de construction, facteurs clés de l'accès au logement.Travaux publics : un peu mieuxLe début de l'année 2021 demeure très poussif dans les TP même si le risque d'un trou d'air qui était attendu semble pour le moment écarté. Selon la FNTP, les travaux réalisés, en repli de -10,4% en janvier sur un an, renouent cependant avec les niveaux de 2019 mais les facturations annuelles reculent de -14%. Les carnets de commandes, très dégarnis, frémissent toutefois en janvier (+5,9% sur un an). Mais les professionnels restent en attente d'un réveil des appels d'offre, en liaison notamment avec la mise en place des projets du Plan de Relance.Au total, la demande de matériaux en 2021 restera soumise à de fortes incertitudes : côté BPE, alimentée par les carnets du bâtiment au moins jusqu'à l'été, elle pourrait varier de -2% à +2% selon les délais d'exécution et le rythme d'épuisement du stock des permis. Côté granulats, l'évolution de l'activité dépendra, de celle du BPE certes, mais aussi du timing des nouveaux chantiers de TP et du Plan de Relance et varierait entre 0 et +4%, avec une seconde partie de l'année mieux orientée.
Il y a 4 ans et 40 jours

SoPump veut digitaliser le pompage du béton

Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine L’application SoPump est destinée aux acteurs du pompage. [©SoPump] Dossier : Le portrait du pompage du béton en France Le Top Dix du pompage Cemex : « Le pompage est un service que le BPE se doit d’offrir » Les nouveaux entrants de la pompe Quali Parts & Services : « Nous avons l’exclusivité de distribution de la marque sud-coréenne Dy » Les pompes nouvelles sont arrivées Le pompage en France, c’est une centaine de sociétés présentes sur l’ensemble du territoire. Ce sont quelque 1 800 machines en service. C’est la mise en place de 25 % du BPE transporté. Et c’est le travail en sécurité comme leitmotiv. Le pompage du béton est un métier de proximité. Si quatre entreprises agissent à l’échelle nationale, l’essentiel des prestations intervient à un niveau plus local. Mais qui occupe le Top Dix du pompage ? Le pompage du béton fait pleinement partie des services proposés par le producteur de BPE Cemex. Une offre présente sur l’ensemble de la zone d’influence de l’industriel. Sur un marché pesant tout juste 70 machines pour l’année 2020, les acteurs de la pompe à béton se bousculent. Aux marques iconiques et historiques viennent s’ajouter de nouveaux entrants A partir de sa base toulousaine, Quali Parts & Services rayonne sur l’ensemble du territoire, proposant ses services d’entretien et de réparation. Mais surtout, l’entreprise assure la distribution exclusive des pompes sud-coréennes Dy. Explications avec Nelson Morgado, président de QPS. La crise sanitaire a, certes, ralenti l’activité, mais pas bridé l’innovation. Le secteur du pompage du béton en profite bien, avec une large offre de nouveautés qui arrivent sur le marché ou ont été lancées il y a peu de temps. Pour ainsi dire, il n’est pas d’industriel qui ne présente pas au moins une nouvelle machine en ce début d’année 2021.  SoPump est la petite application qui monte dans le domaine du pompage du béton. « Cette profession est encore peu digitalisée, alors que les besoins et les attentes sont là », constate Morad Houmir, co-fondateur de la start-up développant l’outil. SoPump est en action depuis une année maintenant, après avoir nécessité deux ans et demi de réflexion et de développement, au sein de l’incubateur de l’Ecole des mines d’Alès.  La première réponse apportée par l’application est la simplification de la partie administrative de l’activité de pompage. Une grosse attente des premiers utilisateurs et, pour certains “bêta-testeurs” de la solution. « Nous cherchions une application qui nous permette de dématérialiser les bons de pompage et d’assurer la gestion rapide des avoirs. Ceci, sans erreur de saisie et avant les facturations finales », détaille Thierry Bénazet, comptable de Pompage Occitan. Les documents papier généraient des ressaisies, des interprétations au niveau de l’écriture manuscrite des chauffeurs… Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 40 jours

Les pompes nouvelles sont arrivées

Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine L’automotrice Sermac 5Z36 retient l’attention : malgré une flèche cinq bras de 36 m, elle reste compacte. [©Sermac] Dossier : Le portrait du pompage du béton en France Le Top Dix du pompage Cemex : « Le pompage est un service que le BPE se doit d’offrir » Les nouveaux entrants de la pompe Quali Parts & Services : « Nous avons l’exclusivité de distribution de la marque sud-coréenne Dy » SoPump veut digitaliser le pompage du béton Le pompage en France, c’est une centaine de sociétés présentes sur l’ensemble du territoire. Ce sont quelque 1 800 machines en service. C’est la mise en place de 25 % du BPE transporté. Et c’est le travail en sécurité comme leitmotiv. Le pompage du béton est un métier de proximité. Si quatre entreprises agissent à l’échelle nationale, l’essentiel des prestations intervient à un niveau plus local. Mais qui occupe le Top Dix du pompage ? Le pompage du béton fait pleinement partie des services proposés par le producteur de BPE Cemex. Une offre présente sur l’ensemble de la zone d’influence de l’industriel. Sur un marché pesant tout juste 70 machines pour l’année 2020, les acteurs de la pompe à béton se bousculent. Aux marques iconiques et historiques viennent s’ajouter de nouveaux entrants A partir de sa base toulousaine, Quali Parts & Services rayonne sur l’ensemble du territoire, proposant ses services d’entretien et de réparation. Mais surtout, l’entreprise assure la distribution exclusive des pompes sud-coréennes Dy. Explications avec Nelson Morgado, président de QPS. SoPump est la petite application qui monte dans le domaine du pompage du béton. La start-up est en action depuis une année maintenant. [Abonnes] La crise sanitaire a, certes, ralenti l’activité, mais pas bridé l’innovation. Le secteur du pompage du béton en profite bien, avec une large offre de nouveautés qui arrivent sur le marché ou ont été lancées il y a peu de temps. Pour ainsi dire, il n’est pas d’industriel qui ne présente pas au moins une nouvelle machine en ce début d’année 2021.   [/abonnes] ACM Equipement : Pour qui sont ces serpents... Distribuer de manière simple et rapide le béton sur chantier, telle est la vocation du Concrete Cobra. Cet outil signé Royal Makine a été développé en partenariat avec ACM Equipement. D’un poids de 250 kg en ordre de marche, il se présente comme un module autonome radio-commandé, alimenté par un moteur thermique Honda et disposant de quatre roues directionnelles. Ce choix permet les demi-tours rapides, dans un espace restreint, mais aussi une marche en crabe. La singularité du Concrete Cobra est de bénéficier d’un bras de distribution orientable sur 360°, mais surtout relevable. De quoi permettre des bétonnages dans un rayon de 2,50 m autour de la machine ou à une hauteur maximale de 4 m. La forme de l’extrémité du bras, en forme de tête de serpent, donne son nom au Concrete Cobra. Le diamètre standard du tuyau équipant la machine est égal à 125 mm. La connexion de tuyaux de diamètres plus petits est possible, par l’intermédiaire de réducteurs. Le Concrete Cobra s’utilise en liaison avec une pompe à béton stationnaire ou automotrice qui, elle, assure le transfert du béton à partir de la toupie. Le Concrete Cobra, le petit module de pompage adapté à tous les chantiers.[©ACPresse] Cifa Zoomlion : Une 47 m bien adaptée à la France Si la pompe automotrice K40H a fait les feux de l’actualité ces derniers temps, Cifa Zoomlion détient une autre machine tout aussi intéressante. Son nom : K47H. Ce “H” final indique la présence de bras en carbone. D’un PTAC de 32 t, montée sur un porteur 8 x 4, cette pompe reste malgré tout compacte, avec un encombrement identique à celui d’une 42 m. « Au moment de choisir, la question de la taille peut se poser... », indique Xavier Jean, directeur général de Cifa Zoomlion France. Il est vrai que cette pompe offre une flèche à cinq sections à pliage en “RZ”, allégée par la présence des deux dernières sections en carbone. Disponible depuis un peu plus de 18 mois en France, cette K47H a déjà conquis trois acheteurs. Ceux-ci peuvent ainsi réaliser des chantiers avec cette machine dédiée à une 42 m. Et ce, avec un confort absolu. Mais surtout disposer de 5 m complémentaires de flèche en cas de besoin. Comme nombre de ses aînées, la K47H reçoit le classique groupe de pompage HP1608EC, installé sur toutes les pompes de la marque de 28 à 47 m. L’équipement offre un débit de 160 m3à une pression maximale de 80 bar. La pompe K47H de Cifa Zoomlion est disponible en France depuis maintenant dix-huit mois.[©Zoomlion] Dy/Quali Parts & Services : Dites “33” Distributeur exclusif pour l’Europe et le Moyen-Orient de la marque de pompes à béton Sud-coréennes Dy, Quali Parts & Services (QPS) annonce l’arrivée de la toute nouvelle 33X-ZZ5. Cette machine se caractérise par la présence d’une flèche de 33 m cinq bras à pliage en “Z”, autorisant un déploiement sous une hauteur de 5,80 m. L’autre plus est une rotation à 360° en continu, offrant ainsi un maximum de polyvalence. Le groupe de pompage permet un débit de 160 m3/h, à une pression de 85 bar. Destinée à être montée sur un porteur 6 x 4, cette pompe affiche un PTAC d’environ 24,5 t. Sa longueur en ordre de marche est de 10,48 m, pour une hauteur de 3,90 m. QPS indique que la première machine de cette série sera livrée dans le courant du mois de juin prochain. La Dy 33X-ZZ5 arrive pré-montée, prête pour son installation sur un porteur européen.[©Quali Parts & Services] Everdigm/Flypump : La 43 m comme vedette Dans le domaine des grandes flèches, Everdigm poursuit sa logique de renouvellement de ces modèles. L’année 2020 a été celle de la pompe ECP 48 CX, qui a remplacé l’ECP 47 CX, tout en s’intégrant sur un châssis identique. En 2021, c’est l’ECP 43 CX qui tient la vedette, en succédant à l’ECP 42 CX. Pour l’utilisateur, le gain est de 1 m de flèche, tout en restant compact sur un châssis identique d’un PTAC de 32 t. Avec ses cinq bras, à pliage “ZR”, cette flèche autorise un déploiement sous une hauteur de 8,30 m. Ce qui permet de travailler en intérieur ou de rentrer efficacement par des accès extérieurs sans difficulté. Le bloc de pompage Everdigm 2116 offre une capacité de 160 m3/h, à 85 bar. Quant à la stabilisation, elle est de type “diagonal télescopique”, de 8 m à l'avant et de 8,50 m à l'arrière, en papillon. La pompe est équipée du système ESS qui avertit le pompiste de la zone de travail autorisée, en fonction des stabilisateurs sortis. Ceci, en ralentissant la rotation puis, en déclenchant une alarme, avant de stopper la rotation de flèche. Enfin, la machine est pourvue d’un compresseur d'air, d’une pompe à eau et d’un nettoyeur haute pression. Elle autorise aussi le transport de tuyaux complémentaires, de colliers, joints et autres équipements sur chacun de ses côtés, suivant le besoin des clients. En France, la marque Everdigm est distribuée en exclusivité par Flypump. Ce dernier vient d’ailleurs de livrer le premier exemplaire français de l’ECP 43 CX à MK Pompage. « Cette entreprise nous fait confiance pour la 5efois et elle n’est pas la seule dans ce cas,conclut Jean-Marc Wattebled, directeur de Flypump. Nous faisons toujours le maximum pour accompagner nos clients, car leur fidélité est notre satisfaction. » L’Everdigm ECP 43 CX tient la vedette, en succédant à l’ECP 42 CX.[©Everdigm] Imer : Des stationnaires pour la fin d’année Aujourd’hui, Imer dispose d’une offre restreinte de pompes à béton. Celle-ci se limite, pour l’heure, aux malaxeurs-pompes Boomix, déclinés en trois longueurs de flèche : 22 m, 24 m et 29 m. Ce qui répond bien à la demande du marché. A cela s’ajoute un unique modèle de pompe automotrice muni d’un bras de 36 m et une petite pompe stationnaire baptisée Booster 15... Mais l’année 2021 s’annonce comme celle de l’évolution et d’un enrichissement de l’offre automotrice, dont les nouveautés seront dévoilées à l’occasion de la Bauma. En attendant, dans les mois qui viennent, cette gamme stationnaire sera élargie avec l’arrivée des Booster 30 et 45, pour des capacités de pompage de 30 et 45 m3/h. Et en fin d’année, Imer devrait mettre sur le marché les modèles Booster 60 et 90. La petite pompe stationnaire Imer Booster 15 verra l’arrivée de quatre sœurs dans le courant de l’année[©Imer] Liebherr Malaxage et Techniques : Une 42 m bien née Pour Liebherr, l’année 2021 constitue une période de positionnement de son offre pompage sur le marché français. D’autant plus que l’industriel met à jour l’ensemble de son offre. Le haut de gamme actuel de la marque n’est autre que la 50 M5 XXT. Mais c’est la pompe automotrice 42 M5 XXT qui retient aujourd’hui l’attention. Montée sur un porteur 8 x 4, cette machine de nouvelle génération affiche un PTAC inférieur à 32 t, tout en offrant une portée verticale de 41,2 m. Et une hauteur de déploiement minimale de 8,60 m. Mais ce qui caractérise le plus cette machine est son groupe de pompage Powerbloc,« qui surprend les pompistes expérimentés par sa douceur de fonctionnement », précise Arnaud Lévy, directeur de Liebherr Malaxage et Techniques. Les à-coups sont beaucoup moins perceptibles, procurant un sentiment de légèreté au pompage, accompagné d’une bien plus grande stabilité de la flèche. Ceci, avec un régime moteur bas sans compromis sur la puissance de pompage. L’équipement est disponible en deux variantes : 140H et 170 H. Soit 144 m3/h ou 167 m3/h, à une pression de 80 bar. La différence se fait au niveau du nombre de cycles : 29 pour le 140H et 34 pour le 170H. Une première 42 m a intégré le parc de l’Alsacien Michel et sillonne activement les routes mosellanes [Lire Béton[s] le Magazine n° 92, p. 54]. Une deuxième machine est en préparation pour rejoindre le Sud de la France... Par ailleurs, Liebherr annonce aussi l’arrivée de la 36 M5 XXT. « Ce sera la nouveauté de l’automne, qui viendra enrichir la gamme actuelle », dévoile en conclusion Arnaud Lévy. La première 42 M5 XXT de Liebherr tourne en Alsace depuis quelques mois.[©Liebherr] Mecbo : Le renouveau des petites tailles Mecbo met en service sa toute nouvelle pompe automotrice 25 RZ, montée sur un porteur 4 x 2, d’un PTAC de 19 t. Le poids réel de la machine, pleins faits, est de 18,5 t. Sa flèche quatre bras autorise le déploiement sous une hauteur de 4,20 m. Repliée, elle permet à la pompe de s’inscrire dans une longueur hors tout de 8,10 m.« Le cahier des charges de la 25 RZ était simple : disposer de la flèche la plus longue possible, avoir un poids réduit et être compacte pour circuler en ville », détaille Antonio Agostinho, président de Mecbo. Cette machine reçoit le groupe de pompage Pulsar 6, d’une capacité de 90 m3/h. L’autre innovation Mecbo est la CityPump, qui voit sa flèche gagner 2 m, passant de 20 m à 22 m. Ceci, avec toujours un élément à pliage en “Z”, divisé en quatre bras. Le groupe de pompage est le Pulsar 4, de 70 m3/h et l’ensemble de la machine est inscrite sur un porteur 4 x 2, d’un PTAC de 19 t. Enfin, Mecbo annonce aussi une petite révision de sa 51 m, qui perd un peu de poids... Mecbo lance sa toute nouvelle pompe automotrice 25 RZ, montée sur un porteur 4 x 2.[©ACPresse] Putzmeister : L’électrique, c’est fantastique Exit le rouge et jaune historiques. Pour la dernière-née de ses pompes automotrices, Putzmeister a choisi une livrée bleue et noire. Répondant au nom de Iontron Hybrid, c’est une gamme électrique qui arrive sur le marché, disponible dans les classes de 20 m, 30 m et 40 m. Ces machines reprennent tous les fondamentaux des pompes automotrices classiques. Pour le pompiste, aucun changement, sauf la présence d’une motorisation électrique de 92 kW, en plus de l’entraînement diesel habituel. Il ne faut pas chercher de batteries non plus : il n’y en a pas. L’Iontron Hybrid utilise le réseau électrique du chantier pour fonctionner. Une puissance de 125 A est nécessaire... Pour ce faire, il suffit de dérouler le câble présent sur la machine et de le brancher. Puis, de basculer sur le Mode-E, en actionnant un simple bouton. Et enfin, de couper le moteur du porteur. Le moteur électrique prend en charge toutes les fonctionnalités de la pompe. Et s’il n’y a pas de courant ? L’Iontron peut profiter de lamotorisation thermique du porteur. Il est même possible de basculer d’un mode à l’autre, y compris durant le pompage. Pour permettrecette hybridation, Putzmeister s’est appuyé sur sa nouvelle technologie de pompe iLS. Ce groupe est proposé sur les machines de classe 30 m et 40 m et offre une capacité de 100 m3/h. Le mode électrique de l’Iontron permet une importante action sur le bruit et le CO2. Ainsi, la pression sonore passe de 115 dB(A) à 107 dB(A), soit un niveau divisé par deux. Quant au gaz carbonique, il n’y en a tout simplement plus : zéro CO2émis et zéro consommation de gasoil, contre 26,53 kg de CO2/h et 10,2 l de gasoil/h pour le moteur thermique diesel. Même si l’Iontron Hybrid constitue une belle innovation dans le domaine du pompage, Putzmeister n’en abandonne pas pour autant les technologies traditionnelles. Et d’annoncer la mise sur le marché de ses nouveaux malaxeurs-pompes Pumi. En fait, l’évolution vient du nouveau groupe de pompage TMP 1007 S, qui équipe à présent l’ensemble de la gamme. Le TMP 1007 S voit sa puissance améliorée et la course de son piston unique augmenté, passant à 1 000 mm. Résultat, un débit pouvant atteindre 92 m3/h. Enfin, l’offre des pompes stationnaires voit l’entrée en lice de la nouvelle série BSA 1000. Les BSA 1005 et 1006 intègrent le Diesel Deutz à 3 cylindres (Stage V), d’une puissance de 55 kW. Ce moteur ne nécessite pas d’additif Ad-Blue. Il actionne la pompe à double piston (course de 1 000 mm), d’un débit de 64 m3/h à 70 bar. Une motorisation électrique de 45 kW est aussi disponible. Enfin, ces deux pompes bénéficient de la commande Ergonic 3, dont l’une des fonctionnalités est de ralentir le régime moteur durant toutes les phases de marche à vide. Avec l’Iontron Hybrid, Putzmeister bouscule l’univers de la pompe automotrice.[©Putzmeister] Sermac/Bonneux : Une 60 m pour atteindre les sommets Le constructeur italien Sermac propose une gamme de pompes, allant de la compacte 4ZR20 à l’imposante 6RZ65. Et c’est du côté des machines haut de gamme qu’il faut aller chercher la nouveauté. Ainsi, en 2021, l’industriel va lancer sur le marché international une pompe à béton inédite : la 6RZ60 Superlight. Cette machine sera dotée d’une flèche six bras de 60 m à pliage en “RZ”, tout à fait adaptés aux grands chantiers, et montée sur un porteur à cinq essieux. D’une manière plus spécifique pour le marché français, l’offre actuelle se concentre autour de plusieurs machines. Telle la petite pompe 4ZR20. Dotée d’une flèche quatre bras de 20 m à pliage en “ZR”, elle se caractérise par un empattement court limité à 3,69 m et une longueur hors tout de 8,10 m. Mais aussi un espace de stabilisation de 3,39 m à l’avant et de 2,95 m à l’arrière. Pour les chantiers urbains, on peut citer aussi la 4Z27. Mais c’est l’automotrice 5Z36 qui retient l’attention. Non seulement, elle bénéficie d’une flèche cinq bras de 36 m, à pliage en “Z”, mais elle reste compacte, ne dépassant pas les 9,88 m de long. De quoi se glisser dans les milieux urbains exigus. Montée sur un porteur 6 x 4, avec un empattement de 3,90 m, elle intègre le groupe de pompage G9, d’une cadence de 158 m3/h, à une pression maximale de 80 bar.A géométrie optimale, la S-valve garantit d’importantes sorties de béton pour une usure réduite au minimum. Quant à la 5Z42, Sermac l’annonce comme la seule pompe du marché à être conçue avec un pliage cinq bras en “Z”. Ce qui lui permet de bénéficier d’une grande rapidité d’ouverture, avec une hauteur de dépliage de 8 m. Enfin, le malaxeur-pompe Twinstar 3Z24 complète l’offre “France”. Dotée d’une flèche de 24 m, il permet tout de même d’atteindre une charge utile de 5 m3de béton. L’automotrice Sermac 5Z36 retient l’attention : malgré une flèche cinq bras de 36 m, elle reste compacte.[©Sermac] Schwing Stetter : Une 43 m automotrice ou une 20 m3 stationnaire ? Une pompe automotrice et une stationnaire font l’actualité Schwing Stetter, côté nouveauté. Ainsi, l’industriel a-t-il mis sur le marché la S47SX dans sa version III. Cette pompe s’articule autour de sa flèche de 47 m cinq bras à pliage en “RZ”, autorisant un déploiement sous une faible hauteur : 9,80 m seulement, ce qui reste très peu pour une machine de cette classe. Quant à la tourelle, elle offre un généreux pivotement de 2 x 365°, laissant une grande liberté de mouvement. De même, pour minimiser les risques de bouchons, la tuyauterie de la S47SX III est proposée avec des coudes à grands rayons de calibre 275 mm. La stabilisation SX avant, en forme d’arc de cercle, permet l’intégration du groupe de pompage P2525, à cylindres de refoulement de 2,50 m. De quoi offrir un débit de 60 m3/h à une cadence de seulement huit coups/mn. Le coût d’usure des pièces en est d’autant réduit. L’autre point fort de cette pompe est son système Esay/Esasyflex de pilotage de la stabilisation. Cette technologie permet de stabiliser la machine d’un seul côté, autorisant le pompage en toute sécurité, même dans des espaces restreints. Montée sur un porteur 8 x 4, la S47SX III présente une longueur de 11,88 m en ordre de marche, pour un PTAC à peine supérieur à 31 t. Pour sa part, la pompe stationnaire s’appelle TP 100. Se présentant sous la forme d’une remorque tractable, elle affiche un poids inférieur à 2 t. S’articulant autour du groupe de pompage P 0615, elle offre un débit de 20 m3/h à une pression maximale de 85 bar. La TP 100 est disponible en trois motorisations : deux Diesel (Stage IIIA ou V de 345 kW) ou un électrique de 30 kW. Pour répondre à chaque configuration de chantier. Schwing Stetter a mis sur le marché la S47SX dans sa version III.[©Schwing Stetter] Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 40 jours

Les nouveaux entrants de la pompe

Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Le Coréen KCP a réussi plusieurs offensives depuis sa base arrière espagnole… [©ACPresse] Dossier : Le portrait du pompage du béton en France Le Top Dix du pompage Cemex : « Le pompage est un service que le BPE se doit d’offrir » Quali Parts & Services : « Nous avons l’exclusivité de distribution de la marque sud-coréenne Dy » Les pompes nouvelles sont arrivées SoPump veut digitaliser le pompage du béton Le pompage en France, c’est une centaine de sociétés présentes sur l’ensemble du territoire. Ce sont quelque 1 800 machines en service. C’est la mise en place de 25 % du BPE transporté. Et c’est le travail en sécurité comme leitmotiv. Le pompage du béton est un métier de proximité. Si quatre entreprises agissent à l’échelle nationale, l’essentiel des prestations intervient à un niveau plus local. Mais qui occupe le Top Dix du pompage ? Le pompage du béton fait pleinement partie des services proposés par le producteur de BPE Cemex. Une offre présente sur l’ensemble de la zone d’influence de l’industriel. A partir de sa base toulousaine, Quali Parts & Services rayonne sur l’ensemble du territoire, proposant ses services d’entretien et de réparation. Mais surtout, l’entreprise assure la distribution exclusive des pompes sud-coréennes Dy. Explications avec Nelson Morgado, président de QPS. La crise sanitaire a, certes, ralenti l’activité, mais pas bridé l’innovation. Le secteur du pompage du béton en profite bien, avec une large offre de nouveautés qui arrivent sur le marché ou ont été lancées il y a peu de temps. Pour ainsi dire, il n’est pas d’industriel qui ne présente pas au moins une nouvelle machine en ce début d’année 2021.  SoPump est la petite application qui monte dans le domaine du pompage du béton. La start-up est en action depuis une année maintenant. Longtemps, en Europe, le marché de la pompe à béton a été le terrain réservé de quelques marques, en tête desquelles se plaçaient Putzmeister et Schwing Stetter. D’aucuns les considèrent encore comme les références. L’Italie était en embuscade, avec des noms comme Cifa, Imer, Mecbo ou Sermac. Si les trois dernières sont encore européennes, Cifa, Putzmeister et Schwing Stetter sont passées sous pavillon chinois. Même si les usines sont toujours basées sur le Vieux Continent. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne  Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 40 jours

Cemex : « Le pompage est un service que le BPE se doit d’offrir »

Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Jean-Marie Modica est le directeur général activité matériaux de Cemex France Sud. [©Cemex] Dossier : Le portrait du pompage du béton en France Le Top Dix du pompage Les nouveaux entrants de la pompe Quali Parts & Services : « Nous avons l’exclusivité de distribution de la marque sud-coréenne Dy » Les pompes nouvelles sont arrivées SoPump veut digitaliser le pompage du béton Le pompage en France, c’est une centaine de sociétés présentes sur l’ensemble du territoire. Ce sont quelque 1 800 machines en service. C’est la mise en place de 25 % du BPE transporté. Et c’est le travail en sécurité comme leitmotiv. Le pompage du béton est un métier de proximité. Si quatre entreprises agissent à l’échelle nationale, l’essentiel des prestations intervient à un niveau plus local. Mais qui occupe le Top Dix du pompage ? Sur un marché pesant tout juste 70 machines pour l’année 2020, les acteurs de la pompe à béton se bousculent. Aux marques iconiques et historiques viennent s’ajouter de nouveaux entrants A partir de sa base toulousaine, Quali Parts & Services rayonne sur l’ensemble du territoire, proposant ses services d’entretien et de réparation. Mais surtout, l’entreprise assure la distribution exclusive des pompes sud-coréennes Dy. Explications avec Nelson Morgado, président de QPS. La crise sanitaire a, certes, ralenti l’activité, mais pas bridé l’innovation. Le secteur du pompage du béton en profite bien, avec une large offre de nouveautés qui arrivent sur le marché ou ont été lancées il y a peu de temps. Pour ainsi dire, il n’est pas d’industriel qui ne présente pas au moins une nouvelle machine en ce début d’année 2021. SoPump est la petite application qui monte dans le domaine du pompage du béton. La start-up est en action depuis une année maintenant. Producteur de BPE à l’échelle nationale, Cemex est en réalité présent sur deux secteurs. D’abord, au Nord d’une courbe reliant Rennes à Valenciennes via Paris. Puis, au Sud d’une autre courbe, dont La Rochelle est l’origine et Mâcon le point d’arrivée, mais en passant par Montauban. De longue date, l’industriel a fait le choix d’intégrer le pompage au cœur de son activité. « Le pompage est un service que le BPE se doit d’offrir,souligneJean-Marie Modica, directeur général activité matériaux Cemex France Sud. Connaître les caractéristiques du béton et savoir proposer sa mise en œuvre efficace est un véritable plus. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 40 jours

Le Top Dix du pompage

Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Avec 550 pompes automotrices, reconnaissables avec leurs couleurs écru et orange, Inter Service Pompe est le n° 1 incontesté du pompage en France. [©ACPresse] Dossier : Le portrait du pompage du béton en France Cemex : « Le pompage est un service que le BPE se doit d’offrir » Les nouveaux entrants de la pompe Quali Parts & Services : « Nous avons l’exclusivité de distribution de la marque sud-coréenne Dy » Les pompes nouvelles sont arrivées SoPump veut digitaliser le pompage du béton Le pompage en France, c’est une centaine de sociétés présentes sur l’ensemble du territoire. Ce sont quelque 1 800 machines en service. C’est la mise en place de 25 % du BPE transporté. Et c’est le travail en sécurité comme leitmotiv. Le pompage du béton fait pleinement partie des services proposés par le producteur de BPE Cemex. Une offre présente sur l’ensemble de la zone d’influence de l’industriel. Sur un marché pesant tout juste 70 machines pour l’année 2020, les acteurs de la pompe à béton se bousculent. Aux marques iconiques et historiques viennent s’ajouter de nouveaux entrants A partir de sa base toulousaine, Quali Parts & Services rayonne sur l’ensemble du territoire, proposant ses services d’entretien et de réparation. Mais surtout, l’entreprise assure la distribution exclusive des pompes sud-coréennes Dy. Explications avec Nelson Morgado, président de QPS. La crise sanitaire a, certes, ralenti l’activité, mais pas bridé l’innovation. Le secteur du pompage du béton en profite bien, avec une large offre de nouveautés qui arrivent sur le marché ou ont été lancées il y a peu de temps. Pour ainsi dire, il n’est pas d’industriel qui ne présente pas au moins une nouvelle machine en ce début d’année 2021. SoPump est la petite application qui monte dans le domaine du pompage du béton. La start-up est en action depuis une année maintenant. Le n° 1 incontesté en France, en Europe et sans doute dans le monde, est Inter Service Pompe (ISP). L’entreprise est née en 1977, créée par José Agostinho, père de l’actuel dirigeant. Elle possède aujourd’hui 550 pompes automotrices, à quoi s’ajoutent une cinquantaine de stationnaires. ISP intervient sur l’ensemble du territoire national, à partir de ses filiales régionales.  Avec 224 pompes, tous profils confondus et affrétés à ses couleurs y compris, Delta Pompage occupe la deuxième marche du podium. Cette filiale spécialisée rattachée au groupe cimentier Vicat intervient principalement le long de l’axe rhodanien, en Ile-de-France et sur le Grand Est. Les mêmes secteurs que ceux occupés par son activité BPE. Filiale du groupe transporteur Charles André, GCA Pompage s’octroie la médaille de bronze de ce classement, avec 134 pompes automotrices en parc. Celles-ci sont complétées par une quinzaine de machines affrétées de manière récurrente. Quatorze pompes stationnaires viennent achever ce dispositif. Comme ISP, GCA assure une couverture nationale, en termes de services. Ceci, depuis l’ensemble des filiales et bases locales du groupe.  Le bétonnier Cemex propose, lui aussi, une prestation de pompage au niveau national. Du moins, sur les zones géographiques où sont installées ces centrales à béton. Son parc se situe sous la barre des 100 machines, avec 98 pompes : 50 % d’automotrices et 50 % de malaxeurs-pompes. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 40 jours

Dossier : Le portrait du pompage du béton en France

Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine [©ACPresse] Le Top Dix du pompage Cemex : « Le pompage est un service que le BPE se doit d’offrir » Les nouveaux entrants de la pompe Quali Parts & Services : « Nous avons l’exclusivité de distribution de la marque sud-coréenne Dy » Les pompes nouvelles sont arrivées SoPump veut digitaliser le pompage du béton Le pompage du béton est un métier de proximité. Si quatre entreprises agissent à l’échelle nationale, l’essentiel des prestations intervient à un niveau plus local. Mais qui occupe le Top Dix du pompage ? Le pompage du béton fait pleinement partie des services proposés par le producteur de BPE Cemex. Une offre présente sur l’ensemble de la zone d’influence de l’industriel. Sur un marché pesant tout juste 70 machines pour l’année 2020, les acteurs de la pompe à béton se bousculent. Aux marques iconiques et historiques viennent s’ajouter de nouveaux entrants A partir de sa base toulousaine, Quali Parts & Services rayonne sur l’ensemble du territoire, proposant ses services d’entretien et de réparation. Mais surtout, l’entreprise assure la distribution exclusive des pompes sud-coréennes Dy. Explications avec Nelson Morgado, président de QPS. La crise sanitaire a, certes, ralenti l’activité, mais pas bridé l’innovation. Le secteur du pompage du béton en profite bien, avec une large offre de nouveautés qui arrivent sur le marché ou ont été lancées il y a peu de temps. Pour ainsi dire, il n’est pas d’industriel qui ne présente pas au moins une nouvelle machine en ce début d’année 2021. SoPump est la petite application qui monte dans le domaine du pompage du béton. La start-up est en action depuis une année maintenant. En France, la production de bétons prêts à l’emploi a été d’environ 36,5 Mm3pour l’année 2020. Soit un recul de 9 % comparé à 2019, largement expliqué par la crise sanitaire liée au Covid-19. Aujourd’hui, près de 25 % de ce volume produit est mis en œuvre à la pompe sur site. Ceci, avec des variations régionales. Ainsi, le secteur Provence – Alpes – Côte d’Azur occupe la première marche du podium, avec près de 30 % pompés. A l’autre extrémité se situe la Bretagne, région plus orientée “tapis” pour le transfert du béton. D’une manière générale, une opération de pompage moyenne oscille entre 25 et 30 m3mis en œuvre. Par définition, le pompage est un métier de proximité, car l’acheminement de la pompe entre sa base et le chantier n’est pas comptabilisé. C’est seulement la prestation en tant que telle qui déclenche une facturation. Donc, faire rouler une pompe sur de longues distances n’a pas de sens au plan économique. D’autant plus que la motorisation de ces véhicules est optimisée pour fournir l’énergie nécessaire à l’équipement de pompage et non pour faire du transport… Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } ); Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 93
Il y a 4 ans et 43 jours

Une hotline accélère la maintenance des itinéraires cyclables

Après un test prometteur sur trois grands itinéraires cyclables, l’outil de signalement d’anomalies entre dans sa phase de déploiement national sur le réseau français des véloroutes et voie vertes. Opérateur de l’application, l’association de collectivités Vélo & Territoires mise sur les circuits courts entre les cyclistes et les maîtres d’ouvrage pour créer les conditions d’une maintenance efficace. Deux webinaires adressés à ces publics lancent cette nouvelle étape en avril 2021.
Il y a 4 ans et 43 jours

JO-2024 de Paris : le village des médias a-t-il la poisse ?

Avec le village des athlètes et le centre aquatique olympique (CAO) de Saint-Denis, le village des médias fait partie des chantiers amiraux des JO-2024. Leur lancement s'échelonne sur 2022 et tout doit être bouclé pour décembre 2023. Construit sur les communes de Dugny, La Courneuve et Saint-Denis, et sur une partie du parc départemental Georges-Valbon, le village des médias doit accueillir techniciens et journalistes du monde entier à l'été 2024, avant d'être transformé en éco-quartier de 1.300 logements."La Seine-Saint-Denis a besoin de logements", répètent en coeur élus et aménageurs, qui réclament la part "d'héritage" promise par les JO pour ce département très pauvre.Un argument martelé en septembre dernier quand le village des médias semblait menacé au milieu de discussions des organisateurs visant à faire des économies. Il sera finalement construit en deux fois, avant et après 2024. Mais, la suspension ordonnée mardi par la Cour administrative d'appel de Paris fait figure de premier obstacle judiciaire dans le mécano des JO. Jusqu'ici, seul un échangeur autoroutier à Saint-Denis avait donné lieu à une procédure, mais les travaux avaient pu reprendre."Regarder l'impact""Il faut regarder l'impact sur le calendrier et les suites", explique pudiquement la Solideo (Société de livraison des ouvrages olympiques), affairée depuis mardi soir à éplucher l'ordonnance en référé qui a suspendu une partie de l'autorisation environnementale délivrée par le préfet de Seine-Saint-Denis en novembre 2020.Celui-ci peut représenter une autorisation, en attendant un recours au fond qui prendra sans doute plusieurs mois. Depuis un an, le directeur général de la Solideo, Nicolas Ferrand, l'assure: malgré le confinement, "les délais sont tenus". Chargée de construire les ouvrages pérennes pour les JO, elle supervise 62 ouvrages allant du village des athlètes à des rénovations de gymnases, en passant par des ponts et passerelles.S'agissant du village des médias, le temps presse néanmoins.Selon les termes de l'ordonnance, la Solideo et la préfecture de Seine-Saint-Denis, ont défendu l'urgence des travaux, car "les tâches de viabilisation réalisées doivent impérativement être effectuées avant la mise à disposition des lots aux opérateurs immobiliers, dont le début des chantiers doit se faire au plus tard le 30 septembre 2021".En clair, les lots ont été attribués à des promoteurs et doivent être viabilisés d'ici septembre, afin d'être à l'heure pour les Jeux.JO prétextePour les deux associations qui ont saisi la justice (le Mouvement national de lutte pour l'environnement MNLE 93 et le Collectif pour le Triangle de Gonesse), il s'agit d'une opération d'aménagement nocive pour l'environnement, avec les JO en guise de prétexte.A cet égard, le juge des référés a mis en avant le fait qu'il n'est pas avancé de "solutions alternatives permettant de limiter l'atteinte portée aux espèces protégées et, en particulier, d'éviter l'urbanisation, sur une superficie d'environ huit hectares, de la frange sud-ouest de l'aire des Vents laquelle pouvait en tout état de cause faire l'objet d'une réhabilitation adaptée à son état"."On est dans l'aménagement du territoire plus que dans les Jeux", reconnait l'un des acteurs du dossier. Quant un autre concède "des difficultés" sur le village des médias, "depuis la candidature" de la France aux JO. "En même temps, politiquement, ce serait compliqué d'y renoncer", commente une autre source.Interrogé par l'AFP, le conseil départemental de Seine-Saint-Denis n'a pas encore réagi.Autre péripétie autour du village, la plus grande incertitude règne autour de sa desserte via la ligne 16, au Bourget, qui a peu de chance d'être prête à temps.De son côté, le comité d'organisation Paris 2024, chargé d'organiser les épreuves, dont l'épreuve de tir non loin du village des médias, n'a pas souhaité s'exprimer.